Une tumeur bénigne épithéliales avec une organisation glandulaire.
Tumeurs inhérents à l ’ hypophyse ou de metastasize GLAND. La majorité des adénomes hypophysaires néoplasmes sont, qui sont divisés en secrétant des formes. Hormone non-secreting et produire formes sont ultérieurement classés par le type d ’ hormone ils sécrètent. Adénomes hypophysaires peuvent également être caractérisée par leurs propriétés coloration (voir adénome Basophile ; adénome adénome ; et adénome Chromophobe). Les tumeurs hypophysaires peuvent comprimer adjacent, y compris les structures HYPOTHALAMUS, plusieurs nerfs crâniens, et le chiasma optique. Chiasmal compression peut entraîner bitemporal hémianopsie.
Une petite glande qui ne sont pas en couple situées dans la selle Turcique. Il est lié au HYPOTHALAMUS par une petite tige qui est appelé l'INFUNDIBULUM.
Une tumeur qui secrète LA CROISSANCE HORMONE. Chez l'homme, excès HUMAN LA CROISSANCE HORMONE mène à l ’ acromégalie.
Un adénome hypophysaire prolactine, qui secrète menant à une hyperprolactinémie. Les signes cliniques sont : Aménorrhée, galactorrhée ; impuissance ; migraine, troubles visuels et FLUID cérébro-spinal rhinorrhée.
Un adénome hypophysaire qui secrète ADRENOCORTICOTROPIN, conduisant à Cushing maladie.
Une tumeur bénigne du l ’ hypophyse antérieure dans laquelle les cellules ne souillez pas avec les colorants acides ou basiques.
Le lobe glandulaire antérieure de l'hypophyse, surnommé le adenohypophysis. Elle sécrète des hormones qui régulent la ADENOHYPOPHYSEAL tels que les fonctions vitales LA CROISSANCE ; troubles du métabolisme ; et la reproduction.
La perte soudaine d ’ irrigation sanguine de l'hypophyse, entraînant une nécrose des tissus GLAND et perte de fonction (PANHYPOPITUITARISM). La cause la plus fréquente est INFARCTION d'une hémorragie ou un adénome hypophysaire. Ça peut aussi résulter de hémorragie aiguë due à la tête en selle Turcique traumatisme intracrâniens ; HYPERTENSION ; ou les effets du système nerveux central hémorragie. Des signes cliniques graves migraine ; hypotension, troubles visuels bilatérales ; UNCONSCIOUSNESS ; et coma.
Un os qui ne sont pas en couple irrégulier situé au SKULL BASE et coincé entre le frontal et temporal et os occipital (FRONTAL BONE ; TEMPORAL BONE ; OCCIPITAL os). Os sphénoïde médiane se compose d'un corps et trois paires de processus qui ressemble à une batte aux ailes déployées ! Le corps est creux dans ses inférieurs pour former deux grandes cavités (sphénoïde SINUS).
Hormones sécrétées par la glande pituitaire GLAND y compris ceux du lobe antérieur (adenohypophysis), le (neurohypophysis) et le lobe intermédiaire définie, structurellement, ils comprennent les petits peptides, les protéines, et glycoprotéines. Ils sont sous la régulation des signaux neuronaux (neurotransmetteurs) ou hypothalamique signaux physiologiques (hormones) de l'hypothalamus ainsi que les réactions de leurs cibles tels que cortex surrénalien ; hormones androgènes ; oestrogènes.
Un état causé par une exposition prolongée à une HUMAN LA CROISSANCE HORMONE chez les adultes. C'est caractérisé par hypertrophie osseuse du visage ; mâchoire inférieure (prognathisme) ; mains ; pieds ; tête ; et le thorax. Les plus fréquents de l ’ étiologie est un CROISSANCE un adénome hypophysaire. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch36, pp79-80)
Nerveux impliquant la ADENOHYPOPHYSIS ou le NEUROHYPOPHYSIS. Ces maladies généralement se manifester par salivaire ou hyposecretion d'hypophyse des hormones hypophysaires. Néoplasiques peuple peuvent également entraîner une compression du chiasma optique et autres structures adjacent.
Les petits proéminence située sur la surface supérieure du corps de l'os sphénoïde il héberge des GLAND pituitaire.
Une maladie de l'hypophyse GLAND caractérisant par un excès de adrénocorticotrope HORMONE sécrétés, ça va à salivaire de cortisol (hydrocortisone) par les glandes surrénales entraînant syndrome du Cushing.
Une tumeur bénigne. Ils vivent dans les du lobe antérieur de l'hypophyse, cellules acide qui tache avec des teintures. Si les tumeurs hypophysaires peuvent donner lieu à une sécrétion d ’ hormone de croissance, entraînant gigantisme ou d ’ acromégalie. Un type particulier adénome adénome peut donner lieu à une galactorrhée. Nonpuerperal Dorland, 27 (éditeur)
Une hormone sécrétée par la lactogenic adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). C'est un polypeptide d'environ 23 kD. Outre son action sur l ’ allaitement, chez certaines espèces prolactine exerce des effets sur la reproduction, comportement maternel, du métabolisme des graisses, immunomodulation et osmoregulation. Prolactine récepteurs sont présents dans la glande mammaire, de l'hypothalamus, foie, de l ’ ovaire, du testicule, et de la prostate.
Une hormone qui stimule l ’ hypophyse antérieure le cortex surrénalien et sa production de corticostéroïdes, ACTH est un acide 39-amino polypeptidique de laquelle le N-terminal 24-amino segment acide est identique dans toutes les espèces, qui contient la Adrenocorticotrophic. Lors d'une nouvelle activité tissue-specific processing, ACTH peut céder ALPHA-MSH et corticotrophin-like lobe intermédiaire peptide (CLIP).
Un de l'équipe l'espace aérien situées sur le corps de l'os sphénoïde, derrière l'os ethmoïde au milieu du crâne. Sphénoïde sinus posterosuperior communique avec la partie de le CAVITY du même côté.
Une hormone polypeptidique produite 191-amino acide sécrétée par les adenohypophysis GLAND hypophysaire humaine, (antérieur), alias GH ou Somatropine. Hormone synthétique de croissance, appelé la somatropine, a remplacé usage thérapeutique à la forme naturelle tels que le traitement de nanisme chez les enfants atteints de déficit en hormone de croissance.
Un polypeptide sécrétée par les adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). L ’ hormone de croissance, alias Somatropine, stimule la mitose, la différenciation cellulaire et la croissance cellulaire. Propre à l ’ hormone de croissance ont été synthétisé.
Une tumeur bénigne, lentement, plus fréquemment de la glande salivaire, survenant comme un petit nodule cabinet indolore, généralement de la glande parotide, mais a aussi trouvé dans une grande ou complice glande salivaire n'importe où dans la cavité buccale. C'est souvent observée chez les femmes dans le cinquantième. Plan histologique, la tumeur cadeaux une variété de cellules : Cuboidal, columnar, et les cellules squameuses, montrant toutes les formes de la croissance épithélial. (Dorland, 27 e)
Diminution ou l ’ arrêt de la sécrétion de un ou plusieurs hormones de l'hypophyse antérieure (y compris LH ; ; ; Somatropine HORMONE folliculo-stimulante et la corticotrophine). Par radiations chirurgical ou l ’ ablation, tumeurs De L'Hypophyse non-secretory, des métastases de tumeurs, du myocarde, apoplexie pituitaire, ou une granulomatose interstitielle processus et d ’ autres maladies.
L'adénome du gros intestin. C'est souvent une solitaire, sessile, souvent larges de tumeur colique composé de l ’ épithélium muqueuse Mucinous couvrant délicate projections vasculaire. Salivaire et malignes change surviennent fréquemment, 25e Stedman. (Éditeur)
Hormones sécrétées par la adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,), structurellement, elles incluent polypeptide, protéines, et glycoprotéine molécules.
Une tumeur bénigne pituitary-region ça provient de la pochette d'entreprise. Les deux principaux et cliniques histologique sous-types sont adamantinous (ou classique) craniopharyngiome et papillaire adamantinous craniopharyngiome. La forme des cadeaux chez les enfants et les adolescents car l'expansion lésion cystique dans la région. Pituitaire cavité cystique est rempli d'une substance visqueuse noire et histologie la tumeur est composé de l ’ épithélium adamantinomatous et domaines de la calcification. Et la nécrose papillaire craniopharyngiomas survenir chez les adultes et histologie comportent un épithélium squameux avec papillations. (De Joynt Clinique neurologie, 1998, Ch14, p50)
Un état causé par une exposition prolongée de taux excédentaires de cortisol (hydrocortisone) ou d'autres glucocorticoïdes de sources ou exogène est caractérisé par le haut du corps l'obésité ; l ’ ostéoporose ; HYPERTENSION ; DIABETES sucré, hirsutisme ; aménorrhée ; et excès de fluide. Syndrome de Cushing endogène spontané hypercortisolism est divisé en deux groupes, celles dues à un excès de ADRENOCORTICOTROPIN et ceux qui sont ACTH-independent.
Un puissant, prolongée, la somatostatine synthétique octapeptide analogue qui inhibe la sécrétion de LA CROISSANCE HORMONE et est utilisé pour traiter de tumeurs ; DIABETES sucré, hypotension orthostatique ; Hyperinsulinisme ; hypergastrinemia ; et de l'intestin grêle, les fistules.
Une glycoprotéine sécrétée par les hormones hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Thyrotropine thyroïdiennes stimule GLAND iodure en augmentant le transport, la synthèse et la libération des hormones thyroïdiennes (triiodothyronine) et thyroxine. Thyrotropine se compose de deux sous-unités liées noncovalently, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent chez l ’ hypophyse, une glycoprotéine hormones thyroïdiennes (TSH ; HORMONE lutéinisante reviennent et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Une petite tumeur du lobe antérieur de l'hypophyse dont les cellules de base tache avec des teintures. Il peut donner lieu à une sécrétion d ’ ACTH, entraînant syndrome du Cushing. (Dorland, 27 e)
Cellules de l ’ hypophyse antérieure qui produisent LA CROISSANCE HORMONE.
Qui se lient aux protéines de surface et déclencher la somatostatine intracellulaire influencer le comportement des cellules est une hormone hypothalamique. La somatostatine, une hormone pancréatique, et un neurotransmetteur. Central et périphérique activé visée sur des cellules hypophysaires inhibe la libération de l ’ hormone de croissance sur ; ces cellules gastro-intestinale endocriniens et réguler l ’ absorption et utilisation de nutriments ; et ces neurones médiation sur le rôle de la somatostatine un neurotransmetteur.
Ergotamine alcaloïde qui elle est un agoniste D2. Il supprime la sécrétion de prolactine.
Un état quand la selle Turcique n'est pas rempli de tissu pituitaire. La glande pituitaire est soit compressés, atrophiés, ou enlevés. Il y a deux types : (1) Sella vide principale est due un défaut dans la Sella diaphragme menant à arachnoïde hernie dans l'espace sellar ; (2) secondaires vide Sella est associée à la suppression ou du traitement des tumeurs De L'Hypophyse.
Un neuropeptide multifonction qui agit dans le corps par d ’ AMP cyclique niveau intracellulaire par son interaction avec d ’ abord isolé récepteurs PACAP. Bien que les extraits de hypothalamique et nommé pour son action sur l'hypophyse, c'est largement distribuée dans les systèmes nerveux central et périphérique. PACAP est important dans le contrôle de processus endocriniens et homéostatiques, tels que la sécrétion de pituitaire et instinct hormones et la prise alimentaire.
Une tumeur bénigne du cortex surrénalien. C'est bien défini, caractérisée par une lésion acné nodulaire, mesurant moins de 2,5 cm. La plupart ne fonctionnent adénomes surrénale fonctionnelle sont jaune et contenir les lipides. Selon le type de cellule ou zone corticale impliqués, ils peuvent produire l ’ aldostérone ; hydrocortisone ; DEHYDROEPIANDROSTERONE ; et / ou de l'androsténédione.
Un syndrome caractérisée par une hyperpigmentation des ongles, d 'accentuer masse hypophysaire, des anomalies visuelles secondaire à la compression du chiasma optique et une élévation des taux sériques par l'ACTH. Elle est provoquée par l'expansion de sécrétant un adénome hypophysaire qui pousse en l'absence de réactions de l'inhibition induite par corticostéroïdes surrénale, généralement après surrénalectomie.
Examens que évaluer les fonctions de la glande pituitaire.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Une forme irrégulière l'espace de la dure-mère veineuse à l'opposé sur l'os sphénoïde
Non invasive mode de démontrer l'anatomie interne basé sur le principe que les noyaux atomiques dans un fort champ magnétique absorber pulsations d'eux comme une radio de l'énergie et émettent des ondes radio qui peut être reconstruit en images informatisée. Le concept inclut proton spin tomographique techniques.
Un acide 14-amino peptide nommé pour sa capacité à inhiber CROISSANCE pituitaire HORMONE libération, également appelé facteur Release-Inhibiting Somatropine. Il s'exprime par les systèmes nerveux central et périphérique, le bide, et d'autres organes. SRIF peut également inhiber la libération de thyroid-stimulating HORMONE ; prolactine ; INSULIN ; et le glucagon en plus agissant comme un neurotransmetteur et neuromodulator. Dans un certain nombre d'espèces, y compris les humains y ajoute un formulaire de la somatostatine SRIF-28 avec un acide 14-amino extension au N-terminal.
Une tumeur bénigne épithéliales du foie...
Tissu neural de l'hypophyse, surnommé le neurohypophysis. Il se compose des axones distal de neurones qui produisent la vasopressine et d'ocytocine dans le noyau et SUPRAOPTIC du noyau. Ces axones voyager à travers les median Eminence, le thermostat hypothalamique, puis-je en avoir de l'hypophyse infundibulum postérieure lobe de l'hypophyse.
Une forme de néoplasie endocrinienne multiple qui se manifeste par la survenue des tumeurs dans les glandes parathyroïdes, l'hypophyse GLAND, et les îlots pancréatiques. Les signes cliniques inclure l ’ hyperparathyroïdie ; l ’ hypercalcémie ; l ’ hyperprolactinémie ; Cushing maladie ; Gastrinome ; et syndrome du Zollinger-Ellison. Cette maladie est due à loss-of-function du MEN1 Gene, un gène suppresseur de tumeur, tumeur (gènes suppresseur) sur le chromosome 11 (Locus : 11q13).
Un tripeptide qui stimule la libération de thyrotropine et de prolactine. C'est synthétisée par les neurones du noyau para ventriculaire de HYPOTHALAMUS. Après avoir été libéré dans l'hypophyse portail circulation, trh (s'appelait TRF) de la TSH et stimule la libération du PRL antérieur GLAND pituitaire.
Tumeurs ni cancer des glandes endocrines.
Un peptide de 44 acides aminés dans la plupart des espèces qui stimule la libération et la synthèse des LA CROISSANCE HORMONE. GHRF (ou GRF) est synthétisée par les neurones dans le noyau de la arcuate HYPOTHALAMUS. Après avoir été libéré dans l'hypophyse portail circulation, GHRF stimule la libération par GH SOMATOTROPHS dans l'hypophyse GLAND.
Ablation chirurgicale ou destruction des hypophysis ou hypophyse Dorland, 28. (Éditeur)
AT-hook-containing (une protéine qui AT-HOOK MOTIFS) est exprimée principalement chez les indifférenciée proliférer et les cellules mésenchymateuses.
Un gros sécrétée par les gonadotrophines hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Hormone lutéinisante régule la production par les cellules interstitielles des testicules et les ovaires. La surcharge HORMONE lutéinisante reviennent preovulatory OVULATION induit chez les femmes et la LUTEINIZATION du follicule. Lutéinisante reviennent noncovalently HORMONE se compose de deux sous-unités liées, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent dans les trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Une opération sur le système nerveux ou ses parties.
Cellules qui produisent de l ’ hypophyse antérieure Adrenocorticotrophic HORMONE.
Securin est impliquée dans le contrôle de la transition metaphase-anaphase pendant la mitose. Ça favorise l'apparition de anaphase en bloquant la protéolyse et la prévention de la fonction SEPARASE cohesin et séparation de sœur CHROMATIDS. Surexpression de securin est associé à la formation et de la cellule néoplasiques douteuse.
La chaîne alpha, une glycoprotéine (thyrotropine ; hormones folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent HORMONE HORMONE) ; la barrière placentaire gonadotrophine. Au sein d'une espèce, l'alpha sous-unités de ces quatre hormones sont identiques ; la nette des caractéristiques fonctionnelles de ces hormones sont déterminés par la glycoprotéine unique beta sous-unités. Les deux sous-unités, la lie des hétérodimères non-covalently, sont nécessaires pour l ’ activité biologique complet.
Un groupe de maladies autosomale dominante caractérisée par la survenue des tumeurs impliquant deux ou plusieurs des glandes endocrines qui sécrètent des hormones peptidiques ou vasopressives. Ces neoplasias sont souvent bénin mais peuvent être maligne. Ils sont classés par les glandes endocrines impliqué et le degré d'agressivité. Les deux formes majeures sont MEN1 et MEN2 avec la mutation génétique ou chromosomique sur le chromosome 11 10.
Cellules qui produisent de l ’ hypophyse antérieure thyroid-stimulating HORMONE.
Un gros sécrétée par les gonadotrophines hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Le nom d'Hormone Folliculo- Stimulante stimule Gametogenèse et tels que les cellules de soutien des cellules ovariennes ovarienne, le testicule SERTOLI des cellules de Leydig et des noncovalently. FSH se compose de deux sous-unités liées, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent dans les trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, la LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Une tumeur bénigne habituellement cela découle de la sympathique coffre dans le médiastin. Caractéristiques histologique incluent Spindle la prolifération cellulaire (ressemblant à un neurofibrome) et l 'existence de grandes cellules ganglionnaires. La tumeur peut présenter un syndrome du cliniquement avec Horner ou la diarrhée due à une production de vasoactive peptide intestinale (de DeVita et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, p966) 5
Une augmentation du taux de prolactine dans le sang, éventuellement associée à une aménorrhée et galactorrhée. Relativement fréquentes étiologies incluant prolactinome effet, les médicaments, calculs ÉCHEC granulomateuse, maladies de l'hypophyse GLAND troubles et interférer avec l ’ inhibition de la prolactine libération hypothalamique. Ectopique non-pituitary) (production de prolactine peuvent également survenir. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch36, pp77-8)
Hormones sécrétées par la adenohypophysis (hypophyse GLAND antérieur), qui stimulent les fonctions gonadiques mâles et femelles, y compris HORMONE folliculo-stimulante germe qui stimule la maturation OOGENESIS ; la spermatogenèse (cellule) et lutéinisante reviennent HORMONE qui stimule la production de stéroïdes sexuels ; progestérone ; androgènes (estrogènes).
L'état de accélérée et CROISSANCE excessive chez les enfants et adolescents qui sont exposés à l'excès HUMAN LA CROISSANCE HORMONE avant la clôture des épiphyses. C'est souvent causé par un somatotroph LA CROISSANCE de l'hyperplasie ou un adénome hypophysaire. Ces patients sont anormalement stature, plus de trois écarts-types ìlevìe dire taille pour leur âge.
Deux ou plusieurs excroissance anormale de tissus survenant simultanément et présumé être d'origine. Le néoplasmes peut être histologie pareil ou pas, et peut être consulté dans le même ou sites différents.
Stéréotaxique radiologique technique développée pour couper ou détruire tissu par de hautes doses à la place des incisions chirurgicales. Ca a été développé pour la neurochirurgie sur la structure cérébrale et son utilisation progressivement étendu à radiations extracranial chirurgie sur des trucs. Comme d'habitude rigide ou des sondes de chirurgie stéréotaxique sont remplacés par des poutres de rayonnement ionisant dirigé vers une cible pour atteindre la destruction tissulaire locale.
Hormones pour stimuler les fonctions gonadiques gamétogenèse tels que le sexe et la production d'hormones stéroïdiennes dans l'ovaire et les testicules. Major gonadotrophines sont des glycoprotéines produit essentiellement par les gonadotrophines hypophysaires adenohypophysis (,) et le placenta (gonadotrophine). Chez certaines espèces et de prolactine, de l ’ hypophyse luteotropic hormone Lactogène Placentaire exercent des activités.
Kystes congénital ou acquis du cerveau, dans la moelle épinière, ou méninges qui peuvent rester stable en taille ou changent élargissement progressif.
Cancer de la tumeur ni COLON fini ou la ou les deux. Des facteurs de risque de cancer colorectal incluent rectocolite chronique ; polypose Polyposis Coli ; l ’ exposition à compressée ; et une radiothérapie du col d'une première impression.
Visualisation des ventricules cérébraux radiographiques par injection d ’ air ou autres gaz.
Séquence d'ARN qui servent de modèles pour la synthèse des protéines. Bactérienne sont généralement mRNAs transcriptions en primaire qu'elles ne nécessitent aucun traitement. Eucaryotes Post-Transcriptional mRNA est synthétisés dans le noyau et doit être transplantée dans le cytoplasme pour traduction. La plupart eucaryotes polyadenylic mRNAs ont une séquence de l'acide dans le 3 'fin, dénommés le Poly (A) queue. Le fonctionnement de cette queue n'est pas connu pour certains, mais cela pourrait jouer un rôle dans l'export de mature mRNA du noyau ainsi que pour aider stabiliser des mRNA molécules par retarding leur dégradation dans le cytoplasme.
Un domaine POU facteur qui régule expression de LA CROISSANCE HORMONE ; prolactine ; et THYROTROPIN-BETA dans les tumeurs hypophysaires GLAND antérieur.
Tissu discret des masses qui saillent dans le lumen des COLON. Ces POLYPS sont liés à la paroi du colon soit par une tige, pedunculus, ou par une large base.
Un décapeptide qui stimule la synthèse et la sécrétion des gonadotrophines hypophysaires, HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent. GnRH est produite par les neurones du septum PREOPTIC EURO du HYPOTHALAMUS et libérée dans l'hypophyse portail sang, conduisant à une stimulation de dans les tumeurs hypophysaires GLAND GONADOTROPHS antérieur.
Une cellule synchronise marqueur et de croissance de la tumeur qui peut être facilement détectée par IMMUNOCYTOCHEMISTRY méthodes. La Ki-67 est un cadeau seulement antigène nucléaire dans le noyau des cellules de cyclisme.
Écoulement de liquide céphalo-rachidien par le nez. Fréquent étiologies incluant tumeurs traumatisme, et avant la chirurgie, bien que la maladie peuvent survenir spontanément. (Otolaryngol Head Neck Surg 1997 avril ; 116 (4) : 442-9)
Procédures qui utilisent NEUROENDOSCOPES pour diagnostiquer des maladies et le traitement. Neuroendoscopie, généralement une intégration du neuroendoscope computer-assisted NEURONAVIGATION avec un système, fournit des orientations en NEUROSURGICAL PROCÉDURES.
Une masse de tissu normal du point de vue histologique présent dans une position anormale.
Le principal glucocorticoïde sécrétés par le cortex surrénalien. Son homologue synthétique est utilisé, soit en injection ou par voie locale, dans le traitement de l ’ inflammation, allergies, maladies du collagène, asthme, l ’ insuffisance corticosurrénalienne, l ’ état de choc, et des affections néoplasiques.
Un groupe d'attaque acide principales composantes des protéines sécrétrices endocriniens et NIMÉSULIDE GRANULÉS dans les cellules neuroendocrine. Ils jouent également un rôle important dans l 'agrégation, primaire, Sorting, et le traitement de protéines sécrétrices avant sécrétion. Ils sont fendu pour libérer les peptides biologiquement active. Il existe différents types de granins, généralement classés par leurs sources.
Les médicaments qui lie et active les récepteurs dopaminergiques.
Récepteurs de surface qui lient l'hypophyse des hormones hypothalamique réguler la prolifération cellulaire et hormone de différenciation, la synthèse et la libération, y compris les pituitary-releasing et Release-Inhibiting hormones. L'hypophyse Hormone-Regulating hormones sont aussi diffusé par les cellules autres que des neurones hypothalamique et leurs récepteurs non-pituitary également survenir en de cellules sanguines, en particulier neurones du cerveau, où leur rôle est moins bien compris. Pour les récepteurs dopaminergiques, qui est une hormone prolactine Release-Inhibiting aussi comme un vulgaire neurotransmetteur, ne sont pas incluses ici.
Un examen endoscopique, le traitement ou la chirurgie du Luminal surface du colon.
Néoplasmes bénins dérivés de l ’ épithélium glandulaire. (De Stedman, 25e éditeur)
Un relativement fréquentes Néoplasme du CENTRALE le système nerveux qui naît de cellules arachnoidal. La majorité sont bien différencié tumeurs qui poussent lentement et avoir un faible potentiel d'être intrusif, bien que les sous-types malignes apparaît. Regarde ont une prédilection émerger de la région cérébrale parasagittal convexity, sphenoidal crête, olfactif échoué groove, et de CANAL. (DeVita et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, pp2056-7) 5
D ’ une maladie caractérisée par des mictions fréquentes, l ’ excrétion de grandes quantités de diluer urine et de soif excessive. Diabète insipide néphrogénique étiologies incluant un déficit de sécrétion inappropriée d ’ hormone antidiurétique (aussi connu comme ADH) ou de vasopressine NEUROHYPOPHYSIS sécrété par le rein, altération de la réponse de l'hormone anti-diurétique hypothalamique et atteinte de règlement de soif.
Une série de structurally-related alcaloïdes qui contiennent les piliers structure ergoline.
Une augmentation du nombre de cellules dans un mouchoir ou organe sans tumeur formation. Elle est différente de hypertrophie, qui est une augmentation en gros sans augmentation du nombre de cellules.
Procédures d'appliquer endoscope pour diagnostiquer des maladies et le traitement. Endoscopie implique réussir un instrument d'optique par une petite incision dans la peau soit ; percutanée ou un orifice naturel et voies naturelles du corps telles que le tube digestif ; et / ou par une incision dans le mur d'une structure tubulaire ou organe, c 'est-à-dire translumineux, examiner ou opéré l'intérieur du corps.
Une opération sur une glande endocrine.
Les protéines de surface cellulaire qui lient hypophyse des hormones avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Comme de nombreux hypophyse des hormones sont également publiées par les neurones comme neurotransmetteurs, ces récepteurs sont également retrouvés dans le système nerveux.
Céphalées primaire désordres qui montre des symptômes causés par l'activation du système nerveux autonome du trigeminal culot, ces caractéristiques autonome comprennent rougeur et la déchirure des yeux, congestion nasale ou de déversement, facial SWEATING et autres symptômes. La plupart des sous-groupes montrer douleur crânienne unilatérale.
Une variante du PCR technique où cDNA est faite de l'ARN VIH-1 et VIH-2. Via est alors amplifiée cDNA qui en utilisant un électrocardiogramme standard PCR protocoles.
Un dérivé de l'ergot de seigle, qui agit comme agoniste sur les récepteurs dopaminergiques D2, (agonistes dopaminergiques), il peut également agir en qualité à un antagoniste des récepteurs dopaminergiques D1, et comme un agoniste des récepteurs de sérotonine (SEROTONIN agonistes des récepteurs).
Une forme de nanisme causée par un déficit en HORMONE CROISSANCE partielle ou complète, résultant du manque de LA CROISSANCE du facteur de libération de l ’ HYPOTHALAMUS ou des mutations du gène de l ’ hormone de croissance (GH1) dans l'hypophyse GLAND. C'est connu comme nanisme hypophysaire humaine de type I hypophysial nain est provoquée par le déficit de HUMAN LA CROISSANCE HORMONE au cours du développement.
Peptides, naturelles, ou synthétique, stimulant la libération de hypophyse des hormones. Ils étaient les premiers isolée de l'extrait du HYPOTHALAMUS ; median Eminence, puis-je pituitaire ; et NEUROHYPOPHYSIS. En outre, certaines hormones hypophysaires hypophysiotropic contrôle la différenciation cellulaire, la prolifération cellulaire et la synthèse hormone certaines peuvent agir sur plus d'une hormone hypophysaire.
Substances chimiques avoir un effet réglementaires spécifiques de l'activité d'un certain organe ou organes. Le terme a été appliqué sur différentes substances sécrétées par des glandes endocrines et transportés dans le sang pour les organes cibles, c'est parfois étendue pour inclure ces actifs qui ne sont pas produits par les glandes endocrines mais ayant des effets similaires.
Tumeurs de la partie osseuse du crâne.
Un peptide d ’ environ 41 acides aminés qui stimule la libération de HORMONE corticotrope. Crh est synthétisée par les neurones du noyau para ventriculaire de HYPOTHALAMUS. Après avoir été libéré dans l'hypophyse portail circulation, CRH stimule la libération de ACTH dans l'hypophyse GLAND. Crh peut aussi être synthétisée dans les autres tissus, tels que placenta ; médullosurrénale ; et testicule.
Une protéine 30-kDa synthétisé essentiellement dans les tumeurs hypophysaires GLAND antérieur et le HYPOTHALAMUS. Il est également trouvé dans la peau et d'autres les tissus périphériques. Selon les espèces et les tissus, POMC est fendu par PROHORMONE Convertases contenant divers peptides active incluant ACTH ; BETA-LIPOTROPIN ; endorphines ; MELANOCYTE-STIMULATING hormones ; et autres (GAMMA-LPH ; CORTICOTROPIN-LIKE lobe CONDITIONNEMENT peptide ; N-terminal peptide de POMC ou NPP).
Agents antinéoplasiques qui sont utilisés pour traiter les tumeurs hormone-sensitive. Hormone-sensitive tumeurs peuvent être stimulées par hormono-dépendant, hormono-dépendant, ou les deux. Une tumeur régresse lors du retrait de la stimulation hormonale, par la chirurgie ou pharmacologique stimulées par bloc. Tumeurs peuvent régresser à d'hormones pharmacologique sont administrés que précédente hormone des signes de sensibilité a été observée. Les principales cancers stimulées par incluent des carcinomes du sein, de la prostate, endomètre ; lymphomes et des syndromes myélodysplasiques. (De AMA Drug Évaluations Rapport 1994, p2079)
Tumeurs ni cancer des sinus para-nasales.
Ou inapproprié excessive LACTATION chez les femmes ou chez les hommes, et pas forcément liée à la grossesse non plus. Galactorrhée peuvent survenir de façon unilatérale ou bilatérale ou accidents, et être exhalait sa cause la plus fréquente est une hyperprolactinémie.
Apprentissage visuel limiter un ou plusieurs des fonctions basiques de l'oeil : L ’ acuité visuelle, sombre adaptation, couleur de la vision ou vision périphérique. Ces peut résulter de sang-froid ; optique EYE maladies maladies ; VISUAL voie des maladies ; lobe OCCIPITAL des maladies ; OCULAR motilité DISORDERS ; et autres troubles (De Newell, En ophtalmologie : Principes et Concepts 7ème Ed, p132).
Une famille de G-Protein-Coupled récepteurs qui partagent significative avec d ’ homologie de glucagon. Ils se lient hypophyse Adenylate cyclase général polypeptide avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement des cellules.
L ’ un des processus par lequel cytoplasmique, nucléaire ou Molécule-1 facteurs influencent l 'écart le contrôle de Gene action dans les tissus néoplasiques.
La performance d'interventions chirurgicales avec l'aide d'un microscope.
Cellules de l ’ hypophyse antérieure peuvent produire deux HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
Tumeurs ou les cancers du cortex surrénalien.
Radiotherapie utilisée pour traiter l'hypophyse GLAND.
Une famille de protéine liée au GTP heterotrimeric sous-unités alpha qui activent ADENYLYL CYCLASES.
AT-HOOK MOTIFS contenant des protéines riches en glycine et d ’ arginine résidus. Ils se lient au bosquet de mineurs AT-rich régions d'ADN.
Symptôme complexe en raison de la production par l ’ ACTH non-pituitary néoplasmes.
Le montant total (numéro de portable, poids, taille ou le volume de cellules cancéreuses) ou des tissus dans le corps.
Une condition de anormalement élevé de production HORMONE parathyroïdienne (PTH) ou augmenter déclenchant secondaires CALCIUM. C'est caractérisé par l ’ hypercalcémie et la résorption osseuse, entraînant ainsi des maladies osseuses. D ’ hyperparathyroïdie primaire est causée par une hyperplasie de la parathyroïde ou tumeurs De La Parathyroïde. Une hyperparathyroïdie secondaire augmente la sécrétion de PTH en réponse à des hypocalcémies, habituellement causé par calculs chronique maladies.
Avec une protéine 6-kDa récepteurs à la surface des cellules qui sécrètent HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent, généralement dans les adenohypophysis. De lutéinisante reviennent HORMONE se lie à ces récepteurs est endocytosée avec le récepteur et, dans la cellule, déclenche la libération d'HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent par le portable. Ces récepteurs sont également retrouvés dans le gonades. INHIBINS empêche la liaison de la GnRH à ses récepteurs.
Le compartiment contenant la face antérieure des extrémités et la moitié de la surface inférieure des lobes temporaux (TEMPORAL lobe du cerveau). Mentir postérieur et antérieur fosse crânienne inférieure à la fosse crânienne antérieur (,), il est formé par une partie de la TEMPORAL os et l'os sphénoïde. C'est séparé de la fosse crâniennes postérieures (fosse crânienne, postérieur) par blasons constitué par les frontières du supérieur petrous parties de l'os temporal.
Un peptide well-characterized basique supposés être excrété par le foie et à circuler dans le sang. Il a growth-regulating insulin-like, activités, et que ce facteur de croissance a un énorme, mais pas impossible, la dépendance sur LA CROISSANCE HORMONE considéré que c'est principalement actif chez les adultes par opposition aux crédits insulinomimétique facteur II, qui est un important facteur de croissance fœ tale.
La récurrence d'un local Néoplasme suivant le traitement. Il surgit de l'original des cellules microscopiques de Néoplasme échappées intervention thérapeutique, puis devenir cliniquement visible au site d'origine.
Le symptôme de douleur dans la région crânienne. C'est peut-être un cas isolé bénignes l ’ incidence ou de manifestation sur une large variété de migraine DISORDERS.
Salivaire d'hormones thyroïdiennes de la thyroïde GLAND. Un taux élevé d'hormones thyroïdiennes augmenter BASAL TAUX métabolique.
Un type de chromogranin que c'était avant isolé à partir des cellules Chromaffines du médullosurrénale mais est également observée dans les autres tissus et dans beaucoup d'espèces dont humain, bovin, rat, la souris, et d'autres. C'est une protéine acide avec 431 à 445 acides aminés. Il contient des fragments qui inhibent la vasoconstriction ou la libération d'hormones et de neurotransmetteur, alors que d'autres fragments exercent antimicrobial actions.
Difformités structurelles, des malformations congénitales ou d ’ autres anomalies de la maxillaire et du visage ou ses os faciaux.
Bénignes et malignes des processus néoplasiques arising from or impliquant composantes du Central, périphérique, et les systèmes nerveux autonome, nerfs crâniens, et les méninges. Inclus dans cette catégorie sont métastatique tumeurs primaires et nerveux.
Une condition de l'hyponatrémie et sel rénale overexpansion corps attribuées à perte de fluides résultant de libération prolongée de antidiuretic rénale hormones qui stimule la résorption de l'eau. C'est caractérisé par fonction normale, la fonction urinaire élevé, osmolalité osmolalité sériques basses et dysfonctionnement neurologique. Étiologies incluant tumeurs ADH-producing blessures ou maladies impliquant les HYPOTHALAMUS, l'hypophyse GLAND, et le poumon. Ce syndrome peut également être à cause de produits dopants.
Capacité des néoplasmes pour infiltrer et détruire activement tissus environnants.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Une technique qui localizes spécifique de séquences d'acides nucléiques dans intacte chromosomes, les cellules eucaryotes, ou les cellules bactériennes en utilisant les sondes acid-labeled nucléique spécifique.
Type I Pituitary Adenylate Cyclase-Activating Polypeptide Receptors (PAC1R) are G protein-coupled receptors that bind and respond to the neuropeptide PACAP, leading to activation of adenylate cyclase and downstream signaling pathways.
Protéines et peptides intervenant dans la transduction des signal inclus dans la cellule, voici peptides et de protéines transcription qui régulent l ’ activité de cellulaires FACTEURS et processus en réponse aux signaux de transmission intracellulaires. Cellule surface récepteurs peptide et de protéines peuvent faire partie d'une cascade ou jouer les signaux enzymatique à la liaison aux modifier l'action et d'autres signaux facteurs.
Protéines dont l'expression anormale (un gain ou perte) sont liés à l 'évolution, la croissance, ou la progression de tumeurs. Des Néoplasme protéines sont tumeur antigènes (antigènes, des androgènes), c' est-à-dire qu 'elles induire une réaction immunitaire de leur tumeur Néoplasme. Beaucoup de protéines caractérisé et sont utilisées comme marqueurs tumoraux (Biomarkers, tumeur) quand ils sont détectables dans les cellules et les fluides corporels comme observateurs pour la présence ou de croissance anormale des tumeurs. Expression des oncogènes transformation néoplasique PROTEINS est impliqué, alors que la perte d'expression suppresseur de tumeur PROTEINS est impliqué avec la perte de la croissance contrôlée et la progression de la tumeur.
Une tumeur Néoplasme composé de cellules épithéliales élogieux pour infiltrer les tissus environnants et donner lieu à des métastases. C'est un type histologique de Néoplasme mais est souvent utilisé à tort comme synonyme de "cancer". (De Dorland, 27 e)
Un cyclin-dependent kinase qui coordonne l'activation des CYCLIN et CYCLIN-DEPENDENT kinases pendant la cellule moto. Il interagit avec actif CYCLIN D complexed à CYCLIN-DEPENDENT kinase 4 prolifératives, tandis qu'il se lie arrêté cellules et inhibe CYCLIN E complexed à CYCLIN-DEPENDENT kinase 2.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
Le lobe intermédiaire de l'hypophyse. Ça montre une considérable taille variation parmi les espèces, petite chez l'homme, et grandes et plus faibles sur les amphibiens vertébrés. Ce lobe MELANOCYTE-STIMULATING produit principalement des hormones et autres peptides de post-translational processing of pro-opiomelanocortin (POMC).
La principale hormone dérivés de la glande thyroïde. Thyroxine est synthétisé par le iodination de tyrosines (MONOIODOTYROSINE) et l'accouplement entre iodotyrosines (DIIODOTYROSINE) dans le thyro Globuline thyroxine est libérée de thyroglobuline par la protéolyse et sécrétée dans le sang. Thyroxine est accessoirement deiodinated pour former triiodothyronine qui exerce un large éventail d 'effet stimulant du métabolisme.
La sous-unité bêta de l ’ hormone folliculostimulante. C'est un 15-kDa glycopolypeptide. Pleine activité biologique de FSH requiert la lie des hétérodimères non-covalently dominant, et une sous-unité bêta. Mutation du gène FSHB causes retard de puberté, ou l'infertilité.
Un syndrome Polyposis autosomale dominante due à une mutation du gène APC (gènes Apc) sur le chromosome 5. Le syndrome est caractérisé par le développement de centaines de POLYPS adénomateux chez les individus de COLON et fini par l'adolescence.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Troubles de un ou plusieurs des nerfs crâniens douze à l'exception du optique et nerfs olfactifs, y compris troubles noyaux du tronc cérébral à partir de laquelle les nerfs crâniens originate ou en finir.
La structure x-shaped formé par la réunion des deux nerfs optiques. Au chiasma optique les fibres de la partie centrale de chaque rétine croix de projeter de l'autre côté du cerveau pendant que les fibres rétinienne latérale continuer sur le même côté. En conséquence chaque moitié du cerveau reçoit des informations sur le champ visuel controlatérale des deux yeux.
Un trouble héréditaire ou acquis polyuric provoquée par le déficit de VASOPRESSINS sécrétés par les NEUROHYPOPHYSIS. Des signes cliniques inclure l ’ excrétion de volumes importants, de diluer urine ; hypernatrémie ; soif ; et polydipsie. Étiologies incluant traumatisme tête ; opérations et de maladies impliquant les HYPOTHALAMUS et la glande pituitaire GLAND. Ce trouble peuvent également être provoqués par des mutations de gènes comme ARVP codants vasopressine et sa correspondante neurophysin (NEUROPHYSINS).
La sous-unité bêta de l ’ hormone lutéinisante. C'est un 15-kDa glycopolypeptide avec une structure similaire à la sous-unité bêta de la barrière placentaire chorionic gonadatropin (gonadotrophine, sous-unité BETA, HUMAN) sauf pour les autres 31 acides aminés au propeptide C-terminal de CG-beta. Pleine nécessite l ’ activité biologique de LH non-covalently lié des hétérodimères dominant, et une sous-unité bêta. Mutation du gène LHB causes hypogonadotrope avec l'infertilité.
Infection des glandes endocrines avec espèces de Mycobacterium, le plus souvent de Mycobacterium tuberculosis.
Aucun détectable et héréditaire altération de la lignée de cellules, mutations dans ces cellules (c 'est-à-dire, "" les cellules génératif au ancestrale gamètes) sont transmis à progéniture et ceux de cellules somatiques ne sont pas.
Immunologic réglementaire, fondé sur l ’ utilisation de : (1) enzyme-antibody glucuronates conjugués enzyme-antigen ; (2) ; (3) antienzyme anticorps suivies de nos homologues enzyme ; ou (4) enzyme-antienzyme complexes. Ils sont utilisés pour visualiser histologie ou étiquetage échantillons de tissus.
Un INK4 cyclin-dependent kinase contenant 5 ANKYRIN-LIKE répète. Aberrants expression de cette protéine a été associée à la croissance cellule épithéliales dérégulé, dilatation des organes, et diverses tumeurs.
Perte de vision, partielle ou complète à la moitié du champ visuel (s) de l ’ un ou des deux yeux. Sous-types inclure altitudinal hémianopsie, caractérisée par une anomalie visuelle le méridien horizontal au-dessus ou au-dessous du champ visuel. Homonymous hémianopsie fait référence à un défaut visuels qui affecte les deux yeux de même, et se produit plus à gauche ou droite de la ligne médiane du champ visuel. Binasal hémianopsie consiste en une perte de la vision dans le nez des deux yeux. Hemifields Bitemporal hémianopsie est la perte de vision bilatéraux dans le temporal champs. Quadrantanopsia fait référence à perte de vision d'un quart du champ visuel dans un ou deux yeux.
Étude de distribution de produits chimiques, intracellulaire réaction sites, enzymes, etc., au moyen de les tacher indésirables, isotope radioactif captage sélectif électron distribution dans l ’ examen microscopique de métal, ou d ’ autres méthodes.
Aire partie du diencéphale s'étendent de la région du chiasma optique de la frontière caudal du corps mamillaire inférieur et latérales et formant la paroi du troisième VENTRICLE.
Un spécialisée en chirurgie concerné par le traitement de maladies et troubles du cerveau, moelle épinière et périphérique et du système nerveux sympathique.
Réduction moléculaire et sécrétés par les tissus néoplasiques et caractérisé biochimiquement dans les cellules ou les fluides corporels. Ils sont des indicateurs de tumeur scène et de grade aussi aussi utile pour contrôler les réponses au traitement et de prévoir la récurrence. De nombreux groupes chimiques sont représentés incluant hormones, Antigens, acides et les acides nucléiques, enzymes, Polyamines membrane cellulaire, et des lipides et protéines.
Conditions dans lesquelles la production de corticostéroïdes surrénale descend sous les besoins du corps. Insuffisance surrénalienne peuvent être dues à des anomalies dans les glandes surrénales, l'hypophyse GLAND, ou le HYPOTHALAMUS.
Une tumeur composé de Spindle des cellules avec une riche réseau vasculaire, qui apparemment n'apparait de pericytes, cellules du muscle lisse origine ce mensonge autour de petits vaisseaux. Bénignes et malignes hemangiopericytomas existe, et la rareté de ces lésions a conduit à beaucoup de confusion en distinguant les variantes bénignes et malignes. (De Dorland, 27 e ; DeVita Jr et al., Cancer : Principes & Practice en cancérologie, Ed, 3D p1364)
Toute opération sur le crâne ou incision dans le crâne. Dorland, 28 (éditeur)
Une masse well-circumscribed composé de tissus granulomateux tuberculeuse qui peuvent survenir dans le cerveau, cervelet, tronc cérébral, ou des lésions multiples espaces. Perimeningeal sont très courants. Traitement des manifestations varier en fonction de lésion intracrânienne site tuberculomas intracrânienne peut être associé à d'épilepsie, et déficits neurologiques focaux. Moelle épinière tuberculomas HYPERTENSION intracrânienne peut être associé à ou localisée - Douleur radiculaire, faiblesse, perte de la sensibilité, et incontinence. Tuberculomas INFECTIONS peut apparaître comme opportuniste, mais également survenir chez les sujets immunocompétents.
Processus pathologiques des glandes endocrines et les maladies résultant du niveau anormal de disponible avait des hormones.
Substances chimiques qui inhibent le fonctionnement des glandes endocrines, la biosynthèse de leur sécrétés hormones ou l ’ action d ’ hormones sur leurs cellules spécifiques.
Études dans lesquelles les individus ou populations sont suivis pour évaluer l'issue des expositions, procédures ou d'une caractéristique, par exemple, la survenue de maladie.
Une collection de neurones, étendues de sang-froid endocriniens fibres, tissus, et vaisseaux sanguins et la glande pituitaire GLAND HYPOTHALAMUS. Cette hypothalamo-hypophyseal portail circulation fournit le mécanisme pour hypothalamique hypothalamique Neuroendocrine (hormones) de la fonction hypophysaire et la libération de divers hypophyse des hormones dans la circulation systémique pour maintenir le homéostasie.
L ’ hypophyse antérieure cellules qui produisent la prolactine.
La perte d'un allèle locus, à une mutation causée par un effacement ; ou perte d ’ un chromosome à partir de paire, entraînant un chromosome anormal détecté quand HEMIZYGOSITY. C'est pour un locus marqueurs hétérozygote apparaissent monomorphic parce qu'un de ses allèles avait été supprimé.
Cellules grandi in vitro de tissus néoplasiques. S'ils peuvent être créée sous la tumeur cellule ligne, ils peuvent être cultivé sur cellule culture indéfiniment.
Absence de menstruations.
Hormones libérés de la pituitaire postérieur GLAND neurohypophysis (,). Ils comportent un certain nombre de peptides qui sont formés dans les neurones, attachée à HYPOTHALAMUS NEUROPHYSINS, et stocké dans le nerveuses fonctionnelles dans le postérieur pituitaire. Sur la stimulation, ces peptides se répandent dans les hypophysial portail vaisseau du sang.
La manifestation d'un phénotypique gène ou les gènes par les processus de GENETIC transcription et GENETIC anglaise.
Une croissance lente, Néoplasme composé d'îles, arrondi Oxyphilic, ou cellules spindle-shaped de taille moyenne, avec des noyaux vésiculaire relativement faible et couverte de muqueuse intacte jaunes avec surface lésée. La tumeur peut survenir n'importe où dans le tractus gastro-intestinal (et dans les poumons et autres sites) ; environ 90 % surviennent dans l'appendice. C'est maintenant établi que ces tumeurs sont d'origine neuroendocrine primitif... et tirer d'une cellule souche. (De Stedman, 25e Ed & Holland et al., Cancer Medicine, 3d Ed, p1182)
Le co-occurrence de grossesse et tumeurs. La maladie ou suivre néoplasique peut précéder la fertilisation.
Une tumeur bénigne habituellement glandulaire oxyphil composé de grandes cellules, avec des petits noyaux irrégulier et dense acidophilic granules due à la présence d'abondantes les mitochondries. Oxyphil cellules, alias oncocytes, sont présentés dans oncocytomas du rein, les glandes salivaires, et des glandes endocrines. Dans la glande thyroïde, oxyphil cellules sont Hurthle des cellules et Askanazy cellules.
Gène suppresseur de tumeur située sur chromosomes humains 13 dans la région 13q14 et de codage pour une famille de phosphoproteins avec des poids moléculaires allant de 104 kDa à 115 kDa. Une copie du virus sauvage de RB Gene est nécessaire pour le développement rétinien normal. Perte ou inactivation des deux allèles communs sur ce lieu entraîne un rétinoblastome.
Tumeurs ou un cancer des glandes surrénales.
Bénignes et malignes des processus néoplasiques qui résultent ou méningée secondairement impliquer l'enveloppe du cerveau et de la moelle épinière.
Dysplasie DE os fibreux affectant plusieurs os. Quand Melanotic pigmentation (CAFE-AU-LAIT) et à un repère Hyperfunction endocriniens associés sont en outre il est considéré comme Albright syndrome.
Gène suppresseur de tumeur située dans la région 5q21 sur le long bras de chromosomes humains 5. La mutation de ces gènes est associé à polypose adénomateuse familiale (Adenomatous Polyposis Coli) et syndrome du GARDNER, ainsi que des cancers colorectaux sporadiques.
Peptides libérée par les neurones comme Molécule-1 messagers. Beaucoup de neuropeptides sont également hormones non-neuronal libérée par les cellules.
G-Protein-Coupled une sous-famille de récepteurs qui lient le neurotransmetteur dopamine et de moduler ses effets. D2-class gènes contiennent des récepteurs INTRONS, et les récepteurs inhiber ADENYLYL CYCLASES.
L'échantillonnement de concentrations sanguines de l ’ hormone adrénocorticotrope (ACTH) de l ’ arrêt de sang du inférieur sinus pétreux. Le sinus pétreux inférieur explique par le sinus caverneux et cours à la jugulaire interne. Échantillon de sang à ce niveau est un outil précieux dans le diagnostic différentiel de la maladie de Cushing, syndrome de Cushing, et autres maladies surrénale.
ARN présent dans les tissus néoplasiques.
Test quantitative classique pour la détection de réactions antigen-antibody utilisant une substance (radiomarqué radioligand) soit directement ou indirectement à mesurer la liaison de la substance non marqué pour un anticorps spécifiques ou autres récepteurs. Non-immunogenic substances (ex : Haptens) peut être mesuré si lié à plus grand porte-avions protéines bovines (par exemple, l ’ albumine humaine sérique) gamma-globulin ou capable d'induire la formation d'anticorps.
Tumeurs ou un cancer des intestins.
La 2e partie des fonctions respiratoires passages de chaque côté du le septum. Cavités nasales qui s'étendent sur les narines pour le nasopharynx, sont couvertes de ciliated le muqueuse.
Tumeurs des composantes intracrânienne du système nerveux central, y compris le cerveau en ganglion basal, de l'hypothalamus, thalamus, tronc cérébral et le cervelet. Cerveau néoplasmes sont subdivisées en provenant du tissu cérébral (primaires et secondaires, métastatique) (c 'est-à-dire formes primaires sont subdivisées en tumeurs bénignes et malignes formes. En général, les tumeurs cérébrales peut également être classé par précoce, type histologique, ou présentant emplacement dans le cerveau.
Tumeurs ou un cancer des glandes salivaires.
Cancer de la tumeur ni COLON.
Des protéines qui bloquent la dopamine à haute affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules.
Études qui commence avec l'identification des personnes avec une maladie d'intérêt et un contrôle (comparaison, référent) groupe sans la maladie. La relation entre l'attribut de la maladie est examiné en comparant malades et non-diseased personnes en ce qui concerne la fréquence ou de l 'attribut dans chaque groupe.
Le 17-beta-isomer d ’ estradiol, une aromatized C18 stéroïde avec groupe hydroxyle à 3-beta- et 17-beta-position. Estradiol-17-beta est la plus jouissive ostrogéniques forme des stéroïdes.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
La période après une opération chirurgicale.
Du récepteur du facteur de nécrose tumorale sécrétés un membre de la famille qui a spécificité ligand FAS et tumeur (un ligand du facteur de nécrose Superfamily ÉTATS 14. Il joue un rôle dans une modulation facteur de nécrose tumorale gène.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Tumeurs du cerveau et de la moelle épinière dérivée de cellules gliales qui varier d'histologiquement bénins hautement astrocytome et formes de tumeurs malignes. Fibrillary astrocytomas sont les plus fréquemment rapportées et peuvent être classées par ordre de malignité (augmentation notes j'par IV). Dans les deux premières années de vie, astrocytomas ont tendance à originate dans les hémisphères cérébelleux ; chez les adultes, ils surviennent plus fréquemment et fréquemment dans le cerveau subit cancer. (De Devita et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, 5e pp2013-7 ; Holland et al., Cancer Medicine, 3d Ed, p1082)
Une expression du nombre de mitoses trouvé dans un mentionnée nombre de cellules.
Une tumeur qui surgit des cellules de Schwann du crâne périphérique, et nerfs. Cliniquement, ces tumeurs peuvent présentons comme une neuropathie crânienne, masse abdominale ou des tissus mous, lésion cérébrale, ou avec de compression du bulbe rachidien histologie, ces tumeurs sont hautement encapsulées, vasculaire, composée d'un modèle de cellules fusiform-shaped biphasique homogène, pouvant avoir une apparence palisaded. (De DeVita Jr et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, pp964-5) 5
Neuropeptides d'environ 40 acides aminés libres qui est similaire à celle des facteur Corticotropin-Releasing. Contrairement à IRC agissant essentiellement par la darbepoetin alfa à des récepteurs de type 1, signal urocortins préférentiellement par les récepteurs de type 2 IRC. Urocortins ont large distribution tissulaire de poisson et de mammifères, et diverses fonctions... dans des mammifères, urocortins peut supprimer la prise alimentaire ralentit la vidange gastrique et une diminution heat-induced oedème.
Un acheteur acquiert spontanée ou diminution de la maladie au cours du temps, sans traitement.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
L'excision de une ou deux glandes adrénales. De Dorland, 28 (éditeur)
Tumeurs ou un cancer de la parotide GLAND.
Vestige d'une tumeur ou cancer après primaires, potentiellement curatif. (Le Dr Daniel Masys, la communication écrite)
Une crise généralisée trouble caractérisé par récurrentes major moteur crises. La première brève phase tonique est marquée par coffre suivie extension diffus flexion du tronc et les extrémités. La phase clonique caractéristiques fléchisseur rythmique contractions du coffre et les membres, dilatation des pupilles, les élévations des pouls et pression sanguine, une incontinence urinaire, et de la langue mordre. Ceci est suivi par un profond état de dépression de conscience (choqué état) qui sont progressivement s 'améliore progressivement de minutes pour le trouble peuvent être cryptogenic, familiales, ou un traitement symptomatique (provoquée par une identifié processus pathologique). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p329)
La détermination du modèle de gènes exprimées au niveau de transcription GENETIC, dans des circonstances particulières ou sa propre cellule.
Peptides avec la capacité à stimuler les cellules des mammifères et les mélanocytes pigmenté MELANOPHORES dans le Lower vertébrés. On stimule la synthèse et la distribution de mélanine dans ces cellules pigmenté, ils augmentent teinte de peau et d'autres tissus. MSHs issu pro-opiomelanocortin (POMC), sont produits par MELANOTROPHS dans le lobe CONDITIONNEMENT DE hypophyse ; CORTICOTROPHS dans le lobe antérieur DE hypophyse et le thermostat hypothalamique arcuate neurones dans le noyau DE HYPOTHALAMUS.

