Une réduction de la quantité d'air entrant dans les alvéoles pulmonaires.
Hypoventilation syndrome de personnalités très obèses excessive de tissu adipeux et abdomen autour du diaphragme. C'est caractérisé par diminués à son état ventilatoire absents ; des leucémies chemoresponsiveness hypoxie ; hypercapnie ; polycythémie ; et de longues périodes de sommeil durant jour et nuit (HYPERSOMNOLENCE). C'est une condition souvent liées à dormir mais également en apnée obstructive séparément.
Un état associé à des épisodes multiples de l'apnée du sommeil qui sont distingués des l'apnée obstructive du sommeil (apnée du sommeil, cardiomyopathie obstructive) par la cessation des efforts pour respirer. Ce trouble est associée à un dysfonctionnement de centres du système nerveux central qui régulent la respiration.
Inflammatoire, néoplasiques infectieuse, et d'autres maladies de l'hypothalamus. Les signes cliniques sont : Troubles de l'appétit ; le système nerveux autonome maladies ; dormir DISORDERS ; les symptômes comportementaux reliés au dysfonctionnement du système limbique Neuroendocrine ; et affections.
Dyssomnies (soit insomnias ou hypersomnias) associée à un dysfonctionnement de dormir mécanismes internes liés au sommeil ou secondaire à un trouble médical (par exemple, de l'apnée du sommeil, troubles du sommeil post-traumatique, etc.). (Thorpy, troubles du sommeil de médecine, 1994, p187)
Une manifestation clinique de augmentation anormale du quantité de dioxyde de carbone dans du sang artériel.
Mégacôlon congénitale résultant de l ’ absence de cellules ganglionnaires (aganglionosis) dans un segment distal de la grande intestin. Les aganglionic segment fait définitivement contracté causant ainsi dilatation proximal à ça. Dans la plupart des cas, les aganglionic segment fait COLON et fini dans le sigmoïde.
Un terme général neurone moteur intégré inférieures ; maladie PERIPHERAL maladies ; le système nerveux et certaines maladies. MUSCULAR inclure les signes de faiblesse ; fasciculation ; atrophie musculaire ; SPASM ; MYOKYMIA ; muscle hypertonie, myalgies, muscle et une hypotonie.
Un gaz inodore et incolore qui ne peut être formé par le corps et est nécessaire pour la respiration cycle de plantes et animaux.
Un échec à oxygène corectement subvenir à des cellules du corps et pour éliminer le CO2 d'eux. (Stedman, 25e éditeur)
Effets biologiques and events that soutien des fonctions du système respiratoire.
Un taux de ventilation pulmonaire métaboliquement plus vite que est nécessaire pour l'échange de gaz. C'est le résultat d'une augmentation de l ’ incidence de troubles respiratoires, une augmentation du volume courant, ou une association des deux. Elle entraîne un excès d ’ oxygène et le souffle de dioxyde de carbone.
Maladie du parasympathique divisions des ou de compréhension le système nerveux autonome ; qui possède des composants situées sur le CENTRALE le système nerveux PERIPHERAL. Le système nerveux et troubles du système nerveux autonome peut être associée à hypothalamique maladies ; cerveau STEM ; colonne vertébrale maladies ; troubles et maladies. Le système nerveux PERIPHERAL manifestations comporter des altérations des fonctions végétatives y compris le maintien de la pression du sang ; UR TAUX ; élève fonction ; SWEATING ; REPRODUCTIVE ET urinaire PHYSIOLOGY ; et digestion.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Un mode de la respiration artificielle qui emploie mécanique ou non-mécanique signifie pour forcer l'air entre et sorte d'les poumons. La respiration artificielle ou ventilation est utilisé chez des individus qui ont arrêté de respirer ou insuffisance respiratoire pour augmenter leur consommation d ’ oxygène (O2) et l ’ excrétion du gaz carbonique (CO2).
Enregistrement en continu de la teneur en dioxyde de carbone de l'air expiré.
Le dosage de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le sang.
Nerveux caractérisé par de multiples cessations de respiration pendant le sommeil inducteurs pics partielle et interférer avec le maintien de sommeil. L'apnée du sommeil tardifs sont divisés en central (voir dormir apnée, CENTRALE), cardiomyopathie obstructive (voir l ’ apnée du sommeil, cardiomyopathie obstructive), et mélangé central-obstructive types.
Une caractéristique complexe de symptomes.
L'étude des motifs de crêtes de peau des doigts, paumes, pieds, et les semelles.
Application de la pression positive à la phase inspiratoire lorsque le patient présente une assistance respiratoire en place et est connecté à un respirateur.
Conditions inflammatoires ou dégénératives affectant le système nerveux central ou périphérique développant, en association avec une invasion par Néoplasme systémique sans direct, elles peuvent être associées à des anticorps circulants réagir avec ce tissu neural. (Interne Med 1996 Dec -35 925-9) (12) :
La mesure non invasive ou de détermination de la pression partielle (tension) d'oxygène et / ou du dioxyde de carbone localement dans les capillaires d'un mouchoir par l 'application de la peau d'une série spéciale d'électrodes. Ces électrodes contiennent photoélectriques capable de ramasser les capteurs des longueurs d'ondes de radiations émise par oxygéné versus réduite hémoglobine.
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Corps ventilateurs qui aident à la ventilation en appliquant intermittente subatmospheric pression autour du thorax, abdomen, ou des voies aériennes supérieures et régulièrement étendre la cage thoracique et on gonfle les poumons. Ils sont relativement simple à manœuvrer et ne nécessitent pas de trachéotomie. Ces appareils inclure le tank ventilateurs ("poumon d'acier"), et le torse, Pneumowrap Portalung plastron ("coquille de tortue").
Ce serait la pression exercée par un composant d ’ un mélange de gaz si c'était cadeau seul dans un container de McGraw-Hill. (Dictionnaire de termes scientifique et technique, 6e éditeur)
Une méthode de ventilation artificielle dans laquelle la pression se maintient à augmenter le volume de gaz restant dans les poumons à la fin de l'expiration, réduisant ainsi la gare de sang par les poumons et à améliorer les échanges gazeux.
Le volume total de gaz inspiré périmé par unité de mesure en temps, habituellement litres par minute.
Incision chirurgicale de la trachée.
La détermination de oxygen-hemoglobin de saturation de sang soit par de prélever un échantillon et passer à travers un oxymètre photoélectriques classique ou par des électrodes attachées à translucides partie du corps comme doigt, lobe, ou pli non invasif, l'oxygène suivi par une oxymétrie de pouls.
Formation chirurgicale d'une place dans la trachée dans le cou, or the opening donc créé.
L'échange d'oxygène et CARBON de titane entre air alvéolaires et sang capillaire pulmonaire qui apparaît à travers le BLOOD-AIR BARRIER.
Et une surveillance simultanée de plusieurs paramètres pendant le sommeil pour étudier normal et anormal dormir. L'étude comprend la surveillance des ondes cérébrales, pour évaluer les phases du sommeil, et autres variables physiologique respiration, et les mouvements oculaires, lesquelles présentent un taux d'oxygène dans le sang perturbé schéma avec troubles du sommeil.
De psychoses médicamenteuses dépression de conscience durant laquelle les patients ne peuvent être facilement excitable mais répondre volontairement stimulations douloureuses après administration répétée, l ’ aptitude à indépendamment maintenir son état ventilatoire fonction peut être altérée. (De : Association américaine des anesthésistes Practice Guidelines)
Affections respiratoires de contraction pendant INHALATION. Le travail est accompli en trois phases : Poumon RESPECT besognes que nécessaire pour étendre les poumons contre ses forces ; du tissu élastique résistance besognes que nécessaire pour surmonter la viscosité du poumon et la cage thoracique et voie aérienne structures économiques et résistance à ton travail, que nécessaire pour vaincre la résistance des voies respiratoires pendant le mouvement d ’ air dans les poumons. Travail de respiration ne renvoie pas à l'expiration, ce qui est absolument causée par un processus externe, passif élastique détente du poumon et cage thoracique. (Guyton, Le manuel de la physiologie médicale, 8e Ed, p406)
Ces médicaments incluent les muscles du diaphragme et les muscles INTERCOSTAL.
Le volume d'air inspiré périmé pendant chaque cycle respiratoire normal, discret et... commun abréviations sont la télé ou V avec subscript T.
Relativement absence complète d'oxygène dans un ou plus de mouchoirs.
Cellules spécialisées pour détecter produits chimiques et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Chemoreceptor cellules pourraient surveiller stimuli externes, comme goût et l'olfactif, ou interne stimuli, tels que les concentrations d'oxygène et CARBON de titane dans le sang.
Affections respiratoires rétention de CO2. Il peut être aiguë ou chronique.
Un élément dont symbole O, numéro atomique 8 et poids atomique [15.99903 ; 15.99977]. C'est l'élément le plus abondant sur Terre et essentiel pour la respiration.
Protéines (gènes codée par Homeobox gène Homéotique) Une analogie structurelle cette exposition à certains facteurs D'et protéines DNA-Binding eucaryotes. Homeodomain protéines sont impliquées dans le contrôle de l ’ expression génique pendant morphogénèse et développement (GENE expression RÈGLEMENT, ces).
Inflammation du cerveau due à une infection, processus auto-immuns, toxines et d ’ autres maladies. Des infections virales (voir encéphalite, VIRAL) sont relativement fréquentes une cause de cet état.
Une scène de sommeil caractérisée par des mouvements rapides des yeux et faible voltage vite modèle EEG. C'est souvent associée à un rêve.
Un état de dépression de conscience durant laquelle les patients présentent une réponse... De vous ranger, seul ou accompagné par la lumière tactile stimulation. Non les interventions sont nécessaire pour maintenir la fonctionnalité des voies aériennes. (De : Association américaine des anesthésistes Practice Guidelines)
Une suspension de réversibles sensorimotor interaction avec l'environnement, associée habituellement à recumbency et sont immobilisés.
Techniques pour l ’ administration de la respiration artificielle sans avoir recours à Intratracheal intubation.

