Fasciculation
Axones
Succinylcholine
Contactin 2
Molécules D'Adhérence Cellulaire Neuronale
Molécules Adhérence Cellulaire Neurone-Glie
Sémaphorine 3A
Complexe Antigénique L1 Leucocytaire
Molécule Adhérence Cellulaire L1 Du Tissu Nerveux
Neuropiline 1
Molécules D'Adhérence Cellulaire Du Tissu Nerveux
Crampe Musculaire
Manifestations Neurologiques
Neurites
Maladies Neuromusculaires
Electromyography
Système Nerveux
Nerf Abducens
Maladies Du Motoneurone
Contactins
Protéines Tissu Nerveux
Organe Voméronasal
Nerfs Crâniens
Embryon De Poulet
Neuropiline 2
Encyclopedias as Topic
Electricity
Neurologie
Orthopédie
Une fasciculation est un type de contraction musculaire involontaire qui est généralement décrit comme une « secousse » ou une « contraction » rapide et souvent visible sous la peau. Elle se produit lorsque des faisceaux individuels de fibres musculaires se contractent de manière incontrôlable. Contrairement aux crampes musculaires, les fasciculations sont généralement indolores, bien que leur apparition fréquente ou persistante puisse être un signe de trouble neuromusculaire sous-jacent. Les causes courantes des fasciculations comprennent le stress, la fatigue, la consommation de caféine ou d'autres stimulants, et certaines maladies neurologiques telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou la maladie de Charcot. Cependant, dans de nombreux cas, les fasciculations peuvent être bénignes et n'avoir aucune cause sous-jacente grave.
Les axones sont des prolongements cytoplasmiques longs et fins de neurones, qui conduisent les impulsions nerveuses (ou potentiels d'action) loin du corps cellulaire (soma) vers d'autres neurones ou vers des effecteurs tels que les muscles ou les glandes. Ils sont généralement entourés d'une gaine de myéline, qui est produite par les cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique et par les oligodendrocytes dans le système nerveux central. La gaine de myéline permet une conduction rapide des impulsions nerveuses en réduisant la résistance électrique le long de l'axone. Les axones peuvent varier en taille, allant de quelques micromètres à plusieurs mètres de longueur, et ils peuvent être classés en fonction de leur diamètre et de l'épaisseur de la gaine de myéline.
Les dommages aux axones peuvent entraîner une variété de troubles neurologiques, tels que des neuropathies périphériques, des maladies neurodégénératives et des lésions de la moelle épinière. Par conséquent, la protection et la régénération des axones sont des domaines importants de recherche dans le domaine de la neurologie et de la médecine régénérative.
La succinylcholine est un médicament relaxant musculaire à courte durée d'action, utilisé en anesthésie pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique. Il agit comme un curare dépolarisant, provoquant une paralysie temporaire des muscles striés squelettiques en interférant avec la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuromusculaire.
La succinylcholine se lie aux récepteurs nicotiniques d'acétylcholine, entraînant une dépolarisation initiale suivie d'une phase de blocage postsynaptique prolongé et réversible. Cela aboutit à une paralysie musculaire complète pendant environ 5 à 10 minutes, ce qui permet au médecin d'effectuer des procédures invasives telles que l'intubation ou la chirurgie abdominale majeure.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation de succinylcholine n'entraîne pas une analgésie ni une sédation, c'est pourquoi elle doit être associée à un agent anesthésique approprié pour assurer le confort et la sécurité du patient pendant la procédure.
Les effets secondaires courants de la succinylcholine comprennent l'hypertension artérielle, la tachycardie, la bradycardie, les augmentations transitoires des enzymes hépatiques et musculaires, ainsi qu'une hyperkaliémie potentiellement dangereuse chez certains patients présentant des antécédents de traumatismes récents, de brûlures graves, de neuropathies ou de myopathies. Par conséquent, il est important de procéder à une évaluation approfondie du patient avant d'administrer ce médicament et de surveiller étroitement les fonctions vitales pendant et après l'utilisation de la succinylcholine.
Contactin 2, également connu sous le nom de CNTN2, est une protéine qui appartient à la famille des neurofascines et des contactines. Cette protéine transmembranaire joue un rôle crucial dans l'adhésion cellulaire et la communication entre les neurones dans le système nerveux central et périphérique.
Contactin 2 est principalement exprimé dans les neurones, en particulier dans les axones myélinisés du cerveau et de la moelle épinière. Il interagit avec d'autres protéines pour faciliter l'adhésion cellulaire et la formation des jonctions communicantes entre les neurones et les cellules gliales, telles que les oligodendrocytes dans le cerveau et les Schwann dans la moelle épinière.
