Condition résultant du déficient gonadique Gametogenèse et fonctions, telles que la production d'hormones STEROID gonadique. C'est caractérisé par un retard dans LA CROISSANCE, germe maturation cellulaire et d ’ apparition d ’ hypogonadisme des caractéristiques sexuelles secondaires. Peut être due à une déficience des gonadotrophines (hypogonadotropic hypogonadotrope) ou en raison d ’ insuffisance ovarienne primaire (hypergonadotropic hypogonadotrope).
Génétiquement hétérogène causée par un trouble déficitaire et courage olfactif GNRH hypothalamique. C'est caractérisé par des anomalies congénitales et d ’ hypogonadisme hypogonadotrophique hypogonadotropic anosmie, éventuellement à des défauts médiane supplémentaires. Ça peut être transmises sous forme X-linked (GENETIC maladies Liées Au Chromosome X), un, ou autosomale dominante autosomique récessive.
Le manque de développement de la maturation sexuelle aux garçons et filles à un âge chronologique c'est de 2,5 écarts- types au-dessus de l'âge moyen de survenue des PUBERTY dans une population. Retard de puberté est peut être classé par des altérations de la LHRH hypothalamique générateur d'impulsions, l'hypophyse GLAND, ou les gonades. Ces patients subiront spontané mais retard de puberté les patients présentant des infantilisme sexuelle ne va pas.
Un puissant stéroïdes et androgéniques sécrétée par les produits majeure des cellules de Leydig du testicule. Sa production est stimulé par HORMONE lutéinisante reviennent dans l'hypophyse GLAND. À son tour, la testostérone exerce commandes de l'hypophyse LH et FSH sécrétion. Selon les tissus, la testostérone peut être métabolisé de dihydrotestostérone ou estradiol.
L'utilisation thérapeutique des hormones à atténuer les effets des hormones !
Une forme d'hypogonadisme mâle, caractérisé par la présence d'un chromosome X supplémentaire, petit TESTES, tubule séminifère Dysgenesis, taux élevé de gonadotrophine TESTOSTERONE sériques basses, des caractéristiques sexuelles secondaires sous-développés, et une infertilité masculine (infertilité masculine, les patientes ont tendance à avoir de longues jambes et un Slim, stature. Gynécomastie est présente dans de nombreux patients. La forme classique a le caryotype 47, XXY. Plusieurs variantes caryotype incluent XXYY ; 48, 49, 48, XXXY ; XXXXY, et formes en mosaïques (46, XY / 47, XXY ; 47, XXY / 48, XXXY, etc.).
État endocrinien chez les hommes, caractérisée par une diminution substantielle de la production de TESTOSTERONE ; DEHYDROEPIANDROSTERONE ; et autres hormones comme HUMAN LA CROISSANCE HORMONE. Andropause symptômes sont liés à l ’ absence de androgènes y compris une dépression, troubles sexuels, et l'ostéoporose. Andropause peuvent aussi résulter de hormonal pour une thyroïdectomie affections malignes.
Hormones pour stimuler les fonctions gonadiques gamétogenèse tels que le sexe et la production d'hormones stéroïdiennes dans l'ovaire et les testicules. Major gonadotrophines sont des glycoprotéines produit essentiellement par les gonadotrophines hypophysaires adenohypophysis (,) et le placenta (gonadotrophine). Chez certaines espèces et de prolactine, de l ’ hypophyse luteotropic hormone Lactogène Placentaire exercent des activités.
Un décapeptide qui stimule la synthèse et la sécrétion des gonadotrophines hypophysaires, HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent. GnRH est produite par les neurones du septum PREOPTIC EURO du HYPOTHALAMUS et libérée dans l'hypophyse portail sang, conduisant à une stimulation de dans les tumeurs hypophysaires GLAND GONADOTROPHS antérieur.
Une augmentation de la taille de chez les mâles, causée par un excès d'œstrogènes physiologique gynécomastie est normalement observée chez NEWBORNS ; ADOLESCENT ; et AGING mâles.
L'état d'être un eunuque, un homme sans TESTES ou dont les testicules échoué pour la développer. Elle est caractérisée par le manque d'hommes mûrs GERM testiculaires et des hormones.
Processus pathologiques des glandes endocrines et les maladies résultant du niveau anormal de disponible avait des hormones.
Orphelin récepteur qui nucléaire est impliqué dans la régulation de voies steroidogenic. C'est la différence des récepteurs nucléaires orphelin dans où elle semble essentiel DNA-Binding manque un domaine et au lieu agit comme une cascade Co-Repressor. Mutations du gène Dax-1 causer une hypoplasie surrénale congénitale.
Avec une protéine 6-kDa récepteurs à la surface des cellules qui sécrètent HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent, généralement dans les adenohypophysis. De lutéinisante reviennent HORMONE se lie à ces récepteurs est endocytosée avec le récepteur et, dans la cellule, déclenche la libération d'HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent par le portable. Ces récepteurs sont également retrouvés dans le gonades. INHIBINS empêche la liaison de la GnRH à ses récepteurs.
L'incapacité chez l'homme d'avoir une étude psychologique ERECTION due à ou d ’ un dysfonctionnement organique.
Absence de menstruations.
La sous-unité bêta de l ’ hormone lutéinisante. C'est un 15-kDa glycopolypeptide avec une structure similaire à la sous-unité bêta de la barrière placentaire chorionic gonadatropin (gonadotrophine, sous-unité BETA, HUMAN) sauf pour les autres 31 acides aminés au propeptide C-terminal de CG-beta. Pleine nécessite l ’ activité biologique de LH non-covalently lié des hétérodimères dominant, et une sous-unité bêta. Mutation du gène LHB causes hypogonadotrope avec l'infertilité.
Un gros sécrétée par les gonadotrophines hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Le nom d'Hormone Folliculo- Stimulante stimule Gametogenèse et tels que les cellules de soutien des cellules ovariennes ovarienne, le testicule SERTOLI des cellules de Leydig et des noncovalently. FSH se compose de deux sous-unités liées, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent dans les trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, la LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Un puissant agoniste prolongée synthétique de gonadotropin-releasing HORMONE qui régule la synthèse et la libération des gonadotrophines hypophysaires, HORMONE HORMONE folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent.
Maladie rare caractérisé par colobome ; CHOANAL ATRESIA ; et anormal CANALS semi-circulaires. Des mutations de protéine CHD7 entraînant dérangé crête neural développement sont associés à charge Syndrome.
Perte ou altération de la capacité à sentir. Ça peut être causée par maladies ; para-nasales courage olfactif SINUS maladies respiratoires virale TRACT INFECTIONS ; ; ; ; traumatisme cranio-cérébral fumer et d ’ autres maladies.
Un gros sécrétée par les gonadotrophines hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Hormone lutéinisante régule la production par les cellules interstitielles des testicules et les ovaires. La surcharge HORMONE lutéinisante reviennent preovulatory OVULATION induit chez les femmes et la LUTEINIZATION du follicule. Lutéinisante reviennent noncovalently HORMONE se compose de deux sous-unités liées, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent dans les trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Diminution ou l ’ arrêt de la sécrétion de un ou plusieurs hormones de l'hypophyse antérieure (y compris LH ; ; ; Somatropine HORMONE folliculo-stimulante et la corticotrophine). Par radiations chirurgical ou l ’ ablation, tumeurs De L'Hypophyse non-secretory, des métastases de tumeurs, du myocarde, apoplexie pituitaire, ou une granulomatose interstitielle processus et d ’ autres maladies.
La voyante conduire ou d ’ énergie associée à l'instinct sexuel au sens large, (plaisir et love-object cherchant). Il peut également connote l'énergie psychique associée à instinct en général ce comportement motiver.
Une glycoprotéine de migrer en beta-globulin. Son poids moléculaire, de 52.000 ou 95,000-115,000, indique que ça existe comme un dimère. La protéine dihydrotestostérone, et se lie de la testostérone, estradiol dans le plasma. Les hormones sexuelles protéine a la même séquence aminoacide que des protéines ANDROGEN-BINDING. Elles diffèrent par leurs sites de synthèse et post-translational oligosaccharide modifications.
Inflammatoire, néoplasiques infectieuse, et d'autres maladies de l'hypothalamus. Les signes cliniques sont : Troubles de l'appétit ; le système nerveux autonome maladies ; dormir DISORDERS ; les symptômes comportementaux reliés au dysfonctionnement du système limbique Neuroendocrine ; et affections.
Une période de la vie humaine où le développement de l ’ axe hypothalamo-hypophyso-gonadal le système a lieu et atteint pleine maturité. La survenue des événements endocrinien synchronisée pubère mener à la capacité de reproduction (la fertilité), le développement de sexe PRODUIT secondaire, et d ’ autres modifications observées chez DÉVELOPPEMENT ADOLESCENT.
Hormones sécrétées par la adenohypophysis (hypophyse GLAND antérieur), qui stimulent les fonctions gonadiques mâles et femelles, y compris HORMONE folliculo-stimulante germe qui stimule la maturation OOGENESIS ; la spermatogenèse (cellule) et lutéinisante reviennent HORMONE qui stimule la production de stéroïdes sexuels ; progestérone ; androgènes (estrogènes).
Molécule-1 signaux peptides qui avaient été initialement caractérisé par leur capacité à supprimer Néoplasme métastase. Kisspeptins ont depuis été retrouvé d'jouent un rôle important dans la régulation physiologiques de la reproduction.
L'incapacité du mâle à effet de fertiliser un ovule après une durée déterminée de rapports sexuels non protégés. Mâle la stérilité est une infertilité permanente.
Composés qui interagissent avec récepteurs androgéniques dans les tissus cibles pour provoquer la indésirables similaires à ceux des TESTOSTERONE. Selon les tissus cibles, effets androgéniques peut être sur le sexe différenciation ; organes reproducteurs mâles, sexe mâle spermatogenèse ; secondaire PRODUIT ; libido ; développement de la masse musculaire, force et pouvoir.
Le mâle gonade contenant deux parties : La fonctionnelle tubes séminifères pour la production et le transport de la spermatogenèse germe cellules (mâles) et le compartiment interstitiel contenant des cellules qui produisent des androgènes.
Un récepteur du facteur de croissance fibroblast avec spécificité pour LA CROISSANCE récepteur FACTEURS ; héparane SULFATE PROTEOGLYCAN ; et groupes cellule neuronale adhésion plusieurs variantes du récepteur exister grâce à plusieurs de ses mRNA Epissage MONDIAL. Récepteur du facteur de croissance 1 est un récepteur tyrosine kinase qui transmet un signal à travers la carte kinase SYSTÈME de signaux.
Une caractéristique complexe de symptomes.
Processus pathologiques des ovaires ou le TESTES.
Conditions dans lesquelles la production de corticostéroïdes surrénale descend sous les besoins du corps. Insuffisance surrénalienne peuvent être dues à des anomalies dans les glandes surrénales, l'hypophyse GLAND, ou le HYPOTHALAMUS.
Maladie dominante autosomique causée par suppression de l'extrémité proximale long bras du chromosome paternel 15 (15q11-q13) ou par héritage de la paire de chromosomes 15 de la mère (UNIPARENTAL Uniparentale) qui sont marquées (GENETIC empreinte) et donc réduit au silence. Les signes cliniques inclure un retard mental ; MUSCULAR hypotonie ; hyperphagie ; l ’ obésité ; courte stature ; hypogonadotrope ; strabisme ; et HYPERSOMNOLENCE. (Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, P229)
Dysgénésie Gonadique 46, XX la peut être sporadique ou familial. Polypose XX Dysgénésie Gonadique est transmise comme autosomique récessive et ses locus chromosome était cartographié à 2. Mutation dans le gène du récepteur Fsh récepteur (FSH) a été détectée. Sporadique XX Dysgénésie Gonadique est hétérogène et ont été associés, et trisomy-13 trisomy-18. Ces femmes sont phénotypique caractérisée par une stature normale, des opérations bilatérales infantilisme sexuel série gonades, aménorrhée, une augmentation HORMONE lutéinisante reviennent et concentration de FSH.
Le record de descente ou ascendance, en particulier de santé ou trait indiquant famille individuelle membres, leurs relations, et leur statut particulier ou ce qui concerne la condition.
Une augmentation du taux de prolactine dans le sang, éventuellement associée à une aménorrhée et galactorrhée. Relativement fréquentes étiologies incluant prolactinome effet, les médicaments, calculs ÉCHEC granulomateuse, maladies de l'hypophyse GLAND troubles et interférer avec l ’ inhibition de la prolactine libération hypothalamique. Ectopique non-pituitary) (production de prolactine peuvent également survenir. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch36, pp77-8)
Structure du numéro anormale ou du sexe sexe chromosomes sont associées à des aberrations chromosomiques chromosome chromosome du sexe sexe DISORDERS DISORDERS DU DÉVELOPPEMENT sexe.
Une petite glande qui ne sont pas en couple situées dans la selle Turcique. Il est lié au HYPOTHALAMUS par une petite tige qui est appelé l'INFUNDIBULUM.

