Acute Radiation Syndrome
Radioactive Hazard Release
Lésions Expérimentales Radio-Induites
Lésions Radio-Induites
Irradiation Corps Entier
Radioprotecteurs
Dosimétrie Rayonnement
Dose Létale 50
Dose-Response Relationship, Radiation
Radiodermite
Pneumopathie Radique
Encyclopedias as Topic
Pneumothorax
Heart Failure
Rayons X
Dépistage Radiologique Thoracique
La maladie du syndrome de radiation aiguë (ARS) est une réaction systémique à une exposition intense et à court terme aux radiations ionisantes. Les symptômes peuvent varier en fonction de la dose et de la durée d'exposition, mais ils comprennent généralement des nausées, des vomissements, de la fatigue, de la fièvre, des maux de tête et une baisse du nombre de globules blancs.
L'ARS est divisé en trois stades:
1. Hématopoïétique: C'est le stade le plus courant et se produit après une exposition à des doses de radiation entre 0,7 et 10 Gy. Les symptômes comprennent une baisse du nombre de globules blancs, ce qui entraîne un risque accru d'infections.
2. Gastro-intestinal: Ce stade se produit après une exposition à des doses de radiation entre 10 et 50 Gy. Les symptômes comprennent des nausées, des vomissements, la diarrhée, des douleurs abdominales et une déshydratation sévère.
3. Cardiovasculaire et centrale nerveux: Ce stade est le moins courant et se produit après une exposition à des doses de radiation supérieures à 50 Gy. Les symptômes comprennent une pression artérielle basse, une insuffisance cardiaque, des convulsions et un coma.
Le traitement de l'ARS consiste généralement à fournir un soutien de vie pour maintenir les fonctions corporelles vitales, telles que la respiration et la circulation sanguine. Les médicaments peuvent être utilisés pour traiter les symptômes spécifiques, tels que les nausées et les vomissements. Dans certains cas, une greffe de moelle osseuse peut être nécessaire pour remplacer les cellules souches endommagées dans la moelle osseuse.
Un 'Release of Radioactive Hazard' ou 'Radioactive Hazardous Substance Release' fait référence à un événement dans lequel il y a une libération accidentelle ou intentionnelle d'une substance radioactive dangereuse dans l'environnement. Cela peut se produire en raison d'un dysfonctionnement, d'une mauvaise manipulation, d'une négligence ou d'une activité criminelle impliquant des matières radioactives.
Les substances radioactives peuvent présenter un risque important pour la santé humaine et l'environnement. L'exposition à ces substances peut entraîner une gamme de problèmes de santé, notamment des brûlures, des dommages aux tissus, une augmentation du risque de cancer et, dans les cas graves, la mort.
Les autorités réglementaires ont établi des normes et des directives strictes pour gérer et manipuler en toute sécurité les substances radioactives afin de minimiser le risque de libération de ces matières dans l'environnement. Les incidents de libération de substances radioactives dangereuses doivent être signalés et traités conformément aux protocoles établis pour assurer la sécurité publique et l'environnement.
Les lésions expérimentales radio-induites se réfèrent à des dommages ou des changements anormaux dans les tissus biologiques causés par une exposition contrôlée et planifiée à des radiations ionisantes dans le cadre de recherches scientifiques. Ces études sont menées pour comprendre les effets des rayonnements sur les organismes vivants, ce qui peut contribuer au développement de stratégies de protection contre les effets néfastes des expositions accidentelles ou intentionnelles aux radiations, ainsi qu'à l'amélioration des traitements du cancer par radiothérapie.
Les lésions radio-induites peuvent affecter divers systèmes et structures cellulaires, y compris l'ADN, les protéines, les membranes cellulaires et les organites. Les dommages peuvent être directs, résultant de l'interaction des radiations avec la matière biologique, ou indirects, provenant de la production de radicaux libres qui réagissent avec les molécules cellulaires. Les effets des rayonnements dépendent de divers facteurs tels que le type et l'énergie des radiations, la dose absorbée, la durée d'exposition, la sensibilité des tissus et des organes, ainsi que les mécanismes de réparation et de mort cellulaire.
Les études sur les lésions expérimentales radio-induites peuvent inclure une grande variété de modèles biologiques, allant des cultures de cellules in vitro à des organismes entiers tels que des souris, des rats ou des mouches des fruits. Les chercheurs utilisent différentes techniques d'imagerie et d'analyse pour évaluer les dommages radio-induits, y compris la cytométrie en flux, la microscopie à fluorescence, l'immunohistochimie et la génomique.
