Une classe de C-Type lectine cette cible l ’ hydrate de carbone trouvé sur les structures envahir pathogènes. La liaison de collectins de micro-organismes entraîne leur clairance et une augmentation d'agglutination. Collectines forme trimers pouvant assemblé à plus grande chaîne de polypeptide collecter oligomers. Chacun se compose de quatre regions : Une région, un N-terminal relativement courte, une région collagen-like alpha-helical coiled-coil région, et carbohydrate-binding région.
Protéine Associée Au Surfactant Pulmonaire d'abondantes qui se lie à une variété de poumon pathogènes et stimule leurs opsinization et tuer par les phagocytes. Surfactant contient une protéine D N-terminal collagen-like domaine et un domaine une lectine propeptide C-terminal qui sont caractéristiques des membres du collecter famille de protéines.
Une protéine qui fixe Associée Au Surfactant Pulmonaire abondante sur divers pathogènes pulmonaire, entraînant leurs opsinization. Ça stimule également macrophages subir phagocytose de micro-organismes. Surfactant A contient une protéine N-terminal collagen-like domaine et un domaine une lectine propeptide C-terminal qui sont caractéristiques des membres du collecter famille de protéines.
Toutes les protéines sanguines sauf albumine (= sérum ALBUMIN qui n ’ est pas un globulin) et le fibrinogène (qui n 'est pas dans le sérum). Le sérum globulines sont subdivisées en ALPHA-GLOBULINS ; BETA-GLOBULINS GAMMA-GLOBULINS ; et sur la base de leur analyse électrophorétique. Mobilities de Dorland, 28 (éditeur)
Protéines dans le poumon qui agissent comme des surfactants pulmonaire.
Substances et médicaments qui abaissent la surface de la tension couche mucoïde positionnés sur les alvéoles pulmonaires.
Mannose-Binding spécifique un membre de la famille de collecter lectine. Il se lie aux groupes sur les agents pathogènes et hydrate envahir joue un rôle clé dans la lectine Liant Le Mannose COMPLEMENT sentier.
Protein-lipid associations abondante dans les tissus du cerveau, mais constituent aussi dans une grande variété de tissus d'origine animale et végétale. Contrairement aux lipoprotéines, ils sont insoluble dans l'eau, mais d'une mélange chloroform-methanol. La partie protéique a une teneur élevée d'acides aminés hydrophobe. Les lipides sont constituées d ’ un mélange de GLYCEROPHOSPHATES ; CEREBROSIDES ; et SULFOGLYCOSPHINGOLIPIDS ; pendant que lipoprotéines contiennent phospholipides ; CHOLESTEROL ; et des triglycérides.
Composée de polysaccharides mannose unités.
Protéines qui partagent la caractéristique commune de la liaison de glucides. Des anticorps (protéines carbohydrate-metabolizing d'enzymes... et se lient à d ’ hydrates de carbone), cependant ils sont pas considérées comme lectine. Lectines Végétales sont carbohydrate-binding des protéines qui ont été principalement identifié par leur activité hemagglutinating (HEMAGGLUTININS). Toutefois, une variété de lectine survenir chez animal où ils servent à diverses fonctions hydrate gamme de reconnaissance.
Un subcomponent de complément C1, composé de six copies de trois chaînes polypeptide (A, B et C), chaque codée par un gène (C1QA ; C1QB ; C1QC). Ce complexe est organisé dans neuf sous-unités (six disulfide-linked en microtubules de A et B, et trois disulfide-linked homodimers de C). C1Q a des sites de liaison des anticorps (la chaîne lourde de l ’ immunoglobuline G ou immunoglobuline M). L ’ interaction entre C1Q et immunoglobuline active les deux proenzymes COMPLEMENT C1R et COMPLEMENT C1S, ainsi l ’ initiation de la cascade de COMPLEMENT ACTIVATION bercer COMPLEMENT via la voie.
Protéines qui se lient à d ’ augmenter la sensibilité des cellules à particules et de phagocytose, surtout des anticorps lié aux récepteurs galactogènes attachées à FC. Complément C3B peut également participer.
L 'agrégation des hématies par agglutinines, y compris des anticorps, lectine et protéines virales (hémagglutination, VIRAL).
Round, granuleux phagocytes mononucléés trouvés dans les alvéoles des poumons, ingèrent petites particules inhalé entraînant une dégradation et présentation de l'antigène pour le immunocompétents cellules.
Le type espèce du genre INFLUENZAVIRUS A qui provoque la grippe et autres maladies chez les humains et animaux. Antigénique entre les souches variation survient fréquemment, permettant à sous-types et classification variantes. Transmission est habituellement par aérosol (humaine et la plupart non-aquatic hôtes) ou l'eau). Les oiseaux infectés (canards verser le virus dans leur salive, les sécrétions nasales et des excréments.
Tests sérologiques dans laquelle un élément connu d'antigène est ajoutée au sérum avant l'addition d ’ une suspension de globules rouges. Résultat est exprimée en réaction la plus petite quantité d ’ antigène qui entraîne une inhibition complète de hémagglutination.
Composés protein-carbohydrate conjugué mucoïde Mucines, y compris et amyloïde glycoprotéines.
Sucres simples, des hydrates de carbone qui ne peut être décomposé par hydrolyse. Ils sont des substances cristalline et incolore avec un goût sucré et avoir la même formule CnH2nOn de Dorland, 28. (Éditeur)
La principale catégorie de composés organiques, y compris STARCH ; glycogène ; cellulose ; polysaccharides ; et simple oses. Des hydrates de carbone sont composés de carbone, hydrogène et oxygène dans un rapport de À (H2O) n.
L'absorber et dégradation de micro-organismes ; autres cellules qui sont morts ou mourants ou pathogène ; et des particules étrangères par les phagocytes (phagocytes).
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Une bactérie causant la tuberculose chez volaille domestique de Bassan. Chez le porc, elle peut entraîner localisée et parfois une maladie disséminée. L'organisme se produit parfois chez les ovins et bovins. C'est différent de la M. avium qui infecte principalement les humains.
Les protéines de transport qui transportent spécifiquement des substances dans le sang ou à travers la membrane cellulaire.
La capacité d'un organisme normal de pas affectée par des micro-organismes et leurs toxines. Elle résulte d ’ la présence d'agents anti-infectieux naturelle des facteurs tels que le corps, des symptômes généraux et immédiat température agissant cellules immunitaires telles que des TUEUR naturelle.
Une technique où biosensing biomolécules capable de la dose de 3 ou analytes ligands sont immobilisé au bord d'un film. Lumière métallique est ensuite concentré sur l'autre côté du film pour exciter la surface plasmons, c'est, l'oscillation des éléctrons propager le long du film. L'indice de réfraction de la lumière se réfléchissant sur cette surface est mesurée. Quand les biomolécules immobilisé sont liées par leurs ligands plasmons, une altération de la surface de l'autre côté du film est créé qui reste directement proportionnelle à la variation bond, ou adsorbé, la messe. La liaison est mesurée par des modifications de l'indice de réfraction. La technique est utilisé pour étudier les interactions bio-moléculaires, tels que antigen-antibody contraignant.
La membrane muqueuse tapissant la TRACT respiratoire, y compris les le CAVITY ; le du larynx ; le du cœur ; et les bronches arbre muqueuse respiratoire se compose de différents types de cellules épithéliales allant de ciliated columnar simplement à des cellules squameuses gobelet de mucus, mucus, de glandes contenant les cellules et sérieux.
Le produit chimique ou biochimiques plus de glucide glycosyl groupes ou autres produits chimiques toxiques, surtout les peptides ou des protéines. Glycosyl transférases sont utilisés dans cette réaction biochimique.
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.

