Groupe de vascularite systémique avec une forte association avec ANCA. Les nerveux se caractérise par une inflammation des vaisseaux, taille moyenne, avec peu ou pas immune-complex dépôts en vaisseaux.
Inflammation de l'un des vaisseaux sanguins, y compris les principales ; VEINS ; et reste de la vascularisation système dans le corps.
Auto-anticorps dirigé contre cytoplasmique constituants de leucocytes et / ou les monocytes. Ils sont utilisés comme marqueurs spécifiques pour Wegener avec Polyangiitis et autres maladies, si leur rôle physiopathologique n ’ est pas limpide. ANCA sont régulièrement détectées par immunofluorescence indirects avec trois modèles différents : Des c-ANCA (cytoplasmique), (p-ANCA perinuclear) ANCA, atypiques.
Une vasculite systémique primaire de petite et des vaisseaux de taille moyenne. Il se caractérise par un tropisme pour les reins et poumons association positive avec des anticorps (ANCA anti-neutrophil cytoplasmique), et la pauvreté des dépôts en immunoglobuline vaisseaux.
Une maladie multisystémique bagage génétique d'un complexe. C'est caractérisé par une inflammation des vaisseaux sanguins (vascularite) conduisant à des dommages de plusieurs organes. Les caractéristiques communes granulomateuse comprennent inflammation des fonctions respiratoires TRACT et les reins. La plupart des patients ont mesurable Antineutrophil cytoplasmique auto-anticorps (anticorps) contre la diminution des neutrophiles proteinase-3 (Wegener AUTOANTIGEN).
Anticorps obtenu à partir d'un seul clone de cellules grandi chez la souris ou le rat.
Acte thérapeutique ou processus qui déclenche une réponse à un niveau rémission complète ou partielle.
Un hemeprotein de leucocytes. Un déficit de cet enzyme entraîne une maladie héréditaire couplé avec candidose disséminée. Il y a catalyse la conversion du donneur et peroxyde à un donneur oxydée et de l'eau. CE 1.11.1.7.
Fasciite nécrosante généralisée avec des granulomes est fréquente atteinte pulmonaire, asthme ou autre infection respiratoire peut précéder preuves d'angéite. Éosinophilie et aux poumons différencier cette maladie de périartérite noueuse.
Agents qui affaiblissent la fonction immunitaire en l'un des mécanismes d'action. Classique cytotoxique immunosuppresseurs agissent en inhibant la synthèse ADN. Autres peut agir par activation de cellules T ni en inhibant l ’ activation des cellules de HELPER. Tandis que l ’ immunosuppression a été causée par le passé principalement pour prévenir le rejet des greffes d'organes, les nouvelles demandes impliquant la médiation des effets des interleukines et d'autres cytokines font surface...
Le retour d'un signe ou symptôme, la maladie après une rémission.
Inflammation des glomérules rénaux (calculs glomerulus) qui peuvent être classées par type de blessures glomérulaire incluant anticorps déposition, l'activation du complément, la prolifération cellulaire et glomerulosclerosis. Ces anomalies structurelles et fonctionnelles habituellement entraîner hématurie, protéinurie ; HYPERTENSION ; et reins.
Un glucocorticoïde avec les propriétés générales des corticostéroïdes. C'est une drogue de choix pour toutes les conditions dans lesquelles routine la corticothérapie par voie systémique est indiquée, sauf un déficit surrénalien états.
Un leukocyte-derived sérine protéase qui dégrade les protéines comme Elastin ; de la fibronectine ; Laminine ; Vitronectine ; et collagène. C'est un nom pour sa capacité à contrôler la croissance des cellules myéloïdes et la différenciation.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.

L'« Anti-Neutrophil Cytoplasmic Antibody-Associated Vasculitis » (AANCA vasculitis) est une forme de vascularite, qui est une maladie inflammatoire des vaisseaux sanguins. Cette condition particulière est caractérisée par la présence d'auto-anticorps spécifiques, appelés anticorps anti-cytoplasme des neutrophiles (ANCA), dans le sang du patient.

Les ANCA sont dirigés contre des protéines présentes dans les cytoplasmes des neutrophiles, un type de globules blancs. Lorsque ces auto-anticorps se lient à ces protéines, ils déclenchent une réaction inflammatoire qui peut endommager les parois des petits vaisseaux sanguins dans divers organes du corps.

