Associée à une immunoglobuline. Surexpression des masque a été associée à d ’ hypersensibilité (allergique HYPERSENSITIVITY, CONDITIONNEMENTS).
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Multi-subunit fonctionner dans l'immunité des protéines qui ils sont produits par des lymphocytes B gènes de l'immunoglobuline. Ils sont composé de deux gros (immunoglobulines lourde chaîne) et deux chaînes légères de lumière (immunoglobuline, serrurerie) avec ancillary polypeptide chaînes supplémentaires selon leur isoformes. La variété des isoformes inclure protéines Monomériques ou chélateur polymérique du formes, et transmembranaires récepteurs des cellules B activées formulaires (antigène) ou sécrétés formes (anticorps). Ils sont classés par la séquence des aminoacides de leurs lourdes chaînes dans cinq classes (immunoglobuline A ; immunoglobuline D ; immunoglobuline E ; l ’ immunoglobuline G ; immunoglobuline M) et divers sous-classes.
Une classe d ’ immunoglobuline portant mu chaînes (chaînes Lourdes Mu Des Immunoglobulines). IgM peut réparer COMPLEMENT. Le nom vient de son poids moléculaire élevé initialement être appelé un macroglobulin.
Représente 15 à 20 % du taux sérique d ’ immunoglobulines humaines, principalement sous la 4-chain polymère chez l'homme ou dimère dans d'autres mammifères. Sécrétoires immunoglobuline A (IgA) constitue le principal, endomètre sécrétoire immunoglobulines chez sécrétions.
Sites moléculaire spécifique à la surface des lymphocytes B et T activés qui combinent avec IgEs sous-classes. Deux : Une faible affinité des récepteurs Fc (epsilon Rii) et une forte affinité epsilon RI (récepteurs Fc).
Le plus grand de polypeptide chaînes comprenant immunoglobulines. Elles contiennent 450 à 600 acides aminés par chaîne, et ont des poids moléculaires de 51-72 kDa.
Antigen-type d ’ hypersensibilité immédiate (substances qui produisent HYPERSENSITIVITY, CONDITIONNEMENTS).
Immunoglobuline utilisé en perfusion intraveineuse, les préparations contenant principalement immunoglobuline G. Ils sont utilisés pour traiter de plusieurs maladies associées à des taux d ’ immunoglobuline réduite ou anormale incluant primaires, les soins pédiatriques HYPERGAMMAGLOBULINEMIA ; SCID ; infections chez les transplantés, leucémie lymphoïde chronique, CHRONIQUE ; la maladie de Kawasaki, une infection chez les nouveau-nés et purpura thrombocytopénique idiopathique.
Les gènes codant pour les différentes sous-unités des immunoglobulines, par exemple l'immunoglobuline lumière gènes alimentaire et l'immunoglobuline. La chaîne lourde gènes immunoglobuline pesante et légère... comme des gênes gênes sont présents dans les cellules germline. The completed gènes sont créés quand les segments sont battues et assemblée (Légère Lymphocyte B pendant la maturation Légère Lymphocyte B) la structure de Gene. Le gène segments de la lumière humaine et lourde chaîne germline gènes sont symbolisés V (variable), J ((constante et Michèle) et C). La chaîne lourde germline gènes ont une diversité segment D (supplémentaires).
Réaction altéré à un antigène pouvant entraîner des réactions pathologique sur une exposition ultérieure à cet antigène.
Polypeptide chaînes, constitué de 211 à 217 acides aminés et ayant un poids moléculaire d'environ 22 kDa. Il y a deux principaux types de lumière chaînes, kappa, lambda. Deux Ig deux chaînes légères de lourdes chaînes lourdes immunoglobulines (Ig) ne pouvant faire une molécule d ’ immunoglobuline.
Des réactions d'hypersensibilité survenant en quelques minutes d'exposition à l ’ antigène stimulant dues à la libération de l ’ histamine qui suit la réaction antigen-antibody et provoque une contraction des muscles lisses et une augmentation de la perméabilité vasculaire.
Leucocytes granuleuse relativement pale-staining, caractérisée par une lobate noyau et cytoplasme contenant grossier dark-staining granules de taille variable et stainable par un colorant.
