Une tumeur bénigne contenant vasculaire, le tissu adipeux et des éléments. Elle se produit le plus souvent dans le rein et des éléments muscle lisse (angiolipoleiomyoma) en association avec une sclérose tubéreuse. (Dorland, 27 e)
Syndrome neurocutaneous autosomale dominante classiquement caractérisé par un retard mental ; EPILEPSY ; et des lésions cutanées (par exemple, adénome hypomelanotic sebaceum et érythème). Il y a, cependant, une forte hétérogénéité les manifestations neurologiques. C'est également associé à tuber corticale et HAMARTOMAS formation dans le corps, surtout du cœur, reins, et les yeux. Mutations dans deux loci TSC1 et TSC2 qui encode hamartin et tuberin, respectivement, sont associés à la maladie.
Une maladie caractérisée par le progressiste invasion de tendre dans le muscle lymphatique des vaisseaux sanguins, et les vaisseaux sanguins. La majorité des cas surviennent dans les poumons de femmes en âge de procréer, éventuellement bloque l'écoulement d'air, le sang et de la lymphe. Le symptôme commun est essoufflement (dyspnée).
Tumeurs ou les cancers du rein.
Caractéristique de cellules d ’ hypersensibilité granulomateuse. Elles apparaisssent comme des grandes cellules épaté, avec augmentation des réticulum endoplasmique. Ils sont soupçonnés d'être activé macrophages qui sont différenciés en raison de prolonger la stimulation antigénique. Une différenciation plus approfondie ou fusion de cellules Epithelioid est présumé se produire des cellules géantes multinucleated (énorme).
Une tumeur bénigne composée d'un mélange de tissus adipeux et les vaisseaux sanguins. (Dorland, 27 e)
Antigènes cellulaires spécifiques pour des cellules de mélanome.
Une tumeur bénigne composé de cellules graisseuses (les adipocytes). Ça peut être entourée d'une fine couche de tissu conjonctif (encapsulée diffus) ou sans la capsule.
Tumeurs composé de tissu graisseux ou du tissu conjonctif composé de cellules dans un système de tissu areolar. Le concept ne vise pas néoplasmes situés dans du tissu adipeux.
Une tumeur bénigne habituellement glandulaire oxyphil composé de grandes cellules, avec des petits noyaux irrégulier et dense acidophilic granules due à la présence d'abondantes les mitochondries. Oxyphil cellules, alias oncocytes, sont présentés dans oncocytomas du rein, les glandes salivaires, et des glandes endocrines. Dans la glande thyroïde, oxyphil cellules sont Hurthle des cellules et Askanazy cellules.
Émanant de douleur sous les côtes et au dessus de l'ilion droits.
Une anomalie vasculaires dues à la prolifération des vaisseaux sanguins qui forme une masse tumor-like. Les musiciens et impliquent CAPILLARIES VEINS. Il peut apparaître n'importe où dans le corps mais est plus souvent remarqué dans la peau et tissu sous-cutané. (De Stedman, 27 e, 2000)
L'excision de rein.
Tumeurs ou un cancer du foie...
Une rare tumeur bénigne de la glande surrénale, plusieurs centimètres de diamètre, composé dans des proportions variables de tissus adipeux, lymphocytes, et primitif cellules myéloïdes, probablement une anomalie sur le développement, 27ème Dorland. (Éditeur)
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
Deux ou plusieurs excroissance anormale de tissus survenant simultanément et présumé être d'origine. Le néoplasmes peut être histologie pareil ou pas, et peut être consulté dans le même ou sites différents.
Une zone plus occuper la face postérieure du ABDOMINAL CAVITY. C'est délimitée latéralement par les frontières du quadratus lumborum muscles et s'étend du diaphragme à ras bord de la vraie du bassin, où il continue alors que l'espace extraperitoneal pelvienne.
Courte épais veines qui repartent sang en provenance des reins de la veine cave.
Visualisation radiographiques du corps entre Ie thorax et du bassin, c 'est-à-dire, dans la cavité péritonéale.
Tumeurs ou cancer de la région pelvienne.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Cette phase d'un doigt bougera pendant lequel un muscle revient à position de repos.
Présence de sang dans les urines.
Unstriped Unstriated et du muscle, une des muscles de les organes internes, les vaisseaux sanguins, follicules pileux, etc. vacuole éléments récents sont allongés, généralement spindle-shaped cellules avec situé noyaux. Lisse fibres musculaires sont unis en feuilles ou de lots par fibres réticulaires et fréquemment élastique filets sont aussi abondant. (De Stedman, 25e éditeur)
Parties de plantes qui passe façon verticale vers la lumière et de soutenir les feuilles, bourgeons et structures et de reproduction. (De Concise Dictionary of Biology, 1990)
Production de la drogue ou des produits biologiques qui ne sont probablement pas fabriqués par l'industrie privée si spécial incitations sont fournies par les autres.
Un grand groupe de maladies qui se caractérise par une faible prévalence dans la population. Londres est souvent associée à des problèmes dans le diagnostic et le traitement.
Barricadés, ion-selective glycoprotéines membranes qui traverse le stimulus pour ION sées CHANNEL peut être due à différents stimuli, tels que les ligands d ’ un potentiel différence, déformation mécanique ou par signaux intracellulaires peptides ET PROTEINS.
Contraceptifs oraux hormonaux efficace qui doivent leur préparatifs.
En ouvrant et fermant les canaux ioniques due à un stimulus. Les stimulis peut être un changement de membrane potential (Voltage-Gated), la drogue ou chimique transmetteurs (ligand-gated), ou une déformation. Mécanique est sées sont supposées entraîner conformational modifications des canaux ioniques qui altère la perméabilité sélectif.
Voltage-dependent membrane cellulaire glycoprotéines sélectivement ouvertes à ions calcium. Ils étaient classés comme..., T et N-, P-, Q- et R-types basé sur l'activation et inactivation cinétique, ion de spécificité, et la sensibilité aux drogues et toxines... et les symptômes cardiovasculaires T-types tout au long et du système nerveux central et les N-, P-, Q-, & R-types sont situées dans des tissus neuronal.
Une famille de proton-gated canaux sodiques qui sont principalement exprimé dans des tissus neuronal. Ils sont AMILORIDE-sensitive et sont impliquées dans le gène de diverses stimulus neurologique, plus particulièrement celui de douleur en réponse à des conditions acides.

