Une tumeur bénigne pituitary-region ça provient de la pochette d'entreprise. Les deux principaux et cliniques histologique sous-types sont adamantinous (ou classique) craniopharyngiome et papillaire adamantinous craniopharyngiome. La forme des cadeaux chez les enfants et les adolescents car l'expansion lésion cystique dans la région. Pituitaire cavité cystique est rempli d'une substance visqueuse noire et histologie la tumeur est composé de l ’ épithélium adamantinomatous et domaines de la calcification. Et la nécrose papillaire craniopharyngiomas survenir chez les adultes et histologie comportent un épithélium squameux avec papillations. (De Joynt Clinique neurologie, 1998, Ch14, p50)
Tumeurs inhérents à l ’ hypophyse ou de metastasize GLAND. La majorité des adénomes hypophysaires néoplasmes sont, qui sont divisés en secrétant des formes. Hormone non-secreting et produire formes sont ultérieurement classés par le type d ’ hormone ils sécrètent. Adénomes hypophysaires peuvent également être caractérisée par leurs propriétés coloration (voir adénome Basophile ; adénome adénome ; et adénome Chromophobe). Les tumeurs hypophysaires peuvent comprimer adjacent, y compris les structures HYPOTHALAMUS, plusieurs nerfs crâniens, et le chiasma optique. Chiasmal compression peut entraîner bitemporal hémianopsie.
Tumeurs bénignes et malignes HYPOTHALAMUS. Pilocytic astrocytomas sont relativement fréquentes et hamartomas. Tumeurs types histologique de l'hypothalamus fréquemment proviennent-ils structures adjacent, y compris le chiasma optique, le nerf optique (voir optique sang-froid tumeurs) et de l ’ hypophyse (voir tumeurs De L'Hypophyse). Relativement fréquentes incluent perte visuelle des manifestations cliniques, un retard de développement, macrocephaly, et la puberté précoce. (De Devita et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, p2051) 5
Les petits proéminence située sur la surface supérieure du corps de l'os sphénoïde il héberge des GLAND pituitaire.
Diminution ou l ’ arrêt de la sécrétion de un ou plusieurs hormones de l'hypophyse antérieure (y compris LH ; ; ; Somatropine HORMONE folliculo-stimulante et la corticotrophine). Par radiations chirurgical ou l ’ ablation, tumeurs De L'Hypophyse non-secretory, des métastases de tumeurs, du myocarde, apoplexie pituitaire, ou une granulomatose interstitielle processus et d ’ autres maladies.
Une tumeur composé de cellules qui ressemble à celles de la matrice de cheveux, qui subissent la momification et peuvent se calcifier. C'est une tumeur assez rare, qui peuvent survenir à tout âge depuis l'enfance. La majorité des patients n'ont pas 20 ans, et les femelles sont plus affectés que les hommes. La lésion est habituellement un isolement deep dermal ou sous-cutanée tumeur 3-30 mm de diamètre, située dans la tête, cou, ou sur les membres supérieurs. (De Rook et al., Le manuel de dermatologie, Ed, p2401) 4
Troubles oculaires qui non-ocular maladie ou de blessure.
D ’ une maladie caractérisée par des mictions fréquentes, l ’ excrétion de grandes quantités de diluer urine et de soif excessive. Diabète insipide néphrogénique étiologies incluant un déficit de sécrétion inappropriée d ’ hormone antidiurétique (aussi connu comme ADH) ou de vasopressine NEUROHYPOPHYSIS sécrété par le rein, altération de la réponse de l'hormone anti-diurétique hypothalamique et atteinte de règlement de soif.
Tumeurs situées dans les ventricules cérébraux, y compris les deux CC, la troisième, et le quatrième ventricule. Peut être principal tumeurs ventriculaire (par exemple, plexus choroïde tumeurs et astrocytome), métastaser depuis distant organes, ou se manifester par des extensions de localement invasif de tumeus de adjacent les structures du cerveau.