Un adénome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans les glandes. Il peut se former dans divers endroits du corps où il y a des glandes, mais ils sont le plus souvent trouvés dans la prostate, les glandes surrénales et les glandes hypophysaires. Les adénomes sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent causer des problèmes de santé en comprimant les tissus voisins ou en interférant avec leur fonction normale.

Les adénomes peuvent ne pas provoquer de symptômes, surtout s'ils sont petits. Cependant, selon l'emplacement et la taille de la tumeur, des symptômes peuvent apparaître. Par exemple, un adénome de la prostate peut causer des problèmes de miction, tandis qu'un adénome de la glande pituitaire peut entraîner une production excessive d'hormones ou une vision floue.

Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la tumeur est simplement surveillée. Dans d'autres cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peut être recommandée pour enlever la tumeur ou réduire sa taille.

Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.

Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.

Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :

* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.

Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.

L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).

L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).

La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.

Un prolactinome est un type rare de tumeur bénigne de l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs hormones importantes. Cette tumeur provoque une sécrétion excessive de prolactine, une hormone qui stimule la production de lait maternel. Les symptômes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une érection réduite ou un dysfonctionnement érectile chez les hommes, et dans certains cas, une production inappropriée de lait maternel (galactorrhée) chez les deux sexes. Les prolactinomes peuvent également causer des symptômes visuels si elles grossissent suffisamment pour exercer une pression sur le nerf optique. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'un examen sanguin pour mesurer les niveaux de prolactine et d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) pour confirmer la présence et localiser la tumeur. Le traitement dépend de la taille de la tumeur et des symptômes, mais peut inclure des médicaments pour abaisser les niveaux de prolactine ou une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur.

Un adénome chromophobe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les cellules des glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes pour le fonctionnement normal du corps.

Les adénomes chromophobes se caractérisent par des cellules anormales qui ont une apparence particulière lorsqu'elles sont observées au microscope. Ces cellules ont souvent un noyau agrandi et une quantité accrue de matériel génétique (ADN). Les adénomes chromophobes peuvent être asymptomatiques ou provoquer des symptômes tels que des douleurs abdominales, une hypertension artérielle ou une production excessive d'hormones.

Bien que la plupart des adénomes chromophobes soient bénins, certains peuvent devenir cancéreux et se propager à d'autres parties du corps. Dans ces cas, ils sont appelés carcinomes chromophobes. Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de la présence ou non de symptômes. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

L'adénohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire antérieure, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle produit et sécrète plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus corporels. Ces hormones comprennent :

1. Hormone de croissance (GH): stimule la croissance et le métabolisme des protéines dans les tissus corporels.
2. Prolactine (PRL): stimule la production de lait chez les femmes allaitantes.
3. Thyrotropin (TSH): régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.
4. Adrénocorticotrope (ACTH): stimule la libération d'hormones stéroïdes par les glandes surrénales.
5. Folliculo-stimulante (FSH): régule la fonction des organes reproducteurs en stimulant la croissance des follicules ovariens et la production de spermatozoïdes.
6. Luteinizing (LH): stimule la maturation des ovules et la libération d'œstrogènes et de progestérone dans les ovaires, ainsi que la production de testostérone dans les testicules.
7. Endorphines: jouent un rôle dans la régulation de l'humeur et de la douleur.
8. Ocytocine: stimule l'accouchement et la lactation.
9. Vasopressine (ADH): régule l'équilibre hydrique et la pression artérielle en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.

L'adénohypophyse est régulée par l'hypothalamus, qui libère des facteurs de libération et d'inhibition pour contrôler la production et la sécrétion d'hormones par l'adénohypophyse.

L'apoplexie hypophysaire, également connue sous le nom de «syndrome de Sheehan», est une complication rare mais grave d'un accouchement traumatique ou d'une hémorragie post-partum sévère chez les femmes. Ce syndrome est caractérisé par un arrêt soudain de la circulation sanguine dans l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau, ce qui entraîne des dommages tissulaires et une défaillance hormonale.

Les symptômes peuvent inclure une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une perte de poids, une intolérance au froid, une pression artérielle basse, des nausées, des vomissements, une sécheresse de la peau et des muqueuses, une constipation, une perte de cheveux, une diminution de la libido, des irrégularités menstruelles et une dépression. Dans les cas graves, il peut y avoir une confusion mentale, une perte de conscience ou même un coma.

Le diagnostic repose sur l'anamnèse, les antécédents médicaux, les symptômes cliniques et les tests de laboratoire pour évaluer le fonctionnement de la glande pituitaire. Le traitement consiste généralement en un remplacement hormonal substitutif à long terme pour compenser la défaillance hormonale. Une prise en charge précoce et agressive peut améliorer considérablement le pronostic et la qualité de vie des patientes atteintes d'apoplexie hypophysaire.

L'os sphénoïde est un os impair et complexe situé dans la base du crâne, entre les deux orbites. Il joue un rôle important dans la formation des fosses crâniennes moyenne et postérieure, ainsi que dans la constitution de la base du crâne antérieure.

L'os sphénoïde se compose de plusieurs parties, dont le corps, les deux grandes ailes, deux petites ailes, deux processus ptérygoïdes, et deux apophyses mastoïdes. Le corps de l'os sphénoïde contient la selle turcique, une dépression qui abrite le hypophyse. Les grandes ailes forment les parois latérales des fosses crâniennes moyennes et participent à la formation du toit de l'orbite. Les petites ailes se trouvent en arrière des grandes ailes et contribuent à former la partie antérieure de la fosse crânienne postérieure.

Les processus ptérygoïdes sont des prolongements latéraux qui s'articulent avec les os voisins, tels que l'os temporal et l'os palatin. Enfin, les apophyses mastoïdes sont de petites projections osseuses situées à l'arrière des processus ptérygoïdes, qui servent d'attache aux muscles sterno-cléido-mastoïdiens.

L'os sphénoïde est impliqué dans plusieurs fonctions importantes, notamment la protection des structures nerveuses et vasculaires du cerveau, la formation de cavités pour les organes sensoriels (comme l'oreille moyenne), et la participation à la mastication grâce aux articulations qu'il forme avec les os maxillaire et mandibulaire.

Les hormones hypophysaires sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. L'hypophyse est divisée en deux parties : le lobe antérieur (ou adénohypophyse) et le lobe postérieur (ou neurohypophyse). Chaque partie de l'hypophyse produit et sécrète des types spécifiques d'hormones.

Les hormones hypophysaires les plus importantes comprennent :

1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) - stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des graisses et des glucides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) - stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) - stimule la corticale surrénale pour produire et sécréter des hormones stéroïdes telles que le cortisol et les androgènes.
4. Prolactine (PRL) - stimule la production de lait dans les glandes mammaires pendant la grossesse et l'allaitement.
5. Folliculo-stimulante (FSH) et luteinisante (LH) - régulent la fonction des organes reproducteurs chez les hommes et les femmes. Chez les femmes, la FSH stimule la croissance des follicules ovariens et la production d'estradiol, tandis que la LH déclenche l'ovulation et la production de progestérone. Chez les hommes, la FSH stimule la spermatogenèse dans les testicules, et la LH stimule la production de testostérone.
6. Hormone melanotrope (MSH) - régule la pigmentation de la peau et des cheveux en influençant la production de mélanine.
7. Endorphines et enképhalines - sont des neuropeptides qui agissent comme analgésiques naturels et modulent l'humeur et le comportement alimentaire.
8. Oxytocine - stimule l'accouchement et la lactation, et joue un rôle dans les liens sociaux et affectifs.
9. Vasopressine (ADH) - régule la pression artérielle et le volume sanguin en influençant la rétention d'eau par les reins.

L'acromégalie est une maladie hormonale rare caractérisée par une production excessive d'hormone de croissance (GH) et d'insuline-like growth factor 1 (IGF-1) après la fermeture des plaques de croissance osseuse. Cela signifie généralement que les personnes atteintes d'acromégalie ont développé la maladie à l'âge adulte.

La cause sous-jacente est généralement un adénome hypophysaire, une tumeur bénigne de la glande pituitaire qui sécrète inappropriément de grandes quantités d'hormone de croissance. Les symptômes peuvent inclure un élargissement des os du visage, des mains et des pieds, une hypertrophie des organes internes, une voix plus profonde, une transpiration excessive, une fatigue, des douleurs articulaires et une sensibilité aux maladies cardiovasculaires.

Le diagnostic est posé sur la base de tests sanguins qui montrent des niveaux élevés de GH et d'IGF-1, ainsi que parfois l'imagerie médicale pour localiser une tumeur hypophysaire. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, des radiations pour réduire sa taille et/ou des médicaments pour contrôler la production de GH.

Il est important de diagnostiquer et de traiter l'acromégalie car elle peut entraîner des complications graves telles que des problèmes cardiovasculaires, respiratoires et métaboliques, ainsi qu'une réduction de l'espérance de vie.

Les maladies de l'hypophyse sont des affections qui affectent la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La glande pituitaire est responsable de la production et de la sécrétion de plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus dans le corps, tels que la croissance, le métabolisme, la reproduction et la réponse au stress.

Les maladies de l'hypophyse peuvent être classées en deux catégories principales : les troubles de la sécrétion hormonale et les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire.

Les troubles de la sécrétion hormonale peuvent entraîner une production excessive ou insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, un excès d'hormone de croissance peut entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation anormale de la taille des os du visage et des extrémités. À l'inverse, une insuffisance de l'hormone de croissance peut entraîner une petite taille et un retard de développement chez les enfants.

Les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire peuvent être causés par des tumeurs bénignes ou malignes, des traumatismes crâniens, des infections ou des malformations congénitales. Ces troubles peuvent comprimer la glande pituitaire et perturber sa fonction, entraînant une variété de symptômes, tels que des maux de tête, des troubles visuels, des irrégularités menstruelles et une fatigue extrême.

Le traitement des maladies de l'hypophyse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse. Il est important de consulter un médecin spécialiste de l'hypophyse pour établir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

La selle turcique, également connue sous le nom de fosse cranielle postérieure, est une structure anatomique importante située dans la base du crâne. Elle est formée par un ensemble d'os, y compris l'os occipital, les parties petites et grandes des os temporaux, et le clivus de l'os sphénoïde.

La selle turcique abrite la glande pituitaire, qui est une glande endocrine majeure responsable de la sécrétion d'hormones importantes telles que l'hormone de croissance, l'hormone thyroïdienne, l'hormone adrénocorticotrope, la prolactine, et les hormones gonadotropes.

La selle turcique a une forme concave qui ressemble à une selle, d'où son nom. Elle est située en avant de la protubérance occipitale interne et en dessous du splénium du corps calleux. La selle turcique est un site important pour le diagnostic et le suivi des maladies de la glande pituitaire, telles que les adénomes hypophysaires, qui peuvent entraîner une hypertrophie de la selle turcique et une compression de la glande pituitaire.

L'hypersécrétion hypophysaire d'ACTH, également connue sous le nom de maladie de Cushing, est un trouble endocrinien dans lequel l'hypophyse sécrète excessivement l'hormone adrénocorticotrope (ACTH). Cette hormone stimule les glandes surrénales à produire excessivement des corticostéroïdes, en particulier le cortisol.

Les symptômes courants de cette maladie comprennent l'obésité du haut du corps, la fragilité cutanée, l'hypertension artérielle, le diabète sucré, les troubles de l'humeur et du sommeil, l'ostéoporose et l'aménorrhée chez les femmes.

L'hypersécrétion hypophysaire d'ACTH peut être causée par un adénome hypophysaire, une tumeur bénigne de l'hypophyse, ou par une tumeur située à distance qui sécrète de l'ACTH (tumeur ectopique). Le diagnostic est établi par des tests hormonaux et d'imagerie médicale.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, des radiations ou des médicaments pour contrôler la production excessive d'ACTH et de cortisol.

La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.

Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.

Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.

L'hormone corticotrope, également connue sous le nom d'hormone adrénocorticotrope (ACTH), est une hormone peptidique sécrétée par l'antéhypophyse, précisément par la partie médiane du lobe antérieur ou par les cellules corticotropes. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des glandes surrénales et de la réponse au stress dans le corps humain.

L'ACTH stimule la synthèse et la libération des hormones corticosurrénaliennes, principalement le cortisol, mais aussi d'autres glucocorticoïdes et androgènes, à partir de la couche externe ou cortex des glandes surrénales. Le cortisol est une hormone stéroïde qui intervient dans un large éventail de processus physiologiques, notamment le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, la régulation de la pression artérielle, la réponse immunitaire et l'homéostasie.

La sécrétion d'ACTH est contrôlée par le système de rétroaction négative de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Lorsque les taux de cortisol dans la circulation sanguine sont bas, le corticotropin-releasing hormone (CRH) est sécrété par l'hypothalamus, ce qui entraîne la libération d'ACTH par l'antéhypophyse. Le cortisol résultant exerce ensuite un effet négatif sur la production de CRH et d'ACTH, rétablissant ainsi l'homéostasie des hormones corticosurrénaliennes.

Des déséquilibres dans la sécrétion d'ACTH peuvent entraîner diverses affections, telles que le syndrome de Cushing (trop de cortisol) ou l'insuffisance surrénalienne (pas assez de cortisol). Par conséquent, une compréhension approfondie du rôle et de la régulation de l'ACTH est essentielle pour diagnostiquer et traiter ces conditions.

Le sinus sphénoïdal est un air sinusal pair, situé dans la partie centrale et postérieure de la base du crâne. Il est logé dans l'os sphénoïde et entouré par plusieurs structures importantes telles que les orbites, les fosses nasales, le crâne et la dure-mère.

Le sinus sphénoïdal communique généralement avec les autres sinus de la cavité nasale par l'intermédiaire de petits orifices situés dans la partie inférieure de sa paroi médiale, appelée ostium sphénoidale. Cependant, il est relativement isolé des autres sinus et a tendance à être plus petit en taille.

