Désordre métabolique récessif autosomique due à un déficit en enzyme expression de glycogène embranchant alpha-1,4-glucan-6-alpha-glucosyltransferase (1), entraînant une accumulation anormale de glycogène aux longs emballage branches. Les signes cliniques sont muscle hypotonie et une cirrhose. La mort de maladie hépatique survient généralement avant l'âge de 2.
Autosomique maladie dans laquelle l'expression des gènes récessifs de glucose-6-phosphatase est absent, entraînant une hypoglycémie en raison du manque de la production de glucose. Accumulation du glycogène st dans le foie et le rein mène à une organomégalie, particulièrement énorme hépatomégalie. Une augmentation des concentrations d ’ acide lactique et hyperlipidémie apparaissent dans le plasma. Une crise de goutte apparaît souvent dans la petite enfance.
Dans la synthèse du glycogène ou amylopectine, l ’ enzyme qui catalyse le transfert d'un segment de 1,4-alpha-glucan une chaîne à un groupe hydroxy primaire de la même chaîne glucane. CE 2.4.1.18.
Désordre métabolique récessif autosomique résultant déficient expression de amylo-1,6-glucosidase (une partie du système enzymatique glycogen Debranching). L ’ évolution clinique de la maladie est similaire à celle of glycogen storage disease type I, mais plus léger. Hépatomégalie massive, qui est présent chez les jeunes enfants, diminue et occasionnellement disparaît avec l'âge. Les niveaux de glycogène avec de petites branches extérieure sont augmentées dans les muscles, le foie, et les hématies. Six sous-groupes ont été identifiés, avec les sous-groupes Type IIIa et Type III ter étant le plus répandu.
Un groupe de métabolique héréditaire impliquant les enzymes responsables et dégradation de la synthèse du glycogène. Chez certains patients, et l'implication du foie est présentée. Dans d'autres, plus généralisé de glycogène de stockage survient, parfois au grand trouble cardiaque.
Recessively autosomique hérité glycogénoses Glucan 1,4-Alpha-Glucosidase causée par un déficit en grandes quantités de glycogène s ’ accumuler dans les lysosomes (muscle du muscle squelettique, squelettique) ; UR ; foie ; colonne vertébrale ; et cerveau. Trois formes ont été décrits : Infantile, enfance, et adulte. La forme infantile est fatale dans l'enfance et cadeaux avec une hypotonie et une cardiomyopathie hypertrophique CARDIOMYOPATHY hypertrophique (,). La forme d'enfance présente généralement au cours de la deuxième année de vie avec proximal faiblesse et des symptômes respiratoires. Forme adulte consiste en une lente progression (myopathie proximale de Palm Nerve 1995 ; 3 : S61-9 ; Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, pp73-4)
Autosomique glycogénoses récessif dans lequel il y a déficient expression de 6-phosphofructose 1-kinase dans le muscle (PHOSPHOFRUCTOKINASE-1, de TYPE) correspondant à une déposition anormale de glycogène dans le tissu musculaire, ces patients ont dystrophie musculaire sévère et sont exercice intolérant.
Une enzyme qui catalyse la conversion de D-glucose mannose-6-phosphate et de l'eau à D-glucose et Orthophosphate. CE 3.1.3.9.
Une maladie hépatique PARTICULIÈRES glycogène dans lequel il y a une déficience apparente de la maladie hépatique (phosphorylase glycogène phosphorylase, foie PHARMACEUTIQUE) activit.
Le glycogène est un polysaccharide complexe, constitué de chaînes ramifiées de molécules de glucose, qui sert de principale forme de stockage d'énergie dans les muscles et le foie pour une utilisation ultérieure par l'organisme.
Enzymes qui enclencher le 1,4-alpha-glucosidic exohydrolysis de liens avec libération de alpha-glucose. Alpha-1,4-glucosidase peut entraîner une carence de glycogène PARTICULIÈRES maladie TYPE II.
1,4-alpha-D-Glucan-1,4-alpha-D-glucan 4-alpha-D-glucosyltransferase / dextrine 6 alpha-D-glucanohydrolase avoir tous les deux. Un système enzymatique 4-alpha-glucanotransferase 2.4.1.25 (CE) et (CE) activités amylo-1,6-glucosidase 3.2.1.33. Comme un transférase elle transfère un segment de un à un nouveau 1,4-alpha-D-glucan 4-position dans une acceptor, qui peut être du glucose ou un autre 1,4-alpha-D-glucan. En tant qu'il y a catalyse l ’ alpha-glucosidase 1,6-alpha-D-glucoside le endohydrolysis de liens aux points de diversification 1,4-linked alpha-D-glucose les chaînes de résidus. Amylo-1,6-glucosidase activité est déficient en glycogen storage disease type III.
Glycogénose de due à un déficit en phosphorylase musculaire caractérisée par douloureux crampes après l'exercice.
Un X-Linked hépatique récessif glycogénoses résultant du manque d'expression de phosphorylase-b-kinase. Symptômes sont relativement légère activité ; hépatomégalie, augmentation du foie, et la diminution des leucocytes du glycogène phosphorylase sont présents. Foie contraction survient en réaction au glucagon.
Une enzyme qui catalyse l ’ hydrolyse de terminal 1,4-linked alpha-D-glucose résidu succession de non-reducing finit de chaînes en diffusant beta-glucose. Elle est aussi capable d'hydrolyser 1,6-alpha-glucosidic obligations quand le prochain lien dans séquence est une 1,4.
Transporteurs membranaires que co-transport deux ou plusieurs molécules différents dans l'autre direction sur une membrane. Habituellement le transport d'un ion ou molécule est contre la pente et électrochimiques "est" propulsé par le mouvement d'un autre Ion ou molécule avec son gradient électrochimique.
Un ester de glucose avec l'acide phosphorique, pris au cours du métabolisme glucidique par et d ’ autres cellules de mammifères. C'est un constituant normal du muscle repose et probablement est en équilibre constant avec fructose-6-phosphate Stedman, 26e. (Éditeur)
Une tumeur bénigne épithéliales du foie...

