Maladies caractérisée par une dégénérescence sélective des neurones moteurs de la moelle épinière du tronc cérébral, ou cortex moteur, les sous-types sont distingués par le principal site de dégénérescence. Dans la sclérose latérale amyotrophique il y a atteinte de haut, plus bas, et du tronc cérébral neurones moteurs. Dans un muscle atrophié progressive et de syndromes myélodysplasiques (voir MUSCULAR atrophie, échoué) les neurones moteurs de la moelle épinière sont principalement affecté. Paralysie bulbaire progressive (avec paralysie bulbaire, suit le progrès), la dégénérescence initiale dans le tronc cérébral. Dans la sclérose latérale principal, l'épine neurones sont touchés en isolement. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1089)
Un groupe de lente progression sensoriel et moteur hérité troubles qui affectent des nerfs périphériques. Sous-types inclure HMSNs I-VII. HMSN I et II Charcot-Marie-Tooth maladie. Tous les 2 HMSN III d ’ expiration fait référence neuropathie hypertrophique de l'enfance. HMSN IV d ’ expiration fait référence REFSUM maladie. HMSN V se réfère à une maladie héréditaire marqué par un moteur et associée à une neuropathie sensitive paraplégie épileptique (voir SPASTIC paraplégie héréditaire). HMSN VI d ’ expiration fait référence HMSN associée à une maladie congénitale (atrophie du nerf optique s'atrophie, héréditaire), et HMSN VII d ’ expiration fait référence HMSN associée à une rétinite pigmentaire. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1343)
Les maladies de plusieurs des nerfs périphériques simultanément. Polyneuropathies habituellement symétrique, se caractérise par bilatérale sensoriel et moteur distal dépréciation, en noté aggravation distalement. Le processus pathologiques affectant des nerfs périphériques incluent une dégénerescence Axon, myéline ou les deux. Les différentes formes de polyneuropathie sont classés par le genre de courage affectée (ex : Sensorielle, moteur, ou autonome), par la distribution de lésion du nerf distal, vs. proximale (par exemple), principalement affecté par nerf composant (ex : Vs. axonale démyélinisation), par l'étiologie, ou par modèle d'héritage.
Immunoglobuline utilisé en perfusion intraveineuse, les préparations contenant principalement immunoglobuline G. Ils sont utilisés pour traiter de plusieurs maladies associées à des taux d ’ immunoglobuline réduite ou anormale incluant primaires, les soins pédiatriques HYPERGAMMAGLOBULINEMIA ; SCID ; infections chez les transplantés, leucémie lymphoïde chronique, CHRONIQUE ; la maladie de Kawasaki, une infection chez les nouveau-nés et purpura thrombocytopénique idiopathique.
La propagation du sang-froid IMPULSE long des nerfs loin du site d ’ une excitation stimulus.
Maladies des nerfs périphériques externes au cerveau et la moelle épinière, ce qui inclut les maladies des racines nerveuses, Paraganglions plexi, nerfs, nerfs sensoriels, et les nerfs moteurs.
Périphérique, troubles du nerf crânien et autonomes, qui sont associés aux DIABETES sucré. Ces conditions généralement le résultat de blessure microvasculaire diabétique impliquant un petit vaisseaux sanguins qui irriguent les nerfs (Vasa Nervorum). Relativement fréquentes certaines situations pouvant être associées à la neuropathie diabétique inclure troisième (voir un nerf trochléaire sang-froid maladies) ; mononeuropathie ; mononeuropathie multiplex ; diabétique amyotrophie ; une douloureuse polyneuropathie, neuropathie autonome ; et neuropathie thoracoabdominale. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1325)
Des neurones qui muscle activer des cellules.
Un certain monosialoganglioside anormalement qui s'accumule dans le système nerveux dû au déficit en entraînant GM1-b-galactosidase Gm1 gangliosidosis.
L ’ existence de réponses immunitaires à médiation humorale ou cellulaire principalement dirigée vers Affections du système autoantigens. La réponse immunitaire peut être orienté vers composantes tissulaire spécifique (par exemple, myéline) et peut être limitée au système nerveux central (par exemple, de multiples sclérose en plaques) ou le système nerveux périphérique (ex : Syndrome du Guillain Barre).
Héréditaire sensitive périphérique motrice et transmis plus souvent que dominante autosomique distal progressive caractéristique et caractérisé par perdre et perte des réflexes dans les muscles des jambes (et occasionnellement impliquant les bras). Surviennent généralement durant les deuxième, quatrième décénnie de vie. Cette condition est divisée en deux sous-types motrices et héréditaire sensitive périphérique (HMSN) de types I et II. HMSN je est associé à une vitesse de la conduction nerveuse anormale dans l ’ hypertrophie et le nerf n'est pas vu dans HMSN II. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1343)
Dysfonctionnement de blessure ou de maladies impliquant plusieurs des nerfs périphériques et racines nerveuses. Le processus pourrait affecter principalement myéline ou des axones. Deux des plus fréquents sont des formes polyradiculopathy inflammatoire démyélinisante aiguë (syndrome du Guillain Barre) et polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante CHRONIQUE. Polyradiculonévrite fait référence à une inflammation des nerfs périphériques et spinaux racines nerveuses.
Un agent antiarythmique qui exerce un potentiel... et c'est un bloc de frequency-dependent CHANNELS.
Un terme général neurone moteur intégré inférieures ; maladie PERIPHERAL maladies ; le système nerveux et certaines maladies. MUSCULAR inclure les signes de faiblesse ; fasciculation ; atrophie musculaire ; SPASM ; MYOKYMIA ; muscle hypertonie, myalgies, muscle et une hypotonie.
Les nerfs en dehors du cerveau et de la moelle épinière, y compris les autonomes, crâne et nerfs rachidiens. Des nerfs périphériques contiennent non-neuronal des cellules et du tissu conjonctif ainsi que axones. Le tissu conjonctif couches comprennent, de l'extérieur à l'intérieur, le epineurium, le perineurium, et le endoneurium.
Maladies caractérisé par la perte ou un dysfonctionnement de myéline dans le système nerveux central ou périphérique.
Une vague se plaignant de fatigue, faiblesse, épuisement ou faiblesse des différents muscles attribuables à la faiblesse peut être qualifié comme subaiguë ou chroniques, souvent, il sont une manifestation de beaucoup de muscles et les maladies neuromusculaires. (De Wyngaarden et al., Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p2251)
Protéines Hétérotrimériques protéine liée au GTP sous-unités qui soigneusement associé avec des protéines Liant Gtp BETA Subunits. Un dimère d ’ bêta et gamma sous-unités est formé quand la sous-unité alpha protéines Liant Gtp dissociée de la protéine liée au GTP complexes, et les heterotrimeric beta-gamma dimère peut jouer un rôle important dans la transduction des signaux en interagissant avec diverses seconde messagers.
Enregistrement de la variation entre potentiel électrique de muscle au moyen de surface ou aiguille électrodes.
La réponse électrique évoquée dans un muscle ou nerf moteur par stimulation électrique ou magnétique. Des méthodes communes de stimulations électriques et par stimulation vestibulaire MAGNETIC transcranienne, utilisé pour le suivi pendant la neurochirurgie.
Zone du lobe FRONTAL concerné par le contrôle moteur primaire situés dans la nageoire dorsale immédiatement antérieur à la partie frontale du sillon centrale. Elle est composée de trois domaines : Le cortex moteur primaire situé sur la face antérieure paracentral lobule sur l'ulna du cerveau ; premotor localisé le cortex antérieur au cortex moteur primaire ; et la région motrice complémentaire située sur la ligne médiane surface de l'hémisphère antérieur au cortex moteur primaire.
Le record de descente ou ascendance, en particulier de santé ou trait indiquant famille individuelle membres, leurs relations, et leur statut particulier ou ce qui concerne la condition.
L'activité physique d'un humain ou un animal comme un phénomène de comportement.
Une mutation dans lequel un codon est muté pour un en dirigeant l ’ incorporation de un autre acide aminé. Cette substitution peut entraîner une inactif ou instable produit. (De A Dictionary of Genetics, King & Stansfield, 5ème e)
Un groupe de troubles héréditaire, caractérisée par dégénérescence des cellules ganglionnaires racine dorsale et autonome, et cliniquement par perte de sensation et dysautonomie. Il y a cinq sous-types. Signes de type I autosomale dominante héritage et distales implication sensorielle. Type II est caractérisé par héritage autosomiques proximales et distales et perte de la sensibilité. Type III est dysautonomie, familial et signes de type IV insensibles à la douleur, la chaleur l'intolérance et la débilité mentale type V sélectif caractérise par une perte de la douleur avec intacte doucement et sensation vibratoires. (De Joynt Clinique neurologie, 1995, Ch51, pp142-4)
Optique ischémique blessure au sang-froid qui en affectant habituellement la Secrétaire, optique (neuropathie optique ischémique antérieure rétrobulbaire) et moins fréquemment, la portion du nerf, (neuropathie optique ischémique postérieure). La blessure résulte d ’ irrigation sanguine de l ’ occlusion artérielle qui peut résulter de l ’ athérosclérose artérite TEMPORAL maladies du collagène ; ; ; ; ; EMBOLISM DIABETES sucré et d ’ autres maladies. La maladie est sécrétée la sixième décennie ou plus tard et des cadeaux avec la survenue soudaine de indolore et généralement monoculaire de sévère perte visuelle. Une neuropathie optique ischémique antérieure non artéritique aussi disque optique avec un œdème microhemorrhages. Le disque optique semble normal dans une neuropathie optique ischémique postérieure. (Glaser, Neuro-Ophthalmology, 2e Ed, p135)
Une branche de l'innervation sensorielle nerf tibial qui fournit à des parties de la jambe et pied.
Protéines impliqué ni cause cellule MOUVEMENT (tels que les structures flagellar moteur rotatif) ou les structures dont le mouvement est dirigé sur cytoskeletal filaments (myosine ; kinésine ; et dynein moteur familles).
Maladie impliquant l'artère cubitale sang-froid de son origine dans le plexus BRACHIAL à son licenciement dans la main. Les signes cliniques peuvent inclure parésie ou PARALYSIS flexion, flexion du poignet doigt, doigt, pouce adduction l'enlèvement et doigt adduction. Sensation sur la malléole paume, cinquième doigt, et cubitale aspect de l'annulaire peut également être affectée. Fréquent sites de blessure incluent l'aisselle, cubital tunnel au coude et Guyon est canal au poignet. (De Joynt Clinique neurologie, 1995, Ch51 pp43-5)
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Maladie du parasympathique divisions des ou de compréhension le système nerveux autonome ; qui possède des composants situées sur le CENTRALE le système nerveux PERIPHERAL. Le système nerveux et troubles du système nerveux autonome peut être associée à hypothalamique maladies ; cerveau STEM ; colonne vertébrale maladies ; troubles et maladies. Le système nerveux PERIPHERAL manifestations comporter des altérations des fonctions végétatives y compris le maintien de la pression du sang ; UR TAUX ; élève fonction ; SWEATING ; REPRODUCTIVE ET urinaire PHYSIOLOGY ; et digestion.
Par des lésions du système nerveux périphérique (y compris les éléments périphériques) du système nerveux autonome est associé à l'ingestion chronique de boissons alcoolisées. La maladie peut être causée par un effet direct d'alcool, il existe un tel une carence nutritionnelle, ou une combinaison de facteurs. Les signes cliniques sont : Variable degrés de faiblesse, atrophie ; paresthésies, douleurs, perte des réflexes ; perte de la sensibilité ; hypersudation ; et une hypotension orthostatique. (De Arch Neurol 1995 ; 52 (1) : 45-51 ; Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1146)
Aïgues marqués dans le développement de coordination motrice telle que l'altération interfère avec ses activités quotidiennes. (De DSM-V)
Maladie impliquant la fémorale nerf. La fémorale nerf peut être blessé par une ischémie (par exemple, en association avec diabétique neuropathies), une compression nerveuse, traumatisme, maladies du collagène, et d'autres processus pathologique. Caractéristiques cliniques inclure de faiblesse ou de hanche PARALYSIS flexion et étendre le genou, atrophie du muscle quadriceps, une diminution ou une absence de réflexe rotulien et atteinte de antérieur et médian sensation sur la cuisse.
Un trouble génétique qui liée maternotoxiques cadeaux en aigu ou subaigu comme de la quarantaine vision centrale perte menant au central scotome ou la cécité. La maladie a été associée à des mutations du Sens ADNmt, dans les gènes pour Complex I, III et IV polypeptides, qui peut agir de façon autonome ou en association avec l'autre pour provoquer la maladie. (De Online Mendelian Mendel en l'Homme, http : / / www.ncbi.nlm.nih.gov / Omim / Mimmy # 535000 (17 avril 2001))
Maladie impliquant le nerf médian, de son origine au plexus BRACHIAL à son licenciement dans la main. Les signes cliniques incluent faiblesse de poignet et doigt flexion, avant-bras pronation, thenar enlèvement, et perte de sensation sur la malléole externe paume, 3 doigts, et radiales la moitié de l'annulaire. Fréquent sites de blessure inclure le coude, où le nerf traverse les deux têtes de pronateurs pronateurs le muscle (muscle) et syndrome du canal carpien (syndrome du tunnel carpien).
Conditions qui produisent blessure crânienne ou un dysfonctionnement de la seconde ou nerf optique, qui est généralement considéré comme un composant du système nerveux central. Des lésions des nerfs optiques peuvent survenir dans ou près de leur origine dans la rétine, à la disquette ou optique entre les nerfs, chiasma optique, ou geniculate latérale noyaux. Les signes cliniques peuvent inclure une diminution de l ’ acuité visuelle et la sensibilité aux contrastes, troubles de la vision des couleurs, et une anomalie pupillaires sensitifs.
L'acte, agis, ou que Bertha passe d'un endroit ou la position à l'autre. Elle est différente de LOCOMOTION dans la locomotion est limité au décès de tout le corps d'un endroit à l'autre, tant que mouvement englobe tous les deux locomotion mais également une modification de la position du corps entier ou un de ses parties. Mouvement peut être utilisé avec référence à l ’ homme, vertébrés et invertébrés micro-organismes. Différencier les animaux, et aussi de moteur parascolaire, mouvement associé au comportement.
Affections du système nerveux périphérique associée à la déposition de amyloïde, dans le tissu nerveux. Toutefois, primaire familiale (), et formes secondaires ont été décrits. Des formes polyarticulaires familiale démonstration d'un modèle autosomale dominante d'héritage. Les signes cliniques sont : Perte de la sensibilité, légère faiblesse, une dysautonomie, syndrome du tunnel carpien. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1349)
Un nerf qui est fabriqué dans les lombaires et niveau de la moelle épinière) (en L4 vers S3 et fournitures sensoriel et moteur innervation aux extrémités inférieures. Le nerf sciatique, qui est le prolongement du plexus, niveau est le plus gros nerf du corps. Il a deux succursales majeures, le courage du tibia péroné et le sang-froid.
Fibres nerveuses qui sont capables de pulsions rapidement mener loin du neurone cellule corps.
Conditions héréditaire cette fonctionnalité perte visuelle progressif en association avec d'atrophie optique. Relativement fréquentes formes inclure autosomale dominante d'atrophie optique (atrophie optique, c'est vous qui mangez autosomiques Leber héréditaire) et une atrophie optique, atrophie optique, œ dème (héréditaire, Leber).
Diagnostic de maladie états en enregistrant l'activité électrique spontané des tissus ou organes ou par la réponse à une stimulation de tissu nerveux électriquement.
Troubles de un ou plusieurs des nerfs crâniens douze à l'exception du optique et nerfs olfactifs, y compris troubles noyaux du tronc cérébral à partir de laquelle les nerfs crâniens originate ou en finir.
Neuropathies ulnaire mécanique causée par compression du nerf en tout lieu de son origine au plexus BRACHIAL à ses terminaisons dans la main. Fréquent sites de compression inclure le retroepicondylar groove cubital tunnel au coude (cubital), syndrome du tunnel et Guyon est canal au poignet. Caractéristiques cliniques compter sur le site de la lésion, mais peuvent inclure faiblesse ou paralysie flexion, flexion du poignet, et cubitale doigt innervated main intrinsèque et altération de muscles, sensation de l'artère cubitale aspect de la main, cinquième doigt, et cubitale la moitié de l'annulaire. (Joynt Clinique neurologie, 1995, Ch51, p43)
Maladie du système nerveux central et périphérique. Cela inclut nerveux du cerveau, moelle épinière, nerfs crâniens, des nerfs périphériques, racines nerveuses, système nerveux autonome, jonction neuromusculaire, et le muscle.
La coordination d'un sensoriel ideational (ou) processus cognitifs et une activité motrice.
Un gros nerf de l'extrémité supérieure. Chez les humains, les fibres du nerf ulnaire originate dans le bas et cervicale thoracique supérieure de la moelle épinière (habituellement C7 T1), voyagent grâce au cordon médiale du plexus brachial distribution et d ’ innervation sensoriels et moteurs à certaines parties de l'avant-bras.
Troubles de la sixième sens (soit vision ; audience ; goût ; et sentent) ou système somato-sensoriel (soit sensitifs PERIPHERAL composantes du système nerveux).
Méthodes et procédures de diagnostic de maladie du système nerveux central et périphérique, ou démonstration de fonctions neurologiques ou dysfonctions.
Maladie impliquant le sang-froid tibial ou ses succursales, les nerfs. Tibial superficielles et profondes lésions du nerf fibulaire profonde PARALYSIS sont associées à de la flexion de la cheville et les orteils et perte de sensation du web espace entre la première et deuxième orteil. Lésions du nerf sciatique superficiel entraîner faiblesse ou paralysie des muscles (qui tibial de retourner les pied) et perte de sensation sur la surface dorsal et latérale de la jambe... blessure traumatique au commun nerf fibulaire près de la tête du péroné est assez fréquent cause de cet état. (De Joynt Clinique neurologie, 1995, Ch51, P31)
Subjectif sensations cutanées (par exemple, froid, chaleur, picotements, la pression artérielle, etc.) qui sont provoqués spontanément en l'absence de stimulation.
Évaluation des réponses reçues et sensoriels et moteurs réflexes qui est utilisé pour déterminer une altération du système nerveux.
Mince processus de neurones, incluant les axones et leurs enveloppes gliales (myéline des nerfs). Il conduit des impulsions nerveuses to and from the CENTRALE le système nerveux.
Une mécanique microtubule-associated adénosine triphosphatase, qui utilise l'énergie d'ATP hydrolyse organites de déplacer le long de microtubules vers le plus fin de la protéine des microtubules. Le calamar est présent dans axoplasm lobes optique, et en bovine cerveau. Bovine heterotetramer kinésine est un composé de deux gros (120 kDa) et deux la lumière (62 kDa) chaînes. CE 3.6.1.-.
Spécialisé dans le processus de sensation transduce stimuli périphérique des récepteurs des cellules (physique ou chimique) dans sang-froid impulsions électriques qui sont ensuite transmis aux divers centres sensorielle CENTRALE le système nerveux.
Une colonne cylindrique de tissu qui réside dans le canal vertébral. Il est composé de blanc et gris d'importance.
La partie distale du bras au-delà du poignet chez les humains et les primates, ça inclut la paume, doigts, et le pouce.
Mécanique compression des nerfs ou des racines de causes internes ou externes. Ils peuvent entraîner un blocage de la conduction des impulsions nerveuses (dû à un dysfonctionnement il myéline) ou perte axonale. Du nerf et blessures gaine des nerfs peuvent être dues à une ischémie ; inflammation ou un effet de mécanique directe.
Tardifs lesquelles figure dyskinésies en tant que cardinal manifestation de la maladie. Inclus dans cette catégorie sont maladie dégénérative héréditaire, post-infectious, d'origine médicamenteuse, post-inflammatory et conditions post-traumatique.
La partie latérale du terminal deux branches du nerf sciatique. La (ou) nerf tibial péroné innervation sensoriel et moteur fournit à des parties de la jambe et pied.
Un gros nerf de l'extrémité supérieure. Chez l'homme, les fibres proviennent du nerf médian dans le bas et cervicale thoracique supérieure de la moelle épinière (habituellement C6 à T1), voyagent grâce au plexus brachial distribution et d ’ innervation sensoriels et moteurs à certaines parties du avant-bras la main.
Perte d'audition liée à une maladie des voies AUDITORY (dans le CENTRALE le système nerveux) qui sont originaires de la cochlée noyaux des Pons puis monter bilatéraux au MIDBRAIN, le thalamus, puis le cortex AUDITORY dans le lobe TEMPORAL. Lésions bilatérales des voies auditif sont habituellement nécessaire pour causer la perte d'audition. Centrale surdité corticale se réfère à perte d'audition due aux lésions cortex auditif bilatérale. Unilatérales portant sur les lésions STEM cerveau noyaux cochléaire peut entraîner une perte d'audition.
Le cortex branche terminale le nerf sciatique. Le nerf tibial fibres viennent de segments et niveau de la moelle lombaire (en L4 à S2). Ils fournissent innervation sensoriel et moteur à certaines parties du mollet et pied.
Une protéine qui représente plus de la moitié du système nerveux périphérique myéline de protéines. Le domaine extracellulaire de cette protéine est censé s'engager dans l'adhésif interactions et tiens donc la myéline membrane compact. Ça peut se comporter comme une molécule homophilic adhésion par interaction avec son domaine extracellulaire. (De J Cell Biol 1994 ; 126 (4) : 1089-97)
Maladie ou de lésions, incluant une sciatique sang-froid qui divise dans le tibia et péroné sang-froid sang-froid (voir également du tibia et péroné neuropathies neuropathie). Les signes cliniques peuvent inclure sciatique ou douleur localisée à la hanche, parésie ou PARALYSIS postérieure des cuisses et les muscles innervated par les nerfs du tibia et péroné, et perte de la sensibilité impliquant la cuisse latérales et postérieures postérieur et latéral jambe, et seul du pied. Le nerf sciatique peuvent être modifiés par un traumatisme ischémie maladies du collagène ; ; ; et autres conditions. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1363)
Une névrite auto-immune inflammatoire aiguë causée par T Cell- médié réponse immunitaire dirigée vers myéline. Démyélinisation périphérique se produit dans des nerfs périphériques et racines nerveuses. Le processus est souvent précédées par une infection virale ou bactérienne, la chirurgie, la vaccination, un lymphome, ou l'exposition aux toxines. Fréquent les signes cliniques inclure fatigue progressive, perte de sensation, et perte de réflexes tendineux. Faiblesse des muscles respiratoires peuvent survenir et une dysautonomie. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp1312-1314)
Le système nerveux en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Le système nerveux périphérique a autonome divisions et somatiques. Le système nerveux autonome, comprend les parasympathique entérique, et un sympathisant subdivisions. Le somatique Affections du système comprend les nerfs crâniens et rachidiens et leurs ganglions et les récepteurs sensoriels périphérique.
Multifocale alitement ou une neuropathie périphérique liées à la télécommande effets d'une tumeur, le plus souvent un carcinome parathyroïdien ou un lymphome. Pathologiquement, il y a des modifications inflammatoires dans des nerfs périphériques. Les manifestations les plus fréquentes présentation est un mélange distal symétriques sensorimotor polyneuropathie. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1334)
Le temps entre le début d'un stimulus jusqu'à une réponse est observée.
Hérité des troubles du système nerveux périphérique associée à la déposition de amyloïde, dans différents tissus. Les différentes formes cliniques basées sur les symptômes correspondent à la présence de toute une série de mutations sur plusieurs différentes protéines incluant transthyretin (PREALBUMIN) ; l ’ apolipoprotéine A-I ; et GELSOLIN.
Douleurs lancinantes intense douleur survenant pendant la course ou distribution du périphérique ou nerf crânien.
Maladie du sang-froid tibiale (également appelé le nerf tibial postérieur). Le plus fréquemment associé état est le syndrome du tunnel tarsal. Cependant, jambe blessures ; et inflammatoire ; ischémie (ex : Maladies du collagène) peuvent également sur le nerf. Les signes cliniques inclure PARALYSIS plantaire cheville inversion de flexion, flexion et orteil ainsi que perte de sensation sur la semelle des pieds. (De Joynt Clinique neurologie, 1995, Ch51, p32)
Un sous-groupe de le muscle strié attaché par les tendons pour atteindre le squelette. Les muscles squelettiques sont innervated et leur mouvement peut être consciemment contrôlée. Ils les appelle aussi des muscles volontaires.
Utilisation de potentiel électrique pour obtenir les réponses biologiques ou des courants.
Atrophie du disque optique qui peuvent être congénitaux ou acquis. Cet état indique une déficience du nombre de fibres nerveuses inhérents au RETINA et convergent pour former le Secrétaire Général optique optique sang-froid chiasma optique ; ; ; ; tracts. Et une ischémie chronique ; inflammation, une élévation de la pression intracrânienne, toxines, compression du nerf optique, et a hérité de conditions (voir optique s'atrophie, héréditaire) sont relativement fréquentes causes de cet état.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
La propagation de la réponse si la stimulation est prolongée. (Campbell est Psychiatric Dictionary, 8e ed.)
Processus pathologiques du Vestibulocochlear sang-froid dont les branches de culot, culot cochléaire et stimulation est-ce névrite stimulation, névrite cochléaire et névrome acoustique. Les signes cliniques sont différents degré d'audience perte ; VERTIGO ; et des acouphènes.
Neuroglial cellules du système nerveux périphérique qui forment la gaines de myéline isolant axones périphériques.
Perte d ’ activité fonctionnelle et une dégénérescence trophiques de culot des arborisations axons, et leur fin après la destruction de leur cellule d'origine ou une interruption de la continuité avec ces cellules. La pathologie est caractéristique des maladies neurodégénérative. Souvent le processus de dégénérescence nerveuse est étudié dans des recherches sur la localisation et neuroanatomical corrélation de la neurophysiologie de voies neurales.
Fréquent pied problèmes chez les personnes ayant DIABETES sucré, provoquée par une combinaison de facteurs tels que diabétique neuropathies ; PERIPHERAL VASCULAR maladies ; et l'équipe avec la perte de sensation et mauvaise circulation, blessures sévères et infections mènent souvent à pied, ulcérations et GANGRENE AMPUTATION.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
L'extrémité distale de la jambe aux vertébrés, composé des tarse (cheville) ; métatarse ; phalanges ; et les tissus mous autour de ces os.
La meilleure partie de l'extrémité supérieure entre l'épaule et le coude.
Altération de la capacité à effectuer sans heurt coordonné les mouvements volontaires. Cette réaction peut affecter les membres, coffre, yeux, du pharynx, larynx, et les autres structures. Ataxie peut résulter de la fonction motrice ou sensorielle détériorée. Sensitive ataxie peut résulter de la colonne postérieure PERIPHERAL sang-froid blessures ou maladies. Moteur ataxie Cérébelleuse peut être associé à des maladies ; ; cortex CEREBRAL maladies maladies thalamique ; BASAL ganglions maladies ; blessure au noyau rouge ; et d'autres maladies.

