Encéphalite Limbique
Encéphalite
Syndromes Neurologiques Paranéoplasiques
Syndrome D'Isaacs-Mertens
Syndromes Paranéoplasiques
Encéphalite
Encéphalite
Encéphalite Japonaise
Virus Encéphalite Japonaise
Confusion
Polynévrite Paranéoplasique
Syringomyélie
Système Limbique
Canaux Potassiques Voltage-Dépendants
Encéphalite
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Virus Encéphalite
Encyclopedias as Topic
Maladie Du Système Nerveux Central
L'encéphalite limbique, également connue sous le nom d'encéphalite de Rasmussen ou de syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter, est une forme rare d'inflammation du cerveau qui affecte principalement les structures limbiques, y compris l'amygdale, l'hippocampus et le cortex cingulaire. Cette condition peut être causée par une infection virale, une maladie auto-immune ou parfois sans cause apparente (idiopathique).
Les symptômes de l'encéphalite limbique peuvent inclure des changements de comportement et de personnalité, des crises épileptiques, des hallucinations, des troubles de la mémoire à court terme, une désorientation, une agitation, un état confusionnel et dans certains cas, une altération du niveau de conscience allant jusqu'au coma.
Le diagnostic de l'encéphalite limbique est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen neurologique détaillé, de tests d'imagerie cérébrale tels que l'IRM et de l'analyse du liquide céphalo-rachidien. Le traitement peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs, des antiviraux et des médicaments antiépileptiques pour contrôler les crises. Dans certains cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour retirer les zones du cerveau qui sont gravement endommagées.
L'encéphalite est une affection médicale grave caractérisée par l'inflammation du cerveau. Elle est souvent causée par une infection virale, bien que d'autres facteurs tels que des troubles auto-immuns ou des réactions à un vaccin puissent également en être la cause. Les symptômes de l'encéphalite peuvent varier mais comprennent souvent des maux de tête sévères, une fièvre, une confusion, des convulsions, des hallucinations, des troubles de la parole et de la mémoire, ainsi que des mouvements anormaux. Dans les cas graves, l'encéphalite peut entraîner des dommages permanents au cerveau, des handicaps physiques ou mentaux, voire le décès. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiviraux, des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.
Les syndromes neurologiques paranéoplasiques (SNPN) sont un groupe hétérogène de troubles neurologiques rares associés à des processus néoplasiques sous-jacents. Ils se produisent généralement avant le diagnostic du cancer et peuvent être le premier signe de la maladie. Les SNPN sont causés par une réponse auto-immune anormale contre les antigènes tumoraux qui sont également présents dans certains tissus nerveux sains.
Les SNPN peuvent affecter le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou le système nerveux périphérique (nerfs et muscles). Les symptômes varient en fonction de la région du système nerveux touchée, mais ils peuvent inclure des troubles cognitifs, des mouvements anormaux, des problèmes sensoriels, des faiblesses musculaires, des douleurs neuropathiques et des crises épileptiques.
Les cancers les plus fréquemment associés aux SNPN sont le cancer du poumon à petites cellules, les lymphomes, les tumeurs ovariennes et les tumeurs thymiques. Le diagnostic de SNPN repose sur une combinaison d'examens neurologiques, radiologiques et biologiques, y compris la détection d'auto-anticorps spécifiques dans le sang.
Le traitement des SNPN implique généralement une thérapie agressive contre la tumeur sous-jacente, ainsi qu'une prise en charge symptomatique des complications neurologiques. Dans certains cas, des immunosuppresseurs ou des plasmaphérèses peuvent être utilisés pour contrôler l'activité auto-immune.
Le syndrome d'Isaacs-Mertens, également connu sous le nom de syndromes neuromyotoniques congénitaux ou maladie de Isaacs, est une maladie neuromusculaire rare et héréditaire. Il est caractérisé par des contractions musculaires involontaires (myoclonies), une rigidité musculaire accrue (hypertonie) et une hyperexcitabilité neuronale qui entraîne des fasciculations, des crampes et des douleurs musculaires. Les patients peuvent également présenter une sudation excessive (hyperhidrose), une insensibilité à la douleur et des anomalies du réflexe tendineux.