La glycogénose de type IV, également connue sous le nom de maladie de Andersen ou amylo-1,6-glucosidase deficiency, est une maladie héréditaire rare causée par une mutation du gène GBE1. Cette maladie affecte la capacité du corps à décomposer et à utiliser le glycogène, une forme de glucose stocké dans les muscles et le foie.

Dans la glycogénose de type IV, l'enzyme amylo-1,6-glucosidase, également appelée débranching enzyme, est déficiente ou absente. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la décomposition du glycogène en glucose pour fournir de l'énergie aux cellules. En son absence, le glycogène s'accumule anormalement dans les organes affectés, principalement le foie et les muscles squelettiques, entraînant une dégénérescence progressive des tissus.

Les symptômes de la glycogénose de type IV peuvent varier considérablement en fonction du moment où la maladie se manifeste et de l'étendue des organes touchés. Les formes les plus graves de cette maladie peuvent provoquer une défaillance hépatique aiguë dans les premiers mois de vie, tandis que d'autres formes moins sévères peuvent ne se manifester qu'à l'âge adulte. Les symptômes courants comprennent une faiblesse musculaire progressive, une hypertrophie du foie, des vomissements, de la diarrhée, une perte de poids et un retard de croissance.

Actuellement, il n'existe aucun traitement curatif pour la glycogénose de type IV. Le traitement est principalement axé sur les symptômes et peut inclure des suppléments nutritionnels, une assistance respiratoire et une gestion des complications.

La glycogénose de type I, également connue sous le nom de maladie de von Gierke, est une maladie métabolique héréditaire rare causée par un déficit en glucose-6-phosphatase, une enzyme essentielle dans le processus de régulation de la glycémie. Cette enzyme joue un rôle clé dans la conversion du glycogène en glucose dans le foie et les reins.

En l'absence de cette enzyme, le glucose-6-phosphate s'accumule dans les cellules du foie et des reins, empêchant ainsi la libération de glucose dans la circulation sanguine. Cela entraîne une hypoglycémie à jeun sévère, une hyperlipidémie (taux élevés de graisses dans le sang), une augmentation du glycogène hépatique et une acidose métabolique due à l'accumulation d'acides organiques.

Les symptômes courants de la glycogénose de type I comprennent une croissance et un développement ralentis, une hypoglycémie, une hépatomégalie (augmentation du volume du foie), une acidose métabolique, une hyperlipidémie, une augmentation du taux d'acide urique dans le sang et une tendance aux infections.

Le diagnostic de la glycogénose de type I est généralement posé par des tests sanguins qui révèlent des niveaux anormaux de glucose, de lipides et d'acide urique. Le diagnostic définitif repose sur la confirmation de l'activité enzymatique réduite ou absente dans les échantillons de tissus hépatiques ou rénaux.

Le traitement de la glycogénose de type I implique une alimentation rigoureuse et fréquente, riche en glucides pour prévenir l'hypoglycémie, ainsi qu'un régime pauvre en graisses et en protéines pour contrôler l'hyperlipidémie et l'acidose métabolique. Des suppléments de vitamines et de minéraux peuvent également être nécessaires pour prévenir les carences nutritionnelles. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour traiter l'acidose métabolique et d'autres complications associées à la maladie.

La 1,4-alpha-glucane branching enzyme est une enzyme qui joue un rôle clé dans la biosynthèse de l'amidon. Elle catalyse le transfert d'une chaîne de glucose liée par une liaison alpha 1,4 à une autre chaîne de glucose, créant ainsi une nouvelle liaison alpha 1,6 et formant une branche dans la molécule d'amidon. Cette enzyme est importante pour la régulation de la structure et des propriétés fonctionnelles de l'amidon, qui est un polysaccharide important stocké dans les plantes comme source d'énergie. Des mutations dans le gène codant pour cette enzyme peuvent entraîner des troubles du métabolisme de l'amidon chez l'homme.