L'hypoventilation est un terme médical qui décrit une situation où la ventilation alvéolaire, c'est-à-dire le volume d'air frais inspiré et expiré par les poumons, est insuffisante. Cela entraîne une augmentation des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang et une diminution des niveaux d'oxygène (O2).

Normalement, les poumons inhalent de l'air riche en oxygène et exhalent du CO2. Lorsque la ventilation est insuffisante, comme dans l'hypoventilation, moins d'air frais pénètre dans les poumons, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de CO2 dans le sang. Cela peut provoquer une acidose respiratoire, une condition où le pH sanguin devient trop acide en raison de l'augmentation du CO2.

L'hypoventilation peut être causée par divers facteurs, notamment des maladies pulmonaires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une faiblesse musculaire qui affecte les muscles respiratoires, des lésions de la moelle épinière ou d'autres affections neurologiques qui affectent le contrôle de la respiration.

Les symptômes de l'hypoventilation peuvent inclure une respiration superficielle et rapide, une fatigue, une somnolence diurne excessive, des maux de tête matinaux, une confusion, une désorientation et dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement des maladies sous-jacentes.

Le syndrome d'obésité hypoventilation (SOH), également connu sous le nom de syndrome de Pickwick, est un trouble respiratoire caractérisé par une obésité sévère et une ventilation altérée pendant le sommeil et souvent aussi pendant la veille. Les symptômes comprennent une hypoventilation alvéolaire, qui entraîne une hypoxémie (faible teneur en oxygène du sang) et une hypercapnie (taux élevé de dioxyde de carbone dans le sang). Le SOH peut également être associé à des apnées obstructives du sommeil (AOS), bien que certains patients présentent uniquement une hypoventilation.

Les critères diagnostiques pour le syndrome d'obésité hypoventilation comprennent généralement un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 30 kg/m2, des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang (PaCO2) supérieurs à 45 mmHg au repos en position assise ou debout, et l'exclusion d'autres causes de ventilation altérée telles que la neuromusculaire ou les maladies thoraciques.

Le SOH peut entraîner une variété de complications, y compris des maladies cardiovasculaires, des troubles du sommeil et une diminution de la qualité de vie. Le traitement peut inclure la perte de poids, l'oxygénothérapie au cours du sommeil, la ventilation non invasive pendant le sommeil et éventuellement la ventilation mécanique invasive dans les cas graves.

L'apnée centrale du sommeil est un trouble du sommeil qui se caractérise par l'absence de respiration pendant au moins 10 secondes associée à une diminution ou à l'absence d'efforts respiratoires. Contrairement à l'apnée obstructive du sommeil, où les voies respiratoires sont bloquées mécaniquement, dans l'apnée centrale du sommeil, le cerveau ne parvient pas à envoyer les signaux appropriés aux muscles respiratoires pour assurer une respiration adéquate pendant le sommeil.

Ce trouble peut être causé par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales, des maladies neurologiques, des problèmes cardiaques ou l'utilisation de certains médicaments. Les symptômes courants comprennent des pauses respiratoires pendant le sommeil, des ronflements légers ou inexistants, une somnolence diurne excessive et une fatigue persistante.

Le diagnostic de l'apnée centrale du sommeil repose généralement sur une étude du sommeil réalisée dans un laboratoire spécialisé en médecine du sommeil. Le traitement peut inclure des changements de mode de vie, tels que l'arrêt du tabac et la perte de poids, ainsi que l'utilisation d'appareils de ventilation à pression positive continue (PPC) ou d'autres dispositifs thérapeutiques. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour stimuler la respiration pendant le sommeil.

Les maladies hypothalamiques font référence à un groupe divers de troubles causés par des anomalies dans l'hypothalamus, une petite glande située à la base du cerveau qui joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps. L'hypothalamus est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la température corporelle, l'appétit, la soif, le sommeil, les émotions et le rythme cardiaque.

Les maladies hypothalamiques peuvent être congénitales ou acquises. Les causes incluent des anomalies génétiques, des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des déficiences nutritionnelles et le vieillissement.

Les symptômes varient considérablement en fonction de la zone spécifique de l'hypothalamus affectée. Ils peuvent inclure des changements dans le poids corporel, une température corporelle anormale, une altération du cycle menstruel, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, des maux de tête, des problèmes de vision, des troubles du sommeil, des changements d'humeur et des difficultés de concentration.

Le diagnostic et le traitement dépendent de la cause sous-jacente de la maladie hypothalamique. Ils peuvent inclure une combinaison de médicaments, de chirurgie, de radiothérapie, de thérapie de remplacement hormonal et de modifications du mode de vie.

Les troubles du sommeil d'origine intrinsèque, également connus sous le nom de troubles primaires du sommeil, sont des types de troubles du sommeil qui ne sont pas directement attribuables à une autre condition médicale, psychiatrique ou à l'utilisation de substances. Ils comprennent des conditions telles que l'insomnie, la narcolepsie, les parasomnies, le syndrome des jambes sans repos et les troubles du rythme circadien. Ces troubles peuvent entraîner une variété de symptômes, y compris des difficultés à s'endormir ou à rester endormi, une somnolence excessive pendant la journée, des mouvements anormaux pendant le sommeil et d'autres perturbations du sommeil qui peuvent affecter la qualité et la quantité de sommeil. Les troubles du sommeil d'origine intrinsèque peuvent avoir un impact significatif sur les fonctions cognitives, l'humeur, la santé physique et la qualité de vie globale.

