Un trouble caractérisé par des épisodes récurrents of paroxysmal dysfonctionnement cérébral dû à un coup, désordonnée et décharges neuronales excessive, épilepsies classification systèmes sont généralement basé sur : (1) caractéristiques cliniques de la saisie, moteur épisodes (par exemple convulsions), (2), de l ’ étiologie (par exemple), (3) région anatomique de crises d ’ origine (par exemple, lobe frontal convulsions), (4) tendance à se propager à d'autres structures dans le cerveau, et (5) modèles temporal (ex : L ’ épilepsie). (Nocturne d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p313)
Un mouvements involontaires ou exercer des fonctions dans une partie, excité en réponse à un stimulus appliqué à la périphérie et transmis au cerveau ou de la moelle épinière.
Conditions récurrentes caractérisée par des crises d'épilepsie inhérents diffuse oedémateuse et simultanément des deux hémisphères du cerveau. CLASSIFICATION repose généralement sur les manifestations motrice (par exemple, de la crise convulsive, nonconvulsive, akinétiques, hypotone, etc.) ou idiopathique (par exemple, l ’ étiologie, et symptomatiques, cryptogenic). (De Mayo Clin proc, avril 1996 ; 71 (4) : 405-14)
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par des crises répétées qui résultent foyers dans le lobe temporal, plus fréquemment de son aspect Mesial. Une grande variété de phénomènes psychiques peuvent être associés, y compris des illusions, hallucinations, dyscognitive états, et affectifs expériences. La majorité des attaques complexes (voir EPILEPSY, COMPLEXE PARTIELLE) provenir des lobes temporaux. Lobe temporal convulsions peuvent être classées par l'étiologie comme cryptogenic, familiales, ou (c 'est-à-dire symptomatique identifiés, liés à une pathologie ou lésion). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p321)
Réflexe contraction d'un muscle en réponse à l'étirement qui stimule proprioceptors musculaire.
Une réponse anormale du à un stimulus sensoriel appliquées aux composantes du système nerveux. Ça peut prendre la forme d'augmentation, diminution ou absence de réflexes.
Un sous-groupe de l ’ épilepsie caractérisée par crises convulsives qui sont constamment provoqué par un certain stimulus spécifique, visuelles et auditives des stimuli somato-sensoriel ainsi que les actes d'écrire, lisant, mangeant, et prise de décision sont des exemples d'événements ou les activités pouvant induire attaque aux affecté individus. (Clin d'Neurol fév. 1994 ; 12 (1) : 57-8)
Un groupe hétérogène de syndromes épileptiques cliniquement caractérisée par des crises myocloniques ou par myoclonies en association avec d'autres types de crises d ’ une épilepsie myoclonique. Tardifs sont divisés en trois sous-types basée sur l ’ étiologie : Polypose, cryptogenic, et (c 'est-à-dire, survenant symptomatique secondaire à un processus pathologique connus comme les infections, hypoxic-ischemic blessures, traumatisme, etc.).
Médicaments utilisés pour prévenir d'épilepsie ou de réduire sa sévérité.
Un trouble caractérisé par la survenue des myoclonies à l'adolescence, une augmentation importante de l ’ incidence des crises convulsives (voir absence EPILEPSY, absence), et un déficit moteur principal, crises convulsives (voir EPILEPSY). La Myoclonic épisodes ont tendance à survenir peu après mon réveil. Les crises ont tendance à être aggravés par la privation de sommeil et la consommation d ’ alcool. Héréditaire et formes sporadiques ont été identifiés. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p323)
Une crise généralisée trouble caractérisé par récurrentes major moteur crises. La première brève phase tonique est marquée par coffre suivie extension diffus flexion du tronc et les extrémités. La phase clonique caractéristiques fléchisseur rythmique contractions du coffre et les membres, dilatation des pupilles, les élévations des pouls et pression sanguine, une incontinence urinaire, et de la langue mordre. Ceci est suivi par un profond état de dépression de conscience (choqué état) qui sont progressivement s 'améliore progressivement de minutes pour le trouble peuvent être cryptogenic, familiales, ou un traitement symptomatique (provoquée par une identifié processus pathologique). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p329)
Un trouble caractérisé par récurrentes épilepsies partielles marquée par une altération de la cognition. Pendant l'attaque l'individu peuvent ressentir une grande variété de phénomènes psychiques incluant formé hallucinations, illusions, déjà-vu, intense émotion, confusion et désorientation spatiale. Localisées, et l ’ activité motrice altération sensorielle automatisme peuvent également survenir. Crise épileptique partielle complexe souvent viennent de foyers dans un ou deux lobes temporaux. L ’ étiologie peut être idiopathique (épilepsie) ou partielle complexe cryptogenic apparaît en second résultat d'une lésion focale symptomatique corticale (épilepsie). (Partielle complexe d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317-8)
Enregistrement de courant électrique... développé dans le cerveau par des électrodes appliqué au cuir chevelu, à la surface du cerveau ou placées sous la substance du cerveau.
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par crises qui surviennent au lobe FRONTAL. Diverses existe des syndromes cliniques selon l'emplacement exact de leur concentration. Lobe frontal des convulsions peuvent être idiopathique (cryptogenic) ou causé par une maladie identifiables processus tels que blessures traumatiques, ou macroscopique tumeurs ou d'autres lésions microscopiques des lobes frontaux symptomatique (convulsions). (Lobe frontal de Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp318-9)
Clinique ou une fibrose infra-clinique de la fonction cérébrale due à un coup, anormale, excessive, et désorganisés décharge des cellules de cerveau les signes cliniques sont : Troubles sensoriels et moteurs, les phénomènes psychiques. Attaques récurrentes sont communément appelés EPILEPSY ou "convulsions".
Intra-aural contraction du muscle tenseur stapedius des timbales et en réponse aux sons.
Hérité dominante autosomique avec syndrome d ’ une épilepsie partielle ayant entre 3 et 13 ans. Les crises se caractérise par des paresthésies tonic ou activité cloniques masque associée à de la bave et dysarthrie. Dans la plupart des cas, touchait les enfants sont neurologiquement et son développement mental normal. (De Epilepsia 1998 39 ; Suppl 4 : S32-S41)
Un réflexe où impulsions sont exprimées du cupulas du Semicircular CANALS et de la membrane OTOLITHIC SACCULE ET Utricule via la stimulation noyaux du cerveau et la médiane longitudinale STEM fasciculus au sang-froid Oculomotor noyaux. Il fonctionne à maintenir la stabilité image rétinienne pendant tête rotation en générant compensation appropriée EYE déplacements.
Dus aux attaques récurrentes traumatisme cranio-cérébral. Attaque apparition peut être immédiate mais est typiquement retardé pour plusieurs jours après la blessure et ne peuvent survenir pendant 2 ans. La majorité des attaques ont une apparition focale cliniquement ça correspond avec le site de lésion cérébrale. Cortex cérébral blessures provoquées par un objet étranger pénétrant (traumatisme cranio-cérébral, pénétrant) sont plus susceptibles que blessures à la tête, à la tête. (Fermé) pour être associés à l ’ épilepsie. Les convulsions sont concussive nonepileptic phénomènes survenir immédiatement après traumatisme crânien et caractérisées par un tonique et mouvements cloniques. (De Rev Neurol 1998 Fev ; 26 (150) : 256-261 ; Sports Med 1998 Fev ; 25 (2) : 131-6)
Une constriction des pupilles en réponse à la lumière stimulation de la rétine. Ça se réfère également à l ’ un réflexe impliquant l'iris, aboutissant à une modification du diamètre de la pupille. (Cline et al., Dictionary of Troubles Science, 4e éditeur)
Enregistrement de la variation entre potentiel électrique de muscle au moyen de surface ou aiguille électrodes.
Un processus pathologique composée de induration ou une fibrose structure anatomique, souvent un vaisseau ou un nerf.
Crises survenant pendant un épisode fébrile. C'est une maladie commune, affectant 2-5 % des enfants âgés de 3 mois à cinq ans. Un modèle autosomale dominante d'héritage a été identifié dans certaines familles. La majorité sont simples convulsions fébriles (définie par la survenue des crises généralisées, célibataire avec une durée de moins de 30 minutes). Complexe se caractérise par de convulsions fébriles focales d ’ apparition soudaine, durée supérieure à 30 minutes, et / ou plus d'une attaque sur une période de 24 heures. La probabilité de développer l ’ épilepsie (soit une nonfebrile convulsions) après simple convulsions fébriles est faible. Complexe convulsions fébriles sont associés à une incidence accrue d ’ épilepsie modérément. (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p784)
Un anticonvulsivant utilisé pour contrôler et de grand mal psychomotrice crises ou localisées. Son mode d'action n'est pas complètement élucidé, mais certains de ses actions ressemblent à ceux de la phénytoïne ; cas ressemblance entre les deux composés chimiques, leur structure tridimensionnelle est similaire.
Une maladie caractérisée par une posture anormale des membres qui est associé avec blessure au cerveau... ça peut être due à une manifestation clinique ou induite expérimentalement chez les animaux. Les extenseurs réflexes sont exagérées menant à rigide accompagné d ’ extension des membres hyperréflexie et opisthotonus. Cette condition est souvent causé de lésions survenus dans la région du cerveau. Que se trouve dans les noyaux rouge et le noyaux vestibulaires. En revanche, se caractérise par une rigidité de manière appropriée, flexion des coudes et poignets avec extension des jambes et des pieds. Lésion du germe en cause dans cette affection est située dans le rouge noyaux et en général se compose de dommage cérébral diffus. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p358)
Une longue crise ou convulsions répété assez souvent pour prévenir la récupération entre les crises survenant sur une période de 20-30 minutes. Sous type c'est le plus fréquent crises généralisées tonico-cloniques primaires Etat épileptique, affection d ’ évolution potentiellement fatale, associée à une blessure et respiratoire. Nonconvulsive formes incluent un dysfonctionnement métabolique petit mal partielle complexe et statut, ce qui peut se manifester par des troubles comportementaux. Simple état épileptique partielle est constituée de moteur, persistante ou autonome sensorielle, crises convulsives qui ne pas perturber la cognition (voir également EPILEPSIA Partialis continu expérimental mixte). « Subclinique » état épileptique généralement d ’ expiration fait référence crises survenant dans un individu inconscient ou dans le coma en l'absence de signe de convulsion. (De n Engl J Med 2 avril 1998 ; 338 (14) : 970-6 ; Neurologia 1997 Dec ; 12 Suppl 6 : 25-30)
Un lent hydrolysé agoniste muscariniques sans effets. Nicotinique utilisé comme myotique pilocarpine et dans le traitement du glaucome.
Une procédure neurochirurgicale qui retire les TEMPORAL antérieur incluant le lobe temporal médian de structures cortex CEREBRAL ; amygdale ; hippocampe ; et le gyrus gyrus adjacent. Cette procédure est généralement utilisé pour le traitement de l ’ épilepsie (temporal intraitable EPILEPSY, lobe TEMPORAL).
Un réflexe Monosynaptic obtenue en stimulant un nerf, en particulier le nerf tibial, avec un choc électrique.
Un composé a suggéré d'être à la fois une nootropic et un agent neuroprotecteurs positifs.
L'instinct) (ou de la capacité à prendre une position normale du corps dans l'espace quand il a été chassé.
Un groupe hétérogène de troubles familiale essentiellement caractérisée par des crises myocloniques, les crises tonico-cloniques, ataxie, une dégradation intellectuelle progressive, et la dégénération Lafora maladie, notamment ; ; ; syndrome du MERRF CEROID-LIPOFUSCINOSIS neuronal sialidosis (voir MUCOLIPIDOSES) et la maladie d'Unverricht-Lundborg syndrome du.
Utilisation de potentiel électrique pour obtenir les réponses biologiques ou des courants.
Changement de rythme cardiaque induits par la pression sur le globe oculaire, manipulation de EXTRAOCULAR muscles, ou la pression sur le tissu restant dans le satellite apex après une énucléation.
Non invasive mode de démontrer l'anatomie interne basé sur le principe que les noyaux atomiques dans un fort champ magnétique absorber pulsations d'eux comme une radio de l'énergie et émettent des ondes radio qui peut être reconstruit en images informatisée. Le concept inclut proton spin tomographique techniques.
Une opération sur le système nerveux ou ses parties.
Le 10e nerf cranien le nerf vague est à double culot qui contient Afferents somatique (de peau derrière l'oreille et du méat auditif), fibres Afférentes Viscérales (du pharynx, larynx, thorax et abdomen), (efferents parasympathique au thorax et abdomen), et pour le muscle strié efferents (du larynx et le pharYnx).
Récepteurs dans le système vasculaire, en particulier l'aorte et sinus carotidien, qui sont sensibles à étirer des vaisseaux.
L'arrêt brutal de toutes les fonctions corporelles vitales se manifestant par la perte totale de cérébrale totale et fonctions cardiovasculaires, respiratoires,.
Propriétés acides gras avec un anticonvulsivant utilisé dans le traitement de l ’ épilepsie. Les mécanismes de ses effets thérapeutiques sont mal compris. Il peut agir en augmentant les taux de l'acide gamma-aminobutyrique du cerveau ou en influant sur les propriétés des canaux sodiques voltage dépendante.
Un réflexe trouvé chez les nourrissons de l'hallux composée de la flexion et l'enlèvement des autres orteils en réponse à une stimulation de la surface cutanée plantaire du pied. Chez les adultes, il est utilisé comme critère de diagnostic, et si présent est une MANIFESTATION neurologiques de dysfonctionnements chez les CENTRALE le système nerveux.
Brève fermeture des paupières par involontaire fermeture périodique normale, par précaution, ou par action volontaire.
Une lame courbe surélever les gris AFFAIRE étendant toute la longueur du sol de la corne du ligament latéral TEMPORAL VENTRICLE lobe TEMPORAL) (voir aussi. L'hippocampe convenable, subiculum et gyrus DENTATE constituent la formation de l'hippocampe. Parfois, les auteurs inclure le cortex entorhinal dans la formation de l'hippocampe.
Anomalies dans le développement du cortex CEREBRAL, notamment des malformations découlant de cellule neuronales et gliales prolifération anormale ou l'apoptose (groupe) ; élévation je migration neuronal (Group II) ; et perturbation des établissement de organisation corticale (Group III). Plusieurs métabolique congénital DISORDERS affectant le cerveau de formation sur le SNC sont souvent associés à des malformations corticale. Ils sont fréquents causes de EPILEPSY et un retard de développement.
Contractions des muscles abdominaux après stimulation de la peau (superficielles réflexe abdominale) ou en tapant des structures osseuses voisines réflexe abdominale (profondément). Le réflexe peut être faible, voire absents, par exemple, après une attaque, un signe de majuscules (suprasegmental) Charcot. (Lésions Stedman, 25e Ed & Best & Taylor est Physiological Base de Medical Practice, 12e Ed, p1073)
Le chat domestique, messieurs, de la famille domestique nommé carnivore Felidae, comprenant plus de 30 différentes races. Le chat domestique descend principalement des chats sauvages d'Afrique et Asie du sud-ouest extrême, mais probablement présente dans les villes en Palestine d'aussi longtemps que 7000 ans, de la domestication survenues en Egypte environ 4000 ans. (De Walker est Des mammifères du Monde, Ed, 6ème p801)
Plus faible partie latérale de l'hémisphére cérébral responsable, auditives, olfactives et analyse sémantique. Elle est située inférieur au antérieur à la fissure latérale et OCCIPITAL lobe.
Treatment of chronic grave et insoluble Affections psychiatriques par ablation chirurgicale ou une interruption du traitement de certaines régions ou les voies métaboliques du cerveau, surtout dans les lobes préfrontaux.
Le rôle de CENTRALE que le système nerveux est contenu dans le crâne (crâne). Facilité de neural embryonnaire TUBE, le cerveau se compose de trois parties principales incluant PROSENCEPHALON (réactivera) ; mésencéphale (le mésencéphale) ; et (les RHOMBENCEPHALON hindbrain). Les pays cerveau se compose de cerveau, le cervelet ; et autres structures dans le cerveau le STEM.
Contraction du muscle du pharynx causée par une stimulation de peluche sur les récepteurs sensoriels PALATE, par des stimuli psychique ou systémique, par la drogue.
Une condition marqué par récurrentes crises survenant au cours des premières 4 à 6 semaines de vie malgré un néonatale bénigne. Autosomale dominante formes familiales et sporadiques ont été identifiés. Convulsions généralement constitué de brève épisodes de tonic gesticulations et autres mouvements, apnée, oeil écarts et fluctuations de la pression artérielle. Ceux-ci tendent pourtrouver après la sixième semaine de la vie. Le risque de développer l ’ épilepsie, en grandissant est modérément augmenté en polypose forme de ce trouble. (Neurologia ; 11 février 1996 (2) : 51-5)
Un cours de la prise de nourriture riche en FATS, faible en glucides. Ce régime fournit suffisamment PROTEINS pour la croissance mais quantité insuffisante de glucides pour les besoins en énergie du corps. Un régime ketogenic génère des obligations de calorique 80-90 % de lipides et le reste de protéines.
Traitement adjuvant pour PARTIELLE EPILEPSY ou réfractaires qui délivre une dépression impulsions électriques du cerveau via le nerf vague culot, une batterie implantées sous la peau fournit l'énergie.
Structures par lequel sont des impulsions nerveuses menée d'une partie vers un centre nerveux périphérique.
La toxicologie de faible excitation les structures du cerveau, qui, progressivement, augmente la sensibilité à la même stimulation. Fil du temps, cela peut diminuer le seuil nécessaire pour déclencher des crises convulsives.
Les signes de comportement de dominance cérébrale dans lequel il y a utiliser préférentielle et supérieur fonctionnement de celui de gauche, droite, comme dans le cadre d ’ utilisation de la main droite ou pied droit.
Des neurones qui conduite sang-froid impulsions au CENTRALE le système nerveux.
Le stockage ou préserver de signaux vidéo pour la télévision pour être joué plus tard via un émetteur ou récepteur. Enregistrements peuvent être faites sur bande magnétique ou disques vidéo pré-fabriqué (enregistrement).
De cellules spécialisées transduce stimuli mécanique et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Mechanoreceptor cellules inclure le INNER oreille cheveux cellules, qui la médiation audience et équilibre, et les divers récepteurs somato-sensoriel, souvent avec non-neural accessoire structures.
Des neurones qui muscle activer des cellules.
Un syndrome caractérisé par une brûlante douleur sévère dans un cas extrême vasomoteurs sudomotor, accompagnée de modifications trophiques, et en os non associées à un lésion du nerf spécifique. Cette condition est le plus souvent déclenchée par un trauma à des tissus mous ou des complexes. La peau sur la région touchée est habituellement érythémateux et démontre une hypersensibilité aux stimuli tactile et érythème. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1360 ; Douleurs 1995 oct ; 63 127-33) (1) :
Un anticonvulsivant qui est utilisé pour traiter diverses infections dues à des crises. C'est aussi un un et un décontractant musculaire. Le mécanisme d'action thérapeutique n ’ est pas clair, bien que plusieurs actes ont été décrits cellulaires notamment ses effets sur les canaux ioniques, transport actif, et général membrane de stabilisation. Le mécanisme de son effet relaxant musculaire semble entraîner une réduction de la sensibilité des broches musculaire de la phénytoïne a été proposée pour plusieurs autres vertus thérapeutiques sur, mais son utilisation n ’ a été limitée par ses nombreux effets indésirables et des interactions avec d'autres médicaments.
Un analogue de l'acide gamma-aminobutyrique. C'est un inhibiteur irréversible de 4-AMINOBUTYRATE transaminase, enzyme responsable du catabolisme de l'acide gamma-aminobutyrique. (De Martindale Pharmacopée supplémentaires, 31e éditeur)
Acte de susciter une réaction d'une personne ou organisme par contact physique.
Implante chirurgicalement dans lesquelles les conducteurs électrique est livré à vestibulaire électrique ou l'activité électrique est enregistré par un point spécifique dans le corps.
Une réponse d'ici l'BARORECEPTORS à une augmentation de la tension.. Une augmentation de la pression s'étend de vaisseaux sanguins qui active le baroreceptors dans les vaisseaux. Le filet réponse des CENTRALE le système nerveux sympathique centrale représente une réduction de leur excédent. Cela réduit les deux en diminuant la pression artérielle périphérique et une résistance VASCULAR en abaissant CARDIAC. Parce que la puissance est activée, les tonically baroreceptors baroreflex dédommagerons pour les deux augmente rapidement et la diminution de la pression artérielle.
Syndrome épileptique caractérisée par la triade de spasmes infantiles, hypsarrhythmia, et à l'arrestation de développement psychomoteur à attaque leur apparition. La majorité cadeau entre 3 à 12 mois de l ’ âge, avec spasmes composé de combinaisons de courte ou extenseurs fléchisseurs de la tête, le coffre, et membres. La condition est divisé en deux formes : Cryptogenic (idiopathique) et (symptomatique secondaire à une pathologie connue tels que l ’ infections ; anomalies neurologiques ; cerveau, maladies métaboliques innée ; nouveau-né prématuré ; Perinatal asphyxie ; sclérose tubéreuse, etc.). (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, pp744-8)
Le nombre de fois le CŒUR ventricules contrat par unité de temps, habituellement par minute.
Un processus menant à et / ou de survenue de tension dans le tissu musculaire. Contraction musculaire survient par un filament coulissante mécanisme par lequel actine filaments se glissent inward parmi les myosine filaments.
Un spécialisée en chirurgie concerné par le traitement de maladies et troubles du cerveau, moelle épinière et périphérique et du système nerveux sympathique.
La fine couche de gris d'importance à la surface du CEREBRAL hémisphères qui se développe à partir des TELENCEPHALON et se replie sur gyri et sulchi. Elle atteint son paroxysme développement chez l'homme qui est responsable de les facultés intellectuelles et fonctions cérébrales supérieures.
L'âge, stade de développement, ou par durée de vie auquel une maladie ou les premiers symptômes ou les manifestations d'une maladie apparaissent dans un individu.
Substances qui agissent dans le tronc cérébral ou de la moelle épinière pour produire tonic ou convulsions cloniques, souvent en retirant ton inhibitrice normal. Ils étaient auparavant utilisé pour stimuler la respiration ou comme antidotes à une overdose de barbituriques. Ils sont maintenant en général utilisé comme outils expérimental.
Des neurones qui envoie des impulsions de sécrétion en périphérie pour activer des muscles ou des cellules.
Heterocyclic sonne contenant trois atomes d'azote, particulièrement chez 1,2,4 ou 1,3,5 ou 2,4,6 formats. Certains sont utilisés comme herbicides.
Un trouble caractérisé par récurrentes localisée décharges paroxystique neurones cérébrale qui font apparaître des crises convulsives qui a un moteur. La majorité des crises partielles moteur originaires de FRONTAL (voir également le lobe, lobe FRONTAL EPILEPSY), le moteur des convulsions peuvent se manifester par tonic ou mouvements cloniques impliquant le visage, une branche ou une partie du corps. Diverses actions plus complexes de mouvement, posture anormale incluant les extrémités peuvent également survenir.
Qui est fabriqué un fonctionnement intellectuel inférieur à la normale pendant la période de développement. Ça a de multiples étiologies possibles, y compris les défauts génétiques et des insultes. Périnatale quotien intellectuel (QI) scores sont fréquemment utilisés pour déterminer si un individu a une déficience intellectuelle. Q.I. Élevé entre 70 et 79 sont dans la limite de tir et marque ci-dessous 67 sont dans les handicapés portant. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch55, p28)
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
La division thoracolumbar du système nerveux autonome. Sympathique Preganglionic fibres intermediolateral originaires de neurones de la colonne de la moelle épinière et projette au paravertebral et prevertebral ganglion qui le projet pour les organes cibles. Le système nerveux sympathique provoque la réaction au stress et c ’ est-à-dire que la lutte ou fuite. C'est souvent des réactions au système parasympathique réciproquement.
La dilatation partie de l'artère carotide commune à la bifurcation dans la carotide externe et interne. Il contient baroreceptors qui, stimulé, cause un ralentissement du rythme cardiaque, une vasodilatation et une diminution de la pression artérielle.
Une colonne cylindrique de tissu qui réside dans le canal vertébral. Il est composé de blanc et gris d'importance.
Le cinquième et plus gros nerf cranien le nerf trigeminal et n'a pas que du moteur sensoriel neural. La plus grande partie sensorielle constitue le mandibulaire, maxillaire ophtalmique, et qui portent Afferents nerfs sensibles à des stimuli externe ou interne de la peau et des articulations, muscles, du visage et votre bouche et des dents. La plupart de ces fibres proviennent de cellules du trigeminal ganglion et projet au noyau trigeminal du tronc cérébral en partie moteur PROVENANT du tronc cérébral trigeminal innervates noyau moteur et les muscles de mastication.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
La fonction de contester ou renfermant l'excitation de neurones ou leur cible excitable cellules.
Pression du sang sur les principales et autres vaisseaux sanguins.
Le cortex branche terminale le nerf sciatique. Le nerf tibial fibres viennent de segments et niveau de la moelle lombaire (en L4 à S2). Ils fournissent innervation sensoriel et moteur à certaines parties du mollet et pied.
Décharge d'urine, les déchets liquides validée par le rein, du corps.
(2S- (2 alpha, beta, beta) 3) 4) (1-methylethenyl -2-Carboxy-4- -3-pyrrolidineacetic acide. Ascaricide obtenu de l'algue rouge Digenea simplex. C'est un puissant acide aminé agonistes Des à certains types de récepteurs Des des acides aminés et a été utilisé pour discrimination types, comme plusieurs des récepteurs de l ’ acide aminé agonistes Des ça peut provoquer une neurotoxicité et a été utilisé expérimentalement à cet effet.
Les unités cellulaires de base de tissus nerveux. Chaque neurone est constitué d'un corps, une axone et dendrites. Leur but est de recevoir, conduite, et transmettre les impulsions électriques dans le système nerveux.
Infection du cerveau, dans la moelle épinière, ou perimeningeal structures avec les formes larvaire du genre Taenia solium (principalement T. chez l'homme). Lésions formé par l'organisme sont dénommés cysticerci. L'infection peut être subaiguë ou chronique, et la sévérité des symptômes dépend de la sévérité de la réponse immunitaire hôte et son nombre de lésions. Convulsions représentent les manifestations les plus fréquentes manifestation mais déficits neurologiques focaux peut survenir. (De Joynt Clinique neurologie, 1998, Ch27, pp46-50)
Contractions involontaires, irréguliers « en rythme et l'amplitude, suivie de relaxation, d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cette réaction peut être une caractéristique de certains CENTRALE maladies ; le système nerveux (tels EPILEPSY, Myoclonic). La nuit myoclonies est la principale caractéristique de la myoclonie NOCTURNAL. (Syndrome du d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp102-3).
Infirmières qui tient Maître masters en infirmière avec une emphase au cours d'infirmière et qui fonctionner de façon indépendante dans la coordination des projets pour le patient.
Conditions pathologique affectant le cerveau, qui se compose des composants du intracrânienne CENTRALE, cela inclut, entre autres, la matière blanche intracrânienne cortex CEREBRAL ; ; ; ; BASAL ganglions thalamus HYPOTHALAMUS ; cerveau STEM ; et le cervelet.
Les réponses électrique enregistrée de culot, muscle, de sensation récepteur, ou zone du CENTRALE le système nerveux après stimulation. Elles varient entre moins d'un microvolt à plusieurs microvolts. Les potentiels évoqués auditifs peut être (EVOKED potentiel, AUDITORY), (somato-sensoriel EVOKED potentiel, somato-sensoriel (EVOKED), troubles visuels), ou possibilités, moteur (EVOKED potentiels, pas de mouvement) ou les autres modalités qui ont été rapportés.
Le temps entre le début d'un stimulus jusqu'à une réponse est observée.
Un sous-groupe de le muscle strié attaché par les tendons pour atteindre le squelette. Les muscles squelettiques sont innervated et leur mouvement peut être consciemment contrôlée. Ils les appelle aussi des muscles volontaires.
Un anticonvulsivant particulièrement utile dans le traitement des crises d ’ absences non accompagnée par d ’ autres types de crises.
L'interruption ou le retrait ou une partie du nerf vague) (10e nerfs crâniens. Vagotomie peut être pratiquée pour la recherche ou à des fins thérapeutiques.
Un ovale maigrichon chambre de l'oreille interne, une partie de votre crâne labyrinthe. C'est continue avec osseux cochlée antérieurement et Semicircular CANALS postérieurement. Le vestibule contient deux sacs communiquer (Utricule et saccule) de l'équilibre. Le bureau ovale fenêtre sur la paroi latérale est occupée par la base de l'étrier de l'artère oreille.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Cellules spécialisées pour détecter produits chimiques et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Chemoreceptor cellules pourraient surveiller stimuli externes, comme goût et l'olfactif, ou interne stimuli, tels que les concentrations d'oxygène et CARBON de titane dans le sang.
Branches du nerf vague culot, Les nerfs laryngiens supérieure originate près du nodose ganglion et se séparer en désignation des succursales, qui fournissent moteur fibres aux muscles, et le muscle cricothyroidien interne qui transportent des branches, des fibres sensorielles. Le sang-froid laryngé récurrent provient plus caudally et porte efferents à tous les muscles du larynx sauf le muscle cricothyroidien. Le Les nerfs laryngiens et leurs branches portent également sensitive et autonome pharyngé, Rare œ dèmes laryngés fibres à la trachéale et régions cardiaque.
Une spécialité médicale concerné par l'étude des structures, les réceptions, et de maladies du système nerveux.
Trouvé dans un alkylamide capsicum agissant à canaux CHANNELS des cations.
Une réponse involontaire complexe de façon inattendue fort stimulus auditif habituellement dans la nature.
Des variations brutales de la membrane potentiel qui balaye le long de la cellule nerveuse membrane des cellules en réponse aux stimuli excitation.
Une forme agent qui ont montré une activité comme un stimulant du système nerveux central et respiratoire. C'est un antagoniste de l'acide gamma-aminobutyrique non-compétitif. Pentétrazole a été utilisé expérimentalement crise phénomène à étudier et de déterminer les produits pharmaceutiques qui contrôle peut-être crise de la sensibilité.
Une forme de muscles hypertonie associée à une maladie neurone moteur supérieure de la résistance passive étirement qu'un infirme muscle entraîne minime résistance initiale (un intervalle libre de ""), suivie d'une augmentation des tonus musculaire. Ton augmente proportionnellement à la vitesse maximum. La spasticité est souvent accompagné par hyperréflexie et variable degrés de muscle. (Faiblesse d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème P54)
Tracts neural connecter une partie du système nerveux avec un autre.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Dominance d'une hémisphére cérébral sur les autres fonctions cérébral.
Biguanides are a class of oral hypoglycemic agents primarily used in the treatment of type 2 diabetes that decrease hepatic glucose production and enhance peripheral insulin sensitivity, but do not increase insulin secretion.
Gris d'importance au dessus de la circonvolution hippocampi. Il est composé de trois couches. La couche moléculaire est continue avec l'hippocampe dans la fissure de l'hippocampe granuleux. La couche se compose de étroitement arrangé sphérique ou ovales neurones appelés granules, dont des axones passer par l'enzyme polymorphe se terminant à la couche pyramidale de dendrites des dans l'hippocampe.
Un coup, audible expulsion d'air des poumons à travers un partiellement fermé la glotte précédés par inhalation. C'est une réponse immunitaire protectrice qui sert pour dégager la trachée, bronches, et / ou poumons de irritants et sécrétions vaginales, ou pour prévenir la ponction de matériaux étrangers dans les poumons.
Diverses affections provoquant neuromusculaire de MUTATIONS ION CHANNELS manifeste comme dans les épisodes d'EPILEPSY ; migraine DISORDERS ; et les dyskinésies.
Une branche de l'innervation sensorielle nerf tibial qui fournit à des parties de la jambe et pied.
Arythmies cardiaques qui se caractérise par coeur excessivement lent TAUX, généralement en dessous de 50 battements par minute chez les adultes humains. Ils peuvent être classés globalement dans sinoatrial NODE un dysfonctionnement et auriculo-ventriculaires ENSEMBLE.
Le muscle squelettique structures qui fonctionne comme le MECHANORECEPTORS responsable de la s'étirer ou s'étend REFLEX myotactic réflexe (,). Ils se composent d'un paquet de encapsulée muscle squelettique fibres, c ’ est-à-dire que la intrafusal fibres (sac nucléaire 1 fibres, nucléaire sac 2 fibres et de fibres) innervated chaîne nucléaire par les neurones de sensation.
Les protéines de surface cellulaire qui attachent acide gamma-aminobutyrique et contiennent une membrane intégrale chlorure. Chaque canal récepteur est assemblé comme une pentamer d'une piscine d'au moins 19 sortes sous-unités. Les récepteurs appartiennent à une superfamille qui partagent un vulgaire cysteine Loop.
La position ou attitude du corps.
L'acte, agis, ou que Bertha passe d'un endroit ou la position à l'autre. Elle est différente de LOCOMOTION dans la locomotion est limité au décès de tout le corps d'un endroit à l'autre, tant que mouvement englobe tous les deux locomotion mais également une modification de la position du corps entier ou un de ses parties. Mouvement peut être utilisé avec référence à l ’ homme, vertébrés et invertébrés micro-organismes. Différencier les animaux, et aussi de moteur parascolaire, mouvement associé au comportement.
Les techniques d'imagerie utilisée pour colocalize sites des fonctions cérébrales ou activité physiologique avec les structures du cerveau.
Une caractéristique complexe de symptomes.
Le plus fréquent neurotransmetteur inhibiteur dans le système nerveux central.
Contraction des tissus qui produit mouvement chez les animaux.
La résection ou le retrait du culot d'un organe ou partie Dorland, 28. (Éditeur)
Diminués ou échoué réponse d'un organisme, la maladie ou de tissus pour l'efficacité d'un produit chimique ou drogue. Ça devrait être différenciés des tolérance de la drogue qui est la diminution progressive de la sensibilité d'un humain ou animal aux effets de la drogue, en cas de la poursuite du traitement.
Un mouvement, causée par la contraction musculaire successives, qui pousse le contenu des intestins ou autres organes tubulaire dans une direction.
Évaluation des réponses reçues et sensoriels et moteurs réflexes qui est utilisé pour déterminer une altération du système nerveux.
Contractions musculaires involontaires continue prolongée qui est souvent une manifestation de BASAL ganglions maladies. Quand un affectée muscle est passivement étirée, le degré de résistance reste constante indépendamment de la fréquence à laquelle le muscle est étiré. Cette caractéristique permet de distinguer de spasticité musculaire. (Muscle d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p73)
La partie latérale du terminal deux branches du nerf sciatique. La (ou) nerf tibial péroné innervation sensoriel et moteur fournit à des parties de la jambe et pied.
Un barbiturique avec hypnotiques et sédatifs pharmacodynamiques (mais pas contre l'anxiété). Les effets indésirables sont essentiellement une consequence de dépression du SNC et du risque de dépendance avec la poursuite de Martindale est élevé. (Pharmacopée supplémentaires, 30, Ed, p565)
Une technique statistique qui isole et évalue les contributions of categorical indépendante variables à variation dans la moyenne d'un variables dépendantes continue.
Plus généralement des neurones qui ne sont pas des compétences motrices ou sensoriel. Interneurones peut également se référer aux neurones dont les axones rester dans une région du cerveau par opposition aux neurones de projection, qui ont axones projeter à d'autres régions du cerveau.
Une contraction involontaire d'un muscle ou groupe de muscles, des spasmes peut impliquer ou tendre muscle, muscle squelettique
Études dans lesquelles les individus ou populations sont suivis pour évaluer l'issue des expositions, procédures ou d'une caractéristique, par exemple, la survenue de maladie.
Toute opération sur la moelle épinière (Stedman, 26ème éditeur)
Tests conçus pour évaluer la fonction neurologique associée à certains comportements. Ils sont utilisés dans le diagnostic de dysfonctionnement cérébral ou dommage et troubles du système nerveux central ou des blessures.
Deux extrémités de four-footed non-primate animaux terrestres. D'habitude ça consiste en une du tibia et péroné FEMUR ; ; ; ; ; métatarses et tarses orteils. (De Storer et al., Général la zoologie, Ed, 6ème p73)
La mesure des champs magnétiques sur la tête générée par les courants électriques dans le cerveau. Comme dans toute conducteur électrique, les champs électriques dans le cerveau sont étayées par des champs magnétiques orthogonaux. L 'évaluation de ces champs fournit des informations concernant le signal d'activité cérébrale qui complètent celles fournies par ELECTROENCEPHALOGRAPHY. Magnétoencéphalographie peut être utilisé seul ou ensemble avec electroencephalography, pour le dosage de spontané ou l'activité médiée par, et pour la recherche ou cliniques fins.
Le sommet de la membrane gélatineux Macules de SACCULE ET Utricule. Il contient minute particules cristallines (otoliths) de carbonate de CALCIUM et protéines sur la surface extérieure. En réponse au mouvement de tête, le changement otoliths causant distorsion des cellules ciliées qui transduce nerf vestibulaire signaux au cerveau à l'interprétation de l'équilibre.
Un agent antiépileptique liés aux barbituriques ; c'est partiellement métabolisée en du phénobarbital dans le corps et a une de ses actions de ce métabolite. Les effets indésirables sont décrits comme étant plus fréquente qu'avec du phénobarbital. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p309)
Gris dorsomedial AFFAIRE situés dans le rôle du bulbe rachidien associée à la cellule d'isolement digestif. L'isolement noyau reçoit des données de la plupart des systèmes d'organes y compris des licenciements, de la face glossopharyngeal et vagus nerfs. C'est un grand coordinateur de règlement le système nerveux autonome de réactions cardiovasculaires, respiratoires, gustatif, gastro-intestinales et chemoreceptive aspects de l'homéostasie. L'isolement Nucleus est aussi remarquable pour le grand nombre de neurotransmetteurs qui sont y a trouvé.
Altération de la capacité à effectuer sans heurt coordonné les mouvements volontaires. Cette réaction peut affecter les membres, coffre, yeux, du pharynx, larynx, et les autres structures. Ataxie peut résulter de la fonction motrice ou sensorielle détériorée. Sensitive ataxie peut résulter de la colonne postérieure PERIPHERAL sang-froid blessures ou maladies. Moteur ataxie Cérébelleuse peut être associé à des maladies ; ; cortex CEREBRAL maladies maladies thalamique ; BASAL ganglions maladies ; blessure au noyau rouge ; et d'autres maladies.
L'extrémité distale de la jambe aux vertébrés, composé des tarse (cheville) ; métatarse ; phalanges ; et les tissus mous autour de ces os.
Volontaires ou involontaires mouvement de tête ou pouvant être relative ; inclut indépendamment de leur animal et chez l ’ homme.
Un acte de sorcellerie utilisant (l ’ utilisation de pouvoir gagner dans cette assistance ou le contrôle des esprits), notamment en toute intention diabolique, et l 'exercice des pouvoirs surnaturels, et prétendue relation sexuelle avec le diable ou un familier de Webster, 3d. (Éditeur)
Axones de certaines cellules du gyrus DENTATE. Ils projettent de l'enzyme polymorphe couche de la circonvolution dentate et sur l'artère de dendrites des pyramidale de l'hippocampe. Ces Mossy fibres ne doit pas être confondu avec l'Mossy Afferents cérébelleux (voir sang-froid fibres).
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Structures qui sont des impulsions nerveuses dans un centre nerveux a dirigé vers un site périphériques telles impulsions sont menées via efferent neurones (neurones, efferent), telles que des neurones moteur des neurones et autonome hypophyseal neurones.
Motion d'un objet que l'un ou plusieurs des points sur une ligne sont truqués. Il est également la motion d'une particule sur un point fixe. (De McGraw-Hill Dictionary of Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Syndrome neurocutaneous autosomale dominante classiquement caractérisé par un retard mental ; EPILEPSY ; et des lésions cutanées (par exemple, adénome hypomelanotic sebaceum et érythème). Il y a, cependant, une forte hétérogénéité les manifestations neurologiques. C'est également associé à tuber corticale et HAMARTOMAS formation dans le corps, surtout du cœur, reins, et les yeux. Mutations dans deux loci TSC1 et TSC2 qui encode hamartin et tuberin, respectivement, sont associés à la maladie.
La plus grande part du cortex CEREBRAL dans lequel les neurones sont disposées de six couches dans le cerveau des mammifères : Cellules granuleuse externe interne, externe, pyramidale, granuleuse pyramidal interne et multiformes, couches.
'Personnes Célèbres' ne constitue pas un terme médical, il s'agit plutôt d'un terme général utilisé dans la vie courante pour décrire des individus largement reconnus et connus du grand public dans divers domaines tels que le divertissement, le sport, la politique, les affaires, etc. Il n'y a pas de définition médicale associée à ce terme.
Volontaires ou reflex-controlled mouvements des yeux.
Une structure dominos. meshlike composé de cellules nerveuses qui ont été séparés à la jonction synaptique ou reliées entre elles par des processus cytoplasmique. Chez les invertébrés, par exemple, le nerf filet permet des impulsions nerveuses à répandre sur une partie du filet parce que les synapses peuvent transmettre l'information dans toutes les directions.
Des mouvements rythmiques involontaires des yeux dans la personne normale. Ça peut être un phénomène naturel comme dans end-position (, stade terminal d ’ évolution, ou déviant) nystagmus ou induit par le tambour, optokinetic optokinetic (nystagmus), ou calorique pour un fauteuil.
Fonctions sensorielles que transduce stimuli reçus par les récepteurs proprioceptif dans les articulations, tendons, les muscles, les impulsions neurales dans oreille COUVERCLE doivent être transmis à la CENTRALE, proprioception fournit sens immobiles positions et mouvements de ses organes, et est important de maintenir la kinesthésie et posturale POSTES.
La partie basse du cerveau le STEM. C'est inférieur au Pons et antérieure au cervelet, le bulbe rachidien sert de relais entre le cerveau et la moelle épinière et contient les centres pour la régulation cardiaque, respiratoire, vasomoteurs, et réflexe activités.

