Mes préoccupations avec apparence ou son image entraînant l ’ altération de la souffrance ou les grands domaines de fonctionnement.
Troubles de la présence de symptômes physiques qui suggèrent un état médical général mais qui ne sont pas entièrement expliquées par un autre état, par les effets directs de une substance, ou par un autre trouble mental. Les symptômes doivent causer détresse cliniquement significative dans le domaine social, ou une insuffisance professionnelle, ou d'autres zones de fonctionnement. Contrairement à factitious DISORDERS et une simulation, les symptômes physiques ne sont pas de façon volontaire. (APA, DSM-V)
Une croyance erronée concernant le soi ou des personnes ou des objets dehors l'âme qui persiste malgré les faits, et c'est pas tenable par certains de ses associés.
La notion de leur corps.
Une opération de chirurgie plastique sur le nez non plus, la restaurativité réparatrice ou cosmétique. Dorland, 28 (éditeur)
Un diphenylbutylpiperidine c'est efficace comme un agent antipsychotique et comme alternative à l'halopéridol pour la suppression de cordes et tics motrice chez les patients avec le syndrome de Tourette. Bien que le mécanisme d ’ action précis ne soit pas connu, blocage a été montré que les récepteurs dopaminergiques postsynaptique. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p403)
Trouble caractérisé par une angoisse, obsessions persistantes ou récurrentes compulsions. Obsessions sont les idées intrusive, pensées, ou des images qui sont expérimentées insensé ou répugnant. Compulsions sont répétitifs comportement délibéré et semble où l'individu généralement reconnaît aussi gratuit et dont l'individu ne tirent leur plaisir bien que cela me donne une dispense de tension.
Composés qui inhibent spécifiquement de la sérotonine dans le cerveau.
Classification des catégorique DISORDERS mentale en fonction des critères se couche avec signe particulier. Il est produit par l'Association Américaine de Psychiatrie. (Diagnostiques du DSM-IV, page xxii)
Un inhibiteur sélectif à base de sérotonine qui est utilisé dans le traitement d'une grande et diverses DISORDERS.
Troubles anxieux, dans lequel le caractéristique essentielle est persistante peur irrationnelle et d'un objet, l 'activité, ou situation que l'individu est contraint à éviter. L'individu reconnaît la peur comme étant excessif ou déraisonnable.
Procédures standards utilisant échelles ou interview horaires du personnel de santé pour évaluer le degré de maladie mentale.
Une forme de psychothérapie basé sur l'interprétation de situations (structure cognitif d'expériences) qui déterminent comment un individu ressent et se comporte. C'est fondé sur la prémisse que cognitifs, le processus d'acquérir des connaissances et formant croyances, est une primaire déterminant de humeur et le comportement. La thérapie comportementale utilise des techniques et verbales pour repérer et corriger pensées négatives qui est au cœur du comportement aberrant.
Adaptation de la personne à l'environnement social. Ajustement posologique peut avoir lieu en adaptant le soi à l'environnement ou en changeant l'environnement. (De Campbell, Psychiatric Dictionary, 1996)
Le premier inhibiteur hautement spécifique la sérotonine. Il est utilisé comme antidépresseur et souvent a un profil des effets indésirables acceptables plus que les antidépresseurs.
Un équipe de diagnostic qui sont établis par différents critères appliqués de mesure de la gravité d'un patient est trouble.
Une personne est vue de lui-même.
La présence de maladies ou supplémentaires qui coexiste avec référence à un premier diagnostic ou un indice de référence dans la condition qui est l'objet d'étude. Comorbidité peuvent altérer la capacité de toutes les individus de fonctionner et aussi leur survie ; il peut être utilisée comme indicateur pronostics pour la durée du séjour à l'hôpital, des coûts facteurs, et résultat ou la survie.

Les Body Dysmorphic Disorders (BDD), également connus sous le nom de dysmorphophobie, sont des troubles mentaux caractérisés par la préoccupation obsessive d'un ou plusieurs défauts physiques qui sont soit imaginaires, soit légers et non apparents pour les autres. Ces préoccupations concernant l'apparence entraînent une détresse significative et une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants de la vie.

Les personnes atteintes de BDD peuvent passer beaucoup de temps à vérifier leur apparence, à se comparer aux autres, à chercher des moyens de masquer ou de corriger le défaut perçu, et à éviter les situations sociales. Elles peuvent également avoir recours à des procédures cosmétiques ou chirurgicales répétées dans une tentative infructueuse de corriger leur apparence.