L'hypercapnie est un terme médical qui décrit une concentration excessive de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. La normale est d'environ 35 à 45 mmHg. Cependant, lorsque les niveaux de CO2 dépassent 45 mmHg, on parle d'hypercapnie.

Cette condition peut survenir en raison d'une mauvaise ventilation pulmonaire, ce qui signifie que les poumons ne sont pas capables d'éliminer suffisamment de CO2 lors de la respiration. Cela peut être dû à une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), comme l'emphysème ou la bronchite chronique, à une insuffisance respiratoire, à une pneumonie, à une paralysie des muscles respiratoires ou à une overdose de médicaments dépresseurs du système nerveux central.

Les symptômes de l'hypercapnie peuvent inclure des maux de tête, une somnolence, une confusion, une augmentation de la fréquence cardiaque, une pression artérielle basse et, dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement de la maladie sous-jacente.

La maladie de Hirschsprung est une anomalie congénitale du système nerveux entérique, qui affecte le côlon et provoque une obstruction intestinale. Cette condition est caractérisée par l'absence de ganglions nerveux (neurones) dans une partie ou dans la totalité du muscle circulaire de la paroi intestinale. Les ganglions nerveux sont responsables de la relaxation des muscles intestinaux, permettant ainsi le passage des selles. En leur absence, une zone de l'intestin reste contractée et empêche les matières fécales de se déplacer normalement.

La maladie de Hirschsprung peut varier en gravité, allant d'une forme aggravée touchant tout le côlon (forme longue) à une forme plus bénigne ne concernant qu'un segment court du côlon. Les symptômes les plus courants comprennent la constipation sévère et prolongée, des vomissements nauséabonds, une distension abdominale et un retard de croissance chez les nourrissons. Chez les enfants plus âgés, elle peut se manifester par une diarrhée chronique, une mauvaise absorption des nutriments et un retard de développement.

Le diagnostic de la maladie de Hirschsprung repose généralement sur des tests spécifiques tels qu'une manométrie anorectale, une biopsie rectale et une radiographie de l'intestin. Le traitement consiste le plus souvent en une intervention chirurgicale visant à retirer la section affectée du côlon et à reconnecter les sections saines de l'intestin. Après l'intervention, certains enfants peuvent encore présenter des problèmes de constipation ou d'incontinence fécale, qui peuvent être traités avec des médicaments, une alimentation adaptée et des techniques de formation à la propreté.

Les maladies neuromusculaires sont un groupe divers de conditions qui affectent la fonction nerveuse et musculaire. Elles se produisent lorsque les nerfs qui contrôlent les muscles (motoneurones) ou ceux qui transmettent les sensations vers le cerveau (neurones sensoriels) ne fonctionnent pas correctement.

Cela peut entraîner une faiblesse, une paralysie, des crampes, des tremblements, des problèmes de coordination et d'équilibre, ainsi que des troubles sensoriels tels que la perte de réflexes, la sensation de picotements ou l'engourdissement.

Certaines maladies neuromusculaires sont héréditaires, tandis que d'autres peuvent être causées par des infections, des traumatismes, des tumeurs, des intoxications ou des processus dégénératifs liés à l'âge. Les exemples incluent la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la dystrophie musculaire de Duchenne, la myasthénie grave, la neuropathie périphérique et la sclérose en plaques.

Le traitement dépend du type spécifique de maladie neuromusculaire et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une assistance respiratoire ou d'autres soins de soutien. Dans certains cas, des interventions chirurgicales peuvent être nécessaires pour corriger des problèmes structurels ou soulager les symptômes.

Le dioxyde de carbone, également connu sous le nom de CO2, est un gaz inorganique composé d'un atome de carbone et de deux atomes d'oxygène. Il est naturellement présent dans l'atmosphère terrestre à des concentrations d'environ 0,04% en volume.

Dans le contexte médical, le dioxyde de carbone est peut-être mieux connu pour son rôle dans la respiration cellulaire et le transport des gaz dans le sang. Les poumons expirent normalement environ 5 à 6% de CO2 lors de la respiration, ce qui reflète l'importance du métabolisme cellulaire dans la production de ce gaz.

Dans le sang, le dioxyde de carbone se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les poumons où il est expiré. Une partie du CO2 est également transportée sous forme de bicarbonate dans le plasma sanguin.

Des niveaux anormalement élevés de dioxyde de carbone dans le sang peuvent entraîner une acidose respiratoire, qui peut être causée par une maladie pulmonaire obstructive ou restrictive, une insuffisance respiratoire ou une intoxication au monoxyde de carbone. Des niveaux anormalement bas de CO2 peuvent entraîner une alcalose respiratoire, qui peut être causée par une hyperventilation excessive.

En bref, le dioxyde de carbone est un gaz important dans la physiologie humaine normale et anormale, jouant un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et du transport des gaz.

L'insuffisance respiratoire est un terme médical qui décrit une condition où les poumons ne sont pas capables d'assurer un échange gazeux adéquat, entraînant ainsi une mauvaise oxygénation du sang et/ou une accumulation de dioxyde de carbone dans le corps. Cela peut être causé par diverses maladies ou affections qui affectent la fonction pulmonaire, telles que l'emphysème, la bronchite chronique, la fibrose kystique, la pneumonie, l'asthme sévère, la sclérose systémique, les malformations congénitales des poumons ou de la cage thoracique, ou encore par une paralysie des muscles respiratoires.

Les symptômes courants de l'insuffisance respiratoire comprennent : essoufflement au repos ou à l'effort, fatigue, confusion, toux fréquente, respiration rapide et superficielle, respiration sifflante, cyanose (coloration bleue des lèvres et de la peau due à un manque d'oxygène), et dans les cas graves, coma.

Le traitement de l'insuffisance respiratoire dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments, de l'oxygénothérapie, une ventilation mécanique, une réadaptation pulmonaire, ou même une transplantation pulmonaire dans les cas les plus sévères.

Les processus physiologiques respiratoires font référence aux mécanismes et fonctions biologiques impliqués dans le processus d'échange des gaz entre l'environnement et les cellules du corps. Cela comprend la ventilation, qui est le mouvement de l'air dans et hors des poumons pour permettre l'absorption de l'oxygène et l'expulsion du dioxyde de carbone; la diffusion, qui est le processus par lequel les gaz passent à travers les membranes alvéolaires pour atteindre la circulation sanguine; et la perfusion, qui est le flux sanguin vers les poumons et les tissus corporels pour faciliter l'échange de gaz. D'autres processus physiologiques respiratoires comprennent également la régulation de la ventilation et de la fréquence respiratoire, qui sont contrôlées par des centres dans le cerveau en réponse aux changements de niveaux d'oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang.

L'hyperventilation est un état dans lequel une personne respire plus rapidement et profondément que la normale, entraînant une augmentation du rythme respiratoire et une diminution des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut se produire en réponse à des facteurs tels que l'anxiété, l'exercice intense, les maladies pulmonaires ou cardiaques, l'intoxication aux drogues ou à d'autres substances, ou certaines conditions médicales.

Les symptômes de l'hyperventilation peuvent inclure des étourdissements, des palpitations, une douleur thoracique, des sueurs, des picotements ou des engourdissements dans les mains et les pieds, des spasmes musculaires, une sensation d'essoufflement ou de suffocation, et dans certains cas, une perte de conscience.