Le syndrome d'Isaacs-Mertens est causé par des mutations dans le gène CNTN1, qui code pour la protéine contactin-1, importante pour la communication entre les neurones. Cette maladie se manifeste généralement à la naissance ou dans l'enfance et peut être associée à d'autres anomalies congénitales. Le diagnostic est posé sur la base des antécédents cliniques, de l'examen physique et des résultats des tests électromyographiques (EMG) et génétiques.
Le traitement du syndrome d'Isaacs-Mertens vise à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie des patients. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments anticonvulsivants, des relaxants musculaires, des anesthésiques locaux et des traitements physiques tels que la kinésithérapie et l'hydrothérapie.
Les syndromes paranéoplasiques sont un ensemble de symptômes et de signes qui se manifestent chez les patients atteints de cancer, mais qui ne sont pas directement liés à la tumeur elle-même ou à sa propagation (métastases). Ils sont plutôt dus à des substances chimiques libérées par les cellules cancéreuses dans le sang, appelées facteurs paranéoplasiques. Ces facteurs peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, provoquant une grande variété de symptômes allant de troubles neurologiques, endocriniens, cutanés, rhumatologiques à des problèmes cardiovasculaires et respiratoires.
Les syndromes paranéoplasiques peuvent précéder le diagnostic du cancer principal, ce qui peut aider au dépistage précoce de la maladie. Ils sont souvent réversibles avec un traitement approprié du cancer sous-jacent. Cependant, certains syndromes paranéoplasiques peuvent persister même après le traitement réussi du cancer, en fonction de la gravité et de la durée d'exposition aux facteurs paranéoplasiques.
Exemples courants de syndromes paranéoplasiques incluent le syndrome de Lambert-Eaton associé au petit cancer du poumon, l'encéphalomyélite myalgique associée au cancer du sein, le syndrome de Cushing dû à un adénome pulmonaire à cellules corticotropes et le purpura thrombocytopénique immunologique associé aux lymphomes.
La encéphalite japonaise est une inflammation aiguë des membranes (méninges) qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière, provoquée par l'infection du virus de l'encéphalite japonaise. Ce virus est transmis à l'homme principalement par la piqûre de moustiques infectés, généralement du genre Culex. Les symptômes peuvent inclure une brusque apparition de fièvre, des maux de tête, des nausées et des vomissements, suivis de troubles neurologiques tels que des convulsions, une paralysie, une altération du niveau de conscience allant jusqu'au coma dans les cas graves. La maladie peut entraîner des séquelles neurologiques permanentes et a un taux de mortalité estimé à environ 30% chez les personnes atteintes. Il n'existe actuellement pas de traitement spécifique contre le virus, mais des soins de soutien peuvent être prodigués pour atténuer les symptômes et prévenir les complications. La prévention repose sur la lutte antivectorielle (lutte contre les moustiques) et la vaccination dans les zones à risque.
La encéphalite japonesa es una inflamación del cerebro causada por un virus. Este virus se transmite principalmente a través de mosquitos infectados, especialmente el mosquito Culex tritaeniorhynchus. La enfermedad es llamada "japonesa" porque fue identificada por primera vez en Japón en la década de 1920.
Los síntomas más comunes de la encéphalitis japonesa incluyen fiebre, dolor de cabeza, rigidez del cuello, convulsiones y debilidad muscular. En casos graves, puede causar complicaciones como inflamación del cerebro (encefalitis), meninges (meningitis) o both (meningoencephalitis), coma e incluso la muerte.
El virus se encuentra principalmente en Asia, especialmente en áreas rurales y durante la estación húmeda. Las personas que viven en o viajan a áreas donde el virus es común corren el riesgo de infectarse. No existe un tratamiento específico para la encéphalitis japonesa, y el tratamiento se centra en aliviar los síntomas y brindar soporte de apoyo. La prevención incluye el uso de repelente de mosquitos, ropa protectora y vacunas disponibles en algunos países asiáticos.
