Une manifestation clinique de l ’ hyperbilirubinémie, caractérisé par la coloration jaunâtre de la peau ; muqueuse ; et sclérotique. Ictère clinique est habituellement un signe de foie.
Ictère, la condition avec coloration jaunâtre de la peau et des muqueuses, c'est dû à une altération de la bile TRACT biliaire, tels que du risque de cholestase intra- cholestase ou extra- hépatique.
Décoloration jaune de la peau ; muqueuse ; et la sclère qu'au. C'est un signe de l'hyperbilirubinémie. La plupart des cas sont spontanément résolutifs néonatale physiologique transitoire (jaunisse) intervenant dans la première semaine de vie, mais certains peuvent être un signe de troubles pathologiques, particulièrement foie maladies.
Altération de la bile en petites due à l'obstruction des voies biliaires (cholestase) intra-hépatique en grande ou l'obstruction des voies biliaires (cholestase) extra- hépatique.
C'est un pigment biliaire produit de dégradation de l'hème.
Altération de la bile dans les grandes DUCTS par mécanique obstruction biliaire ou sténose résultant bénignes ou malignes procédés.
Une maladie caractérisée par une augmentation anormale de bilirubine dans le sang, ce qui peut provoquer une jaunisse. Bilirubine, produit de dégradation de l ’ hème, est normalement excrétés dans la bile catabolisés ou adaptée avant l ’ excrétion urinaire.
Traitement d ’ infection par l ’ exposition à la lumière, surtout par tour à rayons lumineux concentré ou des longueurs d'ondes.
Le plus grand canal cholédoque. C'est formé par la jonction du conduit d'air et on disait à LA TOXICITE kystique conduit d'air.
Un terme utilisé pathologiquement pour décrire la coloration de la bilirubine BASAL ganglions ; cerveau STEM ; et le cervelet et cliniquement pour décrire un syndrome associé à l ’ hyperbilirubinémie. Caractéristiques cliniques inclure athétose, de la spasticité ou hypotonie, une altération de regard verticale, ET LA SURDITÉ Nonconjugated contamine le cerveau de la bilirubine et agit comme une neurotoxine, souvent associés à des conditions qui altèrent les BARRIER hémato-encéphalique (ex : Septicémie). Cette réaction se produit principalement chez les nouveau-nés (,) mais était qu'peut rarement survenir chez les adultes. (Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p613)
Tumeurs ou cancer de la bile DUCTS.
Le fibroscope endoscopie conçues pour observation et duodénal cannulation de VATER est ampoule afin de visualiser le système d'aération et biliaire du pancréas rétrograde par injection endoscopique de produits de contraste. (Danois) papillotomy Sphinctérotomie endoscopique (,) peut être pratiquée pendant la procédure.
Inflammation du système ductal biliaire (bile DUCTS) ; intra-hépatique, extrahépatiques, ou les deux.
Altération de la bile à cause d'une blessure au hépatocytes ; dans les canicules biliaire, ou le intra-hépatique des voies biliaires (bile DUCTS, intra-hépatique).
Maladie du conduit d'air biliaires COMMUN DE VATER y compris l'ampoule et le SPHINCTER DE Oddi.
Destruction progressive ou l ’ absence de tout ou partie de la bile DUCTS extra- hépatique, conduisant à l'obstruction complète de la bile, habituellement atrésie biliaire est retrouvé chez les nourrissons et représente un tiers de la jaunisse cholestatique néonatale.
La suppression des liquides ou renvois de l'organisme, comme d'une blessure, endolorie ou carie.
Une accumulation de la bilirubine, produit de dégradation de l ’ hème PROTEINS, dans le sang pendant les premières semaines de vie. Cela pourrait entraîner néonatale. La jaunisse existeraient dans l'excès de la bilirubine indirecte (non conjuguée) ou le conjugué (directe) forme, son état serait néonatale physiologique spontanément résolutifs (jaunisse) ou pathologique avec des niveaux toxiques de bilirubine.
Tumeur ou cancer de la bile du conduit d'air y compris l'ampoule DE VATER et le SPHINCTER DE Oddi.
Principalement extra- hépatique qui des canaux biliaires est formé par la jonction des conduits hépatique droite et gauche, qui sont principalement intra-hépatique, et, en retour, rejoint le canal cystique pour former le canal biliaire.
Les tests sanguins qui sont utilisés pour évaluer si un patient est foie fonctionne et aussi pour vous aider à diagnostiquer les problèmes hépatiques.
Une dilatation de la papille duodénal c'est l'ouverture du stade de la bile du conduit d'air et le principal risque conduit d'air du pancréas, surnommé le hepatopancreatic ampoule.
Un test de l'imagerie TRACT biliaire dans lequel un produit de contraste (opaque radioactif MEDIA) est injecté dans la bile conduit d'air et radio photographie.
Les chaînes qui ramasser et transporter la sécrétion biliaire dans les canicules de la bile, la plus petite partie de ces TRACT biliaire dans le foie, par la bile ductules, le conduit biliaire hors du foie, et de la vésicule biliaire de conservation.
Toute intervention chirurgicale pratiquée sur le des voies biliaires.
La bile DUCTS et la vésicule biliaire.
Opération pour atrésie biliaire par anastomose du conduit biliaire dans le jéjunum ou du duodénum.
Un trouble familiale bénigne, transmise comme autosomique trait dominant. C'est caractérisé par l ’ hyperbilirubinémie chronique quotidienne avec considérable légères fluctuations du niveau de la bilirubine.
Maladies dans n'importe quelle partie du TRACT biliaire dont la bile DUCTS et la vésicule biliaire.
Diagnostic technique non-invasive pour visualiser le cancer du pancréas et la bile DUCTS DUCTS sans l ’ utilisation de injecté contraste MEDIA ou par des IRM, radios. Une grande sensibilité pour la dilatation du canal biliaire anomalies Intraductal et la sténose.
Un bénin autosomally récessif hyperbilirubinémie héréditaire, caractérisée par la présence d'un pigment sombre dans la région de centrolobulaire les cellules du foie. Il y a une anomalie fonctionnelle dans l ’ excrétion biliaire de bilirubine, cholephilic colorants et les personnes concernées et aux porphyrines. Peut être asymptomatique ou avez vague constitutionnel ou des symptômes gastro-intestinaux. Hépatique peuvent être légèrement élargis et cholangiography orale et intraveineuse échoue à visualiser la des voies biliaires.
Un enfant pendant le premier mois après la naissance.
Formation chirurgicale d'une introduction (estomac) dans la bile du conduit d'air pour un drainage ou pour la communication directe avec un site du petit intestin, principalement du duodénum ou jéjunum.
Présence ou formation de calculs biliaires dans le TRACT biliaire, généralement dans la vésicule biliaire (CHOLECYSTOLITHIASIS) ou le canal cholédoque (CHOLEDOCHOLITHIASIS).
Formation chirurgicale d'une brèche dans la ABDOMINAL mur dans le jéjunum, habituellement pour hyperalimentation entérale.
Processus pathologiques du foie...
Inflammation du foie...
Tumeurs ou un cancer du pancréas. Selon les types de ilôt des cellules présentes dans les tumeurs, peut être plusieurs hormones sécrétées par des cellules alpha du pancréas : Glucagon ; INSULIN de BETA du pancréas ; et des cellules de la somatostatine SOMATOSTATIN-SECRETING. La plupart sont des sauf le insulin-producing tumeurs malignes (insulinome).
Tumeurs ou un cancer de la vésicule biliaire.
Un déficit enzymatique disease-producing soumis à de nombreuses variantes, dont certains causer une déficience de déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase activité dans les érythrocytes, conduisant à une anémie hémolytique.
Passages du foie pour la transmission de la bile. Inclut le bien et même si ces conduits hépatique gauche peuvent accompagner dehors le foie pour former le canal hépatique commun.
Passages externes au foie pour la transmission de la bile. Par la bile du conduit d'air et le bon canal hépatique (LA TOXICITE conduit d'air, commun).
Solide précipite en cristalline TRACT biliaire, généralement formé dans la vésicule biliaire, résultant de l ’ état de calculs biliaires, cholélithiase. Dérivés de la bile, consistent principalement de calcium, du cholestérol, ou de la bilirubine.
Tumeurs DIGESTIVE ou cancer du système.
Une tumeur maligne provenant de l'épithélium de la bile DUCTS.
Passage anormale dans les organes du ou des voies biliaires entre organes biliaire et d'autres organes.
Inflammation du pancréas. Pancréatite aiguë est classé comme s'il n'y a pas calculé tomographique endoscopique cholangiopancreatographic rétrograde ou de symptômes de pancréatite (à l 'occasion du symposium international CHRONIQUE Pancréatite aiguë, Atlanta, 1992). Les deux plus une forme de pancréatites aiguës sont alcoolique pancréatites et calcul biliaire pancréatite.
Création d 'une ouverture dans la vésicule biliaire soit pour un drainage ou avec une autre partie communication chirurgicale du tube digestif, généralement le duodénum ou jéjunum.
Les infections à bactéries du genre Leptospira.
Une résection chirurgicale de la vésicule biliaire.
Retrait répétitif de faibles quantités de sang et le sang d'un donneur remplaçant jusqu'à une partie importante du volume sanguin a été échangé. Utilisé dans le traitement du coma hépatique, une érythroblastose, une anémie falciforme, coagulation intravasculaire disséminée, septicémie, brûlures, purpura thrombotique thrombopenic et fulminante la malaria.
L'excision de la tête du pancréas et la boucle du duodénum auxquels ils sont connectés.
L ’ adénocarcinome de la bifurcation. Canal hépatique commun ces tumeurs sont généralement modestes, fortement localisée, et rarement des métastases. Exemple Klatskin est original Review of 13 affaires a été publié en 1965. Considéré comme relativement peu fréquents, les tumeurs de la bifurcation du canal biliaire semblent comprennent plus que la moitié de ce canal biliaire cancers. (De Hollande et al., Cancer Medicine, 3d Ed, p1457)
Imino-acides are organic compounds that contain a chemical structure with a nitrogen atom bonded to two carbon atoms, often formed as intermediates in biological metabolic processes such as the biosynthesis of amino acids and alkaloids.
Maladies dans le système de ductal TRACT biliaire de la plus petite BSEP (bile commun dans les canicules à la plus grande conduit d'air.
Inflammation du foie chez les humains ont causé par un membre du genre, l ’ hépatite A HUMAN HEPATOVIRUS VIRUS. Ça peut être transmise contamination fécale nourriture ni eau.
Anémie hémolytique due à la prise de fèves ou après inhalation de pollen du Vicia fava plant par les personnes ayant un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase érythrocytes.
Un grand lobed organe glandulaire situé dans l'abdomen de vertébrés détoxification est responsable de la synthèse et de conservation, le métabolisme, de substances variées.
Une augmentation de la taille du foie.
Incision du sphincter d'Oddi ou Vater est ampoule réalisée en insérant un sphincterotome via un endoscope (DUODENOSCOPE), souvent après cholangiography rétrograde, rétrograde endoscopique (CHOLANGIOPANCREATOGRAPHY endoscopique). Le traitement par Sphinctérotomie privilégie cette méthode de traitement pour les patients atteints des canaux biliaires conservées ou ayant subi une cholécystectomie il y a des pierres, et pour poor-surgical-risk patients qui ont la vésicule biliaire encore présents.
Une malformation anatomique congénitale du canal biliaire, y compris kystique extrahépatiques dilatation des canaux biliaires intra-hépatique ou le grand canal cholédoque. CLASSIFICATION est basée sur le site et type de dilatation. Genre je est plus fréquent.
Tumeurs ou cancer dans la TRACT biliaire dont la bile DUCTS et la vésicule biliaire.
Agents gastro-intestinale qui stimulent le flux de la bile dans le duodénum (cholagogues) ou stimulent la production de la bile par le foie (choleretic).
Le conduit qui est connecté à la vésicule biliaire et permet le vidage de la bile dans la bile du conduit d'air.
Un spectre de maladies hépatiques allant de légères anomalies biochimiques PYELONEPHRITE AIGUË ÉCHEC de foie, causée par la drogue, la forme de métabolites et produits chimiques dans l'environnement.
Un produit radiopharmaceutique très utilisée en cholescintigraphy pour l'évaluation des maladies hépatobiliaire. (De Int Jrnl Rad APPL Inst 1992 ; 43 1061-4) (9) :
Présence ou formation de calculs biliaires commun dans le conduit d'air.
Un de chenodeoxycholic epimer acide, c'est un acide biliaire de mammifères a trouvé la première dans l'ours et est apparemment un précurseur ou un produit de chenodeoxycholate. Sa gestion change la composition de la bile et peut dissoudre un calcul. Il est utilisé comme cholagogue et choleretic.
Une fibrose du parenchyme hépatique en raison d ’ obstruction de la bile (cholestase) dans le intra-hépatique ou extra- hépatique, des voies biliaires (bile DUCTS intra-hépatique DUCTS, extra-hépatiques ; la bile). Par exemple une cirrhose biliaire primitive implique la destruction de petit intra-hépatique sécrétion biliaire et voies biliaires, secondaire cirrhose biliaire est produite par des grandes prolongée intra-hépatique obstruction biliaire ou extra- hépatique à des causes différentes.
Soin diminué symptômes sans guérir la maladie sous-jacente. (Stedman, 25e éditeur)
Une tumeur bénigne du intra-hépatique biliaire.

