Le classique hémophilie résultant d'une déficience en facteur VIII. C'est une affection héréditaire de la coagulation sanguine permanent, caractérisée par une tendance à saigner.
Une déficience en facteur IX de coagulation sanguine héréditaire comme un trouble X-linked. (Aussi connu comme Noël Disease, après le premier patient étudié en détail, pas la sainte journée.) Historical et caractéristiques cliniques ressemblent à celles de l'hémophilie hémophilie A (classique), mais les patients avec moins de symptômes. Cadeau de la sévérité des saignements est généralement similaire chez membres d'une même famille. De nombreux patients sont asymptomatiques jusqu'à ce système hémostatique est stressé par chirurgie ou un traumatisme. Traitement est semblable à celui d'hémophilie A. (De Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p1008)
Facteur Antihemophilic Blood-coagulation le facteur VIII. Ça fait partie du facteur VIII / facteur von Willebrand complexe. Le facteur VIII est produit dans le foie et agit à la voie intrinsèque de la coagulation sanguine. Il sert comme un cofacteur du facteur X dans l ’ activation et cette action a été nettement augmenté par petites quantités de la thrombine.
Facteur de coagulation du sang Storage-stable jouer sur la voie intrinsèque activé. Sa forme, IXa et forme un complexe de calcium avec le facteur VIII et facteur plaquettaire 3 pour activer le facteur X Xa. Déficience en facteur IX entraîne hémophilie B (Noël Disease).
Substance endogène, habituellement, qui agissent sous forme d ’ inhibiteurs de la coagulation sanguine. Ils peuvent concerner un ou plusieurs enzymes tout au long du processus. Tant que groupe, ils inhibent également enzymes impliquées dans les processus de coagulation, autres que du sang, tels que ceux du complément système, système enzymatique fibrinolytique, cellules sanguines, et les bactéries.
Un saignement dans les articulations. Ça peut se produire à un traumatisme ou spontanément chez les patients atteints d'hémophilie.
Des produits pouvant provoquer la formation de caillot.
Forme de facteur VII activé. Facteur VIIa active le facteur X dans la voie extrinsèque de la coagulation sanguine.
Et purpura hémorragique désordres qui des anomalies héréditaires dans la coagulation sanguine.
Identification de porteurs pour une même caractéristique génétique.
Techniques et stratégies incluant l ’ utilisation de séquences ADN et d'autres moyens de transformer ou radicaux conventionnelle ou modifier cellules dans le but de traiter ou combattre une maladie conditions.
Groupe de hémorragiques dans lequel le VON facteur Willebrand est soit quantitativement anormal ou qualitativement. Ils sont habituellement hérité aussi bien que rares caractéristique dominante autosomique autosomiques des alter ego est récessif. Symptômes varient selon la sévérité et disease type mais peuvent inclure un allongement du temps de saignement, déficience en facteur VIII et atteinte de plaquettes.
Le processus de l'interaction de la coagulation du sang FACTEURS qui en résulte une insoluble caillot fibrineux.
Saignements ou de s'échapper du sang d'un vaisseau.
Une aberration dans laquelle un segment chromosomique sera supprimé et réinséré au même endroit mais a été retourné d'origine, afin que la séquence génétique pour le segment est corrigée par rapport à celle du reste du chromosome.
Substances endogène, généralement protéines, intervenant dans le processus de coagulation sanguine.
Le temps nécessaire à l ’ apparence de fibrine brins après le mélange de plasma avec Phospholipid substitut plaquettaire (par exemple, grossier, de soja cephalins phosphatides). C'est un test de la voie intrinsèque (facteurs VIII, IX et XI, XII) et le bon chemin (fibrinogène, du taux de prothrombine, des facteurs V et X) de coagulation du sang. Il est utilisé comme une projection test HEPARIN et de suivre une thérapie.
Examens de laboratoire pour évaluer l'individu coagule mécanisme.
Les anticorps d'un individu qui réagissent avec ISOANTIGENS d'un autre individu de la même espèce.
Le processus qui spontanément arrestations le flux de sang de vaisseaux transportant du sang sous pression. Tout est accompli par la contraction des vaisseaux, adhérence et l ’ agrégation plaquettaire de formé sang éléments érythrocytes AGGREGATION (par exemple), et le processus de coagulation du sang.
Un genre de la famille PARVOVIRIDAE PARVOVIRINAE, D, qui sont dépendante d'un assistant avec coinfection adénovirus ou herpesviruses pour leur efficace réplication. Le type espèce est virus adéno-associé 2.
Le temps requis par le sang total de produire un caillot visibles.
Des molécules d'ADN capable de réplication autonome et dans une cellule hôte dans lesquels d'autres séquences d'ADN peuvent être insérés et donc amplifié. Plusieurs proviennent de plasmides ; BACTERIOPHAGES ; ou aux virus. Ils sont utilisés pour transporter des gènes dans les cellules étrangères destinataire, la génétique vecteurs posséder un réplicateur fonctionnelle site et contiennent GENETIC MARKERS sélectif pour faciliter leur reconnaissance.
Anticorps obtenue chez une espèce différente dont l ’ antigène provienne. Ces anticorps sont dirigés contre une large variété de interspecies-specific Antigens, le plus connu, qui sont Forssman Hanganutziu-Deicher (H-D) et (Paul-Bunnell P-B). L ’ incidence des anticorps dirigés contre ces antigens--i.e., le phénomène de heterophile anticorps response--is utile dans le Serodiagnosis, pathogénèse, et au pronostic de l ’ infection et infectieuses latente états comme classification cancéreux.
Un Haut Poids Moléculaire protéines plasmatiques, fabriquée par les cellules endothéliales et mégacaryocytes, ça fait partie du facteur VIII / facteur von Willebrand complexe. Le facteur Von Willebrand a récepteurs pour collagène, plaquettes, activité ristocetin ainsi que les déterminants antigénique immunologiquement distincte. Il fonctionne en adhésion collagène et de plaquettes pour brancher hémostatique formation, les temps de saignement prolongé en traitement de maladies VON est due à un déficit en ce facteur.
Et qui réagit aux protéines plasmatiques storage-stable qui est activée par des tissus pour former de thromboplastine facteur VIIa dans la voie extrinsèque activé de la coagulation sanguine. La forme alors catalyse l'activation du facteur X en facteur Xa.
Utilisation d'un thrombelastograph, qui précise le graphique continue record de la forme physique d'un caillot fibrineux pendant la formation et la lyse.
Les maladies articulaires sont des affections médicales qui affectent les articulations, causant une variété de symptômes tels que douleur, gonflement, raideur et limitation fonctionnelle, et peuvent inclure des conditions telles que l'arthrite, l'arthrose, la bursite, la tendinite et la goutte.
Saignement des vaisseaux sanguins de la bouche, qui peut résulter de blessures à la bouche, accidents en chirurgie buccale ou de maladies aux gencives.
Des anticorps qui pouvons catalyser une grande variété de réactions chimiques. Substrat se caractérisent par une forte spécificité et partager des traits mécaniste avec des enzymes.
Le chien domestique, Canis familiaris, comprenant environ 400 races, de la famille carnivore CANIDAE. Ils sont dans le monde de la distribution et de vivre en association avec les gens. (Walker est Des mammifères du Monde, 5ème Ed, p1065)
L 'introduction de sang complet ou sang composant directement dans la circulation sanguine, 27ème Dorland. (Éditeur)
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Un analogue synthétique de l'hormone pituitaire, arginine Vasopressine. Son action est médiée par le récepteur de vasopressine avait V2. C'est peu pour activité antidiuretic, mais ça module aussi les taux circulant de facteur VIII et facteur Willebrand VON.
Durée du flux sanguin après peau ponction. Ce test est utilisé comme une mesure de capillaires et la fonction plaquettaire.
Substances agissant pour arrêter l'écoulement du sang, absorbable hemostatics arrestation saignement soit par la formation de caillot ou en proposant une matrice mécanique qui facilite coagulation quand appliquer directement sur le saignement surface. Ces agents un fonctionnement plus au niveau capillaire et n'est pas efficace à exercées artérielle ou veineuse de saignement sous pression intravasculaire.
Immunoglobuline molécules avoir une séquence des acides aminés spécifique en vertu de laquelle ils interagir qu'avec l ’ antigène (ou la même forme) induisant la synthèse des cellules du leur série lymphoïde (notamment des plasma).
Dérivés Pregnane contenant deux doubles liens quelque part dans le ring structures.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)