L'épilepsie est une condition médicale caractérisée par des crises récurrentes et imprévisibles, qui résultent d'une activité électrique anormale et excessive dans le cerveau. Ces crises peuvent se manifester de différentes manières, allant de secousses musculaires brèves et localisées à des périodes de confusion ou de perte de conscience. Pour poser un diagnostic d'épilepsie, une personne doit avoir eu au moins deux crises non provoquées, séparées par au moins 24 heures, à moins que la cause sous-jacente et le risque de futures crises ne justifient un traitement.

L'épilepsie peut être causée par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des troubles congénitaux du cerveau, des tumeurs cérébrales ou un accident vasculaire cérébral. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le traitement de l'épilepsie dépend de la gravité et du type de crises, ainsi que des facteurs sous-jacents qui peuvent contribuer à la condition. Les options de traitement comprennent souvent des médicaments anticonvulsivants, une intervention chirurgicale, un régime alimentaire spécial ou d'autres thérapies complémentaires. Dans certains cas, les personnes atteintes d'épilepsie peuvent être en mesure de contrôler leurs crises avec un traitement approprié, tandis que d'autres peuvent continuer à avoir des crises malgré les efforts de traitement.

Un réflexe, dans le contexte de la médecine et de la physiologie, est une réponse involontaire et automatique du corps à un stimulus spécifique. Il s'agit d'un mécanisme de contrôle rapide et efficace qui permet au système nerveux de réguler certaines fonctions corporelles sans passer par le processus conscient de la pensée ou de la décision. Les réflexes sont médiés par des circuits neuronaux spécifiques appelés arcs réflexes, qui impliquent généralement une voie afférente sensorielle et une voie efférente motrice. Un exemple classique d'un réflexe est le réflexe myotatique, ou réflexe du genou, dans lequel la percussion du tendon rotulien provoque une contraction rapide du muscle quadriceps, entraînant une extension soudaine de la jambe. Les réflexes sont des mécanismes importants pour maintenir l'homéostasie et protéger le corps contre les dommages potentiels.

La définition médicale de l'épilepsie généralisée est la suivante :

L'épilepsie généralisée est un type d'épilepsie caractérisé par des crises qui affectent les deux hémisphères cérébraux simultanément. Les personnes atteintes de ce type d'épilepsie peuvent présenter différents types de crises, notamment des convulsions tonico-cloniques (grand mal), des absences (petit mal) ou des myoclonies.

Les crises tonico-cloniques se manifestent par une perte de conscience soudaine, suivie d'une rigidité du corps (phase tonique) et de secousses musculaires rythmiques (phase clonique). Les crises d'absence sont caractérisées par une brève interruption de la conscience, sans perte de posture ni chute. Les myoclonies se manifestent par des secousses musculaires soudaines et brèves qui peuvent affecter n'importe quelle partie du corps.

L'épilepsie généralisée peut être causée par des facteurs génétiques ou acquis, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales ou un manque d'oxygène à la naissance. Le diagnostic est généralement posé sur la base de l'histoire clinique du patient, de l'examen neurologique et de l'enregistrement des crises par électroencéphalogramme (EEG).

Le traitement de l'épilepsie généralisée repose sur l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, qui peuvent aider à prévenir ou à réduire la fréquence des crises. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

L'épilepsie du lobe temporal est un type spécifique d'épilepsie, qui est une condition caractérisée par des crises récurrentes. Dans cette forme, les crises commencent dans le lobe temporal du cerveau. Les lobes temporaux sont situés sur les côtés de votre tête, juste derrière vos yeux.

Il existe deux types principaux de crises dans l'épilepsie du lobe temporal : les crises complexes et les crises simples. Les crises complexes, également appelées crises avec perte de conscience ou crises focales compliquées, impliquent souvent une altération de la conscience ou du comportement. La personne peut regarder vide, se comporter bizarrement, ou effectuer des mouvements automatiques comme se frotter les mains ou se mordre la langue. Les crises simples, ou crises focales simples, ne causent pas de perte de conscience et la personne peut continuer à interagir avec son environnement pendant la crise.

Les causes de l'épilepsie du lobe temporal peuvent inclure des lésions cérébrales antérieures, telles qu'un accident vasculaire cérébral ou une infection, ou des anomalies congénitales. Dans certains cas, la cause est inconnue. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une évaluation des antécédents médicaux et de résultats d'examens complémentaires tels qu'un électroencéphalogramme (EEG) ou une imagerie cérébrale.

Le traitement de l'épilepsie du lobe temporal implique généralement des médicaments anticonvulsivants. Dans certains cas, la chirurgie peut être recommandée si les médicaments ne contrôlent pas adéquatement les crises.

Les réflexes anormaux sont des réponses involontaires et inappropriées du corps à des stimuli normaux, dus à des perturbations du système nerveux. Ils peuvent être un signe de divers troubles neurologiques ou traumatismes. Les réflexes anormaux peuvent se manifester par des mouvements excessifs, absents ou inadéquats. Par exemple, certains réflexes présents à la naissance qui devraient disparaître avec le développement normal du cerveau, comme le réflexe de Babinski, peuvent persister en signe d'anomalie sous-jacente. D'autres réflexes anormaux peuvent apparaître à la suite d'une lésion cérébrale ou médullaire, tels que les réflexes pathologiques des membres supérieurs et inférieurs dans la paralysie cérébrale.

La définition médicale de « Epilepsy, Reflex » est la suivante :

Le reflex epilepsy est un type d'épilepsie qui est déclenché par des stimuli spécifiques et répétitifs. Ces stimuli peuvent être sensoriels, cognitifs ou psychogènes. Les exemples courants de reflex epilepsy comprennent l'epilepsie photosensible, où les crises sont déclenchées par des flashs lumineux ou des motifs à haute fréquence ; l'epilepsie tactile, où les crises sont provoquées par des stimuli tactiles spécifiques ; et l'epilepsie auditive, où les crises sont déclenchées par des sons spécifiques.