Des mutations dans le gène CNTN2 ont été associées à certaines maladies neurologiques, y compris l'épilepsie et certains troubles du spectre autistique. Des études ont également montré que Contactin 2 peut jouer un rôle dans la régulation de la croissance des axones et la plasticité synaptique, ce qui en fait une cible potentielle pour le développement de thérapies pour les troubles neurologiques.
Les molécules d'adhésion cellulaire neuronale sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans l'adhésion, la communication et l'organisation des cellules nerveuses (neurones) dans le système nerveux central et périphérique. Elles participent à la formation et au maintien des synapses, qui sont les sites de communication entre neurones.
Il existe plusieurs types de molécules d'adhésion cellulaire neuronale, mais deux familles principales sont souvent mises en avant : les cadhérines et les immunoglobulines à nombre élevé de domaines (Ig-NE). Les cadhérines sont des protéines transmembranaires qui s'associent entre elles pour former des jonctions adhérentes, assurant ainsi la cohésion mécanique des neurones. Les Ig-NE, quant à elles, comprennent les neuroligines et les neurexines, qui sont également des protéines transmembranaires. Elles interagissent spécifiquement avec les cadhérines et d'autres molécules d'adhésion pour stabiliser les synapses et réguler la transmission synaptique.
Ces molécules d'adhésion cellulaire neuronale sont essentielles au développement, à la fonction et à la plasticité du système nerveux. Des anomalies dans leur expression ou leur fonctionnement ont été associées à divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que l'autisme, la schizophrénie, l'épilepsie et les maladies neurodégénératives.
Les molécules d'adhésion cellulaire neurone-glie (NCAM, L1, et Jagged1) sont des protéines membranaires qui jouent un rôle crucial dans l'interaction et la communication entre les neurones et la glie dans le système nerveux central et périphérique. Elles facilitent l'adhésion et la reconnaissance cellulaire, ainsi que la signalisation cellulaire, contribuant au développement, à la plasticité et à la réparation du système nerveux.
1. NCAM (Neural Cell Adhesion Molecule) : Cette molécule d'adhésion est exprimée sur les neurones et les cellules gliales pendant le développement et à l'âge adulte. Elle participe à la formation des synapses, à la migration neuronale, à la croissance axonale et à la plasticité synaptique.
2. L1 (L1 Cell Adhesion Molecule) : Cette protéine est principalement exprimée sur les neurones en développement, où elle contribue à la guidance des axones, à la formation de synapses et à l'apprentissage et à la mémoire.
3. Jagged1 (une protéine Notch ligand) : Cette molécule est exprimée sur les cellules gliales et interagit avec les récepteurs Notch sur les neurones pour réguler la différenciation, la survie et la plasticité des neurones.
Ces molécules d'adhésion cellulaire sont essentielles pour l'établissement et le maintien de connexions neuronales appropriées et jouent un rôle important dans les processus pathologiques tels que la réparation nerveuse après une lésion ou une maladie neurodégénérative.
La sémaphorine 3A est une protéine qui joue un rôle important dans le développement du système nerveux central. Elle agit comme un signal chimique pour guider la croissance et l'orientation des axones, qui sont les prolongements des neurones ou cellules nerveuses, pendant le processus de développement appelé la synaptogenèse.
La sémaphorine 3A est particulièrement connue pour son rôle dans la signalisation répulsive, ce qui signifie qu'elle peut empêcher la croissance des axones dans certaines directions. Cela permet de façonner le schéma de connexion entre les neurones et de contribuer à la formation de circuits nerveux fonctionnels.
Les mutations du gène SEMA3A, qui code pour la sémaphorine 3A, ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que la maladie d'Charcot-Marie-Tooth de type 4F, une neuropathie héréditaire qui affecte les nerfs périphériques.
Le Complexe Antigénique L1 Leucocytaire (LCA ou LLEC) est un ensemble d'antigènes présents à la surface des lymphocytes T et B ainsi que sur les monocytes et les cellules dendritiques. Il s'agit d'un marqueur important du système immunitaire, qui joue un rôle crucial dans la reconnaissance et la réponse aux agents pathogènes.
Le LCA est composé de plusieurs molécules, dont les plus étudiées sont CD1, CD19 et CD64. Ces molécules sont des protéines intégrales de la membrane cellulaire qui participent à l'activation et à la régulation de la réponse immunitaire.