L'hémophilie A est une maladie héréditaire due à un déficit en facteur VIII de coagulation sanguine. Cette protéine joue un rôle crucial dans le processus de coagulation sanguine, permettant la formation d'un caillot pour arrêter le saignement après une blessure. Lorsqu'il y a un déficit en facteur VIII, les saignements peuvent être prolongés et plus difficiles à contrôler, entraînant des complications potentiellement graves.

Les symptômes de l'hémophilie A varient en fonction de la sévérité du déficit en facteur VIII. Les personnes atteintes d'une forme légère peuvent ne présenter des saignements excessifs qu'après une blessure grave ou une intervention chirurgicale, tandis que celles atteintes d'une forme sévère peuvent avoir des saignements spontanés dans les muscles et les articulations, entraînant des douleurs, des gonflements et des lésions articulaires permanentes.

Le diagnostic de l'hémophilie A repose sur des tests sanguins qui mesurent le taux de facteur VIII et la capacité de coagulation du sang. Le traitement consiste en une thérapie de remplacement du facteur VIII, qui peut être administrée par voie intraveineuse pour prévenir les saignements ou traiter ceux qui sont déjà en cours. La prévention des complications et la réadaptation sont également des aspects importants de la prise en charge de l'hémophilie A.

L'hémophilie B, également connue sous le nom de maladie de Christmas, est un trouble de la coagulation sanguine héréditaire et X-lié récessif. Il est causé par une mutation du gène F9 qui code pour le facteur IX, une protéine essentielle dans le processus de coagulation sanguine.

Les personnes atteintes d'hémophilie B ont des niveaux sévèrement réduits ou absents de facteur IX, ce qui entraîne des saignements prolongés et excessifs en réponse à une blessure, une intervention chirurgicale ou des hémorragies spontanées dans les articulations et les muscles. Les symptômes peuvent varier en fonction du niveau de facteur IX présent dans le sang, allant d'une forme légère avec des saignements mineurs à une forme sévère avec des saignements fréquents et graves.

Le diagnostic de l'hémophilie B est généralement posé par un test sanguin qui mesure les niveaux de facteur IX. Le traitement consiste en des perfusions régulières de concentrés de facteur IX pour prévenir et traiter les saignements. La gestion de l'hémophilie B nécessite également une surveillance médicale étroite, y compris des examens physiques réguliers et la planification d'activités physiques appropriées pour minimiser le risque de blessures et de saignements.

Le facteur antihémophilique A (FVIII) est une protéine naturellement présente dans le sang qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Il est essentiel pour la formation d'un caillot sanguin adéquat en réponse à une lésion vasculaire. Les personnes atteintes d'hémophilie A ont un déficit en FVIII, ce qui entraîne des saignements prolongés et excessifs, même après des blessures mineures.

Le facteur antihémophilique A est souvent utilisé comme traitement de remplacement pour les personnes atteintes d'hémophilie A sévère ou modérée. Il peut être administré par voie intraveineuse pour aider à prévenir et à contrôler les saignements, y compris les hémorragies articulaires récurrentes qui peuvent entraîner des dommages articulaires permanents.

Le facteur antihémophilique A est généralement fabriqué à partir de sources humaines ou animales, bien que certaines formulations soient produites par génie génétique. Les préparations de FVIII doivent être purifiées et testées pour éliminer tout risque de transmission d'agents infectieux tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ou le virus de l'hépatite.

Le facteur antihémophilique B, également connu sous le nom de facteur IX, est une protéine essentielle dans la coagulation sanguine. Il joue un rôle crucial dans la voie de coagulation intrinsèque, aidant à convertir le facteur X en sa forme active, ce qui déclenche la formation d'un caillot sanguin et arrête ainsi le saignement.

Une déficience ou une absence congénitale de cette protéine entraîne l'hémophilie B, une maladie héréditaire caractérisée par des saignements prolongés et excessifs, en particulier au niveau des articulations et des muscles. Les personnes atteintes d'hémophilie B peuvent recevoir des traitements de remplacement du facteur IX pour prévenir et contrôler les épisodes hémorragiques.

Les inhibiteurs des facteurs de la coagulation sanguine sont des médicaments utilisés pour prévenir et traiter les troubles de la coagulation sanguine. Ils fonctionnent en inactivant ou en réduisant l'activité des facteurs de coagulation sanguine spécifiques, qui sont des protéines essentielles dans le processus de coagulation sanguine.

Il existe plusieurs types d'inhibiteurs des facteurs de la coagulation sanguine, chacun ciblant un facteur de coagulation différent. Par exemple, les inhibiteurs du facteur VIII sont utilisés pour traiter l'hémophilie A, une maladie héréditaire caractérisée par un déficit en facteur VIII. Les inhibiteurs du facteur IX sont utilisés pour traiter l'hémophilie B, qui est causée par un déficit en facteur IX.

Les inhibiteurs des facteurs de la coagulation sanguine peuvent être classés en deux catégories principales : les anticorps monoclonaux et les composés synthétiques. Les anticorps monoclonaux sont des protéines produites par des cellules du système immunitaire qui se lient spécifiquement à un facteur de coagulation donné, le neutralisant ainsi. Les composés synthétiques, tels que les inhibiteurs directs de la thrombine et les inhibiteurs du facteur Xa, sont des molécules qui se lient directement aux facteurs de coagulation et bloquent leur activité.