Dans certains cas, les personnes atteintes de reflex epilepsy peuvent développer des crises sans la présence du stimulus déclencheur après une période de temps. Cette condition est appelée épilepsie réflexe symptomatique. Le traitement de l'épilepsie réflexe dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiépileptiques, la modification du mode de vie pour éviter les déclencheurs et, dans certains cas, la chirurgie.

L'épilepsie myoclonique est un type d'épilepsie caractérisé par des spasmes musculaires brusques et involontaires appelés myoclonies. Ces spasmes peuvent affecter une seule partie du corps ou tout le corps et peuvent varier en fréquence de quelques fois par jour à plusieurs fois par semaine.

Les épilepsies myocloniques peuvent être causées par divers facteurs, y compris des anomalies génétiques, des lésions cérébrales, certaines infections ou intoxications. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue.

Ce type d'épilepsie peut se manifester à tout âge, mais il est plus fréquent chez les enfants et les adolescents. Les épilepsies myocloniques peuvent être associées à d'autres symptômes, tels que des absences, des convulsions tonico-cloniques ou une déficience intellectuelle.

Le diagnostic d'épilepsie myoclonique repose sur l'observation des crises, la réalisation d'un électroencéphalogramme (EEG) et l'exclusion de toute autre cause possible de myoclonies. Le traitement dépend de la gravité et de la fréquence des crises, mais peut inclure des médicaments antiépileptiques, une alimentation spéciale ou, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Il est important de noter que les épilepsies myocloniques peuvent être bien contrôlées avec un traitement approprié, mais sans traitement, elles peuvent avoir des répercussions importantes sur la qualité de vie et le fonctionnement quotidien des personnes atteintes.

Les anticonvulsivants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et contrôler les convulsions ou les crises épileptiques. Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique dans le cerveau, ce qui peut aider à prévenir les saisies.

Les anticonvulsivants sont souvent prescrits pour traiter divers types d'épilepsie, mais ils peuvent également être utilisés hors indication pour traiter d'autres conditions telles que la douleur neuropathique, les troubles bipolaires et certains types de migraines.

Il existe plusieurs anticonvulsivants disponibles sur le marché, chacun ayant des mécanismes d'action et des profils d'effets secondaires uniques. Certains exemples courants incluent la phénytoïne, la carbamazépine, le valproate, le lamotrigine, le topiramate et le gabapentin.

Comme avec tout médicament, les anticonvulsivants peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants comprennent la somnolence, les étourdissements, la nausée, les vomissements et les éruptions cutanées. Dans de rares cas, certains anticonvulsivants peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des dommages hépatiques, des pensées suicidaires ou une diminution de la production de globules blancs.

Il est important de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan de traitement anticonvulsivant le plus approprié et pour surveiller tout effet secondaire potentiel.

La myoclonie épilepsie juvénile (JME) est un type d'épilepsie caractérisée par des secousses musculaires brusques et involontaires appelées myoclonies. Ces secousses peuvent affecter une partie du corps ou tout le corps et peuvent se produire de manière isolée ou en série. Les crises de JME sont généralement déclenchées par des stimuli sensoriels tels que le bruit, la lumière ou le toucher, et ont tendance à s'aggraver avec l'excitation émotionnelle ou le stress.

Les symptômes de JME commencent généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte, bien que des cas précoces aient été décrits. Les personnes atteintes de JME peuvent également présenter d'autres types de crises épileptiques, telles que des absences et des convulsions tonico-cloniques généralisées.

JME est souvent héréditaire et est causée par des mutations dans certains gènes qui affectent la façon dont les neurones communiquent dans le cerveau. Le diagnostic de JME repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les résultats de l'électroencéphalogramme (EEG), qui peuvent montrer des modèles caractéristiques d'activité cérébrale.

Le traitement de JME implique généralement la prise de médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises. Les options de traitement comprennent la lamotrigine, le valproate et le topiramate. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

Les personnes atteintes de JME peuvent également bénéficier d'un soutien psychologique et éducatif pour faire face aux défis associés à la gestion des crises et à la vie avec une maladie chronique.

La « épilepsie, forme partielle complexe » est un type spécifique d'épilepsie qui implique des crises récurrentes. Pendant ces crises, une personne peut avoir des hallucinations visuelles ou auditives, des expériences déformées de la réalité, des émotions intenses et involontaires, ainsi qu'une perte partielle ou complète de conscience. Ces crises peuvent également inclure des mouvements corporels incontrôlables, tels que des mâchonnements ou des mouvements des membres.

Les personnes atteintes d'épilepsie, forme partielle complexe, ont souvent des difficultés à se souvenir de ce qui s'est passé pendant la crise et peuvent se sentir fatiguées ou désorientées après celle-ci. Ce type d'épilepsie est généralement plus difficile à traiter que les autres types et peut être causé par des lésions cérébrales, des malformations congénitales ou une épilepsie symptomatique.

Il est important de noter qu'une personne atteinte d'épilepsie, forme partielle complexe, a besoin d'un traitement médical approprié pour gérer ses crises et prévenir les complications à long terme. Un diagnostic précis et un plan de traitement individualisé sont essentiels pour assurer une qualité de vie optimale pour ces personnes.

L'électroencéphalographie (EEG) est une procédure diagnostique non invasive utilisée pour enregistrer l'activité électrique du cerveau. Elle est réalisée en attachant de petits capteurs, appelés électrodes, à la surface du cuir chevelu avec un gel conducteur ou une pâte. Ces électrodes détectent les impulsions électriques minuscules et imperceptibles produites par l'activité neuronale dans le cerveau et transmettent ces informations à un amplificateur, où elles sont affichées sous forme d'ondes sur un moniteur.

L'EEG est utilisée pour aider au diagnostic et à la gestion de divers troubles neurologiques, tels que l'épilepsie, les convulsions, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et d'autres conditions qui affectent le fonctionnement du cerveau. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité de certains médicaments, surveiller l'activité cérébrale pendant le sommeil et aider à la planification des interventions chirurgicales cérébrales.

L'EEG est considérée comme sûre et indolore, sans aucun risque connu associé à sa réalisation. Cependant, il peut être difficile pour certaines personnes de rester assises ou allongées immobiles pendant la durée de l'enregistrement, ce qui peut entraîner des artefacts dans les enregistrements EEG. Dans ces cas, des médicaments relaxants peuvent être administrés pour aider à réduire l'agitation et améliorer la qualité de l'enregistrement.

L'épilepsie du lobe frontal est un type d'épilepsie focale qui prend origine dans le lobe frontal du cerveau. Cette région du cerveau est responsable de fonctions telles que le mouvement volontaire, l'expression faciale, le langage et la pensée complexe.

Les crises d'épilepsie du lobe frontal peuvent être très variées, allant de mouvements anormaux subtils à des convulsions généralisées. Les symptômes courants incluent des mouvements saccadés ou rythmiques des membres, des cris soudains, une rigidité ou des secousses musculaires, une perte de conscience partielle ou totale, et des changements soudains d'humeur ou de comportement.

Les crises peuvent survenir à tout moment de la journée, mais sont souvent plus fréquentes pendant le sommeil. Les personnes atteintes d'épilepsie du lobe frontal peuvent également présenter des symptômes interictaux tels que des changements de personnalité, des problèmes de mémoire et des difficultés de concentration.

Le diagnostic de l'épilepsie du lobe frontal repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les enregistrements vidéo-EEG. Le traitement peut inclure des médicaments antiépileptiques, la chirurgie ou d'autres thérapies telles que la stimulation du nerf vague.

Le réflexe stapédien, également connu sous le nom de réflexe acoustique, est un réflexe auditivo-vestibulaire qui protège l'oreille interne des bruits soudains ou intenses. Il est médié par le muscle stapédien, un petit muscle dans l'oreille moyenne. Lorsqu'une forte impulsion sonore se produit, le muscle stapédien contracte et réduit la taille de l'ouverture entre l'os stirrup et l'os enclume (les deux osselets de l'oreille moyenne), ce qui diminue la transmission des vibrations sonores vers l'oreille interne.

Ce réflexe est important pour prévenir les dommages auditifs causés par des niveaux élevés de bruit et peut être testé dans le cadre d'un examen audiologique pour évaluer la fonction auditive et vestibulaire. Des anomalies du réflexe stapédien peuvent indiquer des problèmes au niveau du nerf auditif, de l'oreille moyenne ou interne, ou du cerveau.

La épilepsie de Rolando, également connue sous le nom d'épilepsie benigne centrotemporale de l'enfance (CBTE), est un type focal de épilepsie qui se produit principalement chez les enfants. Il tire son nom de la région du cerveau où il commence généralement, appelée gyrus central de Rolando ou sillon central.

Les crises associées à l'épilepsie de Rolando impliquent typiquement des contractions unilatérales (un seul côté) des muscles du visage, de la langue et de la bouche, qui peuvent entraîner des sensations désagréables telles que des picotements ou des engourdissements dans ces régions. Les crises peuvent également inclure des mouvements involontaires d'un côté du corps, tels qu'une jambe ou un bras. Ces crises sont généralement brèves, durent moins de deux minutes et se produisent le plus souvent pendant le sommeil ou juste après s'être endormi.

L'épilepsie de Rolando est généralement diagnostiquée pendant l'enfance, entre les âges de 3 et 13 ans, avec un pic d'apparition autour de 8 à 10 ans. Les garçons sont plus susceptibles d'être touchés que les filles. Dans la plupart des cas, cette forme d'épilepsie disparaît spontanément à l'adolescence.

Le traitement de l'épilepsie de Rolando implique généralement des médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises. Dans certains cas, le médecin peut recommander une surveillance attentive sans traitement, en particulier si les crises sont rares et ne perturbent pas la vie quotidienne de l'enfant. Les enfants atteints d'épilepsie de Rolando ont généralement un bon pronostic et peuvent s'attendre à une vie normale et productive après la disparition des crises.

Le réflexe vestibulo-oculaire (RVO) est un réflexe oculomoteur qui permet de stabiliser l'image sur la rétine lors des mouvements de la tête. Il s'agit d'un mécanisme involontaire qui permet aux yeux de se mouvoir dans la direction opposée à celle de la tête, de manière à compenser les mouvements de cette dernière et à maintenir une vision stable.

Le RVO est médié par le système vestibulaire situé dans l'oreille interne, qui détecte les mouvements de la tête grâce à des récepteurs appelés otolithes et canaux semi-circulaires. Les informations provenant du système vestibulaire sont transmises au cerveau via le nerf vestibulaire, où elles sont intégrées avec d'autres informations sensorielles pour déclencher la réponse oculaire appropriée.

Le RVO est essentiel pour une vision claire et stable pendant les mouvements de la tête, et il joue un rôle important dans la coordination des mouvements oculaires et de la tête lors de tâches telles que la lecture, la conduite ou le sport. Les troubles du RVO peuvent entraîner des symptômes tels que des vertiges, des nausées, une mauvaise coordination des mouvements oculaires et une vision floue ou instable.

La épilepsie post-traumatique (EPT) est un type de épilepsie qui se développe después de una lesión cerebral traumática (LCT). La LCT puede ser causada por una variedad de eventos, como un accidente automovilístico, una caída, un trauma contuso o penetrante al cerebro, o un shock eléctrico.

Para que se diagnostique la EPT, generalmente se requiere que la primera convulsión ocurra dentro de los siete días posteriores a la lesión cerebral. Sin embargo, algunos estudios sugieren que las convulsiones que ocurren más tarde también pueden estar relacionadas con la lesión cerebral y, por lo tanto, también se consideran parte de la EPT.

La EPT puede presentarse como convulsiones recurrentes, pero también puede manifestarse como deterioro cognitivo, cambios de personalidad o problemas emocionales. El tratamiento de la EPT generalmente implica el uso de medicamentos antiepilépticos para controlar las convulsiones y la rehabilitación para ayudar a mejorar los déficits cognitivos y funcionales resultantes de la lesión cerebral. En algunos casos, la cirugía puede ser una opción de tratamiento si los medicamentos no son efectivos en el control de las convulsiones.

Le réflexe pupillaire, également connu sous le nom de réflexe photomoteur, est un réflexe involontaire du système nerveux autonome qui contrôle la taille de la pupille en réponse à la lumière. Il y a deux types de réflexes pupillaires : le réflexe direct et le réflexe consensuel.

Le réflexe direct se produit lorsque la lumière est projetée dans une pupille et la réponse est une constriction de cette même pupille. Le réflexe consensuel, d'autre part, se produit lorsque la lumière est projetée dans une pupille et provoque une constriction de l'autre pupille. Ces réflexes sont médiés par le nerf optique (II) et le IIIème nerf crânien (nerf oculomoteur), qui contient les fibres parasympathiques préganglionnaires pour la constriction pupillaire. Les noyaux de ces nerfs sont connectés dans le cerveau, ce qui permet la réponse consensuelle.

L'absence ou la présence anormale de ces réflexes peut indiquer des problèmes neurologiques sous-jacents et est donc un outil important dans l'examen neurologique.

L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.

L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.

L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.

L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.

La sclérose est un terme médical qui décrit le processus de durcissement et d'épaississement des tissus conjonctifs dans le corps. Cela se produit lorsque les fibres de collagène dans ces tissus deviennent excessives ou anormalement organisées, ce qui entraîne une perte de flexibilité et de fonction. La sclérose peut affecter divers organes et tissus du corps, y compris la peau, les muscles, les tendons, les os, les vaisseaux sanguins et les organes internes.

Dans certains cas, la sclérose est une réponse normale à une blessure ou à une maladie sous-jacente. Cependant, dans d'autres cas, cela peut être le résultat d'une maladie auto-immune ou dégénérative, telle que la sclérose en plaques (SEP) ou la sclérodermie. Dans ces conditions, le système immunitaire du corps attaque et endommage les tissus conjonctifs, entraînant une sclérose progressive.

Les symptômes de la sclérose dépendent de l'emplacement et de la gravité de la maladie. Ils peuvent inclure des douleurs articulaires, des raideurs musculaires, des engourdissements, des picotements, une fatigue extrême et des problèmes respiratoires ou digestifs. Le traitement dépend également de la cause sous-jacente de la sclérose et peut inclure des médicaments, des thérapies physiques ou des changements de style de vie.

Les crises convulsives fébriles sont des convulsions qui surviennent chez les enfants en raison d'une fièvre élevée. Elles sont relativement courantes et concernent environ 2 à 5% des enfants avant l'âge de 5 ans. Ces crises ne sont généralement pas le signe d'un problème plus grave, surtout si l'enfant est en bonne santé autrement.

Les crises convulsives fébriles se produisent le plus souvent entre les âges de 6 mois et 5 ans, lorsque les enfants sont incapables de réguler leur température corporelle aussi bien que les adultes. La plupart des enfants qui en font une fois ou deux n'en auront plus jamais.

Les symptômes comprennent la rigidité musculaire, les secousses répétitives des membres, la perte de conscience et parfois la miction involontaire ou la défécation. Les crises durent généralement de quelques secondes à quelques minutes.

La cause exacte des crises convulsives fébriles n'est pas claire, mais elles sont associées à une infection qui provoque une fièvre élevée. Les infections courantes qui peuvent déclencher ces crises comprennent les infections de l'oreille, la varicelle, la rougeole et les infections respiratoires.

Il est important de consulter un médecin si votre enfant a une crise convulsive fébrile pour écarter toute autre cause possible de convulsion, comme l'épilepsie ou une infection plus grave. Le traitement se concentre généralement sur la réduction de la fièvre et l'administration de soins de soutien.

La carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il fonctionne en réduisant les saisies nerveuses excessives dans le cerveau. Dans certains cas, il peut également être prescrit hors indication pour traiter d'autres conditions telles que les troubles bipolaires.

Le médicament est disponible sous forme de comprimés ou de suspension orale et doit être pris selon les directives d'un professionnel de la santé. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des vomissements, des maux de tête, des éruptions cutanées et une somnolence. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves ou affecter le nombre de cellules sanguines dans l'organisme.

Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de signaler tout effet indésirable à un professionnel de la santé. La carbamazépine peut interagir avec d'autres médicaments, y compris certains antidépresseurs, antibiotiques et contraceptifs oraux, il est donc essentiel d'informer le médecin de tous les autres médicaments pris.

En résumé, la carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il doit être pris sous surveillance médicale stricte en raison des risques potentiels d'effets secondaires graves et d'interactions médicamenteuses.

La décérébration est un terme médical qui décrit un état de réponse neurologique anormale, caractérisé par une posture musculaire exagérée et des réflexes anormaux. Cela se produit lorsqu'il y a une interruption complète ou presque complète des voies nerveuses qui vont du cerveau à la moelle épinière dans la région du tronc cérébral.

Dans un état de décérébration, les réflexes primitifs sont exacerbés car ils ne sont plus inhibés par les parties supérieures du cerveau. Cela peut entraîner une extension des membres inférieux et une flexion des membres supérieurs lorsque le corps est manipulé. La décérébration est souvent un signe de lésions cérébrales graves, telles qu'un traumatisme crânien sévère, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale.

Il est important de noter que la décérébration n'est pas un diagnostic en soi, mais plutôt un signe qui peut aider à indiquer la gravité et la localisation d'une lésion cérébrale. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'état de décérébration.

Le statut épileptique est une condition médicale grave caractérisée par une crise épileptique prolongée ou deux crises successives sans que la personne ne retrouve un état de conscience normal entre les deux. Il s'agit d'une urgence médicale qui nécessite une prise en charge rapide, car elle peut entraîner des dommages cérébraux permanents ou même la mort si elle n'est pas traitée rapidement.

Les crises épileptiques sont généralement définies comme étant prolongées si elles durent plus de cinq minutes, bien que certaines sources puissent considérer qu'une crise qui dure plus de trois minutes est déjà anormale et nécessite une intervention médicale urgente.

Les causes du statut épileptique peuvent être variées, allant de facteurs déclenchants tels que le stress, la fièvre ou l'absence de traitement adéquat d'une crise épileptique préexistante, à des causes plus graves telles qu'un traumatisme crânien, une infection cérébrale, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale.

Le traitement du statut épileptique dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants, une oxygénothérapie, une surveillance étroite de la fonction cardiorespiratoire et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. Dans tous les cas, il est essentiel de consulter rapidement un médecin en cas de suspicion de statut épileptique.

La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.

Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.

Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.

Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

Une lobectomie temporale antérieure est une procédure chirurgicale dans laquelle une partie ou la totalité du lobe temporal du cerveau est enlevée. Cette région du cerveau se trouve derrière l'os situé à la tempe et contient des structures importantes telles que l'hippocampus, qui joue un rôle crucial dans la formation de la mémoire.

Dans le cas d'une lobectomie temporale antérieure, c'est généralement une partie du lobe temporal qui est retirée, souvent comme traitement pour des crises d'épilepsie réfractaires (qui ne répondent pas aux autres formes de traitement). Cette procédure vise à éliminer la source des crises épileptiques en retirant le tissu cérébral endommagé ou mal fonctionnant.

Il est important de noter que cette intervention comporte des risques, tels que des changements possibles dans les capacités cognitives et émotionnelles, car le lobe temporal contient également des zones liées au langage, à l'audition et aux émotions. Par conséquent, une évaluation approfondie et un plan de traitement personnalisé sont nécessaires avant d'entreprendre cette procédure.

Le réflexe H, également connu sous le nom de réflexe palmo-mentonnier ou réflexe de Hoffmann, est un réflexe involontaire de la fermeture des doigts qui est déclenché en stimulant le tendon flexor digital communis d'un doigt. Ce réflexe est généralement évalué lors de l'examen neurologique et peut indiquer une lésion au niveau du faisceau corticospinal ou de la moelle épinière.

Dans un contexte clinique, le réflexe H est testé en pliant brusquement la distale phalange d'un doigt vers la paume de la main, ce qui provoque une contraction involontaire des muscles fléchisseurs des doigts et une flexion des interphalangiennes proximales. Ce réflexe est asymétrique ou absent chez les personnes en bonne santé, mais il peut être exagéré ou présent du côté affecté chez les personnes atteintes de certaines affections neurologiques, telles que la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale.

Il est important de noter que le réflexe H peut être absent chez les personnes âgées ou celles qui ont des neuropathies périphériques, il doit donc être interprété dans le contexte de l'examen neurologique complet.

Le Piracétam est un médicament cognitivement stimulant, appartenant à la classe des nootropiques. Il est largement utilisé dans le traitement de divers troubles neurologiques et cognitifs, tels que la démence, les troubles de l'apprentissage et de la mémoire, ainsi que pour aider à prévenir les accidents vasculaires cérébraux et améliorer les fonctions cérébrales globales.

Le Piracétam agit en modulant l'activité des neurotransmetteurs dans le cerveau, tels que l'acétylcholine et le glutamate, ce qui peut entraîner une amélioration de la mémoire, de l'humeur, de la concentration et de la capacité d'apprentissage. Il est également connu pour améliorer la circulation sanguine dans le cerveau, ce qui peut aider à protéger les cellules cérébrales contre les dommages et à favoriser leur survie.

Le Piracétam est disponible sous forme de comprimés, de gélules ou de solution liquide et est généralement bien toléré, avec peu d'effets secondaires graves signalés. Cependant, il est important de noter que l'utilisation du Piracétam doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié, car il peut interagir avec d'autres médicaments et conditions médicales préexistantes.

Un réflexe de redressement est un type de réflexe involontaire qui permet à un individu de maintenir ou de rétablir rapidement et automatiquement l'équilibre et la posture du corps en réponse à des changements dans sa position ou dans son environnement. Ces réflexes sont cruciaux pour la coordination, la stabilité et la prévention des chutes, en particulier pendant les activités dynamiques telles que la marche, la course ou les mouvements brusques.

Les réflexes de redressement peuvent être divisés en deux catégories principales : les réflexes de redressement du tronc et des membres. Les réflexes de redressement du tronc impliquent principalement la coordination entre le système vestibulaire, le système visuel et les muscles du tronc pour maintenir l'équilibre et la posture du corps dans son ensemble. Les réflexes de redressement des membres, en revanche, sont spécifiquement liés aux mouvements et à la coordination des bras et des jambes.

Les réflexes de redressement sont généralement activés lorsque les capteurs sensoriels du corps, tels que les récepteurs vestibulaires dans l'oreille interne ou les propriocepteurs dans les muscles et les articulations, détectent un changement dans la position ou le mouvement du corps. Ces informations sont ensuite transmises au cerveau, où elles sont traitées et intégrées avec d'autres entrées sensorielles pour générer une réponse motrice appropriée.

Les réflexes de redressement peuvent être affectés par divers facteurs, tels que l'âge, les lésions cérébrales, les maladies neurologiques ou les affections musculo-squelettiques. Par exemple, chez les personnes âgées, les réflexes de redressement peuvent être affaiblis ou ralentis, ce qui augmente le risque de chutes et de blessures. De même, certaines maladies neurologiques, telles que la sclérose en plaques ou la maladie de Parkinson, peuvent altérer les réflexes de redressement et entraîner des difficultés de coordination et d'équilibre.

Dans l'ensemble, les réflexes de redressement sont un mécanisme essentiel qui permet au corps de maintenir son équilibre et sa stabilité pendant le mouvement et la posture. Bien qu'ils puissent être affectés par divers facteurs, des exercices et des interventions thérapeutiques spécifiques peuvent aider à améliorer les réflexes de redressement et à prévenir les chutes et les blessures associées.

La définition médicale des "Myoclonies Progessives" ou "Epilepsies Myocloniques Progressives" (EMP) est un groupe de troubles neurologiques caractérisés par la présence de myoclonies, qui sont des secousses musculaires brusques et involontaires, ainsi que d'autres types de crises épileptiques. Les myoclonies peuvent affecter n'importe quel muscle du corps, mais elles sont souvent observées dans les membres supérieurs et inférieurs.

Les EMP sont considérées comme progressives car les symptômes ont tendance à s'aggraver avec le temps. Les personnes atteintes de ces troubles peuvent présenter des difficultés croissantes pour effectuer des tâches quotidiennes, telles que marcher, parler ou manger, en raison de l'aggravation des myoclonies et d'autres symptômes.