Epicutaneous intradermique ou intense de démonstration de sensitizer soit retardée ou d ’ hypersensibilité immédiates. Utilisé dans le diagnostic d ’ hypersensibilité ou comme un test pour l'immunité cellulaire.
Un des types de lumière chaînes des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Troubles gastro-intestinaux, éruptions cutanées, ou un choc en raison de réactions allergiques aux allergènes en nourriture.
Les cours d ’ immunoglobulines trouvé dans une espèce d'animal. En homme il y a 9 classes qui migrent dans cinq groupes de Electrophoresis ; ils chaque lumière composée de deux et deux grosses chaînes de protéine, et chaque groupe n ’ a propriétés structurelles et fonctionnelles.
Cellules granulé qu'on trouve dans presque tous les tissus, plus abondamment dans la peau et le tractus gastro-intestinal, comme les basophiles humains, mastocytes contiennent de grandes quantités d ’ histamine et HEPARIN. Contrairement à basophiles humains, mastocytes normalement rester dans les tissus et ne pas circuler dans le sang. Mastocytes, dérivés des cellules souches de moelle osseuse, cellule STEM sont déterminés par le facteur.
Le principe immunoglobulines chez les sécrétions exocrine tels que le lait, respiratoires et intestinaux, salive et Mucin larmes molécule complète (environ 400 kD) se compose de deux unités four-chain en immunoglobuline A, un élément de sécrétion et une chaîne chaînes J Des Immunoglobulines (J).
Cette région de la molécule d ’ immunoglobuline, qui varie en terme de séquence d ’ acides aminés et composition, et comprend le site de liaison pour un antigène spécifique. Elle se trouve à l ’ extrémité N-terminale des Fab fragment de l'immunoglobuline. Cela inclut hypervariable complémentarité régions (membres) et les régions. Cadre.
Cellules lymphoïdes concerné par l'immunité humorale. Ils sont sans lendemain bursa-derived cellules identiques aux lymphocytes des oiseaux dans leur production d ’ immunoglobuline sur approprié stimulation.
Crystallizable composé des fragments carboxy- terminaux tous les deux moitiés d'immunoglobuline lourde chaîne tous liés par disulfures obligations. FC fragments carboxy- terminaux contiennent les parties de la chaîne lourde constante des régions qui sont responsables des fonctions d'effecteurs une immunoglobuline (COMPLEMENT fixation, la liaison de la membrane cellulaire via FC récepteurs et transporter) placentaire. Ce fragment peuvent être obtenus sur des immunoglobulines avec la digestion de l'enzyme protéolytique PAPAIN.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline M. Ils ont un poids moléculaire d'environ 72 kDa et ils contiennent environ 57 acides aminés arrangé dans cinq domaines oligosaccharide et avoir plus de branches et une plus grande teneur glucidique, que les lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G.
In vitro, allergène radio-immunodosage dans lequel allergènes sont couplés à un immunosorbent. Le couplé allergènes lient l ’ IgE présente dans les sérums de patients ce qui se lie radioisotope-labeled anti-IMMUNOGLOBULIN E anticorps.
Légère Lymphocyte B de la génétique qui entraîne une substitution au type de heavy-chain constante région qui s'expriment. Cela permet au effecteurs réponse à changer pendant l ’ antigène liaison spécificité (région variable) reste le même. La majorité de la classe changement se produit par un événement recombinaison ADN mais ça peut aussi avoir lieu au niveau d'ARN processing.
Un des types de chaine légère sous-unités des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Une forme de trouble bronchique avec trois distinct composant : Voies respiratoires (hyper-responsiveness HYPERSENSITIVITY respiratoire), l ’ inflammation et des voies aériennes respiratoires intermittente OBSTRUCTION. C'est caractérisé par torticolis contraction des muscles lisses des voies aériennes, te permet de et dyspnée (dyspnée paroxystique).
Des anticorps qui réagissent avec chacune des déterminants structurelles (idiotopes) sur la variable région d'autres anticorps.