Les maladies du motoneurone sont un groupe de troubles neurologiques qui affectent les neurones moteurs, qui sont les cellules nerveuses responsables de contrôler la fonction musculaire. Il existe deux types principaux de motoneurones : les neurones supérieurs, situés dans le cortex cérébral, et les neurones inférieurs, situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral.

Les maladies du motoneurone peuvent affecter un ou les deux types de motoneurones. Les symptômes dépendent du type et de l'étendue de la lésion nerveuse, mais ils comprennent généralement une faiblesse musculaire progressive, des crampes et des fasciculations (contractions musculaires involontaires), une atrophie musculaire, des troubles de la déglutition et de la parole, et une perte de réflexes tendineux.

Les exemples les plus courants de maladies du motoneurone sont la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la sclérose latérale primaire (SLP) et la paralysie supranucléaire progressive (PSP). La SLA est une maladie dégénérative grave qui affecte à la fois les motoneurones supérieurs et inférieurs, entraînant une faiblesse musculaire généralisée, des difficultés de déglutition et de respiration, et finalement une paralysie complète. La SLP et la PSP sont des maladies qui affectent principalement les motoneurones supérieurs et entraînent une perte progressive des réflexes tendineux, des troubles de la déglutition et de la parole, ainsi qu'une rigidité musculaire.

Les causes des maladies du motoneurone sont inconnues dans la plupart des cas, bien que certaines formes héréditaires aient été identifiées. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour ces maladies, bien que certains médicaments puissent soulager les symptômes et ralentir la progression de la maladie dans certains cas.

Hereditary Sensory and Motor Neuropathy (HSMN) est un groupe de troubles héréditaires du système nerveux périphérique qui affectent à la fois les nerfs sensoriels et moteurs. Il existe plusieurs types de HSMN, chacun ayant des caractéristiques et des modes de transmission génétique différents. Les symptômes communs incluent une perte de sensation, en particulier dans les pieds et les jambes, une faiblesse musculaire progressive, des problèmes d'équilibre et de coordination, ainsi que des déformations osseuses dans certains cas. La gravité et l'âge d'apparition des symptômes peuvent varier considérablement selon le type de HSMN. Les traitements visent généralement à gérer les symptômes et à prévenir les complications, tels que les soins de la peau pour prévenir les plaies et les infections, l'utilisation d'appareils orthopédiques pour soutenir les membres affaiblis, et la physiothérapie pour maintenir la force musculaire et la mobilité.

