La baisse de pression FLUID cérébro-spinal cliniquement caractérisé par la tête qui est maximale dans une posture droite et occasionnellement par une paralysie système nerveux (voir système sang-froid maladies), une raideur de la nuque, de l ’ audition (la surdité), nausées, et autres symptômes. Cette réaction peut être spontané ou secondaires PUNCTURE échoué ; NEUROSURGICAL PROCÉDURES ; déshydratation ; urémie ; un traumatisme (voir également traumatisme cranio-cérébral) ; et autres procédés. Une hypotension peut être associée à hématomes subduraux (voir HEMATOMA, sous-dural) ou hygromas. (De Semin Neurol 1996 Mar ; 16 (1) : 5-10 ; Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp637-8)
L ’ injection de sang autologue dans l'espace épidural soit en traitement prophylactique immédiatement après une péridurale percer ou pour le traitement des maux de tête suite à une péridurale ponction.
Les fuites et l'accumulation d ’ FLUID cérébro-spinal dans l'espace subdural pouvant être associées à un traumatisme cranio-cérébral processus infectieux tumeurs du cerveau ; ; ; ; hypotension intracrânienne et d'autres maladies.
Anormalement bas de la tension. Qui peut entraîner des sanguine inadéquate du flux sanguin vers le cerveau et les autres organes vitaux. Mais un symptôme commun est DIZZINESS influences négatives sur le corps survenir quand il y a la privation prolongée d'oxygène et éléments nutritifs.
X-ray visualisation de la moelle épinière après injection de produit de contraste dans la moelle arachnoïde l'espace.
Écoulement de liquide céphalo-rachidien par le nez. Fréquent étiologies incluant tumeurs traumatisme, et avant la chirurgie, bien que la maladie peuvent survenir spontanément. (Otolaryngol Head Neck Surg 1997 avril ; 116 (4) : 442-9)
Pression du Manometric FLUID cérébro-spinal mesurées par les lombaires, cerebroventricular ou ponction cisternal. Dans la cavité crânienne ça s'appelle la pression intracrânienne.
Le symptôme de douleur dans la région crânienne. C'est peut-être un cas isolé bénignes l ’ incidence ou de manifestation sur une large variété de migraine DISORDERS.
Les entrailles des trois méninges, une membrane fibreux de tissu conjonctif recouvrant le cerveau et la moelle épinière.
Les trois muqueuses qui couvrent le cerveau et la colonne vertébrale. Ils sont la dure-mère, l'arachnoïde, et le la pia mater.
Accumulation de sang dans l'espace subdural entre la dure-mère MATER et la couche arachnoidal des méninges. Cette condition principalement sur la surface d'un CEREBRAL Nord, mais peuvent apparaître dans le canal vertébral (HEMATOMA, sous-dural, échoué). Hématome sous-dural peut être classifiée comme la phase aiguë ou la forme chronique, with immediate ou retardé l'apparition des symptômes, respectivement. Les symptômes peuvent inclure une perte de conscience, migraine sévère et la détérioration mentale.
Tissu cérébral hernie à travers un défaut congénital ou acquis dans le crâne. La majorité encephaloceles congénitales ou occipital survenir dans les régions frontales. Caractéristiques cliniques concernent un pouvant être protuberant masse pulsatile. La quantité et le site de tissu neural proéminantes détermine le type et le degré de déficience neurologique. Des anomalies visuelles, retard de développement psychomoteur et déficits persistants fréquemment observée.
Un fluide aqueux continuellement produite dans le plexus choroïde et circule autour de la surface du cerveau ; et dans la colonne vertébrale CEREBRAL ventricules.
Divers problèmes avec le symptôme de migraine. Maux de tête nerveux sont classés dans les grandes groupes, comme PRIMARY migraine DISORDERS (basé sur les caractéristiques de leurs symptômes) et céphalées (DISORDERS SECONDARY migraine en se basant sur leurs étiologies). (Rapport international Classification des Céphalées Disorders, 2e ed. Affections du système nerveux Fréquent : Céphalalgie suppl 2004 : 1)
Procédure dans laquelle la pression artérielle est intentionnellement réduite afin de contrôler la perte de sang pendant l'opération. Cette procédure est effectué soit en pré-chirurgie pharmacologiquement ou par le sang.
Tapote le liquide de l'espace sous-arachnoïdien dans la région lombaire, habituellement entre la troisième et quatrième vertèbre lombaire..
Espace entre la dure-mère et les murs du canal vertébrales.
Veines drainant le cerveau.
Récession du globe oculaire dans l'orbite.
Lésion du cerebrospinal-like cavités contenant un liquide, le mur de qui se compose de arachnoidal cellules. Ils sont le plus souvent du développement ou intracrânienne liés aux traumas. Arachnoïde kystes apparaissent habituellement adjacent à arachnoidal citerne et présentent déjà une hydrocéphalie ; migraine ; crises ; et des signes neurologiques focaux. (De Joynt Clinique neurologie, 1994, Ch44, pp105-115)
La longue grand canal veineux endothelium-lined au-dessus la surface extérieure du cerveau. Elle reçoit du sang d'une veine dans la cavité nasale, coule à l'envers, et progressivement des augmentations de taille que sang s'écoule de veines du cerveau et la dure-mère MATER. Près de la jambe arrière du crâne, le sinus sagittal supérieur déviants d'un côté (habituellement le bon) et poursuit comme un transversale au sinus.
Création d'une chirurgie cérébrale dans le ventricule.
La pression dans la cavité crânienne. C'est influencé par la masse cérébrale, le système circulatoire, LCR dynamiques, et crâne rigidité.
Écoulement de liquide céphalo-rachidien par le méat auditif externe ou par la trompe d'eustache Et ressort dans le nasopharynx. C'est souvent associé à traumatisme cranio-cérébral (ex : Fracture du crâne impliquant le TEMPORAL BONE ;), NEUROSURGICAL PROCÉDURES ; ou autres conditions, mais peut rarement survenir spontanément. (De Am J Otol 1995 Nov ; 16, paragraphe 6 : 765-71)
Une baisse significative de la tension. Après avoir pris dans une position debout, hypotension orthostatique, c'est du scoopos et définie par une diminution de la pression artérielle systolique 20-mm Hg ou une diminution de la pression diastolique 10-mm Hg 3 minutes après la personne est sortie de décubitus... symptômes incluent généralement DIZZINESS, vision trouble et la syncope.
Non invasive mode de démontrer l'anatomie interne basé sur le principe que les noyaux atomiques dans un fort champ magnétique absorber pulsations d'eux comme une radio de l'énergie et émettent des ondes radio qui peut être reconstruit en images informatisée. Le concept inclut proton spin tomographique techniques.
Des paquets de sang-froid appariés fibres entrant ou sortant des colonne vertébrale à chaque segment. La nageoire dorsale et racines nerveuses ventral pour former un mélange de rejoindre segmentaire, nerfs rachidiens. La nageoire dorsale racines sont généralement sensitifs, formée par la racine dorsale de la moelle () ganglions cellules sensorielle, et l'aire racines sont efferent, comprenant les axones motrices et Preganglionic autonome de fibres.
Les sept premiers de la génétique qui échoué mensuelle de la génétique qui du cou.
Une accumulation excessive de liquide céphalo-rachidien dans le crâne qui peuvent être associées à de la dilatation des ventricules cérébraux, HYPERTENSION intracrânienne, migraine ; léthargie ; incontinence urinaire ; et une ataxie.
Un groupe de douze génétique qui connecté aux côtes qui soutiennent la partie supérieure du coffre région.