Il est important de noter que les recherches sur les lésions expérimentales radio-induites visent non seulement à améliorer notre compréhension des mécanismes sous-jacents aux effets des rayonnements, mais également à développer des stratégies pour protéger et traiter les personnes exposées à des radiations accidentelles ou intentionnelles.
Les lésions radio-induites sont des dommages ou des changements tissulaires qui se produisent à la suite de l'exposition aux rayonnements ionisants. Ces lésions peuvent affecter divers systèmes et organes du corps, en fonction de la dose, de la durée et de la fréquence de l'exposition. Les effets des radiations peuvent être aigus, apparaissant rapidement après l'exposition, ou chroniques, se développant progressivement sur une période plus longue.
Les lésions radio-induites peuvent entraîner une variété de symptômes et de conditions, allant d'effets mineurs tels que des rougeurs et des brûlures cutanées à des dommages graves aux organes internes, y compris le risque accru de cancer. Les cellules sanguines, la peau, les poumons, le cœur et le système nerveux central sont particulièrement sensibles aux effets des radiations.
Le traitement des lésions radio-induites dépend de la gravité et de l'étendue des dommages. Dans les cas graves, il peut inclure des soins de soutien pour aider le patient à faire face aux symptômes, ainsi que des interventions telles que la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie pour éliminer les cellules endommagées et favoriser la guérison.
Il est important de noter que l'exposition aux rayonnements ionisants doit être évitée dans la mesure du possible, car même des doses relativement faibles peuvent entraîner des lésions radio-induites et augmenter le risque de développer des problèmes de santé à long terme.
L'irradiation corps entier (EBI) est un traitement médical spécialisé qui consiste à exposer tout le corps du patient à des radiations à des fins thérapeutiques, généralement dans le cadre d'un traitement contre le cancer. Cette procédure est également appelée irradiation totale du corps ou hémibody irradiation.
L'EBI est utilisé pour traiter certains types de cancer qui se sont propagés (métastases) dans tout le corps et ne peuvent pas être enlevés par chirurgie. Elle peut également être utilisée pour soulager la douleur et d'autres symptômes associés au cancer avancé.
Au cours de l'EBI, le patient est allongé sur une table spéciale qui se déplace dans un grand accélérateur linéaire de particules (LINAC) ou une autre source de rayonnement externe. Le traitement dure généralement quelques minutes et peut être répété plusieurs fois par semaine pendant plusieurs semaines, selon le plan de traitement individualisé établi par l'équipe médicale.
Les effets secondaires courants de l'EBI comprennent la fatigue, la perte d'appétit, la nausée et les vomissements. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure une baisse des globules blancs, ce qui peut augmenter le risque d'infections, ainsi qu'une baisse des plaquettes sanguines, ce qui peut entraîner des saignements et des ecchymoses. Ces effets secondaires sont généralement temporaires et disparaissent progressivement après la fin du traitement.
Les radioprotecteurs, également connus sous le nom de protecteurs de radiation ou de agents de protection contre les radiations, sont des substances ou des mécanismes qui aident à prévenir ou à réduire les dommages causés par l'exposition aux rayonnements ionisants. Ils fonctionnent en absorbant, dispersant ou bloquant les rayons pour minimiser leur interaction avec les tissus biologiques.
Les radioprotecteurs peuvent être classés en deux catégories principales :
1. Radioprotecteurs externes : Ce sont des matériaux qui sont placés entre la source de radiation et l'organisme pour absorber ou disperser les rayons, réduisant ainsi l'exposition aux radiations. Les exemples incluent le plomb, le béton et l'eau, qui sont souvent utilisés dans la construction d'installations nucléaires et médicales pour protéger les travailleurs et le public.
2. Radioprotecteurs internes : Ce sont des substances qui peuvent être administrées à un organisme pour offrir une protection contre l'intérieur du corps. Ils fonctionnent en neutralisant ou en réparant les dommages causés par les radiations aux cellules et aux tissus. Les exemples incluent des médicaments, des vitamines et des antioxydants qui peuvent aider à protéger l'ADN et d'autres structures cellulaires contre les dommages oxydatifs causés par l'exposition aux radiations.
Il est important de noter que les radioprotecteurs ne doivent pas être confondus avec les décontaminants radioactifs, qui sont des substances utilisées pour éliminer ou réduire la contamination radioactive sur une surface ou dans un organisme après une exposition.
