Miction douloureuse. Il est souvent associée à des infections de la plus faible TRACT urinaire.
Anomalies dans le processus d'urine uriner, incontinence, y compris de la fréquence des mictions, ainsi que le volume et la composition de l'urine.
Processus pathologiques impliquant la URETHRA.
Des réponses inflammatoires de l'épithélium du colon à TRACT urinaire invasions microbienne. Ils sont souvent associés à des infections bactériennes BACTERIURIA et pyurie.
Processus pathologiques du mâle TRACT urinaire et le système reproductif génitales (mâles).
Inflammation of the urinary BLADDER bactériennes ou de causes non-bacterial. Cystite est souvent associée à douleur à la miction (dysurie), fréquence accrue, impériosité urinaire, douleur et sus-pubienne.
Examen d'urine par chimique, physique, ou microscopique signifie. Routine analyse d'urine, en effectuant des tests de dépistage chimiques, déterminer gravité spécifique, observant une couleur inhabituelle ou d'odeur, le dépistage, et examiner les sédiments bacteriuria au microscope.
Processus pathologiques de la femme TRACT urinaire et la reproduction (génitales, femelle).
Infection du rein avec espèces de Mycobacterium.
Processus pathologiques of the urinary TRACT dans les deux hommes et femmes.
Processus pathologiques of the urinary BLADDER.
La présence de bactéries dans les urines qui est normalement. Ces bactéries sont dénuées de TRACT urinaire et ne sont pas contaminants des tissus environnants. Bactériurie peut être symptomatiques ou asymptomatiques. Significative bacteriuria est un indicateur de infection urinaire.
Obstruction partielle ou complète partout au URETHRA qui peut entraîner une difficulté ou une incapacité de vider le BLADDER urinaire. C'est caractérisée par une grosse, souvent endommagé, vessie pulsions fréquemment à vide.
Des troubles de l ’ inconfort ou douleur dans l'récurrent BLADDER urinaire et la région pelvienne sans identifiables. Sévérité de la douleur lors de maladie interstitielle cystite est variable et souvent est accompagné d ’ uriner, fréquence et d'urgence.
Un examen endoscopique, le traitement ou une chirurgie de la vessie.
Processus pathologiques de leur vagin !
Présence de sang dans les urines.
Maladie infectieuse aigüe invasion primaire caractérisée par de l ’ appareil uro-génital. L'agent etiologic était isolée par Neisseria gonorrhoeae, la voilà en 1879.
Inflammation impliquant la URETHRA. Similaire à cystite, vont de symptômes cliniques inconfort vague de douleur à la miction (dysurie), écoulement urétral, ou les deux.
Substances capable de tuer des agents provoquant une infection urinaire ou de les prévenir de se propager.
Inflammation du vagin, marquée par un de sécrétion purulente. Cette maladie est causée par le protozoaire Trichomonas Vaginalis.
Un tube de transport de votre urine urinaire BLADDER à l'extérieur du corps dans les deux sexes. Il a aussi un les fonctions de reproduction chez l'homme en fournissant un passage pour sperme.
Une espèce de Trichomonas qui produit un écoulement vaginal réfractaire chez les femmes, ainsi que des infections chez les mâles vésicaux et urétraux.
Les infections à bactéries du genre la chlamydia.
Un sac sur la musculomembranous TRACT. Urine urinaire découle des reins à la vessie via le des uretères (uretère), et qui est détenue là-bas jusqu'à uriner.
Excrétion produit dérivé de liquide dans les reins, temporairement stockées dans la vessie jusqu'à se décharger à travers le URETHRA.
Une caractéristique complexe de symptomes.
Type espèces de chlamydia causant diverses génito-urinaire oculaire et maladies.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Décharge d'urine, les déchets liquides validée par le rein, du corps.
Période de temps de 1801 par 1900 du fréquent ère.

La dysurie est un terme médical qui décrit la difficulté ou la douleur lors de la miction, ou du processus d'uriner. Cette condition peut être causée par divers facteurs, tels que des infections des voies urinaires, des problèmes de prostate chez les hommes, une irritation de l'urètre, des calculs vésicaux, des maladies sexuellement transmissibles, ou certaines conditions neurologiques. Les symptômes associés à la dysurie peuvent inclure une sensation de brûlure ou de picotement pendant la miction, une envie fréquente d'uriner, une urine trouble ou malodorante, et des douleurs abdominales ou pelviennes. Il est important de consulter un professionnel de santé si vous ressentez ces symptômes pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Les troubles mictionnels sont des problèmes de santé qui affectent la capacité d'une personne à uriner normalement. Cela peut inclure des difficultés à vider complètement la vessie, une envie fréquente ou urgente d'uriner, une incontinence (perte involontaire d'urine), une douleur ou une gêne pendant la miction, ou un flux urinaire lent ou interrompu.

Ces problèmes peuvent être causés par une variété de facteurs sous-jacents, tels que des infections des voies urinaires, des affections neurologiques, des troubles hormonaux, des anomalies anatomiques, ou l'utilisation de certains médicaments. Les troubles mictionnels peuvent également être associés à des conditions telles que l'hypertrophie de la prostate chez les hommes ou la descente de la vessie (prolapsus) chez les femmes.

Le traitement des troubles mictionnels dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments, des procédures médicales ou chirurgicales. Il est important de consulter un professionnel de santé si vous ressentez des symptômes de troubles mictionnels pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Les maladies de l'urètre se réfèrent à un large éventail de conditions qui affectent l'urètre, le canal qui transporte l'urine de la vessie vers l'extérieur du corps. Ces maladies peuvent être causées par des infections, des inflammations, des anomalies congénitales, des blessures ou des troubles nerveux.

Les infections de l'urètre, également connues sous le nom d'urétrites, sont souvent causées par des bactéries ou des virus et peuvent entraîner des symptômes tels que des brûlures pendant la miction, une douleur lors des rapports sexuels, une démangeaison de l'urètre, une décharge anormale et une augmentation de la fréquence urinaire.

L'inflammation de l'urètre, appelée urétrite, peut également être causée par des réactions chimiques ou allergiques à des substances telles que les spermicides, les savons ou les douches vaginales.

Les anomalies congénitales de l'urètre peuvent inclure des structures anormales telles que des valves urétrales ou un rétrécissement de l'urètre qui peuvent obstruer le flux d'urine et entraîner des infections des voies urinaires.