L'hypotension intracrânienne (HIC) est une condition médicale dans laquelle la pression du liquide céphalorachidien (LCR) et la pression intracrânienne (PIC) dans le crâne sont abaissées. La pression intracrânienne normale se situe généralement entre 5 et 15 mmHg. Lorsque cette pression tombe en dessous de 5 mmHg, on parle d'hypotension intracrânienne.

Les causes possibles de l'hypotension intracrânienne comprennent une fuite de LCR, une déshydratation sévère, un traumatisme crânien, une hémorragie sous-arachnoïdienne, une infection du cerveau (méningite), des tumeurs cérébrales, l'utilisation de certains médicaments et une insuffisance veineuse cérébrale.

Les symptômes courants de l'hypotension intracrânienne comprennent des maux de tête, des nausées et des vomissements, des étourdissements, une vision floue ou double, une sensibilité à la lumière vive (photophobie), des bourdonnements d'oreilles (acouphènes) et dans certains cas, une perte de conscience.

Le diagnostic de l'hypotension intracrânienne peut être posé en mesurant la pression intracrânienne à l'aide d'une ponction lombaire ou d'un monitorage continu de la PIC. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une hydratation intraveineuse, des médicaments pour augmenter la pression artérielle, des stéroïdes pour réduire l'enflure cérébrale, des antidouleurs et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Une subdural effusion, également connue sous le nom d'hydropisie sous-durale, est une accumulation anormale de liquide dans l'espace subdural, qui se situe entre la dure-mère (la membrane externe du cerveau) et l'arachnoïde (une membrane intermédiaire). Cette condition est souvent liée à une augmentation de la pression intracrânienne ou à une lésion des vaisseaux sanguins dans cette région. Les subdurales effusions sont fréquemment observées chez les nouveau-nés, en particulier après un accouchement difficile, et peuvent également survenir chez les adultes, par exemple à la suite d'une blessure à la tête ou d'une infection. Les symptômes dépendent de l'importance de l'effusion et peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, une somnolence, des convulsions ou des troubles visuels. Le traitement peut varier en fonction de la cause sous-jacente et de la gravité de la situation, allant du simple monitoring à la chirurgie pour drainer le liquide accumulé.

L'hypotension artérielle est une condition médicale où la pression artérielle systolique (la pression lorsque le cœur bat) est inférieure à 90 mmHg, et/ou la pression diastolique (la pression lorsque le cœur est au repos entre deux battements) est inférieure à 60 mmHg. Des valeurs normales de pression artérielle sont généralement considérées comme étant de 120 mmHg ou plus pour la pression systolique et de 80 mmHg ou moins pour la pression diastolique.

L'hypotension peut être classée en deux catégories : hypotension orthostatique (ou posturale) et hypotension régulière. L'hypotension orthostatique se produit lorsque la pression artérielle chute soudainement lors du passage de la position allongée ou assise à la position debout, entraînant des symptômes tels que des étourdissements, des vertiges ou une syncope. L'hypotension régulière, en revanche, se produit de manière continue et peut être le résultat d'une maladie sous-jacente, d'un traitement médicamenteux ou d'autres facteurs.

Les symptômes de l'hypotension artérielle peuvent inclure des étourdissements, des vertiges, une faiblesse, une fatigue, des nausées, des vomissements, une vision floue et une syncope. Dans les cas graves, l'hypotension peut entraîner une insuffisance cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou d'autres complications médicales graves.