Les polyneuropathies sont des affections médicales qui affectent simultanément plusieurs nerfs périphériques du corps. Ces nerfs, qui se trouvent en dehors du cerveau et de la moelle épinière, sont responsables de la transmission des signaux sensoriels, moteurs et autonomes vers et depuis différentes parties du corps.

Dans les polyneuropathies, ces nerfs fonctionnent mal ou sont endommagés, ce qui entraîne une variété de symptômes. Les symptômes courants comprennent des picotements, des engourdissements, des douleurs, des faiblesses musculaires et une perte d'équilibre ou de coordination. Ces symptômes peuvent affecter les mains, les pieds, les bras, les jambes et d'autres parties du corps.

Les polyneuropathies peuvent être causées par un large éventail de facteurs, notamment le diabète, l'alcoolisme, les infections, les troubles auto-immuns, les expositions chimiques, les carences nutritionnelles et certains médicaments. Dans certains cas, la cause sous-jacente des polyneuropathies ne peut être identifiée, ce qui est connu sous le nom de polyneuropathie idiopathique.

Le traitement des polyneuropathies dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, des changements de mode de vie, une gestion des maladies sous-jacentes et, dans certains cas, des thérapies physiques ou occupationnelles.

L'immunoglobuline voie intraveineuse (IgIV) est une préparation thérapeutique d'anticorps protecteurs, dérivée du plasma sanguin humain. Elle est administrée par voie intraveineuse pour fournir une immunité passive contre certaines infections et maladies. L'IgIV contient des anticorps dirigés contre divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les toxines, offrant ainsi une protection temporaire contre ces menaces.

Ce traitement est généralement utilisé pour prévenir ou traiter les infections chez les personnes présentant un déficit immunitaire primitif ou acquis, telles que le déficit en immunoglobuline, le syndrome des neutrophiles dysfonctionnels, l'infection à VIH, les greffés d'organes solides et les patients atteints de certains types de cancer.

L'IgIV est également employée dans la prise en charge de diverses affections auto-immunes et inflammatoires, comme le syndrome de Guillain-Barré, le syndrome myasthénique grave, le purpura thrombocytopénique idiopathique et la polyarthrite rhumatoïde. En outre, elle peut être utilisée pour traiter les réactions indésirables à la transfusion sanguine et pour prévenir les infections chez les personnes exposées à des agents pathogènes spécifiques, comme l'hépatite A.

Les effets secondaires courants de l'IgIV comprennent des réactions allergiques légères à modérées, des maux de tête, des nausées, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une augmentation transitoire des taux sériques d'alanine aminotransférase (ALT). Dans de rares cas, l'IgIV peut provoquer des réactions anaphylactiques graves, une thrombose veineuse et une insuffisance cardiaque congestive. Par conséquent, il est crucial que les professionnels de la santé surveillent attentivement les patients recevant ce traitement et ajustent la posologie en fonction des besoins individuels.

La conduction nerveuse est le processus par lequel un stimulus ou un signal électrique est transmis le long d'un neurone (cellule nerveuse) ou d'un faisceau de neurones. Ce processus permet la communication entre différentes parties du système nerveux et joue un rôle crucial dans la coordination des fonctions corporelles, telles que la sensation, le mouvement, les émotions et la pensée.

La conduction nerveuse se produit grâce à des changements dans la perméabilité membranaire qui permettent aux ions de traverser la membrane cellulaire. Lorsqu'un neurone est stimulé, une petite quantité d'ions sodium (Na+) traverse la membrane cellulaire, ce qui entraîne un changement de charge électrique et déclenche l'ouverture de canaux ioniques supplémentaires. Cela permet à un plus grand nombre d'ions Na+ de pénétrer dans le neurone, créant ainsi un potentiel d'action qui se propage le long de la membrane cellulaire jusqu'à atteindre l'extrémité du neurone.

Une fois que le potentiel d'action atteint l'extrémité du neurone, il déclenche la libération de neurotransmetteurs qui peuvent traverser la fente synaptique et se lier à des récepteurs situés sur une autre cellule nerveuse. Cela permet de transmettre le signal électrique d'un neurone à l'autre, ce qui permet la communication entre différentes parties du système nerveux.

La conduction nerveuse peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies neurologiques, les traumatismes, les toxines et les médicaments. Des anomalies dans la conduction nerveuse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des engourdissements, des picotements, des faiblesses musculaires, des douleurs neuropathiques et des troubles sensoriels.

Les neuropathies périphériques sont des conditions médicales qui affectent le système nerveux périphérique, c'est-à-dire les nerfs en dehors de la moelle épinière et du cerveau. Ces nerfs sont responsables de la transmission des informations entre le cerveau, la moelle épinière et le reste du corps, contrôlant ainsi les mouvements musculaires, la sensation et l'activité automatique telle que la digestion et la régulation de la pression artérielle.

Les neuropathies périphériques peuvent affecter un seul nerf (neuropathie mononeuropathique) ou plusieurs nerfs à la fois (neuropathie polyneuropathique). Les symptômes dépendent du type et de l'étendue des nerfs touchés, mais ils peuvent inclure une douleur brûlante ou piquante, des picotements, des engourdissements, une faiblesse musculaire, une perte de réflexes et une sensibilité réduite ou augmentée à la chaleur, au froid ou à la douleur.

Les neuropathies périphériques peuvent être causées par un certain nombre de facteurs, notamment le diabète, les infections, les traumatismes, l'exposition à des toxines, une carence en vitamines, une maladie auto-immune, une tumeur ou une maladie génétique. Dans certains cas, la cause peut être inconnue, ce qui est appelé neuropathie idiopathique.

Le traitement des neuropathies périphériques dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments pour soulager la douleur, des changements dans le mode de vie, une physiothérapie et, dans certains cas, une intervention chirurgicale. Dans les cas graves ou persistants, un traitement plus spécialisé peut être nécessaire.

Les neuropathies diabétiques se réfèrent à des lésions nerveuses qui surviennent comme complications du diabète sucré, lorsque les niveaux de glucose dans le sang sont anormalement élevés pendant une période prolongée. Ces neuropathies peuvent affecter différents types de nerfs dans tout le corps, entraînant une variété de symptômes selon la région touchée.

On distingue généralement plusieurs types de neuropathies diabétiques :

1. Neuropathie sensitive périphérique : C'est la forme la plus courante de neuropathie diabétique. Elle affecte principalement les nerfs sensoriels des extrémités, en particulier les pieds et les mains. Les symptômes incluent des picotements, des engourdissements, une sensation de brûlure, des douleurs lancinantes ou des crampes dans ces régions. Dans certains cas, la perte de sensibilité peut être telle que des blessures aux pieds peuvent passer inaperçues, ce qui peut conduire à des infections graves et même à l'amputation dans les cas sévères.

2. Neuropathie autonome : Ce type de neuropathie affecte le système nerveux autonome, responsable du contrôle involontaire des fonctions corporelles telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la digestion et la température corporelle. Les symptômes peuvent inclure des étourdissements ou des évanouissements lors du passage de la position assise à debout (orthostatique), une hypotension orthostatique, des problèmes de vidange gastrique, des diarrhées ou constipations, des troubles de la vessie entraînant des infections récurrentes, et dans certains cas, une érection douloureuse ou difficile (dysfonction érectile).

3. Neuropathie proximale : Aussi appelée amyotrophie diabétique, elle affecte les nerfs des membres supérieurs et inférieurs, provoquant une faiblesse musculaire, une atrophie et des douleurs. Les symptômes comprennent généralement une douleur profonde dans les hanches, les fesses, les cuisses et les mollets, ainsi qu'une démarche boiteuse due à la faiblesse musculaire.

4. Neuropathie focale : Ce type de neuropathie affecte un seul nerf ou un groupe de nerfs, provoquant des symptômes tels que douleur, engourdissement, picotements ou faiblesse dans la zone touchée. Les exemples incluent le syndrome du canal carpien, qui affecte le nerf médian au poignet, et le névralgie post-herpétique, une complication de l'herpès zoster (zona) qui peut causer des douleurs sévères et persistantes dans la région touchée.

Il est important de noter que tous les patients atteints de diabète ne développeront pas une neuropathie, mais le risque augmente avec une mauvaise gestion de la glycémie et la durée du diabète. Les médecins recommandent donc un contrôle strict de la glycémie pour prévenir ou retarder l'apparition de complications liées au diabète, y compris la neuropathie.

Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.

La ganglioside Gm1 est un type spécifique de ganglioside, qui est une glycosphingolipide complexe trouvée dans la membrane des neurones du système nerveux central. Les gangliosides sont des molécules importantes pour l'organisation et la fonction de la membrane cellulaire.

La ganglioside Gm1 est composée d'un résidu de céramide, qui est un lipide, et d'un oligosaccharide complexe qui contient plusieurs sucres différents, dont le sialic acid. La structure spécifique de la ganglioside Gm1 comprend un résidu de galactose, un résidu de N-acétylgalactosamine, deux résidus de galactose, et quatre résidus de sialic acid.

La ganglioside Gm1 est importante pour la fonction neuronale normale et a été étudiée dans le contexte de diverses maladies neurologiques, y compris les maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer. Des anomalies dans la distribution et l'expression des gangliosides, y compris la ganglioside Gm1, ont été observées dans ces maladies, ce qui suggère qu'elles peuvent jouer un rôle dans leur pathogenèse.

La ganglioside Gm1 est également un récepteur pour certaines bactéries pathogènes, y compris les bactéries responsables de la méningite à méningocoque et d'autres infections bactériennes graves. Ces bactéries peuvent se lier à la ganglioside Gm1 sur la surface des neurones, ce qui peut contribuer à leur capacité à traverser la barrière hémato-encéphalique et à provoquer une infection du système nerveux central.

Les maladies auto-immunes du système nerveux sont un groupe de troubles dans lesquels le système immunitaire de l'organisme attaque par erreur la substance ou le revêtement des nerfs, entraînant une inflammation et une dégradation des tissus nerveux. Ces maladies peuvent affecter diverses parties du système nerveux, y compris le cerveau, les nerfs crâniens, la moelle épinière et les nerfs périphériques.

Les exemples de ces maladies comprennent la sclérose en plaques (SEP), où le revêtement protecteur des nerfs (la gaine de myéline) est attaqué; la polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (CIDP), qui affecte les nerfs périphériques; et le syndrome de Guillain-Barré, une maladie rare mais grave qui provoque une inflammation des nerfs périphériques.

Les symptômes de ces maladies dépendent de la partie du système nerveux qui est affectée, mais peuvent inclure des faiblesses musculaires, des picotements, des engourdissements, une perte de sensation, des problèmes de coordination et d'équilibre, des mouvements incontrôlables, des troubles visuels et cognitifs.

Le traitement de ces maladies dépend du type spécifique et peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs, des plasmaphèreses, des échanges d'immunoglobulines et des thérapies ciblant spécifiquement la réponse auto-immune. La physiothérapie, l'ergothérapie et les modifications de style de vie peuvent également être recommandées pour aider à gérer les symptômes.

La maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT) est une neuropathie héréditaire qui affecte principalement les nerfs périphériques, c'est-à-dire ceux en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Elle est nommée d'après les trois médecins qui l'ont décrite pour la première fois : Jean-Martin Charcot, Pierre Marie et Howard Henry Tooth.

CMT se caractérise par une combinaison de faiblesse musculaire et d'atrophie (diminution du volume musculaire) affectant principalement les membres inférieurs mais aussi, dans certains cas, les membres supérieurs. Les symptômes typiques comprennent des pieds creux, une démarche ébrieuse, une perte de réflexes tendineux profonds et une diminution de la sensation, en particulier dans les extrémités inférieures.

La maladie est causée par des mutations génétiques qui entraînent une anomalie de la structure ou de la fonction des nerfs périphériques. Il existe plusieurs types de CMT, chacun ayant des causes génétiques différentes et des tableaux cliniques variés. Les formes les plus courantes sont les types 1 et 2, qui se distinguent par la vitesse de conduction nerveuse. Dans le type 1, la vitesse est réduite, tandis que dans le type 2, elle est normale ou légèrement réduite.

Le diagnostic de CMT repose généralement sur l'examen clinique, les antécédents familiaux et les résultats des tests nerveux, tels que la vitesse de conduction nerveuse et l'électromyogramme (EMG). La confirmation du diagnostic peut nécessiter une analyse génétique pour identifier la mutation spécifique responsable.

Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la CMT, mais des options de prise en charge peuvent être proposées pour soulager les symptômes et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes. Ces options comprennent la physiothérapie, l'orthopédie, les appareils orthétiques et, dans certains cas, la chirurgie.

La polyradiculonévropathie est un terme médical qui décrit une affection des nerfs périphériques dans laquelle il y a une inflammation et une dégénération simultanées des racines nerveuses et des nerfs périphériques. Cette condition affecte généralement les deux côtés du corps et peut entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des picotements, des engourdissements, une faiblesse musculaire et une perte de réflexes tendineux.

Les polyradiculonévropathies peuvent être causées par divers facteurs, notamment des infections virales ou bactériennes, des maladies auto-immunes, des troubles métaboliques, des expositions toxiques et certains médicaments. Le traitement de la polyradiculonévropathie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des corticostéroïdes, des immunoglobulines intraveineuses, des plasmaphérèses ou d'autres thérapies spécifiques à la maladie. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la compression nerveuse.

La tocainide est un antiarythmique de classe Ic, utilisé dans le traitement des troubles du rythme cardiaque, en particulier les tachycardies ventriculaires. Il agit en ralentissant la conduction nerveuse dans le cœur, ce qui permet de contrôler les battements cardiaques irréguliers.

Ce médicament est disponible sous forme de comprimés et doit être prescrit par un médecin. Les effets secondaires courants peuvent inclure des nausées, des étourdissements, des maux de tête et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut provoquer des troubles du foie, des poumons ou des reins.

Il est important de noter que la tocainide peut allonger l'intervalle QT, ce qui peut entraîner des arythmies graves et même mortelles dans certains cas. Par conséquent, elle ne doit être prescrite qu'aux patients présentant un risque acceptable d'arythmie et sous surveillance médicale étroite.

Les maladies neuromusculaires sont un groupe divers de conditions qui affectent la fonction nerveuse et musculaire. Elles se produisent lorsque les nerfs qui contrôlent les muscles (motoneurones) ou ceux qui transmettent les sensations vers le cerveau (neurones sensoriels) ne fonctionnent pas correctement.

Cela peut entraîner une faiblesse, une paralysie, des crampes, des tremblements, des problèmes de coordination et d'équilibre, ainsi que des troubles sensoriels tels que la perte de réflexes, la sensation de picotements ou l'engourdissement.

