Classe de cytokines pro-inflammatoires qui ont la capacité d'attirer et activer leucocytaire. Ils peuvent être divisées en au moins trois branches : C structurelles ; (chémokines C) ; CC ; (chémokines Cc) ; et CXC ; (chémokines Cxc) ; selon les variations de la cystéine partagé un motif.
Groupe de chémokines avec apparié cysteines séparés par un autre acide aminé. CXC chémokines sont chemoattractants pour neutrophiles mais pas monocytes.
Groupe de chémokines avec adjacent cysteines qui sont chemoattractants (lymphocytes, monocytes, éosinophiles, basophiles circulants mais pas des granulocytes neutrophiles.
Glycoprotéines de surface qui se lient à chémokines et ainsi apaiser la migration des molécules pro-inflammatoires. Les récepteurs sont membres de la famille des récepteurs couplés aux protéines G seven-transmembrane. Comme les chémokines eux-mêmes, les récepteurs peut être divisé en au moins trois branches structurelles : RC, CCR et CXCR, selon les variations de la cystéine partagé un motif.
Un CC-type Chemokine c'est un Chemoattractant pour monocytes et éosinophiles ; lymphocytes. C'est un puissant et sélectif chemotaxin Eosinophil c'est stocké dans et libéré de lymphocytes T activés et PLAQUETTES. Chemokine CCL5 est spécifique aux récepteurs CCR1 ; CCR3 récepteurs ; et récepteur CCR5. L'acronyme RANTES d ’ expiration fait référence Marchés sur Activation, Normal T et Secreted durant.
Un CXC Chemokine c'est déclenchée par GAMMA-INTERFERON est chimiotactisme et de monocytes et lymphocytes T, c'est pour le récepteur CXCR3 spécificité.
Un INTEFERON-inducible CXC Chemokine spécifiques pour le récepteur de CXCR3
Groupe de chémokines sans adjacent cysteines qui sont chemoattractants (lymphocytes seulement.
Heparin-binding des protéines qui présentent un certain nombre de dermatites inflammatoires et immunorégulatrices. À l'origine des produits de sécrétion identifiés comme des macrophages, ces chémokines sont produits par un grand nombre de types cellulaires notamment neutrophiles ; fibroblastes ; et des cellules épithéliales. Ils doivent jouer un rôle significatif dans l ’ appareil respiratoire défenses.
Un Chemokine c'est un Chemoattractant pour monocytes et peut également provoquer une activation cellulaire de fonctions spécifiques liées à hôte défense. Il est produit par des leucocytes et des deux lymphoblastoïdes lignée lymphocytaire et par les fibroblastes pendant lésions tissulaires. Il a spécificité pour CCR2 récepteurs.
Un CC Chemokine avec spécificité pour récepteur CCR5. C'est un Chemoattractant pour des cellules NK ; monocytes et diverses autres cellules immunitaires. Cette Chemokine est codée par plusieurs gènes.
Un CXC Chemokine avec spécificité pour CXCR2 facteur de croissance a des activités et est impliqué comme un facteur dans plusieurs types oncogènes tumeur.
Un CC Chemokine avec spécificité pour CCR1 récepteurs et c'est un récepteur CCR5 Chemoattractant pour des cellules NK ; monocytes ; et diverses autres cellules immunitaires. Cette Chemokine est codée par plusieurs gènes.
Groupe de chémokines avec les deux premiers cysteines séparées par trois acides aminés. CX3C chémokines sont chimiotactisme pour naturelles, monocytes et activé cellules-T.
Un CXC Chemokine c'est déclenchée par GAMMA-INTERFERON. C'est un facteur de chimiotactisme lymphocytes T activés et a spécificité pour le récepteur de CXCR3
Protéines Non-antibody sécrétés par les cellules inflammatoires et des leucocytes non-leukocytic, qui agissent en Molécule-1 médiateurs. Elles diffèrent des hormones dans ce classique ils sont produits par un certain nombre de types de cellules de peau ou plutôt que par des glandes. Ils généralement agir localement dans un paracrine et autocrine plutôt que de manière endocrinien.
Un des monocytes Chemoattractant protéine qui possède une activité vers une large variété de types de cellules immunitaires. Chemokine CCL7 a spécificité pour CCR1 Receptors, CCR2 récepteurs ; et récepteur CCR5.
Chémokines qui sont chemoattractants pour monocytes. Ces CC chémokines (cysteines adjacent) n ° au moins trois incluant Chimiokine Ccl2.
Un CXC Chemokine c'est synthétisé par activé monocytes et neutrophiles. Il a spécificité pour CXCR2 récepteurs.
Le mouvement des leucocytes en réponse à une concentration de produits chimiques ou gradient formé dans une réaction immunologique.
G-Protein-Coupled de haute affinité pour les récepteurs présents sur Interleukine-8 monocytes et neutrophiles, lymphocytes T. ces récepteurs se lie également plusieurs autres CXC chémokines.
Un CXC Chemokine c'est principalement exprimé dans des cellules épithéliales. C'est pour les récepteurs CXCR2 spécificité et impliquée dans le recrutement et l ’ activation des neutrophiles.
Un membre du CXC Chemokine famille qui joue un rôle dans la régulation de la réponse inflammatoire aiguë. C'est secrétée par grand nombre de types cellulaires et induit Chimiotaxie des neutrophiles et autres cellules inflammatoires.
Un groupe sanguin est composée principalement des antigènes Fy Fy (a) et (b), déterminé par allelic gènes, la fréquence des qui change profondément dans différents groupes d'humains ; amorphe gènes sont fréquents.
CXCR récepteurs qui sont présents à la surface de certains types de cellules, y compris des lymphocytes NK des cellules dendritiques ; ; ; et un sous-ensemble de lymphocytes B. les récepteurs sont activées par Chemokine CXCL9 ; Chemokine CXCL10 ; et Chemokine CXCL11.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour les récepteurs CCR7. Il possède une activité vers des lymphocytes T et B lymphocytes.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour CCR7. Il possède une activité vers les récepteurs des cellules dendritiques et lymphocytes T.
Substances chimiques qui attirent ou repousser les cellules. Le concept dénote surtout ces facteurs libéré en cas de lésions tissulaires, invasion ou activité microbienne immunologique, qui attirent leucocytaire ; macrophages ; ou autres cellules sur le site d ’ infection, une insulte.
Un CC-type Chemokine qui se trouve à des concentrations élevées dans le thymus et a spécificité pour les récepteurs CCR4. Il est synthétisé par des cellules dendritiques ; ; ; kératinocytes des cellules endothéliales et les fibroblastes.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chimiokine Ccl2 et plusieurs autres CCL2-related chémokines. They are expressed à des concentrations élevées dans des lymphocytes ; lymphocytes B ; macrophages ; basophiles ; et des cellules NK.
Un des monocytes Chemoattractant protéine qui attire ; lymphocytes, monocytes, basophiles et éosinophiles. Chemokine CCL8 a spécificité pour CCR3 récepteurs et récepteur CCR5.
Les récepteurs CCR spécificité pour une large variété de CC chémokines. They are expressed à des concentrations élevées dans les macrophages tissulaires monocytes ; ; ; neutrophiles et éosinophiles.
Un CC-type Chemokine c'est spécifique aux récepteurs CCR3. C'est un puissant Chemoattractant pour éosinophiles.
Un CXC Chemokine c'est chimiotactisme et de lymphocytes, monocytes CXCR4 spécificité pour plusieurs isoformes de récepteurs CXCL12 sont produits par alternative mRNA de cerf.
Soluble médiateur de la réponse immunitaire qui ne sont ni des anticorps ni complément. Ils sont produits largement, mais pas exclusivement, par les monocytes et les macrophages.
Le mouvement des cellules ou organismes vers ou loin d'une substance en réponse à sa concentration dégradé.
Un processus pathologique caractérisée par une blessure ou destruction des tissus causée par beaucoup de cytologic et les réactions chimiques. Ça se manifeste généralement par les signes typiques de chaleur, douleur, rougeur, gonflement et perte de fonction.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour CCR4. Il possède une activité vers les récepteurs des cellules et des TH2 TC2.
G-Protein-Coupled de haute affinité pour les récepteurs présents sur Interleukine-8 neutrophiles ; monocytes ; et des basophiles circulants.
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
La souris de lignée C57BL est une souche inbred de Mus musculus, largement utilisée dans la recherche biomédicale, caractérisée par un ensemble spécifique de traits génétiques et phénotypiques.
Un CC-type Chemokine sécrétés par les monocytes et activé les lymphocytes T a spécificité pour CCR8 récepteurs.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour les récepteurs CCR3. C'est un Chemoattractant pour éosinophiles.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL3 ; Chemokine CCL4 ; et Chemokine CCL5. They are expressed à des concentrations élevées dans les lymphocytes T Etant mât ; ; ; ; des macrophages et des cellules NK. Le récepteur CCR5 est utilisé par les virus de l ’ immunodéficience humaine d ’ infecter les cellules.
Le mouvement de cellules d'un endroit à un autre distinguer CYTOKINESIS. C'est le procédé de diviser le cytoplasme d'une cellule.
Une stimulation CXC Chemokine qui a et chimiotactisme activités vers des granulocytes neutrophiles. Il a spécificité pour CXCR1 récepteurs et CXCR2 récepteurs.
Un transmembranaire CX3C Chemokine c'est une protéine présente à la surface des cellules. La forme soluble de Chemokine CX3CL1 peut être libérée de surface par la protéolyse et agir comme un Chemoattractant pouvant être impliqué dans l ’ extravasation des leucocytes dans les tissus inflammatoires. La membrane forme de la protéine pourrait également jouer un rôle dans la cellule d'adhérence.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL11 et diverses autres CC chémokines. They are expressed à des concentrations élevées dans les lymphocytes T éosinophiles ; ; ; et des basophiles mât.
Séquence d'ARN qui servent de modèles pour la synthèse des protéines. Bactérienne sont généralement mRNAs transcriptions en primaire qu'elles ne nécessitent aucun traitement. Eucaryotes Post-Transcriptional mRNA est synthétisés dans le noyau et doit être transplantée dans le cytoplasme pour traduction. La plupart eucaryotes polyadenylic mRNAs ont une séquence de l'acide dans le 3 'fin, dénommés le Poly (A) queue. Le fonctionnement de cette queue n'est pas connu pour certains, mais cela pourrait jouer un rôle dans l'export de mature mRNA du noyau ainsi que pour aider stabiliser des mRNA molécules par retarding leur dégradation dans le cytoplasme.
Les composés endogène médiatrices AUTACOIDS (inflammation) et de leurs composants exogènes prostaglandines (y compris la synthèse des prostaglandines, SYNTHETIC).
Spécificité pour les récepteurs CXCR Chemokine CXCL12. Les récepteurs pourrait jouer un rôle dans la réglementation et hématopoïèse peut aussi fonctionnelles coreceptors pour le virus de l ’ immunodéficience humain.
La diffusion ou accumulation de neutrophiles dans les tissus ou les cellules en réponse à une grande variété de substances relâché sur les sites de réactions inflammatoires.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL27. Ils peuvent jouer un rôle dans la tête chercheuse cutané spécialisé de lymphocytes.
Des protéines régulatrices et peptides qui envoient des signaux molécules paracrine participant au processus de ravitaillement. Ils sont généralement considérées facteurs en sont exprimés par une cellule et est venue après par récepteurs sur un autre proches des. Ils sont distingués des hormones dans que leurs actes sont locales plutôt que distale.
Un CXC Chemokine c'est chimiotactisme pour B-Lymphocytes. Il a spécificité pour CXCR5 récepteurs.
Avoir un noyau leucocytes granuleuse avec trois à cinq lobes connectés par mince des fils de Chromatin et cytoplasme contenant bien discret granulés et stainable par neutre du colorant.
Larges leucocytes mononucléés phagocytaire vertébré produite par la moelle osseuse et libérée dans le sang ; contiennent une grande, ovale ou quelque peu éparpillés noyau entouré d'volumineux cytoplasme et de nombreux organites.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour CCR6. Il possède une activité vers les récepteurs des cellules dendritiques ; lymphocytes T ; et lymphocytes B.
Globules blancs. Elles comportent granuleux leucocytes (basophiles, éosinophiles ; et des granulocytes neutrophiles) ainsi que non-granular leucocytes (lymphocytes, monocytes).
Les protéines de surface cellulaire qui lient cytokines et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules.
La cellule phagocytaire relativement vit longtemps de tissus de mammifères qui sont dérivés du sang monocytes. Principaux types sont macrophages péritonéale ; macrophages alvéolaires ; histiocytes ; Kupffer des cellules du foie ; et les ostéoclastes. Ils peuvent opérer une distinction au sein des lésions inflammatoires chroniques de Epithelioid ou fusionnent pour former des corps DEVISES géant ou Langhans. (À partir des cellules géant le dictionnaire de Cell Biology, Jackie et Dow, 3ème ed.)
La vie intracellulaire transfert des informations (activation biologique / inhibition) par un signal à la voie de transduction des signaux dans chaque système, une activation / inhibition signal d'une molécule biologiquement active neurotransmetteur (hormone) est médiée par l'accouplement entre un récepteur / enzyme pour une seconde messager système. ou avec la transduction les canaux ioniques. Joue un rôle important dans la différenciation cellulaire, activation fonctions cellulaires, et la prolifération cellulaire. Exemples de transduction ACID-postsynaptic gamma-aminobutyrique systèmes sont les canaux ioniques receptor-calcium médiée par le système, le chemin, et l ’ activation des lymphocytes T médiée par l'activation de Phospholipases. Ces lié à la membrane de libération de calcium intracellulaire dépolarisation ou inclure les fonctions d ’ activation récepteur-dépendant dans granulocytes et les synapses une potentialisation de l'activation de protéine kinase. Un peu partie de transduction des signaux de transduction des signaux des grandes ; par exemple, activation de protéine kinase fait partie du signal d'activation plaquettaire sentier.
Souches de souris dans laquelle certains gènes de leurs génomes ont été interrompus, ou "terrassé". Pour produire par K.O., en utilisant une technique d ’ ADN recombinant, le cours normal séquence d'ADN d'un gène d ’ être étudiés is altered to prévenir synthèse d'un gène normal. Cloné cellules dans lequel cet ADN altération est couronnée de succès sont ensuite injecté dans souris embryons de produire des souris chimérique chimérique. Les souris sont ensuite élevée pour déclencher une souche dans lequel toutes les cellules de la souris contiennent le gène perturbé. KO les souris sont utilisés comme expérimentale ESPÈCES CYLONS pour des maladies (maladie des modèles, LES ESPÈCES) et à clarifier les fonctions de gènes.
Lymphocytes responsable de l'immunité cellulaire anticorps-dépendante. Deux types ont été identifiés - cytotoxique (lymphocytes T cytotoxique) et assistant lymphocytes T (lymphocytes T Auxiliaires). Elles se forment quand lymphocytes circuler dans la thymus GLAND et différenciez à thymocytes. Quand exposé à un antigène, il divise rapidement et produire un grand nombre de nouvelles cellules T Antigène sensible à ça.
L ’ un des processus par lequel cytoplasmique, nucléaire ou Molécule-1 facteurs influencent le différentiel contrôle ou répression) (induction de Gene action au niveau de la transcription ou traduction.
La souris de lignée Balb/c est une souche inbred de souris laboureuses, largement utilisées dans la recherche biomédicale, caractérisée par un génotype et un phénotype uniformes, une susceptibilité accrue aux tumeurs et à certaines maladies infectieuses, et une réponse immunitaire distinctive aux stimuli antigéniques.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL19 et Chemokine CCL21. They are expressed à des concentrations élevées dans des lymphocytes ; lymphocytes B ; et des cellules dendritiques.
Une protéine qui est libérée quand platelet-specific plaquettes agrégat. Les taux plasmatiques élevées ont été signalés après administration de thrombose veineuse profonde, pré-éclampsie, infarctus du myocarde avec fresque thrombose et de désordres myéloprolifératifs. Beta-thromboglobulin biologique fluides par dosage radio-immunologique est utilisé pour le diagnostic et évaluation des progrès de troubles thromboemboliques.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL17 et Chemokine CCL22. They are expressed à des concentrations élevées dans des lymphocytes T mât ; ; ; des cellules NK et des cellules dendritiques.
Produit par la glycoprotéine activé macrophages et autres mammifères leucocytes mononucléés. Il a une activité contre les lignées cellulaires de tumeur et augmente la capacité de rejeter tumeur greffes, alias TNF-alpha, c'est seulement 30 % à homologue TNF-beta (la lymphotoxine), mais ils partagent les récepteurs du TNF.
Un effet positif réglementaires sur le processus physiologique moléculaire au niveau systémique, ou cellulaire. Au niveau moléculaire, les principaux sites réglementaires comprennent les gènes, (GENE expression RÈGLEMENT), mRNAs (ARN, coursier), et des protéines.
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Le major interféron produite par mitogenically ou antigenically stimulé lymphocytes. C'est structurellement différent de TYPE je interféron et son principal de l 'activité est immunoregulation. Ça a été impliqué dans l'expression de classe II Histocompatibility antigènes des cellules qui font généralement pas les produire, conduisant à maladies auto-immunes.
Une variante du PCR technique où cDNA est faite de l'ARN VIH-1 et VIH-2. Via est alors amplifiée cDNA qui en utilisant un électrocardiogramme standard PCR protocoles.
Cellules spécialisées du système qui ont hématopoïétiques branch-like extensions. Ils sont présents dans le système lymphatique, et en non-lymphoid tissus, comme l'épithélium de la peau et intestinale, troubles respiratoires, et de reproduction et des tracts. Ils piègent processus Antigens, et les présenterons à cellules T, l'immunité cellulaire anticorps-dépendante stimule ainsi ils sont différents des non-hematopoietic des cellules dendritiques folliculaire, qui ont la même morphologie et la fonction du système immunitaire, mais par rapport à l'immunité humorale PRODUCTION (anticorps).
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
La capacité d'un organisme normal de pas affectée par des micro-organismes et leurs toxines. Elle résulte d ’ la présence d'agents anti-infectieux naturelle des facteurs tels que le corps, des symptômes généraux et immédiat température agissant cellules immunitaires telles que des TUEUR naturelle.
Omniprésent, nucléaire inductible activateur cascade de lopinavir qui se lie aux éléments dans de nombreux types cellulaires différents et est activé par des stimuli pathogénique. La sous-unité Nf-Kappa B complexe est un composé de deux sous-unités DNA-Binding heterodimer : Sous-unité Nf-Kappa B1 et dou.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL1. They are expressed à des concentrations élevées dans des lymphocytes ; lymphocytes B ; et les macrophages.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
Polysaccharides Lipid-containing endotoxine et important qui sont les antigènes. Ils sont souvent dérivés de la paroi cellulaire de gram-négatives et induisent la sécrétion d ’ immunoglobulines. Le lipopolysaccharide molécule est divisée en trois parties : Lipide A, noyau polysaccharide, et O-specific chaînes (O). Quand antigènes dérivés de Escherichia coli, lipopolysaccharides servir des cellules B activées polyclonal Mitogènes couramment utilisés au laboratoire d'immunologie. Dorland, 28 (éditeur)
Technique utilisant un système d 'instruments pour faire, le traitement, et en affichant un ou plusieurs mesures sur des cellules individuelles obtenu d'une suspension cellulaire. Cellules sont habituellement taché avec un ou plusieurs composantes teinture fluorescente à cellule spécifique d'intérêt, par exemple, de l ’ ADN et la fluorescence de chaque cellule est mesurée comme rapidement (faisceau laser traverse l'excitation ou le mercure arc lampe). Fluorescence fournit une mesure quantitative de différents biochimiques et Biophysical pharmacocinétiques de la cellule, ainsi qu'une base pour le tri. Autres paramètres mesurables optique absorption incluent la lumière et de dispersion de la lumière, ce dernier étant applicable à la mesure de la taille, forme, la densité, granularité et tache détente.
Un CXC Chemokine présente dans l ’ alpha granules de PLAQUETTES. La protéine de taille moléculaire est 7800 kDa et peuvent survenir monomère un dimère ou un tetramer selon sa concentration dans solution. Au facteur plaquettaire 4 possède une forte affinité pour HEPARIN et trouve souvent complexed avec glycoprotéines tels que des C.
Les récepteurs CCR spécificité pour Chemokine CCL20. They are expressed à des concentrations élevées dans des lymphocytes ; lymphocytes B ; et des cellules dendritiques.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Leucocytes granuleuse avec un noyau qui contient habituellement deux lobes interconnectées par un mince fil de Chromatin et cytoplasme contenant grossier, rond granulés, identiques en taille et stainable par eosin.
Sous-groupe de lymphocytes T Auxiliaires qui synthétiser et à sécréter le interleukines IL-4, IL-5, IL-6, et IL-10. Ces cytokines influencer développement des cellules B activées et la production d'anticorps spécifiques, augmentant ainsi que les réponses.
Cytotaxins libéré à partir de la normale ou envahir les cellules qui spécifiquement attirer éosinophiles ; ils peuvent être complément fragments, lymphokines, neutropénie, l ’ histamine ou autres médicaments ; les plus connus est le tetrapeptide ECF-A, libéré, essentiellement par des mastocytes.
Chemokine récepteurs spécifiques pour CXC chémokines.
Sous-groupe de lymphocytes T Auxiliaires qui synthétiser et sécrète gamma-interferon interleukine-12 et l ’ interleukine-2, en raison de leur capacité à tuer les cellules antigen-presenting et leur activité effecteurs lymphokine-mediated, Th1 cellules sont associés à des réactions d'hypersensibilité de type vigoureux.
La manifestation d'un phénotypique gène ou les gènes par les processus de GENETIC transcription et GENETIC anglaise.
Cellules qui tapissent les surfaces internes et externes du corps en formant des couches cellulaire (épithélium) ou masses. Des cellules épithéliales tapissant la peau ; la bouche ; le nez, et le CANAL anal procèdent de ectoderme ; celles qui bordent le système respiratoire et le système DIGESTIVE procèdent de endoderm ; autres (CARDIOVASCULAR système et du système lymphatique Affections du système) procèdent de cellules épithéliales mésoderme. Peut être classifiée principalement par forme et fonction à cellules squameuses et transitoires, glandulaire cellules épithéliales.
Une molécule qui se lie à une autre molécule, plus particulièrement utilisée pour décrire une petite molécule qui se lie spécifiquement à une plus grande molécule, par exemple, un antigène présent à un anticorps, une hormone ou neurotransmetteur se lier à un récepteur, ou un substrat ou allosteric effecteurs la liaison de l ’ enzyme. Ligands sont également des molécules qui donné ou accepter une paire d'électrons pour former une coordonnée liaison covalente avec le métal d'une centrale atomique de coordination complexes, 27ème Dorland. (Éditeur)
Récepteurs CXCR initialement isolé de cellules de lymphome Burkitt. CXCR5 récepteurs mature, sont exprimées sur des lymphocytes B et sont spécifiques pour Chemokine CXCL13.
La détermination du modèle de gènes exprimées au niveau de transcription GENETIC, dans des circonstances particulières ou sa propre cellule.
Les lymphocytes et mature monocytes transporté par le sang du corps est espace extravasculaire. Ils sont morphologiquement distinguent des mature granulocytique par leurs grandes non-lobed leucocytes, absence de noyaux et grossier, largement tâché cytoplasmique granulés.
Un CC-type Chemokine avec spécificité pour les récepteurs CCR10 exprimées de manière constitutive. C'est dans la peau et pourrait jouer un rôle dans le trafic T-CELL pendant l ’ inflammation cutanée.
Lessive liquide d'irrigation obtenus à partir du poumon, y compris les bronches et les alvéoles pulmonaires. Il est généralement utilisé pour évaluer biochimiques statut ou une infection inflammatoire du poumon.
Signal molécules qui sont impliquées dans le contrôle de la croissance cellulaire et la différenciation.
Phénomène de l'immunité cellulaire anticorps-dépendante mesurés par inhibition in vitro de la migration des leucocytes ou antigen-stimulated phagocytose ou macrophages. Cellule À LA MIGRATION spécifiques ont été développées pour estimer les dosages de facteurs inhibitrice migration réaction immunitaire contre Tumor-Associated Antigens, et effets immunosuppresseurs infectieuses micro-organismes.
Le processus dans lequel le nombre de polynucléaires neutrophiles est stimulé par des actifs, entraînant la dégranulation et / ou génération de produits réactifs, et jusqu'à la destruction d'envahir les agents pathogènes. La phase de stimulation actifs, y compris opsonized particules, complexes immuns et chimiotactisme facteurs, se lient spécifiquement aux récepteurs de surface sur le nombre de polynucléaires neutrophiles.
Chemokine récepteurs spécifiques pour CC chémokines.
Ligand impliqué dans un des adhésion leucocytaire et une inflammation. Sa production est déclenchée par gamma-interferon et c'est nécessaire pour la migration des neutrophiles dans les tissus inflammatoires.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Adhésion des cellules à surfaces ou les autres cellules.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Des cellules épithéliales hautement spécialisée qui bordent la crise ; de vaisseaux sanguins ; et les vaisseaux lymphatiques, formant l'endothélium. Ils sont en forme et polygonales reliées entre elles par serré JUNCTIONS. Le tight jonctions permettre variable de la perméabilité macromolecules spécifiques qui sont transportés dans les cellules endothéliales couche.
Hybridation de l'acide nucléique un échantillon sur un très grand ensemble de sondes oligonucléotide, qui ont été attachés individuellement dans les colonnes, rangées à l'appui, de déterminer du base séquence, ou pour détecter des variantes dans une séquence génétique ! Gene expression, ou pour Gene cartographique.
Surface ligands, habituellement, médiatrices glycoprotéines cell-to-cell adhérence. Leurs fonctions incluent l'assemblée et l 'interconnexion de différents systèmes vertébré, ainsi que le maintien de l' intégration, du tissu cicatrisation mouvements morphogénique cellulaires, les migrations, et les métastases.
Une cytokine qui stimule la croissance et la différenciation des lymphocytes B et est également un facteur de croissance pour HYBRIDOMAS et plasmacytomas. Il est produit par différentes cellules dont la surface des lymphocytes, monocytes et les fibroblastes. ;
Les protéines de surface cellulaire qui lient interleukines et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules.
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Un sous-groupe de lymphocytes T impliqué dans l ’ induction de la plupart des fonctions immunologique. Le virus VIH a tropisme sélectif pour le T4 qui exprime les cellules CD4 marqueur phénotypique, un récepteur pour le VIH. En fait, l'élément clé de la forte immunosuppression observée chez l ’ infection par le VIH est à l'épuisement de ce sous-groupe de lymphocytes T.
Un myélogramme altération de petit des lymphocytes B ou des lymphocytes T dans la culture dans de vastes blast-like cellules capable de synthétiser l'ADN et ARN et de diviser mitotically. C'est déclenchée par interleukines ; Mitogènes comme PHYTOHEMAGGLUTININS, et par antigènes. Il peut aussi survenir in vivo comme en greffe rejet ?
Les protéines de surface cellulaire qui lient la signalisation molécules externe pour la cellule avec une forte affinité et transformer cet événement extracellulaire dans un ou plusieurs signaux intracellulaires qui modifient le comportement de la cellule cible (De Alberts, biologie moléculaire du Cell, 2e Ed, pp693-5). Récepteurs de surface, contrairement aux enzymes, ne pas traiter leurs ligands.
Un interleukine-1 sous-type qui est synthétisée comme inactive pro-protein membranaires. Protéolytique processing of précurseur forme par CASPASE 1 entraîne la libération de la forme active de interleukin-1beta de la membrane.
Une famille de la reconnaissance des formes récepteurs caractérisée par un domaine extracellulaire cytoplasmique leucine-rich et un domaine qui partagent homologie avec le récepteur interleukines et les protéines Drosophila péage. Après pathogène reconnaissance faciale, récepteurs toll-like recruter et activent signal transducing ADAPTOR PROTEINS.
Un facteur soluble produite par les monocytes ; macrophages et les autres cellules qui active 6 potentialise leur réponse Mitogènes ou antigènes. Interleukine-1 est un terme générique d ’ expiration fait référence de l ’ un des deux protéines distinctes, INTERLEUKIN-1ALPHA et INTERLEUKIN-1BETA. Les effets biologiques de l ’ IL-1 inclure l ’ aptitude à remplacer macrophage requises pour l ’ activation des lymphocytes T.
Des souris de laboratoire qui ont été modifiées Produites à partir d'un oeuf ou EMBRYO, un mammifère.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Seule chaussée couche de cellules quelle ligne du Luminal surface de tout le système vasculaire et régule le transport du macromolecules et sanguines.
Le capuchon extérieur de la protection de l'organisme qui le protège de l'environnement. Il est composé de la peau et dans l'épiderme.
Globules blancs sont utilisés dans le corps est tissus lymphoïdes. Le noyau est rond ou ovoïde avec grossier, traîné des pieds irrégulière Chromatin pendant que le cytoplasme est typiquement bleu pâle avec azurophilic (le cas échéant) granulés. La plupart des lymphocytes T peut être classé en tant qu'ou B (avec des sous-populations de chaque) ou des TUEUR naturelle.
Mouvement de attachés, leucocytes sphérique le long de la surface endothéliale des microvaisseaux. La dépendance et rouler demande à interagir avec SELECTINS et autres adhésines l ’ endothélium et leucocytaire dans les deux. Les roulements devient alors des leucocytes activés par chémokines s'aplanis et fermement adhère à la surface endothéliale en préparation de la transmigration par la jonction. (Cellule interendothelial de Abbas lmmunologie Moléculaire et Cellulaire, 3e éditeur)
Aucun de plusieurs manières dont cellules vivantes d'un organisme communiquent les uns les autres, que par contact direct entre les cellules ou par des signaux chimiques porté par neurotransmetteur actifs, les hormones, et l'AMP cyclique.
Le troisième type de cellules gliales, avec astrocytes et oligodendrocytes (qui forment le macroglia). En apparence Microglie varier en fonction de stade de développement, fonctionnelle état, et des termes inclure ; sous-type ramified, périvasculaire, ameboid, repose et activé. Microglie clairement sont capables de phagocytose et jouent un rôle important dans un large éventail de neuropathologies. Ils ont également été suggéré d'agir dans plusieurs autres rôles dont des sécrétions de cytokines (par exemple, et la croissance neuronale facteurs), en traitement immunologique (par exemple, antigènes présentation) et en développement du système nerveux central et le remodelage.
Cellule Cytokine-induced molécule présente adhésion activation des cellules endothéliales, des macrophages tissulaires des cellules dendritiques, moelle osseuse, et les fibroblastes myoblasts myotubes. Il est important pour le recrutement des leucocytes dans des sites d ’ inflammation. (De Pigott & Power, Le Adhesion Molecule FactsBook, 1993, p154)
Paramètres biologiques et quantifiables mesurables (ex : Enzyme spécifique concentration, concentration hormone spécifique, gène spécifique phénotype dans une population distribution biologique), présence de substances qui servent à l ’ état de santé et de rapidité et physiology-related évaluations, tels que maladie risque, des troubles psychiatriques, environnement et ses effets, diagnostiquer des maladies, processus métaboliques, addiction, la gestation, le développement des cellules d ’ études, epidemiologic, etc.
Antigènes différenciation cellulaire de mammifère, demeurant au bord de leucocytes. CD représente amas de différenciation qui se rapporte aux groupes d ’ éventuelles réactions similaires anticorps monoclonaux cette émission avec certains sous-populations d'antigènes d'une lignée ou la différenciation des sous-populations de diligence antigènes sont aussi connue sous le même CD désignation.
Milieu de culture contenant biologiquement composants actifs cultivés précédemment obtenues à partir de cellules ou tissus qui ont libéré dans les médias substances modifiant certaines fonctions cellulaire (par exemple, la croissance, une lyse).
Les substances qui pourraient réduire ou supprimer l ’ inflammation.
Round, granuleux phagocytes mononucléés trouvés dans les alvéoles des poumons, ingèrent petites particules inhalé entraînant une dégradation et présentation de l'antigène pour le immunocompétents cellules.
Un effet négatif réglementaires sur le processus physiologique moléculaire au niveau systémique, ou cellulaire. Au niveau moléculaire, les principaux sites réglementaires comprennent les gènes, (GENE expression RÈGLEMENT), mRNAs (ARN, coursier), et des protéines.
Les tissus spécialisées qui sont des composants du système lymphatique. Ils fournissent réparé endroits dans le corps où diverses lymphocytes pouvons former, mature et se multiplier. Les tissus lymphoïdes sont connectés par un réseau de vaisseaux sanguins lymphatique.
Les substances non plus, ou se lient aux protéines exogènes d ’ irradiation précurseur des protéines, enzymes, ou allié composés. Liaison aux protéines spécifiques sont souvent utilisés comme des mesures de diagnostic évaluations.
Une technique de mettre en culture in vitro, les types de cellules mixtes habiliter leurs interactions antagonistes présente, comme sur cellule différenciation ou l'apoptose. Coculture peut être de différents types de cellules, tissus ou organes de la normale ou états de maladies.
Facteurs stimulant soluble growth-related activités des leucocytes ainsi que d'autres types de cellules. Elles améliorent la prolifération cellulaire et de différenciation, la synthèse ADN, sécrétion d ’ autres molécules biologiquement active et inflammatoire immunisés et les réponses aux stimuli.
Représentations théorique qui simulent le comportement ou l ’ activité du système immunitaire, les processus, ou phénomène, y compris l'utilisation d'équations, ordinateurs et autres appareils électriques.
Récepteurs cellulaires qui lient le virus de l ’ immunodéficience humaine qui provoque le sida. Sont comprises les antigènes CD4 T4, trouvée sur les lymphocytes, monocytes / macrophages et, ce qui se fixent aux protéines glycoprotéine gp120 de l ’ enveloppe du VIH.
Ils sont ovales ou haricot façonné bodies (1 - 30 mm de diamètre) situe le long du système lymphatique.
Protéines qui inhibent spécifiquement la croissance des nouveaux vaisseaux sanguins (physiologique de l'angiogenèse,).
Un sous-groupe de lymphocytes T réglementaires impliquées dans une protéine CMH de classe I-restricted interactions. Ils incluent des lymphocytes T cytotoxique (6) et CD8 + suppresseur lymphocytes T.
Du tissu conjonctif cellules d'un organe retrouvé dans la nature du tissu conjonctif. Ces relations sont très souvent associé à la muqueuse utérine et les ovaires ainsi que le système hématopoïétiques et ailleurs.
Un processus pathologique composée de la prolifération des vaisseaux sanguins dans les tissus anormaux ou dans des positions.
Une production de cytokines proinflammatoires principalement par les lymphocytes T ou leurs précurseurs. Plusieurs types de Interleukine-17 ont été identifiés, dont chacune est un produit d'un unique gène.
Du tissu conjonctif cellules qui sécrètent une matrice extracellulaire riche en collagène et autres macromolecules.
Le processus d'altération de la morphologie des macrophages et l ’ activité fonctionnelle pour qu'elles deviennent phagocytaire avidement. C'est initiée par lymphokines, telles que le syndrome d ’ activation macrophagique) facteur (MAF et le macrophage), facteur Migration-Inhibitory (MMIF complexes immuns, C3B et diverses autres peptides, polysaccharides et immunologique adjuvants.
Le type espèces de LENTIVIRUS etiologic et l'agent du sida. C'est caractérisé par son effet cytopathic et affinité au récepteur T4-lymphocyte.
Restriction progressive du potentiel de développement et en augmentant la spécialisation de fonction qui mène à la formation de cellules spécialisées, de tissus, et d'organes.
Une nécrose tumorale membranaires famille retrouve essentiellement sur les lymphocytes. Ça peut former un Heterotrimer (la lymphotoxine Hétérotrimère De Lymphotoxines Alpha1 Bêta2) avec le ligand soluble LYMPHOTOXIN-ALPHA et le fixer à la surface cellulaire. Le complexe membranaires le la lymphotoxine BETA est spécifique du récepteur.
Une reconnaissance de modèle qui interagit avec des récepteurs de l ’ antigène lymphocytaire 96 et LIPOPOLYSACCHARIDES. C'est un médiateur de réponses cellulaires à Gram-négatif bactéries connues.
Récepteurs de surface pour Interleukine-17 sous-types de récepteurs. Plusieurs ont été trouvés, chacune avec son de la spécificité pour Interleukine-17 sous-type.
Un organe lymphatique encapsulée par lequel le sang veineux filtres.
Intégrine Alpha4 Bêta1 est un cadeau de la fibronectine et VCAM-1 récepteur sur les lymphocytes, monocytes, éosinophiles ; des cellules NK et thymocytes. C'est impliqué dans les 2 cell-cell extracellulaire et Cell- MATRIX adhérence et joue un rôle dans l ’ inflammation, des cellules hématopoïétiques maisons et leur fonction immune, et a été impliqué dans du squelette ; MYOGENESIS CREST neural migration lymphocytaire et la prolifération, la morphogenèse de la maturation et le placenta et le coeur.
La membrane muqueuse tapissant la TRACT respiratoire, y compris les le CAVITY ; le du larynx ; le du cœur ; et les bronches arbre muqueuse respiratoire se compose de différents types de cellules épithéliales allant de ciliated columnar simplement à des cellules squameuses gobelet de mucus, mucus, de glandes contenant les cellules et sérieux.
La membrane interne de la capsule articulaire librement autour d'une articulation mobile. C'est attachée à la capsule fibreux externes et sécrète FLUID synovial.
Infection des poumons souvent accompagnée d'une inflammation.
Une albumine obtenu du blanc d'œufs. Il est membre des superfamille Serpin.
Méthodes utilisées pour détecter le amplifié des produits de l'ADN polymérase réaction en chaîne comme elles s'accumulent au lieu de à la fin de la réaction.
Une maladie systémique, chronique, principalement des articulations, marquée par des modifications inflammatoires dans les membranes synoviales et les structures articulaire, la généralisation fibrinoid dégénérescence de la fibre collagène dans les tissus mésenchymateuses, et par une atrophie des structures osseuses rarefaction. Et de l ’ étiologie est inconnu, mais auto-immune mécanismes ont été impliqués.
Une lignée cellulaire de cellules tumorales cultivé.
Une reconnaissance de motifs récepteur qui formes des hétérodimères avec d'autres récepteurs TOLL-LIKE. Il interagit avec plusieurs ligands peptidoglycane, bactériennes, y compris des lipoprotéines lipoarabinomannan, et diverses porines.
Cellules granulé qu'on trouve dans presque tous les tissus, plus abondamment dans la peau et le tractus gastro-intestinal, comme les basophiles humains, mastocytes contiennent de grandes quantités d ’ histamine et HEPARIN. Contrairement à basophiles humains, mastocytes normalement rester dans les tissus et ne pas circuler dans le sang. Mastocytes, dérivés des cellules souches de moelle osseuse, cellule STEM sont déterminés par le facteur.
Qui contiennent une Heteropolysaccharides N-acetylated hexosamine caractéristique disaccharide répéter dans une unité. La structure de répéter chaque disaccharide implique autre 1,4- et 1,3-linkages composØes de N-Acétylglucosamine ou N-acétylgalactosamine.
Une classification des lymphocytes T, surtout en assistant / inducteur, suppresseur / effectrices cytotoxiques et sous-ensembles, basé sur structurellement ou fonctionnellement les différentes populations de cellules.
Une classe de grande neuroglial (macroglial) dans le système nerveux central : La plus grande et plus nombreux neuroglial cellules du cerveau et de la moelle épinière. Astrocytes (de "star" cellules) sont une forme irrégulière avec de longues processus, y compris ceux avec "fin pieds" qui formaient le limitant) et (gliales directement et indirectement contribuer au BARRIER hémato-encéphalique extracellulaire. Ils contrôlent les liaisons ioniques et environnement chimique, et "réactives astrocytes" (avec MICROGLIA) répondre à une blessure.
Un interleukine-1 sous-type qui apparaît en forme pro-protein membranaires clivée sécrétée par des protéases pour former une forme mature INTERLEUKIN-1BETA. Contrairement à tous les deux formes membranaires et sécrétés de interleukin-1alpha biologiquement actives.
Une cytokine produit par une grande variété de cellules, y compris des lymphocytes, monocytes ; dendritique ; et des cellules épithéliales qui exerce une variété d ’ effets sur immunoregulation et une inflammation. Interleukine-10 associe avec lui-même pour former une molécule homodimeric c'est la forme biologiquement active de la protéine.
Os marrow-derived lymphocytes possèdant des propriétés cytotoxiques, classiquement dirigé contre transformée et les cellules infectées par des virus. Contrairement à des cellules T, et 2) ; des cellules ne sont pas spécifiques aux antigènes des cellules NK. La cytotoxicité des cellules natural killer est déterminée par le collectif signaux d ’ une série de stimulation des récepteurs de surface et inhibitrice. Un sous-ensemble des lymphocytes T dénommés tueur naturelle des cellules T actions certaines propriétés de ce type de cellule.
Une reconnaissance de motifs récepteur qui se lie double-branche d'ARN, c'est un médiateur de réponses cellulaires à certaines des pathogènes viraux.
Tous les processus impliqué dans une cellule MARCHE incluant cellule sera pendu.
Antigen-type d ’ hypersensibilité immédiate (substances qui produisent HYPERSENSITIVITY, CONDITIONNEMENTS).
Revêtement cellulaire intacte (intima des vaisseaux lymphatiques) (par exemple, le grand endothéliale veinules lymphatique). Il est plus perméables que endothélium vasculaire, manque d ’ absorption et fonctionnement principalement sélective pour éliminer les protéines plasmatiques qui ont vu à travers le capillaires dans le tissu espaces.