Les causes courantes de l'hypotension artérielle comprennent la déshydratation, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les infections, les réactions allergiques sévères, certains médicaments (tels que les antihypertenseurs, les diurétiques et les antidépresseurs), la grossesse et le vieillissement. Le traitement de l'hypotension artérielle dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des modifications du mode de vie, des changements de régime alimentaire, une hydratation adéquate, la modification des médicaments ou d'autres interventions médicales.

Une myélographie est un examen d'imagerie diagnostique qui implique l'injection d'un produit de contraste dans l'espace sous-arachnoïdien autour de la moelle épinière. Cette procédure permet de visualiser clairement la structure et la fonction de la moelle épinière et des nerfs rachidiens sur les images radiographiques ou scanners.

La myélographie peut aider à détecter diverses affections médicales, telles que des hernies discales, des tumeurs, des infections, des malformations congénitales, des inflammations ou des lésions de la moelle épinière et des nerfs rachidiens. Cependant, cette procédure est de moins en moins utilisée en raison du développement de techniques d'imagerie plus modernes et non invasives, comme l'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique).

La rhinorrhée cérébrospinale est un symptôme rare mais grave où le liquide céphalo-rachidien (LCR) s'écoule par le nez. Le LCR est un fluide clair qui entoure et protège le cerveau et la moelle épinière. Cette condition peut être causée par une blessure à la tête ou au visage, une intervention chirurgicale crânienne, une tumeur cérébrale, une méningite, ou d'autres conditions médicales qui endommagent les membranes qui séparent le cerveau du nez.

La rhinorrhée cérébrospinale est un symptôme sérieux qui nécessite une évaluation et un traitement médicaux immédiats pour prévenir les complications, telles que l'infection meningée ou l'hypertension intracrânienne. Le diagnostic peut être posé en examinant le liquide qui s'écoule du nez et en recherchant la présence de biomarqueurs spécifiques du LCR, tels que des protéines ou des glucides. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la condition et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou d'autres interventions thérapeutiques.

La pression liquide céphalorachidienne (PLCR), également connue sous le nom de pression intracrânienne, est la pression exercée sur le cerveau et le liquide cérébrospinal (LCS) dans les espaces remplis de LCS à l'intérieur du crâne. Le LCS agit comme un coussin qui protège le cerveau et le moelle épinière, et permet au cerveau de flotter dans le crâne, réduisant ainsi la pression sur celui-ci.

La PLCR est maintenue constante grâce à un système complexe d'équilibre entre la production, l'absorption et la circulation du LCS. Normalement, la PLCR se situe entre 5 et 15 mm de Hg (millimètres de mercure) chez les adultes en décubitus dorsal. Des valeurs supérieures à 20 mm de Hg sont généralement considérées comme anormales et peuvent indiquer une augmentation de la pression intracrânienne, ce qui peut être le signe d'un certain nombre de conditions médicales graves, telles qu'une tumeur cérébrale, un œdème cérébral, une hémorragie sous-arachnoïdienne ou une méningite. Des symptômes tels que des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles visuels et une altération de la conscience peuvent être associés à une augmentation de la PLCR.

Une céphalée, plus communément appelée mal de tête, est une douleur ou une gêne localisée dans la région de la tête ou du cou. Les maux de tête peuvent varier en intensité, allant de légers à sévères, et peuvent être accompagnés de nausées, de vomissements, de sensibilités à la lumière et au son, ainsi que d'autres symptômes.

Il existe plusieurs types de maux de tête, notamment les migraines, les céphalées de tension, les céphalées en grappe, et les céphalées secondaires qui sont causées par une maladie sous-jacente ou une blessure. Les causes sous-jacentes des maux de tête peuvent inclure le stress, la fatigue, les troubles du sommeil, les problèmes de vision, les sinusites, les infections, les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales et l'hypertension artérielle.

Le traitement des maux de tête dépend du type et de la cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments en vente libre ou sur ordonnance, des changements de mode de vie, des thérapies comportementales et des interventions chirurgicales dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous souffrez de maux de tête fréquents ou sévères, car ils peuvent être le signe d'une condition médicale sous-jacente grave.

La dure-mère, également connue sous le nom de pachyméninge, est la couche externe fibreuse et la plus robuste des trois membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elle est composée de tissu conjonctif dense et contient des vaisseaux sanguins. La dure-mère est attachée à la surface interne du crâne et du canal rachidien, offrant une protection mécanique au système nerveux central. Elle est divisée en deux couches : la partie endostiale (interne) qui tapisse les os crâniens et la moelle épinière, et la partie éctoméninge (externe) qui forme les méninges de la tête et du cou. La dure-mère joue également un rôle dans la régulation du liquide cérébrospinal (LCS), car elle contient des granulations arachnoïdiennes qui aident à réabsorber le LCS dans la circulation sanguine.

Les méninges sont des membranes protectrices qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles sont composées de trois couches : la dure-mère, l'arachnoïde et la pie-mère. La dure-mère est la plus externe et la plus robuste, suivie de l'arachnoïde qui contient les espaces sous-arachnoïdiens remplis de liquide céphalo-rachidien. La pie-mère est la couche la plus interne et tapisse directement le cerveau et la moelle épinière. Les méninges protègent le système nerveux central contre les traumatismes physiques, assurent une barrière immunologique et maintiennent un environnement chimiquement stable pour le fonctionnement normal du cerveau et de la moelle épinière.