Une immunoglobuline qui représente moins de 1 % de l ’ immunoglobuline. On l'a trouvé sur la membrane des lymphocytes B circulants.
La sécrétion d ’ histamine de mastocytes Basophil et granulés par exocytose. Ça peut être initié par un certain nombre de facteurs, tous impliquant la fixation des IgE, les N- par antigène, au mât portable ou Basophil est récepteurs Fc. Une fois libérée, l ’ histamine se fixe à plusieurs récepteurs cellule cible et exerce une grande variété de secondaires.
Un facteur soluble produite par les lymphocytes T activés que induit l ’ expression de classe II et le FC gènes CMH sur les récepteurs et provoque la prolifération des lymphocytes B et la différenciation agit également sur des lymphocytes T mât lignée, et plusieurs autres cellules hématopoïétiques.
Le domaine de l'immunoglobuline molécules qui sont invariable dans leurs séquences d'acides aminés dans chaque classe ou sous-classe d'immunoglobuline. Ils conférer structurelles et biologique fonctions aux immunoglobulines. Chacun une lumière sur les chaînes et les chaînes lourdes C-terminus comprend la moitié de l'immunoglobuline FAB fragment et deux ou trois d'entre eux font le reste de la lourdes chaînes (tous de l'immunoglobuline FC fragment)
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline E. Ils ont un poids moléculaire d'environ 72 kDa et ils contiennent environ 550 acides aminés arrangé dans cinq domaines et hydrate de carbone représentent environ trois fois plus que les lourdes chaînes en immunoglobuline A ; immunoglobuline D ; et immunoglobuline G.
Une maladie inflammatoire chronique déterminées génétiquement de la peau marquée par une capacité de former reagin (IgE), avec l ’ augmentation de la sensibilité à la rhinite allergique et l ’ asthme, et héréditaire disposition à une faible seuil pour prurit. Ça ne se manifeste par lichenification, escarres, excoriation, et principalement au flexural surfaces du coude et au genou. Chez les nourrissons c'est connu comme infantile eczéma.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
Molécules trouve à la surface de certaines, mais pas tout, B-Lymphocytes, lymphocytes T et les macrophages, qui reconnaissent et se combine aux (partie Fc crystallizable) en immunoglobuline molécules.
Substances prélevées dans des plantes qui ont une activité antigénique.
Une réaction d'hypersensibilité aiguë due à l ’ exposition à un antigène déjà rencontré. Cette réaction peut inclure urticaire progressant rapidement, détresse respiratoire, un arrêt vasculaire, choc systémique et la mort.
Réaction allergique à des produits contenant du caoutchouc naturel traitées tels que des gants en latex, préservatifs, cathéters, mettez vos masques les ballons, et d'équipements de sport. Par tous les deux, des lymphocytes T (HYPERSENSITIVITY DELAYED) et d ’ IgE (mécanisme), CONDITIONNEMENT HYPERSENSITIVITY réponses allergique sont possibles. Hypersensibilité retardée due à une exposition à antioxydants présent dans la capote ; d ’ hypersensibilité immédiates) due à une exposition à une protéine en latex.
La propriété des anticorps qui leur permet de réagir avec certains LES DÉTERMINANTS antigénique et pas avec les autres. La précision est dépendant de composition chimique, force physique et structure moléculaire au site de liaison.
Lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G ayant un poids moléculaire d ’ environ 51 kDa. Elles contiennent environ 450 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide fragment Fc fixé à la région constante. La chaîne lourde gamma sous-classes (par exemple, gamma 1, gamma 2a et gamma 2b) de l'immunoglobuline G (IgG1, anti-IgG2a sous-classes isotype et IgG2B) se ressemble de plus près que les lourdes chaînes de l'autre isotypes d'immunoglobulines.
Une rare une leucémie myéloïde aiguë dans lequel le principal différenciation est à la surface des basophiles. C'est caractérisée par une augmentation de particules VIH immatures extrême due cellules granulé dans la moelle osseuse et le sang. Mature basophiles sont généralement rares.