Comme les autres sinus paranasaux, le sinus sphénoïdal produit du mucus qui s'écoule dans la cavité nasale par l'intermédiaire de son ostium. Il est tapissé d'un épithélium respiratoire pseudo-stratifié cilié, qui aide à piéger et éliminer les particules et les agents pathogènes inspirés.

Des problèmes tels que l'inflammation, l'infection ou la sinusite peuvent survenir lorsque le drainage du sinus sphénoïdal est obstrué, entraînant une accumulation de mucus et de pression dans le sinus. Ces conditions peuvent provoquer des symptômes tels que des maux de tête, des douleurs faciales, une congestion nasale, une vision trouble et une sensibilité au toucher autour du nez et des yeux.

La somatotropine, également connue sous le nom d'hormone de croissance humaine (HGH), est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse dans le cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de la croissance et du développement corporels, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.

L'hormone de croissance humaine stimule la production d'autres hormones, comme l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), dans le foie et d'autres tissus. Ces hormones médiatisent les effets de l'HGH sur la croissance des os longs, la masse musculaire, le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides, et d'autres processus physiologiques.

Dans la vie post-pubertaire, l'hormone de croissance humaine continue à réguler le métabolisme et a des effets sur la composition corporelle, la force musculaire, la densité osseuse et la fonction cognitive. Les niveaux d'HGH diminuent avec l'âge, ce qui peut contribuer au déclin de certaines fonctions physiologiques associées au vieillissement.

L'hormone de croissance humaine est disponible sous forme de médicament thérapeutique pour traiter certains troubles de croissance et déficits en hormones chez les enfants et les adultes, tels que le nanisme hypopituitaire et le déficit en hormone de croissance adulte. Cependant, l'utilisation abusive de l'hormone de croissance humaine à des fins non médicales, telles que l'amélioration des performances sportives ou esthétique, est interdite et peut entraîner des effets indésirables graves.

L'hormone de croissance, également connue sous le nom de somatotropine, est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse (une glande endocrine située à la base du cerveau). Elle joue un rôle crucial dans la croissance et le développement des organismes vivants, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.

L'hormone de croissance stimule la production d'autres hormones et protéines importantes, telles que l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), qui favorisent la croissance des tissus corporels, y compris les os, les muscles et les organes internes. Elle régule également le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines, influençant ainsi l'utilisation de l'énergie par l'organisme.

Un déficit en hormone de croissance peut entraîner un retard de croissance et un développement insuffisant chez les enfants, tandis qu'un excès d'hormone de croissance peut provoquer une croissance excessive (acromégalie) chez les adultes. Des niveaux anormaux d'hormone de croissance peuvent également être associés à d'autres problèmes de santé, tels que le diabète, l'obésité et certaines maladies cardiovasculaires.

Un adénome pléomorphe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes salivaires des régions parotide, submandibulaire et sous-maxillaire de la tête et du cou. Il s'agit d'une tumeur mixte, ce qui signifie qu'elle contient plusieurs types de cellules différents, y compris des cellules épithéliales et des cellules myoépithéliales.

Les adénomes pléomorphes sont généralement indolents et se développent lentement au fil du temps. Ils peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Les symptômes courants associés à un adénome pléomorphe comprennent une masse ou un gonflement dans la région de la joue, du cou ou de la mâchoire, ainsi que des douleurs, des engourdissements ou des picotements faciaux.

Le diagnostic d'un adénome pléomorphe est généralement posé après une biopsie et une évaluation histopathologique des tissus prélevés. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète de la tumeur, suivie d'une surveillance régulière pour détecter toute récidive potentielle. Dans de rares cas, si la tumeur est grande ou envahit les structures environnantes, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être recommandée.

Dans l'ensemble, bien que les adénomes pléomorphes soient considérés comme des tumeurs bénignes, ils peuvent quand même causer des problèmes importants s'ils ne sont pas traités correctement. Il est donc important de consulter un médecin ou un spécialiste en tête et en cou si vous remarquez des symptômes suspects ou des changements dans la région de votre visage, de votre cou ou de votre mâchoire.

L'hypopituitarisme est un trouble endocrinien caractérisé par la production insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires. La glande pituitaire, également appelée hypophyse, est une petite glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs autres glandes endocrines dans le corps en libérant des hormones spécifiques.

Les types d'hormones hypophysaires affectées peuvent inclure :

1. Hormone de croissance (GH)
2. Thyrotropine ou TSH (Thyroid-stimulating hormone)
3. Adrénocorticotrope ou ACTH (Adrenocorticotropic hormone)
4. Prolactine (PRL)
5. Follicle-stimulating hormone (FSH) et Luteinizing hormone (LH), qui régulent la fonction reproductive
6. Melanocyte-stimulating hormone (MSH)

Les causes de l'hypopituitarisme peuvent être congénitales ou acquises. Les causes congénitales comprennent des anomalies chromosomiques, des malformations congénitales et des mutations génétiques. Les causes acquises peuvent inclure des tumeurs hypophysaires, des traumatismes crâniens, des infections, des accidents vasculaires cérébraux, des interventions chirurgicales ou des radiothérapies au cerveau, ainsi que certaines maladies systémiques telles que la maladie de Sheehan et l'histiocytose.

Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent du type d'hormone hypophysaire touchée et peuvent inclure une petite taille, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une sensibilité au froid, une perte de poids ou une prise de poids, des menstruations irrégulières ou l'absence de menstruation chez les femmes, une diminution de la libido et une dysfonction érectile chez les hommes, un assèchement de la peau, une perte de cheveux, une vision floue et des maux de tête.

Le diagnostic de l'hypopituitarisme repose sur l'évaluation clinique, les tests hormonaux et l'imagerie médicale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et vise à remplacer les hormones manquantes ou insuffisantes par des médicaments appropriés. Dans certains cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de l'hypopituitarisme.

Un adénome villeux est un type rare et non cancéreux (bénin) de tumeur qui se développe dans le tractus gastro-intestinal, en particulier dans le colon. Il se caractérise par une croissance externe frondante et polypeuse avec des villosités arborescentes à la surface, d'où son nom. Ces tumeurs sont généralement solitaires et peuvent atteindre une taille considérable avant de provoquer des symptômes. Les adénomes villeux ont un risque accru de dégénérescence maligne (cancer) par rapport aux autres types d'adénomes.

Les symptômes associés à un adénome villeux peuvent inclure:

* Saignement rectal
* Anémie due à des saignements chroniques
* Changements dans les habitudes intestinales, telles que la diarrhée ou la constipation
* Douleurs abdominales
* Perte de poids involontaire

Le diagnostic d'un adénome villeux est généralement posé par endoscopie et biopsie. Le traitement standard consiste en une résection complète de la tumeur, souvent par chirurgie. La prévention des adénomes villeux implique un dépistage régulier du cancer colorectal chez les personnes à risque accru, y compris celles âgées de 50 ans et plus.

Les hormones anté-hypophysaires, également connues sous le nom d'hormones adénohypophysaires, sont des substances régulatrices produites et sécrétées par l'antéhypophyse, qui est la glande endocrine située à la base du cerveau. L'antéhypophyse se compose de deux parties : l'adénohypophyse et la neurohypophyse. Les hormones anté-hypophysaires sont produites par l'adénohypophyse.

Il existe plusieurs types d'hormones anté-hypophysaires, chacune ayant un rôle spécifique dans la régulation des processus physiologiques de l'organisme :

1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) : stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) : régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production et la sécrétion des hormones thyroïdiennes.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) : contrôle la sécrétion des hormones stéroïdes par les glandes surrénales, y compris le cortisol et d'autres glucocorticoïdes, ainsi que les androgènes.
4. Prolactine (PRL) : stimule la production de lait chez les femmes pendant la période post-partum.
5. Folliculo-stimulante (FSH) : joue un rôle dans la régulation du cycle menstruel et la spermatogenèse.
6. Luteinizante (LH) : stimule la production d'hormones sexuelles, comme les œstrogènes et la testostérone, et déclenche l'ovulation chez les femmes.
7. Hormone melanotrope (MSH) : impliquée dans la régulation de l'appétit, du sommeil et de la pigmentation de la peau.
8. Endorphines et enképhalines : neurotransmetteurs opioïdes qui jouent un rôle dans la modulation de la douleur et des émotions.
9. Ocytocine : hormone impliquée dans l'accouchement, l'allaitement maternel et les comportements sociaux, tels que la reconnaissance et l'attachement.
10. Vasopressine (ADH) : régule la pression artérielle et le volume sanguin en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.

Un craniopharyngiome est un type rare et généralement bénin de tumeur cérébrale qui se développe à la base du skull, dans la région appelée selle turcique, près du pituitary gland et hypothalamus. Ces tumors usually start in the pituitary gland or within the stalk that connects the pituitary gland to the brain.

Craniopharyngiomes peuvent se développer à tout âge, mais ils sont plus fréquents chez les enfants entre les âges de 5 et 10 ans et chez les adultes entre les âges de 50 et 75 ans. Les symptômes courants comprennent des maux de tête, une vision floue ou double, une croissance ralentie chez les enfants, une prise de poids inexpliquée, une fatigue extrême, et des problèmes de sommeil.

Le traitement d'un craniopharyngiome implique habituellement une combination of surgery and radiation therapy pour enlever la tumeur et prévenir sa récidive. La chimiothérapie n'est généralement pas efficace contre ces types de tumeurs. Les complications du traitement peuvent inclure des dommages à la pituitary gland, ce qui peut entraîner une variété de problèmes hormonaux, et des dommages au hypothalamus, which can affect temperature regulation, hunger, thirst, sleep, and emotional behavior.

Il est important to note that while craniopharyngiomes are usually benign, they can still cause significant morbidity due to their location near critical structures in the brain. Regular follow-up with a healthcare provider is essential to monitor for any signs of recurrence or complications.

Le syndrome de Cushing est un trouble endocrinien caractérisé par des niveaux élevés de cortisol, une hormone stéroïde produite par les glandes surrénales. Il peut être causé par la prise de médicaments contenant du cortisol (corticostéroïdes) sur une longue période ou par un dysfonctionnement des glandes surrénales elles-mêmes, appelé syndrome de Cushing endogène.

Dans le syndrome de Cushing endogène, il existe deux types principaux : le syndrome de Cushing causé par une tumeur de l'hypophyse (glande pituitaire) qui sécrète excessivement l'hormone ACTH stimulant la production de cortisol, appelé syndrome de Cushing d'origine hypophysaire ; et le syndrome de Cushing causé par une tumeur des glandes surrénales qui produit directement trop de cortisol, appelé syndrome de Cushing d'origine surrénalienne.

Les symptômes du syndrome de Cushing comprennent souvent l'obésité du haut du corps, avec des bras et des jambes minces, une face lunaire rouge ou violacée, une fragilité cutanée, des vergetures pourpres sur l'abdomen, l'apparition de streptocides au niveau des plis cutanés, une hypertension artérielle, un diabète, une ostéoporose, une fatigue, une faiblesse musculaire, une sensation de malaise, des sautes d'humeur, une diminution de la libido, une aménorrhée (absence de règles) et une infertilité chez les femmes.

Le diagnostic du syndrome de Cushing repose sur des tests sanguins, salivaires ou urinaires pour mesurer le taux de cortisol, ainsi que sur des examens d'imagerie pour localiser toute tumeur sous-jacente. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une médication spécifique.

L'octréotide est un analogue synthétique de la somatostatine, une hormone produite naturellement dans l'organisme. Il agit en se liant aux récepteurs de la somatostatine dans le corps, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion d'hormones telles que la gastrinine, la sécrétine, la vasoactive intestinal peptide (VIP), la motiline et l'insuline.

En médecine, l'octréotide est utilisé pour traiter une variété de conditions, y compris les tumeurs carcinoïdes, l'acromégalie, les tumeurs hypophysaires sécrétant du GHRH (hormone de libération de la hormone de croissance), les diarrhées chroniques dues à une sécrétion excessive d'hormones gastro-intestinales et certains types de nausées et vomissements sévères.

L'octréotide est disponible sous forme d'injection et peut être administré par voie intraveineuse, sous-cutanée ou intramusculaire. Les effets secondaires courants de l'octréotide comprennent des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée, des flatulences et des ballonnements. Des réactions au site d'injection peuvent également survenir. Dans de rares cas, l'octréotide peut entraîner des problèmes de foie, de pancréas ou de thyroïde.

La TSH (Thyroid-Stimulating Hormone) est une hormone glycoprotéique produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie thyroïdienne en régulant la production des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4).

La TSH agit sur le tissu thyroïdien en se liant aux récepteurs de la TSH situés à la surface des cellules folliculaires de la glande thyroïde. Cela stimule la production et la libération des hormones thyroïdiennes dans la circulation sanguine.

Le taux de TSH est souvent mesuré en médecine pour évaluer le fonctionnement de la thyroïde. Un taux de TSH élevé peut indiquer une hypothyroïdie, tandis qu'un taux bas peut suggérer une hyperthyroïdie. Cependant, il est important de noter que certains états de santé et médicaments peuvent influencer les niveaux de TSH, ce qui doit être pris en compte lors de l'interprétation des résultats des tests.

Un adénome basophile est un type rare de tumeur bénigne qui se développe dans les glandes surrénales et est composé de cellules productrices d'hormones appelées cellules basophiles. Ces tumeurs peuvent produire une hormone appelée cortisol en excès, ce qui peut entraîner des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue. Les adénomes basophiles sont généralement traités par une chirurgie pour enlever la tumeur. Cependant, il est important de noter que les informations fournies ici peuvent ne pas être complètes ou à jour, et il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et adaptées à une situation particulière.

Les cellules somatotropes sont un type de cellules endocrines qui se trouvent dans l'antérieur (ou la partie antérieure) de la glande pituitaire, une petite glande située à la base du cerveau. Ces cellules sont responsables de la production et de la sécrétion de l'hormone de croissance ou de l'hormone somatotrope, qui joue un rôle crucial dans la croissance et le développement des os et des tissus musculaires chez les humains et les autres mammifères.

L'hormone de croissance régule la synthèse des protéines et le métabolisme des graisses, ce qui entraîne une augmentation de la masse musculaire et osseuse. Elle joue également un rôle dans la régulation du métabolisme des glucides et des lipides. Les niveaux d'hormone de croissance sont régulés par plusieurs facteurs, y compris les hormones de libération de l'hormone de croissance (GHRH) et de somatostatine, qui sont produites dans l'hypothalamus, une région du cerveau située juste au-dessus de la glande pituitaire.

Les troubles de la fonction des cellules somatotropes peuvent entraîner une production insuffisante ou excessive d'hormone de croissance, ce qui peut entraîner une série de problèmes de santé, tels que le nanisme ou l'acromégalie.

Un récepteur somatostatine est un type de récepteur membranaire qui se lie à la somatostatine, un peptide hormonal inhibiteur. Il existe cinq types de récepteurs somatostatines (SSTR1 à SSTR5) identifiés jusqu'à présent, chacun ayant des séquences d'acides aminés et des distributions tissulaires différentes.

Ces récepteurs sont couplés aux protéines G et inhibent l'activité de l'adénylate cyclase, ce qui entraîne une diminution du niveau d'AMPc intracellulaire. Ils régulent également d'autres voies de signalisation, telles que la voie de MAPK, pour moduler divers processus cellulaires, tels que la croissance cellulaire, la différenciation et l'apoptose.

Les récepteurs somatostatines sont largement distribués dans le corps humain, en particulier dans les systèmes nerveux central et périphérique, ainsi que dans les glandes endocrines. Ils jouent un rôle important dans la régulation de nombreuses fonctions physiologiques, telles que la sécrétion hormonale, la neurotransmission, la circulation sanguine et la croissance cellulaire.

En médecine, les analogues de la somatostatine qui se lient aux récepteurs somatostatines sont utilisés pour traiter une variété de maladies, telles que l'acromégalie, le gigantisme, les tumeurs neuroendocrines et certains types de cancer.

La bromocriptine est un agoniste de la dopamine qui est utilisé dans le traitement de divers troubles liés au système nerveux central. Il est approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement du pituitaire et des troubles neurologiques, tels que :

1. Maladie de Parkinson : La bromocriptine aide à contrôler les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson en mimant l'action de la dopamine dans le cerveau. Il est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments pour améliorer les symptômes.

2. Hyperprolactinémie : La bromocriptine est utilisée pour traiter l'hyperprolactinémie, une affection caractérisée par des niveaux élevés de prolactine dans le sang. Cela peut entraîner des irrégularités menstruelles, une galactorrhée (fuite de lait maternel en dehors de l'allaitement) et une diminution de la libido chez les femmes. Chez les hommes, cela peut provoquer une hypogonadisme (diminution de la fonction testiculaire), une baisse de la libido et des troubles de l'érection.

3. Acromégalie : La bromocriptine est parfois utilisée pour traiter l'acromégalie, une affection caractérisée par une production excessive d'hormone de croissance après la fin de la croissance. Cela peut entraîner des symptômes tels qu'un agrandissement des mains et des pieds, une augmentation de la taille du visage et des os, une transpiration accrue et une fatigue.

4. Prolactinomes : La bromocriptine est utilisée pour traiter les prolactinomes, des tumeurs bénignes de l'hypophyse qui sécrètent de la prolactine en excès. Le médicament aide à réduire la taille de la tumeur et à normaliser les niveaux d'hormones.

La bromocriptine est disponible sous forme de comprimés et doit être prise par voie orale. La posologie et la durée du traitement dépendent de l'affection traitée et doivent être déterminées par un médecin. Les effets secondaires courants de la bromocriptine comprennent des nausées, des vomissements, une constipation, des étourdissements, des maux de tête, une fatigue, des bouffées de chaleur et une sécheresse buccale. Dans de rares cas, il peut provoquer des hallucinations, une confusion, une agitation, une dépression ou des mouvements anormaux du visage ou des membres. Si vous ressentez l'un de ces effets secondaires ou tout autre effet indésirable, informez-en immédiatement votre médecin.

La bromocriptine ne doit pas être utilisée par les personnes souffrant d'hypotension artérielle sévère, d'insuffisance cardiaque congestive ou de maladies rénales graves. Elle ne doit pas non plus être prise pendant la grossesse ou l'allaitement, sauf si cela est absolument nécessaire et sous surveillance médicale stricte. Informez votre médecin de tous les médicaments que vous prenez, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, car ils peuvent interagir avec la bromocriptine et provoquer des effets secondaires indésirables.

En conclusion, la bromocriptine est un médicament utilisé pour traiter divers troubles hormonaux et neurologiques. Il doit être pris sous surveillance médicale stricte en raison de ses effets secondaires potentiels et de ses interactions avec d'autres médicaments. Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant l'utilisation de la bromocriptine, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

Le syndrome de la selle turcique vide (SSTV) est un terme utilisé en neurologie et en radiologie pour décrire une condition anatomique où il y a une absence ou une réduction significative de la substance dans la selle turcique, qui est un petit espace osseux situé à la base du crâne, où se trouve généralement la glande pituitaire.

La selle turcique abrite la glande pituitaire et l'hypothalamus, qui sont des structures importantes du système endocrinien et nerveux central. Dans le SSTV, il y a une diminution de la quantité de tissu dans cette région, ce qui peut être causée par une variété de facteurs, notamment un traumatisme crânien, une chirurgie cérébrale, une tumeur, une radiothérapie ou une maladie dégénérative.

Les symptômes du SSTV peuvent varier considérablement en fonction de la cause sous-jacente et de l'étendue de la perte de substance dans la selle turcique. Certains des symptômes courants comprennent des maux de tête, des troubles visuels, des anomalies hormonales, des vertiges, des nausées et des difficultés d'équilibre. Cependant, il est important de noter que certaines personnes atteintes du SSTV peuvent ne présenter aucun symptôme.

Le diagnostic du SSTV repose généralement sur l'imagerie médicale, telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM), qui peuvent révéler des changements anatomiques dans la selle turcique. Le traitement du SSTV dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une surveillance étroite, une thérapie hormonale de remplacement ou une intervention chirurgicale.

Le polypeptide activateur de l'adénylcyclase hypophysaire, également connu sous le nom de corticotrophin-releasing hormone (CRH) ou de CRF, est une hormone peptidique composée de 41 acides aminés. Elle est produite et sécrétée par l'hypothalamus et joue un rôle crucial dans la régulation du système hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS).

La CRH stimule la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) par la glande pituitaire antérieure, ce qui entraîne à son tour la libération des corticostéroïdes, tels que le cortisol, par les glandes surrénales. Le cortisol est une hormone stéroïde qui aide l'organisme à faire face au stress et régule divers processus métaboliques.

Par conséquent, la CRH joue un rôle essentiel dans la réponse de l'organisme au stress et dans la régulation des fonctions corporelles telles que le métabolisme, l'immunité et l'humeur. Des déséquilibres dans la production ou la fonction de la CRH peuvent entraîner divers troubles endocriniens et psychiatriques.

Un adénome corticosurrénalien est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans la couche externe (cortex) des glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes, telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes.

Les adénomes corticosurrénaliens peuvent perturber la production normale de ces hormones, entraînant une variété de symptômes. Par exemple, un adénome qui produit trop d'hormones cortisol peut causer le syndrome de Cushing, qui se caractérise par une prise de poids faciale ronde, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire, des ecchymoses faciles et des changements de peau.

La plupart des adénomes corticosurrénaliens sont petits et ne causent pas de symptômes. Cependant, certains peuvent devenir assez grands pour provoquer une pression sur les tissus environnants ou même se transformer en cancer (malignité).

Le diagnostic d'un adénome corticosurrénalien est généralement posé par des tests d'imagerie, tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que par des tests de fonction hormonale. Le traitement dépendra de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que de ses effets sur les niveaux d'hormones. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour enlever la tumeur.

Le syndrome de Nelson est une complication rare mais grave qui peut survenir après une chirurgie de la glande surrénale connue sous le nom d'adrénalectomie bilatérale, dans laquelle les deux glandes surrénales sont enlevées. Ce syndrome est caractérisé par l'agrandissement et la hyperpigmentation (taches brunes) de l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs hormones importantes dans le corps.

Le syndrome de Nelson se produit lorsque les cellules corticotrophes de l'hypophyse, qui sont normalement inhibées par les corticoïdes produits par les glandes surrénales, commencent à se multiplier et à sécréter une hormone appelée ACTH (hormone adrénocorticotrope) en excès. L'ACTH stimule la production de mélanine dans la peau, ce qui entraîne une hyperpigmentation.

Les symptômes du syndrome de Nelson peuvent inclure des taches brunes sur la peau, des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles visuels et des crises d'épilepsie. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale (IRM) et dosage hormonal sanguin.

Le traitement du syndrome de Nelson peut inclure une radiothérapie ou une chirurgie pour enlever l'hypophyse agrandie, ainsi qu'un traitement hormonal substitutif pour remplacer les hormones manquantes. Il est important de surveiller étroitement les patients qui ont subi une adrénalectomie bilatérale pour détecter et traiter rapidement le syndrome de Nelson.

L'exploration fonctionnelle hypophysaire est un ensemble de tests diagnostiques utilisés pour évaluer la fonction et la sécrétion hormonale de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Ces tests permettent de détecter d'éventuels dysfonctionnements ou maladies affectant l'hypophyse et les glandes qui en dépendent, telles que la thyroïde, les surrénales, les ovaires et les testicules.

Les tests peuvent inclure :

1. Tests de stimulation : Ils consistent à administrer des substances spécifiques pour stimuler la sécrétion hormonale de l'hypophyse et mesurer la réponse des glandes cibles. Par exemple, le test de stimulation à la CRH (corticotrophin-releasing hormone) permet d'évaluer la fonction de l'axe hypothalamo-hypophysaire corticosurrénalien.
2. Tests de suppression : Ces tests consistent à inhiber la sécrétion hormonale pour évaluer la capacité de l'hypophyse à répondre correctement aux stimuli. Par exemple, le test de suppression à la dexaméthasone permet d'identifier un dysfonctionnement de l'axe hypothalamo-hypophysaire corticosurrénalien.
3. Mesure des taux hormonaux : Les taux sanguins de certaines hormones, telles que la prolactine, la TSH (thyroid-stimulating hormone), l'ACTH (adrenocorticotropic hormone), la FSH (follicle-stimulating hormone), la LH (luteinizing hormone) et la GH (growth hormone), sont mesurés pour évaluer la fonction hypophysaire.
4. Imagerie médicale : L'IRM (imagerie par résonance magnétique) ou le scanner peuvent être utilisés pour visualiser la structure de l'hypophyse et détecter d'éventuelles anomalies, telles que des adénomes hypophysaires.

Les résultats de ces tests permettent au médecin de poser un diagnostic et de proposer un traitement adapté en cas de dysfonctionnement hypophysaire.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

Le sinus caverneux est une cavité anatomique complexe et délicate située dans la base du crâne. Il s'agit d'un sinus veineux pair, en forme de sac, qui communique avec le système veineux intracrânien et extracrânien. Le sinus caverneux est situé dans une région appelée la fosse crânienne moyenne, près du cerveau.

Il contient des vaisseaux sanguins importants, tels que les carotides internes, qui fournissent du sang au cerveau, et plusieurs nerfs crâniens, dont le VI (abducens), le III (oculomoteur) et le IV (trochléaire). Le sinus caverneux joue un rôle crucial dans la régulation de la circulation sanguine cérébrale et la protection des structures nerveuses environnantes.

Des affections telles que les thromboses du sinus caverneux, les méningiomes (tumeurs) ou d'autres processus pathologiques peuvent affecter cette région et entraîner divers symptômes neurologiques, tels que des douleurs faciales, des troubles de la vision, des maux de tête sévères et une paralysie des muscles oculaires.

Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.

Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.

Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.

Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.

La somatostatine est une hormone peptidique qui joue un rôle crucial dans la régulation des systèmes neuroendocriniens et digestifs. Elle est produite naturellement par le corps, principalement par les cellules delta du pancréas et certaines parties de l'hypothalamus dans le cerveau.

La somatostatine a plusieurs fonctions importantes:

1. Inhibition de la libération d'autres hormones: Elle inhibe la libération de diverses hormones, y compris la gastrine, la sécrétine, la colecistokinine, l'insuline et le glucagon.

2. Ralentissement de la vidange gastrique: Elle ralentit la vidange de l'estomac en diminuant la motilité gastro-intestinale.

3. Réduction de la sécrétion digestive: Elle réduit la sécrétion d'enzymes et d'acide gastrique dans le tube digestif.

4. Vasoconstriction: Elle provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à ralentir la circulation sanguine dans certaines régions du corps.

La somatostatine est également utilisée comme médicament dans le traitement de certaines conditions médicales, telles que les tumeurs neuroendocrines et l'hémorragie gastro-intestinale. Les analogues de la somatostatine, qui ont une durée d'action plus longue que la somatostatine elle-même, sont souvent utilisés à cette fin.

Un adénome hépatocellulaire, également connu sous le nom d'hépatocellulaire adénome ou d'adénome du foie, est un type rare et généralement bénin de tumeur du foie. Il se développe à partir des cellules hépatiques (hépatocytes) qui constituent la majeure partie du foie.

Habituellement, les adénomes hépatocellulaires surviennent chez les femmes d'âge moyen, en particulier celles qui utilisent des contraceptifs oraux contenant des œstrogènes à fortes doses pendant une longue période. D'autres facteurs de risque peuvent inclure l'obésité, la maladie métabolique hépatique et certaines affections génétiques rares.

La plupart des adénomes hépatocellulaires ne présentent aucun symptôme et sont découverts de manière fortuite lors d'examens d'imagerie du foie effectués pour d'autres raisons. Cependant, certains patients peuvent présenter des douleurs abdominales, une sensation de plénitude ou une masse palpable dans l'abdomen supérieur. Les complications graves mais rares associées aux adénomes hépatocellulaires comprennent la rupture et les saignements intra-abdominaux, qui peuvent mettre la vie en danger.

Le traitement de choix pour l'adénome hépatocellulaire est généralement la chirurgie visant à retirer complètement la tumeur. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être recommandée, en particulier pour les patients atteints de tumeurs multiples ou de tumeurs volumineuses qui ne peuvent pas être complètement retirées par chirurgie.

Il est important de noter que bien que la plupart des adénomes hépatocellulaires soient bénins, il existe un risque qu'ils deviennent cancéreux au fil du temps. Par conséquent, les patients atteints d'adénome hépatocellulaire doivent faire l'objet d'un suivi régulier par imagerie pour détecter toute récidive ou progression de la maladie.

La neurohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire postérieure, est un petit lobe situé à la base du cerveau qui stocke et sécrète des hormones antidiurétiques (ADH) et de l'ocytocine dans la circulation sanguine. L'ADH aide à réguler l'équilibre hydrique de l'organisme en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins, tandis que l'ocytocine joue un rôle important dans l'accouchement, l'allaitement et les comportements sociaux.

La neurohypophyse est une structure nerveuse, plutôt qu'une glande endocrine typique, car elle ne produit pas réellement ces hormones mais les stocke et les libère en réponse à des stimuli nerveux spécifiques. Les axones des neurones hypothalamiques sécrètent ces hormones dans la neurohypophyse, où elles sont stockées dans des granules avant d'être libérées dans le sang.

Les troubles de la neurohypophyse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels qu'une soif excessive et une augmentation de la miction (diabète insipide), ainsi que des problèmes de lactation et d'accouchement. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections ou des maladies auto-immunes.

La néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (NEM1) est une maladie génétique rare caractérisée par la présence de plusieurs tumeurs dans les glandes endocrines du corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes ou malignes et peuvent affecter diverses glandes endocrines, telles que les glandes surrénales, le pancréas, l'estomac, les intestins, les thyroïdes et les parathyroïdes.

La NEM1 est causée par une mutation du gène MEN1, qui code pour la protéine ménine. Cette protéine joue un rôle important dans la régulation de la croissance cellulaire et de la division cellulaire. Lorsque le gène MEN1 est muté, la production de la protéine ménine est altérée, ce qui entraîne une augmentation de la croissance cellulaire et de la division cellulaire, conduisant à la formation de tumeurs.

Les symptômes de la NEM1 dépendent du type et de l'emplacement des tumeurs. Les tumeurs pancréatiques peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, une diarrhée sévère, des vomissements et un amaigrissement inexpliqué. Les tumeurs parathyroïdiennes peuvent entraîner une hypercalcémie, qui peut se manifester par des symptômes tels que la fatigue, la faiblesse, la soif excessive, la polyurie et des douleurs osseuses. Les tumeurs surrénaliennes peuvent entraîner une hypertension artérielle, des nausées, des vomissements, des maux de tête et une sudation excessive.

Le diagnostic de la NEM1 repose généralement sur des tests génétiques pour détecter une mutation du gène MEN1. Des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent également être utilisés pour détecter et surveiller les tumeurs. Le traitement de la NEM1 dépend du type et de l'emplacement des tumeurs. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

L'hormone thyréotrope, également connue sous le nom d'hormone stimulante de la thyroïde (TSH), est une hormone produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. La TSH régule la fonction thyroïdienne en agissant sur le tissu thyroïdien pour stimuler la production et la libération des hormones thyroïdiennes, la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4).

La sécrétion de TSH est régulée par l'hypothalamus, qui produit de la thyréotropin-releasing hormone (TRH), une hormone qui stimule la production de TSH. La concentration de T3 et T4 dans le sang agit également sur l'hypothalamus et l'antéhypophyse pour réguler la sécrétion de TRH et de TSH, créant ainsi un système de rétroaction négative qui maintient les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans une plage normale.

Une faible concentration de T3 et T4 entraîne une augmentation de la production de TRH et de TSH, tandis qu'une concentration élevée de ces hormones thyroïdiennes inhibe la production de TRH et de TSH. Les anomalies de la fonction thyroïdienne, telles que l'hypothyroïdie ou l'hyperthyroïdie, peuvent entraîner des perturbations de la sécrétion de TSH et des niveaux anormaux d'hormones thyroïdiennes.

Les tumeurs des glandes endocrines sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes endocrines, qui sont responsables de la production d'hormones dans le corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs des glandes endocrines peuvent affecter la fonction de la glande et entraîner une variété de symptômes, en fonction de la glande touchée.

Les glandes endocrines comprennent la glande thyroïde, les parathyroïdes, les glandes surrénales, le pancréas, l'hypothalamus et l'hypophyse. Les tumeurs peuvent se développer dans n'importe laquelle de ces glandes et peuvent entraîner une production excessive ou diminuée d'hormones.

Les symptômes associés aux tumeurs des glandes endocrines dépendent de la glande touchée. Par exemple, une tumeur de la glande thyroïde peut entraîner une hyperthyroïdie, avec des symptômes tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, une perte de poids et une augmentation de l'appétit. Une tumeur de la glande surrénale peut entraîner une production excessive de cortisol, avec des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue.

Le traitement des tumeurs des glandes endocrines dépend du type de tumeur, de sa localisation et de son stade. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou un traitement médicamenteux pour contrôler les symptômes associés à la production excessive d'hormones.

La « Hormone de libération de l'hormone de croissance » (GHRH, Growth Hormone-Releasing Hormone) est une hormone peptidique constituée de 44 acides aminés. Elle est produite et sécrétée par les neurones situés dans l'hypothalamus, une région du cerveau qui régule plusieurs fonctions physiologiques, y compris la croissance et le développement.

La GHRH agit sur l'hypophyse antérieure (une glande située à la base du cerveau) pour stimuler la libération de l'hormone de croissance (GH), également appelée somatotropine. L'hormone de croissance joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, la croissance et le développement des tissus corporels, y compris les os et les muscles.

Lorsque la GHRH se lie à ses récepteurs spécifiques sur les cellules de l'hypophyse antérieure, elle déclenche une cascade de réactions qui aboutissent à la synthèse et à la libération de l'hormone de croissance. La GHRH fonctionne en harmonie avec d'autres facteurs régulateurs, tels que la somatostatine, pour maintenir un équilibre optimal des niveaux d'hormone de croissance dans l'organisme.

Des anomalies dans la production ou la sécrétion de GHRH peuvent entraîner des troubles de la croissance et du développement, tels que le nanisme hypopituitaire (une insuffisance en hormone de croissance) ou l'acromégalie (un excès d'hormone de croissance après la fermeture des plaques de croissance).