Un hématome sous-dural est une collection de sang qui se forme entre la dure-mère (la membrane externe qui enveloppe le cerveau) et le cerveau lui-même, dans l'espace sous-dural. Il résulte généralement d'une blessure à la tête qui endommage des veines situées dans cet espace, entraînant ainsi des saignements. Les symptômes peuvent varier en fonction de la taille de l'hématome et de la rapidité avec laquelle il se développe. Ils peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, une confusion, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps, des problèmes de vision, une perte d'équilibre et de coordination, une somnolence accrue, une agitation ou une diminution du niveau de conscience. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la pression sur le cerveau et prévenir des dommages permanents.

L'encéphalocèle est un type rare de défaut congénital du tube neural qui se produit lorsque le cerveau et les membranes qui l'entourent sortent à travers une ouverture dans le crâne. Cette condition est généralement visible à la naissance, bien qu'elle puisse ne pas être détectée avant que l'enfant ne commence à se développer et à présenter des symptômes.

Les encéphalocèles peuvent varier en taille et en gravité. Dans les cas plus graves, une grande partie du cerveau peut sortir du crâne, entraînant des anomalies faciales évidentes et des lésions cérébrales importantes. Dans les cas moins graves, seules de petites parties du cerveau peuvent dépasser la tête, ce qui peut ne pas être aussi visible ou causer autant de dommages.

Les encéphalocèles sont généralement causées par un défaut dans le tube neural pendant le développement fœtal. Les facteurs de risque comprennent une exposition à des substances toxiques, une infection maternelle ou une carence en acide folique pendant la grossesse.

Le traitement de l'encéphalocèle implique généralement une intervention chirurgicale pour remettre le cerveau et les membranes dans la tête et fermer l'ouverture dans le crâne. Le pronostic dépend de la taille et de la gravité de la malformation, ainsi que de l'étendue des dommages causés au cerveau. Les enfants atteints d'encéphalocèle peuvent présenter des retards de développement, des problèmes neurologiques et des anomalies physiques, selon la gravité de leur condition.

Le liquide cérébrospinal (LCS) est un fluide clair, stérile et circulant qui remplit les espaces sous-arachnoïdiens et la cavité ventriculaire du système nerveux central. Il agit comme un coussin protecteur pour le cerveau et la moelle épinière, absorbant les chocs mécaniques et maintenant une pression constante à l'intérieur du crâne. Le LCS est produit principalement par les plexus choroïdes dans les ventricules latéraux du cerveau, et il circule ensuite autour du cerveau avant d'être résorbé dans le sang via les granulations arachnoïdiennes. Le LCS joue également un rôle important dans la régulation des nutriments et déchets métaboliques du cerveau, ainsi que dans l'homéostasie ionique et la défense immunitaire de ce dernier.

Une céphalée est un terme général pour désigner une douleur dans la tête. Les maux de tête peuvent varier en intensité, allant de légers à sévères, et peuvent être accompagnés de divers symptômes tels que nausées, vomissements, sensibilité à la lumière ou au son, et étourdissements.

Il existe plusieurs types de céphalées, notamment les migraines, les céphalées de tension, les céphalées en grappe, et les céphalées secondaires qui sont dues à une cause sous-jacente telle qu'une infection, un traumatisme crânien ou un trouble médical.

Le traitement des maux de tête dépend du type et de la gravité de la céphalée. Les options de traitement peuvent inclure des analgésiques en vente libre, des médicaments sur ordonnance, des changements de mode de vie, des thérapies comportementales et des interventions invasives telles que les blocs nerveux ou la chirurgie.

Il est important de consulter un médecin si vous souffrez de maux de tête fréquents ou sévères, en particulier s'ils sont accompagnés de symptômes inhabituels ou graves, car ils peuvent être le signe d'un problème de santé sous-jacent plus grave.

En termes médicaux, l'hypotension contrôlée fait référence à une pression artérielle systolique délibérément maintenue à un niveau légèrement inférieur à la normale pour des raisons thérapeutiques. Cela se produit généralement pendant ou après une intervention chirurgicale majeure, où le maintien d'une pression artérielle basse peut aider à réduire le risque de saignements excessifs et d'autres complications liées à la chirurgie.

L'hypotension contrôlée est soigneusement gérée par des anesthésistes et des équipes de soins intensifs en ajustant les médicaments, les fluides et d'autres facteurs pour assurer une oxygénation et un apport sanguin adéquats aux organes vitaux. Il est important de noter que cette forme d'hypotension est strictement surveillée et réversible, ce qui signifie qu'elle est temporairement maintenue pendant une courte période et non autorisée à persister au-delà de la fenêtre de temps sécuritaire.

Toutefois, il convient de noter que les directives concernant l'hypotension contrôlée peuvent varier en fonction des différentes pratiques et spécialités médicales, ainsi que des préférences et expériences des prestataires de soins de santé. Par conséquent, la décision d'opter pour l'hypotension contrôlée doit être soigneusement évaluée au cas par cas, en tenant compte des avantages potentiels et des risques associés à chaque situation clinique spécifique.

Une ponction lombaire, également appelée rhachocentèse ou tapotement lombaire, est un processus médical dans lequel une aiguille fine est insérée dans l'espace situé entre deux vertèbres dans le bas du dos (colonne lombaire) pour recueillir du liquide céphalo-rachidien (LCR). Le LCR est un fluide clair qui entoure et protège le cerveau et la moelle épinière.