Le BDD peut affecter les hommes et les femmes de tous âges, mais il est plus fréquent chez les adolescents et les jeunes adultes. Les causes du BDD sont inconnues, mais il semble y avoir une combinaison de facteurs génétiques, cérébraux et environnementaux qui contribuent au développement de ce trouble. Le traitement du BDD peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) spécialisée et des médicaments antidépresseurs.

Les troubles somatoformes sont un groupe de troubles mentaux dans lesquels les symptômes physiques ne peuvent pas être entièrement expliqués par une maladie médicale générale, des effets directs d'une substance ou un autre trouble mental explicable. Ces symptômes causent souvent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants de la vie.

Les exemples de troubles somatoformes comprennent le trouble de conversion, dans lequel les symptômes physiques imitent les maladies neurologiques; le trouble d'hypocondrie, dans lequel une personne est convaincue d'avoir une maladie grave en dépit des preuves médicales contraires; et le trouble somatoforme indifférencié, dans lequel un patient présente plusieurs symptômes physiques qui ne peuvent pas être expliqués par une maladie médicale sous-jacente.

Les causes des troubles somatoformes sont inconnues, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'une interaction complexe de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. Le traitement peut inclure une thérapie par la parole, des médicaments pour traiter l'anxiété ou la dépression sous-jacente, et l'éducation du patient sur les symptômes et le rétablissement.

Un délire est un trouble mental caractérisé par des idées ou des croyances bizarres, fixes et erronées qui sont souvent accompagnées d'une confusion, d'un manque de clarté de la pensée, d'un discours incohérent et d'un comportement désorganisé. Les délires peuvent être le résultat d'une maladie médicale sous-jacente, telle qu'une infection, une lésion cérébrale ou un trouble psychiatrique, comme la schizophrénie. Ils peuvent également être causés par l'utilisation de certains médicaments ou drogues. Les délires peuvent être dangereux pour le patient ou pour les autres, car ils peuvent conduire à des comportements impulsifs et imprévisibles. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une thérapie ou une combinaison des deux.

En médecine, l'expression "image du corps" fait référence à la représentation mentale ou perception qu'une personne a de son propre corps. Cette image peut inclure des aspects physiques, comme la taille, le poids, la forme et les capacités fonctionnelles, ainsi que des aspects psychologiques et émotionnels liés au corps.

L'image du corps peut être influencée par de nombreux facteurs, tels que les expériences personnelles, les normes sociales, les médias, les commentaires des autres et les événements de vie. Elle peut également être affectée par des conditions médicales ou des traitements qui modifient l'apparence ou la fonction du corps, comme une maladie chronique, une intervention chirurgicale ou un handicap.

Une image du corps négative ou déformée peut entraîner des problèmes de santé mentale tels que la dépression, l'anxiété, les troubles de l'alimentation et la faible estime de soi. D'un autre côté, une image du corps positive et réaliste peut contribuer à une bonne santé mentale et physique globale.

Les professionnels de la santé peuvent travailler avec les patients pour évaluer et améliorer leur image du corps en utilisant des techniques telles que la thérapie cognitivo-comportementale, l'éducation sur la santé et la promotion d'une vision équilibrée et positive du corps.

La rhinoplastie est une intervention chirurgicale esthétique et reconstructive qui vise à corriger ou à améliorer l'apparence du nez. Elle peut également être utilisée pour corriger des problèmes fonctionnels tels que les obstructions nasales qui peuvent affecter la respiration. Durant cette procédure, le chirurgien plasticien repositionne ou remodèle les os et le cartilage du nez pour atteindre les résultats souhaités. Les modifications peuvent inclure la réduction de la taille d'une bosse sur le pont du nez, le resserrage des narines larges, le changement de la forme de l'extrémité du nez ou le redressement d'un septum dévié.

Il est important de noter que bien que la rhinoplastie puisse améliorer l'apparence et éventuellement la fonction du nez, elle ne garantit pas une symétrie parfaite en raison de la variabilité anatomique et des limitations techniques. Les résultats peuvent prendre plusieurs mois à un an pour se manifester complètement, car le nez a besoin de temps pour guérir et s'adapter à sa nouvelle forme.

La pipozide est un antipsychotique typique utilisé pour traiter certains troubles mentaux. Il fonctionne en bloquant les récepteurs dopaminergiques dans le cerveau, ce qui peut aider à réduire l'agitation, les hallucinations, les idées délirantes et d'autres symptômes psychotiques.

La pipozide est souvent utilisée pour traiter la schizophrénie, les troubles liés aux mouvements involontaires (comme la chorée de Huntington) et les tics nerveux sévères (comme le syndrome de Gilles de La Tourette).