Les blessures à l'urètre peuvent être causées par des traumatismes tels que des accidents de voiture ou des actes de violence, tandis que les troubles nerveux peuvent affecter la fonction musculaire de l'urètre et entraîner des problèmes de miction.

Le traitement des maladies de l'urètre dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour les infections, des anti-inflammatoires pour l'inflammation, des dilatations ou des interventions chirurgicales pour les anomalies congénitales ou les blessures.

Une infection urinaire (IU) est un type d'infection qui affecte l'un des composants du système urinaire, qui comprend les reins, les uretères, la vessie et l'urètre. La plupart des infections urinaires surviennent dans la vessie, mais elles peuvent également se produire dans les reins.

Les infections urinaires sont généralement causées par des bactéries, bien que certaines puissent être causées par des virus ou des champignons. La bactérie Escherichia coli (E. coli) est la cause la plus fréquente d'infections urinaires chez les adultes.

Les symptômes courants d'une infection urinaire comprennent une envie fréquente d'uriner, une sensation de brûlure en urinant, des urines troubles ou malodorantes, une douleur dans le bas-ventre et, dans les cas graves, de la fièvre et des frissons.

Le traitement des infections urinaires dépend de la cause sous-jacente. Dans la plupart des cas, un traitement antibiotique est efficace pour éliminer l'infection. Des mesures préventives telles que boire beaucoup de liquides, vider complètement la vessie lors de la miction et essuyer de l'avant vers l'arrière après une selle peuvent aider à prévenir les infections urinaires.

Les maladies urogénitales chez l'homme se réfèrent à un large éventail de conditions qui affectent les systèmes urinaire et reproducteur. Ces maladies peuvent être causées par des infections, des troubles congénitaux, des traumatismes, une mauvaise hygiène, le vieillissement ou d'autres facteurs.

Les exemples de ces maladies comprennent :

1. Prostatite : une inflammation de la prostate qui peut causer des douleurs, une gêne, des fréquentes mictions et des difficultés à uriner.

2. Infection des voies urinaires (IVU) : une infection qui affecte les reins, les uretères, la vessie ou l'urètre. Les symptômes peuvent inclure une envie fréquente d'uriner, une sensation de brûlure en urinant, des douleurs abdominales et des urines troubles ou malodorantes.

3. Balanite : une inflammation du prépuce ou du gland du pénis. Elle peut être causée par une infection, une mauvaise hygiène ou certaines conditions de santé sous-jacentes.

4. Circoncision compliquations : incluant des saignements, des infections ou des cicatrices anormales.

5. Cryptorchidie : une condition où un ou les deux testicules ne descendent pas dans le scrotum de manière appropriée.

6. Hypospadias : une malformation congénitale de l'urètre chez les garçons, où l'ouverture de l'urètre se trouve sur la face inférieure du pénis au lieu de son extrémité.

7. Phimosis : un rétrécissement du prépuce qui rend difficile ou impossible de rétracter le prépuce sur le gland du pénis.

8. Troubles sexuels : tels que la dysfonction érectile, l'éjaculation précoce ou le manque de libido.

9. Infertilité masculine : difficulté à concevoir un enfant en raison de problèmes avec la production, la maturation ou le transport des spermatozoïdes.

10. Cancer du pénis ou du testicule : tumeurs malignes qui peuvent se propager à d'autres parties du corps si elles ne sont pas traitées.

La cystite est une inflammation de la vessie, le plus souvent causée par une infection bactérienne. Les symptômes courants de la cystite peuvent inclure une sensation de brûlure ou des douleurs en urinant, des envies fréquentes d'uriner, une urine trouble ou malodorante, ainsi que la présence de sang dans l'urine. Les femmes sont plus sujettes à cette infection que les hommes en raison de leur anatomie, avec un urètre plus court qui facilite l'ascension des bactéries de la région périnéale vers la vessie.

Les facteurs de risque de cystite peuvent inclure un mauvais drainage de l'urine due à une obstruction, une hygiène insuffisante, l'utilisation de spermicides ou de diaphragmes, ainsi que certaines conditions médicales préexistantes telles que le diabète. Le traitement de la cystite repose généralement sur des antibiotiques pour éliminer l'infection bactérienne sous-jacente. Des mesures préventives peuvent également être mises en place pour réduire le risque de récidive, telles que boire beaucoup de liquides, uriner après les relations sexuelles et pratiquer une hygiène personnelle adéquate.

L'analyse d'urine, également appelée examen d'urine ou urinalysis en anglais, est un test médical couramment utilisé pour évaluer la santé globale des reins et du système urinaire. Elle consiste à examiner les propriétés physiques, chimiques et microscopiques de l'urine.

Voici une définition plus détaillée :

1. Propriétés physiques : elles comprennent la couleur, la transparence et l'odeur de l'urine. La couleur normale de l'urine varie du jaune pâle au jaune ambré, en fonction de la concentration d'urochrome (un pigment présent dans l'urine). L'urine claire indique une bonne hydratation, tandis que des changements de couleur vers le brun peuvent suggérer des problèmes rénaux ou hépatiques. La transparence est généralement claire, mais la présence de sédiments ou de particules peut entraîner une certaine turbidité. L'odeur normale de l'urine est légèrement ammoniaquée, mais des odeurs inhabituelles peuvent indiquer des infections, une mauvaise hygiène ou la consommation d'aliments spécifiques (comme l'asparagus).
2. Propriétés chimiques : elles comprennent le pH, la densité urinaire et les tests spécifiques pour détecter des composants anormaux tels que le glucose, les protéines, les nitrites, les bilirubines et les leucocytes. Le pH de l'urine se situe généralement entre 4,5 et 8,0. Un pH inférieur à 5,0 peut indiquer une infection urinaire, tandis qu'un pH supérieur à 8,0 peut être le signe d'une maladie rénale ou d'une consommation excessive de liquides alcalins. La densité urinaire reflète la concentration des électrolytes et des autres substances dans l'urine. Une densité urinaire faible peut indiquer une déshydratation, tandis qu'une densité urinaire élevée peut être le signe d'une maladie rénale ou d'une insuffisance surrénalienne.
3. Examen microscopique : il permet de rechercher des cellules anormales, des bactéries et des cristaux dans l'urine. Les globules rouges (érythrocytes) et les globules blancs (leucocytes) peuvent indiquer une inflammation ou une infection. Des bactéries peuvent être présentes en cas d'infection urinaire, tandis que des cristaux peuvent être observés dans certaines maladies rénales ou en raison de la consommation de certains médicaments.