La confusion est un terme médical décrivant un état mental dans lequel une personne a du mal à penser clairement, à se concentrer, à se souvenir, ou à agir de manière appropriée. Elle peut être caractérisée par des idées ou des croyances irrationnelles, des réponses inadaptées, un manque d'attention, une mauvaise orientation dans le temps et l'espace, et des discours désorganisés. La confusion peut résulter de divers facteurs, tels que les infections, les traumatismes crâniens, les effets secondaires de médicaments, les maladies métaboliques, ou les troubles mentaux graves. Il est important de consulter un médecin si une personne présente des signes de confusion, car cela peut être le signe d'un problème de santé sous-jacent grave qui nécessite une attention médicale immédiate.
La polynévrite paranéoplasique est un type de neuropathie périphérique qui se développe comme une complication d'un cancer sous-jacent. Elle est causée par la production d'auto-anticorps ou de facteurs de croissance anormaux par le système immunitaire en réponse au cancer. Ces auto-anticorps attaquent les nerfs périphériques, provoquant une inflammation et une dégénérescence des fibres nerveuses.
Les symptômes de la polynévrite paranéoplasique peuvent inclure une faiblesse musculaire, une perte de sensibilité, des douleurs neuropathiques, des picotements ou un engourdissement dans les mains et les pieds. Ces symptômes peuvent précéder le diagnostic du cancer sous-jacent ou apparaître après le début du traitement du cancer.
La polynévrite paranéoplasique peut être associée à plusieurs types de cancers, tels que les petits cellules du poumon, le cancer du sein, le lymphome, la leucémie et d'autres tumeurs malignes. Le traitement de la polynévrite paranéoplasique implique généralement le traitement du cancer sous-jacent, ainsi que des thérapies de soutien pour gérer les symptômes neuropathiques.
La syringomyélie est une affection médullaire caractérisée par la présence d'une cavité ou d'un kyste rempli de liquide céphalo-rachidien (LCR) dans la moelle épinière. Cette cavité, appelée syrinx, peut entraîner une dégénérescence progressive et une destruction de la substance grise et blanche de la moelle épinière.
La syringomyélie est souvent associée à des malformations congénitales du rachis, comme la malformation d'Arnold-Chiari ou certaines anomalies de la jonction cranio-vertébrale. Elle peut également être secondaire à une lésion traumatique de la moelle épinière, une tumeur, une méningite, une arachnoïdite ou d'autres processus pathologiques qui perturbent la circulation du LCR dans le canal épidural ou la moelle épinière.
Les symptômes courants de la syringomyélie incluent des douleurs neuropathiques, une faiblesse musculaire, des troubles sensitifs (diminution ou perte de la sensation thermique et tactile fine, avec conservation de la sensibilité profonde), des troubles sphinctériens, des fasciculations et une atrophie musculaire. L'évolution de la maladie est généralement progressive, entraînant une détérioration neurologique significative au fil du temps si elle n'est pas traitée.
Le diagnostic de syringomyélie repose sur l'imagerie médicale, en particulier l'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), qui permet de visualiser la cavité syringomyliaque dans la moelle épinière. Le traitement peut inclure une décompression chirurgicale de la jonction cranio-cervicale, la création d'une dérivation pour drainer le syrinx ou la stabilisation de la colonne vertébrale en cas de lésion traumatique. Dans certains cas, une prise en charge symptomatique et des soins de réadaptation peuvent être nécessaires pour améliorer la qualité de vie du patient.
Les auto-anticorps sont des anticorps produits par le système immunitaire qui ciblent et attaquent les propres cellules, tissus ou molécules d'un organisme. Normalement, le système immunitaire est capable de distinguer entre les substances étrangères (antigènes) et les composants du soi, et il ne produit pas de réponse immunitaire contre ces derniers.
Cependant, dans certaines conditions, telles que les maladies auto-immunes, le système immunitaire peut commencer à produire des auto-anticorps qui attaquent et détruisent les tissus sains. Les auto-anticorps peuvent être dirigés contre une grande variété de substances, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et les glucides.
La présence d'auto-anticorps dans le sang peut indiquer une maladie auto-immune sous-jacente ou une autre condition médicale. Les tests de dépistage des auto-anticorps sont souvent utilisés pour aider au diagnostic et à la surveillance des maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie et la thyroïdite auto-immune.
