Une tumeur bénigne épithéliales avec une organisation glandulaire.
Une tumeur bénigne, lentement, plus fréquemment de la glande salivaire, survenant comme un petit nodule cabinet indolore, généralement de la glande parotide, mais a aussi trouvé dans une grande ou complice glande salivaire n'importe où dans la cavité buccale. C'est souvent observée chez les femmes dans le cinquantième. Plan histologique, la tumeur cadeaux une variété de cellules : Cuboidal, columnar, et les cellules squameuses, montrant toutes les formes de la croissance épithélial. (Dorland, 27 e)
L'adénome du gros intestin. C'est souvent une solitaire, sessile, souvent larges de tumeur colique composé de l ’ épithélium muqueuse Mucinous couvrant délicate projections vasculaire. Salivaire et malignes change surviennent fréquemment, 25e Stedman. (Éditeur)
Tumeurs inhérents à l ’ hypophyse ou de metastasize GLAND. La majorité des adénomes hypophysaires néoplasmes sont, qui sont divisés en secrétant des formes. Hormone non-secreting et produire formes sont ultérieurement classés par le type d ’ hormone ils sécrètent. Adénomes hypophysaires peuvent également être caractérisée par leurs propriétés coloration (voir adénome Basophile ; adénome adénome ; et adénome Chromophobe). Les tumeurs hypophysaires peuvent comprimer adjacent, y compris les structures HYPOTHALAMUS, plusieurs nerfs crâniens, et le chiasma optique. Chiasmal compression peut entraîner bitemporal hémianopsie.
Une tumeur bénigne du cortex surrénalien. C'est bien défini, caractérisée par une lésion acné nodulaire, mesurant moins de 2,5 cm. La plupart ne fonctionnent adénomes surrénale fonctionnelle sont jaune et contenir les lipides. Selon le type de cellule ou zone corticale impliqués, ils peuvent produire l ’ aldostérone ; hydrocortisone ; DEHYDROEPIANDROSTERONE ; et / ou de l'androsténédione.
Une tumeur bénigne épithéliales du foie...
Une tumeur bénigne du l ’ hypophyse antérieure dans laquelle les cellules ne souillez pas avec les colorants acides ou basiques.
Une tumeur qui secrète LA CROISSANCE HORMONE. Chez l'homme, excès HUMAN LA CROISSANCE HORMONE mène à l ’ acromégalie.
Cancer de la tumeur ni COLON fini ou la ou les deux. Des facteurs de risque de cancer colorectal incluent rectocolite chronique ; polypose Polyposis Coli ; l ’ exposition à compressée ; et une radiothérapie du col d'une première impression.
Tissu discret des masses qui saillent dans le lumen des COLON. Ces POLYPS sont liés à la paroi du colon soit par une tige, pedunculus, ou par une large base.
Un adénome hypophysaire qui secrète ADRENOCORTICOTROPIN, conduisant à Cushing maladie.
Une tumeur bénigne. Ils vivent dans les du lobe antérieur de l'hypophyse, cellules acide qui tache avec des teintures. Si les tumeurs hypophysaires peuvent donner lieu à une sécrétion d ’ hormone de croissance, entraînant gigantisme ou d ’ acromégalie. Un type particulier adénome adénome peut donner lieu à une galactorrhée. Nonpuerperal Dorland, 27 (éditeur)
Un examen endoscopique, le traitement ou la chirurgie du Luminal surface du colon.
Néoplasmes bénins dérivés de l ’ épithélium glandulaire. (De Stedman, 25e éditeur)
Un adénome hypophysaire prolactine, qui secrète menant à une hyperprolactinémie. Les signes cliniques sont : Aménorrhée, galactorrhée ; impuissance ; migraine, troubles visuels et FLUID cérébro-spinal rhinorrhée.
Une petite tumeur du lobe antérieur de l'hypophyse dont les cellules de base tache avec des teintures. Il peut donner lieu à une sécrétion d ’ ACTH, entraînant syndrome du Cushing. (Dorland, 27 e)
Tumeurs ou les cancers du cortex surrénalien.
Un syndrome Polyposis autosomale dominante due à une mutation du gène APC (gènes Apc) sur le chromosome 5. Le syndrome est caractérisé par le développement de centaines de POLYPS adénomateux chez les individus de COLON et fini par l'adolescence.
Un état causé par une exposition prolongée à une HUMAN LA CROISSANCE HORMONE chez les adultes. C'est caractérisé par hypertrophie osseuse du visage ; mâchoire inférieure (prognathisme) ; mains ; pieds ; tête ; et le thorax. Les plus fréquents de l ’ étiologie est un CROISSANCE un adénome hypophysaire. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch36, pp79-80)
Un état causé par une exposition prolongée de taux excédentaires de cortisol (hydrocortisone) ou d'autres glucocorticoïdes de sources ou exogène est caractérisé par le haut du corps l'obésité ; l ’ ostéoporose ; HYPERTENSION ; DIABETES sucré, hirsutisme ; aménorrhée ; et excès de fluide. Syndrome de Cushing endogène spontané hypercortisolism est divisé en deux groupes, celles dues à un excès de ADRENOCORTICOTROPIN et ceux qui sont ACTH-independent.
Gène suppresseur de tumeur située dans la région 5q21 sur le long bras de chromosomes humains 5. La mutation de ces gènes est associé à polypose adénomateuse familiale (Adenomatous Polyposis Coli) et syndrome du GARDNER, ainsi que des cancers colorectaux sporadiques.
Une condition de anormalement élevé de production HORMONE parathyroïdienne (PTH) ou augmenter déclenchant secondaires CALCIUM. C'est caractérisé par l ’ hypercalcémie et la résorption osseuse, entraînant ainsi des maladies osseuses. D ’ hyperparathyroïdie primaire est causée par une hyperplasie de la parathyroïde ou tumeurs De La Parathyroïde. Une hyperparathyroïdie secondaire augmente la sécrétion de PTH en réponse à des hypocalcémies, habituellement causé par calculs chronique maladies.
Tumeurs ou un cancer des glandes salivaires.
Cancer de la tumeur ni COLON.
Tumeurs ou un cancer des intestins.
Une augmentation du nombre de cellules dans un mouchoir ou organe sans tumeur formation. Elle est différente de hypertrophie, qui est une augmentation en gros sans augmentation du nombre de cellules.
Deux ou plusieurs excroissance anormale de tissus survenant simultanément et présumé être d'origine. Le néoplasmes peut être histologie pareil ou pas, et peut être consulté dans le même ou sites différents.
Tumeurs ou un cancer des glandes surrénales.
Une maladie de l'hypophyse GLAND caractérisant par un excès de adrénocorticotrope HORMONE sécrétés, ça va à salivaire de cortisol (hydrocortisone) par les glandes surrénales entraînant syndrome du Cushing.
Tumeurs ou un cancer de la parotide GLAND.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Une tumeur Néoplasme composé de cellules épithéliales élogieux pour infiltrer les tissus environnants et donner lieu à des métastases. C'est un type histologique de Néoplasme mais est souvent utilisé à tort comme synonyme de "cancer". (De Dorland, 27 e)
Un état causé par la surproduction d ’ aldostérone. C'est caractérisé par une rétention sodée et potassium HYPERTENSION et excrétion aboutissant à l ’ hypokaliémie.
Un os qui ne sont pas en couple irrégulier situé au SKULL BASE et coincé entre le frontal et temporal et os occipital (FRONTAL BONE ; TEMPORAL BONE ; OCCIPITAL os). Os sphénoïde médiane se compose d'un corps et trois paires de processus qui ressemble à une batte aux ailes déployées ! Le corps est creux dans ses inférieurs pour former deux grandes cavités (sphénoïde SINUS).
Tumeurs ou un cancer du duodénum.
Une hormone qui stimule l ’ hypophyse antérieure le cortex surrénalien et sa production de corticostéroïdes, ACTH est un acide 39-amino polypeptidique de laquelle le N-terminal 24-amino segment acide est identique dans toutes les espèces, qui contient la Adrenocorticotrophic. Lors d'une nouvelle activité tissue-specific processing, ACTH peut céder ALPHA-MSH et corticotrophin-like lobe intermédiaire peptide (CLIP).
Une petite glande qui ne sont pas en couple situées dans la selle Turcique. Il est lié au HYPOTHALAMUS par une petite tige qui est appelé l'INFUNDIBULUM.
Une tumeur maligne avec une organisation épithéliales glandulaire.
Une condition de anormalement élevé de production HORMONE due à une hyperplasie de la parathyroïde ou tumeurs De La Parathyroïde. C'est caractérisé par l ’ association de l'hypercalcémie, la phosphaturie, l ’ augmentation de la synthèse, la 1,25-dihydroxyvitamine D3 rénale et une augmentation de la résorption osseuse.
Tumeurs ou un cancer de la thyroïde GLAND.
Processus pathologiques qui ont tendance à devenir malin. (De Dorland, 27 e)
Les petits proéminence située sur la surface supérieure du corps de l'os sphénoïde il héberge des GLAND pituitaire.
Un examen endoscopique, le traitement ou la chirurgie du sigmoïde pliure.
Une masse de tissu normal du point de vue histologique présent dans une position anormale.
Tumeurs ou un cancer de la est fini.
La perte soudaine d ’ irrigation sanguine de l'hypophyse, entraînant une nécrose des tissus GLAND et perte de fonction (PANHYPOPITUITARISM). La cause la plus fréquente est INFARCTION d'une hémorragie ou un adénome hypophysaire. Ça peut aussi résulter de hémorragie aiguë due à la tête en selle Turcique traumatisme intracrâniens ; HYPERTENSION ; ou les effets du système nerveux central hémorragie. Des signes cliniques graves migraine ; hypotension, troubles visuels bilatérales ; UNCONSCIOUSNESS ; et coma.
Une hormone polypeptidique produite 191-amino acide sécrétée par les adenohypophysis GLAND hypophysaire humaine, (antérieur), alias GH ou Somatropine. Hormone synthétique de croissance, appelé la somatropine, a remplacé usage thérapeutique à la forme naturelle tels que le traitement de nanisme chez les enfants atteints de déficit en hormone de croissance.
Le segment de large intestin entre le cœcum et du est fini. Il inclut les COLON ascendante ; la COLON ; la transversale DESCENDING COLON ; et le sigmoïde COLON.
Hormones sécrétées par la glande pituitaire GLAND y compris ceux du lobe antérieur (adenohypophysis), le (neurohypophysis) et le lobe intermédiaire définie, structurellement, ils comprennent les petits peptides, les protéines, et glycoprotéines. Ils sont sous la régulation des signaux neuronaux (neurotransmetteurs) ou hypothalamique signaux physiologiques (hormones) de l'hypothalamus ainsi que les réactions de leurs cibles tels que cortex surrénalien ; hormones androgènes ; oestrogènes.
Un négatif régulateur de beta-catenin signalait quelle Adenomatous Polyposis Coli est mutants et syndrome du GARDNER.
L'excision de un ou plusieurs des glandes parathyroïdes.
Agent antinéoplasique qui est également utilisé comme un anesthésiant vétérinaire. Il a également été utilisé comme intermédiaire dans la synthèse organique. Uréthane est suspecté d'être une substance cancérigène.
Revêtement des intestins, comprenant une épithélium intérieure, un milieu et un axe la lamina propria et les muscularis mucosae. Dans un petit intestin, la muqueuse est caractérisé par une série de plis et l'abondance de cellules absorbante (entérocytes) avec microvillosités.
Une tumeur bénigne du intra-hépatique biliaire.
Une hormone sécrétée par la lactogenic adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). C'est un polypeptide d'environ 23 kD. Outre son action sur l ’ allaitement, chez certaines espèces prolactine exerce des effets sur la reproduction, comportement maternel, du métabolisme des graisses, immunomodulation et osmoregulation. Prolactine récepteurs sont présents dans la glande mammaire, de l'hypothalamus, foie, de l ’ ovaire, du testicule, et de la prostate.
Le segment de large intestin entre COLON et le sigmoïde transversale COLON.