Comme avec d'autres antipsychotiques typiques, la pipozide peut entraîner des effets secondaires graves, tels que des mouvements involontaires chroniques ou des symptômes extrapyramidaux (EPS), une rigidité musculaire, une instabilité de la marche et des tremblements. Elle peut également augmenter le risque de développer un syndrome malin des neuroleptiques, une affection rare mais grave qui peut mettre la vie en danger.

La pipozide doit être utilisée avec prudence et sous surveillance médicale étroite pour minimiser ces risques. Les patients doivent informer leur médecin de tous les autres médicaments qu'ils prennent, car certaines combinaisons peuvent augmenter le risque d'effets secondaires graves.

Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) est un trouble anxieux caractérisé par des pensées persistantes et intrusives (obsessions) qui causent un stress important et des comportements répétitifs (compulsions) que la personne feel obligée de faire pour tenter de soulager cette anxiété. Souvent, ces compulsions ne sont pas liées de manière rationnelle aux obsessions et ne fournissent qu'un soulagement temporaire.

Les symptômes du TOC peuvent inclure des peurs persistantes de contamination, des pensées ou images mentales récurrentes et indésirables (par exemple, peur de nuire à soi-même ou aux autres), la nécessité de tout organiser d'une certaine manière, des vérifications excessives et des rituels de lavage des mains. Pour répondre au diagnostic du TOC, ces symptômes doivent être suffisamment sévères pour interférer avec le fonctionnement quotidien de la personne et causer une détresse significative.

Le TOC affecte environ 1 à 2 % de la population mondiale et peut survenir à tout âge, bien que les symptômes aient tendance à s'aggraver à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. Le traitement du TOC implique souvent une combinaison de thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et de médicaments, tels que des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS).

Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont une classe de médicaments antidépresseurs qui fonctionnent en augmentant les niveaux de sérotonine dans le cerveau. Ils le font en empêchant la sérotonine, un neurotransmetteur qui régule l'humeur, d'être réabsorbée par les cellules nerveuses (neurones) du cerveau. Cela permet à la sérotonine de rester plus longtemps dans l'espace entre les neurones, améliorant ainsi la transmission des signaux chimiques et augmentant l'humeur.

Les ISRS sont largement utilisés pour traiter une variété de troubles de l'humeur, notamment la dépression, les troubles anxieux, les troubles obsessionnels compulsifs et les troubles de stress post-traumatique. Ils sont généralement considérés comme sûrs et bien tolérés, avec moins d'effets secondaires que d'autres types d'antidépresseurs. Cependant, ils peuvent provoquer des effets secondaires tels que nausées, sécheresse de la bouche, insomnie, somnolence, étourdissements, maux de tête, prise de poids et diminution de la libido. Dans de rares cas, les ISRS peuvent également augmenter le risque de pensées suicidaires chez certaines personnes, en particulier au début du traitement ou lors d'un changement de dose.

Le DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition) est un manuel publié par l'Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association). Il fournit des critères diagnostiques pour les troubles mentaux et comportementaux reconnus par la profession médicale. Les catégories diagnostiques du DSM-IV sont basées sur des recherches cliniques, psychologiques, neuroscientifiques et épidémiologiques. Il est largement utilisé en psychiatrie, en psychologie et dans d'autres domaines de la santé mentale pour aider à diagnostiquer et à traiter les troubles mentaux.

Le DSM-IV est organisé en plusieurs chapitres qui regroupent des troubles similaires sur le plan clinique ou théorique. Chaque trouble est décrit par une série de critères diagnostiques spécifiques, comprenant des symptômes et des caractéristiques cliniques nécessaires pour poser un diagnostic. Le manuel comprend également des informations sur les troubles associés, les facteurs de risque, le cours évolutif, la prévalence, la famille et l'histoire culturelle, ainsi que des directives pour le diagnostic différentiel.

Le DSM-IV a été publié en 1994 et a été largement utilisé pendant plus d'une décennie avant d'être remplacé par le DSM-5 en 2013. Il est important de noter que les classifications et les critères diagnostiques du DSM sont révisés régulièrement pour refléter les avancées dans la recherche sur les troubles mentaux.

La fluvoxamine est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Il agit en augmentant les niveaux de sérotonine, un neurotransmetteur dans le cerveau qui aide à maintenir l'équilibre mental.

La fluvoxamine est principalement prescrite pour traiter le trouble dépressif majeur (TDM), le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et le trouble de panique. Dans certains cas, il peut également être utilisé hors AMM pour traiter d'autres troubles anxieux ou troubles de l'humeur.