Certaines maladies neuromusculaires sont héréditaires, tandis que d'autres peuvent être causées par des infections, des traumatismes, des tumeurs, des intoxications ou des processus dégénératifs liés à l'âge. Les exemples incluent la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la dystrophie musculaire de Duchenne, la myasthénie grave, la neuropathie périphérique et la sclérose en plaques.

Le traitement dépend du type spécifique de maladie neuromusculaire et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une assistance respiratoire ou d'autres soins de soutien. Dans certains cas, des interventions chirurgicales peuvent être nécessaires pour corriger des problèmes structurels ou soulager les symptômes.

Les nerfs périphériques sont les parties du système nerveux qui se trouvent en dehors du cerveau et de la moelle épinière, qui constituent le système nerveux central. Ils forment un réseau complexe de fibres nerveuses qui transmettent des signaux entre le système nerveux central et les organes, les muscles et la peau.

Les nerfs périphériques sont responsables de la collecte d'informations sensorielles à partir du corps, telles que la douleur, le toucher, la température et la position des membres, et de les transmettre au cerveau pour traitement. Ils transportent également les signaux moteurs du cerveau aux muscles pour contrôler les mouvements volontaires et involontaires.

Les nerfs périphériques peuvent être classés en deux types principaux : les nerfs sensoriels, qui transmettent des informations sensorielles au cerveau, et les nerfs moteurs, qui transportent des signaux moteurs vers les muscles. Les nerfs mixtes contiennent à la fois des fibres nerveuses sensorielles et motrices.

Les dommages aux nerfs périphériques peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une perte de sensation dans certaines parties du corps. Les causes courantes de dommages aux nerfs périphériques comprennent les traumatismes, les infections, les maladies auto-immunes, le diabète et l'exposition à des toxines environnementales.

Les maladies démyélinisantes sont un groupe de troubles neurologiques qui affectent la gaine de myéline entourant les nerfs du système nerveux central et périphérique. La myéline est une substance grasse protectrice qui permet des impulsions électriques rapides et efficaces le long des nerfs. Lorsque cette gaine est endommagée ou détruite, la transmission des signaux nerveux est interrompue, entraînant une variété de symptômes neurologiques.

La sclérose en plaques (SEP) est l'exemple le plus courant de maladie démyélinisante. D'autres exemples incluent la neuromyélite optique, la sclérose en plaques associée à la thyréoperoxydase, les neuropathies périphériques inflammatoires démyélinisantes et les leucoencéphalopathies.

Les symptômes des maladies démyélinisantes peuvent varier considérablement en fonction de la gravité et de l'emplacement de la lésion myélinique. Ils peuvent inclure des engourdissements ou des picotements, une faiblesse musculaire, des problèmes de coordination et d'équilibre, des troubles visuels, des changements cognitifs et émotionnels, et dans les cas graves, la paralysie.

Le traitement des maladies démyélinisantes vise généralement à réduire l'inflammation, à gérer les symptômes et à ralentir la progression de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, des immunomodulateurs ou des immunosuppresseurs pour supprimer le système immunitaire et prévenir les dommages supplémentaires à la myéline. La physiothérapie, l'ergothérapie et d'autres thérapies de soutien peuvent également être utiles pour gérer les symptômes et améliorer la qualité de vie.

La faiblesse musculaire est un symptôme commun où il y a une réduction significative de la force et de l'endurance musculaires. Cette condition peut affecter un muscle ou un groupe de muscles. La faiblesse musculaire peut être causée par divers facteurs, tels que des troubles neuromusculaires, des maladies métaboliques, des traumatismes, des infections ou des effets secondaires de médicaments. Les symptômes peuvent inclure une difficulté à soulever des objets, une fatigue musculaire rapide, une démarche instable et des chutes fréquentes. Le diagnostic implique généralement un examen physique complet, y compris des tests de force musculaire, et peut nécessiter des examens complémentaires tels que des électromyogrammes (EMG) ou des biopsies musculaires pour identifier la cause sous-jacente. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la faiblesse musculaire.

Les sous-unités gamma de la protéine de liaison au GTP, également connues sous le nom de protéines Gγ, sont des sous-unités régulatrices de certaines protéines G hétérotrimériques. Ces protéines jouent un rôle crucial dans la transduction des signaux cellulaires, en particulier ceux qui impliquent les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG).

Les protéines G sont composées de trois sous-unités: alpha (Gα), bêta (Gβ) et gamma (Gγ). Les sous-unités Gγ forment un complexe stable avec les sous-unités Gβ, et ensemble, ils fonctionnent comme une seule entité. Ces deux sous-unités sont liées de façon permanente par des liaisons dissulfures et des interactions hydrophobes.

Lorsqu'un ligand se lie à un RCPG, il provoque un changement conformationnel dans la sous-unité Gα, ce qui entraîne la libération de la sous-unité GDP liée et l'échange avec une molécule de GTP. Cette conversion active permet à la sous-unité Gα d'interagir avec les sous-unités Gβγ dissociées, ce qui entraîne l'activation d'une cascade de réactions en aval et la transduction du signal dans la cellule.

Les sous-unités gamma de la protéine de liaison au GTP sont des protéines à domaine alpha-helice, et elles possèdent un site de liaison au lipide qui permet leur ancrage à la membrane plasmique. Il existe plusieurs isoformes de sous-unités gamma, chacune ayant des rôles spécifiques dans différents types de transduction de signaux cellulaires.

L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.

L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.

L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.

L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.

Le cortex moteur est la région du cerveau située dans la partie postérieure du lobe frontal, qui est responsable de la planification, l'initiation, l'exécution et le contrôle des mouvements volontaires du corps. Il est divisé en plusieurs zones, y compris le cortex précentral ou l'aire motrice primaire, qui est directement liée aux muscles squelettiques via les neurones de Betz. Le cortex moteur reçoit des informations des autres régions du cerveau, telles que le cortex sensoriel et les noyaux gris centraux, et intègre ces informations pour produire des mouvements coordonnés et précis. Les dommages au cortex moteur peuvent entraîner une variété de troubles moteurs, tels que la paralysie, la faiblesse musculaire, l'ataxie et les tremblements.

En termes médicaux, la généalogie est l'étude systématique des antécédents familiaux et médicaux d'une personne ou d'une famille sur plusieurs générations. Elle vise à identifier les modèles de maladies héréditaires ou génétiques dans une famille, ce qui peut aider à évaluer le risque de développer certaines affections et à mettre en œuvre des stratégies de prévention et de dépistage appropriées.

Les professionnels de la santé utilisent souvent des arbres généalogiques pour représenter visuellement les relations familiales et les antécédents médicaux. Ces outils peuvent être particulièrement utiles dans la pratique clinique, en particulier lorsqu'il s'agit de maladies rares ou complexes qui ont tendance à se produire dans certaines familles en raison de facteurs génétiques sous-jacents.

En plus d'être un outil important pour la médecine préventive, la généalogie peut également fournir des informations précieuses sur l'histoire naturelle de diverses maladies et conditions, ce qui contribue à faire progresser notre compréhension globale de la pathogenèse et de la physiopathologie. Par conséquent, elle joue un rôle crucial dans la recherche médicale et les soins cliniques.

L'activité motrice est une expression utilisée en médecine et en sciences du mouvement pour décrire toute forme de mouvement ou d'action musculaire qui contribue à la fonction et à la mobilité du corps. Elle peut inclure des mouvements volontaires et involontaires, tels que la marche, la course, les étirements, les réflexes et les micromouvements qui se produisent pendant le sommeil ou dans les organes internes.

L'activité motrice est régulée par un complexe système de contrôle comprenant le cerveau, la moelle épinière, les nerfs périphériques et les muscles squelettiques. Les messages nerveux sont transmis entre ces structures pour coordonner les mouvements et maintenir l'équilibre et la posture.

Des problèmes de santé tels que des lésions de la moelle épinière, des accidents vasculaires cérébraux, des maladies neurodégénératives et des troubles musculo-squelettiques peuvent affecter l'activité motrice, entraînant une perte de fonction et de mobilité. La réhabilitation et la thérapie physique sont souvent utilisées pour aider à rétablir ou à améliorer l'activité motrice chez les personnes atteintes de ces conditions.

Une mutation « faux sens » (ou missense mutation) est un type de mutation génétique où une seule paire de bases dans l'ADN est modifiée, ce qui entraîne le remplacement d'un acide aminé par un autre dans la protéine codée par ce gène. Cela peut altérer la fonction, la structure ou la stabilité de la protéine, dépendant de la position et de l'importance de l'acide aminé remplacé. Dans certains cas, ces mutations peuvent entraîner des maladies génétiques ou prédisposer à certaines conditions médicales. Toutefois, il est important de noter que toutes les mutations faux sens ne sont pas nécessairement pathogènes et que leur impact sur la santé dépend du contexte dans lequel elles se produisent.

Les neuropathies héréditaires sensitives et autonomes sont un groupe de troubles neurologiques héréditaires qui affectent principalement les nerfs sensoriels et automatiques. Ces nerfs sont responsables de la transmission des sensations telles que la douleur, le chaud, le froid, le toucher et la vibration, ainsi que de la régulation des fonctions automatiques du corps telles que la pression artérielle, la température corporelle et la digestion.

Les symptômes courants de ces neuropathies comprennent des picotements, des engourdissements, une perte de sensation, des douleurs brûlantes ou lancinantes dans les mains et les pieds, une faiblesse musculaire, des problèmes d'équilibre et de coordination, ainsi que des problèmes digestifs, cardiovasculaires et urinaires.

Les neuropathies héréditaires sensitives et autonomes peuvent être causées par des mutations génétiques qui affectent la production ou la fonction des protéines nécessaires au bon fonctionnement des nerfs sensoriels et automatiques. Ces troubles peuvent être présents à la naissance ou se développer plus tard dans la vie, en fonction du type de neuropathie héréditaire sensitive et autonome.

Le diagnostic de ces neuropathies est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen neurologique complet, de tests de conduction nerveuse et d'une biopsie nerveuse. Le traitement dépend du type et de la gravité de la neuropathie et peut inclure des médicaments pour soulager la douleur, des thérapies physiques et occupationnelles pour aider à maintenir la fonction musculaire et prévenir les chutes, ainsi que des modifications du mode de vie pour gérer les symptômes.

La neuropathie optique ischémique (NOI) est un terme médical qui décrit une condition caractérisée par une insuffisance sanguine vers le nerf optique, entraînant une altération de la vision. Il existe deux types principaux de NOI : l'ischémie antérieure et l'ischémie postérieure.

L'ischémie antérieure non artéritique (NA-NOI) est le type le plus courant, qui survient lorsqu'il y a une insuffisance sanguine dans les vaisseaux sanguins nourriciers du nerf optique. Cela peut entraîner des symptômes tels qu'une perte de vision soudaine ou progressive, une douleur oculaire, une altération des couleurs et une diminution du champ visuel. Les facteurs de risque comprennent le diabète, l'hypertension artérielle, la maladie cardiovasculaire et les troubles hématologiques.

L'ischémie postérieure (PO-NOI) est plus rare et se produit lorsqu'il y a une insuffisance sanguine dans les vaisseaux sanguins qui alimentent la rétine. Cela peut entraîner des symptômes tels qu'une perte de vision centrale ou périphérique, une altération des couleurs et une diminution du champ visuel. Les facteurs de risque comprennent l'athérosclérose, l'hypertension artérielle, la maladie cardiovasculaire et les troubles hématologiques.

Dans certains cas, la neuropathie optique ischémique peut être un symptôme d'une maladie sous-jacente plus grave, telle qu'une artériopathie des membres inférieurs ou une maladie auto-immune. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes de neuropathie optique ischémique pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Le nerf sural est un nerf sensitif situé dans la partie postérieure de la jambe. Il fournit des sensations cutanées à la région externe de la cheville et du pied, y compris la peau sur le dessus du cinquième métatarsien et les orteils latéraux. Le nerf sural est formé par deux branches nerveuses : la branche commune du nerf fibulaire superficiel et la branche terminale du nerf saphène. Ces deux branches se rejoignent pour former le tronc du nerf sural, qui se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf cutané dorsal externe et le nerf cutané latéral interne. Le nerf sural ne contient pas de fibres motrices, il est uniquement responsable de la sensation tactile et de la proprioception dans sa zone d'innervation.

Les moteurs moléculaires sont des protéines qui convertissent l'énergie chimique, fournie généralement par l'hydrolyse de nucléotides triphosphates (tels que l'ATP), en énergie mécanique. Ils jouent un rôle crucial dans divers processus cellulaires nécessitant un mouvement ou une force, tels que la division cellulaire, le trafic intracellulaire, la signalisation cellulaire et la régulation de la structure cellulaire.

Les moteurs moléculaires peuvent se déplacer le long des filaments structuraux, comme les microtubules ou les actines, en prenant des "pas" nanométriques à chaque cycle d'hydrolyse d'ATP. Les exemples de moteurs moléculaires comprennent la dyneine et la kinesine, qui se déplacent le long des microtubules, ainsi que la myosine, qui se déplace sur les filaments d'actine. Ces protéines sont essentielles au fonctionnement normal de la cellule et sont souvent ciblées dans les thérapies médicales pour traiter diverses maladies, y compris les troubles neurodégénératifs et les cancers.

Les neuropathies ulnaires, également connues sous le nom de cubital tunnel syndrome ou neuropathie du nerf ulnaire, se réfèrent à une condition dans laquelle il y a une compression ou un étirement du nerf ulnaire (un des trois nerfs principaux qui voyagent depuis la colonne vertébrale vers les mains via le bras et l'avant-bras). Ce nerf fournit sensation aux petits doigts (annulaire et auriculaire) et à une partie de l'anneau finger, ainsi que des mouvements pour ces régions.

La neuropathie ulnaire est souvent causée par des activités répétitives ou prolongées qui mettent une pression sur le nerf, comme plier fréquemment les coudes, reposer son coude sur des surfaces dures pendant de longues périodes, ou faire des mouvements répétitifs avec les mains. Dans certains cas, cela peut aussi résulter d'une blessure directe au coude ou à l'avant-bras.

Les symptômes courants incluent des engourdissements, des picotements, une faiblesse musculaire ou une douleur dans les doigts affectés, en particulier lorsqu'on plie le coude. Si elle n'est pas traitée, la neuropathie ulnaire peut entraîner une perte permanente de la fonction nerveuse et des dommages au nerf. Le traitement dépend généralement de la gravité de la condition et peut inclure du repos, des changements ergonomiques, des médicaments contre la douleur, une thérapie physique, des exercices d'étirement ou, dans les cas graves, une intervention chirurgicale pour soulager la pression sur le nerf.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Les maladies du système nerveux autonome, également connues sous le nom de neuropathie autonomique, se réfèrent à un groupe de conditions qui affectent le système nerveux autonome, qui contrôle automatiquement les fonctions corporelles involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la température corporelle, la digestion et la fonction urinaire.