Désolé, "collectines" ne semble pas être un terme médical reconnu. Il est possible que vous ayez mal orthographié ou mal retranscrit le terme. Veuillez vérifier l'orthographe et la transcription du terme pour obtenir une définition médicale précise.

Si vous cherchez des informations sur "collectines", il est possible que vous fassiez référence aux "collectines-défensines" (ou simplement "défensines"), qui sont des peptides antimicrobiens présents dans les granules cytotoxiques de certains globules blancs, tels que les neutrophiles et les éosinophiles. Les collectines-défensines ont une activité antimicrobienne contre une large gamme de micro-organismes, y compris les bactéries, les champignons et les virus. Elles jouent un rôle important dans la défense immunitaire innée en aidant à éliminer les agents pathogènes envahissants.

La protéine D associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-D (de l'anglais Surfactant Protein D), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines de la famille des collectines, qui sont des protéines de reconnaissance des pathogènes.

La SP-D se lie à divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les champignons, ainsi qu'à des particules inertes telles que les poussières et les allergènes. Ce faisant, elle aide à prévenir l'infection et l'inflammation pulmonaires en favorisant la clairance des agents pathogènes et des particules par les macrophages alvéolaires.

La SP-D est produite principalement par les pneumocytes de type II, qui sont des cellules situées à la surface des alvéoles pulmonaires. Elle se trouve dans le surfactant pulmonaire, un mélange de lipides et de protéines qui tapisse l'intérieur des alvéoles et facilite la respiration en réduisant la tension superficielle.

Des niveaux anormalement bas ou élevés de SP-D ont été associés à diverses maladies pulmonaires, telles que la fibrose pulmonaire, l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et la mucoviscidose. Par conséquent, la SP-D est considérée comme un biomarqueur potentiel pour le diagnostic et le suivi de ces maladies.