L'hypogonadisme est un trouble endocrinien qui se caractérise par une production insuffisante d'hormones sexuelles en raison d'une anomalie des gonades, c'est-à-dire les testicules chez l'homme et les ovaires chez la femme. Chez l'homme, cela peut entraîner une diminution de la production de spermatozoïdes et de testostérone, ce qui peut se traduire par des symptômes tels que des troubles de la fonction sexuelle, une baisse de la libido, une fatigue, une perte de masse musculaire, une ostéoporose et des bouffées de chaleur. Chez la femme, cela peut entraîner une absence ou un retard des règles, une stérilité, des bouffées de chaleur et une sécheresse vaginale.

L'hypogonadisme peut être congénital ou acquis, et il existe plusieurs causes possibles, notamment des anomalies génétiques, des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des troubles systémiques tels que le diabète et l'insuffisance rénale, ainsi que certains médicaments. Le diagnostic de l'hypogonadisme repose sur les antécédents médicaux, un examen physique, des analyses de sang pour mesurer les niveaux d'hormones sexuelles et d'autres tests complémentaires si nécessaire. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure un remplacement hormonal, une fertilité assistée ou d'autres interventions thérapeutiques.

Le syndrome de Kallmann est un trouble rare caractérisé par l'hypogonadisme hypogonadotrope congénital (un déficit en la production d'hormones sexuelles due à une anomalie de l'hypothalamus) et une anosmie ou hyposmie (une perte totale ou partielle de l'odorat). Ce syndrome est causé par des mutations génétiques et se manifeste généralement à la puberté avec un retard ou un absence de développement sexuel. Les hommes atteints de ce syndrome ont souvent des testicules de petite taille et des niveaux très bas d'hormone lutéinisante (LH) et d'hormone folliculo-stimulante (FSH). Chez les femmes, il peut y avoir un retard de la puberté, des menstruations irrégulières ou absentes, et une stérilité. Le syndrome de Kallmann est souvent associé à d'autres anomalies, telles qu'une malformation de la région située entre le nez et la bouche (le palais), des problèmes de vision, des troubles d'audition, des défauts de développement des reins ou des malformations cardiaques.

Il existe plusieurs types de syndrome de Kallmann, qui sont associés à des mutations dans différents gènes. Le type le plus fréquent est lié à des mutations dans le gène KAL1 (également connu sous le nom d'ANOS1), situé sur le chromosome X. Ce gène code pour une protéine appelée anosmin-1, qui joue un rôle important dans le développement du cerveau et de la migration des neurones qui produisent les hormones responsables de la régulation de la fonction sexuelle. Les autres types de syndrome de Kallmann sont liés à des mutations dans d'autres gènes, tels que FGFR1, PROKR2, PROK2 et CHD7.

Le traitement du syndrome de Kallmann dépend des symptômes spécifiques présentés par chaque personne atteinte. Les options de traitement peuvent inclure l'hormonothérapie de remplacement pour rétablir la fonction sexuelle et la croissance, ainsi que des interventions chirurgicales pour corriger les anomalies structurelles associées à la maladie. La prise en charge précoce et multidisciplinaire est importante pour améliorer le pronostic et la qualité de vie des personnes atteintes du syndrome de Kallmann.