La glycogénose de type III, également connue sous le nom de maladie de Forbes-Correll ou de déficit en glycogène débranchant, est une maladie héréditaire rare causée par une mutation du gène qui code pour l'enzyme glycogène débranchant. Cette enzyme est responsable de la dégradation du glycogène, une forme de glucose stocké dans le foie et les muscles.

Dans la glycogénose de type III, il y a un défaut de l'enzyme glycogène débranchant qui entraîne une accumulation anormale de glycogène dans les cellules du foie et des muscles. Cela peut entraîner une variété de symptômes, tels qu'une faiblesse musculaire, une hypoglycémie, une augmentation du volume du foie (hépatomégalie), une augmentation du taux de créatine kinase dans le sang et une intolérance à l'exercice.

Les symptômes peuvent varier considérablement en fonction de la sévérité de la maladie et de l'âge auquel elle se manifeste. Dans les cas graves, les bébés peuvent présenter des signes de la maladie dès la naissance, tandis que dans les cas plus légers, les symptômes peuvent ne pas apparaître avant l'enfance ou même l'âge adulte.

Le diagnostic de la glycogénose de type III est généralement posé sur la base d'un examen clinique, de tests sanguins et d'une biopsie musculaire ou hépatique pour confirmer l'accumulation anormale de glycogène. Le traitement peut inclure une alimentation riche en glucides pour prévenir les épisodes d'hypoglycémie, des suppléments de cornstarch pour maintenir un taux de sucre sanguin stable pendant la nuit et des médicaments pour traiter les complications associées à la maladie.

La glycogénose est un terme général utilisé pour décrire un groupe d'affections métaboliques héréditaires. Ces maladies sont causées par des anomalies génétiques qui entraînent une accumulation anormale de glycogène dans les cellules du corps. Le glycogène est une forme de glucose stockée, principalement dans le foie et les muscles squelettiques.

Il existe plusieurs types de glycogénoses, chacun étant dû à une enzyme spécifique manquante ou défectueuse qui joue un rôle clé dans le métabolisme du glycogène. Selon le type, cela peut affecter divers organes et systèmes du corps, tels que le foie, les muscles squelettiques, le cœur et le cerveau.

Les symptômes de la glycogénose varient considérablement en fonction du type, allant de faibles niveaux d'énergie, une fatigue facile, des crampes musculaires à des complications plus graves telles que des lésions hépatiques, des problèmes cardiaques et même le décès. Le traitement dépend du type spécifique de glycogénose et peut inclure des changements alimentaires, des suppléments nutritionnels, des médicaments ou une transplantation d'organe dans certains cas graves.

La glycogénose de type II, également connue sous le nom de maladie de Pompe, est une maladie métabolique héréditaire rare causée par une déficience en acide alpha-glucosidase (GAA), une enzyme nécessaire à la dégradation du glycogène dans les lysosomes. Le glycogène est une forme de glucose stocké dans le corps. Lorsque cette enzyme fait défaut, le glycogène s'accumule dans les lysosomes, ce qui entraîne une dégradation des cellules et des tissus, en particulier dans le cœur, le foie et les muscles squelettiques.

Les symptômes de la maladie de Pompe peuvent varier en fonction de la gravité de la déficience en GAA. Les formes les plus graves se manifestent généralement chez les nourrissons et comprennent une faiblesse musculaire grave, une hypertrophie du cœur, une insuffisance cardiaque congestive, une respiration difficile et un retard de développement. Les formes plus légères peuvent se manifester à l'âge adulte et se caractérisent par une faiblesse musculaire progressive, en particulier dans les muscles des jambes et du tronc, ainsi qu'une diminution de la fonction pulmonaire.

Le traitement de la glycogénose de type II consiste généralement en un remplacement enzymatique par une thérapie génique, qui permet de fournir une version fonctionnelle de l'enzyme GAA aux cellules affectées. Cette thérapie peut aider à ralentir la progression de la maladie et à améliorer les symptômes, mais elle ne guérit pas complètement la maladie.

La glycogénose de type VII, également connue sous le nom de maladie de Tarui, est une rare maladie métabolique héréditaire causée par une mutation du gène de la phosphorylase musculaire (PYGM). Cette enzyme est responsable de la dégradation du glycogène, une forme de glucose stockée dans les muscles et le foie, en glucose-1-phosphate, qui peut être utilisé comme source d'énergie.

Dans la glycogénose de type VII, la dégradation du glycogène est altérée, entraînant une accumulation anormale de glycogène dans les muscles et un manque d'énergie disponible pour les cellules musculaires. Les symptômes de cette maladie comprennent une faiblesse musculaire sévère, une intolérance à l'exercice, des crampes musculaires, une myoglobinurie (présence de myoglobine dans les urines), une élévation des taux sanguins de créatine kinase et une augmentation du lactate sanguin après un exercice léger.

La glycogénose de type VII est généralement diagnostiquée pendant l'enfance ou l'adolescence, bien que des cas plus tardifs aient été décrits. Le diagnostic repose sur des tests génétiques et enzymatiques spécifiques. Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour cette maladie, mais des mesures de soutien peuvent être mises en place pour gérer les symptômes, telles qu'une alimentation riche en glucides et une limitation de l'activité physique intense.