Le LCA est souvent utilisé comme un marqueur pour distinguer les différents types de leucocytes dans les analyses sanguines. Des variations anormales du LCA peuvent être associées à certaines maladies, telles que les infections, les maladies auto-immunes et les cancers du sang. Par conséquent, l'analyse du LCA peut fournir des informations importantes pour le diagnostic et le suivi de ces affections.
La molécule d'adhésion cellulaire L1 du tissu nerveux, également connue sous le nom de L1CAM (pour «L1 cell adhesion molecule»), est une protéine transmembranaire qui joue un rôle crucial dans le développement et la fonction du système nerveux central. Elle est exprimée principalement sur les neurones, mais aussi sur d'autres types de cellules, telles que les cellules gliales et les cellules souches neurales.
La molécule L1 participe à divers processus cellulaires importants, tels que l'adhésion cellulaire, la migration cellulaire, la différenciation neuronale, la croissance axonale et la synaptogenèse. Elle interagit avec d'autres protéines de la matrice extracellulaire et des membranes cellulaires pour former des complexes multiprotéiques qui régulent ces processus.
Les mutations du gène L1CAM ont été associées à plusieurs troubles neurologiques graves, tels que le syndrome de MASA (mégalencéphalie, alexie, synkinesia, et anomalies articulaires), le syndrome de CRASH (corps calleux agénésique, retard mental, aphasie spastique, hydrocéphalie et saut de ligne) et l'hydrocéphalie à pression normale. Ces maladies sont caractérisées par des anomalies du développement cérébral, des déficits intellectuels, des problèmes moteurs et sensoriels, ainsi que des troubles de la parole et du langage.
Neuropiline 1 est un récepteur transmembranaire qui se lie et internalise sélectivement les isoformes du facteur de croissance des vaisseaux sanguins (VEGF) et joue un rôle crucial dans l'angiogenèse, la neurogenèse, l'immunité et la progression tumorale. Il est largement exprimé dans les neurones, les cellules endothéliales, les cellules musculaires lisses vasculaires, les ostéoclastes, les lymphocytes T régulateurs et d'autres types cellulaires. La protéine Neuropiline 1 est codée par le gène NRP1 situé sur le chromosome 10 humain. Les mutations dans ce gène ont été associées à certaines maladies génétiques, telles que les syndromes de Waardenburg et de Chediak-Higashi.
Les molécules d'adhésion cellulaire du tissu nerveux, également connues sous le nom de molécules d'adhésion neuronale ou molécules d'adhésion des cellules gliales, sont des protéines membranaires qui jouent un rôle crucial dans l'interaction et la communication entre les cellules nerveuses (neurones) et les cellules gliales dans le système nerveux central et périphérique.
Ces molécules d'adhésion cellulaire aident à maintenir l'intégrité structurale du tissu nerveux en médiant des interactions homophiles ou hétérophiles entre les neurones et les cellules gliales, telles que les astrocytes, les oligodendrocytes et les cellules de Schwann.
Les molécules d'adhésion cellulaire du tissu nerveux comprennent des familles de protéines telles que les cadhérines, les immunoglobulines, les protéoglycanes et les intégrines. Elles sont importantes pour la migration neuronale, la différenciation cellulaire, la formation des synapses, le maintien de l'architecture tissulaire et la plasticité synaptique.
Les déficits dans les molécules d'adhésion cellulaire du tissu nerveux ont été associés à divers troubles neurologiques, notamment la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaques et certaines formes de paralysie cérébrale.
Une crampe musculaire est une contraction involontaire et douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles, qui se produit soudainement et dure généralement de quelques secondes à quelques minutes. Pendant la crampe, le muscle se raidit et devient très sensible à la palpation. Les crampes musculaires peuvent survenir pendant l'exercice ou au repos, mais elles sont plus fréquentes pendant ou après un effort physique intense, en particulier dans des conditions de chaleur extrême ou lors d'un manque d'hydratation et d'électrolytes. Les crampes musculaires peuvent également être liées à une maladie sous-jacente, telles que les neuropathies périphériques, l'insuffisance rénale ou la cirrhose du foie. Dans de nombreux cas, cependant, la cause exacte des crampes musculaires est inconnue.