La protéine A associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-A (de l'anglais Surfactant Protein A), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, qui sont produites par les cellules épithéliales alvéolaires de type II et qui réduisent la tension superficielle dans les alvéoles pulmonaires pour faciliter la respiration.

La SP-A est une protéine de la famille des lectines de type C, ce qui signifie qu'elle peut se lier à certains sucres spécifiques sur les surfaces cellulaires. Cette capacité lui permet de jouer un rôle crucial dans la défense immunitaire pulmonaire en reconnaissant et en facilitant l'élimination des agents pathogènes, telles que les bactéries et les virus, qui pénètrent dans les poumons.

La SP-A contribue également à la régulation de l'inflammation pulmonaire en modulant la réponse immunitaire et en favorisant la résolution des processus inflammatoires. Des anomalies dans la production ou la fonction de la SP-A ont été associées à diverses affections pulmonaires, telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), l'asthme et la fibrose pulmonaire idiopathique.

Les sérum-globulines sont une fraction importante des protéines sériques, qui se trouvent dans le sérum sanguin. Elles sont constituées d'un mélange de différents types de globulines, y compris les immunoglobulines (aussi appelées anticorps), la complémentaire et les protéines de phase aiguë. Les sérum-globulines jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections et l'inflammation.

Les niveaux de sérum-globulines peuvent être mesurés par des tests de laboratoire pour aider au diagnostic et au suivi de diverses affections médicales, telles que les maladies inflammatoires, infectieuses, auto-immunes et néoplasiques. Des taux élevés de sérum-globulines peuvent indiquer une activation du système immunitaire en réponse à une infection ou une inflammation, tandis que des taux bas peuvent être observés dans certaines maladies hépatiques et dans le syndrome néphrotique.

Il est important de noter qu'une interprétation appropriée des résultats des tests de sérum-globulines nécessite une évaluation clinique complète du patient, y compris l'histoire médicale, les symptômes physiques et d'autres tests de laboratoire.

Les protéines associées au surfactant pulmonaire, également connues sous le nom de "PAS" (pour "Pulmonary Surfactant-Associated Proteins"), sont un groupe de protéines qui se trouvent dans les liquides du poumon et sont étroitement liées à la fonction du surfactant pulmonaire. Le surfactant pulmonaire est une substance complexe composée de lipides et de protéines qui réduit la tension superficielle des alvéoles pulmonaires, facilite la respiration et protège les poumons contre les lésions.

Les PAS sont divisées en deux catégories principales : les protéines hydrophiles et les protéines hydrophobes. Les protéines hydrophiles comprennent les protéines de liaison aux phospholipides (SP-A, SP-D) et la protéine de régulation du surfactant (SP-B), tandis que les protéines hydrophobes comprennent la protéine de structure du surfactant (SP-C).

Les protéines associées au surfactant pulmonaire jouent un rôle crucial dans la fonction pulmonaire en aidant à maintenir l'homéostasie des poumons, en régulant l'inflammation et l'immunité, et en participant à la réparation des dommages tissulaires. Les anomalies dans les gènes codant pour ces protéines peuvent entraîner des maladies pulmonaires graves telles que la fibrose kystique, la mucoviscidose et la dysplasie bronchopulmonaire. Par conséquent, une meilleure compréhension de la structure et de la fonction de ces protéines peut fournir des informations importantes pour le diagnostic et le traitement des maladies pulmonaires.

Les surfactants pulmonaires sont des mélanges complexes de lipides et de protéines qui recouvrent la surface des alvéoles dans les poumons. Ils sont sécrétés par les pneumocytes de type II, qui sont des cellules spécialisées dans les parois des alvéoles.

Le surfactant pulmonaire a plusieurs fonctions importantes:

1. Il réduit la tension superficielle à l'intérieur des alvéoles, ce qui permet aux poumons de se gonfler plus facilement et empêche les alvéoles de s'effondrer lors de l'expiration.
2. Il protège les poumons contre les infections et l'inflammation en facilitant la clearance des agents pathogènes et des particules étrangères.
3. Il favorise la réparation et la régénération des tissus pulmonaires endommagés.

Un déficit ou une dysfonction du surfactant pulmonaire peut entraîner des maladies respiratoires graves, telles que la maladie des membranes hyalines chez les prématurés, qui est caractérisée par une insuffisance respiratoire et un collapsus alvéolaire. Des traitements de remplacement du surfactant sont disponibles pour aider à prévenir ou à traiter ces conditions.

La lectine liant le mannose est un type de protéine qui se lie sélectivement aux sucres contenant du mannose ou des résidus de fucose. On les trouve dans une variété d'organismes vivants, y compris les plantes, les animaux et les micro-organismes.