Un angiomyolipome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les reins. Il s'agit d'une tumeur composée de vaisseaux sanguins anormaux (angio-), de cellules musculaires lisses (myo-) et de graisse (lipome).

Les angiomyolipomes peuvent être asymptomatiques ou provoquer des symptômes tels que des douleurs abdominales, des saignements dans les urines ou une masse palpable dans le bas du dos. Dans de rares cas, ils peuvent se transformer en tumeurs malignes et se propager à d'autres parties du corps.

Les angiomyolipomes sont souvent associés à une maladie génétique appelée sclérose tubéreuse de Bourneville, qui affecte environ 1 personne sur 6 000. Cependant, ils peuvent également se produire spontanément chez les personnes sans antécédents familiaux de la maladie.

Le traitement des angiomyolipomes dépend de leur taille, de leur localisation et de la présence ou non de symptômes. Les petites tumeurs asymptomatiques peuvent être surveillées par imagerie régulière, tandis que les tumeurs plus grandes ou symptomatiques peuvent nécessiter une intervention chirurgicale ou une ablation par radiofréquence pour prévenir les complications telles que des saignements importants.

La sclérose tubéreuse de Bourneville, également connue sous le nom de maladie de Bourneville-Pringle ou simplement de sclérose tubéreuse, est une maladie génétique rare et complexe qui affecte plusieurs organes du corps. Elle est causée par des mutations dans deux gènes spécifiques, TSC1 et TSC2, qui codent pour des protéines régulatrices de la croissance cellulaire.

Les manifestations cliniques de cette maladie peuvent varier considérablement d'un individu à l'autre, mais les signes les plus courants comprennent :

1. Lésions cutanées : apparition de taches cutanées pigmentées (naevus flammeus ou angiomes plans) et de plaques cutanées blanches (leucinocytoclastic vasculopathy).
2. Tumeurs bénignes : développement de tumeurs bénignes dans divers organes, telles que les reins (angiomyolipomes), le cerveau (tubers corticaux et sous-épendymaires) et le cœur (rhabdomyomes).
3. Épilepsie : présence d'une épilepsie réfractaire, souvent associée à des retards de développement intellectuel et moteur.
4. Troubles du comportement : apparition de troubles du comportement, tels que l'autisme ou le syndrome d'Asperger.
5. Autres complications : risque accru de développer des complications rénales, cardiaques, pulmonaires et ophtalmologiques.

Le diagnostic de la sclérose tubéreuse de Bourneville repose sur les critères cliniques, radiologiques et génétiques. Le traitement est multidisciplinaire et vise à prévenir et gérer les complications associées à cette maladie. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments anticonvulsivants, une surveillance régulière des organes touchés, une intervention chirurgicale si nécessaire et un soutien psychologique pour les patients et leur famille.

La lymphangioléiomyomatose (LAM) est une maladie rare mais progressive qui affecte principalement les femmes d'âge moyen. C'est une forme de maladie pulmonaire interstitielle caractérisée par la prolifération anormale de cellules musculaires lisses dans les vaisseaux lymphatiques et les tissus pulmonaires.

Cette prolifération peut entraîner la formation de kystes dans les poumons, ce qui peut causer des symptômes tels que toux, essoufflement, douleur thoracique et fatigue. La maladie peut également affecter d'autres organes, y compris les reins, où elle peut provoquer une maladie appelée angiomyolipome rénal.

La cause exacte de la LAM est inconnue, mais il a été démontré que la maladie est associée à des mutations dans les gènes TSC1 et TSC2, qui sont également associés à une autre maladie rare appelée sclérose tubéreuse de Bourneville. Ces mutations entraînent une activation anormale d'une voie de signalisation cellulaire connue sous le nom de voie mTOR, ce qui peut conduire à la croissance et à la prolifération cellulaires anormales observées dans la LAM.

Le diagnostic de la LAM est généralement posé par une combinaison d'imagerie médicale, de tests fonctionnels pulmonaires et d'analyses de tissus. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la LAM, mais des thérapies telles que l'inhibition de la voie mTOR peuvent aider à ralentir la progression de la maladie et à soulager les symptômes.

Les tumeurs rénales sont des croissances anormales dans ou sur les reins. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs rénales bénignes ne se propagent pas généralement à d'autres parties du corps et peuvent ne pas nécessiter de traitement, selon leur taille et leur localisation. Cependant, certaines tumeurs rénales bénignes peuvent causer des problèmes si elles pressent ou endommagent les tissus environnants.

Les tumeurs rénales malignes, également connues sous le nom de cancer du rein, se développent dans les cellules du rein et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Le type le plus courant de cancer du rein est le carcinome à cellules rénales, qui représente environ 80 à 85% des cas. D'autres types comprennent le sarcome du rein, le lymphome du rein et le cancer des cellules transitionnelles du haut appareil urinaire.

