Un des types de lumière chaînes des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Une avec des caractéristiques thermosolubility anormaux de protéine présente dans les urines de patients avec MYELOME MULTIPLE.
Ce sérum gamma globulines migré dans la région (le plus chargé positivement) sur une électrophorèse. À un moment, gamma-globulins est venu pour être utilisé comme synonyme de immunoglobulines comme les immunoglobulines sont gamma globulines gamma globulines et inversement, la plupart sont des immunoglobulines. Mais comme des immunoglobulines présentant un alpha ou beta mobilité analyse électrophorétique, ce terme est en déclin.
Multi-subunit fonctionner dans l'immunité des protéines qui ils sont produits par des lymphocytes B gènes de l'immunoglobuline. Ils sont composé de deux gros (immunoglobulines lourde chaîne) et deux chaînes légères de lumière (immunoglobuline, serrurerie) avec ancillary polypeptide chaînes supplémentaires selon leur isoformes. La variété des isoformes inclure protéines Monomériques ou chélateur polymérique du formes, et transmembranaires récepteurs des cellules B activées formulaires (antigène) ou sécrétés formes (anticorps). Ils sont classés par la séquence des aminoacides de leurs lourdes chaînes dans cinq classes (immunoglobuline A ; immunoglobuline D ; immunoglobuline E ; l ’ immunoglobuline G ; immunoglobuline M) et divers sous-classes.
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Représente 15 à 20 % du taux sérique d ’ immunoglobulines humaines, principalement sous la 4-chain polymère chez l'homme ou dimère dans d'autres mammifères. Sécrétoires immunoglobuline A (IgA) constitue le principal, endomètre sécrétoire immunoglobulines chez sécrétions.
Une classe d ’ immunoglobuline portant mu chaînes (chaînes Lourdes Mu Des Immunoglobulines). IgM peut réparer COMPLEMENT. Le nom vient de son poids moléculaire élevé initialement être appelé un macroglobulin.
Le plus grand de polypeptide chaînes comprenant immunoglobulines. Elles contiennent 450 à 600 acides aminés par chaîne, et ont des poids moléculaires de 51-72 kDa.
Immunoglobuline utilisé en perfusion intraveineuse, les préparations contenant principalement immunoglobuline G. Ils sont utilisés pour traiter de plusieurs maladies associées à des taux d ’ immunoglobuline réduite ou anormale incluant primaires, les soins pédiatriques HYPERGAMMAGLOBULINEMIA ; SCID ; infections chez les transplantés, leucémie lymphoïde chronique, CHRONIQUE ; la maladie de Kawasaki, une infection chez les nouveau-nés et purpura thrombocytopénique idiopathique.
Les gènes codant pour les différentes sous-unités des immunoglobulines, par exemple l'immunoglobuline lumière gènes alimentaire et l'immunoglobuline. La chaîne lourde gènes immunoglobuline pesante et légère... comme des gênes gênes sont présents dans les cellules germline. The completed gènes sont créés quand les segments sont battues et assemblée (Légère Lymphocyte B pendant la maturation Légère Lymphocyte B) la structure de Gene. Le gène segments de la lumière humaine et lourde chaîne germline gènes sont symbolisés V (variable), J ((constante et Michèle) et C). La chaîne lourde germline gènes ont une diversité segment D (supplémentaires).
Polypeptide chaînes, constitué de 211 à 217 acides aminés et ayant un poids moléculaire d'environ 22 kDa. Il y a deux principaux types de lumière chaînes, kappa, lambda. Deux Ig deux chaînes légères de lourdes chaînes lourdes immunoglobulines (Ig) ne pouvant faire une molécule d ’ immunoglobuline.
Associée à une immunoglobuline. Surexpression des masque a été associée à d ’ hypersensibilité (allergique HYPERSENSITIVITY, CONDITIONNEMENTS).
Le principe immunoglobulines chez les sécrétions exocrine tels que le lait, respiratoires et intestinaux, salive et Mucin larmes molécule complète (environ 400 kD) se compose de deux unités four-chain en immunoglobuline A, un élément de sécrétion et une chaîne chaînes J Des Immunoglobulines (J).
Cette région de la molécule d ’ immunoglobuline, qui varie en terme de séquence d ’ acides aminés et composition, et comprend le site de liaison pour un antigène spécifique. Elle se trouve à l ’ extrémité N-terminale des Fab fragment de l'immunoglobuline. Cela inclut hypervariable complémentarité régions (membres) et les régions. Cadre.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline M. Ils ont un poids moléculaire d'environ 72 kDa et ils contiennent environ 57 acides aminés arrangé dans cinq domaines oligosaccharide et avoir plus de branches et une plus grande teneur glucidique, que les lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G.
Les cours d ’ immunoglobulines trouvé dans une espèce d'animal. En homme il y a 9 classes qui migrent dans cinq groupes de Electrophoresis ; ils chaque lumière composée de deux et deux grosses chaînes de protéine, et chaque groupe n ’ a propriétés structurelles et fonctionnelles.
Un des types de chaine légère sous-unités des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Une immunoglobuline qui représente moins de 1 % de l ’ immunoglobuline. On l'a trouvé sur la membrane des lymphocytes B circulants.
Le domaine de l'immunoglobuline molécules qui sont invariable dans leurs séquences d'acides aminés dans chaque classe ou sous-classe d'immunoglobuline. Ils conférer structurelles et biologique fonctions aux immunoglobulines. Chacun une lumière sur les chaînes et les chaînes lourdes C-terminus comprend la moitié de l'immunoglobuline FAB fragment et deux ou trois d'entre eux font le reste de la lourdes chaînes (tous de l'immunoglobuline FC fragment)
Crystallizable composé des fragments carboxy- terminaux tous les deux moitiés d'immunoglobuline lourde chaîne tous liés par disulfures obligations. FC fragments carboxy- terminaux contiennent les parties de la chaîne lourde constante des régions qui sont responsables des fonctions d'effecteurs une immunoglobuline (COMPLEMENT fixation, la liaison de la membrane cellulaire via FC récepteurs et transporter) placentaire. Ce fragment peuvent être obtenus sur des immunoglobulines avec la digestion de l'enzyme protéolytique PAPAIN.
Cellules lymphoïdes concerné par l'immunité humorale. Ils sont sans lendemain bursa-derived cellules identiques aux lymphocytes des oiseaux dans leur production d ’ immunoglobuline sur approprié stimulation.
Légère Lymphocyte B de la génétique qui entraîne une substitution au type de heavy-chain constante région qui s'expriment. Cela permet au effecteurs réponse à changer pendant l ’ antigène liaison spécificité (région variable) reste le même. La majorité de la classe changement se produit par un événement recombinaison ADN mais ça peut aussi avoir lieu au niveau d'ARN processing.
Lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G ayant un poids moléculaire d ’ environ 51 kDa. Elles contiennent environ 450 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide fragment Fc fixé à la région constante. La chaîne lourde gamma sous-classes (par exemple, gamma 1, gamma 2a et gamma 2b) de l'immunoglobuline G (IgG1, anti-IgG2a sous-classes isotype et IgG2B) se ressemble de plus près que les lourdes chaînes de l'autre isotypes d'immunoglobulines.
Univalent antigen-binding fragments composé d'une seule chaîne immunoglobuline lumière et les acides terminal fin d'une de l'immunoglobuline lourde chaîne de la région charnière, tous liés par Fab disulfures obligations contient l'immunoglobuline D 'OFFRES À membres, qui font partie de l'antigen-binding site et les membres du premier immunoglobuline incessant. Ce fragment peuvent être obtenus sur des immunoglobulines avec la digestion de l'enzyme protéolytique PAPAIN.
Un 15 kD "rejoint" peptide formes un des liens entre monomères en immunoglobuline A ou immunoglobuline M dans la formation de polymères immunoglobulines. Il y a un J chaîne par un IgA dimère ou un IgM pentamer. C'est également impliquée dans la liaison au récepteur de l ’ immunoglobuline immunoglobulines polymères polymères qui est nécessaire pour leur Transcytosis au lumen. Elle est définie de l'immunoglobuline unir région qui fait partie de l'immunoglobuline D 'OFFRES À région de l'immunoglobuline la lumière et de lourdes chaînes.
Immunoglobuline partielle molécules résultant du clivage sélectif par les enzymes protéolytiques ingénierie ou créé avec des techniques.
Immunoglobuline allelic variantes de la lumière (immunoglobulines chaînes légères de lourdes chaînes, serrurerie) ou (immunoglobulines lourde chaîne) codée par allèles en immunoglobuline gènes.
Récepteurs Fc spécialisé (FC) pour les récepteurs immunoglobulines polymères, ce qui la médiation de polymères Transcytosis immunoglobuline A et immunoglobuline M dans les sécrétions externe. Ils se trouvent à la surface des cellules épithéliales et des hépatocytes. Après la liaison de immunoglobuline A, le complexe receptor-ligand subit le transport par endocytose, vésicules, et le passage dans le lumen par exocytose. Avant la libération du récepteur (le rôle crucial de sécrétion) c'est lié à immunoglobuline A est proteolytically séparée de sa queue transmembranaire. (De Rosen et al., The Dictionary d'immunologie, 1989)
Une partie de l'immunoglobuline lourdes chaînes, codé par l'immunoglobuline lourde chaîne dans les gènes J où, pendant la maturation des lymphocytes B ; le gène pour la variable région en amont est reliée à un segment gène constantes en aval. La position de l'union de deux des gênes est variable et contribue à anticorps diversité. Elle est définie de l'immunoglobuline J, serrurerie ; un autre polypeptide ça sert de lien morceau IGA IGM ou en polymère.
Les immunoglobulines produites en réponse à des infections bactériennes antigènes.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
Les immunoglobulines sur la surface des lymphocytes B. leur coursier ARN contient un exon avec une membrane englobant séquence, produisant immunoglobulines sous la forme de type I protéines transmembranaire par opposition à sécrétés imm unoglobulines (anticorps) qui ne comportent pas la membrane entourant segment.
Caractéristiques des immunoglobulines anormale MYELOME MULTIPLE.
La propriété des anticorps qui leur permet de réagir avec certains LES DÉTERMINANTS antigénique et pas avec les autres. La précision est dépendant de composition chimique, force physique et structure moléculaire au site de liaison.
Gènes et des gênes immunoglobuline encoder la lourde chaîne ! Des gênes de la chaîne lourde gènes sont symbolisés V (D), variable (diversité), J (et Michèle) (constante, et C).
Une mutation programmé procédé par lequel change sont présentés aux séquence nucléotidique en immunoglobuline Gene ADN au cours du développement.
Une discrète, probablement isolement, masse de plasma néoplasiques soit des cellules de moelle osseuse ou envahissement divers sites.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline D. Ils ont un poids moléculaire d'environ 64 kDa et ils contiennent environ 500 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide fragment Fc constante fixé à la région.
Un site situées sur le INTRONS au 5 'fin de chaque segment de l ’ immunoglobuline constantes heavy-chain recombinaison où un gène (réarrangement) survenir lors d ’ immunoglobuline ou de changer le cours. Ig interrupteur régions sont trouvées sur les gènes codant pour les cinq classes (immunoglobuline isotypes) en immunoglobuline lourde chaîne !
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline A. Ils ont un poids moléculaire d'environ 60 kDa et contenir sur 470 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide lié à leur fragment Fc constantes.
Des anticorps qui réagissent avec chacune des déterminants structurelles (idiotopes) sur la variable région d'autres anticorps.
Genetically-controlled déterminants cadeau unique dont la spécificité d'anticorps est limitée à un seul groupe de protéines (par exemple, un autre anticorps molécule ou un individu protéines du myélome). La idiotype semble représenter la antigen-binding antigénicité du site de l'anticorps et d'être génétiquement codetermined avec. Le idiotypic déterminants était précisément localisé à l'immunoglobuline D 'OFFRES À région des deux immunoglobin polypeptide chaînes.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
La fraction extracellulaire du récepteur de l ’ immunoglobuline polymères trouvé seul ou complexed avec IGA IGM ou, dans plusieurs sécrétions externes, la bile (arrache le colostrum.) Secretory composant provient par clivage protéolytique des pendant Transcytosis IgA et IgM. Quand les immunoglobulines sont dépositaires du récepteur, durant leur Transcytosis composant devient sécrétion attaché à eux de façon covalente générant immunoglobuline A ou de sécrétion tubulaire rénale active des produits immunoglobuline M
Anticorps produits par un seul clone de cellules.
Un déficit immunitaire état caractérisé par une très faible niveau de toutes les classes de gamma-globulin généralement dans le sang.