La puberté retardée, également connue sous le nom de développement sexuel retardé, est une condition dans laquelle les changements physiques et hormonaux associés à la puberté n'apparaissent pas ou sont retardés par rapport aux enfants du même âge et du même sexe.

Normalement, la puberté commence entre 8 et 13 ans pour les filles et entre 9 et 14 ans pour les garçons. Cependant, certains enfants peuvent ne pas commencer à montrer des signes de puberté avant l'âge de 14 ans chez les filles et 15 ans chez les garçons.

Les causes de la puberté retardée peuvent être variées, allant d'anomalies congénitales ou acquises des glandes endocrines (telles que l'hypothyroïdie ou le syndrome des ovaires polykystiques), à des problèmes de santé généraux tels qu'une malnutrition sévère, une anorexie mentale, une insuffisance rénale chronique ou une maladie cérébrale.

Les enfants atteints de puberté retardée peuvent présenter des retards de croissance et un développement musculaire et squelettique réduits par rapport à leurs pairs. Ils peuvent également ressentir des effets psychologiques tels que l'anxiété, la dépression ou une faible estime de soi en raison de leur apparence physique différente.

Le traitement de la puberté retardée dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la puberté peut se produire naturellement à un âge plus avancé. Cependant, dans d'autres cas, un traitement hormonal substitutif peut être recommandé pour stimuler le développement sexuel et favoriser une croissance normale.

La testostérone est une hormone stéroïde androgène qui joue un rôle crucial dans le développement et le maintien des caractéristiques sexuelles masculines. Elle est produite principalement par les cellules de Leydig dans les testicules chez les hommes, bien que les ovaires et les glandes surrénales puissent également en produire de plus petites quantités chez les femmes.

La testostérone contribue au développement des organes reproducteurs masculins pendant la période prénatale et à la puberté, entraînant des changements tels que la croissance de la voix, l'apparition des poils faciaux et corporels, l'augmentation de la masse musculaire et osseuse, et le développement des organes sexuels masculins.

Chez les hommes adultes, la testostérone régule la production de sperme, maintient la densité minérale osseuse, influence la distribution de la graisse corporelle, stimule la croissance et le développement des muscles, et favorise la fonction sexuelle et cognitive. Les niveaux normaux de testostérone chez l'homme adulte se situent généralement entre 300 et 1,000 ng/dL (nanogrammes par décilitre).

Cependant, des niveaux trop élevés ou trop faibles de testostérone peuvent entraîner divers problèmes de santé. Un déficit en testostérone, également connu sous le nom d'hypogonadisme, peut provoquer une baisse de la libido, une dysfonction érectile, une fatigue, une perte de masse musculaire et osseuse, et des sautes d'humeur. D'un autre côté, des niveaux excessifs de testostérone peuvent entraîner une agressivité accrue, une hypertrophie musculaire excessive, une calvitie prématurée, une acné et un risque accru de maladies cardiovasculaires.

En résumé, la testostérone est une hormone stéroïde importante qui joue un rôle crucial dans le développement et la fonction du corps masculin. Des niveaux normaux sont essentiels pour maintenir une bonne santé physique et mentale, tandis que des déséquilibres peuvent entraîner divers problèmes de santé.

Le traitement hormonal substitutif (THS), également connu sous le nom de thérapie hormonale de remplacement, est un type de traitement médicamenteux qui consiste à fournir des hormones artificielles pour remplacer les hormones naturelles que le corps ne produit plus en quantités suffisantes. Le THS est principalement utilisé pour traiter les symptômes de la ménopause et du vieillissement chez les femmes, tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les sautes d'humeur, la sécheresse vaginale et l'ostéoporose.

Le THS peut impliquer la prise d'estrogènes seuls ou en combinaison avec des progestatifs, selon les besoins individuels de chaque patiente. Les estrogènes peuvent être administrés sous forme de comprimés, de timbres transdermiques, de gels, de crèmes ou d'injections. Les progestatifs peuvent être pris sous forme de comprimés ou de timbres transdermiques.

Cependant, il est important de noter que le THS peut également présenter des risques pour la santé, tels qu'un risque accru de cancer du sein, d'accidents vasculaires cérébraux et de thrombose veineuse profonde. Par conséquent, il est important que les patientes discutent avec leur médecin des avantages et des risques potentiels du THS avant de commencer ce traitement.

Le syndrome de Klinefelter est un trouble chromosomique qui affecte principalement les hommes. Il est causé par la présence d'un chromosome X supplémentaire, ce qui entraîne une constitution génétique XXY au lieu de la normale XY. Cette anomalie chromosomique peut être vue dans tous les types de cellules du corps ou seulement dans certaines lignées cellulaires.

Les symptômes du syndrome de Klinefelter varient considérablement parmi les individus affectés. Certains hommes ne présentent aucun signe visible, tandis que d'autres ont des caractéristiques physiques et développementales notables. Les signes courants incluent une taille plus grande que la moyenne, des testicules et des organes génitaux plus petits que la normale, une faible pilosité faciale et corporelle, une gynécomastie (développement excessif des seins chez l'homme) et une altération de la capacité de production de testostérone.

Les hommes atteints du syndrome de Klinefelter peuvent également avoir des problèmes d'apprentissage, tels que des difficultés à lire, à écrire et à parler, ainsi qu'un QI inférieur à la moyenne. Ils courent un risque accru de développer certaines conditions médicales, telles que l'ostéoporose, les varices, le diabète et certains types de cancer, y compris le cancer du sein.

Le diagnostic du syndrome de Klinefelter est généralement posé par analyse chromosomique, qui révèle la présence d'un chromosome X supplémentaire. Le traitement peut inclure une thérapie de remplacement de la testostérone pour aider à améliorer les symptômes physiques et développementaux. Les interventions précoces en matière d'éducation spécialisée et de soutien peuvent également être bénéfiques pour les personnes atteintes du syndrome de Klinefelter.

L'andropause, également connue sous le nom d'hypogonadisme lié à l'âge, est un état clinique qui se caractérise par une baisse progressive des niveaux de testostérone et d'autres hormones sexuelles masculines associées au vieillissement normal chez les hommes. Cela peut entraîner une variété de symptômes physiques, mentaux et sexuels, tels qu'une diminution de la libido, des troubles de l'érection, une fatigue accrue, une perte de masse musculaire, une baisse de l'humeur et des capacités cognitives affaiblies.

Cependant, il est important de noter que contrairement à la ménopause chez les femmes, qui est un événement relativement soudain et universellement observé, l'andropause se produit plus progressivement et peut varier considérablement d'un homme à l'autre. De plus, alors que la ménopause est généralement associée à une cessation complète de la fonction ovarienne, les hommes peuvent continuer à produire des niveaux détectables de testostérone tout au long de leur vie.

Le diagnostic d'andropause repose sur l'évaluation des symptômes et la mesure des niveaux hormonaux dans le sang. Le traitement peut inclure un supplément de testostérone sous forme de gel, de patch ou d'injection, mais il est important de peser les risques et les avantages potentiels de ce traitement, car l'utilisation de la testostérone peut augmenter le risque de certaines maladies, telles que le cancer de la prostate.

Les gonadotrophines sont des hormones qui régulent la fonction des gonades, c'est-à-dire les ovaires chez les femmes et les testicules chez les hommes. Il existe deux types principaux de gonadotrophines : l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et l'hormone lutéinisante (LH).

La FSH stimule la croissance des follicules ovariens chez les femmes, ce qui conduit à la maturation des ovules, et favorise la production de spermatozoïdes chez les hommes. La LH déclenche l'ovulation chez les femmes, libérant ainsi l'ovule mature de l'ovaire, et stimule la production de testostérone dans les testicules chez les hommes.

Les gonadotrophines sont produites par l'hypophyse antérieure, une petite glande située à la base du cerveau. Leur sécrétion est régulée par d'autres hormones telles que la gonadotrophine releasing hormone (GnRH) produite par l'hypothalamus. Les gonadotrophines jouent un rôle crucial dans la reproduction et la fonction reproductive normale.

L'hormone de libération des gonadotrophines (GnRH, selon son acronyme en anglais) est une hormone peptidique constituée de 10 acides aminés. Elle est également connue sous le nom d'hormone de libération de la lutéinisante (LHRH).