Bien que les inhibiteurs des facteurs de la coagulation sanguine soient généralement bien tolérés, ils peuvent entraîner des effets secondaires tels que des saignements excessifs, des réactions allergiques et une formation d'anticorps qui peuvent neutraliser l'effet du médicament. Par conséquent, il est important de surveiller étroitement les patients traités avec ces médicaments et d'ajuster la dose en fonction de leur réponse au traitement.

Hémarthrose est un terme médical qui décrit l'accumulation de sang dans une articulation, ou dans le liquide synovial qui lubrifie une articulation. Ce sang provient généralement d'une blessure ou d'un traumatisme qui a endommagé les vaisseaux sanguins à l'intérieur ou autour de l'articulation.

L'hémarthrose peut causer une douleur et un gonflement importants dans l'articulation affectée, ce qui peut limiter sa mobilité et entraver les mouvements normaux. Les symptômes peuvent inclure une rougeur, une chaleur et une sensibilité accrues autour de l'articulation, ainsi qu'une raideur et une limitation des mouvements.

Le diagnostic d'hémarthrose est généralement posé sur la base d'un examen physique et d'une imagerie médicale telle qu'une radiographie, une IRM ou une échographie. Le traitement dépend de la gravité de l'affection et peut inclure des soins de soutien tels que le repos, la glace, la compression et l'élévation (RICE), ainsi que des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour soulager la douleur et réduire l'enflure. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour réparer les dommages aux vaisseaux sanguins ou aux tissus articulaires.

Les coagulants sont des substances ou des médicaments qui favorisent et accélèrent la formation d'un caillot sanguin (coagulation) dans le but de prévenir ou de traiter les saignements excessifs. Ils fonctionnent en activant certaines protéines dans le plasma sanguin, appelées facteurs de coagulation, qui déclenchent une série de réactions chimiques aboutissant à la formation d'un caillot solide.

Les coagulants sont souvent utilisés dans les situations où des saignements excessifs peuvent se produire, telles que pendant ou après une intervention chirurgicale, en cas de traumatismes graves, ou chez les personnes atteintes d'affections médicales qui affectent la capacité du sang à coaguler normalement, comme l'hémophilie.

Les exemples courants de coagulants comprennent le facteur VIIa recombinant (Novoseven), le facteur IX recombinant (BeneFIX) et la prothrombine complexe concentrée (Kcentra). Les médicaments antifibrinolytiques, tels que l'acide tranexamique (Cyklokapron, Lysteda) et l'aminocaproïque de lysine (Amicar), peuvent également être considérés comme des coagulants car ils aident à stabiliser les caillots sanguins existants en inhibant l'action d'enzymes qui décomposent les fibrines, une protéine clé dans la formation de caillots.

Il est important de noter que l'utilisation inappropriée ou excessive de coagulants peut entraîner des complications graves, telles que la formation de caillots sanguins excessifs (thrombose), ce qui peut augmenter le risque d'accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques et d'embolie pulmonaire. Par conséquent, les coagulants doivent être prescrits et surveillés par des professionnels de la santé qualifiés pour minimiser ces risques.

Le facteur V est une protéine importante dans la coagulation sanguine. Il est également connu sous le nom de «proaccelérine» en raison de son rôle dans l'accélération du processus de coagulation. Le facteur V est activé par le facteur Xa et la thrombine pour former le complexe prothrombinase, qui convertit la prothrombine en thrombine, une enzyme essentielle à la formation d'un caillot sanguin.

Le terme «Facteur Viia» est souvent utilisé dans le contexte de la mutation du facteur V connue sous le nom de «facteur V de Leiden». Cette mutation entraîne une résistance accrue à l'inactivation du facteur V activé par la protéine C, ce qui peut augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire. Il s'agit d'une des mutations les plus courantes associées aux maladies thromboemboliques veineuses dans la population caucasienne.

Les troubles héréditaires de la coagulation sanguine, également connus sous le nom de troubles de la coagulation congénitaux, sont des affections médicales génétiques dans lesquelles le processus naturel de coagulation du sang est altéré. Ces troubles sont dus à des mutations génétiques qui affectent les protéines nécessaires à la coagulation sanguine.

Les deux types les plus courants de ces troubles sont l'hémophilie A et B, qui sont caractérisés par un déficit en facteur VIII ou IX de la coagulation, respectivement. Cela entraîne des saignements prolongés et excessifs après une blessure ou une intervention chirurgicale.

Un autre trouble héréditaire de la coagulation sanguine est la maladie de Willebrand, qui est causée par une anomalie du facteur von Willebrand, une protéine impliquée dans l'agrégation des plaquettes et la stabilisation du facteur VIII.

Ces troubles peuvent entraîner des complications graves, telles que des hémorragies internes ou des saignements spontanés dans les articulations et les muscles. Le diagnostic de ces affections est généralement posé sur la base d'un examen médical approfondi, y compris des tests de coagulation sanguine spécifiques. Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie et peut inclure des perfusions de facteur de coagulation manquant ou des médicaments qui aident à contrôler les saignements.

La détection hétérozygote en génétique médicale fait référence au processus de détermination de la présence d'une mutation génétique dans un seul des deux allèles d'un gène dans un individu. Dans le contexte de la médecine, cela est souvent important pour les maladies héréditaires à transmission autosomique récessive, où avoir une copie mutée du gène (être hétérozygote) ne provoque pas la maladie mais signifie que l'individu est un porteur de cette mutation. Si deux personnes hétérozygotes pour la même mutation ont un enfant ensemble, il y a une chance sur quatre qu'un enfant hérite d'une copie de chaque parent et développe donc la maladie. La détection des hétérozygotes est donc importante dans le conseil génétique et les tests prénataux pour ces conditions.

La thérapie génétique est une forme avancée de médecine qui consiste à remplacer, manipuler ou inactiver des gènes spécifiques dans les cellules d'un patient pour traiter ou prévenir des maladies héréditaires ou acquises. Elle vise à corriger les défauts génétiques sous-jacents en introduisant des matériaux génétiques sains, tels que des gènes fonctionnels ou des acides nucléiques thérapeutiques, dans les cellules du patient.

Ces matériaux génétiques peuvent être délivrés directement aux cellules affectées par l'intermédiaire de vecteurs, tels que des virus inactivés ou des nanoparticules, qui permettent d'introduire les gènes thérapeutiques dans le génome ciblé. Une fois intégrés, ces nouveaux gènes peuvent aider à produire des protéines manquantes ou défectueuses, réguler l'expression de certains gènes, inhiber la production de protéines nocives ou même déclencher le processus de mort cellulaire programmée (apoptose) pour éliminer les cellules anormales.