L'analyse d'urine est un examen simple et non invasif qui permet de détecter divers problèmes de santé, tels que des infections, des maladies rénales et des troubles métaboliques. Il est recommandé de réaliser cet examen régulièrement, en particulier chez les personnes atteintes de certaines maladies chroniques ou qui prennent des médicaments susceptibles d'affecter la fonction rénale.

Les maladies urogénitales de la femme se réfèrent à un large éventail de conditions qui affectent les systèmes urinaire et génital de la femme. Ces systèmes sont anatomiquement et fonctionnellement liés dans la région pelvienne, et par conséquent, les maladies peuvent souvent affecter les deux systèmes simultanément.

Les affections urogénitales courantes chez les femmes comprennent les infections des voies urinaires (IVU), qui sont des infections dans l'un des organes du système urinaire, telles que la vessie ou les reins. Les IVU sont souvent causées par des bactéries provenant de l'intestin qui remontent la uretère et infectent la vessie.

Les autres maladies urogénitales courantes chez les femmes comprennent les infections sexuellement transmissibles (IST), telles que la chlamydia et la gonorrhée, qui peuvent affecter à la fois le système urinaire et génital. Les IST peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs pendant la miction, des pertes vaginales anormales et des douleurs abdominales ou pelviennes.

Les affections non infectieuses telles que l'incontinence urinaire, les prolapsus génitaux et les dyspareunies (douleur pendant les rapports sexuels) sont également considérées comme des maladies urogénitales. L'incontinence urinaire est une perte involontaire de l'urine, qui peut être causée par une variété de facteurs, y compris les dommages aux muscles du plancher pelvien ou des problèmes nerveux.

Les prolapsus génitaux se produisent lorsque les organes pelviens, tels que l'utérus ou la vessie, s'affaissent dans le canal vaginal en raison de la faiblesse des muscles et du tissu conjonctif qui les soutiennent. Les dyspareunies peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des infections, des cicatrices ou des problèmes nerveux.

En résumé, les maladies urogénitales sont un groupe diversifié de conditions qui affectent le système urinaire et génital. Elles peuvent être causées par des infections, des facteurs hormonaux, des dommages aux muscles et au tissu conjonctif ou des problèmes nerveux. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous présentez des symptômes urogénitaux pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

La tuberculose rénale, également connue sous le nom de maladie de Pott, est une forme spécifique de tuberculose qui affecte les reins. Elle est causée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis, qui se propage généralement dans l'organisme via des gouttelettes respiratoires en suspension dans l'air. Lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue, ces gouttelettes peuvent être inhalées par d'autres personnes, entraînant une infection.

Dans le cas de la tuberculose rénale, les bactéries atteignent les reins après avoir été transportées par le sang à partir du foyer initial d'infection dans les poumons. Une fois dans les reins, les bactéries peuvent provoquer une inflammation et la formation de granulomes, des amas de cellules immunitaires qui tentent de contenir l'infection.

Les symptômes courants de la tuberculose rénale comprennent des douleurs dans le dos ou les côtés, des mictions douloureuses ou fréquentes, du sang dans l'urine, une fièvre persistante, une fatigue extrême et une perte de poids involontaire. Dans les cas graves, la tuberculose rénale peut entraîner une insuffisance rénale, ce qui nécessite une dialyse ou une transplantation rénale.

Le diagnostic de la tuberculose rénale repose sur des tests d'imagerie tels que l'urographie intraveineuse ou la tomodensitométrie, ainsi que sur des analyses d'urine et de sang. Le traitement standard consiste en une combinaison d'antibiotiques spécifiques pendant plusieurs mois pour éradiquer l'infection bactérienne. Dans les cas graves ou compliqués, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever les tissus endommagés ou drainer les abcès rénaux.

Les maladies urologiques sont un groupe de conditions qui affectent le système urinaire, qui comprend les reins, les uretères, la vessie et l'urètre chez les individus des deux sexes, ainsi que les glandes surrénales et les organes reproducteurs masculins (prostate, vésicules séminales, épididyme, testicules). Ces maladies peuvent affecter la fonction normale de ces organes, entraînant des symptômes variés tels que des douleurs, des saignements, des infections, des difficultés à uriner et dans les cas graves, mettre en danger la vie du patient.

Voici quelques exemples de maladies urologiques :

1. Infections des voies urinaires (IVU) : Il s'agit d'infections qui affectent la vessie, les reins ou l'urètre. Elles sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes.

2. Lithiase urinaire : C'est la formation de calculs rénaux ou vésicaux, qui peuvent causer des douleurs intenses, des nausées et des vomissements.

3. Hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) : Il s'agit d'une augmentation de la taille de la prostate chez les hommes plus âgés, ce qui peut entraîner des difficultés à uriner et des mictions fréquentes.

4. Cancer de la vessie, du rein ou de la prostate : Ces cancers peuvent se développer dans n'importe quelle partie du système urinaire et peuvent mettre en danger la vie du patient s'ils ne sont pas traités à temps.

5. Incontinence urinaire : Perte involontaire de l'urine due à une faiblesse des muscles du plancher pelvien ou à des problèmes nerveux.

6. Pyélonéphrite : C'est une infection rénale grave qui peut entraîner des complications graves, telles que la septicémie, si elle n'est pas traitée rapidement.

7. Maladies du rein : Des affections telles que l'insuffisance rénale chronique et les glomérulonéphrites peuvent affecter le fonctionnement des reins et entraîner d'autres problèmes de santé.

Les maladies de la vessie urinaire sont des affections qui affectent la fonction et la structure de la vessie, un organe musculaire creux qui stocke l'urine jusqu'à ce qu'elle soit éliminée du corps. Ces maladies peuvent entraîner des symptômes tels que des mictions fréquentes, une urgence urinaire, une douleur ou une gêne pendant la miction, des saignements dans l'urine et des infections des voies urinaires.