Dans la plupart des cas, l'hyperventilation peut être traitée en ralentissant la respiration et en augmentant l'apport en dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut être réalisé en respirant dans un sac en papier ou en plastique pour réinhaler le dioxyde de carbone expiré, ou en utilisant des techniques de relaxation et de respiration profonde pour ralentir la respiration. Dans les cas graves ou chroniques d'hyperventilation, une intervention médicale peut être nécessaire pour traiter la cause sous-jacente du problème.

Les maladies du système nerveux autonome, également connues sous le nom de neuropathie autonomique, se réfèrent à un groupe de conditions qui affectent le système nerveux autonome, qui contrôle automatiquement les fonctions corporelles involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la température corporelle, la digestion et la fonction urinaire.

Ces maladies peuvent affecter la transmission des messages entre le cerveau et les organes cibles, entraînant une variété de symptômes dépendant de la partie du système nerveux autonome qui est touchée. Les symptômes courants peuvent inclure des étourdissements, des évanouissements, des palpitations cardiaques, des nausées, des vomissements, une transpiration anormale, des problèmes de vision, des difficultés à avaler et une constipation ou une diarrhée sévère.

Les maladies du système nerveux autonome peuvent être causées par divers facteurs, y compris des maladies dégénératives telles que la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, des infections, des traumatismes, des tumeurs, des carences nutritionnelles, des toxines et des maladies auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le diagnostic de ces maladies implique généralement une évaluation approfondie de l'historique médical du patient, un examen physique complet et des tests spécialisés pour évaluer la fonction du système nerveux autonome. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des changements de mode de vie, des thérapies physiques ou une intervention chirurgicale dans certains cas graves.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

La ventilation artificielle est une intervention médicale qui consiste à assister ou à remplacer la fonction respiratoire d'une personne en utilisant des équipements mécaniques. Elle est souvent utilisée lorsqu'une personne ne peut maintenir seule une respiration adéquate, comme dans le cas d'une insuffisance respiratoire aiguë ou d'une défaillance cardiaque.

Il existe deux types de ventilation artificielle : la ventilation invasive et la ventilation non invasive. La ventilation invasive implique l'utilisation d'un tube endotrachéal inséré dans la trachée pour fournir de l'air ou du dioxyde de carbone à et à partir des poumons. La ventilation non invasive, en revanche, utilise une interface masque faciale ou nasale pour délivrer l'air sous pression sans introduire de tube dans la trachée.

L'objectif principal de la ventilation artificielle est de maintenir des niveaux adéquats d'oxygénation et de dioxyde de carbone élimination, tout en permettant au patient de se reposer et de guérir des conditions sous-jacentes qui ont conduit à l'échec respiratoire.

La capnographie est une méthode de surveillance des gaz respiratoires qui mesure et affiche la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l'air expiré en temps réel. Il s'agit d'une courbe continue qui fournit des informations sur la ventilation, la perfusion tissulaire et le métabolisme. La capnographie est fréquemment utilisée pendant les anesthésies pour surveiller l'efficacité de la ventilation et détecter rapidement les complications telles que l'hypoventilation, l'obstruction des voies respiratoires ou une circulation inadéquate. Elle est également utilisée dans d'autres contextes cliniques, tels que les soins intensifs, pour surveiller l'état des patients gravement malades.

L'analyse des gaz du sang, également connue sous le nom de gazométrie, est un test de laboratoire qui mesure les niveaux de différents gaz dans le sang, tels que l'oxygène et le dioxyde de carbone. Ce test fournit des informations importantes sur la fonction pulmonaire, la capacité du sang à transporter l'oxygène et le dioxyde de carbone, ainsi que sur l'équilibre acido-basique du corps.

L'analyse des gaz du sang est généralement effectuée en prélevant un échantillon de sang artériel, bien que dans certains cas, un échantillon de sang veineux puisse également être utilisé. Les niveaux d'oxygène et de dioxyde de carbone sont mesurés en utilisant des électrodes spéciales, tandis que le pH du sang est mesuré à l'aide d'un pH-mètre.

Les résultats de l'analyse des gaz du sang peuvent aider les médecins à diagnostiquer et à surveiller une variété de conditions médicales, telles que l'insuffisance respiratoire, la pneumonie, l'embolie pulmonaire, l'intoxication au monoxyde de carbone, et d'autres affections qui affectent la fonction pulmonaire ou la régulation acido-basique du corps.

En plus de fournir des informations sur les niveaux de gaz dans le sang, l'analyse des gaz du sang peut également fournir des informations sur d'autres aspects de la composition sanguine, tels que les niveaux de bicarbonate et de potassium. Ces informations peuvent être utiles pour évaluer la fonction rénale et d'autres fonctions corporelles importantes.

Dans l'ensemble, l'analyse des gaz du sang est un outil important pour aider les médecins à diagnostiquer et à gérer une variété de conditions médicales qui affectent la fonction pulmonaire et d'autres fonctions corporelles importantes.

Le syndrome d'apnées du sommeil (SAS) est un trouble du sommeil caractérisé par la survenue répétée pendant le sommeil de pauses respiratoires, appelées apnées, ou de diminutions importantes du flux respiratoire, appelées hypopnées. Ces événements respiratoires sont causés par une obstruction complète (apnée obstructive) ou partielle (hypopnée obstructive) des voies aériennes supérieures.

Le SAS est associé à une somnolence diurne excessive, des ronflements bruyants, des réveils nocturnes fréquents, des maux de tête matinaux et des troubles cognitifs. Les conséquences à long terme du SAS peuvent inclure une hypertension artérielle, des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et une augmentation de la mortalité globale.

Le diagnostic du SAS repose sur l'enregistrement polysomnographique pendant le sommeil, qui permet d'évaluer les événements respiratoires, la saturation en oxygène, les mouvements respiratoires et l'activité cardiaque. Le traitement du SAS dépend de sa gravité et peut inclure des changements de style de vie, tels que la perte de poids, l'évitement de l'alcool et du tabac, ainsi que l'utilisation d'un appareil de pression positive continue (PPC) pendant le sommeil.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

Un dermatoglyphe est un terme utilisé en dermatologie et en anthropologie pour décrire les dessins cutanés permanents qui se forment sur la peau, en particulier sur les paumes des mains, les plantes des pieds et les coussinets digitaux. Ces motifs sont formés par des crêtes et des sillons de la peau et sont uniques à chaque individu, à l'exception des vrais jumeaux. Les dermatoglyphes se forment pendant le développement prénatal et restent stables tout au long de la vie, ce qui en fait des marqueurs importants dans l'identification humaine et dans certaines études médico-légales. Ils peuvent également être utilisés en médecine pour détecter certaines maladies congénitales ou anomalies chromosomiques.

La Ventilation Sous Pression Positive Intermittente (VPPI) est une forme de ventilation mécanique qui consiste à fournir des cycles répétés et réguliers d'air ou de gaz respiratoire sous pression positive dans les voies respiratoires, suivis de périodes où la pression est diminuée ou égale à la pression atmosphérique.

Dans ce procédé, un ventilateur mécanique aide le patient à inspirer et à expirer, en délivrant des impulsions de pression positive pendant l'inspiration (pression positive inspiratoire - PPI) et en diminuant la pression ou en la laissant égale à la pression atmosphérique pendant l'expiration (pression positive expiratoire - PPE).

La VPPI est souvent utilisée pour traiter les patients atteints d'insuffisance respiratoire aiguë ou chronique, telle que l'insuffisance respiratoire liée à une maladie neuromusculaire, à une pneumonie, à un œdème pulmonaire ou à une détresse respiratoire aiguë. Elle permet d'améliorer les échanges gazeux, de diminuer l'effort respiratoire et de réduire le travail des muscles respiratoires, ce qui peut contribuer à prévenir l'atrophie musculaire et faciliter la récupération.