Les chaînes légères kappa des immunoglobulines sont une protéine présente dans le sang et les autres fluides corporels. Elles sont produites par un type de globules blancs appelés plasmocytes, qui sont une partie importante du système immunitaire. Les chaînes légères kappa sont des composants essentiels des anticorps (immunoglobulines), qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant aux agents étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Les chaînes légères kappa sont appelées "légères" car elles ont une masse moléculaire relativement faible par rapport à d'autres protéines sanguines. Elles sont produites en grande quantité dans le corps, ce qui signifie qu'elles peuvent être facilement détectées et mesurées dans le sang.

Les chaînes légères kappa sont un type spécifique de chaîne légère, l'autre étant les chaînes légères lambda. Les deux types de chaînes légères sont produites en quantités égales dans le corps sain et sont utilisées pour former des anticorps fonctionnels. Cependant, dans certaines maladies du sang telles que les gammapathies monoclonales, une seule chaîne légère est produite de manière excessive, ce qui peut entraîner des déséquilibres et des problèmes de santé.

Dans l'ensemble, les chaînes légères kappa sont un élément important du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les maladies.

La protéine Bence Jones est un type spécifique de chaîne légère d'immunoglobuline monoclonale trouvée dans l'urine ou parfois dans le sérum sanguin. Elle est nommée d'après le médecin britannique Henry Bence Jones qui l'a décrite pour la première fois en 1847. Ces chaînes légères sont produites en excès par certaines cellules tumorales, principalement dans les myélomes multiples et les maladies des chaînes légères (une forme de gammapathie monoclonale).

Les protéines Bence Jones peuvent être détectées par des tests d'urine ou de sang. Lorsqu'elles sont chauffées puis refroidies, elles forment des précipités, ce qui est utilisé comme méthode de détection en laboratoire. L'accumulation de ces protéines peut entraîner des dommages aux reins et d'autres complications liées à la maladie sous-jacente.

Les gammaglobulines, également connues sous le nom d'immunoglobulines G (IgG), sont un type d'anticorps qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire humain. Elles sont produites par les plasmocytes, qui sont des cellules dérivées des lymphocytes B.

Les gammaglobulines sont la plus grande classe d'immunoglobulines et représentent environ 75 à 80% de toutes les immunoglobulines dans le sérum humain. Elles sont présentes dans le sang, la lymphe et les tissus conjonctifs de l'organisme.

Les gammaglobulines ont plusieurs fonctions importantes, notamment :

1. La neutralisation des toxines et des virus en se liant à eux et en empêchant leur interaction avec les cellules humaines.
2. L'activation du complément, ce qui permet de détruire les bactéries et les cellules infectées.
3. La facilitation de la phagocytose, où les gammaglobulines se lient aux antigènes à la surface des bactéries, ce qui permet aux globules blancs de les détecter et de les détruire plus facilement.
4. La protection contre les infections en fournissant une immunité passive aux nourrissons via le placenta et aux personnes qui ont reçu des injections d'immunoglobulines.

Les gammaglobulines sont souvent utilisées dans le traitement de diverses affections, telles que les déficits immunitaires primaires et secondaires, les infections bactériennes et virales récurrentes, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques.

Les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps, sont des glycoprotéines sécrétées par les plasmocytes (un type de cellule B différenciée) en réponse à l'exposition à un antigène. Ils jouent un rôle crucial dans l'humoral de la réponse immunitaire, où ils se lient spécifiquement aux antigènes étrangers et les neutralisent ou les marquent pour être détruits par d'autres cellules du système immunitaire.

Les immunoglobulines sont constituées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, liées par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM), chacune ayant des rôles spécifiques dans la réponse immunitaire. Par exemple, l'IgG est la principale immunoglobuline sérique et protège contre les infections bactériennes et virales en facilitant la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps et la complémentation.

Les immunoglobulines peuvent être trouvées dans le sang, la lymphe et d'autres fluides corporels, et elles sont souvent utilisées comme thérapeutiques pour traiter une variété de conditions médicales, y compris les déficits immunitaires primaires et secondaires, les maladies auto-immunes et les infections.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

L'immunoglobuline A (IgA) est un type d'anticorps présent dans le corps humain. Il s'agit d'une protéine essentielle du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la défense contre les infections. L'IgA se trouve principalement dans les sécrétions corporelles, telles que les larmes, la salive, le suc gastrique, le mucus des poumons et des voies respiratoires supérieures, ainsi que les fluides génitaux et les sécrétions intestinales.

Il existe deux sous-types d'IgA : l'IgA1 et l'IgA2. L'IgA1 est la forme prédominante dans le sang et les sécrétions, tandis que l'IgA2 est plus abondante dans les muqueuses des voies respiratoires inférieures et du tractus gastro-intestinal.

L'IgA agit en se liant aux antigènes, tels que les bactéries, les virus et les toxines, pour empêcher leur adhésion et leur pénétration dans les muqueuses. Cela contribue à prévenir l'infection et l'inflammation des tissus environnants. De plus, l'IgA peut également neutraliser directement certains agents pathogènes en inhibant leur capacité à se répliquer ou à provoquer une infection.

En résumé, l'immunoglobuline A est un anticorps essentiel qui contribue à la défense immunitaire contre les infections en se liant aux agents pathogènes et en empêchant leur adhésion et pénétration dans les muqueuses.

L'immunoglobuline M (IgM) est un type d'anticorps présent dans le sang et les fluides corporels. C'est la première ligne de défense du système immunitaire contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Les IgM sont les plus grands des anticorps et se lient aux antigènes (substances étrangères) pour aider à neutraliser ou éliminer ces menaces. Ils agissent en activant le système du complément, ce qui entraîne la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Les IgM sont produites par les plasmocytes, un type de globule blanc, en réponse à une infection aiguë. Cependant, leur concentration dans le sang diminue rapidement après la disparition de l'antigène.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui constituent une partie essentielle des anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules protectrices produites par notre système immunitaire pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les toxines.

Les chaînes lourdes sont des segments protéiques plus grands qui s'associent à d'autres segments protéiques appelés chaînes légères pour former un anticorps fonctionnel. Les chaînes lourdes sont composées de différents domaines, y compris le domaine variable responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, ainsi que plusieurs domaines constants qui contribuent à la structure et à la fonction de l'anticorps.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, désignées par les lettres grecques α (alpha), δ (delta), ε (epsilon), γ (gamma) et μ (mu). Chaque type de chaîne lourde correspond à un type spécifique d'anticorps : IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Les différents types d'anticorps ont des fonctions et des distributions tissulaires distinctes, ce qui permet au système immunitaire de répondre de manière appropriée aux divers types de menaces pour la santé.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que les déficits immunitaires primaires, qui prédisposent une personne à des infections récurrentes et sévères. Des recherches sont en cours pour comprendre comment les chaînes lourdes contribuent à la fonction et à la régulation du système immunitaire et pour développer de nouvelles thérapies pour traiter les maladies liées aux troubles du système immunitaire.

