Passage anormale communiquer avec le pancréas.
Les plus fréquemment vu communication anormale entre deux organes internes, ou entre un organe et la surface du corps.
Anastomose chirurgicale du canal pancréatique, ou la fin de l'pancréas, avec le jéjunum. Dorland, 28 (éditeur)
L'excision de la tête du pancréas et la boucle du duodénum auxquels ils sont connectés.
Une résection chirurgicale de la 28e Dorland pancréas. (Éditeur)
Un passage anormaux ou les communications reliant un organe à la surface du corps.
Un anormal une communication directe entre un artère et une veine sans traverser l'A.V. CAPILLARIES. Une fistule conduit habituellement à la formation d'une connexion, sac-like dilatées leur anévrisme. Les emplacements et taille des des dérivations déterminer le degré d ’ effets sur les fonctions cardiovasculaires tels que de la tension. Et cœur TAUX.
Passage anormale de communiquer avec l'estomac.
Un anormal anatomique passage entre l ’ intestin, et un autre segment de l ’ intestin ou autres organes. Fistule intestinale externe est connecté à la peau (fistule), fistules fistule intestinale interne peut être connecté à de nombreux organes, tels que grand ventre (fistule), fistules (cholecystoduodenal TRACT biliaire) ou la BLADDER urinaire of the urinary TRACT (fistule) colovesical. Risque facteurs incluent des processus inflammatoires, cancer, des radiations, et chirurgicale mésaventures (trouble erreurs).
Passage anormale dans les organes du ou des voies biliaires entre organes biliaire et d'autres organes.
Conduits en PCV du pancréas et JUS pancréatique approvisionneras au duodénum.
Un passage ou communication anormale entre un bronches et une autre partie du corps.
Un anormal passage entre deux ou plus de vaisseaux sanguins, entre le artères ; VEINS ; ou entre une artère et une veine.
Un passage qui relie le anatomique anormale fini à l'extérieur, avec un orifice au site de drainage.
La suppression des liquides ou renvois de l'organisme, comme d'une blessure, endolorie ou carie.
Un anormal passage dans le TRACT urinaire entre elle-même ou avec d'autres organes.
Une technique de fermer des incisions et blessures, ou de rejoindre et de tissus, dans lequel agrafes sont utilisés pour les sutures.
Processus pathologiques du pancréas.
Passage anormale de communiquer avec l'oesophage. Le plus connu est fistule tracheoesophageal entre l'œsophage et de l'du cœur.
Un acné nodulaire orgue dans l'abdomen qui contient un mélange de glandes endocrines et les glandes endocrines exocrine. La petite portion recouvre les îlots de Langerhans secrétant des hormones dans le sang. La grande portion pancréas exocrine (exocrine) est un composé Acinar glande qui sécrète plusieurs enzymes digestives dans le système ductal du pancréas qui se vide dans le duodénum.
Création d'une ouverture externe artificielle dans l'estomac pour nutriments ou gastro-intestinale de compression.
Un anormal entre la anatomique et fini leur vagin !
Processus pathologique qui affectent les patients après une opération chirurgicale. Ils peuvent faire ou ne pas être liée à la maladie pour laquelle il a été opéré, et ils peuvent ou non être direct résultat de l'opération.
Cyst-like bordé de l ’ espace pas contenues dans le pancréas. Par exemple des pseudokystes pancréatique compte pour la plupart des collections kystique du pancréas et sont souvent associés à une pancréatite chronique.
Un anormal entre la anatomique BLADDER urinaire et leur vagin !
Un anormal passage communication entre l ’ un des composants du tractus respiratoire ou entre une partie du système respiratoire et organes environnants.
Un anormal anatomique passage qui relie leur vagin à d ’ autres organes, tels que la vessie (VESICOVAGINAL fistule) ou le rectum (rectovaginal fistule).
Techniques pour sécuriser ensemble les bords d'une blessure, avec des boucles de ficelle ou similaire (SUTURES).
Passage entre les anormaux du cœur, et l'oesophage, congénital ou acquis, souvent associée ESOPHAGEAL ATRESIA.
Formation chirurgicale d'une brèche dans la ABDOMINAL mur dans le jéjunum, habituellement pour hyperalimentation entérale.
Tumeurs ou un cancer du pancréas. Selon les types de ilôt des cellules présentes dans les tumeurs, peut être plusieurs hormones sécrétées par des cellules alpha du pancréas : Glucagon ; INSULIN de BETA du pancréas ; et des cellules de la somatostatine SOMATOSTATIN-SECRETING. La plupart sont des sauf le insulin-producing tumeurs malignes (insulinome).
Le liquide contenant enzymes digestives sécrétés par les dans le duodénum.
Un puissant, prolongée, la somatostatine synthétique octapeptide analogue qui inhibe la sécrétion de LA CROISSANCE HORMONE et est utilisé pour traiter de tumeurs ; DIABETES sucré, hypotension orthostatique ; Hyperinsulinisme ; hypergastrinemia ; et de l'intestin grêle, les fistules.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Un anormal passage des organes urinaires BLADDER ou entre la vessie et des organes environnants.
Un groupe de amylolytic enzymes qui percerait prégélatinisé glycogène et Stedman, 25e alpha-1,4-glucans. (Éditeur) CE 3.2.1.-.
Liquide dans les tissus trouvés epithelial-lined fermé caries ou leur sexe.
Communication anormale entre deux principales pouvant résulter de blessure, d'être due à une anomalie congénitale.
L'union ou shunt chirurgical entre conduits, tubes ou des vaisseaux. Il peut être debout, end-to-side, side-to-end ou côte a côte.
Procédures d'appliquer endoscope pour diagnostiquer des maladies et le traitement. Endoscopie implique réussir un instrument d'optique par une petite incision dans la peau soit ; percutanée ou un orifice naturel et voies naturelles du corps telles que le tube digestif ; et / ou par une incision dans le mur d'une structure tubulaire ou organe, c 'est-à-dire translumineux, examiner ou opéré l'intérieur du corps.
Shunt passage du sang direct permettant d ’ une artère à une veine de Dorland, 28. (Éditeur)
Une anastomose chirurgical en forme ou une partie du système digestif qui comprend l ’ intestin grêle que le site de drainage éventuelle.
Un cas spontané ou chez lesquels il existe une communication entre SINUS caverneux veineuse, une structure, et la CAROTID principales. C'est souvent associée à une tête traumatisme, spécifiquement importantes fractures basilaires du crâne, crâne basilaire (fracture). Les signes cliniques comprennent une vision et extra-craniennes DISORDERS HYPERTENSION.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Intervention chirurgicale impliquant ablation partielle ou totale de la rate.
Une excision du total) entier (gastrectomie partielle ou une gastrectomie subtotale (gastrectomie partielle), une excision gastrique de l'estomac. Dorland, 28 (éditeur)
Inflammation du pancréas qui se manifeste par persistantes ou récurrentes ABDOMINAL douleur avec ou sans STEATORRHEA ou DIABETES sucré. C'est caractérisé par les troupes irrégulières destruction du parenchyme du pancréas qui peut être segmentaire focale ou diffus.
La période de détention d'un patient à l'hôpital ou autre établissement de santé.
Une opération pour la même condition dans le même patient liée à une maladie ou en progression ou réapparition battait échoué opérations précédentes.
Un peptide hormone d'environ 27 acides aminés des sécrétion pancréatiques muqueuse duodénal qui active et diminue la glycémie. (Surprises et le USP Dictionary of Drug Noms, 1994, p597)
Opération qui pourrait être retardée ou pas du tout fini sans danger pour le patient. Une intervention chirurgicale programmée inclut des procédures pour corriger des problèmes médicaux non-life-threatening ainsi que pour soulager des maladies pouvant stress psychologique ou autre risque potentiel pour les patients, par exemple, contraceptif cosmétique ou chirurgie.
Le fibroscope endoscopie conçues pour observation et duodénal cannulation de VATER est ampoule afin de visualiser le système d'aération et biliaire du pancréas rétrograde par injection endoscopique de produits de contraste. (Danois) papillotomy Sphinctérotomie endoscopique (,) peut être pratiquée pendant la procédure.
Un anormal passage communication entre aucun composant du système digestif, ou entre une partie du système digestif organes environnants (s).
Affections congénitales, acquis ou héréditaires, anomalie concernant le artères ; VEINS ; ou sinus veineux dans le cerveau ; colonne vertébrale ; et les méninges.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.

