Catatonie
Schizophrénie Catatonique
Lorazépam
Electroconvulsive Therapy
Hystérie
Maladie De Parkinson Post-Encéphalitique
Négativisme
Encyclopedias as Topic
Schizophrénie
Schizophrénie Paranoïde
Délires
Hallucinations
Troubles Paranoïaques
La catatonie est un état caractérisé par des perturbations extrêmes du mouvement, de l'expression faciale et du comportement. Elle peut inclure une rigidité musculaire prolongée, une incapacité à répondre de manière appropriée aux stimuli, des postures bizarres et maintenues, des mouvements stéréotypés ou répétitifs, une mutisme ou un discours incohérent. La catatonie peut être observée dans certaines conditions médicales et neurologiques, mais elle est particulièrement associée à certains troubles mentaux, en particulier la schizophrénie et le trouble bipolaire. Elle nécessite une évaluation et un traitement médicaux urgents pour prévenir les complications potentiellement dangereuses telles que la déshydratation, l'inhalation de nourriture ou de salive, et les lésions tissulaires.
La schizophrénie catatonique est un sous-type rare mais grave de schizophrénie, une maladie mentale grave. Elle se caractérise principalement par des anomalies graves du mouvement et de la rigidité, bien que des symptômes psychotiques puissent également être présents. Les personnes atteintes de cette forme peuvent rester dans une position rigide pendant de longues périodes (catatonie), ou présenter un excès de mouvements involontaires et stéréotypés. Elles peuvent aussi avoir des épisodes d'agitation extrême, suivis d'immobilité complète. D'autres symptômes peuvent inclure l'écholalie (répétition automatique des mots ou phrases entendues), l'automatisme mental (réponses inappropriées aux stimuli) et la négativisme (résistance passive à l'ordre ou au mouvement). Ce sous-type de schizophrénie nécessite une prise en charge médicale immédiate et intensive, souvent en milieu hospitalier.
Le lorazépam est un médicament appartenant à la classe des benzodiazépines, qui sont des dépresseurs du système nerveux central. Il agit en augmentant l'activité d'un neurotransmetteur inhibiteur appelé GABA (acide gamma-aminobutyrique), ce qui a pour effet de diminuer l'excitation neuronale et produire une variété d'effets thérapeutiques, tels que des propriétés anxiolytiques, sédatives, hypnotiques, anticonvulsivantes et myorelaxantes.
Le lorazépam est principalement utilisé pour traiter l'anxiété, les troubles du sommeil, les crises d'épilepsie et dans le cadre de procédures médicales pour ses effets sédatifs et anxiolytiques. Il est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable.
Comme avec tous les médicaments de la classe des benzodiazépines, il existe un risque de dépendance physique et psychologique associé à l'utilisation prolongée du lorazépam. Par conséquent, son utilisation doit être limitée dans le temps et sous surveillance médicale stricte pour prévenir les effets indésirables et le potentiel de dépendance.
La thérapie par électroconvulsivothérapie (ECT), également anciennement appelée thérapie par électrochocs, est une procédure médicale au cours de laquelle des courants électriques sont brièvement appliqués aux lobes temporaux du cerveau, généralement via des électrodes attachées à la tête, pour provoquer une convulsion contrôlée.
L'ECT est utilisée principalement pour traiter certaines affections mentales sévères. Il s'agit notamment de la dépression sévère ou grave qui ne répond pas aux autres traitements, des épisodes maniaques sévères associés au trouble bipolaire, et dans certains cas, de la schizophrénie sévère.
Bien que l'ECT soit souvent décrite négativement dans les médias et la culture populaire, il s'agit d'un traitement sûr et efficace lorsqu'il est correctement administré par des professionnels de la santé mentale qualifiés. Cependant, comme toute procédure médicale, l'ECT comporte certains risques et effets secondaires potentiels, tels que pertes de mémoire à court terme et confusion à court terme. Ces effets sont généralement transitoires, mais dans de rares cas, ils peuvent persister.