Je suis désolé, mais la définition d'un terme médical aussi spécifique que "glucosephosphatase" n'a pas été largement acceptée ou utilisé dans la littérature médicale. Il se peut qu'il y ait une certaine confusion avec l'enzyme « glucose-6-phosphatase », qui est un enzyme clé du métabolisme du glucose et joue un rôle crucial dans la régulation de la glycémie. Cette enzyme est responsable de la dernière étape de la gluconéogenèse et de la glycogénolyse, processus par lesquels le foie et les reins produisent du glucose à partir de précurseurs non glucidiques ou dégradent le glycogène pour fournir du glucose dans la circulation sanguine.

Cependant, comme je l'ai mentionné, "glucosephosphatase" n'est pas un terme médical reconnu et il est possible que vous ayez mal interprété ou mal orthographié le terme correct. Si vous pouviez vérifier et me fournir plus d'informations sur le contexte dans lequel ce terme a été utilisé, je serais heureux de vous fournir une réponse plus précise.

La glycogénose de type VI, également connue sous le nom de maladie de Hers, est une maladie héréditaire rare causée par un déficit en activité de l'enzyme phosphorylase musculaire. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la dégradation du glycogène, une forme de glucose stocké dans les muscles et le foie, pour produire de l'énergie lorsque le corps en a besoin.

Dans la glycogénose de type VI, le manque d'activité de l'enzyme phosphorylase musculaire entraîne une accumulation anormale de glycogène dans les muscles squelettiques et le cœur. Cela peut entraîner une faiblesse musculaire progressive, une intolérance à l'exercice, des crampes musculaires, une fatigue chronique et une myopathie (maladie musculaire).

Les symptômes de la glycogénose de type VI peuvent varier considérablement en gravité, allant de légers à sévères. Dans les cas graves, les personnes atteintes de cette maladie peuvent avoir des difficultés à marcher ou à se déplacer sans aide et peuvent nécessiter une assistance respiratoire.

Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour la glycogénose de type VI. Le traitement est généralement axé sur les symptômes et peut inclure des exercices de physiothérapie, une alimentation riche en glucides et des médicaments pour soulager les crampes musculaires et la douleur. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger les problèmes respiratoires ou cardiaques associés à la maladie.

Le glycogène est un polysaccharide complexe qui sert de principale forme de stockage du glucose dans les animaux, y compris les êtres humains. Il est synthétisé et stocké principalement dans le foie et les muscles squelettiques. Le glycogène hépatique peut être libéré dans la circulation sanguine pour maintenir la glycémie lorsque les réserves de glucose sont épuisées, tandis que le glycogène musculaire est utilisé localement pour fournir de l'énergie aux muscles pendant l'exercice. Le glycogène se compose de chaînes ramifiées de molécules de glucose liées entre elles par des liaisons glycosidiques. La structure ramifiée du glycogène permet une dégradation et une libération rapides de molécules de glucose lorsqu'il est nécessaire de répondre aux besoins énergétiques de l'organisme.

L'alpha-glucosidase est une enzyme digestive importante qui se trouve dans l'intestin grêle des humains et d'autres mammifères. Elle joue un rôle clé dans la décomposition et l'absorption des glucides complexes, tels que l'amidon et le glycogène, en les décomposant en molécules de glucose simples qui peuvent être absorbées dans la circulation sanguine.

L'alpha-glucosidase se trouve principalement sur la surface externe des microvillosités de l'intestin grêle, où elle agit sur les molécules de glucides complexes qui ont été décomposées par d'autres enzymes digestives. En coupant les liens entre les molécules de sucre dans les glucides complexes, l'alpha-glucosidase libère des molécules de glucose simples qui peuvent être facilement absorbées dans le sang et utilisées comme source d'énergie pour le corps.

Un déficit en alpha-glucosidase peut entraîner une maladie héréditaire rare appelée la maladie de Pompe, qui est caractérisée par un stockage excessif de glycogène dans les cellules du corps. Cela peut entraîner une variété de symptômes graves, notamment une faiblesse musculaire, une hypertrophie du cœur et des difficultés respiratoires. Le traitement de la maladie de Pompe implique souvent un remplacement enzymatique, dans lequel l'alpha-glucosidase est administrée par voie intraveineuse pour aider à décomposer le glycogène accumulé dans les cellules du corps.

Le système d'enzymes de débranchement du glycogène est un complexe enzymatique présent dans les cellules qui joue un rôle crucial dans le métabolisme du glycogène, une forme de glucide complexe utilisée pour stocker l'énergie dans le corps. Ce système se compose de deux enzymes principales : la débranching enzyme (DBE) et la kinase dépendante de l'AMP-activée (AMPK).

La débranching enzyme, également appelée glycogène débrancheur, est responsable de l'hydrolyse des branches courtes d'unités glucose liées à la chaîne principale du glycogène. Cette enzyme clive les liaisons alpha-1,6-glucosidiques pour libérer des molécules de maltose et des chaînes plus courtes de glycogène.