Les EMP peuvent être causées par diverses affections sous-jacentes, notamment des maladies génétiques, des infections cérébrales, des traumatismes crâniens ou des tumeurs cérébrales. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue même après une évaluation approfondie.

Le traitement des EMP dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises épileptiques, ainsi que des thérapies de réadaptation pour aider à gérer les difficultés fonctionnelles. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour traiter les foyers épileptogènes spécifiques dans le cerveau.

Le réflexe oculocardiaque, également connu sous le nom de réflexe d'Aschner ou de réflexe de divergence accommodative, est un réflexe physiologique dans lequel la stimulation des récepteurs situés dans les muscles oculaires entraîne une bradycardie, c'est-à-dire une diminution de la fréquence cardiaque. Ce réflexe est déclenché lorsque les yeux se déplacent soudainement vers les côtés (divergence) ou lorsqu'il y a un changement rapide de la convergence oculaire, comme lors du passage d'un objet proche à un objet éloigné.

Le réflexe oculocardiaque est médié par le nerf oculomoteur (nerf crânien III) et le nerf vague (nerf crânien X). Lorsque les muscles oculaires se déplacent brusquement, ils stimulent les récepteurs situés dans les muscles oculomoteurs, ce qui envoie des signaux au cerveau via le nerf oculomoteur. Ces signaux sont ensuite transmis au noyau ambigu du bulbe rachidien via le tractus vestibulaire médian, entraînant une activation du nerf vague et une réduction de l'activité du système nerveux sympathique. Cela se traduit par une diminution de la fréquence cardiaque et une possible baisse de la pression artérielle.

Le réflexe oculocardiaque est généralement considéré comme un mécanisme de protection, permettant de réguler la circulation sanguine en cas de changements brusques dans les mouvements des yeux et de prévenir ainsi d'éventuels dommages aux yeux. Cependant, chez certaines personnes, ce réflexe peut être exagéré et entraîner des symptômes tels que des étourdissements, une syncope ou une chute de la pression artérielle en réponse à des mouvements rapides des yeux. Dans ces cas, il est important de consulter un médecin pour évaluer la cause sous-jacente et déterminer le traitement approprié.

Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.

Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.

Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.

Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.

Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.

Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.

Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.

Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.

Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un important nerf crânien qui émerge du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il s'agit du dixième nerf crânien et il a une fonction bothale, ce qui signifie qu'il contient des fibres motrices somatiques et viscérales, ainsi que des fibres sensorielles.

Les fibres motrices somatiques du nerf vague innervent les muscles de la déglutition, du palais mou, du pharynx et des cordes vocales. Les fibres viscérales motrices régulent les activités involontaires des organes internes tels que le cœur, les poumons, le foie, l'estomac et les intestins.

Les fibres sensorielles du nerf vague transmettent des informations sensorielles provenant de ces mêmes organes internes au cerveau, y compris les sensations de distension gastrique, la position du diaphragme et le rythme cardiaque.

Le nerf vague joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque, ainsi que dans les réflexes de protection tels que la toux et la déglutition.

Les barorécepteurs sont des récepteurs sensoriels spécialisés qui détectent les changements de pression dans les vaisseaux sanguins. Ils se trouvent principalement dans la paroi des artères carotides et aortiques, qui sont des vaisseaux sanguins majeurs.

Les barorécepteurs envoient des signaux au système nerveux autonome en réponse aux changements de pression artérielle. Lorsque la pression artérielle augmente, les barorécepteurs détectent cette augmentation et transmettent des signaux inhibiteurs au système nerveux autonome pour ralentir le rythme cardiaque et dilater les vaisseaux sanguins. Cela permet de réduire la pression artérielle et de maintenir l'homéostasie de la pression artérielle.

Inversement, lorsque la pression artérielle diminue, les barorécepteurs détectent cette baisse et transmettent des signaux excitateurs au système nerveux autonome pour accélérer le rythme cardiaque et contracter les vaisseaux sanguins. Cela permet d'augmenter la pression artérielle et de maintenir l'homéostasie de la pression artérielle.

Les barorécepteurs jouent donc un rôle crucial dans la régulation de la pression artérielle et du débit cardiaque, en aidant à maintenir une pression artérielle stable et à prévenir les fluctuations dangereuses de la pression artérielle.

La mort subite est un décès soudain et inattendu, généralement survenant dans les heures qui suivent l'apparition des symptômes ou au cours d'une activité apparemment sans danger. Dans la plupart des cas, elle est causée par une insuffisance cardiaque aiguë due à des arythmies ventriculaires malignes, telles que la fibrillation ventriculaire ou la torsade de pointes. Cependant, d'autres causes peuvent également être à l'origine d'une mort subite, notamment un infarctus du myocarde massif, une embolie pulmonaire massive, une hypertension maligne, une rupture aortique ou certaines maladies neurologiques.

Il est important de noter que la mort subite ne doit pas être confondue avec le décès soudain d'une personne qui était précédemment en bonne santé et n'avait aucun antécédent médical connu. Ce dernier scénario peut également être qualifié de décès subit, mais il ne relève pas nécessairement de la définition strictement médicale de la mort subite.

En outre, il existe des différences entre la mort subite cardiaque et la mort subite d'origine non cardiaque. La première est spécifiquement liée à des troubles cardiovasculaires, tandis que la seconde peut être due à une variété de causes, y compris respiratoires, neurologiques, infectieuses ou autres.

Dans le domaine médical, la mort subite fait souvent référence à la mort subite cardiaque, qui est un problème de santé publique majeur et la principale cause de décès chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Des stratégies de prévention et de traitement sont mises en œuvre pour tenter de réduire le risque de mort subite, telles que l'utilisation d'un défibrillateur automatisé externe (DAE) et la mise en place de programmes de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) dans les lieux publics.

Le valproate est un médicament utilisé dans le traitement des troubles neurologiques et psychiatriques. Il est disponible sous différentes formes, notamment l'acide valproïque, le valproate de sodium et le valpromidate. Le valproate est principalement prescrit pour le traitement des crises d'épilepsie, car il peut aider à réduire la fréquence et l'intensité des convulsions. Il est également utilisé dans le traitement du trouble bipolaire et de la migraine.

Le valproate agit en augmentant les niveaux de neurotransmetteurs inhibiteurs dans le cerveau, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique), ce qui aide à réguler l'activité électrique anormale des neurones. Les effets secondaires courants du valproate peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des étourdissements, des maux de tête et des troubles de la coordination.

Il est important de noter que le valproate peut avoir des effets tératogènes importants pendant la grossesse, entraînant un risque accru de malformations congénitales graves chez le fœtus. Par conséquent, il est généralement recommandé d'éviter l'utilisation du valproate pendant la grossesse si possible, et les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement.

Le signe de Babinski, également connu sous le nom de réflexe de Babinski, est un test utilisé en neurologie clinique pour évaluer l'intégrité du système nerveux central. Il consiste à stimuler la plante du pied d'une personne, généralement en utilisant un objet pointu ou affilé comme un stylo ou un grattoir, en le faisant glisser le long de la face externe de la plante du pied, en partant de l'héel vers les orteils.

La réponse normale chez les nourrissons de moins de 12 mois est une flexion des orteils, ce qui indique un réflexe plantaire normal. Cependant, chez les personnes âgées de plus d'un an, la réponse normale est une extension ou une flexion dorsale du gros orteil (hallux) avec fanned spread of the other toes, ce qui est connu comme le signe de Babinski positif.

Un signe de Babinski positif peut indiquer des lésions au niveau de la moelle épinière ou des voies nerveuses ascendantes dans le cerveau, telles que celles observées dans les maladies dégénératives du système nerveux central, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'inflammation du cerveau ou de la moelle épinière, ou l'exposition à des toxines neurologiques. Il est important de noter que certains médicaments et conditions peuvent affecter le réflexe de Babinski, il est donc essentiel d'interpréter ce signe dans le contexte clinique global du patient.

Un clignement palpébral est un mouvement rapide et réflexe des paupières qui se produit lorsque les yeux sont ouverts. Il s'agit d'un mécanisme de protection naturel qui permet de lubrifier la surface de l'œil en répartissant les larmes et en éliminant les corps étrangers ou les impuretés qui pourraient s'y être déposés.

Le clignement palpébral est déclenché par un signal nerveux envoyé depuis le nerf facial (VIIe nerf crânien) vers les muscles responsables de la fermeture des paupières, appelés muscle orbiculaire de l'œil. Ce réflexe peut être intentionnel ou involontaire et se produit en moyenne entre 15 et 20 fois par minute.

Des modifications du rythme ou de l'amplitude des clignements palpébraux peuvent être le signe d'affections oculaires, neurologiques ou psychiatriques sous-jacentes. Par exemple, une fréquence excessive de clignements peut indiquer un syndrome de sécheresse oculaire, un trouble de l'attention ou un trouble obsessionnel-compulsif, tandis qu'une diminution de la fréquence des clignements peut être associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson.

L'hippocampus est une structure du cerveau en forme de cheval de mer, située dans la région médiale temporale du lobe temporal. Il joue un rôle crucial dans le processus de formation de la mémoire à long terme, en particulier pour les souvenirs déclaratifs et spatiaux. Les neurones de l'hippocampus sont également importants pour la navigation et la reconnaissance des environnements. Des anomalies ou des dommages à cette région peuvent entraîner des troubles de la mémoire, tels que ceux observés dans la maladie d'Alzheimer.

Les malformations du développement cortical (MDC) représentent un groupe hétérogène d'anomalies congénitales du cerveau qui affectent la structure et la fonction du cortex cérébral. Elles résultent de perturbations survenant pendant la période critique du développement neuronal, qui s'étend de la neuvième semaine de gestation à la fin de la vingt-quatrième semaine.

Les MDC peuvent être classées en trois catégories principales :

1. Malformations focales : Elles sont dues à des anomalies localisées dans une région spécifique du cortex cérébral. Les exemples incluent la schizencéphalie, l'ectopie péricentrique et l'hétérotopie sous-corticale.
2. Malformations diffuses : Elles concernent des anomalies plus largement réparties dans le cortex cérébral. Les exemples comprennent la lissencéphalie, la pachygyrie et la polymicrogyrie.
3. Malformations mixtes : Elles combinent à la fois des caractéristiques focales et diffuses.

Les MDC peuvent être causées par des facteurs génétiques, environnementaux ou une combinaison des deux. Les conséquences cliniques varient considérablement en fonction de l'étendue et de la localisation des anomalies, allant d'un retard mental léger à une déficience intellectuelle sévère, ainsi qu'à des troubles moteurs, épileptiques et sensoriels. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, telle que l'IRM, et peut être confirmé par des tests génétiques moléculaires. Le traitement est généralement symptomatique et dépend de la présentation clinique spécifique de chaque patient.

Le réflexe cutané abdominal, également connu sous le nom de signe de Blumberg, est un signe physique utilisé en médecine pour aider au diagnostic d'une possible irritation péritonéale, comme dans le cas d'une appendicite aiguë.

Il est élicité en appliquant brusquement une pression profonde avec les doigts sur la paroi abdominale antérieure, généralement dans la région des fossettes iliaques, puis en relâchant soudainement cette pression. La réaction normale est un léger retrait de l'abdomen, mais en cas d'irritation péritonéale, cela provoque une vive douleur qui entraîne une contraction plus marquée et visible du muscle droit de l'abdomen, connue sous le nom de réflexe cutané abdominal.

Cependant, il est important de noter que ce réflexe peut être absent ou atypique dans certaines conditions normales, surtout chez les personnes âgées, les obèses, les enceintes et certains patients neurologiques. Par conséquent, son absence ne doit pas exclure une irritation péritonéale et sa présence doit être corrélée avec d'autres signes cliniques pour poser un diagnostic.

Je suis désolé, "chats" est un terme trop large et couramment utilisé pour désigner un groupe d'espèces de mammifères carnivores domestiqués. Il n'existe pas de définition médicale spécifique pour "chats". Cependant, en médecine vétérinaire, les chats peuvent être affectueusement appelés "patients à fourrure" et ils peuvent souffrir de diverses maladies et affections, tout comme les humains.

Quelques exemples de problèmes de santé courants chez les chats comprennent les infections des voies urinaires, les parasites internes (comme les vers intestinaux), l'obésité, le diabète sucré, les maladies dentaires et les troubles gastro-intestinaux. Il est important de noter que les chats doivent recevoir des soins médicaux réguliers, y compris des examens vétérinaires annuels et des vaccinations, pour maintenir leur santé et prévenir les maladies.

Le lobe temporal est une région de l'encéphale (cerveau) situé dans la partie inférieure et latérale de chaque hémisphère cérébral. Il est délimité par les sillons latéraux et occipitaux. Le lobe temporal contient plusieurs structures importantes, dont le gyrus hippocampique et l'amygdale, qui sont associées à la mémoire et aux émotions. Cette région du cerveau est également responsable de l'audition et du traitement des informations auditives complexes, y compris la compréhension du langage parlé. Des dommages au lobe temporal peuvent entraîner des troubles de la mémoire, des difficultés d'apprentissage, des problèmes de langage et des changements dans le comportement émotionnel.

La psychochirurgie, également connue sous le nom de neurochirurgie fonctionnelle ou de chirurgie cérébrale stéréotaxique, est un type de procédure neurochirurgicale qui implique l'altération délibérée des structures cérébrales pour traiter certaines conditions mentales et neurologiques graves et réfractaires. Historiquement, la psychochirurgie a été pratiquée dans le passé pour traiter une variété de troubles mentaux, tels que la schizophrénie et la dépression sévère, mais elle est actuellement largement limitée à des indications très spécifiques et restreintes.

Les procédures de psychochirurgie consistent généralement à créer de petites lésions dans certaines régions ciblées du cerveau en utilisant diverses techniques, telles que la thermocoagulation par radiofréquence, la stimulation ultrasonique focalisée des faisceaux ou le traitement au gamma-knife. Ces interventions sont conçues pour modifier de manière sélective la connectivité et la fonctionnalité des circuits neuronaux impliqués dans les processus pathologiques sous-jacents aux troubles mentaux ciblés.

Actuellement, les indications approuvées pour la psychochirurgie comprennent principalement le traitement de certaines affections neurologiques et psychiatriques graves et réfractaires, telles que:

1. Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sévères et réfractaires: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les noyaux gris centraux ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

2. Épilepsie réfractaire: Lorsque les médicaments et d'autres traitements ne parviennent pas à contrôler efficacement les crises épileptiques, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des crises.

3. Douleur chronique réfractaire: Dans certains cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les voies de la douleur pour soulager les symptômes chez les patients atteints de douleurs chroniques sévères et réfractaires.

4. Syndrome de Gilles de la Tourette (SGT) sévère et réfractaire: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans le thalamus ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

5. Maladie de Parkinson avancée: Lorsque les médicaments ne parviennent pas à contrôler efficacement les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des symptômes.

Il est important de noter que ces interventions sont considérées comme des traitements de dernier recours et ne sont envisagées qu'après l'échec d'autres options thérapeutiques moins invasives. De plus, les risques et les avantages doivent être soigneusement évalués au cas par cas pour chaque patient.

L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.

Le réflexe pharyngé, également connu sous le nom de réflexe nasopharyngé ou réflexe de déglutition, est un réflexe involontaire qui permet de protéger les voies respiratoires inférieures contre l'aspiration de liquides ou de solides. Il se déclenche lorsque des stimuli tactiles sont détectés dans la région du nasopharynx, du rhinopharynx ou de l'arrière de la langue.

Ce réflexe entraîne une série de contractions musculaires qui permettent de fermer la glotte (l'ouverture entre les cordes vocales), d'élever le larynx et de contracter les muscles du pharynx, créant ainsi une voie fermée pour l'air et une voie ouverte pour la déglutition. Ce réflexe est essentiel pour assurer une alimentation normale et une protection adéquate des voies respiratoires inférieures.

Des anomalies du réflexe pharyngé peuvent être associées à des troubles tels que l'apnée obstructive du sommeil, les fausses routes alimentaires ou les difficultés de déglutition.

Benigne Neonatal Epilepsy (BNE) est un type rare d'épilepsie qui se produit chez les nouveau-nés pendant les premiers mois de leur vie. Le terme "benign" est utilisé ici pour décrire le fait que l'état est généralement autolimité et a tendance à disparaître spontanément au cours de la première ou deuxième année de vie, sans causer de dommages neurologiques permanents.

Les crises associées à BNE sont souvent caractérisées par des mouvements cloniques (des contractions rythmiques) d'un seul groupe musculaire ou d'un côté du corps. Ces crises peuvent être déclenchées par le réveil, l'alimentation ou d'autres stimuli sensoriels.

BNE est souvent causé par des mutations génétiques spécifiques et peut se produire dans le cadre de certaines syndromes neurogénétiques. Cependant, dans certains cas, la cause sous-jacente peut rester inconnue. Le diagnostic repose généralement sur l'observation des crises, l'historique clinique et les résultats d'examens complémentaires tels que l'EEG (électroencéphalogramme) et l'IRM (imagerie par résonance magnétique).

Il est important de noter que, bien que BNE soit considéré comme bénin en raison de son caractère autolimité, une prise en charge appropriée des crises est nécessaire pour prévenir les complications à court terme et assurer le confort et le bien-être du nouveau-né.

Une diète cétogène est un type de régime alimentaire à très faible teneur en glucides et riche en graisses qui est conçu pour imiter les effets métaboliques du jeûne. Lorsqu'une personne suit un régime cétogène, son corps passe à un état de cétose, où il brûle les graisses pour l'énergie au lieu des glucides.

Ce processus entraîne la production accrue de molécules appelées cétones, qui peuvent être utilisées comme source d'énergie alternative pour le cerveau et d'autres organes. Les régimes cétogènes sont souvent utilisés dans le traitement de certaines conditions médicales, telles que l'épilepsie réfractaire chez les enfants, ainsi que dans la gestion du poids et le contrôle de la glycémie chez les personnes atteintes de diabète de type 2.

Les régimes cétogènes sont généralement très restrictifs en termes de glucides et peuvent inclure des aliments tels que des viandes, des poissons, des œufs, des produits laitiers gras, des noix et des légumes à faible teneur en glucides. Les aliments riches en glucides tels que les céréales, les fruits, les légumineuses et les sucres ajoutés sont généralement évités.

Il est important de noter que les régimes cétogènes ne sont pas appropriés pour tout le monde et peuvent entraîner des effets secondaires indésirables tels que la constipation, la fatigue, les nausées et les maux de tête. Avant de commencer un régime cétogène, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour déterminer si cela convient à vos besoins et à votre état de santé général.

La stimulation du nerf vague (VNS) est une procédure médicale dans laquelle un dispositif implantable génère des impulsions électriques qui sont transmises à un nerf crânien spécifique, le nerf vague. Le nerf vague est le dixième nerf crânien pair et il a des branches qui innervent de nombreuses structures dans le cerveau et le corps.

Dans la stimulation du nerf vague, un générateur d'impulsions électriques est implanté chirurgicalement dans la poitrine du patient, et un fil conducteur est enroulé autour du nerf vague dans le cou. Le générateur d'impulsions peut être programmé pour délivrer des impulsions électriques à des intervalles prédéterminés ou lorsque des événements spécifiques se produisent, tels qu'une crise convulsive dans le traitement de l'épilepsie.

La stimulation du nerf vague est approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement de certaines formes d'épilepsie réfractaire et de certains types de dépression résistante au traitement. Il peut également être utilisé hors AMM pour traiter une variété d'autres conditions, telles que les migraines, l'anxiété, le syndrome des jambes sans repos et la douleur chronique.

Les effets secondaires de la stimulation du nerf vague peuvent inclure une toux, une voix rauque ou enrouée, une sensation d'étourdissement ou une gêne au niveau du site d'implantation. Ces effets secondaires sont généralement légers et transitoires.

Les voies afférentes, également connues sous le nom de voies sensorielles ou voies d'entrée, sont des fibres nerveuses qui transportent les informations sensorielles provenant des organes sensoriels vers le système nerveux central. Ces informations peuvent inclure des stimuli tels que la douleur, le toucher, la température, l'audition, la vision et le goût. Les voies afférentes se terminent dans le thalamus du cerveau, qui sert de relais pour les signaux sensoriels avant qu'ils ne soient transmis à d'autres parties du cerveau pour être traités et interprétés.

En médecine, l'embrasement (ou conflagration en termes plus formels) est un terme utilisé pour décrire une situation où il y a une propagation rapide et incontrôlable d'une maladie, d'une infection ou d'une réaction inflammatoire dans tout le corps. Cela peut se produire lorsqu'un processus pathologique local s'étend rapidement à travers la circulation sanguine, entraînant une défaillance potentiellement mortelle de plusieurs organes.

Un exemple courant est l'embrasement septique, qui survient lorsque le système immunitaire réagit de manière excessive à une infection, libérant une cascade de cytokines et d'autres molécules inflammatoires dans la circulation sanguine. Cela peut entraîner une inflammation généralisée, une hypotension, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et d'autres complications graves.

Le traitement de l'embrasement nécessite une prise en charge agressive et rapide, y compris des soins intensifs, une antibiothérapie à large spectre, une thérapie de support et souvent des interventions telles que la dialyse rénale ou la ventilation mécanique.

La latéralité fonctionnelle est un terme utilisé en médecine et en neurologie pour décrire la préférence ou la dominance d'un côté du corps dans certaines fonctions cognitives ou motrices. Il s'agit essentiellement de la capacité à utiliser de manière privilégiée et prédominante un côté du corps, généralement le droit ou le gauche, pour effectuer des tâches spécifiques.

Cette dominance latérale se manifeste souvent dans les domaines moteurs (utilisation préférentielle de la main, du pied, etc.) et sensoriels (perception auditive, visuelle, etc.). La plupart des gens sont droitiers, ce qui signifie qu'ils utilisent principalement leur main droite pour écrire, manger ou effectuer d'autres activités complexes. De même, ils peuvent également avoir une oreille préférée pour le téléphone ou un œil dominant pour la visée.

La latéralité fonctionnelle est généralement établie pendant la petite enfance et reste stable à travers de la vie adulte. Elle est liée au développement du cerveau, en particulier aux hémisphères cérébraux gauche et droit, qui sont spécialisés dans différentes fonctions cognitives. Par exemple, le langage et l'analyse logique sont souvent traités par l'hémisphère gauche, tandis que les processus spatiaux et créatifs peuvent être plus associés à l'hémisphère droit.

Cependant, il est important de noter qu'il existe des variations individuelles considérables dans la latéralité fonctionnelle, et certaines personnes peuvent ne pas avoir de dominance claire d'un côté du corps. Ces cas sont appelés ambidextrie ou ambiguïté latérale.

Les neurones afférents, également connus sous le nom de neurones sensoriels ou neurones sensorielles, sont une catégorie de neurones qui transmettent des informations en provenance de l'environnement extérieur ou des organes internes vers le système nerveux central. Ils constituent la première partie du chemin sensoriel et sont responsables de la détection et de la transduction des stimuli physiques, chimiques ou mécaniques en impulsions électriques, appelées potentiels d'action.

Ces neurones afférents ont leurs cellules situées dans les organes sensoriels tels que la rétine pour la vision, la cochlée pour l'audition, ou encore dans la peau pour le toucher. Les axones de ces neurones se regroupent ensuite en nerfs crâniens ou spinaux pour transmettre les informations au cerveau ou à la moelle épinière.

En résumé, les neurones afférents sont des neurones sensoriels qui détectent et transmettent des stimuli vers le système nerveux central, permettant ainsi la perception consciente de notre environnement et de notre état interne.

Je suis désolé, mais "Enregistrement Vidéo" en soi n'est pas une définition médicale spécifique. Cependant, l'enregistrement vidéo peut être utilisé dans un contexte médical pour documenter des procédures médicales, des consultations, des entretiens ou des symptômes visibles du patient. Ces enregistrements sont utilisés à des fins de surveillance, d'enseignement, de recherche et de documentation médico-légale. Ils doivent être réalisés avec le consentement éclairé du patient, sauf dans certaines circonstances spécifiques où la loi l'autorise sans ce consentement.

