Une augmentation transitoire du nombre de leucocytes dans un corps fluide.
Tester le photo ressemblant à celle d ’ une leucémie ou indifférenciable de ça sur la base des apparences. Bilan Dorland, 27 (éditeur)
Le nombre de blanc par unité de volume des cellules du sang dans le sang veineux. Un différentiel leucocytes mesure les chiffres relatifs aux différents types de globules blancs.
Chez les patients présentant une grande variété de maladies néoplasiques les photos qui sont généralement télécommande effets indirects et produit par tumeur cellule métabolites ou d'autres produits.
Une augmentation du nombre de plaquettes dans le sang périphérique, 27ème Dorland. (Éditeur)
Un syndrome clinique caractérisée par une hémorragie spontanée et remarquable augmentation du nombre des plaquettes circulantes.
Un syndrome myéloprolifératif d'étiologie inconnue, caractérisé par hématopoïétiques prolifération anormale de tous les éléments de la moelle osseuse et une augmentation de masse globulaire et le volume sanguin total, associées fréquemment avec splénomégalie, leucocytose, et thrombocythemia. Hématopoïèse est également réactives envahissement sites (dans le foie et la rate), à temps myélofibrose survient.
Niveau anormalement élevé de calcium dans le sang.
L 'élargissement de la rate.
Excès de la normale lymphocytes dans le sang ou dans un épanchement.
Conditions pouvant causer la prolifération hématologique des échantillons de tissus hemopoietically actif ou de tissus embryonnaires a hemopoietic potentiel. Ça implique de Dysrégulation multipotent myéloïde des cellules souches, le plus souvent provoqués par une mutation dans le JAK2 tyrosine kinase des protéines.
Une glycoprotéine de MW 25 kDa contenant disulfures interne obligations. Il provoque la survie, à la prolifération et précurseur granulocyte neutrophilique différenciation des cellules et fonctionnellement active mature sang des granulocytes neutrophiles. Parmi la famille de colony-stimulating facteurs, le G-CSF est le plus puissant inducteur du terminal différenciation de granulocytes et les macrophages lignées cellulaires de leucémie myéloïde.
Anémie caractérisée par l ’ apparition de globules rouges nucléés myéloïde immature et dans le sang périphérique, résultant d'infiltration de la moelle osseuse par étrangère ou les tissus anormaux.
Globules blancs. Elles comportent granuleux leucocytes (basophiles, éosinophiles ; et des granulocytes neutrophiles) ainsi que non-granular leucocytes (lymphocytes, monocytes).
Protéines transmembranaire Lectin-Like consistant en un domaine, un domaine factor-like de croissance épidermique, et une variable relative au nombre de domaines qui sont détaillés homologue des protéines régulatrices. Ils sont importants cellule adhésines attachent aux leucocytes qui aident VASCULAR endothélium.
Inflammation du COLONIC diverticula. Généralement avec abcès en formation et la perforation.
Mort résultant de la présence d'une maladie dans un individu, comme indiqué par un seul rapport ou un nombre limité de patients. Ça devrait être différenciés des physiologique l ’ arrêt de mort, la vie et d'une époque, une surveillance épidémiologique ou concept statistique.
Une espèce de bactéries aérobies à Gram négatif, c'est l'agent causal de HURLANT toussent. Ses cellules sont minuscules coccobacilli qui sont entourés de bave fourreau.
Avoir un noyau leucocytes granuleuse avec trois à cinq lobes connectés par mince des fils de Chromatin et cytoplasme contenant bien discret granulés et stainable par neutre du colorant.
Un inhibiteur de novo myeloproliferation anormale imposées par une cellule souche. C'est caractérisé par le remplacement de moelle osseuse par tissus fibreux, un processus qui est médiée par cytokines arising from the abnormal clone.
Une élévation anormale de la température corporelle, souvent à cause d'un processus pathologique.
État caractérisé par de volumineux, rapidement extension, éruption érythémateuse, tendre plaques sur le haut du corps habituellement accompagnés de fièvre et d ’ infiltration des leucocytes neutrophilique dermique. Il se fait principalement dans les femmes d'âge moyen est souvent précédées par une infection des voies respiratoires supérieures, et cliniquement ressemble à érythème polymorphe. Gentil syndrome est associée à une leucémie.
Composés binaire d'oxygène contenant les résines O (2). Les résines associe avec pour former des phosphatases oxydes et non-metals pour former acide oxydes.
Le nombre de PLAQUETTES par unité de volume dans un échantillon de sang veineux.
Le nombre de leucocytes et les hématies par unité de volume dans un échantillon de sang veineux. Une Numération Formule Sanguine complète (NFS) inclut également le dosage de l'hémoglobine, hématocrite ; et de la phase III.
Une maladie inflammatoire composée de maladie des yeux la mirtazapine étant kératite interstitielle, dysfonction vestibuloauditory et large- à medium-vessel vascularite.
Anormale de la sensibilité à la lumière. Ça peut être due à une manifestation de EYE maladies ; MIGRAINE ; hémorragie cérébrale sous-arachnoïdien ; méningite ; et d ’ autres troubles. Photophobie peuvent également survenir en association avec une dépression mentale et autres DISORDERS.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Inflammation de la cornée.
Un ovale maigrichon chambre de l'oreille interne, une partie de votre crâne labyrinthe. C'est continue avec osseux cochlée antérieurement et Semicircular CANALS postérieurement. Le vestibule contient deux sacs communiquer (Utricule et saccule) de l'équilibre. Le bureau ovale fenêtre sur la paroi latérale est occupée par la base de l'étrier de l'artère oreille.
Un groupe de symptôme vous procédures opératoires plus fréquente chez ceux qui travaillent dans des grands immeubles, économisant, associés à une augmentation de la fréquence de maux de tête, léthargie, et sécheresse de la peau. Les signes cliniques inclure hypersensibilité pneumopathie (alvéolite allergique extrinsèque (rhinite), rhinite allergique perannuelle, allergique, asthme, infections) ; éruptions cutanées et les muqueuses irritation tardifs. Notre usage actuel tend à être moins strictes concernant le type de bâtiment et attribution des plaintes. (De Segen, Dictionary of Modern Medicine, 1992)
Une caractéristique complexe de symptomes.

L'hyperleucocytose est un terme médical désignant un taux anormalement élevé de leucocytes (globules blancs) dans le sang. Le taux normal de leucocytes dans le sang se situe généralement entre 4 000 et 11 000 cellules par microlitre de sang. Un compte de plus de 11 000 leucocytes par microlitre est considéré comme une hyperleucocytose.

Cette condition peut être causée par diverses affections, y compris des infections bactériennes ou virales graves, des maladies inflammatoires, des réactions allergiques sévères, des leucémies et d'autres troubles hématologiques. Les symptômes associés à l'hyperleucocytose peuvent inclure de la fièvre, des sueurs nocturnes, des douleurs osseuses ou articulaires, une fatigue extrême et des infections fréquentes. Il est important de noter que certains médicaments et traitements, comme la chimiothérapie, peuvent également provoquer une hyperleucocytose temporaire.

La réaction leucémoïde est un terme utilisé en médecine pour décrire une augmentation soudaine et significative du nombre de globules blancs dans le sang, semblable à ce qui est observé dans la leucémie. Cependant, contrairement à la leucémie, cette condition est généralement temporaire et réversible.

Les réactions leucémoïdes peuvent être déclenchées par divers facteurs, tels qu'une infection sévère, une inflammation grave, des traumatimes graves, certains médicaments ou maladies chroniques sous-jacentes telles que la maladie de Crohn ou le cancer.