La souris de lignée Balb/c est une souche inbred de souris laboureuses, largement utilisées dans la recherche biomédicale, caractérisée par un génotype et un phénotype uniformes, une susceptibilité accrue aux tumeurs et à certaines maladies infectieuses, et une réponse immunitaire distinctive aux stimuli antigéniques.
Univalent antigen-binding fragments composé d'une seule chaîne immunoglobuline lumière et les acides terminal fin d'une de l'immunoglobuline lourde chaîne de la région charnière, tous liés par Fab disulfures obligations contient l'immunoglobuline D 'OFFRES À membres, qui font partie de l'antigen-binding site et les membres du premier immunoglobuline incessant. Ce fragment peuvent être obtenus sur des immunoglobulines avec la digestion de l'enzyme protéolytique PAPAIN.
Famille de MITES, à la superfamille Acaroidea, ordre Astigmata. Ils sont souvent observé dans les aliments cereal-based incluant grain et FLOUR.
Une inflammation de la membrane muqueuse du nez semblable à celui trouvé dans le rhume des foins sauf que les symptômes persistent, toute l'année. Les causes sont habituellement air-borne allergènes, particulièrement poussière, des plumes, moules, les poils d'animaux, etc.
Un 15 kD "rejoint" peptide formes un des liens entre monomères en immunoglobuline A ou immunoglobuline M dans la formation de polymères immunoglobulines. Il y a un J chaîne par un IgA dimère ou un IgM pentamer. C'est également impliquée dans la liaison au récepteur de l ’ immunoglobuline immunoglobulines polymères polymères qui est nécessaire pour leur Transcytosis au lumen. Elle est définie de l'immunoglobuline unir région qui fait partie de l'immunoglobuline D 'OFFRES À région de l'immunoglobuline la lumière et de lourdes chaînes.
Immunoglobuline partielle molécules résultant du clivage sélectif par les enzymes protéolytiques ingénierie ou créé avec des techniques.
Rhinite allergique qui apparaît au même moment chaque année. C'est caractérisé par avec larmoiement conjonctivite aiguë et folie, et considéré comme une maladie allergique déclenchées par allergènes spécifique.
Immunoglobuline allelic variantes de la lumière (immunoglobulines chaînes légères de lourdes chaînes, serrurerie) ou (immunoglobulines lourde chaîne) codée par allèles en immunoglobuline gènes.
Une réaction cutanée évanescent survenant quand anticorps est injecté dans une zone locale sur la peau et l ’ antigène est ensuite injecté par voie intraveineuse avec une la teinture capillaire fait généralement rapidement une dilatation et une augmentation de la perméabilité vasculaire facilement visibles par réaction dans la zone. PCA est une réaction pour détecter très petites quantités d ’ anticorps et peut également une méthode pour étudier les mécanismes d ’ hypersensibilité immédiate.
Récepteurs Fc spécialisé (FC) pour les récepteurs immunoglobulines polymères, ce qui la médiation de polymères Transcytosis immunoglobuline A et immunoglobuline M dans les sécrétions externe. Ils se trouvent à la surface des cellules épithéliales et des hépatocytes. Après la liaison de immunoglobuline A, le complexe receptor-ligand subit le transport par endocytose, vésicules, et le passage dans le lumen par exocytose. Avant la libération du récepteur (le rôle crucial de sécrétion) c'est lié à immunoglobuline A est proteolytically séparée de sa queue transmembranaire. (De Rosen et al., The Dictionary d'immunologie, 1989)
Une albumine obtenu du blanc d'œufs. Il est membre des superfamille Serpin.
Réaction allergique au lait (habituellement du lait de vache) ou de produits laitiers. Lait HYPERSENSITIVITY sont à distinguer LACTOSE intolérance, une intolérance au lait en cas de déficit congénital en lactase.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Une partie de l'immunoglobuline lourdes chaînes, codé par l'immunoglobuline lourde chaîne dans les gènes J où, pendant la maturation des lymphocytes B ; le gène pour la variable région en amont est reliée à un segment gène constantes en aval. La position de l'union de deux des gênes est variable et contribue à anticorps diversité. Elle est définie de l'immunoglobuline J, serrurerie ; un autre polypeptide ça sert de lien morceau IGA IGM ou en polymère.