Kystes congénital ou acquis du cerveau, dans la moelle épinière, ou méninges qui peuvent rester stable en taille ou changent élargissement progressif.
Une fente étroite inférieur au corps calleux, dans le diencéphale, entre le thalamus apparié. Son sol est constitué par les HYPOTHALAMUS, sa paroi antérieure par la lamelle terminalis, et son toit par EPENDYMA elle communique avec la quatrième VENTRICLE par le CEREBRAL aqueduc, et avec les ventricules latéraux au du foramina.
Un mélange radiolucent-radiopaque lésion de la mâchoire avec des caractéristiques des un kyste et un solide Néoplasme. C'est caractérisé par une doublure épithéliale microscopiquement montrant une couche de cellules basale palisaded columnar, présence de fantôme cellule keratinization, dentinoid et calcifications. (Stedman, 25e éditeur)
Une opération sur le système nerveux ou ses parties.
Tumeurs de la base du crâne spécifiquement, différenciée des néoplasmes de sites non spécifiée ou les os du crâne (SKULL tumeurs).
Un trouble héréditaire ou acquis polyuric provoquée par le déficit de VASOPRESSINS sécrétés par les NEUROHYPOPHYSIS. Des signes cliniques inclure l ’ excrétion de volumes importants, de diluer urine ; hypernatrémie ; soif ; et polydipsie. Étiologies incluant traumatisme tête ; opérations et de maladies impliquant les HYPOTHALAMUS et la glande pituitaire GLAND. Ce trouble peuvent également être provoqués par des mutations de gènes comme ARVP codants vasopressine et sa correspondante neurophysin (NEUROPHYSINS).
Un os qui ne sont pas en couple irrégulier situé au SKULL BASE et coincé entre le frontal et temporal et os occipital (FRONTAL BONE ; TEMPORAL BONE ; OCCIPITAL os). Os sphénoïde médiane se compose d'un corps et trois paires de processus qui ressemble à une batte aux ailes déployées ! Le corps est creux dans ses inférieurs pour former deux grandes cavités (sphénoïde SINUS).
Processus pathologiques des glandes endocrines et les maladies résultant du niveau anormal de disponible avait des hormones.
Une maladie démyélinisante touchant les Pons et caractérisé par une progression clinique aiguë quadriplégie ; dysarthrie ; dysphagie ; et les aménagements de conscience. Pathologique incluent des traits proéminents démyélinisation au centre avec des axones épargneurs Pons et des neurones. Cette condition est souvent associée à des troubles systémique tels que l ’ hyponatrémie ; l'alcoolisme chronique ; foie ÉCHEC ; la Severe brûle ; tumeurs malignes ; pancréatite hémorragique ; hémodialyse ; médicale rapide et de sepsis. La correction de l ’ hyponatrémie a été cité comme cause de cet état. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp1125-6)
Des cancers ou les tumeurs de la maxillaire ou mandibule non spécifiée. Pour néoplasmes de la maxillaire supérieure, tumeurs Du Maxillaire Supérieur est disponible et de la mandibule, tumeurs De La Mandibule est disponible.
Tumeurs des composantes intracrânienne du système nerveux central, y compris le cerveau en ganglion basal, de l'hypothalamus, thalamus, tronc cérébral et le cervelet. Cerveau néoplasmes sont subdivisées en provenant du tissu cérébral (primaires et secondaires, métastatique) (c 'est-à-dire formes primaires sont subdivisées en tumeurs bénignes et malignes formes. En général, les tumeurs cérébrales peut également être classé par précoce, type histologique, ou présentant emplacement dans le cerveau.
La structure x-shaped formé par la réunion des deux nerfs optiques. Au chiasma optique les fibres de la partie centrale de chaque rétine croix de projeter de l'autre côté du cerveau pendant que les fibres rétinienne latérale continuer sur le même côté. En conséquence chaque moitié du cerveau reçoit des informations sur le champ visuel controlatérale des deux yeux.