L'hypophysectomie est une procédure chirurgicale où tout ou partie de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau, est enlevée. Cette glande joue un rôle crucial dans la régulation des autres glandes endocrines et des processus métaboliques dans le corps. L'hypophysectomie peut être réalisée pour traiter certaines affections telles que les tumeurs hypophysaires, l'hyperthyroïdie réfractaire, la maladie de Cushing et d'autres troubles hormonaux sévères. Cependant, cette procédure comporte des risques importants, tels que des dommages au cerveau, une perte de vision, des problèmes hormonaux et des lésions vasculaires. Par conséquent, elle n'est généralement envisagée qu'en dernier recours lorsque d'autres traitements se sont avérés inefficaces.

La protéine HMGA2 (Haute Mobilité Groupe A, chromosome 12) est un type de protéine qui se lie à l'ADN et joue un rôle important dans la régulation de l'expression des gènes. Elle appartient à la famille des protéines HMG (High Mobility Group), qui sont connues pour leur capacité à se lier à l'ADN avec une grande affinité et à modifier sa structure tridimensionnelle, ce qui permet de réguler l'accès des facteurs de transcription aux promoteurs et enhancers des gènes.

La protéine HMGA2 est particulièrement exprimée pendant le développement embryonnaire et fœtal, ainsi que dans certaines cellules souches adultes. Elle est également exprimée dans certains types de tumeurs malignes, où elle peut contribuer à la transformation maligne des cellules en modulant l'expression de gènes impliqués dans la prolifération cellulaire, la différenciation et l'apoptose.

La protéine HMGA2 est codée par le gène HMGA2, qui se trouve sur le chromosome 12 humain. Des mutations ou des variations du nombre de copies de ce gène peuvent entraîner des changements dans l'expression et la fonction de la protéine HMGA2, ce qui peut être associé à des maladies génétiques ou à un risque accru de cancer.

L'hormone lutéinisante (LH) est une hormone pituitaire glycoprotéique qui joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères. Chez les femmes, juste avant l'ovulation, il y a une forte augmentation de la LH connue sous le nom de pic de LH. Cela déclenche la libération d'un ovule mature par l'ovaire, un processus appelé ovulation.

Dans le corps masculin, la LH stimule les cellules interstitielles dans les testicules pour produire et sécréter de la testostérone, une hormone androgène essentielle au développement des caractères sexuels secondaires mâles.

La production et la libération de LH sont contrôlées par l'hypothalamus via l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH). Des niveaux élevés d'œstrogènes ou de testostérone dans le sang inhibent la production de GnRH, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion de LH. Cela fait partie d'un système de rétroaction négative qui aide à réguler les niveaux hormonaux dans l'organisme.

Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.

Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.

Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.

Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.

Les cellules corticotropes sont un type spécifique de cellules endocrines qui se trouvent dans l'antéhypophyse, une glande située à la base du cerveau. Ces cellules sont responsables de la production et de la sécrétion de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH), qui régule la fonction de la glande surrénale.

L'ACTH stimule la libération des corticoïdes, y compris le cortisol, une hormone stéroïde qui aide à réguler le métabolisme, l'immunité et la réponse au stress dans le corps. Les cellules corticotropes sont régulées par l'hormone de libération de la corticotrophine (CRH) produite par l'hypothalamus, ainsi que par d'autres facteurs de régulation tels que l'arginine vasopressine et les glucocorticoïdes.

Les troubles de la fonction des cellules corticotropes peuvent entraîner des déséquilibres hormonaux, tels que l'insuffisance surrénalienne ou le syndrome de Cushing, qui peuvent avoir des conséquences graves sur la santé. Par conséquent, il est important de maintenir un équilibre adéquat de la fonction corticotrope pour assurer une régulation hormonale normale et prévenir les complications de santé associées à ces déséquilibres.

Securin est une protéine importante dans le processus de division cellulaire, plus spécifiquement pendant l'anaphase. Il joue un rôle crucial dans la régulation du découplage des chromatides soeurs et la ségrégation des chromosomes durant la mitose. Securin est maintenu inactif par une autre protéine, la cycline dépendante kinase (CDK), jusqu'à ce que les chromosomes soient correctement alignés sur la plaque équatoriale. Une fois cette condition remplie, une enzyme appelée separase est activée et clive le securin, permettant ainsi la séparation des chromatides soeurs et la progression de l'anaphase.

Les sous-unités alpha des hormones glycoprotéiques sont des protéines qui forment la partie régulatrice des hormones glycoprotéiques. Ces hormones comprennent l'hormone folliculo-stimulante (FSH), l'hormone lutéinisante (LH), l'hormone chorionique gonadotrope humaine (hCG), et la thyréostimuline (TSH). Chaque type d'hormone glycoprotéique est composé d'une sous-unité alpha et d'une sous-unité bêta spécifiques. Les sous-unités alpha sont identiques pour chaque type d'hormone, tandis que les sous-unités bêta sont différentes et confèrent la spécificité hormonale.

La sous-unité alpha est composée de deux domaines : un domaine α-helix et un domaine β-plié. Le domaine α-helix est responsable de l'interaction avec la sous-unité bêta, tandis que le domaine β-plié est impliqué dans la reconnaissance des récepteurs hormonaux. Les sous-unités alpha sont produites par les cellules endocrines et sont ensuite associées aux sous-unités bêta pour former les hormones glycoprotéiques matures.

Les hormones glycoprotéiques jouent un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que la reproduction, la croissance et le développement, et la fonction thyroïdienne. Les déséquilibres dans les niveaux d'hormones glycoprotéiques peuvent entraîner des troubles endocriniens et métaboliques.

La néoplasie endocrinienne multiple (NEM) est un groupe de troubles héréditaires caractérisés par la présence de plusieurs tumeurs dans les glandes endocrines du corps. Ces glandes endocrines comprennent la glande thyroïde, les surrénales, le pancréas et les gonades. Les tumeurs peuvent être bénignes ou malignes (cancéreuses) et peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones, ce qui peut entraîner une variété de symptômes.

Il existe plusieurs types de NEM, mais les deux formes les plus courantes sont la NEM de type 1 et la NEM de type 2. La NEM de type 1 est caractérisée par la présence de tumeurs dans la glande pancréatique, la glande thyroïde et les glandes surrénales. Les personnes atteintes de cette forme de NEM peuvent également développer des tumeurs dans d'autres organes, tels que les poumons et le système nerveux central.

La NEM de type 2 est caractérisée par la présence de tumeurs dans la glande thyroïde et les glandes surrénales. Les personnes atteintes de cette forme de NEM peuvent également développer un type de cancer appelé phéochromocytome, qui se développe dans les glandes surrénales. Dans certains cas, la NEM de type 2 peut également être associée à un risque accru de développer un cancer du rein et un cancer de l'intestin.

Le traitement de la NEM dépend du type et de la localisation des tumeurs, ainsi que de leur taille et de leur malignité. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever les tumeurs, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et des médicaments pour contrôler les symptômes associés aux tumeurs. Dans certains cas, un traitement hormonal peut également être utilisé pour aider à réguler les niveaux d'hormones dans le corps.

Les cellules thyréotropes, également connues sous le nom de cellules TSH ou cellules thyroïdostimulantes, sont un type de cellules endocrines qui se trouvent dans la partie antérieure de l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau. Ces cellules produisent et sécrètent l'hormone thyréostimuline (TSH), qui régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production et la libération des hormones thyroïdiennes, la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4), par la glande thyroïde.

La TSH est une hormone hypophysaire qui agit sur les récepteurs de la glande thyroïde pour stimuler sa croissance et sa fonction. La production et la sécrétion de TSH sont régulées par un mécanisme de rétroaction négative, ce qui signifie que des taux élevés d'hormones thyroïdiennes dans le sang inhibent la production et la libération de TSH, tandis que des taux faibles stimulent sa production.

Les cellules thyréotropes sont importantes pour maintenir l'homéostasie thyroïdienne et réguler les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans le sang. Les troubles de la fonction des cellules thyréotropes peuvent entraîner des maladies telles que l'hypothyroïdie, qui se caractérise par une production insuffisante d'hormones thyroïdiennes, ou l'hyperthyroïdie, qui se caractérise par une production excessive d'hormones thyroïdiennes.

La Follicle Stimulating Hormone (FSH) ou Hormone Folliculostimulante en français, est une hormone glycoprotéique produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle fait partie des gonadotrophines, avec la Luteinizing Hormone (LH).

La FSH joue un rôle crucial dans la régulation de la fonction reproductive en stimulant la croissance et la maturation des follicules ovariens chez les femmes et la spermatogenèse chez les hommes. Chez les femmes, elle favorise le développement des follicules contenant les ovocytes dans les ovaires, tandis que chez les hommes, elle stimule la production de spermatozoïdes dans les testicules.

La sécrétion de FSH est régulée par un mécanisme de rétroaction négative impliquant d'autres hormones telles que l'inhibine et l'estradiol, qui sont produites par les ovaires et les testicules respectivement. Les taux de FSH peuvent être mesurés pour diagnostiquer certains troubles de la fonction reproductive, tels que l'insuffisance ovarienne prématurée ou la ménopause précoce chez les femmes, et l'hypogonadisme chez les hommes.

Un ganglioneurome est un type rare de tumeur nerveuse généralement bénigne qui se développe à partir des cellules du système nerveux sympathique. Ces tumeurs sont composées de grosses cellules nerveuses (ganglionnaires) et de fibres nerveuses entrelacées. Les ganglioneuromes se trouvent le plus souvent dans la cavité abdominale ou thoracique, près des glandes surrénales ou des ganglions sympathiques situés le long de la colonne vertébrale. Ils peuvent affecter les personnes de tous âges, mais sont plus fréquents chez les enfants et les jeunes adultes. Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, allant de douleurs abdominales ou thoraciques à des problèmes respiratoires ou cardiovasculaires. Le traitement principal consiste généralement en une chirurgie pour enlever complètement la tumeur.

L'hyperprolactinémie est un trouble hormonal caractérisé par des taux anormalement élevés de prolactine, une hormone produite par la glande pituitaire située à la base du cerveau. Normalement, la prolactine aide à stimuler la production de lait maternel pendant l'allaitement. Cependant, des niveaux élevés de prolactine en dehors de la période d'allaitement peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications.

Les causes courantes d'hyperprolactinémie comprennent les tumeurs bénignes de l'hypophyse (appelées prolactinomes), certains médicaments, des troubles de la thyroïde, une stimulation excessive du sein et des lésions de l'hypothalamus. Les symptômes courants de l'hyperprolactinémie chez les femmes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des douleurs mammaires et une production de lait inappropriée en dehors de la période d'allaitement. Chez les hommes, les symptômes peuvent inclure une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des érections réduites ou absentes, une croissance mammaire (gynécomastie) et une diminution de la masse musculaire.

Le diagnostic d'hyperprolactinémie est généralement posé sur la base d'un examen physique, d'une évaluation des symptômes et de tests sanguins pour mesurer les niveaux de prolactine. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'hyperprolactinémie. Dans certains cas, le traitement peut impliquer l'arrêt ou le changement de médicaments qui peuvent contribuer à l'augmentation des niveaux de prolactine. Pour les personnes atteintes d'un adénome hypophysaire producteur de prolactine, le traitement peut inclure une chirurgie ou une radiothérapie pour enlever la tumeur. Les médicaments qui bloquent l'action de la prolactine peuvent également être utilisés pour réduire les niveaux de prolactine et soulager les symptômes associés à l'hyperprolactinémie.

Les gonadotrophines hypophysaires sont des hormones produites et sécrétées par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Il existe deux types principaux de gonadotrophines hypophysaires : la folliculo-stimulante (FSH) et la lutéinisante (LH).

La FSH joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions reproductives en stimulant la croissance et la maturation des follicules ovariens chez les femmes, ce qui conduit à la libération d'un ovule mature. Chez les hommes, la FSH stimule la production de spermatozoïdes dans les testicules.

La LH déclenche l'ovulation chez les femmes en provoquant la libération de l'ovule mature de l'ovaire. Chez les hommes, la LH stimule la production de testostérone dans les testicules.

Les niveaux de FSH et de LH sont régulés par d'autres hormones, telles que les gonadotrophines chorioniques humaines (hCG) produites pendant la grossesse, qui peuvent imiter l'action de la LH. Les déséquilibres dans la production de ces hormones peuvent entraîner des problèmes de fertilité et d'autres troubles de la fonction reproductive.

Le gigantisme est un trouble endocrinien rare causé par une production excessive d'hormone de croissance (également appelée somatotropine) pendant la période de croissance, en particulier pendant l'enfance. Cette condition entraîne une augmentation significative de la taille et du poids corporels au-delà des limites normales. Les symptômes peuvent inclure un visage allongé et large, des mains et des pieds surdimensionnés, une voix profonde, une croissance rapide, une grande taille adulte (généralement supérieure à 2,13 mètres ou 7 pieds), des sueurs excessives, une pression artérielle élevée, des douleurs articulaires et un risque accru de développer des problèmes cardiovasculaires. Le gigantisme est généralement dû à une tumeur bénigne ou maligne dans l'hypophyse, la glande située à la base du cerveau qui régule la production d'hormones de croissance. Le traitement consiste souvent en une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur et des médicaments pour contrôler les niveaux d'hormone de croissance.

Les tumeurs primitives multiples (TPM) est un terme utilisé en oncologie pour décrire une situation où plusieurs types différents de tumeurs malignes se développent simultanément ou séquentiellement chez un même patient, sans preuve de métastases à partir d'une tumeur primitive initiale. Chaque tumeur est considérée comme indépendante et primaire, d'où le nom de "tumeurs primitives multiples".

Cette condition est relativement rare et peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux. Dans certains cas, les TPM peuvent être associées à des syndromes héréditaires tels que le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Von Hippel-Lindau, et d'autres prédispositions génétiques au cancer.

Le diagnostic et la prise en charge des TPM peuvent être complexes, nécessitant une évaluation approfondie par une équipe multidisciplinaire de spécialistes pour déterminer le type et l'origine de chaque tumeur, ainsi que les options de traitement appropriées pour chacune d'entre elles.

La radiochirurgie est un traitement non invasif qui utilise des rayonnements à haute dose pour cibler et détruire des lésions ou des tissus anormaux dans le corps, tels que des tumeurs cancéreuses ou des malformations vasculaires. Contrairement à la radiothérapie conventionnelle, qui est généralement administrée en plusieurs séances de faible dose sur une période prolongée, la radiochirurgie délivre une dose unique et très concentrée de rayonnement pendant une seule session.

Cette technique combine les principes de la radiothérapie et de la chirurgie pour obtenir des résultats similaires à ceux d'une intervention chirurgicale traditionnelle, mais sans incisions ni hospitalisations. La radiochirurgie est souvent utilisée pour traiter les tumeurs cérébrales et les malformations artérioveineuses (MAV) du cerveau, bien qu'elle puisse également être employée pour d'autres types de lésions dans différentes parties du corps.

Le CyberKnife et le Gamma Knife sont des exemples courants d'appareils utilisés pour la radiochirurgie. Ces systèmes sophistiqués permettent une grande précision dans la livraison du rayonnement, ce qui minimise les dommages aux tissus sains environnants et améliore l'efficacité du traitement.

Les gonadotrophines sont des hormones qui régulent la fonction des gonades, c'est-à-dire les ovaires chez les femmes et les testicules chez les hommes. Il existe deux types principaux de gonadotrophines : l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et l'hormone lutéinisante (LH).

La FSH stimule la croissance des follicules ovariens chez les femmes, ce qui conduit à la maturation des ovules, et favorise la production de spermatozoïdes chez les hommes. La LH déclenche l'ovulation chez les femmes, libérant ainsi l'ovule mature de l'ovaire, et stimule la production de testostérone dans les testicules chez les hommes.

Les gonadotrophines sont produites par l'hypophyse antérieure, une petite glande située à la base du cerveau. Leur sécrétion est régulée par d'autres hormones telles que la gonadotrophine releasing hormone (GnRH) produite par l'hypothalamus. Les gonadotrophines jouent un rôle crucial dans la reproduction et la fonction reproductive normale.

Les kystes du système nerveux central sont des sacs fermés remplis de liquide qui se forment dans les tissus du cerveau ou de la moelle épinière. Ces kystes peuvent varier en taille, de très petits à assez grands, et peuvent causer une variété de symptômes en fonction de leur emplacement et de leur taille. Les kystes peuvent comprimer le tissu cérébral environnant ou les nerfs, entraînant des maux de tête, des nausées, des vomissements, des vertiges, des faiblesses musculaires, des problèmes de coordination, des engourdissements, des picotements ou des troubles cognitifs.

Les kystes du système nerveux central peuvent être congénitaux, c'est-à-dire présents à la naissance, ou acquis plus tard dans la vie en raison d'une blessure ou d'une maladie. Les causes courantes de kystes du système nerveux central comprennent les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, les infections, les traumatismes crâniens et certaines maladies génétiques.

Le diagnostic des kystes du système nerveux central peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille et de la localisation du kyste, ainsi que des symptômes associés. Dans certains cas, les kystes peuvent être surveillés sans traitement si les symptômes sont légers ou absents. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer le kyste et soulager la pression sur le tissu cérébral environnant.

Les tumeurs colorectales sont des croissances anormales dans le côlon ou le rectum, qui peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles se développent à partir de cellules qui tapissent la paroi interne du côlon ou du rectum et se multiplient de manière incontrôlable.

Les adénomes sont les types de tumeurs colorectales bénignes les plus courants. Bien qu'ils ne soient pas cancéreux, certains d'entre eux peuvent évoluer vers un cancer s'ils ne sont pas enlevés. Les carcinomes sont des tumeurs colorectales malignes qui se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse intestinale.

Les facteurs de risque de développement des tumeurs colorectales comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, l'obésité, une histoire personnelle ou familiale de polypes intestinaux ou de cancer colorectal, certaines maladies inflammatoires de l'intestin telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, ainsi qu'une prédisposition génétique héréditaire.

Les symptômes des tumeurs colorectales peuvent inclure des saignements rectaux, des modifications de l'habitude intestinale telles que la constipation ou la diarrhée persistante, une sensation de satiété après avoir mangé seulement une petite quantité de nourriture, des douleurs abdominales, une fatigue excessive et une perte de poids inexpliquée.

Le diagnostic des tumeurs colorectales peut être posé grâce à des tests d'imagerie tels qu'une colonoscopie ou une sigmoïdoscopie, qui permettent de visualiser l'intérieur du côlon et de prélever des échantillons de tissus pour analyse. Le traitement dépend du stade et de la localisation de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de terme médical connu sous le nom d'"encéphalographie gazeuse". Il se peut que vous ayez fait une erreur dans l'orthographe ou la terminologie. Seriez-vous capable de vérifier l'orthographe ou de me fournir plus de détails sur ce que vous cherchez à connaître ? Je su

## 'Encéphalographie gazeuse' est probablement un terme erroné et vous recherchez peut-être des informations sur l'"Électroencéphalographie" (EEG) ou la "Spectroscopie par résonance magnétique du proton" (H-1 MRSI).

L'électroencéphalographie (EEG) est un examen médical qui enregistre l'activité électrique du cerveau à l'aide d'électrodes placées sur le cuir chevelu. Il est utilisé pour aider au diagnostic et à la surveillance de diverses conditions affectant le cerveau, telles que les convulsions, l'épilepsie, les troubles du sommeil, les lésions cérébrales traumatiques et les tumeurs cérébrales.

La spectroscopie par résonance magnétique du proton (H-1 MRSI) est une technique d'imagerie qui fournit des informations sur la composition chimique des tissus dans le cerveau. Il est utilisé en recherche et en clinique pour étudier les processus métaboliques dans le cerveau et peut être utile dans le diagnostic et la surveillance de diverses conditions affectant le cerveau, telles que les troubles neurodégénératifs, les lésions cérébrales et les tumeurs cérébrales.

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ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.

Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.

Le facteur de transcription Pit-1, également connu sous le nom de POU1F1 (acide aminé précurseur de l'unité 1 de type POU), est une protéine qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes associés à la croissance et au développement de certaines structures de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau.

Pit-1 est un facteur de transcription spécifique qui se lie à l'ADN et active ou réprime la transcription des gènes cibles en régulant la machinerie moléculaire nécessaire à la synthèse des protéines. Il appartient à la famille des facteurs de transcription POU, qui sont caractérisés par une région de liaison à l'ADN conservée appelée domaine POU.

Dans le contexte de l'hypophyse, Pit-1 est essentiel pour la différenciation et la fonction des cellules somatotrophes, qui sécrètent l'hormone de croissance (GH), des cellules lactotropes, qui produisent la prolactine (PRL), et des cellules thyrotropes, qui synthétisent la thyréostimuline (TSH). Des mutations dans le gène Pit-1 peuvent entraîner des troubles de la croissance et du développement, tels que le nanisme sévère et l'insuffisance hypophysaire combinée.

Les polypes coliques sont des excroissances anormales de la muqueuse qui tapisse l'intérieur du côlon ou du gros intestin. Bien que la plupart des polypes soient bénins et ne causent pas de symptômes, certains types peuvent devenir cancéreux s'ils ne sont pas enlevés. Les petits polypes ont généralement un risque faible de développer un cancer colorectal, mais les polypes plus grands ou ceux qui présentent des changements anormaux dans leurs cellules (dysplasie) peuvent être plus préoccupants.

Les facteurs de risque de développement des polypes coliques comprennent l'âge avancé, une histoire personnelle ou familiale de polypes ou de cancer colorectal, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes des polypes coliques peuvent inclure des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales telles que la diarrhée ou la constipation persistante, des crampes abdominales et une sensation de plénitude ou de ballonnement. Cependant, beaucoup de personnes atteintes de polypes ne présentent aucun symptôme.

Le diagnostic des polypes coliques peut être posé grâce à des tests tels qu'une colonoscopie, qui permet au médecin d'examiner l'intérieur du côlon et du rectum et de retirer tout polype suspect. Les polypes peuvent également être détectés par une sigmoïdoscopie ou une tomographie virtuelle du côlon.

Le traitement des polypes coliques consiste généralement à les enlever lors d'une colonoscopie. Dans certains cas, une chirurgie peut être nécessaire pour retirer les polypes plus grands ou ceux situés dans des zones difficiles d'accès. Après le traitement, un suivi régulier est important pour détecter toute récidive de polypes.

L'hormone de libération des gonadotrophines (GnRH, selon son acronyme en anglais) est une hormone peptidique constituée de 10 acides aminés. Elle est également connue sous le nom d'hormone de libération de la lutéinisante (LHRH).

La GnRH est produite et sécrétée par les neurones situés dans l'hypothalamus, une région du cerveau. Cette hormone joue un rôle crucial dans la régulation des systèmes reproducteurs chez les mammifères, y compris les humains.

La GnRH agit en stimulant la libération de deux autres hormones produites par l'hypophyse antérieure : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces dernières sont responsables de la régulation des fonctions reproductives, telles que la maturation des ovules chez les femmes et la production de spermatozoïdes chez les hommes.

La sécrétion de GnRH est soumise à un contrôle complexe, qui implique des boucles de rétroaction positives et négatives impliquant les hormones stéroïdiennes produites par les gonades (ovaires et testicules). Ainsi, la GnRH est un élément clé du système de régulation hypothalamo-hypophysaire qui contrôle la fonction reproductive.

L'antigène Ki-67 est une protéine nucléaire qui se trouve dans les cellules en phase de division ou en croissance active. Elle est souvent utilisée comme un marqueur pour évaluer la prolifération cellulaire dans les tissus, y compris ceux des cancers.

Dans le contexte médical, l'antigène Ki-67 est couramment utilisé dans la recherche et le diagnostic de divers types de cancer. Un test immunohistochimique (IHC) est souvent effectué pour détecter la présence de cette protéine dans les échantillons de tissus prélevés lors d'une biopsie ou d'une résection chirurgicale.

Un score Ki-67 élevé peut indiquer une croissance tumorale plus agressive et être associé à un pronostic moins favorable pour certains types de cancer, tels que le carcinome mammaire invasif et le lymphome diffus à grandes cellules B. Cependant, la signification clinique de l'antigène Ki-67 varie selon le type de cancer et doit être interprétée en conjonction avec d'autres facteurs pronostiques et thérapeutiques.

La rhinorrhée cérébrospinale est un symptôme rare mais grave où le liquide céphalo-rachidien (LCR) s'écoule par le nez. Le LCR est un fluide clair qui entoure et protège le cerveau et la moelle épinière. Cette condition peut être causée par une blessure à la tête ou au visage, une intervention chirurgicale crânienne, une tumeur cérébrale, une méningite, ou d'autres conditions médicales qui endommagent les membranes qui séparent le cerveau du nez.

La rhinorrhée cérébrospinale est un symptôme sérieux qui nécessite une évaluation et un traitement médicaux immédiats pour prévenir les complications, telles que l'infection meningée ou l'hypertension intracrânienne. Le diagnostic peut être posé en examinant le liquide qui s'écoule du nez et en recherchant la présence de biomarqueurs spécifiques du LCR, tels que des protéines ou des glucides. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la condition et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou d'autres interventions thérapeutiques.

La neuroendoscopie est une procédure mini-invasive en neurochirurgie qui utilise un endoscope, un tube mince et flexible muni d'une caméra et d'une source lumineuse, pour accéder directement au cerveau ou à la colonne vertébrale via des voies naturelles ou des trous artificiels créés dans le crâne. Elle permet aux médecins de visualiser et de traiter directement diverses pathologies telles que les tumeurs, les kystes, les hémorragies, les infections ou les malformations vasculaires du système nerveux central. Cette technique offre l'avantage d'être moins traumatisante pour le patient, avec une récupération plus rapide et des cicatrices moindres que celles observées dans les approches chirurgicales traditionnelles.

Un choristome est un terme médical utilisé pour décrire une tumeur ou une croissance anormale qui se développe à partir d'un tissu qui n'est pas normalement présent dans cette région du corps. Il s'agit essentiellement d'une tumeur bénigne composée de tissus ectopiques, c'est-à-dire des tissus qui se trouvent au mauvais endroit.

Les choristomes peuvent être constitués de divers types de tissus, tels que le tissu adipeux, musculaire, osseux ou glandulaire. Ils peuvent se développer n'importe où dans le corps, mais ils sont souvent trouvés dans la cavité buccale, en particulier sur la langue ou les gencives. Les choristomes peuvent également se former dans d'autres régions, telles que l'oreille moyenne, l'œil ou les poumons.

Habituellement, les choristomes sont détectés à un stade précoce et ne causent pas de symptômes importants. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent parfois entraîner des complications, telles que des difficultés à avaler, à parler ou à respirer. Dans ces cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever la croissance.

Il est important de noter qu'un choristome n'est pas cancéreux et ne se transformera pas en tumeur maligne. Toutefois, il est crucial de surveiller sa croissance et de consulter un médecin si des symptômes ou des changements dans la taille ou l'apparence de la croissance sont observés.

L'hydrocortisone est un corticostéroïde naturel produit par les glandes surrénales. Il a des propriétés anti-inflammatoires, immunosuppressives et régulatrices du métabolisme. Dans le contexte médical, l'hydrocortisone est souvent utilisée pour traiter une variété de conditions telles que les maladies auto-immunes, les affections inflammatoires, les réactions allergiques graves, le choc et certaines formes de cancer. Elle peut également être utilisée pour remplacer les hormones stéroïdes manquantes dans des situations où la fonction surrénalienne est déficiente. Les effets secondaires à long terme peuvent inclure l'ostéoporose, le diabète, les infections et les changements de l'humeur ou du comportement.

La chromogranine A est une protéine présente dans les granules sécrétoires des neurones et des endocrines, ainsi que d'autres types de cellules. Elle est souvent utilisée comme un marqueur biologique pour le diagnostic et le suivi de certaines tumeurs neuroendocrines, telles que les phéochromocytomes et les paragangliomes. Les tumeurs neuroendocrines peuvent produire et sécréter des niveaux élevés de chromogranine A dans le sang, ce qui peut être détecté par des tests sanguins.

Les granules sécrétoires sont des structures intracellulaires où les cellules stockent et concentrent des molécules telles que des neurotransmetteurs et des hormones avant de les libérer dans l'espace extracellulaire en réponse à des stimuli spécifiques. La chromogranine A est une protéine qui aide à maintenir la structure et la fonction de ces granules.

Des niveaux élevés de chromogranine A dans le sang peuvent également être observés dans d'autres conditions, telles que l'insuffisance rénale chronique, certaines maladies inflammatoires et après une intervention chirurgicale. Par conséquent, il est important de considérer ces facteurs lors de l'interprétation des résultats des tests sanguins de la chromogranine A.

Les agonistes de la dopamine sont une classe de médicaments qui imitent l'action de la dopamine, un neurotransmetteur dans le cerveau qui régule les mouvements musculaires et d'autres fonctions. Ces médicaments se lient aux récepteurs de la dopamine dans le cerveau et activent ces récepteurs de manière similaire à la dopamine elle-même.

Les agonistes de la dopamine sont souvent utilisés pour traiter les troubles du mouvement, tels que la maladie de Parkinson, qui se produisent lorsque les niveaux de dopamine dans le cerveau deviennent anormalement bas. En activant les récepteurs de la dopamine, ces médicaments peuvent aider à améliorer les symptômes moteurs associés à ces conditions, tels que les tremblements, la rigidité musculaire et les mouvements lents ou difficiles.

Cependant, les agonistes de la dopamine peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables, tels que des nausées, des vomissements, de la somnolence, des hallucinations et des comportements compulsifs ou addictifs. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance étroite d'un médecin.

Les récepteurs hormonaux hypothalamiques hypophysotropes régulateurs font référence à des sites spécifiques de liaison protéiques situés dans l'hypothalamus du cerveau. Ces récepteurs sont responsables de la détection et de la réponse aux variations des niveaux d'hormones dans le sang. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de la fonction de la glande pituitaire, ou hypophyse, en ajustant la libération d'hormones spécifiques en réponse à ces changements hormonaux.

Les récepteurs hormonaux hypothalamiques hypophysotropes régulateurs comprennent des sous-types tels que les récepteurs de la dopamine, de la sérotonine, de la somatostatine, de la ghréline et de la corticotrophine releasing hormone (CRH). Chacun de ces récepteurs est spécifique à une hormone particulière et déclenche une cascade de réactions biochimiques qui régulent la libération d'hormones hypophysaires, telles que l'hormone de croissance, la prolactine, la thyrotropine, l'adrénocorticotrophine et la mélanotrophine.

Par exemple, les récepteurs de la dopamine dans l'hypothalamus détectent les niveaux élevés de dopamine dans le sang et déclenchent une réponse qui inhibe la libération d'hormone de croissance par la glande pituitaire. De même, les récepteurs de la somatostatine détectent les niveaux élevés de cette hormone et inhibent la libération de l'hormone de croissance, tandis que les récepteurs de la ghréline détectent les niveaux faibles de cette hormone et stimulent la libération d'hormone de croissance.

En résumé, les récepteurs des hormones dans l'hypothalamus jouent un rôle crucial dans la régulation de la libération des hormones hypophysaires, ce qui permet de maintenir l'homéostasie et la santé globale de l'organisme.

La coloscopie est un examen médical réalisé à l'aide d'un endoscope, appelé coloscope, inséré dans le rectum et remonté dans le côlon ou gros intestin. Cet instrument flexible muni d'une source lumineuse et équipé d'une caméra permet au médecin de visualiser directement la muqueuse du côlon sur un écran. La coloscopie sert principalement à détecter d'éventuelles lésions précancéreuses ou cancéreuses, des polypes, des inflammations, des ulcères ou des saignements dans le côlon et le rectum. Durant la procédure, il est également possible de prélever des échantillons de tissus (biopsies) pour analyse en laboratoire. La préparation à cet examen consiste généralement en un régime alimentaire spécifique et l'utilisation d'un laxatif puissant afin de nettoyer complètement le côlon.

Les polypes adénomateux sont des tumeurs bénignes mais qui peuvent évoluer vers un état malin, c'est-à-dire cancéreux. Ils se développent dans la muqueuse du tube digestif, le plus souvent dans le côlon et le rectum. Ces polypes sont composés de glandes anormales qui se multiplient de manière désordonnée, formant une excroissance sur la paroi interne du côlon ou du rectum.

Les polypes adénomateux peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ils sont souvent asymptomatiques et découverts lors d'un examen de routine comme une coloscopie. Cependant, certains symptômes peuvent alerter, tels que des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal ou de l'apparition de mucus dans les selles.

Le risque de transformation d'un polype adénomateux en cancer colorectal dépend de plusieurs facteurs, dont la taille et le grade de dysplasie (anomalie cellulaire) du polype. Les polypes de plus de 1 cm et ceux présentant une forte dysplasie sont les plus à risque de devenir cancéreux. Il est donc important de dépister et d'enlever ces polypes lorsqu'ils sont découverts, afin de prévenir le développement d'un cancer colorectal.

Un méningiome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe à partir des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière (les méninges). Ces tumeurs grossissent généralement lentement et peuvent devenir assez grandes avant de présenter des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur mais peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des problèmes de vision, des troubles auditifs, des difficultés à avaler ou des faiblesses musculaires. Dans certains cas, les méningiomes ne causent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'examens d'imagerie pour d'autres problèmes de santé. Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la tumeur. Il peut inclure une surveillance attentive, une radiothérapie ou une chirurgie pour enlever la tumeur.

Le diabète insipide est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production excessive d'urine diluée (polyurie) et une soif intense (polydipsie). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide est dû à un déficit en hormone antidiurétique (ADH) ou à une résistance des reins à l'hormone ADH.

Il existe deux types de diabète insipide :

1. Diabète insipide central : Il se produit lorsque le cerveau ne produit pas ou ne sécrète pas suffisamment d'hormone antidiurétique (ADH) en raison d'une lésion ou d'une maladie de l'hypothalamus ou de la post-hypophyse. Les causes courantes comprennent des tumeurs, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des mutations génétiques et la chirurgie de la région hypothalamo-hypophysaire.

2. Diabète insipide néphrogénique : Il est dû à une résistance des reins à l'action de l'hormone ADH, ce qui entraîne une production excessive d'urine et une soif accrue. Les causes comprennent des anomalies génétiques héréditaires ou acquises, des médicaments néphrotoxiques, des affections rénales sous-jacentes telles que la pyélonéphrite, l'hypertension rénine-dépendante et l'insuffisance rénale chronique.