La dosimétrie des rayonnements est la science et la pratique de mesurer ou de calculer les doses de différents types de rayonnements ionisants reçues par des personnes, des animaux ou des objets inanimés. Elle vise à déterminer avec précision l'exposition aux radiations et les effets potentiels sur la santé ou la fonction des systèmes biologiques.
La dosimétrie des rayonnements est essentielle dans de nombreux domaines, tels que la médecine nucléaire, la radiothérapie, l'industrie nucléaire et les situations d'urgence radiologique. Les dosimètres sont souvent utilisés pour mesurer directement l'exposition aux rayonnements, tandis que des calculs complexes peuvent être effectués pour estimer les doses dans des scénarios plus complexes.
Les unités de dose standard utilisées en dosimétrie des rayonnements comprennent le gray (Gy), qui mesure l'énergie absorbée par unité de masse, et le sievert (Sv), qui tient compte à la fois de l'énergie absorbée et de la nature biologiquement nocive du type de rayonnement.
La dosimétrie des rayonnements est une discipline hautement spécialisée qui nécessite une connaissance approfondie des propriétés des différents types de rayonnements, ainsi que des principes et des techniques de mesure et de calcul appropriés.
La dose létale 50 (DL50) est un terme utilisé en toxicologie pour décrire la dose d'une substance donnée qui est capable de causer la mort chez 50% d'un groupe d'essai animal spécifique, lorsqu'elle est administrée par une voie spécifique. Il s'agit d'une mesure couramment utilisée pour évaluer la toxicité aiguë d'une substance.
La DL50 est généralement exprimée en termes de poids de la substance par poids du corps de l'animal (par exemple, milligrammes par kilogramme, ou mg/kg). Plus la DL50 est faible, plus la substance est considérée comme toxique.
Il est important de noter que la DL50 peut varier considérablement en fonction de nombreux facteurs, tels que la voie d'administration de la substance, l'espèce animale utilisée dans les tests, la durée d'exposition et même des caractéristiques individuelles de chaque animal. Par conséquent, la DL50 ne doit pas être considérée comme une valeur absolue pour évaluer la toxicité d'une substance chez l'homme.
En médecine humaine, la DL50 n'est pas utilisée directement pour évaluer les risques toxiques chez les patients, mais plutôt pour comparer le potentiel toxique relatif de différentes substances et établir des normes de sécurité.
La relation dose-réponse en radioprotection est une caractérisation quantitative de la manière dont l'effet d'une radiation ionisante sur un organisme ou un tissu biologique varie en fonction de la dose reçue. Elle décrit essentiellement le fait que, à des doses plus élevées de rayonnement, les effets nocifs sont également plus probables et/ou plus sévères.
Le modèle linéaire sans seuil (LNT) est souvent utilisé pour décrire cette relation dose-réponse. Selon ce modèle, même des expositions très faibles à des radiations peuvent entraîner des effets stochastiques (aléatoires), tels que le risque accru de cancer, bien qu'il n'y ait pas de dose minimale en dessous de laquelle ces effets ne se produiraient pas.
Cependant, il convient de noter que certains scientifiques contestent l'applicabilité du modèle LNT à des doses très faibles de rayonnement, arguant qu'il existe plutôt un seuil en dessous duquel aucun effet nocif ne se produit. Cette question reste un sujet de débat dans la communauté scientifique.
La radiodermite est un terme médical qui décrit une inflammation de la peau résultant d'une exposition aux radiations. Cette condition peut varier en gravité, allant d'une rougeur cutanée légère et d'un érythème à des lésions cutanées plus graves telles que des ulcères ou des nécroses. Les symptômes courants de la radiodermite comprennent des rougeurs, des démangeaisons, des douleurs et des brûlures, une desquamation de la peau, des cloques et des changements de couleur de la peau.
La gravité de la radiodermite dépend de plusieurs facteurs, tels que la dose de radiation reçue, la durée de l'exposition aux radiations, la zone du corps exposée et la sensibilité individuelle de la personne aux radiations. Dans les cas graves, la radiodermite peut entraîner une cicatrisation permanente ou une perte de tissu cutané.
La radiodermite est un risque professionnel pour les travailleurs de l'industrie nucléaire et médicale qui sont exposés aux radiations dans le cadre de leur travail. Elle peut également survenir chez les patients recevant une radiothérapie pour traiter le cancer. Dans ces cas, la radiodermite est généralement limitée à la zone traitée par radiation.