La kinase dépendante de l'AMP-activée (AMPK) est une enzyme qui régule le métabolisme énergétique cellulaire en réponse aux changements de niveaux d'énergie. Elle active la débranching enzyme lorsque les niveaux d'énergie sont bas, ce qui permet au corps de libérer rapidement du glucose à partir des réserves de glycogène pour être utilisé comme source d'énergie.

Le système d'enzymes de débranchement du glycogène est important dans plusieurs tissus, y compris le foie et les muscles squelettiques, où il joue un rôle clé dans la régulation de la glycémie et de l'homéostasie énergétique. Les défauts dans ce système peuvent entraîner des maladies métaboliques telles que la glycogénose de type III, également connue sous le nom de maladie de Forbes-Correll, qui se caractérise par une accumulation anormale de glycogène dans les cellules.

La glycogénose de type V, également connue sous le nom de maladie de McArdle, est une rare maladie métabolique héréditaire causée par une mutation du gène PYGM qui code pour l'enzyme myophosphorylase. Cette enzyme est responsable de la dégradation du glycogène, une forme de glucose stockée dans les muscles squelettiques, en glucose-1-phosphate, un précurseur de l'énergie utilisable par les cellules musculaires.

En l'absence de cette enzyme fonctionnelle, le glycogène s'accumule dans les muscles squelettiques et n'est pas décomposé en glucose-1-phosphate pour fournir de l'énergie pendant l'exercice. Cela entraîne une fatigue musculaire sévère, des crampes douloureuses et une incapacité à poursuivre l'activité physique après un effort initial. Les symptômes peuvent varier en gravité, allant de légers à graves, et peuvent inclure une intolérance à l'exercice, des douleurs musculaires, des crampes, une faiblesse musculaire et une contracture musculaire.

Le diagnostic de la glycogénose de type V est généralement posé par une biopsie musculaire qui révèle une accumulation anormale de glycogène dans les fibres musculaires squelettiques, associée à un déficit en myophosphorylase. Le traitement consiste principalement en des mesures de gestion de la fatigue et de la douleur, ainsi qu'en des conseils pour éviter les activités physiques qui déclenchent des symptômes. Les patients peuvent bénéficier d'un régime riche en glucides et d'exercices d'aérobie à faible intensité pour améliorer leur tolérance à l'exercice.

La glycogénose de type VIII, également connue sous le nom de déficit en phosphorylase kinase, est une maladie métabolique héréditaire rare. Cette condition affecte la capacité des cellules à décomposer le glycogène, une forme de glucose stockée dans le foie et les muscles, en glucose libre qui peut être utilisé comme source d'énergie.

Le déficit en phosphorylase kinase est causé par des mutations dans les gènes qui codent pour les sous-unités de la phosphorylase kinase, une enzyme clé dans le processus de décomposition du glycogène. Ces mutations entraînent une réduction de l'activité de la phosphorylase kinase, ce qui perturbe la capacité des cellules à convertir le glycogène en glucose-1-phosphate, un précurseur du glucose.

Les symptômes de la glycogénose de type VIII peuvent varier considérablement en fonction de la gravité de la maladie et de la partie du corps touchée. Les formes les plus graves affectent les muscles squelettiques et le foie, entraînant une faiblesse musculaire sévère, une hypotonie, une augmentation de la taille du foie (hépatomégalie), une intolérance au jeûne et une acidose métabolique. Les formes moins graves peuvent ne présenter que des symptômes légers ou même être asymptomatiques.

Le diagnostic de la glycogénose de type VIII est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une analyse biochimique et d'un test génétique. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure une alimentation riche en glucides, des suppléments nutritionnels, des médicaments pour contrôler l'acidose métabolique et une kinésithérapie pour aider à renforcer les muscles. Dans les cas graves, une transplantation hépatique peut être envisagée.

Je suis désolé, mais la requête est un peu imprécise. Le terme "glucan 1,4-alpha-glucosidase" peut se référer à une enzyme spécifique ou à une activité enzymatique particulière. Je vous fournirai donc les deux définitions possibles :

1) En tant qu'enzyme : La glucan 1,4-alpha-glucosidase, également connue sous le nom d'amyloglucosidase ou de maltase-glucoamylase, est une enzyme qui dégrade les polysaccharides à base d'amidon, tels que le glycogène et l'amidon, en glucose. Cette enzyme clive spécifiquement les liaisons α(1→4) et α(1→6) dans ces polysaccharides complexes. L'activité de cette enzyme est importante dans la digestion des glucides chez les humains et d'autres organismes.

2) En tant qu'activité enzymatique : L'activité de la glucan 1,4-alpha-glucosidase fait référence à la capacité d'une enzyme à cliver les liaisons α(1→4) et α(1→6) dans des polysaccharides tels que le glycogène et l'amidon, libérant du glucose monomère. Cette activité est couramment détectée et mesurée en laboratoire pour étudier les propriétés de diverses enzymes et leurs applications dans des domaines tels que la biochimie, la biotechnologie et l'industrie alimentaire.