Le diagnostic du diabète insipide repose sur l'évaluation des antécédents médicaux, des examens physiques, des analyses d'urine et de sang, ainsi que des tests de privation de liquides et de stimulation par vasopressine. Le traitement dépend du type et de la cause sous-jacente du diabète insipide. Pour le diabète insipide central, des médicaments tels que la desmopressine peuvent être prescrits pour remplacer l'hormone ADH manquante ou déficiente. Dans le cas du diabète insipide néphrogénique, le traitement vise à éliminer les causes sous-jacentes et à gérer les symptômes avec des médicaments tels que les diurétiques thiazidiques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Les ergolines sont une classe de composés chimiques qui ont des propriétés sympathomimétiques, ce qui signifie qu'ils peuvent imiter ou mimer les effets de certaines hormones et neurotransmetteurs du système nerveux sympathique. Les ergolines sont structuralement apparentées aux alcaloïdes dérivés du seigle ergot, d'où elles tirent leur nom.

Les médicaments à base d'ergolines ont une variété d'utilisations thérapeutiques, notamment dans le traitement des migraines, des nausées et des vomissements sévères, ainsi que des troubles psychiatriques tels que la schizophrénie et les troubles de l'humeur. Certains médicaments ergolines couramment prescrits comprennent le méthysergide, le cabergoline et le pergolide.

Cependant, il est important de noter que les médicaments à base d'ergolines peuvent également entraîner des effets secondaires graves, tels que des lésions valvulaires cardiaques et des fibroses rétropéritonéales et pulmonaires. Par conséquent, leur utilisation doit être étroitement surveillée par un professionnel de la santé.

L'hyperplasie est un terme médical qui décrit une augmentation anormale du nombre de cellules dans un tissu ou un organe, entraînant une augmentation du volume de cet organe. Cela se produit généralement en réponse à une stimulation hormonale ou autre, et peut être bénigne ou liée à une maladie sous-jacente.

L'hyperplasie peut affecter divers tissus et organes dans le corps, y compris la prostate, l'endomètre, le sein, la thyroïde et les poumons. Elle diffère de l'hypertrophie, qui est une augmentation de la taille des cellules existantes sans augmentation du nombre de cellules.

L'hyperplasie peut être asymptomatique ou causer divers symptômes en fonction de l'organe affecté. Par exemple, une hyperplasie de la prostate peut entraîner des difficultés à uriner, tandis qu'une hyperplasie de l'endomètre peut provoquer des saignements menstruels abondants ou irréguliers.

Le traitement de l'hyperplasie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou d'autres thérapies.

L'endoscopie est un procédé médical qui consiste à examiner l'intérieur du corps humain de façon non invasive. Cela se fait en insérant un endoscope, un tube flexible et éclairé, dans une cavité ou un orifice naturel du patient, comme la bouche, le nez, l'anus ou l'urètre.

L'extrémité de l'endoscope contient des lentilles et une source lumineuse qui permettent à un médecin de visualiser les tissus internes en détail sur un écran. Certains endoscopes sont équipés de canaux permettant d'insuffler de l'air pour gonfler les cavités corporelles, facilitant ainsi la visualisation. Ils peuvent également être munis d'instruments permettant de prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou de réaliser certaines interventions thérapeutiques directement via l'endoscope.

Les types courants d'endoscopies comprennent la gastroscopie (examen de l'estomac), la colonoscopie (examen du côlon), la bronchoscopie (examen des voies respiratoires) et la cystoscopie (examen de la vessie).

Une intervention chirurgicale sur les glandes endocrines fait référence à un ensemble de procédures chirurgicales visant à traiter des affections diverses affectant ces glandes. Les glandes endocrines sont responsables de la production d'hormones qui régulent divers processus dans le corps humain.

Ces interventions peuvent inclure :

1. Thyroïdectomie : C'est l'ablation totale ou partielle de la glande thyroïde, généralement indiquée en cas de cancer de la thyroïde, d'hyperthyroïdie sévère (maladie de Basedow) ou de goitre volumineux compressif.

2. Parathyroïdectomie : Il s'agit du retrait d'une ou plusieurs glandes parathyroïdes, souvent effectué pour traiter l'hyperparathyroïdie primaire, où les glandes produisent trop d'hormone parathyroïdienne, entraînant une hypercalcémie.

3. Adénomectomie surrénalienne : Cette procédure consiste à retirer un adénome (tumeur bénigne) de la glande surrénale. Les tumeurs surrénaliennes peuvent produire des excès d'hormones stéroïdiennes ou catécholamines, entraînant divers symptômes.

4. Pancréatectomie : Cela peut varier de la résection d'une partie du pancréas (par exemple, une duodénopancréatectomie céphalique ou une pancréatectomie gauche) à l'ablation complète de l'organe (pancréatectomie totale). Ces procédures sont effectuées pour traiter le cancer du pancréas, les tumeurs neuroendocrines pancréatiques et certains cas de pancréatite chronique sévère.

5. Hypophysectomie : Bien que rarement pratiquée en raison des options thérapeutiques moins invasives disponibles, cette procédure consiste à retirer la glande pituitaire pour traiter les tumeurs hypophysaires résistantes au traitement ou récidivantes.

Chacune de ces interventions chirurgicales comporte ses propres risques et avantages, qui doivent être soigneusement pesés par le patient et l'équipe médicale avant de prendre une décision.

Les récepteurs hormonaux hypophysaires sont des protéines spécifiques localisées à la surface des cellules de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Ces récepteurs sont conçus pour se lier à des hormones spécifiques qui sont libérées dans le sang par d'autres glandes endocrines ou par l'hypothalamus, une région du cerveau située juste au-dessus de l'hypophyse.

Lorsqu'une hormone se lie à son récepteur correspondant sur la surface d'une cellule hypophysaire, cela déclenche une série de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui peuvent entraîner la production et la libération d'autres hormones. Ce processus est essentiel au maintien de l'homéostasie, ou équilibre interne, du corps.

Par exemple, l'hormone de libération de la thyrotropine (TRH) produite par l'hypothalamus se lie à des récepteurs spécifiques sur les cellules de l'hypophyse, ce qui déclenche la production et la libération d'une autre hormone appelée thyréostimuline (TSH). La TSH se lie ensuite à des récepteurs situés sur les cellules de la glande thyroïde, ce qui entraîne la production et la libération d'hormones thyroïdiennes.

Les récepteurs hormonaux hypophysaires jouent donc un rôle crucial dans la régulation des fonctions corporelles telles que la croissance, le métabolisme, la reproduction, la réponse au stress et l'immunité.

La céphalalgie autonome du trijumeau (Hemicrania continua) est un type rare mais spécifique de mal de tête qui affecte généralement une moitié de la tête (unilatéral). Il s'agit d'une forme continue de maux de tête, ce qui signifie qu'elle peut durer plusieurs mois ou même des années sans discontinuer.

Les céphalalgies autonomes du trijumeau se caractérisent par une douleur modérée à sévère d'un côté de la tête, souvent décrite comme une sensation de brûlure, de picotement ou de coupure. La douleur est généralement accompagnée de symptômes autonomes tels que des larmoiements, un nez qui coule ou congestionné, une rougeur de l'œil, un rétrécissement pupillaire ou une pâleur de la face.

Cette condition est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes et peut toucher des personnes de tout âge. Les causes exactes des céphalalgies autonomes du trijumeau ne sont pas encore complètement comprises, mais il a été démontré qu'elles répondent bien au traitement avec l'indométacine, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS).

Il est important de consulter un médecin si vous pensez souffrir de céphalalgies autonomes du trijumeau, car d'autres conditions médicales peuvent présenter des symptômes similaires. Un diagnostic et un traitement précoces peuvent aider à soulager la douleur et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de cette condition.

La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.

La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.

La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.

Le lisuride est un agoniste dopaminergique qui est utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson. Il fonctionne en imitant l'action de la dopamine, un neurotransmetteur naturel du cerveau qui régule les mouvements musculaires. Le lisuride se lie aux récepteurs dopaminergiques dans le cerveau et active ces récepteurs, ce qui peut aider à améliorer les symptômes de la maladie de Parkinson tels que les tremblements, la rigidité musculaire et les problèmes de mouvement.

En plus de son utilisation dans le traitement de la maladie de Parkinson, le lisuride peut également être utilisé pour traiter certains types de migraines. Il agit en réduisant l'excitation des neurones dans le cerveau qui peuvent déclencher une crise de migraine.

Le lisuride est disponible sous forme de comprimés et doit être prescrit par un médecin. Les effets secondaires courants du médicament peuvent inclure des nausées, des vomissements, des étourdissements, une somnolence et une fatigue. Dans de rares cas, le lisuride peut également causer des hallucinations, une agitation ou des comportements anormaux. Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez du lisuride pour minimiser le risque d'effets secondaires graves.

Le nanisme hypophysaire, également connu sous le nom de nanisme à croissance retardée ou nanisme hypopituitaire, est une condition médicale caractérisée par un développement insuffisant de la taille due à une production réduite d'hormones de croissance et d'autres hormones importantes produites par l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau.

L'hypopituitarisme peut être présent dès la naissance (congénital) ou se développer plus tard dans la vie (acquis). Les causes congénitales peuvent inclure des anomalies chromosomiques, des malformations congénitales du cerveau ou des infections maternelles pendant la grossesse. Les causes acquises peuvent inclure des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des accidents vasculaires cérébraux, des infections, des interventions chirurgicales ou des radiations dans la région de l'hypophyse.

Les symptômes du nanisme hypophysaire comprennent généralement un retard de croissance sévère, entraînant une taille adulte significativement inférieure à la moyenne (généralement moins de 147 cm pour les hommes et moins de 137 cm pour les femmes). D'autres signes peuvent inclure un visage plat et large, des traits faciaux enfantins, une petite mâchoire inférieure, des bras et des jambes proportionnellement plus courts, une tête plus grande que la moyenne, un retard de développement sexuel et des problèmes de vision.

Le diagnostic du nanisme hypophysaire repose généralement sur l'évaluation des antécédents médicaux, des examens physiques, des tests hormonaux et des imageries cérébrales pour évaluer la structure et la fonction de l'hypophyse. Le traitement du nanisme hypophysaire implique généralement un remplacement hormonal à long terme pour corriger les déficits hormonaux et favoriser une croissance normale, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour gérer d'autres problèmes de santé associés.

Les hormones hypothalamiques hypophysiotropes libératrices sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypothalamus, une région du cerveau. Ces hormones ont pour fonction de réguler la sécrétion d'autres hormones par l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau.

Les hormones hypothalamiques libératrices sont transportées depuis l'hypothalamus jusqu'à l'hypophyse via un vaisseau sanguin spécialisé appelé le système porte hypothalamo-hypophysaire. Une fois dans l'hypophyse, ces hormones stimulent la libération de certaines hormones spécifiques par les cellules de l'hypophyse.

Par exemple, l'hormone de libération de la thyrotropine (TRH) est une hormone hypothalamique libératrice qui stimule la production et la sécrétion de l'hormone thyréostimuline (TSH) par l'hypophyse. La TSH, à son tour, stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter des hormones thyroïdiennes.

D'autres exemples d'hormones hypothalamiques libératrices comprennent l'hormone de libération de la corticotropine (CRH), l'hormone de libération de la gonadotrophine (GnRH) et l'hormone de libération de la prolactine (PRL). Ensemble, ces hormones jouent un rôle crucial dans la régulation des fonctions corporelles telles que la croissance, le développement sexuel, la reproduction, la réponse au stress et la production de lait maternel.

Les hormones sont des messagers chimiques produits dans le corps, principalement par les glandes du système endocrinien. Elles sont libérées dans la circulation sanguine pour atteindre des organes et des tissus cibles spécifiques, où elles déclenchent diverses réponses physiologiques en se liant à des récepteurs spécifiques sur ou à l'intérieur des cellules. Les hormones régulent un large éventail de fonctions corporelles, y compris la croissance et le développement, le métabolisme, la reproduction, le stress, l'immunité et l'humeur.

Les exemples d'hormones comprennent l'insuline, le glucagon, l'hormone de croissance, les œstrogènes, la progestérone, la testostérone, l'adrénaline (épinéphrine), la noradrénaline (norépinephrine), la thyroxine (T4) et la triiodothyronine (T3). Le déséquilibre des hormones peut entraîner divers troubles de la santé, tels que le diabète, l'hypothyroïdie, l'hyperthyroïdie, les maladies surrénaliennes et les troubles de la reproduction.

Les tumeurs du crâne sont des croissances anormales qui se forment dans ou autour du crâne. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins ou se propager à d'autres parties du corps.

Les tumeurs du crâne peuvent être primaires, ce qui signifie qu'elles ont commencé dans le crâne, ou secondaires, ce qui signifie qu'elles se sont propagées au crâne à partir d'une autre partie du corps. Les tumeurs primaires du crâne peuvent être classées en fonction de leur emplacement anatomique, telles que les tumeurs de la fosse crânienne postérieure, les tumeurs de la base du crâne, et les tumeurs des parois du crâne.

Les symptômes des tumeurs du crâne dépendent de leur emplacement et de leur taille. Ils peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles de la vision, des étourdissements, des problèmes d'audition, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des convulsions, et des changements de comportement ou de personnalité.

Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de la gravité de la tumeur. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.

La corticotrophin-releasing hormone (CRH), également connue sous le nom de corticolibérine, est une hormone peptidique composée de 41 acides aminés. Elle est produite et stockée dans les neurones du noyau paraventriculaire de l'hypothalamus. La corticolibérine joue un rôle crucial dans la régulation du système neuroendocrinien hypothalamo-hypophysaire, en particulier dans la réponse au stress.

Lorsqu'elle est libérée dans la circulation sanguine, la corticolibérine se lie à des récepteurs spécifiques dans l'antéhypophyse (ou glande pituitaire antérieure), déclenchant la production et la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH). En retour, l'ACTH stimule la libération des glucocorticoïdes, principalement le cortisol, à partir de la glande surrénale.

Les glucocorticoïdes ont un large éventail d'effets dans l'organisme, notamment en régulant le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, en modulant l'inflammation et l'immunité, et en affectant la fonction cognitive et émotionnelle.

Par conséquent, la corticolibérine est un élément clé de la régulation du stress et de la réponse homéostatique de l'organisme aux facteurs de stress physiologiques et psychologiques.

La Pro-opiocortine (POC) est une protéine précurseur qui, une fois clivée, donne naissance à plusieurs peptides opioïdes et corticotropes. Parmi ces peptides figurent la beta-endorphine, les enképhalines, la dynorphine et l'ACTH (hormone adrénocorticotrope). Ces peptides ont des rôles variés dans le corps humain, allant de la modulation de la douleur à la régulation du stress et de diverses fonctions physiologiques. La Pro-opiocortine est principalement sécrétée par les neurones de l'hypothalamus et du tronc cérébral, ainsi que par les cellules corticotropes de l'antéhypophyse.

Il convient de noter qu'un déséquilibre dans la production ou la dégradation des peptides issus de la Pro-opiocortine peut contribuer au développement de divers troubles, tels que les douleurs chroniques, la dépendance aux drogues et les troubles de l'humeur.

Les antinéoplasiques hormonaux sont un type de traitement du cancer qui vise à perturber la production ou l'action des hormones dans le corps. Ces traitements sont souvent utilisés pour traiter les cancers qui dépendent des hormones pour se développer et se propager, tels que le cancer du sein et le cancer de la prostate.

Les antinéoplasiques hormonaux peuvent fonctionner en empêchant la production d'hormones ou en bloquant leurs effets sur les cellules cancéreuses. Par exemple, certains traitements peuvent empêcher les ovaires de produire des œstrogènes, une hormone qui peut stimuler la croissance du cancer du sein. D'autres traitements peuvent bloquer l'action des androgènes, des hormones mâles qui peuvent favoriser la croissance du cancer de la prostate.

Les antinéoplasiques hormonaux comprennent des médicaments tels que les anti-androgènes, les agonistes et antagonistes de la LH-RH, les inhibiteurs de l'aromatase, et les modulateurs sélectifs des récepteurs aux œstrogènes. Ces traitements peuvent être administrés sous forme de comprimés, d'injections ou d'implants.

Bien que les antinéoplasiques hormonaux puissent être très efficaces pour ralentir la croissance et la propagation du cancer, ils ne sont pas sans effets secondaires. Les effets secondaires courants comprennent des bouffées de chaleur, des sautes d'humeur, une fatigue, une perte de libido, une ostéoporose et une prise de poids. Dans certains cas, les traitements peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des problèmes cardiaques ou hépatiques.

En général, les antinéoplasiques hormonaux sont utilisés en combinaison avec d'autres traitements du cancer, tels que la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Le choix du traitement dépend de nombreux facteurs, y compris le type et le stade du cancer, l'âge et l'état de santé général du patient.

Les tumeurs des sinus de la face sont des croissances anormales dans les cavités remplies d'air (sinus) situées dans les os autour de votre nez, des yeux et des joues. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes courants incluent une congestion nasale persistante, des écoulements nasaux, des maux de tête, des douleurs faciales et une perte d'odorat. Dans certains cas, les tumeurs peuvent également provoquer une protrusion des yeux ou une déformation faciale. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais il peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes persistants ou inquiétants, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les résultats.

La galactorrhée est un terme médical qui décrit l'écoulement involontaire ou spontané de lait maternel ou d'un liquide similaire au lait provenant des mamelons, en l'absence d'une grossesse ou d'un récent accouchement. Cette condition peut survenir chez les femmes et, plus rarement, chez les hommes. La galactorrhée est généralement due à une augmentation des niveaux de prolactine, une hormone produite par l'hypophyse, mais elle peut également être causée par certains médicaments, troubles neurologiques ou maladies des seins. Dans certains cas, la galactorrhée peut ne pas présenter de symptômes ou de complications graves, mais dans d'autres situations, elle peut être le signe d'une affection sous-jacente plus grave qui nécessite un traitement médical.

Les troubles de la vision, également appelés déficiences visuelles ou déficits visuels, se réfèrent à une gamme de conditions qui affectent la capacité d'une personne à voir clairement et correctement. Cela peut inclure une variété de problèmes tels que :

1. Myopie (vue courte) : Dans ce trouble, les objets éloignés apparaissent flous car l'œil est trop long ou le pouvoir de réfraction est trop fort.

2. Hypermetropie (vue longue) : Ici, les objets rapprochés sont flous car l'œil est trop court ou le pouvoir de réfraction est insuffisant.

3. Astigmatisme : Cela se produit lorsque la courbure de la cornée ou du cristallin n'est pas uniforme, ce qui provoque une distorsion de l'image.

4. Presbytie : Ce trouble survient généralement avec l'âge, lorsque le cristallin perd sa flexibilité et rend difficile la mise au point sur les objets proches.

5. Cataracte : Il s'agit du nuagement du cristallin, qui provoque une vision floue, terne ou double.

6. Glaucome : C'est une maladie oculaire qui endommage le nerf optique, souvent due à une pression intraoculaire élevée.

7. Dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) : Il s'agit d'une maladie oculaire qui affecte la macula, la partie centrale de la rétine, entraînant une perte progressive de la vision centrale.

8. Diplopie (vision double) : Cela se produit lorsque les yeux ne travaillent pas ensemble correctement, provoquant une vision double.

9. Strabisme (yeux croisés) : Dans ce trouble, les yeux ne sont pas alignés correctement et pointent dans des directions différentes.

10. Amblyopie (œil paresseux) : Il s'agit d'une mauvaise vision ou d'un manque de développement visuel dans un œil, souvent en raison d'un strabisme non traité ou d'une différence de réfraction significative entre les yeux.

Ces conditions peuvent être détectées par des examens oculaires réguliers et traitées si elles sont diagnostiquées tôt.

Le récepteur de type I au polypeptide activateur de l'adénylcyclase hypophysaire, également connu sous le nom de récepteur de la corticotrophine ou CRH-R1 (de son acronyme en anglais), est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se trouve à la surface des cellules. Plus spécifiquement, il est localisé dans les cellules corticotropes de l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau.

Le récepteur de type I au polypeptide activateur de l'adénylcyclase hypophysaire est activé par un neuropeptide appelé corticotrophin-releasing hormone (CRH) ou facteur de libération de la corticotrophine, qui est produit dans l'hypothalamus et joue un rôle crucial dans la régulation du système endocrinien de stress. Lorsque le CRH se lie au récepteur CRH-R1, il active une cascade de signalisation intracellulaire qui conduit à l'activation de l'adénylcyclase et à l'augmentation des niveaux de monophosphate de cyclique d'adénosine (cAMP), ce qui entraîne la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) et du cortisol, une hormone stéroïde importante pour la régulation du métabolisme, de l'immunité et de la réponse au stress.

Des mutations dans le gène CRHR1, qui code pour le récepteur CRH-R1, ont été associées à des troubles psychiatriques tels que la dépression majeure et les troubles anxieux généralisés. De plus, l'activation du récepteur CRH-R1 a été impliquée dans la pathogenèse de diverses maladies telles que l'hypertension artérielle, l'obésité et le diabète sucré. Par conséquent, le récepteur CRH-R1 est considéré comme une cible thérapeutique prometteuse pour le traitement de ces maladies.

La régulation de l'expression génique tumorale dans un contexte médical se réfère aux mécanismes moléculaires et cellulaires qui contrôlent la manière dont les gènes s'expriment dans les cellules cancéreuses. Les changements dans l'expression des gènes peuvent entraîner une prolifération cellulaire accrue, une résistance à l'apoptose (mort cellulaire programmée), une angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins) et une métastase, qui sont tous des processus clés dans le développement du cancer.

La régulation de l'expression génique tumorale peut être influencée par une variété de facteurs, y compris les mutations génétiques, les modifications épigénétiques (telles que la méthylation de l'ADN et l'acétylation des histones), les facteurs de transcription anormaux, les miARN (petits ARN non codants qui régulent l'expression des gènes) et les interactions entre les cellules tumorales et leur microenvironnement.

Comprendre la régulation de l'expression génique tumorale est crucial pour le développement de thérapies ciblées contre le cancer, car il permet d'identifier de nouvelles cibles thérapeutiques et de prédire la réponse des patients aux traitements existants. Des approches telles que l'édition du génome, la modulation épigénétique et l'interférence avec les miARN sont autant de stratégies prometteuses pour réguler l'expression des gènes dans le cancer et améliorer les résultats cliniques.

La microchirurgie est une branche spécialisée de la chirurgie qui utilise des loupes ou des microscopes opératoires pour observer et manipuler des structures anatomiques très petites, généralement mesurant moins de 2 millimètres. Elle nécessite une formation et des compétences techniques spécifiques en raison de la complexité des procédures et de la précision requise.

Les interventions microchirurgicales peuvent inclure des sutures de vaisseaux sanguins, de nerfs ou de tissus mous délicats. Elles sont souvent effectuées lors de transplantations d'organes ou de membres, de réparations de lésions nerveuses ou vasculaires, et dans certains domaines de la chirurgie plastique et reconstructive.

Cette technique permet des réparations extrêmement fines et précises, améliorant ainsi les chances de succès thérapeutique et minimisant le traumatisme tissulaire.

Les cellules gonadotropes sont un type de cellules endocrines qui se trouvent dans l'antéhypophyse, une glande située à la base du cerveau. Ces cellules sont responsables de la production et de la sécrétion de deux hormones importantes : l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et l'hormone lutéinisante (LH).

La FSH et la LH sont des hormones gonadotropes qui régulent la fonction des organes reproducteurs, les gonades. Chez les femmes, la FSH stimule la croissance et la maturation des follicules ovariens dans les ovaires, tandis que la LH déclenche l'ovulation et la production d'hormones sexuelles stéroïdes dans le corps jaune de l'ovaire. Chez les hommes, la FSH stimule la spermatogenèse dans les testicules, tandis que la LH stimule la production de testostérone dans les cellules de Leydig des testicules.

Les facteurs qui régulent la sécrétion des hormones gonadotropes comprennent l'hormone de libération de la FSH (GnRH) produite par l'hypothalamus, les niveaux d'œstrogènes et de testostérone provenant des gonades, et les rétroactions positives et négatives au niveau de l'axe hypothalamo-hypophysaire. Les déséquilibres dans la fonction des cellules gonadotropes peuvent entraîner des troubles de la reproduction et de la fonction endocrinienne.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

Les tumeurs corticosurrénaliennes sont des growths anormaux qui développent dans la glande surrénale, une petite glande située au-dessus des reins. La glande surrénale est composée de deux parties: la médulla et la cortex. La partie corticale est responsable de la production d'hormones stéroïdes telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes.

Les tumeurs corticosurrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes corticosurrénaliens, tandis que les tumeurs malignes sont appelées carcinomes corticosurrénaliens.

Les tumeurs corticosurrénaliennes peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones stéroïdes, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, une production excessive de cortisol peut entraîner le syndrome de Cushing, qui se caractérise par une prise de poids du visage et du tronc, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire, une peau fine et fragile, des ecchymoses faciles et des irrégularités menstruelles. Une production excessive d'aldostérone peut entraîner l'hyperaldostéronisme primaire, qui se caractérise par une hypertension artérielle et une faiblesse musculaire.

Le diagnostic de tumeurs corticosurrénaliennes implique généralement des tests d'imagerie tels que des tomodensitogrammes (TDM) ou des imageries par résonance magnétique (IRM), ainsi que des tests hormonaux pour évaluer la fonction de la glande surrénale. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

L'irradiation hypophysaire est un traitement médical qui consiste à exposer la glande pituitaire (hypophyse) à des radiations ionisantes dans le but de détruire les cellules anormales ou de réduire leur activité. Cette procédure est souvent utilisée pour traiter certains types de tumeurs bénignes ou malignes qui se développent dans l'hypophyse ou à proximité, telles que les adénomes hypophysaires.

L'irradiation peut être administrée par plusieurs méthodes, y compris la radiothérapie externe (où les rayons sont produits par une machine située à l'extérieur du corps) ou la radiochirurgie stéréotaxique (où un seul faisceau de rayonnement très concentré est utilisé pour cibler avec précision la tumeur).

Les effets secondaires courants de l'irradiation hypophysaire comprennent la fatigue, les maux de tête, les nausées et vomissements, ainsi que des troubles hormonaux potentiels dus à la destruction des cellules normales de l'hypophyse. Ces derniers peuvent inclure une diminution de la production d'hormones thyroïdiennes, cortisol, somatotropes (GH), gonadotropes et prolactine, entraînant des symptômes tels que la fatigue, la prise de poids, l'intolérance au froid, les troubles menstruels et la baisse de la libido.

Il est important de noter qu'avant de décider d'un traitement par irradiation hypophysaire, les médecins évalueront soigneusement les risques et les avantages potentiels pour chaque patient, en tenant compte de facteurs tels que l'âge, l'état général de santé, la taille et la localisation de la tumeur, ainsi que d'autres options thérapeutiques disponibles.

Les sous-unités alpha G du complexe de protéines de liaison au GTP sont des protéines qui se lient et hydrolysent le guanosine triphosphate (GTP) pour réguler divers processus cellulaires, tels que la signalisation cellulaire, le trafic membranaire et la division cellulaire. Ces sous-unités font partie du complexe hétérotrimérique G protein, qui se compose de trois sous-unités distinctes : alpha, beta et gamma.

La sous-unité alpha G existe en plusieurs isoformes (alpha Gs, alpha Gi, alpha Go, etc.) qui sont codées par différents gènes et ont des fonctions spécifiques. La sous-unité alpha Gs est activée lorsqu'elle se lie à un récepteur couplé à la protéine G (GPCR) stimulé par un ligand, ce qui entraîne un changement conformationnel qui active l'hydrolyse du GTP en guanosine diphosphate (GDP). Ce processus active la sous-unité alpha Gs, qui peut ensuite activer d'autres protéines effectrices telles que l'adénylate cyclase, entraînant une cascade de réactions biochimiques qui régulent divers processus cellulaires.

Les déséquilibres dans la fonction des sous-unités alpha G du complexe de protéines de liaison au GTP ont été associés à un certain nombre de maladies, notamment les troubles cardiovasculaires, le cancer et les troubles neurologiques.

Les protéines HMGA (High Mobility Group AT-hook) sont des facteurs de transcription architecturaux qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes. Elles se lient à l'ADN de manière non spécifique et modulent ainsi la structure de la chromatine, facilitant ainsi l'interaction entre les facteurs de transcription et l'ADN.

Les protéines HMGA sont caractérisées par la présence de plusieurs domaines de liaison à l'ADN appelés "AT-hooks", qui leur permettent de se lier à des séquences d'ADN spécifiques et de modifier la conformation de la chromatine. Ces protéines sont exprimées de manière ubiquitaire dans tous les types cellulaires, mais leur expression est souvent régulée pendant le développement et la différenciation cellulaire.

Les mutations ou les variations dans l'expression des gènes codant pour les protéines HMGA ont été associées à diverses maladies humaines, telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et les troubles du développement neurologique. Par exemple, une expression accrue de certaines protéines HMGA a été observée dans plusieurs types de tumeurs malignes, ce qui suggère qu'elles pourraient jouer un rôle important dans la progression du cancer.

En résumé, les protéines HMGA sont des facteurs de transcription architecturaux qui régulent l'expression des gènes en modifiant la structure de la chromatine. Leur expression est souvent régulée pendant le développement et la différenciation cellulaire, et des anomalies dans leur expression ont été associées à diverses maladies humaines.

Le syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH (corticotropinome ectopique) est un trouble rare mais grave caractérisé par une production excessive et inappropriée d'hormone adrénocorticotrope (ACTH) hors de la glande pituitaire, où elle est normalement produite. Cette hormone stimule la production des corticoïdes surrénaliens, ce qui entraîne une hypercortisolémie, ou taux élevé de cortisol dans le sang.

La cause la plus fréquente du syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH est un cancer des poumons à petites cellules, bien que d'autres types de tumeurs malignes telles que les tumeurs neuroendocrines, les carcinomes pulmonaires non à petites cellules, les tumeurs thymiques et les tumeurs pancréatiques puissent également en être responsables. Dans certains cas, aucune tumeur ne peut être identifiée, on parle alors de syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH idiopathique.

Les symptômes du syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH incluent souvent une prise de poids rapide, une hypertension artérielle, des troubles du sommeil, une faiblesse musculaire, une fatigue excessive, une augmentation de la fragilité cutanée, des ecchymoses faciles, des vergetures pourpres sur l'abdomen et les cuisses, un visage lunaire (rougeur et obésité du visage), une ostéoporose, une augmentation de la glycémie et une intolérance au glucose, ce qui peut évoluer vers un diabète sucré. Les patient(e)s peuvent également présenter des troubles psychiatriques tels que la dépression, l'anxiété, l'agitation ou la psychose.

Le diagnostic du syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH repose sur la mesure de l'hormone cortisolémie et de l'ACTH plasmatiques, qui sont généralement élevés. Des tests dynamiques peuvent être réalisés pour confirmer le diagnostic, tels que le test au dexaméthasone supprimé ou le test à la corticotrophine de libération (CRH). L'imagerie médicale, comme la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), peuvent être utilisées pour localiser une tumeur sous-jacente.

Le traitement du syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH vise à éliminer la source de la production excessive d'ACTH, s'il existe une tumeur identifiable. La chirurgie est le traitement de choix pour les tumeurs localisées et accessibles. Dans certains cas, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être proposée. Lorsqu'aucune tumeur n'est trouvée ou si la tumeur ne peut pas être enlevée, des médicaments peuvent être utilisés pour inhiber la production de cortisol par les glandes surrénales. Les options thérapeutiques comprennent l'inhibiteur de la synthèse du cortisol, le kétoconazole, et les analogues de la dopamine, comme la bromocriptine.

En conclusion, le syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH est une affection rare caractérisée par une production excessive d'ACTH provenant d'une source non-hypophysaire. Il peut entraîner des symptômes graves et invalidants, tels que l'hypertension artérielle, la faiblesse musculaire, l'ostéoporose et le diabète sucré. Le diagnostic repose sur la mesure de l'hormone cortisolémie et de l'ACTH plasmatiques, ainsi que des tests dynamiques et des examens d'imagerie médicale. Le traitement vise à inhiber la production de cortisol par les glandes surrénales, soit chirurgicalement, soit médicalement.

La charge tumorale est un terme utilisé en oncologie pour décrire la quantité ou l'ampleur d'une tumeur cancéreuse dans le corps. Elle peut être mesurée par la taille de la tumeur, le nombre de cellules cancéreuses dans une certaine zone du corps ou dans le sang, ou par d'autres méthodes de détection des tumeurs.

La charge tumorale est un facteur important à prendre en compte lors du diagnostic et du traitement du cancer, car elle peut aider les médecins à évaluer la gravité de la maladie, à prédire l'issue probable et à déterminer le meilleur plan de traitement.

Par exemple, une charge tumorale élevée peut indiquer que le cancer s'est propagé ou a progressé, ce qui peut rendre le traitement plus difficile. D'un autre côté, une faible charge tumorale peut signifier que le cancer est à un stade précoce ou qu'il répond bien au traitement.

Il existe différentes méthodes pour mesurer la charge tumorale, en fonction du type de cancer et de son emplacement dans le corps. Certaines méthodes courantes comprennent les examens d'imagerie, tels que les radiographies, les scanners et les IRM, qui peuvent fournir des images détaillées de la taille et de l'emplacement de la tumeur.

D'autres méthodes incluent des tests sanguins pour rechercher des marqueurs tumoraux, qui sont des substances produites par les cellules cancéreuses et libérées dans le sang. Les niveaux de marqueurs tumoraux peuvent aider à évaluer la charge tumorale et à suivre la réponse au traitement.

Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour obtenir un échantillon de tissu de la tumeur et l'analyser en laboratoire pour déterminer sa taille, son type et d'autres caractéristiques importantes pour le traitement.

En résumé, la charge tumorale est une mesure importante du stade et de la gravité du cancer, qui peut aider à guider les décisions de traitement et à prédire l'issue de la maladie. Il existe différentes méthodes pour mesurer la charge tumorale, en fonction du type et de l'emplacement du cancer, y compris les examens d'imagerie, les tests sanguins et les biopsies.

L'hyperparathyroïdie est une condition médicale où les glandes parathyroïdes produisent trop d'hormone parathyroïdienne (PTH). Ces glandes, généralement au nombre de quatre, sont situées dans le cou près de la thyroïde et jouent un rôle crucial dans la régulation des niveaux de calcium et de phosphore dans le sang.

L'hormone parathyroïdienne a pour fonction de maintenir l'équilibre de ces minéraux en augmentant ou en diminuant leur absorption dans les os, l'intestin et les reins. Lorsque trop de PTH est produit, comme c'est le cas dans l'hyperparathyroïdie, il en résulte un déséquilibre de ces minéraux dans l'organisme.