L'hystérie est un terme qui a été largement utilisé dans le domaine médical, en particulier dans la psychiatrie et la psychologie, depuis l'Antiquité. Cependant, il convient de noter que ce terme n'est plus utilisé dans les classifications modernes des troubles mentaux telles que le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) ou la Classification internationale des maladies (CIM-10).
Historiquement, l'hystérie était décrite comme un trouble mental caractérisé par une variété de symptômes tels que des crises nerveuses, des spasmes musculaires, des changements d'humeur soudains, des hallucinations et des idées délirantes. Ces symptômes étaient souvent attribués à des causes physiologiques telles qu'un déséquilibre hormonal ou une affection du système nerveux.
Au fil du temps, cependant, les professionnels de la santé mentale ont commencé à remettre en question l'utilité et la validité du diagnostic d '«hystérie». Les critiques ont souligné que le terme était trop vague et mal défini, ce qui rendait difficile pour les professionnels de la santé mentale de poser un diagnostic précis et cohérent. De plus, il a été noté que l'utilisation du terme "hystérie" était souvent associée à des stéréotypes sexistes et patriarcaux, car il était souvent utilisé pour décrire les femmes qui présentaient des symptômes émotionnels ou comportementaux inhabituels.
En conséquence, le terme "hystérie" a été largement abandonné dans la littérature médicale et psychiatrique contemporaines. Au lieu de cela, les professionnels de la santé mentale utilisent plutôt des termes plus spécifiques pour décrire les symptômes et les conditions qui étaient autrefois regroupés sous le diagnostic d '«hystérie». Par exemple, certains des symptômes qui étaient auparavant associés à l'hystérie peuvent maintenant être diagnostiqués comme un trouble de stress post-traumatique, un trouble anxieux ou un trouble de la personnalité borderline.
La maladie de Parkinson post-encéphalitique (MPPE) est un type rare de la maladie de Parkinson qui se développe comme une complication d'une encéphalite, une inflammation du cerveau. Contrairement à la forme plus courante de la maladie de Parkinson, qui est liée au vieillissement et à des facteurs génétiques, la MPPE est considérée comme étant causée par une infection préexistante, généralement une encéphalite virale.
Les symptômes de la MPPE peuvent inclure une rigidité musculaire, des tremblements au repos, une lenteur des mouvements (bradykinésie), une démarche instable et une perte d'équilibre, ainsi que des changements dans l'humeur, la pensée et le comportement. Ces symptômes sont similaires à ceux de la maladie de Parkinson typique, mais ils peuvent apparaître plus soudainement et progresser plus rapidement.
La MPPE a été décrite pour la première fois dans les années 1920, après une épidémie mondiale d'encéphalite virale qui a touché des centaines de milliers de personnes. Bien que l'on ne sache pas exactement comment l'infection déclenche la MPPE, il est possible que le virus endommage certaines zones du cerveau qui sont importantes pour le contrôle des mouvements et des fonctions cognitives.
Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la MPPE, mais les symptômes peuvent être gérés avec une combinaison de médicaments et de thérapies de réadaptation. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut également être bénéfique pour soulager les symptômes.
Le négativisme, dans le contexte médical et particulièrement en neurologie et psychiatrie, se réfère à un trouble caractérisé par une opposition systématique ou une résistance active aux demandes ou suggestions de quelqu'un d'autre. Cela peut se manifester par des mouvements corporels, des expressions faciales ou des réponses verbales qui sont inversées ou opposées à ce qui est attendu ou demandé.
Le négativisme peut être un symptôme de divers troubles neurologiques ou psychiatriques, tels que la paralysie supranucléaire progressive (PSP), l'encéphalopathie anoxique ischémique, la schizophrénie, les troubles de la personnalité antisociale et autres. Il est important de noter que le négativisme doit être distingué d'un comportement simplement désobéissant ou opposant, qui peut être observé dans des contextes non cliniques.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La schizophrénie est un trouble mental sérieux et complexe qui affecte la pensée, les émotions, et le comportement d'une personne. Elle se caractérise généralement par une perte de contact avec la réalité (psychose), des hallucinations (généralement auditives), des délires, un discours désorganisé, des mouvements anormaux, un manque d'expression émotionnelle, et une diminution de la motivation et du plaisir (anhédonie). Ces symptômes peuvent entraver la capacité d'une personne à fonctionner normalement dans la société, au travail, ou dans les relations interpersonnelles.