Il est important de noter que la VPPI doit être correctement ajustée et surveillée pour éviter les complications potentielles, telles que le barotrauma, les lésions pulmonaires ou l'hyperinflation des poumons.

Les syndromes neurologiques paranéoplasiques (SNPN) sont un groupe hétérogène de troubles neurologiques rares associés à des processus néoplasiques sous-jacents. Ils se produisent généralement avant le diagnostic du cancer et peuvent être le premier signe de la maladie. Les SNPN sont causés par une réponse auto-immune anormale contre les antigènes tumoraux qui sont également présents dans certains tissus nerveux sains.

Les SNPN peuvent affecter le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou le système nerveux périphérique (nerfs et muscles). Les symptômes varient en fonction de la région du système nerveux touchée, mais ils peuvent inclure des troubles cognitifs, des mouvements anormaux, des problèmes sensoriels, des faiblesses musculaires, des douleurs neuropathiques et des crises épileptiques.

Les cancers les plus fréquemment associés aux SNPN sont le cancer du poumon à petites cellules, les lymphomes, les tumeurs ovariennes et les tumeurs thymiques. Le diagnostic de SNPN repose sur une combinaison d'examens neurologiques, radiologiques et biologiques, y compris la détection d'auto-anticorps spécifiques dans le sang.

Le traitement des SNPN implique généralement une thérapie agressive contre la tumeur sous-jacente, ainsi qu'une prise en charge symptomatique des complications neurologiques. Dans certains cas, des immunosuppresseurs ou des plasmaphérèses peuvent être utilisés pour contrôler l'activité auto-immune.

La gazométrie transcutanée, également connue sous le nom de TCG (Transcutaneous Gas Analysis), est une méthode non invasive permettant de mesurer les gaz du sang, tels que l'oxygène (pO2) et le dioxyde de carbone (pCO2), ainsi que le pH, à la surface de la peau. Cette procédure utilise généralement un capteur spécial fixé sur la peau, qui chauffe légèrement la zone pour dilater les vaisseaux sanguins et permettre une meilleure diffusion des gaz du sang vers le capteur.

La mesure transcutanée est particulièrement utile chez les patients présentant des troubles respiratoires ou circulatoires, tels que ceux souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), d'insuffisance cardiaque congestive (ICC) ou de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Elle permet un suivi continu des gaz sanguins, offrant ainsi une évaluation rapide et précise de l'efficacité du traitement et de la réponse du patient aux interventions thérapeutiques.

Il est important de noter que les valeurs obtenues par gazométrie transcutanée peuvent être différentes de celles mesurées directement dans le sang artériel, en raison des variations de perfusion tissulaire et de la diffusion des gaz à travers la peau. Par conséquent, il est essentiel d'interpréter ces résultats avec prudence et de les corréler aux données cliniques du patient.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Un respirateur à pression négative, également connu sous le nom d'aspirateur pulmonaire ou de poumon d'eau, est un type de ventilateur utilisé dans les soins médicaux pour aider les patients à respirer. Contrairement aux ventilateurs à pression positive qui fournissent de l'air ou de l'oxygène au patient par des pressions positives dans les voies respiratoires, les ventilateurs à pression négative créent une pression inférieure à la pression atmosphérique dans la cavité thoracique du patient, ce qui entraîne l'entrée d'air dans les poumons.

Ce type de ventilateur est souvent utilisé pour traiter les patients atteints de maladies pulmonaires graves telles que l'insuffisance respiratoire aiguë, la pneumonie, l'œdème pulmonaire ou les traumatismes thoraciques. Il peut également être utilisé pour le traitement des brûlures étendues et des intoxications au monoxyde de carbone.

Les ventilateurs à pression négative peuvent fonctionner en créant une dépression dans un dôme ou une chambre qui recouvre la cage thoracique du patient, ce qui entraîne l'entrée d'air dans les poumons. Ils peuvent également fonctionner en créant une dépression directement dans la trachée ou les bronches du patient à l'aide d'un tube endotrachéal.

L'utilisation de ventilateurs à pression négative présente plusieurs avantages, tels qu'une réduction du risque de pneumothorax (affaissement des poumons) et une diminution de l'incidence des infections nosocomiales. Cependant, ils peuvent également entraîner des complications telles que des lésions barotraumatiques, des lésions vasculaires et des lésions cutanées. Par conséquent, une surveillance étroite et un ajustement approprié de la pression sont essentiels pour assurer la sécurité du patient.

En médecine, la pression partielle fait référence à la pression exercée par un gaz particulier dans un mélange de gaz. Il s'agit d'une fraction de la pression totale du mélange, déterminée par la proportion de ce gaz dans le mélange. La pression partielle d'un gaz est souvent désignée par apposant le symbole "p" avant le nom du gaz, comme pO2 pour la pression partielle d'oxygène ou pCO2 pour la pression partielle de dioxyde de carbone.

Dans le contexte médical spécifique des gaz du sang, les pressions partielles d'oxygène et de dioxyde de carbone sont couramment mesurées pour évaluer la fonction respiratoire et l'équilibre acido-basique de l'organisme. Une pression partielle d'oxygène (pO2) faible peut indiquer une mauvaise oxygénation des tissus, tandis qu'une pression partielle de dioxyde de carbone (pCO2) élevée peut être un signe de troubles de l'élimination du dioxyde de carbone par les poumons.

La ventilation sous pression positive (VPPS) est une forme de ventilation mécanique utilisée dans le traitement des troubles respiratoires aigus et chroniques. Dans ce mode de ventilation, de l'air ou un mélange gazeux est insufflé dans les poumons du patient par l'intermédiaire d'un ventilateur, créant une pression positive dans les voies respiratoires. Cela permet aux poumons de se gonfler et facilite l'échange de gaz.

Au cours de la VPPS, un certain niveau de pression positive est maintenu dans les voies respiratoires après chaque expiration, ce qui contribue à maintenir les alvéoles ouvertes et à améliorer la ventilation. Cela peut être particulièrement bénéfique pour les patients atteints de maladies pulmonaires obstructives telles que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), où l'obstruction des voies respiratoires peut entraver l'expiration et entraîner une distension alvéolaire.

La VPPS est généralement administrée via un tube endotrachéal ou une trachéostomie, et le niveau de pression et d'autres paramètres sont soigneusement ajustés en fonction des besoins individuels du patient. Bien que la VPPS puisse être très efficace pour soutenir la ventilation et l'oxygénation, elle peut également entraîner des complications potentielles telles que des lésions barotraumatiques, une inflammation pulmonaire et une infection. Par conséquent, un suivi et une surveillance étroits sont essentiels pour garantir la sécurité et l'efficacité du traitement.

La ventilation pulmonaire est un processus physiologique essentiel à la vie qui consiste en l'acte d'inhaler et d'exhaler de l'air pour permettre l'apport d'oxygène dans les poumons et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est assuré par le mouvement des muscles respiratoires, notamment le diaphragme et les muscles intercostaux, qui entraînent une expansion et une contraction de la cage thoracique.

Lors de l'inspiration, ces muscles se contractent et la cage thoracique s'élargit, ce qui entraîne une baisse de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré diffuse ensuite à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour rejoindre la circulation sanguine, où il est transporté vers les différents tissus et organes du corps.

Lors de l'expiration, les muscles respiratoires se relâchent et la cage thoracique revient à sa position initiale, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet au dioxyde de carbone présent dans le sang de diffuser à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour être éliminé lors de l'expiration.