Une fistule pancréatique est un trouble dans lequel il y a une communication anormale entre le tissu pancréatique et la peau, la muqueuse digestive ou d'autres organes, à la suite d'une inflammation, d'une infection, d'un traumatisme ou d'une intervention chirurgicale. Cette communication est caractérisée par un passage de liquide pancréatique, qui contient des enzymes digestives, vers l'extérieur du corps ou vers d'autres organes. Les fistules pancréatiques peuvent être exocrines (lorsque le liquide s'écoule à travers la peau) ou endocrines (lorsque le liquide s'écoule dans un autre organe). Elles sont souvent associées à des complications telles que des infections, une déshydratation, une malnutrition et une insuffisance pancréatique exocrine. Le traitement peut inclure une prise en charge conservatrice avec une thérapie de remplacement enzymatique et une nutrition entérale ou parentérale, ainsi que des interventions chirurgicales pour fermer la fistule dans certains cas graves.

Une fistule, dans le contexte médical, est une communication anormale et persistante entre deux organes, deux vaisseaux sanguins ou un organe et la surface cutanée. Elle résulte souvent d'une infection, d'une inflammation chronique, d'une tumeur ou d'une intervention chirurgicale. Les fistules peuvent se former dans diverses régions du corps, y compris le tractus gastro-intestinal, urogénital et cutané. Elles peuvent causer des symptômes variés tels que douleur, infection, fuite de liquide organique et mauvaise cicatrisation des plaies. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques, des soins locaux, une intervention chirurgicale ou une combinaison de ces options.

La pancréaticojéjunostomie est une procédure chirurgicale où le canal pancréatique et le duodénum sont dérivés dans un petit intestin, précisément dans le jéjunum. Cette intervention est couramment effectuée pendant la pancréatectomie, une opération qui consiste à enlever tout ou partie du pancréas.

La pancréaticojéjunostomie peut être de deux types : anastomose termino-terminale et anastomose termino-latérale. Dans l'anastomose termino-terminale, les extrémités du canal pancréatique et du jéjunum sont coupées et cousues ensemble. Dans l'anastomose termino-latérale, une incision est pratiquée sur le côté du jéjunum et le canal pancréatique est inséré et cousu dans cette incision.

Cette procédure vise à prévenir les complications postopératoires telles que la fuite de liquide pancréatique dans la cavité abdominale, ce qui peut entraîner une péritonite, une inflammation sévère de la membrane qui tapisse l'abdomen. La pancréaticojéjunostomie permet également d'assurer une bonne digestion et absorption des nutriments après l'ablation du pancréas ou d'une partie de celui-ci.

La duodénopancréatectomie céphalique (DPC) est une procédure chirurgicale complexe qui consiste en l'ablation d'une partie ou de la totalité du duodénum, du pancréas tête, du canal cholédoque, de la vésicule biliaire et d'une partie du jéjunum. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter les tumeurs malignes telles que les cancers du pancréas, de la vésicule biliaire ou du duodénum.

Lors de cette procédure, le chirurgien retire la tête du pancréas ainsi que les structures anatomiques qui lui sont directement reliées. Ensuite, il reconstruit le système digestif en connectant le jéjunum restant à l'estomac (gastrectomie roux-en-Y). Cette intervention peut également inclure une lymphadénectomie pancréaticoduodénale, qui est l'ablation des ganglions lymphatiques environnants.

La duodénopancréatectomie céphalique est une opération majeure avec un taux de morbidité et de mortalité élevés. Les complications post-opératoires courantes comprennent les fuites pancréatiques, la fistule biliaire, l'insuffisance pancréatique exocrine et endocrine, et les infections. Par conséquent, elle nécessite une équipe chirurgicale expérimentée et un suivi médical attentif après l'intervention.

La pancréatectomie est une procédure chirurgicale qui consiste en l'ablation totale ou partielle du pancréas. Il existe plusieurs types de pancréatectomies, selon la partie du pancréas qui doit être enlevée :

1. Pancréatectomie totale : C'est l'ablation complète du pancréas, du duodénum (la première partie de l'intestin grêle), de la vésicule biliaire et de la voie biliaire commune. Cette procédure est rarement effectuée, sauf en cas de cancer incurable ou de certaines maladies graves du pancréas.

2. Pancréatectomie distale : Elle consiste à retirer la queue et une partie du corps du pancréas. Cette procédure est souvent réalisée pour enlever les tumeurs dans la queue du pancréas.

3. Pancréatectomie segmentaire : Il s'agit d'enlever une section spécifique du pancréas, généralement utilisée pour traiter les tumeurs bénignes ou malignes de taille moyenne.

4. Pancréatectomie latérale gauche : Elle consiste à enlever la partie gauche du pancréas, y compris la queue et une partie du corps. Cette procédure est souvent réalisée pour traiter les lésions inflammatoires chroniques ou les tumeurs dans cette région.

5. Pancréatectomie céphalique : Elle consiste à enlever la tête du pancréas, qui est la partie située près de la jonction entre l'estomac et le duodénum. Cette procédure est souvent réalisée pour traiter les tumeurs dans la tête du pancréas, telles que les carcinomes canalaire invasifs ou les adénocarcinomes.

6. Duodéno-pancréatectomie céphalique (DPC) : Il s'agit d'une procédure plus étendue qui implique l'enlèvement de la tête du pancréas, du duodénum et une petite partie de l'estomac. Cette procédure est souvent réalisée pour traiter les tumeurs malignes dans la tête du pancréas.

Les complications possibles après une pancréatectomie comprennent des saignements, des infections, des fuites de liquide pancréatique, des problèmes de digestion et un diabète sucré. La récupération peut prendre plusieurs semaines, selon l'étendue de la procédure et les complications éventuelles.

Une fistule cutanée est un type de communication anormale et persistante qui se forme entre une cavité corporelle, comme un organe ou une glande, et la surface de la peau. Cette condition se caractérise par un conduit tractant le pus, le sang, les liquides digestifs ou l'urine à travers la peau. Les fistules cutanées peuvent résulter de diverses affections médicales sous-jacentes, telles que les infections, les maladies inflammatoires chroniques, les traumatismes ou les interventions chirurgicales. Selon l'étiologie et la localisation de la fistule, le traitement peut varier, allant des soins locaux et des antibiotiques aux procédures chirurgicales visant à fermer la fistule.

Une fistule artérioveineuse (FAV) est une communication anormale et directe entre une artère et une veine, contournant ainsi le lit capillaire. Cela entraîne une augmentation du débit sanguin dans les veines, ce qui peut provoquer des dilatations veineuses visibles sous la peau. Les FAV peuvent survenir spontanément ou être iatrogènes, c'est-à-dire causées par une intervention médicale, comme une ponction artérielle ou une chirurgie. Elles peuvent se former dans diverses parties du corps, mais les plus fréquentes sont celles des membres inférieurs et du bassin. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la fistule, allant d'une douleur locale à des complications graves telles qu'une ischémie (manque d'apport sanguin) des tissus environnants ou une insuffisance cardiaque congestive en cas de fistules importantes. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, comme l'échographie Doppler ou l'angiographie. Le traitement dépend de la gravité et de la localisation de la fistule, allant du suivi médical à des interventions chirurgicales pour fermer la communication artérioveineuse.