Les manifestations cliniques de l'AANCA vasculitis peuvent varier considérablement en fonction des organes touchés, mais elles comprennent souvent des symptômes généraux tels que la fatigue, la fièvre et les douleurs articulaires. Les atteintes d'organes spécifiques peuvent inclure une inflammation pulmonaire (pneumonie alvéolaire), une hépatite, des lésions rénales, des ulcères cutanés et des neuropathies périphériques.

Le diagnostic de l'AANCA vasculitis repose sur la détection d'ANCA dans le sang du patient, ainsi que sur les résultats d'une biopsie tissulaire qui montrent des signes d'inflammation et de dommages aux petits vaisseaux sanguins. Le traitement de cette condition implique généralement une immunosuppression pour contrôler l'inflammation, souvent sous la forme de corticostéroïdes et de médicaments cytotoxiques.

La vascularite est un groupe de maladies caractérisées par l'inflammation des vaisseaux sanguins. Cette inflammation peut entraîner une variété de symptômes, en fonction de la taille des vaisseaux affectés et de leur emplacement dans le corps. Les petits vaisseaux sanguins (capillaires) sont souvent touchés dans certaines formes de vascularite, tandis que d'autres formes affectent les vaisseaux plus grands tels que les artères et les veines.

Les symptômes courants de la vascularite peuvent inclure des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, une faiblesse musculaire, des maux de tête, des essoufflements, des douleurs thoraciques et une hypertension artérielle. Dans les cas graves, la vascularite peut entraîner des complications telles que des lésions organiques, des accidents vasculaires cérébraux ou même la mort.

Le diagnostic de vascularite repose sur une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, de tests sanguins et d'imagerie médicale. Le traitement dépend du type de vascularite et peut inclure des corticostéroïdes, d'autres médicaments immunosuppresseurs, des thérapies ciblées contre les voies inflammatoires spécifiques ou une combinaison de ces options. Dans certains cas, une prise en charge multidisciplinaire peut être nécessaire pour gérer les complications associées à la vascularite.

Les anticorps antineutrophiles cytoplasmiques (ANCA) sont des auto-anticorps qui ciblent et attaquent certaines protéines dans les neutrophiles, un type de globule blanc. Les ANCA peuvent être détectés dans le sang et leur présence est souvent associée à certaines maladies auto-immunes, telles que la granulomatose avec polyangéite (GPA), la polyangéite microscopique (PAM) et le syndrome de Churg-Strauss. Ces maladies peuvent causer une inflammation des vaisseaux sanguins, entraînant des lésions tissulaires dans divers organes, notamment les poumons, les reins, la peau et les articulations.

Il existe deux principaux types d'ANCA : les ANCA anti-protéinase 3 (PR3) et les ANCA anti-myéloperoxydase (MPO). Les ANCA anti-PR3 sont principalement associés à la GPA, tandis que les ANCA anti-MPO sont plus fréquemment observés dans la PAM. Cependant, il peut y avoir une certaine chevauchement entre ces deux types d'ANCA et les maladies associées.

Le test de détection des ANCA est généralement effectué par immunofluorescence indirecte (IFI) ou par dosage immuno-enzymatique (ELISA). Les résultats positifs doivent être interprétés en conjonction avec les symptômes cliniques et d'autres tests de laboratoire pour établir un diagnostic précis.

Il est important de noter que la présence d'ANCA ne signifie pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune, car des ANCA peuvent être détectés chez des individus en bonne santé ou atteints d'autres affections. Par conséquent, les résultats du test doivent être évalués par un professionnel de la santé qualifié pour déterminer leur pertinence clinique.

La Microscopic Polyangiitis (MPA) est une forme rare de vascularite systémique, qui se caractérise par une inflammation des petits vaisseaux sanguins (capillaires, artérioles et veinules) dans divers organes du corps. Le terme «microscopique» fait référence à la nature de la maladie, qui peut uniquement être détectée en examinant des échantillons de tissus au microscope.

La MPA est une forme de vasculite nécrosante, ce qui signifie qu'elle entraîne la destruction des parois des vaisseaux sanguins, conduisant à une mauvaise circulation sanguine et à des lésions tissulaires dans les organes touchés. Les principaux organes cibles de la MPA sont les reins (glomérulonéphrite), les poumons (pneumonie alvéolaire), la peau, les nerfs périphériques et les muscles squelettiques.