Les symptômes d'une réaction leucémoïde peuvent inclure fièvre, fatigue, sueurs nocturnes, perte de poids et douleurs articulaires. Le diagnostic est généralement posé sur la base des résultats d'un examen sanguin complet qui montre une augmentation marquée du nombre de globules blancs.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la réaction leucémoïde. Dans certains cas, aucun traitement spécifique n'est nécessaire et la condition se résout d'elle-même une fois que la cause est éliminée. Dans d'autres cas, un traitement antibiotique ou antifongique peut être nécessaire pour combattre une infection sous-jacente. Si la réaction leucémoïde est causée par une maladie chronique sous-jacente, le traitement de cette maladie est essentiel pour prévenir les récidives.

La numération leucocytaire, également connue sous le nom de compte leucocytaire ou granulocytes totaux, est un test de laboratoire couramment demandé qui mesure le nombre total de globules blancs (leucocytes) dans un échantillon de sang. Les globules blancs sont une partie importante du système immunitaire et aident à combattre les infections et les maladies.

Un échantillon de sang est prélevé dans une veine et envoyé au laboratoire pour analyse. Le technicien de laboratoire utilise ensuite une méthode appelée numération différentielle pour compter et classer les différents types de globules blancs, tels que les neutrophiles, les lymphocytes, les monocytes, les éosinophiles et les basophiles.

Les résultats de la numération leucocytaire peuvent aider à diagnostiquer une variété de conditions médicales, telles que les infections, l'inflammation, les maladies auto-immunes, les troubles sanguins et certains cancers. Des taux anormalement élevés ou bas de globules blancs peuvent indiquer la présence d'une infection, d'une inflammation ou d'autres problèmes de santé sous-jacents.

Il est important de noter que les résultats de la numération leucocytaire doivent être interprétés en conjonction avec d'autres tests et informations cliniques pour poser un diagnostic précis et déterminer le plan de traitement approprié.

Les syndromes paranéoplasiques sont un ensemble de symptômes et de signes qui se manifestent chez les patients atteints de cancer, mais qui ne sont pas directement liés à la tumeur elle-même ou à sa propagation (métastases). Ils sont plutôt dus à des substances chimiques libérées par les cellules cancéreuses dans le sang, appelées facteurs paranéoplasiques. Ces facteurs peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, provoquant une grande variété de symptômes allant de troubles neurologiques, endocriniens, cutanés, rhumatologiques à des problèmes cardiovasculaires et respiratoires.

Les syndromes paranéoplasiques peuvent précéder le diagnostic du cancer principal, ce qui peut aider au dépistage précoce de la maladie. Ils sont souvent réversibles avec un traitement approprié du cancer sous-jacent. Cependant, certains syndromes paranéoplasiques peuvent persister même après le traitement réussi du cancer, en fonction de la gravité et de la durée d'exposition aux facteurs paranéoplasiques.

Exemples courants de syndromes paranéoplasiques incluent le syndrome de Lambert-Eaton associé au petit cancer du poumon, l'encéphalomyélite myalgique associée au cancer du sein, le syndrome de Cushing dû à un adénome pulmonaire à cellules corticotropes et le purpura thrombocytopénique immunologique associé aux lymphomes.

La thrombocytose est un terme utilisé en médecine pour décrire une augmentation anormale du nombre de plaquettes (thrombocytes) dans le sang. Les plaquettes sont des petites cellules sanguines qui jouent un rôle crucial dans la coagulation sanguine et l'arrêt des saignements.

Une thrombocytose peut être classée comme réactive ou essentielle. La thrombocytose réactive est souvent observée en réponse à une maladie sous-jacente, telle qu'une infection, une inflammation, une intervention chirurgicale, une hémorragie aiguë, une maladie néoplasique ou une carence en fer. Dans ces cas, le nombre de plaquettes revient généralement à la normale une fois que la cause sous-jacente est traitée.

D'un autre côté, la thrombocytose essentielle, également appelée thrombocytose primaire, est une affection myéloproliférative chronique caractérisée par une production excessive de plaquettes dans la moelle osseuse. Cette forme de thrombocytose n'est pas directement liée à une autre maladie et peut entraîner des complications telles que des saignements ou des risques accrus de formation de caillots sanguins (thrombose).

Il est important de noter qu'une thrombocytose légère à modérée peut ne pas provoquer de symptômes et être détectée lors d'examens sanguins de routine. Cependant, des niveaux élevés de plaquettes peuvent entraîner des complications graves telles que des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques ou des embolies pulmonaires. Par conséquent, il est essentiel d'identifier et de traiter la cause sous-jacente de la thrombocytose pour prévenir ces complications potentiellement mortelles.

La thrombocytémie hémorragique est un trouble rare de la coagulation sanguine caractérisé par une production excessive de plaquettes (thrombocytes) dans la moelle osseuse. Cette condition peut entraîner la formation de caillots sanguins (thromboses) ou, paradoxalement, des saignements excessifs (hémorragies) en raison d'un déséquilibre dans la régulation de l'hémostase.

Il existe deux types principaux de thrombocytémie hémorragique: la forme essentielle et la forme secondaire. La forme essentielle, également appelée thrombocytose essentielle, est une affection primaire qui n'est associée à aucune autre maladie sous-jacente. Elle est souvent asymptomatique mais peut présenter des symptômes tels que maux de tête, vertiges, acouphènes, vision trouble, fatigue et épisodes thrombotiques ou hémorragiques.

La forme secondaire de thrombocytémie hémorragique est liée à une maladie sous-jacente, comme une infection, une inflammation, une intervention chirurgicale récente, un traumatisme, une carence en fer ou une affection myéloproliférative chronique (comme la polycythémie vraie, la myélofibrose primitive ou la leucémie myéloïde chronique).

Le diagnostic de thrombocytémie hémorragique repose sur des tests sanguins qui montrent un nombre élevé de plaquettes (généralement supérieur à 450 000-600 000 par microlitre) et l'exclusion d'autres causes possibles de thrombocytose. Le traitement dépend du type de thrombocytémie hémorragique et des symptômes présentés par le patient. Dans les cas légers, aucun traitement n'est nécessaire. Cependant, dans les cas sévères ou lorsque la maladie sous-jacente est identifiée, un traitement spécifique peut être recommandé, comme l'aspirine à faible dose, l'hydroxyurée ou l'interféron alpha. Dans certains cas graves, une phlébotomie ou une greffe de moelle osseuse peuvent être envisagées.

La polyglobulie primitive essentielle, également connue sous le nom de polycythémie vraie ou maladie de Vaquez, est un trouble myéloprolifératif caractérisé par une prolifération excessive et autonome des érythroblastes dans la moelle osseuse, entraînant une production accrue d'érythrocytes (globules rouges), de leucocytes (globules blancs) et de plaquettes. Cela conduit à un volume globulaire élevé (HCT) et à une concentration élevée en hémoglobine (Hb).

Contrairement aux autres types de polyglobulie, la polyglobulie primitive essentielle n'est pas causée par une réponse secondaire à une hypoxie ou à une autre maladie sous-jacente. Au lieu de cela, il s'agit d'une affection chronique qui résulte généralement d'une mutation acquise dans le gène JAK2 (janus kinase 2), bien que des mutations dans d'autres gènes puissent également être responsables dans certains cas.

Les symptômes de la polyglobulie primitive essentielle peuvent inclure des maux de tête, une fatigue, une sensation d'étourdissement, une rougeur du visage, une vision trouble, des acouphènes et une augmentation du risque de thrombose (caillots sanguins) en raison de la viscosité élevée du sang. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'une combinaison d'anomalies sanguines, d'un examen physique et d'études d'imagerie, ainsi que de tests génétiques pour détecter une mutation JAK2.

Le traitement de la polyglobulie primitive essentielle vise généralement à réduire le volume globulaire et la viscosité du sang afin de minimiser le risque de complications thrombotiques. Cela peut inclure des procédures telles que la phlébotomie (prélèvement de sang) ou l'utilisation de médicaments pour abaisser les taux d'hématocrite et d'hémoglobine. D'autres traitements peuvent être nécessaires pour gérer les symptômes spécifiques ou les complications associées à la maladie.