Les manifestations neurologiques sont des signes ou symptômes qui affectent le système nerveux et indiquent un problème médical sous-jacent. Cela peut inclure des changements dans la fonction sensorielle, cognitive, ou motionnelle. Les exemples de manifestations neurologiques peuvent inclure des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements, des mouvements anormaux, des convulsions, des maux de tête, des troubles de la parole, des problèmes de coordination, des étourdissements, ou des changements dans le niveau de conscience. Ces manifestations peuvent être dues à une variété de causes, y compris les lésions cérébrales traumatiques, les infections, les tumeurs, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies neurodégénératives, ou les troubles métaboliques. Une évaluation médicale complète est nécessaire pour déterminer la cause sous-jacente et élaborer un plan de traitement approprié.
Les neurites sont des prolongements des neurones, qui peuvent être soit des dendrites (ramifications receptrices) ou des axones (prolongements conducteurs de signaux). Ils se forment pendant le développement du système nerveux et jouent un rôle crucial dans l'établissement des connexions entre les neurones. Les dommages aux neurites peuvent entraîner une dysfonction neurologique et sont souvent observés dans des conditions neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaques.
Les maladies neuromusculaires sont un groupe divers de conditions qui affectent la fonction nerveuse et musculaire. Elles se produisent lorsque les nerfs qui contrôlent les muscles (motoneurones) ou ceux qui transmettent les sensations vers le cerveau (neurones sensoriels) ne fonctionnent pas correctement.
Cela peut entraîner une faiblesse, une paralysie, des crampes, des tremblements, des problèmes de coordination et d'équilibre, ainsi que des troubles sensoriels tels que la perte de réflexes, la sensation de picotements ou l'engourdissement.
Certaines maladies neuromusculaires sont héréditaires, tandis que d'autres peuvent être causées par des infections, des traumatismes, des tumeurs, des intoxications ou des processus dégénératifs liés à l'âge. Les exemples incluent la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la dystrophie musculaire de Duchenne, la myasthénie grave, la neuropathie périphérique et la sclérose en plaques.
Le traitement dépend du type spécifique de maladie neuromusculaire et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une assistance respiratoire ou d'autres soins de soutien. Dans certains cas, des interventions chirurgicales peuvent être nécessaires pour corriger des problèmes structurels ou soulager les symptômes.
Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.
L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.
L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.
L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.
L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.
Le système nerveux est un complexe réseau de structures et de fonctions dans le corps qui sont responsables de la perception sensorielle, du traitement de l'information, du contrôle moteur, de la régulation des viscères et de la coordination générale de toutes les activités corporelles. Il se compose du système nerveux central (SNC), qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et du système nerveux périphérique (SNP), qui comprend les nerfs crâniens, les nerfs spinaux et les ganglions nerveux.
Le SNC est responsable de l'intégration des informations sensorielles, de la formation de réponses motrices et de la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine. Le SNP transmet les informations entre le SNC et le reste du corps en transportant les impulsions nerveuses sous forme d'influx électriques le long des fibres nerveuses.
Le système nerveux peut être further divisé en deux sous-systèmes : le système nerveux somatique, qui contrôle les mouvements volontaires et la sensation cutanée, et le système nerveux autonome, qui régule les fonctions involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la température corporelle.
Le système nerveux est essentiel à la survie et au fonctionnement normal de l'organisme, et toute altération de sa structure ou de sa fonction peut entraîner des troubles neurologiques graves.
Le nerf abducens, également connu sous le nom de sixième nerf crânien, est un nerf crânien responsable de l'innervation des muscles droits latéraux de l'œil. Ces muscles sont responsables du mouvement des yeux vers l'extérieur, ou abduction. Le nerf abducens a son origine dans le tronc cérébral et émerge de la base du crâne près du rocher. Il traverse ensuite le crâne par le foramen ovale pour atteindre l'orbite et innerver le muscle droit latéral. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une difficulté à déplacer les yeux vers l'extérieur, une condition appelée strabisme ou paralysie du sixième nerf.
Les maladies du motoneurone sont un groupe de troubles neurologiques qui affectent les neurones moteurs, qui sont les cellules nerveuses responsables de contrôler la fonction musculaire. Il existe deux types principaux de motoneurones : les neurones supérieurs, situés dans le cortex cérébral, et les neurones inférieurs, situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral.
Les maladies du motoneurone peuvent affecter un ou les deux types de motoneurones. Les symptômes dépendent du type et de l'étendue de la lésion nerveuse, mais ils comprennent généralement une faiblesse musculaire progressive, des crampes et des fasciculations (contractions musculaires involontaires), une atrophie musculaire, des troubles de la déglutition et de la parole, et une perte de réflexes tendineux.