Un adénome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans les glandes. Il peut se former dans divers endroits du corps où il y a des glandes, mais ils sont le plus souvent trouvés dans la prostate, les glandes surrénales et les glandes hypophysaires. Les adénomes sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent causer des problèmes de santé en comprimant les tissus voisins ou en interférant avec leur fonction normale.

Les adénomes peuvent ne pas provoquer de symptômes, surtout s'ils sont petits. Cependant, selon l'emplacement et la taille de la tumeur, des symptômes peuvent apparaître. Par exemple, un adénome de la prostate peut causer des problèmes de miction, tandis qu'un adénome de la glande pituitaire peut entraîner une production excessive d'hormones ou une vision floue.

Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la tumeur est simplement surveillée. Dans d'autres cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peut être recommandée pour enlever la tumeur ou réduire sa taille.

Un adénome pléomorphe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes salivaires des régions parotide, submandibulaire et sous-maxillaire de la tête et du cou. Il s'agit d'une tumeur mixte, ce qui signifie qu'elle contient plusieurs types de cellules différents, y compris des cellules épithéliales et des cellules myoépithéliales.

Les adénomes pléomorphes sont généralement indolents et se développent lentement au fil du temps. Ils peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Les symptômes courants associés à un adénome pléomorphe comprennent une masse ou un gonflement dans la région de la joue, du cou ou de la mâchoire, ainsi que des douleurs, des engourdissements ou des picotements faciaux.

Le diagnostic d'un adénome pléomorphe est généralement posé après une biopsie et une évaluation histopathologique des tissus prélevés. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète de la tumeur, suivie d'une surveillance régulière pour détecter toute récidive potentielle. Dans de rares cas, si la tumeur est grande ou envahit les structures environnantes, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être recommandée.

Dans l'ensemble, bien que les adénomes pléomorphes soient considérés comme des tumeurs bénignes, ils peuvent quand même causer des problèmes importants s'ils ne sont pas traités correctement. Il est donc important de consulter un médecin ou un spécialiste en tête et en cou si vous remarquez des symptômes suspects ou des changements dans la région de votre visage, de votre cou ou de votre mâchoire.

Un adénome villeux est un type rare et non cancéreux (bénin) de tumeur qui se développe dans le tractus gastro-intestinal, en particulier dans le colon. Il se caractérise par une croissance externe frondante et polypeuse avec des villosités arborescentes à la surface, d'où son nom. Ces tumeurs sont généralement solitaires et peuvent atteindre une taille considérable avant de provoquer des symptômes. Les adénomes villeux ont un risque accru de dégénérescence maligne (cancer) par rapport aux autres types d'adénomes.

Les symptômes associés à un adénome villeux peuvent inclure:

* Saignement rectal
* Anémie due à des saignements chroniques
* Changements dans les habitudes intestinales, telles que la diarrhée ou la constipation
* Douleurs abdominales
* Perte de poids involontaire

Le diagnostic d'un adénome villeux est généralement posé par endoscopie et biopsie. Le traitement standard consiste en une résection complète de la tumeur, souvent par chirurgie. La prévention des adénomes villeux implique un dépistage régulier du cancer colorectal chez les personnes à risque accru, y compris celles âgées de 50 ans et plus.

Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.

Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.

Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :

* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.

Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.

Un adénome corticosurrénalien est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans la couche externe (cortex) des glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes, telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes.

Les adénomes corticosurrénaliens peuvent perturber la production normale de ces hormones, entraînant une variété de symptômes. Par exemple, un adénome qui produit trop d'hormones cortisol peut causer le syndrome de Cushing, qui se caractérise par une prise de poids faciale ronde, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire, des ecchymoses faciles et des changements de peau.

La plupart des adénomes corticosurrénaliens sont petits et ne causent pas de symptômes. Cependant, certains peuvent devenir assez grands pour provoquer une pression sur les tissus environnants ou même se transformer en cancer (malignité).

Le diagnostic d'un adénome corticosurrénalien est généralement posé par des tests d'imagerie, tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que par des tests de fonction hormonale. Le traitement dépendra de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que de ses effets sur les niveaux d'hormones. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour enlever la tumeur.

Un adénome hépatocellulaire, également connu sous le nom d'hépatocellulaire adénome ou d'adénome du foie, est un type rare et généralement bénin de tumeur du foie. Il se développe à partir des cellules hépatiques (hépatocytes) qui constituent la majeure partie du foie.

Habituellement, les adénomes hépatocellulaires surviennent chez les femmes d'âge moyen, en particulier celles qui utilisent des contraceptifs oraux contenant des œstrogènes à fortes doses pendant une longue période. D'autres facteurs de risque peuvent inclure l'obésité, la maladie métabolique hépatique et certaines affections génétiques rares.

La plupart des adénomes hépatocellulaires ne présentent aucun symptôme et sont découverts de manière fortuite lors d'examens d'imagerie du foie effectués pour d'autres raisons. Cependant, certains patients peuvent présenter des douleurs abdominales, une sensation de plénitude ou une masse palpable dans l'abdomen supérieur. Les complications graves mais rares associées aux adénomes hépatocellulaires comprennent la rupture et les saignements intra-abdominaux, qui peuvent mettre la vie en danger.

Le traitement de choix pour l'adénome hépatocellulaire est généralement la chirurgie visant à retirer complètement la tumeur. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être recommandée, en particulier pour les patients atteints de tumeurs multiples ou de tumeurs volumineuses qui ne peuvent pas être complètement retirées par chirurgie.

Il est important de noter que bien que la plupart des adénomes hépatocellulaires soient bénins, il existe un risque qu'ils deviennent cancéreux au fil du temps. Par conséquent, les patients atteints d'adénome hépatocellulaire doivent faire l'objet d'un suivi régulier par imagerie pour détecter toute récidive ou progression de la maladie.

Un adénome chromophobe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les cellules des glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes pour le fonctionnement normal du corps.

Les adénomes chromophobes se caractérisent par des cellules anormales qui ont une apparence particulière lorsqu'elles sont observées au microscope. Ces cellules ont souvent un noyau agrandi et une quantité accrue de matériel génétique (ADN). Les adénomes chromophobes peuvent être asymptomatiques ou provoquer des symptômes tels que des douleurs abdominales, une hypertension artérielle ou une production excessive d'hormones.

Bien que la plupart des adénomes chromophobes soient bénins, certains peuvent devenir cancéreux et se propager à d'autres parties du corps. Dans ces cas, ils sont appelés carcinomes chromophobes. Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de la présence ou non de symptômes. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Les tumeurs colorectales sont des croissances anormales dans le côlon ou le rectum, qui peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles se développent à partir de cellules qui tapissent la paroi interne du côlon ou du rectum et se multiplient de manière incontrôlable.

Les adénomes sont les types de tumeurs colorectales bénignes les plus courants. Bien qu'ils ne soient pas cancéreux, certains d'entre eux peuvent évoluer vers un cancer s'ils ne sont pas enlevés. Les carcinomes sont des tumeurs colorectales malignes qui se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse intestinale.