La GnRH est produite et sécrétée par les neurones situés dans l'hypothalamus, une région du cerveau. Cette hormone joue un rôle crucial dans la régulation des systèmes reproducteurs chez les mammifères, y compris les humains.

La GnRH agit en stimulant la libération de deux autres hormones produites par l'hypophyse antérieure : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces dernières sont responsables de la régulation des fonctions reproductives, telles que la maturation des ovules chez les femmes et la production de spermatozoïdes chez les hommes.

La sécrétion de GnRH est soumise à un contrôle complexe, qui implique des boucles de rétroaction positives et négatives impliquant les hormones stéroïdiennes produites par les gonades (ovaires et testicules). Ainsi, la GnRH est un élément clé du système de régulation hypothalamo-hypophysaire qui contrôle la fonction reproductive.

La gynécomastie est un terme médical qui décrit le développement excessif du tissu mammaire chez les hommes. Normalement, les hommes ont des glandes mammaires rudimentaires et très peu de tissu adipeux dans la région de la poitrine. Cependant, certaines conditions médicales, telles que les déséquilibres hormonaux, l'obésité, certains médicaments, des problèmes hépatiques ou rénaux, et certaines affections endocriniennes peuvent entraîner une augmentation du tissu glandulaire ou adipeux dans la poitrine, conduisant à une apparence féminine.

La gynécomastie peut être unilatérale (dans un seul sein) ou bilatérale (dans les deux seins). Elle peut également affecter différentes parties du sein, comme la région glandulaire ou le tissu adipeux périphérique. Les symptômes de la gynécomastie peuvent inclure une augmentation visible de la taille et de la projection des seins, une sensation de gonflement ou de sensibilité dans la région mammaire, et parfois même une douleur légère à modérée.

Dans certains cas, la gynécomastie peut être résolue sans traitement, en particulier si elle est causée par des facteurs réversibles tels que l'obésité ou la prise de médicaments spécifiques. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour éliminer le tissu mammaire excessif et rétablir une apparence plus masculine de la poitrine. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez des signes de gynécomastie, car elle peut être le signe d'un problème médical sous-jacent qui nécessite un traitement.

L'eunuchisme est un terme qui décrit généralement l'état d'une personne, traditionnellement un homme, qui a été castrée, c'est-à-dire que ses testicules ont été enlevés. Historiquement, les eunuques étaient souvent employés dans des rôles domestiques ou de cour dans certaines cultures, car on pensait qu'ils étaient moins susceptibles de représenter une menace sexuelle ou de procréer.

Cependant, il est important de noter que l'eunuchisme n'est pas simplement un état physique, mais peut également avoir des implications psychologiques et sociales. Par exemple, les eunuques peuvent souvent ressentir une variété d'émotions et de sentiments associés à leur état, y compris la honte, la stigmatisation et l'isolement.

Dans un contexte médical, l'eunuchisme peut également faire référence à des conditions où il y a une absence congénitale ou acquise de testicules ou une production insuffisante d'hormones sexuelles mâles. Ces conditions peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que l'infertilité, les changements dans la distribution des poils corporels, la diminution de la masse musculaire et osseuse, et les changements dans la fonction sexuelle.

Il est important de noter que l'eunuchisme n'est pas un terme médical couramment utilisé dans le contexte clinique moderne. Au lieu de cela, des termes plus spécifiques sont utilisés pour décrire les conditions et les états associés à l'absence ou à la fonction insuffisante des testicules et des hormones sexuelles mâles.

Les maladies endocriniennes sont un groupe de conditions qui affectent votre système endocrinien. Ce système est composé d'une série de glandes et d'organes qui produisent et sécrètent des hormones dans le sang. Les hormones sont des messagers chimiques qui régulent de nombreuses fonctions importantes de l'organisme, telles que la croissance et le développement, le métabolisme, le sommeil, la reproduction, la réponse au stress et l'humeur.

Les maladies endocriniennes peuvent résulter d'un déséquilibre hormonal, qui peut être dû à une production excessive ou insuffisante d'hormones par les glandes endocrines. Ces déséquilibres peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications, selon la glande affectée et le type d'hormone impliqué.

Les exemples courants de maladies endocriniennes comprennent le diabète sucré, les troubles de la thyroïde, l'insuffisance surrénalienne, l'acromégalie, le gigantisme, le nanisme, les tumeurs hypophysaires et les troubles des ovaires ou des testicules. Le traitement dépend du type de maladie endocrinienne et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une combinaison de ces options.

Le récepteur nucléaire orphelin DAX-1, également connu sous le nom de récepteur nucléaire subfamiliaire 0, groupe A, membre 1 (NR0B1), est un régulateur transcriptionnel qui joue un rôle important dans le développement et la fonction des gonades, ainsi que dans l'homéostasie endocrinienne. Il s'agit d'un récepteur nucléaire sans ligand, ce qui signifie qu'il ne se lie pas à une molécule spécifique pour réguler la transcription des gènes.

DAX-1 est exprimé dans les cellules de Sertoli du testicule et les cellules de la granulosa de l'ovaire, où il contribue au développement et à la différenciation sexuelle normaux. Il agit comme un répresseur de la transcription, en se liant à d'autres facteurs de transcription pour inhiber leur activité.

DAX-1 est également connu pour jouer un rôle dans la régulation de l'axe hypothalamo-hypophysaire, qui est responsable de la régulation des hormones stéroïdes et thyroïdiennes. Des mutations dans le gène DAX-1 ont été associées à des troubles endocriniens congénitaux, tels que l'insuffisance surrénalienne congénitale combinée et la résistance aux androgènes.

En raison de son rôle important dans le développement et la fonction des gonades et du système endocrinien, DAX-1 est considéré comme un récepteur nucléaire orphelin important pour la recherche médicale et la compréhension des maladies liées au système reproducteur et endocrinien.

Les récepteurs de la gonadolibérine, également connus sous le nom de récepteurs de la gonadotrophine releasing hormone (GnRH), sont des protéines membranaires qui se trouvent à la surface des cellules hypothalamiques dans le cerveau. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de la reproduction et du développement sexuel en se liant à la gonadolibérine, une hormone peptidique libérée par l'hypothalamus.

La liaison de la gonadolibérine à son récepteur déclenche une cascade de réactions biochimiques qui aboutissent à la libération de deux hormones pituitaires importantes : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces hormones agissent ensuite sur les gonades (ovaires chez les femmes et testicules chez les hommes) pour stimuler la production d'hormones sexuelles et la spermatogenèse ou l'ovulation.

Les récepteurs de la gonadolibérine sont des cibles importantes pour le développement de médicaments utilisés dans le traitement de divers troubles endocriniens et reproductifs, tels que le cancer de la prostate, l'infertilité et les troubles menstruels.

La dysfonction érectile, également connue sous le nom d'impuissance, est un trouble sexuel défini par l'incapacité persistante ou récurrente d'un homme à atteindre ou à maintenir une erection suffisante pour avoir des rapports sexuels satisfaisants. Cela peut inclure des problèmes de maintien de l'érection après la pénétration, ou une incapacité totale à obtenir une erection.

Cette condition peut être causée par divers facteurs, y compris les problèmes physiques (comme le diabète, l'hypertension artérielle, les lésions de la moelle épinière, les maladies cardiovasculaires, l'obésité, et certains troubles neurologiques), les facteurs psychologiques (comme le stress, l'anxiété, la dépression, ou des problèmes relationnels), ou une combinaison de ces facteurs.

Le traitement de la dysfonction érectile dépendra de la cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des changements de style de vie, des médicaments oraux, des dispositifs de vacuum, des injections intracaverneuses, des implants péniens, ou une thérapie comportementale et sexuelle. Il est important que les hommes atteints de cette condition consultent un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

L'aménorrhée est une condition médicale dans laquelle une femme n'a pas de règles ou de menstruations pendant une période prolongée. Cela peut être dû à plusieurs facteurs, tels que la grossesse, l'allaitement, les changements hormonaux, les problèmes de poids, le stress émotionnel, certaines maladies chroniques et certains médicaments.