Comme avec tous les médicaments, la fluvoxamine peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des maux de tête, des étourdissements, de la somnolence, de la sécheresse buccale et des troubles du sommeil. Dans de rares cas, il peut également provoquer des pensées suicidaires, en particulier chez les jeunes adultes, les adolescents et les enfants atteints de troubles mentaux.

Il est important de suivre attentivement les instructions de dosage du médecin lors de la prise de fluvoxamine et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant à un professionnel de la santé dès que possible.

Les troubles phobiques sont un type de trouble anxieux dans lequel une personne éprouve une peur intense et irrationnelle d'être exposée à certaines situations, objets ou activités. Ces peurs exagérées ne sont pas proportionnées au réel danger présenté par l'objet ou la situation et peuvent entraîner des comportements d'évitement qui affectent négativement la vie quotidienne de la personne.

Les exemples courants de troubles phobiques incluent la agoraphobie (peur des endroits publics ou des espaces ouverts), claustrophobie (peur des espaces confinés), acrophobie (peur des hauteurs), et l'ophiophobie (peur des serpents). Les troubles phobiques peuvent se développer à tout âge et sont souvent traités avec une combinaison de thérapie cognitivo-comportementale et de médicaments.

Les Psychiatric Status Rating Scales (Échelles d'évaluation du statut psychiatrique) sont des outils structurés et standardisés utilisés par les professionnels de la santé mentale pour évaluer et mesurer la gravité, la sévérité et l'évolution des symptômes psychopathologiques chez les patients atteints de troubles mentaux. Ces échelles fournissent une estimation fiable et valide de la condition clinique actuelle du patient, ce qui permet une communication plus efficace entre les prestataires de soins de santé mentale et facilite la prise de décision concernant le plan de traitement, l'adaptation des interventions thérapeutiques et le suivi des progrès.

Les échelles d'évaluation du statut psychiatrique peuvent couvrir une variété de domaines cliniques, tels que les symptômes psychotiques, affectifs, cognitifs, comportementaux et fonctionnels. Les exemples courants incluent la Global Assessment of Functioning (GAF) Scale, la Brief Psychiatric Rating Scale (BPRS), la Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) pour la schizophrénie, le Hamilton Anxiety Rating Scale (HAM-A) et le Montgomery-Åsberg Depression Rating Scale (MADRS). Chaque échelle a ses propres critères d'évaluation et scores normalisés, ce qui permet de comparer les résultats au fil du temps et entre différents groupes de patients.

L'utilisation régulière des Psychiatric Status Rating Scales dans la pratique clinique peut améliorer la qualité des soins en assurant une évaluation systématique et complète des patients, en facilitant la documentation des progrès thérapeutiques et en soutenant la recherche de l'efficacité des interventions.

La thérapie cognitive (TCC) est une forme de psychothérapie basée sur la compréhension et la modification des processus cognitifs, c'est-à-dire les pensées, les croyances et les attitudes d'un individu. Elle a été développée dans les années 1960 par le psychiatre Aaron T. Beck. La TCC est fondée sur l'hypothèse selon laquelle les émotions et les comportements négatifs sont souvent le résultat de pensées erronées ou dysfonctionnelles.

Le but de la thérapie cognitive est d'identifier ces schémas de pensée négative, de les mettre en question et de les remplacer par des pensées plus réalistes et adaptatives. Cela se fait généralement au cours d'une série de séances hebdomadaires avec un thérapeute formé à cette approche.

La TCC est utilisée pour traiter une large gamme de problèmes de santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, les troubles de stress post-traumatique, les troubles de l'alimentation et les dépendances. Elle peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres formes de traitement, telles que les médicaments.

La TCC repose sur une relation thérapeutique collaborative entre le thérapeute et le client. Le thérapeute aide le client à comprendre ses schémas de pensée négatifs et à développer des stratégies pour les modifier. Ces stratégies peuvent inclure la restructuration cognitive, qui consiste à identifier et à contester les pensées automatiques et les croyances dysfonctionnelles ; l'exposition, qui consiste à affronter progressivement les situations ou les stimuli qui déclenchent la peur ou l'anxiété ; et les compétences d'adaptation, qui consistent à apprendre des techniques pour gérer le stress et les émotions difficiles.

La TCC est un traitement fondé sur des preuves, ce qui signifie qu'il a été démontré qu'il est efficace dans de nombreuses études scientifiques. Elle est considérée comme une forme de psychothérapie brève, ce qui signifie qu'elle peut être complétée en un nombre relativement faible de séances. Cependant, la durée du traitement dépend des besoins et des objectifs spécifiques du client.