Les exemples les plus courants de maladies du motoneurone sont la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la sclérose latérale primaire (SLP) et la paralysie supranucléaire progressive (PSP). La SLA est une maladie dégénérative grave qui affecte à la fois les motoneurones supérieurs et inférieurs, entraînant une faiblesse musculaire généralisée, des difficultés de déglutition et de respiration, et finalement une paralysie complète. La SLP et la PSP sont des maladies qui affectent principalement les motoneurones supérieurs et entraînent une perte progressive des réflexes tendineux, des troubles de la déglutition et de la parole, ainsi qu'une rigidité musculaire.
Les causes des maladies du motoneurone sont inconnues dans la plupart des cas, bien que certaines formes héréditaires aient été identifiées. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour ces maladies, bien que certains médicaments puissent soulager les symptômes et ralentir la progression de la maladie dans certains cas.
Les contactines sont une famille de protéines transmembranaires appartenant à la superfamille des immunoglobulines. Elles sont largement exprimées dans le système nerveux central et périphérique, où elles jouent un rôle crucial dans l'établissement et le maintien des synapses et des jonctions communicantes entre les neurones et d'autres cellules gliales. Les contactines sont également importantes pour la migration et la différenciation des cellules nerveuses pendant le développement du système nerveux.
Les membres de cette famille comprennent la contactine-1, la contactine-2 (ou BIG-1), la contactine-3 (ou BIG-2) et la contactine-4 (ou TAG-1). Chacune de ces protéines possède plusieurs domaines extracellulaires en forme de feuille de trèfle, qui sont responsables de leurs propriétés adhésives et de leur capacité à interagir avec d'autres molécules. Les contactines peuvent former des complexes hétérophiles avec d'autres membres de la famille ou avec d'autres protéines telles que les neurofascines et les L1, ce qui permet de stabiliser les jonctions cellulaires et de réguler la transmission synaptique.
Les mutations dans les gènes codant pour les contactines ont été associées à plusieurs troubles neurologiques, tels que l'épilepsie, la schizophrénie, l'autisme et certaines formes de neuropathies périphériques. Par conséquent, une meilleure compréhension des fonctions et des interactions des contactines pourrait fournir des insights précieux sur les mécanismes moléculaires sous-jacents à ces maladies et ouvrir de nouvelles voies thérapeutiques pour leur traitement.
Les protéines du tissu nerveux sont des types spécifiques de protéines qui se trouvent dans les neurones et le tissu nerveux périphérique. Elles jouent un rôle crucial dans la structure, la fonction et la régulation des cellules nerveuses. Parmi les protéines du tissu nerveux les plus importantes, on peut citer:
1. Neurofilaments: Ces protéines forment une partie importante de la structure interne des neurones et aident à maintenir leur intégrité structurelle. Elles sont également utilisées comme marqueurs pour diagnostiquer certaines maladies neurodégénératives.
2. Neurotransmetteurs: Ces protéines sont responsables de la transmission des signaux chimiques entre les neurones. Les exemples incluent la sérotonine, la dopamine et l'acétylcholine.
3. Canaux ioniques: Ces protéines régulent le flux d'ions à travers la membrane cellulaire des neurones, ce qui est essentiel pour la génération et la transmission des impulsions nerveuses.
4. Protéines d'adhésion: Elles aident à maintenir les contacts entre les neurones et d'autres types de cellules dans le tissu nerveux.
5. Enzymes: Les protéines enzymatiques sont importantes pour la régulation des processus métaboliques dans les neurones, y compris la synthèse et la dégradation des neurotransmetteurs.
6. Chaperons moléculaires: Ces protéines aident à plier et à assembler d'autres protéines dans les neurones, ce qui est essentiel pour leur fonction et leur survie.
7. Protéines de structure: Elles fournissent une structure et un soutien aux cellules nerveuses, telles que la tubuline, qui forme des microtubules dans le cytosquelette des neurones.
Des anomalies dans les protéines du tissu nerveux peuvent entraîner divers troubles neurologiques, y compris des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.
L'organe voméronasal, également connu sous le nom d'organe de Jacobson, est un petit organe olfactif accessoire chez les animaux et certains humains. Il est situé dans la partie antérieure de la cavité nasale, à l'intérieur du septum nasal, et est responsable de la détection des phéromones, qui sont des substances chimiques spécifiques libérées par les animaux pour communiquer entre eux.
L'organe voméronasal se compose d'un réseau de tubes remplis de liquide et de cellules sensorielles spécialisées, appelées neurones sensoriels voméronasaux. Ces neurones sont connectés à des fibres nerveuses qui transmettent les informations olfactives au cerveau, en particulier au système limbique, qui est responsable de la régulation des émotions et du comportement social.