Une fistule gastrique est un type de communication anormale entre l'estomac et une autre structure ou organe voisin, telle que l'intestin grêle, le colon, la peau ou le thorax. Cela se produit généralement comme complication d'une intervention chirurgicale, d'une maladie inflammatoire de l'intestin, d'un ulcère gastroduodénal compliqué, d'une infection ou d'une tumeur maligne.

Les symptômes courants d'une fistule gastrique peuvent inclure des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids, des nausées et des vomissements, qui peuvent contenir du liquide gastrique ou des matières fécales en fonction de la localisation de la fistule. Une infection peut survenir si le contenu gastrique pénètre dans la cavité abdominale ou dans d'autres régions du corps.

Le diagnostic d'une fistule gastrique est généralement posé par des examens d'imagerie tels qu'une radiographie de l'estomac avec contraste, une tomodensitométrie (TDM) abdominale ou une endoscopie. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une intervention chirurgicale, des antibiotiques pour traiter les infections et une prise en charge nutritionnelle appropriée.

Une fistule intestinale est un type de connexion anormale (fistule) qui se forme entre l'intestin et un autre organe ou la surface de la peau. Elle peut survenir comme une complication de certaines affections médicales, telles que les maladies inflammatoires de l'intestin (MII), les infections abdominales graves, les tumeurs malignes ou bénignes, les radiations ou les interventions chirurgicales.

Les fistules intestinales peuvent entraîner des symptômes tels que la diarrhée, la douleur abdominale, la fièvre, la perte de poids et la déshydratation. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une intervention chirurgicale, des antibiotiques, une thérapie nutritionnelle ou une combinaison de ces options. Il est important de consulter un médecin si vous pensez avoir une fistule intestinale, car elle peut entraîner des complications graves si elle n'est pas traitée correctement.

Une fistule biliaire est une condition médicale anormale dans laquelle il y a une communication ou un canal formé entre le système biliaire et un autre organe ou tissu corporel adjacent. Le système biliaire est responsable du transport et du stockage de la bile, qui est produite par le foie et aide à la digestion des graisses dans l'intestin grêle.

Les fistules biliaires peuvent se former spontanément ou à la suite d'une intervention chirurgicale, une inflammation, une infection, un traumatisme ou une tumeur. Les symptômes de cette condition dépendent de l'emplacement et de la taille de la fistule, mais peuvent inclure des douleurs abdominales, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une fièvre, des nausées, des vomissements et une perte d'appétit.

Le traitement d'une fistule biliaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour fermer la fistule et réparer les dommages aux tissus environnants. Des antibiotiques peuvent également être prescrits pour traiter toute infection associée à la condition.

Les conduits pancréatiques sont des structures tubulaires dans le pancréas qui jouent un rôle crucial dans la production et la sécrétion des enzymes digestives et du bicarbonate. Il y a principalement deux types de conduits pancréatiques :

1. Le conduit pancréatique principal (CPP) : C'est le plus grand conduit qui draine la majorité des sécrétions enzymatiques produites par le pancréas exocrine. Il se forme par la convergence de plusieurs conduits secondaires dans la tête du pancréas, près de la jonction avec la vésicule biliaire et le canal cholédoque (qui draine la bile du foie). Le CPP s'étend ensuite à travers le corps et la queue du pancréas avant de se joindre au canal cholédoque pour former l'ampoule de Vater, un petit renflement dilaté qui sert de valve régulatrice pour contrôler le flux des sécrétions vers l'intestin grêle.

2. Les conduits pancréatiques accessoires : Ce sont de plus petits conduits qui se jettent directement dans le duodénum (la première partie de l'intestin grêle) ou dans le canal cholédoque avant sa jonction avec le CPP. Ils drainent les sécrétions enzymatiques produites par les petites glandes pancréatiques dispersées dans le tissu pancréatique.

Le rôle principal des conduits pancréatiques est de transporter les sécrétions pancréatiques vers l'intestin grêle, où elles sont mélangées avec la nourriture partiellement digérée provenant de l'estomac. Les enzymes pancréatiques aident à décomposer les glucides, les protéines et les lipides en molécules plus petites, facilitant ainsi leur absorption par l'organisme. Le bicarbonate présent dans les sécrétions pancréatiques neutralise également l'acidité gastrique, créant un environnement alcalin optimal pour la digestion et l'absorption des nutriments.

Une fistule bronchique est une communication anormale entre la paroi du bronche (un tube qui transporte l'air vers les poumons) et la paroi thoracique, le médiastin ou un vaisseau sanguin avoisinant. Cela peut se produire comme complication d'une maladie pulmonaire sous-jacente, telle que la bronchectasie, l'emphysème, la tuberculose, la pneumonie ou le cancer du poumon. Les symptômes peuvent inclure une toux productive de matériel purulent, des douleurs thoraciques et une détresse respiratoire. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une bronchoscopie ou d'une tomodensitométrie. Le traitement peut inclure des antibiotiques, la fermeture chirurgicale de la fistule ou la résection pulmonaire.

Une fistule vasculaire est un terme médical qui décrit une communication anormale ou pathologique entre deux vaisseaux sanguins. Cela peut se produire à la suite d'une lésion traumatique, d'une infection, d'une inflammation chronique ou d'une intervention chirurgicale. Les fistules vasculaires peuvent être congénitales ou acquises.

Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la fistule. Dans certains cas, une fistule vasculaire peut ne provoquer aucun symptôme perceptible. Cependant, dans d'autres situations, elle peut entraîner une variété de signes et de symptômes, tels qu'une augmentation du débit cardiaque, une baisse de la pression artérielle, un gonflement dans la région affectée, des douleurs, des crampes, des engourdissements, des picotements, des ulcères cutanés, des infections et dans les cas graves, une insuffisance cardiaque congestive.

Le diagnostic d'une fistule vasculaire peut être posé à l'aide d'une série de tests d'imagerie, tels qu'une échographie Doppler, une angiographie ou une tomodensitométrie (TDM). Le traitement dépend de la gravité et de la localisation de la fistule. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la fistule peut se résorber d'elle-même. Cependant, dans d'autres situations, une intervention chirurgicale ou une autre procédure invasive peut être nécessaire pour fermer la fistule et prévenir les complications potentielles.

Une fistule rectale est un canal anormal qui se forme entre le rectum et la peau des fesses, généralement à la suite d'une infection ou d'une inflammation sévère dans la région pelvienne. Cela peut survenir après une maladie inflammatoire de l'intestin, comme la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse, ou après une infection non traitée des tissus mous autour de l'anus, appelée abcès périanal.

Les symptômes courants d'une fistule rectale incluent la douleur et le gonflement dans la région anale, le drainage de pus ou de liquide nauséabond du trou près de l'anus, les saignements, la fièvre, l'inconfort lors des selles et la sensation de malaise général. Le diagnostic est généralement posé par un examen physique, souvent complété par une imagerie médicale telle qu'une IRM ou un examen endoscopique.

Le traitement dépend de la gravité et de l'emplacement de la fistule. Dans certains cas, des antibiotiques peuvent être utilisés pour traiter une infection associée. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale est nécessaire pour fermer le canal anormal et prévenir les complications telles que l'infection récurrente ou la mauvaise cicatrisation. Après la chirurgie, une thérapie physique peut être recommandée pour aider à rétablir la fonction intestinale normale.

En médecine, le drainage est une procédure utilisée pour éliminer l'excès de fluide, de pus ou de sang d'un espace fermé dans le corps. Cela peut être accompli en créant un petit trou ou incision dans la peau pour accéder à la zone affectée, puis en insérant un tube fin (appelé drain) pour permettre au liquide de s'écouler. Le drainage peut aider à prévenir les infections, à réduire la pression et la douleur, et à favoriser la guérison.