Ces maladies peuvent affecter la transmission des messages entre le cerveau et les organes cibles, entraînant une variété de symptômes dépendant de la partie du système nerveux autonome qui est touchée. Les symptômes courants peuvent inclure des étourdissements, des évanouissements, des palpitations cardiaques, des nausées, des vomissements, une transpiration anormale, des problèmes de vision, des difficultés à avaler et une constipation ou une diarrhée sévère.

Les maladies du système nerveux autonome peuvent être causées par divers facteurs, y compris des maladies dégénératives telles que la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, des infections, des traumatismes, des tumeurs, des carences nutritionnelles, des toxines et des maladies auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le diagnostic de ces maladies implique généralement une évaluation approfondie de l'historique médical du patient, un examen physique complet et des tests spécialisés pour évaluer la fonction du système nerveux autonome. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des changements de mode de vie, des thérapies physiques ou une intervention chirurgicale dans certains cas graves.

La neuropathie périphérique alcoolique est un type spécifique de neuropathie qui se développe à la suite d'une consommation excessive et prolongée d'alcool. Cette condition affecte les nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière, appelés nerfs périphériques.

L'exposition chronique à l'alcool endommage ces nerfs, entraînant une variété de symptômes. Les plus courants sont des engourdissements, des picotements ou des brûlures dans les mains et les pieds, une faiblesse musculaire, une perte d'équilibre et de coordination, et une douleur neurologique. Dans les cas graves, cela peut également affecter les fonctions autonomiques telles que la digestion, la régulation de la température corporelle et le fonctionnement cardiovasculaire.

La neuropathie périphérique alcoolique est généralement diagnostiquée par un neurologue après avoir exclu d'autres causes possibles de neuropathie, telles que le diabète, les infections ou les toxines environnementales. Le traitement implique souvent l'arrêt complet de la consommation d'alcool, combiné à des mesures de soutien pour gérer les symptômes, comme la physiothérapie pour aider à maintenir la force musculaire et la fonction articulaire, et des médicaments pour soulager la douleur. Dans certains cas, des vitamines B peuvent être prescrites pour aider à réparer les dommages nerveux.

Les Troubles des Habiletés Motrices (THM) sont des désordres neurodéveloppementaux qui se caractérisent par une difficulté à planifier, organiser, mettre en séquence et exécuter des mouvements. Selon le Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux (DSM-5), les THM peuvent être classés en deux catégories principales : les troubles moteurs liés à des mouvements involontaires et les troubles moteurs associés à des mouvements volontaires.

Les troubles moteurs liés à des mouvements involontaires comprennent des affections telles que la dyskinésie, la dystonie, le tremblement et la myoclonie. Ces conditions sont caractérisées par des mouvements anormaux et stéréotypés qui peuvent affecter une partie spécifique du corps ou l'ensemble du corps.

Les troubles moteurs associés à des mouvements volontaires comprennent la maladresse de coordination (ou trouble développemental de la coordination), le trouble de la force musculaire et les autres THM spécifiés et non spécifiés. Ces conditions sont caractérisées par une difficulté à planifier, organiser, mettre en séquence et exécuter des mouvements volontaires tels que l'écriture, le dessin, l'utilisation d'outils ou de jouets, la marche, la course, etc.

Les THM peuvent affecter la vie quotidienne des personnes touchées et entraîner des difficultés dans les activités scolaires, professionnelles et sociales. Les causes sous-jacentes des THM ne sont pas complètement comprises, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'un dysfonctionnement cérébral complexe impliquant plusieurs régions du cerveau et plusieurs systèmes de neurotransmetteurs. Le traitement des THM dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une thérapie physique, occupational et/ou speech-language, ainsi que des médicaments ou des interventions chirurgicales dans certains cas.

La mononeuropathie du nerf fémoral est un trouble neurologique qui affecte spécifiquement le nerf fémoral. Le nerf fémoral est un grand nerf qui traverse la cuisse et contrôle les muscles de la partie antérieure de la cuisse, ainsi que la sensation dans une grande partie de la jambe avant.

Dans la mononeuropathie du nerf fémoral, le nerf est endommagé ou comprimé, entraînant une variété de symptômes. Les symptômes les plus courants incluent une faiblesse musculaire dans la partie antérieure de la cuisse, ce qui peut rendre difficile la levée de la jambe droite ou l'extension du genou. Les personnes atteintes de cette condition peuvent également ressentir des picotements, un engourdissement ou une perte de sensation dans la partie antérieure de la cuisse et la jambe avant.

La mononeuropathie du nerf fémoral peut être causée par une variété de facteurs, notamment les traumatismes, les compressions nerveuses, les infections, le diabète et d'autres maladies systémiques. Dans certains cas, la cause de cette condition peut être difficile à déterminer.

Le traitement de la mononeuropathie du nerf fémoral dépend de la cause sous-jacente de la condition. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour gérer la douleur et l'inflammation. La physiothérapie peut également être utile pour renforcer les muscles affaiblis et améliorer la fonction nerveuse. Dans les cas graves ou persistants, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la compression nerveuse.

L'atrophie optique héréditaire de Leber (AOHL) est une maladie mitochondriale héréditaire rare qui affecte la vision. Il s'agit d'une neuropathie optique héréditaire autosomique dominante, ce qui signifie qu'elle est héritée d'un parent atteint et que chaque génération est affectée.

L'AOHL se caractérise par une perte soudaine et indolore de la vision centrale dans les deux yeux, généralement survenant chez les jeunes adultes entre 15 et 30 ans. Les premiers symptômes comprennent une baisse de l'acuité visuelle, une altération de la perception des couleurs et une sensibilité accrue à la lumière (photophobie).

La cause sous-jacente de cette maladie est une mutation dans le gène mitochondrial ND4. Les mitochondries sont les structures cellulaires responsables de la production d'énergie dans nos cellules, et des mutations dans leurs gènes peuvent entraîner un large éventail de maladies. Dans l'AOHL, ces mutations endommagent spécifiquement les nerfs optiques, ce qui entraîne une dégénérescence progressive des fibres nerveuses et une perte de vision.

Actuellement, il n'existe aucun traitement curatif pour l'atrophie optique héréditaire de Leber. Les options thérapeutiques se concentrent sur la gestion des symptômes et peuvent inclure des lunettes teintées pour soulager la photophobie, des loupes ou des appareils à grossissement pour aider à compenser la perte de vision centrale, ainsi qu'une réadaptation visuelle.

Il est important que les personnes atteintes d'AOHL consultent un ophtalmologiste spécialisé dans les maladies mitochondriales pour assurer un suivi et une prise en charge appropriés de leur condition.

La neuropathie du nerf médian est un type de lésion nerveuse qui affecte le nerf médian, qui est responsable des sensations et des mouvements dans une grande partie de la main. Cette condition peut entraîner des engourdissements, des picotements, des douleurs et une faiblesse musculaire dans les doigts et la main affectés, en particulier au niveau du pouce, de l'index, du majeur et de la moitié de l'annulaire.

La neuropathie du nerf médian peut être causée par une variété de facteurs, notamment les traumatismes répétitifs, le diabète, l'arthrite, l'alcoolisme, certaines infections et certains médicaments. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le traitement de la neuropathie du nerf médian dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des changements de style de vie, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, des thérapies physiques ou occupationnelles, et dans certains cas, une intervention chirurgicale. Si elle n'est pas traitée, la neuropathie du nerf médian peut entraîner des complications telles que des contractures de la main, une perte de mouvement et une déformation permanente de la main.

Les atteintes du nerf optique sont des lésions ou des dommages au nerf optique, qui est la structure anatomique qui transmet les informations visuelles du globe oculaire au cerveau. Ces dommages peuvent entraîner une perte de vision partielle ou complète.

Les causes les plus courantes d'atteintes du nerf optique comprennent :

1. La neuropathie optique ischémique antérieure (NOIA) : une forme rare d'accident vasculaire cérébral qui affecte l'approvisionnement en sang du nerf optique.
2. La neuropathie optique héréditaire de Leber (NOHL) : une maladie génétique qui affecte les mitochondries et cause une dégénérescence progressive du nerf optique.
3. La névrite optique : une inflammation aiguë du nerf optique qui peut être causée par une infection, une maladie auto-immune ou une réaction à un médicament.
4. Le glaucome : une augmentation de la pression intraoculaire qui endommage progressivement le nerf optique et peut entraîner une perte de vision permanente si elle n'est pas traitée.
5. Les traumatismes oculaires : des blessures à l'œil peuvent endommager directement le nerf optique ou perturber son approvisionnement en sang.
6. Les tumeurs : les tumeurs qui se développent dans ou près du nerf optique peuvent comprimer ou endommager la structure nerveuse.
7. Les maladies démyélinisantes : des maladies telles que la sclérose en plaques peuvent causer une démyélinisation du nerf optique, entraînant une perte de vision.

Le traitement des atteintes du nerf optique dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, le traitement peut aider à prévenir une perte de vision supplémentaire ou même à améliorer la vision. Cependant, dans d'autres cas, les dommages au nerf optique peuvent être irréversibles.

En termes médicaux, un mouvement est décrit comme le processus ou l'acte d'effectuer une fonction musculo-squelettique qui résulte en une modification de la position ou de l'orientation d'une partie du corps ou de l'ensemble du corps. Les mouvements peuvent être volontaires, comme se lever d'une chaise, ou involontaires, tels que les battements de cœur. Ils sont rendus possibles par le fonctionnement coordonné des muscles, des tendons, des ligaments et des articulations, et sont contrôlés par le système nerveux. Les mouvements peuvent également être classés en types spécifiques, tels que flexion (pliage d'une partie du corps sur elle-même), extension (droitement ou redressant une partie du corps), abduction (éloignement d'une partie du corps de l'axe médian du corps) et adduction (rapprochement d'une partie du corps de l'axe médian du corps).

Les neuropathies amyloïdes sont un groupe de troubles nerveux causés par la présence de dépôts anormaux d'une protéine appelée "amyloïde" dans les tissus nerveux. Ces dépôts peuvent endommager et détruire les nerfs, entraînant une variété de symptômes neurologiques.

Les neuropathies amyloïdes peuvent affecter les nerfs sensoriels, moteurs ou autonomes, entraînant des symptômes tels que des picotements, des engourdissements, des douleurs, une faiblesse musculaire, une perte de réflexes, des problèmes d'équilibre et de coordination, des troubles digestifs, cardiaques ou urinaires.

Les neuropathies amyloïdes peuvent être héréditaires ou acquises. Les formes héréditaires sont souvent causées par des mutations dans les gènes qui produisent les protéines amyloïdes, tandis que les formes acquises peuvent être associées à des maladies sous-jacentes telles que le myélome multiple, la maladie de Waldenström ou l'insuffisance rénale chronique.

Le diagnostic de neuropathies amyloïdes repose sur une combinaison d'examens cliniques, électrophysiologiques et de biopsie nerveuse pour confirmer la présence de dépôts amyloïdes dans les tissus nerveux. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, des thérapies physiques ou des greffes de cellules souches.

Le nerf ischiatique, également connu sous le nom de nerf sciatique, est un nerf périphérique majeur dans le corps humain. Il est formé par la fusion des racines nerveuses lombaires L4 à S3 dans la région lombaire inférieure de la colonne vertébrale. Le nerf ischiatique descend ensuite dans la cuisse et se divise en deux branches principales : le nerf tibial et le nerf fibulaire commun (ou nerf péronier).

Le nerf ischiatique est responsable de l'innervation sensorielle et motrice pour certaines parties des jambes, des pieds et du bas du dos. Les structures innervées par ce nerf comprennent la peau sur le dessous de la jambe et la plante du pied, ainsi que les muscles du mollet, de la jambe et du pied. Des lésions ou des compressions du nerf ischiatique peuvent entraîner une douleur intense, appelée névralgie sciatique ou sciatalgie, ainsi qu'une faiblesse musculaire et une perte de sensation dans les régions innervées par ce nerf.

Les axones sont des prolongements cytoplasmiques longs et fins de neurones, qui conduisent les impulsions nerveuses (ou potentiels d'action) loin du corps cellulaire (soma) vers d'autres neurones ou vers des effecteurs tels que les muscles ou les glandes. Ils sont généralement entourés d'une gaine de myéline, qui est produite par les cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique et par les oligodendrocytes dans le système nerveux central. La gaine de myéline permet une conduction rapide des impulsions nerveuses en réduisant la résistance électrique le long de l'axone. Les axones peuvent varier en taille, allant de quelques micromètres à plusieurs mètres de longueur, et ils peuvent être classés en fonction de leur diamètre et de l'épaisseur de la gaine de myéline.

Les dommages aux axones peuvent entraîner une variété de troubles neurologiques, tels que des neuropathies périphériques, des maladies neurodégénératives et des lésions de la moelle épinière. Par conséquent, la protection et la régénération des axones sont des domaines importants de recherche dans le domaine de la neurologie et de la médecine régénérative.

L'atrophie optique autosomique dominante, également connue sous le nom de neuropathie optique héréditaire de Leber (LANP) ou d'atrophie optique dominante de Kjer, est une maladie génétique qui affecte la vision. C'est une forme d'atrophie optique, qui est une dégénérescence du nerf optique et peut entraîner une perte de vision.

Dans l'atrophie optique autosomique dominante, la maladie est héréditaire et se transmet d'une génération à l'autre selon un mode autosomique dominant. Cela signifie qu'une personne n'a besoin de recevoir le gène anormal que d'un seul parent pour développer la maladie.

Les symptômes de l'atrophie optique autosomique dominante comprennent une perte de vision progressive, qui peut commencer à tout âge mais est le plus souvent observée chez les jeunes adultes. Les patients peuvent également présenter des anomalies du champ visuel, telles qu'une réduction du champ visuel périphérique ou central.

La maladie est causée par des mutations dans le gène OPA1, qui code pour une protéine impliquée dans la production d'énergie dans les mitochondries, les centrales énergétiques des cellules. Les mutations dans ce gène entraînent une mauvaise fonction mitochondriale et une mort cellulaire accrue dans le nerf optique, entraînant une perte de vision.

Actuellement, il n'existe aucun traitement curatif pour l'atrophie optique autosomique dominante. Le traitement se concentre sur la gestion des symptômes et peut inclure des lunettes correctrices, des loupes ou d'autres aides visuelles pour aider à compenser la perte de vision. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les complications oculaires associées à la maladie.