Chez certains animaux, l'organe voméronasal joue un rôle important dans la reconnaissance des partenaires sexuels, la hiérarchie sociale, le marquage territorial et d'autres comportements liés aux phéromones. Chez les humains, son existence est controversée car il n'est pas complètement développé chez tous les individus, et sa fonction reste incertaine. Cependant, certaines études suggèrent qu'il pourrait être impliqué dans la détection des phéromones sexuelles ou dans d'autres comportements sociaux.
Les nerfs crâniens sont un ensemble de douze paires de nerfs qui émergent directement du cerveau et du tronc cérébral, contrairement aux nerfs spinaux qui se connectent à la moelle épinière. Ils sont responsables de la transmission des informations sensorielles vers le cerveau, telles que la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût et les stimuli cutanés, ainsi que du contrôle des mouvements musculaires faciaux et oculomoteurs. Les nerfs crâniens sont numérotés de I à XII en fonction de leur localisation et de leurs fonctions spécifiques. Par exemple, le nerf optique (II) transmet les informations visuelles du globe oculaire au cerveau, tandis que le nerf vague (X) régule diverses fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque.
Je suis désolé, mais la dénomination médicale "embryon de poulet" n'est pas exacte ou largement reconnue dans le domaine de l'anatomie ou de l'embryologie. Cependant, il est possible que vous cherchiez à comprendre le développement embryonnaire d'un œuf de poule, qui est un sujet d'étude courant en biologie du développement.
Un œuf de poule contient un blastodisque, qui est une masse cellulaire discoïdale située sur la surface interne de l'oeuf. Le blastodisque est composé de deux parties : le disque germinal (ou area opaca) et le disque épiblastique (ou area pellucida). L'embryon se développe à partir du disque germinal, qui est la partie centrale et plus opaque du blastodisque.
Environ 48 heures après la fertilisation de l'oeuf, le début du développement embryonnaire devient visible sous forme d'un petit renflement au centre du disque germinal, appelé blastoderme primitif. Ce blastoderme primitif se développe progressivement pour former tous les tissus et organes de l'embryon de poulet.
Par conséquent, si vous cherchiez une définition médicale ou scientifique du développement embryonnaire dans un œuf de poule, j'espère que cette explication vous aura été utile.
Neuropiline 2 est une protéine transmembranaire qui fonctionne comme un récepteur pour les molécules de signalisation dans le système nerveux central et d'autres tissus. Elle se lie à plusieurs ligands, y compris des facteurs de croissance et des semaphorines, et joue un rôle crucial dans divers processus biologiques, tels que la migration cellulaire, l'angiogenèse (croissance des vaisseaux sanguins), la neurogenèse (création de nouveaux neurones) et l'axogenèse (croissance et guidage des axones).
Dans le cerveau, Neuropiline 2 est exprimée dans les cellules gliales et les neurones en développement, où elle contribue à la formation et au maintien des synapses. Elle a également été impliquée dans certaines pathologies, telles que les tumeurs cérébrales et les maladies neurodégénératives.
En médecine, Neuropiline 2 est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de diverses affections, y compris le cancer et les lésions nerveuses. Des inhibiteurs de Neuropiline 2 sont actuellement à l'étude dans des essais cliniques pour évaluer leur efficacité et leur sécurité dans le traitement de ces maladies.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Dans le contexte de la médecine, l'électricité ne possède pas réellement de définition spécifique en soi. Cependant, elle fait souvent référence à l'utilisation contrôlée du courant électrique dans le diagnostic, le traitement et la recherche médicale. Par exemple, l'électricité est utilisée dans des procédures telles que l'électrocardiogramme (ECG) pour enregistrer l'activité électrique du cœur, ou dans la stimulation électrique de certains muscles ou nerfs pour aider à rétablir leur fonction. De plus, l'électricité est également utilisée dans divers traitements thérapeutiques, tels que la thérapie par ondes de choc radiales et la stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS) pour soulager la douleur.
Je suis désolé, "Histoire du 19" ne semble pas être une terminologie médicale établie. Le terme "histoire" dans un contexte médical se réfère généralement à l'histoire de la santé d'un patient, y compris ses antécédents médicaux, ses symptômes actuels, ses allergies et son mode de vie. Le chiffre "19" pourrait faire référence à une certaine procédure, diagnostic ou événement médical spécifique lié à l'année 2019. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise pour "Histoire du 19". Il serait préférable d'obtenir des éclaircissements sur ce terme à partir de la source qui l'a utilisé.