Les facteurs de risque de développement des tumeurs colorectales comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, l'obésité, une histoire personnelle ou familiale de polypes intestinaux ou de cancer colorectal, certaines maladies inflammatoires de l'intestin telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, ainsi qu'une prédisposition génétique héréditaire.

Les symptômes des tumeurs colorectales peuvent inclure des saignements rectaux, des modifications de l'habitude intestinale telles que la constipation ou la diarrhée persistante, une sensation de satiété après avoir mangé seulement une petite quantité de nourriture, des douleurs abdominales, une fatigue excessive et une perte de poids inexpliquée.

Le diagnostic des tumeurs colorectales peut être posé grâce à des tests d'imagerie tels qu'une colonoscopie ou une sigmoïdoscopie, qui permettent de visualiser l'intérieur du côlon et de prélever des échantillons de tissus pour analyse. Le traitement dépend du stade et de la localisation de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes.

Les polypes coliques sont des excroissances anormales de la muqueuse qui tapisse l'intérieur du côlon ou du gros intestin. Bien que la plupart des polypes soient bénins et ne causent pas de symptômes, certains types peuvent devenir cancéreux s'ils ne sont pas enlevés. Les petits polypes ont généralement un risque faible de développer un cancer colorectal, mais les polypes plus grands ou ceux qui présentent des changements anormaux dans leurs cellules (dysplasie) peuvent être plus préoccupants.

Les facteurs de risque de développement des polypes coliques comprennent l'âge avancé, une histoire personnelle ou familiale de polypes ou de cancer colorectal, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes des polypes coliques peuvent inclure des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales telles que la diarrhée ou la constipation persistante, des crampes abdominales et une sensation de plénitude ou de ballonnement. Cependant, beaucoup de personnes atteintes de polypes ne présentent aucun symptôme.

Le diagnostic des polypes coliques peut être posé grâce à des tests tels qu'une colonoscopie, qui permet au médecin d'examiner l'intérieur du côlon et du rectum et de retirer tout polype suspect. Les polypes peuvent également être détectés par une sigmoïdoscopie ou une tomographie virtuelle du côlon.

Le traitement des polypes coliques consiste généralement à les enlever lors d'une colonoscopie. Dans certains cas, une chirurgie peut être nécessaire pour retirer les polypes plus grands ou ceux situés dans des zones difficiles d'accès. Après le traitement, un suivi régulier est important pour détecter toute récidive de polypes.

La coloscopie est un examen médical réalisé à l'aide d'un endoscope, appelé coloscope, inséré dans le rectum et remonté dans le côlon ou gros intestin. Cet instrument flexible muni d'une source lumineuse et équipé d'une caméra permet au médecin de visualiser directement la muqueuse du côlon sur un écran. La coloscopie sert principalement à détecter d'éventuelles lésions précancéreuses ou cancéreuses, des polypes, des inflammations, des ulcères ou des saignements dans le côlon et le rectum. Durant la procédure, il est également possible de prélever des échantillons de tissus (biopsies) pour analyse en laboratoire. La préparation à cet examen consiste généralement en un régime alimentaire spécifique et l'utilisation d'un laxatif puissant afin de nettoyer complètement le côlon.

Les polypes adénomateux sont des tumeurs bénignes mais qui peuvent évoluer vers un état malin, c'est-à-dire cancéreux. Ils se développent dans la muqueuse du tube digestif, le plus souvent dans le côlon et le rectum. Ces polypes sont composés de glandes anormales qui se multiplient de manière désordonnée, formant une excroissance sur la paroi interne du côlon ou du rectum.

Les polypes adénomateux peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ils sont souvent asymptomatiques et découverts lors d'un examen de routine comme une coloscopie. Cependant, certains symptômes peuvent alerter, tels que des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal ou de l'apparition de mucus dans les selles.

Le risque de transformation d'un polype adénomateux en cancer colorectal dépend de plusieurs facteurs, dont la taille et le grade de dysplasie (anomalie cellulaire) du polype. Les polypes de plus de 1 cm et ceux présentant une forte dysplasie sont les plus à risque de devenir cancéreux. Il est donc important de dépister et d'enlever ces polypes lorsqu'ils sont découverts, afin de prévenir le développement d'un cancer colorectal.

Un prolactinome est un type rare de tumeur bénigne de l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs hormones importantes. Cette tumeur provoque une sécrétion excessive de prolactine, une hormone qui stimule la production de lait maternel. Les symptômes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une érection réduite ou un dysfonctionnement érectile chez les hommes, et dans certains cas, une production inappropriée de lait maternel (galactorrhée) chez les deux sexes. Les prolactinomes peuvent également causer des symptômes visuels si elles grossissent suffisamment pour exercer une pression sur le nerf optique. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'un examen sanguin pour mesurer les niveaux de prolactine et d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) pour confirmer la présence et localiser la tumeur. Le traitement dépend de la taille de la tumeur et des symptômes, mais peut inclure des médicaments pour abaisser les niveaux de prolactine ou une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur.

Un adénome basophile est un type rare de tumeur bénigne qui se développe dans les glandes surrénales et est composé de cellules productrices d'hormones appelées cellules basophiles. Ces tumeurs peuvent produire une hormone appelée cortisol en excès, ce qui peut entraîner des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue. Les adénomes basophiles sont généralement traités par une chirurgie pour enlever la tumeur. Cependant, il est important de noter que les informations fournies ici peuvent ne pas être complètes ou à jour, et il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et adaptées à une situation particulière.

Les tumeurs corticosurrénaliennes sont des growths anormaux qui développent dans la glande surrénale, une petite glande située au-dessus des reins. La glande surrénale est composée de deux parties: la médulla et la cortex. La partie corticale est responsable de la production d'hormones stéroïdes telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes.

Les tumeurs corticosurrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes corticosurrénaliens, tandis que les tumeurs malignes sont appelées carcinomes corticosurrénaliens.

Les tumeurs corticosurrénaliennes peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones stéroïdes, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, une production excessive de cortisol peut entraîner le syndrome de Cushing, qui se caractérise par une prise de poids du visage et du tronc, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire, une peau fine et fragile, des ecchymoses faciles et des irrégularités menstruelles. Une production excessive d'aldostérone peut entraîner l'hyperaldostéronisme primaire, qui se caractérise par une hypertension artérielle et une faiblesse musculaire.

Le diagnostic de tumeurs corticosurrénaliennes implique généralement des tests d'imagerie tels que des tomodensitogrammes (TDM) ou des imageries par résonance magnétique (IRM), ainsi que des tests hormonaux pour évaluer la fonction de la glande surrénale. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

La polypose adénomateuse colique familiale (FAP, pour Family Adenomatous Polyposis) est une maladie génétique rare caractérisée par la présence de centaines à milliers de polypes adénomateux dans le colon et le rectum. Ces polypes sont des tumeurs bénignes mais présentent un risque élevé de transformation en cancer colorectal si elles ne sont pas traitées.

La FAP est causée par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui code pour une protéine impliquée dans la régulation de la croissance cellulaire et de l'apoptose (mort cellulaire programmée). Cette mutation entraîne une production anormale ou absente de la protéine APC, ce qui conduit à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la formation de polypes.

Les symptômes de la FAP comprennent des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal (diarrhée, constipation), de la fatigue, une perte de poids et une anémie. Le diagnostic est généralement posé par colonoscopie, qui permet de détecter et de compter le nombre de polypes dans le colon et le rectum.

Le traitement de la FAP consiste en une colectomie totale ou subtotale avec anastomose iléo-anale, qui permet d'enlever tous les polypes colorectaux et de prévenir ainsi le développement d'un cancer colorectal. Des suivis réguliers par colonoscopie sont également nécessaires pour détecter et enlever tout polype réapparaissant dans le côlon restant ou dans l'iléon.

La FAP est une maladie héréditaire autosomique dominante, ce qui signifie qu'un seul parent atteint a 50% de chances de transmettre la maladie à ses enfants. Les membres de la famille d'une personne atteinte de FAP peuvent bénéficier d'un dépistage génétique pour déterminer s'ils ont hérité du gène muté responsable de la maladie.

L'acromégalie est une maladie hormonale rare caractérisée par une production excessive d'hormone de croissance (GH) et d'insuline-like growth factor 1 (IGF-1) après la fermeture des plaques de croissance osseuse. Cela signifie généralement que les personnes atteintes d'acromégalie ont développé la maladie à l'âge adulte.

La cause sous-jacente est généralement un adénome hypophysaire, une tumeur bénigne de la glande pituitaire qui sécrète inappropriément de grandes quantités d'hormone de croissance. Les symptômes peuvent inclure un élargissement des os du visage, des mains et des pieds, une hypertrophie des organes internes, une voix plus profonde, une transpiration excessive, une fatigue, des douleurs articulaires et une sensibilité aux maladies cardiovasculaires.

Le diagnostic est posé sur la base de tests sanguins qui montrent des niveaux élevés de GH et d'IGF-1, ainsi que parfois l'imagerie médicale pour localiser une tumeur hypophysaire. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, des radiations pour réduire sa taille et/ou des médicaments pour contrôler la production de GH.

Il est important de diagnostiquer et de traiter l'acromégalie car elle peut entraîner des complications graves telles que des problèmes cardiovasculaires, respiratoires et métaboliques, ainsi qu'une réduction de l'espérance de vie.