Un craniopharyngiome est un type rare et généralement bénin de tumeur cérébrale qui se développe à la base du skull, dans la région appelée selle turcique, près du pituitary gland et hypothalamus. Ces tumors usually start in the pituitary gland or within the stalk that connects the pituitary gland to the brain.

Craniopharyngiomes peuvent se développer à tout âge, mais ils sont plus fréquents chez les enfants entre les âges de 5 et 10 ans et chez les adultes entre les âges de 50 et 75 ans. Les symptômes courants comprennent des maux de tête, une vision floue ou double, une croissance ralentie chez les enfants, une prise de poids inexpliquée, une fatigue extrême, et des problèmes de sommeil.

Le traitement d'un craniopharyngiome implique habituellement une combination of surgery and radiation therapy pour enlever la tumeur et prévenir sa récidive. La chimiothérapie n'est généralement pas efficace contre ces types de tumeurs. Les complications du traitement peuvent inclure des dommages à la pituitary gland, ce qui peut entraîner une variété de problèmes hormonaux, et des dommages au hypothalamus, which can affect temperature regulation, hunger, thirst, sleep, and emotional behavior.

Il est important to note that while craniopharyngiomes are usually benign, they can still cause significant morbidity due to their location near critical structures in the brain. Regular follow-up with a healthcare provider is essential to monitor for any signs of recurrence or complications.

Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.

Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.

Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :

* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.

Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.

Les tumeurs de l'hypothalamus sont des growths anormaux qui développent dans ou à proximité de l'hypothalamus, une petite région du cerveau qui joue un rôle crucial dans la regulation des fonctions physiologiques et comportementales, y compris la régulation de la température corporelle, du sommeil, de l'appétit, de la libération d'hormones et des émotions. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses) et peuvent varier en taille et en type.

Les tumeurs de l'hypothalamus peuvent causer une variété de symptômes, en fonction de leur emplacement et de leur taille. Les symptômes courants comprennent des maux de tête, des nausées et des vomissements, une vision floue ou double, une perte d'équilibre, une fatigue extrême, une somnolence diurne excessive, des changements de poids et d'appétit, des problèmes de croissance et de développement chez les enfants, des perturbations menstruelles chez les femmes, et des problèmes de fonction sexuelle chez les hommes et les femmes.

Le traitement des tumeurs de l'hypothalamus dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour réduire la taille de la tumeur ou ralentir sa croissance. Dans certains cas, un traitement hormonal peut également être utilisé pour contrôler les symptômes associés à la tumeur.

La selle turcique, également connue sous le nom de fosse cranielle postérieure, est une structure anatomique importante située dans la base du crâne. Elle est formée par un ensemble d'os, y compris l'os occipital, les parties petites et grandes des os temporaux, et le clivus de l'os sphénoïde.

La selle turcique abrite la glande pituitaire, qui est une glande endocrine majeure responsable de la sécrétion d'hormones importantes telles que l'hormone de croissance, l'hormone thyroïdienne, l'hormone adrénocorticotrope, la prolactine, et les hormones gonadotropes.

La selle turcique a une forme concave qui ressemble à une selle, d'où son nom. Elle est située en avant de la protubérance occipitale interne et en dessous du splénium du corps calleux. La selle turcique est un site important pour le diagnostic et le suivi des maladies de la glande pituitaire, telles que les adénomes hypophysaires, qui peuvent entraîner une hypertrophie de la selle turcique et une compression de la glande pituitaire.

L'hypopituitarisme est un trouble endocrinien caractérisé par la production insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires. La glande pituitaire, également appelée hypophyse, est une petite glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs autres glandes endocrines dans le corps en libérant des hormones spécifiques.

Les types d'hormones hypophysaires affectées peuvent inclure :

1. Hormone de croissance (GH)
2. Thyrotropine ou TSH (Thyroid-stimulating hormone)
3. Adrénocorticotrope ou ACTH (Adrenocorticotropic hormone)
4. Prolactine (PRL)
5. Follicle-stimulating hormone (FSH) et Luteinizing hormone (LH), qui régulent la fonction reproductive
6. Melanocyte-stimulating hormone (MSH)

Les causes de l'hypopituitarisme peuvent être congénitales ou acquises. Les causes congénitales comprennent des anomalies chromosomiques, des malformations congénitales et des mutations génétiques. Les causes acquises peuvent inclure des tumeurs hypophysaires, des traumatismes crâniens, des infections, des accidents vasculaires cérébraux, des interventions chirurgicales ou des radiothérapies au cerveau, ainsi que certaines maladies systémiques telles que la maladie de Sheehan et l'histiocytose.

Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent du type d'hormone hypophysaire touchée et peuvent inclure une petite taille, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une sensibilité au froid, une perte de poids ou une prise de poids, des menstruations irrégulières ou l'absence de menstruation chez les femmes, une diminution de la libido et une dysfonction érectile chez les hommes, un assèchement de la peau, une perte de cheveux, une vision floue et des maux de tête.

Le diagnostic de l'hypopituitarisme repose sur l'évaluation clinique, les tests hormonaux et l'imagerie médicale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et vise à remplacer les hormones manquantes ou insuffisantes par des médicaments appropriés. Dans certains cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de l'hypopituitarisme.

Un pilomatrixome, également connu sous le nom de calcifié pilomatricoma ou d'adamantinoma, est un type rare de tumeur cutanée bénigne qui se développe à partir des cellules des follicules pileux. Il est caractérisé par la présence de cheveux kystiques calcifiés et de matériel cornifié. Les pilomatrixomes sont généralement petits, fermes et mobiles, et ils peuvent être de couleur chair, rouge, bleue ou violette. Ils se trouvent le plus souvent sur le visage, le cou, les épaules et la partie supérieure du dos. Bien que la plupart des pilomatrixomes soient bénins, certains peuvent devenir malins (malignes) et se propager à d'autres parties du corps. Le traitement standard pour un pilomatrixome est l'excision chirurgicale.

Les manifestations oculaires sont des changements ou des symptômes que l'on peut observer dans les yeux ou la région oculaire, qui peuvent indiquer une variété de conditions médicales, allant des affections oculaires spécifiques à des problèmes de santé systémique. Ces manifestations peuvent inclure une grande diversité de signes, tels que des rougeurs, des gonflements, des sécrétions, des modifications du champ visuel, des changements de la réactivité pupillaire, des déformations de la structure oculaire, ou encore des anomalies dans les mouvements oculaires.

Par exemple, la présence de petits vaisseaux sanguins dilatés à la surface de l'œil (appelés « étoiles du vin») peut être une manifestation oculaire d'une hypertension artérielle non contrôlée. De même, des taches blanches sur la cornée (la membrane transparente à l'avant de l'œil) peuvent indiquer une infection fongique ou bactérienne.

Il est important de noter que certaines manifestations oculaires peuvent être graves et nécessiter une attention médicale immédiate, tandis que d'autres peuvent être moins préoccupantes et traitables avec des soins simples. Quoi qu'il en soit, toute modification significative ou persistante de l'apparence ou du fonctionnement des yeux devrait faire l'objet d'une évaluation médicale appropriée.

Le diabète insipide est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production excessive d'urine diluée (polyurie) et une soif intense (polydipsie). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide est dû à un déficit en hormone antidiurétique (ADH) ou à une résistance des reins à l'hormone ADH.

Il existe deux types de diabète insipide :

1. Diabète insipide central : Il se produit lorsque le cerveau ne produit pas ou ne sécrète pas suffisamment d'hormone antidiurétique (ADH) en raison d'une lésion ou d'une maladie de l'hypothalamus ou de la post-hypophyse. Les causes courantes comprennent des tumeurs, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des mutations génétiques et la chirurgie de la région hypothalamo-hypophysaire.

2. Diabète insipide néphrogénique : Il est dû à une résistance des reins à l'action de l'hormone ADH, ce qui entraîne une production excessive d'urine et une soif accrue. Les causes comprennent des anomalies génétiques héréditaires ou acquises, des médicaments néphrotoxiques, des affections rénales sous-jacentes telles que la pyélonéphrite, l'hypertension rénine-dépendante et l'insuffisance rénale chronique.