Bien que la thérapie génétique offre des perspectives prometteuses dans le traitement de diverses affections, telles que les maladies génétiques rares, le cancer et certaines maladies infectieuses, elle est encore considérée comme une approche expérimentale et fait l'objet de recherches intensives pour évaluer son efficacité et sa sécurité à long terme.

La maladie de von Willebrand est un trouble de la coagulation sanguine héréditaire. C'est la maladie hémorragique congénitale la plus courante. Elle est causée par une anomalie du facteur de von Willebrand, une protéine qui aide le plasma sanguin à coaguler et soutient la fonction des plaquettes.

Il existe trois types principaux de maladie de von Willebrand :

1. Le type 1 est la forme la plus courante et la moins grave. Il se caractérise par des niveaux réduits de facteur de von Willebrand.
2. Le type 2 est plus sévère que le type 1. Il se caractérise par une fonction anormale du facteur de von Willebrand.
3. Le type 3 est la forme la plus rare et la plus grave. Elle se caractérise par une absence presque totale ou complète de facteur de von Willebrand.

Les symptômes de la maladie de von Willebrand peuvent varier considérablement, allant de saignements mineurs à des hémorragies sévères. Les saignements peuvent se produire dans la peau, les muqueuses, les organes internes et les articulations. Les symptômes courants comprennent des ecchymoses faciles, des saignements de nez fréquents, des menstruations abondantes et des saignements après une extraction dentaire ou une intervention chirurgicale.

Le diagnostic de la maladie de von Willebrand repose sur des tests sanguins spécifiques qui mesurent les niveaux et la fonction du facteur de von Willebrand. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des médicaments pour remplacer le facteur de von Willebrand manquant, des médicaments pour aider à prévenir les saignements ou des mesures pour arrêter les saignements une fois qu'ils ont commencé.

La coagulation sanguine, également appelée hémostase, est un processus complexe et vital qui empêche la perte excessive de sang après une blessure ou une lésion vasculaire. Il existe deux principales phases dans ce processus :

1. Hémostase primaire : Cette phase implique la constriction des vaisseaux sanguins endommagés et l'activation plaquettaire pour former un bouchon temporaire appelé thrombus plaquettaire ou « caillot blanc ». Les facteurs de coagulation ne sont pas encore impliqués à ce stade.

2. Hémostase secondaire : Dans cette phase, une cascade enzymatique complexe est déclenchée, aboutissant à la formation d'un caillot sanguin stable ou « caillot rouge ». Ce processus implique plusieurs facteurs de coagulation (protéines plasmatiques) qui s'activent mutuellement et convertissent le fibrinogène en fibrine, créant ainsi un réseau tridimensionnel dans lequel les globules rouges et les autres composants cellulaires du sang sont piégés.

Plusieurs facteurs de coagulation, précurseurs inactifs (zymogènes), sont stockés dans le foie sous forme de protéines plasmatiques. Ils peuvent être activés par des traumatismes tissulaires directs ou indirectement via des voies de activation extrinsèque, intrinsèque et commune. Les déséquilibres dans ce système complexe peuvent entraîner des troubles hémostatiques, tels que des coagulations excessives (thrombose) ou insuffisantes (hémorragie).

L'hémorragie est un terme médical qui décrit une situation où il y a une fuite ou un écoulement anormal de sang hors des vaisseaux sanguins. Cela peut être dû à divers facteurs, tels que des traumatismes, des lésions tissulaires, des maladies vasculaires, des troubles de la coagulation sanguine ou des interventions chirurgicales.

Les hémorragies peuvent être classées en fonction de leur localisation (externe ou interne), de leur rapidité d'apparition (aiguë ou chronique) et de leur importance (mineure, majeure ou massive). Une hémorragie importante peut entraîner une baisse significative du volume sanguin circulant, ce qui peut provoquer une hypovolémie, une chute de la pression artérielle, un choc et, dans les cas graves, le décès.

Le traitement d'une hémorragie dépend de sa cause sous-jacente. Les mesures initiales consistent souvent à contrôler la source de l'hémorragie, si possible, et à assurer une stabilisation hémodynamique en remplaçant le volume sanguin perdu par des fluides intraveineux ou des transfusions sanguines. Des médicaments peuvent également être administrés pour favoriser la coagulation et arrêter l'hémorragie.

Une chromosome inversion est un réarrangement chromosomique dans lequel une section du chromosome se casse, tourne à 180 degrés et se réinsère dans la même région du chromosome. Il existe deux types d'inversions chromosomiques : les inversions péricentriques et les inversions paracentriques.

Dans une inversion péricentrique, le point de rupture et d'insertion se trouvent des deux côtés du centromère (la région centrale du chromosome où se trouvent les bras courts et longs). Dans une inversion paracentrique, le point de rupture et d'insertion se trouvent sur le même bras du chromosome.

Les inversions chromosomiques peuvent être héritées ou acquises en raison de mutations spontanées. La plupart des inversions n'ont pas d'effet sur la santé, mais certaines peuvent entraîner des problèmes de fertilité ou augmenter le risque de maladies génétiques chez les enfants nés de personnes atteintes d'inversions.

Les inversions chromosomiques peuvent être détectées par analyse cytogénétique, telle qu'un caryotype, qui permet de visualiser l'apparence et la structure des chromosomes sous un microscope.

Les facteurs de coagulation sanguine, également connus sous le nom de facteurs de coagulation ou facteurs de la cascade de coagulation, se réfèrent à une série de protéines spécifiques dans le plasma sanguin qui fonctionnent ensemble pour former un caillot sanguin en réponse à une blessure ou une lésion vasculaire. Ils jouent un rôle crucial dans le processus de coagulation sanguine, assurant la cicatrisation adéquate des plaies et prévenant les saignements excessifs.

Il existe 13 facteurs de coagulation sanguine connus, désignés par des nombres romains (I à XIII). Chacun d'eux a un rôle spécifique dans la cascade de coagulation et interagit avec les autres pour former un caillot solide. Les facteurs de coagulation sont activés en cascade, ce qui signifie qu'une étape active la suivante, créant ainsi une réaction en chaîne rapide et efficace.

Voici une liste des 13 facteurs de coagulation sanguine avec leur fonction respective :

1. Fibrinogène - se transforme en fibrine pour former le squelette du caillot
2. Proconvertine - convertit la prothrombine en thrombine
3. Thromboplastine (tissulaire) - active la facteur VII et déclenche la cascade de coagulation externe
4. Facteur VII - activé par la thromboplastine, il active le facteur X dans la voie commune
5. Facteur X - convertit la prothrombine en thrombine dans la voie commune
6. Prothrombine (facteur II) - se transforme en thrombine pour convertir le fibrinogène en fibrine
7. Facteur V - activé par la thrombine, il agit comme un cofacteur pour activer le facteur X
8. Facteur VIII - activé par la thrombine, il agit comme un cofacteur pour activer le facteur IX
9. Facteur IX - activé par le facteur XIa ou VIIa, il active le facteur X dans la voie intrinsèque
10. Facteur XI - activé par le facteur XIIa, il active le facteur IX
11. Facteur XIII - active les liaisons croisées de la fibrine pour stabiliser le caillot
12. Hageman (facteur XII) - activé par contact avec une surface négative, il active le facteur XI et déclenche la cascade de coagulation intrinsèque
13. Prékallikréine (facteur XIIa) - activé par le facteur XIIa, il active le facteur XI

Les facteurs de coagulation sanguine sont essentiels pour maintenir l'homéostasie et prévenir les saignements excessifs. Des anomalies dans ces facteurs peuvent entraîner des troubles de la coagulation, tels que l'hémophilie ou la thrombose.