Il existe deux types d'aménorrhée : primaire et secondaire. L'aménorrhée primaire est diagnostiquée lorsqu'une femme n'a pas eu de menstruations d'ici l'âge de 16 ans, tandis que l'aménorrhée secondaire se produit lorsqu'une femme qui a déjà eu des règles normales cesse d'avoir ses règles pendant trois mois ou plus.

L'aménorrhée peut être un symptôme d'un problème de santé sous-jacent, il est donc important de consulter un médecin si vous éprouvez des irrégularités menstruelles ou si vous n'avez pas eu vos règles pendant une période prolongée. Selon la cause sous-jacente, le traitement peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments hormonaux ou d'autres interventions médicales.

L'hormone lutéinisante (LH) est une glycoprotéine hormonale qui est produite et sécrétée par les cellules gonadotropes de l'antéhypophyse dans le cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères, y compris les humains. La LH est composée de deux sous-unités alpha et bêta, qui sont toutes deux nécessaires à sa fonction biologique spécifique.

La sous-unité bêta de l'hormone lutéinisante (LH-β) est une protéine qui se combine avec la sous-unité alpha commune pour former la molécule entière de LH. La séquence d'acides aminés spécifique de la sous-unité bêta détermine l'activité biologique de la LH et lui permet de se lier à son récepteur spécifique dans les tissus cibles.

La LH-β est synthétisée et sécrétée en réponse à la stimulation de la glande pituitaire par deux facteurs de libération hypothalamiques : la GnRH (gonadotrophine-réleasing hormone) et la dopamine. La LH-β joue un rôle essentiel dans la régulation du cycle menstruel chez les femmes, en déclenchant l'ovulation et en favorisant la formation du corps jaune dans l'ovaire. Chez les hommes, elle stimule la production de testostérone dans les testicules.

Des variations dans la structure et la fonction de la sous-unité bêta de l'hormone lutéinisante peuvent entraîner des troubles hormonaux et reproductifs, tels que des anomalies du cycle menstruel, une infertilité ou une diminution de la production de testostérone.

La Follicle Stimulating Hormone (FSH) ou Hormone Folliculostimulante en français, est une hormone glycoprotéique produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle fait partie des gonadotrophines, avec la Luteinizing Hormone (LH).

La FSH joue un rôle crucial dans la régulation de la fonction reproductive en stimulant la croissance et la maturation des follicules ovariens chez les femmes et la spermatogenèse chez les hommes. Chez les femmes, elle favorise le développement des follicules contenant les ovocytes dans les ovaires, tandis que chez les hommes, elle stimule la production de spermatozoïdes dans les testicules.

La sécrétion de FSH est régulée par un mécanisme de rétroaction négative impliquant d'autres hormones telles que l'inhibine et l'estradiol, qui sont produites par les ovaires et les testicules respectivement. Les taux de FSH peuvent être mesurés pour diagnostiquer certains troubles de la fonction reproductive, tels que l'insuffisance ovarienne prématurée ou la ménopause précoce chez les femmes, et l'hypogonadisme chez les hommes.

Leuprolide est un agoniste du récepteur de la gonadotrophine (GnRH) utilisé en médecine pour le traitement de diverses affections, telles que le cancer de la prostate et l'endométriose. Il s'agit d'un peptide synthétique analogue à la GnRH humaine, qui est une hormone naturellement produite par l'organisme pour réguler la fonction des gonades (ovaires et testicules).

En se liant aux récepteurs de la GnRH dans l'hypophyse, le leuprolide provoque initialement une augmentation de la libération des hormones lutéinisante (LH) et folliculo-stimulante (FSH), ce qui entraîne à son tour une augmentation de la production de testostérone ou d'œstrogènes par les gonades. Cependant, après quelques jours de traitement, l'exposition continue du récepteur à l'agoniste du GnRH entraîne une diminution de la sensibilité des récepteurs et une réduction de la production de LH et FSH, ce qui entraîne finalement une diminution de la production de testostérone ou d'œstrogènes.

Cette propriété du leuprolide en fait un outil utile dans le traitement des affections sensibles aux hormones, telles que le cancer de la prostate et l'endométriose, où une diminution des niveaux d'hormones peut aider à contrôler la croissance et la propagation des cellules cancéreuses ou à soulager les symptômes liés aux affections hormono-sensibles.

Le leuprolide est disponible sous diverses formulations, notamment des injections sous-cutanées ou intramusculaires à action prolongée et des implants sous-cutanés à libération prolongée. Les effets secondaires courants du traitement par le leuprolide peuvent inclure des bouffées de chaleur, des sueurs nocturnes, des maux de tête, des nausées, des vomissements et une diminution de la libido.

Le syndrome CHARGE est un rare trouble génétique qui affecte plusieurs parties du corps. L'acronyme "CHARGE" représente les principales caractéristiques associées à ce syndrome :

* Coloboma : une fente ou fissure dans l'iris, la rétine ou le nerf optique de l'œil qui peut affecter la vision.
* Heart defects : des malformations cardiaques congénitales qui peuvent varier en gravité.
* Atresia choanae : une obstruction ou un rétrécissement des choanes, les passages situés entre le nez et la gorge, ce qui peut entraver la respiration.
* Growth retardation : un retard de croissance et de développement.
* Genital and/or urinary abnormalities : des anomalies génitales ou urinaires peuvent être présentes.
* Ear abnormalities and hearing loss : des malformations de l'oreille moyenne et une perte auditive sont fréquemment observées.

Les personnes atteintes du syndrome CHARGE présentent souvent des anomalies faciales caractéristiques, telles qu'un nez large et plat avec une pointe tournée vers le haut, des fentes palpébrales antimongoloïdes (petites paupières orientées vers le bas), des sourcils arqués et une bouche petite et proéminente.

Le syndrome CHARGE est causé par des mutations dans le gène CHD7, qui code pour une protéine impliquée dans la régulation de l'expression des gènes pendant le développement embryonnaire. La plupart des cas sont sporadiques, ce qui signifie qu'ils ne sont pas hérités d'un parent et se produisent en raison d'une nouvelle mutation dans le gène.

Le diagnostic du syndrome CHARGE repose sur l'examen clinique et la reconnaissance des caractéristiques typiques associées à ce trouble. Des tests génétiques peuvent être utilisés pour confirmer le diagnostic et déterminer si une personne est porteuse d'une mutation dans le gène CHD7.

Le traitement du syndrome CHARGE implique une prise en charge multidisciplinaire, comprenant des soins médicaux, chirurgicaux et de réadaptation pour gérer les complications associées à ce trouble. Les enfants atteints du syndrome CHARAGE peuvent présenter des difficultés d'alimentation, de croissance et de développement, ainsi que des problèmes respiratoires, auditifs et visuels. Une intervention précoce et un suivi régulier sont essentiels pour assurer une prise en charge optimale et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes du syndrome CHARGE.

Les troubles de l'olfaction, également connus sous le nom d'anomalies de l'odorat, se réfèrent à des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à sentir ou à interpréter correctement les odeurs. Ces troubles peuvent être causés par divers facteurs, tels que des dommages au système nerveux, des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, l'exposition à certains produits chimiques ou la consommation de tabac.

Les troubles de l'olfaction peuvent se manifester par une perte complète de l'odorat (anosmie), une réduction de la capacité à sentir les odeurs (hyposmie) ou une distorsion des odeurs (parosmie). Dans certains cas, les personnes atteintes de ces troubles peuvent également présenter une perception altérée du goût, car l'odorat joue un rôle important dans la perception des saveurs.

Les troubles de l'olfaction peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie d'une personne, affectant sa capacité à détecter les dangers potentiels tels que les fuites de gaz ou les aliments avariés, ainsi que son expérience gustative et olfactive globale. Ils peuvent également être associés à des problèmes psychologiques tels que la dépression et l'anxiété.

Le diagnostic et le traitement des troubles de l'olfaction dépendent de leur cause sous-jacente. Dans certains cas, ils peuvent s'améliorer spontanément avec le temps, tandis que dans d'autres, une intervention médicale ou chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème.