Les chimiokines sont des petites protéines qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité. Elles attirent et activent les cellules du système immunitaire, telles que les leucocytes, en se liant à leurs récepteurs spécifiques sur la surface des cellules cibles.

Les chimiokines sont classées en fonction de la disposition de leur structure et de la position de leurs cystéines dans la séquence d'acides aminés. Il existe deux grandes familles de chimiokines : les chimiokines à quatre cystéines (ou CC-chimiokines) et les chimiokines à trois cystéines (ou CXC-chimiokines).

Les chimiokines sont produites par divers types de cellules, y compris les leucocytes, les cellules endothéliales, les fibroblastes et les cellules épithéliales. Elles sont impliquées dans une variété de processus physiologiques et pathologiques, tels que la migration des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation, la régulation de l'angiogenèse (la croissance des vaisseaux sanguins), la cicatrisation des plaies et le développement du cancer.

Les chimiokines peuvent également jouer un rôle dans certaines maladies neurologiques, telles que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaques. Dans ces conditions, les chimiokines peuvent contribuer à l'inflammation et à la neurodégénération.

En résumé, les chimiokines sont des protéines importantes qui régulent la migration et l'activation des cellules du système immunitaire. Elles jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité et sont impliquées dans de nombreux processus physiologiques et pathologiques.

Les chémokines CXC sont un sous-groupe de chimiokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Les chimiokines sont des molécules de signalisation qui attirent et activent les cellules immunitaires telles que les leucocytes (globules blancs) vers les sites d'inflammation ou d'infection.

Les chémokines CXC sont caractérisées par la présence de quatre acides aminés spécifiques dans leur structure primaire, avec deux cystéines séparées par un autre acide aminé (X) : donc C-X-C. Elles peuvent être subdivisées en deux groupes en fonction de la présence ou non d'une région particulière appelée "motif ELR" dans leur structure. Les chémokines CXC avec le motif ELR favorisent la migration des neutrophiles, tandis que celles sans ce motif attirent plutôt les lymphocytes (un autre type de globules blancs).

Les chémokines CXC jouent un rôle crucial dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que la réponse immunitaire, la cicatrisation des plaies, le développement du cancer et les maladies inflammatoires. Certaines chémokines CXC ont démontré des propriétés antimicrobiennes directes contre certains pathogènes, comme le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

Les chémokines CC, également connues sous le nom de chémokines à double citerne ou chémokines β, sont un sous-groupe de cytokines qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité. Elles attirent et activent les cellules immunitaires, telles que les leucocytes, vers les sites d'infection ou d'inflammation en se liant à des récepteurs spécifiques sur la membrane cellulaire.

Les chémokines CC sont caractérisées par une structure particulière composée de quatre cystéines disposées en paires (C-C) dans leur domaine N-terminal. Elles sont divisées en plusieurs sous-familles, dont les plus importantes sont les CXC, les CC et les CX3C.

Les chémokines CC ont été identifiées comme des médiateurs clés de divers processus pathologiques, tels que l'inflammation chronique, l'athérosclérose, le cancer et les maladies auto-immunes. Elles sont également étudiées pour leur potentiel thérapeutique dans le traitement de certaines maladies.

Exemples de chémokines CC : CCL2 (MCP-1), CCL3 (MIP-1α), CCL4 (MIP-1β), CCL5 (RANTES), CCL7 (MCP-3), CCL8 (MCP-2), CCL11 (eotaxin), CCL13 (MCP-4), CCL17 (TARC), CCL19 (MIP-3β), CCL20 (MIP-3α), CCL21 (SLC) et CCL22 (MDC).

Les récepteurs aux chimiokines sont des protéines transmembranaires qui se trouvent à la surface des cellules et jouent un rôle crucial dans la régulation du système immunitaire. Ils sont activés par les chimiokines, des petites molécules de signalisation qui attirent et activent les cellules immunitaires pour qu'elles migrent vers des sites spécifiques dans le corps.

Les récepteurs aux chimiokines appartiennent à la superfamille des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) et sont classés en quatre groupes principaux (CXCR, CCR, XCR et CX3CR) en fonction de la structure de leur domaine extracellulaire N-terminal et du type de chimiokine qu'ils lient.

Lorsqu'une chimiokine se lie à son récepteur correspondant, elle active une cascade de signalisation intracellulaire qui entraîne la migration des cellules immunitaires vers le site d'inflammation ou d'infection. Les récepteurs aux chimiokines sont également impliqués dans d'autres processus biologiques tels que la prolifération et la différenciation cellulaires, l'angiogenèse et la métastase des cellules cancéreuses.

Des anomalies dans les récepteurs aux chimiokines ont été associées à diverses maladies, notamment les infections, le cancer, l'inflammation chronique et les maladies auto-immunes. Par conséquent, les récepteurs aux chimiokines représentent des cibles thérapeutiques prometteuses pour le développement de nouveaux traitements contre ces affections.

La chemokine CCL5, également connue sous le nom de RANTES (Regulated upon Activation, Normal T-cell Expressed and Secreted), est une petite protéine soluble qui appartient à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des molécules de signalisation qui guident le mouvement des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

La protéine CCL5 est codée par le gène CCL5 et est produite principalement par les lymphocytes T, les monocytes, les mastocytes et les cellules endothéliales. Elle se lie à des récepteurs spécifiques situés à la surface de certaines cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T, les lymphocytes B, les monocytes, les éosinophiles et les basophiles, et déclenche une cascade de réactions intracellulaires qui entraînent la migration des cellules immunitaires vers le site d'inflammation ou d'infection.

La protéine CCL5 joue un rôle important dans la régulation de la réponse immunitaire et inflammatoire, en particulier dans les processus impliquant l'activation et la migration des lymphocytes T vers les sites d'inflammation ou d'infection. Elle est également associée à diverses pathologies, telles que l'asthme, la sclérose en plaques, le VIH, le cancer et les maladies cardiovasculaires.

La chemokine CXCL10, également connue sous le nom de IP-10 (interféron gamma-induite protéine 10), est une petite molécule appartenant à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des médiateurs solubles qui jouent un rôle crucial dans l'organisation et le contrôle du trafic cellulaire, en particulier pendant les réponses immunitaires innées et adaptatives.

La protéine CXCL10 est codée par le gène CXCL10 et est produite principalement par les cellules endothéliales, les fibroblastes, les monocytes/macrophages et les cellules dendritiques en réponse à une stimulation par des cytokines pro-inflammatoires telles que l'interféron gamma (IFN-γ).

La CXCL10 se lie spécifiquement au récepteur CXCR3, qui est exprimé sur les lymphocytes T CD4+ et CD8+ activés, les cellules natural killer (NK), les monocytes/macrophages et certaines sous-populations de lymphocytes B. L'interaction entre la CXCL10 et son récepteur CXCR3 favorise l'activation, la migration et l'accumulation des cellules immunitaires dans les sites d'inflammation et d'infection.

La CXCL10 joue un rôle important dans divers processus physiologiques et pathologiques, notamment :

1. La défense contre les infections virales : la production de CXCL10 est induite par l'interféron gamma pendant les réponses immunitaires antivirales, ce qui favorise le recrutement des cellules T CD8+ cytotoxiques et des cellules NK aux sites d'infection.
2. L'auto-immunité : la CXCL10 est surexprimée dans diverses maladies auto-immunes, telles que la sclérose en plaques, le lupus érythémateux disséminé et la polyarthrite rhumatoïde. Elle contribue à la pathogenèse de ces maladies en favorisant l'infiltration des cellules immunitaires dans les tissus affectés.
3. Le cancer : la CXCL10 peut avoir des effets contradictoires sur le développement du cancer. D'une part, elle peut favoriser l'infiltration des cellules T cytotoxiques et des NK dans les tumeurs, ce qui contribue à leur élimination. D'autre part, la CXCL10 peut également promouvoir la progression tumorale en favorisant l'angiogenèse et la migration des cellules cancéreuses.
4. La transplantation d'organes : la CXCL10 est impliquée dans le rejet des greffes en raison de son rôle dans l'attraction des cellules immunitaires vers les tissus transplantés.

En conclusion, la CXCL10 est une molécule clé du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'inflammation et de la réponse immune. Son implication dans diverses pathologies en fait une cible thérapeutique prometteuse pour le traitement de maladies telles que les maladies auto-immunes, le cancer et le rejet des greffes d'organes.

La chemokine CXCL9, également connue sous le nom de monokine induite par l'interféron gamma (MIG), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des chimiokines, qui sont des molécules de signalisation cellulaire qui attirent et activent les cellules immunitaires.

La CXCL9 est produite principalement par les cellules endothéliales, les fibroblastes et les monocytes en réponse à l'interféron gamma (IFN-γ), une cytokine pro-inflammatoire. Elle se lie spécifiquement aux récepteurs CXCR3 exprimés à la surface de certaines cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T et les cellules natural killer (NK).

La CXCL9 joue un rôle important dans le recrutement des lymphocytes T CD4+ et CD8+ vers les sites d'inflammation, où ils peuvent participer à la défense contre les infections virales et tumorales. Elle a également été impliquée dans diverses maladies inflammatoires, telles que la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn.

En résumé, la CXCL9 est une chimiokine produite en réponse à l'interféron gamma qui joue un rôle crucial dans le recrutement des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation et la défense contre les infections et les tumeurs.

Les chimiokines C, également connues sous le nom de chimiokines à cation déterminé, sont un sous-groupe de chimiokines qui partagent une caractéristique structurale commune : elles possèdent des résidus d'acides aminés chargés positivement dans leur région N-terminale. Les chimiokines C jouent un rôle crucial dans la régulation du système immunitaire en attirant et en activant les cellules immunitaires, telles que les leucocytes, vers les sites d'inflammation ou d'infection.

Il existe plusieurs membres de cette famille, notamment CXCL (chimiokine à motif cationique X-C), CCL (chimiokine à motif cationique C-C) et XCL (chimiokine à motif cationique X-C). Chacune d'entre elles se lie à des récepteurs spécifiques sur les cellules immunitaires, déclenchant ainsi une cascade de signalisation qui entraîne la migration et l'activation de ces cellules.

Les chimiokines C sont également impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que le développement embryonnaire, l'angiogenèse, la cicatrisation des plaies, la néoplasie et les maladies inflammatoires. En outre, certaines chimiokines C ont été identifiées comme des facteurs de virulence pour certains virus, tels que le VIH-1, qui utilise ces protéines pour infecter et propager l'infection dans les cellules hôtes.

En raison de leur importance dans la régulation du système immunitaire et de leur implication dans divers processus pathologiques, les chimiokines C sont considérées comme des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de diverses maladies, y compris les infections, l'inflammation et le cancer.

Les protéines d'inflammation des macrophages font référence à des molécules spécifiques sécrétées par les macrophages, un type de cellules du système immunitaire, qui jouent un rôle crucial dans le processus inflammatoire. Les macrophages sont des cellules phagocytaires qui aident à éliminer les agents pathogènes et les débris cellulaires en les engloutissant et en les décomposant.

Au cours de ce processus, les macrophages sécrètent une variété de molécules pro-inflammatoires, y compris des cytokines, des chimiokines, des facteurs de croissance et des enzymes. Ces protéines peuvent activer d'autres cellules du système immunitaire, accroître la perméabilité vasculaire, et favoriser l'infiltration de cellules supplémentaires dans le site de l'inflammation.

Les exemples courants de protéines inflammatoires des macrophages comprennent l'interleukine-1 (IL-1), l'interleukine-6 (IL-6), le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), et les prostaglandines. Ces molécules peuvent contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires, telles que l'arthrite, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Cependant, il est important de noter que les macrophages peuvent également produire des protéines anti-inflammatoires qui aident à résoudre l'inflammation et favorisent la réparation tissulaire. Par conséquent, un équilibre approprié entre les protéines inflammatoires et anti-inflammatoires est essentiel pour maintenir la santé et prévenir les maladies.

La chimiokine CCL2, également connue sous le nom de monocyte chemoattractant protein-1 (MCP-1), est une petite molécule de signalisation qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des chimiokines, qui sont des cytokines impliquées dans la régulation du trafic cellulaire et de l'activation des leucocytes.

La protéine CCL2 est codée par le gène CCL2 et est produite principalement par les monocytes, les macrophages, les fibroblastes, les endothélium vasculaire et d'autres cellules immunitaires. Elle se lie à des récepteurs spécifiques situés sur la surface des leucocytes, tels que CCR2, ce qui entraîne l'activation de ces cellules et leur migration vers le site d'inflammation ou d'infection.

La chimiokine CCL2 joue un rôle crucial dans l'attraction et l'activation des monocytes/macrophages, ainsi que dans la régulation de la perméabilité vasculaire et de l'angiogenèse. Elle est impliquée dans divers processus pathologiques tels que l'athérosclérose, le diabète, les maladies neurodégénératives, les maladies inflammatoires chroniques et le cancer.

En médecine, la chimiokine CCL2 peut être ciblée par des thérapies visant à bloquer son activité ou à réguler son expression pour traiter certaines maladies inflammatoires ou cancéreuses.