Dans le contexte médical, les lectines liant le mannose sont souvent étudiées pour leur potentiel à interagir avec les cellules du système immunitaire et à influencer l'inflammation et l'immunité. Elles peuvent également jouer un rôle dans la reconnaissance et la réponse aux infections, en particulier par des micro-organismes qui expriment des sucres contenant du mannose ou du fucose à leur surface.

Certaines lectines liant le mannose ont été étudiées pour leurs propriétés antimicrobiennes et anti-inflammatoires, ce qui a suscité un intérêt pour leur utilisation potentielle dans le développement de nouveaux traitements médicaux. Cependant, il est important de noter que les lectines liant le mannose peuvent également avoir des effets indésirables, tels qu'une activité hémagglutinante ou une toxicité pour certaines cellules, ce qui limite leur utilisation thérapeutique.

Les protéolipides sont des composés complexes qui comportent à la fois des protéines et des lipides. Ils se trouvent dans les membranes cellulaires, en particulier dans le système nerveux central, où ils jouent un rôle important dans la structure et la fonction des neurones. Les protéolipides sont également associés aux maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Dans les membranes cellulaires, les protéolipides forment des domaines spécifiques appelés radeaux lipidiques, qui sont enrichis en certaines protéines et lipides et qui participent à divers processus cellulaires tels que la signalisation cellulaire, l'endocytose et le trafic membranaire.

Les protéolipides sont difficiles à étudier en raison de leur nature complexe et hétérogène. Cependant, des techniques telles que la spectrométrie de masse et la microscopie électronique peuvent être utilisées pour les identifier et caractériser leurs propriétés structurales et fonctionnelles.

Il est important de noter qu'il existe une certaine confusion dans la littérature scientifique concernant la définition exacte des protéolipides, certains chercheurs les définissant comme des complexes protéine-lipide stables, tandis que d'autres utilisent le terme pour décrire des assemblages plus transitoires et dynamiques.

Les mannananes sont un type de polysaccharides (longues chaînes de sucres) qui se trouvent dans certaines plantes et champignons. Ils font partie d'une classe plus large de polysaccharides appelés hémicelluloses, qui sont des composants structurels importants de la paroi cellulaire des plantes.

Les mannananes sont constitués de molécules de mannose, un sucre simple, liées entre elles par des liaisons glycosidiques. Ils peuvent varier en longueur et en complexité, allant de chaînes simples à des structures ramifiées plus complexes.

Dans le contexte médical, les mannananes sont souvent étudiés pour leur potentiel rôle dans la pathogenèse de certaines maladies, telles que les infections fongiques et les maladies inflammatoires de l'intestin. Par exemple, certains champignons pathogènes peuvent produire des mannananes qui interagissent avec le système immunitaire humain et aident à échapper à la réponse immunitaire, contribuant ainsi à l'infection fongique. De même, les mannananes peuvent également jouer un rôle dans la pathogenèse de certaines maladies inflammatoires de l'intestin en interagissant avec les cellules du système immunitaire et en modulant leur réponse.

Cependant, il est important de noter que la recherche sur les mannananes et leurs effets sur la santé humaine est encore en cours, et il reste beaucoup à apprendre sur leur rôle dans la physiologie et la pathogenèse des maladies.

Les lectines sont des protéines végétales qui se lient spécifiquement et avec une forte affinité à des glucides ou des oligosaccharides. On les trouve dans une grande variété de plantes, y compris les légumineuses, les céréales, les fruits et les légumes. Les lectines peuvent avoir divers effets biologiques sur les animaux qui les consomment, notamment en ce qui concerne la digestion et l'absorption des nutriments. Certaines lectines sont connues pour être toxiques ou indigestes pour l'homme à des niveaux élevés de consommation, bien que de nombreuses lectines soient inactivées par la cuisson. Les lectines ont également été étudiées pour leurs propriétés immunologiques et leur potentiel dans le traitement du cancer.

Le complément C1q est une protéine du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans le processus d'activation du complément. Il s'agit de la première protéine à être activée dans la voie classique du système du complément, qui est déclenchée lorsque des anticorps se lient à des antigènes sur la surface des agents pathogènes ou des cellules anormales.

Le C1q est composé de six sous-unités, chacune contenant une région globulaire et une région collagène. Lorsqu'il se lie aux immunoglobulines G (IgG) ou M (IgM) liées à des antigènes, le C1q subit un changement conformationnel qui active la protéase C1r, qui à son tour active la protéase C1s. Le complexe activé C1r-C1s clive alors les protéines C4 et C2 en fragments, ce qui entraîne la formation du complexe d'attaque de la membrane (MAC), une structure multimoléculaire capable de perforer les membranes cellulaires et de provoquer la lyse des cellules cibles.