L'hormone lutéinisante (LH) est une hormone pituitaire glycoprotéique qui joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères. Chez les femmes, juste avant l'ovulation, il y a une forte augmentation de la LH connue sous le nom de pic de LH. Cela déclenche la libération d'un ovule mature par l'ovaire, un processus appelé ovulation.

Dans le corps masculin, la LH stimule les cellules interstitielles dans les testicules pour produire et sécréter de la testostérone, une hormone androgène essentielle au développement des caractères sexuels secondaires mâles.

La production et la libération de LH sont contrôlées par l'hypothalamus via l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH). Des niveaux élevés d'œstrogènes ou de testostérone dans le sang inhibent la production de GnRH, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion de LH. Cela fait partie d'un système de rétroaction négative qui aide à réguler les niveaux hormonaux dans l'organisme.

L'hypopituitarisme est un trouble endocrinien caractérisé par la production insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires. La glande pituitaire, également appelée hypophyse, est une petite glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs autres glandes endocrines dans le corps en libérant des hormones spécifiques.

Les types d'hormones hypophysaires affectées peuvent inclure :

1. Hormone de croissance (GH)
2. Thyrotropine ou TSH (Thyroid-stimulating hormone)
3. Adrénocorticotrope ou ACTH (Adrenocorticotropic hormone)
4. Prolactine (PRL)
5. Follicle-stimulating hormone (FSH) et Luteinizing hormone (LH), qui régulent la fonction reproductive
6. Melanocyte-stimulating hormone (MSH)

Les causes de l'hypopituitarisme peuvent être congénitales ou acquises. Les causes congénitales comprennent des anomalies chromosomiques, des malformations congénitales et des mutations génétiques. Les causes acquises peuvent inclure des tumeurs hypophysaires, des traumatismes crâniens, des infections, des accidents vasculaires cérébraux, des interventions chirurgicales ou des radiothérapies au cerveau, ainsi que certaines maladies systémiques telles que la maladie de Sheehan et l'histiocytose.

Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent du type d'hormone hypophysaire touchée et peuvent inclure une petite taille, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une sensibilité au froid, une perte de poids ou une prise de poids, des menstruations irrégulières ou l'absence de menstruation chez les femmes, une diminution de la libido et une dysfonction érectile chez les hommes, un assèchement de la peau, une perte de cheveux, une vision floue et des maux de tête.

Le diagnostic de l'hypopituitarisme repose sur l'évaluation clinique, les tests hormonaux et l'imagerie médicale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et vise à remplacer les hormones manquantes ou insuffisantes par des médicaments appropriés. Dans certains cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de l'hypopituitarisme.

En termes médicaux, la libido se réfère à l'instinct ou au désir sexuel d'une personne. Elle est influencée par divers facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. La libido peut varier considérablement d'une personne à l'autre et peut également fluctuer chez la même personne en fonction de divers facteurs tels que l'âge, le stress, la fatigue, les problèmes de santé sous-jacents, les médicaments et le niveau de satisfaction dans une relation. Les fluctuations de la libido sont normales, mais si elles causent une détresse significative ou entravent la capacité d'une personne à fonctionner normalement dans sa vie quotidienne, il peut être conseillé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils et un traitement.

Je suis désolé, mais la dénomination "globuline fixant hormone sexuelle" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Cependant, je suppose que vous pourriez faire référence aux "protéines de liaison aux hormones sexuelles", qui comprennent des protéines telles que la globuline liant les stéroïdes (SHBG) et l'albumine sérique.

La SHBG est une protéine produite dans le foie qui se lie principalement à l'hormone androgène dihydrotestostérone (DHT) et à l'hormone sexuelle mâle, la testostérone, ainsi qu'à l'hormone sexuelle féminine, l'estradiol. La SHBG régule la concentration libre de ces hormones dans le sang en se liant aux formes libres des hormones, ce qui rend ces dernières inactives et empêche leur entrée dans les cellules cibles.

L'albumine sérique est une autre protéine produite par le foie qui peut également se lier à diverses molécules, y compris certaines hormones sexuelles. Cependant, contrairement à la SHBG, l'albumine a une affinité beaucoup plus faible pour les hormones sexuelles et ne joue donc qu'un rôle mineur dans leur régulation.

Par conséquent, il est important de noter que "globuline fixant hormone sexuelle" n'est pas un terme médical reconnu, mais je suppose que vous recherchiez des informations sur les protéines de liaison aux hormones sexuelles telles que la SHBG et l'albumine.

Les maladies hypothalamiques font référence à un groupe divers de troubles causés par des anomalies dans l'hypothalamus, une petite glande située à la base du cerveau qui joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps. L'hypothalamus est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la température corporelle, l'appétit, la soif, le sommeil, les émotions et le rythme cardiaque.

Les maladies hypothalamiques peuvent être congénitales ou acquises. Les causes incluent des anomalies génétiques, des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des déficiences nutritionnelles et le vieillissement.

Les symptômes varient considérablement en fonction de la zone spécifique de l'hypothalamus affectée. Ils peuvent inclure des changements dans le poids corporel, une température corporelle anormale, une altération du cycle menstruel, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, des maux de tête, des problèmes de vision, des troubles du sommeil, des changements d'humeur et des difficultés de concentration.

Le diagnostic et le traitement dépendent de la cause sous-jacente de la maladie hypothalamique. Ils peuvent inclure une combinaison de médicaments, de chirurgie, de radiothérapie, de thérapie de remplacement hormonal et de modifications du mode de vie.

La puberté est un processus de développement biologique qui marque l'entrée dans la maturité sexuelle et reproductive. Chez les humains, elle se caractérise généralement par une série de changements physiques et hormonaux qui commencent habituellement vers l'âge de 10 à 14 ans pour les filles et de 12 à 16 ans pour les garçons.

Chez les filles, le premier signe de puberté est souvent le début des menstruations, appelé ménarche. Cela se produit généralement environ deux ans après le développement des seins et l'apparition des poils pubiens. D'autres changements incluent une augmentation de la taille, le développement des hanches, l'assombrissement de l'aréole et l'augmentation de la pilosité sur d'autres parties du corps.

Chez les garçons, le premier signe de puberté est souvent une augmentation de la taille des testicules et des érections nocturnes fréquentes. Cela est suivi par l'apparition des poils pubiens, la croissance de la pilosité faciale et corporelle, le développement de la musculature, la maturation de la voix et la production de sperme.

La puberté est régulée par les hormones produites par l'hypothalamus, l'hypophyse et les gonades (ovaires ou testicules). Ces hormones déclenchent une cascade d'événements qui conduisent aux changements physiques et reproductifs associés à la puberté.

Les gonadotrophines hypophysaires sont des hormones produites et sécrétées par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Il existe deux types principaux de gonadotrophines hypophysaires : la folliculo-stimulante (FSH) et la lutéinisante (LH).

La FSH joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions reproductives en stimulant la croissance et la maturation des follicules ovariens chez les femmes, ce qui conduit à la libération d'un ovule mature. Chez les hommes, la FSH stimule la production de spermatozoïdes dans les testicules.

La LH déclenche l'ovulation chez les femmes en provoquant la libération de l'ovule mature de l'ovaire. Chez les hommes, la LH stimule la production de testostérone dans les testicules.

Les niveaux de FSH et de LH sont régulés par d'autres hormones, telles que les gonadotrophines chorioniques humaines (hCG) produites pendant la grossesse, qui peuvent imiter l'action de la LH. Les déséquilibres dans la production de ces hormones peuvent entraîner des problèmes de fertilité et d'autres troubles de la fonction reproductive.

Les kisspeptines sont des neuropeptides qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique (HHG), qui contrôle les fonctions reproductives. Ils sont produits par le gène KISS1 et se lient aux récepteurs du kisspeptine, appelés RKRP ou GPR54.

Dans l'organisme humain, les kisspeptines sont exprimées principalement dans l'hypothalamus, en particulier dans le noyau arcuatus et le noyau préoptique médian. Elles agissent comme des neuromodulateurs pour réguler la libération de gonadolibérine (GnRH), une hormone clé qui déclenche la cascade d'événements hormonaux responsables du développement et de la fonction reproductive.