Le diagnostic du diabète insipide repose sur l'évaluation des antécédents médicaux, des examens physiques, des analyses d'urine et de sang, ainsi que des tests de privation de liquides et de stimulation par vasopressine. Le traitement dépend du type et de la cause sous-jacente du diabète insipide. Pour le diabète insipide central, des médicaments tels que la desmopressine peuvent être prescrits pour remplacer l'hormone ADH manquante ou déficiente. Dans le cas du diabète insipide néphrogénique, le traitement vise à éliminer les causes sous-jacentes et à gérer les symptômes avec des médicaments tels que les diurétiques thiazidiques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Les tumeurs des ventricules cérébraux se réfèrent à des growths anormaux dans les cavités remplies de liquide, appelées ventricules, à l'intérieur du cerveau. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes courants comprennent des maux de tête, des nausées, des vomissements, une vision floue, un déséquilibre et des changements mentaux. Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie. Il est important de noter que les tumeurs des ventricules cérébraux peuvent être graves et même mettre la vie en danger si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.

Les kystes du système nerveux central sont des sacs fermés remplis de liquide qui se forment dans les tissus du cerveau ou de la moelle épinière. Ces kystes peuvent varier en taille, de très petits à assez grands, et peuvent causer une variété de symptômes en fonction de leur emplacement et de leur taille. Les kystes peuvent comprimer le tissu cérébral environnant ou les nerfs, entraînant des maux de tête, des nausées, des vomissements, des vertiges, des faiblesses musculaires, des problèmes de coordination, des engourdissements, des picotements ou des troubles cognitifs.

Les kystes du système nerveux central peuvent être congénitaux, c'est-à-dire présents à la naissance, ou acquis plus tard dans la vie en raison d'une blessure ou d'une maladie. Les causes courantes de kystes du système nerveux central comprennent les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, les infections, les traumatismes crâniens et certaines maladies génétiques.

Le diagnostic des kystes du système nerveux central peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille et de la localisation du kyste, ainsi que des symptômes associés. Dans certains cas, les kystes peuvent être surveillés sans traitement si les symptômes sont légers ou absents. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer le kyste et soulager la pression sur le tissu cérébral environnant.

Le troisième ventricule est une structure cavitaire situé dans le cerveau. Il s'agit d'une petite cavité remplie de liquide céphalo-rachidien (LCR) qui se trouve dans le diencéphale, une région située entre le telencéphale et le tronc cérébral.

Le troisième ventricule est situé au-dessus du pont et de la moelle allongée, et il communique avec les deux ventricules latéraux via les foramens interventriculaires et avec le quatrième ventricule via l'aqueduc cérébral.

Le troisième ventricule contient des structures importantes telles que l'organe pinéal, la chorioïde plexus, et les noyaux prétectaux. Il joue un rôle crucial dans la circulation du LCR et dans la régulation de l'humeur et du sommeil grâce à la présence des noyaux prétectaux et de l'organe pinéal.

Des anomalies congénitales ou acquises peuvent affecter le troisième ventricule, entraînant une hydrocéphalie, une hypertension intracrânienne, ou d'autres troubles neurologiques.

Un kyste odontogène calcifiant, également connu sous le nom de kyste dentigère calcifié ou kyste de développement calcifié, est un type rare de kyste des maxillaires (os de la mâchoire). Il se développe à partir des tissus odontogènes (liés aux dents) et contient des dépôts calcifiés.

Ces kystes sont généralement asymptomatiques et sont souvent découverts accidentellement lors d'examens radiologiques effectués pour d'autres raisons. Ils peuvent varier en taille, allant de petits à très grands, et peuvent entraîner une expansion osseuse dans la zone où ils se trouvent.

Les kystes odontogènes calcifiants sont généralement classés en deux types : les dentigères calcifiés et les globulomaxillaires calcifiés. Les kystes dentigères calcifiés sont associés à une dent incluse ou non éruptée, tandis que les kystes globulomaxillaires calcifiés se développent entre les incisives latérales supérieures et la canine.

Le traitement de ces kystes consiste généralement en une intervention chirurgicale pour enlever complètement le kyste et la dent associée, s'il y en a une. Dans certains cas, une reconstruction osseuse peut être nécessaire après l'intervention.

Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.

Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.

Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.

Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.

Les tumeurs de la base du crâne sont des growths anormaux qui se développent dans la région située à la base du crâne, où le cerveau s'interface avec le reste du système nerveux et les vaisseaux sanguins. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais ils peuvent inclure des maux de tête, des vertiges, des problèmes d'audition, des troubles visuels, des difficultés à avaler ou à parler, des engourdissements ou des faiblesses dans le visage, et des changements de comportement ou de personnalité. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais il peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Le diabète insipide central est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production inadéquate d'hormone antidiurétique (ADH) ou une résistance à son action, entraînant une polyurie sévère (production excessive d'urine) et une polydipsie (soif extrême). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide central n'a aucun lien avec les taux de sucre dans le sang.

L'hormone antidiurétique est produite par l'hypothalamus et stockée dans la neurohypophyse. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique de l'organisme en augmentant la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux, ce qui diminue la production d'urine. Dans le diabète insipide central, une lésion ou une maladie affectant l'hypothalamus ou la neurohypophyse peut entraîner une déficience en ADH et provoquer les symptômes typiques du diabète insipide central.

Les causes possibles du diabète insipide central comprennent des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des méningites, des encéphalites, des malformations congénitales, une intervention chirurgicale au cerveau et certaines affections auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue, ce qui est alors qualifié de diabète insipide idiopathique central.

Le diagnostic du diabète insipide central repose généralement sur des tests de privation d'eau et des mesures des taux d'hormone antidiurétique. Le traitement consiste souvent en un apport supplémenentaire d'une forme synthétique d'hormone antidiurétique (desmopressine) pour compenser le déficit en ADH. Une fois le traitement instauré, les symptômes du diabète insipide central peuvent être bien contrôlés et la qualité de vie des patients peut être améliorée de manière significative.

L'os sphénoïde est un os impair et complexe situé dans la base du crâne, entre les deux orbites. Il joue un rôle important dans la formation des fosses crâniennes moyenne et postérieure, ainsi que dans la constitution de la base du crâne antérieure.

L'os sphénoïde se compose de plusieurs parties, dont le corps, les deux grandes ailes, deux petites ailes, deux processus ptérygoïdes, et deux apophyses mastoïdes. Le corps de l'os sphénoïde contient la selle turcique, une dépression qui abrite le hypophyse. Les grandes ailes forment les parois latérales des fosses crâniennes moyennes et participent à la formation du toit de l'orbite. Les petites ailes se trouvent en arrière des grandes ailes et contribuent à former la partie antérieure de la fosse crânienne postérieure.

Les processus ptérygoïdes sont des prolongements latéraux qui s'articulent avec les os voisins, tels que l'os temporal et l'os palatin. Enfin, les apophyses mastoïdes sont de petites projections osseuses situées à l'arrière des processus ptérygoïdes, qui servent d'attache aux muscles sterno-cléido-mastoïdiens.

L'os sphénoïde est impliqué dans plusieurs fonctions importantes, notamment la protection des structures nerveuses et vasculaires du cerveau, la formation de cavités pour les organes sensoriels (comme l'oreille moyenne), et la participation à la mastication grâce aux articulations qu'il forme avec les os maxillaire et mandibulaire.

Les maladies endocriniennes sont un groupe de conditions qui affectent votre système endocrinien. Ce système est composé d'une série de glandes et d'organes qui produisent et sécrètent des hormones dans le sang. Les hormones sont des messagers chimiques qui régulent de nombreuses fonctions importantes de l'organisme, telles que la croissance et le développement, le métabolisme, le sommeil, la reproduction, la réponse au stress et l'humeur.

Les maladies endocriniennes peuvent résulter d'un déséquilibre hormonal, qui peut être dû à une production excessive ou insuffisante d'hormones par les glandes endocrines. Ces déséquilibres peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications, selon la glande affectée et le type d'hormone impliqué.