Cette procédure est généralement effectuée sous anesthésie locale pour réduire l'inconfort du patient. Elle peut être utilisée pour diverses raisons, telles que le diagnostic de certaines maladies du cerveau et de la moelle épinière, le soulagement de la pression intracrânienne élevée, ou l'administration de médicaments directement dans l'espace sous-arachnoïdien.

Des complications telles que des maux de tête, des infections, des saignements et des douleurs peuvent survenir, mais elles sont rares lorsque la procédure est effectuée par un professionnel qualifié.

Les veines de l'encéphale sont des vaisseaux sanguins qui sont responsables du retour du sang veineux vers le cœur à partir du cerveau et du cervelet. Contrairement aux artères, qui transportent le sang riche en oxygène depuis le cœur vers les tissus, les veines transportent le sang pauvre en oxygène vers le cœur pour qu'il soit réoxygéné.

Les veines de l'encéphale se forment à partir d'un réseau capillaire dense qui recouvre le cerveau et le cervelet. Ces veines se rejoignent ensuite pour former des veines plus grandes, qui se regroupent finalement en deux principaux systèmes veineux : le système veineux superficiel et le système veineux profond.

Le système veineux superficiel est composé de veines situées près de la surface du cerveau, telles que les veines corticales et les veines cerebri magna. Ces veines se rejoignent pour former la grande veine sagittale supérieure, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.

Le système veineux profond est composé de veines situées plus profondément dans le cerveau, telles que les veines thalamostriales et les veines galéniques. Ces veines se rejoignent pour former la veine de Galien, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.

Les veines de l'encéphale sont importantes car elles permettent d'évacuer les déchets métaboliques produits par le cerveau et de réguler la pression intracrânienne. Les troubles de la circulation veineuse peuvent entraîner des complications graves, telles que des accidents vasculaires cérébraux ou une augmentation de la pression intracrânienne.

L'enophtalmie est un terme médical qui décrit le retrait ou l'enfoncement anormal de l'œil dans l'orbite. Normalement, le globe oculaire remplit et s'adapte étroitement à l'espace de l'orbite, mais avec l'enophtalmie, il y a un espace vide entre la surface antérieure de l'œil et la paupière, ce qui donne au globe oculaire une apparence reculée ou rétractée.

Cette condition peut être causée par plusieurs facteurs, notamment une perte de volume dans l'orbite due à un traumatisme, une maladie dégénérative, une inflammation, une tumeur ou une chirurgie orbitaire antérieure. Dans certains cas, l'enophtalmie peut être associée à d'autres symptômes, tels que la ptose (affaissement de la paupière supérieure), la diplopie (vision double) et la limitation du mouvement oculaire.

Le diagnostic d'enophtalmie est généralement posé par un examen physique complet, y compris une évaluation détaillée des antécédents médicaux, de l'examen ophtalmologique et des tests d'imagerie tels que la tomodensitométrie ou l'IRM. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure une observation étroite, une gestion médicale conservatrice ou une intervention chirurgicale pour restaurer le volume orbital et rétablir la position normale du globe oculaire.

Les kystes arachnoïdiens sont des sacs remplis de liquide céphalo-rachidien (LCR) qui se forment entre les membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière, appelées méninges. Ils tirent leur nom de l'arachnoïde, une des trois membranes méningées. Ces kystes peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres.

La cause exacte de la formation des kystes arachnoïdiens n'est pas claire, mais on pense qu'ils résultent d'une anomalie congénitale ou peuvent se développer après une blessure à la tête. La plupart des kystes arachnoïdiens sont asymptomatiques et ne nécessitent aucun traitement. Cependant, certains kystes peuvent grossir avec le temps et exercer une pression sur le cerveau ou la moelle épinière, ce qui peut entraîner divers symptômes tels que des maux de tête, des vertiges, des nausées, des convulsions, des problèmes de vision, des engourdissements, des faiblesses musculaires et dans les cas graves, une paralysie.

Le diagnostic d'un kyste arachnoïdien est généralement posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille du kyste et des symptômes associés. Dans les cas où le kyste est petit et ne cause pas de symptômes, aucun traitement n'est nécessaire. Cependant, si le kyste grossit et provoque des symptômes, un traitement peut être recommandé, qui peut inclure une intervention chirurgicale pour drainer le kyste ou une fenestration, où une petite ouverture est pratiquée dans la paroi du kyste pour permettre au liquide de s'écouler.

Le sinus sagittal supérieur est une structure anatomique importante du système veineux crânien. Il s'agit d'un large sinus veineux situé dans la ligne médiane de la tête, sur la surface interne de l'os frontal et des os pariétaux. Il se trouve juste sous la dure-mère, la membrane externe des méninges qui enveloppent le cerveau.

Le sinus sagittal supérieur s'étend dans le sens antéropostérieur (de l'avant vers l'arrière) depuis l'os frontal jusqu'à la convexité occipitale, où il se courbe pour former le sinus transverse. Il reçoit du sang veineux des veines cérébrales supérieures et de la veine diploïque émissaire, ainsi que d'autres veines plus petites.

Le sang recueilli dans le sinus sagittal supérieur est ensuite drainé vers les sinus transverses, qui se rejoignent pour former le sinus sigmoïde, qui à son tour se déverse dans la veine jugulaire interne.

Des troubles tels que des thromboses ou des hémorragies peuvent affecter le sinus sagittal supérieur et entraîner des complications graves telles que des accidents vasculaires cérébraux, une hypertension intracrânienne et d'autres affections neurologiques.