Les immunoglobulines produites en réponse à des infections bactériennes antigènes.
Membrane antigène associée à maturation phases de lymphocytes B, souvent exprimé dans des cellules B activées tumeurs d'origine.
Tendance du muscle lisse du contrat de l'arbre trachéobronchique ont de plus intensément en réponse à un stimulus donné que dans la réponse observée chez les sujets normaux. Cet état est présent dans presque tous les patients symptomatiques avec de l'asthme. Le plus éminent les manifestations de cette contraction des muscles lisses est une diminution des voies respiratoires calibre qui peut être facilement mesuré dans le laboratoire de la fonction pulmonaire.
Une forme d ’ hypersensibilité survenant englobant les voies respiratoires, asthme, et la rhinite allergique, SEASONAL.
Un excès de GAMMA-GLOBULINS dans le sérum en raison d ’ infections chroniques ou PARAPROTEINEMIAS.
La production d ’ anticorps par proliférer et mesurée par la stimulation des lymphocytes B sous antigènes.
Sous-groupe de lymphocytes T Auxiliaires qui synthétiser et à sécréter le interleukines IL-4, IL-5, IL-6, et IL-10. Ces cytokines influencer développement des cellules B activées et la production d'anticorps spécifiques, augmentant ainsi que les réponses.
Un arthropode de la sous-classe ACARI sauf le demandaient. Ils sont minuscules animaux liées aux araignées, généralement avoir transparent ou semitransparent corps. Ils peuvent être parasites sur les humains et les animaux domestiques, produisent différents des irritations cutanées (MITE infestations). Plusieurs mite espèces sont importants pour les deux médicaments à usage humain et vétérinaire parasite et vecteurs. Mites également infestent plantes.
Les immunoglobulines produites en réponse à helminthiases antigènes.
Antigène de la maison acariens (Dermatophagoides farinae), essentiellement D. et D. Pteronyssinus. Ce sont des protéines, trouvé en mite fèces, ou les extraits de la gale, pouvant entraîner asthme et autres maladies telles que rhinite allergique perannuelle, (rhinite allergique perannuelle, la dermatite atopique) et dermatite atopique (,). Plus de 11 groupes de Dermatophagoides allergènes ont été définies. Groupe je allergies, tels que Der f je et Der p je deux espèces, dans ce cadre sont parmi les meilleures mite antigènes chez l'homme.
Réaction allergique aux œ ufs c'est déclenchée par le système immunitaire.
Anticorps produits par un seul clone de cellules.
Réaction allergique aux cacahuètes c'est déclenchée par le système immunitaire.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Le train de perdre granulés (vésicules de sécrétion tubulaire rénale active des produits). Cela arrive, par exemple, dans mastocytes, basophiles, éosinophiles, neutrophiles et plaquettes quand médicaments sont libérés de la sécrétion granulés par exocytose.
Le fertiliser élément de plantes qui contient le mâle GAMETOPHYTES.
Produits utilisés pour traiter des réactions allergiques. La plupart de ces produits agissent en empêchant la libération des médiateurs inflammatoires ou inhibant les actions de libéré médiateurs sur leur cible. (Cellules de AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p475)
Dans laquelle les tests cutanés sensitizer est injectée.
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Les immunoglobulines sur la surface des lymphocytes B. leur coursier ARN contient un exon avec une membrane englobant séquence, produisant immunoglobulines sous la forme de type I protéines transmembranaire par opposition à sécrétés imm unoglobulines (anticorps) qui ne comportent pas la membrane entourant segment.
Réactions sérologique dans lequel un antidote contre un antigène réagit avec un antigène non-jumelle mais étroitement liées.
Les immunoglobulines produites en réponse à FUNGAL antigènes.
Caractéristiques des immunoglobulines anormale MYELOME MULTIPLE.
Un organe lymphatique encapsulée par lequel le sang veineux filtres.
Hôte délibéré stimulation de la réponse immunitaire active immunisation implique l ’ administration d ’ antigènes ou Immunologic adjuvants. Immunisation passive par administration d'immuniser l'implique SERA ou des lymphocytes (par exemple, ou les extraits de leur transfert ARN) immunitaire facteur, ou une greffe de cellules produisant immunocompétents tissus (thymus ou de moelle osseuse).