L'étiologie de la Microscopic Polyangiitis est inconnue, mais il existe des preuves suggérant que des facteurs environnementaux et génétiques peuvent contribuer à son développement. Les patients atteints de MPA présentent souvent des anticorps spécifiques dans leur sang, appelés antineutrophiles cytoplasmiques (ANCA), qui sont dirigés contre les protéines présentes dans les neutrophiles, un type de globules blancs.

Le diagnostic de la MPA repose sur l'association d'une histoire clinique compatible avec la maladie, des résultats de laboratoire anormaux (y compris la présence d'ANCA) et des preuves histopathologiques de vascularite nécrosante dans les biopsies tissulaires.

Le traitement de la Microscopic Polyangiitis implique généralement une combinaison de corticostéroïdes, d'immunosuppresseurs et de médicaments ciblant le système immunitaire, tels que les inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α). Le pronostic dépend de la gravité de la maladie au moment du diagnostic et de la réponse au traitement. Les patients atteints de MPA peuvent présenter des complications à long terme, telles que des lésions rénales chroniques et une neuropathie périphérique.

La granulomatose de Wegener, également connue sous le nom de granulomatose avec polyangéite (GPA), est une maladie rare mais grave des vaisseaux sanguins. Il s'agit d'une forme de vasculite, qui est une inflammation des parois des vaisseaux sanguins. Dans la GPA, l'inflammation affecte principalement les petits vaisseaux sanguins des poumons, du nez, de la gorge et des reins.

La maladie se caractérise par la formation de granulomes, qui sont des amas de cellules immunitaires activées. Ces granulomes peuvent endommager les tissus environnants et entraîner une variété de symptômes, selon l'endroit où ils se forment dans le corps.

Les symptômes courants de la granulomatose de Wegener comprennent la sinusite chronique, l'écoulement nasal sanglant, les douleurs articulaires, les essoufflements, les toux avec expectorations sanguines et la fatigue. Dans les cas graves, la maladie peut affecter les reins et entraîner une insuffisance rénale aiguë.

Le diagnostic de la granulomatose de Wegener repose sur une combinaison d'examens cliniques, de tests sanguins et d'imagerie médicale. La maladie peut être traitée avec des médicaments qui suppriment le système immunitaire, tels que les corticostéroïdes et les immunosuppresseurs. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever les tissus endommagés ou pour rétablir le flux sanguin dans les vaisseaux sanguins obstrués.

Les "antibodies, monoclonal, murine-derived" sont des anticorps monoclonaux dérivés de souris qui ont été créés pour reconnaître et se lier à des antigènes spécifiques. Les anticorps monoclonaux sont des protéines produites par des cellules B clonales, qui ont toutes la même structure et la même spécificité de liaison aux antigènes.

Dans le cas des antibodies, monoclonal, murine-derived, les cellules B productrices d'anticorps sont prélevées à partir de souris immunisées avec un antigène spécifique. Les cellules B sont ensuite fusionnées avec des lignées cellulaires immortelles pour produire des hybrides cellulaires stables, appelés "hybridomes", qui peuvent sécréter en continu des anticorps monoclonaux spécifiques de l'antigène.

Ces anticorps sont utiles dans la recherche médicale et dans le développement de thérapies pour diverses maladies, y compris les cancers et les maladies auto-immunes. Cependant, ils peuvent également provoquer une réponse immunitaire indésirable chez l'homme, car le système immunitaire peut reconnaître ces anticorps comme étant étrangers et former des anticorps contre eux. Pour surmonter ce problème, les scientifiques ont développé des techniques pour "humaniser" les anticorps murins en remplaçant certaines de leurs régions variables par des séquences d'acides aminés humains, ce qui permet de réduire la réactivité immunitaire tout en conservant la spécificité de liaison à l'antigène.

Le traitement d'induction de rémission est un type de thérapie médicale utilisé dans plusieurs domaines de la médecine, y compris l'hématologie et l'oncologie. Il vise à induire une rémission complète ou partielle des symptômes de la maladie, en particulier les cancers, en administrant une combinaison intensive de médicaments, de rayonnements ou d'autres procédures pendant une courte période.

L'objectif principal du traitement d'induction de rémission est de détruire autant de cellules cancéreuses que possible et de réduire la taille des tumeurs pour préparer le patient à un traitement supplémentaire, tel qu'une greffe de moelle osseuse ou une chimiothérapie de consolidation.