La ventilation pulmonaire est un processus automatique régulé par le système nerveux autonome, mais il peut également être contrôlé volontairement grâce à la respiration consciente. Des troubles de la ventilation pulmonaire peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et des complications graves pour la santé.

Une trachéotomie est une procédure chirurgicale qui consiste à créer une ouverture dans la trachée, ou le tube respiratoire principal, pour établir une voie respiratoire alternative. Cette intervention est généralement réalisée dans des situations où les voies respiratoires naturelles sont obstruées ou endommagées, ce qui empêche une personne de respirer normalement par le nez et la bouche.

Au cours d'une trachéotomie, un médecin insère une canule, ou tube en plastique, dans l'ouverture créée dans la trachée. Cette canule permet à l'air de contourner les voies respiratoires supérieures et d'atteindre directement les poumons. Les patients qui subissent une trachéotomie peuvent souvent parler et manger normalement, mais ils doivent utiliser un appareil pour parler, appelé électrolarynx, s'ils souhaitent communiquer verbalement.

Les indications courantes pour une trachéotomie comprennent les voies respiratoires obstruées en raison d'un gonflement des tissus, d'une tumeur ou d'un traumatisme, ainsi que la nécessité de protéger les voies respiratoires contre l'inhalation de liquides ou de particules dans des situations telles que les brûlures étendues, l'intubation prolongée ou certaines maladies neuromusculaires.

Bien que la trachéotomie soit considérée comme une procédure sûre et efficace pour rétablir la fonction respiratoire, elle comporte certains risques, tels que l'infection, les saignements, les dommages aux structures voisines et la formation de cicatrices qui peuvent affecter la capacité à parler ou à avaler. Par conséquent, cette intervention est généralement réservée aux situations où d'autres options de traitement ne sont pas disponibles ou ont échoué.

L'oxymétrie est une méthode non invasive et continue de surveillance des niveaux d'oxygénation des tissus, en particulier ceux du sang. Elle est couramment utilisée dans les milieux médicaux et cliniques pour surveiller l'état d'un patient.

Le terme "oxymétrie" vient de deux mots grecs : "oxy" qui signifie "acide" ou "pur", et "meter" qui signifie "mesurer". Ainsi, l'oxymétrie signifie littéralement "la mesure de l'oxygène".

Habituellement, cette méthode est réalisée en utilisant un dispositif médical appelé oxymètre de pouls. Cet appareil se fixe généralement sur le doigt ou parfois sur le lobe de l'oreille, et il utilise la lumière pour déterminer la saturation en oxygène du sang (SpO2).

L'oxymètre de pouls émet deux types de lumière à travers le tissu corporel : la lumière rouge et la lumière infrarouge. La lumière traverse l'artère capillaire sous le site de mesure, où elle est absorbée par l'hémoglobine dans les globules rouges. L'hémoglobine oxygénée absorbe plus de lumière infrarouge que la lumière rouge, tandis que l'hémoglobine désaturée (désoxygénée) absorbe plus de lumière rouge que la lumière infrarouge.

En mesurant la quantité relative de ces deux types de lumière après leur passage à travers le tissu, l'oxymètre de pouls peut calculer la proportion relative d'hémoglobine oxygénée par rapport à l'hémoglobine désaturée. Cette information est ensuite affichée comme une valeur de pourcentage appelée saturation en oxygène pulsatile (SpO2).

Les oxymètres de pouls sont largement utilisés dans les milieux cliniques et non cliniques pour surveiller rapidement et non invasivement la saturation en oxygène des patients. Ils sont souvent utilisés pendant l'anesthésie, la chirurgie, le transport des patients et dans les unités de soins intensifs, ainsi que par les professionnels de la santé à domicile pour surveiller les personnes atteintes de maladies pulmonaires ou cardiovasculaires chroniques.

Une trachéostomie est une procédure chirurgicale où une incision est pratiquée dans le cou et une ouverture (stomie) est créée dans la trachée pour établir une voie respiratoire alternative. Cela permet au patient de recevoir de l'oxygène directement dans les poumons, contournant ainsi les voies respiratoires supérieures, y compris le nez, la gorge et le larynx.

Cette procédure est souvent effectuée lorsque quelqu'un a des difficultés à respirer en raison d'un blocage ou d'une obstruction dans les voies respiratoires supérieures, d'un gonflement de la gorge, d'une paralysie des cordes vocales, d'une tumeur ou d'une maladie neuromusculaire. Une trachéostomie peut également être nécessaire pour les patients qui ont besoin d'une ventilation mécanique à long terme, comme ceux qui sont dans le coma ou dans un état végétatif.

Les soins et l'entretien de la trachéostomie comprennent le nettoyage régulier de l'ouverture pour empêcher l'accumulation de mucus et de sécrétions, ainsi que le remplacement du tube de trachéostomie si nécessaire. Les patients avec une trachéostomie peuvent également avoir besoin d'une thérapie de la parole et de la déglutition pour aider à améliorer leur capacité à communiquer et à manger normalement.

La "pulmonary gas exchange" (échange gazeux pulmonaire) est un processus physiologique qui se produit dans les poumons et qui consiste en l'élimination du dioxyde de carbone (CO2) des poumons et l'absorption de l'oxygène (O2) par le sang.

Ce processus se déroule au niveau des alvéoles pulmonaires, où l'air riche en oxygène inspiré entre en contact étroit avec le sang circulant dans les capillaires sanguins. L'oxygène diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour se lier à l'hémoglobine dans les globules rouges, ce qui permet au sang de transporter l'oxygène vers les tissus corporels.

Dans le même temps, le dioxyde de carbone produit par les cellules corporelles est transporté vers les poumons via le sang veineux. Le CO2 diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour être expiré hors des poumons lors de l'expiration.

L'efficacité de l'échange gazeux pulmonaire peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies pulmonaires, les changements de pression partielle d'oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang, et les modifications du débit sanguin pulmonaire.

L'enregistrement continu du sommeil, également connu sous le nom de polysomnographie, est un examen diagnostique utilisé dans le domaine du sommeil médicine. Il enregistre plusieurs physiologiques fonctions pendant que le patient dort. Ces fonctions peuvent inclure l'électroencéphalogramme (EEG) pour enregistrer l'activité cérébrale, l'électrooculogramme (EOG) pour enregistrer les mouvements oculaires, l'électromyogramme (EMG) pour enregistrer l'activité musculaire, notamment autour de la bouche et du menton, ainsi que des capteurs de débit d'air, de saturation en oxygène et de fréquence cardiaque.

L'enregistrement continu du sommeil vise à identifier différents stades et troubles du sommeil, tels que l'apnée du sommeil, les mouvements périodiques des membres, le syndrome des jambes sans repos, la narcolepsie, l'insomnie et d'autres parasomnies. Les données recueillies pendant l'enregistrement continu du sommeil sont analysées par un technicien spécialisé dans le sommeil et interprétées par un médecin certifié en médecine du sommeil pour poser un diagnostic et recommander un traitement approprié.

La sédation profonde est un état de conscience modifié dans lequel un patient ne peut pas facilement être réveillé, mais répond à des stimuli douloureux. Il s'agit d'un niveau plus profond de sedation que la sedation consciente ou la sedation moderee. Dans un état de sédation profonde, les patients peuvent toujours maintenir leur propre airway et respirer spontanément, mais leurs réflexes protecteurs peuvent être diminués.

La sédation profonde est souvent utilisée pendant des procedures médicales ou dentaires invasives pour aider à contrôler l'anxiété et le mouvement du patient. Elle peut également être utilisée dans les soins palliatifs pour rendre les patients plus confortables en réduisant leur conscience et en soulageant la douleur et l'anxiété.