Le syndrome de Cushing est un trouble endocrinien caractérisé par des niveaux élevés de cortisol, une hormone stéroïde produite par les glandes surrénales. Il peut être causé par la prise de médicaments contenant du cortisol (corticostéroïdes) sur une longue période ou par un dysfonctionnement des glandes surrénales elles-mêmes, appelé syndrome de Cushing endogène.

Dans le syndrome de Cushing endogène, il existe deux types principaux : le syndrome de Cushing causé par une tumeur de l'hypophyse (glande pituitaire) qui sécrète excessivement l'hormone ACTH stimulant la production de cortisol, appelé syndrome de Cushing d'origine hypophysaire ; et le syndrome de Cushing causé par une tumeur des glandes surrénales qui produit directement trop de cortisol, appelé syndrome de Cushing d'origine surrénalienne.

Les symptômes du syndrome de Cushing comprennent souvent l'obésité du haut du corps, avec des bras et des jambes minces, une face lunaire rouge ou violacée, une fragilité cutanée, des vergetures pourpres sur l'abdomen, l'apparition de streptocides au niveau des plis cutanés, une hypertension artérielle, un diabète, une ostéoporose, une fatigue, une faiblesse musculaire, une sensation de malaise, des sautes d'humeur, une diminution de la libido, une aménorrhée (absence de règles) et une infertilité chez les femmes.

Le diagnostic du syndrome de Cushing repose sur des tests sanguins, salivaires ou urinaires pour mesurer le taux de cortisol, ainsi que sur des examens d'imagerie pour localiser toute tumeur sous-jacente. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une médication spécifique.

Le gène APC (Adenomatous Polyposis Coli) est un gène suppresseur de tumeurs situé sur le bras long du chromosome 5 (5q21-q22). Il joue un rôle crucial dans la régulation des voies de signalisation qui contrôlent la croissance et la division cellulaires. Les mutations du gène APC sont associées à plusieurs affections médicales, telles que la polypose adénomateuse familiale (PAF), une maladie héréditaire caractérisée par le développement de centaines à des milliers de polypes dans le côlon et le rectum. Ces polypes présentent un risque élevé de devenir cancéreux si non traités. De plus, certaines mutations du gène APC ont été identifiées dans certains types de cancer colorectal sporadique (non héréditaire).

Le produit protéique du gène APC, la protéine APC, est une protéine multifonctionnelle qui participe à divers processus cellulaires, notamment la stabilisation des microtubules, l'apoptose (mort cellulaire programmée), la transcription et la régulation de la voie de signalisation Wnt. La protéine APC forme un complexe avec d'autres protéines pour réguler la dégradation de la β-caténine, une protéine clé impliquée dans la voie de signalisation Wnt. Lorsque le gène APC est muté, la régulation de la β-caténine est altérée, entraînant une accumulation anormale de cette protéine et l'activation de gènes cibles qui favorisent la croissance cellulaire et la division. Ces événements contribuent au développement des polypes et, éventuellement, du cancer colorectal dans le contexte de la PAF ou d'autres affections liées à des mutations APC.

L'hyperparathyroïdie est une condition médicale où les glandes parathyroïdes produisent trop d'hormone parathyroïdienne (PTH). Ces glandes, généralement au nombre de quatre, sont situées dans le cou près de la thyroïde et jouent un rôle crucial dans la régulation des niveaux de calcium et de phosphore dans le sang.

L'hormone parathyroïdienne a pour fonction de maintenir l'équilibre de ces minéraux en augmentant ou en diminuant leur absorption dans les os, l'intestin et les reins. Lorsque trop de PTH est produit, comme c'est le cas dans l'hyperparathyroïdie, il en résulte un déséquilibre de ces minéraux dans l'organisme.

Les symptômes de l'hyperparathyroïdie peuvent varier considérablement, allant de presque aucun à graves. Ils peuvent inclure des douleurs osseuses et articulaires, une fatigue excessive, une faiblesse musculaire, des nausées, des vomissements, une constipation, une soif accrue, une augmentation de la miction et dans les cas graves, des calculs rénaux ou des lésions rénales.

L'hyperparathyroïdie peut être primaire, secondaire ou tertiaire. La forme primaire est due à une anomalie dans les glandes parathyroïdes elles-mêmes, comme un adénome (une tumeur bénigne) ou une hyperplasie (une croissance anormale des cellules). La forme secondaire survient lorsque le corps manque de calcium, ce qui peut se produire avec une malnutrition, une malabsorption intestinale ou des maladies rénales chroniques. Dans la forme tertiaire, l'organisme développe une résistance à l'action de la PTH, entraînant une augmentation persistante des niveaux de cette hormone.

Les tumeurs des glandes salivaires sont des croissances anormales qui se forment dans les glandes salivaires. Ces glandes sont responsables de la production de salive pour aider à la digestion et maintenir la muqueuse buccale humide. Les glandes salivaires principales sont situées dans la mâchoire inférieure et juste en avant de l'oreille (parotides), tandis que les glandes salivaires accessoires sont plus petites et se trouvent dans la bouche, le nez et la gorge.

Les tumeurs des glandes salivaires peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, ne mettant pas la vie en danger. Cependant, elles peuvent continuer à croître et causer des problèmes, tels que des douleurs, des gonflements ou des difficultés à avaler ou à parler, en fonction de leur emplacement.

Les tumeurs malignes, quant à elles, sont plus agressives et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent provoquer des symptômes similaires à ceux des tumeurs bénignes, mais peuvent également entraîner une perte de poids, une fièvre ou des ganglions lymphatiques enflés.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses et la chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses qui se sont propagées. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.

Les tumeurs du côlon sont des croissances anormales de cellules dans le côlon, qui peuvent être bénignes ou malignes. Le côlon est la partie terminale de l'intestin grêle où l'eau et les électrolytes sont absorbés et où les déchets solides sont stockés avant d'être évacués du corps.

Les tumeurs bénignes du côlon, également appelées polypes, sont des croissances de tissus qui ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être enlevées chirurgicalement. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du côlon, également appelées carcinomes du côlon, se propagent aux tissus environnants et peuvent se propager à d'autres parties du corps via la circulation sanguine ou lymphatique. Les symptômes des tumeurs du côlon comprennent des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales, de la douleur abdominale, une perte de poids inexpliquée et de la fatigue.

Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Les facteurs de risque comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, l'obésité, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, des antécédents personnels ou familiaux de polypes ou de cancer du côlon.

Les tumeurs de l'intestin sont des croissances anormales qui se forment dans l'un des composants du système digestif communément appelé l'intestin. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes incluent les adénomes, les lipomes, les leiomyomes et les hémangiomes. Elles sont généralement traitées par résection chirurgicale si elles causent des symptômes, tels que saignements, obstruction ou perforation.

Les tumeurs malignes, également connues sous le nom de cancers de l'intestin, comprennent les carcinomes adénocarcinomes, les lymphomes et les sarcomes. Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais il peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie.

Les facteurs de risque de développer un cancer colorectal, qui est le type le plus courant de cancer de l'intestin, comprennent l'âge avancé, les antécédents familiaux de cancer colorectal, certaines conditions médicales telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, un régime alimentaire riche en viandes rouges et transformées, le tabagisme et l'obésité.

L'hyperplasie est un terme médical qui décrit une augmentation anormale du nombre de cellules dans un tissu ou un organe, entraînant une augmentation du volume de cet organe. Cela se produit généralement en réponse à une stimulation hormonale ou autre, et peut être bénigne ou liée à une maladie sous-jacente.

L'hyperplasie peut affecter divers tissus et organes dans le corps, y compris la prostate, l'endomètre, le sein, la thyroïde et les poumons. Elle diffère de l'hypertrophie, qui est une augmentation de la taille des cellules existantes sans augmentation du nombre de cellules.

L'hyperplasie peut être asymptomatique ou causer divers symptômes en fonction de l'organe affecté. Par exemple, une hyperplasie de la prostate peut entraîner des difficultés à uriner, tandis qu'une hyperplasie de l'endomètre peut provoquer des saignements menstruels abondants ou irréguliers.

Le traitement de l'hyperplasie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou d'autres thérapies.

Les tumeurs primitives multiples (TPM) est un terme utilisé en oncologie pour décrire une situation où plusieurs types différents de tumeurs malignes se développent simultanément ou séquentiellement chez un même patient, sans preuve de métastases à partir d'une tumeur primitive initiale. Chaque tumeur est considérée comme indépendante et primaire, d'où le nom de "tumeurs primitives multiples".

Cette condition est relativement rare et peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux. Dans certains cas, les TPM peuvent être associées à des syndromes héréditaires tels que le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Von Hippel-Lindau, et d'autres prédispositions génétiques au cancer.

Le diagnostic et la prise en charge des TPM peuvent être complexes, nécessitant une évaluation approfondie par une équipe multidisciplinaire de spécialistes pour déterminer le type et l'origine de chaque tumeur, ainsi que les options de traitement appropriées pour chacune d'entre elles.

Les tumeurs surrénaliennes sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes telles que l'adrénaline, le cortisol et les androgènes.

Les tumeurs surrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes surrénaliens et sont relativement courantes, affectant environ 3 à 10 personnes sur 100 000. La plupart des adénomes surrénaliens ne causent pas de symptômes et ne nécessitent aucun traitement.

Cependant, certaines tumeurs surrénales peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, les tumeurs surrénales qui produisent de l'adrénaline peuvent causer des palpitations cardiaques, de l'anxiété, de la transpiration et des tremblements. Les tumeurs surrénales qui produisent du cortisol peuvent entraîner une prise de poids, un visage bouffi, une pression artérielle élevée, une faiblesse musculaire et une fragilité osseuse.