Les kisspeptines sont également connues pour jouer un rôle dans la régulation des fonctions énergétiques, de l'homéostasie glucidique et de la prise alimentaire. Des études récentes ont montré que les kisspeptines peuvent être impliquées dans d'autres processus physiologiques tels que le contrôle de la pression artérielle, l'anxiété sociale et la dépendance à la drogue.

Les anomalies du système kisspeptine-RKRP ont été associées à des troubles de la reproduction tels que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), la puberté précoce et la puberté retardée, ainsi qu'à d'autres maladies telles que l'obésité et le cancer.

L'infertilité féminine est une condition médicale où une femme, dans des conditions d'activité sexuelle normale, n'est pas en mesure de devenir enceinte après un an de tentatives régulières. Elle peut être causée par divers facteurs, y compris des problèmes liés à l'âge, aux ovaires, aux trompes de Fallope, à l'utérus, au col de l'utérus, aux hormones ou à des maladies chroniques. Les exemples spécifiques de ces problèmes peuvent inclure le syndrome des ovaires polykystiques, l'endométriose, les infections pelviennes, la ménopause prématurée, les fibromes utérins et d'autres affections. L'infertilité féminine peut également être liée à des facteurs liés à la vie, tels que le tabagisme, l'obésité, l'alcoolisme et une mauvaise alimentation. Dans certains cas, aucune cause spécifique ne peut être identifiée, ce qui est connu sous le nom d'infertilité inexpliquée.

Les androgènes sont des hormones stéroïdes qui jouent un rôle crucial dans le développement et le maintien des caractéristiques sexuelles masculines. La testostérone est l'androgène le plus connu et est produite principalement par les testicules chez les hommes, bien que certaines androgènes soient également produites en petites quantités par les ovaires et les glandes surrénales chez les femmes.

Les androgènes sont importants pour la croissance et le développement des organes reproducteurs masculins pendant la puberté, y compris la voix qui mue, la pousse des poils faciaux et corporels, l'augmentation de la masse musculaire et la production de sperme. Les androgènes jouent également un rôle dans la libido, l'humeur, le développement osseux et la fonction cognitive.

Cependant, un excès d'androgènes peut entraîner des problèmes de santé tels que l'acné, la croissance excessive des cheveux chez les femmes, l'infertilité et des troubles menstruels. Un déficit en androgènes peut également causer des problèmes de santé, tels qu'une faible libido, une perte de masse musculaire, une fatigue chronique et une dysfonction érectile chez les hommes.

Les médicaments androgènes sont parfois utilisés pour traiter certains troubles hormonaux ou des conditions médicales spécifiques, telles que le retard de puberté, l'hypogonadisme, la perte de masse musculaire due à une maladie chronique ou au vieillissement, et certains types de cancer.

Un testicule est une glande reproductive masculine appariée qui a deux fonctions principales : la production de spermatozoïdes (sperme) et la sécrétion d'hormones androgènes, principalement la testostérone. Les testicules sont situés dans le scrotum, un sac lâche de peau en dehors du corps, sous l'abdomen. Ils sont ovales et mesurent environ 2 pouces de long et 1 pouce d'épaisseur. Chaque testicule est recouvert d'une membrane protectrice appelée la tunique albuginée.

Les testicules contiennent des tubes séminifères, où les spermatozoïdes sont produits par un processus appelé spermatogenèse. Ce processus commence à la puberté et se poursuit tout au long de la vie d'un homme. Les spermatozoïdes matures sont stockés dans l'épididyme, une structure en forme de tube située sur le dessus de chaque testicule, jusqu'à ce qu'ils soient libérés pendant l'éjaculation.

Les testicules produisent également des hormones androgènes, principalement la testostérone, qui joue un rôle crucial dans le développement et le maintien des caractères sexuels secondaires masculins tels que les poils du visage, la masse musculaire, la croissance osseuse, la production de sperme et la libido.

Les problèmes de testicules peuvent inclure l'atrophie testiculaire, le cancer des testicules, l'hydrocèle (accumulation de liquide autour du testicule), l'orchite (inflammation du testicule) et la varicocèle (dilatation des veines dans le scrotum).

Le récepteur FGFR1, ou le facteur de croissance des fibroblastes 1 (FGF) est un récepteur tyrosine kinase qui joue un rôle crucial dans la régulation de divers processus biologiques tels que la prolifération cellulaire, la migration et la différenciation. Il est codé par le gène FGFR1.

Lorsque les ligands FGF se lient au récepteur FGFR1, cela entraîne une cascade de signalisation intracellulaire qui peut activer diverses voies de signalisation, y compris la voie RAS-MAPK et la voie PI3K-AKT. Ces voies sont importantes pour la régulation de la croissance cellulaire, la survie cellulaire et d'autres processus biologiques essentiels.

Des mutations dans le gène FGFR1 ont été associées à plusieurs types de cancer, y compris les cancers du sein, des ovaires, des poumons et de la tête et du cou. Ces mutations peuvent entraîner une activation constitutive du récepteur FGFR1, ce qui peut conduire à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la tumorigenèse. Par conséquent, le récepteur FGFR1 est considéré comme une cible thérapeutique prometteuse pour le traitement de divers types de cancer.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

Les troubles gonadiques font référence à un large éventail de conditions médicales qui affectent les gonades, c'est-à-dire les organes reproducteurs responsables de la production des gamètes (ovules chez les femmes et spermatozoïdes chez les hommes) ainsi que des hormones sexuelles. Ces troubles peuvent affecter à la fois la structure et la fonction des gonades.

Chez les hommes, les troubles gonadiques comprennent des conditions telles que le syndrome de Klinefelter, qui est une anomalie chromosomique où un homme a deux X et un Y chromosome (47,XXY) au lieu d'un X et un Y chromosome (46,XY). Cela peut entraîner des testicules de petite taille, une production réduite de spermatozoïdes et des niveaux faibles de testostérone.

Chez les femmes, les troubles gonadiques comprennent des conditions telles que le syndrome de Turner, qui est une anomalie chromosomique où une femme a un seul X chromosome (45,X) au lieu d'un double X (46,XX). Cela peut entraîner l'absence d'ovaires et des caractéristiques physiques féminines sous-développées.

D'autres troubles gonadiques peuvent inclure des cancers des ovaires ou des testicules, une insuffisance ovarienne prématurée, des kystes ovariens et des torsions testiculaires. Les symptômes de ces troubles varient en fonction de la condition spécifique, mais peuvent inclure des problèmes de fertilité, des irrégularités menstruelles, des douleurs abdominales ou testiculaires, et des changements dans les niveaux d'hormones sexuelles.

Le traitement des troubles gonadiques dépend du type de condition et peut inclure une surveillance médicale régulière, une thérapie hormonale, une chirurgie ou une combinaison de ces options.

La maladie d'Addison, également connue sous le nom de insuffisance surrénalienne primaire, est un trouble endocrinien dans lequel les glandes surrénales ne produisent pas suffisamment des hormones stéroïdes essentielles telles que le cortisol et l'aldostérone. Les glandes surrénales sont situées au-dessus des reins et font partie du système endocrinien, qui aide à réguler divers processus dans le corps en libérant des hormones dans la circulation sanguine.

Dans la maladie d'Addison, l'écorce des glandes surrénales (la couche externe) est endommagée ou détruite, ce qui entraîne une réduction de la production de cortisol et d'aldostérone. Le cortisol aide à réguler le métabolisme, à répondre au stress, à contrôler l'inflammation et à maintenir la glycémie stable. L'aldostérone maintient l'équilibre des électrolytes et de l'eau dans le corps en régulant la quantité de sodium et de potassium excrétée par les reins.

Les symptômes courants de la maladie d'Addison comprennent la fatigue, la faiblesse, la perte d'appétit, la perte de poids, la nausées, la diarrhée, l'hypertension artérielle, les vertiges, les crampes musculaires, les changements de peau (y compris les taches sombres sur la peau connues sous le nom de mélanodermie) et l'hypotension orthostatique. Les symptômes peuvent s'aggraver progressivement avec le temps et peuvent être déclenchés par des facteurs de stress physiques ou émotionnels.