Les exemples de maladies de la vessie urinaire comprennent la cystite, qui est une inflammation de la paroi de la vessie, souvent causée par une infection bactérienne ; la dysfonction vésicale neurogène, qui est un trouble de la fonction vésicale résultant d'une lésion de la moelle épinière ou d'une autre affection neurologique ; et le cancer de la vessie, qui est une croissance maligne dans la paroi de la vessie.

Le traitement des maladies de la vessie urinaire dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des procédures médicales ou chirurgicales, et des modifications du mode de vie.

Bactériurie est un terme médical qui se réfère à la présence de bactéries dans l'urine. Normalement, l'urine ne contient pas de bactéries, mais dans certaines conditions, telles que les infections des voies urinaires (IVU), des bactéries peuvent se retrouver dans l'urine.

Il existe deux types de bactériurie : la bactériurie asymptomatique et la bactériurie symptomatique. La bactériurie asymptomatique est définie comme la présence de plus de 100 000 colonies de bactéries par millilitre d'urine chez une personne sans symptômes urinaires. Cette condition est fréquente chez les personnes âgées et les personnes atteintes de troubles sous-jacents, tels que le diabète sucré ou les maladies rénales.

La bactériurie symptomatique, en revanche, est associée à des symptômes urinaires tels que la dysurie (douleur ou brûlure pendant la miction), la pollakiurie (mictions fréquentes), les douleurs abdominales ou lombaires, et la fièvre. Les bactéries les plus couramment associées à la bactériurie symptomatique sont Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, Proteus mirabilis et Staphylococcus saprophyticus.

Le diagnostic de bactériurie est établi en analysant un échantillon d'urine pour la présence de bactéries. Le traitement dépend du type de bactérie identifiée et de la gravité de l'infection. Les antibiotiques sont généralement utilisés pour traiter les infections des voies urinaires associées à la bactériurie. Cependant, une utilisation excessive ou inappropriée d'antibiotiques peut entraîner une résistance aux antibiotiques et des récidives d'infections. Par conséquent, il est important de suivre les recommandations du médecin pour le traitement et la prévention des infections des voies urinaires associées à la bactériurie.

L'obstruction urétrale est un problème médical qui se produit lorsqu'il y a une obstruction partielle ou complète dans l'urètre, le canal qui transporte l'urine de la vessie à l'extérieur du corps. Cette obstruction peut être causée par divers facteurs, tels que des calculs rénaux, une hypertrophie de la prostate, un rétrécissement de l'urètre, des tumeurs ou des inflammations.

Les symptômes courants d'une obstruction urétrale comprennent une difficulté ou une douleur à uriner, une diminution du débit urinaire, une augmentation de la fréquence des mictions, une sensation de vidange incomplète de la vessie, une urine trouble ou malodorante, et dans les cas graves, une rétention urinaire complète.

Le traitement de l'obstruction urétrale dépend de sa cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments pour réduire la taille des calculs rénaux ou soulager l'inflammation, une intervention chirurgicale pour enlever les tumeurs ou élargir le rétrécissement de l'urètre, ou un cathéter pour contourner l'obstruction et permettre à l'urine de s'écouler. Dans les cas graves, une intervention d'urgence peut être nécessaire pour prévenir des complications telles que des infections urinaires sévères ou une insuffisance rénale.

La cystite interstitielle (CI) est un trouble de la vessie douloureux et souvent invalidant qui affecte principalement les femmes. Il s'agit d'une inflammation de la paroi vésicale sans infection bactérienne ou fongique détectable. Les symptômes courants de la CI incluent des douleurs ou des brûlures pendant la miction, une envie fréquente et urgente d'uriner, même lorsque la vessie n'est pas pleine, et des douleurs abdominales ou pelviennes.

La cause exacte de la CI est inconnue, mais on pense qu'elle peut être liée à une perméabilité accrue de la paroi vésicale, permettant aux substances toxiques du liquide urinaire d'irriter la vessie. D'autres facteurs peuvent également contribuer au développement de la CI, tels que des lésions de la muqueuse vésicale, une réponse immunitaire excessive, une altération du système nerveux ou une prédisposition génétique.

Le diagnostic de la CI peut être difficile et nécessite généralement l'exclusion d'autres affections urinaires telles que les infections des voies urinaires, les tumeurs vésicales et les maladies inflammatoires pelviennes. Les tests diagnostiques peuvent inclure une cystoscopie, une biopsie de la vessie et un test de provocation hydrodistension de la vessie.

Le traitement de la CI dépend des symptômes individuels et peut inclure des médicaments pour soulager la douleur et réduire l'inflammation, des modifications du régime alimentaire pour éviter les déclencheurs alimentaires, des techniques de relaxation et des thérapies comportementales pour gérer le stress et l'anxiété. Dans certains cas, des procédures médicales telles que l'instillation vésicale ou la neuromodulation peuvent être recommandées.

La cystoscopie est un examen diagnostique et parfois thérapeutique utilisé en urologie. Il consiste à introduire un cystoscope, un tube fin muni d'une lumière et d'une lentille, dans la vessie via l'urètre. Cela permet au médecin d'examiner directement la muqueuse de la vessie et de l'urètre à la recherche de toute anomalie telle que des lésions, des tumeurs, des calculs vésicaux, des inflammations ou des irritations. La cystoscopie peut également être utilisée pour effectuer certaines interventions telles que la réalisation de biopsies ou le traitement de petites lésions. C'est une procédure invasive qui nécessite généralement une anesthésie locale ou générale.

Les « maladies du vagin » est un terme général qui fait référence à diverses conditions médicales affectant le vagin, la cavité musculo-membraneuse qui se trouve dans le bassin femelle et relie les organes reproducteurs féminins au monde extérieur. Les affections courantes du vagin comprennent :

1. Vaginite: une inflammation du vagin, souvent accompagnée de démangeaisons, de brûlures, d'écoulements anormaux et de douleurs pendant les rapports sexuels. Les causes courantes de vaginite comprennent les infections (par exemple, la candidose, la trichomonase), les irritants chimiques et l'atrophie vaginale.

2. Vaginose bactérienne: un déséquilibre de la flore bactérienne normale du vagin, entraînant une augmentation des bactéries anaérobies et une diminution des lactobacilles protecteurs. La vaginose bactérienne est souvent associée à des pertes vaginales malodorantes et grisâtres.

3. Dyspareunie: douleur pendant les rapports sexuels, qui peut être causée par divers facteurs, notamment l'insuffisance lubrification, les infections, les cicatrices ou les adhérences après une intervention chirurgicale, des affections cutanées vulvaires et des maladies inflammatoires pelviennes.