L'ictère, également connu sous le nom de jaunisse, est un symptôme médical caractérisé par une coloration jaune des yeux (sclérotique) et de la peau. Cette coloration est due à l'accumulation de bilirubine, un pigment produit lorsque le foie décompose l'hémoglobine des globules rouges usagés. Une bilirubine élevée peut s'accumuler dans divers tissus corporels, donnant à ces zones une teinte jaune.

L'ictère peut être classé en trois catégories principales en fonction de sa cause :

1. Ictère préhépatique : Cela se produit lorsque la bilirubine est produite plus rapidement que le foie ne peut la traiter, entraînant une accumulation dans le sang. Les causes courantes incluent l'hémolyse (destruction accrue des globules rouges) et certaines maladies héréditaires rares qui affectent la capacité du foie à éliminer la bilirubine.

2. Ictère hépatique : Cela se produit lorsque le foie ne fonctionne pas correctement, ce qui entraîne une accumulation de bilirubine dans le sang. Les causes courantes comprennent l'hépatite (inflammation du foie), la cirrhose (cicatrisation et détérioration du foie), les tumeurs hépatiques, l'insuffisance hépatique aiguë et les maladies héréditaires qui affectent le fonctionnement du foie.

3. Ictère posthépatique : Cela se produit lorsque la bilirubine ne peut pas atteindre le foie en raison d'une obstruction des voies biliaires, ce qui entraîne une accumulation dans le sang. Les causes courantes comprennent les calculs biliaires, l'inflammation ou l'infection des voies biliaires (cholangite), la tumeur des voies biliaires et la pancréatite chronique.

Dans certains cas, une combinaison de facteurs peut contribuer à l'ictère, ce qui rend le diagnostic plus difficile. Il est important d'identifier et de traiter rapidement la cause sous-jacente pour prévenir les complications potentiellement graves.

L'ictère rétentionnel, également connu sous le nom d'ictère hépatocellulaire, est un type d'ictère (coloration jaune des yeux et de la peau) qui se produit lorsque la bilirubine, un déchet produit par la dégradation des globules rouges, s'accumule dans le sang. Cela se produit lorsque le foie ne peut pas éliminer correctement la bilirubine en raison d'une maladie ou d'une lésion hépatique.

Dans l'ictère rétentionnel, la bilirubine non conjuguée s'accumule dans le sang et se dépose dans les tissus, donnant à la peau et aux yeux une apparence jaunâtre. Les symptômes peuvent inclure une urine foncée, des selles pâles, de la fatigue, une perte d'appétit, des nausées et des douleurs abdominales.

Les causes courantes d'ictère rétentionnel comprennent l'hépatite virale, l'alcoolisme, les dommages hépatiques dus à des médicaments ou à des toxines, la cirrhose du foie, les tumeurs hépatiques et les maladies inflammatoires du foie. Le traitement de l'ictère rétentionnel dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour traiter une infection, des changements de mode de vie pour réduire les dommages au foie, une thérapie de remplacement du foie ou une transplantation hépatique dans les cas graves.

L'ictère néonatal est une condition médicale courante chez les nouveau-nés où la peau et le blanc des yeux (sclérotique) prennent une teinte jaunâtre due à une accumulation de bilirubine, un pigment produit lors du processus de dégradation de l'hémoglobine.

La bilirubine est normalement traitée par le foie et éliminée du corps via la bile. Cependant, chez les nouveau-nés, en particulier ceux prématurés, le foie peut être immature et incapable de traiter efficacement la bilirubine, entraînant son accumulation dans le sang et la peau.

L'ictère néonatal se développe généralement dans les 2 à 4 jours suivant la naissance et disparaît généralement sans traitement en une à deux semaines. Cependant, dans certains cas graves, un taux élevé de bilirubine peut entraîner des lésions cérébrales et d'autres complications, nécessitant un traitement rapide.

Les facteurs de risque de l'ictère néonatal comprennent la prématurité, les antécédents familiaux d'ictère grave chez le nouveau-né, certaines infections et certains troubles sanguins. Les symptômes peuvent inclure une jaunisse visible, une somnolence excessive, des difficultés à se nourrir et des mouvements corporels anormaux.

Le diagnostic de l'ictère néonatal est généralement posé en mesurant le taux de bilirubine dans le sang du bébé. Selon les résultats, un traitement peut inclure une photothérapie, qui utilise la lumière pour aider à décomposer la bilirubine, ou une échange transfusion sanguine dans les cas graves.

La cholestase est un trouble caractérisé par une réduction ou une absence de bile sécrétée dans les canaux biliaires. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à la digestion des graisses et élimine certaines déchets du corps. Lorsque la production ou l'écoulement de la bile est interrompue, il peut entraîner une accumulation de bilirubine (un pigment jaune) dans le sang, ce qui peut causer une coloration jaunâtre de la peau et des yeux (jaunisse).

La cholestase peut être causée par une variété de facteurs, y compris des problèmes avec les voies biliaires, tels que des calculs biliaires ou une inflammation des voies biliaires, ou par des maladies du foie telles que l'hépatite ou la cirrhose. Les symptômes de la cholestase peuvent inclure la jaunisse, des urines foncées, des selles pâles, des démangeaisons cutanées et une perte d'appétit. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la cholestase et peut inclure des médicaments pour dissoudre les calculs biliaires ou réduire l'inflammation, ainsi que des procédures telles que l'endoscopie rétrograde cholangiopancréatographie (ERCP) pour enlever les calculs biliaires ou élargir les voies biliaires obstruées. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire pour traiter la cholestase sévère et prolongée.

La bilirubine est un pigment jaune-orange qui est produit lorsque l'hémoglobine, la protéine dans les globules rouges qui transporte l'oxygène, se décompose. Cette décomposition se produit normalement à la fin de la durée de vie des globules rouges, qui est d'environ 120 jours.

La bilirubine est ensuite conjuguée (liée à d'autres molécules) dans le foie pour faciliter son élimination du corps. Lorsque les niveaux de bilirubine dans le sang sont élevés, cela peut entraîner une coloration jaunâtre de la peau et des yeux, appelée jaunisse.

Des niveaux élevés de bilirubine peuvent être causés par une maladie du foie, telle qu'une hépatite ou une cirrhose, ou par une obstruction des voies biliaires qui empêche la bilirubine de quitter le foie. Des niveaux anormalement élevés de bilirubine peuvent également être un signe de troubles sanguins, tels que l'anémie hémolytique, dans laquelle les globules rouges sont détruits plus rapidement que d'habitude.

Il est important de noter que des niveaux légèrement élevés de bilirubine peuvent être normaux chez certaines personnes, en particulier les nouveau-nés, qui peuvent avoir des niveaux temporairement élevés de bilirubine non conjuguée dans le sang pendant les premiers jours de vie. Cependant, des niveaux très élevés de bilirubine chez les nouveau-nés peuvent entraîner une maladie appelée kernicterus, qui peut causer des lésions cérébrales et des handicaps permanents.

La cholestase extrahépatique est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle il y a une interruption ou une réduction du flux de bile hors du foie en dehors des causes liées au foie lui-même. La bile est un liquide produit par le foie qui contient des déchets, des sels biliaires, du cholestérol et d'autres substances importantes pour la digestion des graisses.

Dans la cholestase extrahépatique, les voies biliaires situées en dehors du foie sont obstruées ou endommagées, ce qui empêche la bile de s'écouler normalement dans l'intestin grêle. Cela peut entraîner une accumulation de bile dans le foie et le sang, ce qui peut causer des dommages aux tissus et provoquer des symptômes tels que des démangeaisons cutanées, un jaunissement de la peau et du blanc des yeux (jaunisse), une urine foncée et des selles décolorées.

Les causes courantes de cholestase extrahépatique comprennent les calculs biliaires, les tumeurs, les maladies inflammatoires telles que la pancréatite et la fibrose kystique, ainsi que certains médicaments qui peuvent endommager les voies biliaires. Le traitement de la cholestase extrahépatique dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour dissoudre les calculs biliaires, une intervention chirurgicale pour enlever les obstructions ou des changements dans les médicaments qui causent l'endommagement des voies biliaires.

L'hyperbilirubinémie est un terme médical qui décrit une concentration élevée de bilirubine dans le sang. La bilirubine est un produit de dégradation de l'hème, une partie de l'hémoglobine qui se trouve dans les globules rouges. Lorsque les globules rouges sont cassés down (un processus appelé hémolyse), ou lorsque le foie ne peut pas éliminer la bilirubine assez rapidement, les niveaux de bilirubine dans le sang peuvent augmenter, entraînant une hyperbilirubinémie.

Il existe deux types d'hyperbilirubinémie : l'hyperbilirubinémie conjuguée et l'hyperbilirubinémie non conjuguée. L'hyperbilirubinémie conjuguée se produit lorsque la bilirubine dans le sang est liée à de l'acide glucuronique dans le foie, ce qui permet à la bilirubine d'être éliminée du corps dans les urines. L'hyperbilirubinémie non conjuguée se produit lorsque la bilirubine dans le sang n'est pas liée à de l'acide glucuronique et ne peut donc pas être éliminée du corps aussi facilement.

Les symptômes de l'hyperbilirubinémie peuvent inclure une coloration jaune de la peau, des yeux et des muqueuses (jaunisse), une urine foncée et des selles décolorées. L'hyperbilirubinémie peut être causée par un certain nombre de facteurs sous-jacents, notamment des maladies hépatiques, des troubles de la vésicule biliaire, des infections du sang et certains médicaments. Le traitement de l'hyperbilirubinémie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments ou une intervention chirurgicale.

La photothérapie est un traitement médical qui consiste à exposer le patient à une lumière contrôlée, généralement une lumière visible ou proche de l'infrarouge, pour traiter diverses affections. La longueur d'onde, l'intensité et la durée de l'exposition à la lumière sont soigneusement régulées.

Cette thérapie est particulièrement efficace dans le traitement de certaines affections cutanées, telles que le psoriasis, l'eczéma et le vitiligo. Elle est également utilisée dans le traitement de certains troubles affectifs saisonniers et du dérèglement de l'horloge biologique interne (trouble affectif lié à la lumière).

Dans le cas du psoriasis, par exemple, la lumière ultraviolette ralentit la croissance des cellules cutanées, ce qui réduit les plaques épaisses et inflammatoires associées à cette maladie. Pour le traitement des troubles affectifs liés à la lumière, l'exposition à une lumière vive le matin peut aider à réguler les hormones qui influencent notre cycle veille-sommeil, améliorant ainsi l'humeur et les niveaux d'énergie.

Il est important de noter que la photothérapie doit être prescrite et supervisée par un médecin, car une exposition excessive à certaines longueurs d'onde peut présenter des risques, notamment un risque accru de cancer de la peau.

Le conduit cholédoque est un terme médical qui se réfère au canal ou ducte qui transporte la bile du foie et de la vésicule biliaire vers l'intestin grêle. Il s'agit d'un tube musculaire, qui mesure environ 7 à 8 centimètres de longueur chez l'adulte moyen.

Le conduit cholédoque est formé par la jonction du canal cystique (qui vient de la vésicule biliaire) et du canal hépatique commun (qui draine la bile des lobes droit et gauche du foie). Ces deux canaux se rejoignent pour former le conduit cholédoque, qui traverse ensuite le pancréas avant de se jeter dans l'intestin grêle au niveau du duodénum.

Le rôle principal du conduit cholédoque est de transporter la bile vers l'intestin grêle pour aider à la digestion des graisses alimentaires. La bile contient des sels biliaires, qui sont essentiels pour émulsifier les graisses et faciliter leur absorption dans le sang.

Des problèmes de santé tels que des calculs biliaires ou une inflammation du pancréas peuvent affecter la fonction normale du conduit cholédoque et entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et une jaunisse. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter ces problèmes.