Le C1q a également des fonctions immunomodulatrices en dehors de l'activation du complément, telles que la régulation de l'apoptose, la phagocytose et la présentation de l'antigène. Des anomalies dans le gène C1Q peuvent entraîner des déficits immunitaires et une susceptibilité accrue aux infections.

Les opsonines sont des protéines sériques qui se lient aux antigènes à la surface des agents pathogènes, tels que les bactéries et les virus, pour faciliter leur reconnaissance et leur phagocytose par les cellules du système immunitaire, telles que les neutrophiles et les macrophages. Les opsonines peuvent inclure des anticorps, des composants du complément et certaines protéines du système immunitaire inné.

En se liant aux agents pathogènes, les opsonines modifient leur surface, ce qui permet aux récepteurs des cellules phagocytaires de mieux les reconnaître et d'initier le processus de phagocytose. Ce mécanisme est important pour l'élimination des agents pathogènes et la protection contre les infections.

Les opsonines peuvent également jouer un rôle dans l'activation du système immunitaire adaptatif, en facilitant la présentation d'antigènes aux lymphocytes T et B pour déclencher une réponse immunitaire spécifique.

L'hémagglutination est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire l'agglutination, ou l'agrégation, des érythrocytes (globules rouges) provoquée par la fixation d'un agent, comme un virus ou une toxine, à des antigènes spécifiques sur la surface des érythrocytes. Cet agent est souvent capable de se lier aux récepteurs glycoprotéiques présents à la surface des érythrocytes, entraînant leur agglutination et formant des amas visibles.

L'hémagglutination est importante dans le diagnostic en laboratoire, où elle peut être utilisée pour identifier certains types de virus ou de bactéries. Par exemple, les hémagglutinines présentes sur la surface du virus de la grippe peuvent se lier aux récepteurs des érythrocytes et provoquer leur agglutination. Cette propriété est exploitée dans les tests de diagnostic rapide de la grippe, où un échantillon suspect est mélangé avec des érythrocytes et observé pour la présence d'agglutination.

L'hémagglutination peut également être utilisée dans le cadre de la recherche en immunologie et en virologie pour étudier les interactions entre les agents pathogènes et les cellules hôtes, ainsi que pour l'élaboration de vaccins et d'autres contre-mesures médicales.

Les macrophages alvéolaires sont un type spécifique de cellules immunitaires qui se trouvent à l'intérieur des sacs aériens les plus fins des poumons, appelés alvéoles. Ils jouent un rôle crucial dans la défense contre les infections et l'élimination des particules étrangères qui ont réussi à pénétrer dans les voies respiratoires.

Ces cellules font partie du système immunitaire inné et sont capables de phagocytose, c'est-à-dire qu'elles peuvent engloutir et décomposer des bactéries, des virus, des champignons, des parasites et d'autres particules nocives. Après avoir ingéré ces agents pathogènes ou matériaux étrangers, les macrophages alvéolaires les décomposent en composants plus petits, ce qui permet de présenter ces antigènes aux lymphocytes T, déclenchant ainsi une réponse immunitaire adaptative.

Les macrophages alvéolaires sont également importants pour maintenir la santé pulmonaire en éliminant les cellules mortes et les débris dans les voies respiratoires. Ils sécrètent également des cytokines et d'autres facteurs chimiques qui contribuent à réguler l'inflammation et coordonner la réponse immunitaire locale.

En résumé, les macrophages alvéolaires sont des cellules essentielles du système immunitaire qui protègent les poumons contre les infections et aident à maintenir l'homéostasie dans les voies respiratoires.

Le virus de la grippe de type A est un orthomyxovirus à ARN négatif qui cause une infection respiratoire aiguë et est responsable des épidémies annuelles et des pandémies occasionnelles de grippe. Le génome du virus de la grippe A est segmenté en huit morceaux de ARN, chacun codant pour au moins une protéine. Les deux principales protéines de surface sont l'hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N), qui ont des rôles clés dans l'attachement et la pénétration du virus dans les cellules hôtes, ainsi que dans la libération des virions nouvellement formés.

Il existe de nombreuses souches différentes de virus de la grippe A, qui sont classées en fonction des variations antigéniques de l'hémagglutinine et de la neuraminidase. Par exemple, les sous-types H1N1, H2N2 et H3N2 ont été responsables de pandémies précédentes. Les virus de la grippe A peuvent infecter une variété d'espèces animales, y compris les oiseaux aquatiques, les porcs et les humains, et ils peuvent être transmis entre espèces.

Les infections à virus de la grippe A peuvent provoquer un large éventail de symptômes, allant du rhume et de la grippe légers à une pneumonie grave et même mortelle, en particulier chez les personnes âgées, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes atteintes de certaines conditions médicales sous-jacentes. La prévention des infections à virus de la grippe A implique généralement la vaccination annuelle et des mesures d'hygiène telles que le lavage des mains fréquent et le port de masques faciaux dans les zones à forte transmission.