Le traitement de la radiodermite dépend de sa gravité. Les cas légers peuvent être traités avec des crèmes hydratantes et des corticostéroïdes topiques pour soulager l'inflammation et l'inconfort. Les cas plus graves peuvent nécessiter une intervention médicale plus poussée, telle qu'une débridement chirurgical ou une greffe de peau. Dans tous les cas, il est important de protéger la peau des radiations autant que possible pour prévenir l'apparition de la radiodermite ou minimiser sa gravité.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
La pneumopathie radique, également connue sous le nom de pneumonite d'irradiation, est une complication pulmonaire rare mais grave qui peut survenir après une radiothérapie thoracique à forte dose. Elle se caractérise par une inflammation et une fibrose des tissus pulmonaires dans la zone irradiée. Les symptômes peuvent inclure une toux sèche, une dyspnée, de la fièvre, une douleur thoracique et une fatigue. La pneumopathie radique peut également entraîner une insuffisance respiratoire sévère dans les cas graves.
Le diagnostic repose généralement sur des antécédents médicaux détaillés, des examens physiques, des tests d'imagerie pulmonaire et des biopsies pulmonaires. Le traitement de la pneumopathie radique peut inclure des corticostéroïdes, des antibiotiques, de l'oxygénothérapie et une prise en charge des symptômes. La prévention est également importante et peut inclure une réduction de la dose d'irradiation, une meilleure planification du traitement et un suivi régulier des patients pendant et après le traitement.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.
Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.
Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.
Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.
L'embolie pulmonaire est un événement médical potentiellement mortel qui se produit lorsqu'un caillot sanguin (ou thrombus) se détache d'une veine profonde, généralement dans les jambes, et voyage à travers le système circulatoire jusqu'aux artères pulmonaires. Une fois dans les poumons, le caillot peut bloquer partiellement ou complètement le flux sanguin, entraînant une diminution de l'oxygénation du sang et une augmentation de la pression dans les vaisseaux sanguins pulmonaires.
Les symptômes typiques d'une embolie pulmonaire comprennent une douleur thoracique aiguë, un essoufflement soudain, une toux avec ou sans expectoration sanglante (hémoptysie), une tachycardie (pouls rapide) et, dans les cas graves, une hypotension artérielle, une syncope ou même un arrêt cardiaque. Le diagnostic repose sur des examens d'imagerie tels que la radiographie pulmonaire, l'échocardiogramme et le scanner thoracique, ainsi que sur des tests sanguins pour mesurer les gaz du sang et détecter des marqueurs de dommages aux vaisseaux sanguins.
Le traitement standard de l'embolie pulmonaire consiste en l'administration d'anticoagulants, tels que l'héparine ou les anticoagulants oraux directs (DOAC), pour prévenir la formation de nouveaux caillots sanguins et favoriser la dissolution des caillots existants. Dans certains cas graves, une thrombolyse (utilisation de médicaments tissulaires plasminogènes pour dissoudre les caillots) ou une intervention chirurgicale (embolectomie pulmonaire) peut être nécessaire pour éliminer le caillot et rétablir la circulation sanguine.
La prévention de l'embolie pulmonaire repose sur des mesures telles que la mobilisation précoce après une intervention chirurgicale, l'utilisation d'anticoagulants prophylactiques chez les patients à risque élevé et le port de bas de contention pour favoriser la circulation sanguine dans les membres inférieurs.
La « insuffisance cardiaque » est un terme médical qui décrit l'incapacité du cœur à pomper le sang de manière adéquate pour répondre aux besoins métaboliques de l'organisme. Cela peut être dû à une diminution de la force de contraction du muscle cardiaque ou à une augmentation de la rigidité de la paroi cardiaque, ce qui entraîne une accumulation de liquide dans les poumons et/ou d'autres parties du corps. Les symptômes courants de l'insuffisance cardiaque comprennent l'essoufflement, la fatigue, l'enflure des jambes et des chevilles, et une toux sèche et persistante. Il existe différents types et stades d'insuffisance cardiaque, en fonction de la gravité de la maladie et de la partie du cœur qui est affectée. Le traitement peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments, des procédures ou une intervention chirurgicale pour améliorer la fonction cardiaque et réduire les symptômes.
Les rayons X sont une forme courante d'imagerie médicale utilisant des ondes électromagnétiques à haute énergie et de courte longueur d'onde pour produire des images détaillées des structures internes du corps humain. Ils passent à travers le corps et sont absorbés dans différentes proportions par différents tissus, ce qui permet de distinguer les os, les organes mous, l'air et d'autres matériaux dans le corps sur une radiographie ou une image fluoroscopique. Les rayons X sont généralement considérés comme sûrs lorsqu'ils sont utilisés à des doses appropriées, mais ils peuvent présenter des risques pour la santé, notamment un risque accru de cancer, s'ils sont utilisés de manière excessive ou inappropriée.