L'immunoglobuline voie intraveineuse (IgIV) est une préparation thérapeutique d'anticorps protecteurs, dérivée du plasma sanguin humain. Elle est administrée par voie intraveineuse pour fournir une immunité passive contre certaines infections et maladies. L'IgIV contient des anticorps dirigés contre divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les toxines, offrant ainsi une protection temporaire contre ces menaces.

Ce traitement est généralement utilisé pour prévenir ou traiter les infections chez les personnes présentant un déficit immunitaire primitif ou acquis, telles que le déficit en immunoglobuline, le syndrome des neutrophiles dysfonctionnels, l'infection à VIH, les greffés d'organes solides et les patients atteints de certains types de cancer.

L'IgIV est également employée dans la prise en charge de diverses affections auto-immunes et inflammatoires, comme le syndrome de Guillain-Barré, le syndrome myasthénique grave, le purpura thrombocytopénique idiopathique et la polyarthrite rhumatoïde. En outre, elle peut être utilisée pour traiter les réactions indésirables à la transfusion sanguine et pour prévenir les infections chez les personnes exposées à des agents pathogènes spécifiques, comme l'hépatite A.

Les effets secondaires courants de l'IgIV comprennent des réactions allergiques légères à modérées, des maux de tête, des nausées, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une augmentation transitoire des taux sériques d'alanine aminotransférase (ALT). Dans de rares cas, l'IgIV peut provoquer des réactions anaphylactiques graves, une thrombose veineuse et une insuffisance cardiaque congestive. Par conséquent, il est crucial que les professionnels de la santé surveillent attentivement les patients recevant ce traitement et ajustent la posologie en fonction des besoins individuels.

Les gènes des chaînes légères des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent les protéines des chaînes légères des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les chaînes légères sont des molécules constituantes importantes des immunoglobulines, avec une masse moléculaire inférieure à celle des chaînes lourdes. Elles se composent de deux domaines: un domaine variable (V) et un domaine constant (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que le domaine constant participe à la médiation des effets biologiques des immunoglobulines.

Il existe deux types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Les gènes correspondants sont situés sur différents chromosomes. Les gènes des chaînes légères comprennent plusieurs segments, notamment les segments variables (V), diversifiants (D) et jointifs (J), qui subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B pour produire une grande diversité d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de reconnaître et de répondre à un large éventail d'antigènes.

Les gènes des chaînes légères sont essentiels au fonctionnement du système immunitaire, car ils contribuent à la production d'anticorps spécifiques qui protègent l'organisme contre les agents pathogènes et autres substances étrangères. Les mutations ou les variations de ces gènes peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires, les maladies auto-immunes et certains types de cancer.

Les chaînes légères des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Il existe deux types de chaînes légères : kappa (κ) et lambda (λ). Chaque anticorps est constitué de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfure pour former la structure tridimensionnelle de l'anticorps.

Les chaînes légères sont synthétisées sur les ribosomes libres du réticulum endoplasmique et contiennent deux domaines constants (C) et un domaine variable (V). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que les domaines constants sont responsables de la fonction effectrice de l'anticorps.

Les chaînes légères kappa et lambda sont codées par des gènes différents situés sur des chromosomes différents. Chez un individu sain, il y a une distribution équilibrée des chaînes légères kappa et lambda dans le sang et la moelle osseuse. Cependant, certaines affections médicales peuvent entraîner une production anormale de chaînes légères, telles que les gammapathies monoclonales, qui sont des conditions caractérisées par la production excessive d'une seule chaîne légère. Ces conditions peuvent être bénignes ou malignes et nécessitent une évaluation médicale appropriée.

L'immunoglobuline E (IgE) est un type d'anticorps qui joue un rôle crucial dans les réactions allergiques et la défense contre les parasites. Elle est produite par les plasmocytes, une sous-population de lymphocytes B, en réponse à des antigènes spécifiques tels que les protéines présentes sur les pollens, les acariens, les moisissures ou les aliments.

Une fois produite, l'IgE se lie aux récepteurs FcεRI situés sur les mast cells et les basophils. Lorsqu'un individu est exposé à nouveau à l'antigène spécifique, il déclenche la libération d'une cascade de médiateurs inflammatoires tels que l'histamine, les leukotriènes et les prostaglandines. Cela provoque une réaction allergique caractérisée par des symptômes variés allant des éternuements, des démangeaisons cutanées, de l'eczéma, jusqu'à l'asthme sévère ou même un choc anaphylactique dans les cas extrêmes.

Il est important de noter que tous les individus ne développent pas de réponses IgE après une exposition à un antigène donné. Ce phénomène, appelé sensibilisation, dépend de facteurs génétiques et environnementaux complexes. Les personnes atteintes d'asthme, de rhinite allergique ou de dermatite atopique ont souvent des niveaux élevés d'IgE sériques.

Des tests sanguins peuvent être utilisés pour mesurer les taux d'IgE totaux et spécifiques à certains antigènes, ce qui aide au diagnostic et au suivi de certaines affections allergiques.

L'immunoglobuline A sécrétoire (IgA sécrétoire) est un type d'immunoglobuline, ou anticorps, qui joue un rôle crucial dans la défense immunitaire des muqueuses du corps, telles que celles des poumons, du tube digestif et des voies génitales. Ces anticorps sont produits par les plasmocytes (un type de globule blanc) et sont sécrétés dans les fluides corporels, tels que la salive, le suc gastrique, les larmes, le mucus nasal et respiratoire, et les sécrétions vaginales.

L'IgA sécrétoire est un dimère (deux molécules d'IgA liées ensemble) qui contient une protéine supplémentaire appelée fragment de jonction J (J-chain). Cette forme spécifique d'IgA offre une protection locale contre les agents pathogènes, tels que les bactéries et les virus, en empêchant leur adhésion et leur invasion des muqueuses. De plus, l'IgA sécrétoire peut neutraliser les toxines produites par certains micro-organismes, ce qui contribue à prévenir les infections et l'inflammation.

L'IgA sécrétoire est particulièrement importante pour la protection des surfaces muqueuses exposées aux antigènes environnementaux, tels que les allergènes alimentaires et les particules inhalées. Elle contribue également à la régulation de la réponse immunitaire locale en limitant l'activation excessive du système immunitaire qui pourrait entraîner une inflammation chronique ou des maladies auto-immunes.

La région variable des immunoglobulines, souvent abrégée en V region ou V domain, se réfère à la partie d'une molécule d'immunoglobuline (anticorps) qui est responsable de la reconnaissance et du lien avec des antigènes spécifiques. Cette région est dite "variable" car elle diffère considérablement d'une molécule d'immunoglobuline à l'autre, même au sein d'un même individu.

La région variable est composée de plusieurs segments protéiques, appelés domaines variables (V domains), qui sont codés par des gènes particuliers appelés gènes V, D et J pour les immunoglobulines de classe IgG, IgA et IgD. Ces domaines variables forment une structure en forme de feuille pliée qui contient la zone de liaison à l'antigène, également appelée paratope.

La diversité des régions variables est ce qui permet aux anticorps de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes différents, y compris les protéines, les glucides, les lipides et autres molécules présentes sur les surfaces des cellules ou dans le milieu extracellulaire. Cette diversité est générée par une combinaison complexe de processus génétiques, tels que la recombinaison somatique et l'hypermutation somatique, qui permettent à chaque molécule d'immunoglobuline de posséder un ensemble unique de régions variables.

Les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une partie constitutive des anticorps, qui sont des protéines essentielles du système immunitaire participant à la défense de l'organisme contre les agents pathogènes. Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont composées de deux chaînes lourdes (α, γ, δ ou μ) et deux chaînes légères (κ ou λ).

Dans le cas des chaînes lourdes mu, elles sont spécifiquement associées aux immunoglobulines de type IgM. Les IgM sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection et jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire complémentaire.

Les chaînes lourdes mu contiennent plusieurs domaines constants et variables, qui déterminent la spécificité de liaison de l'anticorps à un antigène donné. Les régions variables des chaînes lourdes mu sont particulièrement importantes pour la reconnaissance et la liaison aux épitopes des antigènes.

En résumé, les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une composante clé des anticorps de type IgM, qui jouent un rôle essentiel dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes.

Les isotypes d'immunoglobulines, également connus sous le nom de classes d'immunoglobulines, se réfèrent aux différentes structures chimiques des anticorps (immunoglobulines) produits par les lymphocytes B dans le système immunitaire. Il existe cinq isotypes principaux chez les humains: IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Chaque isotype a des fonctions spécifiques et joue un rôle important dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes.

1. IgA: Il s'agit d'un isotype présent dans les sécrétions telles que les larmes, la salive, le lait maternel et les sécrétions intestinales. Il protège les muqueuses des infections en neutralisant les virus et les bactéries avant qu'ils ne pénètrent dans l'organisme.

2. IgD: Cet isotype est principalement présent à la surface des lymphocytes B matures comme récepteur d'anticorps de surface (sIgD). Il joue un rôle dans l'activation et la différenciation des lymphocytes B.

3. IgE: Cet isotype est associé à la réponse allergique et parasitaire. Les IgE se lient aux récepteurs des mast cells et des basophiles, déclenchant une libération d'histamine et d'autres médiateurs chimiques lorsqu'ils sont activés par un antigène spécifique, entraînant une réaction inflammatoire.

4. IgG: Il s'agit du plus abondant des isotypes sériques et possède plusieurs sous-classes (IgG1, IgG2, IgG3 et IgG4). Les IgG sont responsables de la neutralisation des toxines bactériennes, de l'opsonisation des particules étrangères pour faciliter leur phagocytose et de l'activation du complément.

5. IgM: Cet isotype est le premier à être produit lors d'une réponse immunitaire et se trouve principalement dans le sérum. Les IgM sont décimales, ce qui signifie qu'elles contiennent cinq unités Y de chaînes lourdes et légères, facilitant l'activation du complément et la neutralisation des virus en agglutinant les particules virales.