Les antiporteurs sont un type spécifique de protéines membranaires qui facilitent le transport de différentes molécules à travers la membrane cellulaire. Contrairement aux symporteurs, qui co-transportent des molécules dans la même direction, les antiporteurs échangent des molécules dans des directions opposées.

Ce processus est appelé l'antiport et permet de maintenir l'homéostasie cellulaire en régulant les niveaux de différentes molécules à l'intérieur et à l'extérieur de la cellule. Les antiporteurs peuvent être spécifiques au transport de différents ions, nutriments ou métabolites, selon le type de cellule et sa fonction.

Les antiporteurs jouent un rôle important dans de nombreux processus physiologiques, tels que la régulation du pH intracellulaire, la gestion des niveaux d'énergie et la communication intercellulaire. Cependant, ils peuvent également être impliqués dans certaines maladies, telles que les troubles neurologiques et cardiovasculaires, lorsqu'ils sont altérés ou fonctionnent de manière anormale.

Le glucose-6-phosphate est un composé organique qui joue un rôle crucial dans le métabolisme du glucose dans les cellules vivantes. Il s'agit d'une molécule de glucose liée à une molécule de phosphate au carbone 6, ce qui permet de la maintenir active et disponible pour des processus tels que la glycolyse et la pentose phosphate pathway (PPP).

Dans le cadre du métabolisme du glucose, l'enzyme hexokinase catalyse la réaction de conversion du glucose en glucose-6-phosphate lors de son entrée dans la cellule. Cette étape est essentielle pour réguler et maintenir les niveaux de glucose intracellulaire, car le glucose libre ne peut pas traverser facilement la membrane cellulaire.

Le glucose-6-phosphate sert également d'intermédiaire dans la biosynthèse du glycogène et des lipides, ce qui en fait un acteur clé dans le stockage de l'énergie métabolique. En outre, il est impliqué dans les mécanismes de défense contre le stress oxydatif grâce à la PPP, où il est converti en pentoses et NADPH pour soutenir la synthèse des antioxydants et d'autres processus anaboliques.

En cas de dysfonctionnement du métabolisme du glucose-6-phosphate, divers troubles peuvent survenir, tels que des désordres glycogénolytiques, des défauts dans la biosynthèse des lipides et une susceptibilité accrue à l'oxydation. Par conséquent, il est essentiel de comprendre le rôle du glucose-6-phosphate dans les processus métaboliques pour diagnostiquer et traiter ces affections.

Un adénome hépatocellulaire, également connu sous le nom d'hépatocellulaire adénome ou d'adénome du foie, est un type rare et généralement bénin de tumeur du foie. Il se développe à partir des cellules hépatiques (hépatocytes) qui constituent la majeure partie du foie.

Habituellement, les adénomes hépatocellulaires surviennent chez les femmes d'âge moyen, en particulier celles qui utilisent des contraceptifs oraux contenant des œstrogènes à fortes doses pendant une longue période. D'autres facteurs de risque peuvent inclure l'obésité, la maladie métabolique hépatique et certaines affections génétiques rares.

La plupart des adénomes hépatocellulaires ne présentent aucun symptôme et sont découverts de manière fortuite lors d'examens d'imagerie du foie effectués pour d'autres raisons. Cependant, certains patients peuvent présenter des douleurs abdominales, une sensation de plénitude ou une masse palpable dans l'abdomen supérieur. Les complications graves mais rares associées aux adénomes hépatocellulaires comprennent la rupture et les saignements intra-abdominaux, qui peuvent mettre la vie en danger.

Le traitement de choix pour l'adénome hépatocellulaire est généralement la chirurgie visant à retirer complètement la tumeur. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être recommandée, en particulier pour les patients atteints de tumeurs multiples ou de tumeurs volumineuses qui ne peuvent pas être complètement retirées par chirurgie.

Il est important de noter que bien que la plupart des adénomes hépatocellulaires soient bénins, il existe un risque qu'ils deviennent cancéreux au fil du temps. Par conséquent, les patients atteints d'adénome hépatocellulaire doivent faire l'objet d'un suivi régulier par imagerie pour détecter toute récidive ou progression de la maladie.