Le Temps Céphaline-Kaolin (TCK) est un test de laboratoire utilisé en hématologie pour évaluer l'activité fonctionnelle des plaquettes sanguines et la coagulation. Ce test consiste à mesurer le temps nécessaire à la formation d'un caillot sanguin après l'ajout d'un activateur de coagulation, la céphaline, mélangée à du kaolin, qui favorise l'activation des facteurs de la coagulation. Un résultat anormalement élevé de TCK peut indiquer un trouble de la coagulation ou une thrombopénie (diminution du nombre de plaquettes sanguines). Ce test est souvent utilisé en combinaison avec d'autres tests de coagulation pour diagnostiquer et surveiller les troubles hémorragiques.

Un test de coagulation sanguine, également connu sous le nom de test de coagulogramme, est un ensemble d'examens de laboratoire utilisés pour évaluer la capacité du sang à coaguler et la présence de troubles de la coagulation sanguine. Ces tests comprennent généralement :

1. Le temps de prothrombine (TP) ou International Normalized Ratio (INR) : il mesure le temps nécessaire pour que le sang forme un caillot après l'ajout d'un réactif spécifique, ce qui permet d'évaluer l'activité de plusieurs facteurs de coagulation. L'INR est principalement utilisé pour surveiller les patients sous anticoagulants oraux comme la warfarine.
2. Le temps de thromboplastine partielle activée (TTPa) : il mesure le temps nécessaire à la formation d'un caillot après l'ajout d'un réactif qui active directement les facteurs XII et XI, ce qui permet d'évaluer l'activité des facteurs intrinsèques de la coagulation.
3. Le fibrinogène : il s'agit d'une protéine sérique qui joue un rôle crucial dans la formation du caillot sanguin. Son taux est mesuré pour évaluer l'hémostase et détecter des troubles de la coagulation comme la dysfibrinogénémie ou l'hypofibrinogénémie.
4. Les facteurs de coagulation : il existe plusieurs facteurs de coagulation (II, V, VII, VIII, IX, X, XI et XII) qui peuvent être mesurés individuellement pour évaluer leur activité et détecter des carences ou des anomalies.
5. Les marqueurs de l'activation de la coagulation : des tests spécifiques comme le dosage de la D-dimère peuvent être réalisés pour mettre en évidence une activation excessive de la coagulation, par exemple dans le cadre d'un syndrome thromboembolique ou d'une coagulopathie disséminée intravasculaire.

Ces examens permettent d'explorer différents aspects de l'hémostase et de la coagulation sanguine, d'identifier des troubles héréditaires ou acquis, de surveiller l'efficacité d'un traitement anticoagulant ou thrombolytique et de dépister des complications thromboemboliques.

Les isoanticorps sont des anticorps présents dans le sérum d'un individu qui réagissent spécifiquement avec les antigènes d'autres individus de la même espèce, mais de groupes sanguins différents. Ces anticorps se forment généralement en réponse à des transfusions sanguines antérieures ou à des grossesses où le sang de l'individu a été exposé à des globules rouges d'un groupe sanguin différent. Les isoantigènes, qui sont les cibles de ces anticorps, se trouvent principalement sur la surface des érythrocytes (globules rouges), mais peuvent également être présents sur d'autres types de cellules dans certains cas.

Les réactions entre isoantigènes et isoanticorps peuvent entraîner une hémolyse, c'est-à-dire la destruction des globules rouges, ce qui peut provoquer des complications graves, telles que des accidents transfusionnels ou des maladies hémolytiques du nouveau-né. Par conséquent, il est crucial de déterminer le groupe sanguin et les isoantigènes pertinents avant d'effectuer une transfusion sanguine ou pendant la grossesse pour éviter ces complications.

L'hémostase est un processus physiologique complexe qui permet de stopper le saignement lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé. Il comprend deux mécanismes principaux : la vasoconstriction et la formation de caillots sanguins.

La vasoconstriction est la rétraction des parois des vaisseaux sanguins pour réduire le flux sanguin dans la zone lésée. C'est une réponse rapide qui se produit en quelques secondes après une blessure.

La formation de caillots sanguins, également appelée coagulation, est un processus plus lent qui implique une cascade de réactions biochimiques aboutissant à la conversion de la fibrine, une protéine plasmatique, en un réseau tridimensionnel qui piège les cellules sanguines (plaquettes et globules rouges) pour former un caillot. Ce mécanisme permet de stabiliser le caillot et de fermer la brèche vasculaire jusqu'à ce que la réparation tissulaire puisse se produire.

L'hémostase est donc un processus crucial pour prévenir les hémorragies importantes et favoriser la cicatrisation des plaies.

Un dépendovirus est un type de virus qui nécessite l'expression d'au moins un gène spécifique dans les cellules hôtes pour assurer sa réplication et sa survie. Les dépendovirus appartiennent à la famille des *Parvoviridae* et sont définis par leur dépendance aux protéines de la famille des *US22* du virus herpès simplex (VHS) pour compléter leur cycle de réplication. Ces protéines sont exprimées dans les cellules infectées par le VHS, ce qui permet au dépendovirus d'utiliser ces ressources cellulaires pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales.

Les dépendovirus ont un génome à simple brin d'ADN linéaire et sont incapables de s'intégrer dans le génome des cellules hôtes. Ils peuvent infecter une variété de types cellulaires, y compris les cellules humaines et animales. Bien que certains dépendovirus puissent causer des maladies chez l'homme, la plupart d'entre eux sont considérés comme étant à faible pathogénicité.

Les dépendovirus sont souvent utilisés en recherche biomédicale comme vecteurs pour transférer des gènes dans les cellules hôtes, car ils peuvent être modifiés génétiquement pour exprimer des gènes d'intérêt. Cela en fait un outil utile pour l'étude de la fonction des gènes et pour le développement de thérapies géniques.

Le temps de coagulation, également connu sous le nom de temps de coagulation du sang ou temps de prothrombine, est un test de laboratoire utilisé pour évaluer la fonction de coagulation sanguine. Il mesure le temps qu'il faut à un échantillon de sang pour former un caillot après l'addition de thromboplastine, un réactif qui accélère la coagulation.