Les mécanorécepteurs sont des types spécifiques de récepteurs sensoriels qui détectent et répondent aux stimuli mécaniques dans le corps. Ils convertissent les stimuli physiques, tels que la pression, l'étirement ou la vibration, en signaux électriques qui sont transmis au système nerveux central.

Il existe plusieurs types de mécanorécepteurs, chacun ayant une fonction et une sensibilité différentes. Par exemple, les corpuscules de Pacini détectent la vibration et les changements de pression profonde, tandis que les corpuscules de Meissner répondent aux légères pressions et à la texture de la surface.

Les mécanorécepteurs sont essentiels pour maintenir la proprioception, qui est la conscience de la position et du mouvement des parties du corps. Ils jouent également un rôle important dans la protection des tissus corporels en détectant les dommages potentiels, tels que les étirements excessifs ou les pressions élevées, et en déclenchant une réponse réflexe pour éviter d'autres dommages.

Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.

La dystrophie sympathique réflexe (DSR), également connue sous le nom de syndrome de Sudeck ou d'algodystrophie, est une condition rare et mal comprise qui affecte généralement les membres après une blessure ou une intervention chirurgicale. Il s'agit d'une forme complexe de douleur régionale compliquée (CRPS) de type 1.

La DSR se caractérise par un ensemble de symptômes, notamment des douleurs intenses et persistantes, une sensibilité accrue au toucher, une raideur articulaire, une diminution de la force musculaire, des changements cutanés (tels que la peau fine, moite et décolorée) et des modifications osseuses. Ces symptômes peuvent apparaître progressivement et s'aggraver avec le temps, entraînant une altération significative de la fonction et de la qualité de vie du patient.

Bien que les mécanismes exacts à l'origine de la DSR ne soient pas complètement élucidés, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs, notamment des troubles neurovasculaires et auto-immuns. Le traitement de la DSR implique généralement une approche multidisciplinaire comprenant des médicaments contre la douleur, une physiothérapie et des interventions psychologiques pour aider à gérer les symptômes et prévenir les complications.

La phénytoïne est un anticonvulsivant, utilisé principalement dans le traitement et la prévention des crises épileptiques. Il agit en régulant l'activité électrique dans le cerveau en réduisant l'excitabilité neuronale. La phénytoïne est également utilisée dans le traitement du trouble bipolaire et comme anti-arythmique pour certains types de battements cardiaques irréguliers. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, une somnolence, des nausées, des éruptions cutanées et des problèmes de coordination. Des niveaux sanguins excessifs de phénytoïne peuvent entraîner une toxicité, qui peut se manifester par des symptômes tels que des tremblements, une vision double, une confusion, une perte d'équilibre et une sensation de engourdissement ou picotement dans les mains et les pieds.

La vigabatrine est un anticonvulsivant, un type de médicament utilisé pour traiter l'épilepsie. Il agit en bloquant certains neurotransmetteurs dans le cerveau, ce qui aide à réduire la propagation de l'activité convulsive.

La vigabatrine est spécifiquement un inhibiteur de la gamma-aminobutyric acid transaminase (GABA-T), une enzyme qui dégrade l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur important dans le cerveau. En inhibant cette enzyme, la vigabatrine augmente les niveaux de GABA disponibles dans le cerveau, ce qui aide à contrôler l'activité convulsive.

La vigabatrine est souvent utilisée pour traiter les crises partielles complexes et les crises tonico-cloniques généralisées chez les adultes et les enfants de plus de 2 ans. Elle peut être prise seule ou en combinaison avec d'autres médicaments anticonvulsivants.

Les effets secondaires courants de la vigabatrine comprennent des étourdissements, une somnolence, des maux de tête, des nausées et des vomissements. Dans de rares cas, elle peut également causer des problèmes oculaires graves tels qu'une vision floue ou une perte de vision périphérique. Par conséquent, les patients prenant de la vigabatrine doivent faire l'objet d'un suivi régulier pour dépister tout effet indésirable sur la vue.

La stimulation physique, dans un contexte médical, se réfère à l'utilisation de différentes méthodes ou techniques pour encourager des réponses fonctionnelles ou physiologiques dans le corps. Cela peut inclure l'utilisation de divers types de stimuli externes tels que la lumière, le son, le toucher, ou des agents physiques comme l'électricité, le froid, la chaleur, ou l'exercice.

Par exemple, dans la physiothérapie, la stimulation physique peut être utilisée pour aider à réduire la douleur, à améliorer la circulation sanguine, à renforcer les muscles, à augmenter la mobilité articulaire, ou à rétablir la fonction après une blessure ou une maladie. Dans le traitement de certaines conditions neurologiques, comme le trouble de stress post-traumatique ou la paralysie, des dispositifs de stimulation électrique peuvent être utilisés pour activer sélectivement des nerfs spécifiques et ainsi aider à rétablir certaines fonctions.

Cependant, il est important de noter que la stimulation physique doit être administrée avec soin et sous la supervision d'un professionnel de santé compétent, car une mauvaise utilisation peut entraîner des effets indésirables ou des blessures.

Les électrodes implantées sont des dispositifs médicaux utilisés dans le traitement de diverses affections neurologiques et cardiaques. Elles sont insérées chirurgicalement dans des parties spécifiques du corps, telles que le cerveau, la moelle épinière ou le muscle cardiaque.

Dans le cerveau, elles peuvent être utilisées pour stimuler certaines régions afin de contrôler les mouvements dans des maladies comme la maladie de Parkinson ou pour traiter l'épilepsie en détectant et en interrompant les crises. Dans le muscle cardiaque, elles sont souvent utilisées dans les dispositifs de resynchronisation cardiaque pour aider à coordonner la contraction du cœur chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque congestive sévère.

Les électrodes implantées consistent généralement en un fil ou une sonde conductrice avec un ou plusieurs éléments d'enregistrement ou de stimulation à son extrémité. Ces éléments sont souvent recouverts d'un matériau biocompatible pour réduire le risque de rejet par le corps. Le fil est ensuite passé sous la peau jusqu'à ce qu'il atteigne un boîtier externe qui contient la batterie et l'électronique nécessaires pour traiter les signaux.

Comme avec toute intervention chirurgicale, il existe des risques associés à l'implantation d'électrodes, tels que l'infection, la migration de l'électrode et les réactions indésirables du corps. Cependant, pour de nombreux patients, les avantages de ce traitement peuvent dépasser ces risques.

Le baroréflexe, également connu sous le nom de réflexe du sinus carotidien ou réflexe cardiopulmonaire, est un mécanisme de régulation nerveuse automatique qui aide à maintenir la pression artérielle constante. Il fonctionne en détectant les changements dans la pression artérielle et en déclenchant des réponses pour compenser ces changements et rétablir l'homéostasie.

Le barorécepteur, qui est le capteur de ce réflexe, se trouve dans la paroi des artères carotides et aortiques. Lorsque la pression artérielle augmente, ces barorécepteurs sont étirés et activent les neurones sensoriels qui envoient des signaux au cerveau via le nerf glossopharyngien (IX) et le nerf vague (X).

Ces signaux sont traités dans le centre vasomoteur situé dans le bulbe rachidien, qui répond en modulant l'activité du système nerveux sympathique et parasympathique. En conséquence, la fréquence cardiaque et la force de contraction cardiaque sont ajustées pour réguler la pression artérielle.

Par exemple, lors d'une augmentation soudaine de la pression artérielle, le baroréflexe déclenche une réponse parasympathique qui ralentit la fréquence cardiaque et abaisse la tension artérielle. À l'inverse, en cas de baisse de la pression artérielle, le baroréflexe active le système nerveux sympathique pour accélérer la fréquence cardiaque et augmenter la tension artérielle.

Le baroréflexe est un mécanisme important qui aide à maintenir la stabilité de la pression artérielle et à prévenir les fluctuations dangereuses de la pression artérielle qui pourraient affecter l'apport sanguin au cerveau et aux autres organes vitaux.

Les spasmes infantiles, également connus sous le nom de syndrome de West ou d'épilepsie myoclonique du nourrisson, sont un type rare mais grave de convulsions et d'épilepsie chez les nourrissons. Ils se manifestent généralement entre 3 et 12 mois après la naissance.

Les spasmes infantiles se caractérisent par des mouvements soudains, rapides et brusques du corps ou des membres, qui durent moins de deux secondes. Ces mouvements ressemblent à ceux d'un chat qui étire ses pattes arrière. Les spasmes peuvent se produire en salves ou en séries, souvent après le réveil ou pendant le sommeil.

Les nourrissons atteints de cette condition peuvent également présenter un retard du développement et une perte des acquis précédemment atteints, tels que la capacité à s'asseoir, à ramper ou à parler. Les spasmes infantiles sont souvent associés à des anomalies cérébrales structurelles ou fonctionnelles, telles qu'une lésion cérébrale, une malformation congénitale ou une encéphalopathie.

Le traitement des spasmes infantiles implique généralement l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, tels que le vigabatrin ou le cannabidiol, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour soutenir le développement du nourrisson. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les lésions cérébrales sous-jacentes.

Le rythme cardiaque est la fréquence à laquelle le cœur d'un individu bat, généralement mesurée en battements par minute (bpm). Un rythme cardiaque normal au repos pour un adulte se situe généralement entre 60 et 100 bpm. Cependant, certains facteurs peuvent influencer ce taux, comme l'âge, la condition physique, les émotions, les maladies sous-jacentes et la prise de médicaments.

Le rythme cardiaque est contrôlé par un système électrique dans le cœur qui régule les contractions musculaires pour pomper le sang efficacement. Les médecins peuvent évaluer le rythme cardiaque en prenant le pouls, qui peut être ressenti à divers endroits du corps, tels que le poignet, le cou ou la cheville. Des variations du rythme cardiaque, telles qu'une fréquence cardiaque au repos inférieure à 60 bpm (bradycardie) ou supérieure à 100 bpm (tachycardie), peuvent indiquer des problèmes de santé sous-jacents et doivent être évalués par un professionnel de la santé.

La contraction musculaire est un processus physiologique où les fibres musculaires raccourcissent, s'épaississent et génèrent de la force. Cela se produit lorsque l'activité électrique stimule le muscle pour contracter, ce qui entraîne le mouvement des os ou d'autres structures corporelles. Les contractions musculaires peuvent être volontaires, comme soulever un objet, ou involontaires, comme le battement de cœur. Elles sont essentielles au fonctionnement normal du corps humain, permettant la mobilité, la circulation sanguine, la respiration et d'autres fonctions vitales.

La neurochirurgie est une spécialité médico-chirurgicale qui se concentre sur le diagnostic, le traitement et la gestion des conditions et des maladies affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et le système nerveux périphérique (nerfs crâniens, nerfs spinaux et leurs racines, plexus nerveux et ganglions). Les neurochirurgiens utilisent une combinaison de techniques chirurgicales ouvertes, mini-invasives et stéréotaxiques, ainsi que des traitements non chirurgicaux tels que la radiothérapie stéréotaxique, pour traiter des affections telles que les tumeurs cérébrales et de la moelle épinière, l'épilepsie, les anévrismes et dissections des artères intracrâniennes, les malformations vasculaires, les traumatismes crâniens et médullaires, les hernies discales, la sténose spinale, la maladie dégénérative du rachis, les infections du système nerveux central et d'autres pathologies neurologiques.

Le cortex cérébral, également connu sous le nom de cortex ou écorce, est la structure extérieure et la plus externe du cerveau. Il s'agit d'une fine couche de tissu nerveux gris qui recouvre les hémisphères cérébraux et joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions cognitives supérieures, telles que la perception sensorielle, la pensée consciente, la mémoire, l'attention, le langage, l'apprentissage et les décisions volontaires.

Le cortex cérébral est divisé en plusieurs régions ou lobes, chacun étant responsable de différents types de traitement de l'information. Les principaux lobes du cortex cérébral sont le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe temporal et le lobe occipital. Le cortex cérébral contient également des sillons et des circonvolutions qui augmentent la surface et la capacité de traitement de l'information du cerveau.

Le cortex cérébral est composé de deux types de cellules nerveuses : les neurones et les cellules gliales. Les neurones sont responsables du traitement et de la transmission des informations, tandis que les cellules gliales fournissent un soutien structurel et métabolique aux neurones.

Le cortex cérébral est une structure complexe et hautement organisée qui est le siège de nombreuses fonctions supérieures du cerveau. Des dommages au cortex cérébral peuvent entraîner des déficiences cognitives, sensorielles et motrices.

L'âge d'apparition, également connu sous le nom d'âge de début ou d'âge de survenue, fait référence à l'âge auquel une personne développe pour la première fois les symptômes ou manifestations d'une maladie, d'un trouble de santé mentale, d'un handicap ou d'autres conditions médicales. Il peut être exprimé en années, mois ou même semaines après la naissance, selon le type et la gravité de la condition concernée.

L'âge d'apparition est un aspect important du diagnostic et de la prise en charge médicale, car il peut fournir des indices sur les causes sous-jacentes de la maladie, influencer le choix des traitements et des interventions, et aider à prévoir l'évolution et le pronostic de la condition.

Par exemple, certaines maladies génétiques ou congénitales peuvent se manifester dès la naissance ou dans les premiers mois de vie, tandis que d'autres troubles, tels que la maladie d'Alzheimer ou la démence, ne se développent généralement qu'à un âge plus avancé. De même, certains troubles mentaux, comme l'autisme et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), peuvent présenter des signes avant-coureurs dès la petite enfance, tandis que d'autres, comme la schizophrénie, peuvent ne se manifester qu'à l'adolescence ou à l'âge adulte.

Il est important de noter que l'âge d'apparition peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même au sein d'une même famille ou d'un même groupe de population. Des facteurs tels que les antécédents familiaux, l'environnement, le mode de vie et d'autres facteurs de risque peuvent influencer le moment où une personne développe les symptômes d'une condition donnée.

Je suis désolé, "convulsivants" est un terme qui peut être interprété de différentes manières dans le contexte médical. Il pourrait se référer à des médicaments ou substances utilisés pour traiter ou prévenir les convulsions, telles que les benzodiazépines et l'acide valproïque. Alternativement, il peut également faire référence aux mouvements musculaires involontaires et rythmiques qui se produisent pendant une crise convulsive ou un spasme. Pourrait-il préciser ce que vous voulez savoir sur "convulsivants" pour fournir une réponse plus exacte?

Les motoneurones gamma sont un type de neurones situés dans la corne antérieure de la moelle épinière, qui font partie du système nerveux périphérique. Ils ont des axones qui se connectent aux fuseaux musculaires et aux organes tendineux de Golgi, qui sont des récepteurs sensoriels situés dans les muscles et les tendons.

Les motoneurones gamma jouent un rôle important dans la modulation du tonus musculaire et des réflexes myotatiques. Ils sont responsables de la contraction des fibres intrafusales des fuseaux musculaires, ce qui permet de maintenir une certaine tension musculaire même au repos.

Lorsque les muscles sont étirés ou soumis à une force extérieure, les organes tendineux de Golgi détectent cette tension et envoient des signaux au cerveau via les neurones sensoriels. Le cerveau répond en activant les motoneurones alpha, qui sont responsables de la contraction des fibres musculaires extrafusales, pour permettre une réponse appropriée du muscle à l'étirement ou à la force extérieure.

Les motoneurones gamma et alpha fonctionnent ensemble pour réguler le tonus musculaire et les mouvements volontaires. Les désordres des motoneurones gamma peuvent entraîner des troubles du mouvement et de la posture, tels que la spasticité et l'hypotonie.

Les triazines sont un type de composé heterocyclique qui contient trois atomes d'azote et trois atomes de carbone dans leur structure cyclique. Ils forment un sous-groupe des diazines et sont largement utilisés dans l'industrie chimique pour la synthèse de divers produits, y compris les pesticides et les colorants.

Dans le contexte médical, certaines triazines ont été étudiées pour leurs propriétés thérapeutiques potentielles. Par exemple, certaines triazines ont montré des activités antimicrobiennes, antifongiques et antivirales dans des études de laboratoire. Cependant, il convient de noter que la plupart des triazines ne sont pas directement utilisées comme médicaments et nécessitent souvent d'être modifiées chimiquement pour être efficaces à des fins thérapeutiques.

En outre, certaines triazines peuvent également avoir des propriétés toxiques ou cancérigènes, il est donc important de les étudier soigneusement avant de les considérer comme des candidats potentiels pour une utilisation en médecine.

La définition médicale de "Epilepsy, Partial, Motor" est la suivante :

L'épilepsie partielle motrice, également appelée épilepsie focale avec atteinte motrice, est un type d'épilepsie qui se caractérise par des crises récurrentes causées par une activité électrique anormale dans une partie spécifique du cerveau. Ces crises peuvent affecter les mouvements musculaires d'une partie ou de tout le côté du corps, en fonction de la zone du cerveau où l'activité épileptique se produit.

Les symptômes de l'épilepsie partielle motrice peuvent inclure des contractions musculaires involontaires, des spasmes ou des mouvements anormaux d'un côté du corps, une faiblesse ou une paralysie temporaire d'un côté du visage ou du corps, des sensations inhabituelles telles que des picotements ou des engourdissements dans une partie du corps, et des modifications de la conscience ou du comportement.

Les causes de l'épilepsie partielle motrice peuvent varier, mais elles peuvent inclure des lésions cérébrales telles que des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux, des infections cérébrales ou des traumatismes crâniens, ainsi que des facteurs génétiques. Le diagnostic de cette condition est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une électroencéphalographie (EEG) et d'une imagerie cérébrale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM).

Le traitement de l'épilepsie partielle motrice peut inclure des médicaments anticonvulsivants, la chirurgie cérébrale ou d'autres thérapies telles que la stimulation du nerf vague. Le choix de traitement dépendra de la cause sous-jacente de la condition et de la réponse au traitement médicamenteux initial.

L'intelligence désigne les capacités d'une personne à apprendre, à raisonner, à résoudre des problèmes, à faire preuve de jugement et de pensée abstraite. Un handicap intellectuel, également connu sous le nom de déficience intellectuelle ou retard mental, est un trouble du développement qui affecte ces capacités intellectuelles et la capacité d'une personne à fonctionner de manière indépendante dans la vie quotidienne.

Il est généralement diagnostiqué avant l'âge de 18 ans et peut varier de léger à sévère. Les personnes atteintes de handicap intellectuel peuvent avoir des difficultés à acquérir et à appliquer de nouvelles connaissances, à communiquer efficacement, à prendre soin d'elles-mêmes, à établir des relations sociales et à faire face aux situations stressantes.

Les causes du handicap intellectuel peuvent être génétiques, environnementales ou résulter de complications pendant la grossesse ou la naissance. Il est important de noter que les personnes atteintes de handicap intellectuel ont des capacités et des besoins uniques, et qu'un diagnostic précoce et une intervention appropriée peuvent améliorer considérablement leur qualité de vie et leurs perspectives d'avenir.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

Le système nerveux sympathique est une division du système nerveux autonome qui se prépare à des situations d'urgence en accélérant le rythme cardiaque, en augmentant la pression artérielle, en dilatant les bronches et en fournissant un apport supplémentaire de nutriments et d'oxygène aux muscles. Il est également responsable de la activation de la réponse "combat ou fuite" du corps, ce qui inclut la libération d'hormones telles que l'adrénaline. Le système nerveux sympathique se compose de deux parties : le ganglion cervical supérieur et les chaînes ganglionnaires thoraciques et lombaires, qui sont connectées au système nerveux central par des nerfs crâniens et rachidiens.

Le sinus carotidien est une petite dilatation ou sac situé dans la paroi postérieure de la bifurcation commune de l'artère carotide interne et externe. Il s'agit d'une structure anatomique normale, mais elle est souvent confondue avec une anomalie vasculaire appelée anévrisme carotidien. Le sinus carotidien contient des barorécepteurs qui jouent un rôle important dans la régulation de la pression artérielle en répondant aux changements de la tension de la paroi artérielle. Cependant, il peut très rarement être le site d'une hémorragie potentiellement fatale connue sous le nom de sinus carotidien rupturé.

La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.

La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.

La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.

Le nerf trijumeau, officiellement connu sous le nom de nervus trigeminus, est un nerf crânien pair important dans l'anatomie humaine. Il émerge du tronc cérébral et se divise en trois branches principales : le nerf ophtalmique (V1), le nerf maxillaire (V2) et le nerf mandibulaire (V3).

Chacune de ces branches dessert des régions spécifiques du visage et de la tête, responsable de la innervation sensitive de la peau, des muqueuses, des muscles oculaires et des dents. Le nerf trijumeau est également impliqué dans certaines fonctions motrices, telles que la mastication et la déglutition. Des problèmes avec le nerf trijumeau peuvent entraîner une variété de symptômes désagréables, y compris des douleurs faciales sévères, souvent diagnostiquées comme une névralgie du trijumeau.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

L'inhibition nerveuse est un processus physiologique dans le système nerveux où les neurones, ou cellules nerveuses, régulent l'activité des autres neurones en diminuant leur excitabilité et leur taux de décharge. Cela se produit lorsqu'un neurone inhibiteur libère des neurotransmetteurs inhibiteurs, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique) ou le glycine, dans la fente synaptique, ce qui entraîne une hyperpolarisation de la membrane postsynaptique du neurone cible. En conséquence, il devient plus difficile pour le neurone cible d'atteindre le seuil d'activation et de générer des potentiels d'action, réduisant ainsi son activité globale.

L'inhibition nerveuse joue un rôle crucial dans la modulation de l'activité neuronale et contribue à la régulation des circuits neuronaux impliqués dans divers processus physiologiques et comportementaux, tels que la perception sensorielle, la motricité, la cognition et l'humeur. Un déséquilibre de l'inhibition nerveuse a été associé à plusieurs troubles neurologiques et psychiatriques, y compris l'épilepsie, l'anxiété, la dépression et les troubles neurodégénératifs.

La pression sanguine, également appelée tension artérielle, est la force exercée par le sang sur les parois des artères lorsqu'il est pompé par le cœur. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et s'exprime généralement sous la forme de deux chiffres : la pression systolique (le chiffre supérieur) et la pression diastolique (le chiffre inférieur).

La pression systolique représente la pression dans les artères lorsque le cœur se contracte et pompe le sang dans le corps. La pression diastolique, quant à elle, correspond à la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques, lorsque le cœur est en phase de relaxation et se remplit de sang.

Une pression sanguine normale se situe généralement autour de 120/80 mmHg. Des valeurs supérieures à 130/80 mmHg peuvent être considérées comme étant en pré-hypertension, tandis que des valeurs supérieures à 140/90 mmHg sont généralement associées à une hypertension artérielle. Une pression sanguine élevée peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions rénales.

Le nerf tibial est un important nerf mixed (transportant à la fois des fibres sensorielles et motrices) dans l'anatomie humaine. Il est une branche terminale du nerf sciatique, qui est le nerf le plus large et le plus long dans le corps humain.

Le nerf tibial descend dans la jambe par la partie postérieure de la cuisse et passe derrière le genou. Il continue sa course vers le bas dans la jambe, où il donne des branches pour les muscles du mollet (les muscles gastrocnémien et soléaire) qui permettent la flexion de la jambe au niveau du genou et la flexion plantaire du pied.

Le nerf tibial fournit également des innervations sensorielles aux zones cutanées situées sur la plante du pied, ainsi qu'aux articulations de la cheville et du pied. Il joue donc un rôle crucial dans la motricité fine et la sensation sensitive de la jambe inférieure et du pied.

La miction est le processus par lequel l'organisme élimine les déchets liquides contenus dans l'urine, à travers la vessie et l'urètre. C'est un processus normal et naturel qui se produit lorsque les muscles de la vessie se contractent, forçant l'urine à sortir du corps par l'urètre. La miction est également appelée « faire pipi » ou « uriner ». Il est important de noter que des problèmes de miction peuvent survenir en raison de diverses affections médicales, telles que les infections des voies urinaires, l'hypertrophie de la prostate et le diabète. Si vous rencontrez des difficultés ou des changements dans votre routine de miction, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des soins médicaux appropriés.