Il existe différents types de drainage médical, tels que le drainage chirurgical, qui est souvent utilisé pendant ou après une intervention chirurgicale pour prévenir l'accumulation de fluides dans la zone opérée. Le drainage thermique, comme l'utilisation de compresses chaudes ou froides, peut également être utilisé pour aider à soulager la douleur et à réduire l'enflure.

Le drainage lymphatique est une autre forme de thérapie qui vise à stimuler le système lymphatique pour éliminer les toxines et les déchets du corps. Cette méthode peut être utilisée pour traiter diverses conditions, telles que les gonflements, les ecchymoses et les infections.

Dans tous les cas, le drainage doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques d'infection ou de complications.

Une fistule urinaire est un type de communication anormale entre le système urinaire et un autre organe ou la surface de la peau. C'est généralement une complication d'une infection, d'une inflammation ou d'une intervention chirurgicale préexistante. Les fistules urinaires peuvent entraîner des fuites involontaires d'urine, ce qui peut provoquer une irritation de la peau, des infections et d'autres complications. Les symptômes courants comprennent la miction douloureuse, les odeurs d'urine, la fatigue, la fièvre et les frissons. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques, des procédures endoscopiques ou une intervention chirurgicale pour fermer la fistule.

L'agrafage chirurgical est une technique utilisée en chirurgie pour reconnecter des tissus ou des organes après une intervention. Cette méthode utilise un dispositif d'agrafage, qui se compose généralement de deux parties : une anse métallique courbée et un outil pour l'appliquer.

Au cours de la procédure, le chirurgien aligne les bords des tissus à réparer, place l'anse de l'agrafe sur eux et utilise l'outil pour plier et fixer l'anse, ce qui permet de maintenir les bords des tissus ensemble pendant le processus de guérison.

Les agrafes peuvent être faites de différents matériaux, y compris l'acier inoxydable, le titane ou des matériaux absorbables. Le choix du type d'agrafe dépend du type de tissu à réparer et de la localisation de la plaie.

L'agrafage chirurgical est couramment utilisé dans diverses procédures, telles que la réparation des vaisseaux sanguins, la fermeture des incisions après une intervention abdominale ou thoracique, et la réparation des ligaments et des tendons.

Il présente plusieurs avantages par rapport aux sutures traditionnelles, notamment un temps de procédure plus court, une manipulation plus facile, moins de traumatismes tissulaires, et dans certains cas, une cicatrisation plus rapide et moins compliquée.

Les maladies du pancréas sont un groupe de affections qui affectent le pancréas, une glande située derrière l'estomac qui remplit deux fonctions principales : une exocrine, en sécrétant des enzymes digestives dans le duodénum via un conduit appelé le canal de Wirsung ; et une endocrine, en produisant des hormones telles que l'insuline et le glucagon qui sont libérées dans la circulation sanguine.

Les maladies du pancréas peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies inflammatoires et non-inflammatoires. Les maladies inflammatoires comprennent la pancréatite aiguë et chronique, qui sont généralement causées par une consommation excessive d'alcool ou des calculs biliaires. La pancréatite aiguë est une inflammation soudaine du pancréas qui peut entraîner des douleurs abdominales sévères, une augmentation des niveaux de enzymes pancréatiques dans le sang et des complications graves telles que l'insuffisance respiratoire ou rénale. La pancréatite chronique est une inflammation continue du pancréas qui peut entraîner une fibrose (cicatrisation) du tissu pancréatique, une perte de fonction exocrine et endocrine, et des complications telles que le diabète sucré et la malnutrition.

Les maladies non-inflammatoires comprennent le cancer du pancréas, les kystes pancréatiques, la pancréatite auto-immune et la fibrose kystique. Le cancer du pancréas est une tumeur maligne qui se développe dans le tissu pancréatique et a un pronostic très défavorable en raison de son diagnostic tardif et de sa résistance aux traitements. Les kystes pancréatiques sont des poches remplies de liquide qui peuvent se former dans le pancréas et peuvent être bénins ou malins. La pancréatite auto-immune est une inflammation chronique du pancréas causée par une réponse immunitaire anormale, tandis que la fibrose kystique est une maladie génétique qui affecte les glandes exocrines et peut entraîner une insuffisance pancréatique.

En conclusion, le pancréas est un organe important qui joue un rôle clé dans la digestion des aliments et la régulation du glucose sanguin. Les maladies du pancréas peuvent être graves et entraîner des complications importantes, il est donc important de consulter un médecin en cas de symptômes suspects.

Une fistule œsophagienne est une communication anormale entre l'œsophage et une autre structure, généralement la trachée ou le bronche. Elle peut être congénitale ou acquise. Les fistules œsophagiennes acquises sont souvent le résultat de complications après une intervention chirurgicale, une traumatisme thoracique, une infection ou une tumeur maligne. Elles peuvent causer des symptômes tels que la régurgitation, l'infection pulmonaire, la pneumonie et la difficulté à avaler. Le traitement peut inclure une intervention chirurgicale pour fermer la fistule, une thérapie de drainage et une antibiothérapie pour gérer les infections.

Le pancréas est une glande située dans la partie supérieure de l'abdomen, entre l'estomac et la colonne vertébrale. Il a deux fonctions principales: exocrine et endocrine.

Dans sa fonction exocrine, le pancréas produit des enzymes qui aident à la digestion des aliments, telles que l'amylase pour décomposer les glucides, la lipase pour décomposer les graisses et la trypsine et la chymotrypsine pour décomposer les protéines. Ces enzymes sont libérées dans le duodénum via un petit conduit appelé le canal de Wirsung.

Dans sa fonction endocrine, le pancréas régule les niveaux de sucre dans le sang en produisant des hormones telles que l'insuline et le glucagon. L'insuline aide à abaisser le taux de sucre dans le sang en favorisant son absorption par les cellules, tandis que le glucagon aide à augmenter le taux de sucre dans le sang en stimulant la libération de glucose stocké dans le foie.

Le pancréas est donc une glande très importante pour la digestion et la régulation des niveaux de sucre dans le sang.

La gastrostomie est un terme médical qui désigne l'ouverture créée chirurgicalement ou par endoscopie entre l'estomac et la peau de l'abdomen. Cette procédure est généralement réalisée pour permettre l'alimentation ou l'hydratation directe d'une personne lorsqu'elle a des difficultés à avaler (dysphagie) ou à s'alimenter par la bouche en raison de diverses affections, telles que les accidents vasculaires cérébraux, les maladies neuromusculaires, les tumeurs, les traumatismes ou les malformations congénitales.

Dans le cadre d'une gastrostomie, un tube est inséré à travers la paroi abdominale et directement dans l'estomac pour fournir une voie d'accès aux nutriments et aux liquides. Ce tube peut être temporaire ou permanent, selon les besoins du patient. Les soins et l'entretien du tube gastostome sont essentiels pour prévenir les complications, telles que l'infection, l'obstruction ou la fuite autour du site d'insertion.

Les deux principales méthodes de gastrostomie sont la gastrostomie percutanée endoscopique (GPE) et la gastrostomie chirurgicale. La GPE est une procédure moins invasive qui utilise un endoscope pour guider l'insertion du tube, tandis que la gastrostomie chirurgicale nécessite une incision abdominale pour créer l'ouverture et insérer le tube. Les deux méthodes présentent des avantages et des inconvénients, et le choix de la procédure dépendra généralement de l'état de santé global du patient, de ses antécédents médicaux et des préférences du médecin traitant.