La chemokine CCL4, également connue sous le nom de macrophage inflammory protein-1 beta (MIP-1β), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des cytokines chimiotactiques, qui sont des messagers chimiques libérés par les cellules pour attirer d'autres cellules vers un site spécifique dans le corps.

La CCL4 est produite principalement par les macrophages, les lymphocytes T CD8+ et les cellules dendritiques activées en réponse à une infection ou à une inflammation. Elle se lie à des récepteurs spécifiques sur la surface de certaines cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T et les cellules natural killer (NK), et déclenche une cascade de signaux qui entraînent leur migration vers le site d'inflammation.

La CCL4 joue un rôle important dans la régulation de la réponse immunitaire en attirant des cellules immunitaires supplémentaires vers le site d'infection ou d'inflammation, ce qui permet de renforcer la réponse immune et d'éliminer les agents pathogènes. Cependant, une production excessive de CCL4 peut également contribuer à des maladies inflammatoires chroniques et à des troubles immunitaires.

La chemokine CXCL1, également connue sous le nom de growth-regulated oncogene-alpha (GRO-α), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines appelées chemokines. Les chemokines sont des molécules qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité en attirant et en activant les cellules immunitaires.

La protéine CXCL1 se lie à un récepteur spécifique, le récepteur CXCR2, qui est exprimé sur une variété de cellules, y compris les neutrophiles, les monocytes et certaines sous-populations de lymphocytes T.

La CXCL1 est produite par divers types de cellules, notamment les macrophages, les fibroblastes et les cellules endothéliales, en réponse à des stimuli tels que les infections bactériennes ou fongiques, les dommages tissulaires et le stress oxydatif. Elle joue un rôle important dans l'recrutement et l'activation des neutrophiles vers les sites d'inflammation, ce qui contribue à la défense contre les agents pathogènes.

Cependant, une production excessive de CXCL1 peut également contribuer au développement de maladies inflammatoires chroniques, telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et la polyarthrite rhumatoïde. De plus, des études récentes ont montré que la CXCL1 peut également jouer un rôle dans le développement du cancer en favorisant la croissance et la survie des cellules cancéreuses.

La chemokine CCL3, également connue sous le nom de macrophage inflammatoire protein-1 alpha (MIP-1α), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des cytokines chimiotactiques, qui attirent et activent les cellules immunitaires vers les sites d'infection ou d'inflammation.

La protéine CCL3 est produite principalement par les macrophages, mais aussi par d'autres cellules telles que les lymphocytes T, les cellules dendritiques et les cellules endothéliales. Elle se lie à des récepteurs spécifiques situés à la surface de certaines cellules immunitaires, ce qui déclenche une cascade de réactions biochimiques entraînant leur migration vers le site d'inflammation.

La protéine CCL3 joue un rôle important dans la défense contre les infections virales et bactériennes en recrutant des cellules immunitaires pour combattre les agents pathogènes. Elle est également impliquée dans divers processus inflammatoires, tels que l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn.

Des niveaux élevés de CCL3 ont été observés dans certains types de cancer, où elle peut contribuer à la croissance tumorale et à la propagation des cellules cancéreuses. Par conséquent, l'inhibition de cette protéine pourrait représenter une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de certaines maladies inflammatoires et cancéreuses.

Les chémokines Cx3C sont un sous-groupe de chimiokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Les chimiokines sont des molécules de signalisation qui attirent et activent les cellules immunitaires, telles que les leucocytes, vers les sites d'inflammation ou d'infection.

Les chémokines Cx3C se distinguent des autres sous-groupes de chimiokines par la présence d'une cystéine supplémentaire entre les premier et troisième résidus de cystéine dans leur structure tridimensionnelle. Le membre le plus connu de cette famille est la protéine CX3CL1, également connue sous le nom de fractalkine.

La fractalkine est exprimée à la surface des cellules endothéliales et agit comme un adhésif pour les leucocytes, en plus d'agir comme une chimiokine qui attire ces cellules vers les sites d'inflammation. Les chémokines Cx3C sont impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que l'angiogenèse, la neuroinflammation, l'athérosclérose et le cancer.

La chemokine CXCL11, également connue sous le nom d'interféron gamma-inductible protein 10 (IP-10), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des chimiokines CXC, qui sont des molécules de signalisation cellulaire qui attirent et activent les leucocytes (un type de globule blanc) vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

La protéine CXCL11 est produite principalement par les cellules endothéliales, les fibroblastes et les cellules immunitaires telles que les monocytes et les lymphocytes T activés en réponse à des stimuli tels que l'interféron gamma (IFN-γ). Elle se lie aux récepteurs CXCR3 exprimés à la surface de certaines cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T helper 1 (Th1) et les lymphocytes natural killer (NK), pour réguler leur migration et leur activation.

La protéine CXCL11 joue un rôle important dans la réponse immunitaire contre les infections virales et bactériennes, ainsi que dans la pathogenèse de certaines maladies inflammatoires et auto-immunes, telles que la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Des niveaux élevés de CXCL11 ont été détectés dans les tissus affectés par ces maladies, ce qui suggère qu'elle pourrait être une cible thérapeutique potentielle pour traiter ces affections.

Une cytokine est une petite molécule de signalisation, généralement protéique ou sous forme de peptide, qui est sécrétée par des cellules dans le cadre d'une réponse immunitaire, inflammatoire ou infectieuse. Elles agissent comme des messagers chimiques et jouent un rôle crucial dans la communication entre les cellules du système immunitaire. Les cytokines peuvent être produites par une variété de cellules, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les macrophages, les mastocytes, les neutrophiles et les endothéliums.

Elles peuvent avoir des effets stimulants ou inhibiteurs sur la réplication cellulaire, la différenciation cellulaire, la croissance, la mobilisation et l'apoptose (mort cellulaire programmée). Les cytokines comprennent les interleukines (IL), les facteurs de nécrose tumorale (TNF), les interférons (IFN), les chimioquines et les chimiokines. Une cytokine peut avoir différents effets sur différents types de cellules et ses effets peuvent également dépendre de la concentration à laquelle elle est présente.

Dans certaines maladies, comme l'arthrite rhumatoïde ou la polyarthrite chronique évolutive, on observe une production excessive de cytokines qui contribue à l'inflammation et à la destruction des tissus. Dans ces cas, des médicaments qui ciblent spécifiquement certaines cytokines peuvent être utilisés pour traiter ces maladies.

La chemokine CCL7, également connue sous le nom de monocyte chemoattractant protein-3 (MCP-3), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des molécules de signalisation qui guident les cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps en se liant à leurs récepteurs spécifiques sur la surface des cellules cibles.

La CCL7 joue un rôle important dans l'attraction et l'activation des monocytes, des macrophages, des lymphocytes T régulateurs et d'autres cellules immunitaires vers les sites d'inflammation. Elle est exprimée par divers types de cellules, y compris les cellules endothéliales, les fibroblastes, les cellules musculaires lisses et les cellules inflammatoires telles que les macrophages et les mastocytes.

La CCL7 se lie à plusieurs récepteurs chimioquines, dont les récepteurs CCR1, CCR2 et CCR3. L'activation de ces récepteurs entraîne une cascade de signalisation intracellulaire qui déclenche la migration des cellules immunitaires vers le site d'inflammation et active leur fonction immune.

Des niveaux élevés de CCL7 ont été détectés dans diverses maladies inflammatoires, infectieuses et auto-immunes, telles que l'asthme, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde et le VIH. Par conséquent, la CCL7 est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces maladies.

Les protéines chimioattractantes de monocytes (MCP) sont des cytokines appartenant à la famille des chimiokines qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité. Elles attirent les monocytes, ainsi que d'autres cellules immunitaires, vers le site d'une inflammation ou d'une infection en se liant à des récepteurs spécifiques sur ces cellules.

Le MCP le plus étudié est probablement le MCP-1 (ou CCL2), qui se lie au récepteur CCR2 et joue un rôle important dans la migration et l'activation des monocytes et des macrophages. Des niveaux élevés de MCP-1 ont été associés à diverses maladies inflammatoires, telles que l'athérosclérose, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde et le diabète sucré.

D'autres membres de la famille des MCP comprennent le MCP-2 (CCL8), le MCP-3 (CCL7) et le MCP-4 (CCL13). Bien qu'ils partagent une structure similaire et se lient à certains récepteurs en commun, ils présentent des spécificités de liaison différentes et peuvent donc avoir des fonctions distinctes dans l'organisme.

La chemokine CXCL2, également connue sous le nom de macrophage inflammatoire protein-2-alpha (MIP-2α), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des molécules de signalisation qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité en attirant et en activant les cellules immunitaires vers le site d'une infection ou d'une inflammation.

La CXCL2 est produite principalement par les cellules endothéliales, les macrophages et les neutrophiles en réponse à des stimuli tels que les bactéries, les virus, les toxines et le stress oxydatif. Elle se lie aux récepteurs de chimioquines CXCR1 et CXCR2 exprimés sur la surface des neutrophiles, ce qui entraîne leur activation et leur migration vers le site d'inflammation.

La CXCL2 joue un rôle important dans l'initiation et la régulation de l'inflammation aiguë et chronique en recrutant des neutrophiles pour éliminer les agents pathogènes et les cellules endommagées. Cependant, une production excessive ou persistante de CXCL2 peut contribuer à des maladies inflammatoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la polyarthrite rhumatoïde et la maladie inflammatoire de l'intestin.

En résumé, la CXCL2 est une chimioquine qui joue un rôle crucial dans le recrutement et l'activation des neutrophiles pendant l'inflammation aiguë et chronique. Une régulation adéquate de sa production est importante pour maintenir l'homéostasie immunitaire et prévenir les maladies inflammatoires.

La chimiotaxie des leucocytes est un phénomène biologique où les cellules immunitaires, ou les leucocytes (comme les neutrophiles, les monocytes et les lymphocytes), se déplacent activement en réponse à des gradients de concentrations chimiques ou moléculaires dans leur environnement. Cela joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les infections, l'inflammation et d'autres processus pathologiques.

Les leucocytes sont attirés vers les sites d'infection ou d'inflammation en raison de la présence de molécules chimiotactiques spécifiques, telles que des cytokines, des chimiokines, des composants bactériens et des produits métaboliques. Ces molécules se lient à des récepteurs spécifiques sur la membrane des leucocytes, ce qui déclenche une cascade de signalisation intracellulaire entraînant la réorganisation du cytosquelette et la migration cellulaire.

La chimiotaxie des leucocytes est un processus complexe qui implique plusieurs étapes, notamment la reconnaissance des molécules chimiotactiques, l'activation des récepteurs, la polarisation cellulaire, l'extension des pseudopodes et la migration directionnelle vers la source de l'attractant. Ce processus est essentiel pour assurer une réponse immunitaire efficace contre les agents pathogènes et aider à résoudre l'inflammation.

Cependant, un dysfonctionnement de la chimiotaxie des leucocytes peut entraîner diverses maladies, telles que des infections chroniques, une inflammation persistante et des affections auto-immunes. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est cruciale pour le développement de thérapies ciblées et efficaces dans le traitement de ces maladies.

La chemokine CXCL5, également connue sous le nom d'ENA-78 (épithéliale neutrophile activateur-78), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Elle se lie aux récepteurs CXCR2 et est produite par divers types de cellules, y compris les cellules épithéliales, les macrophages et les fibroblastes.

La fonction principale de la chemokine CXCL5 est d'attirer et d'activer les neutrophiles, un type de globule blanc qui joue un rôle clé dans la réponse immunitaire innée contre les infections bactériennes et fongiques. Elle est également connue pour stimuler la croissance et la migration des cellules endothéliales, ce qui peut contribuer à l'angiogenèse (la formation de nouveaux vaisseaux sanguins) dans certaines maladies.

Des niveaux élevés de CXCL5 ont été observés dans diverses affections inflammatoires et infectieuses, telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde, la tuberculose et la méningite bactérienne. En outre, des études ont montré que CXCL5 peut contribuer au développement de certains cancers, tels que le cancer du poumon et le cancer colorectal.

En résumé, la chemokine CXCL5 est une protéine qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité en attirant et en activant les neutrophiles et en stimulant l'angiogenèse. Elle est impliquée dans diverses affections inflammatoires, infectieuses et cancéreuses.

L'interleukine-8 (IL-8) est une protéine qui agit comme un chemoattractant pour les neutrophiles, un type de globules blancs. Elle est produite par divers types de cellules en réponse à une infection ou à une inflammation. L'IL-8 attire les neutrophiles vers le site d'inflammation ou d'infection, où ils peuvent aider à combattre l'agent pathogène ou à éliminer les cellules endommagées.

L'IL-8 est également connue sous le nom de neutrophil activating peptide-1 (NAP-1) et est une cytokine appartenant à la famille des chimiokines. Elle se lie à deux récepteurs spécifiques situés sur la membrane des neutrophiles, les récepteurs CXCR1 et CXCR2, ce qui entraîne l'activation de ces cellules et leur migration vers le site d'inflammation.

Des niveaux élevés d'IL-8 ont été observés dans diverses affections inflammatoires, infectieuses et néoplasiques, telles que les pneumonies bactériennes, la bronchite chronique, l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, le cancer du poumon et d'autres cancers. Par conséquent, l'IL-8 est considérée comme un marqueur potentiel de l'inflammation et de la progression tumorale dans certaines affections.

Le système Duffy, également connu sous le nom de système DFF, est un système de groupage sanguin basé sur la présence ou l'absence d'antigènes Duffy sur les globules rouges. Ces antigènes sont des protéines qui se lient aux parasites du paludisme, permettant ainsi au Plasmodium vivax et au Plasmodium knowlesi de pénétrer dans les globules rouges et de provoquer une infection.

Il existe trois phénotypes principaux dans le système Duffy : Fy(a+b-), Fy(a-b+) et Fy(a+b+). Les personnes ayant le phénotype Fy(a-b-) sont considérées comme n'ayant pas d'antigènes Duffy à leur surface, ce qui les rend résistantes à l'infection par le Plasmodium vivax. Cette particularité est observée principalement chez les personnes d'origine africaine subsaharienne.

Il est important de noter que la présence ou l'absence d'antigènes Duffy n'a pas d'impact sur la compatibilité sanguine pour les transfusions, contrairement aux systèmes ABO et Rh.

CXCR3 (C-X-C motif chemokine receptor 3) est un type de récepteur des chémokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Les récepteurs des chémokines sont des protéines transmembranaires situées à la surface des cellules et qui se lient aux chémokines pour initier une cascade de signalisation intracellulaire.

CXCR3 se lie spécifiquement à plusieurs ligands de chémokines, y compris CXCL9, CXCL10 et CXCL11, qui sont produits en réponse à l'activation immunitaire et jouent un rôle important dans l'attractivité des cellules inflammatoires vers les sites d'inflammation.

CXCR3 est exprimé sur une variété de cellules immunitaires, y compris les lymphocytes T CD4+ et CD8+, les monocytes et les cellules natural killer (NK). Il joue un rôle crucial dans le recrutement des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation et est impliqué dans la pathogenèse de diverses maladies inflammatoires, y compris l'asthme, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde.

Des recherches récentes ont également suggéré que CXCR3 pourrait jouer un rôle dans le développement de certains cancers, tels que les mélanomes et les carcinomes du poumon, en favorisant l'angiogenèse et la croissance tumorale.

La chemokine CCL19, également connue sous le nom de macrophage inflammatoire-1 beta (MIP-1β), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des cytokines chimioattractantes qui jouent un rôle crucial dans la régulation du trafic cellulaire et de l'homéostasie tissulaire.

La protéine CCL19 est codée par le gène CCL19 situé sur le chromosome 9 humain. Elle se lie à des récepteurs spécifiques, tels que CCR7, exprimés à la surface de certaines cellules immunitaires telles que les lymphocytes T et B, les cellules dendritiques et les monocytes.

La liaison de la protéine CCL19 à son récepteur déclenche une cascade de signalisation intracellulaire qui entraîne la migration des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou de lymphogenèse. Par conséquent, elle joue un rôle important dans le développement et la fonction du système immunitaire.

Des anomalies dans la production ou la signalisation de la protéine CCL19 ont été associées à diverses maladies auto-immunes et inflammatoires, telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et la sclérose en plaques.

La chemokine CCL21, également connue sous le nom de chemokine secondaire à lymphome 6 (SLC) ou exodus-3, est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines qui joue un rôle important dans l'organisation et la régulation du système immunitaire. Elle se lie spécifiquement aux récepteurs CCR7 et guide les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T et B, vers les sites d'inflammation ou les ganglions lymphatiques en provoquant leur migration.

CCL21 est principalement exprimée dans les cellules endothéliales des hauts vaisseaux sanguins et des sinus lymphatiques, ainsi que dans certaines sous-populations de cellules dendritiques et de fibroblastes. Elle joue un rôle crucial dans la maturation et le trafic des cellules T naïves vers les zones T des ganglions lymphatiques, où elles peuvent être activées par des cellules présentatrices d'antigènes.

De plus, CCL21 est également impliquée dans la régulation de la réponse immunitaire adaptative et de la tolérance centrale en aidant à maintenir l'homéostasie du système immunitaire. Des anomalies dans l'expression ou la fonction de CCL21 ont été associées à diverses affections, y compris des maladies auto-immunes et des cancers.

Les facteurs chimiotactiques sont des molécules biologiquement actives qui peuvent attirer ou répulser les cellules, en particulier les leucocytes (un type de globule blanc), vers des sites spécifiques dans le corps. Ils jouent un rôle crucial dans l'inflammation et la défense immunitaire. Les facteurs chimiotactiques sont libérés par diverses cellules, y compris les cellules endothéliales, les macrophages, les lymphocytes et les neutrophiles, en réponse à une infection, une inflammation ou une lésion tissulaire. Les leucocytes migrent vers le site de libération des facteurs chimiotactiques en suivant un gradient de concentration de ces molécules. Une fois sur place, les leucocytes peuvent aider à combattre l'infection ou à réparer les tissus endommagés.

La chemokine CCL17, également connue sous le nom de thymus et activé régénération chimioquinase (TARC), est une petite protéine qui joue un rôle important dans la communication cellulaire et l'inflammation. Il s'agit d'un type de chimokine, qui est une sous-classe de cytokines, ou molécules de signalisation, qui attirent et activent certains globules blancs, tels que les lymphocytes T helper 2 (Th2) et les cellules natural killer (NK).

CCR2 (récepteur à chimokine 2) est un type de récepteur à la surface des cellules qui se lie spécifiquement aux chimokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Le CCR2 se lie principalement au chimokine CCL2 (ou MCP-1, monocyte chemoattractant protein-1), mais peut également interagir avec d'autres ligands chimokines.

Lorsque le CCL2 se lie à son récepteur CCR2, il déclenche une cascade de signalisation intracellulaire qui conduit à la migration et à l'activation des cellules immunitaires, en particulier les monocytes et les macrophages. Ce processus est crucial pour le recrutement des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou de blessure tissulaire.

Des études ont montré que l'expression de CCR2 est associée à plusieurs maladies inflammatoires et auto-immunes, telles que la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, l'athérosclérose et le diabète de type 2. Par conséquent, les inhibiteurs du CCR2 sont actuellement étudiés comme thérapies potentielles pour ces maladies.

La chemokine CCL8, également connue sous le nom de monocyte chemoattractant protein-2 (MCP-2), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des molécules de signalisation qui guident les cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

La CCL8 se lie aux récepteurs CCR1, CCR2, CCR3 et CCR5, qui sont exprimés à la surface de diverses cellules immunitaires telles que les monocytes, les macrophages, les éosinophiles et les lymphocytes T. Cette liaison déclenche une cascade de réactions intracellulaires qui entraînent la migration des cellules immunitaires vers le site d'inflammation ou d'infection.

La CCL8 joue un rôle important dans la régulation de la réponse immunitaire et inflammatoire, en particulier dans les processus tels que l'homéostasie tissulaire, la migration des cellules immunitaires et la défense contre les agents pathogènes. Cependant, une production excessive de CCL8 peut également contribuer à des maladies inflammatoires chroniques telles que l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie inflammatoire de l'intestin.

CCR1 (C-C motif chemokine receptor 1) est un type de récepteur des chémokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Les récepteurs CCR1 se trouvent à la surface des cellules immunitaires telles que les leucocytes et jouent un rôle crucial dans l'activation et la migration de ces cellules vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

Les chémokines qui se lient au récepteur CCR1 comprennent CCL3 (MIP-1α), CCL4 (MIP-1β) et CCL5 (RANTES). Lorsqu'une de ces chémokines se lie à CCR1, elle déclenche une cascade de signaux qui active la cellule immunitaire et favorise son mouvement vers le site d'inflammation.

Les récepteurs CCR1 sont également des cibles thérapeutiques potentielles pour diverses maladies inflammatoires et auto-immunes, telles que l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques. Les médicaments qui bloquent l'activation de CCR1 peuvent aider à réduire l'inflammation et les dommages tissulaires associés à ces conditions.

La chemokine CCL11, également connue sous le nom d'eotaxine-1, est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines appelées chimioquines. Les chimioquines sont des molécules de signalisation qui jouent un rôle crucial dans l'organisation et le fonctionnement du système immunitaire. Elles attirent et activent certains globules blancs, tels que les éosinophiles, les lymphocytes T helper 2 et les mast cells, vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

La protéine CCL11 se lie aux récepteurs chimioquiniques CCR2 et CCR3 situés à la surface des cellules cibles, ce qui entraîne une cascade de réactions intracellulaires conduisant à la migration et à l'activation des cellules immunitaires.

La CCL11 est exprimée par divers types de cellules, y compris les monocytes, les macrophages, les fibroblastes et les cellules endothéliales. Elle joue un rôle important dans la pathogenèse de certaines maladies allergiques et inflammatoires, telles que l'asthme, la rhinite allergique et la dermatite atopique. Des niveaux élevés de CCL11 ont été détectés dans les voies respiratoires et le sang des patients atteints de ces affections, ce qui suggère qu'elle pourrait être une cible thérapeutique prometteuse pour traiter ces maladies.

La chemokine CXCL12, également connue sous le nom de stromal cell-derived factor 1 (SDF-1), est une petite protéine appartenant à la famille des chimioquines. Les chimioquines sont des cytokines qui jouent un rôle crucial dans l'inflammation et l'immunité en régulant la migration et l'activation des leucocytes.

La CXCL12 se lie spécifiquement au récepteur CXCR4, qui est exprimé sur de nombreux types cellulaires, y compris les lymphocytes T et B, les monocytes, les macrophages, les neutrophiles, les cellules souches hématopoïétiques et certaines cellules tumorales.

La CXCL12 est produite par divers types de cellules, y compris les fibroblastes, les cellules endothéliales, les cellules épithéliales et les cellules immunitaires. Elle joue un rôle important dans la mobilisation des cellules souches hématopoïétiques depuis la moelle osseuse vers le sang périphérique, ainsi que dans l'homing de ces cellules vers la moelle osseuse.

En outre, la CXCL12 est également connue pour jouer un rôle important dans la croissance et la migration des cellules cancéreuses, ce qui en fait une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de certains types de cancer.

Les monokines sont des cytokines pro-inflammatoires sécrétées principalement par les monocytes et les macrophages, qui font partie du système immunitaire. Ils jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire innée en attirant d'autres cellules immunitaires vers le site de l'infection ou de l'inflammation. Les exemples de monokines comprennent l'interleukine-1 (IL-1), le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α) et l'interleukine-6 (IL-6). Ces protéines contribuent à la régulation de la réponse immunitaire, en activant et en recrutant d'autres cellules du système immunitaire pour combattre les agents pathogènes. Cependant, une production excessive de monokines peut entraîner une inflammation chronique et des dommages tissulaires, ce qui est associé à diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

La chimiotaxie est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire le processus directionnel de mouvement des cellules, généralement les cellules immunitaires telles que les neutrophiles et les macrophages, en réponse à une concentration gradient d'une substance chimiotactique spécifique. Les substances chimiotactiques peuvent être des molécules produites par des micro-organismes pathogènes ou des médiateurs inflammatoires libérés par les cellules endommagées.

Les cellules qui migrent en réponse à la chimiotaxie le font en détectant et en se déplaçant vers la source de la substance chimiotactique. Ce processus est important dans la réponse immunitaire, car il permet aux cellules du système immunitaire d'être attirées vers les sites d'infection ou d'inflammation pour aider à combattre l'agent pathogène et à réparer les tissus endommagés.

La chimiotaxie est également importante dans le développement des organismes, où elle joue un rôle clé dans la migration et l'organisation des cellules pendant la morphogenèse. Dans certains cas, cependant, la chimiotaxie peut être détournée ou perturbée par les agents pathogènes pour favoriser leur propre survie et propagation, ce qui peut entraîner des maladies graves.

L'inflammation est une réponse physiologique complexe du système immunitaire à une agression tissulaire, qui peut être causée par des agents infectieux (comme des bactéries, des virus ou des parasites), des lésions physiques (comme une brûlure, une coupure ou un traumatisme), des substances toxiques ou des désordres immunitaires.

Cette réaction implique une série de processus cellulaires et moléculaires qui ont pour but d'éliminer la source de l'agression, de protéger les tissus environnants, de favoriser la cicatrisation et de rétablir la fonction normale de l'organe affecté.

Les principaux signes cliniques de l'inflammation aiguë sont : rougeur (erythema), chaleur (calor), gonflement (tumor), douleur (dolor) et perte de fonction (functio laesa). Ces manifestations sont dues à la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, l'infiltration leucocytaire et la libération de médiateurs inflammatoires (comme les prostaglandines, les leukotriènes et les cytokines).

L'inflammation peut être classée en deux types principaux : aiguë et chronique. L'inflammation aiguë est généralement de courte durée (heures à jours) et se résout spontanément une fois que la source d'agression est éliminée. En revanche, l'inflammation chronique peut persister pendant des semaines, des mois ou même des années, entraînant des dommages tissulaires importants et potentialisant le développement de diverses maladies, telles que les maladies auto-immunes, les maladies cardiovasculaires et le cancer.

La chemokine CCL22, également connue sous le nom de Macrophage-derived chemokine (MDC), est une petite protéine qui joue un rôle important dans le système immunitaire. Elle appartient à la famille des cytokines chimiotactiques, qui sont des molécules de signalisation qui attirent et activent les cellules immunitaires.

La CCL22 est produite principalement par les macrophages, mais aussi par d'autres cellules telles que les lymphocytes T régulateurs (Tregs) et les cellules dendritiques. Elle se lie à un récepteur spécifique, le récepteur CCR4, qui est exprimé sur la surface de certaines cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T helper 2 (Th2) et les lymphocytes T régulateurs.

La CCL22 joue un rôle important dans l'homéostasie des tissus et la régulation de la réponse immunitaire. Elle attire les cellules immunitaires vers les sites d'inflammation et aide à réguler la migration et l'activation des cellules T régulatrices, qui sont importantes pour maintenir la tolérance immunologique et prévenir l'auto-immunité.