Les tumeurs surrénales malignes sont appelées phéochromocytomes ou corticosurrénalomes, selon l'hormone qu'elles produisent. Ces tumeurs sont rares mais peuvent être très dangereuses car elles peuvent entraîner une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou même la mort si elles ne sont pas traitées rapidement.

Le diagnostic des tumeurs surrénales implique généralement une combinaison de tests d'imagerie et de tests sanguins pour déterminer la taille, l'emplacement et le type de tumeur. Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

L'hypersécrétion hypophysaire d'ACTH, également connue sous le nom de maladie de Cushing, est un trouble endocrinien dans lequel l'hypophyse sécrète excessivement l'hormone adrénocorticotrope (ACTH). Cette hormone stimule les glandes surrénales à produire excessivement des corticostéroïdes, en particulier le cortisol.

Les symptômes courants de cette maladie comprennent l'obésité du haut du corps, la fragilité cutanée, l'hypertension artérielle, le diabète sucré, les troubles de l'humeur et du sommeil, l'ostéoporose et l'aménorrhée chez les femmes.

L'hypersécrétion hypophysaire d'ACTH peut être causée par un adénome hypophysaire, une tumeur bénigne de l'hypophyse, ou par une tumeur située à distance qui sécrète de l'ACTH (tumeur ectopique). Le diagnostic est établi par des tests hormonaux et d'imagerie médicale.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, des radiations ou des médicaments pour contrôler la production excessive d'ACTH et de cortisol.

Les tumeurs de la parotide se réfèrent à des growths anormaux dans la glande parotide, qui est la plus grande glande salivaire située juste devant chaque oreille. La plupart des tumeurs de la parotide sont bénignes (non cancéreuses), mais certaines peuvent être malignes (cancéreuses). Les symptômes courants des tumeurs de la parotide comprennent une masse ou un gonflement visible dans la région de la joue, en face de l'oreille. La douleur peut également être présente, en particulier dans le cas de tumeurs malignes.

Les facteurs de risque de développer des tumeurs de la parotide comprennent l'exposition à des radiations, le tabagisme et certains troubles génétiques. Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, telles que les ultrasons ou les tomodensitométries, et une biopsie pour déterminer le type de tumeur.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être observées ou retirées chirurgicalement si elles causent des symptômes. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale pour les enlever, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie dans certains cas. Le pronostic dépend du type et du stade de la tumeur au moment du diagnostic.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

Un carcinome est un type de cancer qui commence dans les cellules épithéliales, qui sont les cellules qui tapissent la surface des organes et des glandes. Ces cellules ont une forme aplatie et une fonction de protection ou de sécrétion. Les carcinomes peuvent se développer à partir de divers types d'épithélium dans tout le corps, y compris la peau, les poumons, le sein, le côlon, la prostate et le rein.

Les carcinomes peuvent être classés en plusieurs sous-types en fonction de leur apparence au microscope et de leurs caractéristiques moléculaires. Certains des sous-types courants comprennent les carcinomes squameux, les adénocarcinomes, les carcinomes à cellules basales et les carcinomes à cellules rénales.

Les facteurs de risque pour le développement d'un carcinome peuvent inclure l'exposition aux rayonnements, au tabagisme, à certaines substances chimiques, à une infection virale ou bactérienne, à des antécédents familiaux de cancer et au vieillissement.

Le traitement d'un carcinome dépend du type et du stade du cancer, ainsi que de la santé générale du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à l'aide de rayonnements, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses avec des médicaments, ou une thérapie ciblée pour attaquer des caractéristiques spécifiques des cellules cancéreuses.

L'hyperaldostéronisme est un état clinique caractérisé par une production excessive d'aldostérone, une hormone stéroïde minéralocorticoïde produite par la zone glomérulée du cortex surrénalien. Il existe deux types principaux d'hyperaldostéronisme : primaire et secondaire.

Dans l'hyperaldostéronisme primaire, également connu sous le nom de maladie de Conn, il y a une tumeur bénigne ou maligne (cancer) dans les glandes surrénales qui produit trop d'aldostérone. Cela entraîne une rétention sodique, une augmentation du volume sanguin et une hypertension artérielle.

Dans l'hyperaldostéronisme secondaire, la production excessive d'aldostérone est due à une affection sous-jacente qui stimule les glandes surrénales, comme une insuffisance rénale chronique, une sténose de l'artère rénale ou une maladie cardiaque congestive.

Les symptômes courants de l'hyperaldostéronisme comprennent l'hypertension artérielle, les crampes musculaires, la faiblesse, la fatigue, la polyurie (miction excessive), la polydipsie (soif excessive) et l'alcalose métabolique. Le diagnostic est généralement posé sur la base de tests sanguins qui montrent des niveaux élevés d'aldostérone et une faible kaliémie (faibles taux de potassium). Le traitement dépend du type d'hyperaldostéronisme et peut inclure des médicaments, la chirurgie ou le traitement de la maladie sous-jacente.

L'os sphénoïde est un os impair et complexe situé dans la base du crâne, entre les deux orbites. Il joue un rôle important dans la formation des fosses crâniennes moyenne et postérieure, ainsi que dans la constitution de la base du crâne antérieure.

L'os sphénoïde se compose de plusieurs parties, dont le corps, les deux grandes ailes, deux petites ailes, deux processus ptérygoïdes, et deux apophyses mastoïdes. Le corps de l'os sphénoïde contient la selle turcique, une dépression qui abrite le hypophyse. Les grandes ailes forment les parois latérales des fosses crâniennes moyennes et participent à la formation du toit de l'orbite. Les petites ailes se trouvent en arrière des grandes ailes et contribuent à former la partie antérieure de la fosse crânienne postérieure.

Les processus ptérygoïdes sont des prolongements latéraux qui s'articulent avec les os voisins, tels que l'os temporal et l'os palatin. Enfin, les apophyses mastoïdes sont de petites projections osseuses situées à l'arrière des processus ptérygoïdes, qui servent d'attache aux muscles sterno-cléido-mastoïdiens.

L'os sphénoïde est impliqué dans plusieurs fonctions importantes, notamment la protection des structures nerveuses et vasculaires du cerveau, la formation de cavités pour les organes sensoriels (comme l'oreille moyenne), et la participation à la mastication grâce aux articulations qu'il forme avec les os maxillaire et mandibulaire.

Les tumeurs du duodénum sont des growths anormaux qui se développent dans la muqueuse du duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle. Le duodénum est la section courte mais large de l'intestin grêle qui reçoit le chyme (partiellement digéré les aliments) du estomac via le pylore.

Les tumeurs du duodénum peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les types courants de tumeurs bénignes comprennent les adénomes, les lipomes, les leiomyomes et les hémangiomes. Ces tumeurs sont généralement asymptomatiques, mais elles peuvent provoquer des symptômes lorsqu'elles grossissent et compriment les structures avoisinantes. Les symptômes courants comprennent des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une perte de poids et une sensation de satiété précoce.

Les tumeurs malignes du duodénum sont rares et représentent moins de 1 % de tous les cancers gastro-intestinaux. Les carcinomes annulaires du duodénum, également appelés adénocarcinomes du duodénum, sont le type le plus courant de tumeurs malignes du duodénum. Ces tumeurs se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse du duodénum et peuvent se propager localement aux structures avoisinantes ou métastaser à d'autres parties du corps. Les facteurs de risque comprennent une histoire de maladie de Crohn, de polypes du duodénum et de certaines conditions héréditaires telles que la néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (NEM1).

Le diagnostic des tumeurs du duodénum implique généralement une combinaison d'examens d'imagerie, tels qu'une tomodensitométrie ou une résonance magnétique, et d'endoscopie. Une biopsie est souvent nécessaire pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de tumeur. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

L'hormone corticotrope, également connue sous le nom d'hormone adrénocorticotrope (ACTH), est une hormone peptidique sécrétée par l'antéhypophyse, précisément par la partie médiane du lobe antérieur ou par les cellules corticotropes. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des glandes surrénales et de la réponse au stress dans le corps humain.

L'ACTH stimule la synthèse et la libération des hormones corticosurrénaliennes, principalement le cortisol, mais aussi d'autres glucocorticoïdes et androgènes, à partir de la couche externe ou cortex des glandes surrénales. Le cortisol est une hormone stéroïde qui intervient dans un large éventail de processus physiologiques, notamment le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, la régulation de la pression artérielle, la réponse immunitaire et l'homéostasie.

La sécrétion d'ACTH est contrôlée par le système de rétroaction négative de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Lorsque les taux de cortisol dans la circulation sanguine sont bas, le corticotropin-releasing hormone (CRH) est sécrété par l'hypothalamus, ce qui entraîne la libération d'ACTH par l'antéhypophyse. Le cortisol résultant exerce ensuite un effet négatif sur la production de CRH et d'ACTH, rétablissant ainsi l'homéostasie des hormones corticosurrénaliennes.

Des déséquilibres dans la sécrétion d'ACTH peuvent entraîner diverses affections, telles que le syndrome de Cushing (trop de cortisol) ou l'insuffisance surrénalienne (pas assez de cortisol). Par conséquent, une compréhension approfondie du rôle et de la régulation de l'ACTH est essentielle pour diagnostiquer et traiter ces conditions.

L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).

L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).

La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.

Un adénocarcinome est un type de cancer qui se développe dans les cellules glandulaires. Ces cellules sont présentes dans de nombreux tissus et organes du corps, et elles produisent des substances telles que des mucus ou des hormones.