En résumé, chaque isotype d'immunoglobuline a un rôle spécifique dans la réponse immunitaire, que ce soit pour la défense contre les agents pathogènes, la neutralisation des toxines ou la médiation des réactions allergiques.

Les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules clés du système immunitaire qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries et les virus.

Chaque anticorps est composé de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfures pour former une structure en Y. Les chaînes légères peuvent être divisées en deux types différents : kappa et lambda. Environ 60% des anticorps humains contiennent des chaînes légères lambda, tandis que les 40% restants contiennent des chaînes légères kappa.

Les chaînes légères lambda sont codées par un gène situé sur le chromosome 22. Les mutations ou les réarrangements anormaux de ce gène peuvent entraîner la production d'un nombre anormal de chaînes légères lambda, ce qui peut contribuer au développement de certaines maladies du sang telles que le myélome multiple et le trouble du gène WM (Waldenström macroglobulinémie).

En résumé, les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps et aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers. Les anomalies dans la production de ces chaînes peuvent contribuer au développement de certaines maladies du sang.

L'immunoglobuline D (IgD) est un type d'anticorps présent dans le sang et les tissus du corps humain. Il s'agit d'une protéine impliquée dans le système immunitaire, qui aide à combattre les infections et les maladies. L'IgD est produite par certaines cellules B, un type de globule blanc, et se lie aux antigènes, des substances étrangères telles que des bactéries ou des virus, pour aider à les identifier et à les éliminer.

Cependant, l'IgD ne joue pas un rôle aussi important dans la réponse immunitaire que d'autres types d'immunoglobulines, telles que l'IgG ou l'IgM. Sa fonction précise est encore mal comprise, mais on pense qu'elle peut être impliquée dans l'activation des cellules B et la régulation de la réponse immunitaire.

Des niveaux anormaux d'IgD peuvent être associés à certaines affections médicales, telles que les déficits immunitaires primaires ou les maladies auto-immunes. Cependant, l'IgD n'est pas couramment utilisée comme marqueur diagnostique ou pronostique pour ces conditions.

Les régions constantes des immunoglobulines, également connues sous le nom de régions C, sont des parties structuralement et fonctionnellement conservées des chaînes lourdes et légères des molécules d'immunoglobulines (anticorps). Ces régions sont constituées de trois domaines globulaires en forme de feuillet (Domaines Ig), chacun contenant environ 110 acides aminés. Les régions constantes sont responsables de la détermination des effets biologiques spécifiques des anticorps, tels que la fixation du complément et l'opsonisation (marquage d'une cellule ou d'une particule étrangère pour être reconnue par les cellules du système immunitaire).

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes dans les immunoglobulines, notées α, δ, ε, γ et μ. Chaque type a une région constante distincte qui détermine la fonction et la classe de l'immunoglobuline. Par exemple, les IgG, qui sont les anticorps les plus abondants dans le sang humain, ont une région constante composée de trois domaines Cγ. De même, les IgM, qui sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection, ont une région constante composée de cinq domaines Cμ.

Les régions constantes des immunoglobulines sont codées par des gènes situés sur des chromosomes spécifiques et subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B, ce qui permet la production d'une grande diversité d'anticorps pour faire face à une variété d'agents pathogènes.

Les fragments Fc d'immunoglobulines sont des portions structurales constantes des molécules d'immunoglobulines (anticorps), qui jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire et l'élimination des agents pathogènes. Les fragments Fc sont composés de deux chaînes lourdes et peuvent se lier à divers récepteurs Fc et protéines effectrices, telles que les lectines et les protéines de la classe Fc, pour initier une variété de réponses immunitaires.

Les fragments Fc des immunoglobulines peuvent être séparés des parties variables antigéniques (Fab) par digestion enzymatique, ce qui permet d'isoler et d'étudier leurs fonctions spécifiques dans la modulation de l'activité immunitaire. Les fragments Fc présentent des propriétés biochimiques uniques, telles que la capacité à se lier aux récepteurs Fc sur les cellules immunitaires et à activer la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) et la libération de médiateurs inflammatoires.

Dans un contexte clinique, les fragments Fc peuvent être utilisés dans le développement de thérapies immunologiques ciblées pour traiter diverses affections pathologiques, telles que les infections, l'inflammation et les maladies auto-immunes. Par exemple, des fragments Fc d'immunoglobulines spécifiquement conçus peuvent être utilisés pour neutraliser les toxines bactériennes ou virales, bloquer la signalisation inflammatoire excessive ou favoriser l'élimination des cellules anormales par le système immunitaire.

En résumé, les fragments Fc d'immunoglobulines sont des composants structuraux et fonctionnels importants des anticorps qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité du système immunitaire et peuvent être exploités pour le développement de thérapies ciblées dans diverses applications cliniques.

Les lymphocytes B sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la production d'anticorps, des protéines qui marquent les agents pathogènes étrangers pour une destruction ultérieure par d'autres éléments du système immunitaire.

Après s'être développés dans la moelle osseuse, les lymphocytes B migrent vers la rate et les ganglions lymphatiques où ils mûrissent et deviennent des cellules capables de produire des anticorps spécifiques. Lorsqu'un lymphocyte B rencontre un agent pathogène qu'il peut cibler, il se différencie en une plasmocyte qui sécrète alors des quantités massives d'anticorps contre cet agent pathogène particulier.

Les maladies associées à un dysfonctionnement des lymphocytes B comprennent le déficit immunitaire commun variable, la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI), et certains types de leucémie et de lymphome.

La commutation des classes d'immunoglobulines, également connue sous le nom de switching isotypique ou classe de switching, est un processus immunologique au cours duquel une cellule B active modifie la classe (isotype) de son immunoglobuline (anticorps) produite, tout en conservant la même spécificité antigénique. Ce processus se produit dans le centre germinatif des ganglions lymphatiques et est médié par un changement dans la région variable de la chaîne lourde des immunoglobulines, induit par l'activation de l'enzyme activateur de la transcription AID (activation-induced cytidine deaminase).

La commutation des classes d'immunoglobulines permet aux cellules B de produire différents types d'anticorps (par exemple, IgM, IgG, IgA, et IgE) en réponse à une infection ou à un antigène. Chaque classe d'immunoglobuline a des propriétés fonctionnelles et structurelles différentes, ce qui permet aux cellules B de fournir une réponse immunitaire adaptative appropriée contre divers types de pathogènes.

La commutation des classes d'immunoglobulines est un processus crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative efficace et la mémoire immunologique. Des défauts dans ce processus peuvent entraîner une susceptibilité accrue aux infections et des maladies auto-immunes.

Les chaînes lourdes gamma des immunoglobulines, également connues sous le nom de chaînes gamma des anticorps, sont un type de protéine présent dans le système immunitaire. Les immunoglobulines, ou anticorps, sont des molécules protéiques produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les maladies.

Les chaînes lourdes gamma font partie de la structure des immunoglobulines G (IgG), qui sont les anticorps les plus courants dans le sang humain. Les IgG sont essentiels pour protéger l'organisme contre les infections bactériennes et virales, ainsi que contre d'autres agents pathogènes.

Les chaînes lourdes gamma sont composées de plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable, qui est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, et les domaines constants, qui sont importants pour l'activation du système immunitaire. Les chaînes lourdes gamma contiennent également des sites de fixation pour les compléments, ce qui permet d'activer le système du complément et de faciliter la destruction des agents pathogènes.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes gamma peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que le déficit immunitaire commun variable (DICV) et la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI). Ces conditions peuvent augmenter le risque d'infections, de maladies auto-immunes et de certains types de cancer.

Les fragments Fc des immunoglobulines, également connus sous le nom de Fc fragments, sont des parties constantes de certaines protéines d'immunoglobuline (anticorps) qui jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire. Ces fragments sont formés lorsque les immunoglobulines sont clivées ou séparées en deux parties distinctes : la partie Fab et la partie Fc.

La région Fab (Fragment antigénique binding) est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, c'est-à-dire les molécules étrangères telles que les protéines, les sucres ou les lipides qui déclenchent une réponse immunitaire.

La région Fc (Fragment cristallisable), quant à elle, est capable de se lier à d'autres protéines du système immunitaire, telles que les récepteurs des cellules présentatrices d'antigènes et les composants du complément. Cette interaction permet d'activer divers mécanismes de défense de l'organisme contre les agents pathogènes.

Les fragments Fc peuvent être utilisés dans un contexte thérapeutique pour traiter certaines affections médicales. Par exemple, les immunoglobulines intraveineuses (IgIV) sont des préparations contenant des pools d'immunoglobulines humaines provenant de nombreux donneurs, qui sont souvent utilisées pour traiter les déficits immunitaires primaires et secondaires, ainsi que certaines maladies auto-immunes et inflammatoires. Les fragments Fc peuvent être isolés à partir de ces préparations et administrés séparément pour cibler spécifiquement certains effets bénéfiques, tels que l'activation du complément ou la modulation de l'inflammation.

Les chaînes J des immunoglobulines, également connues sous le nom de chaînes légères, sont des protéines présentes dans les anticorps ou les immunoglobulines. Les chaînes J sont des segments variables de la région constante des chaînes légères des immunoglobulines et jouent un rôle important dans la formation de la structure tridimensionnelle des anticorps et dans leur capacité à se lier spécifiquement aux antigènes.

Il existe deux types de chaînes légères : les chaînes kappa (κ) et lambda (λ). Chaque immunoglobuline contient soit deux chaînes κ, soit deux chaînes λ, mais pas une combinaison des deux. Les chaînes J sont codées par les gènes situés sur le chromosome 22 pour les chaînes κ et sur le chromosome 2 pour les chaînes λ.