Il est important de noter que la sédation profonde comporte des risques, tels qu'une dépression respiratoire ou cardiovasculaire, et doit être surveillée de près par un professionnel de la santé formé à l'administration et à la surveillance de la sedation.

Le travail respiratoire, dans un contexte médical, se réfère à l'effort physique qu'une personne doit fournir pour respirer. Il s'agit essentiellement de la mesure de la quantité d'énergie consommée ou dépensée par les muscles respiratoires pendant le processus de respiration.

Ce travail comprend deux composantes : le travail nécessaire pour inspirer (inhaler) et expirer (exhaler) l'air. Dans des conditions normales, ce processus est généralement inconscient et ne requiert qu'une faible quantité d'énergie.

Cependant, lorsque les voies respiratoires sont obstruées, étroites ou infectées, comme dans l'asthme, la bronchite ou l'emphysème, le travail respiratoire peut devenir significativement accru. Cela peut entraîner une fatigue musculaire, une détresse respiratoire et éventuellement un échec respiratoire.

Le travail respiratoire est souvent mesuré en laboratoire en utilisant des équipements spéciaux qui enregistrent la pression et le volume des poumons pendant la respiration. Cette mesure peut aider les médecins à diagnostiquer et à gérer les maladies pulmonaires et cardiaques.

Les muscles respiratoires sont ceux qui jouent un rôle actif dans le processus de la respiration, permettant l'inspiration et l'expiration. Les principaux muscles inspiratoires comprennent les diaphragme, les scalènes, les sternocléidomastoïdiens et les muscles intercostaux externes. Pendant l'inspiration, ces muscles se contractent pour augmenter le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une diminution de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons.

Les muscles expiratoires comprennent principalement les muscles intercostaux internes, le muscle abdominal transverse, les obliques externes et internes de l'abdomen. Pendant l'expiration, ces muscles se relâchent ou se contractent légèrement pour diminuer le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet à l'air de sortir des poumons.

Dans les situations où une ventilation plus forte est nécessaire, comme lors d'activités physiques intenses ou en cas de maladies pulmonaires obstructives, d'autres muscles peuvent être recrutés pour aider à la respiration, tels que les muscles du cou (le sternohyoïde, le sternothyroïde, l'omohyoïde et le thyrohyoïde) et les muscles du dos (le grand dentelé postérieur, le grand dorsal et le petit dentelé).

Il est important de noter que la fonction des muscles respiratoires peut être altérée par diverses affections, telles que les maladies neuromusculaires, les lésions de la moelle épinière, les affections pulmonaires et les troubles de la posture, ce qui peut entraîner une diminution de la capacité respiratoire et des difficultés à respirer.

En médecine, le terme "volume courant" fait référence à la quantité de liquide, généralement d'air ou de sang, qui circule dans et hors d'un organe ou d'une cavité du corps pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du débit du fluide au cours d'un cycle respiratoire ou cardiaque.

Dans le contexte de la fonction pulmonaire, le volume courant est le volume d'air inhalé et exhalé pendant la respiration normale, à savoir l'inspiration et l'expiration régulières sans effort supplémentaire. Il ne comprend pas les volumes additionnels inspirés ou expirés lors de manœuvres forcées telles que la toux ou les efforts de respiration profonde. Le volume courant est d'environ 500 millilitres (ml) chez l'adulte en moyenne.

Dans le contexte cardiovasculaire, le volume courant se réfère au volume d'oxygène ou de sang pompé par le cœur dans un cycle complet (systole et diastole). Il est utilisé pour évaluer la performance cardiaque et peut être calculé en divisant le débit cardiaque (la quantité totale de sang pompée par le cœur en une minute) par le nombre de battements cardiaques par minute.

Anoxie est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle il y a une privation complète d'oxygène dans le sang et les tissus du corps. Cela peut survenir en raison de diverses raisons, telles que l'arrêt cardiaque, l'asphyxie, la noyade, la strangulation ou l'exposition à des environnements à faible teneur en oxygène.

L'anoxie peut entraîner une privation d'oxygène dans le cerveau et les autres organes vitaux, ce qui peut causer de graves dommages et même la mort si elle n'est pas traitée rapidement. Les symptômes de l'anoxie peuvent inclure des étourdissements, une confusion, une perte de conscience, des convulsions, un rythme cardiaque irrégulier et une respiration superficielle ou absente.

Le traitement de l'anoxie implique généralement la fourniture d'oxygène supplémentaire pour aider à rétablir les niveaux d'oxygène dans le sang et les tissus. Cela peut être accompli en utilisant un masque à oxygène, une ventilation mécanique ou une réanimation cardiopulmonaire (RCP). Dans certains cas, des médicaments peuvent également être administrés pour aider à stimuler la respiration et le rythme cardiaque.

Il est important de noter que l'anoxie peut entraîner des dommages permanents aux organes vitaux, en particulier au cerveau, même si elle est traitée rapidement. Par conséquent, il est essentiel de prévenir l'anoxie autant que possible en évitant les situations dangereuses et en recevant des soins médicaux immédiats en cas d'urgence.

Les cellules des récepteurs chimiques, également connues sous le nom de cellules réceptrices chimiosensibles, sont un type de cellule sensorielle qui détecte et répond aux changements de concentrations chimiques dans l'environnement. Dans le contexte médical, les cellules des récepteurs chimiques peuvent faire référence à des structures spécifiques dans le corps qui détectent les changements chimiques dans le sang et d'autres fluides corporels, ce qui aide à réguler les fonctions physiologiques importantes telles que la respiration, la pression artérielle et l'équilibre hydro-électrolytique.

Les cellules réceptrices chimiques sont généralement situées dans des organes spécialisés tels que les carotides et aortiques glomérules, le système nerveux périphérique et certains organes internes. Elles contiennent des récepteurs spécialisés qui peuvent détecter une variété de substances chimiques, y compris l'oxygène, le dioxyde de carbone, le pH et d'autres ions.

Lorsqu'une cellule réceptrice chimique est exposée à une substance chimique spécifique, elle déclenche une série de réactions qui aboutissent à la libération d'un neurotransmetteur qui active ou inhibe les neurones adjacents. Ces signaux sont ensuite transmis au cerveau, où ils sont interprétés et utilisés pour réguler diverses fonctions corporelles.

Les cellules réceptrices chimiques jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps et des perturbations de leur fonction peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des troubles respiratoires, cardiovasculaires et neurologiques.

L'acidose respiratoire est un trouble métabolique qui se caractérise par une diminution du pH sanguin due à une accumulation d'acide carbonique dans le sang. Cela se produit lorsque les poumons ne sont pas capables d'éliminer correctement le dioxyde de carbone (CO2) que les cellules produisent pendant le métabolisme.

Le CO2 est un gaz acide qui, en se combinant avec l'eau dans le sang, forme de l'acide carbonique. Normalement, ce processus est équilibré par l'action des poumons qui expirent le CO2 et régulent ainsi le pH sanguin. Cependant, lorsque les poumons ne fonctionnent pas correctement, comme dans certaines maladies pulmonaires ou états de faiblesse musculaire, le CO2 s'accumule dans le sang et entraîne une acidose respiratoire.

Les symptômes de l'acidose respiratoire peuvent inclure des essoufflements, des douleurs thoraciques, des confusions, une somnolence ou même un coma dans les cas graves. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des thérapies telles que l'oxygénothérapie, la ventilation mécanique ou le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

L'oxygène est un gaz inodore, incolore et insipide qui constitue environ 21% des molécules dans l'atmosphère terrestre. Médicalement parlant, l'oxygène est un élément essentiel pour la vie car il joue un rôle crucial dans le processus de respiration.