Les adénocarcinomes peuvent survenir dans divers endroits, notamment les poumons, le sein, le côlon, le rectum, l'estomac, la prostate et le pancréas. Ils se développent à partir d'une tumeur bénigne appelée adénome, qui peut devenir cancéreuse au fil du temps.

Les symptômes de l'adénocarcinome dépendent de son emplacement dans le corps. Par exemple, un adénocarcinome du sein peut provoquer une masse ou une grosseur palpable, tandis qu'un adénocarcinome du poumon peut causer une toux persistante, des douleurs thoraciques et des expectorations sanglantes.

Le traitement de l'adénocarcinome dépend également de son emplacement et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Le pronostic varie en fonction du type et du stade du cancer, ainsi que de facteurs tels que l'âge et l'état de santé général du patient.

L'hyperparathyroïdie primitive est une affection endocrinienne dans laquelle l'une ou plusieurs des glandes parathyroïdes situées dans le cou produisent excessivement l'hormone parathyroïdienne (PTH). Cette hormone régule normalement les niveaux de calcium et de phosphore dans le sang. Dans l'hyperparathyroïdie primitive, la production excessive de PTH entraîne une augmentation des taux de calcium sanguin, ce qui peut affaiblir les os et provoquer d'autres complications telles que des calculs rénaux et des troubles mentaux.

La cause la plus fréquente d'hyperparathyroïdie primitive est un adénome, une tumeur bénigne d'une glande parathyroïde. Dans de rares cas, l'hyperplasie des glandes parathyroïdes ou un cancer peut être à l'origine de cette affection.

Les symptômes peuvent inclure la fatigue, la faiblesse, la dépression, la soif excessive, la miction fréquente, la constipation, les nausées, les vomissements et la perte d'appétit. Certaines personnes ne présentent aucun symptôme et l'affection est découverte lors d'examens sanguins de routine qui révèlent des taux élevés de calcium dans le sang.

Le diagnostic repose généralement sur des analyses de sang et d'urine, ainsi que sur des tests d'imagerie pour localiser toute tumeur ou anomalie des glandes parathyroïdes. Le traitement dépend de la gravité de l'affection et peut inclure une surveillance attentive, un changement de mode de vie, une intervention chirurgicale pour enlever les glandes parathyroïdes hyperactives ou des médicaments pour contrôler les taux de calcium dans le sang.

Les tumeurs de la thyroïde sont des growths anormaux qui se développent dans la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située à la base du cou. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes de la thyroïde sont courantes et ne mettent généralement pas la vie en danger. Elles peuvent inclure des adénomes, qui sont des growths solides ou remplis de liquide qui se développent dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Les nodules thyroïdiens sont également une forme courante de tumeur bénigne et peuvent être solitaires ou multiples.

Les tumeurs malignes de la thyroide, en revanche, sont des cancers qui peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les types courants de cancer de la thyroïde comprennent le carcinome papillaire, le carcinome folliculaire, le carcinome médullaire et le carcinome anaplasique.

Les symptômes des tumeurs de la thyroïde peuvent inclure un nodule ou une masse visible dans le cou, une gêne ou une douleur dans le cou, des difficultés à avaler ou à respirer, et un enrouement de la voix. Cependant, de nombreuses tumeurs thyroïdiennes ne présentent aucun symptôme et sont découvertes lors d'examens médicaux de routine.

Le diagnostic des tumeurs de la thyroïde implique généralement une combinaison de tests, y compris une échographie, une biopsie à l'aiguille fine (FNA) et une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse.

Les conditions précancéreuses, également appelées lésions précancéreuses ou états précancéreux, sont des changements anormaux dans les cellules qui peuvent évoluer vers un cancer si elles ne sont pas détectées et traitées à temps. Ces conditions ne sont pas encore cancéreuses, mais elles présentent un risque accru de développer un cancer. Elles peuvent apparaître sous forme de croissance ou de lésion anormale dans un tissu ou un organe spécifique.

Les exemples courants de conditions précancéreuses comprennent les suivantes :

1. Dysplasie : Il s'agit d'une anomalie cellulaire qui se produit lorsque les cellules présentent des caractéristiques atypiques, telles qu'un noyau plus grand ou une division cellulaire anormale. La dysplasie peut survenir dans divers tissus et organes, y compris la bouche, le col de l'utérus, le poumon, le sein et l'intestin.

2. Leucoplasie : Il s'agit d'une lésion blanche et squameuse qui se forme sur la muqueuse, généralement dans la bouche ou le vagin. Bien que la plupart des leucoplasies soient bénignes, certaines peuvent évoluer vers un cancer si elles ne sont pas traitées.

3. Érythroplasie : Il s'agit d'une lésion rouge et veloutée qui se forme sur la muqueuse, généralement dans la bouche ou le vagin. Comme la leucoplasie, l'érythroplasie peut être bénigne, mais elle présente un risque accru de développer un cancer.

4. Kératose actinique : Il s'agit d'une croissance squameuse et rugueuse qui se forme sur la peau, généralement exposée au soleil. Bien que la kératose actinique ne soit pas cancéreuse en soi, elle peut évoluer vers un carcinome spinocellulaire, une forme de cancer de la peau.

5. Dysplasie : Il s'agit d'une anomalie cellulaire anormale qui peut se produire dans n'importe quelle partie du corps. La dysplasie peut être bénigne ou pré-cancéreuse, selon la gravité de l'anomalie cellulaire.

Il est important de noter que toutes ces conditions ne sont pas nécessairement cancéreuses ou pré-cancéreuses, mais elles présentent un risque accru de développer un cancer si elles ne sont pas traitées. Si vous présentez l'un de ces symptômes, il est important de consulter un médecin pour un examen et un diagnostic appropriés.

La selle turcique, également connue sous le nom de fosse cranielle postérieure, est une structure anatomique importante située dans la base du crâne. Elle est formée par un ensemble d'os, y compris l'os occipital, les parties petites et grandes des os temporaux, et le clivus de l'os sphénoïde.

La selle turcique abrite la glande pituitaire, qui est une glande endocrine majeure responsable de la sécrétion d'hormones importantes telles que l'hormone de croissance, l'hormone thyroïdienne, l'hormone adrénocorticotrope, la prolactine, et les hormones gonadotropes.

La selle turcique a une forme concave qui ressemble à une selle, d'où son nom. Elle est située en avant de la protubérance occipitale interne et en dessous du splénium du corps calleux. La selle turcique est un site important pour le diagnostic et le suivi des maladies de la glande pituitaire, telles que les adénomes hypophysaires, qui peuvent entraîner une hypertrophie de la selle turcique et une compression de la glande pituitaire.

La rectosigmoïdoscopie est un examen endoscopique qui permet d'examiner la paroi interne du rectum et la partie terminale du côlon, appelée sigmoïde. Cet examen est généralement utilisé pour évaluer les symptômes gastro-intestinaux tels que la douleur abdominale, le sang dans les selles ou les changements de habitudes intestinales.

Pendant l'examen, un médecin insère un petit tube flexible et éclairé, appelé sigmoïdoscope, dans le rectum et le fait avancer jusqu'au sigmoïde. Le sigmoïdoscope est équipé d'une caméra qui transmet des images de la paroi interne du côlon sur un écran. Ces images peuvent aider à identifier toute inflammation, ulcération, tumeur ou autre anomalie dans le rectum et le sigmoïde.

La rectosigmoïdoscopie est généralement bien tolérée et ne nécessite pas de préparation particulière, sauf un lavement évacuateur juste avant l'examen pour nettoyer le rectum. Cependant, dans certains cas, une préparation plus poussée peut être nécessaire pour visualiser correctement la paroi du côlon.

Il est important de noter que la rectosigmoïdoscopie ne permet pas d'examiner l'ensemble du côlon, contrairement à la coloscopie qui est un examen plus complet.

Un choristome est un terme médical utilisé pour décrire une tumeur ou une croissance anormale qui se développe à partir d'un tissu qui n'est pas normalement présent dans cette région du corps. Il s'agit essentiellement d'une tumeur bénigne composée de tissus ectopiques, c'est-à-dire des tissus qui se trouvent au mauvais endroit.

Les choristomes peuvent être constitués de divers types de tissus, tels que le tissu adipeux, musculaire, osseux ou glandulaire. Ils peuvent se développer n'importe où dans le corps, mais ils sont souvent trouvés dans la cavité buccale, en particulier sur la langue ou les gencives. Les choristomes peuvent également se former dans d'autres régions, telles que l'oreille moyenne, l'œil ou les poumons.

Habituellement, les choristomes sont détectés à un stade précoce et ne causent pas de symptômes importants. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent parfois entraîner des complications, telles que des difficultés à avaler, à parler ou à respirer. Dans ces cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever la croissance.

Il est important de noter qu'un choristome n'est pas cancéreux et ne se transformera pas en tumeur maligne. Toutefois, il est crucial de surveiller sa croissance et de consulter un médecin si des symptômes ou des changements dans la taille ou l'apparence de la croissance sont observés.

Les tumeurs du rectum sont des croissances anormales dans la muqueuse du rectum, qui peuvent être bénignes ou malignes. Les tumeurs bénignes comprennent les polypes adénomateux, les lipomes, et les fibromes. Les tumeurs malignes, également appelées carcinomes du rectum, se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse et peuvent se propager localement dans les tissus environnants ou à distance par métastases.