L'électrodiagnostic est un ensemble de techniques médicales utilisées pour évaluer et diagnostiquer des troubles du système nerveux périphérique et des muscles en enregistrant et analysant les réponses électriques produites par ces structures lorsqu'elles sont stimulées ou activées. Les méthodes d'électrodiagnostic comprennent l'électromyographie (EMG), la néurographie, la stimulation nerveuse et d'autres tests spécialisés. Ces examens permettent de détecter et de localiser les lésions nerveuses, d'évaluer la gravité des dommages, de différencier les différents types de neuropathies et de suivre l'évolution des troubles au fil du temps. L'électrodiagnostic est pratiqué par des neurologues, des neurophysiologistes cliniciens et d'autres spécialistes médicaux formés à ces techniques.

Les nerfs crâniens sont des nerfs qui émergent directement du cerveau et du tronc cérébral pour innerver les structures de la tête et du cou. Il y a 12 paires de nerfs crâniens au total, chacun ayant une fonction spécifique.

Les atteintes des nerfs crâniens se réfèrent à des dommages ou des lésions qui affectent un ou plusieurs de ces nerfs. Les causes les plus courantes d'atteintes des nerfs crâniens comprennent les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, les infections, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies neurologiques dégénératives.

Les symptômes d'atteintes des nerfs crâniens varient en fonction du nerf ou des nerfs affectés. Par exemple, une atteinte du nerf optique peut entraîner une perte de vision, tandis qu'une atteinte du nerf facial peut provoquer une paralysie faciale. D'autres symptômes peuvent inclure des douleurs, des engourdissements, des picotements, des faiblesses musculaires et des troubles de l'équilibre ou de la coordination.

Le diagnostic d'atteintes des nerfs crâniens implique généralement un examen neurologique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, un examen physique et des tests diagnostiques tels que des imageries cérébrales ou des électromyogrammes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'atteinte nerveuse et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une réadaptation.

Le syndrome de compression du nerf ulnaire, également connu sous le nom de «syndrome du tunnel cubital» ou «d'étirement du nerf ulnaire», est un trouble neurologique qui se produit lorsque le nerf ulnaire (un des trois nerfs principaux de la main) est comprimé ou étiré dans le canal carpien situé à l'intérieur du poignet. Cependant, contrairement au syndrome du canal carpien qui affecte le nerf médian, le syndrome de compression du nerf ulnaire se produit généralement au niveau du coude ou de la main.

Les symptômes courants du syndrome de compression du nerf ulnaire comprennent des picotements, des engourdissements, une faiblesse et parfois une douleur dans les doigts affectés, en particulier l'annulaire et l'auriculaire, ainsi que la moitié du petit doigt. Ces symptômes peuvent s'aggraver avec des activités qui étendent ou fléchissent le coude, telles que conduire, dormir avec les bras pliés sous l'oreiller, ou utiliser des outils ou des instruments de musique qui nécessitent une flexion répétitive du coude.

Dans les cas graves et non traités, le syndrome de compression du nerf ulnaire peut entraîner une perte de la fonction musculaire dans la main, en particulier dans le muscle qui permet de fléchir les doigts. Cela peut affecter la capacité d'une personne à saisir et à tenir des objets.

Le traitement du syndrome de compression du nerf ulnaire dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des changements de mode de vie, tels que l'évitement des activités qui aggravent les symptômes, l'utilisation d'une attelle pour maintenir le coude droit pendant le sommeil, ou des exercices d'étirement et de renforcement. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la pression sur le nerf.

Les maladies du système nerveux sont des affections qui affectent la structure ou la fonction du système nerveux, qui est composé du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs périphériques. Ces maladies peuvent être causées par des infections, des traumatismes, des tumeurs, des anomalies congénitales, des troubles métaboliques ou dégénératifs, ou encore des facteurs environnementaux et génétiques.

Les symptômes des maladies du système nerveux peuvent varier considérablement en fonction de la région affectée du système nerveux et de la nature de la lésion. Ils peuvent inclure des douleurs, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements, des tremblements, des convulsions, des mouvements anormaux, des problèmes de coordination, des difficultés d'élocution, des troubles cognitifs, des changements de comportement et des pertes de conscience.

Les maladies du système nerveux peuvent être classées en deux grandes catégories : les maladies du système nerveux central (qui comprennent le cerveau et la moelle épinière) et les maladies du système nerveux périphérique (qui comprennent les nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière).

Parmi les exemples de maladies du système nerveux central, on peut citer les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et la maladie d'Alzheimer.

Parmi les exemples de maladies du système nerveux périphérique, on peut citer la neuropathie diabétique, le syndrome du canal carpien, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC).

La performance psychomotrice se réfère à la capacité d'une personne à exécuter des tâches qui nécessitent une coordination précise et rapide des mouvements physiques avec les processus cognitifs, tels que la perception, l'attention, la mémoire et la résolution de problèmes. Il s'agit d'une fonction complexe qui reflète à la fois les capacités physiques et mentales d'un individu.

Les exemples de performances psychomotrices comprennent des activités telles que conduire une voiture, jouer d'un instrument de musique, pratiquer un sport, effectuer des tâches manuelles délicates ou utiliser un ordinateur. Une bonne performance psychomotrice implique non seulement la capacité de bouger le corps de manière précise et rapide, mais aussi la capacité de traiter les informations sensorielles, de prendre des décisions et d'exécuter des mouvements en fonction de ces décisions.

Des facteurs tels que l'âge, la santé mentale et physique, les compétences acquises, l'expérience et l'entraînement peuvent influencer la performance psychomotrice d'un individu. Les troubles neurologiques, les lésions cérébrales, les maladies mentales et certaines conditions médicales peuvent affecter négativement la performance psychomotrice.

Le nerf ulnaire, également connu sous le nom de nerf cubital, est un important nerf périphérique dans le membre supérieur humain. Il fournit des sensations et des mouvements à certaines parties de la main, y compris le petit doigt et l'annulaire, ainsi que la moitié de l'auriculaire.

Le nerf ulnaire commence dans le cou en tant que continuation du tronc médian du plexus brachial. Il descend ensuite dans le bras, où il passe derrière le muscle biceps et à travers la gouttière cubitale (canal de Guyon). Dans cette région, le nerf ulnaire se divise en deux branches terminales : la branche superficielle et la branche profonde.

La branche superficielle fournit des fibres motrices aux muscles interosseux dorsaux et palmaires, ainsi qu'à l'abducteur du petit doigt. Elle fournit également des fibres sensorielles au dos de l'auriculaire et à la moitié latérale de l'annulaire.

La branche profonde innerve les muscles lumbricaux III et IV, ainsi que les interosseux palmaires. Elle fournit également des fibres sensorielles aux paumes des deux doigts mentionnés précédemment (l'annulaire et le petit doigt).

Le nerf ulnaire est sujet à diverses compressions et lésions, telles que la neuropathie cubitale ou le syndrome du canal de Guyon, qui peuvent entraîner des symptômes tels que des engourdissements, des picotements, des douleurs et une faiblesse musculaire dans les zones innervées par ce nerf.

Les Troubles Sensitifs, également connus sous le nom de Sensibilité Chimique Multiples (MCS) ou Intolérance Environnementale Idiosyncrasique (IEI), sont des affections caractérisées par une réaction excessive et répétée à des doses faibles ou normales de divers produits chimiques et autres facteurs environnementaux. Ces réactions peuvent affecter plusieurs systèmes d'organes et entraîner une variété de symptômes, tels que des maux de tête, des vertiges, des nausées, des éruptions cutanées, des problèmes respiratoires, des douleurs articulaires et musculaires, et des troubles cognitifs.

Les causes sous-jacentes des Troubles Sensitifs ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux qui affectent la capacité du corps à détoxifier et à éliminer les substances chimiques. Les personnes atteintes de Troubles Sensitifs peuvent présenter une hypersensibilité accrue aux produits chimiques, ce qui signifie qu'elles réagissent plus fortement et plus rapidement que la population générale à des expositions à des doses faibles.

Les Troubles Sensitifs sont souvent difficiles à diagnostiquer en raison de l'absence de tests objectifs et de critères de diagnostic clairs. Le diagnostic repose généralement sur une évaluation approfondie de l'histoire médicale du patient, des antécédents d'exposition aux produits chimiques et des symptômes rapportés.

Le traitement des Troubles Sensitifs se concentre généralement sur l'évitement des expositions déclenchantes et la gestion des symptômes à l'aide de thérapies telles que l'oxygénothérapie, les médicaments anti-inflammatoires et les régimes d'élimination. Dans certains cas, une désensibilisation progressive aux substances chimiques peut être bénéfique.

Les Troubles Sensitifs peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie des personnes atteintes, entraînant des symptômes invalidants et une limitation des activités quotidiennes. Il est important que les professionnels de la santé soient conscients de cette condition et qu'ils travaillent en étroite collaboration avec les patients pour élaborer un plan de traitement personnalisé qui tienne compte de leurs besoins spécifiques.

Les techniques de diagnostic neurologique font référence à une gamme d'évaluations et d'examens cliniques utilisés pour identifier les troubles ou les maladies affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière), le système nerveux périphérique (nerfs en dehors du cerveau et de la moelle épinière) et les muscles. Ces techniques aident les médecins à poser un diagnostic précis, à évaluer la gravité d'une condition et à suivre l'évolution de la maladie au fil du temps.

Voici quelques exemples courants de techniques de diagnostic neurologique :

1. Examen physique et neurologique : Il s'agit d'un examen approfondi des antécédents médicaux, des fonctions sensorielles, cognitives, motrices et autonomiques du patient. Cela peut inclure des tests de réflexes, de force musculaire, de coordination, d'équilibre, de sensation et de fonction mentale.

2. Imagerie médicale : Des techniques telles que la tomodensitométrie (TDM), l'imagerie par résonance magnétique (IRM), l'angiographie par résonance magnétique (ARM) et la tomographie par émission de positrons (TEP) peuvent être utilisées pour obtenir des images détaillées du cerveau, de la moelle épinière et d'autres structures nerveuses.

3. Tests électrophysiologiques : Ces tests enregistrent l'activité électrique dans le cerveau (électroencéphalogramme - EEG), les nerfs (étude de conduction nerveuse - ENG) et les muscles (électromyographie - EMG).

4. Tests de laboratoire : Des analyses sanguines, des tests du liquide céphalo-rachidien (LCR) et d'autres tests en laboratoire peuvent être effectués pour rechercher des marqueurs spécifiques de maladies neurologiques.

5. Biopsie : Dans certains cas, une biopsie du tissu cérébral ou d'un autre tissu nerveux peut être nécessaire pour poser un diagnostic définitif.

6. Examen neuropsychologique : Des tests standardisés peuvent être utilisés pour évaluer les fonctions cognitives, telles que la mémoire, l'attention, le langage et le raisonnement.

7. Tests génétiques : Dans certains cas, des tests génétiques peuvent être effectués pour rechercher des mutations spécifiques associées à certaines maladies neurologiques héréditaires.

Les neuropathies des nerfs péroniers, également connues sous le nom de neuropathie péronière commune ou neuropathie du nerf péronier superficiel, sont un type de lésion nerveuse qui affecte les nerfs péroniers situés dans la jambe. Il existe deux nerfs péroniers : le nerf péronier superficiel et le nerf péronier profond. Les neuropathies des nerfs péroniers se réfèrent généralement à une lésion du nerf péronier superficiel, qui est plus susceptible d'être endommagé en raison de sa position plus exposée dans la jambe.

Le nerf péronier superficiel fournit des sensations cutanées aux zones situées sur le côté externe de la jambe et du pied, ainsi qu'à certains muscles qui aident à lever le pied vers l'extérieur (éversion). Une neuropathie du nerf péronier superficiel peut entraîner une perte de sensation, des picotements, des engourdissements ou une faiblesse dans la zone innervée par ce nerf. Dans les cas graves, cela peut entraîner une démarche anormale et une difficulté à soulever le pied vers l'extérieur.

Les causes courantes de neuropathies des nerfs péroniers comprennent les traumatismes directs, les compressions répétées ou prolongées (par exemple, en croisant les jambes pendant une longue période), les entorses de la cheville, les fractures du tibia ou de la fibula, et certaines affections médicales sous-jacentes telles que le diabète, l'alcoolisme chronique, les infections, les tumeurs ou les maladies auto-immunes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des mesures de protection pour prévenir d'autres dommages, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, des thérapies physiques ou une intervention chirurgicale dans les cas graves.

La paresthésie est un terme médical décrivant des sensations anormales telles que le picotement, l'engourdissement, la démangeaison ou le brûlage sur la peau sans qu'il y ait de stimulation physique évidente. Ces sensations inhabituelles peuvent survenir n'importe où sur le corps mais sont souvent rapportées dans les extrémités - mains, bras, pieds et jambes.

La paresthésie peut être temporaire, comme lorsque vous vous asseyez pendant une longue période et ressentez un engourdissement lorsque vous vous levez. Cependant, elle peut aussi être persistante, ce qui est souvent le signe d'un problème sous-jacent plus grave, tel qu'une neuropathie périphérique due au diabète, une compression nerveuse (par exemple, syndrome du canal carpien), une maladie dégénérative des nerfs (comme la sclérose en plaques) ou même certains types de traumatismes.

Il est important de noter que si quelqu'un éprouve régulièrement des paresthésies, il devrait consulter un médecin pour déterminer la cause sous-jacente et recevoir un traitement approprié.

Un examen neurologique est un processus systématique d'évaluation des fonctions et structures du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et périphérique (nerfs crâniens, nerfs spinaux et leurs racines, plaque motrice et réflexes). Il est utilisé pour diagnostiquer les troubles neurologiques, suivre la progression de maladies connues ou évaluer l'efficacité du traitement.

L'examen comprend typiquement une série de tests qui visent à évaluer :

1. La conscience et le niveau de vigilance.
2. Les fonctions cognitives telles que la mémoire, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace.
3. Les mouvements oculaires, la vision et la perception visuelle.
4. La force musculaire, la coordination et l'équilibre.
5. Les réflexes tendineux profonds et cutanés.
6. La sensibilité à la douleur, au toucher, à la température et aux vibrations.
7. Les fonctions des nerfs crâniens (olfaction, vision, ouïe, goût, mouvements faciaux, déglutition, etc.)

Les résultats de ces tests aident les médecins à identifier les zones du système nerveux qui pourraient être endommagées ou malades, ce qui peut conduire à un diagnostic plus précis et à un plan de traitement approprié.

Les neurofibres sont des fibres nerveuses spécialisées qui constituent la partie conductrice du neurone, ou cellule nerveuse. Elles sont composées d'axones, qui sont les prolongements cytoplasmiques des neurones, entourés d'une gaine de myéline protectrice produite par les cellules gliales appelées cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique.

Les neurofibres sont responsables de la transmission des impulsions nerveuses, ou signaux électriques, entre les neurones et d'autres parties du corps, telles que les muscles et les glandes. Elles peuvent être classées en deux types principaux : les neurofibres myélinisées, qui sont entourées de plusieurs couches de myéline pour une conduction rapide des impulsions nerveuses, et les neurofibres amyéliniques, qui n'ont pas de gaine de myéline et ont donc une conduction plus lente.