Il est important de noter que la présence d'auto-anticorps ne signifie pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune ou va développer des symptômes associés à une telle maladie. Certains auto-anticorps peuvent être détectés chez des personnes en bonne santé, et d'autres conditions médicales peuvent également entraîner la production d'auto-anticorps. Par conséquent, les résultats des tests doivent être interprétés dans le contexte de l'histoire clinique et des symptômes du patient.
Le système limbique est un ensemble complexe de structures et de circuits neuronaux dans le cerveau qui jouent un rôle crucial dans diverses fonctions, y compris les émotions, la mémoire, l'odorat, le comportement de motivation et certaines fonctions végétatives telles que la respiration, la pression artérielle et la température corporelle. Il est situé près de la surface médiale des hémisphères cérébraux et est largement considéré comme la partie du cerveau qui contribue le plus à l'expérience subjective et à la régulation des émotions.
Le système limbique se compose principalement de plusieurs structures interconnectées, notamment l'hippocampus, l'amygdale, le fornix, le gyrus cingulaire, le septum et les noyaux de la base. L'hippocampus est crucial pour la formation et la consolidation des souvenirs à long terme, tandis que l'amygdale est responsable de l'évaluation émotionnelle des stimuli et de la modulation de la réponse comportementale en conséquence. Le gyrus cingulaire joue un rôle dans le traitement cognitif des émotions, tandis que le fornix est une voie de transmission importante pour les informations entre l'hippocampus et d'autres structures du cerveau.
Le système limbique est également étroitement lié à la régulation du système nerveux autonome, qui contrôle les fonctions involontaires du corps telles que la fréquence cardiaque, la respiration et la digestion. Les lésions ou les dysfonctionnements du système limbique peuvent entraîner des troubles émotionnels, de la mémoire et d'autres problèmes de santé mentale et physique.
Les canaux potassiques voltage-dépendants sont des protéines membranaires qui forment des pores dans la membrane cellulaire, permettant au ion potassium (K+) de se déplacer vers l'intérieur ou l'extérieur de la cellule. Ils sont appelés "voltage-dépendants" car leur activation ou inactivation est régulée par les changements du potentiel électrique à travers la membrane cellulaire.
Ces canaux jouent un rôle crucial dans la génération et la transmission des impulsions nerveuses, ainsi que dans la régulation de l'excitabilité des cellules excitables telles que les neurones et les muscles squelettiques. Les changements de potentiel électrique peuvent provoquer une modification de la conformation de la protéine du canal, ce qui entraîne l'ouverture ou la fermeture du pore, permettant ainsi le flux d'ions K+.
Les canaux potassiques voltage-dépendants sont classés en plusieurs sous-types en fonction de leurs propriétés pharmacologiques et moléculaires spécifiques. Les mutations dans les gènes codant pour ces canaux peuvent entraîner des maladies héréditaires telles que certaines formes de migraine, d'épilepsie, de paralysie périodique et de troubles du rythme cardiaque.
L'encéphalite de St. Louis est une forme d'encéphalite virale aiguë transmise par la piqûre de moustiques infectés, en particulier les espèces Culex. Le virus responsable est le virus de l'encéphalite de St. Louis (LSV), qui fait partie de la famille des Flaviviridae.
La maladie se manifeste généralement par une soudaine apparition de fièvre, de maux de tête, de nausées et de vomissements. Dans les cas plus graves, elle peut évoluer vers une méningite, une encéphalite ou une méningo-encéphalite, entraînant des symptômes neurologiques tels que confusion, désorientation, tremblements, convulsions et parfois coma.
La maladie est plus fréquente en été et au début de l'automne dans les zones rurales ou suburbaines où prévalent les moustiques infectés. Le diagnostic repose sur la détection du virus ou de ses anticorps dans le sang, le liquide céphalo-rachidien ou d'autres échantillons biologiques.
Il n'existe pas de traitement spécifique contre l'encéphalite de St. Louis, les soins étant principalement symptomatiques. La prévention repose sur la protection contre les piqûres de moustiques et la réduction des populations de ces insectes dans les zones à risque.