Une fistule rectovaginale est un type de communication anormale (fistule) qui se forme entre le rectum et la vagin. C'est une condition rare mais grave, souvent causée par une lésion tissulaire ou une infection. Les causes courantes comprennent les accouchements difficiles, les interventions chirurgicales pelviennes antérieures, le cancer pelvien, les maladies inflammatoires de l'intestin (MII) telles que la maladie de Crohn et la radiothérapie pelvienne.

Les symptômes peuvent inclure une fuite de gaz ou de matières fécales par le vagin, des infections récurrentes du tractus urinaire en raison de l'irritation de l'urètre voisin, des douleurs pendant les rapports sexuels, et dans certains cas, une mauvaise odeur. Le diagnostic est généralement posé par un examen physique complet, éventuellement complété par des tests d'imagerie tels qu'une radiographie ou une IRM.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, des antibiotiques peuvent être utilisés pour traiter toute infection associée. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale est nécessaire pour réparer la fistule. Cette procédure doit être effectuée par un chirurgien spécialisé dans ce type de chirurgie délicate. Après la chirurgie, une période de récupération et d'abstention sexuelle est souvent recommandée pour permettre à la région de guérir correctement.

Les complications postopératoires sont des événements indésirables qui surviennent après une intervention chirurgicale. Elles peuvent être liées à l'anesthésie, au processus opératoire ou à la récupération post-opératoire. Les complications peuvent être mineures, comme des nausées ou des ecchymoses, ou graves, comme une infection, une hémorragie, un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire ou même le décès.

Les facteurs de risque de complications postopératoires comprennent l'âge avancé, l'obésité, le tabagisme, la maladie cardiovasculaire, le diabète, l'insuffisance rénale ou hépatique, et certaines conditions médicales préexistantes. Les complications postopératoires peuvent entraîner une prolongation de la durée d'hospitalisation, des coûts de santé plus élevés, une morbidité accrue et une mortalité plus élevée.

Il est important de prévenir les complications postopératoires en optimisant l'état de santé du patient avant la chirurgie, en utilisant des techniques chirurgicales appropriées, en surveillant étroitement le patient pendant la période postopératoire et en fournissant des soins de qualité.

Un pseudokyste du pancréas est une collection de liquide contenant des enzymes pancréatiques qui se forme à la suite d'une inflammation pancréatique aiguë ou chronique. À la différence d'un kyste réel, un pseudokyste n'a pas de revêtement épithélial mais est plutôt entouré par une membrane de tissu conjonctif fibreux. Il peut varier en taille et se former dans ou autour du pancréas. Les symptômes peuvent inclure des douleurs abdominales, une perte d'appétit, des nausées, des vomissements et une sensation de plénitude après avoir mangé. Dans certains cas, les pseudokystes peuvent se résorber spontanément, mais dans d'autres, ils peuvent causer des complications telles qu'une infection, une hémorragie ou une rupture, ce qui peut nécessiter une intervention chirurgicale.

Une fistule vésicovaginale est un type de communication anormale qui se forme entre la vessie et le vagin, entraînant généralement une fuite involontaire d'urine à travers le vagin. Cela peut être causé par des complications pendant le travail et l'accouchement, des infections pelviennes sévères, une radiothérapie pelvienne, un traumatisme ou une chirurgie pelvienne antérieure. Les symptômes courants comprennent la fuite continue d'urine, les infections récurrentes des voies urinaires, la douleur pendant les rapports sexuels et l'odeur nauséabonde provenant du vagin. Le diagnostic est généralement posé par une examen physique complet, y compris un examen pelvien et éventuellement des tests d'imagerie tels qu'une cystographie ou une IRM. Le traitement le plus courant consiste en une intervention chirurgicale pour réparer la fistule.

Une fistule de l'appareil respiratoire est une communication anormale entre les structures de l'arbre respiratoire et la peau, les vaisseaux sanguins, le tractus gastro-intestinal ou d'autres organes. Cela peut se produire en raison d'une infection, d'une inflammation, d'un traumatisme ou d'une intervention chirurgicale. Les symptômes peuvent inclure une fuite d'air provenant du site de la fistule, une pneumonie, un écoulement purulent ou sanglant et une détresse respiratoire. Le traitement peut inclure des antibiotiques, une intervention chirurgicale pour fermer la fistule et une ventilation mécanique pour soutenir la fonction respiratoire.

Une fistule vaginale est un type de communication anormale qui se forme entre le vagin et une autre structure voisine, généralement la vessie ou le rectum. Cela se produit lorsqu'il y a une rupture ou une lésion dans les parois de ces organes, entraînant une connexion indésirable.

Les fistules vaginales peuvent être causées par plusieurs facteurs, notamment des complications pendant le travail et l'accouchement, des infections sexuellement transmissibles, des radiothérapies pelviennes, des traumatismes ou des interventions chirurgicales. Les symptômes les plus courants comprennent la fuite involontaire d'urine ou de matières fécales à travers le vagin, ainsi que des infections récurrentes.

Le diagnostic d'une fistule vaginale implique généralement un examen physique approfondi, complété par des tests d'imagerie tels qu'une radiographie, une cystoscopie ou une IRM. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour traiter les infections, des procédures de réparation chirurgicale pour fermer la fistule, ou dans certains cas, l'ablation de la partie affectée de l'organe.

Les techniques de suture sont des méthodes utilisées en chirurgie pour réparer les tissus endommagés, tels que la peau, les muscles, les tendons et les organes internes. Elles consistent à utiliser un fil chirurgical et une aiguille pour coudre ensemble les bords des tissus coupés ou déchirés, dans le but de rétablir leur continuité et favoriser la guérison.

Il existe différents types de techniques de suture, qui varient en fonction du type de tissu à réparer, de la localisation de la plaie, de la tension nécessaire pour maintenir les bords des tissus ensemble, et de l'esthétique souhaitée. Les techniques les plus courantes comprennent :

1. La suture simple : c'est la méthode la plus basique, où le fil est passé à travers les bords opposés de la plaie, puis noué pour maintenir les tissus ensemble.
2. La suture en couches : cette technique consiste à coudre séparément les différentes couches de tissus (par exemple, la peau, le muscle et le fascia) pour assurer une réparation plus solide et une meilleure guérison.
3. La suture continue : dans ce cas, le fil est passé en continu à travers les bords de la plaie, créant ainsi une ligne de points réguliers qui maintiennent les tissus ensemble. Cette technique est souvent utilisée pour les plaies longues et étroites.
4. La suture intradermique : cette méthode consiste à passer le fil sous la surface de la peau, créant ainsi des points invisibles qui permettent une cicatrisation plus esthétique.
5. La suture à point séparé : chaque point est noué individuellement, ce qui permet une meilleure adaptation des bords de la plaie et une réduction de la tension sur les tissus. Cette technique est souvent utilisée pour les plaies courbes ou irrégulières.

Le choix de la technique dépend du type de plaie, de sa localisation, de l'état des tissus et du patient, ainsi que des préférences et de l'expérience du chirurgien.

Une fistule trachéo-œsophagienne est une communication anormale entre la trachée et l'œsophage, ce qui entraîne une communication directe entre les voies respiratoires et le tube digestif. Cette condition peut être congénitale ou acquise, souvent comme complication d'une intervention chirurgicale, d'un traumatisme ou d'une infection, telle que l'abcès ou la tuberculose. Les symptômes peuvent inclure des difficultés à avaler (dysphagie), une toux et une pneumonie récurrente due à l'inhalation de liquides ou de salive dans les poumons (aspiration). Le traitement peut impliquer une intervention chirurgicale pour fermer la fistule, ainsi qu'une prise en charge des complications telles que l'infection et la dénutrition.

Une jéjunostomie est un type de stomie, qui est une procédure chirurgicale où un orifice est créé dans la paroi abdominale pour permettre le passage des déchets du corps. Dans le cas d'une jéjunostomie, l'ouverture est faite dans le jejunum, qui est une partie de l'intestin grêle.