L'acide kaïnique est un dérivé de l'acide glutamique, qui est un acide aminé naturellement présent dans le cerveau et qui joue un rôle important dans la transmission des signaux nerveux. L'acide kaïnique est souvent utilisé en recherche médicale comme un agoniste des récepteurs du glutamate, ce qui signifie qu'il se lie à ces récepteurs et les active, entraînant une série de réponses cellulaires.

L'acide kaïnique est connu pour ses effets excitotoxiques, ce qui signifie qu'à des concentrations élevées, il peut provoquer la mort des neurones en surexcitant les récepteurs du glutamate. Ce phénomène a été étudié dans le cadre de diverses affections neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer.

En bref, l'acide kaïnique est un outil important en recherche médicale pour étudier les mécanismes de la transmission des signaux nerveux et les effets excitotoxiques sur le cerveau.

Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.

1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.

Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.

Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :

- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.

La neurocysticercose est une infection parasitaire du système nerveux central causée par le développement de larves (métacestodes) de Taenia solium, un ver plat connu sous le nom de ténia porcin ou ténia du porc. Lorsque les œufs de T. solium sont ingérés, généralement via une mauvaise hygiène alimentaire en mangeant des aliments contaminés par des excréments humains, ils peuvent se transformer en larves qui migrent vers divers tissus, y compris le cerveau.

Dans le cerveau, ces larves forment des kystes, appelés kystes neurocysticerqueux. Selon la localisation et le nombre de kystes, les symptômes peuvent varier considérablement. Les kystes intra-parenchymateux (se trouvant dans le tissu cérébral) sont souvent asymptomatiques, mais peuvent entraîner des crises épileptiques, des maux de tête, des modifications de la personnalité ou des troubles cognitifs. Les kystes extra-parenchymateux (se trouvant en dehors du tissu cérébral) peuvent provoquer une méningite, une hydrocéphalie (dilatation des ventricules cérébraux), une myélite (inflammation de la moelle épinière) ou une arachnoïdite (inflammation de la membrane qui entoure le cerveau et la moelle épinière).

Le diagnostic de neurocysticercose repose sur l'imagerie médicale, telle que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur des tests sérologiques pour détecter les anticorps contre T. solium. Le traitement peut inclure des médicaments antiparasitaires, tels que l'albendazole ou le praziquantel, en association avec des corticostéroïdes et des anticonvulsivants pour contrôler les crises épileptiques. La prévention de la neurocysticercose passe par l'amélioration de l'hygiène alimentaire et de l'assainissement, en particulier dans les zones où la taeniasis (infection à T. solium) est endémique.

La myoclonie est un type de spasme musculaire involontaire caractérisé par des contractions soudaines et brèves des muscles, souvent comparées à des secousses ou des mouvements ressemblant à des battements. Ces mouvements peuvent affecter un seul muscle ou un groupe de muscles et peuvent survenir au repos ou pendant des activités volontaires. Les myoclonies peuvent être causées par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives, des infections, des troubles métaboliques ou des réactions médicamenteuses. Elles peuvent également se produire sans cause apparente et sont alors appelées myoclonies essentielles. Dans certains cas, les myoclonies peuvent être traitées avec des médicaments ou d'autres thérapies, mais dans d'autres situations, elles peuvent être difficiles à gérer et avoir un impact significatif sur la qualité de vie d'une personne.

Le titre « Infirmier Agréé en Soins Cliniques » (ou Clinical Nurse Specialist, CNS, en anglais) fait référence à un rôle infirmier avancé aux États-Unis et dans d'autres pays. Il s'agit d'un infirmier diplômé au niveau master ou doctorat qui a acquis une expertise clinique spécialisée dans une population de patients ou dans un domaine de soins spécifiques. Les CNS assument des responsabilités dans les domaines suivants :

1. Soins directs aux patients : Ils fournissent des évaluations, des diagnostics et des interventions infirmières complexes pour résoudre des problèmes de santé chez les patients.
2. Recherche : Ils mènent et participent à des activités de recherche pour améliorer les pratiques infirmières et la qualité des soins.
3. Éducation : Ils enseignent aux étudiants en sciences infirmières, aux autres professionnels de santé et aux patients/familles. Ils peuvent également être responsables de la formation continue du personnel infirmier.
4. Leadership et consultation : Les CNS exercent un leadership clinique dans leur domaine d'expertise, fournissent des conseils aux autres professionnels de santé et participent à l'élaboration et à la mise en œuvre de politiques et de procédures infirmières.
5. Gestion des soins : Ils coordonnent les soins pour des patients présentant des problèmes de santé complexes, travaillant souvent en collaboration avec d'autres membres de l'équipe de soins.

Pour devenir un CNS, un infirmier doit généralement obtenir une maîtrise ou un doctorat en sciences infirmières et accumuler une expérience clinique considérable dans sa spécialité. Ils doivent également réussir des examens de certification dans leur domaine d'expertise spécifique, tels que la santé mentale, les soins intensifs, la gériatrie ou l'oncologie, entre autres.

Les encéphalopathies sont des troubles du fonctionnement cérébral qui peuvent être dus à diverses causes, telles que des infections, des intoxications, une privation d'oxygène, un traumatisme crânien ou une maladie métabolique. Elles se caractérisent par une altération de la conscience, de la cognition, de l'humeur, du comportement et de diverses fonctions cérébrales supérieures. Les encéphalopathies peuvent être aiguës ou chroniques et peuvent entraîner des séquelles neurologiques permanentes ou même le décès si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.

Les encéphalopathies peuvent être classées en fonction de leur cause sous-jacente, par exemple :

* Encéphalopathie infectieuse : due à une infection virale ou bactérienne du cerveau, comme l'encéphalite herpétique ou la méningo-encéphalite.
* Encéphalopathie métabolique : due à un déséquilibre métabolique, comme l'encéphalopathie hypertensive ou l'encéphalopathie hépatique.
* Encéphalopathie toxique : due à une exposition à des substances toxiques, comme les métaux lourds ou les médicaments.
* Encéphalopathie hypoxique-ischemique : due à une privation d'oxygène ou une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau.
* Encéphalopathie post-traumatique : due à un traumatisme crânien ou une commotion cérébrale.

Le diagnostic d'encéphalopathie repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, les tests de laboratoire et les examens d'imagerie cérébrale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une oxygénothérapie, une dialyse ou une intervention chirurgicale.

En médecine, le "temps de réaction" fait référence à la mesure du temps écoulé entre la présentation d'un stimulus donné et la réponse correspondante d'un individu. Il est fréquemment utilisé pour évaluer les fonctions cognitives et neurologiques dans divers contextes cliniques, tels que l'évaluation des patients atteints de troubles neurocognitifs ou de traumatismes crâniens. Le temps de réaction peut être mesuré en utilisant différents types de stimuli, comme visuels, auditifs ou tactiles, et les résultats sont généralement comparés à des normes établies pour déterminer toute anomalie ou déficience potentielle.

Les muscles squelettiques, également connus sous le nom de muscles striés squelettiques, sont des types spécifiques de tissus musculaires qui se connectent aux os et à d'autres structures via des tendons. Ils sont responsables de la production de force et de mouvements volontaires du corps. Les muscles squelettiques sont constitués de nombreuses fibres musculaires individuelles, organisées en faisceaux et recouvertes d'une membrane protectrice appelée épimysium. Chaque fibre musculaire est elle-même composée de plusieurs myofibrilles, qui contiennent des protéines contractiles telles que l'actine et la myosine. Ces protéines glissent les unes sur les autres lorsque le muscle se contracte, entraînant ainsi le mouvement des os auxquels elles sont attachées. Les muscles squelettiques peuvent également jouer un rôle dans la stabilisation articulaire, la posture et la thermorégulation du corps.

Ethosuximide est un médicament prescrit principalement pour le traitement des crises d'épilepsie, en particulier dans le type d'absence ou petit mal épilepsie. Il fonctionne en réduisant l'excitation anormale des cellules cérébrales ou des neurones qui provoquent des convulsions.

L'ethosuximide est un succinimide, une classe de médicaments antiépileptiques. Il agit en modifiant le fonctionnement des canaux sodiques voltage-dépendants dans le cerveau. Ces canaux jouent un rôle crucial dans la génération et la propagation des impulsions électriques dans les neurones. En modulant leur activité, l'ethosuximide peut aider à prévenir les crises d'épilepsie.

Comme avec tout médicament, l'utilisation de l'ethosuximide peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des vomissements, des maux de tête, de la somnolence, des étourdissements et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou des pensées suicidaires. Il est important que les patients discutent avec leur médecin de tous les risques potentiels avant de commencer à prendre ce médicament.

En plus du traitement de l'épilepsie, l'ethosuximide peut également être utilisé hors indication pour d'autres conditions, telles que le trouble des conduites et le trouble explosif intermittent. Toutefois, cela ne doit être fait qu'après une évaluation approfondie des bénéfices potentiels par rapport aux risques possibles.

La vagotomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre sélectivement ou complètement les fibres du nerf vague pour réduire la production d'acide gastrique. Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un nerf crânien pair qui innerve de nombreuses structures dans le thorax et l'abdomen, y compris l'estomac.

Dans la vagotomie sélective, seules les branches du nerf vague qui innervent directement l'estomac sont coupées. Cela permet de préserver les autres fonctions du nerf vague, telles que la régulation cardiaque et respiratoire. Dans la vagotomie transthoracique, également appelée vagotomie complète, le nerf vague est sectionné des deux côtés à la fois, ce qui entraîne une réduction significative de la production d'acide gastrique.

Cette procédure était couramment utilisée dans le passé pour traiter les ulcères peptiques récurrents et leurs complications, telles que l'hémorragie ou la perforation. Cependant, avec l'avènement des médicaments anti-acides puissants et de l'éradication de Helicobacter pylori, la vagotomie est maintenant rarement pratiquée.

Dans un contexte médical et anatomique, le vestibule et le labyrinthe sont des structures importantes de l'oreille interne qui contribuent au maintien de l'équilibre et de la perception de la position du corps dans l'espace.

Le **vestibule** est une cavité située dans la partie postérieure de l'oreille interne, entre les canaux semi-circulaires et le canal cochléaire. Il contient deux récepteurs sensoriels : les crêtes ampullaires et les macules sacculaires. Les crêtes ampullaires détectent les mouvements rotatoires de la tête, tandis que les macules sacculaires perçoivent les accélérations linéaires, telles que la gravité et les changements de direction.

Le **labyrinthe** est un terme plus large qui désigne l'ensemble des structures complexes de l'oreille interne, y compris le vestibule, les canaux semi-circulaires, et le canal cochléaire. Les canaux semi-circulaires sont remplis d'un liquide appelé endolymphe et contiennent des récepteurs sensoriels qui détectent les mouvements de la tête dans différents plans. Le canal cochléaire est une structure en forme de spirale qui abrite l'organe de Corti, responsable de la perception des sons.

Ensemble, ces structures forment le système vestibulaire et auditif, travaillant en harmonie pour maintenir l'équilibre, la posture et la perception auditive.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

Les cellules des récepteurs chimiques, également connues sous le nom de cellules réceptrices chimiosensibles, sont un type de cellule sensorielle qui détecte et répond aux changements de concentrations chimiques dans l'environnement. Dans le contexte médical, les cellules des récepteurs chimiques peuvent faire référence à des structures spécifiques dans le corps qui détectent les changements chimiques dans le sang et d'autres fluides corporels, ce qui aide à réguler les fonctions physiologiques importantes telles que la respiration, la pression artérielle et l'équilibre hydro-électrolytique.

Les cellules réceptrices chimiques sont généralement situées dans des organes spécialisés tels que les carotides et aortiques glomérules, le système nerveux périphérique et certains organes internes. Elles contiennent des récepteurs spécialisés qui peuvent détecter une variété de substances chimiques, y compris l'oxygène, le dioxyde de carbone, le pH et d'autres ions.

Lorsqu'une cellule réceptrice chimique est exposée à une substance chimique spécifique, elle déclenche une série de réactions qui aboutissent à la libération d'un neurotransmetteur qui active ou inhibe les neurones adjacents. Ces signaux sont ensuite transmis au cerveau, où ils sont interprétés et utilisés pour réguler diverses fonctions corporelles.

Les cellules réceptrices chimiques jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps et des perturbations de leur fonction peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des troubles respiratoires, cardiovasculaires et neurologiques.

Les nerfs laryngés sont les branches du nerf vague (Xème paire des nerfs crâniens) qui innervent les muscles du larynx, essentiels à la phonation (production de sons) et à la déglutition (swallowing). Il y a deux nerfs laryngés : le nerf laryngé supérieur (NLS) et le nerf laryngé récurrent (NLR).

Le nerf laryngé supérieur est une branche du nerf vague qui quitte le crâne par l'ouverture jugulaire et innerve le muscle crico-thyroïdien, responsable de la tension des cordes vocales. Le nerf laryngé supérieur chemine entre les artères carotides interne et externe avant de se diviser en deux branches : une branche sensorielle qui fournit l'innervation sensitive du larynx au-dessus des cordes vocales, et une branche motrice pour le muscle crico-thyroïdien.

Le nerf laryngé récurrent est également une branche du nerf vague qui quitte le tronc sympathique près de la jonction thoracique et remonte dans le cou, en contournant la face postérieure de la glande thyroïde. Le NLR innerve tous les autres muscles laryngés, à l'exception du muscle crico-thyroïdien, qui est innervé par le NLS. Les muscles laryngés récurrents comprennent le muscle thyro-aryténoïdien, le muscle vocal, le muscle ary-épiglottique et le muscle crico-aryténoïdien postérieur. Le NLR fournit également une innervation sensitive au larynx en dessous des cordes vocales.

Des dommages aux nerfs laryngés peuvent entraîner des dysfonctionnements du larynx, tels que la paralysie des cordes vocales, qui peut se manifester par une voix rauque, faible ou enrouée et, dans certains cas, des difficultés à avaler.

La neurologie est une spécialité médicale qui se concentre sur l'étude du système nerveux et des maladies associées. Cela inclut le diagnostic et le traitement des conditions affectant le cerveau, la moelle épinière, les nerfs périphériques, les muscles et les organes sensoriels tels que les yeux et les oreilles. Les neurologues sont des médecins spécialement formés pour diagnostiquer et traiter une large gamme de conditions neurologiques, allant des maux de tête et des étourdissements aux accidents vasculaires cérébraux, à la sclérose en plaques, à la maladie de Parkinson et à d'autres troubles neurodégénératifs.

La capsaïcine est un composé actif que l'on trouve dans les piments, responsable de leur saveur piquante et brûlante. Elle est classée comme un irritant pour le système nerveux et peut provoquer une sensation de brûlure lorsqu'elle entre en contact avec la peau ou les muqueuses.

Dans un contexte médical, la capsaïcine est parfois utilisée sous forme de crèmes ou de patchs topiques pour soulager certains types de douleurs neuropathiques ou musculo-squelettiques. Elle agit en désensibilisant les récepteurs de la douleur dans la peau, ce qui peut entraîner une diminution temporaire de la perception de la douleur.

Cependant, l'utilisation de capsaïcine doit être surveillée de près, car elle peut provoquer des effets secondaires tels qu'une irritation cutanée, des rougeurs et des brûlures. Elle ne doit pas être utilisée sur les plaies ouvertes ou les muqueuses, telles que celles à l'intérieur de la bouche ou du nez.

La réaction de sursaut, également connue sous le nom de startle response en anglais, est un réflexe involontaire et automatique du système nerveux à une menace ou à un stimulus soudain et intense. Ce réflexe est caractérisé par une contraction rapide des muscles, particulièrement ceux du visage, du tronc et des extrémités, ainsi qu'une augmentation de la fréquence cardiaque et de la respiration.

La réaction de sursaut se déclenche lorsqu'un stimulus inattendu ou intense, comme un bruit fort ou une touche soudaine, active le nerf facial et le nerf auditif, qui transmettent ensuite l'information au tronc cérébral. Le tronc cérébral évalue alors la menace et déclenche la réponse de sursaut en activant les muscles striés via la formation réticulée.

Bien que la réaction de sursaut soit un mécanisme de défense important pour faire face aux dangers soudains, elle peut également être exacerbée dans certaines conditions médicales, telles que les troubles anxieux, les troubles du sommeil et les lésions cérébrales. Dans ces cas, une évaluation et un traitement appropriés peuvent être nécessaires pour gérer les symptômes et améliorer la qualité de vie des patients.

Un potentiel d'action est un bref changement rapide du potentiel membranaire (c'est-à-dire la différence de charge électrique entre l'intérieur et l'extérieur d'une cellule) d'une cellule excitante, telle qu'un neurone ou une fibre musculaire. Il résulte d'un flux d'ions à travers la membrane cellulaire et se propage le long de celle-ci, généralement sous forme d'une dépolarisation suivie d'une repolarisation et d'une hyperpolarisation transitoires. Les potentiels d'action sont essentiels pour la communication et la coordination entre les cellules excitables dans des systèmes tels que le système nerveux et le système cardiovasculaire. Ils sont générés par l'ouverture séquentielle de canaux ioniques spécifiques dans la membrane cellulaire, ce qui entraîne un mouvement d'ions et une modification du potentiel membranaire.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une confusion dans votre question. Le terme "Pentétrazole" ne correspond à aucun terme médical connu. Il est possible que vous ayez fait une erreur d'orthographe ou que vous vous référiez à un autre composé ou médicament. Veuillez vérifier l'orthographe et me fournir la bonne information afin que je puisse vous aider correctement.

La spasticité musculaire est un trouble du tonus musculaire caractérisé par une augmentation du réflexe tendineux et une résistance accrue au mouvement passif. Elle résulte généralement d'une lésion ou d'une maladie du cerveau ou de la moelle épinière, qui perturbe les voies nerveuses responsables du contrôle musculaire.

Dans des conditions normales, notre système nerveux régule le tonus musculaire pour permettre des mouvements fluides et contrôlés. Cependant, lorsque ces voies sont endommagées, comme dans la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale traumatique, les muscles peuvent devenir raides et difficiles à déplacer.

La spasticité peut affecter n'importe quel muscle du corps mais elle est souvent plus prononcée dans les membres inférieurs. Les symptômes varient d'une personne à l'autre, allant de légers jusqu'à sévères. Ils peuvent inclure des raideurs musculaires, des mouvements involontaires, des secousses musculaires, une démarche rigide ou boiteuse, et des douleurs.

Le traitement de la spasticité vise à gérer les symptômes et à améliorer la fonction et la qualité de vie. Il peut inclure des médicaments, des thérapies physiques, des interventions chirurgicales ou l'utilisation d'appareils orthopédiques.

Les voies nerveuses, dans un contexte médical, se réfèrent à des séquences distinctes de neurones qui transmettent des impulsions nerveuses ou des signaux électriques à travers le système nerveux central et périphérique. Ces voies sont composées de deux types de neurones : les neurones sensoriels, qui détectent les stimuli internes ou externes, et les neurones moteurs, qui transmettent des commandes pour contrôler les mouvements musculaires et d'autres réponses.

Les voies nerveuses peuvent être classées en fonction de leur localisation anatomique et de leur fonction spécifique. Par exemple :

1. Voies sensorielles : Elles transmettent des informations sensorielles, telles que la douleur, le toucher, la température, la proprioception (sensibilité positionnelle) et les stimuli vestibulaires (équilibre), du corps périphérique vers le cerveau.

2. Voies motrices : Elles transmettent des commandes motrices du cerveau vers les muscles squelettiques, ce qui entraîne la contraction musculaire et les mouvements volontaires.

3. Voies autonomes : Ces voies régulent les fonctions automatiques du corps, telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la digestion et la respiration. Elles peuvent être soit sympathiques (responsables de la réponse "combat ou fuite") soit parasympathiques (responsables de la relaxation et de la restauration).

4. Voies réflexes : Ces voies comprennent des circuits neuronaux simples qui provoquent une réponse rapide à un stimulus spécifique, sans nécessiter d'implication consciente du cerveau. Un exemple courant est le réflexe de retrait, où le contact avec une surface douloureuse ou brûlante entraîne automatiquement le retrait rapide de la partie touchée du corps.

Les lésions des voies nerveuses peuvent entraîner divers symptômes, tels que des engourdissements, des picotements, une faiblesse musculaire, des douleurs et une perte de sensation ou de mouvement dans certaines parties du corps. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la lésion nerveuse et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une intervention chirurgicale ou d'autres options thérapeutiques.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

La dominance cérébrale est un terme utilisé en neurologie et en psychologie pour décrire la tendance d'un individu à favoriser l'utilisation d'un côté de son cerveau par rapport à l'autre dans certaines fonctions cognitives. Cela ne signifie pas que l'hémisphère non dominant est inactif ou incapable, mais plutôt qu'il est moins prédominant dans le traitement des informations et la prise de décision.

Traditionnellement, on pense que le côté gauche du cerveau est plus associé aux fonctions logiques, analytiques, séquentielles et verbales, tandis que le côté droit est plus impliqué dans les processus créatifs, spatiaux, intuitifs et non verbaux. Cependant, il convient de noter que ces associations ne sont pas absolues et qu'il existe une grande variabilité interindividuelle.

La dominance cérébrale est généralement évaluée à travers des tests neuropsychologiques qui mesurent les préférences d'un individu pour certains types de tâches ou de stimuli. Bien que la dominance cérébrale ait été associée à certaines différences dans le traitement de l'information et le comportement, son rôle dans la détermination des aptitudes, des talents ou des performances est encore largement débattu et nécessite davantage de recherches.

Les biguanides sont une classe de médicaments antidiabétiques oraux utilisés pour traiter le diabète de type 2. Ils agissent en réduisant la production de glucose dans le foie et en améliorant la sensibilité à l'insuline dans les tissus musculaires et adipeux. Le médicament biguanide le plus couramment prescrit est la metformine, qui est souvent le premier choix pour le traitement de première ligne du diabète de type 2 en raison de son efficacité et de sa sécurité relative.

Les biguanides peuvent également aider à réduire l'absorption des glucides dans l'intestin, ce qui peut entraîner une diminution de la glycémie après les repas. En plus de leurs effets sur le métabolisme du glucose, les biguanides peuvent également offrir d'autres avantages pour la santé, tels que la réduction des niveaux de lipides sanguins et de la pression artérielle.

Cependant, l'utilisation de biguanides peut être associée à certains effets secondaires, notamment des troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements, diarrhée et douleurs abdominales. Dans de rares cas, les biguanides peuvent également entraîner une acidose lactique, une complication métabolique potentiellement mortelle. Par conséquent, les patients prenant des médicaments biguanides doivent être surveillés régulièrement pour détecter tout signe d'acidose lactique ou d'autres effets secondaires indésirables.

Le gyrus dentatus est une structure anatomique dans le cerveau qui fait partie du système limbique et plus spécifiquement du lobe hippocampique. Il s'agit d'une région située dans le circuit de Papez, qui est associée à la mémoire et aux émotions.

Le gyrus dentatus est composé de cellules granulaires et de cellules mousses, qui sont des neurones importants pour le traitement et l'intégration des informations sensorielles. Il joue un rôle crucial dans la formation de nouveaux souvenirs et dans la consolidation de la mémoire à long terme.

Des anomalies du gyrus dentatus ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer. Des études ont montré que les personnes atteintes de ces maladies peuvent présenter une réduction du nombre de cellules dans le gyrus dentatus, ce qui peut contribuer à leurs symptômes.

La toux est un réflexe protecteur de l'appareil respiratoire qui permet d'expulser les irritants ou les sécrétions des voies aériennes. Elle se traduit par une expiration bruyante et souvent violente, déclenchée par une contraction soudaine du diaphragme et des muscles inspiratoires, suivie d'une brusque ouverture de la glotte.