Les symptômes de l'hyperparathyroïdie peuvent varier considérablement, allant de presque aucun à graves. Ils peuvent inclure des douleurs osseuses et articulaires, une fatigue excessive, une faiblesse musculaire, des nausées, des vomissements, une constipation, une soif accrue, une augmentation de la miction et dans les cas graves, des calculs rénaux ou des lésions rénales.

L'hyperparathyroïdie peut être primaire, secondaire ou tertiaire. La forme primaire est due à une anomalie dans les glandes parathyroïdes elles-mêmes, comme un adénome (une tumeur bénigne) ou une hyperplasie (une croissance anormale des cellules). La forme secondaire survient lorsque le corps manque de calcium, ce qui peut se produire avec une malnutrition, une malabsorption intestinale ou des maladies rénales chroniques. Dans la forme tertiaire, l'organisme développe une résistance à l'action de la PTH, entraînant une augmentation persistante des niveaux de cette hormone.

Les récepteurs de la gonadolibérine, également connus sous le nom de récepteurs de la gonadotrophine releasing hormone (GnRH), sont des protéines membranaires qui se trouvent à la surface des cellules hypothalamiques dans le cerveau. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de la reproduction et du développement sexuel en se liant à la gonadolibérine, une hormone peptidique libérée par l'hypothalamus.

La liaison de la gonadolibérine à son récepteur déclenche une cascade de réactions biochimiques qui aboutissent à la libération de deux hormones pituitaires importantes : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces hormones agissent ensuite sur les gonades (ovaires chez les femmes et testicules chez les hommes) pour stimuler la production d'hormones sexuelles et la spermatogenèse ou l'ovulation.

Les récepteurs de la gonadolibérine sont des cibles importantes pour le développement de médicaments utilisés dans le traitement de divers troubles endocriniens et reproductifs, tels que le cancer de la prostate, l'infertilité et les troubles menstruels.

La fosse crânienne moyenne est une cavité dans la base du crâne située entre la fosse crânienne antérieure et la fosse crânienne postérieure. Elle contient plusieurs structures importantes telles que le lobe temporal du cerveau, les nerfs crâniens II (optique), III (oculomoteur), IV (trochléaire), V (trigéminal), VI (abducens) et le VII (facial) avant qu'il ne sorte du crâne. La fosse crânienne moyenne contient également les vaisseaux sanguins importants tels que la carotide interne, les sinus caverneux et les méninges. Elle est séparée de l'orbite par une fine paroi osseuse appelée lame papyracée.

L'IGF-1 (Insulin-like Growth Factor 1), également connu sous le nom de Somatomedin C, est une petite molécule de protéine qui joue un rôle crucial dans la croissance et le développement du corps humain. Il s'agit d'un facteur de croissance qui est principalement produit dans le foie en réponse à la stimulation de l'hormone de croissance ou GH (Growth Hormone) sécrétée par l'hypophyse antérieure.

L'IGF-1 agit comme un médiateur important de l'action de l'hormone de croissance, en se liant à des récepteurs spécifiques dans divers tissus du corps, y compris les os, les muscles, les organes et le cerveau. Cette liaison déclenche une série de réactions qui favorisent la prolifération cellulaire, la différenciation cellulaire, la synthèse des protéines et la régulation du métabolisme des glucides, des lipides et des acides aminés.

L'IGF-1 joue donc un rôle essentiel dans la croissance et le développement des os et des muscles pendant l'enfance et l'adolescence, ainsi que dans la régulation du métabolisme et de la fonction cellulaire à l'âge adulte. Des niveaux anormaux d'IGF-1 peuvent être associés à une variété de troubles médicaux, tels que le nanisme, l'acromégalie, le diabète sucré et certains types de cancer.

La récidive tumorale locale est un terme médical utilisé pour décrire la réapparition d'une tumeur maligne (cancer) dans la même région où elle s'est développée initialement, après un traitement initial qui avait apparemment réussi à éliminer la tumeur. Cela signifie que des cellules cancéreuses sont restées dans le corps, inaperçues par les médecins, et ont recommencé à se multiplier pour former une nouvelle tumeur au même endroit.

Une récidive tumorale locale peut survenir des mois ou même des années après le traitement initial. Elle est souvent associée à un pronostic moins favorable que lors du diagnostic initial, car les cellules cancéreuses peuvent avoir développé une résistance aux thérapies précédemment utilisées. Toutefois, la prise en charge d'une récidive dépend du type de cancer, de son stade au moment du diagnostic de la récidive et des antécédents thérapeutiques du patient.

Une céphalée, plus communément appelée mal de tête, est une douleur ou une gêne localisée dans la région de la tête ou du cou. Les maux de tête peuvent varier en intensité, allant de légers à sévères, et peuvent être accompagnés de nausées, de vomissements, de sensibilités à la lumière et au son, ainsi que d'autres symptômes.

Il existe plusieurs types de maux de tête, notamment les migraines, les céphalées de tension, les céphalées en grappe, et les céphalées secondaires qui sont causées par une maladie sous-jacente ou une blessure. Les causes sous-jacentes des maux de tête peuvent inclure le stress, la fatigue, les troubles du sommeil, les problèmes de vision, les sinusites, les infections, les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales et l'hypertension artérielle.

Le traitement des maux de tête dépend du type et de la cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments en vente libre ou sur ordonnance, des changements de mode de vie, des thérapies comportementales et des interventions chirurgicales dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous souffrez de maux de tête fréquents ou sévères, car ils peuvent être le signe d'une condition médicale sous-jacente grave.

L'hyperthyroïdie est une condition médicale dans laquelle la glande thyroïde produit et sécrète excessivement les hormones thyroïdiennes, à savoir la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4). Ces hormones jouent un rôle crucial dans le métabolisme, la croissance et le développement du corps.

Lorsque la glande thyroïde devient hyperactive, elle accélère les processus métaboliques de l'organisme, entraînant une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids, des selles fréquentes et une augmentation de l'appétit. D'autres symptômes peuvent inclure des sautes d'humeur, de l'agitation, de l'insomnie, de la fatigue, des irrégularités menstruelles chez les femmes et une diminution de la libido.

Les causes courantes d'hyperthyroïdie comprennent la maladie de Basedow (une maladie auto-immune), l'augmentation du nodule thyroïdien, le goitre toxique diffus et l'inflammation de la glande thyroïde. Le diagnostic repose généralement sur une combinaison d'examens physiques, de tests sanguins pour mesurer les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH (thyrotropine stimulante), ainsi que d'imageries médicales telles que l'échographie ou la scintigraphie.

Le traitement de l'hyperthyroïdie dépend de sa cause sous-jacente. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments antithyroïdiens, des bêta-bloquants pour contrôler les symptômes cardiovasculaires, l'iode radioactif pour détruire une partie de la glande thyroïde et, dans certains cas, la chirurgie pour retirer partiellement ou complètement la glande thyroïde. Après le traitement, il est important de surveiller régulièrement les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH pour ajuster le traitement si nécessaire et prévenir les complications à long terme telles que l'hypothyroïdie.

La chromogranine A est une protéine qui se trouve dans les granules sécrétoires des neurones et des endocrines, ainsi que d'autres types de cellules. Ces granules sont des structures intracellulaires où sont stockées les molécules qui seront libérées par la cellule lorsqu'elle sera stimulée. Dans les cellules endocrines et nerveuses, ces molécules comprennent souvent des neurotransmetteurs et des hormones.

La chromogranine A est couramment utilisée comme un marqueur biologique pour diagnostiquer et surveiller certaines tumeurs neuroendocrines, telles que les phéochromocytomes et les paragangliomes. Ces tumeurs peuvent produire et sécréter des niveaux élevés de chromogranine A dans le sang, ce qui peut être détecté par des tests sanguins.

Il est important de noter que l'élévation des niveaux de chromogranine A peut également être observée dans d'autres conditions, telles que certaines maladies inflammatoires et auto-immunes, ainsi que dans la cirrhose du foie et l'insuffisance rénale. Par conséquent, les résultats des tests de chromogranine A doivent être interprétés avec prudence et en conjonction avec d'autres informations cliniques.

Les malformations maxillofaciales sont des anomalies congénitales ou acquises qui affectent la structure et la fonction des os de la mâchoire supérieure (maxillaire) et inférieure (mandibule), ainsi que des tissus environnants, y compris les dents, les muscles, les ligaments et les nerfs. Ces malformations peuvent varier en gravité, allant de légères à sévères, et peuvent affecter l'apparence physique, la fonction masticatoire, la déglutition, la parole et même la respiration.

Les exemples courants de malformations maxillofaciales comprennent :

1. Fente labiale et palatine : une ouverture dans le palais (toit de la bouche) et/ou dans les lèvres, qui peut varier en taille et en localisation.
2. Prognathisme : une mâchoire inférieure qui dépasse anormalement vers l'avant.
3. Rétrognathisme : une mâchoire inférieure reculée ou sous-développée.
4. Agénésie dentaire : l'absence congénitale de certaines dents.
5. Micrognathie : une mâchoire inférieure anormalement petite.
6. Macrogmathie : une mâchoire inférieure anormalement grande.
7. Trouble de la croissance craniofaciale : une anomalie dans le développement des os du crâne et du visage.

Le traitement des malformations maxillofaciales dépend de la gravité et de l'emplacement de la malformation, ainsi que de son impact sur la fonction et l'apparence. Les options de traitement peuvent inclure une intervention chirurgicale, une orthodontie, une thérapie de réadaptation ou une combinaison de ces approches.

Les tumeurs du système nerveux sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus du système nerveux. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager à d'autres parties du corps, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins et se propager à d'autres parties du corps.

Les tumeurs du système nerveux peuvent survenir dans le cerveau ou la moelle épinière, ainsi que dans les nerfs périphériques. Les symptômes dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de vision, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des problèmes d'équilibre et de coordination, et des changements mentaux ou comportementaux.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de son stade et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour empêcher la croissance des cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.

Le syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH) est un trouble endocrinien caractérisé par une production excessive et continue d'hormone antidiurétique (ADH) par l'hypothalamus et l'hypophyse, même lorsque les niveaux de liquide dans le corps sont normaux. Cela entraîne une diminution de la quantité d'urine produite (oligurie), une rétention hydrique et une dilution excessive des électrolytes dans le sang, en particulier une hyponatrémie (faible teneur en sodium sérique).

Les symptômes du SIADH peuvent inclure nausées, vomissements, maux de tête, confusion, faiblesse, fatigue, convulsions et dans les cas graves, coma. Le diagnostic repose sur des tests de laboratoire pour mesurer les niveaux d'électrolytes sériques, en particulier le sodium, ainsi que la concentration urinaire et l'osmolarité.

Le SIADH peut être causé par une variété de conditions médicales, notamment certaines tumeurs malignes (comme les cancers du poumon, du pancréas, des ovaires ou des intestins), certains médicaments, des infections, des traumatismes crâniens, des maladies neurologiques et psychiatriques. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une restriction hydrique, l'utilisation de diurétiques, une modification du traitement médicamenteux ou dans certains cas, un traitement spécifique de la maladie sous-jacente.

Le potentiel invasif des tumeurs est un terme utilisé en oncologie pour décrire la capacité d'une tumeur à envahir les tissus adjacents et à se propager (métastaser) dans d'autres parties du corps. Cela dépend de plusieurs facteurs, y compris le type et le grade de la tumeur, ainsi que la présence ou l'absence de certaines protéines qui favorisent la croissance des vaisseaux sanguins (angiogenèse) et la migration cellulaire.

Les tumeurs avec un haut potentiel invasif sont plus agressives et ont tendance à se développer et à se propager rapidement, ce qui peut rendre le traitement plus difficile. Le potentiel invasif d'une tumeur est généralement évalué par l'analyse de biopsies ou d'échantillons chirurgicaux de la tumeur, et il est souvent pris en compte lors du choix du traitement et de la planification du suivi.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

L'hybridation in situ (HIS) est une technique de biologie moléculaire utilisée en histopathologie et en cytogénétique pour localiser et identifier spécifiquement des séquences d'ARN ou d'ADN dans des tissus ou des cellules. Cette méthode consiste à introduire un fragment d'ADN ou d'ARN marqué (probe) dans des sections de tissus préalablement traités et fixés, puis à détecter l'hybridation entre la sonde et les séquences cibles par différentes méthodes de détection.

La hybridation in situ est souvent utilisée pour étudier l'expression génique au niveau cellulaire et subcellulaire dans des tissus normaux ou pathologiques, ce qui permet d'identifier la distribution et l'abondance relative des gènes d'intérêt. Elle peut également être utilisée en combinaison avec d'autres techniques pour caractériser les réarrangements chromosomiques et les mutations génétiques dans des cellules cancéreuses ou autres maladies liées à des altérations génétiques.

Il existe plusieurs types d'hybridation in situ, y compris l'hybridation in situ standard (FISH), l'hybridation in situ en chromosome entier (EISH), et l'hybridation in situ avec amplification par réaction en chaîne de la polymérase (PCR-ISH). Chacune de ces méthodes a ses avantages et ses limites, et elles sont utilisées dans différents contextes pour répondre à des questions spécifiques en recherche biomédicale.

Les récepteurs de l'adénylate cyclase activant l'polypeptide hypophysaire de type I (PAC1-R) font partie d'une famille de récepteurs couplés aux protéines G qui sont activés par le polypeptide activateur de l'adénylate cyclase hypophysaire (PACAP). Le PACAP est un neuropeptide qui joue un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que la neurotransmission, la neurogénèse, l'homéostasie énergétique et la fonction endocrine.

Le récepteur PAC1-R est codé par le gène ADCYAP1R1 et se trouve principalement dans le système nerveux central, bien qu'il ait également été détecté dans d'autres tissus, tels que le cœur, les poumons et le tractus gastro-intestinal. Le récepteur PAC1-R est couplé à l'adénylate cyclase, ce qui entraîne une augmentation de la production de AMPc à la suite de son activation par le PACAP.

L'activation du récepteur PAC1-R est impliquée dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que l'anxiété, la dépression, l'épilepsie, la douleur, les troubles de la mémoire et les maladies neurodégénératives. De plus, des études ont suggéré que le récepteur PAC1-R pourrait être une cible thérapeutique prometteuse pour le traitement de ces conditions.

Les protéines et peptides de signalisation intracellulaire sont des molécules qui jouent un rôle crucial dans la communication et la régulation des processus cellulaires. Contrairement aux messagers chimiques extracellulaires tels que les hormones et les neurotransmetteurs, ces protéines et peptides fonctionnent à l'intérieur de la cellule pour transmettre des signaux entre différentes molécules et organites cellulaires.

Les protéines de signalisation intracellulaire comprennent une variété de types moléculaires, tels que les kinases, les phosphatases, les récepteurs nucléaires et les facteurs de transcription. Elles sont souvent activées ou désactivées en réponse à des signaux extracellulaires, tels que l'exposition à des hormones, des facteurs de croissance ou des nutriments spécifiques. Une fois actives, ces protéines peuvent déclencher une cascade de réactions biochimiques qui régulent divers processus cellulaires, y compris la transcription génétique, la traduction protéique, le métabolisme et la croissance cellulaire.

Les peptides de signalisation intracellulaire sont des petites chaînes d'acides aminés qui fonctionnent souvent comme des modulateurs de la communication intercellulaire. Ils peuvent être libérés par des cellules dans le cadre d'un processus de communication paracrine ou autocrine, où ils se lient à des récepteurs spécifiques sur la surface de la même cellule ou d'une cellule voisine pour déclencher une réponse intracellulaire.

Dans l'ensemble, les protéines et peptides de signalisation intracellulaire sont des éléments clés du système complexe de régulation et de communication qui permet aux cellules de fonctionner de manière coordonnée et efficace dans le cadre d'un organisme vivant.

Les protéines tumorales, également connues sous le nom de marqueurs tumoraux, sont des substances (généralement des protéines) que l'on peut trouver en quantités anormalement élevées dans le sang, l'urine ou d'autres tissus du corps lorsqu'une personne a un cancer. Il est important de noter que ces protéines peuvent également être présentes en petites quantités chez les personnes sans cancer.

Il existe différents types de protéines tumorales, chacune étant associée à un type spécifique de cancer ou à certains stades de développement du cancer. Par exemple, la protéine tumorale PSA (antigène prostatique spécifique) est souvent liée au cancer de la prostate, tandis que l'ACE (antigène carcinoembryonnaire) peut être associé au cancer colorectal.

L'utilisation des protéines tumorales dans le diagnostic et le suivi du cancer est un domaine en évolution constante de la recherche médicale. Elles peuvent aider au dépistage précoce, à l'établissement d'un diagnostic, à la planification du traitement, à la surveillance de la réponse au traitement et à la détection des récidives. Cependant, leur utilisation doit être soigneusement évaluée en raison de leur faible spécificité et sensibilité, ce qui signifie qu'elles peuvent parfois donner des résultats faussement positifs ou négatifs. Par conséquent, les protéines tumorales sont généralement utilisées en combinaison avec d'autres tests diagnostiques et cliniques pour obtenir une image plus complète de la santé du patient.

Un carcinome est un type de cancer qui commence dans les cellules épithéliales, qui sont les cellules qui tapissent la surface des organes et des glandes. Ces cellules ont une forme aplatie et une fonction de protection ou de sécrétion. Les carcinomes peuvent se développer à partir de divers types d'épithélium dans tout le corps, y compris la peau, les poumons, le sein, le côlon, la prostate et le rein.

Les carcinomes peuvent être classés en plusieurs sous-types en fonction de leur apparence au microscope et de leurs caractéristiques moléculaires. Certains des sous-types courants comprennent les carcinomes squameux, les adénocarcinomes, les carcinomes à cellules basales et les carcinomes à cellules rénales.

Les facteurs de risque pour le développement d'un carcinome peuvent inclure l'exposition aux rayonnements, au tabagisme, à certaines substances chimiques, à une infection virale ou bactérienne, à des antécédents familiaux de cancer et au vieillissement.

Le traitement d'un carcinome dépend du type et du stade du cancer, ainsi que de la santé générale du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à l'aide de rayonnements, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses avec des médicaments, ou une thérapie ciblée pour attaquer des caractéristiques spécifiques des cellules cancéreuses.

Un inhibiteur de kinase cycline-dépendante de p27, également connu sous le nom d'inhibiteur de CDKN1B ou p27Kip1, est une protéine qui inhibe l'activité des kinases cycline-dépendantes (CDK), en particulier les complexes CDK2/cycline E et CDK4/cycline D. Ces kinases sont des régulateurs clés du cycle cellulaire et jouent un rôle crucial dans la transition de la phase G1 à la phase S du cycle cellulaire.

L'inactivation de p27 est souvent observée dans divers types de cancer, ce qui entraîne une activation accrue des kinases CDK et une prolifération cellulaire incontrôlée. Par conséquent, les inhibiteurs de kinase cycline-dépendante de p27 sont étudiés comme des agents thérapeutiques potentiels pour le traitement du cancer. Ils peuvent fonctionner en augmentant les niveaux de p27 ou en mimant ses effets inhibiteurs sur les kinases CDK.

Les exemples d'inhibiteurs de kinase cycline-dépendante de p27 comprennent des composés synthétiques tels que les dérivés de flavone et de coumarine, ainsi que des molécules naturelles telles que les alcaloïdes de la vinca et les isoflavones de soja. Cependant, il convient de noter que ces composés peuvent avoir des effets secondaires indésirables et doivent être étudiés plus avant pour évaluer leur sécurité et leur efficacité en tant qu'agents thérapeutiques.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

L'hypophyse intermédiaire, également connue sous le nom de glande neurosécrétrice intermédiaire, est un petit lobe situé entre les lobes antérieur et postérieur de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Bien que petite en taille, elle joue un rôle crucial dans la régulation des hormones et des processus corporels.

L'hypophyse intermédiaire est responsable de la production et de la sécrétion d'une hormone unique appelée mélanotrope ou MSH (hormone stimulant les mélanocytes). Cette hormone joue un rôle dans la régulation du pigment de la peau, des cheveux et des poils chez certains animaux, en particulier ceux qui sont sujets à des changements de couleur de peau saisonniers. Chez l'être humain, son rôle est moins clair, bien qu'elle puisse jouer un rôle dans la régulation de l'appétit et du poids corporel.

L'hypophyse intermédiaire est également le site de production d'une protéine appelée facteur inhibiteur de la libération de somatotropine (SRIF), qui régule la sécrétion de l'hormone de croissance et de la prolactine par l'hypophyse antérieure.

Des anomalies dans le développement ou le fonctionnement de l'hypophyse intermédiaire peuvent entraîner des troubles hormonaux et d'autres problèmes de santé, tels que la maladie de Cushing, l'acromégalie et certains types de nanisme.

La thyroxine, également connue sous le nom de T4, est une hormone produite par la glande thyroïde. Elle joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement de l'organisme. La thyroxine est synthétisée à partir de tyrosine (un acide aminé) et d'iode. Une fois sécrétée, une partie de la thyroxine se lie à des protéines de transport dans le sang, tandis que l'autre partie reste sous forme libre (FT4). Les taux anormaux de thyroxine peuvent entraîner des déséquilibres hormonaux, tels qu'une hyperthyroïdie (taux élevés) ou une hypothyroïdie (taux bas), qui peuvent provoquer divers symptômes et complications médicales.

La sous-unité bêta de l'hormone folliculo-stimulante (FSHβ) est une glycoprotéine qui forme, avec la sous-unité alpha (FSHα), l'hormone folliculo-stimulante (FSH). La FSH est une hormone gonadotrope sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau.

La FSH joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions reproductives chez les deux sexes. Chez les femmes, elle stimule la croissance et la maturation des follicules ovariens dans les ovaires, ce qui conduit à la libération d'un ovule mature pendant l'ovulation. Chez les hommes, la FSH stimule la production de spermatozoïdes dans les testicules.

La sous-unité bêta de la FSH est codée par le gène FSHB situé sur le chromosome 11 humain. Des mutations dans ce gène peuvent entraîner des troubles de la fonction reproductive, tels que l'infertilité ou une puberté précoce.

La polypose adénomateuse colique familiale (FAP, pour Family Adenomatous Polyposis) est une maladie génétique rare caractérisée par la présence de centaines à milliers de polypes adénomateux dans le colon et le rectum. Ces polypes sont des tumeurs bénignes mais présentent un risque élevé de transformation en cancer colorectal si elles ne sont pas traitées.

La FAP est causée par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui code pour une protéine impliquée dans la régulation de la croissance cellulaire et de l'apoptose (mort cellulaire programmée). Cette mutation entraîne une production anormale ou absente de la protéine APC, ce qui conduit à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la formation de polypes.

Les symptômes de la FAP comprennent des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal (diarrhée, constipation), de la fatigue, une perte de poids et une anémie. Le diagnostic est généralement posé par colonoscopie, qui permet de détecter et de compter le nombre de polypes dans le colon et le rectum.

Le traitement de la FAP consiste en une colectomie totale ou subtotale avec anastomose iléo-anale, qui permet d'enlever tous les polypes colorectaux et de prévenir ainsi le développement d'un cancer colorectal. Des suivis réguliers par colonoscopie sont également nécessaires pour détecter et enlever tout polype réapparaissant dans le côlon restant ou dans l'iléon.

La FAP est une maladie héréditaire autosomique dominante, ce qui signifie qu'un seul parent atteint a 50% de chances de transmettre la maladie à ses enfants. Les membres de la famille d'une personne atteinte de FAP peuvent bénéficier d'un dépistage génétique pour déterminer s'ils ont hérité du gène muté responsable de la maladie.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Les nerfs crâniens sont des nerfs qui émergent directement du cerveau et du tronc cérébral pour innerver les structures de la tête et du cou. Il y a 12 paires de nerfs crâniens au total, chacun ayant une fonction spécifique.

Les atteintes des nerfs crâniens se réfèrent à des dommages ou des lésions qui affectent un ou plusieurs de ces nerfs. Les causes les plus courantes d'atteintes des nerfs crâniens comprennent les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, les infections, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies neurologiques dégénératives.

Les symptômes d'atteintes des nerfs crâniens varient en fonction du nerf ou des nerfs affectés. Par exemple, une atteinte du nerf optique peut entraîner une perte de vision, tandis qu'une atteinte du nerf facial peut provoquer une paralysie faciale. D'autres symptômes peuvent inclure des douleurs, des engourdissements, des picotements, des faiblesses musculaires et des troubles de l'équilibre ou de la coordination.

Le diagnostic d'atteintes des nerfs crâniens implique généralement un examen neurologique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, un examen physique et des tests diagnostiques tels que des imageries cérébrales ou des électromyogrammes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'atteinte nerveuse et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une réadaptation.

Le chiasma optique est une structure anatomique du cerveau où les nerfs optiques se croisent. Plus précisément, il s'agit du point où la moitié des fibres nerveuses de chaque nerf optique se croise, permettant ainsi aux informations visuelles provenant de chaque côté de l'espace visuel d'être transmises au cerveau opposé.

Ce processus est important pour la perception de la profondeur et de la localisation des objets dans l'espace. Les troubles du chiasma optique peuvent entraîner une variété de symptômes visuels, tels qu'une vision double ou une perte de vision périphérique.

Le chiasma optique est situé juste en avant de la glande pituitaire et au-dessus du corps calleux, qui est la structure qui relie les deux hémisphères cérébraux. Il s'agit d'une structure complexe qui implique non seulement le croisement des fibres nerveuses, mais aussi l'intégration de diverses informations sensorielles et régulatrices du système nerveux autonome.

Le diabète insipide central est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production inadéquate d'hormone antidiurétique (ADH) ou une résistance à son action, entraînant une polyurie sévère (production excessive d'urine) et une polydipsie (soif extrême). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide central n'a aucun lien avec les taux de sucre dans le sang.

L'hormone antidiurétique est produite par l'hypothalamus et stockée dans la neurohypophyse. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique de l'organisme en augmentant la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux, ce qui diminue la production d'urine. Dans le diabète insipide central, une lésion ou une maladie affectant l'hypothalamus ou la neurohypophyse peut entraîner une déficience en ADH et provoquer les symptômes typiques du diabète insipide central.

Les causes possibles du diabète insipide central comprennent des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des méningites, des encéphalites, des malformations congénitales, une intervention chirurgicale au cerveau et certaines affections auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue, ce qui est alors qualifié de diabète insipide idiopathique central.

Le diagnostic du diabète insipide central repose généralement sur des tests de privation d'eau et des mesures des taux d'hormone antidiurétique. Le traitement consiste souvent en un apport supplémenentaire d'une forme synthétique d'hormone antidiurétique (desmopressine) pour compenser le déficit en ADH. Une fois le traitement instauré, les symptômes du diabète insipide central peuvent être bien contrôlés et la qualité de vie des patients peut être améliorée de manière significative.

L'hormone lutéinisante (LH) est une glycoprotéine hormonale qui est produite et sécrétée par les cellules gonadotropes de l'antéhypophyse dans le cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères, y compris les humains. La LH est composée de deux sous-unités alpha et bêta, qui sont toutes deux nécessaires à sa fonction biologique spécifique.

La sous-unité bêta de l'hormone lutéinisante (LH-β) est une protéine qui se combine avec la sous-unité alpha commune pour former la molécule entière de LH. La séquence d'acides aminés spécifique de la sous-unité bêta détermine l'activité biologique de la LH et lui permet de se lier à son récepteur spécifique dans les tissus cibles.

La LH-β est synthétisée et sécrétée en réponse à la stimulation de la glande pituitaire par deux facteurs de libération hypothalamiques : la GnRH (gonadotrophine-réleasing hormone) et la dopamine. La LH-β joue un rôle essentiel dans la régulation du cycle menstruel chez les femmes, en déclenchant l'ovulation et en favorisant la formation du corps jaune dans l'ovaire. Chez les hommes, elle stimule la production de testostérone dans les testicules.

Des variations dans la structure et la fonction de la sous-unité bêta de l'hormone lutéinisante peuvent entraîner des troubles hormonaux et reproductifs, tels que des anomalies du cycle menstruel, une infertilité ou une diminution de la production de testostérone.

La tuberculose endocrinienne est une forme rare de tuberculose qui affecte les glandes endocrines, telles que la glande thyroïde, le pancréas, l'hypophyse et les gonades. Elle se produit lorsque Mycobacterium tuberculosis, le bacille responsable de la tuberculose, infecte ces glandes et perturbe leur fonctionnement normal. Les symptômes dépendent de la glande affectée et peuvent inclure des troubles métaboliques, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une prise ou une perte de poids, des problèmes de vision, des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido. Le diagnostic repose généralement sur l'analyse d'échantillons de tissus ou de liquides biologiques, et le traitement consiste en une combinaison d'antibiotiques spécifiques contre la tuberculose et de médicaments visant à remplacer les hormones manquantes.

Une mutation de lignée germinale fait référence à une modification permanente et héréditaire du matériel génétique qui se produit dans les cellules reproductrices (gamètes) d'un individu, c'est-à-dire dans les spermatozoïdes chez l'homme ou dans les ovocytes chez la femme. Ces mutations sont transmises à la descendance et peuvent entraîner des changements héréditaires dans les caractéristiques génétiques, y compris les prédispositions aux maladies génétiques. Contrairement aux mutations somatiques, qui ne concernent que les cellules non reproductrices et n'affectent donc pas la lignée germinale, les mutations de lignée germinale ont un impact sur la constitution génétique des générations futures.

Il est important de noter qu'une mutation dans une lignée germinale ne signifie pas nécessairement que la maladie se développera chez l'individu qui en hérite, car certains gènes peuvent tolérer des modifications sans provoquer de problèmes de santé. Cependant, dans d'autres cas, ces mutations peuvent entraîner des maladies graves ou même mettre la vie en danger, selon le type et l'emplacement de la mutation.

Les mutations de lignée germinale peuvent être détectées par des tests génétiques spécifiques, tels que l'analyse du séquençage de l'exome ou du génome entier, qui permettent d'identifier les variations dans le matériel génétique hérité. Ces informations peuvent être utiles pour la planification familiale et la gestion des risques de maladies héréditaires.

Les méthodes immuno-enzymatiques (MIE) sont des procédés analytiques basés sur l'utilisation d'anticorps marqués à une enzyme pour détecter et quantifier des molécules spécifiques, appelées analytes, dans un échantillon. Ces méthodes sont largement utilisées en diagnostic médical et en recherche biomédicale pour la détermination de divers biomarqueurs, protéines, hormones, drogues, vitamines, et autres molécules d'intérêt.

Le principe des MIE repose sur l'interaction spécifique entre un anticorps et son antigène correspondant. Lorsqu'un échantillon contenant l'analyte est mélangé avec des anticorps marqués, ces derniers se lient à l'analyte présent dans l'échantillon. Ensuite, une réaction enzymatique est initiée par l'enzyme liée à l'anticorps, ce qui entraîne la production d'un produit de réaction coloré ou luminescent. La quantité de produit formé est directement proportionnelle à la concentration de l'analyte dans l'échantillon et peut être déterminée par des mesures spectrophotométriques, fluorimétriques ou chimiluminescentes.

Les MIE comprennent plusieurs techniques couramment utilisées en laboratoire, telles que l'immunoessai enzymatique lié (ELISA), l'immunochromatographie en bandelette (LFIA), et les immuno-blots. Ces méthodes offrent des avantages tels qu'une grande sensibilité, une spécificité élevée, une facilité d'utilisation, et la possibilité de multiplexage pour détecter simultanément plusieurs analytes dans un seul échantillon.

En résumé, les méthodes immuno-enzymatiques sont des procédés analytiques qui utilisent des anticorps marqués avec une enzyme pour détecter et quantifier des molécules spécifiques dans un échantillon, offrant une sensibilité et une spécificité élevées pour une variété d'applications en recherche et en diagnostic.

Un inhibiteur de kinase cycline-dépendante P18 est un type de protéine qui régule négativement l'activité de la kinase cycline-dépendante 4 (CDK4) et 6 (CDK6), qui sont des enzymes impliquées dans la régulation du cycle cellulaire. Plus précisément, l'inhibiteur P18 de kinase cycline-dépendante se lie à la CDK4 ou CDK6 pour empêcher leur activation et ainsi arrêter la progression du cycle cellulaire. Cette protéine inhibitrice joue un rôle important dans la régulation de la croissance et de la division des cellules, et des mutations ou des altérations dans son gène peuvent contribuer au développement de divers types de cancer.

L'hémianopsie est un terme médical désignant une perte de vision dans la moitié du champ visuel d'un œil ou des deux yeux. Elle peut être homonyme, ce qui signifie que la perte de vision est similaire dans les deux yeux, ou hétéronyme, ce qui signifie que la perte de vision est différente entre les deux yeux. L'hémianopsie peut résulter de diverses affections médicales, y compris des lésions cérébrales, des tumeurs cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux ou d'autres conditions qui endommagent ou compriment la région du cerveau responsable du traitement des informations visuelles. Les personnes atteintes d'hémianopsie peuvent avoir des difficultés à conduire, lire ou effectuer d'autres tâches qui nécessitent une vision normale. Le traitement de l'hémianopsie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des lunettes spéciales, une rééducation visuelle ou une intervention chirurgicale.

L'histochimie est une branche de la histologie et de la chimie qui étudie la distribution et la composition chimique des tissus et cellules biologiques. Elle consiste en l'utilisation de techniques chimiques pour identifier et localiser les composés chimiques spécifiques dans les tissus, telles que les protéines, les lipides, les glucides et les pigments. Ces techniques peuvent inclure des colorations histochimiques, qui utilisent des réactifs chimiques pour marquer sélectivement certains composés dans les tissues, ainsi que l'immunohistochimie, qui utilise des anticorps pour détecter et localiser des protéines spécifiques. Les résultats de ces techniques peuvent aider au diagnostic et à la compréhension des maladies, ainsi qu'à la recherche biomédicale.

L'hypothalamus est une petite glande endocrine située dans le diencéphale du cerveau. Il joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions essentielles à la survie, notamment la régulation de la température corporelle, du rythme cardiaque, de l'appétit, de la soif, du sommeil, de l'humeur et des émotions.

L'hypothalamus sert également de centre de contrôle pour le système endocrinien en influençant la sécrétion d'hormones par l'hypophyse, une glande située juste au-dessous de lui. Par exemple, il produit des facteurs qui stimulent ou inhibent la libération des hormones thyroïdiennes, des stéroïdes sexuels et de l'hormone de croissance par l'hypophyse.