Cette procédure est souvent réalisée lorsqu'une personne a des problèmes avec son système digestif et qu'il est difficile pour elle d'avaler ou de digérer les aliments normalement. Une jéjunostomie peut également être effectuée comme une intervention chirurgicale temporaire pour permettre à l'intestin grêle de guérir après une intervention chirurgicale ou une inflammation.

Les déchets du corps sont collectés dans un sac externe attaché à la stomie, ce qui permet d'éviter que les matières ne passent dans le côlon et le rectum. Les personnes ayant subi une jéjunostomie doivent recevoir une alimentation entérale, c'est-à-dire par une sonde insérée dans la stomie pour fournir des nutriments directement dans l'intestin grêle.

Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.

Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.

Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.

Le suc pancréatique est un liquide sécrété par le pancréas qui contient des enzymes digestives telles que l'amylase, la lipase et divers types de protéases. Ces enzymes aident à décomposer les glucides, les lipides et les protéines provenant des aliments dans l'intestin grêle, facilitant ainsi leur absorption par l'organisme. Le suc pancréatique est alcalin avec un pH compris entre 7,1 et 8,2, ce qui aide également à neutraliser le chyme acide provenant de l'estomac. Une insuffisance pancréatique exocrine peut entraîner une digestion inadéquate et des symptômes tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, de la diarrhée et une perte de poids.

L'octréotide est un analogue synthétique de la somatostatine, une hormone produite naturellement dans l'organisme. Il agit en se liant aux récepteurs de la somatostatine dans le corps, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion d'hormones telles que la gastrinine, la sécrétine, la vasoactive intestinal peptide (VIP), la motiline et l'insuline.

En médecine, l'octréotide est utilisé pour traiter une variété de conditions, y compris les tumeurs carcinoïdes, l'acromégalie, les tumeurs hypophysaires sécrétant du GHRH (hormone de libération de la hormone de croissance), les diarrhées chroniques dues à une sécrétion excessive d'hormones gastro-intestinales et certains types de nausées et vomissements sévères.

L'octréotide est disponible sous forme d'injection et peut être administré par voie intraveineuse, sous-cutanée ou intramusculaire. Les effets secondaires courants de l'octréotide comprennent des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée, des flatulences et des ballonnements. Des réactions au site d'injection peuvent également survenir. Dans de rares cas, l'octréotide peut entraîner des problèmes de foie, de pancréas ou de thyroïde.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Une fistule vésicale est un type de communication anormale entre la vessie et un autre organe ou tissu adjacent, permettant ainsi au contenu urinaire de la vessie de se déverser dans cet autre organe ou espace. Cela peut entraîner une infection ou une inflammation de la région avoisinante. Les causes courantes d'une fistule vésicale incluent des interventions chirurgicales préalables, des radiations, des infections, des traumatismes pelviens, des maladies inflammatoires chroniques de l'intestin ou des tumeurs malignes. Les symptômes peuvent varier mais comprennent souvent une miction douloureuse ou difficile, la fuite involontaire d'urine, des infections récurrentes des voies urinaires, et parfois même la présence de matières fécales dans les urines si l'intestin est impliqué. Le diagnostic nécessite généralement une cystoscopie, une radiographie avec un agent de contraste ou une scintigraphie. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une intervention chirurgicale pour réparer la fistule.

Les amylases sont des enzymes produites par le pancréas et la glande salivaire qui aident à décomposer les glucides complexes (par exemple, l'amidon) en sucres simples pendant le processus de digestion. Il existe trois types principaux d'amylases : alpha-, beta- et gamma-amylases. Les amylases alpha sont les plus pertinentes dans le contexte médical et sont souvent mesurées dans les tests de laboratoire pour évaluer certaines conditions de santé.

Des taux élevés d'amylase dans le sang peuvent indiquer une inflammation ou une lésion du pancréas, comme la pancréatite aiguë ou chronique. D'autres affections pouvant entraîner des taux élevés d'amylase comprennent la cholécystite, la perforation gastro-intestinale, l'occlusion intestinale, la nécrose ischémique de l'intestin grêle, les traumatismes abdominaux, la morsure de serpent à viperide et certaines maladies rénales.

Des taux bas d'amylase peuvent être observés dans des conditions telles que la fibrose kystique, l'insuffisance pancréatique exocrine, la cirrhose hépatique, le diabète sucré et certaines maladies héréditaires.

Il est important de noter qu'un seul test d'amylase n'est généralement pas suffisant pour poser un diagnostic précis. Les résultats doivent être interprétés en conjonction avec les antécédents médicaux du patient, l'examen physique et d'autres tests de laboratoire et d'imagerie.

Un liquide kystique est un type de liquide généralement découvert dans une cavité fermée ou un sac, appelé kyste. Ce liquide peut varier en consistance, mais il est souvent décrit comme étant clair, visqueux et stérile. Il n'est pas composé de cellules, contrairement au liquide pleural ou ascitique qui peuvent contenir des cellules. Le liquide kystique est typically encapsulated and separated from the surrounding tissues.

La présence d'un kyste rempli de liquide peut être bénigne ou maligne, selon la cause sous-jacente. Les kystes peuvent se former dans divers organes et tissus du corps, y compris les ovaires, les reins, le foie, les poumons et la peau. Le traitement dépend de la taille du kyste, de sa localisation et de ses symptômes associés. Dans certains cas, un kyste peut disparaître spontanément sans traitement, tandis que dans d'autres, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour le drainer ou le retirer.

Une fistule artério-artérielle est un type rare de communication anormale ou de connexion entre deux artères. Cette condition est généralement causée par une lésion traumatique, une intervention chirurgicale ou une maladie vasculaire sous-jacente.

Dans une fistule artério-artérielle, le sang peut circuler directement d'une artère à une autre, contournant ainsi les capillaires et les autres vaisseaux sanguins plus petits qui fournissent normalement de l'oxygène et des nutriments aux tissus environnants.

Les symptômes d'une fistule artério-artérielle peuvent inclure une pulsation palpable dans la région affectée, un souffle audible avec un stéthoscope, des douleurs, des engourdissements ou des picotements dans les membres, une ischémie (manque de flux sanguin) dans les tissus environnants, et dans certains cas, une baisse de la pression artérielle.

Le diagnostic d'une fistule artério-artérielle peut être posé à l'aide d'une combinaison d'examens physiques, d'imagerie vasculaire et d'études doppler. Le traitement dépend de la gravité et de la localisation de la fistule, mais peut inclure une intervention chirurgicale pour réparer ou fermer la communication anormale entre les artères.

Une anastomose chirurgicale est une procédure au cours de laquelle deux structures tubulaires, telles que des vaisseaux sanguins, des intestins ou des bronches, sont connectées ensemble après une résection ou une section. Cette connexion permet la circulation continue du sang, de l'air ou des matières digestives entre les deux structures.

L'anastomose peut être réalisée en utilisant différentes techniques chirurgicales, telles que la suture manuelle ou l'utilisation d'un appareil de suturation automatique. Les bords des structures sont soigneusement alignés et fixés ensemble pour assurer une fuite minimale et une cicatrisation optimale.

Après l'anastomose, il est important de surveiller étroitement la zone pour détecter toute complication telle que une infection, une fuite ou une thrombose. Des soins appropriés peuvent inclure des antibiotiques, une alimentation restreinte et une surveillance régulière de la fonction de l'organe.

L'endoscopie est un procédé médical qui consiste à examiner l'intérieur du corps humain de façon non invasive. Cela se fait en insérant un endoscope, un tube flexible et éclairé, dans une cavité ou un orifice naturel du patient, comme la bouche, le nez, l'anus ou l'urètre.