L'hypercalcémie est une condition médicale caractérisée par un taux anormalement élevé de calcium dans le sang, généralement supérieur à 10,5 mg/dL (2,6 mmol/L). Le calcium est un minéral essentiel qui joue un rôle crucial dans plusieurs fonctions corporelles, telles que la transmission des signaux nerveux, la contraction musculaire et la coagulation sanguine.

Cependant, lorsque les niveaux de calcium dans le sang deviennent trop élevés, cela peut entraîner une variété de symptômes désagréables et même dangereux. L'hypercalcémie peut être causée par plusieurs facteurs, notamment des maladies des glandes parathyroïdes, des cancers, des infections, certains médicaments, l'insuffisance rénale et la déshydratation.

Les symptômes de l'hypercalcémie peuvent inclure la fatigue, la faiblesse, la constipation, la nausée, la perte d'appétit, la soif excessive, la miction fréquente, les douleurs osseuses, les crampes musculaires, l'agitation, la confusion et dans les cas graves, des convulsions ou un coma. Le traitement de l'hypercalcémie dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour abaisser le taux de calcium dans le sang, une hydratation adéquate, une restriction alimentaire en calcium et la correction de toute maladie sous-jacente.

La splénomégalie est un terme médical qui décrit l'élargissement anormal de la rate. La rate est un organe situé dans le côté supérieur gauche de l'abdomen, près de l'estomac et du diaphragme. Elle joue un rôle important dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections et en éliminant les globules rouges usés.

Normalement, la rate ne devrait pas être palpable, c'est-à-dire qu'on ne devrait pas pouvoir la sentir lors d'un examen physique. Cependant, lorsqu'elle est hypertrophiée ou élargie, elle peut devenir assez grande pour être ressentie pendant un examen médical.

La splénomégalie peut être causée par diverses affections, y compris les infections (comme la mononucléose infectieuse), les maladies du sang (telles que la leucémie ou l'anémie falciforme), les maladies hépatiques (comme la cirrhose), les troubles inflammatoires (comme le lupus érythémateux disséminé) et certains cancers.

Les symptômes associés à la splénomégalie dépendent de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, la personne peut ne présenter aucun symptôme autre que la sensation d'une masse dans le côté supérieur gauche de l'abdomen. Cependant, si la rate est fortement élargie, elle peut provoquer une sensation de satiété précoce, des douleurs abdominales, une fatigue accrue et parfois même une gêne respiratoire en raison de la pression sur le diaphragme.

Il est important de noter que la splénomégalie elle-même n'est pas une maladie mais plutôt un signe d'une affection sous-jacente. Par conséquent, il est crucial de consulter un médecin si vous ressentez une masse dans votre abdomen ou présentez des symptômes associés à la splénomégalie afin de diagnostiquer et de traiter correctement la cause sous-jacente.

L'hyperlymphocytose est un terme médical qui décrit une condition où il y a une augmentation anormale du nombre de lymphocytes dans le sang. Les lymphocytes sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections et les maladies.

Normalement, le taux de lymphocytes dans le sang se situe entre 1 000 et 4 800 cellules par microlitre (μL). Cependant, lorsqu'il y a une hyperlymphocytose, le nombre de lymphocytes dépasse ce niveau normal.

L'hyperlymphocytose peut être causée par diverses affections, allant d'infections virales bénignes à des maladies graves telles que les leucémies et les lymphomes. Dans certains cas, une hyperlymphocytose peut également être observée chez des personnes en bonne santé, en particulier après une infection récente ou un stress physique important.

Il est important de noter que l'hyperlymphocytose à elle seule ne diagnostique pas une maladie spécifique et doit être évaluée dans le contexte d'autres symptômes et résultats de tests de laboratoire pour déterminer la cause sous-jacente.

Les syndromes myéloprolifératifs (SMP) représentent un groupe de troubles hématologiques caractérisés par la prolifération clonale d'un ou plusieurs types de cellules myéloïdes dans la moelle osseuse. Cela conduit à une production excessive de globules blancs, de plaquettes et/ou d'érythrocytes immatures. Les SMP comprennent :

1. La polycythémie vraie (PV): Une augmentation du nombre de globules rouges dans le sang, souvent accompagnée d'une surproduction de globules blancs et/ou de plaquettes.
2. La thrombocytose essentielle (TE): Une élévation anormale du nombre de plaquettes dans le sang sans cause sous-jacente évidente.
3. La myélofibrose primitive (MFP): Un trouble caractérisé par une prolifération excessive de cellules myéloïdes immatures, entraînant une fibrose de la moelle osseuse et une cytopénie.
4. La leucémie myélomonocytaire chronique (LMMC): Une maladie rare dans laquelle il y a une prolifération excessive de cellules myéloïdes immatures, entraînant une augmentation du nombre de globules blancs dans le sang.
5. La néoplasie myéloproliférative atypique (NMPA): Un diagnostic utilisé lorsqu'un patient présente des caractéristiques de SMP mais ne répond pas aux critères diagnostiques spécifiques d'aucune des catégories ci-dessus.

Les SMP peuvent entraîner une augmentation du risque de thrombose, d'hémorragie et de transformation en leucémie aiguë myéloïde (LAM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie et peut inclure des médicaments, une thérapie ciblée, une greffe de cellules souches ou une surveillance attentive.

Le facteur de croissance granulocytaire (G-CSF, selon son acronyme en anglais) est une glycoprotéine qui stimule la production, la différenciation et la libération des granulocytes, un type de globules blancs, à partir de leur cellule souche dans la moelle osseuse. Il s'agit d'une cytokine qui joue un rôle crucial dans la régulation de la fonction immunitaire et hématopoïétique.

Le G-CSF est sécrété en réponse à une infection ou une inflammation, ce qui entraîne une augmentation du nombre de granulocytes circulants pour aider à combattre l'infection. Il peut également être utilisé comme médicament pour traiter les neutropénies, une diminution anormale du nombre de granulocytes dans le sang, qui peuvent survenir en raison d'une chimiothérapie ou d'une radiothérapie anticancéreuses, d'une infection grave ou d'autres affections médicales.

Le G-CSF est souvent administré sous forme de filgrastim (nom de marque Neupogen) ou de pegfilgrastim (nom de marque Neulasta), qui sont des versions recombinantes du facteur de croissance granulocytaire humain. Ces médicaments sont généralement bien tolérés, mais peuvent entraîner des effets secondaires tels que des douleurs osseuses, des maux de tête, des nausées et une fatigue.

L'anémie myélophthisique est un type d'anémie (diminution du nombre de globules rouges dans le sang) qui se produit lorsque la moelle osseuse, la substance spongieuse à l'intérieur des os, est incapable de produire suffisamment de cellules sanguines en raison de la présence d'une maladie sous-jacente. Cette maladie peut être un cancer des cellules souches sanguines (comme la leucémie) ou une maladie non cancéreuse qui endommage la moelle osseuse, comme une fibrose ou une sclérose de la moelle osseuse.

Dans l'anémie myélophthisique, les cellules souches hématopoïétiques de la moelle osseuse sont remplacées par des cellules anormales ou des tissus cicatriciels, ce qui entraîne une production insuffisante de globules rouges, de globules blancs et de plaquettes. Les symptômes courants de l'anémie myélophthisique comprennent la fatigue, la faiblesse, les essoufflements, les infections fréquentes et les saignements faciles.

Le diagnostic d'anémie myélophthisique repose sur des tests sanguins qui montrent une anémie avec une moelle osseuse anormale. Le traitement de l'anémie myélophthisique dépend de la maladie sous-jacente et peut inclure des transfusions sanguines, des médicaments pour stimuler la production de cellules sanguines ou une greffe de moelle osseuse.

Les leucocytes, également connus sous le nom de globules blancs, sont un type de cellules sanguines qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils aident à combattre les infections et les maladies en détectant et en détruisant les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus, les champignons et les parasites.