4. Vulvodynie: douleur chronique dans la région vulvaire (y compris le vagin) sans cause évidente. La vulvodynie peut être localisée ou généralisée, aiguë ou chronique et peut être associée à des démangeaisons, des brûlures et une sensibilité accrue dans la région affectée.

5. Prolapsus génital: descente d'un ou plusieurs organes pelviens (par exemple, le vagin, l'utérus, la vessie) vers l'intérieur ou à travers le vagin en raison de la faiblesse des muscles et du tissu conjonctif qui soutiennent ces organes.

6. Cancérogénèse: développement de tumeurs malignes dans le vagin, qui peuvent être primaires (origine du vagin) ou secondaires (propagation d'autres cancers). Les facteurs de risque comprennent l'exposition au virus du papillome humain (VPH), le tabagisme, l'utilisation antérieure de médicaments diéthylstilbestrol (DES) et l'âge avancé.

Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous présentez des symptômes ou des préoccupations concernant votre santé vaginale, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les résultats et réduire le risque de complications.

L'hématurie est un terme médical qui décrit la présence de sang dans l'urine. Cette condition peut être visible à l'œil nu, on parle alors d'hématurie macroscopique ou microscopique si le sang n'est détectable qu'au microscope lors d'une analyse d'urine. L'hématurie peut être le signe de diverses affections, allant des infections des voies urinaires à des maladies rénales plus graves, telles que les tumeurs cancéreuses. Des facteurs tels qu'une activité physique intense, des traumatismes ou certaines médications peuvent également provoquer une hématurie. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez du sang dans votre urine pour en déterminer la cause et recevoir un traitement approprié.

La gonorrhée, également connue sous le nom de blennorragie, est une infection sexuellement transmissible (IST) causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae. Elle peut affecter les muqueuses génitales, anales et orales. Les symptômes courants chez l'homme comprennent un écoulement urétral purulent ou jaunâtre, une dysurie (douleur ou brûlure en urinant) et parfois des douleurs testiculaires. Chez la femme, les symptômes peuvent être plus discrets, avec un écoulement vaginal anormal, des douleurs abdominales basses ou une dyspareunie (douleur pendant les rapports sexuels). Cependant, de nombreuses femmes infectées ne présentent aucun symptôme.

La gonorrhée non traitée peut entraîner des complications graves, telles que l'infertilité chez l'homme et la femme, une maladie inflammatoire pelvienne (MIP) chez la femme et une épididymite chez l'homme. De plus, elle augmente le risque de contracter d'autres IST, y compris le VIH. Le traitement repose généralement sur une combinaison d'antibiotiques, tels que la ceftriaxone et l'azithromycine. Cependant, la résistance aux antibiotiques est un problème croissant dans le traitement de la gonorrhée, ce qui rend indispensable le dépistage et le traitement précoces.

L'urétrite est un terme médical qui décrit l'inflammation de l'urètre, le canal qui transporte l'urine de la vessie à l'extérieur du corps. Les symptômes courants d'une urétrite comprennent une douleur ou une sensation de brûlure en urinant, un écoulement anormal (purulent ou non) provenant de l'urètre, et dans certains cas, des douleurs abdominales ou pelviennes.

L'urétrite peut être causée par divers facteurs, y compris des infections sexuellement transmissibles (IST) telles que la gonorrhée et la chlamydia, ainsi que d'autres types d'infections bactériennes, virales ou fongiques. Dans certains cas, l'urétrite peut également être causée par des irritants chimiques ou traumatismes mécaniques.

Le diagnostic de l'urétrite implique généralement un examen physique et des tests de laboratoire pour identifier la cause sous-jacente de l'inflammation. Le traitement dépendra de la cause spécifique de l'inflammation et peut inclure des antibiotiques, des antiviraux ou d'autres médicaments pour soulager les symptômes. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous pensez souffrir d'urétrite, car une intervention précoce et un traitement approprié peuvent aider à prévenir des complications telles que des infections de la prostate ou des épididymites.

Les anti-infectieux urinaires sont des médicaments utilisés pour prévenir ou traiter les infections des voies urinaires (IVU). Ils agissent en éliminant ou en inhibant la croissance des bactéries dans l'urine. Les antibiotiques sont les anti-infectieux urinaires les plus couramment prescrits, bien que certains médicaments antifongiques et antiviraux puissent également être utilisés dans des cas spécifiques.

Les antibiotiques les plus fréquemment utilisés pour traiter les IVU sont la triméthoprime/sulfaméthoxazole (Bactrim, Septra), la nitrofurantoïne (Macrobid, Furadantin) et la fosfomycine (Monurol). La durée du traitement dépend de la gravité de l'infection et de la santé globale du patient.

Il est important de noter que tous les antibiotiques ne sont pas efficaces contre tous les types de bactéries, c'est pourquoi il est crucial d'identifier le type de bactérie à l’origine de l’infection avant de prescrire un traitement. De plus, l'utilisation excessive ou inappropriée des antibiotiques peut entraîner une résistance bactérienne, ce qui rend plus difficile le traitement des infections à l'avenir.

L'urètre est un canal musculo-membraneux qui sert de conduit pour l'évacuation des urines et du sperme. Chez les hommes, il mesure environ 20 centimètres de longueur et passe par la prostate et le pénis pour évacuer l'urine hors du corps. Chez les femmes, il est beaucoup plus court, mesurant environ 4 centimètres de longueur, et sert uniquement à évacuer l'urine hors du corps en passant par le vestibule vulvaire. L'urètre peut être affecté par diverses affections médicales, telles que les infections des voies urinaires, les calculs rénaux, les rétrécissements de l'urètre et le cancer de la prostate chez les hommes.

Trichomonas vaginalis est un parasite flagellé qui cause une infection sexuellement transmissible courante appelée trichomonase. Il se transmet généralement d'une personne à l'autre par contact sexuel. Chez les femmes, cette infection peut provoquer une irritation, un gonflement et un écoulement vaginaux anormaux, souvent avec une odeur désagréable. Chez les hommes, elle peut provoquer une irritation au niveau du pénis. Beaucoup d'hommes et de femmes qui ont des infections à Trichomonas vaginalis ne présentent aucun symptôme et ne se rendent pas compte qu'ils en sont atteints.