Le dépistage radiologique thoracique fait référence à l'utilisation de techniques d'imagerie, telles que la radiographie pulmonaire ou le scanner thoracique, pour détecter des anomalies ou des affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou présentant un risque accru de développer une maladie pulmonaire. L'objectif principal du dépistage radiologique thoracique est d'identifier précocement les pathologies pulmonaires, telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), le cancer du poumon et les fibroses pulmonaires, afin de mettre en œuvre des interventions thérapeutiques précoces et améliorer ainsi les issues cliniques.
Dans le cas spécifique du cancer du poumon, le dépistage radiologique thoracique est recommandé par les directives médicales pour certains groupes à haut risque, tels que les fumeurs actuels et anciens présentant un historique tabagique significatif. Le scanner thoracique à faible dose est généralement l'outil de dépistage privilégié en raison de sa sensibilité accrue par rapport à la radiographie pulmonaire pour détecter les lésions précoces du cancer du poumon. Cependant, il est important de noter que le dépistage systématique n'est pas recommandé pour l'ensemble de la population en raison des risques potentiels associés aux radiations et aux fausses découvertes qui peuvent entraîner des interventions inutiles et des anxiétés indues.
En résumé, le dépistage radiologique thoracique est une procédure médicale visant à identifier précocement les affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou à haut risque en utilisant des techniques d'imagerie telles que la radiographie pulmonaire et le scanner thoracique. Il est crucial de peser les avantages et les inconvénients du dépistage et de cibler les populations à haut risque pour optimiser les bénéfices potentiels tout en minimisant les risques associés aux procédures de dépistage.
Une radiographie thoracique, également appelée radiographie de la poitrine, est un examen d'imagerie médicale utilisant des rayons X pour produire des images du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons, des os de la cage thoracique, des côtes et des diaphragmes. Il s'agit d'un outil diagnostique commun utilisé pour détecter une variété de conditions médicales telles que les pneumonies, les emphysèmes, les fibroses pulmonaires, les cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les fractures costales. Pendant l'examen, le patient est généralement assis ou debout avec les bras levés. Un technologue en radiologie positionne le patient et prend une image à l'aide d'une machine à rayons X. L'image résultante aide les médecins à évaluer l'état des organes et des tissus du thorax et à poser un diagnostic ou à surveiller la réponse au traitement.
Y-12 National Security Complex
Bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki
Organisme radiorésistant
StemRad
Radiorésistance
Syndrome d'irradiation aiguë
Syndrome neurologique paranéoplasique
Brûlure
Demon core
Radiographie du thorax
Pied (cheval)
Sievert
Cancer pédiatrique
Insuffisance mitrale
Leucémie aigüe myéloïde
Accident de criticité de Cecil Kelley
Reflux gastro-œsophagien
Embolie pulmonaire
Bifidobacterium bifidum
Abeille
Aloe vera
Métastase osseuse
Mélatonine
Syndrome myélodysplasique
Leucémie
Barrière hémato-encéphalique
Liste d'abréviations en médecine
Uranium
Ammoniac
Psycho-oncologie
Y-12 National Security Complex - Wikipedia
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Respiratoire1
- Le virus actuel est différent de ceux responsables du SRAS et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). (atousante.com)
Doses3
- Introduction: Accidental or intended high doses radiation exposures have serious consequences for the health of exposed people and may impact a large number of people (as well as military than civil). (hal.science)
- Exposure of a large volume at high irradiation doses induces multiple tissue lesions grouped under the name of Acute Radiation Syndrome (ARS). (hal.science)
- Les risques de leucémie myéloïde aiguë (LMA) incluent des syndromes génétiques, de fortes doses de radiation et le tabagisme. (cancer.ca)
Sensitive1
- se dit de chacune des premières dents de l'être humain, qui apparaissent vers l'âge de six mois et tombent vers l'âge de six ans (syndrome de) Paralysie motrice et sensitive affectant surtout les membres, avec un début brutal et une régression en quelques mois, et dont le mécanisme inflammatoire, auto-immun, peut être déclenché par de nombreux facteurs (infections virales, partic. (fire.lt)
D'irradiation1
- syndrome d'irradiation globale aiguë ou mal des rayons). (msdmanuals.com)