Il existe plusieurs types de leucocytes, chacun ayant des fonctions spécifiques dans la défense de l'organisme. Les cinq principaux types sont :

1. Neutrophiles : Ils représentent environ 55 à 70 % de tous les leucocytes et sont les premiers à répondre aux infections. Ils peuvent engloutir et détruire les agents pathogènes.
2. Lymphocytes : Ils constituent environ 20 à 40 % des leucocytes et sont responsables de la reconnaissance et de la mémorisation des agents pathogènes spécifiques. Il existe deux types principaux de lymphocytes : les lymphocytes B, qui produisent des anticorps pour neutraliser les agents pathogènes, et les lymphocytes T, qui aident à coordonner la réponse immunitaire et peuvent détruire directement les cellules infectées.
3. Monocytes : Ils représentent environ 2 à 8 % des leucocytes et ont la capacité d'engloutir de grandes quantités de matériel étranger, y compris les agents pathogènes. Une fois dans les tissus, ils se différencient en cellules appelées macrophages.
4. Eosinophiles : Ils représentent environ 1 à 3 % des leucocytes et sont impliqués dans la réponse aux parasites et aux allergies. Ils libèrent des substances chimiques qui aident à combattre ces menaces, mais peuvent également contribuer à l'inflammation et aux dommages tissulaires.
5. Basophiles : Ils représentent moins de 1 % des leucocytes et sont impliqués dans la réponse inflammatoire et allergique. Ils libèrent des substances chimiques qui attirent d'autres cellules immunitaires vers le site de l'inflammation ou de l'infection.

Les numérations globulaires complètes (NGC) sont souvent utilisées pour évaluer les niveaux de ces différents types de globules blancs dans le sang. Des taux anormaux peuvent indiquer la présence d'une infection, d'une inflammation ou d'autres problèmes de santé sous-jacents.

Les sélectines sont un type de protéines qui se trouvent à la surface des cellules et jouent un rôle crucial dans le système immunitaire et les processus inflammatoires. Elles sont responsables du processus de sélection et d'adhésion entre les cellules, ce qui permet aux cellules immunitaires de reconnaître et d'interagir avec d'autres cellules spécifiques dans l'organisme.

Les sélectines se lient à des sucres complexes appelés glycans, qui sont présents sur la surface de certaines cellules. Cette interaction permet aux cellules immunitaires de s'arrimer temporairement aux cellules cibles avant que d'autres mécanismes plus spécifiques ne prennent le relais pour faciliter l'interaction et la communication entre les cellules.

Les sélectines sont classées en trois types : L-sélectine, P-sélectine et E-sélectine, qui diffèrent par leur distribution tissulaire et leur expression temporelle. Les L-sélectines sont exprimées sur les leucocytes (globules blancs) et jouent un rôle important dans l'adhésion des leucocytes aux cellules endothéliales des vaisseaux sanguins pendant l'inflammation. Les P-sélectines sont exprimées par les plaquettes et les cellules endothéliales et jouent un rôle dans l'hémostase et l'inflammation. Enfin, les E-sélectines sont exprimées par les cellules endothéliales activées et jouent un rôle dans l'adhésion des leucocytes aux sites d'inflammation.

Dans l'ensemble, les sélectines sont des protéines importantes qui contribuent à la régulation de processus complexes tels que l'immunité et l'inflammation.

La diverticulite colique est une affection médicale qui affecte le côlon (gros intestin). Elle survient lorsque des petites poches, appelées diverticules, se forment dans la paroi du côlon et deviennent inflammées ou infectées. Ces diverticules sont courants chez les personnes âgées de plus de 40 ans, en particulier dans les pays développés où l'alimentation est souvent pauvre en fibres.

Dans la plupart des cas, les diverticules ne causent aucun symptôme et sont découverts lors d'examens médicaux de routine. Cependant, si des particules de nourriture ou de matières fécales s'accumulent dans ces poches et s'infectent, cela peut entraîner une inflammation et une infection du côlon, ce qui est appelé diverticulite.

Les symptômes courants de la diverticulite colique comprennent des douleurs abdominales sévères, en particulier dans le bas gauche de l'abdomen, de la fièvre, des nausées et des vomissements, une perte d'appétit, une constipation ou une diarrhée, et des ballonnements. Dans les cas graves, la diverticulite peut entraîner des complications telles que des abcès, des fistules, des perforations du côlon ou une péritonite, qui est une infection de la cavité abdominale.

Le traitement de la diverticulite colique dépend de la gravité de l'affection. Dans les cas légers à modérés, le repos au lit, une alimentation liquide et des antibiotiques peuvent être suffisants pour traiter l'infection. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever la partie affectée du côlon.

Il est important de noter que la diverticulite colique peut être prévenue en adoptant un régime alimentaire riche en fibres, en faisant de l'exercice régulièrement et en évitant les aliments qui peuvent irriter le côlon, tels que les aliments gras, épicés ou riches en sucre.

Un résultat fatal en médecine se réfère à un décès ou au fait de causer la mort. C'est un terme utilisé pour décrire un résultat particulièrement grave d'une maladie, d'un traumatisme ou d'une procédure médicale. Un résultat fatal peut être attendu dans certaines situations, comme dans le cas de maladies avancées et terminaux, ou peut être imprévu et survenir même avec un traitement approprié. Dans les deux cas, il s'agit d'un événement tragique qui a des implications importantes pour les patients, leurs familles et les professionnels de la santé qui les prennent en charge.

Bordetella pertussis est une bactérie gram-negative, encapsulée, à croissance lente qui est le principal agent causal de la coqueluche, une maladie respiratoire hautement contagieuse et grave. Cette bactérie possède plusieurs facteurs virulents, dont les pertussis toxine, filamentes hémolysantes, fimbriae et adésines, qui lui permettent de se fixer et de coloniser les cellules ciliées de l'épithélium respiratoire.

La coqueluche est caractérisée par trois stades cliniques: catarrhal, paroxystique et convalescent. Les symptômes du stade catarrhal comprennent un écoulement nasal, une toux sèche et des éternuements. Le stade paroxystique est marqué par des quintes de toux violentes et persistantes, souvent suivies d'un inspir interrompu caractéristique, appelé "chant du coq". Ces accès de toux peuvent entraîner des vomissements et une cyanose. Le stade convalescent est marqué par une réduction progressive de la fréquence et de l'intensité des quintes de toux, mais elles peuvent persister pendant plusieurs semaines ou mois.

La transmission de B. pertussis se produit principalement par voie aérienne, à travers les gouttelettes respiratoires émises lors de la toux ou des éternuements d'une personne infectée. La période d'incubation varie généralement de 7 à 10 jours, mais peut aller jusqu'à 21 jours. Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus vulnérables aux complications graves de la coqueluche, telles que la pneumonie, l'insuffisance respiratoire et les convulsions.

Le diagnostic de la coqueluche repose sur la combinaison des antécédents cliniques, des signes et symptômes, et des résultats des tests de laboratoire. Les méthodes de diagnostic comprennent la culture de B. pertussis à partir d'un écouvillon nasopharyngé, la détection de l'ADN de B. pertussis par PCR et la détermination du titre des anticorps spécifiques de B. pertussis dans le sérum.

Le traitement de la coqueluse antibiothérapie à base d'érythromycine, d'azithromycine ou de clarithromycine. Le traitement précoce peut réduire la durée et la contagiosité de la maladie, mais il ne prévient pas nécessairement les complications graves. Les mesures de contrôle comprennent l'isolement des personnes infectées, la vaccination et la prophylaxie antibiotique des contacts étroits.