Les facteurs de risque de développer un cancer du rein comprennent le tabagisme, l'obésité, l'hypertension artérielle, l'exposition à certaines substances chimiques et les antécédents familiaux de cancer du rein. Les symptômes peuvent inclure du sang dans les urines, des douleurs au dos ou aux flancs, une perte de poids inexpliquée, une fièvre persistante et une fatigue extrême. Le traitement dépend du stade et du grade de la tumeur, ainsi que de la santé globale du patient. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l'immunothérapie.

Un angiolipome est un type rare de tumeur bénigne qui se compose principalement de graisse (lipome) et de vaisseaux sanguins anormaux (angiomes). Ces tumeurs peuvent se développer n'importe où dans le corps, mais elles sont le plus souvent trouvées dans la tête et le cou. Les angiolipomes sont généralement indolores et ne causent pas de symptômes, sauf s'ils deviennent suffisamment grands pour exercer une pression sur les tissus environnants.

Les angiolipomes peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Ils ont tendance à se développer lentement au fil du temps et sont plus fréquents chez les femmes que chez les hommes. Bien qu'ils soient généralement bénins, les angiolipomes peuvent parfois être associés à une maladie génétique appelée syndrome de Cowden, qui augmente le risque de développer d'autres types de tumeurs et de cancers.

Le diagnostic d'un angiolipome est généralement posé après un examen physique et des tests d'imagerie tels qu'une échographie, une tomographie assistée par ordinateur (CT) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement d'un angiolipome n'est généralement pas nécessaire sauf si la tumeur est grande et provoque des symptômes ou si elle se développe dans une zone esthétiquement sensible. Dans ces cas, la chirurgie peut être recommandée pour enlever la tumeur. Les récidives sont rares après l'ablation complète de la tumeur.

Les antigènes des mélanomes spécifiques sont des protéines ou des molécules qui se trouvent principalement sur les cellules de mélanome, une forme agressive et mortelle de cancer de la peau. Ces antigènes ne sont pas normalement présents dans les cellules saines ou sont présentés à des niveaux beaucoup plus faibles. Les mélanomes spécifiques antigènes peuvent être utilisés pour aider le système immunitaire du corps à reconnaître et à combattre les cellules cancéreuses.

Il existe deux principales catégories de mélanome-spécifiques antigènes : les antigènes tumoraux spécifiques et les antigènes tumoraux associés aux tissus. Les antigènes tumoraux spécifiques sont uniques au cancer du mélanome et ne se trouvent pas dans les cellules saines. Les antigènes tumoraux associés aux tissus, en revanche, peuvent également être présents dans les cellules normales à des niveaux plus faibles.

Les antigènes des mélanomes spécifiques sont souvent utilisés comme cibles pour le développement de thérapies immunitaires contre le cancer, telles que les vaccins thérapeutiques et les thérapies cellulaires adoptives. Ces traitements visent à stimuler la réponse immunitaire du corps contre les cellules cancéreuses en leur permettant de mieux reconnaître et d'attaquer les antigènes spécifiques au mélanome.

Cependant, il est important de noter que les tumeurs peuvent évoluer et devenir plus hétérogènes au fil du temps, ce qui peut entraîner une perte de l'expression des antigènes spécifiques au mélanome ou l'acquisition de nouvelles mutations qui permettent aux cellules cancéreuses d'échapper à la reconnaissance immunitaire. Par conséquent, les thérapies ciblant un seul antigène peuvent ne pas être suffisamment efficaces pour traiter tous les types de mélanomes ou toutes les étapes de la maladie.

Un lipome est un type courant de tumeur bénigne (non cancéreuse) qui se développe sous la peau. Il est composé principalement de cellules graisseuses matures, appelées adipocytes. Les lipomes sont généralement mobiles, souples et arrondis, et peuvent se présenter comme une petite bosse ou un nodule sous la peau. Ils ont tendance à croître lentement au fil du temps mais restent limités en taille.

La plupart des lipomes se développent dans les tissus conjonctifs directement sous la peau, bien qu'ils puissent également apparaître dans d'autres parties du corps telles que les muscles, les tendons et les organes internes. Les lipomes sont généralement indolores, sauf s'ils sont situés près des nerfs ou s'ils deviennent suffisamment grands pour exercer une pression sur les structures environnantes.

La cause exacte de la formation des lipomes n'est pas entièrement comprise, mais certains facteurs peuvent augmenter le risque de développer un lipome, notamment l'âge (les personnes entre 40 et 60 ans sont les plus touchées), l'hérédité et certaines affections médicales telles que la maladie de Cowden et le syndrome de Gardner.

Dans la plupart des cas, aucun traitement n'est nécessaire pour un lipome mineur et asymptomatique. Cependant, si un lipome devient douloureux, enflammé, croissant rapidement ou provoque des symptômes gênants, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour le retirer.

Les tumeurs du tissu adipeux, également connues sous le nom de lipomes, sont des croissances bénignes (non cancéreuses) composées de cellules graisseuses matures. Ces tumeurs se développent généralement lentement et peuvent se produire n'importe où sur le corps, mais elles sont les plus fréquentes dans la région du cou, du dos, des épaules, des bras et de l'abdomen. Les lipomes ont tendance à être mobiles et souples au toucher, ce qui signifie qu'ils peuvent se déplacer sous la peau lorsqu'on les pousse.

Bien que la plupart des lipomes soient bénins, il est possible qu'ils deviennent douloureux ou enflammés s'ils sont irrités ou s'ils exercent une pression sur les nerfs ou les vaisseaux sanguins environnants. Dans de rares cas, certaines tumeurs du tissu adipeux peuvent évoluer vers des tumeurs malignes (cancéreuses), appelées liposarcomes.

Le traitement des tumeurs du tissu adipeux dépend généralement de leur taille, de leur emplacement et de la gêne qu'elles causent. Dans de nombreux cas, une simple observation peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause aucun symptôme. Cependant, si la tumeur devient douloureuse, enflammée ou inesthétique, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour l'enlever complètement.