Le test est utilisé pour dépister et diagnostiquer les troubles de la coagulation sanguine, tels que l'hémophilie et la deficiency en facteur de coagulation. Il peut également être utilisé pour surveiller l'efficacité des traitements anticoagulants, tels que la warfarine, en vérifiant si les valeurs de temps de coagulation se situent dans la plage thérapeutique souhaitée.

Les résultats du test sont généralement exprimés en secondes et comparés à des valeurs de référence établies pour des populations saines. Des valeurs anormales peuvent indiquer un risque accru de saignement ou de thrombose.

Un vecteur génétique est un outil utilisé en génétique moléculaire pour introduire des gènes ou des fragments d'ADN spécifiques dans des cellules cibles. Il s'agit généralement d'un agent viral ou bactérien modifié qui a été désarmé, de sorte qu'il ne peut plus causer de maladie, mais conserve sa capacité à infecter et à introduire son propre matériel génétique dans les cellules hôtes.

Les vecteurs génétiques sont couramment utilisés dans la recherche biomédicale pour étudier l'expression des gènes, la fonction des protéines et les mécanismes de régulation de l'expression génétique. Ils peuvent également être utilisés en thérapie génique pour introduire des gènes thérapeutiques dans des cellules humaines afin de traiter ou de prévenir des maladies causées par des mutations génétiques.

Les vecteurs viraux les plus couramment utilisés sont les virus adéno-associés (AAV), les virus lentiviraux et les rétrovirus. Les vecteurs bactériens comprennent les plasmides, qui sont des petites molécules d'ADN circulaires que les bactéries utilisent pour transférer du matériel génétique entre elles.

Il est important de noter que l'utilisation de vecteurs génétiques comporte certains risques, tels que l'insertion aléatoire de gènes dans le génome de l'hôte, ce qui peut entraîner des mutations indésirables ou la activation de gènes oncogéniques. Par conséquent, il est essentiel de mettre en place des protocoles de sécurité rigoureux pour minimiser ces risques et garantir l'innocuité des applications thérapeutiques des vecteurs génétiques.

Les anticorps hétérophiles sont des anticorps qui réagissent avec des antigènes sur les cellules d'espèces autres que la leur. Ils ne sont pas spécifiques à un seul antigène, mais peuvent plutôt réagir avec plusieurs antigènes différents. Les anticorps hétérophiles sont souvent produits en réponse à une infection ou à une transfusion sanguine.

Un test commun pour les anticorps hétérophiles est le test de dépistage des anticorps anti-VIH, qui recherche la présence d'anticorps hétérophiles dirigés contre les protéines du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Ce test est souvent utilisé comme un dépistage initial pour le VIH, mais des tests supplémentaires sont nécessaires pour confirmer un diagnostic positif.

Les anticorps hétérophiles peuvent également être impliqués dans certaines maladies auto-immunes, telles que le lupus érythémateux disséminé et la polyarthrite rhumatoïde. Dans ces cas, les anticorps hétérophiles peuvent attaquer les cellules et les tissus sains du corps, entraînant une inflammation et des dommages tissulaires.

Le facteur Willebrand (vWF) est une protéine multimérique complexe impliquée dans l'hémostase, le processus qui permet la cicatrisation des plaies et l'arrêt du saignement. Il joue un rôle crucial dans l'adhésion et l'agrégation des plaquettes sur le site de la blessure, favorisant ainsi la formation d'un caillot sanguin.

Le vWF est synthétisé principalement par les cellules endothéliales (cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins) et les mégacaryocytes (cellules souches des plaquettes sanguines). Dans le sang, il circule sous forme de multimères de différentes tailles, allant de petites structures aux très grandes chaînes polymériques. Ces différentes formes confèrent au vWF une grande variété de fonctions et d'interactions avec d'autres composants du système hémostatique.

Le facteur Willebrand interagit étroitement avec la glycoprotéine Ib (GpIb) présente à la surface des plaquettes sanguines, facilitant leur adhésion aux parois endommagées des vaisseaux sanguins. Il se lie également au facteur VIII, une protéine essentielle à la coagulation sanguine, offrant ainsi une protection contre sa dégradation prématurée et favorisant son activation.

Des anomalies quantitatives ou qualitatives du vWF peuvent entraîner des troubles hémostatiques, tels que l'hémorragie ou la thrombose. La maladie de Willebrand, une affection héréditaire caractérisée par des saignements anormaux, est due à des mutations dans le gène du vWF ou à des anticorps dirigés contre cette protéine.

La proconvertine, également connue sous le nom de facteur VII, est une protéine plasmatique synthétisée par le foie. Elle joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine en activant la convertase à kinase, qui convertit ensuite la prothrombine en thrombine. La thrombine est essentielle pour la conversion de fibrinogène en fibrine, ce qui permet la formation d'un caillot sanguin solide. Les carences en facteur VII peuvent entraîner des saignements prolongés et sont héréditaires ou acquises, par exemple, en raison d'une maladie du foie ou de la prise de certains médicaments anticoagulants.

La thromboélastographie est une méthode de laboratoire utilisée pour évaluer la coagulation sanguine en imitant la formation d'un caillot sanguin (thrombus) dans un échantillon de sang. Cette technique permet de mesurer la force et la vitesse de la formation du caillot ainsi que sa dissolution, offrant une vue d'ensemble plus complète et dynamique des différents stades de la coagulation sanguine par rapport aux tests traditionnels qui ne mesurent qu'un seul aspect de ce processus complexe.

La thromboélastographie est souvent utilisée en peropératoire (pendant une intervention chirurgicale) ou en soins intensifs pour surveiller l'effet des médicaments anticoagulants et guider leur administration, ainsi que pour détecter et évaluer les troubles de la coagulation sanguine. Elle peut également être utile dans le cadre de la médecine transfusionnelle pour optimiser la gestion des produits sanguins labiles.

Il existe deux principaux types de thromboélastographie : la thromboélastographie classique (TEG) et la thromboélastométrie (ROTEM). Bien que les méthodes d'analyse soient différentes, elles visent toutes deux à fournir des informations sur le processus de coagulation sanguine dans son ensemble.

Les maladies articulaires sont des affections qui affectent les articulations, c'est-à-dire la partie du corps où deux os se rejoignent et permettent le mouvement. Ces maladies peuvent causer de la douleur, de l'enflure, de la raideur et une limitation du mouvement. Elles peuvent résulter d'une inflammation, d'une dégénérescence, d'une infection ou d'un traumatisme.

Les exemples courants de maladies articulaires comprennent l'arthrite (y compris l'ostéoarthrite et la polyarthrite rhumatoïde), le lupus érythémateux disséminé, la goutte, la bursite, la tendinite et l'arthrose. Certaines de ces maladies peuvent être héréditaires ou liées à l'âge, tandis que d'autres peuvent être déclenchées par des facteurs environnementaux tels que les blessures, les infections ou le surmenage.