Je suis désolé, mais la terminologie «ictère nucléaire» ne semble pas être reconnue dans la littérature médicale standard. Il est possible que vous ayez mal interprété ou mal entendu le terme. L'ictère, également connu sous le nom de jaunisse, se réfère à une coloration jaune des yeux et de la peau due à un taux élevé de bilirubine dans le sang. Cependant, il n'y a pas de sous-type spécifique appelé «ictère nucléaire». Il est important de vérifier la source d'information ou de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des éclaircissements sur le terme médical que vous avez rencontré.

Les tumeurs des canaux biliaires, également connues sous le nom de cholangiocarcinomes, sont des cancers qui se développent dans les parois des canaux biliaires. Les canaux biliaires sont des tubes minces qui transportent la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. La bile aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Les tumeurs des canaux biliaires peuvent être classées en deux types principaux : intra-hépatiques et extra-hépatiques. Les tumeurs intra-hépatiques se développent dans les petits canaux biliaires à l'intérieur du foie, tandis que les tumeurs extra-hépatiques se développent dans les canaux biliaires en dehors du foie.

Les symptômes des tumeurs des canaux biliaires peuvent inclure une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids inexpliquée, et une fatigue. Le diagnostic peut être posé à l'aide d'examens d'imagerie tels qu'une échographie, une tomographie computérisée (CT scan) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Une biopsie peut également être réalisée pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de cancer.

Le traitement des tumeurs des canaux biliaires dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée.

La cholangiopancréatographie endoscopique retrograde (CPER) est un examen diagnostique et thérapeutique utilisé pour visualiser les voies biliaires et pancréatiques. Cet examen combine l'endoscopie et la fluoroscopie pour obtenir des images des conduits biliaires et pancréatiques à l'intérieur du corps.

Pendant la procédure, un endoscope flexible est inséré dans la bouche du patient et guidé jusqu'à la jonction de l'estomac et du duodénum, où se trouvent les orifices des conduits biliaire et pancréatique. Un cathéter est ensuite passé à travers l'endoscope et inséré dans ces orifices pour injecter un colorant de contraste.

La fluoroscopie est alors utilisée pour obtenir des images en mouvement des conduits biliaires et pancréatiques, ce qui permet au médecin d'identifier toute anomalie telle que des calculs, des tumeurs, des rétrécissements ou des inflammations. La CPER peut également être utilisée pour prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou pour retirer des calculs bloquant les conduits.

La CPER est généralement réalisée sous anesthésie légère ou sédation consciente, et elle comporte certains risques potentiels tels que des saignements, des infections, des réactions allergiques au colorant de contraste ou des dommages aux voies biliaires ou pancréatiques. Cependant, ces complications sont rares et la procédure est considérée comme sûre et efficace pour le diagnostic et le traitement de nombreuses affections du foie, des voies biliaires et du pancréas.

L'angiocholite est un terme médical qui décrit une inflammation des vaisseaux sanguins (angio-) dans le système biliaire (-chol-), en particulier dans la vésicule biliaire et les canaux biliaires. Cette condition est souvent associée à une infection, telle que la cholangite aiguë, qui peut être causée par l'obstruction des voies biliaires, par exemple, par un calcul biliaire ou un cancer. Les symptômes courants de l'angiocholite comprennent la douleur abdominale, la fièvre, les nausées et les vomissements. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour traiter l'infection, des procédures pour éliminer l'obstruction et, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

La cholestase intrahépatique est un trouble du foie qui se caractérise par une accumulation de bilirubine et d'autres substances dans le foie, entraînant une coloration jaunâtre de la peau et des yeux (jaunisse). Cela se produit lorsque le flux de bile depuis le foie est ralenti ou bloqué.

Dans la cholestase intrahépatique, le problème se situe au niveau des petits canaux biliaires à l'intérieur du foie (canaux biliaires intra-hépatiques). Ces canaux peuvent être endommagés ou bloqués par une variété de facteurs, y compris des maladies auto-immunes, des infections, des médicaments, des toxines et des tumeurs.

Les symptômes de la cholestase intrahépatique peuvent inclure une jaunisse, des urines foncées, des selles décolorées, des démangeaisons cutanées sévères, de la fatigue, une perte d'appétit et un abdomen gonflé. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la cholestase intrahépatique et peut inclure des médicaments pour dissoudre les calculs biliaires ou réduire l'inflammation, une intervention chirurgicale pour enlever un blocage, ou une transplantation du foie dans les cas graves.

Les maladies du cholédoque se réfèrent à un ensemble de troubles et affections qui affectent le cholédoque, un canal situé dans l'appareil digestif qui transporte la bile du foie vers le duodénum. La bile est importante pour aider à la digestion des graisses alimentaires.

Les maladies courantes du cholédoque comprennent:

1. Cholélithiase : formation de calculs biliaires dans le cholédoque, qui peuvent causer des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements.
2. Cholangite : inflammation du cholédoque, souvent causée par une infection bactérienne.
3. Cholestase : arrêt ou réduction du flux de bile dans le cholédoque, ce qui peut entraîner une accumulation de bilirubine dans le sang et provoquer une jaunisse.
4. Tumeurs du cholédoque : croissance anormale des cellules dans le cholédoque, qui peuvent être bénignes ou malignes.
5. Sténose du cholédoque : rétrécissement anormal du cholédoque, ce qui peut entraîner une obstruction de la bile et des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements.

Le traitement des maladies du cholédoque dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou une combinaison des deux.

L'atrésie des voies biliaires est une maladie congénitale rare dans laquelle les voies biliaires, qui transportent la bile du foie vers l'intestin grêle, sont absentes ou malformées. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à digérer les graisses et éliminer les déchets. Sans voies biliaires fonctionnelles, la bile s'accumule dans le foie, ce qui peut entraîner une inflammation, une cicatrisation et une insuffisance hépatique.

Les symptômes de l'atrésie des voies biliaires comprennent une jaunisse persistante (ictère), un jaunissement de la peau et du blanc des yeux, des selles pâles ou blanches, des urines foncées, une augmentation de la taille du foie et de la rate, et un retard de croissance.

Le traitement de l'atrésie des voies biliaires consiste généralement en une intervention chirurgicale pour rétablir le flux de bile entre le foie et l'intestin grêle. Dans les cas graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

Il est important de diagnostiquer et de traiter rapidement l'atrésie des voies biliaires pour prévenir les dommages irréversibles au foie et d'autres complications.

En médecine, le drainage est une procédure utilisée pour éliminer l'excès de fluide, de pus ou de sang d'un espace fermé dans le corps. Cela peut être accompli en créant un petit trou ou incision dans la peau pour accéder à la zone affectée, puis en insérant un tube fin (appelé drain) pour permettre au liquide de s'écouler. Le drainage peut aider à prévenir les infections, à réduire la pression et la douleur, et à favoriser la guérison.

Il existe différents types de drainage médical, tels que le drainage chirurgical, qui est souvent utilisé pendant ou après une intervention chirurgicale pour prévenir l'accumulation de fluides dans la zone opérée. Le drainage thermique, comme l'utilisation de compresses chaudes ou froides, peut également être utilisé pour aider à soulager la douleur et à réduire l'enflure.

Le drainage lymphatique est une autre forme de thérapie qui vise à stimuler le système lymphatique pour éliminer les toxines et les déchets du corps. Cette méthode peut être utilisée pour traiter diverses conditions, telles que les gonflements, les ecchymoses et les infections.

Dans tous les cas, le drainage doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques d'infection ou de complications.

L'hyperbilirubinémie néonatale est une condition médicale courante chez les nouveau-nés où il y a un taux élevé de bilirubine dans le sang. La bilirubine est un produit de dégradation de l'hème, un composant de l'hémoglobine, qui se forme lorsque les globules rouges se décomposent. Normalement, la bilirubine est transformée en une forme soluble dans l'eau par le foie et éliminée du corps via la bile.

Cependant, chez les nouveau-nés, le foie peut être immature et ne pas être capable de traiter rapidement la bilirubine, ce qui entraîne une accumulation de bilirubine dans le sang. Cela peut conduire à une coloration jaune de la peau et des yeux, appelée jaunisse.

Dans les cas graves d'hyperbilirubinémie néonatale, une affection appelée kernicterus peut se développer, ce qui peut entraîner des lésions cérébrales permanentes et même la mort. Par conséquent, il est important de surveiller les niveaux de bilirubine chez les nouveau-nés et de prendre des mesures pour réduire les niveaux élevés si nécessaire.

Les tumeurs du cholédoque sont des growths anormaux qui se développent dans le canal cholédoque, qui est le tube qui transporte la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, qui sont des growths de cellules glandulaires, et les papillomes, qui sont des growths de cellules squameuses. Les tumeurs malignes comprennent le cholangiocarcinome, qui est un cancer du canal cholédoque.

Les symptômes courants des tumeurs du cholédoque comprennent la douleur abdominale, la jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), les nausées et les vomissements, la perte d'appétit et le poids. Le diagnostic est généralement posé en utilisant des tests d'imagerie tels que l'échographie, la tomodensitométrie (TDM) ou l'IRM, ainsi que des tests sanguins pour vérifier les niveaux de bilirubine.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées par chirurgie. Les tumeurs malignes peuvent nécessiter une combinaison de chirurgie, de chimiothérapie et de radiothérapie. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée. Il est important de noter que le pronostic dépend du stade au moment du diagnostic et du traitement.

Le conduit hépatique commun est un terme utilisé en anatomie et en médecine pour décrire un canal situé dans le foie qui transporte la bile, un liquide digestif produit par le foie. Ce conduit est formé par la jonction de deux conduits hépatiques droits et gauches plus petits qui collectent la bile provenant des lobes respectifs du foie.

Après la jonction, le conduit hépatique commun s'étend vers le bas et reçoit la contribution d'un autre conduit, appelé conduit cystique, qui draine la vésicule biliaire. La combinaison de ces deux conduits forme le canal cholédoque, qui traverse le pancréas avant de se jeter dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle.

Le conduit hépatique commun joue un rôle important dans le processus de digestion en transportant la bile vers l'intestin grêle, où elle aide à décomposer les graisses alimentaires pour une absorption ultérieure. Des problèmes avec le conduit hépatique commun peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et une jaunisse (coloration jaune de la peau et du blanc des yeux).

L'exploration fonctionnelle hépatique (EFH) est un terme utilisé pour décrire une série de tests médicaux et biologiques visant à évaluer la fonction, la structure et l'intégrité du foie. Ces tests permettent d'identifier et de quantifier divers paramètres hépatiques, tels que la synthèse des protéines, la détoxification, la biotransformation et l'excrétion des substances toxiques.

L'EFH comprend généralement les tests suivants :

1. Bilan hépatique : Il s'agit d'un ensemble de tests sanguins qui mesurent les taux sériques de certaines enzymes hépatiques (ALAT, ASAT, GGT, PAL), des protéines (albumine, globulines) et de la bilirubine. Ces paramètres permettent d'évaluer l'intégrité des cellules hépatiques, la fonction de détoxification et la synthèse protéique.

2. Tests de coagulation : Le temps de prothrombine (TP) et le taux de prothrombine international normalisé (INR) sont des tests couramment utilisés pour évaluer la fonction de coagulation du foie, qui dépend de la synthèse des facteurs de coagulation.

3. Tests de stockage : Le fer sérique et la ferritine peuvent être mesurés pour évaluer la capacité de stockage du foie en minéraux.

4. Imagerie médicale : Des examens d'imagerie, tels que l'échographie, le scanner ou l'IRM, peuvent être utilisés pour visualiser la structure et l'anatomie du foie, détecter d'éventuelles lésions (tumeurs, kystes, cirrhose) et évaluer la vascularisation hépatique.

5. Biopsie hépatique : Dans certains cas, une biopsie hépatique peut être réalisée pour obtenir un échantillon de tissu hépatique et analyser les dommages cellulaires, l'inflammation, la fibrose et d'autres modifications pathologiques.

L'ensemble des tests mentionnés ci-dessus permettent d'évaluer globalement la fonction hépatique et de diagnostiquer d'éventuelles maladies du foie. Les résultats doivent être interprétés en tenant compte de l'histoire clinique, des symptômes et des antécédents médicaux du patient.

L'ampoule de Vater, également connue sous le nom d'ampoule hépatopancréatique, est une structure anatomique importante du système digestif. Il s'agit de la dilatation commune de deux canaux, à savoir le canal pancréatique principal et le canal cystique, qui se rejoignent pour former le canal cholédoque. Ce dernier conduit les sécrétions du pancréas et de la vésicule biliaire vers le duodénum, où elles aident à la digestion des aliments.