Des niveaux élevés de CCL22 ont été observés dans diverses maladies inflammatoires et auto-immunes, telles que la dermatite atopique, le psoriasis, la sclérose en plaques et le cancer. Par conséquent, la CCL22 est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces maladies.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

La souche de souris C57BL (C57 Black 6) est une souche inbred de souris labo commune dans la recherche biomédicale. Elle est largement utilisée en raison de sa résistance à certaines maladies infectieuses et de sa réactivité prévisible aux agents chimiques et environnementaux. De plus, des mutants génétiques spécifiques ont été développés sur cette souche, ce qui la rend utile pour l'étude de divers processus physiologiques et pathologiques. Les souris C57BL sont également connues pour leur comportement et leurs caractéristiques sensorielles distinctives, telles qu'une préférence pour les aliments sucrés et une réponse accrue à la cocaïne.

La chemokine CCL1, également connue sous le nom de « thymus et activation régulée chimokine » (TARC) ou « monocyte chemoattractant protein 3 » (MCP-3), est une petite protéine qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des cytokines chimioattractantes, qui sont des signaux moléculaires qui attirent et activent les cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection.

La CCL1 est produite par une variété de cellules, y compris les cellules endothéliales, les fibroblastes et les cellules dendritiques. Elle se lie à des récepteurs spécifiques sur la surface des cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T et les monocytes, et déclenche une cascade de signaux qui entraînent leur activation et leur migration vers le site d'inflammation.

La CCL1 joue un rôle important dans la régulation de la réponse immunitaire, en particulier dans la réponse des lymphocytes T aux infections virales et à d'autres agents pathogènes. Elle est également impliquée dans le développement de certaines maladies inflammatoires chroniques, telles que la polyarthrite rhumatoïde et la dermatite atopique.

Des études ont montré que des niveaux élevés de CCL1 peuvent être associés à une activation accrue du système immunitaire et à une inflammation persistante, ce qui peut contribuer au développement et à la progression de ces maladies. Par conséquent, la CCL1 est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de certaines maladies inflammatoires chroniques.

La chemokine CCL24, également connue sous le nom d'Eotaxin-2, est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines qui jouent un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Les chimokines sont des molécules de signalisation qui attirent et activent les cellules immunitaires telles que les leucocytes pour aider à réguler la réponse immunitaire.

La CCL24 est produite principalement par les cellules épithéliales et les fibroblastes dans les tissus pulmonaires et intestinaux en réponse à des stimuli inflammatoires tels que les cytokines pro-inflammatoires ou les allergènes. Elle se lie sélectivement aux récepteurs CCR3 exprimés à la surface de certains leucocytes, tels que les éosinophiles, les basophiles et les lymphocytes Th2, pour favoriser leur recrutement vers les sites d'inflammation.

L'augmentation des niveaux de CCL24 a été associée à plusieurs affections inflammatoires chroniques, telles que l'asthme et la maladie inflammatoire de l'intestin (MII). Par conséquent, elle est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces maladies.

Les récepteurs aux chimiokines CCR5 sont des protéines situées à la surface des cellules, plus spécifiquement des leucocytes (un type de globule blanc), qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils appartiennent à la famille des récepteurs couplés aux protéines G et sont activés par des chimiokines, des petites molécules protéiques qui attirent et guident les cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection dans le corps.

Le CCR5 est particulièrement connu pour son implication dans la réponse immunitaire contre l'infection par le VIH (virus de l'immunodéficience humaine), qui cause le sida. Le virus utilise le CCR5 comme co-récepteur pour pénétrer et infecter les cellules CD4+, un type important de globule blanc. Des variantes génétiques du récepteur CCR5 ont été identifiées comme offrant une certaine protection contre l'infection par le VIH, notamment la mutation CCR5-Δ32, qui empêche le virus de se lier et d'entrer dans les cellules.

En plus de son rôle dans l'infection par le VIH, le récepteur CCR5 est également associé à d'autres processus pathologiques tels que l'inflammation, l'allergie, la transplantation d'organes et certaines maladies neurodégénératives. Par conséquent, les médicaments qui ciblent et bloquent le récepteur CCR5 sont étudiés comme thérapie potentielle pour traiter ces conditions.

Le mouvement cellulaire, également connu sous le nom de mobilité cellulaire, se réfère à la capacité des cellules à se déplacer dans leur environnement. Cela joue un rôle crucial dans une variété de processus biologiques, y compris le développement embryonnaire, la cicatrisation des plaies, l'immunité et la croissance des tumeurs.

Les cellules peuvent se déplacer de plusieurs manières. L'une d'elles est par un processus appelé chimiotaxie, où les cellules se déplacent en réponse à des gradients de concentrations de molécules chimiques dans leur environnement. Un exemple de ceci est la façon dont les globules blancs migrent vers un site d'inflammation en suivant un gradient de molécules chimiques libérées par les cellules endommagées.

Un autre type de mouvement cellulaire est appelé mécanotaxie, où les cellules répondent à des stimuli mécaniques, tels que la force ou la déformation du substrat sur lequel elles se trouvent.

Le mouvement cellulaire implique une coordination complexe de processus intracellulaires, y compris la formation de protrusions membranaires à l'avant de la cellule, l'adhésion aux surfaces et la contraction des filaments d'actine pour déplacer le corps cellulaire vers l'avant. Ces processus sont régulés par une variété de molécules de signalisation intracellulaire et peuvent être affectés par des facteurs génétiques et environnementaux.

Des anomalies dans le mouvement cellulaire peuvent entraîner un certain nombre de conditions médicales, y compris la cicatrisation retardée des plaies, l'immunodéficience et la progression du cancer.

La chemokine CXCL6, également connue sous le nom de granulocyte chemotactic protein 2 (GCP-2), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Elle se lie spécifiquement au récepteur CXCR1 et attire les neutrophiles, un type de globules blancs, vers le site d'inflammation.

La protéine CXCL6 est produite par divers types de cellules, y compris les macrophages, les fibroblastes et les cellules épithéliales, en réponse à des stimuli tels que les infections bactériennes ou fongiques. Elle favorise la migration et l'activation des neutrophiles, ce qui contribue à éliminer les agents pathogènes et à résoudre l'inflammation.

Cependant, une production excessive de CXCL6 peut également entraîner une inflammation excessive et des dommages tissulaires, ce qui est observé dans certaines maladies chroniques telles que la polyarthrite rhumatoïde et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Par conséquent, l'inhibition de CXCL6 ou de son récepteur pourrait représenter une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de ces maladies.

La chemokine CX3CL1, également connue sous le nom de fractalkine, est une protéine qui appartient à la famille des chimiokines. Les chimiokines sont des petites molécules impliquées dans l'inflammation et l'immunité, et elles attirent et activent les cellules immunitaires en se liant à leurs récepteurs spécifiques sur la surface des cellules.

La CX3CL1 est unique parmi les chimiokines car elle existe sous deux formes : une forme soluble qui peut se déplacer dans le liquide extracellulaire et une forme liée à la membrane qui est ancrée à la surface des cellules. La forme soluble de CX3CL1 est libérée par la dégradation de la forme liée à la membrane ou par une sécrétion active.

La CX3CL1 se lie au récepteur CX3CR1, qui est exprimé principalement sur les cellules immunitaires telles que les monocytes, les macrophages et les lymphocytes NK (cellules tueuses naturelles). La liaison de la CX3CL1 à son récepteur entraîne une activation des cellules immunitaires et leur recrutement vers le site d'inflammation.

La CX3CL1 joue un rôle important dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité, et elle est également impliquée dans divers processus pathologiques tels que l'athérosclérose, la maladie d'Alzheimer, le cancer et les maladies inflammatoires chroniques.

CCR3 (C-C motif chemokine receptor 3) est un type de récepteur des chémokines, qui sont des petites protéines impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Les récepteurs des chémokines se trouvent à la surface des cellules et servent de points d'ancrage pour les chémokines, ce qui déclenche une série de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule.

CCR3 est exprimé par un certain nombre de types de cellules, y compris les éosinophiles, les basophiles et les lymphocytes T Th2. Il se lie préférentiellement aux chémokines eotaxine-1, eotaxine-2 et eotaxine-3, qui sont des attractants puissants pour les éosinophiles et jouent un rôle important dans le recrutement de ces cellules vers les sites d'inflammation.

En raison de son implication dans l'inflammation et la réponse immunitaire, CCR3 est considéré comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement des maladies inflammatoires telles que l'asthme, la rhinite allergique et la dermatite atopique.

ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.

Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.

Les médiateurs de l'inflammation sont des molécules biologiques qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire et inflammatoire de l'organisme. Ils sont libérés par les cellules du système immunitaire en réponse à une blessure, une infection ou toute autre forme d'agression tissulaire.

Les médiateurs de l'inflammation comprennent un large éventail de molécules telles que les cytokines (comme l'interleukine-1, le facteur de nécrose tumorale et l'interféron), les prostaglandines, les leucotriènes, l'histamine, la sérotonine, les kinines et les protéases.

Ces molécules contribuent à la dilatation des vaisseaux sanguins, à l'augmentation de la perméabilité vasculaire, au recrutement de cellules immunitaires vers le site d'inflammation et à l'activation des cellules immunitaires. Bien que ces réponses soient essentielles pour éliminer les agents pathogènes et favoriser la guérison, une inflammation excessive ou mal régulée peut entraîner des dommages tissulaires et contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires chroniques.

En résumé, les médiateurs de l'inflammation sont des molécules qui déclenchent et régulent la réponse inflammatoire de l'organisme, jouant ainsi un rôle clé dans la défense contre les agents pathogènes et la guérison des tissus.

Le récepteur CXCR4, abréviation de « récepteur à la chemokine C-X-C motif 4 », est un type de protéine situé sur la membrane cellulaire qui appartient à la famille des récepteurs couplés aux protéines G. Il se lie spécifiquement au ligand CXCL12, également connu sous le nom de SDF-1 (stromal cell-derived factor 1).

Ce récepteur joue un rôle crucial dans la migration et l'homéostasie des cellules souches hématopoïétiques, ainsi que dans la régulation du système immunitaire. Il est également associé à divers processus physiologiques et pathologiques tels que le développement embryonnaire, la réparation tissulaire, l'angiogenèse, l'inflammation, la fibrose et le cancer.

Dans le contexte médical, des mutations ou une expression anormale du gène CXCR4 peuvent être associées à certaines maladies génétiques rares, telles que le syndrome de WHIM (warts, hypogammaglobulinemia, infections, myelokathexis). De plus, l'interaction entre CXCL12 et CXCR4 favorise la migration, la prolifération et la survie des cellules cancéreuses, contribuant ainsi à la progression de certains types de tumeurs malignes, comme les leucémies et les cancers du sein, de la prostate et des poumons.

Des médicaments antagonistes du récepteur CXCR4 sont actuellement en cours de développement pour traiter diverses affections, y compris le cancer et les maladies inflammatoires.

L'infiltration par neutrophiles est un terme utilisé en médecine pour décrire la présence et l'accumulation de neutrophiles, un type de globules blancs, dans un tissu ou un organe spécifique du corps. Les neutrophiles sont une partie importante du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense contre les infections en détruisant les bactéries et autres agents pathogènes.

Cependant, une infiltration excessive de neutrophiles peut être nocive et entraîner des dommages tissulaires. Cela se produit souvent dans le contexte d'une inflammation aiguë ou chronique, où les neutrophiles sont recrutés en grand nombre vers le site de l'inflammation pour combattre une infection ou une lésion tissulaire.

Une infiltration par neutrophiles peut être observée dans diverses affections médicales, telles que les infections bactériennes sévères, les maladies inflammatoires chroniques, les lésions tissulaires traumatiques, les infarctus et les tumeurs malignes. Dans certains cas, une infiltration excessive de neutrophiles peut entraîner des complications graves, telles que la destruction des tissus sains, la dégradation des vaisseaux sanguins et l'aggravation de l'inflammation.

Le diagnostic d'une infiltration par neutrophiles peut être établi en examinant un échantillon de tissu ou de liquide biologique, tel qu'un prélèvement de biopsie ou une aspiration, sous un microscope. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des antibiotiques ou d'autres thérapies spécifiques à la maladie.

CCR10 (C-C chemokine receptor type 10) est un type de récepteur à la surface des cellules qui se lie spécifiquement aux molécules de signalisation chimique appelées chimiokines. Ce récepteur est exprimé principalement sur les lymphocytes T mémoire et les cellules natural killer (NK) et joue un rôle important dans la migration et l'homing des cellules immunitaires vers les tissus périphériques, en particulier la peau et les muqueuses.

Les chimiokines qui se lient à CCR10 comprennent CCL27 (CTACK) et CCL28 (MEC). Lorsqu'une chimiokine se lie à CCR10, elle déclenche une cascade de réactions intracellulaires qui entraîne la migration des cellules immunitaires vers le site d'inflammation ou d'infection.

Des études ont montré que CCR10 et ses ligands sont impliqués dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que la défense contre les infections bactériennes et fongiques, la réparation des tissus, l'inflammation chronique et le développement de certaines maladies auto-immunes.

En médecine, une meilleure compréhension du rôle de CCR10 dans la régulation de la fonction immunitaire pourrait conduire à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies inflammatoires et auto-immunes.

Les protéines et peptides de signalisation intercellulaire sont des molécules qui jouent un rôle crucial dans la communication entre les cellules d'un organisme. Ils agissent comme des messagers chimiques, permettant aux cellules de détecter et de répondre à des changements dans leur environnement.

Les protéines de signalisation intercellulaire sont généralement produites dans une cellule et sécrétées dans l'espace extracellulaire, où elles peuvent se lier à des récepteurs spécifiques sur la surface d'autres cellules. Cette liaison déclenche une cascade de réactions biochimiques à l'intérieur de la cellule cible, entraînant une modification de son comportement ou de sa fonction.

Les peptides de signalisation intercellulaire sont des chaînes plus courtes d'acides aminés qui remplissent des fonctions similaires à celles des protéines. Ils peuvent être produits par la scission de protéines précurseurs ou synthétisés directement sous forme de peptides.

Les exemples courants de protéines et peptides de signalisation intercellulaire comprennent les hormones, les facteurs de croissance, les cytokines, les neurotransmetteurs et les neuropeptides. Ces molécules sont essentielles au développement, à la croissance, à la réparation et à la régulation des fonctions corporelles normales. Des dysfonctionnements dans les systèmes de signalisation intercellulaire peuvent contribuer au développement de diverses maladies, y compris le cancer, l'inflammation chronique et les troubles neurodégénératifs.

La chemokine CXCL13, également connue sous le nom de BLC (B-lymphocyte chemoattractant), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines, qui joue un rôle crucial dans l'organisation et la régulation du système immunitaire. Elle se lie spécifiquement aux récepteurs CXCR5 exprimés à la surface de certaines cellules immunitaires, principalement les lymphocytes B.

CXCL13 est produite par divers types de cellules, y compris les cellules stromales et les cellules inflammatoires activées, en réponse à des stimuli tels que des infections ou des dommages tissulaires. Son rôle principal est d'agir comme un attracteur pour les lymphocytes B, guidant leur migration vers des sites spécifiques de l'organisme où se déroulent des réponses immunitaires adaptatives.

Dans le système immunitaire, CXCL13 joue un rôle essentiel dans la formation et l'organisation des structures lymphoïdes secondaires, telles que les follicules germinaux au sein des ganglions lymphatiques et de la rate. Ces zones sont cruciales pour le développement d'une réponse immunitaire adaptative efficace contre les agents pathogènes.

Des niveaux élevés de CXCL13 ont été observés dans certaines affections auto-immunes, comme le lupus érythémateux disséminé et la sclérose en plaques, ce qui suggère que cette chimokine pourrait contribuer au développement et à la progression de ces maladies. Par conséquent, CXCL13 est un sujet d'intérêt pour la recherche dans le domaine des maladies auto-immunes et des thérapies ciblant spécifiquement ce médiateur moléculaire.

Les granulocytes neutrophiles, également simplement appelés neutrophiles, sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils font partie des granulocytes, qui sont ainsi nommés en raison de la présence de granules dans leur cytoplasme.

Les neutrophiles sont les globules blancs les plus abondants dans le sang périphérique. Ils sont produits dans la moelle osseuse et ont une durée de vie courte, généralement moins d'un jour.

Leur fonction principale est de protéger l'organisme contre les infections. Lorsqu'un agent pathogène pénètre dans le corps, des molécules spéciales appelées cytokines sont libérées pour alerter les neutrophiles. Ces derniers migrent alors vers le site de l'infection grâce à un processus appelé diapédèse.

Une fois sur place, ils peuvent ingérer et détruire les agents pathogènes par phagocytose, une forme de défense non spécifique contre les infections. Ils relarguent également des substances toxiques contenues dans leurs granules pour tuer les micro-organismes. Un nombre anormalement bas de neutrophiles dans le sang (neutropénie) peut rendre une personne plus susceptible aux infections.

Les monocytes sont un type de globules blancs ou leucocytes qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils font partie des cellules sanguines appelées les phagocytes, qui ont la capacité d'engloutir ou de «manger» des microbes, des cellules mortes et d'autres particules étrangères pour aider à protéger le corps contre les infections et les maladies.

Les monocytes sont produits dans la moelle osseuse et circulent dans le sang pendant environ un à trois jours avant de migrer vers les tissus périphériques où ils se différencient en cellules plus spécialisées appelées macrophages ou cellules dendritiques. Ces cellules continuent à fonctionner comme des phagocytes, mais elles peuvent également présenter des antigènes aux lymphocytes T, ce qui contribue à activer la réponse immunitaire adaptative.

Les monocytes sont souvent mesurés dans les tests sanguins de routine et leur nombre peut augmenter en réponse à une infection ou une inflammation. Cependant, un nombre anormalement élevé ou faible de monocytes peut indiquer la présence d'une maladie sous-jacente, telle qu'une infection sévère, une maladie auto-immune, une maladie inflammatoire chronique ou une leucémie.

La chemokine CCL20, également connue sous le nom de macrophage inflammation protein-3 alpha (MIP-3α), est une petite protéine impliquée dans l'inflammation et l'immunité. Elle appartient à la famille des cytokines chimioattractantes, qui sont des signaux moléculaires qui attirent et activent les cellules immunitaires.

La CCL20 se lie spécifiquement au récepteur CCR6, qui est exprimé sur certaines cellules immunitaires telles que les lymphocytes T helper 17 (Th17) et les lymphocytes B mémoire. Cette interaction joue un rôle important dans le recrutement de ces cellules vers les sites d'inflammation, où elles peuvent contribuer à la défense contre les agents pathogènes ou participer à des processus inflammatoires pathologiques.

La CCL20 est produite par divers types de cellules, y compris les cellules épithéliales, les macrophages et les cellules dendritiques. Elle peut être induite par des stimuli tels que les bactéries, les virus, les cytokines pro-inflammatoires et les facteurs de croissance.

Des niveaux élevés de CCL20 ont été associés à diverses maladies inflammatoires, y compris la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, l'asthme et le cancer. Par conséquent, elle est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces conditions.

Les leucocytes, également connus sous le nom de globules blancs, sont un type de cellules sanguines qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils aident à combattre les infections et les maladies en détectant et en détruisant les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus, les champignons et les parasites.

Il existe plusieurs types de leucocytes, chacun ayant des fonctions spécifiques dans la défense de l'organisme. Les cinq principaux types sont :

1. Neutrophiles : Ils représentent environ 55 à 70 % de tous les leucocytes et sont les premiers à répondre aux infections. Ils peuvent engloutir et détruire les agents pathogènes.
2. Lymphocytes : Ils constituent environ 20 à 40 % des leucocytes et sont responsables de la reconnaissance et de la mémorisation des agents pathogènes spécifiques. Il existe deux types principaux de lymphocytes : les lymphocytes B, qui produisent des anticorps pour neutraliser les agents pathogènes, et les lymphocytes T, qui aident à coordonner la réponse immunitaire et peuvent détruire directement les cellules infectées.
3. Monocytes : Ils représentent environ 2 à 8 % des leucocytes et ont la capacité d'engloutir de grandes quantités de matériel étranger, y compris les agents pathogènes. Une fois dans les tissus, ils se différencient en cellules appelées macrophages.
4. Eosinophiles : Ils représentent environ 1 à 3 % des leucocytes et sont impliqués dans la réponse aux parasites et aux allergies. Ils libèrent des substances chimiques qui aident à combattre ces menaces, mais peuvent également contribuer à l'inflammation et aux dommages tissulaires.
5. Basophiles : Ils représentent moins de 1 % des leucocytes et sont impliqués dans la réponse inflammatoire et allergique. Ils libèrent des substances chimiques qui attirent d'autres cellules immunitaires vers le site de l'inflammation ou de l'infection.

Les numérations globulaires complètes (NGC) sont souvent utilisées pour évaluer les niveaux de ces différents types de globules blancs dans le sang. Des taux anormaux peuvent indiquer la présence d'une infection, d'une inflammation ou d'autres problèmes de santé sous-jacents.

Les récepteurs aux cytokines sont des protéines transmembranaires exprimées à la surface des cellules qui jouent un rôle crucial dans la communication cellulaire et le contrôle de divers processus physiologiques, y compris l'immunité, l'hématopoïèse et l'homéostasie tissulaire. Ils se lient spécifiquement à des cytokines, qui sont des molécules de signalisation sécrétées par d'autres cellules.

La liaison d'une cytokine à son récepteur entraîne une cascade de réactions intracellulaires qui peuvent activer diverses voies de signalisation, conduisant finalement à des modifications de l'expression génique et des changements dans le comportement cellulaire. Ces changements peuvent inclure la prolifération, la différenciation, l'apoptose ou la migration cellulaire.

Les récepteurs aux cytokines sont souvent classés en fonction de leur structure et de leurs mécanismes de signalisation. Certains récepteurs aux cytokines forment des hétérodimères ou des homodimères pour se lier à leurs ligands respectifs, tandis que d'autres forment des complexes multiprotéiques plus importants avec des protéines accessoires qui modulent leur activité.

Les exemples de récepteurs aux cytokines comprennent les récepteurs de l'interleukine-2 (IL-2), du facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), de l'interféron gamma (IFN-γ) et de la famille des récepteurs de l'interleukine-6 (IL-6). Les dysfonctionnements des récepteurs aux cytokines ont été associés à diverses maladies, y compris les maladies auto-immunes, les infections et le cancer.

Les macrophages sont des cellules du système immunitaire qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et dans la régulation des processus inflammatoires et de réparation tissulaire. Ils dérivent de monocytes sanguins matures ou de précurseurs monocytaires résidents dans les tissus.

Les macrophages sont capables de phagocytose, c'est-à-dire qu'ils peuvent ingérer et détruire des particules étrangères telles que des bactéries, des virus et des cellules tumorales. Ils possèdent également des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) qui leur permettent de détecter et de répondre aux signaux moléculaires associés aux agents pathogènes ou aux dommages tissulaires.

En plus de leurs fonctions phagocytaires, les macrophages sécrètent une variété de médiateurs pro-inflammatoires et anti-inflammatoires, y compris des cytokines, des chimiokines, des facteurs de croissance et des enzymes. Ces molécules régulent la réponse immunitaire et contribuent à la coordination des processus inflammatoires et de réparation tissulaire.

Les macrophages peuvent être trouvés dans presque tous les tissus du corps, où ils remplissent des fonctions spécifiques en fonction du microenvironnement tissulaire. Par exemple, les macrophages alvéolaires dans les poumons aident à éliminer les particules inhalées et les agents pathogènes, tandis que les macrophages hépatiques dans le foie participent à la dégradation des hormones et des médiateurs de l'inflammation.

Dans l'ensemble, les macrophages sont des cellules immunitaires essentielles qui contribuent à la défense contre les infections, à la régulation de l'inflammation et à la réparation tissulaire.

La transduction du signal est un processus crucial dans la communication cellulaire où les cellules convertissent un signal extracellulaire en une réponse intracellulaire spécifique. Il s'agit d'une série d'étapes qui commencent par la reconnaissance et la liaison du ligand (une molécule signal) à un récepteur spécifique situé sur la membrane cellulaire. Cela entraîne une cascade de réactions biochimiques qui amplifient le signal, finalement aboutissant à une réponse cellulaire adaptative telle que la modification de l'expression des gènes, la mobilisation du calcium ou la activation des voies de signalisation intracellulaires.

La transduction de signaux peut être déclenchée par divers stimuli, y compris les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et les molécules d'adhésion cellulaire. Ce processus permet aux cellules de percevoir et de répondre à leur environnement changeant, en coordonnant des fonctions complexes allant du développement et de la différenciation cellulaires au contrôle de l'homéostasie et de la réparation des tissus.

Des anomalies dans la transduction des signaux peuvent entraîner diverses maladies, notamment le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète et les troubles neurologiques. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées.

Une souris knockout, également connue sous le nom de souris génétiquement modifiée à knockout, est un type de souris de laboratoire qui a eu un ou plusieurs gènes spécifiques désactivés ou "knockout". Cela est accompli en utilisant des techniques d'ingénierie génétique pour insérer une mutation dans le gène cible, ce qui entraîne l'interruption de sa fonction.

Les souris knockout sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier les fonctions des gènes et leur rôle dans les processus physiologiques et pathologiques. En éliminant ou en désactivant un gène spécifique, les chercheurs peuvent observer les effets de cette perte sur le phénotype de la souris, ce qui peut fournir des informations précieuses sur la fonction du gène et ses interactions avec d'autres gènes et processus cellulaires.

Les souris knockout sont souvent utilisées dans l'étude des maladies humaines, car les souris partagent une grande similitude génétique avec les humains. En créant des souris knockout pour des gènes associés à certaines maladies humaines, les chercheurs peuvent étudier le rôle de ces gènes dans la maladie et tester de nouvelles thérapies potentielles.

Cependant, il est important de noter que les souris knockout ne sont pas simplement des modèles parfaits de maladies humaines, car elles peuvent présenter des différences dans la fonction et l'expression des gènes ainsi que dans les réponses aux traitements. Par conséquent, les résultats obtenus à partir des souris knockout doivent être interprétés avec prudence et validés dans d'autres systèmes de modèle ou dans des études cliniques humaines avant d'être appliqués à la pratique médicale.

Les lymphocytes T, également connus sous le nom de cellules T, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont produits dans le thymus et sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire spécifique contre les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les cellules cancéreuses.

Il existe deux principaux sous-types de lymphocytes T : les lymphocytes T CD4+ (ou cellules helper) et les lymphocytes T CD8+ (ou cellules cytotoxiques). Les lymphocytes T CD4+ aident à coordonner la réponse immunitaire en activant d'autres cellules du système immunitaire, tandis que les lymphocytes T CD8+ détruisent directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Les lymphocytes T sont essentiels pour la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes et des cellules anormales. Les déficiences quantitatives ou qualitatives des lymphocytes T peuvent entraîner une immunodéficience et une susceptibilité accrue aux infections et aux maladies auto-immunes.

La régulation de l'expression génique est un processus biologique essentiel qui contrôle la quantité et le moment de production des protéines à partir des gènes. Il s'agit d'une mécanisme complexe impliquant une variété de molécules régulatrices, y compris l'ARN non codant, les facteurs de transcription, les coactivateurs et les répresseurs, qui travaillent ensemble pour activer ou réprimer la transcription des gènes en ARNm. Ce processus permet aux cellules de répondre rapidement et de manière flexible à des signaux internes et externes, ce qui est crucial pour le développement, la croissance, la différenciation et la fonction des cellules. Des perturbations dans la régulation de l'expression génique peuvent entraîner diverses maladies, y compris le cancer, les maladies génétiques et neurodégénératives.