Le traitement des maladies articulaires dépend du type et de la gravité de la condition. Il peut inclure des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique pour aider à maintenir la force et la mobilité, des changements de mode de vie tels qu'une alimentation saine et une activité physique régulière, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

L'hémorragie buccale est un terme médical qui se réfère à un saignement dans la cavité buccale, y compris les gencives, les joues, la langue, le palais et l'intérieur des lèvres. Cela peut varier en gravité, allant d'une petite ecchymose ou une petite tache de sang à un saignement abondant qui peut être difficile à contrôler.

Les causes courantes d'hémorragie buccale comprennent des traumatismes mineurs tels que mordre la langue ou l'intérieur des joues, une mauvaise hygiène dentaire, des blessures causées par des prothèses dentaires mal ajustées, des affections inflammatoires telles que la gingivite ou le lichen plan, et certaines maladies systémiques telles que l'hémophilie ou la leucémie.

Dans certains cas, une hémorragie buccale peut être un signe de quelque chose de plus grave, comme une infection sévère, une tumeur maligne ou un trouble de coagulation sanguine. Par conséquent, il est important de consulter un professionnel de la santé si vous remarquez des saignements buccaux fréquents ou inexpliqués.

Un anticorps catalytique, également connu sous le nom d'anticorps Abzyme ou de glycol-oxydase artificielle, est un type d'anticorps qui possède une activité enzymatique intrinsèque. Ces anticorps sont capables de catalyser des réactions chimiques spécifiques, ce qui les distingue des anticorps conventionnels qui ne font que se lier à des antigènes sans modifier leur structure ou fonction.

Les anticorps catalytiques ont été découverts pour la première fois dans les années 1980 par le scientifique russe Vladimir Ptushenko et ses collègues. Ils ont démontré que des anticorps produits par des souris immunisées avec un analogue de transition d'une réaction hydrolytique spécifique pouvaient catalyser cette réaction in vitro.

Depuis lors, les anticorps catalytiques ont été étudiés pour leur potentiel en tant qu'agents thérapeutiques et diagnostiques. Ils peuvent être utilisés pour cibler et dégrader des molécules spécifiques dans le corps, telles que des protéines anormales ou des toxines. De plus, leur activité enzymatique peut être utilisée pour détecter et mesurer la présence de certaines molécules dans des échantillons biologiques.

Cependant, l'utilisation clinique des anticorps catalytiques est encore à ses débuts, et il reste beaucoup à apprendre sur leur fonctionnement et leur sécurité. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement les avantages et les limites de ces molécules uniques et prometteuses.

Je suis désolé, "chiens" est un terme général qui fait référence à une espèce spécifique d'animaux domestiques et non à une condition ou à un état médical. Les chiens (Canis lupus familiaris) sont des mammifères carnivores de la famille des Canidae. Ils sont souvent considérés comme les plus anciens animaux domestiqués par l'homme, depuis probablement 20 000 à 40 000 ans. Les chiens existent en plusieurs races, tailles et formes, avec des variations significatives dans leur apparence, leur tempérament et leurs capacités. Ils sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur loyauté, de leur intelligence et de leur capacité à être formés.

Si vous cherchez une définition médicale ou des informations sur un sujet spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Une transfusion sanguine est un processus médical où du sang ou l'un de ses composants (comme les globules rouges, les plaquettes ou le plasma) sont transférés d'une personne (le donneur) vers une autre (le receveur), via des tubes et des sacs stériles. Cette procédure est couramment utilisée pour remplacer les composants sanguins manquants ou déficients chez un individu, en raison d'une maladie, d'un traumatisme, d'une intervention chirurgicale ou d'autres causes médicales. Il est essentiel que le groupe sanguin du donneur corresponde au receveur pour éviter des réactions indésirables. Les risques associés à la transfusion sanguine comprennent les réactions allergiques, l'incompatibilité ABO, l'infection et l'accumulation de fer dans le corps (hémochromatose).

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

La Déamino-Arginine Vasopressine (DAVP ou desmopressine) est un analogue synthétique de l'hormone antidiurétique naturelle, l'arginine vasopressine. Elle est utilisée en médecine pour traiter certains troubles liés à l'équilibre hydrique et électrolytique du corps.

La DAVP agit en augmentant la réabsorption d'eau dans les tubules rénaux, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine (diurèse) et une augmentation de la concentration des urines. Elle a également un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut être utile dans le traitement de certaines formes d'hypotension.

La DAVP est utilisée pour traiter les troubles de l'équilibre hydrique tels que le diabète insipide central, une condition caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense due à une déficience en hormone antidiurétique. Elle est également utilisée dans le traitement de l'hémorragie urinaire chez les patients atteints de troubles héréditaires de la coagulation sanguine, tels que l'hémophilie A et B.

Comme avec tout médicament, la DAVP peut avoir des effets secondaires, notamment des maux de tête, des nausées, des étourdissements, une hyponatrémie (faible teneur en sodium dans le sang) et une rétention hydrique. Il est important que les patients soient informés des risques potentiels associés à l'utilisation de ce médicament et qu'ils soient surveillés régulièrement par un professionnel de la santé pendant le traitement.

Le temps de saignement, également connu sous le nom de temps de céphaline activée ou TCA, est un test de coagulation sanguine qui mesure la rapidité avec laquelle le sang forme un caillot en réponse à un stimulus. Ce test est utilisé pour évaluer l'efficacité globale de la coagulation sanguine et pour détecter des troubles de la coagulation tels que l'hémophilie ou la présence d'anticoagulants oraux.

Le temps de saignement est mesuré en seconds et est comparé à un temps de référence établi pour une population saine. Un temps de saignement prolongé peut indiquer un trouble de la coagulation, une carence en facteurs de coagulation ou l'utilisation d'anticoagulants. À l'inverse, un temps de saignement raccourci peut être observé dans certaines conditions telles que la thrombophilie ou la prise de médicaments qui favorisent la coagulation sanguine.

Il est important de noter que le temps de saignement est influencé par de nombreux facteurs, tels que l'âge, le sexe, les habitudes de vie et l'utilisation de médicaments, il doit donc être interprété en conjonction avec d'autres tests de coagulation et les antécédents médicaux du patient.

En médecine, le terme "hémostatiques" fait référence à des agents ou substances qui aident à arrêter ou ralentir un saignement en favorisant la coagulation du sang et la formation d'un caillot sanguin. Les hémostatiques peuvent être classés en deux catégories principales :

1. Agents hémostatiques naturels : Il s'agit de substances présentes dans le corps qui contribuent à l'hémostase, telles que les plaquettes sanguines, le facteur von Willebrand, les facteurs de coagulation et les protéines de fibrinolyse.
2. Agents hémostatiques artificiels : Il s'agit de substances synthétisées ou développées à des fins médicales pour favoriser l'hémostase, telles que les tampons de collagène, les gels d'hémostase, les poudres hémostatiques, les éponge de cellulose et les thrombinomes.