Le canal pancréatique principal transporte les enzymes pancréatiques produites par le pancréas exocrine, tandis que le canal cystique draine la bile produite par le foie et stockée dans la vésicule biliaire. Lorsque les aliments riches en graisses et en protéines atteignent l'estomac et le duodénum, les hormones telles que la cholécystokinine sont sécrétées, ce qui provoque la contraction de la vésicule biliaire et l'ouverture du sphincter d'Oddi. Cela permet à la bile et aux enzymes pancréatiques de se déverser dans le duodénum pour faciliter la digestion des graisses, des protéines et des glucides.

L'ampoule de Vater est située dans la paroi postérieure du duodénum, près de son angle supérieur, et est entourée d'un muscle lisse appelé sphincter d'Oddi. Ce sphincter régule le flux des sécrétions pancréatiques et biliaires dans le duodénum en se contractant et en se relâchant de manière appropriée.

Il est important de noter que certaines affections, telles que les calculs biliaires, la pancréatite et le cancer du pancréas, peuvent affecter l'ampoule de Vater et entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et une jaunisse. Par conséquent, il est essentiel de maintenir un mode de vie sain et de subir des examens médicaux réguliers pour prévenir ces conditions et promouvoir la santé globale.

La cholangiographie est une procédure diagnostique utilisée pour examiner les voies biliaires, qui sont les tubes qui transportent la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. Durant cette procédure, un colorant de contraste est injecté dans les voies biliaires, puis des images sont prises à l'aide d'un appareil radiologique pour examiner la structure et le fonctionnement de ces voies.

Il existe plusieurs types de cholangiographies, y compris la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) et la cholangiographie percutanée transhépatique (CPTH). La CPRE est réalisée en insérant un endoscope dans la gorge, l'estomac et le duodénum pour atteindre les voies biliaires. La CPTH, quant à elle, implique une injection directe du colorant de contraste dans les voies biliaires par une aiguille insérée à travers la peau.

La cholangiographie peut être utilisée pour diagnostiquer des affections telles que les calculs biliaires, l'inflammation des voies biliaires, les tumeurs et les anomalies congénitales. Elle peut également être utilisée pendant ou après une intervention chirurgicale pour vérifier l'intégrité des voies biliaires.

Les risques associés à la cholangiographie comprennent des réactions allergiques au colorant de contraste, des infections, des saignements et des dommages aux voies biliaires ou aux tissus environnants. Cependant, ces complications sont rares lorsque la procédure est réalisée par un professionnel qualifié et expérimenté.

Les conduits biliaires sont des structures anatomiques qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie. Il existe deux types principaux de conduits biliaires : les conduits biliaires intra-hépatiques et les conduits biliaires extra-hépatiques.

Les conduits biliaires intra-hépatiques sont situés à l'intérieur du foie et transportent la bile produite par les cellules hépatiques (les hépatocytes) vers le canal hépatique commun, qui est le plus grand conduit biliaire intra-hépatique.

Les conduits biliaires extra-hépatiques sont situés en dehors du foie et comprennent le canal cholédoque, qui est le plus grand conduit biliaire extra-hépatique. Le canal cholédoque reçoit la bile des conduits hépatiques communs et des conduits cystiques, qui drainent la vésicule biliaire. Le canal cholédoque se jette ensuite dans le duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle, au niveau de la papille duodénale majeure.

Les conduits biliaires peuvent être affectés par diverses maladies, telles que les calculs biliaires, l'inflammation des voies biliaires (cholangite), les tumeurs des voies biliaires et les sténoses des voies biliaires. Ces conditions peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une jaunisse (ictère) et une augmentation des enzymes hépatiques dans le sang.

Les interventions chirurgicales sur les voies biliaires, également connues sous le nom de chirurgie biliaire, sont des procédures conçues pour traiter une variété de conditions qui affectent le foie, la vésicule biliaire et les conduits biliaires. Les voies biliaires sont des tubes qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle pour aider à décomposer les graisses.

Voici quelques exemples d'interventions chirurgicales sur les voies biliaires :

1. Cholécystectomie : C'est l'ablation de la vésicule biliaire, qui est souvent utilisée pour traiter la cholélithiase (calculs biliaires).

2. Cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) : Cette procédure utilise un endoscope pour visualiser et traiter les problèmes des voies biliaires et du pancréas. Elle peut être utilisée pour enlever des calculs biliaires, élargir des conduits rétrécis ou détruire des tumeurs.

3. Sphinctérotomie : Cette procédure consiste à inciser le muscle sphincter qui contrôle l'ouverture et la fermeture du canal biliaire commun pour faciliter le drainage de la bile.

4. Ductectomie : Il s'agit de l'ablation d'une partie ou de la totalité des conduits biliaires, généralement en raison d'une inflammation chronique, d'une infection ou d'un cancer.

5. Transplantation hépatique : Dans les cas graves où le foie et/ou les voies biliaires sont gravement endommagés ou cancéreux, une transplantation du foie peut être nécessaire.

6. Résection hépatique : Il s'agit de l'ablation d'une partie du foie en raison d'un cancer ou d'autres affections.

7. Cholécystectomie : Cette procédure consiste à enlever la vésicule biliaire, généralement en raison de calculs biliaires ou d'inflammation chronique.

Les voies biliaires sont un système de conduits qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle. La bile aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Le système des voies biliaires est composé de deux parties principales : les voies biliaires intra-hépatiques et les voies biliaires extra-hépatiques. Les voies biliaires intra-hépatiques sont situées à l'intérieur du foie et se ramifient en de nombreux petits conduits qui transportent la bile des cellules hépatiques vers les canaux biliaires plus grands.

Les voies biliaires extra-hépatiques comprennent les canaux biliaires situés en dehors du foie. Le canal cholédoque est le plus grand conduit biliaire extra-hépatique, qui reçoit la bile des canaux hépatiques et des voies biliaires des vésicules biliaires. La vésicule biliaire est un petit sac situé juste en dessous du foie qui stocke la bile jusqu'à ce qu'elle soit nécessaire pour la digestion.

Les problèmes de voies biliaires peuvent inclure des calculs biliaires, une inflammation de la vésicule biliaire (cholécystite), une infection des voies biliaires (cholangite) ou un cancer des voies biliaires.

L'hépato-porto-entérostomie est une procédure chirurgicale complexe qui consiste à créer une connexion (anastomose) entre le foie, la veine porte et l'intestin grêle. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter certaines affections hépatiques rares et sévères, telles que les shunts portosystémiques congénitaux ou acquis, qui peuvent entraîner une hypertension portale et des complications associées.

L'objectif de cette procédure est de dériver le flux sanguin de la veine porte autour du foie (parfois partiellement) pour réduire la pression dans la veine porte et améliorer la circulation sanguine dans le foie. Cela permet également de prévenir ou de traiter les complications liées à l'hypertension portale, telles que les varices œsophagiennes, les ascites et l'encéphalopathie hépatique.

L'hépato-porto-entérostomie est une intervention chirurgicale majeure qui nécessite une expertise considérable de la part du chirurgien et comporte des risques potentiels, tels que l'infection, les saignements, la thrombose et les problèmes liés à l'anastomose. Par conséquent, elle n'est généralement envisagée qu'après épuisement des options thérapeutiques moins invasives.

La maladie de Gilbert, également connue sous le nom de syndrome de Dubin-Johnson et d'hyperbilirubinémie constitutionnelle non conjuguée bénigne, est une affection héréditaire bénigne et courante caractérisée par une accumulation excessive de bilirubine non conjuguée dans le sang. La bilirubine est un produit de dégradation de l'hémoglobine, qui est normalement éliminée du corps via la bile après avoir été transformée en bilirubine conjuguée par une enzyme hépatique appelée uridine diphosphate glucuronyltransférase (UDPGT).

Cependant, dans la maladie de Gilbert, il y a un déficit partiel en UDPGT, ce qui entraîne une augmentation de la bilirubine non conjuguée dans le sang. Cette affection est généralement héritée de manière autosomique récessive, ce qui signifie que les deux copies du gène doivent être altérées pour que la maladie se manifeste.

Les symptômes de la maladie de Gilbert sont généralement légers et peuvent inclure une coloration jaune de la peau et des yeux (ictère), qui peut être déclenchée par des facteurs tels que le jeûne, l'infection, le stress ou l'exercice intense. Cependant, ces symptômes sont souvent intermittents et disparaissent généralement sans traitement spécifique.

La maladie de Gilbert est généralement diagnostiquée à l'âge adulte après avoir exclu d'autres causes plus graves d'augmentation de la bilirubine, telles que les maladies hépatiques ou les troubles sanguins. Le diagnostic peut être confirmé par des tests sanguins spécifiques qui mesurent la quantité de bilirubine conjuguée et non conjuguée dans le sang.

Bien qu'il n'existe pas de traitement spécifique pour la maladie de Gilbert, les personnes atteintes peuvent bénéficier d'une alimentation équilibrée et d'un mode de vie sain pour prévenir les symptômes. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour traiter les symptômes spécifiques, tels que la douleur ou l'inconfort abdominal.

La maladie des voies biliaires, également connue sous le nom de cholangiopathie, est un terme général utilisé pour décrire un large éventail de conditions qui affectent les voies biliaires, qui sont les tubes qui transportent la bile du foie vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à digérer les graisses et à éliminer les déchets du corps.

Les maladies des voies biliaires peuvent être causées par une infection, une inflammation, une lésion ou une tumeur. Elles peuvent également être associées à d'autres affections sous-jacentes, telles que la cirrhose du foie ou le cancer du pancréas.

Les symptômes de la maladie des voies biliaires dépendent de la cause et de la gravité de la condition. Ils peuvent inclure une douleur abdominale supérieure droite, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une perte de poids involontaire, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des urines foncées et des selles décolorées.

Le diagnostic de la maladie des voies biliaires peut être posé à l'aide d'une combinaison de tests, tels qu'une analyse sanguine, une échographie, une tomographie computérisée (CT), une résonance magnétique (RM) ou une cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE).

Le traitement de la maladie des voies biliaires dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, une intervention chirurgicale pour enlever les obstructions ou des procédures telles que la dilatation ou le placement de stents pour élargir et débloquer les voies biliaires. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

La remnographie des conduits biliaires et pancréatiques, également connue sous le nom de cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE), est un examen médical qui permet de visualiser les conduits biliaires et pancréatiques à l'aide d'un endoscope inséré dans la bouche et guidé jusqu'au duodénum.

Un colorant de contraste est ensuite injecté dans ces conduits, ce qui permet de prendre des images radiologiques détaillées de leur structure interne. Cette procédure est utilisée pour diagnostiquer et traiter une variété de troubles du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas et des voies biliaires, tels que les calculs biliaires, l'inflammation des conduits biliaires ou pancréatiques, les tumeurs et les sténoses.

La CPRE est considérée comme une procédure invasive et peut comporter certains risques, tels que des saignements, des infections ou des réactions allergiques au colorant de contraste. Par conséquent, elle est généralement réservée aux cas où d'autres tests non invasifs ont été incapables de fournir un diagnostic clair ou lorsqu'un traitement interventionnel est nécessaire.

Le terme «Ictère» fait référence à une coloration jaunâtre des yeux et de la peau due à une accumulation de bilirubine, un pigment produit lors de la dégradation de l'hémoglobine. Lorsque ce jaunissement persiste pendant plus de six mois sans cause évidente, on parle de «chronique». Et si aucune maladie sous-jacente ne peut être identifiée comme cause de l'ictère, il est qualifié d'«idiopathique».

Ainsi, une définition médicale de 'Ictère Chronique Idiopathique' serait:
Un état persistant (plus de six mois) de jaunissement de la peau et des yeux (ictère), dont la cause reste inconnue après investigation approfondie. Il est caractérisé par des taux élevés de bilirubine dans le sang, principalement sous forme indirecte (non conjuguée), sans preuve d'une maladie hépatique ou biliaire sous-jacente, ni d'anomalies du métabolisme de la bilirubine.

Le dépistage néonatal est un processus systématique de détection précoce, à grande échelle et généralisée, de certaines conditions médicales congénitales ou acquises à la naissance chez les nouveau-nés. Il est réalisé en prenant des échantillons de sang, d'urine ou d'autres tissus peu après la naissance, puis en analysant ces échantillons à l'aide de divers tests de laboratoire.