Balb C est une souche inbred de souris de laboratoire largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces souris sont appelées ainsi en raison de leur lieu d'origine, le laboratoire de l'Université de Berkeley, où elles ont été développées à l'origine.

Les souries Balb C sont connues pour leur système immunitaire particulier. Elles présentent une réponse immune Th2 dominante, ce qui signifie qu'elles sont plus susceptibles de développer des réponses allergiques et asthmatiformes. En outre, elles ont également tendance à être plus sensibles à certains types de tumeurs que d'autres souches de souris.

Ces caractéristiques immunitaires uniques en font un modèle idéal pour étudier diverses affections, y compris les maladies auto-immunes, l'asthme et le cancer. De plus, comme elles sont inbredées, c'est-à-dire que chaque souris de cette souche est génétiquement identique à toutes les autres, elles offrent une base cohérente pour la recherche expérimentale.

Cependant, il est important de noter que les résultats obtenus sur des modèles animaux comme les souris Balb C peuvent ne pas toujours se traduire directement chez l'homme en raison des différences fondamentales entre les espèces.

CCR7 (C-C chemokine receptor type 7) est un récepteur exprimé à la surface des lymphocytes T et des dendrites cellulaires. Il se lie spécifiquement aux chimioquimiques CCL19 (MIP-3β) et CCL21 (SLC/6Ckine), qui sont des attractants pour ces cellules immunitaires.

Le rôle principal de ce récepteur est d'aider à réguler le trafic et l'homing des lymphocytes T activés dans les ganglions lymphatiques, où ils peuvent rencontrer des cellules présentant un antigène et se différencier en sous-populations de lymphocytes T effectrices.

Des études ont montré que CCR7 joue également un rôle important dans la migration des cellules dendritiques immatures vers les ganglions lymphatiques, où elles peuvent présenter des antigènes aux lymphocytes T pour initier une réponse immune adaptative.

Un dysfonctionnement de CCR7 a été associé à diverses maladies auto-immunes et inflammatoires, ainsi qu'au cancer, en raison d'une régulation altérée du trafic des cellules immunitaires.

La bêta-thromboglubuline est une protéine plasmatique qui est synthétisée et stockée dans les granules des plaquettes sanguines (également appelées thrombocytes). Elle est libérée lors de l'activation des plaquettes, ce qui se produit pendant la coagulation du sang ou la formation d'un caillot sanguin.

La bêta-thromboglobuline est souvent utilisée comme marqueur biologique pour évaluer l'activation des plaquettes dans certaines conditions cliniques, telles que les maladies cardiovasculaires, les troubles hémostatiques et certains types de cancer. Des taux élevés de bêta-thromboglobuline peuvent indiquer une activation excessive des plaquettes, ce qui peut augmenter le risque de thrombose (formation de caillots sanguins).

Il est important de noter que l'interprétation des taux de bêta-thromboglubuline doit être effectuée par un professionnel de la santé en tenant compte du contexte clinique et d'autres facteurs de risque.

CCR4 (C-C chemokine receptor 4) est un type de récepteur à la surface des cellules qui se lie spécifiquement aux molécules signales connues sous le nom de ligands C-C chimokines. Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans la régulation du trafic et de l'activité des cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T helper (Th) 2 et les cellules T régulatrices (Tregs).

Les ligands qui se lient à CCR4 comprennent la chimokine CCL17 (thymus et activateur de la circulation des lymphocytes (TARC)) et la chimokine CCL22 (macrophage-dérivé chemokine (MDC)). Lorsque ces ligands se lient à CCR4, ils déclenchent une cascade de réactions intracellulaires qui entraînent la migration des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation et d'infection.

CCR4 est exprimé sur un sous-ensemble spécifique de lymphocytes T helper 2 (Th2) et est également hautement exprimé sur les cellules T régulatrices (Tregs). Les Th2 jouent un rôle important dans la réponse immunitaire contre les parasites et sont également associés à des maladies allergiques telles que l'asthme et la dermatite atopique. Les Tregs, en revanche, sont des cellules régulatrices qui aident à maintenir la tolérance immunitaire et à prévenir l'inflammation excessive.

Dans le contexte médical, CCR4 est souvent ciblé dans le traitement de certaines maladies inflammatoires et cancéreuses. Les inhibiteurs de CCR4 ont été développés pour bloquer la liaison des ligands à ce récepteur, entraînant une diminution de la migration et de l'activation des cellules Th2 et Tregs dans les sites d'inflammation. Ces médicaments sont actuellement utilisés dans le traitement de certaines maladies inflammatoires telles que la dermatite atopique et la polyarthrite rhumatoïde, ainsi que dans le traitement du lymphome T cutané à cellules T périphériques.

Le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α) est une cytokine pro-inflammatoire qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire du corps. Il est produit principalement par les macrophages, bien que d'autres cellules telles que les lymphocytes T activés puissent également le sécréter.

TNF-α agit en se liant à ses récepteurs sur la surface des cellules, ce qui déclenche une cascade de réactions intracellulaires aboutissant à l'activation de diverses voies de signalisation. Cela peut entraîner une variété d'effets biologiques, y compris l'activation des cellules immunitaires, l'induction de la fièvre, l'apoptose (mort cellulaire programmée) et l'inflammation.

Dans le contexte du cancer, TNF-α peut avoir des effets à la fois bénéfiques et délétères. D'une part, il peut aider à combattre la croissance tumorale en stimulant la réponse immunitaire et en induisant l'apoptose des cellules cancéreuses. D'autre part, cependant, des niveaux élevés de TNF-α peuvent également favoriser la progression du cancer en encourageant la croissance et la survie des cellules tumorales, ainsi qu'en contribuant à l'angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins dans la tumeur).

En médecine, les inhibiteurs de TNF-α sont utilisés pour traiter un certain nombre de maladies inflammatoires chroniques, telles que la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn. Cependant, ces médicaments peuvent également augmenter le risque d'infections et de certains types de cancer.

La régulation positive des récepteurs, également connue sous le nom d'upregulation des récepteurs, est un processus dans lequel il y a une augmentation du nombre ou de l'activité des récepteurs membranaires spécifiques à la surface des cellules en réponse à un stimulus donné. Ce mécanisme joue un rôle crucial dans la modulation de la sensibilité et de la réactivité cellulaires aux signaux hormonaux, neurotransmetteurs et autres molécules de signalisation.

Dans le contexte médical, la régulation positive des récepteurs peut être observée dans divers processus physiologiques et pathologiques. Par exemple, en réponse à une diminution des niveaux d'un ligand spécifique, les cellules peuvent augmenter l'expression de ses récepteurs correspondants pour accroître leur sensibilité aux faibles concentrations du ligand. Ce phénomène est important dans la restauration de l'homéostasie et la compensation des déséquilibres hormonaux.

Cependant, un upregulation excessif ou inapproprié des récepteurs peut également contribuer au développement et à la progression de diverses maladies, telles que le cancer, les troubles neuropsychiatriques et l'obésité. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées visant à moduler l'activité des récepteurs.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

L'interféron de type II, également connu sous le nom de interféron gamma (IFN-γ), est une protéine soluble qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les infections virales et la prolifération des cellules cancéreuses. Il est produit principalement par les lymphocytes T activés (cellules T CD4+ et CD8+) et les cellules NK (natural killer).

Contrairement aux interférons de type I, qui sont produits en réponse à une large gamme de virus et d'agents infectieux, l'interféron de type II est principalement induit par des stimuli spécifiques tels que les antigènes bactériens et viraux, ainsi que par les cytokines pro-inflammatoires telles que l'IL-12 et l'IL-18.

L'interféron de type II exerce ses effets biologiques en se liant à un récepteur spécifique, le récepteur de l'interféron gamma (IFNGR), qui est composé de deux chaînes polypeptidiques, IFNGR1 et IFNGR2. Ce complexe récepteur est présent sur la surface de divers types cellulaires, y compris les macrophages, les cellules dendritiques, les fibroblastes et les cellules endothéliales.

Après activation du récepteur IFNGR, une cascade de signalisation est déclenchée, entraînant l'activation de plusieurs voies de transcription qui régulent l'expression des gènes impliqués dans la réponse immunitaire innée et adaptative. Les effets biologiques de l'interféron de type II comprennent l'activation des macrophages, la stimulation de la présentation des antigènes par les cellules dendritiques, l'induction de l'apoptose (mort cellulaire programmée) dans les cellules infectées et tumorales, et la régulation positive ou négative de l'activité des lymphocytes T.

En résumé, l'interféron gamma est une cytokine clé impliquée dans la réponse immunitaire innée et adaptative contre les infections virales et bactériennes ainsi que dans la surveillance des cellules tumorales. Son activité est médiée par le récepteur IFNGR, qui déclenche une cascade de signalisation conduisant à l'activation de diverses voies de transcription et à l'expression de gènes impliqués dans la réponse immunitaire.

La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.

La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.

La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.

Les cellules dendritiques sont un type de cellules immunitaires présentant un antigène qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Elles sont capables de reconnaître, capturer et présenter des antigènes étrangers (comme des protéines virales ou bactériennes) sur leur surface à d'autres cellules du système immunitaire, telles que les lymphocytes T.

Les cellules dendritiques sont dispersées dans tout le corps et peuvent être trouvées dans les tissus conjonctifs, la peau (cellules de Langerhans), les voies respiratoires, le système gastro-intestinal et les reins. Elles ont des processus ramifiés qui leur permettent d'avoir une grande surface pour interagir avec d'autres cellules et détecter les antigènes.

Une fois qu'une cellule dendritique a capturé un antigène, elle migre vers les ganglions lymphatiques où elle présente l'antigène aux lymphocytes T naïfs. Cette interaction active les lymphocytes T et déclenche une réponse immunitaire adaptative spécifique à cet antigène.

Les cellules dendritiques sont donc des cellules clés dans la régulation de la réponse immunitaire et jouent un rôle important dans la protection contre les infections, le cancer et d'autres maladies.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

L'immunité naturelle, également appelée immunité innée ou non spécifique, fait référence à la capacité inhérente du système immunitaire d'un organisme à se défendre contre les agents pathogènes étrangers (comme les bactéries, les virus, les parasites et les champignons) sans avoir été préalablement exposé à ces menaces spécifiques. Ce type d'immunité est présent dès la naissance et offre une protection générale contre un large éventail de pathogènes.

Il existe plusieurs mécanismes qui contribuent à l'immunité naturelle, notamment :

1. Barrières physiques: La peau et les muqueuses (comme celles tapissant le nez, la bouche, les poumons et le tractus gastro-intestinal) agissent comme des barrières protectrices empêchant l'entrée des agents pathogènes dans l'organisme.

2. Système de complément: Il s'agit d'un ensemble de protéines présentes dans le sang et les liquides tissulaires qui travaillent en collaboration pour détecter et éliminer les agents pathogènes. Le système de complément peut provoquer la lyse (c'est-à-dire la destruction) des cellules infectées ou faciliter le processus d'élimination des agents pathogènes par d'autres cellules du système immunitaire.

3. Phagocytes: Ce sont des globules blancs qui peuvent engloutir et détruire les agents pathogènes. Les principaux types de phagocytes sont les neutrophiles et les macrophages.

4. Système immunitaire inné humororal: Il s'agit d'une réponse immunitaire non spécifique qui implique la production d'anticorps (immunoglobulines) par des cellules spécialisées appelées plasmocytes. Ces anticorps peuvent se lier aux agents pathogènes et faciliter leur élimination par d'autres cellules du système immunitaire.

5. Réponse inflammatoire: Il s'agit d'une réaction locale à une infection ou à une lésion tissulaire, qui implique la dilatation des vaisseaux sanguins et l'augmentation de la perméabilité vasculaire, entraînant un afflux de cellules immunitaires et de protéines plasmatiques dans la zone touchée.

En résumé, le système immunitaire inné joue un rôle crucial dans la défense initiale contre les agents pathogènes en fournissant une réponse rapide et non spécifique à l'infection. Cependant, contrairement au système immunitaire adaptatif, il ne peut pas se souvenir des agents pathogènes précédemment rencontrés ni développer une mémoire immunologique pour une protection accrue contre les infections futures.

Le facteur nucléaire kappa B (NF-kB) est un groupe de protéines qui agissent comme facteurs de transcription dans les cellules. Ils se lient à l'ADN et contrôlent la transcription de divers gènes, ce qui a pour effet de réguler la réponse immunitaire, l'inflammation, le développement des cellules, et la croissance tumorale.

NF-kB est généralement maintenu inactif dans le cytoplasme grâce à une protéine inhibitrice appelée IkB (inhibiteur de kappa B). Cependant, lorsque les cellules sont stimulées par des cytokines, des radicaux libres, des rayonnements UV, des infections virales ou bactériennes, l'IkB est phosphorylée et dégradée, ce qui permet la libération et l'activation de NF-kB.

Une fois activé, NF-kB se déplace vers le noyau cellulaire où il se lie à des séquences spécifiques d'ADN appelées sites de réponse NF-kB, ce qui entraîne l'expression de gènes cibles. Ces gènes sont souvent impliqués dans la réponse inflammatoire et immunitaire, mais ils peuvent également jouer un rôle dans la régulation de l'apoptose (mort cellulaire programmée) et de la prolifération cellulaire.

Un dysfonctionnement du système NF-kB a été associé à diverses maladies, notamment les maladies inflammatoires chroniques, l'athérosclérose, le cancer et certaines maladies neurodégénératives.

CCR8 (C-C chemokine receptor type 8) est un récepteur de chimokines qui appartient à la famille des récepteurs couplés aux protéines G. Il se lie spécifiquement au ligand chimokine CCL1 (ou I-309), qui joue un rôle important dans l'homéostasie et l'inflammation.

Le récepteur CCR8 est exprimé principalement sur les cellules T régulatrices (Tregs) spécifiques de la sous-population Th2, ainsi que sur d'autres cellules immunitaires telles que les monocytes et les eosinophiles. L'activation du récepteur CCR8 par son ligand CCL1 conduit à une cascade de signalisation intracellulaire qui régule la migration, l'activation et la fonction des cellules immunitaires.

Dans le contexte des maladies inflammatoires et auto-immunes, l'axe CCR8/CCL1 a été impliqué dans la pathogenèse de diverses affections telles que l'asthme, la dermatite atopique, la sclérose en plaques et la maladie de Crohn. Par conséquent, le récepteur CCR8 est considéré comme une cible thérapeutique prometteuse pour le développement de médicaments visant à traiter ces affections.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les lipopolysaccharides (LPS) sont des molécules complexes qui se trouvent dans la membrane externe de certaines bactéries gram-négatives. Ils sont composés d'un noyau central de polysaccharide lié à un lipide appelé lipide A, qui est responsable de l'activité endotoxique du LPS.

Le lipide A est une molécule toxique qui peut provoquer une réponse inflammatoire aiguë lorsqu'il est reconnu par le système immunitaire des mammifères. Le polysaccharide, quant à lui, est constitué de chaînes de sucres simples et complexes qui peuvent varier considérablement d'une bactérie à l'autre, ce qui permet aux lipopolysaccharides de jouer un rôle important dans la reconnaissance des bactéries par le système immunitaire.

Les lipopolysaccharides sont également appelés endotoxines, car ils sont libérés lorsque les bactéries se divisent ou meurent et peuvent provoquer une réponse inflammatoire dans l'hôte. Ils sont associés à de nombreuses maladies infectieuses graves, telles que la septicémie, le choc toxique et la méningite.

La cytométrie en flux est une technique de laboratoire qui permet l'analyse quantitative et qualitative des cellules et des particules biologiques. Elle fonctionne en faisant passer les échantillons à travers un faisceau laser, ce qui permet de mesurer les caractéristiques physiques et chimiques des cellules, telles que leur taille, leur forme, leur complexité et la présence de certains marqueurs moléculaires. Les données sont collectées et analysées à l'aide d'un ordinateur, ce qui permet de classer les cellules en fonction de leurs propriétés et de produire des graphiques et des statistiques détaillées.

La cytométrie en flux est largement utilisée dans la recherche et le diagnostic médicaux pour étudier les maladies du sang, le système immunitaire, le cancer et d'autres affections. Elle permet de détecter et de mesurer les cellules anormales, telles que les cellules cancéreuses ou les cellules infectées par un virus, et peut être utilisée pour évaluer l'efficacité des traitements médicaux.

En plus de son utilisation dans le domaine médical, la cytométrie en flux est également utilisée dans la recherche fondamentale en biologie, en écologie et en biotechnologie pour étudier les propriétés des cellules et des particules vivantes.

Les facteurs antihéparines sont des composés présents dans le sang qui ont la capacité d'inhiber l'action de l'héparine, un anticoagulant important. Ils sont également connus sous le nom d'inhibiteurs de l'héparine. Il existe deux types de facteurs antihéparines : les facteurs antithrombines liés au plasma et les protéines de Pfizer. Les facteurs antithrombines liés au plasma incluent le facteur antithrombine (AT) et l'héparine cofactor II, tandis que les protéines de Pfizer comprennent la protéine C et la protéine S.

L'héparine est une molécule hautement chargée négativement qui se lie à divers facteurs de coagulation et accélère l'action d'une enzyme appelée inhibiteur de la activated factor X (Xa), ce qui entraîne une diminution de la formation de caillots sanguins. Cependant, lorsque des facteurs antihéparines sont présents dans le sang, ils peuvent se lier à l'héparine et empêcher sa liaison aux facteurs de coagulation, ce qui réduit son efficacité en tant qu'anticoagulant.

Les facteurs antihéparines jouent un rôle important dans la régulation de la coagulation sanguine et aident à prévenir les saignements excessifs. Cependant, une augmentation des niveaux de facteurs antihéparines peut entraîner un état d'hypercoagulabilité, ce qui augmente le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire. Des conditions telles que la grossesse, l'insuffisance rénale, la maladie hépatique et certaines affections inflammatoires peuvent entraîner une augmentation des niveaux de facteurs antihéparines.

CCR6 (C-C chemokine receptor 6) est un type de récepteur de chémokines qui se trouve à la surface des cellules et joue un rôle important dans le système immunitaire. Il se lie spécifiquement à une chimiokine appelée CCL20 (macrophage inflammatory protein-3α ou MIP-3α) et participe à l'attraction et à la migration des cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T helper 17 (Th17), aux sites d'inflammation.

Les récepteurs CCR6 sont exprimés par divers types de cellules immunitaires, y compris certaines sous-populations de lymphocytes T et B, ainsi que des cellules dendritiques. Leur activation entraîne une série de réponses cellulaires, notamment la modification de la mobilité cellulaire, l'activation de voies de signalisation intracellulaire et la régulation de l'expression génique.

Dans les processus pathologiques tels que la maladie inflammatoire de l'intestin (MII), le psoriasis et d'autres affections auto-immunes, on observe une expression accrue de CCR6 et de son ligand CCL20, ce qui suggère un rôle potentialisé dans la pathogenèse de ces maladies. Par conséquent, les récepteurs CCR6 sont considérés comme des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de diverses affections inflammatoires et auto-immunes.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Les lymphocytes T auxiliaires Th2, également connus sous le nom de CD4+ ou lymphocytes T helper 2, sont un type de cellules T auxiliaires qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la médiation de réponses immunitaires humorales, en particulier contre les parasites et certaines bactéries extracellulaires.

Lorsqu'ils sont activés, les lymphocytes T auxiliaires Th2 sécrètent des cytokines spécifiques, telles que l'interleukine-4 (IL-4), l'interleukine-5 (IL-5) et l'interleukine-13 (IL-13). Ces cytokines favorisent la différenciation et l'activation des autres cellules du système immunitaire, notamment les éosinophiles, les basophiles et les mastocytes, ainsi que les lymphocytes B.

Les lymphocytes T auxiliaires Th2 sont également impliqués dans la régulation de réponses allergiques et inflammatoires excessives. Cependant, un déséquilibre ou une activation excessive des lymphocytes T auxiliaires Th2 peut contribuer au développement de diverses affections pathologiques, telles que les maladies auto-immunes, les allergies et l'asthme.

En résumé, les lymphocytes T auxiliaires Th2 sont des cellules immunitaires qui jouent un rôle essentiel dans la réponse immunitaire adaptative contre certains agents pathogènes et dans la régulation des réponses allergiques et inflammatoires.

Les récepteurs CXCR (C-X-C motif receptor) font partie d'une famille de récepteurs couplés aux protéines G qui sont activés par des ligands spécifiques, appelés chimioquimokines. Dans cette famille, les récepteurs CXCR s'associent principalement avec le ligand CXCL12 (stromal cell-derived factor 1, SDF-1).

Le récepteur CXCR4 est le membre le plus étudié de la famille des récepteurs CXCR. Il joue un rôle crucial dans l'homéostasie et la migration cellulaire, en particulier dans le développement embryonnaire, l'hématopoïèse, la néovascularisation, la neurogenèse et l'inflammation.

Le récepteur CXCR7 (ou ACKR3) est un autre membre de cette famille qui peut se lier à CXCL12 ainsi qu'à d'autres ligands chimioquimokines. Il joue un rôle dans la régulation des fonctions immunitaires et inflammatoires, ainsi que dans le développement du système nerveux central.

Les récepteurs CXCR sont également ciblés dans le traitement de certaines maladies, telles que le cancer et les infections virales, en raison de leur implication dans la migration cellulaire et l'angiogenèse.

Les lymphocytes T auxiliaires Th1, également connus sous le nom de lymphocytes T CD4+ Th1, sont un type de cellules T auxiliaires qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative de l'organisme contre les infections intracellulaires, telles que les virus et certaines bactéries.

Après avoir été activées par des cellules présentant l'antigène (APC), ces lymphocytes T auxiliaires sécrètent des cytokines spécifiques, en particulier l'interféron gamma (IFN-γ) et l'interleukine-2 (IL-2), qui favorisent la différenciation et l'activation des macrophages pour détruire les agents pathogènes intracellulaires. Les lymphocytes T auxiliaires Th1 coordonnent également la réponse immunitaire en recrutant d'autres cellules immunitaires, comme les lymphocytes NK et les autres sous-types de lymphocytes T auxiliaires.

Un déséquilibre dans la régulation des lymphocytes T auxiliaires Th1 peut entraîner diverses affections pathologiques, telles que les maladies auto-immunes et les infections chroniques.

L'expression génétique est un processus biologique fondamental dans lequel l'information génétique contenue dans l'ADN est transcritte en ARN, puis traduite en protéines. Ce processus permet aux cellules de produire les protéines spécifiques nécessaires à leur fonctionnement, à leur croissance et à leur reproduction.

L'expression génétique peut être régulée à différents niveaux, y compris la transcription de l'ADN en ARNm, la maturation de l'ARNm, la traduction de l'ARNm en protéines et la modification post-traductionnelle des protéines. Ces mécanismes de régulation permettent aux cellules de répondre aux signaux internes et externes en ajustant la production de protéines en conséquence.

Des anomalies dans l'expression génétique peuvent entraîner des maladies génétiques ou contribuer au développement de maladies complexes telles que le cancer. L'étude de l'expression génétique est donc essentielle pour comprendre les mécanismes moléculaires de la maladie et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

En pharmacologie et en chimie, un ligand est une molécule ou un ion qui se lie de manière réversible à une protéine spécifique, généralement une protéine située sur la surface d'une cellule. Cette liaison se produit grâce à des interactions non covalentes telles que les liaisons hydrogène, les forces de Van der Waals et les interactions hydrophobes. Les ligands peuvent être des neurotransmetteurs, des hormones, des médicaments, des toxines ou d'autres molécules biologiquement actives.

Lorsqu'un ligand se lie à une protéine, il peut modifier sa forme et son activité, ce qui entraîne une réponse cellulaire spécifique. Par exemple, les médicaments peuvent agir comme des ligands en se liant à des protéines cibles pour moduler leur activité et produire un effet thérapeutique souhaité.

Il est important de noter que la liaison entre un ligand et une protéine est spécifique, ce qui signifie qu'un ligand donné se lie préférentiellement à une protéine particulière plutôt qu'à d'autres protéines. Cette spécificité est déterminée par la structure tridimensionnelle de la protéine et du ligand, ainsi que par les forces non covalentes qui les maintiennent ensemble.

En résumé, un ligand est une molécule ou un ion qui se lie réversiblement à une protéine spécifique pour moduler son activité et produire une réponse cellulaire spécifique.

CXCR5 est un type de récepteur chimiotactique couplé aux protéines G (GPCR) qui se lie spécifiquement au ligand CXCL13, également connu sous le nom de BCA-1 ou B lymphocyte Chemoattractant. Il joue un rôle crucial dans l'homing et la migration des lymphocytes B aux zones germinales des ganglions lymphatiques et de la rate pendant une réponse immune adaptative. Des mutations ou des variations dans le gène CXCR5 ont été associées à certaines maladies, y compris les troubles auto-immuns et certains types de cancer.

En termes médicaux, on peut définir CXCR5 comme un récepteur exprimé sur les lymphocytes B et T helper qui participe à la régulation du trafic cellulaire et de l'organisation des structures tissulaires au cours d'une réponse immune adaptative, en se liant au ligand CXCL13 pour faciliter l'homing des lymphocytes B aux zones germinales.

L'analyse de l'expression des gènes est une méthode de recherche qui mesure la quantité relative d'un ARN messager (ARNm) spécifique produit par un gène dans un échantillon donné. Cette analyse permet aux chercheurs d'étudier l'activité des gènes et de comprendre comment ils fonctionnent ensemble pour réguler les processus cellulaires et les voies métaboliques.

L'analyse de l'expression des gènes peut être effectuée en utilisant plusieurs techniques, y compris la microarray, la PCR quantitative en temps réel (qPCR), et le séquençage de l'ARN. Ces méthodes permettent de mesurer les niveaux d'expression des gènes à grande échelle, ce qui peut aider à identifier les différences d'expression entre des échantillons normaux et malades, ou entre des cellules avant et après un traitement.

L'analyse de l'expression des gènes est utilisée dans divers domaines de la recherche biomédicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la pharmacologie, et la médecine translationnelle. Elle peut fournir des informations importantes sur les mécanismes sous-jacents à une maladie, aider au diagnostic précoce et à la surveillance de l'évolution de la maladie, et contribuer au développement de nouveaux traitements ciblés.

Les agranulocytes sont un type de globules blancs, ou leucocytes, qui ne contiennent pas de granules dans leur cytoplasme lorsqu'ils sont observés au microscope. Il existe deux principaux types d'agranulocytes : les lymphocytes et les monocytes.

Les lymphocytes jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme en produisant des anticorps et en détruisant les cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent être encore divisés en deux sous-catégories : les lymphocytes B, qui produisent des anticorps, et les lymphocytes T, qui aident à réguler la réponse immunitaire et détruisent directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Les monocytes, quant à eux, sont les plus grands leucocytes et peuvent se différencier en macrophages ou en cellules dendritiques, qui sont responsables de la phagocytose, c'est-à-dire de l'ingestion et de la digestion des agents pathogènes et des débris cellulaires.

Un faible nombre d'agranulocytes, en particulier de neutrophiles (un type de granulocyte), peut rendre une personne plus susceptible aux infections, car ces cellules sont essentielles pour combattre les bactéries et les champignons. Cependant, un nombre réduit d'agranulocytes spécifiquement (lymphocytes ou monocytes) peut également indiquer des problèmes de santé sous-jacents, tels que des infections virales, des maladies auto-immunes ou des troubles du système immunitaire.