La prévention de la coqueluche repose sur la vaccination. Le vaccin contre la coqueluche est généralement administré en combinaison avec d'autres vaccins dans le cadre du programme national d'immunisation. Les vaccins actuellement disponibles aux États-Unis sont des vaccins acellulaires qui contiennent des antigènes purifiés de B. pertussis. Les vaccins contre la coqueluche sont recommandés pour tous les enfants, à commencer par une série primaire de trois doses à l'âge de 2 mois, 4 mois et 6 mois, suivie d'un rappel entre 15 et 18 mois. Un autre rappel est recommandé entre 4 et 6 ans, avant l'entrée à l'école primaire. Les adolescents et les adultes doivent recevoir un rappel tous les 10 ans pour maintenir une immunité protectrice.

La coqueluche est une maladie infectieuse causée par la bactérie Bordetella pertussis. Elle se transmet d'une personne à l'autre par des gouttelettes respiratoires qui sont projetées dans l'air lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes de la coqueluche comprennent une toux sévère et persistante, souvent accompagnée d'un sifflement ou d'un reniflement, et des quintes de toux qui peuvent entraîner des vomissements ou une respiration sifflante. Les nourrissons de moins de 6 mois sont les plus susceptibles de développer des complications graves, telles que la pneumonie, l'insuffisance respiratoire et même la mort.

La coqueluche est une maladie très contagieuse qui peut se propager rapidement dans les communautés. Les personnes non vaccinées ou dont le schéma de vaccination n'est pas à jour sont les plus susceptibles d'être infectées. La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir la coqueluche. Les vaccins contre la coqueluche sont sûrs et efficaces, et ils offrent une protection durable contre la maladie.

Il est important de se faire vacciner contre la coqueluche pour se protéger soi-même et les autres, en particulier les nourrissons qui ne peuvent pas encore être vaccinés. Les personnes qui sont en contact étroit avec des nourrissons, telles que les parents, les grands-parents, les frères et sœurs, les baby-sitters et les fournisseurs de soins de santé, devraient également se faire vacciner pour aider à prévenir la propagation de la maladie.

La coqueluche est une maladie grave qui peut entraîner des complications graves, en particulier chez les nourrissons de moins de 6 mois. La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir la coqueluche et de protéger les personnes les plus vulnérables. Il est important de se faire vacciner contre la coqueluche pour se protéger soi-même et les autres, en particulier les nourrissons qui ne peuvent pas encore être vaccinés.

Les granulocytes neutrophiles, également simplement appelés neutrophiles, sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils font partie des granulocytes, qui sont ainsi nommés en raison de la présence de granules dans leur cytoplasme.

Les neutrophiles sont les globules blancs les plus abondants dans le sang périphérique. Ils sont produits dans la moelle osseuse et ont une durée de vie courte, généralement moins d'un jour.

Leur fonction principale est de protéger l'organisme contre les infections. Lorsqu'un agent pathogène pénètre dans le corps, des molécules spéciales appelées cytokines sont libérées pour alerter les neutrophiles. Ces derniers migrent alors vers le site de l'infection grâce à un processus appelé diapédèse.

Une fois sur place, ils peuvent ingérer et détruire les agents pathogènes par phagocytose, une forme de défense non spécifique contre les infections. Ils relarguent également des substances toxiques contenues dans leurs granules pour tuer les micro-organismes. Un nombre anormalement bas de neutrophiles dans le sang (neutropénie) peut rendre une personne plus susceptible aux infections.

La principale myélofibrose (PMF) est une forme rare et progressive de cancer des cellules souches sanguines qui commence dans la moelle osseuse. Dans la PMF, la moelle osseuse devient rigide et fibreuse (myélofibrose), ce qui entrave sa capacité à produire des cellules sanguines saines.

Au fil du temps, le nombre de globules rouges, de globules blancs et de plaquettes dans le sang peut diminuer, entraînant une anémie, une neutropénie (diminution du nombre de neutrophiles) et une thrombocytopénie (diminution du nombre de plaquettes).

La PMF peut également provoquer une augmentation du volume de la rate (splénomégalie), qui peut entraîner des douleurs abdominales, une sensation de satiété précoce et, dans certains cas, une rupture de la rate. Les complications supplémentaires peuvent inclure des transformations en leucémie aiguë myéloïde (LAM) et un risque accru de thrombose et d'hémorragie.

Bien que la cause exacte de la PMF ne soit pas claire, certains cas soient associés à des mutations génétiques spécifiques, telles que JAK2V617F, MPL et CALR. Le diagnostic de PMF est généralement posé par une biopsie de moelle osseuse et un examen du sang.

Le traitement de la PMF vise à soulager les symptômes et à ralentir la progression de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments pour stimuler la production de cellules sanguines, des agents antithrombotiques pour réduire le risque de thrombose, des immunomodulateurs et des thérapies ciblées contre les mutations génétiques spécifiques. Dans certains cas, une greffe de moelle osseuse peut être considérée comme un traitement potentiellement curatif.

La fièvre est un symptôme commun et non une maladie en soi. Il s'agit d'une élévation de la température centrale du corps au-dessus de la plage normale, généralement définie comme supérieure à 38 degrés Celsius (100,4 degrés Fahrenheit). La fièvre est régulée par le système nerveux central et est souvent une réponse naturelle du corps à une infection ou à une inflammation.

Elle peut être causée par divers facteurs, y compris les infections virales ou bactériennes, les réactions allergiques, certaines maladies auto-immunes, les traumatismes, les cancers et certains médicaments. La fièvre fait partie du processus de défense naturel de l'organisme contre les agents infectieux. Elle aide à combattre les infections en accélérant les fonctions métaboliques et en augmentant la production de globules blancs, qui sont des cellules importantes dans le système immunitaire.

Cependant, une fièvre élevée ou prolongée peut être inconfortable et entraîner des symptômes tels que des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires et une fatigue excessive. Dans certains cas, il peut être nécessaire de la traiter pour réduire l'inconfort et prévenir les complications. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous avez une fièvre accompagnée de symptômes graves ou persistants, ou si elle ne semble pas liée à une infection ou à une autre cause évidente.

Sweet Syndrome, également connu sous le nom de dermatose à IgA associée aux neutrophiles, est une condition cutanée rare et inflammatoire caractérisée par l'apparition soudaine de lésions cutanées douloureuses et érythémateuses (rouges), souvent accompagnées de fièvre et d'une augmentation du nombre de globules blancs, en particulier les neutrophiles. Les lésions cutanées peuvent varier en apparence, allant des papules aux plaques, aux nodules ou aux vésicules, et sont souvent localisées sur le visage, le cou, les mains, les bras et les jambes.

Sweet Syndrome peut être classé en deux types : la forme idiopathique, qui n'a pas de cause sous-jacente claire, et la forme associée à une maladie sous-jacente, telle qu une infection, un cancer (par exemple, leucémie myélogène aiguë), une grossesse ou une maladie inflammatoire chronique (telle que la maladie de Behçet).

Le diagnostic de Sweet Syndrome repose sur les critères cliniques et histopathologiques. Le traitement dépend de la forme de la maladie et peut inclure des corticostéroïdes systémiques, des médicaments immunosuppresseurs ou des agents ciblant spécifiquement les neutrophiles. Dans certains cas, le traitement de la maladie sous-jacente peut entraîner une résolution des symptômes de Sweet Syndrome.

Les oxydes sont, en termes généraux, des composés chimiques qui contiennent de l'oxygène combiné avec un autre élément. Dans le contexte médical et biochimique, on s'intéresse souvent aux oxydes métalliques, qui forment lorsque les métaux réagissent avec l'oxygène.

Certains oxydes sont essentiels à la vie. Par exemple, l'eau (H2O), un oxyde d'hydrogène, est nécessaire à toutes les formes de vie connues. L'ozone (O3), une forme allotropique de l'oxygène, joue un rôle crucial dans la stratospère en absorbant une grande partie des rayons ultraviolets du Soleil, protégeant ainsi la Terre.

Cependant, certains oxydes peuvent également être nocifs ou toxiques. Par exemple, le monoxyde de carbone (CO), un oxyde du carbone, est une substance hautement toxique qui peut entraîner une intoxication au monoxyde de carbone, souvent causée par une mauvaise ventilation des appareils à combustion.