Le dépistage néonatal vise à identifier rapidement les nouveau-nés qui présentent un risque accru de développer des problèmes de santé graves et potentiellement évitables, tels que les troubles métaboliques héréditaires, les maladies du sang, les déficits hormonaux et d'autres affections congénitales. Une détection précoce permet une intervention thérapeutique rapide, ce qui peut améliorer considérablement les résultats pour la santé des nourrissons concernés, réduire la morbidité et la mortalité, et améliorer leur qualité de vie globale.

Les programmes de dépistage néonatal sont généralement mis en œuvre par les autorités sanitaires publiques ou les établissements de santé, et ils sont recommandés dans de nombreux pays développés pour tous les nouveau-nés à moins que des contre-indications médicales ne soient présentes. Les conditions ciblées par le dépistage néonatal peuvent varier selon les pays et les régions en fonction des ressources disponibles, des priorités de santé publique et des prévalences locales des différentes affections.

La cholédochostomie est une procédure chirurgicale où un médecin créé une ouverture (anastomose) entre le canal cholédoque, qui est le conduit qui transporte la bile du foie et de la vésicule biliaire vers l'intestin grêle, et l'estomac ou l'intestin grêle.

Cette procédure peut être effectuée pour diverses raisons, telles que le traitement des calculs biliaires qui ont migré dans le canal cholédoque (cholélithiase), la réparation d'une blessure au canal cholédoque ou l'ablation de la vésicule biliaire. Dans certains cas, une cholédochostomie peut également être utilisée pour faciliter le drainage de la bile en cas d'obstruction du canal cholédoque.

La cholédochostomie est généralement réalisée sous anesthésie générale et nécessite une incision abdominale. Selon le type de chirurgie, la récupération peut prendre plusieurs semaines. Comme pour toute intervention chirurgicale, il existe des risques associés à cette procédure, tels que des saignements, des infections et des lésions aux organes environnants.

La lithiase biliaire, également connue sous le nom de calculs biliaires, est une condition médicale dans laquelle se forment des concrétions dures et solides dans la vésicule biliaire. La vésicule biliaire est un petit sac situé juste en dessous du foie qui stocke la bile, un liquide digestif produit par le foie pour aider à décomposer les graisses alimentaires.

Les calculs biliaires peuvent être de différentes tailles, allant de très petits grains de sable à des concrétions aussi grandes qu'une balle de golf. Ils sont souvent composés de cholestérol ou de pigments biliaires, qui sont des déchets produits par le foie. Les calculs biliaires peuvent également contenir d'autres substances telles que des protéines et du calcium.

Les symptômes de la lithiase biliaire peuvent inclure des douleurs abdominales intenses, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit et une coloration jaunâtre de la peau et des yeux (jaunisse). Dans certains cas, les calculs biliaires peuvent provoquer une inflammation de la vésicule biliaire ou du foie, ce qui peut entraîner des complications graves telles que des infections, des saignements ou des dommages aux voies biliaires.

Le traitement de la lithiase biliaire dépend de la gravité des symptômes et de la présence de complications. Dans certains cas, les calculs biliaires peuvent être dissous à l'aide de médicaments ou écrasés à l'aide d'ondes sonores (lithotripsie). Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale est nécessaire pour enlever la vésicule biliaire et les calculs qu'elle contient. Cette procédure, appelée cholécystectomie laparoscopique, peut être réalisée de manière mini-invasive à l'aide d'une petite caméra insérée dans l'abdomen.

Une jéjunostomie est un type de stomie, qui est une procédure chirurgicale où un orifice est créé dans la paroi abdominale pour permettre le passage des déchets du corps. Dans le cas d'une jéjunostomie, l'ouverture est faite dans le jejunum, qui est une partie de l'intestin grêle.

Cette procédure est souvent réalisée lorsqu'une personne a des problèmes avec son système digestif et qu'il est difficile pour elle d'avaler ou de digérer les aliments normalement. Une jéjunostomie peut également être effectuée comme une intervention chirurgicale temporaire pour permettre à l'intestin grêle de guérir après une intervention chirurgicale ou une inflammation.

Les déchets du corps sont collectés dans un sac externe attaché à la stomie, ce qui permet d'éviter que les matières ne passent dans le côlon et le rectum. Les personnes ayant subi une jéjunostomie doivent recevoir une alimentation entérale, c'est-à-dire par une sonde insérée dans la stomie pour fournir des nutriments directement dans l'intestin grêle.

Les maladies du foie regroupent un large éventail de troubles qui affectent le fonctionnement de cet organe vital. Le foie joue plusieurs rôles essentiels dans l'organisme, tels que la détoxification des substances nocives, la production de bile pour aider à la digestion des graisses, le stockage des nutriments et la régulation du métabolisme des glucides, des protéines et des lipides.

Les maladies du foie peuvent être causées par divers facteurs, y compris les infections virales (comme l'hépatite), l'alcoolisme, l'obésité, les lésions hépatiques, les expositions chimiques, les médicaments toxiques, les maladies auto-immunes et les affections génétiques.

Les symptômes courants des maladies du foie comprennent la fatigue, la perte d'appétit, les nausées, les douleurs abdominales, le jaunissement de la peau et des yeux (ictère), les urines foncées, les selles claires, les démangeaisons cutanées et l'enflure des jambes et des chevilles. Cependant, certaines maladies du foie peuvent ne présenter aucun symptôme jusqu'à un stade avancé.

Les types courants de maladies du foie incluent:

1. Hépatites: inflammation du foie causée par des infections virales (A, B, C, D et E), des toxines ou l'auto-immunité.
2. Stéatose hépatique: accumulation de graisse dans les cellules hépatiques due à l'obésité, au diabète, à l'alcoolisme ou à d'autres facteurs.
3. Cirrhose: cicatrisation et durcissement du foie, souvent résultant d'une inflammation chronique, telle que celle causée par l'hépatite B ou C, l'alcoolisme ou la stéatose hépatique.
4. Cancer du foie: tumeurs malignes qui peuvent se propager à partir d'autres parties du corps (métastases) ou se développer localement dans le foie.
5. Maladies auto-immunes du foie: affections telles que la cholangite sclérosante primitive, la cirrhose biliaire primitive et l'hépatite auto-immune.

Le diagnostic des maladies du foie implique généralement une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, de tests sanguins, d'imagerie et, dans certains cas, de biopsie du foie. Le traitement dépendra du type et de la gravité de la maladie, allant de modifications du mode de vie à des médicaments, des thérapies ciblées et, dans les cas graves, à une transplantation hépatique.

L'hépatite est une inflammation du foie, généralement causée par une infection virale. Il existe plusieurs types d'hépatites, dont les plus courants sont l'hépatite A, B et C. Chacun de ces virus se transmet différemment et peut entraîner des conséquences variées sur la santé.

L'hépatite A est généralement transmise par l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés et provoque souvent une maladie aiguë, mais le foie se rétablit habituellement sans traitement spécifique.

L'hépatite B peut être transmise par contact avec du sang, des liquides corporels ou des relations sexuelles non protégées, et peut entraîner une infection aiguë ou chronique. Certains cas d'hépatite B chronique peuvent évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie.

L'hépatite C est le plus souvent transmise par contact avec du sang contaminé, par exemple en partageant des aiguilles ou d'autres matériels d'injection, et peut entraîner une infection chronique dans la majorité des cas. Comme l'hépatite B, elle peut évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie si non traitée.

D'autres causes d'hépatite peuvent inclure des médicaments toxiques pour le foie, des maladies auto-immunes, des infections bactériennes ou parasitaires, ainsi que l'alcoolisme. Les symptômes de l'hépatite peuvent varier considérablement, allant de manifestations légères à graves, et inclure la fatigue, les nausées, les vomissements, la perte d'appétit, des douleurs abdominales, une urine foncée, des selles décolorées et un jaunissement de la peau et du blanc des yeux (ictère).

Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.

Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.

Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.

Les tumeurs de la vésicule biliaire sont des growths anormaux qui se forment dans la paroi de la vésicule biliaire. Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux). Les tumeurs bénignes courantes de la vésicule biliaire comprennent les adénomes, les papillomes et les kystes. Les tumeurs malignes de la vésicule biliaire sont relativement rares et comprennent l'adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le sarcome.

Les symptômes des tumeurs de la vésicule biliaire peuvent inclure des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, une perte d'appétit et une perte de poids involontaire. Le diagnostic est généralement posé en utilisant des techniques d'imagerie telles que l'échographie, la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM). Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement des tumeurs de la vésicule biliaire dépend du type et de l'étendue de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être surveillées ou traitées par chirurgie laparoscopique. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale plus invasive pour enlever la vésicule biliaire et les ganglions lymphatiques environnants. La chimiothérapie et la radiothérapie peuvent également être utilisées dans le traitement des tumeurs malignes de la vésicule biliaire.

Il est important de noter que les tumeurs de la vésicule biliaire peuvent être asymptomatiques pendant une longue période, ce qui rend difficile leur détection précoce. Par conséquent, il est recommandé de subir des examens médicaux réguliers et de signaler tout symptôme suspect à un médecin dès que possible.

Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G6PD) est un trouble métabolique héréditaire courant qui affecte principalement les globules rouges. Il se produit lorsqu'une personne hérite de versions anormales ou mutées du gène G6PD, ce qui entraîne une activité insuffisante de l'enzyme G6PD. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la protection des globules rouges contre les dommages oxydatifs.

Lorsque l'activité de l'enzyme G6PD est faible, les globules rouges sont plus sensibles aux dommages causés par certains médicaments, infections et autres facteurs qui augmentent le stress oxydatif. Cela peut entraîner une hémolyse, ou une destruction prématurée des globules rouges, ce qui peut provoquer une anémie hemolytique, caractérisée par une fatigue, une pâleur, un essoufflement et une jaunisse.

Les symptômes du déficit en G6PD sont généralement déclenchés par des facteurs environnementaux et peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Certaines personnes atteintes de ce déficit ne présentent aucun symptôme, tandis que d'autres peuvent avoir des épisodes récurrents d'anémie hemolytique.

Le déficit en G6PD est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes et affecte principalement les populations d'origine africaine, méditerranéenne, asiatique et du Moyen-Orient. Il existe plus de 400 variantes différentes du gène G6PD, chacune ayant un impact différent sur l'activité de l'enzyme et la gravité des symptômes.

Les conduits biliaires intrahépatiques sont des voies de drainage situées à l'intérieur du foie qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers la vésicule biliaire ou directement dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle. Ces conduits forment un réseau complexe de canaux à l'intérieur du foie qui collectent la bile des petits sacs appelés lobules hépatiques. La bile contient des déchets et des substances toxiques que le foie a éliminées du sang, ainsi que des sels biliaires qui aident à la digestion des graisses dans l'intestin grêle. Les conduits biliaires intrahépatiques peuvent être affectés par diverses maladies et affections, telles que les calculs biliaires, l'inflammation, les infections ou le cancer, ce qui peut entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, de la fièvre, des nausées et un jaunissement de la peau et des yeux (ictère).

Les conduits biliaires extrahépatiques sont des structures anatomiques qui font partie du système biliaire. Ils se situent en dehors du foie (d'où le terme "extrahépatique") et sont responsables du transport de la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle.

Il existe deux conduits biliaires extrahépatiques principaux : le canal cholédoque et le canal cystique. Le canal cholédoque est le plus grand des deux et il est formé par la jonction du canal hépatique (qui draine la bile provenant du foie) et du canal cystique (qui draine la bile provenant de la vésicule biliaire). Le canal cholédoque se déverse ensuite dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle.

Les conduits biliaires extrahépatiques peuvent être affectés par diverses affections médicales, telles que les calculs biliaires, l'inflammation (cholangite), les tumeurs et les sténoses (rétrécissements). Ces conditions peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une fièvre et une jaunisse (ictère). Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des procédures endoscopiques ou même une chirurgie.

Les calculs biliaires sont des accumulations solides et formedes de matériaux, tels que la cholestérol, les pigments biliaires ou calcium, qui se forment dans la vésicule biliaire ou dans les voies biliaires. Ces concrétions dures peuvent varier en taille, allant de très petites à aussi grandes qu'une balle de golf.

La vésicule biliaire est un petit sac situé sous le foie qui stocke la bile, un liquide produit par le foie pour aider à décomposer les graisses dans l'intestin grêle. Lorsque vous mangez des aliments riches en graisses, la vésicule biliaire se contracte pour libérer la bile dans l'intestin grêle par le canal cystique et le canal cholédoque.

Cependant, si la composition de la bile est déséquilibrée ou si la vésicule biliaire ne se vide pas correctement, les matériaux peuvent s'agglomérer et former des calculs biliaires. Les symptômes courants des calculs biliaires comprennent des douleurs abdominales intenses, des nausées, des vomissements et une sensibilité au niveau de la partie supérieure droite de l'abdomen.