La chemokine CCL27, également connue sous le nom de CTACK (CC-chemokine ligand 27), est une petite protéine impliquée dans la régulation de l'immunité et de l'inflammation. Elle appartient à la famille des chemokines, qui sont des molécules de signalisation cellulaire qui attirent et activent les cellules immunitaires.

La CCL27 se lie spécifiquement au récepteur CCR10, qui est exprimé principalement sur les lymphocytes T mémoires cutanés et les cellules de Langerhans. Cette interaction joue un rôle important dans le trafic et la localisation des lymphocytes T mémoires cutanés dans la peau, où ils contribuent à la défense immunitaire contre les agents pathogènes et au maintien de l'homéostasie tissulaire.

Des niveaux élevés de CCL27 ont été détectés dans diverses affections cutanées, telles que le psoriasis, la dermatite atopique et le cancer de la peau, ce qui suggère qu'elle pourrait jouer un rôle dans le développement et la progression de ces maladies. Par conséquent, la CCL27 est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces affections.

Le liquide de lavage bronchoalvéolaire (BALF) est une méthode de diagnostic utilisée en pneumologie pour évaluer l'état des voies respiratoires inférieures. Il s'agit d'un échantillon de liquide recueilli après avoir instillé et aspiré une solution saline stérile dans la bronche ou l'alvéole pulmonaire d'un patient.

Ce liquide contient des cellules, des protéines, des cytokines et d'autres composants qui peuvent aider à identifier la présence de diverses affections pulmonaires telles que les infections, l'inflammation, la fibrose pulmonaire, la pneumoconiosis, la maladie pulmonaire interstitielle et certains types de cancer du poumon.

L'analyse du BALF peut inclure le comptage des cellules, l'examen microscopique pour détecter la présence d'agents pathogènes ou de cellules anormales, ainsi que des tests chimiques et immunologiques pour évaluer les niveaux de divers marqueurs inflammatoires ou autres protéines.

Il est important de noter que le prélèvement de BALF nécessite une certaine expertise médicale et doit être effectué avec soin pour éviter d'endommager les tissus pulmonaires délicats.

Les facteurs de croissance sont des molécules de signalisation qui régulent la prolifération, la différenciation et la migration cellulaires. Ils jouent un rôle crucial dans la croissance, le développement et la réparation des tissus dans l'organisme. Les facteurs de croissance se lient à des récepteurs spécifiques sur la surface des cellules cibles, ce qui active une cascade de réactions biochimiques conduisant à des changements dans l'expression des gènes et la fonction cellulaire.

Les facteurs de croissance sont produits par divers types de cellules et peuvent être trouvés dans presque tous les tissus du corps. Ils comprennent une grande variété de protéines, y compris les facteurs de croissance nerveuse (NGF), les facteurs de croissance épidermique (EGF), les facteurs de croissance transformants (TGF) et les facteurs de croissance fibroblastes (FGF).

Dans le contexte médical, les facteurs de croissance sont souvent utilisés dans le traitement de diverses affections, telles que les plaies chroniques, les brûlures, l'ostéoporose et certaines maladies neurologiques. Ils peuvent être administrés par voie topique, systémique ou locale, en fonction du type de facteur de croissance et de la condition traitée. Cependant, leur utilisation doit être soigneusement surveillée en raison du risque potentiel de effets secondaires indésirables, tels que la prolifération cellulaire incontrôlée et le développement de tumeurs malignes.

L'inhibition de la migration cellulaire est un processus dans lequel la capacité des cellules à se déplacer et à migrer vers différentes parties du corps est réduite ou empêchée. Ce phénomène joue un rôle crucial dans la régulation de divers processus biologiques, tels que la cicatrisation des plaies, l'angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins) et la métastase du cancer.

Dans le contexte médical, l'inhibition de la migration cellulaire est souvent étudiée dans le cadre de la recherche sur le cancer, car elle peut aider à prévenir la propagation des cellules cancéreuses vers d'autres organes et tissus. Des molécules spécifiques, appelées inhibiteurs de la migration cellulaire, peuvent être utilisées pour cibler et bloquer les mécanismes qui permettent aux cellules cancéreuses de se déplacer et de migrer.

Ces inhibiteurs peuvent agir en interférant avec divers processus impliqués dans la migration cellulaire, tels que l'adhésion cellulaire, la formation de structures cytosquelettiques et la signalisation cellulaire. En bloquant ces mécanismes, les inhibiteurs peuvent aider à réduire la capacité des cellules cancéreuses à envahir et à se propager dans le corps, ce qui peut améliorer les résultats cliniques pour les patients atteints de cancer.

Cependant, il est important de noter que l'inhibition de la migration cellulaire peut également avoir des effets néfastes sur d'autres processus biologiques importants, tels que la cicatrisation des plaies et l'angiogenèse. Par conséquent, il est essentiel de comprendre pleinement les implications de l'utilisation de ces inhibiteurs avant de les utiliser dans un contexte clinique.

L'activation des granulocytes neutrophiles est un processus impliqué dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les infections. Les granulocytes neutrophiles sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire inné en détruisant les pathogènes invasifs par phagocytose et la libération de molécules toxiques.

L'activation des granulocytes neutrophiles se produit lorsqu'ils sont exposés à des signaux chimiotactiques, tels que des cytokines ou des composants bactériens, qui les attirent vers le site de l'infection. Cela entraîne une cascade de réactions biochimiques qui aboutissent à la mobilisation et à l'activation des granulocytes neutrophiles.

Les granulocytes neutrophiles activés présentent alors des changements morphologiques, tels qu'un noyau segmenté et une augmentation de la taille des granules cytoplasmiques. Ils expriment également des molécules d'adhésion cellulaire qui leur permettent de se déplacer le long des vaisseaux sanguins et de migrer vers le site de l'infection.

Une fois sur place, les granulocytes neutrophiles activés peuvent détruire les pathogènes en les engloutissant dans des vacuoles et en libérant des molécules toxiques telles que des radicaux libres et des enzymes. Cependant, une activation excessive ou incontrôlée des granulocytes neutrophiles peut également entraîner des dommages tissulaires et une inflammation excessive, ce qui peut contribuer à des maladies telles que la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), l'asthme sévère et les maladies inflammatoires de l'intestin.

Les récepteurs CCR (CCR pour «C-C chemokine receptor» en anglais) font partie d'une famille de récepteurs couplés aux protéines G qui se lient spécifiquement aux chimioquinines C-C, des molécules de signalisation impliquées dans l'inflammation et l'immunité. Ces récepteurs sont exprimés à la surface de divers types de cellules immunitaires telles que les lymphocytes T et B, les monocytes, les macrophages et les granulocytes.

Les récepteurs CCR jouent un rôle crucial dans le trafic et la migration des cellules immunitaires vers les sites d'inflammation ou d'infection en réponse aux gradients de concentration de chimioquinines C-C. Ils sont également associés à diverses fonctions cellulaires, y compris l'activation, la prolifération et l'apoptose (mort cellulaire programmée).

Il existe plusieurs sous-types de récepteurs CCR, dont les plus étudiés sont CCR1, CCR2, CCR3, CCR4, CCR5, CCR6, CCR7, CCR8 et CCR9. Chaque sous-type a des propriétés spécifiques en termes de liaison aux ligands chimioquinines C-C et d'activation des voies de signalisation intracellulaire.

Des anomalies dans les récepteurs CCR ont été associées à diverses maladies, notamment les infections virales (comme le VIH), l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et certains cancers. Par conséquent, les récepteurs CCR sont des cibles thérapeutiques potentielles pour le développement de médicaments visant à traiter ces affections.

La molécule d'adhésion intercellulaire-1, également connue sous le nom de ICAM-1 (Intercellular Adhesion Molecule 1), est une protéine exprimée à la surface des cellules endothéliales, des leucocytes et d'autres cellules immunitaires. Elle joue un rôle crucial dans l'adhésion des leucocytes aux cellules endothéliales, un processus essentiel au bon fonctionnement du système immunitaire.

ICAM-1 est une glycoprotéine transmembranaire de la famille des immunoglobulines. Elle se lie à plusieurs récepteurs, dont le principal est la protéine d'adhésion des leucocytes (LFA-1), exprimée sur les leucocytes. Ce lien permet aux leucocytes de s'arrêter et de migrer à travers la paroi vasculaire pour atteindre les sites d'inflammation ou d'infection.

ICAM-1 est régulé par divers stimuli, notamment les cytokines pro-inflammatoires telles que le TNF-α (facteur de nécrose tumorale alpha) et l'IL-1 (interleukine-1). Son expression accrue sur la surface des cellules endothéliales est associée à diverses affections inflammatoires, infectieuses et immunitaires, telles que les maladies cardiovasculaires, l'athérosclérose, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et d'autres maladies auto-immunes.

En plus de son rôle dans l'adhésion des leucocytes, ICAM-1 est également impliquée dans la signalisation cellulaire, la régulation de l'activité immunitaire et la présentation de l'antigène. Par conséquent, il s'agit d'une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

L'adhérence cellulaire est le processus par lequel les cellules s'attachent les unes aux autres ou à la matrice extracellulaire, qui est l'environnement dans lequel les cellules vivent. C'est un mécanisme important pour maintenir la structure et la fonction des tissus dans le corps.

L'adhérence cellulaire est médiée par des protéines spéciales appelées cadhérines, qui se lient les unes aux autres sur les membranes cellulaires pour former des jonctions adhérentes. D'autres protéines telles que les intégrines et les caténines sont également importantes pour le processus d'adhérence cellulaire.

Des anomalies dans l'adhérence cellulaire peuvent entraîner diverses maladies, notamment des troubles du développement, des maladies inflammatoires et des cancers. Par exemple, une adhérence cellulaire anormale peut entraîner la formation de tumeurs cancéreuses qui se propagent dans le corps en envahissant les tissus voisins et en formant des métastases à distance.

En médecine, l'étude de l'adhérence cellulaire est importante pour comprendre les processus sous-jacents à diverses maladies et pour développer de nouvelles thérapies visant à traiter ces affections.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Les cellules endothéliales sont les cellules simples et aplaties qui tapissent la surface intérieure des vaisseaux sanguins et lymphatiques. Elles forment une barrière entre le sang ou la lymphe et les tissus environnants, régulant ainsi le mouvement des substances et des cellules entre ces deux compartiments.

Les cellules endothéliales jouent un rôle crucial dans la maintenance de l'homéostasie vasculaire en contrôlant la perméabilité vasculaire, la coagulation sanguine, l'inflammation et la croissance des vaisseaux sanguins. Elles sécrètent également divers facteurs paracrines et autocrines qui régulent la fonction endothéliale et la physiologie vasculaire.

Des altérations de la fonction endothéliale ont été associées à un large éventail de maladies cardiovasculaires, y compris l'athérosclérose, l'hypertension artérielle, les maladies coronariennes et l'insuffisance cardiaque. Par conséquent, la protection et la régénération des cellules endothéliales sont des domaines de recherche actifs dans le développement de thérapies pour traiter ces affections.

Le terme «séquençage par oligonucléotides en batterie» ne semble pas être une expression ou un concept reconnu dans le domaine de la médecine ou de la biologie moléculaire. Il est possible que vous ayez fait une erreur ou que ce terme spécifique soit utilisé dans un contexte particulier et restreint qui m'est inconnu.

Le séquençage d'oligonucléotides, cependant, est une technique de biologie moléculaire permettant de déterminer l'ordre des nucléotides dans une chaîne d'acide nucléique (ADN ou ARN). Cette méthode implique généralement l'utilisation de petits oligonucléotides marqués comme sondes pour identifier et séquencer des régions spécifiques du brin d'acide nucléique.

Si vous cherchiez une définition pour un terme similaire ou lié, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les molécules d'adhésion cellulaire sont des protéines qui se trouvent à la surface des cellules et leur permettent de s'adhérer les unes aux autres ou à la matrice extracellulaire. Elles jouent un rôle crucial dans une variété de processus biologiques, tels que la communication intercellulaire, la migration cellulaire, la différenciation cellulaire et la régulation de la croissance cellulaire. Les molécules d'adhésion cellulaire peuvent être classées en plusieurs catégories, notamment les cadhérines, les immunoglobulines, les intégrines et les sélectines.

Les cadhérines sont des protéines transmembranaires qui médient l'adhésion homophilique entre les cellules, ce qui signifie qu'elles se lient préférentiellement à d'autres molécules de la même sous-classe. Les immunoglobulines sont des protéines transmembranaires qui médient l'adhésion hétérophilique entre les cellules, ce qui signifie qu'elles se lient à des molécules différentes de leur propre sous-classe.

Les intégrines sont des récepteurs transmembranaires qui médient l'adhésion des cellules à la matrice extracellulaire, tandis que les sélectines sont des protéines de surface cellulaire qui facilitent le contact initial et la reconnaissance entre les cellules.

Les molécules d'adhésion cellulaire peuvent être impliquées dans diverses pathologies, telles que l'inflammation, la tumorigénèse et la progression des tumeurs. Par conséquent, elles représentent des cibles thérapeutiques potentielles pour le développement de nouveaux traitements médicaux.

L'interleukine-6 (IL-6) est une protéine appartenant à la famille des cytokines qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire et inflammatoire de l'organisme. Elle est produite par divers types de cellules, dont les macrophages, les lymphocytes T, les fibroblastes et les cellules endothéliales, en réponse à des stimuli tels que les infections, les traumatismes ou le stress.

L'IL-6 agit comme un médiateur dans la communication entre les cellules du système immunitaire et influence leur activation, différenciation et prolifération. Elle participe notamment à l'activation des lymphocytes B, qui produisent des anticorps en réponse aux infections, et des lymphocytes T, qui contribuent à la défense cellulaire contre les agents pathogènes.

En outre, l'IL-6 intervient dans la régulation de la phase aiguë de la réponse inflammatoire en induisant la production d'acute-phase proteins (APP) par le foie. Ces protéines, telles que la fibrinogène et la C-réactive protein (CRP), contribuent à la neutralisation des agents pathogènes et à la réparation des tissus lésés.

Cependant, une production excessive d'IL-6 peut entraîner un état inflammatoire chronique et être associée à diverses maladies, dont les rhumatismes inflammatoires, les infections chroniques, les maladies cardiovasculaires et certains cancers. Des traitements ciblant l'IL-6 ou son récepteur ont été développés pour le traitement de certaines de ces affections.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

Les lymphocytes T CD4+, également connus sous le nom de lymphocytes T auxiliaires ou helper, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils aident à coordonner la réponse immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes et les cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD4+ possèdent des récepteurs de surface appelés récepteurs des lymphocytes T (TCR) qui leur permettent de reconnaître et de se lier aux antigènes présentés par les cellules présentatrices d'antigènes, telles que les cellules dendritiques. Une fois activés, les lymphocytes T CD4+ sécrètent des cytokines qui contribuent à activer et à réguler d'autres cellules immunitaires, telles que les lymphocytes B, les lymphocytes T CD8+ et les cellules natural killer.

Les lymphocytes T CD4+ peuvent être divisés en plusieurs sous-ensembles fonctionnels, tels que les lymphocytes T Th1, Th2, Th17 et Treg, qui ont des fonctions immunitaires spécifiques. Les lymphocytes T CD4+ sont essentiels pour une réponse immunitaire efficace contre de nombreux agents pathogènes, y compris les virus, les bactéries et les parasites. Cependant, un déséquilibre ou une activation excessive des lymphocytes T CD4+ peut également contribuer au développement de maladies auto-immunes et inflammatoires.

L'activation des lymphocytes est un processus crucial dans le système immunitaire adaptatif, qui se produit lorsque les lymphocytes (un type de globule blanc) sont exposés à un antigène spécifique. Cela entraîne une série d'événements cellulaires et moléculaires qui permettent aux lymphocytes de devenir fonctionnellement actifs et de participer à la réponse immunitaire spécifique à cet antigène.

Les lymphocytes T et B sont les deux principaux types de lymphocytes activés dans le processus d'activation des lymphocytes. L'activation se produit en plusieurs étapes : reconnaissance de l'antigène, activation, prolifération et différenciation.

1. Reconnaissance de l'antigène : Les lymphocytes T et B reconnaissent les antigènes grâce à des récepteurs spécifiques à leur surface. Les lymphocytes T ont des récepteurs T (TCR) qui reconnaissent les peptides présentés par les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) sur la surface des cellules présentant l'antigène. Les lymphocytes B, quant à eux, ont des récepteurs B (BCR) qui reconnaissent directement les antigènes entiers ou des fragments d'eux.
2. Activation : Lorsqu'un lymphocyte T ou B rencontre un antigène correspondant à son récepteur, il devient activé et commence à se diviser pour produire de nombreuses cellules filles. Cette activation nécessite des signaux co-stimulateurs fournis par d'autres cellules immunitaires, telles que les cellules présentatrices d'antigènes (CPA) ou les cellules dendritiques.
3. Prolifération : Après l'activation, les lymphocytes T et B subissent une prolifération rapide pour produire des clones de cellules filles génétiquement identiques qui partagent le même récepteur spécifique à l'antigène.
4. Différenciation : Les cellules filles peuvent ensuite se différencier en différents sous-types de lymphocytes T ou B, selon la nature de l'antigène et les signaux qu'ils reçoivent pendant l'activation. Par exemple, les lymphocytes T CD4+ peuvent se différencier en cellules Th1, Th2, Th17, Treg ou autres sous-types, tandis que les lymphocytes B peuvent se différencier en plasmocytes producteurs d'anticorps ou en cellules B mémoire.
5. Effector et mémoire : Les lymphocytes T et B activés peuvent alors fonctionner comme des cellules effectrices, produisant des cytokines, tuant les cellules infectées ou sécrétant des anticorps pour neutraliser les agents pathogènes. Certaines de ces cellules deviennent également des cellules mémoire à long terme qui peuvent être rapidement réactivées lors d'une exposition ultérieure au même antigène.

En résumé, l'activation et la différenciation des lymphocytes T et B sont des processus complexes impliquant une série d'étapes qui dépendent de la nature de l'antigène, des signaux environnementaux et des interactions avec d'autres cellules du système immunitaire. Ces processus permettent au système immunitaire adaptatif de générer des réponses spécifiques aux antigènes et de développer une mémoire immunologique pour assurer une protection à long terme contre les agents pathogènes récurrents.

Les récepteurs aux antigènes des cellules B, également connus sous le nom de récepteurs d'immunoglobuline (Ig) ou récepteurs B-cellulaire spécifiques d'antigène, sont des molécules de surface exprimées par les lymphocytes B qui leur permettent de reconnaître et de se lier sélectivement aux antigènes. Ces récepteurs sont composés de chaînes polypeptidiques lourdes et légères, qui forment une structure en forme de Y avec deux bras d'immunoglobuline variable (IgV) et un bras constant. Les régions variables des chaînes lourdes et légères contiennent des sites de liaison à l'antigène hautement spécifiques, qui sont générés par un processus de recombinaison somatique au cours du développement des cellules B dans la moelle osseuse. Une fois activées par la reconnaissance d'un antigène approprié, les cellules B peuvent se différencier en plasmocytes et produire des anticorps solubles qui maintiennent l'immunité humorale contre les agents pathogènes et autres substances étrangères.

L'interleukine-1 bêta (IL-1β) est une protéine qui agit comme un cytokine, une molécule de signalisation importante dans le système immunitaire. Elle est produite principalement par les macrophages en réponse à des stimuli tels que les infections ou les lésions tissulaires.

L'IL-1β joue un rôle crucial dans la réaction inflammatoire de l'organisme, contribuant à l'activation et au recrutement des cellules immunitaires vers le site de l'inflammation. Elle participe également à la régulation de la réponse immune, de la réparation tissulaire et de l'homéostasie.

Cependant, une production excessive d'IL-1β peut contribuer au développement de maladies inflammatoires chroniques telles que la polyarthrite rhumatoïde, la goutte, ou encore certaines formes de cancer. Pour cette raison, l'IL-1β est considérée comme une cible thérapeutique prometteuse dans le traitement de ces maladies.

Les récepteurs de type Toll (TLR, de l'anglais Toll-like receptors) sont une famille de protéines transmembranaires qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire inné des mammifères. Ils sont capables de détecter divers types de molécules pathogènes, telles que les protéines, les lipides et l'acide nucléique provenant de bactéries, de virus, de champignons et de parasites.

Les TLR sont exprimés principalement sur les cellules immunitaires innées, comme les macrophages, les monocytes, les neutrophiles et les cellules dendritiques. Ils possèdent un domaine extracellulaire riche en leucine qui est responsable de la reconnaissance des molécules pathogènes, et un domaine intracellulaire qui initie une cascade de signalisation impliquant l'activation de facteurs de transcription et la production de cytokines pro-inflammatoires.

La stimulation des TLR permet l'activation et la différenciation des cellules immunitaires, ce qui favorise l'élimination des agents pathogènes et déclenche une réponse adaptative de la part du système immunitaire. Les récepteurs de type Toll sont donc essentiels pour la reconnaissance des infections et la régulation de la réponse immunitaire innée.

L'interleukine-1 (IL-1) est une cytokine pro-inflammatoire qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme. Il existe deux types d'IL-1 : IL-1α et IL-1β, qui sont sécrétés par divers types de cellules, y compris les macrophages, les monocytes et les cellules dendritiques.

L'IL-1 est produite en réponse à des stimuli tels que les infections, les lésions tissulaires ou les maladies auto-immunes. Elle agit en se liant à des récepteurs spécifiques sur la surface de divers types de cellules, déclenchant ainsi une cascade de réactions inflammatoires qui contribuent à éliminer les agents pathogènes et à réparer les tissus endommagés.

L'IL-1 est également associée à un certain nombre de processus physiologiques, tels que la réponse fébrile, l'activation des lymphocytes T et B, la production d'autres cytokines et la régulation du métabolisme énergétique. Cependant, une activation excessive ou inappropriée de l'IL-1 peut contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires chroniques, telles que la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn et la septicémie.

En raison de son rôle important dans la réponse immunitaire et inflammatoire, l'IL-1 est une cible thérapeutique importante pour le traitement de diverses maladies inflammatoires chroniques.

Les souris transgéniques sont un type de souris génétiquement modifiées qui portent et expriment des gènes étrangers ou des séquences d'ADN dans leur génome. Ce processus est accompli en insérant le gène étranger dans l'embryon précoce de la souris, généralement au stade une cellule, ce qui permet à la modification de se propager à toutes les cellules de l'organisme en développement.

Les souris transgéniques sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier la fonction et le rôle des gènes spécifiques dans le développement, la physiologie et la maladie. Elles peuvent être utilisées pour modéliser diverses affections humaines, y compris les maladies génétiques, le cancer, les maladies cardiovasculaires et neurologiques.

Les chercheurs peuvent concevoir des souris transgéniques avec des caractéristiques spécifiques en insérant un gène particulier qui code pour une protéine d'intérêt ou en régulant l'expression d'un gène endogène. Cela permet aux chercheurs de mieux comprendre les voies moléculaires et cellulaires impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, ce qui peut conduire à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies humaines.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

L'endothélium vasculaire est la fine couche de cellules qui tapissent la lumière interne des vaisseaux sanguins et lymphatiques. Il s'agit d'une barrière semi-perméable qui régule le mouvement des fluides, des électrolytes, des macromolécules et des cellules entre le sang ou la lymphe et les tissus environnants. L'endothélium vasculaire joue un rôle crucial dans la maintenance de l'homéostasie cardiovasculaire en sécrétant des facteurs de libération dépendants et indépendants de l'oxyde nitrique, du prostacycline et d'autres médiateurs paracrines qui influencent la contractilité des muscles lisses vasculaires, la perméabilité vasculaire, l'agrégation plaquettaire, l'inflammation et la prolifération cellulaire. Des altérations de la fonction endothéliale ont été associées à diverses maladies cardiovasculaires, y compris l'athérosclérose, l'hypertension, le diabète sucré et l'insuffisance cardiaque.

La peau est le plus grand organe du corps humain, servant de barrière physique entre l'intérieur du corps et son environnement extérieur. Elle a plusieurs fonctions importantes, y compris la protection contre les agents pathogènes, les dommages mécaniques, les variations de température et les rayons ultraviolets du soleil.

La peau est composée de trois couches principales : l'épiderme, le derme et l'hypoderme. L'épiderme est la couche externe, constituée principalement de cellules mortes qui sont constamment shed and replaced. The dermis, just below the epidermis, contains tough connective tissue, sweat glands, hair follicles, and blood vessels. The hypodermis is the deepest layer, composed of fat and connective tissue that provides padding and insulation for the body.

In addition to providing protection, the skin also plays a role in sensation through nerve endings that detect touch, temperature, and pain. It helps regulate body temperature through sweat glands that release perspiration to cool the body down when it's hot. Furthermore, the skin synthesizes vitamin D when exposed to sunlight.

Maintaining healthy skin is important for overall health and well-being. Proper care includes protecting it from excessive sun exposure, keeping it clean, moisturized, and nourished with essential nutrients.

Les lymphocytes sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils sont responsables de la défense du corps contre les infections et les maladies. Il existe deux principaux types de lymphocytes : les lymphocytes B et les lymphocytes T.

Les lymphocytes B, également appelés cellules B, sont responsables de la production d'anticorps, qui sont des protéines spécialisées qui aident à neutraliser ou à éliminer les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Lorsqu'un anticorps se lie à un agent pathogène, il le marque pour être détruit par d'autres cellules du système immunitaire.

Les lymphocytes T, également appelés cellules T, sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire et de la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent être divisés en plusieurs sous-types, tels que les lymphocytes T cytotoxiques, qui détruisent directement les cellules infectées, et les lymphocytes T helper, qui aident à coordonner la réponse immunitaire en sécrétant des cytokines.

Les lymphocytes sont produits dans la moelle osseuse et se trouvent principalement dans le sang, la rate, les ganglions lymphatiques et les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses, tels que les amygdales et les plaques de Peyer dans l'intestin. Une diminution du nombre de lymphocytes dans le sang, appelée lymphopénie, peut être un signe de maladies sous-jacentes telles que l'infection par le VIH ou certaines formes de cancer.

Le roulement des leucocytes, également connu sous le nom de "margination des leucocytes", est un phénomène qui se produit dans les vaisseaux sanguins. Il décrit le mouvement des leucocytes (un type de globules blancs) depuis le milieu du flux sanguin vers la paroi des vaisseaux sanguins en réponse à une inflammation ou une infection.

Ce processus est déclenché par des molécules chimiques libérées lors d'une inflammation, telles que des cytokines et des chimiokines. Ces molécules attirent les leucocytes vers la zone affectée, où ils peuvent aider à combattre l'infection ou à réparer les tissus endommagés.

Le roulement des leucocytes est un mécanisme important du système immunitaire et joue un rôle clé dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les dommages tissulaires.

La communication cellulaire dans un contexte médical et biologique fait référence à la manière dont les cellules de l'organisme échangent des informations et coopèrent entre elles pour maintenir les processus physiologiques normaux. Cela se produit principalement par l'intermédiaire de molécules signalétiques, telles que les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et les cytokines, qui sont libérées par des cellules spécialisées et perçues par d'autres cellules via des récepteurs spécifiques à la surface de ces dernières.