Un adénocarcinome est un type de cancer qui se développe dans les cellules glandulaires. Ces cellules sont présentes dans de nombreux tissus et organes du corps, et elles produisent des substances telles que des mucus ou des hormones.

Les adénocarcinomes peuvent survenir dans divers endroits, notamment les poumons, le sein, le côlon, le rectum, l'estomac, la prostate et le pancréas. Ils se développent à partir d'une tumeur bénigne appelée adénome, qui peut devenir cancéreuse au fil du temps.

Les symptômes de l'adénocarcinome dépendent de son emplacement dans le corps. Par exemple, un adénocarcinome du sein peut provoquer une masse ou une grosseur palpable, tandis qu'un adénocarcinome du poumon peut causer une toux persistante, des douleurs thoraciques et des expectorations sanglantes.

Le traitement de l'adénocarcinome dépend également de son emplacement et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Le pronostic varie en fonction du type et du stade du cancer, ainsi que de facteurs tels que l'âge et l'état de santé général du patient.

La douleur du flanc, également connue sous le nom de douleur latérale, fait référence à une sensation douloureuse ressentie dans la région située entre les côtes inférieures et la crête iliaque, sur le côté du corps. Cette zone est divisée en deux parties : le flanc abdominal (situé sous les dernières côtes) et le flanc lombaire (situé sur le bas du dos).

La douleur du flanc peut être causée par une variété de conditions médicales, allant des troubles musculo-squelettiques aux affections abdominales ou rénales. Par exemple, la inflammation des muscles ou des tendons du flanc, les fractures costales, les infections abdominales telles que l'appendicite ou la pyélonéphrite, les calculs rénaux ou les maladies inflammatoires de l'intestin peuvent toutes provoquer une douleur du flanc.

Le diagnostic de la cause sous-jacente de la douleur du flanc nécessite généralement un examen physique complet, y compris une anamnèse détaillée et des tests diagnostiques tels qu'une analyse d'urine, une numération formule sanguine complète (NFS), une échographie ou une tomodensitométrie (TDM). Le traitement de la douleur du flanc dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des antibiotiques, des analgésiques ou d'autres interventions thérapeutiques.

Un hémangiome est un type de tumeur bénigne (non cancéreuse) qui se développe à partir des vaisseaux sanguins. Il est caractérisé par une prolifération anormale de cellules endothéliales, qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins. Les hémangiomes peuvent apparaître sur la peau ou à l'intérieur du corps, dans les organes tels que le foie, le cerveau ou les poumons.

Les hémangiomes cutanés sont les plus courants et se présentent souvent comme une petite tache rouge ou violette sur la peau, qui peut s'élargir et devenir surélevée avec le temps. Ils se développent généralement pendant les premiers mois de vie et peuvent disparaître d'eux-mêmes en quelques années.

Les hémangiomes internes peuvent ne pas provoquer de symptômes ou causer des complications dépendamment de leur taille et emplacement. Par exemple, un grand hémangiome dans le foie peut entraîner une insuffisance hépatique, tandis qu'un hémangiome cérébral peut provoquer des convulsions ou des problèmes neurologiques.

Dans la plupart des cas, les hémangiomes ne nécessitent aucun traitement car ils disparaissent spontanément. Toutefois, si un hémangiome cause des complications ou s'il est situé dans une zone esthétiquement sensible, divers traitements peuvent être envisagés, tels que la chirurgie, les lasers ou les médicaments par voie orale.

Une néphrectomie est un terme médical qui se réfère à l'ablation chirurgicale d'un rein. Cette procédure peut être effectuée pour diverses raisons, y compris le traitement du cancer du rein, des infections rénales sévères et récurrentes, des tumeurs rénales bénignes volumineuses, ou des lésions rénales traumatiques. Il existe deux types principaux de néphrectomie : la néphrectomie radicale, qui consiste en l'ablation du rein, de la glande surrénale et des tissus environnants, et la néphrectomie partielle, où seule une partie du rein est retirée.

La décision d'effectuer une néphrectomie dépend de nombreux facteurs, tels que l'état général de santé du patient, l'étendue et la localisation de la maladie rénale, ainsi que les préférences personnelles du patient. Les risques associés à cette procédure comprennent des saignements, des infections, des dommages aux organes avoisinants, et dans de rares cas, une insuffisance rénale aiguë ou chronique.

Il est important de noter que la néphrectomie peut entraîner une perte de fonction rénale, ce qui peut avoir des conséquences sur l'équilibre hydrique et électrolytique du corps. Par conséquent, les patients qui ont subi une néphrectomie doivent être surveillés de près pour détecter tout signe d'insuffisance rénale ou d'autres complications.

Les tumeurs du foie sont des growths anormales qui se produisent dans cet organe. Ils peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux).

Les tumeurs bénignes du foie comprennent les hémangiomes, les adénomes et les hyperplasies nodulaires focales. Ces types de tumeurs ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être surveillés sans traitement. Cependant, dans certains cas, ils peuvent causer des problèmes s'ils deviennent grands ou si leur croissance comprime les structures voisines.

Les tumeurs malignes du foie comprennent le carcinome hépatocellulaire (CHC) et les métastases hépatiques. Le CHC est une forme de cancer qui commence dans les cellules du foie, tandis que les métastases hépatiques sont des cancers qui se sont propagés au foie à partir d'autres parties du corps. Les deux types peuvent causer des dommages importants aux fonctions hépatiques et nécessitent un traitement agressif.