Ce parasite peut être tué avec un traitement médicamenteux, généralement une dose unique d'un antibiotique appelé métronidazole ou tinidazole. Il est important que les deux partenaires sexuels soient traités en même temps pour éviter de se réinfecter mutuellement. Le préservatif peut aider à prévenir la propagation de l'infection, mais il ne garantit pas une protection complète car le parasite peut être présent dans d'autres zones que le préservatif ne couvre pas.

La vessie urinaire est un organe musculo-membraneux situé dans la cavité pelvienne, qui stocke l'urine produite par les reins jusqu'à ce qu'elle soit éliminée du corps par le processus de miction. C'est un réservoir flexible qui peut s'étirer pour accueillir environ 500 ml d'urine. La paroi de la vessie est composée de plusieurs couches, dont la muqueuse, la sous-muqueuse, la musculeuse et l'adventice.

La capacité de la vessie à se détendre et à se contracter est contrôlée par le système nerveux autonome. Pendant le remplissage de la vessie, les récepteurs d'étirement envoient des signaux au cerveau pour maintenir la relaxation du muscle detrusor de la vessie. Une fois que la quantité d'urine dans la vessie atteint un certain niveau, le cerveau active le muscle detrusor pour contracter et provoquer l'envie d'uriner.

La dysfonction de la vessie urinaire peut entraîner des symptômes tels que des mictions fréquentes, une urgence à uriner, une incontinence urinaire ou une rétention urinaire. Ces problèmes peuvent être causés par divers facteurs, y compris des dommages aux nerfs, des troubles musculaires, des infections des voies urinaires, des calculs vésicaux, des tumeurs ou des maladies neurologiques sous-jacentes.

L'urine est un liquide biologique généralement stérile produit par les reins, qui ont pour fonction d'éliminer les déchets et l'excès de liquide du sang. Les reins filtrent le sang, retiennent les substances utiles telles que les glucides, les protéines, les sels minéraux et l'eau, et évacuent les déchets sous forme d'urine.

La composition de l'urine comprend principalement de l'eau, ainsi que des déchets tels que l'urée, la créatinine, l'acide urique et d'autres composés azotés, qui sont les produits finaux du métabolisme des protéines. L'urine peut également contenir des pigments comme l'urobiline et la bilirubine, ainsi que des électrolytes (sodium, potassium, chlore, calcium) et d'autres substances en petites quantités.

La couleur de l'urine varie du jaune pâle au jaune foncé, selon le volume d'eau consommée et la concentration des déchets dans l'urine. Une urine plus claire et diluée est généralement le signe d'une bonne hydratation, tandis qu'une urine plus concentrée et foncée peut indiquer une déshydratation ou la présence de certaines affections médicales.

La production quotidienne d'urine chez un adulte en bonne santé se situe généralement entre 800 et 2000 millilitres, selon la quantité de liquide consommée et les besoins du corps.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

La chlamydia trachomatis est un type de bactérie responsable d'infections sexuellement transmissibles (IST) courantes. Elle peut également causer une infection oculaire appelée trachome, qui est la principale cause de cécité d'origine infectieuse dans le monde.

L'infection à chlamydia trachomatis peut affecter plusieurs parties du corps, notamment :

1. Le col de l'utérus et le vagin chez les femmes : une infection non traitée peut entraîner des complications graves telles que la maladie inflammatoire pelvienne (MPI), qui peut endommager les trompes de Fallope et provoquer l'infertilité.
2. L'urètre chez les hommes : une infection non traitée peut entraîner des complications telles que l'épididymite, une inflammation des conduits transportant le sperme depuis les testicules, qui peut également provoquer l'infertilité.
3. Les yeux : le trachome est une infection oculaire causée par la chlamydia trachomatis et est particulièrement fréquent dans les régions où l'hygiène est insuffisante. Le trachome peut entraîner des cicatrices sur la paupière, ce qui provoque une déformation de la paupière (entropion) et expose la cornée à des frottements répétés avec les cils, entraînant une inflammation chronique et éventuellement la cécité.
4. Le rectum : l'infection à chlamydia trachomatis peut également affecter le rectum, provoquant des symptômes tels que des douleurs, des saignements et un écoulement muqueux.

Le dépistage et le traitement précoces de l'infection à chlamydia trachomatis sont essentiels pour prévenir les complications graves. Le traitement repose généralement sur une antibiothérapie par voie orale, comme l'azithromycine ou la doxycycline. Les partenaires sexuels doivent également être dépistés et traités pour éviter la réinfection.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

La miction est le processus par lequel l'organisme élimine les déchets liquides contenus dans l'urine, à travers la vessie et l'urètre. C'est un processus normal et naturel qui se produit lorsque les muscles de la vessie se contractent, forçant l'urine à sortir du corps par l'urètre. La miction est également appelée « faire pipi » ou « uriner ». Il est important de noter que des problèmes de miction peuvent survenir en raison de diverses affections médicales, telles que les infections des voies urinaires, l'hypertrophie de la prostate et le diabète. Si vous rencontrez des difficultés ou des changements dans votre routine de miction, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des soins médicaux appropriés.

Je suis désolé, "Histoire du 19" ne semble pas être une terminologie médicale établie. Le terme "histoire" dans un contexte médical se réfère généralement à l'histoire de la santé d'un patient, y compris ses antécédents médicaux, ses symptômes actuels, ses allergies et son mode de vie. Le chiffre "19" pourrait faire référence à une certaine procédure, diagnostic ou événement médical spécifique lié à l'année 2019. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise pour "Histoire du 19". Il serait préférable d'obtenir des éclaircissements sur ce terme à partir de la source qui l'a utilisé.