Les chaînes J sont produites lors du réarrangement des gènes des chaînes légères au cours du développement des lymphocytes B, qui sont responsables de la production d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de générer une grande diversité de séquences d'acides aminés dans les régions variables des chaînes légères, ce qui leur permet de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes des chaînes J peuvent entraîner la production d'immunoglobulines anormales et ont été associées à certaines maladies, telles que le myélome multiple et les gammapathies monoclonales de signification indéterminée (MGUS).

Les fragments d'immunoglobulines, également connus sous le nom de fragments d'anticorps, sont des portions protéiques spécifiques d'une immunoglobuline ou d'un anticorps qui ont conservé leur activité biologique. Les immunoglobulines sont des glycoprotéines complexes composées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, unies par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en reconnaissant et en neutralisant les antigènes étrangers.

Les fragments d'immunoglobulines peuvent être obtenus par une digestion enzymatique spécifique des immunoglobulines entières. Par exemple, la papaïne ou la pepsine peut être utilisée pour cliver les chaînes polypeptidiques des immunoglobulines en fragments Fab et Fc. Les fragments Fab (Fragment d'antigène lié) contiennent les régions variables des chaînes lourdes et légères, responsables de la reconnaissance et de la liaison spécifique aux antigènes. Les fragments Fc (Fragment cristallisable) sont constitués des régions constantes des chaînes lourdes et sont responsables de la médiation des effets biologiques tels que la fixation du complément, l'opsonisation et la neutralisation des toxines.

Ces fragments d'immunoglobulines ont des applications importantes dans le diagnostic, la recherche et la thérapeutique médicales. Par exemple, les fragments Fab marqués peuvent être utilisés pour la détection spécifique d'antigènes dans des tests immuno-histochimiques ou immunologiques. De plus, les fragments Fc peuvent être utilisés pour le développement de médicaments thérapeutiques ciblés, tels que les anticorps monoclonaux conjugués à des agents cytotoxiques ou à des isotopes radioactifs, pour le traitement de diverses affections pathologiques telles que les cancers et les maladies auto-immunes.

Les allotypes des immunoglobulines sont des variantes génétiques spécifiques de certaines chaînes d'immunoglobulines (également appelées anticorps), qui sont produites par les lymphocytes B. Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire, qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes d'immunoglobulines peuvent être divisées en deux types principaux : les chaînes lourdes et les chaînes légères. Les gènes qui codent pour ces chaînes sont polymorphes, ce qui signifie qu'il existe des variations génétiques dans la population. Certaines de ces variations se traduisent par des différences dans les séquences d'acides aminés des chaînes d'immunoglobulines, qui sont appelées allotypes.

Les allotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier des sous-populations de lymphocytes B et pour étudier la diversité génétique et l'évolution des systèmes immunitaires chez les individus et les populations. Ils peuvent également avoir des implications cliniques, par exemple dans le diagnostic et le suivi de certaines maladies auto-immunes ou de troubles liés à la production d'anticorps anormaux.

Il est important de noter que les allotypes ne doivent pas être confondus avec les isotypes, qui sont des classes différentes d'immunoglobulines (par exemple IgG, IgM, IgA) définies par des différences dans la structure des chaînes lourdes.

Les récepteurs d'immunoglobulines polymériques (poly-IgR) sont des protéines transmembranaires exprimées principalement sur les cellules épithéliales de la muqueuse intestinale, mais aussi dans une moindre mesure sur les cellules du tissu lymphoïde associé à l'intestin (GALT). Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en facilitant la capture, le transport et la présentation des antigènes aux lymphocytes B.

Les poly-IgR sont composés de deux sous-unités : une chaîne polypeptidique membranaire (mPIGR) et une sous-unité secrétée (sPIGR). La mPIGR est ancrée dans la membrane plasmique des cellules épithéliales, tandis que la sPIGR est sécrétée dans la lumière intestinale. Les deux sous-unités sont codées par le même gène et sont générées par un processus de clivage protéolytique post-traductionnel.

La fonction principale des poly-IgR est de faciliter l'élimination des complexes immuns (CI) formés par les interactions entre les anticorps (IgG et IgA sécrétée) et les antigènes circulant dans la lumière intestinale. Les poly-IgR se lient aux CI via leurs domaines Fc, ce qui entraîne l'internalisation des complexes par endocytose. Une fois internalisés, ces complexes sont transportés à travers les cellules épithéliales et libérés dans la cavité interstitielle, où ils peuvent être capturés par les cellules du système immunitaire pour initier une réponse immune adaptative.

Les poly-IgR participent également au maintien de l'homéostasie intestinale en limitant l'exposition des tissus sous-jacents aux antigènes luminales et en favorisant la tolérance immunitaire à ces antigènes. Les défauts dans le fonctionnement des poly-IgR ont été associés à plusieurs maladies inflammatoires de l'intestin, telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, ainsi qu'à d'autres affections auto-immunes.

Je suis désolé, il semble y avoir une petite erreur dans votre requête. "Region J Immunoglobuline" ne semble pas être une définition médicale reconnue. Cependant, je peux vous fournir des informations sur les immunoglobulines, et peut-être cela pourra-t-il éclaircir ce que vous vouliez savoir.

Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont des protéines produites par le système immunitaire qui aident à neutraliser les pathogènes tels que les bactéries et les virus. Elles peuvent être trouvées dans le sang et les fluides corporels. Les immunoglobulines sont classées en cinq types (IgA, IgD, IgE, IgG, et IgM) en fonction de leur structure et de leur rôle dans la réponse immunitaire.

Si vous cherchiez des informations sur une région spécifique d'une immunoglobuline, veuillez préciser votre demande et je serai heureux de vous fournir les informations pertinentes.

Les anticorps antibactériens sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'une bactérie spécifique dans l'organisme. Ils sont également appelés immunoglobulines et sont capables de se lier à des antigènes bactériens spécifiques, tels que des protéines ou des polysaccharides situés à la surface de la bactérie.

Les anticorps antibactériens peuvent être de différents types, selon leur fonction et leur structure :

* Les immunoglobulines G (IgG) sont les plus courantes et assurent une protection à long terme contre les infections bactériennes. Elles peuvent traverser la barrière placentaire et protéger le fœtus contre certaines infections.
* Les immunoglobulines M (IgM) sont les premières à être produites lors d'une infection et ont une activité bactéricide élevée. Elles sont principalement présentes dans le sang et la lymphe.
* Les immunoglobulines A (IgA) se trouvent principalement sur les muqueuses, telles que les voies respiratoires et digestives, où elles protègent contre l'infection en empêchant l'adhésion des bactéries aux cellules épithéliales.
* Les immunoglobulines E (IgE) sont associées aux réactions allergiques et peuvent également jouer un rôle dans la défense contre certaines bactéries parasites.

Les anticorps antibactériens peuvent neutraliser les bactéries en se liant à leur surface, ce qui empêche leur multiplication et leur invasion des tissus. Ils peuvent également activer le complément, une cascade de protéines qui aboutit à la lyse de la bactérie. Enfin, ils peuvent faciliter la phagocytose, c'est-à-dire l'ingestion et la destruction des bactéries par les cellules immunitaires.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

Les récepteurs aux antigènes des cellules B, également connus sous le nom de récepteurs d'immunoglobuline (Ig) ou récepteurs B-cellulaire spécifiques d'antigène, sont des molécules de surface exprimées par les lymphocytes B qui leur permettent de reconnaître et de se lier sélectivement aux antigènes. Ces récepteurs sont composés de chaînes polypeptidiques lourdes et légères, qui forment une structure en forme de Y avec deux bras d'immunoglobuline variable (IgV) et un bras constant. Les régions variables des chaînes lourdes et légères contiennent des sites de liaison à l'antigène hautement spécifiques, qui sont générés par un processus de recombinaison somatique au cours du développement des cellules B dans la moelle osseuse. Une fois activées par la reconnaissance d'un antigène approprié, les cellules B peuvent se différencier en plasmocytes et produire des anticorps solubles qui maintiennent l'immunité humorale contre les agents pathogènes et autres substances étrangères.

Le myélome des protéines, également connu sous le nom de myélome multiple avec protéinurie Bence Jones, est un type de cancer qui se développe à partir de plasmocytes anormaux dans la moelle osseuse. Les plasmocytes sont un type de globule blanc qui produit des anticorps pour aider à combattre les infections. Dans le myélome des protéines, les plasmocytes cancéreux produisent des quantités excessives d'une protéine anormale appelée chaîne légère d'immunoglobuline, ou protéine Bence Jones.

Ces protéines peuvent s'accumuler dans le sang et les urines, entraînant une gamme de symptômes, y compris une fatigue extrême, des douleurs osseuses, des infections fréquentes, une insuffisance rénale et une augmentation de la protéinurie. Le myélome des protéines peut également entraîner la formation de tumeurs plasmocytaires dans la moelle osseuse, qui peuvent affaiblir les os et provoquer des fractures.

Le traitement du myélome des protéines dépend généralement de la gravité de la maladie et peut inclure une chimiothérapie, une radiothérapie, une greffe de moelle osseuse ou un traitement ciblé contre les plasmocytes cancéreux. Il est important de noter que le myélome des protéines est généralement une maladie incurable, mais avec un traitement approprié, la plupart des patients peuvent vivre une vie longue et productive.

La spécificité des anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier uniquement à une cible ou à un antigène spécifique. Cela signifie qu'un anticorps spécifique ne réagira et ne se liera qu'avec un épitope ou une structure moléculaire particulière sur l'antigène, à l'exclusion de tous les autres antigènes ou épitopes.

Cette propriété est cruciale dans le diagnostic et la thérapie des maladies, en particulier dans le domaine des tests sérologiques pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre un pathogène donné. Par exemple, dans les tests de dépistage du VIH, des anticorps spécifiques au virus du sida sont recherchés pour confirmer une infection.

En outre, la spécificité des anticorps est également importante en thérapie, où des anticorps monoclonaux hautement spécifiques peuvent être générés pour cibler et traiter des maladies telles que le cancer ou les maladies auto-immunes. Ces anticorps sont conçus pour se lier uniquement aux cellules cancéreuses ou aux molécules impliquées dans la maladie, minimisant ainsi les dommages collatéraux sur les cellules saines.