La réaction d'inhibition de l'hémagglutination (HAI) est un test sérologique utilisé en médecine et en recherche biomédicale pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre certains virus ou bactéries dans un échantillon sanguin. Ce test est basé sur le principe de l'hémagglutination, qui est la capacité de certains micro-organismes à agglutiner les globules rouges (hématies) en présence d'anticorps spécifiques.

Dans une réaction HAI, des hématies sont mélangées avec un échantillon sanguin et un extrait antigénique purifié du micro-organisme cible. Si l'échantillon contient des anticorps spécifiques contre ce micro-organisme, ils se lieront à l'antigène, formant des complexes qui ne peuvent plus agglutiner les hématies. Par conséquent, la solution reste claire et fluide, indiquant la présence d'anticorps spécifiques dans l'échantillon sanguin.

Cependant, si l'échantillon ne contient pas d'anticorps spécifiques ou en quantité insuffisante, les hématies seront agglutinées par l'antigène, formant des grappes visibles dans la solution. Cela indique l'absence d'anticorps spécifiques ou leur niveau insuffisant pour neutraliser le micro-organisme cible.

La réaction HAI est couramment utilisée pour détecter les anticorps contre les virus de la grippe, les streptocoques du groupe A et d'autres agents pathogènes. Elle permet non seulement de diagnostiquer une infection aiguë ou ancienne, mais aussi de surveiller l'efficacité de la vaccination et de suivre l'évolution des épidémies.

Les glycoprotéines sont des molécules complexes qui combinent des protéines avec des oligosaccharides, c'est-à-dire des chaînes de sucres simples. Ces molécules sont largement répandues dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques.

Dans le corps humain, les glycoprotéines sont présentes à la surface de la membrane cellulaire où elles participent à la reconnaissance et à l'interaction entre les cellules. Elles peuvent aussi être sécrétées dans le sang et d'autres fluides corporels, où elles servent de transporteurs pour des hormones, des enzymes et d'autres molécules bioactives.

Les glycoprotéines sont également importantes dans le système immunitaire, où elles aident à identifier les agents pathogènes étrangers et à déclencher une réponse immune. De plus, certaines glycoprotéines sont des marqueurs de maladies spécifiques et peuvent être utilisées dans le diagnostic et le suivi des affections médicales.

La structure des glycoprotéines est hautement variable et dépend de la séquence d'acides aminés de la protéine sous-jacente ainsi que de la composition et de l'arrangement des sucres qui y sont attachés. Cette variabilité permet aux glycoprotéines de remplir une grande diversité de fonctions dans l'organisme.

OS: Dans un contexte médical, le terme "os" se réfère à la structure dure, solide et rigide qui forme la framework du corps humain. Les os sont des organes vivants qui contiennent des vaisseaux sanguins, des nerfs et des cellules spécialisées appelées ostéocytes. Ils jouent un rôle crucial dans le soutien du corps, la protection des organes internes, le stockage des minéraux essentiels tels que le calcium et le phosphore, et la facilitation de la mobilité grâce à leur connexion avec les muscles et les ligaments.

Les os se développent à partir d'un tissu conjonctif spécialisé appelé cartilage au cours du développement fœtal et continuent de croître et de se remodeler tout au long de la vie grâce aux processus de formation osseuse et de résorption. Les os peuvent être classés en deux catégories principales: les os longs, tels que les os des membres; les os courts, tels que les vertèbres; les os plats, tels que le crâne et la cage thoracique; et les os irréguliers, qui ont une forme complexe, comme les os du visage.

Les maladies et affections des os peuvent inclure des fractures, des luxations, de l'ostéoporose, de l'arthrite, des tumeurs osseuses, des infections et des malformations congénitales. Le diagnostic et le traitement de ces conditions nécessitent généralement une évaluation médicale approfondie, y compris des tests d'imagerie tels que les radiographies, les scanners CT et l'IRM, ainsi qu'une gestion médicale et, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Les glucides, également connus sous le nom de saccharides, sont un type important de macromolécules organiques que l'on trouve dans les aliments. Ils constituent la principale source d'énergie pour le corps humain. Les glucides se composent de molécules de carbone, d'hydrogène et d'oxygène et peuvent être simples ou complexes.

Les glucides simples comprennent les monosaccharides (comme le glucose, le fructose et le galactose) et les disaccharides (comme le saccharose, le lactose et le maltose). Les monosaccharides sont des molécules de sucre simples qui ne peuvent pas être décomposées en molécules plus petites. Les disaccharides sont des molécules de sucre composées de deux monosaccharides liés ensemble.