L'adaptation sociale est la capacité d'une personne à s'ajuster et à fonctionner de manière efficace dans les rôles sociaux et les situations attendues dans sa culture et son environnement. Elle implique l'acquisition et l'utilisation appropriées d'un ensemble de compétences sociales, y compris la communication verbale et non verbale, la conscience émotionnelle, la compréhension des normes sociales et le développement de relations interpersonnelles positives.

L'adaptation sociale peut être affectée par divers facteurs, tels que les handicaps physiques ou mentaux, les problèmes de santé mentale, les expériences traumatiques, les facteurs environnementaux et les facteurs liés au développement. Les professionnels de la santé mentale peuvent travailler avec des individus pour évaluer leur niveau d'adaptation sociale et fournir des interventions visant à améliorer leurs compétences sociales et leur fonctionnement global dans la société.

Il est important de noter que l'adaptation sociale ne signifie pas nécessairement s'adapter aux situations malsaines ou toxiques, mais plutôt avoir la capacité de reconnaître ces situations et de prendre des mesures pour les éviter ou y faire face de manière appropriée.

La fluoxétine est un médicament appartenant à la classe des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS). Il est principalement utilisé pour traiter la dépression, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC), le trouble de panique, l'anxiété sociale, et les épisodes de dysphorie prémenstruelle. Dans certains cas, il peut également être prescrit pour contrôler l'appétit dans le cadre du traitement de l'obésité.

La fluoxétine fonctionne en augmentant les niveaux de sérotonine, un neurotransmetteur dans le cerveau qui régule l'humeur, l'appétit, le sommeil, et d'autres fonctions. En bloquant la recapture de la sérotonine, la fluoxétine permet à cette substance chimique de rester plus longtemps dans l'espace entre les neurones, améliorant ainsi la transmission des signaux nerveux.

Les effets secondaires courants de la fluoxétine peuvent inclure des nausées, des maux de tête, des étourdissements, de la somnolence, de la nervosité, de la difficulté à dormir, des rêves anormaux, une diminution de la libido, et des troubles de l'éjaculation. Dans de rares cas, il peut également provoquer des pensées suicidaires, en particulier chez les jeunes adultes, les personnes âgées, et celles qui ont des antécédents de maladie mentale.

L'indice de gravité est un terme généralement utilisé pour évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé chez un patient. Il est souvent calculé en combinant plusieurs mesures ou scores liés à la santé du patient, telles que des signes vitaux, des taux de laboratoire et des échelles d'évaluation clinique.

Par exemple, dans le contexte des soins intensifs, l'indice de gravité le plus couramment utilisé est le score de gravité de la maladie (SOFA), qui évalue six organes vitaux et attribue un score à chacun d'eux en fonction de la défaillance de l'organe. Le score total est ensuite calculé en additionnant les scores des six organes, ce qui donne une estimation objective de la gravité de la maladie du patient.

Dans le contexte des accidents vasculaires cérébraux (AVC), l'indice de gravité le plus couramment utilisé est l'échelle de gravité de l'AVC (NGS), qui évalue le niveau de conscience, la force musculaire et les réflexes du patient. Le score total est calculé en additionnant les scores de chaque catégorie, ce qui donne une estimation de la sévérité de l'AVC.

Dans l'ensemble, l'indice de gravité est un outil important pour aider les professionnels de la santé à évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé, à prendre des décisions cliniques éclairées et à prévoir les résultats pour les patients.

Le « Concept du Soi » en psychologie et psychiatrie fait référence à la compréhension globale, les croyances et l'image qu'une personne a d'elle-même. Il s'agit essentiellement de la perception qu'un individu a de son identité, y compris ses pensées, sentiments, croyances, expériences et apparence physique. Le Concept du Soi se forme et évolue tout au long de la vie d'une personne, en grande partie influencé par les interactions sociales, les expériences personnelles et la façon dont l'individu pense qu'il est perçu par les autres. Les problèmes liés au Concept du Soi peuvent contribuer à divers troubles mentaux, tels que les troubles de l'humeur, l'anxiété et les troubles de la personnalité.

La morbidité associée, également connue sous le nom de comorbidité, fait référence à la présence d'une ou plusieurs conditions médicales supplémentaires chez un patient souffrant d'une maladie primaire. Ces conditions peuvent être liées ou non à la maladie principale et peuvent affecter l'évolution de la maladie, le traitement et les résultats pour le patient. Elles peuvent également entraîner une aggravation des symptômes, une augmentation du risque de complications et une diminution de la qualité de vie. Les exemples courants de comorbidités incluent l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et la dépression. Il est important de prendre en compte ces conditions lors du diagnostic et du traitement d'une maladie pour assurer les meilleurs résultats possibles pour le patient.

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