En résumé, la spécificité des anticorps est un concept clé en immunologie et en médecine, qui décrit la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier de manière sélective à une cible ou à un antigène spécifique. Cette propriété est essentielle pour le diagnostic et le traitement des maladies.

Les gènes des chaînes lourdes des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent pour les chaînes lourdes des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant spécifiquement aux antigènes étrangers, tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des polypeptides complexes qui contiennent plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable (V) et plusieurs domaines constants (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison spécifique à l'antigène, tandis que les domaines constants sont importants pour l'activation des fonctions effectrices de l'immunoglobuline.

Les gènes des chaînes lourdes des immunoglobulines sont situés sur le chromosome 14 et comprennent plusieurs régions différentes, y compris les régions V, D et J, qui contiennent chacune une variété de gènes distincts. Lors de la production d'une chaîne lourde des immunoglobulines, les segments de gène appropriés sont sélectionnés et réarrangés pour former un seul gène fonctionnel qui code pour la chaîne lourde complète. Ce processus de recombinaison génétique permet au système immunitaire de produire une grande diversité d'immunoglobulines avec des spécificités antigéniques différentes, ce qui est essentiel pour une réponse immunitaire efficace contre une variété d'agents pathogènes.

L'hypermutilation somatique des immunoglobulines fait référence à un processus au cours duquel il y a un taux élevé de mutations ponctuelles dans les gènes d'immunoglobulines chez les lymphocytes B matures. Ce phénomène se produit dans les zones germinales des ganglions lymphatiques, où les lymphocytes B subissent une prolifération et une mutation accrues de leurs gènes d'immunoglobulines pendant le processus de maturation.

Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont des protéines clés du système immunitaire qui aident à reconnaître et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries et les virus. Les gènes d'immunoglobulines subissent une recombinaison somatique au cours du développement des lymphocytes B, ce qui entraîne la production de répertoires diversifiés d'anticorps capables de reconnaître et de se lier à une grande variété d'antigènes.

L'hypermutilation somatique est un processus supplémentaire qui contribue davantage à la diversification des immunoglobulines en introduisant des mutations ponctuelles dans les gènes d'immunoglobulines. Ces mutations peuvent entraîner des changements dans la spécificité et l'affinité de liaison des anticorps, permettant aux lymphocytes B de mieux reconnaître et de répondre aux agents pathogènes. Cependant, un taux élevé de mutations peut également entraîner la production d'immunoglobulines autoreactives qui ciblent les propres cellules et tissus du corps, contribuant au développement de maladies auto-immunes.

Un plasmocytome est un type rare de tumeur qui se développe à partir des plasmocytes, qui sont des globules blancs matures du système immunitaire. Ces cellules sont normalement responsables de la production d'anticorps pour aider à combattre les infections. Cependant, dans le cas d'un plasmocytome, une prolifération anormale et non régulée de ces cellules se produit, entraînant la formation d'une tumeur.

Habituellement, un plasmocytome se développe dans le tissu osseux, en particulier dans la moelle osseuse, où résident normalement les plasmocytes. Lorsqu'il affecte l'os, il est appelé plasmocytome osseux. Moins fréquemment, un plasmocytome peut se former en dehors de l'os, dans d'autres tissus mous, comme les poumons, le foie ou la rate. Dans ce cas, on parle de plasmocytome extramédullaire.

Les symptômes associés à un plasmocytome peuvent varier en fonction de sa localisation et de son extension. Les plasmocytomes osseux peuvent provoquer des douleurs osseuses, des fractures pathologiques et une hypercalcémie (taux élevé de calcium dans le sang). Les plasmocytomes extramédullaires peuvent se manifester par une masse palpable, des symptômes liés à la compression des organes voisins ou des signes systémiques d'une production excessive d'immunoglobulines (protéines produites par les plasmocytes).

Le diagnostic de plasmocytome repose sur l'analyse histopathologique d'un échantillon de tissu obtenu par biopsie. Le traitement dépend du stade et de la localisation de la maladie, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une greffe de cellules souches hématopoïétiques.

Les chaînes lourdes delta des immunoglobulines, également connues sous le nom d'IgD, sont un type de chaîne protéique qui fait partie de la structure des immunoglobulines (également appelées anticorps). Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire qui aident à combattre les infections et les maladies.

Les chaînes lourdes delta sont une partie de la structure des immunoglobulines IgD, qui sont présentes en petites quantités dans le sang et les tissus lymphoïdes. Les IgD jouent un rôle important dans l'activation du système immunitaire, en particulier dans la réponse immunitaire des cellules B, qui sont un type de globule blanc.

Les chaînes lourdes delta sont codées par le gène IGHD et sont synthétisées dans le réticulum endoplasmique des plasmocytes, qui sont des cellules spécialisées du système immunitaire. Les chaînes lourdes delta s'associent à des chaînes légères pour former des molécules d'IgD entières, qui sont ensuite sécrétées à la surface des cellules B ou dans le sang.

Les anomalies dans les chaînes lourdes delta peuvent être associées à certaines maladies du système immunitaire, telles que les déficits immunitaires combinés sévères et les gammapathies monoclonales.

La région switch des immunoglobulines, également connue sous le nom de "switch régions" ou "regions de commutation," fait référence à des segments d'ADN situés dans les gènes des chaînes lourdes des anticorps (immunoglobulines). Ces régions switch sont localisées en amont des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes des immunoglobulines, et elles permettent le processus de commutation isotypique.

La commutation isotypique est un mécanisme par lequel les lymphocytes B modifient la classe (isotype) d'une immunoglobuline sans changer sa spécificité antigénique, c'est-à-dire qu'ils peuvent passer d'un isotype à un autre (par exemple, de IgM à IgG, IgA ou IgE) en réarrangeant les régions switch. Ce processus est médié par des réactions de recombinaison V(D)J dépendantes de l'activation des lymphocytes B spécifiques d'un antigène donné, et il permet à ces cellules de produire différents types d'immunoglobulines adaptées aux fonctions particulières dans la réponse immune.

La région switch est composée de séquences répétitives d'ADN, appelées "S regions" (de l'anglais "switch"), qui contiennent des motifs consensus permettant la recombinaison avec les régions upstream des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes. Ce mécanisme de commutation isotypique est crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative et spécifique contre divers agents pathogènes et antigènes.

Les chaînes lourdes alpha des immunoglobulines, également connues sous le nom d'alpha-chaînes, sont un type de protéine présent dans les anticorps ou les immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents étrangers.

Chaque anticorps est composé de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfures. Les chaînes lourdes sont plus grandes que les chaînes légères et contiennent des régions variables qui permettent aux anticorps de se lier spécifiquement à des antigènes, c'est-à-dire des molécules étrangères telles que des protéines virales ou bactériennes.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, notées alpha, delta, gamma, epsilon et mu. Les chaînes alpha sont présentes dans certaines classes d'immunoglobulines, telles que les IgA, qui jouent un rôle important dans la défense des muqueuses contre les infections.

Les mutations ou anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes alpha peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires communs variables, qui se caractérisent par une susceptibilité accrue aux infections.

Un anti-anticorps, également connu sous le nom d'anti-immunoglobuline ou d'anti-γ-globuline, est un type d'anticorps produit par le système immunitaire qui cible et se lie à des anticorps spécifiques. Les anti-anticorps sont généralement formés en réponse à une exposition préalable à des anticorps exogènes, tels que ceux trouvés dans les transfusions sanguines ou les greffes d'organes. Ils peuvent également être produits de manière anormale en raison de certaines maladies auto-immunes.

Les anti-anticorps sont souvent utilisés en médecine diagnostique pour identifier et mesurer la présence d'anticorps spécifiques dans le sang. Ils peuvent également être utilisés thérapeutiquement pour traiter certaines maladies auto-immunes, telles que le purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI), en éliminant les anticorps pathogènes du sang.

Cependant, la présence d'anti-anticorps peut également entraîner des complications lors de transfusions sanguines ou de greffes d'organes, car ils peuvent provoquer une réaction immunitaire contre les propres anticorps du receveur. Par conséquent, il est important de dépister et de surveiller la présence d'anti-anticorps avant de procéder à de telles interventions médicales.

L'idiotype d'une immunoglobuline est la région variable unique de la chaîne lourde et légère des anticorps qui confère à ces molécules leur spécificité antigénique. Cette région varie considérablement entre différents clones d'immunoglobulines et peut être reconnue par des anticorps dirigés contre elle, appelés anti-idiotypes.

L'étude des idiotypes a été importante dans la compréhension de la reconnaissance antigénique et de la régulation du système immunitaire. Les idiotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier et caractériser différents clones d'immunoglobulines, ce qui est particulièrement utile dans l'étude des maladies auto-immunes et des processus tumoraux.

Les vaccins anti-idiotypiques ont également été développés pour cibler les idiotypes spécifiques de certaines immunoglobulines pathologiques, tels que ceux trouvés dans certains types de cancer ou de maladies auto-immunes. Ces vaccins visent à stimuler la production d'anticorps dirigés contre l'idiotype, qui peuvent alors aider à contrôler la maladie.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Un composant sécrétoire dans un contexte médical ou physiologique se réfère à la partie d'une glande qui produit et sécrète des substances telles que des hormones, des enzymes ou d'autres molécules spécifiques dans le sang, les fluides corporels ou vers l'extérieur du corps. Ces composants sont généralement constitués de cellules spécialisées qui synthétisent et stockent ces substances avant qu'elles ne soient libérées par exocytose en réponse à des stimuli internes ou externes. Un exemple commun est le pancréas, dont les composants sécrétoires sont les ilots de Langerhans qui produisent et libèrent l'insuline et le glucagon dans le sang pour réguler la glycémie.