Les exemples courants de maladies endocriniennes comprennent le diabète sucré, les troubles de la thyroïde, l'insuffisance surrénalienne, l'acromégalie, le gigantisme, le nanisme, les tumeurs hypophysaires et les troubles des ovaires ou des testicules. Le traitement dépend du type de maladie endocrinienne et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une combinaison de ces options.

La myélinolyse centropontine est un trouble neurologique rare caractérisé par la dégradation et la démyélinisation des neurones dans la région centrale du tronc cérébral, appelée pont. La démyélinisation se réfère à la perte de myéline, une gaine protectrice qui entoure les axones des neurones et aide à conduire les impulsions nerveuses.

Cette condition est souvent associée à un déséquilibre électrolytique sévère, en particulier un faible taux de sodium dans le sang (hyponatrémie), qui peut être observé chez des personnes souffrant d'alcoolisme, de malnutrition ou de certains troubles médicaux sous-jacents. La myélinolyse centropontine peut également survenir après un traitement rapide de l'hyponatrémie, ce qui est connu sous le nom de «syndrome de démyélinisation osmotique».

Les symptômes de la myélinolyse centropontine peuvent inclure une faiblesse musculaire grave, des tremblements, des difficultés à avaler, des mouvements oculaires anormaux, une altération de la conscience et même le coma. Le diagnostic repose généralement sur l'imagerie médicale, telle qu'une IRM, qui peut montrer des zones de démyélinisation dans le tronc cérébral.

Le traitement de cette condition implique la correction du déséquilibre électrolytique sous-jacent et un soutien médical intensif pour gérer les symptômes. Malheureusement, la myélinolyse centropontine peut entraîner des lésions cérébrales permanentes ou même la mort dans certains cas graves.

Les tumeurs de la mâchoire se réfèrent à des growths anormaux dans la mâchoire supérieure (maxillaire) ou inférieure (mandibule). Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux).

Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et sont généralement traitées par une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir grandes et agressives, entraînant des dommages aux structures environnantes telles que les dents, les nerfs et les os.

Les tumeurs malignes, en revanche, ont le potentiel de se propager à d'autres parties du corps. Le traitement dépend du type de cancer, de son stade et de l'état de santé général du patient. Il peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et/ou de chimiothérapie.

Les symptômes courants des tumeurs de la mâchoire comprennent des douleurs faciales ou dentaires, un gonflement de la joue, une mobilité réduite de la mâchoire, des difficultés à manger ou à parler, et des engourdissements ou des picotements dans le visage. Cependant, ces symptômes peuvent également être causés par d'autres conditions médicales, il est donc important de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic approprié.

Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.

Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.

Le chiasma optique est une structure anatomique du cerveau où les nerfs optiques se croisent. Plus précisément, il s'agit du point où la moitié des fibres nerveuses de chaque nerf optique se croise, permettant ainsi aux informations visuelles provenant de chaque côté de l'espace visuel d'être transmises au cerveau opposé.

Ce processus est important pour la perception de la profondeur et de la localisation des objets dans l'espace. Les troubles du chiasma optique peuvent entraîner une variété de symptômes visuels, tels qu'une vision double ou une perte de vision périphérique.

Le chiasma optique est situé juste en avant de la glande pituitaire et au-dessus du corps calleux, qui est la structure qui relie les deux hémisphères cérébraux. Il s'agit d'une structure complexe qui implique non seulement le croisement des fibres nerveuses, mais aussi l'intégration de diverses informations sensorielles et régulatrices du système nerveux autonome.