Substances sont reconnus par le système immunitaire et provoquer une réaction immunitaire.
Gènes et des gênes immunoglobuline encoder la lourde chaîne ! Des gênes de la chaîne lourde gènes sont symbolisés V (D), variable (diversité), J (et Michèle) (constante, et C).
Une mutation programmé procédé par lequel change sont présentés aux séquence nucléotidique en immunoglobuline Gene ADN au cours du développement.
Une discrète, probablement isolement, masse de plasma néoplasiques soit des cellules de moelle osseuse ou envahissement divers sites.
Une partie ou dérivé d'un helminthiases ça déclenchera une réaction immunitaire. Le plus fréquemment vu helminthiases antigènes sont celles du opposé dans la ville.
Une cytokine qui favorise la différenciation et l ’ activation des éosinophiles Etant déclenche activé et de devenir des cellules qui sécrètent des immunoglobulines ; elle stimule.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline D. Ils ont un poids moléculaire d'environ 64 kDa et ils contiennent environ 500 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide fragment Fc constante fixé à la région.
Une famille de Crustacea, ordre DECAPODA pandalid, comprenant les crevettes. Ils sont hermaphrodites protandric et peut se reproduire dans les deux hommes et femmes phases. Beaucoup d'espèce sont commercialement prélevés dans le Pacifique nord-ouest.
Un site situées sur le INTRONS au 5 'fin de chaque segment de l ’ immunoglobuline constantes heavy-chain recombinaison où un gène (réarrangement) survenir lors d ’ immunoglobuline ou de changer le cours. Ig interrupteur régions sont trouvées sur les gènes codant pour les cinq classes (immunoglobuline isotypes) en immunoglobuline lourde chaîne !
Immunosuppression par l'administration de l ’ augmentation des doses d ’ antigène. Si le mécanisme exact n'est pas clair, la thérapie en résulte une élévation des taux sériques de l ’ immunoglobuline G allergen-specific, la suppression de IgE spécifiques, et une augmentation de l ’ activité suppressive des cellules T.
Immunodéficience primaire caractérisée par des infections récurrentes et hyperimmunoglobulinemia E. La plupart des cas sont des apparitions sporadiques. Des rares formes familiale, le dominantly hérité sous-type a d'autres tissus conjonctifs, des affections dentaires et squelettiques type récessif implication qui ne partage pas.
Immunologiquement médié réactions indésirables au médicament substances utilisées légalement ou pas.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline A. Ils ont un poids moléculaire d'environ 60 kDa et contenir sur 470 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide lié à leur fragment Fc constantes.
Réaction d'hypersensibilité (réaction allergique) au champignon Aspergillus dans un individu avec un asthme bronchique. C'est caractérisé par des infiltrats pulmonaires, éosinophilie, augmentation du taux sérique immunoglobuline E, et la peau réactivité à Aspergillus antigène.
Genetically-controlled déterminants cadeau unique dont la spécificité d'anticorps est limitée à un seul groupe de protéines (par exemple, un autre anticorps molécule ou un individu protéines du myélome). La idiotype semble représenter la antigen-binding antigénicité du site de l'anticorps et d'être génétiquement codetermined avec. Le idiotypic déterminants était précisément localisé à l'immunoglobuline D 'OFFRES À région des deux immunoglobin polypeptide chaînes.
Sur un antigène pouvant interagir avec des anticorps spécifiques.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Famille de des acariens, à la superfamille Analgoidea, ordre Astigmata, y compris le général Dermatophagoides et Euroglyphus.
Une réponse immunitaire obtenue avec une dose spécifique d'une cellule au plan immunologique pour la substance active ou à un organisme, tissu, ou son portable.
Dosage Radioimmunologique couplés à des protéines en utilisant un anticorps immunosorbent.
Une plante Genus de la famille des Fabacées, c'est une source de prosopis chewing-gum.