Les facteurs de risque de cancer du rectum comprennent l'âge avancé, l'histoire personnelle ou familiale de polypes adénomateux ou de cancer colorectal, une maladie inflammatoire de l'intestin, certaines conditions génétiques telles que la polypose adénomateuse familiale ou le syndrome de Lynch, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes courants des tumeurs du rectum comprennent les saignements rectaux, les modifications de l'habitude intestinale telles que la constipation ou la diarrhée, la douleur abdominale, l'anémie et la perte de poids involontaire. Le diagnostic est établi par une combinaison d'examens cliniques, d'imagerie médicale et de biopsies.

Le traitement dépend du type, de l'emplacement et du stade de la tumeur. Les options thérapeutiques peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une surveillance rapprochée peut être recommandée pour les tumeurs bénignes ou les cancers à un stade précoce avec un faible risque de progression.

L'apoplexie hypophysaire, également connue sous le nom de «syndrome de Sheehan», est une complication rare mais grave d'un accouchement traumatique ou d'une hémorragie post-partum sévère chez les femmes. Ce syndrome est caractérisé par un arrêt soudain de la circulation sanguine dans l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau, ce qui entraîne des dommages tissulaires et une défaillance hormonale.

Les symptômes peuvent inclure une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une perte de poids, une intolérance au froid, une pression artérielle basse, des nausées, des vomissements, une sécheresse de la peau et des muqueuses, une constipation, une perte de cheveux, une diminution de la libido, des irrégularités menstruelles et une dépression. Dans les cas graves, il peut y avoir une confusion mentale, une perte de conscience ou même un coma.

Le diagnostic repose sur l'anamnèse, les antécédents médicaux, les symptômes cliniques et les tests de laboratoire pour évaluer le fonctionnement de la glande pituitaire. Le traitement consiste généralement en un remplacement hormonal substitutif à long terme pour compenser la défaillance hormonale. Une prise en charge précoce et agressive peut améliorer considérablement le pronostic et la qualité de vie des patientes atteintes d'apoplexie hypophysaire.

La somatotropine, également connue sous le nom d'hormone de croissance humaine (HGH), est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse dans le cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de la croissance et du développement corporels, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.

L'hormone de croissance humaine stimule la production d'autres hormones, comme l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), dans le foie et d'autres tissus. Ces hormones médiatisent les effets de l'HGH sur la croissance des os longs, la masse musculaire, le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides, et d'autres processus physiologiques.

Dans la vie post-pubertaire, l'hormone de croissance humaine continue à réguler le métabolisme et a des effets sur la composition corporelle, la force musculaire, la densité osseuse et la fonction cognitive. Les niveaux d'HGH diminuent avec l'âge, ce qui peut contribuer au déclin de certaines fonctions physiologiques associées au vieillissement.

L'hormone de croissance humaine est disponible sous forme de médicament thérapeutique pour traiter certains troubles de croissance et déficits en hormones chez les enfants et les adultes, tels que le nanisme hypopituitaire et le déficit en hormone de croissance adulte. Cependant, l'utilisation abusive de l'hormone de croissance humaine à des fins non médicales, telles que l'amélioration des performances sportives ou esthétique, est interdite et peut entraîner des effets indésirables graves.

Le côlon, également connu sous le nom de gros intestin, est un segment du tractus gastro-intestinal chez les humains et d'autres mammifères. Il s'agit de la dernière partie du tube digestif, mesurant environ 1,5 mètres de long chez l'adulte. Le côlon joue un rôle crucial dans le processus de digestion en absorbant l'eau, les électrolytes et certaines vitamines tout en stockant les déchets solides sous forme de matières fécales.

Le côlon est divisé en plusieurs sections : le côlon ascendant, le côlon transverse, le côlon descendant et le côlon sigmoïde. Chacune de ces sections a des caractéristiques structurelles uniques qui contribuent à ses fonctions spécifiques dans le processus global de digestion et d'excrétion.

Le côlon est tapissé de muqueuses recouvertes de millions de bactéries bénéfiques, appelées microbiote intestinal, qui aident à décomposer les fibres alimentaires non digestibles en acides gras à chaîne courte, qui peuvent être utilisés comme source d'énergie par l'organisme. Un déséquilibre du microbiote intestinal peut entraîner divers problèmes de santé, tels que la diarrhée, la constipation et certaines affections inflammatoires de l'intestin.

Dans l'ensemble, le côlon est un organe essentiel qui contribue à maintenir l'homéostasie du corps en absorbant les nutriments et en éliminant les déchets.

Les hormones hypophysaires sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. L'hypophyse est divisée en deux parties : le lobe antérieur (ou adénohypophyse) et le lobe postérieur (ou neurohypophyse). Chaque partie de l'hypophyse produit et sécrète des types spécifiques d'hormones.

Les hormones hypophysaires les plus importantes comprennent :

1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) - stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des graisses et des glucides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) - stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) - stimule la corticale surrénale pour produire et sécréter des hormones stéroïdes telles que le cortisol et les androgènes.
4. Prolactine (PRL) - stimule la production de lait dans les glandes mammaires pendant la grossesse et l'allaitement.
5. Folliculo-stimulante (FSH) et luteinisante (LH) - régulent la fonction des organes reproducteurs chez les hommes et les femmes. Chez les femmes, la FSH stimule la croissance des follicules ovariens et la production d'estradiol, tandis que la LH déclenche l'ovulation et la production de progestérone. Chez les hommes, la FSH stimule la spermatogenèse dans les testicules, et la LH stimule la production de testostérone.
6. Hormone melanotrope (MSH) - régule la pigmentation de la peau et des cheveux en influençant la production de mélanine.
7. Endorphines et enképhalines - sont des neuropeptides qui agissent comme analgésiques naturels et modulent l'humeur et le comportement alimentaire.
8. Oxytocine - stimule l'accouchement et la lactation, et joue un rôle dans les liens sociaux et affectifs.
9. Vasopressine (ADH) - régule la pression artérielle et le volume sanguin en influençant la rétention d'eau par les reins.

La polypose adénomateuse colique familiale (FAP) est une maladie génétique rare caractérisée par la croissance excessive de polypes dans le colon et le rectum. Ces polypes sont souvent petits au début, mais ils ont tendance à se multiplier et à devenir cancéreux s'ils ne sont pas traités. La FAP est causée par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui joue un rôle important dans la régulation de la croissance cellulaire.

Les personnes atteintes de FAP héritent généralement d'une copie mutée du gène APC de l'un de leurs parents. Cette mutation entraîne une production anormale ou absente de la protéine APC, ce qui perturbe la régulation de la croissance cellulaire et conduit à la formation de polypes dans le colon et le rectum.

Les symptômes de la FAP comprennent des saignements rectaux, une anémie, une diarrhée et une perte de poids inexpliquée. Si elle n'est pas traitée, la FAP peut évoluer vers un cancer colorectal dans presque tous les cas. Le traitement standard pour la FAP est une colectomie totale, qui consiste à enlever tout le colon et une partie du rectum. Cette procédure permet de prévenir le développement d'un cancer colorectal.

Il est important de noter que la FAP est une maladie héréditaire, ce qui signifie qu'elle peut être transmise de génération en génération dans les familles. Les personnes ayant des antécédents familiaux de FAP devraient subir des tests génétiques pour déterminer leur risque de développer la maladie et prendre des mesures préventives si nécessaire.

La parathyroïdectomie est une procédure chirurgicale qui consiste à enlever tout ou partie des glandes parathyroïdes. Ces glandes sont situées dans le cou, près de la thyroïde, et sont responsables de la production d'une hormone appelée hormone parathyroïdienne (PTH). La PTH joue un rôle crucial dans la régulation des niveaux de calcium et de phosphore dans le sang.

Cette intervention peut être réalisée pour diverses raisons, telles que l'adénome parathyroïdien (une tumeur bénigne d'une glande parathyroïde), l'hyperplasie des glandes parathyroïdes (une augmentation anormale de la taille des glandes) ou le cancer des glandes parathyroïdes. Les symptômes d'un déséquilibre des niveaux de PTH peuvent inclure fatigue, faiblesse musculaire, douleurs osseuses, nausées, vomissements, constipation, confusion et augmentation de la soif et de la miction.

Il existe deux types principaux de parathyroïdectomies : la parathyroïdectomie sous-totale et la parathyroïdectomie totale. Dans le premier cas, seules les glandes anormalement hypertrophiées ou cancéreuses sont enlevées, tandis que dans le second cas, toutes les glandes parathyroïdes sont retirées. Lors d'une parathyroïdectomie totale, une greffe de tissu parathyroïdien peut être nécessaire pour prévenir l'hypoparathyroïdie, une condition dans laquelle les niveaux de PTH sont trop bas.

Comme toute intervention chirurgicale, la parathyroïdectomie comporte des risques et des complications potentielles, tels que des saignements, des infections, des dommages aux nerfs ou aux glandes voisines, ainsi qu'une hypocalcémie (faible taux de calcium dans le sang). Il est important de discuter avec votre médecin des avantages et des risques associés à cette procédure.

L'uréthane, également connu sous le nom d'éthanol carbamate ou carbamate d'éthylique, est un composé organique qui a été historiquement utilisé comme agent anesthésique général. Cependant, en raison de ses effets secondaires toxiques, tels que la dépression respiratoire et cardiovasculaire, l'utilisation clinique de l'uréthane est actuellement interdite dans de nombreux pays, y compris les États-Unis.