Ce processus complexe permet aux cellules de coordonner leurs activités respectives, ce qui est crucial pour le développement, la croissance, la réparation et le fonctionnement global de l'organisme. Des perturbations dans la communication cellulaire peuvent entraîner diverses pathologies, allant des maladies neurodégénératives aux cancers. Par conséquent, une compréhension approfondie des mécanismes sous-jacents à la communication cellulaire est essentielle pour élucider les processus physiologiques et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

La microglie sont des cellules immunitaires résidentes dans le système nerveux central (SNC), y compris le cerveau et la moelle épinière. Elles représentent environ 10 à 15% de toutes les cellules du cerveau et jouent un rôle crucial dans la surveillance et la maintenance de l'homéostasie dans le SNC.

Les microglies sont dérivées de précurseurs myéloïdes circulants pendant le développement embryonnaire et persistent dans le cerveau adulte en tant que population résidente distincte. Elles possèdent des processus ramifiés qui leur permettent de surveiller activement leur microenvironnement et de réagir rapidement aux changements ou aux perturbations, telles que les infections, les lésions tissulaires ou les maladies neurodégénératives.

Lorsqu'elles sont activées, les microglies peuvent adopter différents phénotypes et fonctions, allant de la phagocytose des débris cellulaires et des agents pathogènes à la sécrétion de divers facteurs solubles, tels que des cytokines, des chimiokines et des facteurs de croissance nerveuse. Ces facteurs peuvent moduler l'inflammation, réguler la neurogenèse et participer à la plasticité synaptique.

Dysfonctionnements ou anomalies dans la microglie ont été associés à plusieurs troubles neurologiques, y compris les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaques et la maladie de Parkinson, ainsi qu'aux lésions cérébrales traumatiques et aux troubles psychiatriques.

En résumé, la microglie sont des cellules immunitaires résidentes du système nerveux central qui jouent un rôle essentiel dans la surveillance, la maintenance de l'homéostasie et la réponse à divers stimuli néfastes dans le cerveau.

La molécule d'adhésion des cellules vasculaires-1 (VCAM-1), également connue sous le nom de CD106, est une protéine exprimée à la surface des cellules endothéliales activées qui joue un rôle crucial dans l'adhérence et l'agrégation des leucocytes aux parois des vaisseaux sanguins. Cela se produit principalement pendant l'inflammation, où les leucocytes doivent migrer vers les sites affectés pour fournir une réponse immunitaire.

VCAM-1 se lie spécifiquement à plusieurs sous-ensembles de molécules d'adhésion des leucocytes, y compris VLA-4 (very late antigen-4), ce qui entraîne une interaction forte et stable entre les cellules endothéliales et les leucocytes. Cette interaction favorise la diapédèse, un processus par lequel les leucocytes traversent la membrane basale de la paroi vasculaire pour atteindre les tissus environnants.

Dans des contextes pathologiques tels que l'athérosclérose et la maladie inflammatoire chronique de l'intestin, une expression accrue de VCAM-1 a été observée, ce qui peut contribuer à la progression de ces conditions. Par conséquent, les inhibiteurs de VCAM-1 sont actuellement étudiés comme cibles thérapeutiques potentielles pour traiter diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

Un marqueur biologique, également connu sous le nom de biomarqueur, est une molécule trouvée dans le sang, d'autres liquides corporels, ou des tissus qui indique une condition spécifique dans l'organisme. Il peut être une protéine, un gène, un métabolite, un hormone ou tout autre composant qui change en quantité ou en structure en réponse à un processus pathologique, comme une maladie, un trouble de santé ou des dommages tissulaires.

Les marqueurs biologiques sont utilisés dans le diagnostic, la surveillance et l'évaluation du traitement de diverses affections médicales. Par exemple, les niveaux élevés de protéine CA-125 peuvent indiquer la présence d'un cancer des ovaires, tandis que les taux élevés de troponine peuvent être un signe de dommages cardiaques.

Les marqueurs biologiques peuvent être mesurés à l'aide de diverses méthodes analytiques, telles que la spectrométrie de masse, les tests immunochimiques ou la PCR en temps réel. Il est important de noter que les marqueurs biologiques ne sont pas toujours spécifiques à une maladie particulière et peuvent être présents dans d'autres conditions également. Par conséquent, ils doivent être interprétés avec prudence et en combinaison avec d'autres tests diagnostiques et cliniques.

La 5'-nucleotidase est une enzyme qui se trouve à la surface de certaines cellules dans le corps humain. Elle joue un rôle important dans le métabolisme des nucléotides, qui sont les composants de base des acides nucléiques, comme l'ADN et l'ARN.

Plus précisément, la 5'-nucleotidase catalyse la réaction qui déphosphoryle les nucléotides monophosphates en nucléosides et phosphate inorganique. Cette réaction est importante pour réguler la concentration intracellulaire de nucléotides et pour permettre leur recyclage ou leur élimination.

La 5'-nucleotidase est exprimée à la surface des érythrocytes (globules rouges), des hépatocytes (cellules du foie), des ostéoclastes (cellules qui dégradent les os) et d'autres types cellulaires. Des anomalies de l'activité de cette enzyme peuvent être associées à certaines maladies, comme la maladie de Gaucher ou l'hémochromatose.

Des tests de laboratoire peuvent être utilisés pour mesurer l'activité de la 5'-nucleotidase dans le sang ou d'autres fluides corporels, ce qui peut aider au diagnostic ou au suivi de certaines affections médicales.

Les milieux de culture conditionnés, également connus sous le nom de milieux de culture stériles, sont des milieux de culture spécialement préparés et scellés dans des contenants stériles. Ces milieux sont utilisés pour la culture et l'isolement de micro-organismes dans des conditions stériles, ce qui permet d'éviter toute contamination extérieure. Les milieux de culture conditionnés peuvent être achetés préfabriqués ou préparés en laboratoire à l'aide de méthodes aseptiques strictes. Ils sont largement utilisés dans les domaines de la microbiologie, de la bactériologie et de la virologie pour divers tests et analyses, tels que la dénombrement des micro-organismes, l'identification des espèces et la détection des agents pathogènes.

Les anti-inflammatoires sont une classe de médicaments utilisés pour réduire l'inflammation dans le corps. Ils fonctionnent en inhibant la production de prostaglandines, des molécules qui jouent un rôle clé dans l'inflammation, la douleur et la fièvre.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont une sous-classe courante d'anti-inflammatoires qui comprennent des médicaments tels que l'ibuprofène, le naproxène et l'aspirine. Ces médicaments sont souvent utilisés pour traiter la douleur, l'enflure et l'inflammation associées à des conditions telles que l'arthrite, les entorses et les foulures.

Les corticostéroïdes sont une autre sous-classe d'anti-inflammatoires qui sont plus puissants que les AINS. Ils sont souvent utilisés pour traiter des affections inflammatoires graves telles que la bronchite asthmatique, la pneumonie et les maladies auto-immunes.

Bien que les anti-inflammatoires soient généralement sûrs lorsqu'ils sont utilisés correctement, ils peuvent entraîner des effets secondaires graves tels que des ulcères d'estomac, des saignements gastro-intestinaux et une augmentation du risque de crises cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux. Par conséquent, il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lors de la prise de médicaments anti-inflammatoires.

Les macrophages alvéolaires sont un type spécifique de cellules immunitaires qui se trouvent à l'intérieur des sacs aériens les plus fins des poumons, appelés alvéoles. Ils jouent un rôle crucial dans la défense contre les infections et l'élimination des particules étrangères qui ont réussi à pénétrer dans les voies respiratoires.

Ces cellules font partie du système immunitaire inné et sont capables de phagocytose, c'est-à-dire qu'elles peuvent engloutir et décomposer des bactéries, des virus, des champignons, des parasites et d'autres particules nocives. Après avoir ingéré ces agents pathogènes ou matériaux étrangers, les macrophages alvéolaires les décomposent en composants plus petits, ce qui permet de présenter ces antigènes aux lymphocytes T, déclenchant ainsi une réponse immunitaire adaptative.

Les macrophages alvéolaires sont également importants pour maintenir la santé pulmonaire en éliminant les cellules mortes et les débris dans les voies respiratoires. Ils sécrètent également des cytokines et d'autres facteurs chimiques qui contribuent à réguler l'inflammation et coordonner la réponse immunitaire locale.

En résumé, les macrophages alvéolaires sont des cellules essentielles du système immunitaire qui protègent les poumons contre les infections et aident à maintenir l'homéostasie dans les voies respiratoires.

La régulation négative des récepteurs dans un contexte médical fait référence à un processus par lequel l'activité d'un récepteur cellulaire est réduite ou supprimée. Les récepteurs sont des protéines qui se lient à des molécules signalantes spécifiques, telles que des hormones ou des neurotransmetteurs, et déclenchent une cascade de réactions dans la cellule pour provoquer une réponse spécifique.

La régulation négative des récepteurs peut se produire par plusieurs mécanismes, notamment :

1. Internalisation des récepteurs : Lorsque les récepteurs sont internalisés, ils sont retirés de la membrane cellulaire et transportés vers des compartiments intracellulaires où ils ne peuvent pas recevoir de signaux extérieurs. Ce processus peut être déclenché par une surstimulation du récepteur ou par l'activation d'une protéine régulatrice spécifique.
2. Dégradation des récepteurs : Les récepteurs internalisés peuvent être dégradés par des enzymes protéolytiques, ce qui entraîne une diminution permanente de leur nombre et de leur activité.
3. Modification des récepteurs : Les récepteurs peuvent être modifiés chimiquement, par exemple par phosphorylation ou ubiquitination, ce qui peut entraver leur fonctionnement ou accélérer leur internalisation et leur dégradation.
4. Interaction avec des protéines inhibitrices : Les récepteurs peuvent interagir avec des protéines inhibitrices qui empêchent leur activation ou favorisent leur désactivation.

La régulation négative des récepteurs est un mécanisme important pour maintenir l'homéostasie cellulaire et prévenir une réponse excessive à des stimuli externes. Elle joue également un rôle crucial dans la modulation de la sensibilité des récepteurs aux médicaments et peut être impliquée dans le développement de la résistance aux traitements thérapeutiques.

Le tissu lymphoïde est un type de tissu conjonctif spécialisé qui joue un rôle crucial dans le système immunitaire. Il est composé de cellules appelées lymphocytes, qui sont des globules blancs essentiels à la défense de l'organisme contre les infections et les maladies.

Il existe deux types principaux de tissus lymphoïdes : le tissu lymphoïde primaire et le tissu lymphoïde secondaire. Le tissu lymphoïde primaire, qui comprend la moelle osseuse rouge et le thymus, est responsable de la production et de la maturation des lymphocytes. Le tissu lymphoïde secondaire, qui comprend les ganglions lymphatiques, la rate, les amygdales et les plaques de Peyer dans l'intestin grêle, est responsable du filtrage des antigènes (substances étrangères) et de la activation des lymphocytes pour combattre les infections.

Le tissu lymphoïde contient également d'autres cellules immunitaires telles que les macrophages et les cellules dendritiques, qui aident à traiter les antigènes et à activer les lymphocytes. En outre, il contient des vaisseaux sanguins et lymphatiques qui permettent la circulation des cellules immunitaires et des antigènes dans tout le corps.

En résumé, le tissu lymphoïde est un élément clé du système immunitaire, composé de cellules spécialisées qui aident à protéger l'organisme contre les infections et les maladies.

En termes médicaux et scientifiques, la coculture fait référence à la culture simultanée de deux ou plusieurs types différents de cellules, de micro-organismes ou d'organismes dans un même environnement contrôlé, comme un milieu de culture en laboratoire. Cette méthode est fréquemment utilisée dans la recherche biologique et médicale pour étudier les interactions entre ces organismes ou cellules, observer leur croissance et leur comportement respectifs, analyser leurs effets sur l'un et l'autre, ainsi que pour tester des thérapies et des traitements spécifiques.

Dans un contexte de coculture, les chercheurs peuvent évaluer la manière dont ces organismes ou cellules interagissent entre eux, en termes de communication chimique, de compétition pour les nutriments, de croissance et d'inhibition mutuelles, ainsi que de production de facteurs solubles ou de modification de l'environnement. Cela permet une meilleure compréhension des processus biologiques complexes et des mécanismes impliqués dans la santé et les maladies humaines.

Il existe différents types de coculture, selon le type d'organismes ou de cellules cultivées ensemble :
- Coculture bactérienne : deux souches bactériennes ou plus sont cultivées simultanément dans un même milieu pour étudier leur interaction et leurs effets sur la croissance.
- Coculture cellulaire : des types différents de cellules (par exemple, des cellules épithéliales et des cellules immunitaires) sont cultivés ensemble pour analyser les interactions entre ces cellules et l'impact de ces interactions sur leur fonctionnement.
- Coculture microbienne-cellulaire : des micro-organismes (tels que des bactéries, des champignons ou des virus) sont cocultivés avec des cellules d'un organisme hôte pour étudier l'infection et la réponse de l'hôte à cette infection.

Les applications de la coculture comprennent :
- La recherche sur les maladies infectieuses : en étudiant comment les agents pathogènes interagissent avec les cellules hôtes, il est possible d'identifier de nouvelles cibles thérapeutiques et de développer des stratégies pour combattre les infections.
- La recherche sur le cancer : la coculture de cellules cancéreuses avec des cellules immunitaires permet d'étudier comment le système immunitaire réagit aux tumeurs et comment les cellules cancéreuses échappent à cette réponse, ce qui peut conduire au développement de nouvelles thérapies anticancéreuses.
- La recherche sur la toxicologie : en cocultivant des cellules hépatiques avec d'autres types de cellules, il est possible d'étudier les effets toxiques des substances chimiques et de prédire leur potentiel cancérigène ou mutagène.
- La recherche sur la biotechnologie : la coculture de micro-organismes peut être utilisée pour produire des molécules d'intérêt, telles que des enzymes, des acides aminés ou des antibiotiques, à moindre coût et avec un rendement accru.

Les interleukines (IL) sont des cytokines, ou des molécules de signalisation, qui jouent un rôle crucial dans la régulation et la coordination des réponses immunitaires et inflammatoires dans l'organisme. Elles sont produites principalement par les leucocytes (globules blancs), d'où leur nom "interleukines". Il existe plusieurs types d'interleukines, identifiées par un numéro (par exemple, IL-1, IL-2, IL-6, etc.), et chacune a des fonctions spécifiques.

Les interleukines peuvent être impliquées dans la communication entre les cellules du système immunitaire, l'activation et la prolifération de certaines cellules immunitaires, la modulation de la réponse inflammatoire, la stimulation de la production d'anticorps, et bien d'autres processus liés à l'immunité et à l'inflammation. Elles peuvent également contribuer au développement et à la progression de certaines maladies, telles que les maladies auto-immunes, les infections, le cancer et l'inflammation chronique.

Par conséquent, une meilleure compréhension des interleukines et de leur rôle dans divers processus pathologiques est essentielle pour élaborer des stratégies thérapeutiques visant à cibler et à moduler ces molécules, améliorant ainsi les traitements des maladies associées.

Un modèle immunologique est une représentation simplifiée d'un système immunitaire ou d'une réponse immunitaire spécifique, généralement créée dans le but de mieux comprendre les processus biologiques sous-jacents et/ou pour tester des théories ou des interventions expérimentales. Cela peut inclure des systèmes in vitro, tels que des cultures cellulaires, ou des systèmes in vivo, tels que des modèles animaux. Les modèles immunologiques peuvent être utilisés dans la recherche fondamentale pour étudier les mécanismes du système immunitaire et dans le développement de nouveaux traitements médicaux, y compris les vaccins et les thérapies immunitaires.

Un récepteur VIH (virus de l'immunodéficience humaine) se réfère à des protéines spécifiques sur la membrane cellulaire des cellules hôtes, principalement les cellules T CD4+, qui permettent au virus de pénétrer dans la cellule et d'établir une infection. Le récepteur le plus couramment utilisé par le VIH est connu sous le nom de CD4 (ou récepteur du complexe majeur d'histocompatibilité de classe II), qui se lie à l'enveloppe glycoprotéique du virus, la gp120. Cette interaction initie une cascade de processus qui aboutit à la fusion de la membrane virale avec la membrane cellulaire et à l'entrée du matériel génétique viral dans la cellule hôte.

Il existe également des corécepteurs, tels que les molécules CXCR4 et CCR5, qui jouent un rôle crucial dans le processus d'infection du VIH. Selon le type de corécepteur utilisé, on distingue deux souches principales du virus : le virus T-tropic (ou VIH-1) qui préfère se lier au corécepteur CXCR4 et infecte principalement les cellules T CD4+, et le virus M-tropic (ou VIH-1) qui utilise plutôt le corécepteur CCR5 et cible principalement les macrophages.

Il est important de noter que la compréhension des récepteurs et des corécepteurs du VIH a été essentielle pour le développement de thérapies antirétrovirales efficaces, telles que les inhibiteurs d'entrée et les inhibiteurs de fusion, qui ciblent spécifiquement ces protéines et empêchent ainsi l'infection des cellules hôtes.

Les ganglions lymphatiques sont des structures ovales ou rondes, généralement de petite taille, qui font partie du système immunitaire et lymphatique. Ils sont remplis de cellules immunitaires et de vaisseaux lymphatiques qui transportent la lymphe, un liquide clair contenant des déchets et des agents pathogènes provenant des tissus corporels. Les ganglions lymphatiques filtrent la lymphe pour éliminer les déchets et les agents pathogènes, ce qui permet de déclencher une réponse immunitaire si nécessaire.

Les ganglions lymphatiques sont situés dans tout le corps, mais on en trouve des concentrations plus importantes dans certaines régions telles que le cou, les aisselles, l'aine et la poitrine. Lorsqu'ils sont infectés ou enflammés, ils peuvent devenir douloureux et enflés, ce qui est souvent un signe d'infection ou de maladie. Les ganglions lymphatiques jouent un rôle crucial dans la défense du corps contre les infections et les maladies, ainsi que dans le maintien de l'homéostasie du système immunitaire.

Les protéines angiostatiques sont des inhibiteurs naturels de la croissance et du développement des vaisseaux sanguins. Elles jouent un rôle crucial dans le processus de régulation de l'angiogenèse, qui est la formation de nouveaux vaisseaux sanguins à partir de vaisseaux préexistants.

Ces protéines agissent en bloquant l'activité des facteurs de croissance vasculaires, tels que le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF), qui stimulent normalement la croissance des vaisseaux sanguins. En inhibant l'angiogenèse, les protéines angiostatiques peuvent aider à prévenir la croissance et la propagation de certains types de tumeurs cancéreuses, qui ont besoin de nouveaux vaisseaux sanguins pour se développer et survivre.

Les protéines angiostatiques comprennent des molécules telles que l'angiostatine, l'endostatine, le fragment N de la thrombospondine-1 et le maspin. Elles sont produites par divers tissus et organes du corps humain et peuvent être trouvées dans le sang et d'autres fluides corporels.

Des recherches sont en cours pour étudier les possibilités d'utilisation des protéines angiostatiques comme traitement thérapeutique pour diverses maladies, telles que le cancer, la dégénérescence maculaire liée à l'âge et la rétinopathie diabétique.

Les lymphocytes T CD8+, également connus sous le nom de lymphocytes T cytotoxiques, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils aident à protéger l'organisme contre les infections virales et les cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD8+ sont capables de détecter et de tuer les cellules infectées par des virus ou présentant des antigènes anormaux, y compris les cellules cancéreuses. Ils reconnaissent ces cellules en se liant à des molécules d'antigène présentées à leur surface par des molécules du complexe majeur d'histocompatibilité de classe I (CMH-I).

Lorsqu'un lymphocyte T CD8+ reconnaît une cellule infectée ou anormale, il libère des molécules toxiques qui peuvent induire la mort de la cellule cible. Ce processus permet d'empêcher la propagation de l'infection ou la croissance des cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD8+ sont produits dans le thymus et se développent à partir de précurseurs souches qui expriment des récepteurs d'antigène (TCR) alpha-beta ou gamma-delta. Les lymphocytes T CD8+ matures migrent ensuite vers le sang et les tissus périphériques, où ils peuvent être activés par des cellules présentatrices d'antigènes telles que les cellules dendritiques.

Un déficit quantitatif ou fonctionnel en lymphocytes T CD8+ peut entraîner une susceptibilité accrue aux infections virales et aux maladies auto-immunes, tandis qu'une activation excessive ou persistante des lymphocytes T CD8+ peut contribuer au développement de maladies inflammatoires et de troubles auto-immuns.

Les cellules stromales sont un type de cellule trouvé dans les tissus conjonctifs qui forment le cadre structurel du corps. Elles sont également appelées cellules progénitrices mésenchymateuses, car elles ont la capacité de se différencier en divers types de cellules, telles que les cellules osseuses, graisseuses, cartilagineuses et musculaires.

Les cellules stromales peuvent être obtenues à partir de tissus tels que la moelle osseuse, le tissu adipeux (graisse), le sang de cordon ombilical et d'autres tissus conjonctifs. Elles ont des propriétés immunosuppressives et sont étudiées pour leur potentiel à traiter une variété de maladies, y compris les maladies auto-immunes, les lésions de la moelle osseuse et le cancer.

Dans la recherche médicale, les cellules stromales sont souvent utilisées dans des thérapies cellulaires expérimentales pour régénérer les tissus endommagés ou remplacer les cellules défectueuses. Cependant, leur utilisation en médecine clinique est encore en cours d'évaluation et nécessite davantage de recherches pour établir leur sécurité et leur efficacité.

La néovascularisation pathologique est un processus anormal dans lequel de nouveaux vaisseaux sanguins se forment de manière excessive et désorganisée, souvent dans des tissus où ils ne sont pas normalement présents. Cela peut survenir en réponse à une privation d'oxygène (hypoxie) ou à d'autres stimuli pathologiques, tels que l'angiogenèse tumorale, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), la rétinopathie diabétique et d'autres maladies oculaires, la régénération des tissus après une lésion, et certaines maladies inflammatoires ou infectieuses.

La néovascularisation pathologique peut entraîner une série de complications médicales, y compris des saignements, un œdème, une ischémie tissulaire, une cicatrisation anormale et une destruction tissulaire. Par conséquent, il est important de diagnostiquer et de traiter la néovascularisation pathologique le plus tôt possible pour prévenir ces complications et améliorer les résultats cliniques.

Les options de traitement pour la néovascularisation pathologique comprennent des médicaments anti-angiogéniques qui inhibent la croissance des vaisseaux sanguins, tels que le bévacizumab, le ranibizumab et l'aflibercept, ainsi que des thérapies laser, de la chirurgie et de la radiothérapie. Le choix du traitement dépendra de la maladie sous-jacente, de son stade et de sa gravité, ainsi que de la localisation et de l'étendue de la néovascularisation pathologique.

L'interleukine-17 (IL-17) est une cytokine pro-inflammatoire qui joue un rôle crucial dans la régulation des réponses immunitaires et inflammatoires de l'organisme. Elle est produite principalement par un sous-ensemble particulier de cellules T helper (Th17) activées, ainsi que par d'autres types cellulaires tels que les cellules innées γδ T, les mastocytes et les neutrophiles.

L'IL-17 agit en se liant à son récepteur de surface cellulaire, IL-17R, exprimé sur une variété de cellules cibles, y compris les fibroblastes, les ostéoblastes, les chondrocytes, les cellules endothéliales et les cellules épithéliales. Cette liaison induit la signalisation intracellulaire, entraînant la production d'autres cytokines pro-inflammatoires, de chimioattractants pour les leucocytes et de médiateurs de l'ostéoclastogenèse, ce qui contribue à la défense contre les infections extracellulaires, en particulier fongiques et bactériennes.

Cependant, une activation excessive ou persistante des cellules Th17 et de l'IL-17 a été associée à plusieurs maladies inflammatoires chroniques, telles que la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le psoriasis, la maladie de Crohn et l'asthme sévère. Par conséquent, les stratégies thérapeutiques ciblant l'IL-17 et ses voies de signalisation sont activement étudiées dans le traitement de ces affections.

Les fibroblastes sont des cellules présentes dans les tissus conjonctifs de l'organisme, qui produisent et sécrètent des molécules structurelles telles que le collagène et l'élastine. Ces protéines assurent la cohésion, la résistance et l'élasticité des tissus conjonctifs, qui constituent une grande partie de notre organisme et ont pour rôle de relier, soutenir et protéger les autres tissus et organes.

Les fibroblastes jouent également un rôle important dans la cicatrisation des plaies en synthétisant et déposant du collagène et d'autres composants de la matrice extracellulaire, ce qui permet de combler la zone lésée et de rétablir l'intégrité du tissu.

En plus de leur activité structurelle, les fibroblastes sont également capables de sécréter des facteurs de croissance, des cytokines et d'autres molécules de signalisation qui influencent le comportement des cellules voisines et participent à la régulation des processus inflammatoires et immunitaires.

Dans certaines circonstances pathologiques, comme en cas de cicatrices excessives ou de fibroses, les fibroblastes peuvent devenir hyperactifs et produire une quantité excessive de collagène et d'autres protéines, entraînant une altération de la fonction des tissus concernés.

L'activation des macrophages est un processus dans lequel ces cellules immunitaires sont stimulées pour devenir actives et remplir diverses fonctions importantes dans l'organisme. Les macrophages sont des globules blancs qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes, tels que les bactéries, les virus et les parasites.

Lorsque les macrophages sont activés, ils peuvent augmenter leur capacité à phagocyter, c'est-à-dire à engloutir et détruire les agents pathogènes. Ils libèrent également des molécules pro-inflammatoires, telles que des cytokines et des chimioquines, qui attirent d'autres cellules immunitaires vers le site de l'infection ou de l'inflammation.

Les macrophages activés peuvent également contribuer à la réparation des tissus en produisant des facteurs de croissance et en participant au remodelage tissulaire. Cependant, une activation excessive des macrophages peut entraîner une inflammation chronique et des dommages tissulaires.

L'activation des macrophages peut être déclenchée par divers stimuli, tels que des molécules microbiennes, des cytokines produites par d'autres cellules immunitaires, ou des lésions tissulaires. Il existe deux principaux types d'activation des macrophages : la activation classique et la activation alternative.

La activation classique est induite par des molécules microbiennes telles que les lipopolysaccharides (LPS) et entraîne une réponse inflammatoire intense avec production de cytokines pro-inflammatoires, activation du complément et production de radicaux libres.

La activation alternative est induite par des cytokines telles que l'interleukine-4 (IL-4) et entraîne une réponse anti-inflammatoire avec production de cytokines anti-inflammatoires, activation de la voie du facteur de transcription STAT6 et production d'arginase.

La activation des macrophages est un processus complexe qui joue un rôle crucial dans l'immunité innée et adaptative, ainsi que dans le maintien de l'homéostasie tissulaire. Une compréhension approfondie de ce processus permettra de développer des stratégies thérapeutiques pour traiter diverses maladies inflammatoires et infectieuses.

Le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) est un rétrovirus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) en infectant et en détruisant les cellules du système immunitaire, en particulier les lymphocytes T CD4+. Il se transmet principalement par contact avec des fluides corporels infectés, tels que le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel.

Le VIH-1 est un virus enveloppé à ARN simple brin qui se réplique en utilisant une enzyme appelée transcriptase inverse pour convertir son génome d'ARN en ADN, qui peut ensuite s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte. Cela permet au virus de se répliquer avec la cellule hôte et de produire de nouveaux virions infectieux.