Les facteurs de risque de développer des calculs biliaires incluent l'obésité, le diabète, les antécédents familiaux de calculs biliaires, les changements hormonaux pendant la grossesse ou la ménopause, et un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres.

Le traitement des calculs biliaires dépend de leur taille, de leur emplacement et des symptômes associés. Les petits calculs biliaires peuvent ne pas nécessiter de traitement et peuvent être surveillés par des examens d'imagerie réguliers. Cependant, les calculs biliaires plus grands ou ceux qui causent des symptômes peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour enlever la vésicule biliaire (cholécystectomie).

Il est important de consulter un médecin si vous pensez avoir des calculs biliaires, car ils peuvent entraîner des complications graves telles que l'inflammation de la vésicule biliaire (cholécystite), une infection bactérienne ou une inflammation du pancréas (pancréatite).

Les tumeurs de l'appareil digestif se réfèrent à des growths anormaux dans la muqueuse qui tapisse le système digestif. Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas généralement aux autres parties du corps et peuvent souvent être retirées avec succès avec une intervention chirurgicale mineure. D'autre part, les tumeurs malignes peuvent envahir les tissus environnants et se propager à d'autres parties du corps, ce qui rend le traitement plus complexe et difficile.

Les tumeurs de l'appareil digestif peuvent survenir dans n'importe quelle partie du système digestif, y compris l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, le rectum et l'anus. Les symptômes courants des tumeurs de l'appareil digestif peuvent inclure des douleurs abdominales, des saignements gastro-intestinaux, une perte de poids inexpliquée, une fatigue extrême et des changements dans les habitudes intestinales.

Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et du stade de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une surveillance régulière peut être recommandée pour les tumeurs bénignes qui ne causent pas de symptômes ou ne se développent pas rapidement.

Le cholangiocarcinome est un type rare de cancer qui se développe dans les voies biliaires, qui sont les tubes minces qui transportent la bile depuis le foie et le pancréas vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Il existe deux types principaux de cholangiocarcinome :

1. Intra-hépatique : Ce type de cholangiocarcinome se développe dans les petits canaux biliaires à l'intérieur du foie.
2. Extra-hépatique : Ce type de cholangiocarcinome peut être divisé en deux sous-types :
* Klatskin (ou cholangiocarcinome hilaire) : Ce cancer se développe à la jonction où les canaux biliaires gauche et droit quittent le foie et forment le conduit hépatique commun.
* Périhilaire : Ce cancer se développe dans les canaux biliaires situés juste en dehors du foie.

Les facteurs de risque connus pour le cholangiocarcinome comprennent une maladie des voies biliaires, comme la cholangite sclérosante primitive ou la maladie de Caroli ; l'infection par les vers parasites du foie, tels que le Clonorchis sinensis et l'Opisthorchis viverrini ; l'âge avancé ; et certains facteurs liés au mode de vie, comme le tabagisme et la consommation d'alcool.

Les symptômes du cholangiocarcinome peuvent inclure une jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux), des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids involontaire, des nausées et des vomissements. Le diagnostic de cholangiocarcinome est généralement posé par imagerie médicale (tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique ou échographie) et par biopsie.

Le traitement du cholangiocarcinome dépend de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une greffe du foie peut être envisagée.

Le pronostic du cholangiocarcinome dépend de plusieurs facteurs, tels que l'emplacement et l'étendue de la tumeur, l'âge et l'état général du patient, et le traitement reçu. En général, le cholangiocarcinome est une maladie agressive avec un pronostic relativement sombre, bien que certains patients puissent bénéficier d'un traitement efficace et survivre pendant plusieurs années.

Une fistule biliaire est une condition médicale anormale dans laquelle il y a une communication ou un canal formé entre le système biliaire et un autre organe ou tissu corporel adjacent. Le système biliaire est responsable du transport et du stockage de la bile, qui est produite par le foie et aide à la digestion des graisses dans l'intestin grêle.

Les fistules biliaires peuvent se former spontanément ou à la suite d'une intervention chirurgicale, une inflammation, une infection, un traumatisme ou une tumeur. Les symptômes de cette condition dépendent de l'emplacement et de la taille de la fistule, mais peuvent inclure des douleurs abdominales, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une fièvre, des nausées, des vomissements et une perte d'appétit.

Le traitement d'une fistule biliaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour fermer la fistule et réparer les dommages aux tissus environnants. Des antibiotiques peuvent également être prescrits pour traiter toute infection associée à la condition.

La pancréatite est un trouble médical dans lequel le pancréas, un organe situé derrière l'estomac qui aide à la digestion des aliments et régule le taux de sucre dans le sang, s'enflamme. Il existe deux types principaux de pancréatite : aiguë et chronique.

1. Pancréatite aiguë : Elle se produit soudainement et dure généralement quelques jours à une semaine. Les symptômes peuvent inclure des douleurs abdominales sévères, souvent irradiées vers le dos, nausées, vomissements, fièvre, tachycardie et augmentation des niveaux de lipase et d'amylase dans le sang. Les causes courantes comprennent la consommation excessive d'alcool et les calculs biliaires.

2. Pancréatite chronique : Elle est une inflammation continue du pancréas qui endommage progressivement les cellules productrices d'enzymes digestives et d'insuline, entraînant des complications à long terme telles que la douleur abdominale persistante, la perte de poids, une mauvaise absorption des nutriments (malabsorption), le diabète sucré et les lésions du tissu pancréatique. Les causes courantes comprennent la consommation excessive d'alcool et les antécédents de pancréatite aiguë récurrente.

Le traitement de la pancréatite dépend du type et de la gravité de l'affection. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour surveiller et gérer les complications potentielles telles que l'insuffisance rénale, la déshydratation, l'infection et le choc. Les options thérapeutiques peuvent inclure des analgésiques, une alimentation intraveineuse, un traitement antibiotique, une intervention chirurgicale et des changements de mode de vie tels que la cessation de la consommation d'alcool et l'adoption d'une alimentation saine.

La cholécystostomie est une procédure chirurgicale qui consiste à créer une ouverture (stomie) dans la vésicule biliaire, généralement pour drainer le contenu de la vésicule biliaire. Cette procédure est souvent effectuée lorsque la vésicule biliaire est inflammatoire ou infectée et qu'il n'est pas possible d'effectuer une cholécystectomie (ablation de la vésicule biliaire) en toute sécurité.

Le drainage peut être temporaire ou permanent, selon l'état de santé du patient. Dans certains cas, la cholécystostomie peut être effectuée comme une procédure mini-invasive (par laparoscopie), bien que dans d'autres situations, une incision plus grande (incision ouverte) puisse être nécessaire.

Les complications de cette procédure peuvent inclure des saignements, des infections, des dommages aux tissus environnants et la formation de fistules (connexions anormales entre deux organes ou entre un organe et la peau).

La leptospirose est une maladie infectieuse causée par des bactéries du genre Leptospira. Elle se transmet généralement à l'homme à travers le contact avec de l'eau ou du sol contaminés par l'urine d'animaux infectés, tels que les rats, les chiens, les bovins et les porcs. Les symptômes peuvent varier mais comprennent souvent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des frissons, une éruption cutanée et une insuffisance rénale ou hépatique. Dans les cas graves, la leptospirose peut entraîner des complications potentiellement mortelles, telles que l'insuffisance respiratoire, l'hémorragie pulmonaire et la méningite. Le diagnostic est posé par détection d'anticorps spécifiques dans le sang ou par isolement de la bactérie dans le sang, l'urine ou d'autres liquides corporels. Le traitement repose sur l'administration d'antibiotiques, tels que la pénicilline ou la doxycycline. La prévention passe par la réduction de l'exposition aux milieux contaminés, la vaccination des animaux domestiques et l'utilisation de protections personnelles lors d'activités à risque.

La cholécystectomie est une procédure chirurgicale qui consiste à enlever la vésicule biliaire. C'est une intervention courante qui est généralement recommandée pour les personnes souffrant de calculs biliaires, d'inflammation de la vésicule biliaire ou de lésions cancéreuses de la vésicule biliaire.

La cholécystectomie peut être réalisée de deux manières : par laparotomie, ce qui signifie qu'une incision est pratiquée dans l'abdomen pour accéder à la vésicule biliaire, ou par laparoscopie, ce qui implique plusieurs petites incisions et l'utilisation d'un scope à fibre optique pour guider le chirurgien.

La laparoscopie est devenue la méthode préférée en raison de sa récupération plus rapide et de ses complications moindres. Cependant, dans certains cas, une laparotomie peut être nécessaire si la vésicule biliaire est gravement infectée ou s'il y a des complications pendant la chirurgie laparoscopique.

Après l'ablation de la vésicule biliaire, la bile s'écoule directement du foie dans le tube digestif, ce qui permet généralement une digestion normale sans aucun symptôme. Cependant, certaines personnes peuvent présenter des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées ou des selles grasses après la chirurgie. Ces symptômes sont généralement traitables et ne nécessitent pas de vésicule biliaire.

Exsanguinotransfusion de sang total est un processus rapide d'échange complet du sang d'un patient, dans lequel tout le sang du patient est progressivement remplacé par du sang provenant d'un donneur. Cette procédure est généralement effectuée en situation d'urgence, lorsqu'un patient subit une perte massive de sang et que la réanimation standard avec des liquides intraveineux ne suffit pas pour maintenir la vie.

L'exsanguinotransfusion peut être indiquée dans certaines situations cliniques critiques, telles qu'un saignement massif dû à une hémorragie intra-abdominale ou intrathoracique, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) sévère, une intoxication au monoxyde de carbone avec encéphalopathie et acidose métabolique, ou d'autres états toxiques aigus.

Le processus implique généralement l'utilisation de deux poches de sang total du donneur, qui sont transfusées simultanément dans les veines du patient par des cathéters à grande veine centrale. Pendant ce temps, le sang du patient est progressivement retiré par une autre ligne veineuse ou artérielle pour maintenir un volume sanguin total constant et éviter une surcharge volumique.

Bien que l'exsanguinotransfusion de sang total soit une procédure extrême et hautement invasive, elle peut être vitale dans certaines situations où la perte de sang est si importante qu'elle ne peut pas être compensée par des liquides intraveineux seuls. Cependant, cette procédure comporte également des risques importants, tels que l'incompatibilité sanguine, l'infection nosocomiale et les complications liées à la transfusion sanguine, telles que le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et l'insuffisance rénale aiguë. Par conséquent, elle doit être réservée aux cas les plus graves et ne doit être effectuée que dans des centres médicaux spécialisés dotés d'une équipe expérimentée et hautement qualifiée.

La duodénopancréatectomie céphalique (DPC) est une procédure chirurgicale complexe qui consiste en l'ablation d'une partie ou de la totalité du duodénum, du pancréas tête, du canal cholédoque, de la vésicule biliaire et d'une partie du jéjunum. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter les tumeurs malignes telles que les cancers du pancréas, de la vésicule biliaire ou du duodénum.

Lors de cette procédure, le chirurgien retire la tête du pancréas ainsi que les structures anatomiques qui lui sont directement reliées. Ensuite, il reconstruit le système digestif en connectant le jéjunum restant à l'estomac (gastrectomie roux-en-Y). Cette intervention peut également inclure une lymphadénectomie pancréaticoduodénale, qui est l'ablation des ganglions lymphatiques environnants.

La duodénopancréatectomie céphalique est une opération majeure avec un taux de morbidité et de mortalité élevés. Les complications post-opératoires courantes comprennent les fuites pancréatiques, la fistule biliaire, l'insuffisance pancréatique exocrine et endocrine, et les infections. Par conséquent, elle nécessite une équipe chirurgicale expérimentée et un suivi médical attentif après l'intervention.

La tumeur de Klatskin, également connue sous le nom de carcinome hépatocellulaire péri-hilaire ou cholangiocarcinome hilaire, est une forme rare et agressive de cancer qui se développe à la jonction des conduits biliaires droits et gauches dans le foie. Cette tumeur obstrue souvent les voies biliaires, entraînant une jaunisse (ictère), un prurit (démangeaisons) et d'autres symptômes liés à une mauvaise circulation de la bile. Le diagnostic précoce est difficile en raison de l'absence de signes et de symptômes spécifiques, ce qui rend le traitement plus complexe. Les options thérapeutiques comprennent la résection chirurgicale, la transplantation hépatique, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées, en fonction du stade et de l'étendue de la tumeur.