Les facteurs de risque pour le développement des tumeurs malignes du foie comprennent l'infection par le virus de l'hépatite B ou C, la consommation excessive d'alcool, l'obésité, le diabète et l'exposition à certains produits chimiques. Les symptômes des tumeurs du foie peuvent inclure une douleur ou une sensation de plénitude dans le haut de l'abdomen, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale telle qu'une échographie ou une tomodensitométrie, suivie d'une biopsie pour confirmer le type de tumeur.

Un myélolipome est un type rare et généralement bénin de tumeur trouvée dans la moelle osseuse. Il s'agit d'une tumeur mixte, contenant à la fois des cellules adipeuses (tissu graisseux) et des cellules myéloïdes (un type de cellules sanguines). Les myélolipomes se développent le plus souvent dans la moelle osseuse de la colonne vertébrale, en particulier dans la région thoracique ou lombaire.

Habituellement, ces tumeurs sont asymptomatiques et découvertes accidentellement lors d'examens d'imagerie effectués pour des raisons autres que la suspicion de tumeur. Dans certains cas, cependant, des symptômes peuvent survenir si la tumeur grossit et exerce une pression sur les structures voisines, entraînant ainsi des douleurs osseuses, neurologiques ou d'autres complications.

Le traitement dépend de la taille de la tumeur, de sa localisation et des symptômes associés. Dans certains cas, une simple surveillance peut être recommandée, tandis que dans d'autres, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour retirer complètement la tumeur. La récidive est rare après l'ablation complète de la tumeur.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

Les tumeurs primitives multiples (TPM) est un terme utilisé en oncologie pour décrire une situation où plusieurs types différents de tumeurs malignes se développent simultanément ou séquentiellement chez un même patient, sans preuve de métastases à partir d'une tumeur primitive initiale. Chaque tumeur est considérée comme indépendante et primaire, d'où le nom de "tumeurs primitives multiples".

Cette condition est relativement rare et peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux. Dans certains cas, les TPM peuvent être associées à des syndromes héréditaires tels que le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Von Hippel-Lindau, et d'autres prédispositions génétiques au cancer.

Le diagnostic et la prise en charge des TPM peuvent être complexes, nécessitant une évaluation approfondie par une équipe multidisciplinaire de spécialistes pour déterminer le type et l'origine de chaque tumeur, ainsi que les options de traitement appropriées pour chacune d'entre elles.

L'espace rétropéritonéal est une région anatomique située derrière la cavité péritonéale, qui contient les organes abdominaux. Il est limité en avant par le péritoine postérieur, en arrière par la colonne vertébrale, latéralement par les muscles des parois abdominales et thoraciques, et en haut par le diaphragme.

Cet espace est divisé en deux compartiments : le compartiment antérieur, qui contient les glandes surrénales, les reins, les uretères, et les vaisseaux sanguins rénaux ; et le compartiment postérieur, qui contient le plexus lombaire, les nerfs rachidiens, la aorte abdominale, et la veine cave inférieure.

L'espace rétropéritonéal est important en médecine car il peut être le site de divers processus pathologiques tels que les infections, les hémorragies, les tumeurs, et les inflammations. Les interventions chirurgicales dans cet espace peuvent être complexes et nécessitent une connaissance approfondie de l'anatomie régionale.

Les veines rénales sont des vaisseaux sanguins qui transportent le sang désoxygéné et les déchets filtrés, tels que l'urée et la créatinine, du rein vers le cœur. Il y a une veine rénale pour chaque rein et chacune d'entre elles se forme à partir de plusieurs veines plus petites à l'intérieur du rein. Les deux veines rénales se jettent ensuite dans la veine cave inférieure, qui transporte le sang vers le cœur droit. Les dommages ou anomalies des veines rénales peuvent entraîner une hypertension artérielle et une insuffisance rénale.

Une radiographie abdominale est un examen d'imagerie médicale qui utilise des rayons X pour produire des images du contenu de l'abdomen, y compris les organes internes, les os et les tissus mous. Cet examen peut aider à diagnostiquer diverses conditions médicales telles que les obstructions intestinales, la perforation d'organes, la présence de calculs rénaux ou de calculs biliaires, l'inflammation des organes abdominaux et certaines formes de cancer.

Pendant l'examen, le patient est généralement allongé sur une table d'examen, tandis que la machine à rayons X passe au-dessus de l'abdomen pour prendre des images. Le médecin peut demander au patient de retenir sa respiration pendant quelques secondes pour éviter toute distorsion de l'image causée par le mouvement. Les radiographies abdominales sont généralement sans danger et ne prennent que quelques minutes à réaliser. Cependant, comme les radiographies utilisent des rayonnements ionisants, elles doivent être utilisées avec prudence et uniquement lorsqu'elles sont médicalement justifiées.

Les tumeurs du bassin se réfèrent à des growths anormaux dans la région du bassin, qui peut inclure les os pelviens, les articulations sacro-illiaques, le coccyx, les muscles, les vaisseaux sanguins, les nerfs, la vessie, le rectum, et les organes reproducteurs. Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux).

Les tumeurs bénignes du bassin sont généralement traitées par une surveillance attentive, une biopsie ou une excision chirurgicale si elles causent des symptômes ou risquent de devenir cancéreuses. Les tumeurs malignes peuvent se propager à d'autres parties du corps et nécessitent souvent un traitement agressif, qui peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces options.

Les tumeurs du bassin peuvent causer des symptômes tels que des douleurs pelviennes ou abdominales, des saignements vaginaux anormaux, des changements dans les habitudes intestinales ou urinaires, des douleurs pendant les rapports sexuels, des gonflements ou des bosses dans la région pelvienne. Cependant, certaines tumeurs du bassin peuvent ne pas causer de symptômes et peuvent être découvertes lors d'examens médicaux de routine.

Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes qui pourraient indiquer une tumeur du bassin, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les chances de guérison et réduire le risque de complications.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Le relâchement musculaire, également connu sous le nom de «hypotonie» dans un contexte médical, se réfère à une diminution du tonus musculaire. Le tonus musculaire est la tension légère et constante que nous ressentons dans nos muscles lorsqu'ils sont au repos. Cela nous aide à maintenir une posture stable et facilite le mouvement volontaire.

Lorsque quelqu'un souffre d'un relâchement musculaire, ses muscles peuvent être incapables de se contracter normalement, ce qui peut entraîner une faiblesse musculaire, une coordination altérée et des mouvements anormaux. Ce relâchement peut affecter un muscle ou un groupe de muscles spécifiques, ou il peut être généralisé à l'ensemble du corps.

Le relâchement musculaire peut être temporaire ou permanent et peut résulter d'une variété de causes, y compris des conditions neurologiques sous-jacentes, des blessures, certaines maladies chroniques, le vieillissement normal, ou même certains médicaments et drogues. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente du relâchement musculaire.

L'hématurie est un terme médical qui décrit la présence de sang dans l'urine. Cette condition peut être visible à l'œil nu, on parle alors d'hématurie macroscopique ou microscopique si le sang n'est détectable qu'au microscope lors d'une analyse d'urine. L'hématurie peut être le signe de diverses affections, allant des infections des voies urinaires à des maladies rénales plus graves, telles que les tumeurs cancéreuses. Des facteurs tels qu'une activité physique intense, des traumatismes ou certaines médications peuvent également provoquer une hématurie. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez du sang dans votre urine pour en déterminer la cause et recevoir un traitement approprié.

Les muscles lisses sont un type de muscle involontaire, ce qui signifie qu'ils fonctionnent automatiquement sans contrôle volontaire conscient. Ils forment la majorité des parois des organes creux tels que les vaisseaux sanguins, le tube digestif (y compris l'estomac et les intestins), la vessie et l'utérus. Les muscles lisses sont également trouvés dans les structures comme les bronches, les conduits de la glande salivaire et les organes reproducteurs.

Contrairement aux muscles squelettiques, qui ont des bandes transversales distinctives appelées stries, les muscles lisses n'ont pas ces caractéristiques. Ils sont composés de cellules allongées avec un seul noyau central, et leur contraction est régulée par le système nerveux autonome. Les mouvements qu'ils produisent sont rythmiques et involontaires, contribuant à des fonctions corporelles importantes telles que la circulation sanguine, la digestion, la miction et la défécation.

En anatomie botanique, la "tige de plante" est définie comme la partie d'une plante qui se trouve généralement au-dessus du sol et qui supporte les feuilles, les fleurs et les fruits. Il conduit également la sève brute vers les parties aériennes de la plante. La tige peut être herbacée (vert, souple et flexible) ou ligneuse (dur et boisé), selon l'espèce de la plante.

Dans un contexte médical, le terme "tige" est parfois utilisé pour décrire des structures anormales qui se développent dans le corps, comme les tiges osseuses anormales observées dans certaines affections squelettiques. Cependant, lorsqu'il s'agit de phytothérapie ou de médecine à base de plantes, la "tige" fait référence aux parties dures et ligneuses des plantes qui sont souvent utilisées pour leurs propriétés médicinales.

Il est important de noter que les définitions peuvent varier en fonction du contexte et de l'usage, il est donc toujours conseillé de préciser le sens lorsque vous utilisez ce terme.

Un médicament orphelin est un médicament ou une substance biologique développé(e) spécifiquement pour le traitement, la prévention ou le diagnostic d'une maladie rare, c'est-à-dire qui affecte moins de 200 000 personnes aux États-Unis ou moins de 1 personne sur 2 000 dans l'Union européenne.

En raison du faible nombre de patients atteints de ces maladies rares, les sociétés pharmaceutiques peuvent être réticentes à investir dans le développement et la commercialisation de médicaments orphelins en raison des coûts élevés et des risques financiers associés. Pour encourager la recherche et le développement de ces médicaments, les gouvernements offrent souvent des incitations telles que des crédits d'impôt, des exonérations de frais réglementaires et une période d'exclusivité commerciale prolongée après l'approbation du médicament.

Les médicaments orphelins peuvent être approuvés pour un usage général ou pour une utilisation compassionnelle, ce qui permet aux médecins de prescrire des médicaments non approuvés pour traiter des patients gravement malades atteints de maladies rares lorsqu'il n'existe aucune autre option thérapeutique satisfaisante.

Les maladies rares, également connues sous le nom de troubles rares ou de maladies orphelines, se réfèrent à des affections qui affectent un petit nombre de personnes dans la population. Selon l'Orphanet, le portail européen des maladies rares et des médicaments orphelins, une maladie est considérée comme rare en Europe lorsqu'elle affecte moins d'une personne sur 2 000.

Les maladies rares peuvent être causées par des mutations génétiques, des infections, des expositions environnementales ou encore rester sans cause identifiée. Elles peuvent toucher n'importe quel système organique du corps et se manifester par une grande variété de symptômes, allant de légers à graves, voire mortels.

Le diagnostic et le traitement des maladies rares sont souvent difficiles en raison de leur faible prévalence, ce qui peut entraîner un retard dans l'établissement d'un diagnostic correct et dans la mise en place d'un plan de traitement adapté. De plus, les ressources allouées à la recherche sur ces maladies sont souvent limitées, ce qui freine le développement de thérapies spécifiques et efficaces.

Il existe environ 7 000 maladies rares connues à ce jour, affectant près de 300 millions de personnes dans le monde. En raison de leur caractère rare et dispersé, la collaboration internationale entre médecins, chercheurs, patients et associations est essentielle pour améliorer la compréhension, le diagnostic et le traitement de ces affections.