En pathologie et en pharmacologie, certains oxydes sont également importants. Par exemple, l'ion superoxyde (O2−), un radical libre réactif de l'oxygène, est produit lors du métabolisme cellulaire normal et peut jouer un rôle dans les dommages oxydatifs aux cellules et à l'ADN. Des médicaments comme la superoxyde dismutase (un type d'enzyme) sont utilisés pour traiter certaines conditions en neutralisant ces radicaux libres nocifs.

La numération plaquettaire, également connue sous le nom de compte de plaquettes ou test de plaquettes, est un examen de laboratoire utilisé pour évaluer le nombre de plaquettes dans un échantillon de sang. Les plaquettes, qui sont des fragments cellulaires produits dans la moelle osseuse, jouent un rôle crucial dans la coagulation sanguine et l'arrêt des saignements.

Un compte de plaquettes normal se situe généralement entre 150 000 et 450 000 plaquettes par microlitre de sang. Un nombre inférieur à 150 000 plaquettes par microlitre est considéré comme une thrombocytopénie, ce qui peut augmenter le risque de saignement. À l'inverse, un nombre supérieur à 450 000 plaquettes par microlitre est considéré comme une thrombocytose, ce qui peut accroître le risque de formation de caillots sanguins.

Des numérations plaquettaires anormales peuvent être liées à diverses affections médicales, telles que des maladies infectieuses, des troubles immunitaires, des maladies hématologiques, des cancers, des effets secondaires de médicaments ou une carence en vitamine B12 ou en acide folique. Par conséquent, un compte de plaquettes anormalement bas ou élevé doit être évalué plus avant par un professionnel de la santé pour déterminer la cause sous-jacente et élaborer un plan de traitement approprié.

La numération globulaire, également appelée compte sanguin complet (CSC) ou hémogramme, est un examen de laboratoire couramment demandé en médecine pour évaluer l'état général de la santé et détecter d'éventuelles maladies du sang ou d'autres affections systémiques.

Cet examen permet de mesurer les principaux composants cellulaires du sang, à savoir :

1. Les globules rouges (érythrocytes) : ces cellules sont responsables du transport de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le corps. Leur nombre est exprimé en milliers par microlitre (k/μL). Une diminution de leur nombre peut indiquer une anémie, tandis qu'une augmentation peut être liée à des maladies comme la polycythémie vera.

2. L'hémoglobine (Hb) : c'est une protéine présente dans les globules rouges qui permet le transport de l'oxygène et du dioxyde de carbone. Son taux est exprimé en grammes par décilitre (g/dL). Un taux bas d'hémoglobine peut être un signe d'anémie, tandis qu'un taux élevé peut indiquer une polycythémie vera.

3. L'hématocrite (Ht) : c'est le volume des globules rouges par rapport au volume total du sang. Il est exprimé en pourcentage. Un faible taux d'hématocrite peut être observé dans les anémies, tandis qu'un taux élevé peut être lié à une polycythémie vera ou à une déshydratation.

4. Les globules blancs (leucocytes) : ils jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les infections et les maladies. Leur nombre est exprimé en milliers par microlitre (k/μL). Un taux élevé de globules blancs peut être observé dans les infections, l'inflammation, le stress ou certaines maladies comme la leucémie.

5. Les plaquettes (thrombocytes) : elles sont responsables de la coagulation sanguine et de la prévention des hémorragies. Leur nombre est exprimé en milliers par microlitre (k/μL). Un taux bas de plaquettes peut être observé dans certaines maladies comme la dengue, la leucémie ou une carence en vitamine B12 et acide folique. À l'inverse, un taux élevé de plaquettes peut être lié à des maladies telles que la thrombocytose essentielle ou une réaction inflammatoire aiguë.

En résumé, la numération formule sanguine (NFS) est un examen de routine qui permet d'évaluer les différents composants du sang, tels que les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. Les résultats de cette analyse peuvent aider au diagnostic et au suivi de diverses affections médicales, allant des infections aux maladies hématologiques en passant par les carences nutritionnelles. Il est important de discuter avec votre médecin des résultats de votre NFS et de toute préoccupation ou question que vous pourriez avoir concernant votre santé.

Le syndrome de Cogan est une maladie rare et sérieuse qui affecte les yeux et les systèmes cardiovasculaire et nerveux. Il a été décrit pour la première fois en 1945 par le Dr David Glendenning Cogan. La maladie se caractérise généralement par une inflammation oculaire d'apparition soudaine (iritis, uvéite ou kératite) associée à des symptômes auditifs et vestibulaires, tels que des vertiges, des acouphènes et une perte auditive progressive. Dans certains cas, la maladie peut également affecter d'autres organes, entraînant des complications telles qu'une insuffisance cardiaque ou des lésions rénales.

La cause exacte du syndrome de Cogan est inconnue, mais il est généralement considéré comme une maladie auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire de l'organisme attaque par erreur ses propres tissus et cellules. Le traitement du syndrome de Cogan vise à contrôler l'inflammation et à prévenir les complications graves. Il peut inclure des corticostéroïdes, d'autres médicaments anti-inflammatoires ou immunosuppresseurs, ainsi que des traitements spécifiques pour les symptômes auditifs et vestibulaires.

La photophobie est un terme utilisé en ophtalmologie pour décrire une sensibilité accrue et inconfortable à la lumière vive. Elle n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un symptôme qui peut être associé à plusieurs conditions oculaires ou non oculaires.

Dans des situations normales, nos pupilles se contractent (deviennent plus petites) lorsqu'elles sont exposées à une lumière vive pour réguler la quantité de lumière entrant dans l'œil et protéger la rétine. Cependant, chez les personnes atteintes de photophobie, cette réaction est exagérée et peut causer de l'inconfort, voire de la douleur, même sous une lumière normale ou faible.

Les causes courantes de la photophobie incluent les affections oculaires telles que l'inflammation des yeux (conjonctivite), la kératite (inflammation de la cornée), l'uvéite (inflammation de l'uvée, la partie intermédiaire de l'œil entre la sclère et la rétine) et les migraines ophtalmiques. Elle peut également être observée dans certaines maladies neurologiques comme la méningite ou après une lésion cérébrale.

Le traitement de la photophobie dépend de sa cause sous-jacente. Des lunettes teintées peuvent aider à atténuer les symptômes en réduisant l'exposition à la lumière vive. Dans certains cas, le traitement de la condition sous-jacente peut soulager ou éliminer complètement la photophobie.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

La kératite est une inflammation de la cornée, qui est la membrane transparente à l'avant de l'œil. Elle peut être causée par plusieurs facteurs, y compris des infections bactériennes, virales, fongiques ou parasitaires, une blessure à l'œil, une réaction allergique, une irritation chimique ou thermique, ou certaines conditions médicales sous-jacentes. Les symptômes courants de la kératite comprennent une douleur oculaire, une rougeur des yeux, une sensibilité à la lumière, un larmoiement accru, une vision floue et la formation de pus ou de mucus dans l'œil. Selon la cause sous-jacente, le traitement peut inclure des médicaments antibiotiques, antiviraux ou anti-inflammatoires, ainsi que des soins oculaires appropriés pour prévenir les dommages permanents à la cornée.

Dans un contexte médical et anatomique, le vestibule et le labyrinthe sont des structures importantes de l'oreille interne qui contribuent au maintien de l'équilibre et de la perception de la position du corps dans l'espace.

Le **vestibule** est une cavité située dans la partie postérieure de l'oreille interne, entre les canaux semi-circulaires et le canal cochléaire. Il contient deux récepteurs sensoriels : les crêtes ampullaires et les macules sacculaires. Les crêtes ampullaires détectent les mouvements rotatoires de la tête, tandis que les macules sacculaires perçoivent les accélérations linéaires, telles que la gravité et les changements de direction.