La ventriculostomie est un procedure médico-chirurgicale où un petit trou ou incision est pratiqué dans un ventricule cérébral, qui sont des cavités remplies de liquide à l'intérieur du cerveau. Cette procédure est généralement effectuée pour soulager la pression intracrânienne élevée, faciliter l'écoulement du liquide céphalo-rachidien (LCR) ou fournir un accès au LCR à des fins diagnostiques.

Une ventriculostomie peut être réalisée en insérant une aiguille fine ou un cathéter dans le ventricule via une petite incision dans la calotte crânienne. Dans certains cas, un drain externe peut être laissé en place pour permettre la décompression continue du LCR et la surveillance de la pression intracrânienne.

Cette procédure est couramment utilisée dans le traitement de diverses conditions neurologiques, telles que les hémorragies sous-arachnoïdiennes, les tumeurs cérébrales, l'hydrocéphalie et les infections du système nerveux central. Comme avec toute procédure médicale, la ventriculostomie comporte des risques potentiels, y compris des saignements, des infections et des dommages aux structures cérébrales environnantes.

La pression intracrânienne (ICP) est la pression à l'intérieur du crâne dans le liquide céphalorachidien (LCR) qui remplit les espaces entre le cerveau, le cervelet et la moelle épinière. La plage normale de la pression intracrânienne est de 5 à 15 mmHg (millimètres de mercure). Une augmentation pathologique de l'ICP au-dessus de 20 mmHg est généralement considérée comme anormale et peut être le signe d'un certain nombre de conditions médicales graves, telles qu'une tumeur cérébrale, une hémorragie intracrânienne, une inflammation, un œdème cérébral ou une hydrocéphalie. Des valeurs élevées de pression intracrânienne peuvent endommager le cerveau en compressant les tissus cérébraux et en réduisant l'apport sanguin vers le cerveau, entraînant des symptômes tels que maux de tête, nausées, vomissements, troubles visuels, somnolence et, dans les cas graves, coma et décès.

L'otorrhée cérébrospinale est un écoulement de liquide céphalorachidien (LCR) provenant de l'oreille. Le LCR remplit les espaces situés entre le cerveau et la boîte crânienne, ainsi que ceux entre la moelle épinière et la colonne vertébrale. Normalement, le LCR ne sort pas du nez ou des oreilles, sauf en cas de traumatisme crânien, de méningite, d'une tumeur cérébrale ou d'autres affections qui peuvent provoquer une fuite de LCR.

L'otorrhée cérébrospinale peut être détectée par un test spécifique appelé test au bleu de bromophénol, qui consiste à instiller une petite quantité de colorant dans le liquide céphalorachidien via une ponction lombaire. Si du liquide teinté s'écoule ensuite de l'oreille, cela confirme la présence d'une otorrhée cérébrospinale.

Il est important de diagnostiquer et de traiter rapidement cette condition car elle peut entraîner des infections graves du cerveau ou de la moelle épinière si le LCR s'écoulant est contaminé par des bactéries provenant de l'oreille externe.

L'hypotension orthostatique, également appelée chute de pression orthostatique ou syndrome de chute de pression, est un type de réponse hypotonique à la posture qui se caractérise par une baisse excessive de la pression artérielle lors du passage de la position allongée ou assise à la position debout. Normalement, le corps s'adapte aux changements de position en ajustant le débit cardiaque et la résistance vasculaire pour maintenir une pression artérielle constante. Cependant, dans l'hypotension orthostatique, ce mécanisme de compensation est altéré, entraînant une diminution de la tension artérielle systolique (généralement supérieure à 20 mmHg) ou diastolique (supérieure à 10 mmHg) dans les trois minutes suivant le passage en position debout. Les symptômes associés peuvent inclure étourdissements, vertiges, faiblesse, fatigue, vision floue, nausées et, dans les cas graves, évanouissement (syncope). L'hypotension orthostatique peut être causée par une variété de facteurs, notamment la déshydratation, le vieillissement, certaines maladies neurologiques, endocriniennes ou cardiovasculaires, et certains médicaments (comme les diurétiques, les antidépresseurs ou les antihypertenseurs). Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez des symptômes d'hypotension orthostatique pour en déterminer la cause sous-jacente et mettre en place un traitement approprié.

Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.

Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.

Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.

Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.

Les racines nerveuses spinaux, également connues sous le nom de radicules spinales, se réfèrent aux parties initiales des nerfs rachidiens qui émergent de la moelle épinière à travers les foramens intervertébraux (ou trous entre les vertèbres) dans la colonne vertébrale. Chaque racine nerveuse spinale est formée par l'union d'un axone moteur provenant de neurones situés dans la moelle épinière et d'axones sensoriels en provenance des récepteurs sensoriels du corps.

Les racines nerveuses spinaux sont classées anatomiquement en deux groupes : les racines antérieures (ou ventrales) et les racines postérieures (ou dorsales). Les racines antérieures contiennent principalement des fibres motrices qui transmettent les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles squelettiques. En revanche, les racines postérieures sont constituées de fibres sensorielles qui conduisent les informations sensorielles provenant de la peau, des articulations et des organes internes vers le système nerveux central.

Les lésions ou compressions des racines nerveuses spinaux peuvent entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs neuropathiques, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements et une perte de réflexes. Ces conditions peuvent être causées par divers processus pathologiques, notamment les hernies discales, la sténose spinale, les traumatismes, les tumeurs ou les infections.