Le canal membranaire, également connu sous le nom de canal de Nérée ou aqueduc de Sylvius, est un petit conduit présent dans l'anatomie humaine. Il s'agit d'une structure tubulaire située dans le cerveau qui connecte l'oreille interne au quatrième ventricule, un espace rempli de liquide céphalo-rachidien (LCR) dans le tronc cérébral.

Le canal membranaire a une fonction cruciale dans la protection et la régulation du système auditif interne. Il permet au liquide endolymphatique, qui remplit la cochlée et les canaux semi-circulaires de l'oreille interne, de circuler et de communiquer avec le quatrième ventricule et le reste du système nerveux central.

Ce canal peut être affecté par certaines affections médicales, telles que la maladie de Ménière ou les tumeurs du nerf vestibulaire (schwannome vestibulaire), ce qui peut entraîner des symptômes auditifs et d'équilibre. Des procédures chirurgicales peuvent être nécessaires pour traiter ces conditions, telles que la décompression du canal membranaire ou l'ablation de tumeurs.

Les contraceptifs oraux hormonaux, également connus sous le nom de « pilules contraceptives », sont des formulations pharmaceutiques contenant des hormones synthétiques qui imitent l'action des œstrogènes et de la progestérone dans l'organisme. Ils sont conçus pour interférer avec le processus naturel de reproduction en empêchant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la traversée des spermatozoïdes ou en modifiant la muqueuse utérine pour prévenir l'implantation d'un ovule fécondé.

Les contraceptifs oraux hormonaux se présentent généralement sous deux formes : les combinaisons œstro-progestatives et les progestatifs seuls (mini-pilules). Les combinaisons œstro-progestatives contiennent à la fois un dérivé d'œstrogène et un dérivé de progestérone, tandis que les mini-pilules ne contiennent qu'un progestatif. Chaque type a ses avantages et ses inconvénients, et le choix du contraceptif oral hormonal dépend souvent des préférences personnelles, des antécédents médicaux et des besoins de chaque individu.

L'utilisation régulière et correcte des contraceptifs oraux hormonaux est globalement sûre et efficace pour prévenir la grossesse, avec un taux d'échec inférieur à 1 % lorsqu'ils sont utilisés de manière optimale. Cependant, il convient de noter que les contraceptifs oraux hormonaux ne protègent pas contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et doivent être associés à des méthodes de barrière, telles que le préservatif, pour une protection optimale contre les IST.

Comme tout médicament, les contraceptifs oraux hormonaux peuvent entraîner des effets secondaires et des risques potentiels. Les effets indésirables courants comprennent des saignements irréguliers, des nausées, des maux de tête, des seins douloureux ou enflés, une prise de poids et une humeur changeante. Dans de rares cas, les contraceptifs oraux hormonaux peuvent augmenter le risque de thromboembolie veineuse (TEV), c'est-à-dire la formation d'un caillot sanguin dans une veine, qui peut entraîner des complications graves telles que des embolies pulmonaires ou des accidents vasculaires cérébraux. Les femmes présentant des facteurs de risque de TEV, tels qu'une histoire personnelle ou familiale de thrombose veineuse, un âge avancé, une obésité morbide, une hypertension artérielle sévère, un tabagisme ou une fibrillation auriculaire, doivent faire l'objet d'une évaluation attentive avant de commencer à prendre des contraceptifs oraux hormonaux.

Les contraceptifs oraux combinés (COC) sont disponibles sous différentes formulations, avec des dosages et des types d'hormones variables. Les COC les plus couramment prescrits contiennent de l'éthinylestradiol à une dose comprise entre 20 et 35 microgrammes et un progestatif, tel que le lévonorgestrel, le norgestimate, le désogestrel, la drospirénone ou le gestodène. Les COC contenant de faibles doses d'éthinylestradiol (20 microgrammes) sont associés à un risque réduit de TEV par rapport aux COC contenant des doses plus élevées (35 microgrammes). Cependant, les COC contenant des progestatifs de troisième et quatrième générations, tels que la drospirénone et le désogestrel, peuvent être associés à un risque accru de TEV par rapport aux COC contenant des progestatifs de deuxième génération, tels que le lévonorgestrel.

Les contraceptifs oraux progestatifs (POP) ne contiennent qu'une seule hormone, un progestatif, et sont disponibles sous différentes formulations. Les POP les plus couramment prescrits contiennent du lévonorgestrel, de la noréthistérone ou de la médroxyprogestérone acétate. Les POP sont associés à un risque réduit de TEV par rapport aux COC, en particulier chez les femmes présentant des facteurs de risque tels que l'obésité, le tabagisme et l'âge avancé. Cependant, les POP peuvent ne pas être aussi efficaces que les COC pour prévenir la grossesse, en particulier chez les femmes présentant un cycle menstruel irrégulier ou une masse corporelle élevée.

Les contraceptifs oraux d'urgence (COU) sont des médicaments qui peuvent être utilisés après un rapport sexuel non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Les deux types de COU les plus couramment utilisés sont la levonorgestrel et l'acétate d'ulipristal. La levonorgestrel est disponible en vente libre aux États-Unis pour les femmes âgées de 15 ans et plus, tandis que l'acétate d'ulipristal nécessite une prescription médicale. Les COU sont généralement considérés comme sûrs et efficaces, mais ils peuvent ne pas être aussi efficaces que les contraceptifs oraux réguliers pour prévenir la grossesse.

Les contraceptifs oraux peuvent également avoir des avantages pour la santé en dehors de la planification familiale. Par exemple, certaines études ont suggéré que les COC peuvent réduire le risque de cancer de l'ovaire et de l'endomètre, tandis que d'autres études ont montré qu'ils peuvent améliorer les symptômes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et de l'acné. Cependant, il est important de noter que les contraceptifs oraux ne sont pas sans risques et qu'ils peuvent augmenter le risque de certaines maladies, telles que les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins et les maladies du foie.