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Type IV : Maladie dAndersen. *Type V : Maladie McArdle. *Type VIa et/ou Type IX ... Avancée de la rechercheType II : Maladie de Pompe. Des nouveautés dans la recherche sur la maladie de pompe (Glycogénose Type 2 ... Le rôle de LAssociation Francophone des Glycogénoses est dêtre un pôle dentraide pour toutes les personnes concernées par ... Type III : Maladie de Cori ou Forbes. * ... Glycogénose de type XIV. *Glycogénoses type XV - déficit en ...
... glycogénoses) - Létiologie, la physiopathologie, les symptômes, les signes, les diagnostics et les pronostics à partir des ... type I, III, VI et VIII/IX), muscle (types IIb, III, VII, et VIII/IX), dans les fibroblastes cutanés (types IIa et IV) ou dans ... Si lexpression dun caractère ne nécessite quune... en apprendre davantage sauf en ce qui concerne la glycogénose de type ... simulent lhépatopathie dautres types de maladies de surcharge glycogénique (p. ex., I, III, IV, VI). ...
La Glycogénose type IV chez le chat (GSD IV) : symptômes, traitement et prévention La glycogénose type IV est une maladie ... Le chat qui présente ce type de symptômes doit immédiatement être conduit chez le vétérinaire. ...
Mucolipidose de type IV. *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (CLN5). *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (PPT1) ... la glycogénose, le syndrome gracile, etc. ... Maladie du sirop dérable type 1B. *Déficience en acyl-coenzyme ... lhypercholestérolémie familiale type B, lanémie de Faconie, la maladie de gaucher, lhéréditaire fructose intolérance, le ... le trouble congénital de glycosylation de type 1 a, le Cysric fybrosis, le facteur XI Deficiency, le DPD deficiency, la ...
Glycogénose de type IV (GSD4) * Groupe sanguin génétique * Head Defect (BHD, anomalies cranio-faciales) ... Glycogénose de type Ia (GSD Ia) * Glycogénose de type II (Maladie de Pompe) ... Glycogénose de type Ia (GSD Ia) * Glycogénose de type II (Maladie de Pompe) ... Glycogénose de type Ia (GSD Ia) * Glycogénose de type II (Maladie de Pompe) ...
Selon le siège de la tumeur Selon le type de cellules Les gliomes Les méningiomes Les tumeurs des nerfs Les autres types de ... Quatre groupes (I-IV) sont individualisés en fonction du nombre de sections hépatiques saines et décrit lextension en dehors ... Dans un contexte de maladies métaboliques comme la glycogénose, la tyrosinémie, le syndrome dAlagille (SAG) ... Cest une tumeur embryonnaire associant des cellules de type épithélial et des cellules de type mésenchymateux dérivé du ...
Type IV : Maladie dAndersen. *Type V : Maladie McArdle. *Type VIa et/ou Type IX ... Nouvelle actualité de lAFM-Téléthon concernant la maladie de mcArdle (glycogénose de type 5) et effet de boisson sucrée lors ... Type IA) et en enzyme débranchante (Type III) ... Glycogénose de type XIV. *Glycogénoses type XV - déficit en ... Le rôle de LAssociation Francophone des Glycogénoses est dêtre un pôle dentraide pour toutes les personnes concernées par ...
Le traitement peut varier selon le type daffection et bien sûr la gravité des symptômes. Les options de traitement peuvent ...
Anomalies du gène ITPR1 - Ataxie spinocérébelleuse de type 29 ou de type 15/16 ... P.T.I / immunosupresseur RITUXIMAB IV et S.A.P.L Dernier message par ilyesbenma « 11 sept. 2020 12:57. ... Glycogénoses. * ↳ Homocystinurie classique. * ↳ Hyperglycinémie non cétosique. * ↳ Hyperprolinémie. * ↳ Syndrome dImerslund- ...
Mucolipidose type II (I Cell). - Mucolipidose type III (Pseudo Hürler). - Mucolipidose type IV. - Sialidose. - Galactosialidose ... Glycogénose type II (maladie de Pompe). - MPS II (Hunter). Lenzymothérapie substitutive : le but de ce traitement est ... MPS IV (Morquio). - MPS VI (Maroteaux-Lamy). - MPS VII (Sly). - MPS IX. Céroïdes lipofuscinoses ... Ce type de traitement permet de diminuer laccumulation du métabolite et lengorgement des cellules. ...
Malgré tout, le Norvégien est sujet à la glycogénose de type IV. Bien que ce soit la seule pathologie héréditaire détectée chez ... Ce félin est capable dévoluer dans nimporte quel type denvironnement. Le chat Norvégien est adapté à des conditions ...
Type IV : Maladie dAndersen. *Type V : Maladie McArdle. *Type VIa et/ou Type IX ... Le rôle de LAssociation Francophone des Glycogénoses est dêtre un pôle dentraide pour toutes les personnes concernées par ... Type III : Maladie de Cori ou Forbes. * ... Glycogénose de type XIV. *Glycogénoses type XV - déficit en ...
Le norvégien peut être touché par la glycogénose de type IV (GSD IV), une maladie héréditaire mortelle qui perturbe le ... Cette mutation a été décrite pour la première fois en 1992 sous le terme de GDS IV. Il était responsable du décès de norvégiens ... Cependant le norvégien se heurte à deux types de problème : tout dabord, il est souvent confondu avec le maine coon américain ... Le chat norvégien, de type long et puissant, est grand, solidement bâti avec une forte ossature. Il donne une impression de ...