La schizophrénie est souvent considérée comme un spectre de troubles, ce qui signifie que les symptômes et leur gravité peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Elle touche environ 1% de la population mondiale et peut affecter les hommes et les femmes de tous âges, bien qu'elle se manifeste le plus souvent à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
Bien que la cause exacte de la schizophrénie ne soit pas entièrement comprise, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux et neurologiques. Il n'existe actuellement aucun test diagnostique unique pour la schizophrénie, et le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, des antécédents familiaux, des observations comportementales et des tests de laboratoire pour exclure d'autres causes potentielles.
Le traitement de la schizophrénie implique généralement une combinaison de médicaments antipsychotiques, de thérapies psychosociales et de soutien par les pairs ou familial. Avec un traitement et des soins appropriés, de nombreuses personnes atteintes de schizophrénie peuvent mener une vie productive et épanouissante.
La douleur abdominale est une sensation désagréable ou douloureuse ressentie dans la cavité abdominale. Elle peut résulter de diverses causes, allant des affections bénignes telles que les crampes menstruelles, l'indigestion et la constipation, aux affections plus graves telles que les infections, les maladies inflammatoires de l'intestin, les calculs rénaux ou la appendicite.
La douleur abdominale peut être localisée dans une région spécifique de l'abdomen ou diffuse sur une grande surface. Elle peut également varier en intensité, allant d'une gêne légère à une douleur aiguë et sévère. Les caractéristiques de la douleur, telles que sa durée, son intensité, sa localisation et les facteurs qui l'aggravent ou l'atténuent, peuvent fournir des indices importants sur sa cause sous-jacente.
Les professionnels de la santé évalueront généralement la douleur abdominale en tenant compte de ces caractéristiques, ainsi que d'autres symptômes associés, tels que nausées, vomissements, diarrhée, constipation, perte d'appétit et fièvre. Des examens complémentaires, tels qu'une analyse de sang, une analyse d'urine ou des images médicales, peuvent être nécessaires pour déterminer la cause exacte de la douleur abdominale et élaborer un plan de traitement approprié.
La schizophrénie paranoïde est un type spécifique de schizophrénie, un trouble mental grave et complexe. Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), qui est largement utilisé pour diagnostiquer les troubles mentaux, la schizophrénie paranoïde se caractérise principalement par l'existence d'au moins deux symptômes d'un groupe de symptômes positifs pendant une période continue d'une semaine ou plus. Ces symptômes positifs incluent des délires, souvent avec un thème paranoïaque ou grandiose, et des hallucinations, en particulier auditives, qui peuvent avoir un contenu thématique paranoïde. Les préoccupations paranoïdes et les soupçons sont typiquement systématisés et persistants.
Contrairement à d'autres types de schizophrénie, la schizophrénie paranoïde ne présente généralement pas de symptômes négatifs importants, tels qu'un retrait social ou émotionnel, une diminution de l'expression faciale, un manque d'intérêt ou de plaisir pour la vie, ou une baisse des capacités cognitives. Cependant, certains patients atteints de schizophrénie paranoïde peuvent présenter des symptômes négatifs moins sévères.
Il est important de noter que les personnes atteintes de schizophrénie paranoïde ne présentent pas nécessairement un comportement agressif ou violent, contrairement à certaines perceptions courantes. Cependant, la présence de délires paranoïdes peut conduire à des réactions défensives ou hostiles si elles se sentent menacées.
Le traitement de la schizophrénie paranoïde implique généralement une combinaison de médicaments antipsychotiques et de thérapies psychosociales, telles que la réadaptation sociale, l'éducation des patients et des familles, et le counseling individuel ou de groupe. Les résultats du traitement peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, mais un traitement précoce et continu est généralement associé à de meilleurs résultats.