Les glucides complexes, également appelés polysaccharides, sont des chaînes de molécules de sucre plus longues et plus complexes. Ils comprennent l'amidon (qui est présent dans les céréales, les légumineuses et les pommes de terre), le glycogène (qui est stocké dans le foie et les muscles) et la cellulose (qui est la principale composante des parois cellulaires des plantes).

Lorsque nous mangeons des aliments riches en glucides, notre corps décompose ces molécules en glucose, qui peut ensuite être utilisé comme source d'énergie pour les cellules de notre corps. Le glucose est transporté dans le sang vers les cellules qui en ont besoin, où il est converti en énergie sous forme d'ATP (adénosine triphosphate).

En résumé, les glucides sont des macromolécules organiques composées de carbone, d'hydrogène et d'oxygène qui fournissent une source d'énergie importante pour le corps humain. Ils peuvent être simples ou complexes et sont décomposés en glucose avant d'être utilisés comme source d'énergie.

La phagocytose est un processus crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme. Il s'agit d'une forme de défense cellulaire au cours de laquelle certaines cellules, appelées phagocytes (comme les neutrophiles et les macrophages), engulfent et détruisent des particules étrangères ou des agents pathogènes tels que les bactéries, les virus, les champignons et les parasites.

Ce processus implique plusieurs étapes : reconnaissance du pathogène (généralement par des récepteurs spécifiques sur la membrane du phagocyte), adhésion et activation du phagocyte, engulfment du pathogène dans une vésicule appelée phagosome, fusion du phagosome avec une autre vésicule contenant des enzymes et des substances toxiques pour le pathogène (lysosome), formant ainsi une phagolysosome où a lieu la destruction du pathogène.

La phagocytose est donc un mécanisme essentiel de défense contre les infections, mais elle joue également un rôle dans d'autres processus tels que la réparation des tissus et la régulation de l'inflammation.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

Mycobacterium avium est une espèce de bactéries à Gram positif, aérobie et intracellulaire facultative de la famille des Mycobacteriaceae. Il s'agit d'un type non tuberculeux de mycobactéries (NTM) qui peut être trouvé dans divers environnements, tels que l'eau, le sol et les matières animales. M. avium est capable de survivre dans des conditions hostiles grâce à sa paroi cellulaire unique riche en lipides, ce qui la rend résistante aux désinfectants et aux agents antibactériens couramment utilisés.

M. avium est connu pour provoquer une variété d'affections chez l'homme, notamment une maladie pulmonaire, des infections disséminées et des lymphadénites chez les personnes immunodéprimées, telles que celles atteintes du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Chez les personnes présentant un système immunitaire sain, une infection à M. avium est généralement asymptomatique ou provoque des maladies bénignes telles que la pulmonaire.

Le diagnostic de l'infection à M. avium repose sur des tests de laboratoire, y compris l'isolement et l'identification de l'organisme à partir d'échantillons cliniques tels que l'expectoration, le liquide articulaire ou les tissus affectés. Le traitement de l'infection à M. avium implique généralement une combinaison d'antibiotiques administrés sur une période prolongée, allant de plusieurs mois à un an ou plus, en fonction de la gravité de l'infection et de la réponse du patient au traitement.

Les protéines de transport sont des molécules spécialisées qui facilitent le mouvement des ions et des molécules à travers les membranes cellulaires. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation des processus cellulaires en aidant à maintenir l'équilibre des substances dans et autour des cellules.

Elles peuvent être classées en deux catégories principales : les canaux ioniques et les transporteurs. Les canaux ioniques forment des pores dans la membrane cellulaire qui s'ouvrent et se ferment pour permettre le passage sélectif d'ions spécifiques. D'un autre côté, les transporteurs actifs déplacent des molécules ou des ions contre leur gradient de concentration en utilisant l'énergie fournie par l'hydrolyse de l'ATP (adénosine triphosphate).

Les protéines de transport sont essentielles à diverses fonctions corporelles, y compris le fonctionnement du système nerveux, la régulation du pH sanguin, le contrôle du volume et de la composition des fluides extracellulaires, et l'absorption des nutriments dans l'intestin grêle. Des anomalies dans ces protéines peuvent entraîner diverses affections médicales, telles que des maladies neuromusculaires, des troubles du développement, des maladies cardiovasculaires et certains types de cancer.

L'immunité naturelle, également appelée immunité innée ou non spécifique, fait référence à la capacité inhérente du système immunitaire d'un organisme à se défendre contre les agents pathogènes étrangers (comme les bactéries, les virus, les parasites et les champignons) sans avoir été préalablement exposé à ces menaces spécifiques. Ce type d'immunité est présent dès la naissance et offre une protection générale contre un large éventail de pathogènes.