En outre, l'hypothalamus contient des neurones qui produisent des neurotransmetteurs et des neuropeptides qui régulent divers processus physiologiques, tels que la douleur, le plaisir, la récompense, l'addiction, l'agressivité et la parentalité.

Des troubles de l'hypothalamus peuvent entraîner une variété de symptômes, selon la région spécifique affectée et la fonction qu'elle régule. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des maladies génétiques ou d'autres facteurs sous-jacents.

La neurochirurgie est une spécialité médico-chirurgicale qui se concentre sur le diagnostic, le traitement et la gestion des conditions et des maladies affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et le système nerveux périphérique (nerfs crâniens, nerfs spinaux et leurs racines, plexus nerveux et ganglions). Les neurochirurgiens utilisent une combinaison de techniques chirurgicales ouvertes, mini-invasives et stéréotaxiques, ainsi que des traitements non chirurgicaux tels que la radiothérapie stéréotaxique, pour traiter des affections telles que les tumeurs cérébrales et de la moelle épinière, l'épilepsie, les anévrismes et dissections des artères intracrâniennes, les malformations vasculaires, les traumatismes crâniens et médullaires, les hernies discales, la sténose spinale, la maladie dégénérative du rachis, les infections du système nerveux central et d'autres pathologies neurologiques.

Un marqueur biologique tumoral, également connu sous le nom de biomarqueur tumoral, est une substance ou un signe que l'on peut détecter dans le sang, d'autres fluides corporels, ou des tissus qui peuvent indiquer la présence d'une tumeur cancéreuse ou d'un processus pathologique spécifique. Ces marqueurs peuvent être des protéines, des gènes, des hormones ou d'autres molécules produites par les cellules cancéreuses ou par l'organisme en réponse à la présence de la tumeur.

Les marqueurs biologiques tumoraux sont souvent utilisés pour aider au diagnostic, au staging (détermination du degré d'avancement) et au suivi du traitement du cancer. Cependant, il est important de noter que ces marqueurs ne sont pas spécifiques à un seul type de cancer et peuvent être présents dans d'autres conditions médicales. Par conséquent, ils doivent être utilisés en combinaison avec d'autres tests diagnostiques pour confirmer le diagnostic de cancer.

Exemples courants de marqueurs biologiques tumoraux comprennent l'antigène prostatique spécifique (PSA) pour le cancer de la prostate, l'alpha-fœtoprotéine (AFP) pour le cancer du foie, et l'antigène carcinoembryonnaire (CEA) pour le cancer colorectal.

La maladie d'Addison, également connue sous le nom de insuffisance surrénalienne primaire, est un trouble endocrinien dans lequel les glandes surrénales ne produisent pas suffisamment des hormones stéroïdes essentielles telles que le cortisol et l'aldostérone. Les glandes surrénales sont situées au-dessus des reins et font partie du système endocrinien, qui aide à réguler divers processus dans le corps en libérant des hormones dans la circulation sanguine.

Dans la maladie d'Addison, l'écorce des glandes surrénales (la couche externe) est endommagée ou détruite, ce qui entraîne une réduction de la production de cortisol et d'aldostérone. Le cortisol aide à réguler le métabolisme, à répondre au stress, à contrôler l'inflammation et à maintenir la glycémie stable. L'aldostérone maintient l'équilibre des électrolytes et de l'eau dans le corps en régulant la quantité de sodium et de potassium excrétée par les reins.

Les symptômes courants de la maladie d'Addison comprennent la fatigue, la faiblesse, la perte d'appétit, la perte de poids, la nausées, la diarrhée, l'hypertension artérielle, les vertiges, les crampes musculaires, les changements de peau (y compris les taches sombres sur la peau connues sous le nom de mélanodermie) et l'hypotension orthostatique. Les symptômes peuvent s'aggraver progressivement avec le temps et peuvent être déclenchés par des facteurs de stress physiques ou émotionnels.

La maladie d'Addison peut être causée par une variété de facteurs, y compris des affections auto-immunes, des infections, des lésions rénales, des tumeurs et certains médicaments. Le diagnostic repose généralement sur des tests sanguins qui évaluent les niveaux d'hormones et d'électrolytes, ainsi que sur des tests d'imagerie pour exclure d'autres causes possibles de symptômes.

Le traitement de la maladie d'Addison implique généralement un remplacement hormonal à vie pour compenser les déficits en hormones. Les patients peuvent recevoir des suppléments d'hydrocortisone et d'aldostérone sous forme de comprimés, ainsi que des suppléments de sel et d'eau pour aider à maintenir l'équilibre électrolytique. Les patients doivent également apprendre à gérer leur maladie en évitant les facteurs de stress excessifs, en surveillant leurs symptômes et en ajustant leur traitement en conséquence.

La maladie d'Addison est une affection chronique qui nécessite un traitement et une gestion à long terme, mais avec un diagnostic et un traitement appropriés, les patients peuvent généralement mener une vie normale et active.

Un hémangiopericytome est une tumeur rare et agressive qui se développe à partir des cellules pericytaires, qui sont des cellules contractiles entourant les vaisseaux sanguins. Cette tumeur peut se produire dans divers endroits du corps, mais elle a une préférence pour le crâne, le cou et la cavité abdominale. Les hémangiopericytomes sont généralement des tumeurs solides, bien qu'ils puissent également être cystiques ou kystiques.

Les symptômes dépendent de la localisation de la tumeur. Dans le cerveau, les patients peuvent présenter des maux de tête, des convulsions, des troubles visuels et des problèmes de coordination. Dans d'autres parties du corps, les patients peuvent ressentir une masse palpable, une douleur ou des saignements.

Le diagnostic d'un hémangiopericytome repose sur l'imagerie médicale, telle que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur une biopsie ou une résection chirurgicale de la tumeur pour examen histopathologique.

Le traitement standard d'un hémangiopericytome est la résection chirurgicale complète de la tumeur, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie adjuvante pour réduire le risque de récidive. Cependant, ces tumeurs ont tendance à se développer à nouveau, même après un traitement agressif. Par conséquent, une surveillance étroite et des examens réguliers sont nécessaires pour détecter toute récidive précoce.

Une craniotomie est une procédure chirurgicale neurochirurgicale où une partie du crâne est temporairement enlevée pour accéder au cerveau. Cela permet aux médecins de traiter diverses affections, telles que les tumeurs cérébrales, les hématomes, les anévrismes cérébraux, ou d'autres conditions qui nécessitent un accès direct au cerveau. Après l'intervention, le bone flap (os du crâne) est généralement remis en place et fixé avec des plaques et des vis. Cependant, dans certains cas, le bone flap peut être retiré de façon permanente, ce qui est alors appelé une craniectomie.

Un tuberculome intracrânien est une forme rare de tuberculose qui affecte le cerveau. Il se présente sous la forme d'une masse granulomateuse formée de cellules immunitaires entourant les bacilles de Koch, les agents causatifs de la tuberculose. Ces granulomes peuvent se former dans divers tissus du cerveau, y compris le parenchyme cérébral, les méninges ou même dans l'espace sous-arachnoïdien.

Les symptômes d'un tuberculome intracrânien dépendent de sa localisation et de sa taille. Ils peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, une faiblesse musculaire, des troubles visuels ou auditifs, des modifications du comportement et dans certains cas, une méningite tuberculeuse peut également être présente.

Le diagnostic repose généralement sur l'imagerie médicale telle qu'une IRM cérébrale, qui montre typiquement une masse bien circonscrite avec un aspect hétérogène. La confirmation du diagnostic nécessite souvent une biopsie pour analyser les tissus et rechercher la présence de bacilles de Koch.

Le traitement standard consiste en une combinaison d'antibiotiques spécifiquement actifs contre Mycobacterium tuberculosis, tels que l'isoniazide, la rifampicine, l'éthambutol et la pyrazinamide, administrés pendant plusieurs mois. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer ou retirer complètement le tuberculome s'il comprime des structures vitales du cerveau ou s'il ne répond pas au traitement médicamenteux.

Les maladies endocriniennes sont un groupe de conditions qui affectent votre système endocrinien. Ce système est composé d'une série de glandes et d'organes qui produisent et sécrètent des hormones dans le sang. Les hormones sont des messagers chimiques qui régulent de nombreuses fonctions importantes de l'organisme, telles que la croissance et le développement, le métabolisme, le sommeil, la reproduction, la réponse au stress et l'humeur.

Les maladies endocriniennes peuvent résulter d'un déséquilibre hormonal, qui peut être dû à une production excessive ou insuffisante d'hormones par les glandes endocrines. Ces déséquilibres peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications, selon la glande affectée et le type d'hormone impliqué.

Les exemples courants de maladies endocriniennes comprennent le diabète sucré, les troubles de la thyroïde, l'insuffisance surrénalienne, l'acromégalie, le gigantisme, le nanisme, les tumeurs hypophysaires et les troubles des ovaires ou des testicules. Le traitement dépend du type de maladie endocrinienne et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une combinaison de ces options.

Je suis désolé, "antihormones" n'est pas un terme médical généralement accepté. Cependant, il est possible que vous cherchiez une explication sur les médicaments qui bloquent ou inhibent l'action des hormones. Ces médicaments sont souvent utilisés dans le traitement de diverses affections, telles que le cancer et certaines maladies endocriniennes.

Par exemple, dans le traitement du cancer du sein hormonodépendant, des médicaments tels que les anti-estrogènes (tels que le tamoxifène) ou les inhibiteurs de l'aromatase peuvent être utilisés pour bloquer l'action des œstrogènes, ce qui peut ralentir ou arrêter la croissance des cellules cancéreuses. De même, dans le traitement du cancer de la prostate, des médicaments tels que les anti-androgènes peuvent être utilisés pour bloquer l'action de la testostérone et d'autres androgènes.

Il est important de noter que ces médicaments ont des effets secondaires importants et doivent être prescrits et surveillés par un médecin.

Les études de suivi, également appelées études de cohorte longitudinales, sont un type d'étude de recherche médicale ou de santé publique dans laquelle une population ou une cohorte initialement identifiée comme exposée ou non exposée à un facteur de risque particulier est surveillée au fil du temps pour déterminer l'incidence d'un événement de santé spécifique, tel qu'une maladie ou un décès.

L'objectif principal des études de suivi est d'établir une relation temporelle entre le facteur d'exposition et l'issue de santé en évaluant les participants à plusieurs reprises sur une période prolongée, ce qui permet de déterminer si l'exposition au facteur de risque entraîne des conséquences négatives sur la santé.

Les études de suivi peuvent fournir des informations importantes sur les causes et les effets des maladies, ainsi que sur les facteurs de risque et de protection associés à une issue de santé spécifique. Elles peuvent également être utiles pour évaluer l'efficacité et la sécurité des interventions de santé publique ou cliniques.

Cependant, il est important de noter que les études de suivi présentent certaines limites, telles que la perte de participants au fil du temps, qui peut entraîner un biais de sélection, et la possibilité d'un biais de rappel lorsque les données sont collectées par enquête. Par conséquent, il est essentiel de concevoir et de mettre en œuvre des études de suivi avec soin pour minimiser ces limites et garantir la validité et la fiabilité des résultats.

L'axe hypothalamo-hypophysaire est un système neuroendocrinien crucial qui régule plusieurs fonctions physiologiques dans le corps. Il s'agit d'un réseau complexe de communication entre l'hypothalamus, une structure du cerveau, et l'hypophyse, une glande située à la base du crâne.

L'hypothalamus produit des facteurs de libération et d'inhibition qui régulent la sécrétion des hormones hypophysaires. Ces facteurs sont transportés le long des vaisseaux sanguins spécialisés appelés les artères porte hypophysaire jusqu'à l'hypophyse antérieure, où ils influencent la production et la libération d'hormones spécifiques.

Les hormones hypophysaires régulent à leur tour plusieurs autres glandes endocrines dans le corps, telles que la thyroïde, les glandes surrénales, et les ovaires ou les testicules. Par conséquent, l'axe hypothalamo-hypophysaire joue un rôle essentiel dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles, y compris la croissance, le développement, la reproduction, le métabolisme, et la réponse au stress.

Des dysfonctionnements de l'axe hypothalamo-hypophysaire peuvent entraîner divers troubles endocriniens, tels que le syndrome de Cushing, l'acromégalie, ou l'hypopituitarisme.

Les cellules lactotropes, également connues sous le nom de cellules mammotropes ou cellules somatotropes mammaires, sont un type spécifique de cellules présentent dans l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Ces cellules sont responsables de la production et de la sécrétion de l'hormone prolactine (PRL), qui joue un rôle crucial dans la lactation et la reproduction chez les mammifères, y compris les humains.

La stimulation des récepteurs de la prolactine dans les cellules lactotropes entraîne la synthèse et la libération de PRL dans le sang. Les facteurs qui influencent la sécrétion de prolactine comprennent l'allaitement maternel, le stress, l'exercice physique, l'hypothyroïdie, et certains médicaments tels que les antidépresseurs tricycliques et les antipsychotiques.

Dans des conditions physiologiques normales, la prolactine joue un rôle important dans la préparation et le maintien de la production de lait maternel pendant l'allaitement. Cependant, une sécrétion excessive de prolactine peut entraîner diverses affections, telles que l'aménorrhée (absence de menstruations), la galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) et l'infertilité.

En résumé, les cellules lactotropes sont des cellules spécialisées dans l'antéhypophyse qui produisent et sécrètent l'hormone prolactine, essentielle à la lactation et à la reproduction.

La perte d'hétérozygotie (LOH), également appelée "perte de hétérozygosité" ou "déficience de l'hétérozygotie", est un phénomène dans lequel une cellule ou un organisme perd un allèle fonctionnel sur un locus chromosomique particulier. Dans un individu hétérozygote pour un gène donné, qui possède donc deux allèles différents de ce gène (par exemple, A et a), la perte d'hétérozygotie entraîne l'acquisition d'une homozygosité complète pour ce locus (par exemple, AA ou aa).

Ce phénomène peut survenir par plusieurs mécanismes, notamment la conversion de gènes, la recombinaison inégale et la perte de chromosomes entiers ou de segments chromosomiques. La perte d'hétérozygotie est souvent observée dans les cellules cancéreuses et peut contribuer au développement et à la progression du cancer en désactivant des gènes suppresseurs de tumeurs ou en activant des oncogènes.

En médecine, l'analyse de la perte d'hétérozygotie est utilisée comme un outil pour identifier les altérations génétiques dans diverses maladies, y compris les cancers et certaines maladies héréditaires.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

L'aménorrhée est une condition médicale dans laquelle une femme n'a pas de règles ou de menstruations pendant une période prolongée. Cela peut être dû à plusieurs facteurs, tels que la grossesse, l'allaitement, les changements hormonaux, les problèmes de poids, le stress émotionnel, certaines maladies chroniques et certains médicaments.

Il existe deux types d'aménorrhée : primaire et secondaire. L'aménorrhée primaire est diagnostiquée lorsqu'une femme n'a pas eu de menstruations d'ici l'âge de 16 ans, tandis que l'aménorrhée secondaire se produit lorsqu'une femme qui a déjà eu des règles normales cesse d'avoir ses règles pendant trois mois ou plus.

L'aménorrhée peut être un symptôme d'un problème de santé sous-jacent, il est donc important de consulter un médecin si vous éprouvez des irrégularités menstruelles ou si vous n'avez pas eu vos règles pendant une période prolongée. Selon la cause sous-jacente, le traitement peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments hormonaux ou d'autres interventions médicales.

Les hormones post-hypophysaires, également connues sous le nom d'hormones neurohypophysaires, sont des peptides hormonaux sécrétés par la neurohypophyse, qui est une glande endocrine faisant partie de l'hypophyse située à la base du cerveau. Contrairement aux autres hormones hypophysaires qui sont produites dans l'adénohypophyse, les hormones post-hypophysaires sont synthétisées dans le cerveau (dans le noyau supraoptique et paraventriculaire du hypothalamus) puis transportées et stockées dans la neurohypophyse avant d'être libérées dans la circulation sanguine en réponse à des stimuli spécifiques.

Il existe deux principales hormones post-hypophysaires :

1. L'ocytocine : elle est responsable de la contraction utérine pendant le travail et l'accouchement, ainsi que de la libération de lait chez les femmes qui allaitent.

2. La vasopressine (ou ADH, hormone antidiurétique) : elle régule la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux dans les reins, ce qui permet de contrôler la concentration d'urine et maintenir l'équilibre hydrique de l'organisme.

En résumé, les hormones post-hypophysaires sont des peptides hormonaux produits par le cerveau et stockés dans la neurohypophyse, jouant un rôle crucial dans la régulation de fonctions telles que l'accouchement, l'allaitement et l'équilibre hydrique.

L'expression génétique est un processus biologique fondamental dans lequel l'information génétique contenue dans l'ADN est transcritte en ARN, puis traduite en protéines. Ce processus permet aux cellules de produire les protéines spécifiques nécessaires à leur fonctionnement, à leur croissance et à leur reproduction.

L'expression génétique peut être régulée à différents niveaux, y compris la transcription de l'ADN en ARNm, la maturation de l'ARNm, la traduction de l'ARNm en protéines et la modification post-traductionnelle des protéines. Ces mécanismes de régulation permettent aux cellules de répondre aux signaux internes et externes en ajustant la production de protéines en conséquence.

Des anomalies dans l'expression génétique peuvent entraîner des maladies génétiques ou contribuer au développement de maladies complexes telles que le cancer. L'étude de l'expression génétique est donc essentielle pour comprendre les mécanismes moléculaires de la maladie et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

Une tumeur carcinoïde est un type rare et spécifique de tumeur neuroendocrine qui se développe à partir des cellules du système neuroendocrinien, qui régule les hormones et d'autres substances chimiques dans le corps. Ces tumeurs peuvent se former dans divers endroits, y compris l'intestin grêle, l'appendice, le poumon, le pancréas, le foie et d'autres organes. Les tumeurs carcinoïdes sont généralement petites et à croissance lente, mais elles peuvent devenir plus agressives et se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps au fil du temps.

Les symptômes des tumeurs carcinoïdes dépendent de leur emplacement et de la sécrétion hormonale associée. Les symptômes courants comprennent des diarrhées, des rougeurs cutanées (flush), une respiration sifflante, des douleurs abdominales, des battements de cœur rapides ou irréguliers et une fatigue extrême. Le diagnostic est généralement posé par l'intermédiaire d'une biopsie et confirmé par des tests d'imagerie tels qu'un scanner ou une IRM.

Le traitement dépend de la taille, de la localisation et de l'étendue de la tumeur. Les options thérapeutiques peuvent inclure la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie, la chimiothérapie, la thérapie ciblée et les médicaments pour contrôler les symptômes associés à la sécrétion hormonale excessive. Le pronostic varie considérablement en fonction du stade de la maladie au moment du diagnostic et de la réponse au traitement.

Les complications tumorales de la grossesse se réfèrent à l'apparition ou la progression d'une tumeur, benigne ou maligne, pendant la grossesse et les effets néfastes que cela peut avoir sur la mère et le fœtus. Ces tumeurs peuvent être préexistantes ou apparaître durant la grossesse. Elles peuvent affecter n'importe quel organe du corps, mais les tumeurs les plus fréquentes sont celles qui se développent dans les seins, les ovaires et l'utérus.

Les complications dépendent du type de tumeur, de sa localisation, de son stade d'évolution et de la prise en charge thérapeutique. Les tumeurs malignes peuvent entraîner une augmentation du risque de prééclampsie, de naissance prématurée, de retard de croissance intra-utérin et de mort fœtale in utero. De plus, le traitement de ces tumeurs peut être complexe en raison des risques potentiels pour le fœtus. Les options thérapeutiques incluent souvent une surveillance rapprochée, une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie, en fonction de la situation clinique spécifique.

Un adénocarcinome est un type de cancer qui se développe dans les cellules glandulaires. Ces cellules sont présentes dans de nombreux tissus et organes du corps, et elles produisent des substances telles que des mucus ou des hormones.

Les adénocarcinomes peuvent survenir dans divers endroits, notamment les poumons, le sein, le côlon, le rectum, l'estomac, la prostate et le pancréas. Ils se développent à partir d'une tumeur bénigne appelée adénome, qui peut devenir cancéreuse au fil du temps.

Les symptômes de l'adénocarcinome dépendent de son emplacement dans le corps. Par exemple, un adénocarcinome du sein peut provoquer une masse ou une grosseur palpable, tandis qu'un adénocarcinome du poumon peut causer une toux persistante, des douleurs thoraciques et des expectorations sanglantes.

Le traitement de l'adénocarcinome dépend également de son emplacement et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Le pronostic varie en fonction du type et du stade du cancer, ainsi que de facteurs tels que l'âge et l'état de santé général du patient.

Le gène Rétinoblastome (RB1) est un gène suppresseur de tumeurs qui joue un rôle crucial dans le contrôle de la croissance cellulaire et la division. Il code pour une protéine, la protéine RB1, qui est impliquée dans la régulation du cycle cellulaire en empêchant les cellules de se diviser de manière incontrôlable.

Des mutations dans le gène RB1 peuvent entraîner un non-fonctionnement de la protéine RB1, ce qui peut conduire au développement d'une tumeur maligne appelée rétinoblastome. Ce cancer affecte généralement les cellules du cristallin de l'œil chez les enfants et est souvent héréditaire. Les deux copies du gène RB1 doivent être mutées pour que le rétinoblastome se développe, ce qui peut se produire soit dans toutes les cellules de l'œil (forme bilatérale et/ou multifocale), soit dans une seule cellule de l'œil (forme unilatérale et/ou unifocale).

La découverte du gène RB1 a été une percée majeure dans la compréhension des mécanismes sous-jacents au développement du cancer, ainsi que dans le développement de thérapies ciblées pour traiter les tumeurs associées à des mutations du gène RB1.

Les tumeurs surrénaliennes sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes telles que l'adrénaline, le cortisol et les androgènes.

Les tumeurs surrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes surrénaliens et sont relativement courantes, affectant environ 3 à 10 personnes sur 100 000. La plupart des adénomes surrénaliens ne causent pas de symptômes et ne nécessitent aucun traitement.

Cependant, certaines tumeurs surrénales peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, les tumeurs surrénales qui produisent de l'adrénaline peuvent causer des palpitations cardiaques, de l'anxiété, de la transpiration et des tremblements. Les tumeurs surrénales qui produisent du cortisol peuvent entraîner une prise de poids, un visage bouffi, une pression artérielle élevée, une faiblesse musculaire et une fragilité osseuse.

Les tumeurs surrénales malignes sont appelées phéochromocytomes ou corticosurrénalomes, selon l'hormone qu'elles produisent. Ces tumeurs sont rares mais peuvent être très dangereuses car elles peuvent entraîner une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou même la mort si elles ne sont pas traitées rapidement.

Le diagnostic des tumeurs surrénales implique généralement une combinaison de tests d'imagerie et de tests sanguins pour déterminer la taille, l'emplacement et le type de tumeur. Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Les tumeurs des méninges sont des growths anormaux qui se développent dans les membranes protectrices (les méninges) qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de comportement ou de personnalité, des problèmes d'équilibre et de coordination, une faiblesse musculaire ou une paralysie. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie.

La dysplasie fibreuse polyostotique (DFP) est une maladie génétique rare des os qui se caractérise par la croissance anormale de tissus fibreux dans et autour des os. Cela peut entraîner une fragilité osseuse, des déformations et une augmentation du risque de fractures. La DFP affecte généralement plusieurs os (d'où le terme "polyostotique"), en particulier ceux de la colonne vertébrale, du bassin, des jambes et des bras.

Les symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de légers à sévères. Ils peuvent inclure des douleurs osseaires, une boiterie, une courbure de la colonne vertébrale (scoliose), une réduction de la croissance et une déformation des os affectés. Dans certains cas, la DFP peut également affecter d'autres systèmes du corps, tels que les dents, la peau et les hormones.

La DFP est causée par une mutation dans le gène GNAS1. Cette maladie est héréditaire, mais elle peut aussi se produire spontanément chez les personnes sans antécédents familiaux de la maladie. Le diagnostic de la DFP est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'imagerie médicale, tels que les radiographies et les scanners osseux. Dans certains cas, une biopsie osseuse peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement de la DFP vise à gérer les symptômes et à prévenir les complications. Il peut inclure des médicaments pour renforcer les os, une thérapie physique pour améliorer la force musculaire et la mobilité, et dans certains cas, une chirurgie pour corriger les déformations osseuses graves. Les personnes atteintes de DFP doivent également être surveillées régulièrement par un médecin pour dépister d'éventuelles complications liées à la maladie.

Le gène APC (Adenomatous Polyposis Coli) est un gène suppresseur de tumeurs situé sur le bras long du chromosome 5 (5q21-q22). Il joue un rôle crucial dans la régulation des voies de signalisation qui contrôlent la croissance et la division cellulaires. Les mutations du gène APC sont associées à plusieurs affections médicales, telles que la polypose adénomateuse familiale (PAF), une maladie héréditaire caractérisée par le développement de centaines à des milliers de polypes dans le côlon et le rectum. Ces polypes présentent un risque élevé de devenir cancéreux si non traités. De plus, certaines mutations du gène APC ont été identifiées dans certains types de cancer colorectal sporadique (non héréditaire).

Le produit protéique du gène APC, la protéine APC, est une protéine multifonctionnelle qui participe à divers processus cellulaires, notamment la stabilisation des microtubules, l'apoptose (mort cellulaire programmée), la transcription et la régulation de la voie de signalisation Wnt. La protéine APC forme un complexe avec d'autres protéines pour réguler la dégradation de la β-caténine, une protéine clé impliquée dans la voie de signalisation Wnt. Lorsque le gène APC est muté, la régulation de la β-caténine est altérée, entraînant une accumulation anormale de cette protéine et l'activation de gènes cibles qui favorisent la croissance cellulaire et la division. Ces événements contribuent au développement des polypes et, éventuellement, du cancer colorectal dans le contexte de la PAF ou d'autres affections liées à des mutations APC.

Les neuropeptides sont de courtes chaînes d'acides aminés qui agissent comme des neurotransmetteurs ou des modulateurs de neurotransmission dans le système nerveux central. Ils jouent un rôle crucial dans la médiation d'une variété de processus physiologiques et comportementaux, y compris la douleur, l'appétit, l'humeur, la récompense, le stress, l'addiction et la mémoire. Les neuropeptides sont synthétisés à partir de précurseurs protéiques dans les neurones et sont stockés dans des vésicules avant d'être libérés dans la fente synaptique en réponse à une stimulation appropriée. Une fois libérés, ils peuvent se lier à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, déclenchant ainsi une cascade de réactions qui modulent l'activité neuronale.

Les exemples courants de neuropeptides comprennent la substance P, les endorphines, la cholécystokinine, la vasopressine et l'ocytocine. Les déséquilibres dans les systèmes de neuropeptides ont été impliqués dans divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la douleur chronique, la dépression, l'anxiété et la toxicomanie. Par conséquent, une meilleure compréhension des mécanismes d'action des neuropeptides peut fournir des cibles thérapeutiques prometteuses pour le développement de nouveaux traitements pour ces conditions.

Le récepteur dopamine D2 est un type de récepteur à la dopamine, qui est une neurotransmetteur dans le cerveau. Il s'agit d'un récepteur couplé aux protéines G qui inhibe l'adénylate cyclase et diminue ainsi les niveaux de second messager intracellulaire, le cyclique AMP. Les récepteurs D2 jouent un rôle important dans la modulation des voies de signalisation dans le cerveau et sont ciblés par de nombreux médicaments utilisés pour traiter les troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la schizophrénie et la maladie de Parkinson. Les récepteurs D2 se trouvent en grande concentration dans l' striatum, une région du cerveau qui joue un rôle clé dans le contrôle moteur et la récompense.

Le cathétérisme des sinus pétreux est une procédure interventionnelle radiologique utilisée pour le diagnostic et le traitement de certaines affections des sinus veineux cérébraux. Les sinus pétreux sont deux cavités situées dans les os temporaux du crâne qui reçoivent le sang veineux drainé du cerveau et des méninges.

La procédure consiste à insérer un petit cathéter (tube flexible) dans les sinus pétreux via une veine jugulaire interne, sous guidage fluoroscopique ou tomodensitométrique. Cela permet au médecin de visualiser directement les sinus et d'identifier toute anomalie telle que des caillots sanguins, des tumeurs ou une inflammation.

Le cathétérisme des sinus pétreux peut également être utilisé pour traiter certaines affections, telles que la thrombose veineuse cérébrale, en injectant des médicaments directement dans les sinus. Ces médicaments peuvent inclure des thrombolytiques pour dissoudre les caillots sanguins ou des stents pour maintenir les sinus ouverts.

Comme toute procédure invasive, le cathétérisme des sinus pétreux comporte certains risques, tels que des saignements, des infections, des réactions allergiques aux médicaments utilisés pendant la procédure et des dommages aux vaisseaux sanguins ou aux nerfs environnants. Par conséquent, il est important que la procédure ne soit réalisée que par un médecin expérimenté dans cette technique spécifique.

L'ARN tumoral, ou ARN non codant des tumeurs, fait référence aux types d'acide ribonucléique (ARN) présents dans les cellules cancéreuses qui ne sont pas traduits en protéines. Contrairement à l'ARN messager (ARNm), qui sert de modèle pour la synthèse des protéines, l'ARN tumoral est principalement impliqué dans la régulation de l'expression génétique et d'autres processus cellulaires.

Les chercheurs ont identifié plusieurs types d'ARN tumoraux qui peuvent contribuer au développement et à la progression du cancer, notamment :

1. ARN non codants longs (lncRNA) : Ces molécules d'ARN de plus de 200 nucléotides sont souvent exprimées de manière anormale dans les tumeurs et peuvent réguler l'expression des gènes en interagissant avec l'ADN, l'ARN ou les protéines.
2. microARN (miRNA) : Ces petites molécules d'ARN de 18 à 25 nucléotides peuvent réguler l'expression des gènes en se liant aux ARNm et en favorisant leur dégradation ou en inhibant leur traduction en protéines.
3. Petits ARN interférents (siRNA) : Similaires aux miARN, ces petites molécules d'ARN de 20 à 25 nucléotides peuvent réguler l'expression des gènes en ciblant et en dégradant les ARNm complémentaires.
4. ARN circulaires (circRNA) : Ces molécules d'ARN fermées en boucle peuvent agir comme éponges pour les miARN, régulant ainsi l'expression des gènes cibles.

L'étude de l'ARN tumoral peut fournir des informations importantes sur la biologie du cancer et offrir de nouvelles cibles thérapeutiques potentielles. Les techniques de séquençage à haut débit, telles que le séquençage de l'ARN à grande échelle (RNA-seq), ont permis d'identifier et de caractériser les profils d'expression des ARN non codants dans divers types de cancer. Ces connaissances peuvent contribuer au développement de biomarqueurs diagnostiques et pronostiques, ainsi qu'à la conception de thérapies ciblées pour traiter le cancer.

Un dosage radioimmunologique (RIA) est une méthode sensible et spécifique de mesure quantitative des concentrations d'une substance, généralement une hormone ou un médicament, dans un échantillon biologique. Cette technique repose sur l'utilisation d'un anticorps spécifique qui se lie à la substance d'intérêt, appelée analyte.

Dans un RIA, l'échantillon est mélangé avec une quantité connue de l'analyte marqué radioactivement (généralement avec un isotope de faible énergie et courte demi-vie, comme l'iode 125). Ce mélange est ensuite incubé pour permettre à l'anticorps de se lier à l'analyte, qu'il soit présent dans l'échantillon ou sous forme marquée.

Après l'incubation, un séparateur d'immunoprécipitation est ajouté pour précipiter les complexes anticorps-analyte, qui peuvent être séparés du liquide résiduel par centrifugation ou filtration. Le niveau de radioactivité dans le surnageant et le précipité est mesuré à l'aide d'un détecteur de gamma.

La quantité d'analyte présente dans l'échantillon est inversement proportionnelle à la quantité de radioactivité détectée dans le surnageant, ce qui permet de calculer sa concentration en utilisant une courbe de calibration établie avec des standards connus.

Les RIA ont été largement remplacés par d'autres méthodes plus modernes et plus simples, telles que les dosages immuno-enzymatiques (EIA) ou les tests immunochimiluminescents (CLIA), qui n'utilisent pas de matières radioactives. Cependant, ils restent utiles dans certaines applications spécialisées où une grande sensibilité est requise.

Les tumeurs de l'intestin sont des croissances anormales qui se forment dans l'un des composants du système digestif communément appelé l'intestin. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes incluent les adénomes, les lipomes, les leiomyomes et les hémangiomes. Elles sont généralement traitées par résection chirurgicale si elles causent des symptômes, tels que saignements, obstruction ou perforation.

Les tumeurs malignes, également connues sous le nom de cancers de l'intestin, comprennent les carcinomes adénocarcinomes, les lymphomes et les sarcomes. Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais il peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie.

Les facteurs de risque de développer un cancer colorectal, qui est le type le plus courant de cancer de l'intestin, comprennent l'âge avancé, les antécédents familiaux de cancer colorectal, certaines conditions médicales telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, un régime alimentaire riche en viandes rouges et transformées, le tabagisme et l'obésité.

La fosse nasale, également connue sous le nom de cavité nasale, est la partie interne de l'organe du nez. C'est un espace aérien apparié situé dans la partie antérieure du nez et relié à l'extérieur par les narines (ou choanes) et à la cavité buccale par le nasopharynx. Chaque fosse nasale est divisée en deux parties : une partie supérieure, appelée cavum ou chambre supérieure, et une partie inférieure, appelée méat inférieur.

La muqueuse recouvrant les parois de la fosse nasale contient des glandes sécrétrices de mucus et de lysozyme, qui aident à piéger et à décomposer les particules étrangères telles que la poussière, les bactéries et les virus. Les cils vibratiles de la muqueuse aident également à déplacer le mucus vers l'arrière de la gorge où il peut être avalé ou expectoré.

La fosse nasale joue un rôle important dans la respiration, la filtration de l'air inspiré, l'olfaction (odorat) et la phonation (production de sons). Les déformations anatomiques telles que les septums déviés ou les hypertrophies des cornets peuvent entraver la fonction normale de la fosse nasale et causer des symptômes tels qu'une congestion nasale, une respiration difficile, des maux de tête et une perte d'odorat.

Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.

Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.