La toux peut être classifiée en plusieurs catégories selon sa durée, son mécanisme et son caractère :

1. Aiguë (moins de 3 semaines) ou chronique (plus de 8 semaines)
2. Productive (avec expectoration de mucus) ou sèche (sans expectoration)
3. Paroxystique (en quintes) ou non paroxystique
4. Centrale (du à un trouble du contrôle central de la toux) ou périphérique (due à une irritation locale des voies aériennes)
5. Cardiaque (liée à une insuffisance cardiaque congestive) ou non cardiaque

Les causes de la toux sont nombreuses et variées, allant des infections respiratoires virales ou bactériennes aux maladies pulmonaires chroniques (comme la bronchite chronique, l'emphysème ou la BPCO), en passant par les réactions allergiques, l'inhalation d'irritants, le reflux gastro-œsophagien, les médicaments et certaines affections neurologiques.

Le traitement de la toux dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des mesures d'hygiène de vie, des médicaments expectorants ou antitussifs, des bronchodilatateurs, des corticoïdes inhalés, des antibiotiques ou une prise en charge chirurgicale dans certains cas.

Les canalopathies sont un groupe de troubles neuromusculaires causés par des mutations dans les gènes qui codent pour les protéines des canaux ioniques. Les canaux ioniques sont des structures présentes dans la membrane cellulaire qui permettent le passage d'ions tels que le sodium, le potassium et le calcium à travers la membrane. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de l'excitabilité neuromusculaire et du potentiel électrique des cellules.

Les mutations dans les gènes des canaux ioniques peuvent entraîner une altération de leur fonctionnement, ce qui peut provoquer une variété de symptômes, en fonction du type de canal affecté et de la gravité de la mutation. Les canalopathies peuvent affecter différents systèmes corporels, y compris le système nerveux périphérique, le muscle squelettique et le cœur.

Les exemples courants de canalopathies comprennent :

1. La maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 1A (CMT1A), qui est causée par une mutation dans le gène PMP22 et affecte la gaine de myéline des nerfs périphériques, entraînant une faiblesse musculaire et une perte de sensation.
2. La myotonie congénitale (MC), qui est causée par des mutations dans les gènes CLCN1 ou SCN4A et affecte la capacité des muscles à se relâcher après une contraction, entraînant une raideur musculaire et des spasmes.
3. La maladie de l'X fragile (FXS), qui est causée par une mutation dans le gène FMR1 et affecte la fonction cognitive, comportementale et neuromusculaire.
4. L'hyperkaliémie périodique familiale (HPf), qui est causée par des mutations dans les gènes CASQ1 ou KCNJ1 et affecte la régulation du potassium dans le sang, entraînant des épisodes de faiblesse musculaire et de paralysie.
5. La paramyotonie congénitale (PC), qui est causée par des mutations dans le gène SCN4A et affecte la capacité des muscles à se contracter et à se relâcher normalement, entraînant une faiblesse musculaire et des spasmes.

Le traitement de ces maladies dépend de leur type et de leur gravité. Il peut inclure des médicaments, des thérapies physiques et occupationnelles, des appareils orthopédiques et des interventions chirurgicales. Dans certains cas, il n'existe pas encore de traitement curatif pour ces maladies, mais la recherche continue à avancer pour trouver de nouvelles options thérapeutiques.

Le nerf sural est un nerf sensitif situé dans la partie postérieure de la jambe. Il fournit des sensations cutanées à la région externe de la cheville et du pied, y compris la peau sur le dessus du cinquième métatarsien et les orteils latéraux. Le nerf sural est formé par deux branches nerveuses : la branche commune du nerf fibulaire superficiel et la branche terminale du nerf saphène. Ces deux branches se rejoignent pour former le tronc du nerf sural, qui se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf cutané dorsal externe et le nerf cutané latéral interne. Le nerf sural ne contient pas de fibres motrices, il est uniquement responsable de la sensation tactile et de la proprioception dans sa zone d'innervation.

Bradycardie est un terme médical qui se réfère à une fréquence cardiaque au repos anormalement basse, généralement inférieure à 60 battements par minute chez les adultes. Chez certaines personnes, comme les athlètes d'endurance entraînés, une fréquence cardiaque au repos plus lente peut être normale en raison de leur condition physique améliorée.

Cependant, une bradycardie peut également être le résultat d'un problème sous-jacent avec le système de conduction électrique du cœur ou d'une affection médicale sous-jacente telle qu'une maladie thyroïdienne, une maladie cardiaque, une infection, un traumatisme ou certains médicaments.

Les symptômes de la bradycardie peuvent inclure des étourdissements, des évanouissements, une fatigue extrême, une douleur thoracique, des difficultés respiratoires et un rythme cardiaque irrégulier. Dans les cas graves, une bradycardie peut entraîner une insuffisance cardiaque ou même la mort.

Le traitement de la bradycardie dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la surveillance régulière de la fréquence cardiaque peut être suffisante. Cependant, dans d'autres cas, un traitement médical ou chirurgical peut être nécessaire pour corriger le problème sous-jacent.

Les fuseaux neuromusculaires sont des organes sensoriels spécialisés trouvés dans les muscles squelettiques. Ils jouent un rôle crucial dans la proprioception, qui est la conscience de la position et du mouvement des différentes parties du corps. Les fuseaux neuromusculaires se composent de fibres musculaires intrafusales et d'un groupe de terminaisons nerveuses afférentes. Ces terminaisons nerveuses sont responsables de la détection des étirements et des changements de longueur des fibres musculaires intrafusales, ce qui fournit des informations importantes sur la position et le mouvement des muscles et des articulations. Les fuseaux neuromusculaires aident également à réguler et à coordonner les mouvements musculaires involontaires et volontaires.

Les récepteurs GABA-benzodiazépines sont des sites de liaison protéiques complexes qui se trouvent sur les neurones dans le cerveau et le système nerveux central. Ils forment une partie importante du système de transmission de signaux inhibiteurs dans le cerveau.

Le GABA (acide gamma-aminobutyrique) est un neurotransmetteur qui inhibe l'activité neuronale en réduisant la probabilité de dépolarisation et de déclenchement d'un potentiel d'action dans les neurones. Les benzodiazépines sont une classe de médicaments psychoactifs qui se lient aux récepteurs GABA-benzodiazépines et potentialisent l'activité du GABA en augmentant la fréquence des canaux chlorures ouverts, ce qui entraîne une hyperpolarisation de la membrane neuronale et une diminution de l'excitabilité.

Les récepteurs GABA-benzodiazépines sont composés de cinq sous-unités protéiques différentes (α, β, γ, δ, ε) qui s'assemblent pour former un complexe fonctionnel. Les benzodiazépines se lient spécifiquement aux sous-unités γ du récepteur, ce qui entraîne une modification de la conformation du récepteur et une augmentation de l'affinité du GABA pour son site de liaison.

Les benzodiazépines sont utilisées dans le traitement de diverses affections médicales, notamment l'anxiété, l'insomnie, les convulsions et les troubles musculaires squelettiques. Cependant, leur utilisation à long terme peut entraîner une dépendance physique et une tolérance, ce qui peut compliquer le sevrage et entraîner des symptômes de sevrage graves.

En médecine et en ergonomie, la posture fait référence à la position relative des différentes parties du corps les unes par rapport aux autres et à leur orientation par rapport à la gravité. Elle peut être statique, lorsque le corps est immobile, ou dynamique, lorsque le corps est en mouvement. Une bonne posture implique que les articulations soient alignées de manière à répartir uniformément le poids du corps et à minimiser la tension sur les muscles et les ligaments. Une mauvaise posture peut entraîner des douleurs musculaires, des raideurs articulaires, des maux de tête et d'autres problèmes de santé à long terme. Il est donc important de maintenir une posture correcte lorsque l'on est assis, debout ou en mouvement.

En termes médicaux, un mouvement est décrit comme le processus ou l'acte d'effectuer une fonction musculo-squelettique qui résulte en une modification de la position ou de l'orientation d'une partie du corps ou de l'ensemble du corps. Les mouvements peuvent être volontaires, comme se lever d'une chaise, ou involontaires, tels que les battements de cœur. Ils sont rendus possibles par le fonctionnement coordonné des muscles, des tendons, des ligaments et des articulations, et sont contrôlés par le système nerveux. Les mouvements peuvent également être classés en types spécifiques, tels que flexion (pliage d'une partie du corps sur elle-même), extension (droitement ou redressant une partie du corps), abduction (éloignement d'une partie du corps de l'axe médian du corps) et adduction (rapprochement d'une partie du corps de l'axe médian du corps).

La cartographie cérébrale est une technique d'investigation utilisée en neurosciences pour représenter les fonctions cognitives, sensorielles et motrices spécifiques à différentes régions du cerveau. Elle permet de comprendre la relation entre l'anatomie cérébrale et la fonction cognitive. Cette méthode est particulièrement utile dans le domaine de la neurologie et de la neurochirurgie pour planifier des interventions chirurgicales délicates, comme l'ablation de tumeurs cérébrales ou l'implantation d'électrodes pour le traitement de l'épilepsie.

Les techniques de cartographie cérébrale incluent l'enregistrement des potentiels évoqués, la stimulation magnétique transcrânienne (TMS), la stimulation électrique transcrânienne (TES) et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Chacune de ces méthodes a ses avantages et inconvénients, mais elles visent toutes à fournir une image détaillée des zones cérébrales actives pendant l'exécution de diverses tâches mentales ou physiques.

En résumé, la cartographie cérébrale est une approche essentielle pour comprendre le fonctionnement du cerveau et aider au diagnostic et au traitement des troubles neurologiques.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

L'acide gamma-aminobutyrique (GABA) est un neurotransmetteur inhibiteur dans le système nerveux central des mammifères. Il joue un rôle crucial dans la régulation de l'excitation neuronale et est impliqué dans divers processus physiologiques tels que la relaxation, la somnolence, la douleur, l'anxiété et les crises épileptiques.

Le GABA est synthétisé à partir de l'acide glutamique, un neurotransmetteur excitateur, par l'action d'une enzyme appelée glutamate décarboxylase. Une fois libéré dans la fente synaptique, il se lie aux récepteurs GABAergiques de la membrane postsynaptique des neurones adjacents, entraînant une hyperpolarisation de la membrane et empêchant ainsi l'activation du neurone.

Il existe deux types principaux de récepteurs GABA : les récepteurs ionotropes (GABA-A et GABA-C) et les récepteurs métabotropes (GABA-B). Les récepteurs ionotropes sont des canaux ioniques sensibles au GABA qui permettent le flux d'ions chlorure, entraînant une hyperpolarisation de la membrane. Les récepteurs métabotropes, en revanche, activent des second messagers intracellulaires qui modulent l'activité électrique du neurone.

Le GABA est impliqué dans divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que l'anxiété, la dépression, les crises épileptiques, la schizophrénie et la toxicomanie. Des médicaments qui ciblent le système GABAergique sont souvent utilisés dans le traitement de ces conditions, notamment les benzodiazépines, qui se lient aux récepteurs GABA-A et potentialisent leur activité.

Les muscles sont des organes contractiles qui forment une grande partie du tissu corporel. Ils sont responsables de la mobilité volontaire et involontaire dans le corps humain. Les muscles se contractent pour permettre le mouvement des os, aider à maintenir la posture et contribuer à diverses fonctions corporelles telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine.

Il existe trois types principaux de muscles dans le corps humain :

1. Les muscles squelettiques ou striés : Ils sont attachés aux os par des tendons et leur contraction permet les mouvements volontaires du corps. Ces muscles ont une apparence striée sous un microscope, d'où leur nom.

2. Les muscles lisses : Ce sont des muscles trouvés dans les parois des vaisseaux sanguins, des bronches, de l'utérus et du tube digestif. Ils fonctionnent involontairement, contrôlés par le système nerveux autonome, et participent à des fonctions telles que la circulation, la respiration et la digestion.

3. Le muscle cardiaque : C'est un type spécial de muscle strié qui forme la majeure partie du cœur. Il fonctionne automatiquement sans aucun contrôle volontaire, pompant le sang dans tout le corps.

La capacité des muscles à se contracter et à se détendre provient de leurs propriétés physiques uniques et de la présence de protéines spécialisées telles que l'actine et la myosine, qui glissent les unes contre les autres lorsque le muscle se contracte.

Dénervation est un terme médical qui décrit l'état d'un tissu ou d'un organe lorsque les nerfs qui l'innervent et lui permettent de fonctionner normalement sont endommagés, retirés chirurgicalement ou délibérément interrompus. Ce processus peut entraîner une perte de la fonction motrice, sensorielle ou autonome dans la région affectée. La dénervation peut être causée par diverses affections, y compris les lésions nerveuses, les maladies neurodégénératives et les interventions chirurgicales. Dans certains cas, la dénervation peut être partielle ou complète, temporaire ou permanente, en fonction de la gravité de la lésion nerveuse sous-jacente. Les symptômes associés à la dénervation dépendent du type et de la localisation des nerfs affectés. Ils peuvent inclure une faiblesse musculaire, une perte de réflexes, une diminution ou une perte de sensation, des douleurs neuropathiques, une atrophie musculaire et une altération des fonctions autonomes telles que la transpiration, la salivation et la digestion.

La résistance aux médicaments, également appelée résistance antimicrobienne, se produit lorsqu'un micro-organisme devient insensible à un médicament qui était auparavant efficace pour le traiter. Cela signifie que le médicament n'est plus capable de tuer ou d'inhiber la croissance du micro-organisme, ce qui peut entraîner des infections difficiles à traiter et potentially life-threatening.

La résistance aux médicaments peut être naturelle ou acquise. La résistance naturelle est lorsqu'un micro-organisme est intrinsèquement résistant à un certain médicament en raison de ses caractéristiques génétiques. D'autre part, la résistance acquise se produit lorsque le micro-organisme développe une résistance au fil du temps en raison d'une exposition répétée au même médicament.

La résistance aux antibiotiques est un type courant de résistance aux médicaments et constitue une préoccupation majeure en matière de santé publique dans le monde entier. Elle peut être causée par plusieurs mécanismes, tels que la modification des cibles du médicament, l'efflux accru de médicaments ou la production d'enzymes qui détruisent le médicament.

La résistance aux médicaments peut être prévenue ou retardée en utilisant des antibiotiques et d'autres agents antimicrobiens de manière appropriée et prudente, en évitant les surprescriptions et les sous-prescriptions, et en encourageant l'hygiène et la prévention des infections.

Le péristaltisme est un mouvement ondulatoire qui se produit dans les parois musculaires des tubes creux, tels que les intestins, l'oesophage et les uretères. Ces mouvements aident à propulser le contenu vers le bas ou vers l'extérieur du tube. Dans le tractus gastro-intestinal, le péristaltisme permet de faire avancer les aliments ingérés et les déchets vers le côlon puis vers l'anus pour l'évacuation. Ce processus est contrôlé par le système nerveux entérique, qui est une partie autonome du système nerveux périphérique.

Un examen neurologique est un processus systématique d'évaluation des fonctions et structures du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et périphérique (nerfs crâniens, nerfs spinaux et leurs racines, plaque motrice et réflexes). Il est utilisé pour diagnostiquer les troubles neurologiques, suivre la progression de maladies connues ou évaluer l'efficacité du traitement.

L'examen comprend typiquement une série de tests qui visent à évaluer :

1. La conscience et le niveau de vigilance.
2. Les fonctions cognitives telles que la mémoire, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace.
3. Les mouvements oculaires, la vision et la perception visuelle.
4. La force musculaire, la coordination et l'équilibre.
5. Les réflexes tendineux profonds et cutanés.
6. La sensibilité à la douleur, au toucher, à la température et aux vibrations.
7. Les fonctions des nerfs crâniens (olfaction, vision, ouïe, goût, mouvements faciaux, déglutition, etc.)

Les résultats de ces tests aident les médecins à identifier les zones du système nerveux qui pourraient être endommagées ou malades, ce qui peut conduire à un diagnostic plus précis et à un plan de traitement approprié.

La raideur musculaire est un symptôme caractérisé par une résistance accrue à l'étirement d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cette résistance peut être ressentie par le patient lors des mouvements volontaires (raideur active) ou peut être détectée par un examinateur pendant les manipulations passives (raideur passive).

La raideur musculaire peut être causée par une variété de facteurs, y compris des troubles neuromusculaires, des lésions tissulaires, des infections, des réactions inflammatoires ou des processus dégénératifs. Elle peut également être liée à des conditions telles que la spasticité, qui est un trouble du tonus musculaire associé aux lésions de la moelle épinière ou à certaines maladies neurologiques comme la sclérose en plaques.

Le traitement de la raideur musculaire dépendra de la cause sous-jacente. Il peut inclure des étirements, de la physiothérapie, des médicaments pour soulager la spasticité ou l'inflammation, ou dans certains cas, des interventions chirurgicales.

Le nerf fibulaire commun, également connu sous le nom de nerf péronier commun, est un nerf mixte (transportant à la fois des informations sensorielles et motrices) qui émerge du faisceau postérieur de la moelle épinière au niveau de la quatrième ou de la cinquième vertèbre lombaire. Il descend dans la jambe en passant derrière le muscle biceps fémoral, puis traverse la loge postérieure de la jambe en compagnie des vaisseaux sanguins poplités superficiels.

Dans la loge postérieure de la jambe, il donne des branches musculaires qui innervent les muscles de la loge postérieure (par exemple, le muscle gastrocnémien, le muscle soléaire, le muscle plantaire). Il se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf fibulaire superficiel et le nerf fibulaire profond.

Le nerf fibulaire superficiel chemine sous la membrane interosseuse de la jambe et donne des branches sensorielles aux régions cutanées latérales de la jambe et du dos du pied, ainsi que des branches motrices aux muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle long fibulaire, le muscle court fibulaire).

Le nerf fibulaire profond chemine entre les deux muscles tête du péronier et aponévrose interosseuse et innerve les muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle tibial antérieur, le muscle long extenseur des orteils, le muscle long extenseur de l'hallux). Il donne également une branche articulaire pour l'articulation de la cheville et du pied.

Des lésions ou des compressions du nerf fibulaire commun peuvent entraîner une perte de sensation dans les régions cutanées innervées, ainsi qu'une faiblesse ou une paralysie des muscles innervés, ce qui peut se traduire par des difficultés à marcher et à maintenir l'équilibre.

L'amobarbital est un type de barbiturique, qui est une classe de médicaments dépresseurs du système nerveux central. Il est utilisé comme sédatif, hypnotique et anticonvulsivant. L'amobarbital agit en ralentissant l'activité du cerveau et en produisant un état de calme et de somnolence.

L'amobarbital est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et est généralement utilisé à court terme pour traiter l'insomnie, la tension nerveuse et l'anxiété. Il peut également être utilisé avant les interventions chirurgicales pour aider à détendre les muscles et à produire une sédation.

Comme avec d'autres barbituriques, l'amobarbital comporte un risque élevé de dépendance et d'abus. Il peut également entraîner des effets secondaires graves tels que des étourdissements, une somnolence excessive, une confusion, une mauvaise coordination, des problèmes respiratoires et une pression artérielle basse. L'utilisation à long terme de l'amobarbital peut entraîner une tolérance, une dépendance physique et psychologique, ainsi que des symptômes de sevrage graves en cas d'arrêt soudain du médicament.

En raison de ces risques, l'utilisation de l'amobarbital est généralement réservée aux situations où les avantages thérapeutiques l'emportent sur les risques potentiels. Il ne doit être prescrit que par un médecin agréé et utilisé sous surveillance médicale stricte.

L'analyse de la variance (ANOVA) est une méthode statistique utilisée pour comparer les moyennes de deux ou plusieurs groupes de données. Elle permet de déterminer si les différences observées entre les moyennes des groupes sont dues au hasard ou à des facteurs systématiques, tels que des interventions expérimentales ou des différences de populations.

L'analyse de la variance repose sur la décomposition de la variabilité totale de l'ensemble des données en deux parties : la variabilité entre les groupes et la variabilité à l'intérieur des groupes. En comparant ces deux sources de variabilité, il est possible de déterminer si les différences entre les moyennes des groupes sont statistiquement significatives.

L'analyse de la variance est souvent utilisée dans le domaine médical pour évaluer l'efficacité de traitements ou d'interventions, comparer les taux de succès de différents traitements, ou analyser les résultats de tests ou d'enquêtes. Elle permet aux chercheurs de déterminer si les différences observées entre les groupes sont dues à des facteurs autres que le hasard et peuvent donc être considérées comme significatives sur le plan statistique.

Les interneurones sont des neurones spécialisés dans le système nerveux central, en particulier dans le cerveau et la moelle épinière. Ils ont pour rôle de connecter les neurones entre eux, formant ainsi des réseaux complexes de communication au sein du système nerveux. Les interneurones sont généralement de petite taille et leur axone ne sort pas de la région où ils se trouvent, ce qui signifie qu'ils n'établissent des connexions qu'avec les neurones voisins.

Les interneurones jouent un rôle crucial dans l'intégration et le traitement des informations sensorielles, la régulation de la transmission des signaux nerveux, ainsi que dans la coordination des mouvements volontaires et involontaires. Ils peuvent être inhibiteurs ou excitateurs, dépendamment du type de neurotransmetteur qu'ils libèrent. Les interneurones inhibiteurs ont pour fonction de réduire l'activité des neurones cibles, tandis que les interneurones excitateurs visent à accroître leur activité.

La diversité et la complexité des interneurones sont considérables, ce qui permet au système nerveux d'exercer une grande variété de fonctions et de répondre aux stimuli internes et externes de manière adaptée. Des anomalies dans le développement ou le fonctionnement des interneurones peuvent être à l'origine de divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que l'épilepsie, la schizophrénie, l'autisme et les troubles déficitaires de l'attention avec hyperactivité (TDAH).

Un spasme est un terme médical décrivant une contraction soudaine, involontaire et souvent douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cela peut survenir en réponse à un étirement, une fatigue, une irritation, une maladie ou une lésion des nerfs qui contrôlent ces muscles. Les spasmes peuvent également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains contextes, le terme "spasme" peut aussi se référer à une constriction soudaine et involontaire d'un vaisseau sanguin ou d'une autre structure anatomique.

Les études de suivi, également appelées études de cohorte longitudinales, sont un type d'étude de recherche médicale ou de santé publique dans laquelle une population ou une cohorte initialement identifiée comme exposée ou non exposée à un facteur de risque particulier est surveillée au fil du temps pour déterminer l'incidence d'un événement de santé spécifique, tel qu'une maladie ou un décès.

L'objectif principal des études de suivi est d'établir une relation temporelle entre le facteur d'exposition et l'issue de santé en évaluant les participants à plusieurs reprises sur une période prolongée, ce qui permet de déterminer si l'exposition au facteur de risque entraîne des conséquences négatives sur la santé.

Les études de suivi peuvent fournir des informations importantes sur les causes et les effets des maladies, ainsi que sur les facteurs de risque et de protection associés à une issue de santé spécifique. Elles peuvent également être utiles pour évaluer l'efficacité et la sécurité des interventions de santé publique ou cliniques.

Cependant, il est important de noter que les études de suivi présentent certaines limites, telles que la perte de participants au fil du temps, qui peut entraîner un biais de sélection, et la possibilité d'un biais de rappel lorsque les données sont collectées par enquête. Par conséquent, il est essentiel de concevoir et de mettre en œuvre des études de suivi avec soin pour minimiser ces limites et garantir la validité et la fiabilité des résultats.

La cordotomie est une procédure chirurgicale interventionniste dans laquelle les fibres nerveuses situées dans la colonne vertébrale sont sectionnées. Cette procédure est le plus souvent effectuée pour traiter la douleur chronique sévère et persistante, en particulier chez les patients atteints de cancer en phase terminale.

La cordotomie implique généralement la section des fibres nerveuses spécifiques dans la corne dorsale de la moelle épinière à des niveaux cervicaux ou thoraciques, selon le site de la douleur du patient. Cette intervention peut entraîner une perte de sensation et/ou de mouvement dans certaines parties du corps situées du côté opposé au site de l'intervention.

Bien que la cordotomie puisse être très efficace pour soulager certains types de douleur, elle comporte des risques potentiels, tels que des complications liées à l'anesthésie, des infections, des hématomes et des lésions nerveuses. De plus, les effets bénéfiques de la procédure peuvent ne pas être permanents et la douleur peut réapparaître avec le temps. Par conséquent, cette intervention est généralement réservée aux patients qui ont épuisé toutes les autres options de traitement et qui continuent à souffrir de douleurs intolérables.