L'extrémité de l'endoscope contient des lentilles et une source lumineuse qui permettent à un médecin de visualiser les tissus internes en détail sur un écran. Certains endoscopes sont équipés de canaux permettant d'insuffler de l'air pour gonfler les cavités corporelles, facilitant ainsi la visualisation. Ils peuvent également être munis d'instruments permettant de prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou de réaliser certaines interventions thérapeutiques directement via l'endoscope.

Les types courants d'endoscopies comprennent la gastroscopie (examen de l'estomac), la colonoscopie (examen du côlon), la bronchoscopie (examen des voies respiratoires) et la cystoscopie (examen de la vessie).

Une anastomose artérioveineuse chirurgicale est une procédure au cours de laquelle une connexion est créée chirurgicalement entre une artère et une veine. Cette technique est utilisée dans diverses applications médicales, telles que la bypass coronarien pour traiter les maladies des artères coronaires, ou dans le cadre de procédures de revascularisation pour les membres atteints de maladie artérielle périphérique. Elle peut également être utilisée en chirurgie reconstructive pour détourner le flux sanguin loin d'une zone lésée ou endommagée, ou dans le traitement de certaines malformations vasculaires congénitales. L'anastomose artérioveineuse peut être créée en utilisant des sutures fines ou des dispositifs médicaux spécialisés tels que des connecteurs chirurgicaux.

La dérivation de Roux-en-Y est une procédure chirurgicale couramment utilisée en gastroentérologie et en chirurgie générale pour traiter diverses affections, telles que les ulcères gastroduodénaux réfractaires, les reflux gastro-œsophagiens sévères (RGO), l'obésité morbide et certaines tumeurs malignes du tube digestif.

Cette intervention consiste à diviser l'estomac en deux parties : la petite poche proximale (fundus) et le reste de l'estomac distal. Ensuite, on crée une anastomose (connexion) entre la petite poche gastrique et une partie du jejunum (intestin grêle), créant ainsi un détour ou une dérivation du passage alimentaire normal. Cette nouvelle voie est appelée dérivation de Roux-en-Y, car elle ressemble à la lettre "Y" lorsqu'elle est représentée sur un schéma.

Les avantages de cette procédure sont multiples :

1. Réduction de l'acidité gastrique : En déconnectant l'estomac du duodénum, on évite la sécrétion d'acide chlorhydrique dans l'intestin grêle, ce qui permet de prévenir les ulcères et le reflux acide.
2. Amélioration de la vidange gastrique : La petite poche gastrique se vide plus rapidement que l'estomac entier, réduisant ainsi les symptômes liés au ralentissement de la vidange gastrique (nausées, vomissements, douleurs abdominales).
3. Diminution du contact entre les aliments et les sécrétions biliaires : En créant une dérivation, on éloigne les aliments des sécrétions biliaires et pancréatiques, ce qui peut aider à soulager certains symptômes tels que la douleur abdominale et les diarrhées.

Cependant, cette procédure comporte également des risques et des complications potentielles, telles que :

1. Fuites anastomotiques : Les fuites au niveau de l'anastomose (jonction) entre l'estomac et l'intestin grêle ou entre les deux segments d'intestin grêle peuvent entraîner une infection grave, nécessitant souvent une réintervention chirurgicale.
2. Syndrome de dumping : L'évacuation rapide des aliments dans l'intestin grêle peut provoquer des symptômes tels que nausées, vomissements, diarrhée, sueurs et hypotension.
3. Malabsorption : La dérivation de Roux-en-Y peut entraîner une malabsorption des nutriments, en particulier du fer, du calcium et des vitamines liposolubles (A, D, E, K). Un suivi régulier et une supplémentation peuvent être nécessaires pour prévenir les carences nutritionnelles.
4. Obstruction intestinale : La formation de tissu cicatriciel autour de l'anastomose peut entraîner une obstruction partielle ou complète de l'intestin grêle, nécessitant une nouvelle intervention chirurgicale.
5. Complications liées à la chirurgie : Toute intervention chirurgicale comporte des risques tels que l'infection, les saignements, les caillots sanguins et les problèmes respiratoires.

En conclusion, la dérivation de Roux-en-Y est une procédure chirurgicale complexe qui peut être bénéfique pour certains patients atteints de maladies chroniques de l'estomac et du duodénum, telles que le RGO réfractaire, les ulcères peptiques résistants au traitement ou le cancer gastrique. Cependant, cette intervention comporte également des risques et des complications potentielles qui doivent être soigneusement pris en compte avant de prendre une décision éclairée concernant la poursuite du traitement. Il est essentiel que les patients consultent un médecin expérimenté dans la réalisation de cette procédure et qu'ils discutent des avantages, des inconvénients et des alternatives possibles en fonction de leur situation individuelle.

Une fistule carotidocaverneuse est un type rare et spécifique de communication anormale (fistule) entre l'artère carotide interne et la cavité caverneuse du crâne. La cavité caverneuse est une structure remplie d'air située dans le crâne qui abrite les artères carotides internes, les veines caverneuses et le nerf crânien VI (abducens).

Cette condition peut être congénitale ou acquise, la cause la plus fréquente étant des traumatismes à la tête ou au cou, des anévrismes rompus ou des procédures chirurgicales dans la région de la tête et du cou. Lorsqu'une fistule carotidocaverneuse se produit, le sang non oxygéné de l'artère carotide interne est détourné vers la veine caverneuse, entraînant une augmentation de la pression dans les veines du cerveau et des yeux.

Les symptômes courants d'une fistule carotidocaverneuse peuvent inclure des sifflements ou des bourdonnements dans l'oreille, des maux de tête, une diminution de la vision, une protrusion du globe oculaire (exophtalmie), un gonflement des paupières et des ecchymoses autour de l'œil (hématome orbitaire). Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une angiographie, qui permet de visualiser le flux sanguin anormal dans la cavité caverneuse.

Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure une surveillance attentive, une thérapie médicale pour contrôler les symptômes ou une intervention chirurgicale pour fermer la fistule. Les options de traitement comprennent l'embolisation endovasculaire, dans laquelle des matériaux sont insérés dans l'artère pour bloquer le flux sanguin anormal, et la chirurgie ouverte, qui consiste à exposer directement la fistule et à la fermer.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

La splénectomie est une procédure chirurgicale qui consiste en l'ablation complète de la rate. Cette intervention peut être réalisée pour diverses raisons, telles que le traitement d'un traumatisme sévère à la rate, d'une tumeur splénique maligne ou bénigne, d'une hypertension portale, d'une certaine forme d'anémie (par exemple, l'anémie falciforme), de certains types d'infections (comme la maladie inflammatoire pelvienne sévère) ou d'autres affections rares.

Après une splénectomie, le patient peut présenter un risque accru d'infections bactériennes, en particulier par des organismes encapsulés tels que Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae et Neisseria meningitidis. Par conséquent, une vaccination préopératoire et postopératoire contre ces agents pathogènes est généralement recommandée pour les patients subissant une splénectomie.

Il convient de noter que la rate joue un rôle important dans le système immunitaire en éliminant les globules rouges vieillissants et endommagés, ainsi qu'en participant à la fonction immunitaire en filtrant le sang et en identifiant les antigènes. Par conséquent, après une splénectomie, certaines fonctions immunitaires peuvent être altérées, ce qui rend le patient plus susceptible aux infections.

La gastrectomie est une procédure chirurgicale au cours de laquelle tout ou partie de l'estomac est enlevé. Cette intervention peut être réalisée pour traiter diverses affections, telles que les cancers de l'estomac, les ulcères gastriques récurrents, les troubles de la vidange gastrique sévères ou les blessures graves de l'estomac.