Le **labyrinthe** est un terme plus large qui désigne l'ensemble des structures complexes de l'oreille interne, y compris le vestibule, les canaux semi-circulaires, et le canal cochléaire. Les canaux semi-circulaires sont remplis d'un liquide appelé endolymphe et contiennent des récepteurs sensoriels qui détectent les mouvements de la tête dans différents plans. Le canal cochléaire est une structure en forme de spirale qui abrite l'organe de Corti, responsable de la perception des sons.

Ensemble, ces structures forment le système vestibulaire et auditif, travaillant en harmonie pour maintenir l'équilibre, la posture et la perception auditive.

Le « Syndrome des Immeubles Malsains » (Sick Building Syndrome en anglais) est un terme utilisé pour décrire une situation où les gens qui occupent un bâtiment souffrent de divers symptômes ou maladies, dont la plupart sont liés à des problèmes de santé respiratoires et cutanés. Ces symptômes ont tendance à s'améliorer ou à disparaître lorsque ces personnes quittent le bâtiment.

Il n'y a pas de cause unique identifiée pour ce syndrome, mais il est généralement associé à des problèmes de qualité de l'air intérieur, y compris une mauvaise ventilation, un excès d'humidité, des niveaux élevés de polluants chimiques ou biologiques, et une inadéquation des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC).

Les symptômes couramment associés au syndrome des immeubles malsains comprennent des maux de tête, des irritations oculaires, de la fatigue, des nausées, des étourdissements, des problèmes respiratoires et une peau sèche ou irritée. Ces symptômes peuvent varier en intensité d'une personne à l'autre et peuvent être plus prononcés chez les personnes souffrant de maladies préexistantes telles que l'asthme ou d'autres problèmes respiratoires.

Le syndrome des immeubles malsains est souvent difficile à diagnostiquer, car il n'y a pas de critères spécifiques pour le définir et les symptômes peuvent être similaires à ceux d'autres maladies. Cependant, une évaluation approfondie de la qualité de l'air intérieur, y compris des tests de dépistage des polluants chimiques et biologiques, peut aider à identifier les causes sous-jacentes du syndrome et à mettre en place des mesures correctives pour améliorer la qualité de l'air intérieur.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