Les anticorps bispécifiques sont un type d'immunothérapie qui peuvent se lier à deux cibles différentes simultanément. Ils sont conçus pour avoir deux sites de liaison, chacun capable de se fixer à des protéines ou des cellules spécifiques. Cette capacité leur permet de servir de pont entre deux types de cellules, généralement les cellules cancéreuses et les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T.

En se liant aux deux cibles, les anticorps bispécifiques peuvent activer le système immunitaire pour attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Ils ont été développés comme une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de divers types de cancer, car ils peuvent contourner les mécanismes de défense des cellules cancéreuses qui empêchent souvent le système immunitaire de les reconnaître et de les attaquer.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'anticorps bispécifiques peut également entraîner des effets secondaires graves, tels que la libération de cytokines, qui peuvent provoquer une inflammation systémique et des réactions indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et gérée pour minimiser les risques associés.

L'agammaglobulinémie est une affection rare du système immunitaire caractérisée par un déficit en anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des protéines importantes qui aident à combattre les infections. Dans l'agammaglobulinémie, il y a une production insuffisante ou absente de certaines classes d'anticorps, ce qui rend une personne plus susceptible aux infections récurrentes et graves.

Les symptômes de l'agammaglobulinémie commencent généralement à apparaître pendant la petite enfance, après que les niveaux maternels d'anticorps aient diminué. Les infections respiratoires récurrentes, telles que la sinusite et la bronchite, sont courantes. Les infections cutanées, articulaires et gastro-intestinales peuvent également se produire.

L'agammaglobulinémie est causée par des mutations génétiques qui affectent la production de cellules B, un type de globule blanc qui produit des anticorps. Dans certains cas, l'affection peut être héréditaire et se transmettre de génération en génération dans les familles.

Le diagnostic d'agammaglobulinémie est généralement posé sur la base des symptômes et confirmé par des tests sanguins qui mesurent les niveaux d'immunoglobulines. Le traitement de l'affection consiste généralement en des injections régulières d'immunoglobulines pour aider à prévenir les infections. Il est également important de prendre des précautions pour éviter les infections, telles que la vaccination et une bonne hygiène.

Bien que l'agammaglobulinémie puisse être grave et entraîner des complications à long terme, elle peut être gérée avec un traitement approprié et une surveillance médicale régulière. Les personnes atteintes d'agammaglobulinémie peuvent mener une vie active et productive avec le soutien de leur famille, de leurs amis et de leur équipe de soins de santé.