La neurologie est une spécialité médicale qui se concentre sur l'étude du système nerveux et des maladies associées. Cela inclut le diagnostic et le traitement des conditions affectant le cerveau, la moelle épinière, les nerfs périphériques, les muscles et les organes sensoriels tels que les yeux et les oreilles. Les neurologues sont des médecins spécialement formés pour diagnostiquer et traiter une large gamme de conditions neurologiques, allant des maux de tête et des étourdissements aux accidents vasculaires cérébraux, à la sclérose en plaques, à la maladie de Parkinson et à d'autres troubles neurodégénératifs.
L'orthopédie est une spécialité médico-chirurgicale qui s'occupe du traitement des affections de l'appareil locomoteur, c'est-à-dire les os, les articulations, les muscles, les tendons et les ligaments. Elle vise à corriger ou à prévenir les déformations, à assurer la fonction optimale des membres et à soulager la douleur. Les orthopédistes utilisent une variété de traitements, y compris des médicaments, de la physiothérapie, des appareils orthopédiques et de la chirurgie pour atteindre ces objectifs. Les affections courantes traitées par les orthopédistes comprennent l'arthrose, les fractures, les entorses, les luxations, la scoliose, le pied plat, l'hallux valgus et les ruptures des tendons.
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Fasciculation
Syndrome de fasciculations bénignes
Syndrome de fatigue chronique
Pyridostigmine
Toxidrome
Amyotrophie monomélique
Maladie auto-immune
Syndrome neurogène périphérique
Laminine
Spasmophilie
Chorée fibrillaire de Morvan
Fascicule
Sclérose latérale amyotrophique
Maladie de Kennedy
Hypercalcémie
Myopathie de Duchenne
Syndrome de Korsakoff
Suxaméthonium
Curare
Atrophie musculaire progressive
Fimbrine
Neuropathie
Nerf hypoglosse
Neuropathie motrice multifocale
Syrinx (médecine)
Rivastigmine
Lithium
Composé organophosphoré
BFS
Physostigmine
Fasciculation - Wikipedia
26 ans, fasciculations, myokimies, SLA
La Sla pour les nuls | Un des symptômes de la SLA étant les troubles musculaires (crampes, fasciculations, spasticité etc.)
Moxifloxacine biogaran 400 mg, comprimé pelliculé : posologie et effets secondaires | Santé Magazine
Fatigue oculaire, Fatigue des yeux
Poliomyélite/post-poliomyélite
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Musculaires8
- En médecine, le terme de fasciculation désigne la contraction brève d'un groupe de fibres musculaires constitutives d'une unité motrice, c'est-à-dire d'un fascicule musculaire. (wikipedia.org)
- La fasciculation correspond à l'activation anormale et isolée d'une unité motrice, c'est-à-dire d'un axone moteur et de l'ensemble des fibres musculaires qui en dépendent (ces dernières constituant un petit faisceau ou fascicule). (wikipedia.org)
- La zone anatomique à l'origine des fasciculations musculaires et des crampes a été débattue durant de nombreuses années. (wikipedia.org)
- Les fasciculations peuvent aussi traduire une activité spontanée anormale d'unités motrices devenues hyperexcitables, par exemple en cas de réinnervation après dénervation d'une partie des fibres musculaires. (wikipedia.org)
- Un des symptômes de la SLA étant les troubles musculaires (crampes, fasciculations, spasticité etc. (laslapourlesnuls.com)
- Quelques autres manifestations rares comprennent aggravation des sympt mes avec exposition au froid (paralysie frigore), crampes musculaires, mains froides, tremblement grossier irr gulier et/ou fasciculations. (orpha.net)
- En termes mdicaux, on parle de fasciculations de la paupire pour dsigner ces spasmes musculaires. (millionairebeverlyhills.com)
- En fait, selon le magazine Men's Health, les « fasciculations musculaires » surviennent en raison de niveaux d'électrolytes disproportionnés dans les fibres musculaires lorsqu'elles s'épuisent. (activebeat.com)
Crampes2
- Selon lui les fasciculations pourraient résulter d'une excitation chimique locale de terminaisons nerveuses motrices, alors que les crampes résulteraient d'une excitation mécanique des terminaisons nerveuses motrices pendant le raccourcissement musculaire. (wikipedia.org)
- Elles sont le plus souvent bénignes (on parle de BFS : benign fasciculation syndrome), et souvent associées aux crampes. (wikipedia.org)