Hyperleucocytose. L'enquête immunologique (Auto-anticorps) est en général négative, ou non spécifique. L'affection évolue par ...
... polyglobulie et/ou hyperleucocytose ; plus rarement détérioration biologique de la fonction rénale. Il existe une dyscrasie ...
L'hémogramme montre une hyperleucocytose modérée (inférieure à 15 000 éléments par mm3) à polynucléaires neutrophiles, et un ... Il existe une hyperleucocytose à polynucléaire croissante évocatrice. L'abdomen sans préparation montre une opacité de la fosse ... La biologie montre une hyperleucocytose. L'abdomen sans préparation montre l'absence de pneumopéritoine. La péritonite putride ... La biologie montre une hyperleucocytose s'aggravant progressivement. Diverticule de Meckel compliqué : le diagnostic de ...
biologie : hyperleucocytose et signes d'hémoconcentration ; radiographie : sur un cliché abdomen sans préparation (si possible ...
NFS montre une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles. L'absence d'élévation ne doit pas faire récuser le diagnostic. ...
Le contraire d'une leucopénie est une hyperleucocytose. Toxique : certains médicaments, notamment en chimiothérapie,. ...
Les examens sanguins présentent une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles. La conduite à tenir est stéréotypée et elle ...
2) Largage des réserves de la moelle osseuse Hyperleucocytose transitoire. 3) Hyperproduction de neutrophiles par la moelle ...
La numération formule sanguine retrouve une hyperleucocytose à polynucléaire neutrophile. La vitesse de sédimentation et la CRP ...
Au LCR, on note parfois une hyperleucocytose modérée, avec hyperprotéinorachie et hypoglycorachie ; mais souvent, la ponction ...
La biologie montre une hyperleucocytose à prédominance de polynucléaires neutrophiles (très peu spécifique). Il existe un ...
... hyperleucocytose modérée (< 15 000) ou neutropénie modérée, monocytose modérée, lymphocytose normale ou augmentation modérée ; ...
La biologie révèle un syndrome inflammatoire avec une hyperleucocytose à PNN et une CRP augmentée. Le traitement repose sur les ... à la recherche d'une hyperleucocytose à PNN - CRP (augmentée) - Ionogramme sanguin, à la recherche de troubles ioniques et ...
... hyperleucocytose). Il s'agit d'un taux anormalement élevé (> 100 000 par millimètre cube de sang) comparé à une réponse ... C'est en principe la conséquence d'une hyperleucocytose (augmentation du taux de globules blancs dans le sang) très importante ...
Il peut s'accompagner d'une hyperleucocytose à prédominance de polynucléaires neutrophiles et d'une anémie inflammatoire non ...
Une hyperglycémie, hyperleucocytose et hypocalcémie peuvent induire des myoclonies, crises de tétanie et convulsions, avant ...
... les traitements alors utilisés sont la rasburicase si hyperleucocytose ou forme tumorale, allopurinol sinon, et rarement ...
La biologie sanguine standard montre un syndrome inflammatoire avec une hyperleucocytose à polynucléaire neutrophile et une ...
... hyperleucocytose) ; la vitesse de sédimentation augmente également ; les plaquettes sanguines peuvent baisser (thrombopénie). ...
Les examens paracliniques montrent : une hyperéosinophilie sanguine considérable, atteignant 70 à 80 %, une hyperleucocytose, ...
... tachypnée et hyperleucocytose. La simplicité de cette classification ayant justement pour but de permettre la reconnaissance ...
L'exposition prolongée au benzène provoque des hémopathies bénignes (thrombopénie, leucopénie, hyperleucocytose, anémie, ...
... une hyperleucocytose très marquée, allant de 15 000 à presque 50 000 éléments par mm³. L'évolution se fait par poussées, vers ...
Lors des épisodes fébriles il existe un syndrome inflammatoire peu spécifique avec hyperleucocytose : élévation franche de la ...
Au cours de l'évolution, une modification (hyperleucocytose avec polynucléose neutrophile), avec syndrome inflammatoire (VS et ... hyperleucocytose). Les abcès à développement supérieur (vers le diaphragme) entrainent un syndrome phrénique (irritation du ...
... avec une hyperleucocytose et une albuminémie basse, sont les plus graves, ainsi que celles avec lymphopénie, hypothermie ou ...
... pour une hyperleucocytose, signe de strangulation ou de souffrance digestive, pour une anémie microcytaire, orientant vers une ...
... hyperleucocytose, augmentation de la CRP), ceux d'une insuffisance rénale (créatininémie) ou hépatique pouvant témoigner de la ...
... hyperleucocytose (neutrophiles et basophiles), plaquettes : augmentées, normales ou diminuées avec présence possible de ...
... il existe aussi une hyperleucocytose variable. Les formes sans syndrome inflammatoire sont rares. S'il n'y a pas de signes ...
L'hémogramme peut montrer une anémie hypochrome microcytaire, arégénérative, associée à une hyperleucocytose et à une ... une hyperleucocytose > 12 000 /mm3 ou une leucopénie < 4 000 /mm3 ou > 10 % de cellules immatures. Les principales causes du ... tachypnée et hyperleucocytose (ou leucopénie). Ce syndrome a pour avantage d'être simple et consensuel. Sa définition exacte ...
Une hyperleucocytose est généralement associée. Lorsque le diagnostic est tardif, l'endométrite peut se compliquer d'infections ...
2] Leucocytose digestive Leucopénie Hyperleucocytose sur l'Encyclopædia Universalis. « Leucocytose », sur le dictionnaire de ... également appelée hyperleucocytose, est une augmentation du nombre de globules blancs dans le sang visible sur une numération ...
... hyperleucocytose avec éosinophilie élevée à 40 % et plus. Cette période débute vers le 8e jour après le contage. La période ...
Les examens biologiques sanguins peuvent montrer un syndrome inflammatoire avec une hyperleucocytose à polynucléaires ...
... hyperleucocytose) et d'effectuer une hémoculture,. L'examen complémentaire essentiel à l'identification d'une méningite est ...
... évidence une hyperleucocytose (élévation du nombre des globules blancs) s'accompagnant d'une polynucléose neutrophile ( ...
HYPERLEUCOCYTOSE *Écrit par Laurent DEGOS *487 mots. Augmentation du nombre de globules blancs dans le sang. Normalement le ...
Hyperleucocytose. Lenquête immunologique (Auto-anticorps) est en général négative, ou non spécifique. Laffection évolue par ...
une hyperleucocytose avec présence de "leucoblastes", *parfois, une leucocytose normale, voire basse (leucopénie) avec peu ou ...
Hyperleucocytose : normes, causes, interpréter son bilan. Lhyperleucocytose correspond à laugmentation du nombre de globules ... Une augmentation modérée des polynucléaires basophiles (de 2 à 5 %, avec ou sans hyperleucocytose), sobserve principalement au ...
Hyperleucocytose ,12.103elm/mm3 = 90%, prédominance PNN*.  Cytolyse jusquà 10N (prédominant sur ALAT) = 50 à 70%. ...
1. La numération et la formule sanguine montrent à la période des quintes une hyperleucocytose avec lymphocytose ...
En cas de modification franche de ce dernier (hyperleucocytose, granulopénie), ladministration de ce traitement sera ...
Les infections virales nentraînent pas en général une hyperleucocytose.. Cet examen donne une évaluation globale de létat de ... Cet examen apporte des informations sur lhémogramme et permet de révéler une anémie, une hyperleucocytose ou une neutropénie ...
La prise en charge dune femme enceinte sujette à une hyperleucocytose varie de ce fait en fonction de la cause. Ainsi, selon ... La leucocytose encore appelée hyperleucocytose traduit une augmentation anormale du nombre de leucocytes dans le sang, visible ...
On retrouvait à la biologie une anémie normocytaire, une hyperleucocytose à neutrophiles et une inflammation intense, sans ...
La tuberculose est une maladie infectieuse causée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis. Elle se propage par la toux et lexpiration des gouttelettes en suspension dans lair. Les symptômes comprennent la fièvre, la toux, la fatigue et la perte de poids. Le diagnostic peut être établi par des tests de dépistage de la tuberculose, tels que la radiographie pulmonaire et le test cutané à la tuberculine. Le traitement implique généralement la prise de médicaments antibiotiques pendant plusieurs mois. La prévention comprend la vaccination, lévitement de la transmission de la bactérie et le traitement rapide de la maladie.
Anémie macrocytaire, thrombopénie sévère, hyperleucocytose. *Scattergramme de lautomate anormal,. *Formule automatisée non ...
... hyperleucocytose, polyglobulie, thrombocytose, anomalie du sédiment urinaire, insuffisance rénale aiguë/chronique, , anomalie ...
Inscrivez les membres de votre cabinet de groupe afin quils bénéficient de la cotisation ...
hyperleucocytose,. éliminer arthrite septique (VC, CRP). Imagerie : radio Face > profil, des 2 cotes ...
Hyperleucocytose. 13. + 31. Dermatite Herpétiforme. 13. + 32. Ichtyose. 12. + 33. Eczéma Constitutionnel. 12. + ...
Affections hématologiques et du système lymphatique : thrombopénie, hyperleucocytose. Affections du système nerveux : céphalées ...
Hyperleucocyto-se. Thrombocytopé-nie. Thrombocytémie. Anémie hémolytique. Agranulocytose. Pancytopénie (mettant en jeu le ... Hyperleucocyto-se. Thrombocytopé-nie. Thrombocytémie. Anémie hémolytique. Agranulocytose. Pancytopénie (mettant en jeu le ...
Hyperleucocytose à PNN. Syndrome DRESS. Part causes médicamenteuses : 70-90 %. Anticomitiaux, sulfamides, minocycline, ...
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La NFS montre alors une hyperleucocytose (, 10.000/mm3) avec une polynucléose, la VS , 15 mm à la première heure et la CRP est ...
Leucopénie, Anémie, Neutropénie, Hyperleucocytose, Thrombocytopénie, Thrombocytémie. Anémie hémolytique, Agranulocytose, ...
Hyperleucocytose (augmentation du nombre des globules blancs) ;. *Elévation de la CRP.. *. A loccasion du diagnostic dune ...
... hyperleucocytose à ,abbr data-tooltip="Polynucléaires neutrophiles",PNN,/abbr,),,/li,,li,,abbr data-tooltip="C-réactive ...
ð Biologie : NFS = hyperleucocytose inconstante et de courte durée. ð Diagnostic direct = hémoculture sécrétion naso-pharyngée ...
Une hyperleucocytose se voit dans les polyarthrites rhumatoïdes avec vascularite.. Les plaquettes sont en général élevées, ...
... une hyperleucocytose, et une numération des plaquettes , 100 000/mcL (, 1000 × 109/L). Les patients du groupe de risque le ...
hyperleucocytose, voire thrombopénie) dans les formes asymptomatiques. Le dosage de la CRP, protéine hépatique dont la synthèse ...
  • Le bilan complémentaire met en évidence au niveau biologique une hyperleucocytose neutrophile (globules blancs à 10 700 cellules/mm³ et 78% de neutrophiles) et un syndrome inflammatoire (CRP 90mg/L). Sur le plan radiologique, les radiographies simples de la hanche droite et de la colonne lombaire n'objectivent aucune anomalie significative (Figure 1). (louvainmedical.be)
  • Le 8 mai, réhospitalisation pour fièvre, douleurs du flanc droit et vomissements avec hyperleucocytose à 26 000 /mm3 dont 80 % de polynucléaires neutrophiles et CPR à 119mg/l. (prevention-medicale.org)
  • Elles sont fréquemment associées à une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles sur l'hémogramme. (medscape.com)
  • La leucocytose encore appelée hyperleucocytose traduit une augmentation anormale du nombre de leucocytes dans le sang, visible sur une numération de la formule sanguine. (informationhospitaliere.com)
  • Cette maladie est silencieuse pendant plusieurs années et c'est en général à l'occasion d'une banale analyse de sang avec NFS (numération, formule sanguine) que l'on découvre des leucocytes en excès (hyperleucocytose), comme les plaquettes, alors que les hématies sont généralement diminuées, parfois une splénomégalie (rate anormalement grande) ou un état général dégradé avec fatigue, fièvre, amaigrissement, douleurs osseuses, entre autres. (dictionnaire-medical.net)
  • Cet examen apporte des informations sur l'hémogramme et permet de révéler une anémie, une hyperleucocytose ou une neutropénie et le nombre des plaquettes. (efurgences.net)
  • 1. La numération et la formule sanguine montrent à la période des quintes une hyperleucocytose avec lymphocytose caractéristique. (universalis.fr)
  • Six mois plus tard une hyperleucocytose avec présence de cellules anormales est objectivée. (hematocell.fr)
  • 1. Les lymphomes tels que la leucémie lymphoïde chronique (LLC-B) ou la leucémie prolymphocylaire (LPL-B) atteignent les individus âgés et sont caractérisés par une hyperleucocytose très importante et une forte infiltration de la moelle. (infomedplus.net)
  • Cette hyperleucocytose est réversible à l'arrêt du traitement. (pharmacorama.com)
  • En cas de modification franche de ce dernier (hyperleucocytose, granulopénie), l'administration de ce traitement sera interrompue. (santemagazine.fr)
  • Il n y a pas de crit res de mauvais pronostic : pas de troubles de la conscience, hyperleucocytose mod r e sans my l mie la NFS, bilan biologique (ionogramme sanguin, glyc mie) dans les limites de la normale. (free.fr)