Il existe plusieurs types de gastrectomies, selon la quantité d'estomac retirée :

1. Gastrectomie totale : Dans cette procédure, tout l'estomac est enlevé. Le bas de l'œsophage est ensuite connecté directement à l'intestin grêle, créant ainsi un nouveau chemin pour la nourriture. Cette opération est généralement effectuée dans le traitement du cancer gastrique.

2. Gastrectomie partielle ou subtotale : Dans ce type de gastrectomie, seule une partie de l'estomac est enlevée, généralement la partie inférieure. Le reste de l'estomac est ensuite reconnecté à l'intestin grêle. Cette procédure est souvent utilisée pour traiter les tumeurs situées dans la partie inférieure de l'estomac.

3. Gastrectomie en manchon : Dans cette intervention, une grande partie de l'estomac est retirée, créant une forme tubulaire étroite qui est ensuite reconnectée à l'intestin grêle. Cette procédure est parfois utilisée pour traiter le cancer gastrique ou l'obésité morbide.

Après une gastrectomie, les patients peuvent présenter des changements permanents dans leur capacité à manger et à digérer les aliments. Ils peuvent avoir besoin d'un régime alimentaire spécial pour éviter les complications telles que la dénutrition ou la diarrhée.

La pancréatite chronique est une maladie inflammatoire continue du pancréas qui entraîne des lésions progressives et irréversibles des tissus pancréatiques. Elle se caractérise par des épisodes récurrents de douleurs abdominales sévères, souvent accompagnées de nausées, vomissements et perte de poids. La fonction exocrine du pancréas est altérée, entraînant une mauvaise digestion et une malabsorption des nutriments, ce qui peut conduire à une dénutrition. De plus, la production d'insuline peut être affectée, ce qui peut provoquer ou aggraver un diabète sucré.

La pancréatite chronique est généralement causée par une consommation excessive et prolongée d'alcool ou par des calculs biliaires. Dans certains cas, la cause reste inconnue (pancréatite idiopathique). Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale (échographie, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique) et sur des tests de fonction pancréatique.

Le traitement vise à soulager la douleur, à prévenir les complications et à ralentir la progression de la maladie. Il peut inclure des modifications du régime alimentaire, l'arrêt de la consommation d'alcool, la prise de médicaments pour contrôler la douleur et améliorer la fonction pancréatique, ainsi que dans certains cas, une intervention chirurgicale. La prévention des récidives est cruciale pour ralentir la progression de la maladie et améliorer la qualité de vie des patients.

En médecine, la durée d'hospitalisation fait référence à la période pendant laquelle un patient est admis et traité dans un établissement hospitalier. Elle se mesure généralement en nombre de nuits passées à l'hôpital. Cette durée peut varier considérablement en fonction de divers facteurs tels que la gravité de la maladie ou blessure, la réponse au traitement, les besoins médicaux en cours et la disponibilité des soins post-hospitalisation. La durée d'hospitalisation est un indicateur important utilisé pour évaluer l'efficacité des soins, planifier les ressources de l'hôpital et déterminer les coûts associés aux soins de santé.

En termes médicaux, une réintervention fait référence à une procédure chirurgicale ou invasive supplémentaire qui est effectuée après une intervention initiale. Cela peut être nécessaire en raison de diverses raisons, telles qu'une complication survenue après la chirurgie initiale, une maladie persistante ou récurrente, ou dans certains cas, pour des raisons esthétiques.

Par exemple, si un patient subit une intervention cardiaque ouverte et développe une infection à l'un des sites de la plaie, il peut être nécessaire d'effectuer une réintervention pour nettoyer et drainer l'infection. De même, dans le cas du traitement du cancer, si les résultats d'une chirurgie initiale montrent que des cellules cancéreuses ont été laissées derrière, une réintervention peut être planifiée pour éliminer ces cellules restantes.

Il est important de noter qu'une réintervention comporte ses propres risques et complications potentielles, qui doivent être soigneusement pesés contre les avantages attendus avant de prendre une décision.

La sécrétine est une hormone gastro-intestinale polypeptidique composée de 27 acides aminés. Elle est produite et stockée dans les membranes des cellules S du duodénum et du jéjunum, qui sont stimulées par l'arrivée d'acide chlorhydrique dans le duodénum pendant la digestion. La sécrétine favorise la sécrétion d'eau et de bicarbonate dans le pancréas et le duodénum pour neutraliser l'acidité gastrique et protéger la muqueuse intestinale. Elle inhibe également la sécrétion de suc gastrique par l'estomac. La sécrétine joue un rôle important dans le maintien de l'homéostasie du pH duodénal et dans la régulation de la digestion en agissant sur plusieurs organes du système gastro-intestinal.

La cholangiopancréatographie endoscopique retrograde (CPER) est un examen diagnostique et thérapeutique utilisé pour visualiser les voies biliaires et pancréatiques. Cet examen combine l'endoscopie et la fluoroscopie pour obtenir des images des conduits biliaires et pancréatiques à l'intérieur du corps.

Pendant la procédure, un endoscope flexible est inséré dans la bouche du patient et guidé jusqu'à la jonction de l'estomac et du duodénum, où se trouvent les orifices des conduits biliaire et pancréatique. Un cathéter est ensuite passé à travers l'endoscope et inséré dans ces orifices pour injecter un colorant de contraste.

La fluoroscopie est alors utilisée pour obtenir des images en mouvement des conduits biliaires et pancréatiques, ce qui permet au médecin d'identifier toute anomalie telle que des calculs, des tumeurs, des rétrécissements ou des inflammations. La CPER peut également être utilisée pour prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou pour retirer des calculs bloquant les conduits.

La CPER est généralement réalisée sous anesthésie légère ou sédation consciente, et elle comporte certains risques potentiels tels que des saignements, des infections, des réactions allergiques au colorant de contraste ou des dommages aux voies biliaires ou pancréatiques. Cependant, ces complications sont rares et la procédure est considérée comme sûre et efficace pour le diagnostic et le traitement de nombreuses affections du foie, des voies biliaires et du pancréas.

Une fistule digestive est un type de communication anormale entre le tractus gastro-intestinal et la peau ou d'autres organes, permettant ainsi le passage de contenus intestinaux vers ces régions. Cela peut se produire comme une complication de diverses affections, y compris les maladies inflammatoires de l'intestin (MII), les infections, la diverticulite, la radiation thérapeutique, le cancer, ou après une chirurgie abdominale. Les symptômes peuvent inclure la fuite de matières fécales ou de gaz par la peau, l'infection, l'inflammation, la douleur, la déshydratation, et la malnutrition. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale, ou une combinaison des deux.

Les malformations vasculaires du système nerveux central sont des anomalies congénitales ou acquises des vaisseaux sanguins dans le cerveau ou la moelle épinière. Elles peuvent être classées en deux catégories principales : les malformations artério-veineuses (MAV) et les télangiectasies.

Les MAV sont des connections anormales entre les artères et les veines, ce qui peut entraîner un flux sanguin anormal et une pression accrue dans les vaisseaux sanguins du cerveau ou de la moelle épinière. Les symptômes peuvent varier en fonction de la localisation et de la taille de la MAV, mais ils peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des troubles de la vision, des vertiges, des faiblesses musculaires ou des paralysies.

Les télangiectasies sont des dilatations capillaires anormales qui se produisent dans le cerveau ou la moelle épinière. Elles sont généralement de petite taille et ne présentent pas de symptômes, mais elles peuvent parfois être associées à d'autres malformations vasculaires plus graves.

Les causes des malformations vasculaires du système nerveux central ne sont pas entièrement comprises, bien que certaines mutations génétiques aient été identifiées comme facteurs de risque. Le diagnostic peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une angiographie ou une résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la malformation, mais il peut inclure une surveillance régulière, une intervention chirurgicale, une radiothérapie stéréotaxique ou une embolisation.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

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