Musculaire1
- La perturbation familiale évolue favorablement, la paralysie disparaît en deux semaines, mais apparaît un ensemble de troubles neurologiques subjectifs : fasciculations, réduction de force musculaire, fatigue extrême. (medecines-douces.com)
Contractions1
- Le syndrome de crampe-fasciculation peut provoquer des contractions du pouce gauche.Le syndrome de crampe-fasciculation est une maladie rare qui affecte les muscles. (southbayfest.com)
D'une1
- Chaque fasciculation résulte d'une « dépolarisation spontanée » d'un neurone moteur inférieur conduisant à la contraction synchrone de toutes les fibres du muscle squelettique au sein d'une seule unité motrice (une dépolarisation spontanée et normale est par exemple la contraction constante du muscle cardiaque, qui fait battre le cœur). (wikipedia.org)
Excitation1
- Des fasciculations, ainsi qu'une excitation sont possibles au moment du réveil. (anses.fr)
Souvent1
- Souvent, une mise en mouvement intentionnelle du muscle impliqué provoque une cessation immédiate de la fasciculation, mais elle peut revenir une fois le muscle à nouveau au repos. (wikipedia.org)
J'ai3
- J'ai remarqué depuis quelques semaines que j'avais des fasciculations ou des myokimies sur tout le corps. (journaldesfemmes.fr)
- 2-3 jours après, j'ai commencé à avoir des fasciculations au niveau de l'injection, bras gauche. (la-verite-vous-rendra-libres.org)
- J'ai expérimenté ces fasciculations pendant plusieurs années : dans les bras, dans les cuisses, dans les mollets, sur mon visage, mais. (lymetime.eu)
Fibres1
- Dans sa partie intra-pelvienne, il est large et ces fibres charnues convergent en arrière, alors qu'à sa sortie du bassin, il est parsemé de fibres tendineuses fasciculées (les tendons étant résistants et la fasciculation permettant le roulement des fibres afin de contrecarrer l'écrasement dû au plaquage de la réflexion) [1]. (mickaelclement.com)
Amyotrophie1
- Le médecin a l'impression de voir une légère amyotrophie de ma langue et quelques fasciculations ou myokimies. (journaldesfemmes.fr)
Muscles1
- Van der Heijden, A., F. Spaans, and J. Reulen (1994), Fasciculation potentials in foot and leg muscles of healthy young adults. (wikipedia.org)
Langue1
- La langue s'atrophie précocement avec de nombreuses fasciculations . (doctissimo.fr)
Voir1
- Fasciculation… rien à voir avec mon nom Fasika🐾 🌟Un peu de culture e. (pascalyogayur.fr)
Membres1
- A partir de début 2007, ces deux personnes ont développé des myoclonies et des fasciculations des membres inférieurs, rapportent les médecins dans le résumé de leur poster. (apmnews.com)
Crampes et fasciculations1
- Elle atteint plutôt l'adulte et se présente sous forme d'amyotrophies, paralysies spasmodiques, crampes et fasciculations. (acadpharm.org)
Contraction2
- Chaque fasciculation résulte d'une « dépolarisation spontanée » d'un neurone moteur inférieur conduisant à la contraction synchrone de toutes les fibres du muscle squelettique au sein d'une seule unité motrice (une dépolarisation spontanée et normale est par exemple la contraction constante du muscle cardiaque, qui fait battre le cœur). (wikipedia.org)
- Le tremblement de la paupière, également appelé myokymie ou fasciculation, est une contraction involontaire et répétitive des muscles de la paupière. (resolutionsante.com)
Syndrome1
- Elles sont le plus souvent bénignes (on parle de BFS : benign fasciculation syndrome), et souvent associées aux crampes. (wikipedia.org)
L'examen1
- Le neurologue a pu visualisé certaines fasciculations au moment de l'examen mais il écarte totalement la maladie de Charcot. (journaldesfemmes.fr)
Douleurs1
- Moi ça fait 6 mois que les fasciculations ont débutés après pfizer ça c'était bien calme et depuis 15 jours c'est reparti à fond avec douleurs articulaires et sensation faiblesse dans les membres mais sans perte de force réelle ou atrophie. (journaldesfemmes.fr)
Maladie1
- C'est une maladie rare mais bénigne qui se traduit par des fasciculations (crampes très brèves) douloureuses. (pagesjaunes.fr)
C'est1
- Ce PUM est enregistrable par l'électromyogramme (EMG) : c'est le potentiel de fasciculation. (wikipedia.org)