... soit une chaîne légère Kappa ou Lambda (12 %). Le myélome multiple représente le plus répandu des cancers hémopathiques (10 % ... cette protéinurie est constituée de chaînes légères des immunoglobulines monoclonales, aussi appelées protéine de Bence-Jones. ... à chaînes légères, on observe une hypogammaglobulinémie, la quantité de chaînes légères n'étant quasiment jamais suffisante ... d'insuffisance rénale, surtout en cas de protéines à chaînes légères ; de troubles neurologiques : compression de la moelle ...
... de même que les deux chaînes légères. Les immunoglobulines ont une forme en Y (chaque chaîne légère constitue pour moitié un ... en 1961 ont découvert le système Km (à l'origine appelé Inv), porté par la chaîne légère Kappa, cet allotype est donc présent ... Il existe également des isotypes de chaînes légères, celles-ci pouvant être κ (kappa) ou λ (lambda). Tableau 1 : Propriétés des ... Le fragment Fab est formé de la chaîne légère en entier (VL+CL) et d'une partie de la chaîne lourde (VH+CH1). Il est monovalent ...
Cette méthode permet de retrouver la protéinurie de Bence-Jones, faite de chaînes légères kappa ou lambda des immunoglobulines ... lysozyme et chaînes légères kappa ou lambda. L'albumine, quant à elle, ne doit pas être supérieure à 30 mg/24h. Entre 30 mg/24h ... Elle ne détecte pas les chaînes légères d'immunoglobulines ni les autres protéines de bas poids moléculaire. De plus, elle se ... où la protéine est la chaîne légère d'anticorps monoclonaux. Elle est présente surtout chez la personne jeune, la protéinurie ...
... permettant de différencier les chaînes lourdes des immunoglobulines A ou G, ou les mutations de la chaîne légère Kappa. ...
Il existe une immunoglobuline monoclonale presque toujours à chaînes Mu Kappa (IgM k). Plus rarement une IgA ou des chaînes ... légères isolées (Protéine de Bence Jones) Il existe des complexes immuns faits d'IgM (Plus rarement d'IgG ou IgA) monoclonale à ... Ces dernières sont des immunoglobulines ayant la propriété de précipiter lorsque la température est inférieure à 37°. Le ...
Chaque IgG est composée de quatre chaînes de peptides - deux chaînes lourdes γ et deux chaînes légères soit κ (kappa), soit λ ( ... les chaînes légères sont constituées d'un domaine variable N-terminal (VL) et d'un domaine constant (CL). La chaîne légère ... Deux hétérodimères chaîne lourde-chaîne légère (HL) se combinent en une seule molécule d'anticorps (H2L2) via des liaisons ... composées de deux chaînes lourdes (H) de 50 kDa γ identiques et de deux chaînes légères (L) de 25 kDa κ ou λ identiques, liées ...
... porté par les chaînes légères Kappa. Il a créé et dirigé un laboratoire de l'INSERM orienté vers la génétique et l'immunologie ... Dans ce centre il a travaillé avec son équipe sur la structure, l'allotypie, l'isotypie et l'idiotypie des immunoglobulines. ... ainsi qu'un laboratoire de référence de l'OMS pour les immunoglobulines. Ont également été étudiés dans ce Centre les allotypes ...
Il s'agit des groupes Am, Gm, Km des immunoglobulines A, G, et de la chaîne légère Kappa, ainsi que du groupe ISf (inhibiteur ... Ce sont des immunoglobulines de classe IgG, actifs à 37 °C, et qui ne sont mis en évidence que par des techniques ... Ce sont des immunoglobulines de classe IgM, agglutinants et agissant à froid : ce sont des anticorps complets. Dans le système ... Ils ne le sont plus, (principe de précaution oblige) et les immunoglobulines anti-D utilisées pour la prévention de la maladie ...
... mais leurs cellules synthétisent l'immunoglobuline M avec des chaînes légères du type kappa, alors qu'il y a habituellement ... Effets immunomodulateurs des immunoglobulines intraveineuses au cours des maladies auto-immunes. La Revue de médecine interne, ... Les deux gènes kappa et un gène lambda sont réarrangés, ce qui indique soit que la translocation peut se produire comme un ... soit que la séquence hiérarchique proposée des réarrangements des gènes des immunoglobulines n'est pas toujours respectée que ...
... épissé des chaînes kappa ou lambda produit des chaînes légères Ig κ ou Ig λ. L'assemblage de deux chaînes lourdes Ig μ et de ... Le terme « immunoglobuline » recouvre ici les protéines constituant le récepteur des cellules B ainsi que les différents types ... gènes localisés sur le chromosome 14 Chaîne légère kappa (κ), gènes localisés sur le chromosome 2 Chaîne légère lambda (λ), ... 120 possibilités pour la chaîne légère lambda (λ) + 200 pour la chaîne légère kappa (κ)). Dans les lymphocytes B en ...
La chaîne légère kappa, de son côté, contient près de 40 gènes V et 5 gènes J. La chaîne lambda contient 52 versions de V et ... Par exemple, dans le génome humain, le locus de la chaîne lourde des immunoglobuline contient initialement 50 gènes différents ... Pour une molécule donnée, les deux chaînes lourdes sont identiques, de même que les deux chaînes légères. Chaque chaîne légère ... 9000 possibilités différentes pour la chaîne lourde, 200 possibilités pour la chaîne kappa, et 364 pour la chaîne lambda, ce ...
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... immunoglobuline; L-kappa (κ) ou lambda (λ) = 2 types de chaînes légères; VH = régions variables de la chaîne lourde (heavy ... également 2 types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Chacune des 5 classes dIg peuvent porter des chaînes légères ... Il comprend 5 molécules en forme de Y (10 chaînes lourdes et 10 chaînes légères), liées par une seule chaîne de liaison (J). ... CH = région constante de la chaîne lourde (heavy chain); CL = région constante de la chaîne légère (light chain); Fab = ...
FR1/2/3 des IGH et Kappa des IGL : Détection dun réarrangement monoclonal de gène de chaines lourdes/légères des ... MRD quantification de Réarrangements Clonaux du Gène des Chaînes Lourdes des Immunoglobulines FRI-VH et FRIII-VH par NGS. ... Identification de Réarrangements Clonaux du Gène des Chaînes Lourdes des Immunoglobulines (FRI-VH et FRIII-VH) à laide du ... VLCFA (Acides Gras à Très Longues Chaînes - C22, C24 et C26). Sang. GC-MS-MS ...
Chaque unité est constituée de deux chaînes lourdes et de deux chaînes légères ( kappa ou lambda). Le clivage protéolytique ... Chez les individus normaux, les immunoglobulines de la classe des IgG de même spécificité que les IgE éliminent par compétition ... Elles sont constituées de deux chaînes légères identiques (kappa ou lambda) et de deux chaînes lourdes identiques. Le clivage ... Si la tumeur plasmocytaire ne produit que des chaînes légères, celles-ci se retrouvent essentiellement dans lurine, de telle ...
Si la tumeur plasmocytaire ne produit que des chaînes légères, celles-ci se retrouvent essentiellement dans lurine, de telle ... Les IgM sont des immunoglobulines de nature glycoprotéique dont la migration électrophorétique se situe dans la région des g ... kappa ou lambda). La protéolyse dun monomère met en évidence un pôle aux propriétés danticorps (Fab) et un fragment Fc. Les ... Dans ce cas, limmunocytome se manifeste par une hypo-g-globulinémie et la présence des chaînes légères dans lurine. ...
Les chaînes légères sont de 2 types: kappa (k) et lambda (l) ; une immunoglobuline peut être nommée en fonction de la classe à ... CHAÎNE LÉGÈRE. la chaîne protéique courte dune immunoglobuline. Les chaînes légères provenant du myélome et qui se retrouvent ... Les immunoglobulines ont une structure symétrique composée de 2 chaînes longues ou lourdes et de 2 chaînes courtes ou légères. ... CHAÎNE LOURDE. une des longues chaînes qui, avec deux chaînes courtes, forment une immunoglobuline. ...
... kappa κ et lambda λ).. Les plasmocytes produisent une quantité plus importante de chaines légères que de chaines lourdes. Ces ... Les immunoglobulines sont formées par un des cinq types possibles de chaines lourdes (à savoir g pour IgG, α pour IgA, μ pour ... chaines légères en excès constituent les chaines légères libres (CLL) de type κ ou λ et sont sécrétées dans le sang. ... La chaine légère libre monoclonale est appelée "chaine légère libre impliquée (CLLi )" et la chaine légère libre opposée est ...
... un clone de plasmocytes malins produisant une immunoglobuline (anticorps). Ces plasmocytes s´accumulent et envahissent ... Un taux des chaînes légères libres (CLL) sériques monoclonales supérieur ou égal à 100 mg/L, associé à un rapport kappa/lambda ... Cette protéine anormale est constituée des chaines légères, faisant partie des immunoglobulines dont le faible poids ... Soit dune chaîne légère libre (protéine de Bence-Jones) dans 15 % des cas -dans cette situation, la chaîne légère est éliminée ...
En ce qui concerne le type de chaînes légères, la distribution est de 2 kappa pour 1 lambda, comme pour les Ig dun sérum ... La présence, dans le sérum ou les urines, dune immunoglobuline (Ig) monoclonale définit les gammapathies monoclonales. Cette ... La fréquence des IgM et des IgA monoclonales est du même ordre (15-20%). La présence exclusive de chaînes légères caractérise ... Cela est le cas pour les différents types de chaînes lourdes, sauf pour les IgD, presque toujours associées à des chaînes ...
Immunoglobuline monoclonale OBJECTIF Diagnostiquer une immunoglobuline monoclonale. LIENS TRANSVERSAUX ITEM 149 Endocardite ... une chaîne lourde (gamma, alpha, delta, mu, epsilon : 5 isotypes) et une chaîne légère (kappa ou lambda : 2 isotypes). ... Sécrétion dun même type dimmunoglobuline (mêmes chaînes légères et chaînes lourdes) par des plasmocytes (lymphocytes B) ... Une immunoglobuline est un anticorps formé de deux chaînes polypeptidiques : ...
Chaînes légères kappa. *Chaînes légères lambda. *Chlamydia et gonorrhée par PCR. *Chlamydia par PCR ... Immunoglobuline IgA. *Immunoglobuline IgE. *Immunoglobuline IgG. *Immunoglobuline IgM. *Influenza (par type). *Influenza A H1N1 ...
Kappa (κ) - chaînes légères kappa libres *. Lactate (acide lactique). *. Lactate déshydrogénase (LDH) ... Immunoglobulines E (IgE). *. Indice de distribution des globules rouges (RDW-CV). *. Indice de distribution des globules rouges ... Les manifestations cliniques peuvent être de forme légère à sévère. La prééclampsie reste une des causes principales de morbi‐ ...
Kappa (κ) - chaînes légères kappa libres *. Lactate (acide lactique). *. Lactate déshydrogénase (LDH) ... Immunoglobulines E (IgE). *. Indice de distribution des globules rouges (RDW-CV). *. Indice de distribution des globules rouges ...
... de même pour les deux chaînes légères κ (kappa) ou λ (lambda). Ces chaînes forment une structure en Y et sont constituées de ... domaines immunoglobulines de 110 acides aminés environ. Chaque chaîne légère est constituée dun domaine variable et dun ... 2 chaînes lourdes H (pour heavy) et 2 chaînes légères L (pour light) ; elles sont reliées entre elles par un nombre variable de ... Ils dérivent danticorps dénués de chaînes légères, naturellement présents chez les camélidés (chameaux et lamas).. ...
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... chaînes légères libres kappa ou lambda. Lors de la synthèse dIg par les plasmocytes, les chaînes légères (κ ou λ) sont ... immunoglobuline monoclonale de type D et de type E. Les protéines de Bence Jones sont de petites protéines produites par les ... chaînes légères libres kappa ou lambda. Lors de la synthèse dIg par les plasmocytes, les chaînes légères (κ ou λ) sont ... immunoglobuline monoclonale de type D et de type E. Protéine de bence jones urine, cure de clenbuterol - Acheter des stéroïdes ...
Chaines légères kappa des immunoglobulines [D12.776.124.486.485.705.750.530] Chaines légères kappa des immunoglobulines ... Chaines légères dIg Chaines légères dimmunoglobuline Chaines légères des Ig Chaînes légères des immunoglobulines ... Chaines légères dIg. Chaines légères dimmunoglobuline. Chaines légères des Ig. Chaînes légères des immunoglobulines. ... Chaines légères des immunoglobulines - Concept préféré Concept UI. M0011143. Terme préféré. Chaines légères des ...
Chaînes Légères Libres Kappa. Les symptômes de la gammapathie monoclonale. La GMSI est généralement asymptomatique. ... En pratique, limmunofixation est utilisée pour identifier une immunoglobuline (Ig) monoclonale (synthétisée par un seul clone ... et la chaîne légère est de type kappa dans 62 % des cas. La concentration de la protéine monoclonale est inférieure à 10 g/l ... et la chaîne légère est de type kappa dans 62 % des cas. La concentration de la protéine monoclonale est inférieure à 10 g/l ...
... sont des chaînes légères libres monoclonales kappa ou lambda. Les protéinuries de Bence Jones correspondent aux chaînes légères ... la présence dune immunoglobuline plasmatique, la présence dune protéine de Bence-Jones dans les urines. La production de ... RECHERCHE DE CHAÎNES LÉGÈRES DANS LES URINES La recherche de chaînes légères dans les urines (protéine de Bence-Jones) prévoit ... RECHERCHE DE CHAÎNES LÉGÈRES DANS LES URINES La recherche de chaînes légères dans les urines (protéine de Bence-Jones) prévoit ...
Kappa (κ) - chaînes légères kappa libres *. Lactate (acide lactique). *. Lactate déshydrogénase (LDH) ... Immunoglobulines E (IgE). *. Indice de distribution des globules rouges (RDW-CV). *. Indice de distribution des globules rouges ...
Kappa (κ) - chaînes légères kappa libres *. Lactate (acide lactique). *. Lactate déshydrogénase (LDH) ... Immunoglobulines E (IgE). *. Indice de distribution des globules rouges (RDW-CV). *. Indice de distribution des globules rouges ...
  • Chaque unité est constituée de deux chaînes lourdes et de deux chaînes légères ( kappa ou lambda). (ac.be)
  • Elles présentent la structure d'un pentamère dont chaque sous-unité est formée de deux chaînes lourdes et de deux chaînes légères (kappa ou lambda). (ulb-ibc.be)
  • En ce qui concerne le type de chaînes légères, la distribution est de 2 kappa pour 1 lambda, comme pour les Ig d'un sérum normal. (ffrmg.org)
  • Cela est le cas pour les différents types de chaînes lourdes, sauf pour les IgD, presque toujours associées à des chaînes légères lambda. (ffrmg.org)
  • Chez certain patients présentant un myélome à chaîne légère ou dans les rares cas de myélome non secrétant, cette protéine monoclonale n'est pas retrouvée. (myelome.be)
  • La présence, dans le sérum ou les urines, d'une immunoglobuline (Ig) monoclonale définit les gammapathies monoclonales. (ffrmg.org)
  • Notons ici que devant une chute des immunoglobulines, la recherche d'une protéinurie de Bence-Jones est indiquée. (ac.be)
  • Les immunoglobulines ont une structure symétrique composée de 2 chaînes longues ou lourdes et de 2 chaînes courtes ou légères. (myelome.be)
  • une immunoglobuline peut être nommée en fonction de la classe à laquelle appartiennent ses chaînes lourdes et légères (par ex. (myelome.be)
  • les cellules touchées seront toutes des plasmocytes (qui sont des lymphocytes B activés en différenciation terminale), cellules du système immunitaire produisant les anticorps (immunoglobulines) pour combattre les infections et maladies. (wikipedia.org)
  • Avant de retenir une déficience congénitale, les autres causes d'hypo-g-globulinémies doivent être envisagées: thérapeutique immunosuppressive, aplasie ou envahissement médullaire (gammopathies monoclonales impliquant des immunoglobulines autres que les IgA). (ac.be)
  • Il est donc important d'effectuer le dosage des immunoglobulines. (ac.be)
  • Dosage des Chaines Légères Libres. (af3m.org)
  • Ces cellules, qui font partie des globules blancs, ont pour fonction normale de fabriquer les anticorps, les immunoglobulines nécessaires aux défenses anti-infectieuses. (myelome.be)
  • Chaque chaîne légère est constituée d'un domaine variable et d'un domaine constant, chaque chaîne lourde d'un domaine variable et de 3 ou 4 domaines constants selon l'isotype. (acadpharm.org)
  • Immunoglobuline qui constitue la plus petite entité fonctionnelle d'un anticorps (poids moléculaire de 12 à 15 kDa contre 150 à 160 kDa pour les anticorps monoclonaux). (acadpharm.org)
  • les cellules touchées seront toutes des plasmocytes (qui sont des lymphocytes B activés en différenciation terminale), cellules du système immunitaire produisant les anticorps (immunoglobulines) pour combattre les infections et maladies. (wikipedia.org)