Les tumeurs des glandes salivaires sont des croissances anormales qui se forment dans les glandes salivaires. Ces glandes sont responsables de la production de salive pour aider à la digestion et maintenir la muqueuse buccale humide. Les glandes salivaires principales sont situées dans la mâchoire inférieure et juste en avant de l'oreille (parotides), tandis que les glandes salivaires accessoires sont plus petites et se trouvent dans la bouche, le nez et la gorge.

Les tumeurs des glandes salivaires peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, ne mettant pas la vie en danger. Cependant, elles peuvent continuer à croître et causer des problèmes, tels que des douleurs, des gonflements ou des difficultés à avaler ou à parler, en fonction de leur emplacement.

Les tumeurs malignes, quant à elles, sont plus agressives et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent provoquer des symptômes similaires à ceux des tumeurs bénignes, mais peuvent également entraîner une perte de poids, une fièvre ou des ganglions lymphatiques enflés.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses et la chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses qui se sont propagées. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.

Les tumeurs du côlon sont des croissances anormales de cellules dans le côlon, qui peuvent être bénignes ou malignes. Le côlon est la partie terminale de l'intestin grêle où l'eau et les électrolytes sont absorbés et où les déchets solides sont stockés avant d'être évacués du corps.

Les tumeurs bénignes du côlon, également appelées polypes, sont des croissances de tissus qui ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être enlevées chirurgicalement. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du côlon, également appelées carcinomes du côlon, se propagent aux tissus environnants et peuvent se propager à d'autres parties du corps via la circulation sanguine ou lymphatique. Les symptômes des tumeurs du côlon comprennent des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales, de la douleur abdominale, une perte de poids inexpliquée et de la fatigue.

Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Les facteurs de risque comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, l'obésité, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, des antécédents personnels ou familiaux de polypes ou de cancer du côlon.

Le récepteur D3 de la dopamine est un type de récepteur de dopamine, qui est une protéine située sur la membrane cellulaire des neurones et d'autres types de cellules. Les récepteurs de dopamine sont des cibles importantes pour les neurotransmetteurs, qui sont des messagers chimiques utilisés pour transmettre des signaux dans le cerveau.

Le récepteur D3 de la dopamine est un sous-type du récepteur D2 de la dopamine et il est largement distribué dans le cerveau, en particulier dans les régions liées au contrôle moteur, à l'humeur, aux récompenses et à la dépendance. Il joue un rôle important dans la modulation des effets de la dopamine sur ces fonctions cérébrales.

Des études ont montré que les déséquilibres dans le système de la dopamine, y compris les anomalies du récepteur D3, peuvent être associés à divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la maladie de Parkinson, la schizophrénie, les troubles de l'humeur et la dépendance. Par conséquent, le récepteur D3 de la dopamine est considéré comme une cible prometteuse pour le développement de nouveaux médicaments pour traiter ces conditions.

Une étude cas-témoins, également appelée étude de cohorte rétrospective, est un type d'étude épidémiologique observationnelle dans laquelle des participants présentant déjà une certaine condition ou maladie (les «cas») sont comparés à des participants sans cette condition ou maladie (les «témoins»). Les chercheurs recueillent ensuite des données sur les facteurs de risque potentiels pour la condition d'intérêt et évaluent si ces facteurs sont plus fréquents chez les cas que chez les témoins.

Ce type d'étude est utile pour étudier les associations entre des expositions rares ou des maladies rares, car il permet de recueillir des données sur un grand nombre de cas et de témoins en un temps relativement court. Cependant, comme les participants sont sélectionnés en fonction de leur statut de maladie, il peut y avoir un biais de sélection qui affecte les résultats. De plus, comme l'étude est observationnelle, elle ne peut pas établir de relation de cause à effet entre l'exposition et la maladie.

L'oestradiol est une forme principale et la plus forte d'œstrogènes, les hormones sexuelles féminines. Il joue un rôle crucial dans le développement des caractères sexuels secondaires féminins tels que les seins, l'utérus et les ovaires. Il favorise également la croissance de l'endomètre pendant le cycle menstruel. Chez les hommes, il est produit en petites quantités dans les testicules. L'oestradiol est principalement produit par les follicules ovariens chez les femmes pré-ménopausées. Après la ménopause, le tissu adipeux devient la source principale d'oestradiol. Des niveaux anormaux d'oestradiol peuvent entraîner divers problèmes de santé, tels que l'ostéoporose, les troubles menstruels et certains types de cancer.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

La période postopératoire, également appelée période postopérative, fait référence à la phase qui suit immédiatement une intervention chirurgicale. Elle comprend généralement les soins et le rétablissement du patient après l'anesthésie et la procédure elle-même. Cette période peut être divisée en plusieurs stades, chacun ayant des caractéristiques et des besoins de soins spécifiques.

1. Période postopératoire immédiate : C'est le temps juste après l'intervention chirurgicale, lorsque le patient est encore sous les effets de l'anesthésie. Les fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle sont étroitement surveillées et stabilisées.

2. Période postopératoire précoce : Cela se produit lorsque les effets de l'anesthésie commencent à s'estomper. Le patient peut ressentir de la douleur, ce qui est géré par des analgésiques. La mobilisation précoce est encouragée pour prévenir les complications telles que la thrombose veineuse profonde et l'embolie pulmonaire.

3. Période postopératoire intermédiaire : À ce stade, le patient est capable d'effectuer des activités de base telles que se nourrir, se déplacer et utiliser la salle de bain. Le contrôle de la douleur, la prévention des infections et la gestion des plaies chirurgicales restent importants.

4. Période postopératoire tardive : Il s'agit de la phase finale du rétablissement, au cours de laquelle le patient reprend progressivement ses activités normales. Les rendez-vous de suivi sont planifiés pour surveiller la guérison et détecter toute complication potentielle.

La durée totale de la période postopératoire varie en fonction de la procédure chirurgicale, de l'état de santé général du patient et d'autres facteurs.

Le membre 6B de la superfamille des récepteurs au TNF (Tumor Necrosis Factor) est également connu sous le nom de CD137L ou 4-1BB ligand. Il s'agit d'une protéine transmembranaire exprimée à la surface des cellules présentatrices de l'antigène, telles que les cellules dendritiques et les lymphocytes T activés.

Le récepteur correspondant, CD137 ou 4-1BB, est exprimé sur les lymphocytes T activés et joue un rôle crucial dans leur activation, la prolifération et la survie. L'interaction entre le membre 6B de la superfamille des récepteurs au TNF et CD137 fournit un signal co-stimulatoire important pour l'activation des lymphocytes T et peut potentialiser la réponse immunitaire contre les tumeurs et les infections.

Cette interaction est également ciblée dans le développement de thérapies immunitaires, telles que les anticorps agonistes du membre 6B de la superfamille des récepteurs au TNF, qui ont montré une activité anti-tumorale prometteuse dans plusieurs études précliniques et cliniques.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Un astrocytome est un type de tumeur cérébrale qui se développe à partir des cellules gliales appelées astrocytes, qui soutiennent et protègent les neurones dans le cerveau. Les astrocytomes peuvent être classés en fonction de leur grade, qui indique leur niveau de malignité ou d'agressivité.

Les grades vont de I à IV, où les astrocytomies de grade I sont les moins agressifs et ont tendance à se développer lentement, tandis que les astrocytomes de grade IV sont les plus agressifs et peuvent se propager rapidement dans le cerveau. Les symptômes d'un astrocytome dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des nausées, des vomissements, une vision floue, des changements de personnalité ou de comportement, et des problèmes de coordination ou d'équilibre.

Le traitement dépend du grade et de la localisation de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever autant de la tumeur que possible, une radiothérapie pour aider à détruire les cellules cancéreuses restantes, et une chimiothérapie pour aider à ralentir ou arrêter la croissance de la tumeur. Dans certains cas, une thérapie ciblée ou une immunothérapie peuvent également être utilisées pour traiter l'astrocytome.

L'index mitotique est un terme utilisé en pathologie pour décrire le nombre de cellules en division (cellules mitotiques) observées sous le microscope dans un échantillon de tissu, exprimé comme un rapport sur un certain nombre de cellules ou de champs d'observation. Il est souvent utilisé comme un indicateur de l'activité de croissance et de prolifération des cellules dans des processus tels que la tumeur et le cancer. Un index mitotique élevé peut indiquer une croissance tumorale agressive et être associé à un pronostic plus défavorable. Cependant, sa valeur diagnostique et pronostique dépend du type de tumeur et d'autres facteurs cliniques et pathologiques.

Un neurinome est un type rare de tumeur non cancéreuse qui se développe à partir des cellules de Schwann, qui sont les cellules responsables de la production de myéline, la gaine protectrice autour des nerfs. Ces tumeurs se forment généralement sur le nerf vestibulaire, qui est lié à l'oreille interne et affecte donc souvent l'audition et l'équilibre. Cette condition particulière est également appelée neurinome de l'acoustique ou schwannome vestibulaire.

Les neurinomes sont généralement lents à se développer et peuvent ne provoquer aucun symptôme pendant longtemps. Cependant, au fur et à mesure qu'ils grossissent, ils peuvent exercer une pression sur le nerf adjacent, ce qui peut entraîner une variété de symptômes, selon l'emplacement et la taille de la tumeur. Les symptômes courants incluent des acouphènes (bourdonnements ou sifflements dans les oreilles), des problèmes d'audition, des étourdissements, des problèmes d'équilibre et, dans certains cas, une faiblesse faciale.

Le diagnostic de neurinome est généralement posé à l'aide d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou d'un scanner. Le traitement dépend de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, une simple surveillance peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de problèmes. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur est nécessaire. La radiothérapie peut également être utilisée dans certains cas.

Les urocortines sont des peptides neuroendocriniens appartenant à la famille des corticotropin-releasing hormones (CRH). Il existe trois types d'urocortines connus chez l'homme : Urocortin I, II et III (également appelée stresscopine). Ces peptides se lient au récepteur CRH de type 1 et 2 et jouent un rôle important dans la régulation du système nerveux central et périphérique.

Les urocortines sont principalement exprimées dans le cerveau, en particulier dans l'hypothalamus, et sont également présentes dans certains tissus périphériques tels que le cœur, les poumons et les reins. Elles sont impliquées dans une variété de fonctions physiologiques, notamment la réponse au stress, l'homéostasie énergétique, la régulation cardiovasculaire, la fonction cognitive et l'humeur.

Les urocortines peuvent également avoir des effets neuroprotecteurs et potentialiser les effets de certains analgésiques. Cependant, une activation excessive du système CRH/urocortine peut contribuer à des troubles tels que la dépression, l'anxiété et les troubles de stress post-traumatique.

La régression spontanée d'une tumeur est un phénomène rare où une tumeur maligne ou bénigne diminue en taille, ou disparaît complètement sans aucun traitement médical, chirurgical ou radiologique. Cette réduction de la tumeur peut être partielle ou totale et peut durer indéfiniment ou jusqu'à ce que le traitement soit initié. Dans certains cas, la régression spontanée peut être due à des facteurs immunitaires, hormonaux ou ischémiques, mais dans de nombreux cas, la cause reste inconnue. Il est important de noter que la régression spontanée ne doit pas être considérée comme une alternative aux traitements établis et qu'elle est généralement observée chez un très petit pourcentage de patients atteints de tumeurs.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

La surrénalectomie est un terme médical qui se réfère à l'ablation chirurgicale d'une ou des deux glandes surrénales. Les glandes surrénales sont de petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes, telles que l'adrénaline, le cortisol et les androgènes.

Il existe deux types principaux de surrénalectomie : la surrénalectomie unilatérale, où seule une glande surrénale est enlevée, et la surrénalectomie bilatérale, où les deux glandes surrénales sont retirées.

La surrénalectomie peut être réalisée pour diverses raisons, telles que le traitement d'un cancer des glandes surrénales, l'élimination d'une tumeur non cancéreuse qui produit des hormones en excès, ou le contrôle de la production excessive d'hormones dans certaines maladies endocriniennes.

Les complications possibles de la surrénalectomie comprennent une fuite temporaire ou permanente d'hormones stéroïdes, une hypertension artérielle, des infections, des saignements et des lésions nerveuses. Les patients qui subissent une surrénalectomie bilatérale peuvent nécessiter un traitement à long terme avec des hormones stéroïdes pour remplacer les hormones naturelles qui ne sont plus produites par les glandes surrénales.

Les tumeurs de la parotide se réfèrent à des growths anormaux dans la glande parotide, qui est la plus grande glande salivaire située juste devant chaque oreille. La plupart des tumeurs de la parotide sont bénignes (non cancéreuses), mais certaines peuvent être malignes (cancéreuses). Les symptômes courants des tumeurs de la parotide comprennent une masse ou un gonflement visible dans la région de la joue, en face de l'oreille. La douleur peut également être présente, en particulier dans le cas de tumeurs malignes.

Les facteurs de risque de développer des tumeurs de la parotide comprennent l'exposition à des radiations, le tabagisme et certains troubles génétiques. Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, telles que les ultrasons ou les tomodensitométries, et une biopsie pour déterminer le type de tumeur.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être observées ou retirées chirurgicalement si elles causent des symptômes. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale pour les enlever, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie dans certains cas. Le pronostic dépend du type et du stade de la tumeur au moment du diagnostic.

Une tumeur résiduelle, dans le contexte médical, se réfère à la partie de la tumeur qui reste après un traitement initial. Cela peut inclure des cellules cancéreuses ou une masse tumorale qui a survécu au traitement, comme la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie. La présence d'une tumeur résiduelle peut indiquer que le traitement initial n'a pas été complètement efficace et que des options de traitement supplémentaires peuvent être nécessaires pour éliminer les cellules cancéreuses restantes. Il est important de noter que la détection et l'évaluation d'une tumeur résiduelle peuvent aider à guider les décisions thérapeutiques futures et à améliorer les résultats pour les patients atteints de cancer.

L'analyse de l'expression des gènes est une méthode de recherche qui mesure la quantité relative d'un ARN messager (ARNm) spécifique produit par un gène dans un échantillon donné. Cette analyse permet aux chercheurs d'étudier l'activité des gènes et de comprendre comment ils fonctionnent ensemble pour réguler les processus cellulaires et les voies métaboliques.

L'analyse de l'expression des gènes peut être effectuée en utilisant plusieurs techniques, y compris la microarray, la PCR quantitative en temps réel (qPCR), et le séquençage de l'ARN. Ces méthodes permettent de mesurer les niveaux d'expression des gènes à grande échelle, ce qui peut aider à identifier les différences d'expression entre des échantillons normaux et malades, ou entre des cellules avant et après un traitement.

L'analyse de l'expression des gènes est utilisée dans divers domaines de la recherche biomédicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la pharmacologie, et la médecine translationnelle. Elle peut fournir des informations importantes sur les mécanismes sous-jacents à une maladie, aider au diagnostic précoce et à la surveillance de l'évolution de la maladie, et contribuer au développement de nouveaux traitements ciblés.

Les hormones melanotropes sont des peptides qui stimulent la production et la libération de la mélanine, un pigment sombre présent dans la peau, les cheveux et les yeux. La principale hormone melanotrope est l'hormone stimulant la mélanine (MSH), qui est produite et sécrétée par l'hypophyse antérieure dans le cerveau.

La MSH agit en se liant à des récepteurs spécifiques sur les cellules de la peau, appelées mélanocytes, ce qui entraîne la production et la distribution de la mélanine. Cela peut entraîner un bronzage de la peau lorsque celle-ci est exposée au soleil.

Les hormones melanotropes jouent également un rôle important dans d'autres fonctions corporelles, telles que l'appétit, le métabolisme et les réponses immunitaires. Des niveaux anormaux d'hormones melanotropes peuvent être associés à des troubles tels que la maladie de Cushing, le nanisme et certaines formes de cancer de la peau.

La réaction de polymérisation en chaîne est un processus chimique au cours duquel des molécules de monomères réagissent ensemble pour former de longues chaînes de polymères. Ce type de réaction se caractérise par une vitesse de réaction rapide et une exothermie, ce qui signifie qu'elle dégage de la chaleur.

Dans le contexte médical, les réactions de polymérisation en chaîne sont importantes dans la production de matériaux biomédicaux tels que les implants et les dispositifs médicaux. Par exemple, certains types de plastiques et de résines utilisés dans les équipements médicaux sont produits par polymérisation en chaîne.

Cependant, il est important de noter que certaines réactions de polymérisation en chaîne peuvent également être impliquées dans des processus pathologiques, tels que la formation de plaques amyloïdes dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer. Dans ces cas, les protéines se polymérisent en chaînes anormales qui s'accumulent et endommagent les tissus cérébraux.

La prolifération cellulaire est un processus biologique au cours duquel il y a une augmentation rapide et accrue du nombre de cellules, en raison d'une division cellulaire active et accélérée. Dans un contexte médical et scientifique, ce terme est souvent utilisé pour décrire la croissance et la propagation des cellules anormales ou cancéreuses dans le corps.

Dans des conditions normales, la prolifération cellulaire est régulée et équilibrée par des mécanismes de contrôle qui coordonnent la division cellulaire avec la mort cellulaire programmée (apoptose). Cependant, dans certaines situations pathologiques, telles que les tumeurs malignes ou cancéreuses, ces mécanismes de régulation sont perturbés, entraînant une prolifération incontrôlable des cellules anormales.

La prolifération cellulaire peut également être observée dans certaines maladies non cancéreuses, telles que les processus inflammatoires et réparateurs tissulaires après une lésion ou une infection. Dans ces cas, la prolifération cellulaire est généralement temporaire et limitée à la zone touchée, jusqu'à ce que le tissu soit guéri et que les cellules retournent à leur état de repos normal.

En résumé, la prolifération cellulaire est un processus complexe qui joue un rôle crucial dans la croissance, la réparation et la régénération des tissus, mais qui peut également contribuer au développement de maladies graves telles que le cancer lorsqu'il échappe aux mécanismes de contrôle normaux.

La Gene Ontology (GO) est un projet open-source qui a pour but de créer des termes et des ontologies standardisés pour décrire les molécules impliquées dans la régulation des processus cellulaires. Il s'agit d'un système contrôlé de vocabulaire utilisé en bioinformatique pour décrire les gènes et les protéines en fonction de trois aspects fondamentaux : leur fonction moléculaire, le lieu où ils se trouvent dans la cellule (compartimentation cellulaire) et les processus biologiques auxquels ils participent.

Les termes GO sont organisés hiérarchiquement, ce qui permet une description détaillée des fonctions moléculaires et des processus biologiques. Les termes plus généraux se trouvent en haut de la hiérarchie, tandis que les termes plus spécifiques se trouvent en bas. Cette ontologie est largement utilisée dans l'analyse des données issues du séquençage à haut débit et d'autres expériences biologiques pour aider à interpréter les résultats et à comprendre les fonctions moléculaires et les processus cellulaires.

Les endorphines sont des peptides opioïdes endogènes, c'est-à-dire des neurotransmetteurs et des neuropeptides produits dans le corps humain, qui agissent sur les récepteurs opioïdes du cerveau pour aider à minimiser la perception de la douleur. Elles sont également connues pour provoquer une sensation d'euphorie, ce qui leur vaut souvent l'appellation d'"hormones du bonheur". Les endorphines sont libérées en réponse à des situations stressantes ou douloureuses, ainsi qu'à des activités agréables telles que l'exercice physique, le rire, l'orgasme et la consommation d'aliments épicés. Elles contribuent au sentiment général de bien-être et jouent un rôle important dans les processus régulateurs du stress et de la dépendance.

La "transformation cellulaire néoplasique" est un processus biologique dans lequel une cellule normale et saine se transforme en une cellule cancéreuse anormale et autonome. Ce processus est caractérisé par des changements irréversibles dans la régulation de la croissance et de la division cellulaire, entraînant la formation d'une tumeur maligne ou d'un néoplasme.

Les facteurs qui peuvent contribuer à la transformation cellulaire néoplasique comprennent des mutations génétiques aléatoires, l'exposition à des agents cancérigènes environnementaux tels que les radiations et les produits chimiques, ainsi que certains virus oncogènes.

Les changements cellulaires qui se produisent pendant la transformation néoplasique comprennent des anomalies dans les voies de signalisation cellulaire, une régulation altérée de l'apoptose (mort cellulaire programmée), une activation anormale des enzymes impliquées dans la réplication de l'ADN et une augmentation de l'angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins pour fournir de l'oxygène et des nutriments à la tumeur).

La transformation cellulaire néoplasique est un processus complexe qui peut prendre plusieurs années, voire plusieurs décennies, avant qu'une tumeur maligne ne se développe. Cependant, une fois que cela se produit, les cellules cancéreuses peuvent envahir les tissus environnants et se propager à d'autres parties du corps, ce qui peut entraîner des complications graves et même la mort.

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adénome hypophysaire », sur www.news-medical.net (consulté le 29 novembre 2010). Encyclopédie Vulgaris Médical : Acromégalie ( ... La tumeur est généralement un adénome hypophysaire, dérivée des somatotrophes (un type distinct de cellules qui produit de la ... La voie trans-sphénoïdale est indiquée dans la grande majorité des adénomes hypophysaires. Le succès chirurgical dépend de ... Le développement d'un adénome dans l'hypophyse exerce une pression sur le cerveau et peut être à l'origine d'un certain nombre ...
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Foreman l'ignore et pense à un adénome hypophysaire qui produit de la GnRH. Après que toute l'équipe soit sortie du bureau de ... Le scanner n'a montré aucun adénome, et le sang ne contient aucune stéroïde. Comme il remarque que Daryl fait de la tachycardie ...
Dans des circonstances normales, un chirurgien utiliserait cette approche sur un patient atteint d'un adénome hypophysaire. Le ... Les principaux types d'adénomes hypophysaires sont : adénomes sécrétant la PRL, ou prolactinomes : ce sont les tumeurs ... adénomes sécrétant la TSH : une autre affection rare entraînant seulement 1 % des chirurgies hypophysaires est le résultat de ... les maladies inflammatoires hypophysaires ; les métastases hypophysaires ; la selle turcique vide ; les craniopharyngiomes ; ...
Un adénome hypophysaire, également une tumeur bénigne histologiquement, qu'il soit due à des problèmes de l'axe lactotrope, ...
Toutefois, le test à la TRH peut être utile dans certaines circonstances comme le diagnostic : des adénomes thyréotropes de ... Cependant, trois cas graves de nécrose hémorragique de macroadénomes hypophysaires ont été observés avant 2005. Dans ce cas, la ... dysthyroïdie d'origine hypothalamo-hypophysaire ; traitement visant à freiner la sécrétion de TSH lors des cancers thyroïdiens ... l'antéhypophyse ; du syndrome de résistance hypophysaire sélective ou préférentielle aux hormones thyroïdiennes. L'intérêt ...
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L'ablation des deux glandes surrénales supprime la production de cortisol ce qui peut permettre à un adénome hypophysaire ... évolution d'un adénome hypophysaire corticotrope agressif », Annales d'endocrinologie, vol. 68, no 1,‎ 2007, p. 28-33 (ISSN ... Les moyens modernes d'imagerie hypophysaire et les dosages fiables d'ACTH permettent de définir actuellement ce syndrome comme ...
Adénome hypophysaire », sur http://sfendocrino.org/ (consulté le 26 avril 2019) Ronsard S, De Beauchamp I, Favre P et al. « Les ...
70 à 76,7 % des mâles et de 87 à 95,8 % des femelles ont développé des néoplasmes ; adénome hypophysaire et phéochromocytome ... Les plus courantes sont les adénomes de l'hypophyse et les adénomes et/ou adénocarcinomes du cortex surrénalien chez les deux ... Les mâles développent plutôt des adénomes des cellules parafolliculaires (de la thyroïde) et des adénocarcinomes de la glande ... adénome des Cellules parafolliculaires thyroïdiennes, ou encore polypes du stroma (Tissu conjonctif) de l'endomètre utérin chez ...
Les adénomes hypophysaires basophiles et leurs manifestations cliniques »). Cushing a également reçu le prix Pulitzer en 1926 ...
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Peu après le chirurgien américain Harvey Cushing (1869-1939) réalise l'exérèse d'un adénome hypophysaire chez un patient ...
De santé très fragile, Clara Haskil, à laquelle Jean Hamburger diagnostique un adénome hypophysaire et qui est trépanée le 29 ...
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... à des adénomes hypophysaires corticotropes (60 % des cas de syndrome de Cushing), c'est-à-dire sécrétant de l'ACTH : il s'agit ... le plus souvent hypophysaire (adénomes corticotropes sécrétant de l'ACTH), est l'une des formes du syndrome de Cushing, dont ... Ce cas, dû le plus souvent à un adénome hypothalamique, peut également résulter d'une tumeur à sécrétion ectopique de CRH. Le ... La radiothérapie est utilisée pour les tumeurs hypophysaires quand la chirurgie a été un échec ou impossible. Les séances sont ...
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... à prolactine ou prolactinome Adénome hypophysaire Adénofibrome Adénocarcinome Portail de la médecine (Wikipédia:ébauche ... Adénome digestif Adénome gastrique : adénome fundique, adénome antral Adénome duodénal Adénome colorectal Adénome ... Adénome Adénome tubulaire de la muqueuse rectale Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Un ... hépatocellulaire Adénome prostatique ou Hypertrophie bénigne de la prostate Adénome parathyroïde Adénome ...
PMID 15490574) Adénome hypophysaire Chirurgie endonasale endoscopique, en particulier Abords chirurgicaux de la base antérieure ... en) Résection endoscopique trans-sphénoïdale d'adénome hypophysaire (IPG32) - National Institute for Clinical Excellence, ...
... été utilisées pour diagnostiquer les adénomes hypophysaires chez le cheval60, bien que ces techniques ne soient pas utilisables ... Chez le cheval, la DPIP est normalement associée à une hyperplasie ou un adénome de la pars intermedia de l'hypophyse. Un seul ... ont observé chez les chevaux atteints une baisse des concentrations de dopamine dans les tissus hypophysaires, ce qui a permis ... L'exérèse chirurgicale de l'adénome hypophysaire n'est pas tentée chez le cheval, comme elle l'est chez l'homme ou chez le ...
... à un adénome hypophysaire, à une chirurgie cérébrale ou un traumatisme hyphophysaire, à une méningite, à un granulome ... hypophysaire, elle est souvent idiopathique ; le diabète insipide d'origine périphérique, ou néphrogénique, correspond quant à ...
... une tumeur hypophysaire ainsi qu'une tumeur entéro-gastrique dans la plupart des cas[réf. nécessaire]. Sa prévalence est de 1 à ... adénome parathyroïdien avec hyperparathyroïdie primaire, dans 5 à 20 % des cas ; notalgie paresthésique dans 20 % des cas. la ... La néoplasie endocrinienne multiple de type 1 ou syndrome de Wermer est caractérisée par un adénome parathyroïdien, ...
... adénomes hypophysaires) ou dans des tissus atypiques tels que les bronches (carcinoïdes bronchiques) ou le pancréas, ...
... adénomes hypophysaires : adénomes hypophysaires sécrétant de la prolactine (prolactinome), autres adénomes hypophysaires ... Au sein d'un trouble hypophysaire, c'est-à-dire une déficience relative des hormones produites par l'hypophyse : syndrome ...
Le gigantisme hypophysaire de l'enfance est une maladie rare, et les personnes atteintes sont souvent assez inhabituelles pour ... Ils grandissent très lentement, donc pendant plusieurs années le seul effet de cette dite adénome sont les effets de l'hormone ... Si un médecin soupçonne un gigantisme hypophysaire ou une acromégalie, le test de dépistage diagnostique le plus simple est la ... L'excès d'hormone est souvent due à la sur-sécrétion d'un groupe de cellule somatotrope de l'anté-hypophyse (appelée adénome ...
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... 11/09/2020 ... Accueil Firendo / Actualités / Actualités - Adénomes hypophysaires et carcinomes : le point sur la prise en charge des tumeurs ... Les tumeurs hypophysaires représentent un groupe hétérogène dont lévolution est pour certaines difficile à prédire, tout comme ... Metabolism Clinics of North America un certain nombre de données cliniques relatives aux tumeurs et carcinomes hypophysaires ...
... un trouble thyroïdien ou un adénome hypophysaire. Dans les études cliniques, laripiprazole na pas entraîné de prise de poids ...
Adénome hépatique2, cancer du sein2, tumeur bénigne du sein2, hyperplasie nodulaire focale2, fibroadénome du sein2 ... Tumeur hypophysaire. *Hémorragie génitale non diagnostiquée. *Connectivite. *Porphyrie. *Intolérance au galactose. *Syndrome de ...
ADÉNOME HYPOPHYSAIRE. Tumeur bénigne de lhypophyse.. Ladénome hypophysaire possède la capacité denvahir les structures ... Les causes les plus fréquentes sont les adénomes hypophysaires, tumeurs bénignes de lhypophyse quelles peuvent envahir ... Selon sa taille, on le classe dans la catégorie des micro-adénomes (moins de 10 mm) ou dans celle des macro-adénomes (plus de ... ADÉNOME PROSTATIQUE. Voir : HYPERPLASIE PROSTATIQUE BÉNIGNE (OU ADÉNOME PROSTATIQUE) ADHÉRENCE INTERTHALAMIQUE (OU COMMISSURE ...
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Adénome hypophysaire. Les adénomes de lhypophyse sont des tumeurs bénignes de cette glande située dans le cerveau..... ... Adénome de la prostate. Ladénome de la prostate est une tumeur bénigne de la prostate. On lappelle également hypertrophie... ... On lui a retiré un adénome de 1 cm tubuleux avec dysplasie modéré sur le sigmoïde. Le gastrologue qui lui a fait la coloscopie ... Adénome. Ladénome est une tumeur bénigne qui se développe sur une glande de lorganisme. ...
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Adénome hypophysaire et covid19 Dernier commentaire : 09/12/2020 *. 82. *. 3. Commenter. ...
adénome hypophysaire à prolactine (éventuellement révélé par une galactorrhée) ;. · vertiges, modification de la vision. ... En cas de prolongation, avant toute nouvelle prescription, la recherche dune éventuelle pathologie hypophysaire simpose. ...
Lacromégalie est une maladie rare due à un excès de lhormone de croissance (GH) à lâge adulte produit par un adénome ... hypophysaire ; elle est classiquement associée à une morbidité cardiovasculaire, notamment à une hypertrophie ventriculaire ... à lâge adulte produit par un adénome hypophysaire ; elle est classiquement associée à une morbidité cardiovasculaire, ...
adénome hypophysaire. * tumeur cérébrale. * chirurgie éveillée. * hernie discale. * chirurgie rachis. * endoscopie. * prothèse ...
adénome hypophysaire. * tumeur cérébrale. * chirurgie éveillée. * hernie discale. * chirurgie rachis. * endoscopie. * prothèse ...
tumeurs de la base du crâne (méningiomes, neurinomes, adénomes hypophysaires, craniopharyngiomes). *tumeurs des ventricules ...
On focusera sur les aspects cliniques des adénomes hypophysaires secrétants et non secrétants responsables de maladies graves ... 1. Intégrer les aspects cliniques des adénomes hypophysaires secrétants et non secrétants responsables de maladies graves ... 2. Reconnaître les principaux syndrômes et maladies liés à latteinte de laxe hypothalamo-hypophysaire. 3. Connaître les ...
adénome. à prolactine de l. hypophyse. (tumeur bénigne). La prolactine bloque l. ovulation. . Un traitement médical par un ... Anomalies temporaires de la sécrétion hormonale hypothalamo-hypophysaire *Anomalies anatomiques de laxe hypothalamo- ...
En ce qui concerne lacromégalie, «environ 99 % des adénomes de lhypophyse sont opérables par voie endonasale - donc par la ... neurochirurgien hypophysaire expert au centre de référence… ...
... pour délimiter les adénomes de lhypophyse et en faciliter lexérèse. ... Les adénomes hypophysaires sont des tumeurs cérébrales dont les dimensions parfois très réduites (moins de 1 mm de diamètre) et ... pour délimiter les adénomes de lhypophyse et en faciliter lexérèse.. ...
... à un adénome hypophysaire. Lorsque lexcès de GH... en apprendre davantage , la coarctation de laorte Coarctation de laorte ... à un adénome hypophysaire. Lorsque lexcès de GH... en apprendre davantage ou des troubles du système nerveux central, un bilan ... à un adénome ou à un carcinome). La symptomatologie... en apprendre davantage (1 Référence pour létiologie On définit lHTA ... à un adénome ou à un carcinome). La symptomatologie... en apprendre davantage , un phéochromocytome Phéochromocytome Le ...
Il est particulièrement connu pour ses découvertes et avancées au sujet du gigantisme et des adénomes hypophysaires familiaux ... est le référent pour toute la Belgique pour les adénomes hypophysaires familiaux de type FIPA (recherche du gène muté AIP). ...
Adénome hypophysaire (Item 242). Syndrome de Sheehan. Traumatisme. Auto-immune. *Hypophysite auto-immune ...
Revivre après lopération dun adénome hypophysaire .... Par contre, jeune femme opérée avec moi dun adénome de 8mm, maladie ...
Au niveau cérébral les indications principales sont les métastases, les tumeurs bénignes (méningiomes, neurinomes, adénomes ... hypophysaires, paragangliomes…), les MAV et certaines indications plus spécifiques comme les thalamotomies du Vim pour les ... adénomes hypophysaires, paragangliomes…), les MAV et certaines indications plus spécifiques comme les thalamotomies du Vim pour ...
Adénome Hypophysaire - Symptômes, Traitement, élimination Chez Les Hommes. Un adénome hypophysaire est une tumeur bénigne de la ...
De plus, jai un adénome hypophysaire depuis plusieurs années. je suis suivi par un endocrinologue et je prends un traitement ... Le Gattilier, Vitex Agnus Castus est réputé pour son action de régulation de la glande hypophysaire . Il est considéré ...
Le traitement de choix de lacromégalie due à un adénome hypophysaire est la chirurgie mais elle ne permet pas toujours de ... Le traitement de choix de lacromégalie due à un adénome hypophysaire est la chirurgie mais elle ne permet pas toujours de ...
Adénome hypophysaire à prolactine. Signes dhyperPRL (galactorrhée). Syndrome tumoral (céphalées rétro-orbitaires, troubles ... on retrouve les tumeurs suivantes : adénome hypophysaire sauf à PRL, craniopharyngiome, astrocytome hypothalamique, gliome du ... Séquelles hypothalamo-hypophysaires. ATCD dirradiation ou de pathologie neuro-méningée. IRM. Syndrome de Kallman de Morsier et ... Lésions tumorales hypothalamo-hypophysaire *. Syndrome tumorale +/-. Syndrome méningée +/-. Troubles visuels IRM cérébrale 0. ...

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