Dans un contexte médical ou toxicologique, le terme "uréthane" peut également faire référence à une intoxication aiguë ou chronique résultant de l'exposition à ce composé. Les symptômes d'une intoxication à l'uréthane peuvent inclure des étourdissements, des maux de tête, des nausées, une somnolence, une faiblesse musculaire, une hypotension artérielle, une bradycardie et une dépression respiratoire. Dans les cas graves, l'intoxication à l'uréthane peut entraîner un coma, des convulsions et la mort.

Il est important de noter que l'uréthane ne doit pas être confondu avec l'urée, qui est un produit normal du métabolisme protéique dans le corps humain.

La muqueuse intestinale, également connue sous le nom d'épithélium intestinal, est la membrane fine et fragile qui tapisse l'intérieur du tractus gastro-intestinal, en particulier dans l'intestin grêle et le côlon. Elle joue un rôle crucial dans la absorption des nutriments, l'eau et les électrolytes de notre nourriture digérée. La muqueuse intestinale est composée d'un seul épithélium de cellules polarisées qui forment une barrière physique entre le lumen intestinal et la circulation sanguine sous-jacente. Ces cellules sont reliées par des jonctions serrées étanches, ce qui empêche les particules indésirables ou potentiellement nocives de pénétrer dans la circulation sanguine.

La muqueuse intestinale abrite également une communauté diversifiée de micro-organismes, appelée microbiote intestinal, qui joue un rôle important dans la digestion des aliments et la défense contre les agents pathogènes. De plus, elle contient des cellules immunitaires spécialisées qui aident à protéger l'organisme contre les infections et à réguler l'inflammation.

Des dommages ou une inflammation de la muqueuse intestinale peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, tels que des maladies inflammatoires de l'intestin (MII), des allergies alimentaires et des troubles gastro-intestinaux fonctionnels. Par conséquent, la santé de la muqueuse intestinale est essentielle pour maintenir le bon fonctionnement du système digestif et préserver la santé globale de l'organisme.

Un cholangiome est une tumeur rare et bénigne (non cancéreuse) qui se développe dans les voies biliaires, qui sont les tubes situés dans le foie qui transportent la bile vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Les cholangiomes peuvent être de deux types : intra-hépatiques (se développant à l'intérieur du foie) ou extra-hépatiques (se développant à l'extérieur du foie, dans les voies biliaires). Les cholangiomes intra-hépatiques sont plus fréquents que les cholangiomes extra-hépatiques.

Les symptômes d'un cholangiome peuvent inclure une douleur abdominale, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une perte d'appétit, une perte de poids et une fatigue. Cependant, certains cholangiomes ne présentent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'examens d'imagerie effectués pour d'autres raisons.

Le diagnostic d'un cholangiome est généralement posé à l'aide d'une imagerie médicale, telle qu'une échographie, une tomographie computérisée (CT scan) ou une résonance magnétique (IRM). Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement d'un cholangiome dépend de sa taille, de son emplacement et de ses symptômes. Les petits cholangiomes sans symptômes peuvent ne pas nécessiter de traitement et peuvent être surveillés par imagerie médicale périodique. Les cholangiomes plus grands ou symptomatiques peuvent être retirés chirurgicalement ou traités par radiothérapie ou ablation par radiofréquence. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.

Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.

Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.

Le colon descendant est la dernière section du gros intestin dans le tractus gastro-intestinal. Il s'étend du côté gauche de l'abdomen, où il est relié au côlon sigmoïde au-dessus, jusqu'au rectum en dessous. Le colon descendant est responsable du stockage et de l'absorption des déchets liquides restants après le processus de digestion dans l'intestin grêle. Il mesure environ 25 à 40 cm de long et a un diamètre d'environ 2,5 à 3 cm. Le colon descendant est également connu sous le nom de colon sigmoïde gauche ou simplement de côlon gauche.

... adénome villeux colorectal. Un certain nombre d'adénomes (10 à 15 %) apparaissant histologiquement dédifférenciés sont ... L'évolution d'un adénome en adénocarcinome prend en moyenne une dizaine d'années et 30 % des adénomes dont la taille est ... Lésions précancéreuses - Adénome tubulaire (à gauche de l'image), un type de polype du côlon et un précurseur du cancer ... L'évolution vers la malignité d'une tumeur bénigne dans la muqueuse colique concerne 3 ‰ des adénomes. Il n'y a pas ...
Les adénome tubulo-villeux sont mixtes, à la fois tubuleux et villeux. L'adénome festonné est également un sous-type de polype ... Il est mixte entre un adénome tubuleux/villeux et un adénome festonné est également un sous-type de polype festonné. Dysplasie ... Les adénome villeux, plus rares, forment des masses sessiles ou polypoïdes, molles, recouvertes de mucus, et constituées de ... Adénome colorectal sessile (voir polype sessile) Adénome colorectal pédiculé (voir polype pédiculé) En cas de cancérisation, ...
adénomes tubulaire villeux tubulo-villeux polypes hyperplasique juvénile conjonctif lymphoïde polyposes rectocoliques polypose ...
Polype sessile Polype pédiculé Polype adénomateux (Adénome colorectal) Adénome tubuleux Adénome tubulo-villeux Adénome villeux ... Polypes festonnés (ou Polypes crénelés ou Polypes dentelés) Polype hyperplasique Polype festonné traditionnel Adénome festonné ...
... à celui bordant les adénomes tubuleux ou tubulo-villeux « classiques »). D'autres auteurs définissent les adénomes festonnés ... Quelques adénomes festonnés traditionnels duodénaux, gastriques et appendiculaires ont été rapportés. Les adénomes festonnés ... À la différence des polypes hyperplasiques, certains adénomes festonnés traditionnels expriment MUC1. Les adénomes festonnés ... En 1990, Longacre et Fenoglio-Preiser dénommèrent ces polypes "adénomes festonnés" ("serrated adenomas"). Les adénomes ...
On trouve le plus souvent dans l'intestin des adénomes (= polypes adénomateux). Considéré comme bénin, le polype risque ... d'évoluer vers un cancer si on le laisse en place, s'il est gros (plus d'un centimètre de diamètre), et/ou s'il est villeux (= ...
Les 10 % restants sont des adénomes de plus de 1 cm qui ont 10 % de chances de contenir un cancer invasif. En outre, la forme ... Les polypes sessiles de plus de 2 cm contiennent généralement des caractéristiques villeux, ils ont un potentiel plus élevé de ... Les adénomes représentent environ 10 % des polypes. La plupart des polypes (environ 90 %) sont de petite taille, généralement ... Les polypes adénomateux colorectaux (ou adénomes colorectaux) sont des polypes qui se développent sur la muqueuse du côlon et ...
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Adénome tubulo-villeux Dernier message par admin « jeu. 20 nov. 2014 14:45 ...
Ce type de tumeur est également appelé adénome glandulaire tubulaire ou villeux. Les adénomes de lestomac sont souvent ... Ladénome tubulaire villeux ou mixte de lestomac est une combinaison de forme tubulaire et villeuse. 30 à 70% du tissu villeux ... Les adénomes de lestomac sont rares (0,3% des cas). À laide détudes endoscopiques, il est possible didentifier des adénomes ... adénome tubulaire - a une structure et une formation tubulaire et villeuse;. *Les adénomes intestinaux surviennent le plus ...
Lexamen histologique des biopsies révèle un adénome villeux en dysplasie de bas grade. Sur aucune de ces lésions il nexiste ... avec adénome dont 30 (8.1%) avec adénome avancé et 15 (4.1%) avec adénome ≥ 10 mm. 2704 personnes de 50 à 74 ans du même canton ... 2 (0.07%) cancers étaient dépistés, 26 (1.0%) personnes avec adénome dont 12 (0.4%) avancés. Le dépistage par RS détectait 6.4 ... même temps anesthésique il est refait une oesogastroduodénoscopie qui montre un saignement actif en nappe de ladénome villeux ...
3 ans après lablation dun adénome tubulaire ≥ 10 mm ou dun adénome villeux de toute taille. ... Les adénomes villeux de grande taille peuvent entraîner, dans de rares cas, des diarrhées liquides et, par conséquent, une ... De telles lésions sont classées histologiquement en adénomes tubuleux, tubulovilleux (polypes villoglandulaires) ou villeux. La ... un adénome tubuleux de 1,5 cm a un risque de 2% de contenir un contingent carcinomateux versus 35% en cas dadénome villeux de ...
Les trois différents polypes du côlon sont villeux, tubulaires et tubulovilleux. Les polypes adénomateux montreront ... Les polypes adénomateux peuvent devenir malins et évoluer en cancer (carcinome) : séquence adénome-carcinome. ...
... adénome tubuleux, adénome tubulo-villeux avec ou sans dysplasie de haut grade, cancers superficiels). La classification de Nice ... Le type II correspond aux adénomes qui comportent un réseau capillaire clairement visible avec des vaisseaux allongés et ... Ainsi elle distingue les polypes hyperplasiques (type 1), des adénomes (type 2) et des cancers infiltrants (type 3). La ... Il en résulte une augmentation du taux de détection des adénomes grâce notamment aux innovations technologiques ( ...
Surveillance : la majorité des cancers colorectaux naissent dans des polypes (ou adénomes). Ces lésions peuvent être détectées ... et/ou sil est villeux (=avec des villosités). Les petits polypes et les polypes tubulaires présentent moins de risques. On ... On trouve le plus fréquemment dans lintestin des adénomes (= polypes adénomateux). Reconnu comme bénin, le polype risque ... les adénomes. Cette méthode dexploration en plein essor impose une préparation colique préalable sur 48 heures, assez ...
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