Les agents hémostatiques sont utilisés en médecine pour contrôler les saignements lors des interventions chirurgicales, dans le traitement des blessures traumatiques, des hémorragies internes et des troubles de la coagulation sanguine. Il est important de noter que l'utilisation inappropriée ou excessive d'agents hémostatiques peut entraîner des complications telles que la formation de caillots sanguins excessifs, ce qui peut provoquer une thrombose veineuse ou artérielle.

Un anticorps est une protéine produite par le système immunitaire en réponse à la présence d'une substance étrangère, appelée antigène. Les anticorps sont également connus sous le nom d'immunoglobulines et sont sécrétés par les plasmocytes, un type de cellule blanc du sang.

Les anticorps se lient spécifiquement à des régions particulières de l'antigène, appelées épitopes, ce qui permet au système immunitaire d'identifier et d'éliminer la substance étrangère. Les anticorps peuvent neutraliser directement les agents pathogènes ou marquer les cellules infectées pour être détruites par d'autres cellules du système immunitaire.

Les anticorps sont un élément clé de la réponse immunitaire adaptative, ce qui signifie qu'ils peuvent s'adapter et se souvenir des agents pathogènes spécifiques pour offrir une protection à long terme contre les infections ultérieures. Les anticorps peuvent être détectés dans le sang et servent souvent de marqueurs pour diagnostiquer certaines maladies, telles que les infections ou les troubles auto-immuns.

Les pregnanediols sont des stéroïdes qui se produisent naturellement dans le corps humain. Ils sont créés lorsque les hormones stéroïdes, comme la progestérone, sont dégradées. Les pregnanediols ont deux groupes hydroxyles (-OH) sur le cycle de carbone à cinq atomes de la molécule.

Dans un contexte médical ou clinique, les pregnanedioles peuvent être mesurés dans l'urine pour évaluer la production d'hormones stéroïdes. Par exemple, le rapport entre les métabolites de l'estrone et de l'éstradiol (les estriols) aux pregnanediols peut être utilisé pour surveiller la fonction placentaire pendant la grossesse.

Des taux anormalement élevés ou faibles de pregnanediols peuvent indiquer des problèmes de santé sous-jacents, tels que des troubles hormonaux ou des maladies du foie. Cependant, il est important de noter que les tests de pregnanediol sont généralement utilisés dans le cadre d'un panel plus large de tests hormonaux et ne sont pas couramment utilisés comme un test unique pour diagnostiquer une condition spécifique.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

  • Il existe plusieurs types d'hémophilie en rapport avec le facteur de coagulation déficitaire : l'hémophilie A (« hémophilie classique ») correspond à une mutation du gène du facteur VIII, l'hémophilie B (ou Christmas disease) correspond à une mutation du gène du facteur IX, et l'hémophilie C (ou « maladie de Rosenthal ») correspond à une mutation du gène du facteur XI. (wikipedia.org)
  • Elles peuvent être héréditaires (hémophilie, maladie de von Willebrand), liées à une maladie (hépatique, rénale, infectieuse, troubles digestifs), causées par la prise de certains médicaments ou par une carence en vitamines. (chuv.ch)
  • Ils sont majoritairement diabétiques (90%), mais peuvent également être concernés par l'une des 21 autres pathologies (hépatite virale, arthrite, maladie de Parkinson ou encore hémophilie. (ville-creteil.fr)
  • Hémophilie A : Mutation du gène F8 du locus q28 du chromosome X codant le facteur VIII de coagulation. (wikipedia.org)
  • Un patient avec une hémophilie A sévère sous prophylaxie aura donc besoin de faire des injections intraveineuses 2 à 3 fois par semaine afin de maintenir un concentration active de facteur VIII. (medscape.com)
  • Hémophilie Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) L'hémophilie est une anomalie constitutionnelle de la coagulation sanguine en rapport avec un déficit d'un des facteurs de la coagulation. (wikipedia.org)
  • Hémophilie B : Mutation du gène F9 du locus q27 du chromosome X codant le facteur IX de coagulation. (wikipedia.org)
  • Dans de rares cas, une personne peut développer l'hémophilie plus tard dans sa vie - on parle alors d' hémophilie acquise , un trouble auto-immun plutôt qu'un trouble héréditaire de la coagulation. (wfh.org)
  • Les maladies génétiques sont habituellement regroupées en maladies monogéniques d'une part (hémoglobinopathies, mucoviscidose et hémophilie) et maladies chromosomiques de l'autre (trisomie 21, entre autres). (who.int)
  • Pour les patients qui présentent une hémophilie dite mineure soit un léger déficit en facteur, il est important de ne pas sous-estimer le risque de complication hémorragique en cas d'opération ou d'accident. (medipedia.be)
  • La grande différence entre une hémophilie sévère et une hémophilie mineure/modérée, est que les patients avec une forme sévère ont des hémorragies spontanées [fréquentes, observées notamment au niveau des articulations et des muscles]. (medscape.com)
  • La liste Leucémies Chroniques est plus volontiers destinée aux adultes atteints d'une leucémie chronique - lymphoïde ou myéloïde - ils pourront compléter leur inscription à cette liste par une inscription à Hem-Fr . (medicalistes.fr)
  • D'autres signaux sont encore en cours d'évaluation comme la survenue d'une polyarthite rhumatoïde, d'une hémophilie acquise, le syndrome de Parsonage Turner, la pseudo-polyarthrite rhizomélique, l'hépatite auto-immune et la surdité. (medscape.com)
  • Chez les patients avec une hémophilie A sévère, des inhibiteurs se développent dans 15 à 30 % des cas, comparativement à 5-10% chez ceux avec une hémophilie modérée]. (medscape.com)
  • Des philanthropes soutiennent les projets de l'asbl Extra Small, qui vise à renforcer le soutien aux enfants atteint de hémophilie et à leurs familles. (kbs-frb.be)
  • Aujourd'hui, lundi 17 avril, l'Association Française des Hémophiles (AFH) célèbre la journée mondiale de l' hémophilie . (hypotheses.org)
  • L' hémophilie A est la forme la plus courante. (wfh.org)
  • Hémophilie C : L'hémophilie C est un déficit en facteur XI. (wikipedia.org)
  • L'emicizumab est un anticorps bispécifique, capable de se lier simultanément au facteur IXa et au facteur X. Il a été récemment approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour prévenir ou réduire la fréquence des épisodes de saignements chez les patients adultes et enfants atteints d'une hémophilie A, ayant développé des inhibiteurs de facteur VIII. (medscape.com)
  • Des philanthropes soutiennent les projets de l'asbl Extra Small, qui vise à renforcer le soutien aux enfants atteint de hémophilie et à leurs familles. (kbs-frb.be)

Pas de images disponibles qui correspondent au "hémophilie a"