La psychologie des schizophrènes se réfère à l'étude et la compréhension du fonctionnement cognitif, affectif et comportemental des personnes atteintes de schizophrénie. Il s'agit d'une branche spécialisée de la psychopathologie qui vise à décrire, expliquer et prédire les symptômes et le cours de la schizophrénie.
Les schizophrènes présentent souvent des difficultés dans divers domaines cognitifs, tels que la mémoire, l'attention, la perception, le langage et les fonctions exécutives. Ils peuvent également présenter des anomalies dans la régulation émotionnelle et la théorie de l'esprit, ce qui peut entraver leur capacité à comprendre et à répondre aux situations sociales.
Les psychologues des schizophrènes utilisent une variété de méthodes d'évaluation et d'intervention pour comprendre et traiter la schizophrénie. Ces méthodes peuvent inclure des entretiens cliniques, des tests neuropsychologiques, des observations comportementales, des évaluations fonctionnelles et des interventions thérapeutiques telles que la thérapie cognitivo-comportementale et la réhabilitation sociale.
L'objectif global de la psychologie des schizophrènes est d'améliorer la compréhension de la schizophrénie, de développer des interventions efficaces pour améliorer les symptômes et le fonctionnement des personnes atteintes de schizophrénie, et d'améliorer la qualité de vie des personnes touchées par cette maladie complexe et débilitante.
Un délire est un trouble mental caractérisé par des idées ou des croyances bizarres, fixes et erronées qui sont souvent accompagnées d'une confusion, d'un manque de clarté de la pensée, d'un discours incohérent et d'un comportement désorganisé. Les délires peuvent être le résultat d'une maladie médicale sous-jacente, telle qu'une infection, une lésion cérébrale ou un trouble psychiatrique, comme la schizophrénie. Ils peuvent également être causés par l'utilisation de certains médicaments ou drogues. Les délires peuvent être dangereux pour le patient ou pour les autres, car ils peuvent conduire à des comportements impulsifs et imprévisibles. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une thérapie ou une combinaison des deux.
Les hallucinations sont des perceptions sensorielles sans objet externe ou stimulus correspondant. Elles peuvent affecter n'importe lequel des cinq sens, mais les plus courantes concernent la vue et l'ouïe. Par exemple, une personne peut voir des choses qui ne sont pas là (hallucinations visuelles) ou entendre des voix quand personne ne parle (hallucinations auditives). Les hallucinations peuvent être un symptôme de diverses conditions médicales et psychiatriques, y compris les troubles psychotiques tels que la schizophrénie, le trouble bipolaire, la démence ou certaines maladies neurologiques. Elles peuvent également survenir en raison d'un traumatisme crânien, d'une privation sensorielle prolongée, d'un manque de sommeil, de l'utilisation de certains médicaments ou drogues, ou même d'une expérience extrêmement stressante. Il est important de noter que les hallucinations sont subjectives et ne concernent que la personne qui les vit; elles ne sont pas visibles ni audibles par les autres.
Les troubles paranoïaques, selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), sont un groupe de conditions caractérisées par la présence d'une pensée paranoïaque persistante sans cause apparente. La pensée paranoïaque est une idée délirante qui implique que d'autres personnes ont des intentions hostiles ou malveillantes.
Il existe plusieurs types de troubles paranoïaques, y compris le trouble delirant, le trouble de la persécution (paranoïa), le trouble schizophréniforme et le trouble schizoïde. Le trouble delirant est caractérisé par l'apparition soudaine d'un délire sans aucune autre symptomatologie psychotique. Les délires sont souvent bizarres et farfelus. Dans le trouble de la persécution (paranoïa), les individus ont une préoccupation délirante d'être persécutés.
Les autres symptômes courants des troubles paranoïaques peuvent inclure la suspicion excessive, l'hostilité, la colère, la méfiance, l'isolement social et des réponses inhabituelles ou inappropriées aux situations interpersonnelles. Les personnes atteintes de ces troubles ont souvent du mal à établir des relations étroites en raison de leur méfiance et de leur hostilité envers les autres.