Les vertèbres cervicales sont les sept premières vertèbres de la colonne vertébrale, situées dans la région du cou. Elles sont désignées par les lettres C1 à C7, chaque lettre correspondant à une vertèbre particulière. La première vertèbre cervicale, également appelée atlas, supporte le crâne et permet la rotation de la tête. La deuxième vertèbre, l'axis, a un processus odontoïde qui s'étend vers le haut et forme une articulation pivotante avec l'atlas, permettant également des mouvements de la tête. Les autres vertèbres cervicales, de C3 à C7, ont des corps vertébraux plus petits et sont séparées par des disques intervertébraux qui agissent comme des amortisseurs pour absorber les chocs et permettre la flexion et l'extension du cou. Les vertèbres cervicales protègent également la moelle épinière et les nerfs spinaux dans cette région du corps.

L'hydrocéphalie est une condition médicale caractérisée par l'accumulation excessive de liquide céphalorachidien (LCR) dans les cavités ou les espaces à l'intérieur et autour du cerveau. Ce liquide est normalement produit dans le cerveau et circule dans les espaces, appelés ventricules, avant d'être réabsorbé dans la circulation sanguine. Cependant, lorsqu'il y a un déséquilibre entre la production et l'absorption du LCR, une pression accrue peut s'exercer sur le cerveau, entraînant des symptômes d'hydrocéphalie.

Les causes de l'hydrocéphalie peuvent être congénitales (présentes à la naissance) ou acquises (survenant plus tard dans la vie). Les causes congénitales comprennent les anomalies du tube neural, les infections maternelles pendant la grossesse et certains troubles chromosomiques. Les causes acquises peuvent inclure des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, des infections telles que la méningite ou l'encéphalite, et des accidents vasculaires cérébraux.

Les symptômes de l'hydrocéphalie dépendent de l'âge du patient et de la rapidité avec laquelle la condition se développe. Chez les nourrissons, les symptômes peuvent inclure une tête anormalement grande, des fontanelles (points mous à l'avant et à l'arrière de la tête) bombées, des vomissements, une somnolence excessive, des spasmes anormaux, un retard de développement et des problèmes visuels. Chez les enfants plus âgés et les adultes, les symptômes peuvent inclure des maux de tête sévères, des nausées et des vomissements, une vision double, des difficultés d'équilibre et de coordination, une perte de conscience, une confusion, une démarche incertaine, une paralysie partielle ou complète d'un côté du corps, une perte de mémoire et une diminution des facultés mentales.

Le traitement de l'hydrocéphalie implique généralement la mise en place d'un shunt, qui est un tube mince et flexible inséré chirurgicalement dans le cerveau pour drainer l'excès de liquide céphalo-rachidien vers une autre partie du corps où il peut être absorbé. Dans certains cas, une dérivation endoscopique des fuites de LCR (LECS) peut être utilisée à la place d'un shunt. Cette procédure consiste à créer une nouvelle voie pour que le liquide céphalo-rachidien s'écoule du cerveau vers l'extérieur du crâne, éliminant ainsi le besoin d'un shunt.

Dans certains cas, la chirurgie peut être utilisée pour enlever une tumeur ou un kyste qui cause une hydrocéphalie. Dans d'autres cas, des médicaments peuvent être prescrits pour réduire la production de liquide céphalo-rachidien ou pour traiter toute infection sous-jacente.

Le pronostic de l'hydrocéphalie dépend de la cause sous-jacente et du moment où le traitement est commencé. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale rapide peut être nécessaire pour prévenir des dommages irréversibles au cerveau. Même avec un traitement approprié, certaines personnes peuvent présenter des séquelles permanentes telles qu'une déficience intellectuelle, des problèmes de vision ou d'audition, une paralysie partielle ou complète d'un côté du corps, des difficultés d'apprentissage et des troubles du comportement.

Dans la terminologie médicale, les vertèbres thoraciques font référence aux douze vertèbres qui composent la partie supérieure et moyenne de la colonne vertébrale, également connue sous le nom de région thoracique ou poitrine. Chaque vertèbre thoracique est numérotée de T1 à T12, en commençant par la vertèbre la plus haute.

Les vertèbres thoraciques sont uniques car elles ont des processus transverses plus courts et des processus épineux plus longs que les vertèbres cervicales supérieures. De plus, chaque vertèbre thoracique a une facette costale sur ses corps vertébraux qui s'articule avec une côte, ce qui contribue à la formation de la cage thoracique et protège les organes vitaux internes.

En plus d'offrir une protection aux organes internes, les vertèbres thoraciques jouent également un rôle important dans la stabilité de la colonne vertébrale, en particulier lors des mouvements de torsion et de flexion latérale. Cependant, leur contribution à la mobilité globale de la colonne vertébrale est limitée en raison de l'articulation costale restrictive.