... et la dysurie de poussée, parfois terminale. Cette dysurie peut s'accompagner d'une diminution de la force du jet, d'un ... La dysurie est la difficulté à l'évacuation de l'urine, sans tenir compte de la douleur qui peut être associée. Elle est ... On décrit la dysurie d'attente, initiale au début de la miction (l'urine sort difficilement avec un délai de quelques secondes ... À la suite d'une dysurie, la vessie va subir des changements pour une compensation de l'obstacle qui bloque le libre cours des ...
Rétention urinaire chronique : pesanteur pelvienne ; pollakiurie ; dysurie ; jet de mauvaise qualité ; sensation de mauvaise ...
Dysurie, rétention aigüe d'urines. Goût métallique dans la bouche, douleurs dentaires, sensation de dents qui se déchaussent, ... Le sexe : les hommes souffrent plus souvent de diarrhée, de douleurs abdominales et de dysurie ; les femmes souffrent plus ...
... dysurie) ; miction à des endroits inappropriés ou sur le sol du logement (périurie). Certains de ces symptômes peuvent exprimer ...
... dysurie (difficultés à la miction) ; brûlures mictionnelles ; hématurie (présence de sang dans les urines). Il n'y a ni fièvre ...
... dysurie ; fièvre élevée (39 °C ou plus), inconstante, frissons ; douleur de l'hypochondre droit (syndrome de Fitz-Hugh-Curtis ...
L'impression de devoir forcer pour uriner (« dysurie »). L'impression de ne pas vider complètement sa vessie, et de devoir y ...
En cas d'urétrite avérée, il existe une dysurie. Des signes plus discrets comme une goutte matinale ou une méatite peuvent être ...
Des signes urinaires peuvent être un point d'appel : dysurie, rétention. Le diagnostic peut être étayé par l'imagerie : ...
L'indication thérapeutique est le traitement des dysuries. Elle est administrée sous forme d'une tisane. Cette drogue ne figure ...
La Pharmacopée Ayurvédique d'Inde recommande les inflorescences mâles pour la dysurie. Plante providentielle par excellence, ...
On observe des troubles urinaires : polyurie (urines abondantes), dysurie (difficulté à uriner). Il existe un ralentissement ...
Certaines personnes souffrent de dysurie et de douleurs au bas du dos. Dans la néphrite tubulo-interstitielle chronique, le ...
Poupée-Desportes recommande l'émulsion de l'amande dans la dysurie , et Chevalier l'indique comme alexitère. Il n'est pas plus ...
La dysurie est majeure, les accès de fièvre fréquents ainsi que les pertes de connaissance. Les jambes gonflées font parler ...
... par opposition aux troubles de la phase d'évacuation comme la dysurie et la rétention vésicale. Il existe de nombreuses ...
... à la dysurie et strangurie. L'âge augmentait le risque d'inconfort vulvaire. 50,9 % de ces pratiquantes du vélo ont déclaré au ... une dysurie, une strangurie, un engourdissement génital et une gêne vulvaire étaient ressentis chez respectivement 8,8 %, 22,2 ...
Cela s'accompagne souvent de dysurie, d'anurie ou au contraire, de polyurie et enfin de nycturie. Dans le cas d'un lymphocèle à ...
... une dysurie). Le meilleur examen explorant la moelle est l'IRM médullaire, qui doit être réalisée en première intention en cas ...
anurie dysurie Incontinence urinaire nycturie oligurie parurésie pollakiurie polyurie rétention aiguë urgenturie urologie (en) ...
Poudre de haute pureté Nobiletin (Nobirex® PMF90) pour la dysurie Essais cliniques sur l'efficacité et la sécurité. 原著論文 診療と新薬 ...
... dysurie, phimosis, ou larmoiement. Les patients peuvent avoir des difficultés d'apprentissage et un retard mental. La ...
La patiente se plaint de prurit, dysurie externe, d'écoulement vaginal blanchâtre (laiteux avec grumeaux), dyspareunie au ...
... dysurie en cas d'hypertrophie bénigne de la prostate, aggravation d'un glaucome préexistant, sécheresse buccale et infection ...
... dysurie). Il n'y a habituellement pas d'insuffisance rénale, l'atteinte étant unilatérale. Idéalement, on retrouve la pierre ...
... dysurie), douleur vésicale), une agitation, une anxiété. 3 à 10 % des cas de colique néphrétique ont des antécédents familiaux ...
... lutter contre le scorbut et de la dysurie. Elles renferment un pigment de la famille des anthocyanes, et des flavonols qui ont ...
... et dans le traitement de la dysurie. Le gombo a également été utilisé à l'Île de La Réunion. C'est ainsi que dans son journal, ...
... dysurie) ; un écoulement urétral clair ou purulent. Les bactéries les plus fréquemment retrouvées à l'origine des urétrites ...
... dysurie). un écoulement urétral clair ou purulent. la varicocèle est une importante dilatation variqueuse (varices) des veines ...
... et la dysurie de poussée, parfois terminale. Cette dysurie peut saccompagner dune diminution de la force du jet, dun ... La dysurie est la difficulté à lévacuation de lurine, sans tenir compte de la douleur qui peut être associée. Elle est ... On décrit la dysurie dattente, initiale au début de la miction (lurine sort difficilement avec un délai de quelques secondes ... À la suite dune dysurie, la vessie va subir des changements pour une compensation de lobstacle qui bloque le libre cours des ...
Causes de la dysurie. La miction douloureuse est provoquée le plus souvent par une infection ou dune inflammation quelque part ... En savoir plus sur Dysurie. La douleur peut être ressentie par lequel lurine sort du corps. Ou peut être ressenti à ... Diagnostic et essais de la dysurie. Le médecin procédera à un examen physique et poser des questions sur vos symptômes et les ...
Le terme dysurie est utilisé lorsque la miction est difficile, voire douloureuse. Origines du problème ? Solutions à envisager ... Dysurie : des symptômes à ne pas négliger. Si elle nest pas associée à des douleurs, la dysurie peut passer complètement ... Dysurie : quels dangers ?. La dysurie empêche de vider entièrement la vessie. Il reste donc un résidu urinaire qui nest pas ... Dysurie : quelles sont les causes dune difficulté à uriner ?. Les origines dune dysurie peuvent être très diverses et ne sont ...
Retrouvez sur VIDAL la liste des médicaments contenant la substance active Leuproréline : ELIGARD, ENANTONE
Retrouvez sur VIDAL la liste des médicaments contenant la substance active Clomipramine : ANAFRANIL, CLOMIPRAMINE (CHLORHYDRATE) VIATRIS