Les neurofibres peuvent être affectées par diverses conditions médicales, telles que les tumeurs des nerfs périphériques, qui peuvent entraîner une augmentation du volume des neurofibres et une compression des structures environnantes. Les neurofibromatoses sont des troubles génétiques caractérisés par la croissance de tumeurs bénignes sur les neurofibres, ce qui peut entraîner divers symptômes en fonction de la localisation et de l'extension des tumeurs.

La kinesine est une protéine motrice qui joue un rôle crucial dans le transport intracellulaire le long des microtubules, un composant important du cytosquelette. Elle se déplace vers l'extrémité positive des microtubules, ce qui lui permet de transporter diverses cargaisons telles que les vésicules, les organites et les mRNA à travers la cellule. Il existe plusieurs types de kinesines, chacune ayant des fonctions spécifiques et des cargaisons particulières. Elles sont essentielles au bon fonctionnement de la cellule, participant notamment au maintien de sa structure, à la division cellulaire et au trafic membranaire. Des dysfonctionnements dans le fonctionnement des kinesines peuvent être associés à diverses maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.

En médecine et en physiologie, une sensation est décrite comme un phénomène subjectif qui résulte de l'activation des récepteurs sensoriels dans les tissus du corps en réponse à des stimuli internes ou externes. Ces récepteurs convertissent ces stimuli en signaux nerveux, qui sont ensuite transmis au cerveau via le système nerveux périphérique et central. Dans le cerveau, ces signaux sont interprétés et expérimentés comme des sensations, telles que la douleur, le chaud, le froid, le toucher, l'odeur, le goût, l'ouïe et la vision. Les sensations peuvent également inclure des perceptions internes du corps, telles que les états émotionnels, la faim, la soif et la fatigue.

La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.

La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.

La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.

Dans le contexte médical, la main est la partie terminale du membre supérieur qui comprend les os carpien, métacarpien et phalangien, ainsi que les muscles, tendons, ligaments, articulations, vaisseaux sanguins et nerfs associés. Elle est essentielle pour la préhension fine, la manipulation des objets et la communication tactile. La main humaine adulte moyenne contient 27 os, ce qui en fait l'une des structures anatomiques les plus complexes du corps. Les maladies courantes affectant la main comprennent les blessures traumatiques, les infections, les troubles dégénératifs comme l'arthrose et les affections neurologiques entraînant une perte de fonction.

Les syndromes de compression nerveuse sont un groupe de conditions dans lesquelles un nerf ou plusieurs nerfs sont comprimés ou endommagés, entraînant une variété de symptômes. Ces symptômes peuvent inclure des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires et une perte de sensation dans la zone du corps où le nerf est affecté.

Les syndromes de compression nerveuse peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris une pression anormale sur un nerf due à une blessure, une maladie sous-jacente, une mauvaise posture ou des mouvements répétitifs. Certains exemples courants de syndromes de compression nerveuse comprennent le syndrome du canal carpien, qui affecte le nerf médian dans la main, et le syndrome du tunnel tarsien, qui affecte le nerf tibial postérieur dans le pied.

Le traitement des syndromes de compression nerveuse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de compression nerveuse, car une détection et un traitement précoces peuvent aider à prévenir des dommages nerveux permanents.

Les troubles de la motricité, également connus sous le nom de troubles du mouvement, sont des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à contrôler, coordonner et effectuer des mouvements volontaires et involontaires. Ces troubles peuvent affecter un seul muscle ou groupe musculaire, un membre ou une partie du corps, ou tout le corps.

Les causes sous-jacentes des troubles de la motricité peuvent varier considérablement et dépendent du type spécifique de trouble. Les causes courantes comprennent les lésions cérébrales, les maladies neurologiques, les troubles musculaires et les affections congénitales.

Les symptômes des troubles de la motricité peuvent inclure des mouvements anormaux, tels que des tremblements, des secousses, des spasmes ou des rigidités musculaires; une coordination et une équilibre altérés; des difficultés à initier ou à maintenir des mouvements volontaires; et une fatigue ou une faiblesse musculaire.

Les troubles de la motricité peuvent être classés en deux catégories principales: les troubles du mouvement hyperkinétiques, qui sont caractérisés par des mouvements excessifs ou involontaires, tels que les tremblements et les tics; et les troubles du mouvement hypokinétiques, qui sont caractérisés par une réduction ou une absence de mouvement, tels que la maladie de Parkinson.

Le traitement des troubles de la motricité dépend du type spécifique de trouble et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une chirurgie ou une combinaison de ces options.

Le nerf fibulaire commun, également connu sous le nom de nerf péronier commun, est un nerf mixte (transportant à la fois des informations sensorielles et motrices) qui émerge du faisceau postérieur de la moelle épinière au niveau de la quatrième ou de la cinquième vertèbre lombaire. Il descend dans la jambe en passant derrière le muscle biceps fémoral, puis traverse la loge postérieure de la jambe en compagnie des vaisseaux sanguins poplités superficiels.

Dans la loge postérieure de la jambe, il donne des branches musculaires qui innervent les muscles de la loge postérieure (par exemple, le muscle gastrocnémien, le muscle soléaire, le muscle plantaire). Il se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf fibulaire superficiel et le nerf fibulaire profond.

Le nerf fibulaire superficiel chemine sous la membrane interosseuse de la jambe et donne des branches sensorielles aux régions cutanées latérales de la jambe et du dos du pied, ainsi que des branches motrices aux muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle long fibulaire, le muscle court fibulaire).

Le nerf fibulaire profond chemine entre les deux muscles tête du péronier et aponévrose interosseuse et innerve les muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle tibial antérieur, le muscle long extenseur des orteils, le muscle long extenseur de l'hallux). Il donne également une branche articulaire pour l'articulation de la cheville et du pied.

Des lésions ou des compressions du nerf fibulaire commun peuvent entraîner une perte de sensation dans les régions cutanées innervées, ainsi qu'une faiblesse ou une paralysie des muscles innervés, ce qui peut se traduire par des difficultés à marcher et à maintenir l'équilibre.

Le nerf médian est un important nerf mixte (transportant à la fois des informations sensorielles et motrices) dans le corps humain. Il joue un rôle crucial dans la fonction sensorielle et motrice de la main et des doigts.

Originaire du plexus brachial dans le cou, le nerf médian descend le bras en passant à travers l'épaule et le coude. À ce stade, il contient principalement des fibres motrices qui contrôlent les muscles de l'avant-bras.

Au niveau du poignet, le nerf médian passe dans une structure appelée le canal carpien, entouré d'un ligament tendu, le ligament annulaire antérieur. Dans la main, il se divise en plusieurs branches terminales qui assurent l'innervation sensitive des trois premiers doigts (pouce, index et majeur) ainsi que la moitié latérale du quatrième doigt. Il innerve également les muscles de la base de la main impliqués dans les mouvements de préhension.

Des problèmes avec le nerf médian peuvent entraîner une variété de symptômes, y compris des picotements ou des engourdissements dans les doigts, une faiblesse musculaire dans la main et éventuellement une perte de sensation. Le syndrome du canal carpien est l'une des affections courantes associées à une compression du nerf médian au niveau du poignet.

La surdité centrale est un type de perte auditive qui se produit lorsque le problème d'audition est lié au cerveau ou aux voies nerveuses auditives du cerveau, plutôt qu'à l'oreille elle-même. Dans ce cas, les structures de l'oreille interne et moyenne fonctionnent correctement, mais le cerveau ne peut pas interpréter les signaux sonores correctement en raison d'une lésion ou d'une maladie du nerf auditif (nerf vestibulocochléaire) ou des zones du cerveau qui traitent le son.

Les symptômes de la surdité centrale peuvent inclure une diminution de l'acuité auditive, en particulier pour les sons aigus, une difficulté à comprendre la parole dans des environnements bruyants, même si les sons individuels peuvent être entendus, et une sensation d'audition déformée ou étouffée. Les causes courantes de surdité centrale comprennent les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, les infections du cerveau, les traumatismes crâniens, la sclérose en plaques et certaines maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson ou la maladie d'Alzheimer.

Le diagnostic de surdité centrale implique généralement une série de tests auditifs spécialisés, tels qu'des audiométries vocales et des tests de potentiels évoqués auditifs, qui peuvent aider à identifier la source et l'étendue de la perte auditive. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une thérapie de réadaptation auditive ou une combinaison de ces options.

Le nerf tibial est un important nerf mixed (transportant à la fois des fibres sensorielles et motrices) dans l'anatomie humaine. Il est une branche terminale du nerf sciatique, qui est le nerf le plus large et le plus long dans le corps humain.

Le nerf tibial descend dans la jambe par la partie postérieure de la cuisse et passe derrière le genou. Il continue sa course vers le bas dans la jambe, où il donne des branches pour les muscles du mollet (les muscles gastrocnémien et soléaire) qui permettent la flexion de la jambe au niveau du genou et la flexion plantaire du pied.

Le nerf tibial fournit également des innervations sensorielles aux zones cutanées situées sur la plante du pied, ainsi qu'aux articulations de la cheville et du pied. Il joue donc un rôle crucial dans la motricité fine et la sensation sensitive de la jambe inférieure et du pied.

Je suis désolé, mais la protéine P0 Myéline ne semble pas être un terme médical reconnu ou largement utilisé dans la littérature médicale. Il est possible que vous ayez fait une erreur ou que ce terme spécifique se réfère à une sous-unité particulière de la protéine P0 qui fait partie du complexe de la gaine de myéline dans les nerfs périphériques.

La protéine P0 est la principale protéine structurelle de la gaine de myéline des nerfs périphériques et appartient à la famille des protéines de classe I. Elle joue un rôle crucial dans l'adhésion entre les membranes de la gaine de myéline et contribue à la stabilité et à la compacité de la gaine de myéline.

Si vous cherchiez une information plus spécifique sur une sous-unité ou une fonction particulière de cette protéine, je serais heureux de vous aider si vous pouvez me fournir des informations supplémentaires.

La neuropathie du nerf sciatique, également connue sous le nom de sciatalgia ou névralgie sciatique, est un trouble neurologique qui se produit lorsque le nerf sciatique est irrité, endommagé ou comprimé. Le nerf sciatique est le plus grand nerf du corps et descend de la colonne vertébrale dans le bas du dos, traverse les fesses et les jambes jusqu'aux pieds.

Les symptômes courants de la neuropathie du nerf sciatique incluent des douleurs intenses, des picotements, des engourdissements ou une faiblesse dans le bas du dos, les fesses, les jambes et les pieds. Ces symptômes peuvent varier en intensité et se produire d'un côté du corps seulement. Dans certains cas, la douleur peut être si intense qu'elle rend difficile de se déplacer, de s'asseoir ou de se tenir debout pendant de longues périodes.

La neuropathie du nerf sciatique peut être causée par une variété de facteurs, notamment des hernies discales, des sténoses spinale, des tumeurs, des infections, des traumatismes ou des maladies telles que le diabète. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments contre la douleur, une thérapie physique, des injections de corticostéroïdes ou dans certains cas, une chirurgie.

Le syndrome de Guillain-Barré est un trouble du système nerveux périphérique dans lequel le système immunitaire de l'organisme attaque par erreur une partie du système nerveux. Cela peut entraîner une faiblesse musculaire, des picotements et une perte de réflexes. Dans les cas graves, il peut provoquer une paralysie temporaire qui affecte généralement d'abord les jambes et s'étend ensuite aux bras, au tronc et à la tête. La plupart des personnes atteintes du syndrome de Guillain-Barré finissent par récupérer complètement ou presque complètement, bien que cela puisse prendre plusieurs mois et certains peuvent avoir des séquelles permanentes.

Le syndrome de Guillain-Barré est généralement déclenché par une infection virale ou bactérienne. Bien qu'il n'y ait pas de remède connu pour le syndrome de Guillain-Barré, la prise en charge médicale précoce peut considérablement améliorer les chances de récupération. Ce traitement comprend généralement une thérapie de support, telle qu'une ventilation mécanique et une alimentation par sonde, ainsi que des traitements spécifiques pour réduire la gravité de l'inflammation dans le système nerveux. Ces derniers peuvent inclure des immunoglobulines ou une plasmaphérèse.

Les agents du système nerveux périphérique sont des structures ou des substances qui ont un impact sur le fonctionnement du système nerveux périphérique. Le système nerveux périphérique est la partie du système nerveux qui comprend tous les nerfs et ganglions situés en dehors de la moelle épinière et du cerveau, qui constituent ensemble le système nerveux central.

Les agents du système nerveux périphérique peuvent être classés en plusieurs catégories, notamment :

1. Neurotoxines : Ce sont des substances chimiques toxiques pour les neurones du système nerveux périphérique. Les exemples incluent le botulinum, la tétrodotoxine et le curare.
2. Médicaments : Certains médicaments peuvent affecter le fonctionnement du système nerveux périphérique. Par exemple, les antibiotiques aminoglycosides peuvent endommager les cellules ciliées de l'oreille interne et entraîner une perte auditive permanente.
3. Agents infectieux : Les virus et les bactéries peuvent également affecter le système nerveux périphérique. Par exemple, le virus de la varicelle-zona peut provoquer une névrite du nerf facial, entraînant une paralysie faciale.
4. Facteurs environnementaux : L'exposition à des facteurs environnementaux tels que les vibrations, les températures extrêmes ou les rayonnements peut également affecter le système nerveux périphérique.
5. Troubles neurologiques : Certaines maladies neurologiques peuvent affecter le fonctionnement du système nerveux périphérique, telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou la polyneuropathie diabétique.

En général, les agents du système nerveux périphérique peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des picotements ou des paralysies. Le diagnostic et le traitement dépendent de la cause sous-jacente du trouble.

La polynévrite paranéoplasique est un type de neuropathie périphérique qui se développe comme une complication d'un cancer sous-jacent. Elle est causée par la production d'auto-anticorps ou de facteurs de croissance anormaux par le système immunitaire en réponse au cancer. Ces auto-anticorps attaquent les nerfs périphériques, provoquant une inflammation et une dégénérescence des fibres nerveuses.

Les symptômes de la polynévrite paranéoplasique peuvent inclure une faiblesse musculaire, une perte de sensibilité, des douleurs neuropathiques, des picotements ou un engourdissement dans les mains et les pieds. Ces symptômes peuvent précéder le diagnostic du cancer sous-jacent ou apparaître après le début du traitement du cancer.

La polynévrite paranéoplasique peut être associée à plusieurs types de cancers, tels que les petits cellules du poumon, le cancer du sein, le lymphome, la leucémie et d'autres tumeurs malignes. Le traitement de la polynévrite paranéoplasique implique généralement le traitement du cancer sous-jacent, ainsi que des thérapies de soutien pour gérer les symptômes neuropathiques.