... et d'augmentation de l'hypertension intracrânienne. Les décès surviennent généralement par suite d'une hypotension progressive ...
On décrit des cas d'augmentation de la tension intracrânienne, des états d'excitation, de sédation, des cauchemars, des ... une hypotension orthostatique. Il existe un risque de rétention urinaire chez les sujets porteurs d'un adénome prostatique. ...
Elle augmente la pression intracrânienne. D'un point de vue clinique, elle provoque : trémulations, troubles du sommeil, ... Insuffisance surrénalienne, hypothyroïdie ; la morphine provoque une hypotension qui peut être dangereuse dans ces cas ; ... Des troubles neurologiques ou d'origine neurologique (centrale) ; hypotension, notamment orthostatique. Les sujets âgés sont ... le risque d'hypertension intracrânienne est particulièrement dangereux dans cette situation, et les effets secondaires de la ...
Hypotension orthostatique HTAP : Hypertension artérielle pulmonaire HTIC : hypertension intracrânienne HTLV : Human T- ... tension intracrânienne TID : (ter in die) trois fois par jour TIH : thrombopénie induite à l'héparine TIL : Tumor Infiltrating ... hospitalisé ou hypotension orthostatique Ho : homozygote HP : hyperprotidique ou hôpital psychiatrique HPA : human platelet ... pression intracrânienne ou pneumopathie interstitielle commune Pic V : pic de vélosité PID : pneumopathie interstitielle ...
S'il y a des signes d'hypertension intracrânienne, un monitorage de la pression intracrânienne est souhaitable afin de prendre ... une hypotension artérielle. Cette hypotension peut survenir rapidement, notamment en rapport avec une infection à méningocoque ... Une méningite peut induire un œdème cérébral qui peut engendrer une hypertension intracrânienne, voire un engagement cérébral. ... Une crise d'épilepsie peut survenir pour de multiples raisons, telles qu'une hypertension intracrânienne ou la présence d'une ...
On retrouve de manière plus rare voire exceptionnelle : Hypotension artérielle, par malaise vagal lors de la pose ou ... tumeur intracranienne avec HTIC... (risque d'aggravation) une allergie vraie aux composants du mélange anesthésique Un tatouage ... entrainant des hypotensions sévères par baisse des résistances vasculaires périphériques. En atteignant un niveau suffisamment ...
Plusieurs complications présentent un danger réel pour le pronostic vital : pression intracrânienne accrue, hémorragie ... à une hypotension, une tachycardie, une hypoglycémie et à divers désordres acido-basiques,. Ces premiers symptômes ... intracrânienne, septicémie, pancréatite aiguë, insuffisance rénale aiguë et arrêt cardiaque,. La mort frappe généralement six à ...
Hypotension, fréquente, dont les signes annonciateurs sont des nausées et vomissements. La raison est vasoplégie intense qui ... tumeur intracrânienne avec HTIC... (risque d'aggravation ou engagement) Une allergie vraie aux composants du mélange ... souvent en lien avec une hypotension Sensation d'oppression thoracique par paralysie des muscles respiratoires accessoires ; ...
... périnéoscrotal pseudovaginal Hypospadias retard mental type Goldblatt Hypotélorisme fente palatine hypospadias Hypotension ... essentielle Hypertension artérielle familiale Hypertension artérielle pulmonaire primitive Hypertension intracranienne ...
Autres La pression intracrânienne (PIC) : un capteur est inséré à l'intérieur de la boîte crânienne par un trou de trépan. Le ... hypotension), la détresse respiratoire (nécessitant une aide mécanique), l'insuffisance rénale aiguë, des troubles graves du ... en cas de tachycardie/fibrillation ventriculaire Un capteur de pression intracrânienne (PIC) : en cas de HTIC pour le ... Hypertension intracrânienne (HTIC) Neuropathie de réanimation Délire de réanimation Système respiratoire Insuffisance ...
Hypotension médicamenteuse (I95.8) Autres hypotensions Hypotension chronique (I95.9) Hypotension, sans précision (I97) Troubles ... Hémorragie intracrânienne (non traumatique), sans précision (I63) Infarctus cérébral (I63.0) Infarctus cérébral dû à une ... Hypotension (I95.0) Hypotension idiopathique (I95.1) Hypotension orthostatique (I95.2) ... Hémorragie sous-arachnoïdienne d'une artère intracrânienne, sans précision (I60.8) Autres hémorragies sous-arachnoïdiennes ( ...
Sa pression artérielle systolique est d'environ 60 mmHg : Ronald Reagan est en hypotension,. Souffrant de troubles ... une large dose de mannitol et de stéroïdes lui sont injectés pour l'immobiliser et diminuer sa pression intracrânienne. En dix ...
  • Une précaution doit être prise chez les personnes souffrant de bradycardie grave, d'insuffisance hépatique, d'hypotension légère ou modérée, d'infarctus du myocarde associé à une défaillance du ventricule gauche, d'une hypertension intracrânienne, d'un œdème généralisé du tissu cérébral. (canadiankpharmacy.com)
  • et la sténose artérielle proximale avec hypotension qui diminue le débit sanguin cérébral dans les zones de vascularisation terminale (accident vasculaire cérébral hémodynamique). (merckmanuals.com)
  • Le symptôme cardinal de l' hypotension intracrânienne spontanée (HIS) est la céphalée posturale orthostatique. (medscape.com)
  • Peu fréquent : effets sur la régulation cardiovasculaire (palpitations, tachycardie, hypotension artérielle orthostatique ou collapsus cardiovasculaire).Ces effets indésirables peuvent survenir en particulier après une administration intraveineuse et chez les patients soumis à un stress physique. (dapmed-africa.com)
  • Ce sont des situations plutôt hospitalières, assez rares et transitoires pour beaucoup d'entre elles : hémorragie majeure évolutive ou situation à très haut risque hémorragique (ulcère gastro-intestinal récent, tumeur maligne, notamment cérébrale, à haut risque de saignement, chirurgie neurologique ou ophtalmique récente, hémorragie intracrânienne ou médullaire récente, etc. (cardiologie-pratique.com)
  • La fuite de liquide céphalorachidien est une des causes de l'hypotension intracrânienne. (frejus59.fr)