Dysurie : définition, causes et complications possibles. Irene. 20 août 2022. 20 août 2022. ...
DYSURIE et infections urinaires: Le cas de Madame B., 90 ans, déjà polymédiquée Actualité publiée le 03/09/2016 ... RÉTENTION, NYCTURIE, DYSURIE : Madame G, post-hystérectomie est déprimée Actualité publiée le 25/11/2016 ...
RÉTENTION, NYCTURIE, DYSURIE : Madame G, post-hystérectomie est déprimée Actualité publiée il y a 7 années 2 semaines ...
APREPITANT ACCORD posologie : découvrez les indications, pour grossesse, femme enceinte, bébé, enfant, alcool ainsi que lavis dun expert !
pollakiurie, rétention urinaire, dysurie Affections gravidiques, puerpérales et périnatales syndrome de sevrage médicamenteux ...
Dysuries = Douleurs urinaires (problèmes à la miction, infections à répétition…). Dyschésies et autres troubles intestinaux ( ...
Une dysurie (difficulté à uriner) ;. *Des douleurs abdominales (en particulier à la palpation) ; ...
Les troubles génito-sphinctériens sont quasi constants (97 %) et précoces [55]. Les patients présentent une dysurie, des ...
Les complications post-opératoires tardives sont à type de dysurie légère chez 2 patients. Cependant aucun cas dimpuissance ...
en cas de faiblesse du jet (dysurie) isolée : urétrographie, fibroscopie vésicale (rétrécissement urétral ?) ...
La dysurie se caractérise à linverse par des difficultés à uriner. Lorsque lon va aux toilettes, la miction est lente à ...
... dysurie, mictions impérieuses, douleur) non compliquée (3). Elles avaient toutes au moins 10 bactéries par ml et plus de 5 000 ...
Dysurie. Douleur rénale. Insuffisance rénale aiguë. Néphrite interstitielle. Affections des organes de reproduction et du sein ...
... généralement accompagnée de dysurie, ainsi quune perte de sécrétions muqueuses. Plaies précancéreuses. Certaines conditions ...
Prendre 5 gouttes sur la langue toutes les 10 mn tant que dure la dysurie. ...
Outre les effets indésirables connus des gliflozines (surtout troubles gastro-intestinaux, polyurie, dysurie, infections ...
Des douleurs urinaires (dysurie) ;. *Des douleurs abdominales ;. *Des douleurs lombaires irradiant dans les jambes. ...
Dysurie, polyurie, douleur lombaire. Infection urinaire. Placard rouge, chaud, douloureux. Erysipèle, cellulite, abcès ...
Phase de dysurie avec rétention chronique incomplète sans distension vésicale. Electrophorèse des ARN sur gel dénaturant de ...
  • Une synthèse méthodique réalisée par un groupe du Réseau Cochrane a recensé 15 essais randomisés évaluant différentes durées de traitement par antibiothérapie orale chez 1 644 femmes âgées majoritairement de plus de 60 ans, souffrant d'une infection urinaire basse aiguë symptomatique (dysurie, mictions impérieuses, douleur) non compliquée (3). (prescrire.org)
  • En conclusion du bilan, Monsieur G. présente une incontinence urinaire d'effort après prostatectomie, une dysurie t une hyposensibilité detrusorienne. (santelog.com)
  • La dysurie se caractérise à l'inverse par des difficultés à uriner. (sphere-sante.com)
  • Cependant son bilan urodynamique révèle à la fois cette incontinence d'effort, mais aussi une dysurie ou difficulté à uriner, une nycturie et une hyposensibilité detrusorienne. (santelog.com)
  • On décrit la dysurie d'attente, initiale au début de la miction (l'urine sort difficilement avec un délai de quelques secondes) et la dysurie de poussée, parfois terminale. (wikipedia.org)
  • Cette dysurie peut s'accompagner d'une diminution de la force du jet, d'un allongement du temps de la miction. (wikipedia.org)
  • La durée d'une miction normale varie de 30 à 35 secondes, en dysurie elle peut atteindre 1 minute. (wikipedia.org)
  • En effet, cette dernière étant un organe musculaire, si sa capacité de contraction n'est pas satisfaisante, il en résultera des difficultés à la miction, et donc, une dysurie. (gentlecath.com)
  • Les principaux symptômes de la cystite comprennent : une envie fréquente d'uriner (pollakiurie), un besoin impérieux d'uriner (urgenturie) et des douleurs ou des brûlures lors de la miction (dysurie). (feeli.io)
  • La dysurie est la difficulté à l'évacuation de l'urine, sans tenir compte de la douleur qui peut être associée. (wikipedia.org)
  • À la suite d'une dysurie, la vessie va subir des changements pour une compensation de l'obstacle qui bloque le libre cours des urines de l'extérieur. (wikipedia.org)
  • Les origines d'une dysurie peuvent être très diverses et ne sont pas les mêmes chez les femmes et chez les hommes. (gentlecath.com)
  • La raison la plus fréquente d'une dysurie chez l'homme est une augmentation bénigne de la taille de la prostate . (gentlecath.com)
  • Il est également possible que la dysurie féminine trouve son origine dans un dysfonctionnement de la vessie. (gentlecath.com)
  • Il arrive parfois qu'une mauvaise synchronisation entre la contraction de la vessie et la décontraction du sphincter soit à l'origine de la dysurie. (gentlecath.com)
  • La dysurie empêche de vider entièrement la vessie. (gentlecath.com)
  • Cela lui permettra de diagnostiquer une dysurie initiale, totale ou terminale . (gentlecath.com)
  • Les complications post-opératoires tardives sont à type de dysurie légère chez 2 patients. (urofrance.org)
  • Lorsque cette évacuation est difficile, on parle de dysurie, un trouble qui peut toucher les hommes comme les femmes. (gentlecath.com)
  • Chez les hommes, la plainte mictionnelle la plus fréquemment rencontrée en cas d'IU est la dysurie. (medscape.com)
  • À la suite d'une dysurie, la vessie va subir des changements pour une compensation de l'obstacle qui bloque le libre cours des urines de l'extérieur. (wikipedia.org)
  • Les plaies vésicales sont exceptionnelles mais il existe un risque de dysurie, d'urgence mictionnelle ou d'infection. (medscape.com)
  • Il déclare ne présenter aucune dysurie, impériosité mictionnelle, nausées ou vomissements. (medscape.com)
  • En cas d'urétrite avérée, il existe une dysurie. (dermacab.net)
  • Après traitement et résolution du spasme chronique et de la contraction myofasciale des muscles pelviens, la dysurie disparait chez la plupart de nos patients. (pelvicpainhelp-japanese.com)