En médecine, le "temps de réaction" fait référence à la mesure du temps écoulé entre la présentation d'un stimulus donné et la réponse correspondante d'un individu. Il est fréquemment utilisé pour évaluer les fonctions cognitives et neurologiques dans divers contextes cliniques, tels que l'évaluation des patients atteints de troubles neurocognitifs ou de traumatismes crâniens. Le temps de réaction peut être mesuré en utilisant différents types de stimuli, comme visuels, auditifs ou tactiles, et les résultats sont généralement comparés à des normes établies pour déterminer toute anomalie ou déficience potentielle.

Les neuropathies amyloïdes familiales sont un groupe de troubles nerveux héréditaires rares causés par des mutations génétiques spécifiques. Ces mutations entraînent la production d'une protéine anormale qui a tendance à s'agréger et à former des dépôts amyloïdes dans divers tissus du corps, y compris les nerfs périphériques.

Les neuropathies amyloïdes familiales peuvent affecter à la fois le système nerveux périphérique (les nerfs en dehors du cerveau et de la moelle épinière) et le système nerveux autonome (qui contrôle les fonctions automatiques du corps telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la digestion et la température corporelle).

Les symptômes de ces neuropathies peuvent inclure une perte de sensation, des picotements ou un engourdissement dans les mains et les pieds, des douleurs nerveuses, une faiblesse musculaire, des problèmes d'équilibre et de coordination, ainsi que des problèmes digestifs, cardiaques et urinaires dus à l'atteinte du système nerveux autonome.

Il existe plusieurs types de neuropathies amyloïdes familiales, chacune étant causée par une mutation génétique différente. Les traitements peuvent inclure des médicaments pour soulager les symptômes, la physiothérapie et, dans certains cas, des thérapies expérimentales telles que la transplantation de cellules souches ou l'administration d'anticorps monoclonaux.

La névralgie est un terme médical qui décrit une douleur intense et paroxystique le long du trajet d'un nerf. Cette douleur est généralement causée par une irritation, une compression ou une lésion du nerf. Les névralgies peuvent affecter divers nerfs dans le corps, mais les plus courantes sont la névralgie du trijumeau (qui affecte le nerf facial) et la névralgie post-herpétique (qui peut survenir après une éruption de zona). Les symptômes peuvent inclure des brûlures, des picotements, des engourdissements et des décharges électriques douloureuses le long du trajet nerveux. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants, des antidépresseurs ou des interventions chirurgicales dans les cas graves.

La neuropathie du nerf tibial est un type de neuropathie périphérique qui affecte le nerf tibial, qui est un nerf majeur dans la partie inférieure de la jambe. Le nerf tibial fournit des sensations et contrôle les mouvements dans le pied et les orteils.

La neuropathie du nerf tibial peut être causée par une variété de facteurs, y compris le diabète, l'alcoolisme, les traumatismes, les infections, les maladies auto-immunes, la compression nerveuse et l'exposition à des toxines. Les symptômes peuvent inclure des douleurs, des picotements, des engourdissements, une faiblesse musculaire, une perte de réflexes et une diminution de la sensibilité dans la région affectée du pied et de la jambe.

Le traitement de la neuropathie du nerf tibial dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments pour soulager la douleur, la physiothérapie, l'exercice, les changements de mode de vie et, dans certains cas, la chirurgie. Dans le diabète, un contrôle strict de la glycémie peut aider à prévenir ou à ralentir la progression de la neuropathie. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de neuropathie du nerf tibial, car un traitement précoce peut aider à prévenir les complications permanentes.

Les muscles squelettiques, également connus sous le nom de muscles striés squelettiques, sont des types spécifiques de tissus musculaires qui se connectent aux os et à d'autres structures via des tendons. Ils sont responsables de la production de force et de mouvements volontaires du corps. Les muscles squelettiques sont constitués de nombreuses fibres musculaires individuelles, organisées en faisceaux et recouvertes d'une membrane protectrice appelée épimysium. Chaque fibre musculaire est elle-même composée de plusieurs myofibrilles, qui contiennent des protéines contractiles telles que l'actine et la myosine. Ces protéines glissent les unes sur les autres lorsque le muscle se contracte, entraînant ainsi le mouvement des os auxquels elles sont attachées. Les muscles squelettiques peuvent également jouer un rôle dans la stabilisation articulaire, la posture et la thermorégulation du corps.

L'atrophie optique est un terme utilisé en ophtalmologie pour décrire la dégénérescence ou la mort des cellules nerveuses dans le nerf optique, qui relie l'œil au cerveau. Cette condition peut entraîner une perte de vision progressive ou soudaine, selon la cause sous-jacente. Les symptômes courants comprennent une réduction du champ visuel, une diminution de la acuité visuelle, des couleurs décolorées et une sensibilité accrue à la lumière.

Les causes les plus courantes d'atrophie optique comprennent les maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques et la neuropathie optique héréditaire de Leber, ainsi que les lésions oculaires et les glaucomes non contrôlés. Dans certains cas, la cause peut être inconnue, ce qui est appelé atrophie optique idiopathique.

Le diagnostic d'atrophie optique est généralement posé par un ophtalmologiste après un examen complet de l'œil et des tests spéciaux tels qu'une visualisation du fond d'œil, une tomographie par cohérence optique (OCT) et des potentiels évoqués visuels (PEV). Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des chirurgies ou des thérapies de réadaptation visuelle.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Le recrutement neurophysiologique est un terme utilisé en médecine et en neurologie pour décrire la réponse des nerfs périphériques à une stimulation électrique. Il s'agit d'un processus permettant d'évaluer la fonction nerveuse et la conductivité nerveuse en appliquant une faible impulsion électrique sur un nerf, ce qui entraîne une réponse musculaire mesurable. Cette méthode est souvent utilisée dans le diagnostic de divers troubles neurologiques, tels que les neuropathies périphériques et les lésions nerveuses.

Lors d'un recrutement neurophysiologique, un électrodiagnostic est réalisé pour enregistrer l'activité musculaire en réponse à la stimulation nerveuse. Les résultats de ce test peuvent aider les médecins à déterminer la localisation et la gravité des dommages nerveux, ainsi qu'à suivre l'évolution de la maladie ou de la guérison au fil du temps.

Il est important de noter que le recrutement neurophysiologique ne doit pas être confondu avec d'autres tests neurophysiologiques tels que l'électroencéphalogramme (EEG) ou l'étude de conduction nerveuse, qui mesurent respectivement l'activité électrique du cerveau et la vitesse de transmission des impulsions nerveuses le long des nerfs.

Le nerf vestibulocochléaire est un nerf crânien (le VIIIème) qui est responsable de la transmission des informations auditives et de l'équilibre depuis l'oreille interne jusqu'au cerveau. Les atteintes du nerf vestibulocochléaire peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris les traumatismes crâniens, les infections de l'oreille, les tumeurs, les maladies auto-immunes et le vieillissement normal.

Les symptômes d'une atteinte du nerf vestibulocochléaire peuvent inclure une perte auditive unilatérale ou bilatérale, des acouphènes (bourdonnements ou sifflements dans les oreilles), des vertiges, des problèmes d'équilibre et de coordination, ainsi que des nausées et des vomissements. Le diagnostic d'une atteinte du nerf vestibulocochléaire peut être posé à l'aide d'un examen physique complet, d'une audiométrie, d'une calorisation vestibulaire, d'une électronystagmographie et d'une imagerie médicale telle qu'une IRM.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'atteinte du nerf vestibulocochléaire. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour soulager les symptômes, tandis que dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire. La réhabilitation vestibulaire peut également être bénéfique pour aider à améliorer l'équilibre et la coordination.

Les cellules de Schwann sont des cellules gliales qui entourent et soutiennent les axones des neurones dans le système nerveux périphérique. Elles jouent un rôle crucial dans la production de myéline, une substance grasse qui forme une gaine isolante autour des axones, ce qui permet d'accélérer la conduction nerveuse.

Les cellules de Schwann ont également d'autres fonctions importantes, telles que la régénération des nerfs périphériques après une lésion. Elles peuvent aider à guider la croissance des axones régénérés vers leur destination en formant des tubes de remplacement le long du chemin endommagé.

Les cellules de Schwann sont nommées d'après Theodor Schwann, un physiologiste allemand qui a contribué à la découverte et à la description de ces cellules au milieu du 19ème siècle.

La dégénérescence nerveuse est un terme général utilisé en médecine pour décrire une condition où les nerfs du corps se détériorent ou se décomposent. Cela peut se produire en raison de divers facteurs, tels que des maladies, des traumatismes, l'âge ou des habitudes malsaines.

La dégénérescence nerveuse peut affecter n'importe quel type de nerfs dans le corps, y compris les nerfs sensoriels (qui transmettent des sensations telles que la douleur, le toucher et la température), les nerfs moteurs (qui contrôlent les mouvements musculaires) et les nerfs autonomes (qui régulent les fonctions automatiques du corps telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la digestion).

Les symptômes de la dégénérescence nerveuse varient en fonction de la zone affectée et peuvent inclure des douleurs, des picotements, une faiblesse musculaire, une perte d'équilibre, une vision floue, des problèmes auditifs, des difficultés à avaler ou à parler, et une perte de contrôle de la vessie ou des intestins.

Le traitement de la dégénérescence nerveuse dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, il peut être possible de ralentir ou d'arrêter la progression de la maladie grâce à des médicaments, une thérapie physique, une intervention chirurgicale ou d'autres traitements. Cependant, dans d'autres cas, la dégénérescence nerveuse peut être irréversible et entraîner des dommages permanents aux nerfs.

Le pied diabétique est un terme médical utilisé pour décrire les complications des pieds liées au diabète. Il s'agit d'une condition potentiellement grave qui peut entraîner des infections, des ulcères et même l'amputation dans les cas graves.

Elle est généralement causée par une combinaison de facteurs, y compris une neuropathie périphérique (dommages aux nerfs qui provoquent une perte de sensation dans les pieds), une mauvaise circulation sanguine, et des lésions ou des infections aux pieds.

Les personnes atteintes de diabète sont plus susceptibles de développer un pied diabétique en raison de leur risque accru de neuropathie et de maladies vasculaires. La prévention est cruciale dans la gestion du pied diabétique, ce qui implique généralement une surveillance régulière des pieds, le maintien d'un contrôle strict de la glycémie, et des soins appropriés des pieds.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).

Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).

Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.

L'angiographie par résonance magnétique (ARM) est une technique d'imagerie médicale non invasive utilisant un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images détaillées des vaisseaux sanguins. Contrairement à l'angiographie conventionnelle, qui nécessite l'injection de produit de contraste dans les vaisseaux sanguins par une ponction artérielle, l'ARM utilise un agent de contraste intraveineux pour améliorer la visualisation des vaisseaux sanguins.

Cette procédure permet aux médecins d'évaluer les malformations vasculaires, les rétrécissements ou les blocages des artères et des veines, ainsi que les anévrismes et les dissections vasculaires. Elle est souvent utilisée pour évaluer les vaisseaux sanguins du cerveau, du cou, du thorax, de l'abdomen et des membres inférieurs.

L'ARM est généralement considérée comme une procédure sûre avec peu d'effets secondaires. Cependant, certaines personnes peuvent présenter des réactions allergiques à l'agent de contraste utilisé pendant la procédure. De plus, les personnes portant des dispositifs médicaux internes, telles que des stimulateurs cardiaques ou des implants cochléaires, doivent informer leur médecin avant de subir une ARM, car ces dispositifs peuvent être affectés par le champ magnétique.

L'ataxie est un terme médical utilisé pour décrire une perte de coordination et de contrôle des mouvements musculaires volontaires, ce qui peut entraîner une démarche instable, des tremblements, des mouvements désordonnés et une mauvaise coordination des mains. Cette condition peut affecter les bras, les jambes, les yeux et la parole.

L'ataxie est souvent causée par des dommages au cervelet, qui est la partie du cerveau responsable de la coordination des mouvements, ou aux voies nerveuses qui vont du cervelet au reste du corps. Les causes courantes de l'ataxie comprennent les maladies dégénératives du cerveau telles que la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et la maladie de Charcot-Marie-Tooth, ainsi que les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, l'alcoolisme chronique et certains médicaments.

Le traitement de l'ataxie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour contrôler les symptômes, une thérapie physique pour aider à améliorer la coordination et la force musculaire, et des modifications de style de vie pour réduire les facteurs de risque. Dans certains cas, l'ataxie peut être progressive et entraîner une invalidité permanente.

... hereditary motor and sensory neuropathy type III) », Nat. Genet., vol. 5, no 3,‎ novembre 1993, p. 266-8. (PMID 7506095, DOI ... ou hereditary motor and sensory polyneuropathy type III, ou maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 3), est une maladie ... EGR2 mutation R359W causes a spectrum of Dejerine-Sottas neuropathy », Neurogenetics, vol. 3, no 3,‎ juillet 2001, p. 153-7. ( ...
Le but de cet article est de faire le point sur les données récentes concernant la génétique des neuropathies périphériques ... hereditary sensory and autonomic neuropathy [HSAN]). ... hereditary motor neuronopathy type II).. + CMT dominant lié à ... B - Neuropathies sensitives et dysautonomiques héréditaires :. 1- Classification :. Les neuropathies sensitives et ... Neuropathies héréditaires focales et récidivantes :. Ces neuropathies héréditaires sensitivomotrices sont caractérisées par des ...
HMSN V refers to a condition marked by a hereditary motor and sensory neuropathy associated with spastic paraplegia (see ... do not confuse with HEREDITARY SENSORY AND AUTONOMIC NEUROPATHIES. Qualificatifs autorisés:. BL sang. CF liquide cérébrospinal ... A group of slowly progressive inherited disorders affecting motor and sensory peripheral nerves. Subtypes include HMSNs I-VII. ... SPASTIC PARAPLEGIA, HEREDITARY). HMSN VI refers to HMSN associated with an inherited optic atrophy (OPTIC ATROPHIES, HEREDITARY ...
  • syndrome de Dejerine-Sottas Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le syndrome de Dejerine-Sottas, ou maladie de Dejerine-Sottas (ou hereditary motor and sensory polyneuropathy type III, ou maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 3), est une maladie neurologique héréditaire caractérisée par la destruction des nerfs périphériques qui se traduit par une dégénérescence musculaire progressive. (wikipedia.org)
  • Entrent dans ce cadre les neuropathies héréditaires sensitivomotrices qui sont de loin les plus fréquentes, la maladie de Charcot-Marie-Tooth (CMT), la neuropathie héréditaire avec hypersensibilité à la pression (NHHP), la névralgie amyotrophiante familiale (NAF) et les neuropathies héréditaires sensitives et dysautonomiques. (medixdz.com)

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