Les imino acides sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel imino, qui est formé lorsqu'un groupe amino est déshydrogéné. Un imino acid est spécifiquement une molécule qui a à la fois un groupe carboxyle (-COOH) et un groupe imino (-CH=NH-) dans sa structure.

Un exemple bien connu d'imino acide est la proline, qui est un acide aminé essentiel pour les êtres humains et d'autres mammifères. Dans la proline, le groupe amino (-NH2) se lie à l'atome de carbone adjacent au groupe carboxyle (-COOH), créant ainsi un cycle à cinq membres et un groupe imino.

Les imino acides jouent un rôle important dans la structure et la fonction des protéines, en particulier dans les structures secondaires telles que les hélices alpha et les feuillets bêta. Les liaisons peptidiques entre les résidus d'acides aminés dans une protéine sont formées par la condensation de groupes carboxyle et amino, mais lorsque la proline est présente, sa structure cyclique restreint la liberté de rotation autour de la liaison peptidique, ce qui peut influencer la forme globale de la protéine.

En médecine, les imino acides sont importants pour comprendre les maladies liées aux protéines, telles que les maladies neurodégénératives et les troubles structurels des protéines. Des études ont montré que la modification chimique des imino acides dans les protéines peut entraîner une altération de leur fonction et de leur stabilité, ce qui peut contribuer au développement de ces maladies.

Les maladies des canaux biliaires se réfèrent à un groupe de conditions qui affectent les voies biliaires, qui sont des tubes qui transportent la bile du foie vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons. Les maladies des canaux biliaires peuvent être causées par une inflammation, une infection, des calculs biliaires, une tumeur ou une anomalie congénitale.

Les symptômes courants des maladies des canaux biliaires comprennent la douleur abdominale, la nausée, le vomissement, la fièvre, la perte de poids et l'ictère (jaunisse). Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la maladie et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou une combinaison des deux. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de maladies des canaux biliaires, car certaines de ces conditions peuvent être graves et entraîner des complications potentiellement mortelles si elles ne sont pas traitées rapidement et correctement.

L'hépatite A est une infection virale aiguë du foie causée par le virus de l'hépatite A. Il se transmet principalement par la consommation d'aliments ou d'eau contaminés par les matières fécales d'une personne infectée. Les symptômes peuvent inclure une jaunisse (coloration jaune de la peau et des yeux), une fatigue extrême, des nausées, des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une fièvre légère et des urines foncées. Dans la plupart des cas, l'hépatite A ne provoque pas de maladie grave à long terme et n'entraîne pas non plus une maladie chronique du foie. Toutefois, elle peut entraîner une forme grave d'hépatite chez les personnes atteintes d'une maladie hépatique sous-jacente. La prévention inclut la vaccination et des mesures d'hygiène adéquates telles que se laver soigneusement les mains après avoir utilisé les toilettes et avant de préparer ou de consommer des aliments.

Le favisme est une condition génétique rare, liée au chromosome X, caractérisée par une sensibilité accrue à la fève (ou fava), ainsi qu'à d'autres légumineuses du genre Vicia. Cette réaction anormale est due à une déficience en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G6PD), une enzyme importante qui protège les globules rouges contre les dommages oxydatifs.

Lorsqu'un individu atteint de favisme consomme des fèves ou d'autres déclencheurs, il peut développer des symptômes tels qu'une anémie hémolytique aiguë (destruction rapide des globules rouges), une fatigue intense, des urines foncées, des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, le favisme peut entraîner des complications telles que l'insuffisance rénale aiguë ou le choc.

Le traitement du favisme implique généralement une prise en charge symptomatique de l'anémie hémolytique et la prévention de futures crises en évitant les déclencheurs alimentaires et médicamenteux connus. Les personnes atteintes de favisme doivent également être informées des risques associés à la transfusion sanguine, car certains types de sang peuvent provoquer une réaction hémolytique chez ces individus.

Il est important de noter que le favisme est plus fréquent dans les populations méditerranéennes, africaines et asiatiques, en particulier parmi ceux d'origine grecque, italienne, sicilienne, séfarade et arabe. Les hommes sont plus susceptibles d'être touchés que les femmes, car le gène responsable est lié au chromosome X.

Le foie est un organe interne vital situé dans la cavité abdominale, plus précisément dans le quadrant supérieur droit de l'abdomen, juste sous le diaphragme. Il joue un rôle essentiel dans plusieurs fonctions physiologiques cruciales pour le maintien de la vie et de la santé.

Dans une définition médicale complète, le foie est décrit comme étant le plus grand organe interne du corps humain, pesant environ 1,5 kilogramme chez l'adulte moyen. Il a une forme et une taille approximativement triangulaires, avec cinq faces (diaphragmatique, viscérale, sternale, costale et inférieure) et deux bords (droits et gauches).

Le foie est responsable de la détoxification du sang en éliminant les substances nocives, des médicaments et des toxines. Il participe également au métabolisme des protéines, des glucides et des lipides, en régulant le taux de sucre dans le sang et en synthétisant des protéines essentielles telles que l'albumine sérique et les facteurs de coagulation sanguine.

De plus, le foie stocke les nutriments et les vitamines (comme la vitamine A, D, E et K) et régule leur distribution dans l'organisme en fonction des besoins. Il joue également un rôle important dans la digestion en produisant la bile, une substance fluide verte qui aide à décomposer les graisses alimentaires dans l'intestin grêle.

Le foie est doté d'une capacité remarquable de régénération et peut reconstituer jusqu'à 75 % de son poids initial en seulement quelques semaines, même après une résection chirurgicale importante ou une lésion hépatique. Cependant, certaines maladies du foie peuvent entraîner des dommages irréversibles et compromettre sa fonctionnalité, ce qui peut mettre en danger la vie de la personne atteinte.

L'hépatomégalie est un terme médical qui se réfère à une augmentation anormale de la taille du foie. Le foie est situé dans la partie supérieure droite de l'abdomen et joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions corporelles, y compris la détoxification, le métabolisme des graisses et la production de protéines.

L'hépatomégalie peut être causée par une variété de facteurs, tels que les maladies hépatiques inflammatoires (comme l'hépatite), l'infiltration du foie par des cellules anormales (comme dans le cancer du foie), la congestion veineuse (par exemple, insuffisance cardiaque congestive), l'accumulation de graisse dans le foie (comme dans la stéatose hépatique) et d'autres affections.

Les symptômes associés à l'hépatomégalie peuvent inclure une douleur ou une gêne abdominale, une perte d'appétit, une sensation de plénitude après avoir mangé, une fatigue, une jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux) et d'autres signes de maladie hépatique. Le diagnostic d'hépatomégalie est généralement posé par un examen physique, bien que des tests d'imagerie tels qu'une échographie ou une tomodensitométrie puissent être utilisés pour confirmer la taille du foie et exclure d'autres causes de douleur abdominale.

Le traitement de l'hépatomégalie dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale, une modification du mode de vie ou une combinaison de ces options. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez des symptômes d'hépatomégalie ou si vous avez des préoccupations concernant votre foie ou votre santé globale.

La sphinctérotomie voie endoscopique, également connue sous le nom d'ESD (Endoscopic Sphincterotomy), est un procédé médical utilisé dans le domaine de la gastroentérologie. Il s'agit d'une intervention mini-invasive réalisée à l'aide d'un endoscope, un tube flexible muni d'une caméra et d'instruments chirurgicaux à son extrémité.

Cette procédure est couramment employée pour traiter les cas de calculs biliaires ou de sténoses (rétrécissements anormaux) du sphincter d'Oddi, un muscle situé à l'entrée du canal pancréatique et du canal cholédoque dans la deuxième partie de l'intestin grêle, le duodénum. Le sphincter d'Oddi régule le flux des sécrétions provenant du pancréas et de la vésicule biliaire vers l'intestin grêle.

Au cours d'une ESD, l'endoscope est inséré par la bouche jusqu'au duodénum pour atteindre le sphincter d'Oddi. Un courant électrique est ensuite utilisé pour couper le muscle et élargir le canal, facilitant ainsi l'écoulement des sécrétions pancréatiques et biliaires dans l'intestin grêle. Cette intervention permet de prévenir ou de traiter les complications telles que les douleurs abdominales récurrentes, les infections (cholangites) ou les pancréatites dues à l'obstruction du sphincter d'Oddi.

Comme toute intervention médicale, la sphinctérotomie voie endoscopique comporte des risques potentiels, tels que des saignements, une perforation de l'intestin ou une pancréatite post-ERCP. Il est crucial que les patients soient informés des bénéfices et des risques associés à cette procédure et qu'ils consultent un professionnel de santé qualifié pour évaluer leur état de santé et déterminer la meilleure option de traitement.

Un kyste du cholédoque est une affection rare dans laquelle un kyste, c'est-à-dire une poche remplie de liquide, se développe dans le cholédoque. Le cholédoque est un petit tube qui transporte la bile du foie vers l'intestin grêle. Les kystes du cholédoque peuvent varier en taille et peuvent être congénitaux (présents à la naissance) ou acquis plus tard dans la vie.

Les symptômes d'un kyste du cholédoque peuvent inclure des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des selles pâles et des urines foncées. Dans certains cas, un kyste du cholédoque peut ne causer aucun symptôme et être découvert lors d'examens d'imagerie effectués pour une autre raison.

Le traitement d'un kyste du cholédoque dépend de sa taille, de son emplacement et de la présence ou non de symptômes. Dans certains cas, un kyste du cholédoque peut être surveillé avec des examens d'imagerie réguliers pour s'assurer qu'il ne grossit pas ou ne cause pas de complications. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever le kyste et prévenir les complications telles que l'inflammation, l'infection ou l'obstruction du cholédoque.

Les tumeurs des voies biliaires sont des growths anormaux qui se développent dans les canaux qui transportent la bile depuis le foie et le pancréas vers l'intestin grêle. Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, les kystes et les papillomes. Les tumeurs malignes sont souvent appelées cholangiocarcinomes et peuvent se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes des tumeurs des voies biliaires peuvent inclure une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une douleur abdominale, une perte d'appétit, une perte de poids et une démangeaison de la peau. Le diagnostic peut être posé en utilisant des tests d'imagerie tels que les ultrasons, les tomodensitométries (TDM) ou les imageries par résonance magnétique (IRM). Une biopsie peut également être effectuée pour confirmer le type de tumeur.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées par chirurgie. Les tumeurs malignes peuvent nécessiter une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée. Il est important de noter que le pronostic dépend du stade auquel la tumeur est diagnostiquée et traitée.

Les termes "cholagogues" et "cholérétiques" sont utilisés dans le domaine médical pour décrire deux types différents d'actions pharmacologiques sur le foie et la vésicule biliaire.

1. Cholagogue : Un cholagogue est un agent thérapeutique qui favorise l'expulsion de la bile du foie vers l'intestin grêle. Il stimule la contraction de la vésicule biliaire et aide à éliminer les calculs biliaires. Les médicaments cholagogues comprennent des composants tels que l'acide déoxycholique, l'acide ursodésoxycholique, le chenodeoxycholate de sodium et la cascara sagrada.
2. Cholérétique : Un cholérétique est un agent thérapeutique qui stimule la production de bile dans le foie. Il augmente la sécrétion biliaire, ce qui peut aider à améliorer la digestion des graisses et l'absorption des vitamines liposolubles. Les médicaments cholérétiques comprennent des composants tels que l'extrait de racine de pissenlit, l'artichaut, le curcuma, le radis noir et la menthe poivrée.

Il est important de noter que certains médicaments peuvent avoir une action à la fois cholagogue et cholérétique, ce qui signifie qu'ils stimulent la production et l'expulsion de la bile. Cependant, il est essentiel de consulter un professionnel de santé avant de prendre tout médicament ou complément alimentaire pour traiter des problèmes liés au foie et à la vésicule biliaire.

Le conduit cystique est un terme utilisé en anatomie pour décrire le petit tube qui connecte la vésicule biliaire au canal cholédoque. La vésicule biliaire stocke et concentre la bile, une substance produite par le foie qui aide à digérer les graisses. Lorsqu'on mange, la bile est libérée de la vésicule biliaire dans le duodénum (la première partie de l'intestin grêle) via le conduit cystique et le canal cholédoque pour aider à la digestion. Des problèmes avec le conduit cystique, tels que des calculs biliaires ou une inflammation, peuvent entraîner des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever la vésicule biliaire et/ou le conduit cystique.