L'encéphalite virale est une inflammation du cerveau causée par un virus. Cette infection peut affecter les membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière (méningite) ainsi que le tissu cérébral, entraînant une variété de symptômes graves. Les symptômes courants peuvent inclure des maux de tête sévères, une fièvre élevée, une confusion mentale, des convulsions, des hallucinations, des troubles de la parole et du mouvement, ainsi qu'une sensibilité à la lumière vive.
De nombreux types de virus peuvent provoquer une encéphalite, notamment ceux transmis par les moustiques ou les tiques, ceux présents dans les matières fécales d'animaux et certains herpèsvirus. Le traitement dépend du type de virus identifié et peut inclure des soins de soutien, des médicaments antiviraux et, dans certains cas, une hospitalisation. La prévention est généralement axée sur la réduction de l'exposition aux vecteurs ou aux sources du virus, ainsi que sur la vaccination lorsqu'elle est disponible.
La encéphalite de Saint-Louis est une infection virale aiguë du cerveau qui est causée par le virus de l'encéphalite de Saint-Louis (SLEV). Ce virus appartient à la famille des flaviviridae et est transmis aux humains par la piqûre de moustiques infectés, en particulier les espèces Culex.
Les symptômes de l'encéphalite de Saint-Louis comprennent fièvre soudaine, maux de tête, nausées, vomissements, fatigue, faiblesse et douleurs musculaires. Dans les cas plus graves, la maladie peut évoluer vers une encéphalite, caractérisée par des troubles mentaux, des convulsions, une paralysie et même le coma.
Le diagnostic de l'encéphalite de Saint-Louis repose sur la détection du virus ou de ses antigènes dans le liquide céphalo-rachidien ou dans le sang, ainsi que sur l'analyse des anticorps spécifiques au virus.
Le traitement de l'encéphalite de Saint-Louis est principalement symptomatique et peut inclure des soins de soutien tels que la réhydratation, le contrôle de la fièvre et la gestion des convulsions. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour assurer une surveillance étroite et un traitement agressif.
La prévention de l'encéphalite de Saint-Louis repose sur la réduction de l'exposition aux moustiques infectés en utilisant des mesures telles que les répulsifs, les moustiquaires et les vêtements protecteurs, ainsi que sur la suppression des habitats de reproduction des moustiques. Il existe également un vaccin disponible pour prévenir l'encéphalite de Saint-Louis, qui est recommandé pour les personnes vivant dans ou voyageant dans des zones à haut risque.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
L'amnésie est un trouble de la mémoire caractérisé par l'incapacité de se souvenir d'informations importantes, généralement associées à des événements ou des expériences spécifiques de la vie. Il existe deux principaux types d'amnésie : l'amnésie rétrograde et l'amnésie antérograde.
L'amnésie rétrograde est la perte de mémoire pour des événements ou des informations qui ont été appris avant le début de l'amnésie. Par exemple, si une personne subit un traumatisme crânien et développe une amnésie rétrograde, elle peut ne pas être capable de se souvenir de sa vie avant l'accident.
L'amnésie antérograde, d'autre part, est la perte de mémoire pour les événements ou les informations qui ont été apprises après le début de l'amnésie. Par exemple, si une personne développe une amnésie antérograde à la suite d'une maladie, elle peut ne pas être capable de se souvenir des événements qui se sont produits après l'apparition de la maladie.
L'amnésie peut être causée par divers facteurs, notamment des traumatismes crâniens, des accidents vasculaires cérébraux, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales, l'abus d'alcool ou de drogues, et certaines maladies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer. Dans certains cas, l'amnésie peut être temporaire et s'améliorer avec le temps, tandis que dans d'autres cas, elle peut être permanente et irréversible.
Le traitement de l'amnésie dépend de la cause sous-jacente du trouble. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour aider à améliorer la fonction cognitive et la mémoire. La thérapie de réadaptation peut également être bénéfique pour aider les personnes atteintes d'amnésie à développer des stratégies d'adaptation et à compenser leurs pertes de mémoire.
La vaccine antiencéphalite japonaise (JEV) est un vaccin utilisé pour prévenir l'encéphalite japonaise, une infection virale aiguë du système nerveux central. Le virus de l'encéphalite japonaise est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique infecté.