En conclusion, les contraceptifs oraux sont des médicaments qui peuvent être utilisés pour prévenir une grossesse non désirée. Ils sont disponibles sous différentes formes, telles que les pilules, les patchs et les anneaux vaginaux, et ils fonctionnent en empêchant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale ou en modifiant l'endomètre. Les contraceptifs oraux peuvent également avoir des avantages pour la santé en dehors de la planification familiale, mais ils ne sont pas sans risques et doivent être utilisés avec prudence. Il est important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer à utiliser des contraceptifs oraux pour déterminer le type le plus approprié et pour discuter des risques et des avantages.

Le terme "porte canal membranaire" est utilisé en anatomie et en physiologie pour décrire une structure fine et tubulaire qui traverse la membrane cellulaire, permettant ainsi le passage de certaines substances telles que les ions ou les molécules hydrophiles. Ces canaux sont composés de protéines et jouent un rôle crucial dans la régulation des échanges ioniques et moléculaires entre le milieu extracellulaire et le cytoplasme.

Les portes canal membranaires peuvent être spécifiques à certains types d'ions ou de molécules, ce qui signifie qu'ils ne permettent que le passage de certaines substances tout en empêchant celui des autres. Par exemple, les canaux sodium sont sélectivement perméables aux ions sodium, tandis que les canaux potassium sont perméables aux ions potassium.

Les portes canal membranaires peuvent être régulés de différentes manières, notamment par des changements de tension membranaire, des modifications post-traductionnelles des protéines qui composent les canaux, ou encore par l'action de messagers chimiques tels que les neurotransmetteurs. Ces mécanismes permettent de contrôler finement le flux d'ions et de molécules à travers la membrane cellulaire, ce qui est essentiel pour de nombreux processus physiologiques tels que la transmission nerveuse, la contraction musculaire, ou encore la régulation du volume cellulaire.

Les canaux calciques sont des protéines qui forment des pores dans la membrane cellulaire, permettant au calcium d'entrer et de sortir des cellules. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires tels que la contraction musculaire, la libération de neurotransmetteurs et la signalisation cellulaire.

Il existe différents types de canaux calciques, chacun ayant des propriétés spécifiques et des rôles distincts dans l'organisme. Certains sont sensibles au voltage et s'ouvrent en réponse à un changement du potentiel électrique de la membrane cellulaire, tandis que d'autres sont activés par des messagers intracellulaires tels que l'IP3 (inositol trisphosphate) ou le calcium lui-même.

Les canaux calciques peuvent être affectés dans certaines maladies, telles que les maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle et certaines formes d'épilepsie. Des médicaments appelés bloqueurs des canaux calciques sont souvent utilisés pour traiter ces conditions en régulant la quantité de calcium qui entre dans les cellules.

Il est important de noter que l'équilibre du calcium intracellulaire est essentiel au fonctionnement normal des cellules, et que des perturbations de ce processus peuvent entraîner des conséquences néfastes pour la santé.

Les "Acid Sensing Ion Channels" (ASIC) sont des canaux ioniques activés par le pH qui s'ouvrent en réponse à une acidification du milieu extracellulaire. Ils sont largement distribués dans le système nerveux central et périphérique des mammifères et jouent un rôle important dans la détection de la douleur, la plasticité synaptique et la régulation de l'excitabilité neuronale.

Les canaux ASIC sont constitués de sous-unités protéiques qui s'assemblent pour former des homo ou hétéotrimères. Il existe au moins six sous-unités différentes (ASIC1a, ASIC1b, ASIC2a, ASIC2b, ASIC3 et ASIC4) qui peuvent se combiner pour former divers types de canaux avec des propriétés pharmacologiques et fonctionnelles distinctes.

L'activation des canaux ASIC entraîne une entrée de cations (principalement Na+) dans la cellule, ce qui peut dépolariser la membrane et potentialiser l'activité neuronale. L'acidification du milieu extracellulaire peut se produire dans divers contextes physiologiques et pathologiques, tels que l'ischémie, l'inflammation, l'hypoxie et la douleur.

Les canaux ASIC sont donc des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de diverses affections neurologiques et dolorifiques, telles que les migraines, les neuropathies périphériques, l'épilepsie et la douleur chronique.

L'Angiomyolipome est une tumeur rénale bénigne constituée microscopiquement de vaisseaux, de muscles lisses et de graisse. Cette tumeur rénale est souvent de découverte fortuite de par sa croissance lente et sa relative innocuité, elle peut cependant être découverte à l'occasion d'hématurie ou d'hémorragies interne. Elle est associée dans 25 à 50 % des cas à une sclérose tubéreuse de Bourneville. Elle est souvent d'aspect relativement plein de par son contenu élevé en cellules épithéloïdes, on y voit cependant des amas graisseux, ainsi que des saignements. Elle présente par ailleurs un aspect souvent pléimorphe. La tumeur est principalement composée de cordons épithéloïdes avec aspect pléomorphique. On distingue aussi des structures vasculaires avec des réarrangements en divers endroits, on y voit par ailleurs parfois des nécroses, hémorragies, ou des embolies de cellules tumorales. Les muscles lisses et de la graisse y sont présents, souvent plutôt minoritaires, ...
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  • la STB avec angiomyolipome du rein chez les adultes qui ne nécessitent pas d'intervention chirurgicale immédiate. (goodmed.com)
  • Si vous recevez Votubia pour le traitement d'une STB avec angiomyolipome du rein, la dose habituelle est de 10 mg, à prendre une fois par jour. (goodmed.com)