Les causes sous-jacentes des troubles paranoïaques ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'une combinaison de facteurs biologiques, psychologiques et environnementaux. Le traitement peut inclure une thérapie psychologique, des médicaments antipsychotiques ou une combinaison des deux.
Catatonie
Hébéphréno-catatonie
Sémiologie psychiatrique
Ghost Rider (film)
Schizophrénie hébéphrénique
Psychose
Emil Kraepelin
Le Maître du jeu (comics)
Schizophrénie
1453 en santé et médecine
Stéréotypie (psychiatrie)
Goodbye Cruel World (chanson de Pink Floyd)
Trouble bipolaire
Zardoz
Robert Langdon
Sleep (film, 2020)
Syndrome de résignation
Twin Peaks: The Return
Histoire de Lisey (roman)
Héboïdophrénie
Liste des épisodes des Envahisseurs
Louis Wu
La Waldau
Encéphalite limbique
Grog (film)
Paul Guiraud (psychiatre)
Zolpidem
Sanitarium (film)
Henri Baruk
Brain on Fire (film)
Catatonie - Wikipedia
catatonie | MPCEM
Catatonie II (2009) - Théâtre CRI
Qu'est-ce que la Catatonie ? - Esprit & Santé
La catatonie du Far West - TA GUEULE BORIS
Dordogne: un retraité évacué par hélicoptère après avoir été écrasé par son tracteur
L'hommage à la catatonie » de Rishi Sunak - Mobilisé.es pour l'économie
La catatonie : ses causes diverses et ses symptômes psychotiques - Le derniere heure
RISPERIDONE TEVA SANTE - Rispéridone - Posologie
Combien y a-t-il de types de chats ? - Ça m'intéresse
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Cours du ruisseau - La Revue des Ressources
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LIMINAIRE
La dengue : une maladie que je n'ai pas (encore) attrapée
"Possessor", de Brandon Cronenberg, Grand Prix du festival de...
Troubles Archives - Psychothérapeute - Psychanalyste - Rodolphe Oppenheimer
The Empty Man par Vanessa Del Rey, Cullen Bunn - digiBiDi
Urgences à l'hôpital: un mauvais procès
Cercle d'excellence sur les Psychoses: La clozapine dès le premier épisode psychotique ?
Cercle d'excellence sur les Psychoses: Nouvelles
Actualité SFFQ 2002 | Revue Solaris
Fascination
Du coup, la schizophrénie, c'est quoi ? 🤔 - Ma famille de ouf
Schizophrénie paranoïde - Wikipédia
Index du Wiki (1-50) - Wikis Pathfinder-fr
Utilisateur:Claudelle Houde Labrecque/Brouillons/Trouble du spectre de l'autisme - Wikimedica
Le vélotaf dans le cinéma - Page 4 - Velo Vert : le VTT, tout le VTT
Catatonique4
- Dans le passé, le terme dépression catatonique a été utilisé pour décrire un cas grave de dépression entraînant des symptômes de catatonie, mais la recherche actuelle a défini la catatonie comme son propre problème de santé. (lifeands.com)
- Bien que la majorité des cas soient psychiatriques, il existe d'autres conditions médicales qui peuvent entraîner une catatonie ou un état catatonique. (lifeands.com)
- La catatonie, également connue sous le nom de syndrome catatonique, a longtemps été associée à la schizophrénie. (lederniereheure.com)
- La catatonie, également connue sous le nom de syndrome catatonique, se réfère notamment à un état psychomoteur. (caminteresse.fr)
Psychiatriques2
- La catatonie est provoquée par des troubles psychiatriques, des problèmes neurologiques ou encore des maladies systémiques, qui altèrent le fonctionnement d'un ou plusieurs systèmes de l'organisme. (lederniereheure.com)
- Dans environ 66 % des cas, selon les docteurs en psychiatrie Ali Amad, Thomas Fovet, Maéva Magnat et le professeur Pierre Thomas, exerçant au Centre hospitalier universitaire de Lille, la catatonie a des causes psychiatriques. (lederniereheure.com)
Individu2
- Aujourd'hui, près de 150 ans après sa première description, les scientifiques ne parviennent toujours pas à expliquer pourquoi la catatonie survient chez un individu. (lederniereheure.com)