Il existe plusieurs mécanismes qui contribuent à l'immunité naturelle, notamment :

1. Barrières physiques: La peau et les muqueuses (comme celles tapissant le nez, la bouche, les poumons et le tractus gastro-intestinal) agissent comme des barrières protectrices empêchant l'entrée des agents pathogènes dans l'organisme.

2. Système de complément: Il s'agit d'un ensemble de protéines présentes dans le sang et les liquides tissulaires qui travaillent en collaboration pour détecter et éliminer les agents pathogènes. Le système de complément peut provoquer la lyse (c'est-à-dire la destruction) des cellules infectées ou faciliter le processus d'élimination des agents pathogènes par d'autres cellules du système immunitaire.

3. Phagocytes: Ce sont des globules blancs qui peuvent engloutir et détruire les agents pathogènes. Les principaux types de phagocytes sont les neutrophiles et les macrophages.

4. Système immunitaire inné humororal: Il s'agit d'une réponse immunitaire non spécifique qui implique la production d'anticorps (immunoglobulines) par des cellules spécialisées appelées plasmocytes. Ces anticorps peuvent se lier aux agents pathogènes et faciliter leur élimination par d'autres cellules du système immunitaire.

5. Réponse inflammatoire: Il s'agit d'une réaction locale à une infection ou à une lésion tissulaire, qui implique la dilatation des vaisseaux sanguins et l'augmentation de la perméabilité vasculaire, entraînant un afflux de cellules immunitaires et de protéines plasmatiques dans la zone touchée.

En résumé, le système immunitaire inné joue un rôle crucial dans la défense initiale contre les agents pathogènes en fournissant une réponse rapide et non spécifique à l'infection. Cependant, contrairement au système immunitaire adaptatif, il ne peut pas se souvenir des agents pathogènes précédemment rencontrés ni développer une mémoire immunologique pour une protection accrue contre les infections futures.

Un plasmon de surface est un phénomène physique qui se produit lorsque la lumière interagit avec les électrons de conduction à la surface d'un métal noble ou d'un matériau similaire. Lorsqu'un photon incident frappe la surface, il peut exciter un plasmon de surface, ce qui correspond à un oscillation collective des électrons de conduction près de la surface du matériau.

Dans le contexte médical, les plasmons de surface sont principalement utilisés dans le domaine de la nanotechnologie et de la biodiagnostic. Par exemple, les nanoparticules métalliques peuvent être fonctionnalisées pour interagir spécifiquement avec des biomolécules d'intérêt, telles que des protéines ou des acides nucléiques. Lorsque ces nanoparticules sont éclairées par une source lumineuse appropriée, les plasmons de surface peuvent être excités, entraînant des changements dans leurs propriétés optiques qui peuvent être détectés et quantifiés.

Cette approche est particulièrement utile pour la détection sensible et spécifique de biomarqueurs associés à des maladies, ce qui peut aider au diagnostic précoce et au suivi thérapeutique. De plus, les plasmons de surface peuvent également être utilisés dans le développement de nouvelles stratégies de thérapie photothermique pour le traitement localisé de tumeurs cancéreuses.

La muqueuse respiratoire est la membrane tapissant les voies respiratoires, y compris le nez, la gorge (pharynx), le larynx, la trachée, les bronches et les bronchioles. Il s'agit d'une muqueuse protectrice humide et fine qui contient des glandes productrices de mucus, des cils vibratiles et des vaisseaux sanguins. Ces caractéristiques aident à piéger la poussière, les bactéries et autres particules étrangères, à les déplacer vers le haut (grâce aux mouvements des cils) pour être expulsées par la toux ou expectoration, et à assurer l'absorption de l'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. La muqueuse respiratoire est sensible aux changements environnementaux et peut s'enflammer en réponse à des irritants, entraînant une congestion nasale, un écoulement post-nasal, une toux et d'autres symptômes associés aux affections des voies respiratoires supérieures.

La glycosylation est un processus post-traductionnel dans lequel des glucides, ou des sucres, sont attachés aux protéines ou lipides pour former des glycoprotéines ou des glycolipides. Ce processus joue un rôle crucial dans une variété de fonctions cellulaires, y compris la reconnaissance cellulaire, la signalisation cellulaire, et le contrôle de la réponse immunitaire. Les erreurs dans ce processus peuvent conduire à des maladies telles que les maladies lysosomales, le diabète, et certaines formes de cancer. Il existe deux types principaux de glycosylation : N-liée et O-liée. La glycosylation N-liée se produit lorsqu'un résidu d'asparagine dans une protéine est lié à un oligosaccharide via un groupe fonctionnel nitrogène. D'autre part, la glycosylation O-liée se produit lorsqu'un résidu de sérine ou de thréonine dans une protéine est lié à un oligosaccharide via un groupe fonctionnel oxygène.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

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