Les globules rouges du sang absorbent l'oxygène dans les poumons et le transportent vers les cellules de tous les tissus corporels. Dans ces cellules, l'oxygène est utilisé dans la production d'énergie par un processus appelé la respiration cellulaire. Cette énergie est nécessaire au maintien des fonctions vitales du corps telles que la circulation sanguine, la digestion et le fonctionnement du cerveau.

Lorsque le niveau d'oxygène dans le sang est insuffisant, par exemple en cas de maladies pulmonaires ou cardiaques, d'anémie sévère ou à haute altitude, une supplémentation en oxygène peut être nécessaire pour prévenir les lésions tissulaires et assurer le bon fonctionnement des organes.

Les protéines Homéodomaines sont une famille de facteurs de transcription qui jouent un rôle crucial dans le développement et la différentiation des organismes. Elles sont appelées ainsi en raison de la présence d'un domaine structurel conservé, appelé le domaine homéotique ou homéodomaine, qui est responsable de la liaison à l'ADN.

Le domaine homéotique est une région d'environ 60 acides aminés qui adopte une structure en hélice alpha-tour-hélice alpha, similaire à la structure de l'ADN. Cette structure permet aux protéines Homéodomaines de se lier spécifiquement à certaines séquences d'ADN, généralement situées dans les régions promotrices ou enhancers des gènes cibles.

Les protéines Homéodomaines sont impliquées dans une variété de processus biologiques, y compris la détermination du destin cellulaire, la morphogenèse, la différenciation tissulaire et la régulation de l'expression des gènes. Des mutations dans les gènes qui codent pour ces protéines peuvent entraîner des malformations congénitales graves ou des troubles du développement.

L'encéphalite est une affection médicale grave caractérisée par l'inflammation du cerveau. Elle est souvent causée par une infection virale, bien que d'autres facteurs tels que des troubles auto-immuns ou des réactions à un vaccin puissent également en être la cause. Les symptômes de l'encéphalite peuvent varier mais comprennent souvent des maux de tête sévères, une fièvre, une confusion, des convulsions, des hallucinations, des troubles de la parole et de la mémoire, ainsi que des mouvements anormaux. Dans les cas graves, l'encéphalite peut entraîner des dommages permanents au cerveau, des handicaps physiques ou mentaux, voire le décès. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiviraux, des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Les parasomnies sont un groupe de troubles du sommeil qui impliquent des comportements anormaux ou des activités physiques pendant le sommeil. Ces événements peuvent inclure une variété de phénomènes tels que les troubles du mouvement rapide des yeux (Rapid Eye Movement ou REM), les terreurs nocturnes, le somnambulisme et le bruxisme (grincement des dents).

Les parasomnies associées aux mouvements oculaires rapides (MORE) sont un type de trouble du sommeil qui se produit pendant la phase REM du sommeil. Pendant cette phase, les yeux bougent rapidement sous les paupières closes et le cerveau est très actif, ce qui entraîne souvent des rêves intenses.

Les parasomnies associées aux MORE comprennent :

1. Troubles du comportement en sommeil paradoxal (TCSP) : Il s'agit d'un trouble dans lequel une personne agit physiquement pendant la phase REM du sommeil, ce qui peut entraîner des mouvements, des vocalisations ou même des blessures.
2. Paralysie du sommeil : Il s'agit d'une sensation d'être réveillé mais incapable de bouger ou de parler pendant quelques secondes à plusieurs minutes. Elle se produit généralement lors de la transition entre le sommeil et l'éveil.
3. Troubles du réveil confuso-hallucinatoires : Il s'agit d'une expérience sensorielle intense et souvent désorientante qui peut inclure des hallucinations visuelles, auditives ou tactiles après le réveil.
4. Éveils confusionnels : Ce sont des épisodes de confusion mentale et d'agitation au réveil, souvent accompagnés de comportements automatiques tels que marcher, manger ou parler sans être pleinement conscient.

Il est important de consulter un médecin si vous pensez souffrir d'un de ces troubles, car ils peuvent affecter la qualité du sommeil et entraîner des problèmes de santé mentale ou physique à long terme.

L'anesthésie locale potentialisée, également connue sous le nom d'ALP, est une technique anesthésique qui combine l'utilisation d'un anesthésique local avec un agent potentialisant. L'agent potentialisant augmente la puissance et la durée de l'anesthésie locale en facilitant la pénétration et l'action de l'anesthésique local dans les tissus nerveux.

Cette technique est souvent utilisée en chirurgie ambulatoire, en dentisterie et en médecine esthétique pour fournir une anesthésie adéquate avec un minimum d'inconfort et de risques pour le patient. L'ALP permet également de réduire les doses d'anesthésiques locaux, ce qui peut diminuer les effets secondaires tels que les paresthésies ou les lésions nerveuses.

Le choix de l'agent anesthésique local et potentialisant dépend de plusieurs facteurs, tels que la durée et l'étendue de l'intervention, la sensibilité du patient aux anesthésiques locaux et les contre-indications éventuelles. Les agents potentialisants couramment utilisés comprennent l'épinéphrine, la lidocaïne et la prilocaïne.

En résumé, l'anesthésie locale potentialisée est une technique anesthésique qui combine l'utilisation d'un anesthésique local avec un agent potentialisant pour fournir une anesthésie adéquate avec un minimum de risques et d'inconfort pour le patient.

Le sommeil est un état physiologique récurrent et réversible caractérisé par des changements comportementaux, psychologiques et neurologiques. Durant le sommeil, la conscience est considérablement diminuée bien que les fonctions cérébrales supérieures ne soient pas éteintes. Il existe deux grandes catégories de sommeil: le sommeil paradoxal (ou REM pour Rapid Eye Movement) et le sommeil non-paradoxal (ou sommeil lent).

Le sommeil paradoxal est marqué par des mouvements oculaires rapides, une activité électrique cérébrale similaire à celle de l'éveil, une diminution du tonus musculaire et des rêves. C'est également pendant cette phase que se produisent la plupart des rêves vifs et explicites.

Le sommeil non-paradoxal, aussi appelé sommeil lent, est divisé en plusieurs stades (N1, N2, N3) selon l'activité électrique cérébrale. C'est durant ces stades que se produit la majorité du rattrapage du déficit de sommeil et de la sécrétion d'hormones de croissance.

Le sommeil joue un rôle crucial dans divers processus physiologiques tels que la restauration de l'énergie, le renforcement de la mémoire, la régulation des émotions et du système immunitaire. Un manque chronique de sommeil peut entraîner une variété de problèmes de santé, y compris l'obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires et la dépression.

La ventilation non invasive (NIV) est une forme de support respiratoire qui ne nécessite pas d'intubation endotrachéale ou de trachéotomie. Elle est délivrée via un masque facial, nasal ou buccal, ou un casque. Le but de la NIV est d'améliorer les échanges gazeux et de réduire l'effort respiratoire en fournissant une pression positive ou négative aux voies aériennes supérieures.

La NIV est utilisée dans divers scénarios cliniques, tels que l'insuffisance respiratoire aiguë ou chronique, l'exacerbation de la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), l'insuffisance cardiaque congestive décompensée et après une extubation difficile. Elle peut également être utilisée en peri-opératoire pour les patients à haut risque de complications respiratoires post-opératoires.

Les avantages de la NIV comprennent l'amélioration de la ventilation, la réduction de l'intubation endotrachéale et des complications associées, telles que les infections pulmonaires nosocomiales et la ventilator-associated lung injury (VALI). Cependant, il est important de noter que la NIV nécessite une surveillance étroite et une adaptation régulière des paramètres pour assurer son efficacité et sa sécurité.

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