Les tests neuropsychologiques sont une évaluation structurée et standardisée d'une variété de fonctions cognitives et comportementales. Ils sont utilisés pour aider à diagnostiquer, évaluer la gravité et suivre les progrès des troubles du cerveau et du système nerveux, tels que les lésions cérébrales, les maladies neurodégénératives (comme la maladie d'Alzheimer), les troubles mentaux, les troubles d'apprentissage et les handicaps développementaux.

Les tests peuvent évaluer divers aspects de la cognition, y compris la mémoire, l'attention, le langage, la perception visuelle spatiale, les fonctions exécutives (comme la planification et la résolution de problèmes), et les capacités psychomotrices. Les professionnels de la neuropsychologie utilisent ces tests pour comprendre comment différentes régions du cerveau contribuent à ces fonctions et comment des dommages ou des maladies peuvent affecter le fonctionnement cognitif et comportemental.

Les résultats des tests neuropsychologiques sont souvent comparés aux normes établies pour des groupes d'âge, d'éducation et de sexe similaires pour interpréter les performances. Les professionnels de la santé peuvent utiliser ces informations pour élaborer des plans de traitement individualisés, suivre l'évolution de la maladie ou des blessures et déterminer l'aptitude à certaines tâches ou activités.

Un membre pelvien, dans le contexte de l'anatomie humaine, se réfère aux organes situés dans la cavité pelvienne. Chez les femmes, cela inclut l'utérus, les trompes de Fallope, les ovaires et la vessie, ainsi que le vagin et la région périvaginale. Chez les hommes, cela comprend la prostate, les vésicules séminales, les glandes de Cowper, la bulle urétrale, l'ampoule rectale et le canal déférent, ainsi que la vessie. Les membres pelviens sont soutenus par un certain nombre de ligaments, de muscles et de fascia qui forment le plancher pelvien.

La magnétoencéphalographie (MEG) est une technique d'imagerie cérébrale non invasive qui enregistre et mesure les champs magnétiques produits par l'activité électrique des neurones dans le cerveau. Ces champs magnétiques sont extrêmement faibles, donc la MEG utilise des détecteurs très sensibles appelés superconducteurs quantiques à point critique (SQUIDs).

Contrairement aux autres techniques d'imagerie cérébrale telles que l'IRMf ou la tomographie par émission de positrons, qui mesurent indirectement l'activité neuronale en détectant des changements dans le flux sanguin ou l'oxygénation du sang, la MEG fournit une mesure directe de l'activité électrique des neurones.

La MEG est couramment utilisée en recherche et en clinique pour localiser avec précision les sources d'activité cérébrale anormale dans diverses conditions neurologiques et psychiatriques, telles que l'épilepsie, les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, la schizophrénie et les troubles du spectre autistique. Elle est également utilisée pour étudier les fonctions cognitives normales, telles que la perception auditive et visuelle, le langage et la mémoire.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir ne semble pas être correcte. Il est possible qu'il y ait une faute d'orthographe ou une erreur dans la formulation. Je suppose que vous voulez peut-être demander une définition médicale pour les "statoconia" ou "otoconia" et leur membrane associée, appelée "membrane otolithique".

Les statoconia (ou otoconia) sont de minuscules cristaux de carbonate de calcium trouvés dans l'oreille interne. Ils se trouvent dans la zone utricle et saccule de l'organe vestibulaire, qui est responsable du maintien de l'équilibre et de la détection des mouvements linéaires de la tête. Les statoconia sont contenus dans une membrane flexible appelée "membrane otolithique".

Lorsque la tête se déplace, les statoconia se déplacent également en raison de la gravité et de l'inertie, ce qui provoque des déplacements de la membrane otolithique. Ces mouvements sont détectés par les cellules ciliées situées dans l'utricle et le saccule, qui envoient ensuite des signaux au cerveau pour lui permettre de réguler la posture et les mouvements du corps.

Des problèmes avec les statoconia ou la membrane otolithique peuvent entraîner des vertiges et d'autres symptômes liés à l'équilibre, tels que des nausées et des difficultés à se concentrer.

La primidone est un anticonvulsivant, un type de médicament utilisé pour traiter l'épilepsie. Il fonctionne en réduisant l'excitation anormale des cellules cérébrales ou en ralentissant les impulsions nerveuses dans le cerveau.

La primidone est métabolisée dans le foie en deux autres anticonvulsivants, la phénylétatone et la phénylethylmalonamide. Ces métabolites, ainsi que la primidone elle-même, aident à contrôler les crises convulsives.

Ce médicament est souvent utilisé lorsque d'autres traitements anticonvulsivants se sont avérés inefficaces. Les effets secondaires courants de la primidone peuvent inclure la somnolence, la fatigue, des étourdissements, des maux de tête et des nausées.

Il est important de noter que la primidone peut interagir avec d'autres médicaments et substances, il est donc crucial d'informer votre médecin de tous les autres médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre de la primidone.

Le noyau du tractus solitaire, également connu sous le nom de nucléus tractus solitarii (NTS), est une structure importante du système nerveux central qui joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes et de certaines sensations viscérales. Il s'agit d'un noyau situé dans la médulla oblongata, plus précisément dans la partie caudale du bulbe rachidien.

Le NTS reçoit des afférences (influx nerveux entrants) de plusieurs régions du corps, y compris les barorécepteurs et les chimiorécepteurs situés dans les artères carotides et aortiques, les récepteurs gustatifs de la langue, les mécanorécepteurs des organes des sensations viscérales (par exemple, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, la vésicule biliaire et le pancréas), ainsi que les récepteurs pulmonaires.

Les informations transmises au noyau du tractus solitaire sont intégrées et relayées vers d'autres structures cérébrales, telles que le noyau ambigu et le noyau dorsal vagale, qui régulent les fonctions cardiovasculaires, respiratoires, gastro-intestinales et autres fonctions autonomes. Le NTS est également impliqué dans la modulation de la prise alimentaire, de la satiété et de la déglutition.

En résumé, le noyau du tractus solitaire est un centre nerveux important qui reçoit, intègre et transmet des informations sensorielles et régule diverses fonctions autonomes et viscérales.

L'ataxie est un terme médical utilisé pour décrire une perte de coordination et de contrôle des mouvements musculaires volontaires, ce qui peut entraîner une démarche instable, des tremblements, des mouvements désordonnés et une mauvaise coordination des mains. Cette condition peut affecter les bras, les jambes, les yeux et la parole.

L'ataxie est souvent causée par des dommages au cervelet, qui est la partie du cerveau responsable de la coordination des mouvements, ou aux voies nerveuses qui vont du cervelet au reste du corps. Les causes courantes de l'ataxie comprennent les maladies dégénératives du cerveau telles que la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et la maladie de Charcot-Marie-Tooth, ainsi que les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, l'alcoolisme chronique et certains médicaments.

Le traitement de l'ataxie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour contrôler les symptômes, une thérapie physique pour aider à améliorer la coordination et la force musculaire, et des modifications de style de vie pour réduire les facteurs de risque. Dans certains cas, l'ataxie peut être progressive et entraîner une invalidité permanente.

En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).

Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).

Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.

Le terme « mouvement tête » n'a pas de définition spécifique en médecine. Il peut être utilisé pour décrire un large éventail de mouvements ou de fonctions impliquant la tête et le cou. Cependant, dans un contexte clinique, le « test du mouvement tête » fait référence à une procédure utilisée pour évaluer la fonction et la mobilité de l'articulation temporo-mandibulaire (ATM) et des muscles environnants du cou et de la tête.

Lors d'un test de mouvement tête, le professionnel de la santé demande généralement au patient d'effectuer une série de mouvements spécifiques de la tête et du cou, tels que l'ouverture et la fermeture de la bouche, la déviation latérale et la protrusion de la mâchoire inférieure. Pendant ces mouvements, le prestataire observe et évalue la amplitude, la douleur, la fluidité et la qualité globale du mouvement.

Des limitations ou des douleurs pendant les mouvements tête peuvent indiquer la présence de problèmes ou de conditions affectant l'ATM ou les muscles environnants, tels que le dysfonctionnement de l'articulation temporo-mandibulaire (DTM), les troubles myofasciaux douloureux (TMD) ou les maux de tête associés à la tension.

Il est important de noter qu'un professionnel de la santé qualifié devrait toujours effectuer et interpréter ces tests dans un contexte clinique approprié.

La sorcellerie ne fait pas partie des termes reconnus dans la médecine ou la science médicale. Il s'agit plutôt d'une croyance culturelle ou religieuse selon laquelle certaines personnes peuvent utiliser des forces surnaturelles ou magiques pour infliger du mal ou causer des événements indésirables. Ces croyances varient considérablement parmi différentes cultures et sociétés, et elles ne sont pas soutenues par la preuve scientifique. Dans un contexte médical, on s'efforcerait de comprendre les causes sous-jacentes des symptômes ou des préoccupations d'une personne en termes de processus physiologiques et mentaux établis, plutôt que d'attribuer des événements à la sorcellerie.

Je suis désolé, mais la dénomination "fibres moussues de l'hippocampus" ne semble pas être une terminologie médicalement reconnue ou établie. Il est possible que vous ayez fait une erreur dans l'orthographe ou la formulation.

Cependant, les "fibres moussues" peuvent faire référence aux "fibres moussues de la substance blanche", qui sont des lésions cérébrales caractérisées par une accumulation anormale de protéines tau dans le cerveau. Ces fibres moussues sont souvent associées à des maladies neurodégénératives telles que la démence, la maladie d'Alzheimer et certaines formes de la maladie de Parkinson.

L'hippocampus est une structure cérébrale importante pour la mémoire et l'apprentissage. Les dommages à cette région peuvent entraîner des troubles de la mémoire et de la cognition. Si vous pouviez me fournir plus d'informations ou clarifier votre demande, je serais heureux de vous aider davantage.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Dans le contexte médical et neurologique, les voies efférentes font référence aux fibres nerveuses ou aux nerfs qui transmettent des impulsions nerveuses du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) vers les muscles squelettiques ou d'autres organes effecteurs. Autrement dit, ces voies sont responsables de la conduite des signaux nerveux qui commandent et contrôlent les mouvements musculaires volontaires et involontaires, ainsi que certaines sécrétions glandulaires et fonctions viscérales. Un exemple bien connu de voie efférente est le nerf moteur qui innerve les muscles squelettiques pour permettre la contraction musculaire et donc le mouvement.

En médecine, la rotation fait référence à un mouvement qui entraîne une partie du corps ou un objet autour d'un axe fixe ou imaginaire. Ce type de mouvement est mesuré en degrés et peut être décrit comme étant effectué dans le sens des aiguilles d'une montre (horaire) ou dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (antihoraire).

Dans un contexte clinique, la rotation est souvent utilisée pour décrire les mouvements de certaines parties du corps telles que la tête, le cou, les épaules, les hanches et les membres inférieurs. Par exemple, lors d'un examen physique, un médecin peut demander à un patient de tourner sa tête vers la gauche ou la droite pour évaluer la mobilité cervicale et rechercher toute limitation ou douleur.

De plus, dans le domaine de la chirurgie, la rotation fait référence au déplacement d'un organe ou d'une structure anatomique de sa position normale à une nouvelle position autour d'un axe fixe. Cela peut être réalisé par des techniques chirurgicales spécifiques telles que la rotation du grêle dans les cas de malabsorption intestinale.

En résumé, la rotation est un mouvement important en médecine qui permet d'évaluer la fonction et la mobilité des différentes parties du corps, ainsi que d'effectuer certaines procédures chirurgicales complexes.

La sclérose tubéreuse de Bourneville, également connue sous le nom de maladie de Bourneville-Pringle ou simplement de sclérose tubéreuse, est une maladie génétique rare et complexe qui affecte plusieurs organes du corps. Elle est causée par des mutations dans deux gènes spécifiques, TSC1 et TSC2, qui codent pour des protéines régulatrices de la croissance cellulaire.

Les manifestations cliniques de cette maladie peuvent varier considérablement d'un individu à l'autre, mais les signes les plus courants comprennent :

1. Lésions cutanées : apparition de taches cutanées pigmentées (naevus flammeus ou angiomes plans) et de plaques cutanées blanches (leucinocytoclastic vasculopathy).
2. Tumeurs bénignes : développement de tumeurs bénignes dans divers organes, telles que les reins (angiomyolipomes), le cerveau (tubers corticaux et sous-épendymaires) et le cœur (rhabdomyomes).
3. Épilepsie : présence d'une épilepsie réfractaire, souvent associée à des retards de développement intellectuel et moteur.
4. Troubles du comportement : apparition de troubles du comportement, tels que l'autisme ou le syndrome d'Asperger.
5. Autres complications : risque accru de développer des complications rénales, cardiaques, pulmonaires et ophtalmologiques.

Le diagnostic de la sclérose tubéreuse de Bourneville repose sur les critères cliniques, radiologiques et génétiques. Le traitement est multidisciplinaire et vise à prévenir et gérer les complications associées à cette maladie. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments anticonvulsivants, une surveillance régulière des organes touchés, une intervention chirurgicale si nécessaire et un soutien psychologique pour les patients et leur famille.

Le néocortex est la partie la plus externe et la plus récente évolutivement du cortex cérébral dans le cerveau des mammifères. Il est responsable de hautes fonctions cognitives telles que la perception sensorielle, la génération de mouvements volontaires, la pensée spatiale, la conscience, la mémoire et le langage. Le néocortex est divisé en plusieurs lobes (frontal, pariétal, temporal et occipital) et contient des milliards de neurones organisés en six couches distinctes. Sa structure hautement plastique et ses propriétés d'apprentissage et de mémoire en font une zone cruciale pour la cognition et le comportement.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre demande. Le terme "Personnes Célèbres" ne fait pas partie de la terminologie médicale. Il s'agit plutôt d'un terme général utilisé pour décrire des individus qui sont largement reconnus et reçoivent une attention significative de la part du public, souvent en raison de leur succès dans des domaines tels que le divertissement, les sports, la politique, ou d'autres contributions remarquables à la société. Si vous cherchez une définition médicale pour un terme spécifique, veuillez me fournir l'information et je serai heureux de vous aider.

Les mouvements oculaires, également connus sous le nom de mouvements des yeux, se réfèrent aux mouvements involontaires ou volontaires des globes oculaires. Ils sont essentiels pour la fonction visuelle normale, y compris la perception de la profondeur, la poursuite et le maintien de la focalisation sur un objet en mouvement ou stationnaire.

Il existe différents types de mouvements oculaires, notamment :

1. Mouvements saccadiques : Ce sont des mouvements rapides et brusques des yeux qui se produisent lorsque vous regardez autour de votre environnement. Ils permettent aux yeux de passer d'un point fixe à un autre.

2. Mouvements lisses ou poursuites : Ces mouvements se produisent lorsque vous suivez un objet en mouvement, comme une voiture qui passe devant vous. Les muscles oculaires se contractent et s'étirent de manière coordonnée pour permettre aux yeux de suivre l'objet sans interruption.

3. Mouvements de fixation : Il s'agit de petits mouvements oculaires qui se produisent lorsque vous maintenez votre regard sur un objet stationnaire. Ces mouvements aident à maintenir la focalisation et la clarté visuelle.

4. Mouvements vestibulaires : Ces mouvements sont déclenchés par le système vestibulaire dans l'oreille interne et se produisent en réponse aux changements de position de la tête. Ils aident à stabiliser les images sur la rétine lorsque vous bougez la tête.

Des anomalies ou des problèmes dans les mouvements oculaires peuvent indiquer des troubles neurologiques sous-jacents, tels que des lésions cérébrales, des maladies dégénératives ou des affections musculaires. Par conséquent, une évaluation approfondie des mouvements oculaires est souvent utilisée dans le diagnostic et le suivi de ces conditions.

Le réseau nerveux est un système complexe et hautement organisé de cellules spécialisées appelées neurones qui transmettent et traitent les informations dans le corps. Il se compose du système nerveux central (SNC), qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et du système nerveux périphérique (SNP), qui comprend tous les autres nerfs et ganglions en dehors du SNC.

Le rôle principal du réseau nerveux est de contrôler les fonctions corporelles essentielles telles que la pensée, la mémoire, l'humeur, le sommeil, la respiration, la circulation sanguine, la température corporelle, le métabolisme et la sensation des stimuli internes et externes.

Le réseau nerveux fonctionne en transmettant des signaux électriques et chimiques entre les neurones via des synapses. Ces signaux peuvent provoquer une réponse ou un comportement spécifique, tels que la contraction d'un muscle ou la libération d'une hormone.

Des lésions ou des dysfonctionnements du réseau nerveux peuvent entraîner divers problèmes de santé, y compris des douleurs neuropathiques, des paralysies, des tremblements, des convulsions, des pertes de mémoire et d'autres troubles cognitifs.

Le nystagmus physiologique, également connu sous le nom de nystagmus physiologique spontané, est un type de mouvement oculaire involontaire qui se produit normalement dans certaines conditions. Il s'agit d'un mouvement rapide et lent des yeux qui se produit généralement lorsque les yeux sont dans une position extrême de regard vers la gauche ou vers la droite, en haut ou en bas.

Le nystagmus physiologique est souvent observé lorsque quelqu'un regarde vers les côtés tout en se déplaçant rapidement, comme dans un véhicule en mouvement, ou lorsqu'il tourne la tête de manière répétée dans une direction donnée. Ce type de nystagmus est considéré comme normal et ne doit pas être confondu avec le nystagmus pathologique, qui peut être un signe de divers problèmes médicaux, tels que des lésions cérébrales ou des troubles vestibulaires.

Le nystagmus physiologique est généralement de faible amplitude et ne perturbe pas la vision de manière significative. Il est souvent asymétrique, ce qui signifie que les mouvements oculaires peuvent être plus prononcés dans une direction que dans l'autre. Dans certains cas, le nystagmus peut disparaître complètement lorsque la tête est maintenue dans une position neutre ou lorsque les yeux sont au repos.

La proprioception est la conscience de la position et du mouvement des différentes parties du corps, qui est perçue grâce à des récepteurs spécialisés dans les muscles, les tendons, les ligaments et les articulations. Elle permet au cerveau de recevoir des informations sur la posture et le mouvement en cours, contribuant ainsi à maintenir l'équilibre, la coordination et la stabilité du corps pendant les activités quotidiennes et lors de la pratique d'exercices ou de sports. Une atteinte à la proprioception peut entraîner des difficultés à contrôler les mouvements volontaires et à maintenir l'équilibre, ce qui peut augmenter le risque de chutes et de blessures.

Le myélencéphale est la région la plus caudale (postérieure) du tronc cérébral dans le système nerveux central. Il contient des parties importantes du bulbe rachidien et du pont, y compris les noyaux des nerfs crâniens III, IV, V, VI, VIIII, X, and XI. Le myélencéphale joue un rôle crucial dans la régulation de fonctions vitales telles que la respiration, la déglutition, et le maintien de la posture et du mouvement. Il contient également des neurones qui contrôlent les réflexes spinales et contribue à la coordination des mouvements oculaires et de la tête.

Reflex Epilepsies and Reflex Seizures (Advances in Neurology, Vol 75). Philadelphia - New York Lippincott - Raven 1998 Stefan H ... sur American Epilepsy Society (consulté le 19 juin 2019) (en) « Previous Winners » [PDF], sur League Against Epilepsy (consulté ... "The Causes of Epilepsy. Common and Uncommon Causes in Adults and Children". Cambridge - New York - Melbourne, et al, Cambridge ... Migraine and Epilepsy. Boston - Londres - Durban, et al, Butterworth 1987 Andermann F, Rasmussen T, eds. Chronic Encephalitis ...
Epilepsy Res Suppl., vol. 7,‎ 1992, p. 151-7 (PMID 1334660) modifier Kandel, Schwartz et Jessel 2000a, p. 1258-60. Hebb 1949, p ... en) Pinsker H, Kupfermann I, Castellucci V et Kandel E., « Habituation and dishabituation of the gill-withdrawal reflex in ... Conditioned reflexes and neuron organization., Cambridge, Univ. Press, coll. « Cambridge biological studies », 1948, 267 p. ( ... upregulation of kinesin in the neurons of the gill-withdrawal reflex. », Cell, vol. 135, no 5,‎ 2008, p. 960-73 (PMID 19041756 ...
Reflex Epilepsies and Reflex Seizures (Advances in Neurology, Vol 75). Philadelphia - New York Lippincott - Raven 1998 Stefan H ... sur American Epilepsy Society (consulté le 19 juin 2019) (en) « Previous Winners » [PDF], sur League Against Epilepsy (consulté ... "The Causes of Epilepsy. Common and Uncommon Causes in Adults and Children". Cambridge - New York - Melbourne, et al, Cambridge ... Migraine and Epilepsy. Boston - Londres - Durban, et al, Butterworth 1987 Andermann F, Rasmussen T, eds. Chronic Encephalitis ...
2016) Decision making impairments following insular and medial temporal lobe resection for drug-resistant epilepsy. Soc Cogn ...
Yawning: an early manifestation of vasovagal reflex. AJR Am J Roentgenol. 1988;150(1):209.. Deputte BL. Ethological study of ... Post-ictal forceful yawning in a patient with nondominant hemisphere epilepsy. Epileptic Disord. 2006;8(1):65-69.. Zafar H, ... Humphrey T. The development of mouth opening and related reflexes involving the oral area of human fetuses. Ala J Med Sci. 1968 ... Muchnik S, Finkielman S, Semeniuk G, de Aguirre MI. Yawning and temporal lobe epilepsy Medicina (B Aires). 2003;63(2):137-139. ...
Effects of yoga on the autonomic nervous system, gamma-aminobutyric-acid, and allostasis in epilepsy, depression, and post- ... Spinothalamic system and viscerosomatic motor reflexes: functional organization of cardiac and somatic input. In: King HH, ...
Epilepsy Safe Mode: this profile enables people with epilepsy to use the website safely by eliminating the risk of seizures ... Ils ont également discuté des technologies de jeu telles que DLSS et Reflex. ... This mode enables people with epilepsy to use the website safely by eliminating the risk of seizures that result from flashing ...
Can be confused with a exertional rhabdomyolysis; or colics, respiratory illness, neurological disorder) (epilepsy,...) etc. ... reflexes are increased réflexe à la menace (test neuro-ophtalmo). menace" response ...
Epilepsy Safe Mode : ce profil permet aux personnes atteintes dépilepsie dutiliser le site web en toute sécurité en éliminant ... Comment louer un reflex numérique ? * Comment louer un objectif fisheye ? * Comment louer un appareil graphique ? ...
mon fils a des crises d epilepsies et depuis je traumatises je ne dore plus la nuit chaque bruit me fait peur a mourir ... Je sais pas quoi ressentir quoi pensé quoi dire je suis vraiment perdu…Je sais que le premier reflex des personne qui lisent sa ...
Effects of yoga on the autonomic nervous system, gamma-aminobutyric-acid, and allostasis in epilepsy, depression, and post- ... Spinothalamic system and viscerosomatic motor reflexes: functional organization of cardiac and somatic input. In: King HH, ...
18] Epilepsy Foundation of America press release, « Epilepsy Foundation calls for increased medical marijuana access and ... Delta-9-THC based monotherapy in fibromyalgia patients on experimentally induced pain, axon reflex flare, and pain relief. ... Marijuana use in adults admitted to a Canadian epilepsy monitoring unit. Epilepsy & Behavior 63: 73-78. (Lusage de cannabis ... Report of a parent survey of cannabidiol-enriched cannabis use in pediatric treatment-resistant epilepsy. Epilepsy & Behavior ...
mon fils a des crises d epilepsies et depuis je traumatises je ne dore plus la nuit chaque bruit me fait peur a mourir ... Je sais pas quoi ressentir quoi pensé quoi dire je suis vraiment perdu…Je sais que le premier reflex des personne qui lisent sa ...

Pas de FAQ disponibles qui correspondent au "epilepsy reflex"