La lésion hépatique induite par les médicaments (DILI) est un terme utilisé pour décrire les dommages au foie causés par la prise de certains médicaments ou substances chimiques. Ces lésions peuvent varier en gravité, allant d'anomalies légères et réversibles des tests hépatiques à une insuffisance hépatique aiguë mettant la vie en danger. Les symptômes de la DILI peuvent inclure la fatigue, la perte d'appétit, les nausées, les vomissements, la douleur abdominale, l'urine foncée et le jaunissement de la peau ou des yeux (jaunisse).

La DILI peut être classée en deux grands types : prévisible et non prévisible. Les lésions hépatiques prévisibles sont celles qui peuvent être anticipées sur la base d'une connaissance bien établie de la toxicité du médicament. Les lésions hépatiques non prévisibles, en revanche, sont imprévisibles et ne peuvent pas être facilement prédites sur la base des connaissances actuelles.

La DILI est considérée comme un événement indésirable médicamenteux rare mais important, car elle peut entraîner de graves conséquences pour la santé et même mettre la vie en danger dans certains cas. Il est donc important que les professionnels de la santé soient conscients des signes et symptômes de la DILI et prennent des mesures appropriées pour la diagnostiquer et la traiter rapidement et efficacement.

La "Technetium Tc 99m Disofénine" est un composé radioactif utilisé en médecine nucléaire comme agent de contraste pour des examens médicaux spécifiques, tels que les scintigraphies hépatiques et spléniques. Il se compose d'un isotope du technétium, le Tc 99m, qui a une demi-vie courte d'environ six heures, ce qui le rend relatifement sûr et pratique à utiliser dans un contexte médical.

Le Tc 99m est lié chimiquement à la disofénine, un composé qui se concentre dans le foie et la rate après injection dans le corps. Cela permet de produire des images détaillées de ces organes, ce qui peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, telles que les maladies du foie, les tumeurs, l'inflammation et les infections.

Cependant, il est important de noter que la Technetium Tc 99m Disofénine n'est pas un médicament à proprement parler, mais plutôt un outil diagnostique utilisé pour produire des images médicales. Comme avec tous les procédures médicales impliquant des matières radioactives, il existe certains risques associés à son utilisation, tels que l'exposition aux radiations et les réactions allergiques rares. Ces risques sont généralement considérés comme faibles par rapport aux avantages potentiels de l'utilisation de cet agent de contraste pour le diagnostic et le traitement des maladies.

La lithiase cholédocienne est un terme médical qui désigne la présence d'un ou plusieurs calculs (connus sous le nom de lithiases) dans le canal cholédoque. Le canal cholédoque est un petit conduit qui transporte la bile, une substance digestive produite par le foie, du foie et du canal biliaire principal vers l'intestin grêle.

Les calculs biliaires sont généralement composés de cristaux de cholestérol ou de pigments biliaires qui se forment dans la vésicule biliaire ou le canal biliaire. Lorsqu'ils migrent du canal biliaire principal vers le canal cholédoque, ils peuvent entraîner une obstruction partielle ou totale du conduit, provoquant une inflammation de la vésicule biliaire (cholécystite) ou des voies biliaires (cholangite).

Les symptômes de la lithiase cholédocienne peuvent inclure des douleurs abdominales supérieures droites, des nausées, des vomissements, une fièvre, une jaunisse (ictère), des urines foncées et des selles décolorées. Le diagnostic de la lithiase cholédocienne peut être posé à l'aide d'examens d'imagerie tels que l'échographie, la tomodensitométrie (TDM) ou la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE).

Le traitement de la lithiase cholédocienne dépend de la taille et de la localisation des calculs. Les petits calculs peuvent être éliminés naturellement ou dissous à l'aide de médicaments. Cependant, les calculs plus gros peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour être retirés. Dans certains cas, un endoscope peut être utilisé pour enlever les calculs du canal cholédoque (endoscopie rétrograde cholangiopancréatique ou ERCP).

L'acide ursodésoxycholique est un acide biliaire naturellement présent en petites quantités dans le corps humain. Il est souvent prescrit comme médicament pour traiter certaines affections du foie et des voies biliaires.

Il est utilisé principalement pour dissoudre les calculs biliaires de cholestérol chez les patients qui ne peuvent pas ou ne souhaitent pas subir une intervention chirurgicale. Il peut également être utilisé pour traiter l'inflammation du foie (hépatite) et certaines maladies héréditaires qui provoquent une accumulation de substance toxique dans le foie (comme la maladie de Wilson).

L'acide ursodésoxycholique fonctionne en diminuant la quantité de cholestérol dans la bile, ce qui empêche la formation de nouveaux calculs biliaires et favorise la dissolution des calculs existants. Il est généralement bien toléré, mais peut causer des effets secondaires tels que diarrhée, douleurs abdominales, nausées et éruptions cutanées.

Comme pour tout médicament, il doit être pris sous la supervision d'un médecin, qui déterminera la posologie appropriée en fonction de l'état de santé du patient et de la maladie traitée.

La cirrhose biliaire est une maladie chronique du foie d'origine auto-immune, dans laquelle les petits canaux (canalicules) qui transportent la bile hors des cellules hépatiques sont endommagés et détruits. Cela entraîne une accumulation de bile dans le foie, ce qui peut endommager encore plus les cellules hépatiques et entraver leur fonctionnement normal.

La cirrhose biliaire est caractérisée par une inflammation persistante du foie, qui provoque une cicatrisation et une fibrose progressives des tissus hépatiques. Au fil du temps, ces changements peuvent entraîner une insuffisance hépatique, des complications telles que des ascites (accumulation de liquide dans l'abdomen), des saignements gastro-intestinaux et une encéphalopathie hépatique (confusion mentale due à une accumulation de toxines dans le cerveau).

Les symptômes courants de la cirrhose biliaire comprennent la fatigue, les démangeaisons cutanées, les douleurs articulaires et l'urine foncée. La maladie affecte principalement les femmes d'âge moyen et plus âgé, bien que des cas chez les hommes aient également été signalés.

Le diagnostic de cirrhose biliaire est généralement posé sur la base de tests sanguins qui montrent des niveaux élevés de certaines enzymes hépatiques et d'anticorps spécifiques, ainsi que d'une biopsie du foie. Le traitement de la cirrhose biliaire vise à soulager les symptômes et à ralentir la progression de la maladie. Les médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'inflammation et améliorer le flux de bile, tandis que des changements de mode de vie tels qu'une alimentation saine et l'abstention d'alcool peuvent également aider à gérer la maladie. Dans les cas graves, une transplantation du foie peut être envisagée.

Un traitement palliatif est un type de soin médical spécialisé qui vise à soulager les symptômes désagréables et la douleur d'une maladie grave, particulièrement des maladies potentiellement mortelles ou chroniques évolutives. Il ne cherche pas à guérir la maladie sous-jacente mais plutôt à améliorer la qualité de vie des patients. Ce type de traitement est souvent utilisé pour les patients atteints de cancer avancé, d'insuffisance cardiaque congestive sévère, de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) grave, de sclérose latérale amyotrophique (SLA), de maladies rénales en phase terminale et d'autres affections graves.

Les soins palliatifs peuvent inclure une variété de services tels que le contrôle de la douleur, la gestion des symptômes, les soins psychologiques, sociaux et spirituels, ainsi qu'un soutien à la famille et aux proches. Ils peuvent être fournis dans différents cadres, y compris les hôpitaux, les centres de soins palliatifs, les maisons de soins infirmiers et à domicile, en fonction des besoins et des préférences du patient.

Le traitement palliatif est souvent confondu avec les soins de fin de vie ou l'hospice, qui sont en fait des types spécifiques de soins palliatifs fournis aux patients atteints d'une maladie en phase terminale avec une espérance de vie limitée. Cependant, tous les soins palliatifs ne sont pas des soins de fin de vie, et ils peuvent être initiés à n'importe quel stade de la maladie.

Un cholangiome est une tumeur rare et bénigne (non cancéreuse) qui se développe dans les voies biliaires, qui sont les tubes situés dans le foie qui transportent la bile vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Les cholangiomes peuvent être de deux types : intra-hépatiques (se développant à l'intérieur du foie) ou extra-hépatiques (se développant à l'extérieur du foie, dans les voies biliaires). Les cholangiomes intra-hépatiques sont plus fréquents que les cholangiomes extra-hépatiques.

Les symptômes d'un cholangiome peuvent inclure une douleur abdominale, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une perte d'appétit, une perte de poids et une fatigue. Cependant, certains cholangiomes ne présentent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'examens d'imagerie effectués pour d'autres raisons.

Le diagnostic d'un cholangiome est généralement posé à l'aide d'une imagerie médicale, telle qu'une échographie, une tomographie computérisée (CT scan) ou une résonance magnétique (IRM). Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement d'un cholangiome dépend de sa taille, de son emplacement et de ses symptômes. Les petits cholangiomes sans symptômes peuvent ne pas nécessiter de traitement et peuvent être surveillés par imagerie médicale périodique. Les cholangiomes plus grands ou symptomatiques peuvent être retirés chirurgicalement ou traités par radiothérapie ou ablation par radiofréquence. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

  • Une jaunisse ( ictère ). (lefigaro.fr)
  • Ce cancer s'accompagne généralement d'une grande fatigue, d'un amaigrissement, éventuellement d'un ictère (jaunisse) quand la tumeur comprime les voies biliaires. (ligue-cancer.net)
  • L'Institut national du cancer rapporte aussi la possible présence d'une jaunisse (ictère) souvent accompagnée de démangeaisons (prurit). (yahoo.com)
  • association d'un ictère (jaunisse). (irbms.com)
  • L'hépatite A se traduit par un ensemble de troubles de la digestion tels que des douleurs abdominales et parfois un ictère (jaunisse). (e-sante.fr)
  • Ainsi, le médecin peut demander un dosage des transaminases en cas de symptômes tels qu'un ictère (jaunisse), une fatigue inexpliquée, des nausées, etc. (medisite.fr)
  • Plus rarement, ces symptômes sont suivis par une jaunisse, ce que les médecins appellent un "ictère" et l'urine devient foncée. (allodocteurs.fr)
  • L'ictère peut se produire à la suite d'une morsure venimeuse, comme celle de la vipère (ictère par hémolyse du point de vue moderne). (wikipedia.org)
  • Ictère Ictère dû à une insuffisance hépatocellulaire. (wikipedia.org)
  • Hippocrate aurait ainsi entrevu une distinction entre ictère infectieux et ictère obstructif. (wikipedia.org)
  • comprimer les voies biliaire et provoquer une rétention biliaire avec un ictère et exceptionnellement si elle est énorme comprimer le poumon droit (toux et douleur thoracique) et l'abdomen (spasmes douloureux, troubles du transit). (docteurclic.com)
  • Evaluer l'état clinique de l'enfant : niveau d'hydratation, ictère. (lllfrance.org)
  • L'examen clinique révèle une splénomégalie et un ictère. (remede.org)
  • En latin impérial, ikteros devient icterus, le terme français « ictère » apparait en 1578. (wikipedia.org)
  • La bilirubine peut être conjuguée ou non conjuguée, c'est pourquoi on distingue deux types d'ictère : ictère à bilirubine non conjuguée, ictère à bilirubine conjuguée. (wikipedia.org)
  • rate : une splénomégalie franche chez un sujet jeune est en faveur d'un ictère hémolytique. (dr-karazaitri-ma.net)
  • Citer cet article: Cas clinique : ictère, douleurs abdominales et fièvre - Medscape - 14 mars 2022. (medscape.com)
  • Des atteintes hépatiques cytolytiques et/ou cholestatiques d'origine immunoallergique à traduction clinique (ictère et/ou douleurs abdominales, malaise, fièvre) ou purement biologique (augmentation des transaminases et/ou des phosphatases alcalines) réversibles à l'arrêt du traitement ont été rapportées. (biam2.org)
  • On peut observer une fièvre, un mauvais état général, une perte d'appétit, des diarrhées, des nausées, une gêne abdominale, des urines foncées et un ictère (coloration jaune de la peau et du blanc des yeux). (mesvaccins.net)
  • En latin impérial, ikteros devient icterus, le terme français « ictère » apparait en 1578. (wikipedia.org)
  • ICTÈRE du nouveau-né: La photothérapie accroît-elle le risque de cancer pédiatrique? (santelog.com)
  • L'analyse et l'exploitation des éléments cliniques (fièvre, ictère), épidémiologiques (pays à haut risque, épidémies dans les pays voisins) et éléments entomologiques pendant l'investigation approfondie multidisciplinaire au District sanitaire de Gazaoua, ont permis de classer le district sanitaire de Gazaoua, région de Maradi, comme étant le quatrième foyer d'épidémique de fièvre jaune. (who.int)

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