Le vaccin JEV est généralement administré en deux doses, avec un intervalle de 28 jours entre les doses. Une dose de rappel peut être recommandée après un an pour les personnes qui restent à risque élevé d'exposition au virus. Le vaccin est considéré comme sûr et efficace pour prévenir l'encéphalite japonaise, bien que des réactions locales telles que la douleur, l'enflure et l' rougeur au site d'injection puissent survenir. Des réactions systémiques telles que la fièvre, les maux de tête et les fatigue sont également possibles, mais sont généralement légères à modérées.
Le vaccin JEV est recommandé pour les personnes qui voyagent ou vivent dans des zones où l'encéphalite japonaise est fréquente, telles que certaines parties de l'Asie du Sud-Est et de l'Est. Il est également recommandé pour les militaires et les travailleurs humanitaires qui sont déployés dans ces régions.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La maladie du système nerveux central (SNC) se réfère à un large éventail de troubles et de conditions qui affectent la fonction du cerveau et de la moelle épinière. Le système nerveux central est responsable de notre capacité à traiter les informations sensorielles, à réguler les fonctions corporelles automatiques telles que la respiration et le rythme cardiaque, ainsi que de notre capacité à réguler les mouvements volontaires et à avoir des pensées et des émotions.
Les maladies du système nerveux central peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux, des malformations congénitales, des maladies dégénératives et des expositions à des toxines environnementales. Les symptômes de ces maladies peuvent varier considérablement en fonction de la région du cerveau ou de la moelle épinière qui est affectée et de la gravité de la lésion ou de la maladie sous-jacente.
Les exemples courants de maladies du système nerveux central comprennent la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, l'épilepsie, la méningite, l'encéphalite, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs cérébrales. Le traitement de ces conditions dépend du type et de la gravité de la maladie sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une thérapie physique ou une combinaison de ces options.
La déméclocycline est un antibiotique de la classe des tétracyclines, utilisé pour traiter divers types d'infections bactériennes. Il fonctionne en inhibant la synthèse des protéines dans les bactéries, ce qui empêche leur croissance et leur reproduction.
La déméclocycline est souvent utilisée pour traiter les infections urinaires, la gonorrhée, la chlamydia, le psittacosis, la brucellose, l'infection à Bartonella et certaines formes de pneumonie. Elle peut également être utilisée dans le traitement de l'acné sévère et de l'hyperplasie réactionnelle des glandes salivaires.
Cependant, il est important de noter que la déméclocycline n'est pas couramment utilisée en raison de la disponibilité d'autres antibiotiques moins toxiques. L'un des effets secondaires importants de la déméclocycline est sa toxicité rénale, qui peut entraîner une insuffisance rénale aiguë. Par conséquent, son utilisation est généralement réservée aux cas où d'autres antibiotiques se sont avérés inefficaces.
Comme avec tous les médicaments, la déméclocycline doit être prise sous la supervision d'un médecin et selon les instructions prescrites.
Encéphalite limbique
Encéphalite limbique avec anticorps anti-récepteur N-méthyl-D-aspartate
Tératome
Encéphalite
Syndrome neurologique paranéoplasique
Récepteur NMDA
Brain on Fire (film)
Virus neurotrope
Hippocampe (cerveau)
Schizophrénie
Syndrome paranéoplasique
Sclérose en plaques
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Glossaire - Encyclopédie de l'environnement
Rarement1
- plus rarement à une encéphalite limbique, à une épilepsie réfractaire ou un opsomyoclonus. (symptoma.fr)
Syndrome2
- Une étude récente de 15 cas d'encéphalite limbique montre que l'augmentation des anticorps anti-canaux K+ VD est associée à l'absence de syndrome paranéoplasique et à la rémission après traitement immunosuppresseur. (wikipedia.org)
- Le syndrome d'Ophélie est l'association d'un lymphome hodgkinien à une encéphalite limbique auto-immune, sous l'effet d'anticorps anti-récepteur métabotropique du glutamate 5 (mGluR5) 1. (expliquant.com)
Modifier le code1
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) L'encéphalite limbique est une forme d'encéphalite, une affection caractérisée par l'inflammation du cerveau. (wikipedia.org)
Anglais1
- Encéphalite limbique paranéoplasique (en anglais PNLE : « Paraneoplastic limbic encephalitis ») Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. (wikipedia.org)