La maladie d'Addison peut être causée par une variété de facteurs, y compris des affections auto-immunes, des infections, des lésions rénales, des tumeurs et certains médicaments. Le diagnostic repose généralement sur des tests sanguins qui évaluent les niveaux d'hormones et d'électrolytes, ainsi que sur des tests d'imagerie pour exclure d'autres causes possibles de symptômes.

Le traitement de la maladie d'Addison implique généralement un remplacement hormonal à vie pour compenser les déficits en hormones. Les patients peuvent recevoir des suppléments d'hydrocortisone et d'aldostérone sous forme de comprimés, ainsi que des suppléments de sel et d'eau pour aider à maintenir l'équilibre électrolytique. Les patients doivent également apprendre à gérer leur maladie en évitant les facteurs de stress excessifs, en surveillant leurs symptômes et en ajustant leur traitement en conséquence.

La maladie d'Addison est une affection chronique qui nécessite un traitement et une gestion à long terme, mais avec un diagnostic et un traitement appropriés, les patients peuvent généralement mener une vie normale et active.

Le syndrome de Prader-Willi est un trouble génétique rare caractérisé par une variété de symptômes, notamment un faible tonus musculaire à la naissance (hypotonie), des difficultés d'alimentation et un retard de développement dans l'enfance. Plus tard, le syndrome est marqué par une augmentation constante de l'appétit (hyperphagie) et de l'obésité, des problèmes de comportement et de cognition, des traits faciaux caractéristiques et des problèmes hormonaux.

Le syndrome de Prader-Willi est causé par une anomalie dans la région du chromosome 15 qui contient un groupe de gènes qui ne sont pas actifs (suppression génomique). Dans la plupart des cas, cette suppression se produit spontanément et n'est pas héritée des parents.

Le traitement du syndrome de Prader-Willi implique une prise en charge multidisciplinaire comprenant une gestion nutritionnelle stricte pour prévenir l'obésité, un traitement hormonal de remplacement, une thérapie comportementale et des interventions éducatives. La prise en charge précoce et continue peut aider à améliorer les résultats et la qualité de vie des personnes atteintes du syndrome de Prader-Willi.

La dysgénésie gonadique 46,XX est une anomalie congénitale du développement sexuel caractérisée par la présence de tissus ovariens anormaux ou sous-développés chez les individus ayant un caryotype femelle normal (46, XX). Cette condition est souvent associée à d'autres anomalies génitales et/ou extragénitales. Les personnes atteintes de dysgénésie gonadique 46,XX peuvent présenter des caractéristiques sexuelles externes féminines normales ou ambiguës à la naissance, mais sont souvent stériles en raison de l'absence de fonction ovarienne normale. Cette condition peut être associée à un risque accru de développer des tumeurs gonadiques malignes, il est donc recommandé de procéder à une surveillance régulière et à une éventuelle excision prophylactique des gonades.

Il convient de noter que la dysgénésie gonadique 46,XX peut être causée par divers facteurs génétiques et environnementaux, y compris les anomalies chromosomiques, les mutations génétiques et l'exposition aux perturbateurs endocriniens pendant la grossesse. Le diagnostic et le traitement de cette condition nécessitent une prise en charge multidisciplinaire par des spécialistes du développement sexuel et reproductif, y compris des endocrinologues pédiatriques, des généticiens cliniques et des chirurgiens pédiatriques.

En termes médicaux, la généalogie est l'étude systématique des antécédents familiaux et médicaux d'une personne ou d'une famille sur plusieurs générations. Elle vise à identifier les modèles de maladies héréditaires ou génétiques dans une famille, ce qui peut aider à évaluer le risque de développer certaines affections et à mettre en œuvre des stratégies de prévention et de dépistage appropriées.

Les professionnels de la santé utilisent souvent des arbres généalogiques pour représenter visuellement les relations familiales et les antécédents médicaux. Ces outils peuvent être particulièrement utiles dans la pratique clinique, en particulier lorsqu'il s'agit de maladies rares ou complexes qui ont tendance à se produire dans certaines familles en raison de facteurs génétiques sous-jacents.

En plus d'être un outil important pour la médecine préventive, la généalogie peut également fournir des informations précieuses sur l'histoire naturelle de diverses maladies et conditions, ce qui contribue à faire progresser notre compréhension globale de la pathogenèse et de la physiopathologie. Par conséquent, elle joue un rôle crucial dans la recherche médicale et les soins cliniques.

L'hyperprolactinémie est un trouble hormonal caractérisé par des taux anormalement élevés de prolactine, une hormone produite par la glande pituitaire située à la base du cerveau. Normalement, la prolactine aide à stimuler la production de lait maternel pendant l'allaitement. Cependant, des niveaux élevés de prolactine en dehors de la période d'allaitement peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications.

Les causes courantes d'hyperprolactinémie comprennent les tumeurs bénignes de l'hypophyse (appelées prolactinomes), certains médicaments, des troubles de la thyroïde, une stimulation excessive du sein et des lésions de l'hypothalamus. Les symptômes courants de l'hyperprolactinémie chez les femmes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des douleurs mammaires et une production de lait inappropriée en dehors de la période d'allaitement. Chez les hommes, les symptômes peuvent inclure une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des érections réduites ou absentes, une croissance mammaire (gynécomastie) et une diminution de la masse musculaire.

Le diagnostic d'hyperprolactinémie est généralement posé sur la base d'un examen physique, d'une évaluation des symptômes et de tests sanguins pour mesurer les niveaux de prolactine. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'hyperprolactinémie. Dans certains cas, le traitement peut impliquer l'arrêt ou le changement de médicaments qui peuvent contribuer à l'augmentation des niveaux de prolactine. Pour les personnes atteintes d'un adénome hypophysaire producteur de prolactine, le traitement peut inclure une chirurgie ou une radiothérapie pour enlever la tumeur. Les médicaments qui bloquent l'action de la prolactine peuvent également être utilisés pour réduire les niveaux de prolactine et soulager les symptômes associés à l'hyperprolactinémie.

Les aberrations des chromosomes sexuels sont des anomalies chromosomiques qui affectent les chromosomes sexuels, X et Y. Les variations les plus courantes concernent le nombre ou la structure de ces chromosomes.

Voici quelques exemples d'aberrations des chromosomes sexuels :

1. Syndrome de Klinefelter : Il s'agit d'une anomalie chromosomique où un individu a au moins une copie supplémentaire du chromosome X, ce qui donne lieu à la formule chromosomique XXY. Les personnes atteintes de cette condition sont généralement masculines, mais présentent des caractéristiques sexuelles secondaires anormales, telles qu'une augmentation de la taille des seins (gynécomastie), une stérilité et un développement musculaire insuffisant.

2. Syndrome de Turner : Dans cette condition, une personne n'a qu'un seul chromosome X, ce qui donne lieu à la formule chromosomique 45,X0. Les personnes atteintes de cette condition sont généralement féminines, mais présentent des caractéristiques sexuelles secondaires anormales, telles qu'un nanisme, un cou court et large, des oreilles bas implantées et une stérilité.

3. Syndrome de Jacob : Il s'agit d'une anomalie chromosomique où un individu a au moins trois chromosomes X, ce qui donne lieu à la formule chromosomique XXX. Les personnes atteintes de cette condition sont généralement féminines, mais présentent des caractéristiques sexuelles secondaires anormales, telles qu'une stérilité et un risque accru de développer des troubles mentaux.

4. Syndrome de superfemme : Dans cette condition, une personne a plus d'un chromosome Y en plus du chromosome X, ce qui donne lieu à des formules chromosomiques telles que XXXY ou XXXXY. Les personnes atteintes de cette condition sont généralement féminines, mais présentent des caractéristiques sexuelles secondaires anormales, telles qu'un nanisme et une stérilité.

5. Mosaïcisme : Dans ce cas, certaines cellules d'une personne ont un nombre anormal de chromosomes X ou Y, tandis que d'autres cellules ont un nombre normal. Les personnes atteintes de cette condition peuvent présenter des caractéristiques sexuelles secondaires anormales et des troubles mentaux.

Les anomalies chromosomiques peuvent entraîner des problèmes de développement, des malformations congénitales et des handicaps intellectuels. Les personnes atteintes d'anomalies chromosomiques peuvent également présenter un risque accru de développer certains types de cancer.

L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).

L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).

La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.

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