- Par exemple, les états de catatonie dans lesquels un individu ne répond pas aux stimuli communicatifs. (etrevert.net)
Troubles2
- La catatonie, qui est actuellement classée comme un syndrome de certains troubles de l'humeur, médicaux, neurologiques et psychotiques, se manifeste souvent par un retrait associé à des mouvements et des comportements inhabituels. (lifeands.com)
- La catatonie est un syndrome d'autres troubles de l'humeur sous-jacents, mais elle peut également être causée par d'autres facteurs, notamment d'autres infections ou la prise de drogues prescrites ou illégales. (lifeands.com)
Syndrome3
- Catatonie Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) La catatonie est un syndrome psychiatrique s'exprimant à la fois dans la sphère psychique et motrice. (wikipedia.org)
- Des réactions à des agents neuroleptiques, ainsi que le syndrome malin des neuroleptiques, auraient amené à une confusion avec la catatonie maligne. (wikipedia.org)
- Parce que la catatonie est souvent un syndrome d'autres problèmes de santé mentale, il est possible qu'une personne vivant avec un problème tel que le trouble bipolaire, la schizophrénie ou un trouble dépressif majeur puisse ressentir une aggravation de ses symptômes avant un épisode de catatonie. (lifeands.com)
Tombe1
- Quand sa mère (Sandra Hüller, la géniale interprète de Toni Erdmann ) tombe en catatonie après un énième épisode de terreur nocturne, Mona mène l'enquête sur cet établissement familial où les suicides se succèdent. (telerama.fr)
Causes2
- Ces informations sur la catatonie permettent de mieux comprendre cette condition complexe et les différentes causes qui peuvent la provoquer. (lederniereheure.com)
- Intéressant, j'aimerais en savoir plus sur les causes de la catatonie. (lederniereheure.com)
Maligne1
- Des réactions à des agents neuroleptiques, ainsi que le syndrome malin des neuroleptiques, auraient amené à une confusion avec la catatonie maligne. (wikipedia.org)
Plonger2
- En effet, les réactions chimiques inhérentes à ce sentiment sont capables de plonger les gens dans un état de catatonie profonde. (bdzoom.com)
- ces derniers ont souvent un effet pervers sur mon comportement : ainsi trop d'enthousiasme aurait tendance à me plonger en catatonie (c'est comme cela que j'ai raté l'incontournable et indispensable film titaniquesque de James Cameron) et l'éreintement massif entraînerait chez moi un accès de curiosité malsaine avec poussée aigue de boutons à purulence contradictoire. (juliettecharpentier.fr)
N'est1
- Les observations de médecins et certaines études amènent désormais à considérer que la catatonie n'est pas particulièrement liée à la schizophrénie mais davantage aux troubles de l'humeur et aux états d'intoxication, contrairement à ce que pensait Kraepelin. (wikipedia.org)
Clinique1
- Ce dernier s'éloignera des aliénistes - dont la conception de la folie est liée aux catégories de l'idiotie, de l'imbécillité et de la dégénérescence - pour introduire un tableau clinique qui met l'accent sur la catatonie et la démence précoce avec conservation des facultés mentales. (bvsalud.org)
Forme1
- Il s'apparente également à la catatonie, une forme de schizophrénie alternant passivité et excitation soudaine. (medscape.com)
Code1
- Catatonie Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) La catatonie est un syndrome psychiatrique s'exprimant à la fois dans la sphère psychique et motrice. (wikipedia.org)
Temps1
- N'hésitez pas à faire apparaître Nyarlathotep (les joueurs ont des années pour s'en remettre avant le second scénario), mais transformez les éventuels fous en fous furieux (vous aurez le temps de les faire tomber en catatonie quand la pression sera retombée). (tentacules.net)