Le traitement d'induction de rémission est souvent agressif et peut entraîner des effets secondaires graves, tels que la suppression du système immunitaire, des nausées, des vomissements, de la fatigue et une perte de cheveux. Cependant, ces effets secondaires sont généralement temporaires et peuvent être gérés avec des médicaments de soutien et d'autres thérapies de support.

Il est important de noter que le traitement d'induction de rémission n'est pas toujours couronné de succès, et la réponse au traitement peut varier considérablement d'un patient à l'autre. Les facteurs qui influencent la réussite du traitement comprennent le type et le stade de la maladie, l'âge et l'état général de santé du patient.

La myélopéroxydase (MPO) est un enzyme hématopoïétique, qui est abondamment présent dans les granules azurophiles des neutrophiles, monocytes et certaines sous-populations de macrophages. Il joue un rôle crucial dans la fonction microbicide des neutrophiles, catalysant la production d'espèces réactives de l'oxygène (ROS) pour tuer les pathogènes ingérés.

La MPO est une protéine de 140 kDa codée par le gène MPO sur le chromosome 17. Il s'agit d'un hétérodimère composé de deux sous-unités identiques, chacune contenant un groupe hème et un domaine de liaison au cuivre. Lorsqu'il est activé, il oxyde le peroxyde d'hydrogène (H2O2) en eau et en hypochlorite (OCl-), qui est un agent oxydant puissant capable de détruire une grande variété de micro-organismes.

Cependant, la production excessive de ROS et d'hypochlorite par la MPO a également été associée au stress oxydatif et à l'inflammation, qui peuvent contribuer au développement de diverses maladies telles que l'athérosclérose, les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) et certaines affections inflammatoires des intestins.

Des niveaux élevés de MPO sont également observés dans la circulation systémique chez les patients atteints de sepsis, où ils ont été associés à une augmentation de la mortalité. Par conséquent, la MPO est considérée comme un biomarqueur potentiel pour le diagnostic et la stratification du risque dans ces maladies.

Le syndrome de Churg-Strauss est une maladie rare des vaisseaux sanguins (vasculite) qui affecte principalement les petits et moyens vaisseaux sanguins dans de nombreux organes du corps. Il est nommé d'après les médecins qui l'ont décrit pour la première fois, Jacob Churg et Lotte Strauss, en 1951. Cette condition est également connue sous le nom de granulomatose éosinophilique avec polyangéite (GEPA).

Les symptômes du syndrome de Churg-Strauss peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, mais ils comprennent souvent des problèmes respiratoires, de la fièvre, une fatigue extrême, des douleurs articulaires et musculaires, des éruptions cutanées, des gonflements et des douleurs dans les sinus, et des troubles nerveux périphériques.

La cause exacte du syndrome de Churg-Strauss est inconnue, mais il semble être associé à une réponse excessive du système immunitaire chez certaines personnes, en particulier celles qui ont des antécédents d'asthme et d'allergies. Le diagnostic repose généralement sur un examen physique complet, des analyses de sang et d'urine, des tests d'imagerie et une biopsie pour confirmer l'inflammation des vaisseaux sanguins.

Le traitement du syndrome de Churg-Strauss implique généralement des corticostéroïdes et d'autres médicaments qui suppriment le système immunitaire, tels que la cyclophosphamide ou le rituximab. Le pronostic dépend de la gravité de la maladie et de la réponse au traitement, mais avec un traitement approprié, la plupart des personnes atteintes du syndrome de Churg-Strauss peuvent vivre une vie relativement normale.

Les immunosuppresseurs sont des agents thérapeutiques qui inhibent ou réduisent la fonction du système immunitaire. Ils sont fréquemment utilisés dans le traitement des maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et la sclérose en plaques, ainsi que pour prévenir le rejet de greffe d'organe. Les immunosuppresseurs agissent en interférant avec les processus cellulaires et moléculaires impliqués dans la réponse immunitaire, tels que la production d'anticorps, la activation des lymphocytes T et B, et l'inflammation. Cependant, en raison de leur impact sur le système immunitaire, les immunosuppresseurs peuvent également augmenter le risque d'infections et de certains cancers.

En termes médicaux, une récidive est la réapparition des symptômes ou signes d'une maladie après une période de rémission ou d'amélioration. Cela indique que la maladie, souvent une maladie chronique ou un trouble de santé, n'a pas été complètement éradiquée et qu'elle est revenue après un certain temps. La récidive peut se produire dans divers domaines de la médecine, y compris l'oncologie (cancer), la neurologie, la psychiatrie et d'autres spécialités.