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  • Craniopharyngiome Histologie d'un craniopharyngiome (de type adamantin) en coloration HPS (Hémalun, Phloxine, Safran). (wikipedia.org)
  • Déficit hormonal Baisse de l'acuité visuelle Polyurie (uriner plus de 10l/jour) Polydipsie (boire plus de 8l/jour) Troubles du champ visuel (hémianopsie bitemporale) Céphalées importantes à répétition Retard de croissance Retard de puberté Vomissements répétés Le traitement d'un craniopharyngiome nouvellement diagnostiqué est essentiellement chirurgical. (wikipedia.org)
  • Les troubles visuels sont souvent les premiers signes chez les adultes atteints d'un craniopharyngiome. (chu-lyon.fr)
  • J'ai été opérée d'un craniopharyngiome à l'hypophyse en 2011 j'ai gardé mon hypophyse entièrement et ma thyroïde est intacte. (cowcare.org)
  • Comme le craniopharyngiome se situe dans la zone de l'hypophyse et de la tige hypophysaire, il peut y avoir une lésion de celle-ci du fait de la tumeur ou au cours de l'intervention. (craniopharyngiome-solidarite.org)
  • A 1 an, la chirurgie bariatrique semble efficace dans l'obésité hypothalamique secondaire au craniopharyngiome. (sfendocrino.org)
  • Chez les jeunes, un panhypopituitarisme peut être secondaire à un craniopharyngiome. (msdmanuals.com)
  • Ainsi, ne peuvent être retenus les enfants avec des troubles psychiatriques, ceux avec des troubles sévères du comportement alimentaire, ainsi que les enfants avec des obésités syndromiques (en rapport avec un syndrome génétique) ou enfin, en cas d'obésité secondaire à une lésion (craniopharyngiome par exemple). (lequotidiendumedecin.fr)
  • Orphanet, en collaboration avec Maladies Rares Info Services, le Centre de référence des maladies endocriniennes rares de la croissance, le Centre de référence des maladies rares d'origine hypophysaire, et l'Association Craniopharyngiome Solidarité, a réalisé une plaquette d'information destinée aux patients. (wikipedia.org)
  • Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le craniopharyngiome est une malformation tissulaire embryonnaire (c'est-à-dire apparue avant la naissance) de la région hypophysaire. (wikipedia.org)
  • Il arrive que le nerf optique soit comprimé par le craniopharyngiome situé à proximité. (chu-lyon.fr)
  • Le craniopharyngiome est une tumeur bénigne (non cancéreuse) du cerveau. (asso.fr)
  • Le craniopharyngiome se situe à proximité directe de zones du cerveau très importantes pour le développement somatique et psychique. (wikipedia.org)
  • Le craniopharyngiome se développe dans une zone bien précise du cerveau, à proximité d'une petite glande appelée hypophyse. (chu-lyon.fr)
  • Craniopharyngiome Histologie d'un craniopharyngiome (de type adamantin) en coloration HPS (Hémalun, Phloxine, Safran). (wikipedia.org)
  • Déficit hormonal Baisse de l'acuité visuelle Polyurie (uriner plus de 10l/jour) Polydipsie (boire plus de 8l/jour) Troubles du champ visuel (hémianopsie bitemporale) Céphalées importantes à répétition Retard de croissance Retard de puberté Vomissements répétés Le traitement d'un craniopharyngiome nouvellement diagnostiqué est essentiellement chirurgical. (wikipedia.org)
  • Etude des caractéristiques spermatiques des patients atteints de maladie Dynamique de colonisation et d'infection à Pseudomonas aeruginosa en service de réanimation : étude prospective multicentrique Essai multicentrique randomisé en double insu évaluant les bénéfices du traitement par rimonabant dans l'obésité hypothalamique de l'adultesecondaire au traitement du craniopharyngiome. (health-abstracts.com)
  • Orphanet, en collaboration avec Maladies Rares Info Services, le Centre de référence des maladies endocriniennes rares de la croissance, le Centre de référence des maladies rares d'origine hypophysaire, et l'Association Craniopharyngiome Solidarité, a réalisé une plaquette d'information destinée aux patients. (wikipedia.org)
  • L'association Craniopharyngiome-solidarité est partenaire de FIRENDO (Filière Maladies Rares Endocriniennes) et s'associe pleinement à son action en faveur de l'amélioration de la prise en charge des patients. (craniopharyngiome-solidarite.org)
  • On rejoint également l'association parrainée par Nicola, la Craniopharyngiome Solidarité basée à Tarbes. (indo.fr)
  • Il existe bien d'autres types moins courants de tumeurs au cerveau et à la moelle épinière dont le neurinome acoustique, le craniopharyngiome, l'hémangioblastome et le lymphome primitif du système nerveux central. (cancer.ca)