Glycogénoses de type II, III, IV, V ou VII, Maladie dAndersen, Maladie de Forbes, Maladie de Mc Ardle, Maladie de Pompe, ... Glycogénoses musculaires (Déficit en enzyme branchante, Déficit en enzyme débranchante, Déficit en lactate-déshydrogénase, ... Maladie de Tarui), Lipidoses musculaires (dont : déficit en carnitine, déficit en carnitine-palmitoyl-transférase type II ( ...
Mucolipidose de type IV. *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (CLN5). *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (PPT1) ... la glycogénose, le syndrome gracile, etc. ... Maladie du sirop dérable type 1B. *Déficience en acyl-coenzyme ... lhypercholestérolémie familiale type B, lanémie de Faconie, la maladie de gaucher, lhéréditaire fructose intolérance, le ... le trouble congénital de glycosylation de type 1 a, le Cysric fybrosis, le facteur XI Deficiency, le DPD deficiency, la ...
Mucolipidose de type IV. *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (CLN5). *Céroïdes-lipofuscinoses neuronales (PPT1) ... la glycogénose, le syndrome gracile, etc. ... Maladie du sirop dérable type 1B. *Déficience en acyl-coenzyme ... lhypercholestérolémie familiale type B, lanémie de Faconie, la maladie de gaucher, lhéréditaire fructose intolérance, le ... le trouble congénital de glycosylation de type 1 a, le Cysric fybrosis, le facteur XI Deficiency, le DPD deficiency, la ...
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La glycogénose de type IV (GSDIV) est une anomalie du métabolisme du glucose. Elle entraine laccumulation dune forme anormale ... La glycogénose de type IV du Chat des Forêts Norvégiennes ou Norvégien. ... notamment du fait du type et de la structure de leurs fourrures qui sont différentes et uniques à cette race.. ...
Les tubulopathies proximales peuvent être aussi secondaires à certaines maladies métaboliques : tyrosinémie de type I, ... intolérance au fructose, galactosémie, glycogénoses, maladie de Wilson, cytopathies mitochondriales, ou à des toxiques (plomb, ... imposant une prise en charge en réanimation néonatale pour rééquilibration hydroélectrolytique et hydratation IV. La ...
... épisomales GNAS Glycogénose Glycogénoses Gp130 Gène GNAS Gène onco-fœtal Gène suppresseur de tumeurs Gènes embryonaires Gènes ... tissulaire Génome viral Génomique Génomique du cancer Génétique Génétique moléculaire HBx HS17B13 Herpèsvirus humain de type 6 ... Complexe BAF Contraceptifs oraux synthétiques Cytodiérèse Dependovirus Diabètes Dipeptidyl peptidase-4 Dipeptidylpeptidase IV ...
1- Déficit en phosphorylase (glycogénose type V, maladie de McArdle) :. La maladie de McArdle est de transmission autosomique ... Déficit en complexe IV :. Une microdélétion du gène mitochondrial codant pour la sous-unité III de la cytochrome oxydase (Co ... 2- Déficit en phosphofructokinase (glycogénose type VII, maladie de Tarui) :. De sémiologie proche de la forme précédente, il ... une atrophie des fibres de type II et labsence de calciumATP-ase du réticulum sarcoplasmique dans les fibres de type II. ...
Glycogénose de type IV [C16.320.565.202.449.540] Glycogénose de type IV * Glycogénose de type V [C16.320.565.202.449.560] ... Glycogénose de type I Synonymes. Déficit en glucose-6-phosphatase Glycogénose de type 1 Glycogénose de von Gierke Glycogénose ... Glycogénose de type 1. Glycogénose de von Gierke. Glycogénose hépato-rénale. Glycogénose hépatorénale. Maladie de von Gierke. ... Glycogénose de type I - Concept préféré Concept UI. M0009351. Terme préféré. ...
Type IV : Maladie dAndersen. *Type V : Maladie McArdle. *Type VIa et/ou Type IX ... Nouvelle actualité de lAFM-Téléthon concernant la maladie de mcArdle (glycogénose de type 5) et effet de boisson sucrée lors ... Le rôle de LAssociation Francophone des Glycogénoses est dêtre un pôle dentraide pour toutes les personnes concernées par ... Type III : Maladie de Cori ou Forbes. * ... Glycogénose de type XIV. *Glycogénoses type XV - déficit en ...
  • Le rôle de L'Association Francophone des Glycogénoses est d'être un pôle d'entraide pour toutes les personnes concernées par cette maladie et de promouvoir la recherche et l'effort médical. (glycogenoses.org)
  • Glycogénose de type I : résulte de l'absence de glucose-6-phosphatase. (wikipedia.org)
  • Le pronostic et le traitement des maladies de surcharge glycogénique varient selon le type, mais le traitement comprend généralement une supplémentation diététique avec de la fécule de maïs afin d'apporter une source durable de glucose pour les formes hépatiques de glycogénose et l'abstention d'exercices physiques dans les formes musculaires. (msdmanuals.com)
  • L'âge de début, la symptomatologie et la gravité varient selon le type, mais la symptomatologie est le plus souvent celle de l'hypoglycémie et de la myopathie. (msdmanuals.com)
  • Le traitement peut varier selon le type d'affection et bien sûr la gravité des symptômes. (stent.care)
  • La dégradation du glycogène en glucose est stimulée par le glucagon et l'adrénaline et est assurée majoritairement par une glucosidase de type amylase ainsi qu'une glycogène phosphorylase. (wikipedia.org)

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