Dans le contexte du cancer, une récidive est définie comme la réapparition de la maladie dans la même région où elle a été initialement diagnostiquée (récidive locale) ou dans une autre partie du corps (récidive à distance ou métastase). Les taux de récidive et le moment où elles se produisent peuvent varier en fonction du type de cancer, du stade au moment du diagnostic, du traitement initial et d'autres facteurs pronostiques.

Il est important de noter que la détection précoce des récidives peut améliorer les résultats thérapeutiques et la prise en charge globale du patient. Par conséquent, un suivi régulier et des examens de contrôle sont essentiels pour surveiller l'évolution de la maladie et détecter rapidement toute récidive éventuelle.

La glomérulonéphrite est une affection rénale caractérisée par l'inflammation des glomérules, qui sont les structures microscopiques dans les reins responsables de la filtration du sang. Cette inflammation peut entraîner une altération de la fonction rénale, y compris la protéinurie (présence de protéines dans l'urine), l'hématurie (présence de globules rouges dans l'urine) et une diminution du débit de filtration glomérulaire.

La glomérulonéphrite peut être causée par une variété de facteurs, y compris des infections, des maladies auto-immunes, des médicaments et d'autres affections systémiques. Les symptômes peuvent varier en fonction de la gravité de l'inflammation et de la durée de la maladie, mais peuvent inclure une hypertension artérielle, une protéinurie, une hématurie, une insuffisance rénale aiguë ou chronique, et des œdèmes (gonflements) dans les jambes ou d'autres parties du corps.

Le diagnostic de glomérulonéphrite est généralement posé sur la base d'une combinaison d'analyses d'urine, de tests sanguins et d'une biopsie rénale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'inflammation et peut inclure des médicaments pour contrôler l'inflammation et la pression artérielle, ainsi que des mesures visant à prévenir les complications telles que l'insuffisance rénale.

La prednisolone est un glucocorticoïde synthétique, un type de corticostéroïde, qui est utilisé pour traiter une variété de conditions inflammatoires et auto-immunes. Il fonctionne en réduisant l'activité du système immunitaire de l'organisme, ce qui peut aider à contrôler les symptômes associés à des affections telles que l'asthme, la dermatite, l'arthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et d'autres maladies.

La prednisolone agit en se liant aux récepteurs des glucocorticoïdes dans les cellules du corps, ce qui entraîne une série de modifications moléculaires qui inhibent l'inflammation et modulent la réponse immunitaire. Il peut être administré par voie orale, intraveineuse ou topique (crèmes ou gouttes oculaires), selon le type de condition traitée.

Comme d'autres corticostéroïdes, la prednisolone peut entraîner des effets secondaires indésirables, en particulier lorsqu'elle est utilisée à fortes doses ou sur une longue période. Ces effets secondaires peuvent inclure l'hypertension artérielle, le diabète, les changements d'humeur, la prise de poids, l'ostéoporose et un risque accru d'infections. Par conséquent, il est important que la prednisolone soit utilisée sous la surveillance étroite d'un médecin pour minimiser ces risques.

La myéloblastine est une protéine qui joue un rôle crucial dans la différenciation et la prolifération des cellules myéloïdes, qui sont un type de cellules sanguines. Elle est exprimée principalement dans les précurseurs myéloïdes immatures, appelés myéloblastes, d'où elle tire son nom.

La myéloblastine est codée par le gène MB-1 et est une enzyme clé dans la biosynthèse des protéines G, qui sont des protéines régulatrices importantes dans de nombreux processus cellulaires. Des niveaux anormalement élevés de myéloblastine peuvent être observés dans certaines affections malignes telles que la leucémie aiguë myéloïde (LAM), où une prolifération excessive et incontrôlée de myéloblastes peut se produire.

En médecine, la détection de niveaux élevés de myéloblastine dans le sang ou la moelle osseuse peut être utilisée comme un marqueur diagnostique pour la LAM et d'autres affections malignes des cellules myéloïdes.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Pas de FAQ disponibles qui correspondent au "anti neutrophil cytoplasmic antibody associated vasculitis"

Pas de images disponibles qui correspondent au "anti neutrophil cytoplasmic antibody associated vasculitis"