Le VIH-1 est classé en plusieurs groupes et sous-types, qui diffèrent par leur distribution géographique et leurs propriétés immunologiques. Le groupe M est le plus répandu et comprend la majorité des souches circulant dans le monde. Les sous-types du groupe M comprennent B, A, C, D, CRF01_AE, CRF02_AG et d'autres.

Le diagnostic du VIH-1 est généralement posé par détection d'anticorps contre le virus dans le sang ou par détection directe de l'ARN viral ou de l'ADN proviral dans les échantillons cliniques. Il n'existe actuellement aucun vaccin préventif contre le VIH-1, mais des médicaments antirétroviraux (ARV) peuvent être utilisés pour traiter et contrôler l'infection.

La différenciation cellulaire est un processus biologique dans lequel une cellule somatique immature ou moins spécialisée, appelée cellule souche ou cellule progénitrice, se développe et se spécialise pour former un type de cellule plus mature et fonctionnellement distinct. Ce processus implique des changements complexes dans la structure cellulaire, la fonction et la métabolisme, qui sont médiés par l'expression génétique différenciée et la régulation épigénétique.

Au cours de la différenciation cellulaire, les gènes qui codent pour les protéines spécifiques à un type cellulaire particulier sont activés, tandis que d'autres gènes sont réprimés. Cela entraîne des modifications dans la morphologie cellulaire, y compris la forme et la taille de la cellule, ainsi que la cytosquelette et les organites intracellulaires. Les cellules différenciées présentent également des caractéristiques fonctionnelles uniques, telles que la capacité à produire des enzymes spécifiques ou à participer à des processus métaboliques particuliers.

La différenciation cellulaire est un processus crucial dans le développement embryonnaire et fœtal, ainsi que dans la maintenance et la réparation des tissus adultes. Des anomalies dans ce processus peuvent entraîner des maladies congénitales ou acquises, telles que les cancers et les troubles du développement.

La lymphotoxine-β, également connue sous le nom de TNF-β (Tumor Necrosis Factor-beta), est une cytokine protéique qui joue un rôle important dans le système immunitaire. Elle est produite principalement par les lymphocytes T activés et certains autres types de cellules immunitaires.

La lymphotoxine-β s'associe à son récepteur, le récepteur de la lymphotoxine-β (LTβR), pour réguler divers processus inflammatoires et immunitaires. Elle contribue notamment à la formation et au maintien des structures tissulaires appelées follicules secondaires dans les ganglions lymphatiques, la rate et d'autres organes lymphoïdes.

Cette cytokine peut également induire l'apoptose (mort cellulaire programmée) de certaines cellules et participer à la défense contre les infections en attirant et en activant d'autres cellules immunitaires vers le site de l'infection. Des déséquilibres dans la production ou la régulation de la lymphotoxine-β ont été associés à plusieurs affections, y compris certaines maladies auto-immunes et inflammatoires.

Le récepteur de type Toll-4 (TLR4) est un membre de la famille des récepteurs de type Toll, qui sont des protéines transmembranaires exprimées à la surface des cellules immunitaires telles que les macrophages et les cellules dendritiques. Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans la reconnaissance des agents pathogènes et l'activation de la réponse immunitaire innée.

Le TLR4 est spécifiquement responsable de la détection du lipopolysaccharide (LPS), une molécule présente dans la membrane externe des bactéries gram-négatives. Lorsque le LPS se lie au TLR4, il active une cascade de signalisation qui conduit à l'expression de gènes impliqués dans l'inflammation et l'immunité. Ce processus est essentiel pour la défense contre les infections bactériennes et la régulation de la réponse immunitaire.

Des mutations ou des variations du gène TLR4 ont été associées à une susceptibilité accrue aux infections et à un risque plus élevé de développer certaines maladies inflammatoires, telles que la maladie de Crohn et l'asthme.

Dans un contexte médical, « rate » fait référence à la glande thyroïde. La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon située dans le cou, juste en dessous de la pomme d'Adam. Elle produit des hormones qui régulent le métabolisme, la croissance et le développement du corps. Les troubles de la glande thyroïde peuvent entraîner une hypothyroïdie (faible production d'hormones thyroïdiennes) ou une hyperthyroïdie (production excessive d'hormones thyroïdiennes), ce qui peut avoir un impact significatif sur la santé globale d'une personne.

Il est important de noter que le terme « rate » peut également être utilisé dans un contexte médical pour faire référence à une structure anatomique différente, à savoir le rythme cardiaque ou la fréquence cardiaque. Cependant, dans ce cas, il s'agit d'un terme différent et ne fait pas référence à la glande thyroïde.

L'intégrine alpha4beta1, également connue sous le nom de very late antigen-4 (VLA-4), est un type de protéine de la membrane cellulaire qui joue un rôle important dans les processus inflammatoires et immunitaires. Elle se compose de deux chaînes polypeptidiques, alpha4 et beta1, qui s'associent pour former un hétérodimère fonctionnel.

L'intégrine alpha4beta1 est exprimée principalement sur les lymphocytes T et B, les monocytes, les éosinophiles et les basophiles. Elle se lie spécifiquement à des ligands tels que la fibronectine et le vascular cell adhesion molecule-1 (VCAM-1), qui sont exprimés sur les cellules endothéliales et les cellules présentatrices d'antigènes.

Cette interaction entre l'intégrine alpha4beta1 et ses ligands permet la migration des leucocytes vers les sites d'inflammation et d'infection, ainsi que leur activation et leur différenciation. Des études ont montré que l'inhibition de l'intégrine alpha4beta1 peut être bénéfique dans le traitement de certaines maladies inflammatoires et auto-immunes, telles que la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde.

La muqueuse respiratoire est la membrane tapissant les voies respiratoires, y compris le nez, la gorge (pharynx), le larynx, la trachée, les bronches et les bronchioles. Il s'agit d'une muqueuse protectrice humide et fine qui contient des glandes productrices de mucus, des cils vibratiles et des vaisseaux sanguins. Ces caractéristiques aident à piéger la poussière, les bactéries et autres particules étrangères, à les déplacer vers le haut (grâce aux mouvements des cils) pour être expulsées par la toux ou expectoration, et à assurer l'absorption de l'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. La muqueuse respiratoire est sensible aux changements environnementaux et peut s'enflammer en réponse à des irritants, entraînant une congestion nasale, un écoulement post-nasal, une toux et d'autres symptômes associés aux affections des voies respiratoires supérieures.

La membrane synoviale est une membrane cellulaire spécialisée qui tapisse la cavité articulaire et sécrète le liquide synovial. Cette membrane fine et lâche est composée de plusieurs types de cellules, dont des fibroblastes synoviaux, des macrophages et des vaisseaux sanguins. Elle a pour fonction d'assurer une lubrification adéquate entre les surfaces articulaires, de nourrir le cartilage articulaire et de participer au métabolisme du tissu conjonctif. La membrane synoviale peut être affectée dans certaines maladies articulaires, telles que l'arthrite inflammatoire, où elle devient enflammée et hypertrophiée, entraînant une production excessive de liquide synovial et des dommages aux structures articulaires environnantes.

Une pneumopathie infectieuse est un terme médical qui décrit une infection des poumons. Elle peut être causée par une variété de micro-organismes, tels que des bactéries, des virus, des champignons ou des parasites. Les symptômes les plus courants comprennent la toux, la fièvre, la douleur thoracique, la difficulté à respirer et la production de crachats purulents.

Le diagnostic d'une pneumopathie infectieuse repose sur l'anamnèse du patient, un examen physique, des radiographies pulmonaires et éventuellement des tests de laboratoire pour identifier le micro-organisme responsable. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'infection et peut inclure des antibiotiques, des antiviraux ou d'autres médicaments spécifiques à l'agent pathogène identifié. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour fournir un traitement de support et prévenir les complications.

Les facteurs de risque de développer une pneumopathie infectieuse comprennent le tabagisme, l'exposition à des polluants atmosphériques, une maladie pulmonaire sous-jacente, un système immunitaire affaibli et des maladies chroniques telles que le diabète. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes respiratoires inexpliqués ou persistants, car une pneumopathie infectieuse peut entraîner des complications graves et même mettre la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement et de manière adéquate.

L'ovalbumine est la principale protéine du blanc d'œuf de poule, représentant environ 54-64% de sa masse totale. Elle appartient à la famille des albumines sériques et a une masse moléculaire d'environ 45 kDa. L'ovalbumine est souvent étudiée dans le contexte des allergies alimentaires, car elle est l'un des allergènes les plus courants trouvés dans les œufs de poule et peut provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes. Elle a une structure complexe composée de trois domaines distincts: le domaine N-terminal, le domaine hydrophobe et le domaine C-terminal. La fonction précise de l'ovalbumine dans les œufs n'est pas entièrement comprise, mais on pense qu'elle joue un rôle dans le développement embryonnaire en fournissant des acides aminés et des nutriments essentiels.

La réaction en chaîne par polymérase en temps réel (RT-PCR) est une méthode de laboratoire sensible et spécifique utilisée pour amplifier et détecter l'acide désoxyribonucléique (ADN) d'un échantillon. Cette technique permet la quantification simultanée et la détection de cibles nucléiques spécifiques.

Dans le processus RT-PCR, une petite quantité d'ADN ou d'ARN est mélangée avec des enzymes, des bufferes et des sondes fluorescentes marquées pour les séquences cibles. Les échantillons sont soumis à plusieurs cycles de température contrôlée pour dénaturer (séparer) l'ADN, annealer (faire se lier) les sondes et synthétiser (copier) de nouvelles chaînes d'ADN.

Au cours de chaque cycle, la quantité d'ADN cible augmente exponentiellement, ce qui entraîne une augmentation proportionnelle de la fluorescence détectée par l'instrument RT-PCR. Les données sont analysées pour déterminer le seuil de détection (CT) du signal fluorescent, qui correspond au nombre de cycles nécessaires pour atteindre un niveau prédéfini de fluorescence.

Le CT est inversement proportionnel à la quantité initiale d'ADN cible dans l'échantillon et peut être utilisé pour calculer la concentration relative ou absolue de l'ADN cible. RT-PCR est largement utilisé en recherche, en diagnostic clinique et en surveillance des maladies infectieuses, y compris le dépistage du virus SARS-CoV-2 responsable de la COVID-19.

L'arthrite juvénile est une maladie inflammatoire qui affecte les articulations des enfants et des adolescents. Elle peut également être appelée arthrite juvénile idiopathique (AJI). Cette forme d'arthrite provoque une douleur, un gonflement, une raideur et une chaleur dans les articulations touchées. Dans certains cas, elle peut entraîner une croissance anormale des os et des déformations articulaires permanentes si elle n'est pas traitée.

Les symptômes de l'arthrite juvénile peuvent varier en fonction de la forme spécifique de la maladie. Certaines formes ne concernent qu'une ou quelques articulations, tandis que d'autres peuvent affecter plusieurs articulations simultanément. Les symptômes peuvent également apparaître et disparaître de manière aléatoire.

Les causes exactes de l'arthrite juvénile ne sont pas encore complètement comprises, mais on pense qu'il s'agit d'une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque les tissus sains des articulations. Les facteurs de risque comprennent une prédisposition génétique et certaines infections.

Le traitement de l'arthrite juvénile vise à soulager les symptômes, ralentir la progression de la maladie et prévenir les complications à long terme. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), des corticostéroïdes, des agents immunosuppresseurs et des biothérapies ciblées. La physiothérapie et l'exercice peuvent également être recommandés pour aider à maintenir la mobilité articulaire et renforcer les muscles autour des articulations touchées.

Une lignée cellulaire tumorale, dans le contexte de la recherche en cancérologie, fait référence à une population homogène de cellules cancéreuses qui peuvent être cultivées et se diviser en laboratoire. Ces lignées cellulaires sont généralement dérivées de biopsies ou d'autres échantillons tumoraux prélevés sur des patients, et elles sont capables de se multiplier indéfiniment en culture.

Les lignées cellulaires tumorales sont souvent utilisées dans la recherche pour étudier les propriétés biologiques des cellules cancéreuses, tester l'efficacité des traitements anticancéreux et comprendre les mécanismes de progression du cancer. Cependant, il est important de noter que ces lignées cellulaires peuvent ne pas toujours se comporter ou réagir aux traitements de la même manière que les tumeurs d'origine dans le corps humain, ce qui peut limiter leur utilité en tant que modèles pour la recherche translationnelle.

Le récepteur de type Toll-2 (TLR2) est un membre de la famille des récepteurs de type Toll, qui sont des protéines transmembranaires exprimées à la surface des cellules immunitaires telles que les macrophages et les cellules dendritiques. Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans la reconnaissance des agents pathogènes et l'activation de la réponse immunitaire innée.

Le TLR2 est capable de détecter une variété de ligands, y compris les peptidoglycanes bactériens, les lipoprotéines et les zymosanes de levure. Lorsqu'il se lie à un ligand, il active une cascade de signalisation qui conduit à l'expression de gènes impliqués dans l'inflammation et l'immunité.

Le TLR2 forme des hétérodimères avec d'autres récepteurs de type Toll, tels que le TLR1 ou le TLR6, pour élargir la gamme de ligands qu'il peut reconnaître. Il est également capable de former des complexes multiprotéiques avec d'autres récepteurs et co-récepteurs pour moduler sa signalisation et ses fonctions.

Des études ont montré que le TLR2 joue un rôle important dans la défense contre divers agents pathogènes, tels que les bactéries gram-positives, les mycobactéries et certains virus. Cependant, une activation excessive ou inappropriée du TLR2 a été associée à des maladies inflammatoires chroniques et à des troubles auto-immuns.

Les mastocytes sont des granulocytes (un type de globules blancs) qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire et inflammatoire de l'organisme. Ils sont remplis de granules contenant des médiateurs chimiques, tels que l'histamine, la sérotonine, les leucotriènes et les prostaglandines. Lorsqu'ils sont stimulés, ces médiateurs sont libérés dans le tissu environnant, provoquant une variété de réactions physiologiques telles que l'expansion des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, et l'attraction d'autres cellules immunitaires vers le site. Les mastocytes sont particulièrement abondants dans les tissus conjonctifs, en particulier près des vaisseaux sanguins et nerveux, ainsi que dans la muqueuse des voies respiratoires et digestives. Ils sont impliqués dans des processus physiologiques normaux, comme la défense contre les parasites, mais aussi dans des pathologies telles que l'asthme, les réactions allergiques (y compris l'anaphylaxie), et certaines maladies inflammatoires chroniques.

Les glycosaminoglycanes (GAG) sont des polysaccharides complexes et longs composés d'une répétition de disaccharides. Ils sont également connus sous le nom de mucopolysaccharides. Ces chaînes de sucres sont généralement sulfatées et se trouvent liées à une protéine centrale, formant ainsi des protéoglycanes.

Les glycosaminoglycanes sont largement distribués dans les tissus conjonctifs et épithéliaux du corps humain. Ils jouent un rôle crucial dans la structure, la fonction et l'intégrité de ces tissus en fournissant une matrice extracellulaire hydratée et rigide.

Les différents types de glycosaminoglycanes comprennent l'acide hyaluronique, le chondroïtine sulfate, la dermatan sulfate, la keratan sulfate, l'héparane sulfate et l'héparine. Chacun de ces types a des structures chimiques uniques et des fonctions spécifiques dans le corps humain.

Par exemple, l'acide hyaluronique est présent en grande quantité dans le liquide synovial et joue un rôle important dans la lubrification des articulations. Le chondroïtine sulfate et la keratan sulfate sont des composants majeurs du tissu cartilagineux et contribuent à sa résistance aux charges mécaniques. L'héparane sulfate et l'héparine sont connues pour leurs activités biologiques, telles que la régulation de la croissance cellulaire, la différenciation et l'adhésion, ainsi que pour leur rôle dans le contrôle de la perméabilité vasculaire et la coagulation sanguine.

Les sous-populations de lymphocytes T, également connues sous le nom de sous-types de cellules T ou sous-ensembles de cellules T, se réfèrent à des groupes distincts de lymphocytes T qui expriment des combinaisons uniques de marqueurs de surface et possèdent des fonctions immunitaires spécifiques. Les principales sous-populations de lymphocytes T comprennent les lymphocytes T CD4+ (ou lymphocytes T helper) et les lymphocytes T CD8+ (ou lymphocytes T cytotoxiques).

1. Lymphocytes T CD4+ (lymphocytes T helper): Ces cellules possèdent le marqueur de surface CD4 et jouent un rôle crucial dans la régulation et la coordination des réponses immunitaires adaptatives. Elles sécrètent une variété de cytokines qui aident à activer d'autres cellules immunitaires, telles que les lymphocytes B, les macrophages et d'autres lymphocytes T. Les lymphocytes T CD4+ peuvent être subdivisés en plusieurs sous-populations supplémentaires, notamment Th1, Th2, Th17, Tfh (lymphocytes T folliculaires helper) et Treg (lymphocytes T régulateurs), chacune avec des fonctions et des profils de cytokines uniques.

2. Lymphocytes T CD8+ (lymphocytes T cytotoxiques): Ces cellules expriment le marqueur de surface CD8 et sont spécialisées dans la destruction directe des cellules infectées ou cancéreuses. Elles reconnaissent et se lient aux cellules présentant des antigènes (CPA) via leur récepteur des lymphocytes T (TCR), puis libèrent des molécules cytotoxiques, telles que la perforine et la granzyme, pour induire l'apoptose de la cellule cible.

D'autres sous-populations de lymphocytes T comprennent les lymphocytes T γδ (gamma delta) et les lymphocytes T invariant NKT (iNKT). Les lymphocytes T γδ représentent une petite population de lymphocytes T qui expriment un récepteur des lymphocytes T distinct composé d'une chaîne gamma et d'une chaîne delta. Ils sont capables de reconnaître directement les antigènes sans la présentation par les CPA et jouent un rôle important dans la défense contre les infections et le cancer, ainsi que dans la régulation des réponses immunitaires. Les lymphocytes T iNKT sont une population unique de lymphocytes T qui expriment à la fois des marqueurs de cellules NK et un récepteur des lymphocytes T invariant spécifique pour la présentation d'antigènes lipidiques par les CD1d, une molécule de présentation d'antigènes non classique. Ils sont capables de produire rapidement de grandes quantités de cytokines et jouent un rôle crucial dans la régulation des réponses immunitaires innées et adaptatives.

Les astrocytes sont des cellules gliales trouvées dans le système nerveux central, qui jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du cerveau et du soutien des neurones. Ils constituent la majorité des cellules du cerveau et ont un certain nombre de fonctions importantes, notamment:

1. La régulation de la concentration en ions et en neurotransmetteurs dans l'espace extracellulaire autour des synapses neuronales.
2. Le soutien structurel et métabolique des neurones en fournissant des nutriments, tels que le lactate, et en éliminant les déchets métaboliques.
3. La participation à la formation de la barrière hémato-encéphalique, qui régule sélectivement le passage des substances entre le sang et le cerveau.
4. L'isolation des synapses neuronales en formant des gaines autour d'elles, ce qui permet d'améliorer la transmission du signal et de réduire la diffusion des neurotransmetteurs.
5. La participation à la réparation et à la régénération des tissus nerveux après une lésion ou une maladie.

Les astrocytes sont également connus pour être actifs dans les processus de signalisation cellulaire, en particulier lorsqu'ils sont exposés à des facteurs de stress ou à des dommages. Ils peuvent libérer divers neurotrophines et autres facteurs de croissance qui contribuent au développement, à la survie et à la fonction neuronale normaux.

Des anomalies dans les astrocytes ont été associées à un large éventail de troubles neurologiques et psychiatriques, tels que l'épilepsie, la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer, la dépression et la schizophrénie. Par conséquent, une meilleure compréhension des fonctions et des mécanismes régulateurs des astrocytes pourrait conduire à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour le traitement de ces conditions.

Interleukine-1 Alpha (IL-1α) est une protéine inflammatoire qui joue le rôle de cytokine. Elle est produite principalement par les phagocytes, y compris les macrophages et les cellules dendritiques, en réponse à des stimuli tels que les infections, les lésions tissulaires ou l'activation immunitaire.

IL-1α est préformée et stockée dans le cytoplasme des cellules dans sa forme biologiquement active. Lorsqu'elle est libérée, elle se lie à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, déclenchant une cascade de réponses inflammatoires qui comprennent la production d'autres cytokines, la prolifération cellulaire, la différenciation et l'activation des lymphocytes T.

IL-1α joue un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les infections en activant les cellules immunitaires et en favorisant l'inflammation locale. Cependant, une activation excessive ou persistante d'IL-1α peut également contribuer à des maladies inflammatoires chroniques telles que la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn et la septicémie.

L'interleukine-10 (IL-10) est une cytokine anti-inflammatoire majeure produite par les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T auxiliaires de type 1 (Th1), les lymphocytes T auxiliaires de type 2 (Th2), les lymphocytes T régulateurs (Tregs), les monocytes et les macrophages. Elle joue un rôle crucial dans la modulation des réponses immunitaires et inflammatoires en inhibant la production de cytokines pro-inflammatoires, telles que l'IL-1, l'IL-6, le TNF-α, et les molécules d'adhésion cellulaire. L'IL-10 favorise également la différenciation des lymphocytes T régulateurs et contribue à maintenir la tolérance immunologique en empêchant l'activation excessive du système immunitaire, ce qui pourrait entraîner une inflammation excessive et des dommages tissulaires. Des déséquilibres dans la production d'IL-10 ont été associés à diverses maladies auto-immunes et inflammatoires, telles que la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et la maladie de Crohn.

Les cellules tueuses naturelles (NK, pour Natural Killer cells en anglais) sont un type de globules blancs (lymphocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire inné. Elles sont capables d'identifier et de détruire les cellules infectées par des virus, ainsi que les cellules cancéreuses, sans avoir besoin d'être activées préalablement.

Les cellules NK reconnaissent ces cellules anormales grâce à la présence de marqueurs spécifiques à leur surface, appelés récepteurs d'activation et d'inhibition. Lorsqu'une cellule NK rencontre une cellule infectée ou cancéreuse, elle évalue le rapport entre les signaux d'activation et d'inhibition. Si l'équilibre penche vers l'activation, la cellule NK libère des molécules cytotoxiques (comme la perforine et la granzyme) qui créent des pores dans la membrane de la cellule cible, entraînant sa mort.

Les cellules NK sont également capables de sécréter des cytokines, telles que l'interféron-γ (IFN-γ), qui contribuent à réguler la réponse immunitaire et à activer d'autres cellules du système immunitaire.

Une faible activité des cellules NK a été associée à un risque accru de développer certains types de cancer, ce qui souligne l'importance de ces cellules dans la surveillance et l'élimination des cellules cancéreuses.

Le récepteur de type Toll-3 (TLR3) est un membre de la famille des récepteurs de type Toll (TLR), qui sont des protéines transmembranaires exprimées à la surface des cellules immunitaires telles que les macrophages et les cellules dendritiques. Les TLR jouent un rôle crucial dans la reconnaissance des agents pathogènes et l'activation de la réponse immunitaire innée.

Le TLR3 est unique car il reconnaît spécifiquement l'acide ribonucléique double brin (dsRNA) qui est présent dans certains virus. Lorsque le TLR3 se lie à son ligand, il active une cascade de signalisation intracellulaire qui conduit à la production de cytokines pro-inflammatoires et à l'activation des cellules immunitaires. Cette réponse est importante pour contenir et éliminer les infections virales.

Le TLR3 peut également être activé par des molécules endogènes telles que l'ARN double brin dérivé de l'apoptose ou de l'autophagie, ce qui suggère qu'il pourrait jouer un rôle dans la reconnaissance et la réponse aux dommages tissulaires. Des études ont montré que des mutations dans le gène TLR3 sont associées à certaines maladies neurologiques héréditaires, telles que la neuropathie optique héréditaire de Leber et l'encéphalopathie myoclonique avec épilepsie.

La prolifération cellulaire est un processus biologique au cours duquel il y a une augmentation rapide et accrue du nombre de cellules, en raison d'une division cellulaire active et accélérée. Dans un contexte médical et scientifique, ce terme est souvent utilisé pour décrire la croissance et la propagation des cellules anormales ou cancéreuses dans le corps.

Dans des conditions normales, la prolifération cellulaire est régulée et équilibrée par des mécanismes de contrôle qui coordonnent la division cellulaire avec la mort cellulaire programmée (apoptose). Cependant, dans certaines situations pathologiques, telles que les tumeurs malignes ou cancéreuses, ces mécanismes de régulation sont perturbés, entraînant une prolifération incontrôlable des cellules anormales.

La prolifération cellulaire peut également être observée dans certaines maladies non cancéreuses, telles que les processus inflammatoires et réparateurs tissulaires après une lésion ou une infection. Dans ces cas, la prolifération cellulaire est généralement temporaire et limitée à la zone touchée, jusqu'à ce que le tissu soit guéri et que les cellules retournent à leur état de repos normal.

En résumé, la prolifération cellulaire est un processus complexe qui joue un rôle crucial dans la croissance, la réparation et la régénération des tissus, mais qui peut également contribuer au développement de maladies graves telles que le cancer lorsqu'il échappe aux mécanismes de contrôle normaux.

Un allergène est une substance qui peut provoquer une réaction allergique dans certaines personnes. Lorsqu'une personne est exposée à un allergène, son système immunitaire le considère comme étranger et déclenche une réponse immunitaire excessive, entraînant des symptômes tels que des démangeaisons, des éternuements, des larmoiements, une congestion nasale, de l'eczéma, de l'asthme ou un choc anaphylactique dans les cas graves.

Les allergènes peuvent provenir de diverses sources, notamment :

1. Pollens de plantes
2. Acariens
3. Animaux domestiques (poils, squames, urine)
4. Insectes (comme les cafards et les acariens)
5. Aliments (arachides, lait, œufs, soja, blé, poisson, crustacés)
6. Moisissures
7. Latex
8. Médicaments (pénicilline, aspirine)
9. Produits chimiques et métaux (notamment le nickel)
10. Venins d'insectes (abeilles, guêpes, frelons)

Les allergies sont courantes et peuvent affecter les personnes de tous âges et de tous horizons. Il est important de consulter un médecin ou un allergologue pour diagnostiquer et gérer correctement les réactions aux allergènes, ce qui peut inclure des mesures d'évitement, des médicaments en vente libre ou sur ordonnance et, dans certains cas, une immunothérapie (désensibilisation).

L'endothélium lymphatique est la fine couche de cellules qui tapissent les vaisseaux lymphatiques. Ces vaisseaux sont responsables du transport de la lymphe, un liquide incolore qui contient des globules blancs, des nutriments et des déchets, à travers le corps. Contrairement aux vaisseaux sanguins, les vaisseaux lymphatiques permettent au fluide de s'écouler dans une seule direction : loin des tissus vers le cœur.

L'endothélium lymphatique joue un rôle crucial dans la régulation de la perméabilité et de la fonction contractile des vaisseaux lymphatiques, ce qui permet à la lymphe de circuler correctement. Il est également impliqué dans la réponse immunitaire en facilitant le mouvement des globules blancs vers les sites d'inflammation ou d'infection. Des anomalies dans la structure et la fonction de l'endothélium lymphatique peuvent contribuer au développement de diverses maladies, telles que l'lymphedème, le cancer du sein et les maladies inflammatoires de l'intestin.

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