Ce sérum gamma globulines migré dans la région (le plus chargé positivement) sur une électrophorèse. À un moment, gamma-globulins est venu pour être utilisé comme synonyme de immunoglobulines comme les immunoglobulines sont gamma globulines gamma globulines et inversement, la plupart sont des immunoglobulines. Mais comme des immunoglobulines présentant un alpha ou beta mobilité analyse électrophorétique, ce terme est en déclin.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
Leucocytes granuleuse avec un noyau qui contient habituellement deux lobes interconnectées par un mince fil de Chromatin et cytoplasme contenant grossier, rond granulés, identiques en taille et stainable par eosin.
Acide anhydride anhydrides. Peut être substitué par un atome de carbone. Largement utilisé pendant l 'industrie et comme un réactif au acylation amino- et de groupes hydroxyle.
Les immunoglobulines produites en réponse à Protozoan antigènes.
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
Augmentation des éosinophiles anormale dans le sang, tissus ou organes.
Leucémie induite expérimentalement par l ’ exposition chez l'animal à leucémogène tels que les radiations virus ; ou par une greffe de tissus leucémie.
La fraction extracellulaire du récepteur de l ’ immunoglobuline polymères trouvé seul ou complexed avec IGA IGM ou, dans plusieurs sécrétions externes, la bile (arrache le colostrum.) Secretory composant provient par clivage protéolytique des pendant Transcytosis IgA et IgM. Quand les immunoglobulines sont dépositaires du récepteur, durant leur Transcytosis composant devient sécrétion attaché à eux de façon covalente générant immunoglobuline A ou de sécrétion tubulaire rénale active des produits immunoglobuline M
Une cytokine synthétisé qui produit la prolifération des lymphocytes par l ’ immunoglobuline, l ’ isotype d'échange et immunoglobuline production immature B-Lymphocytes. Il semble jouer un rôle dans la régulation et les réponses immunitaires inflammatoire.
Une dermatite papulovesicular prurigineuse survenant en réaction à de nombreux agents et endogène exogènes (Dorland, 27 e).
Immunoglobuline molécules avoir une séquence des acides aminés spécifique en vertu de laquelle ils interagir qu'avec l ’ antigène (ou la même forme) induisant la synthèse des cellules du leur série lymphoïde (notamment des plasma).
Globules blancs sont utilisés dans le corps est tissus lymphoïdes. Le noyau est rond ou ovoïde avec grossier, traîné des pieds irrégulière Chromatin pendant que le cytoplasme est typiquement bleu pâle avec azurophilic (le cas échéant) granulés. La plupart des lymphocytes T peut être classé en tant qu'ou B (avec des sous-populations de chaque) ou des TUEUR naturelle.
Un déficit immunitaire état caractérisé par une très faible niveau de toutes les classes de gamma-globulin généralement dans le sang.
Lymphocytes responsable de l'immunité cellulaire anticorps-dépendante. Deux types ont été identifiés - cytotoxique (lymphocytes T cytotoxique) et assistant lymphocytes T (lymphocytes T Auxiliaires). Elles se forment quand lymphocytes circuler dans la thymus GLAND et différenciez à thymocytes. Quand exposé à un antigène, il divise rapidement et produire un grand nombre de nouvelles cellules T Antigène sensible à ça.
L ’ infection par les vers ronds sur le genre humain anisakis. Infection résultats de la consommation de poissons abritant ascaris larves. Les vers peut provoquer des nausées ; VOMITING ; ou pénétrer dans le mur du DIGESTIVE TRACT où elles donnent lieu à granulome éosinophile dans l'estomac, intestins ; ou l'omentum.
Une plante Genus de la famille RHAMNACEAE. Membres contiennent nummularogenin spirostane (un) et est la source d'un fruit comestible.
Protéines Non-antibody sécrétés par les cellules inflammatoires et des leucocytes non-leukocytic, qui agissent en Molécule-1 médiateurs. Elles diffèrent des hormones dans ce classique ils sont produits par un certain nombre de types de cellules de peau ou plutôt que par des glandes. Ils généralement agir localement dans un paracrine et autocrine plutôt que de manière endocrinien.
Chimiquement stimulé agrégation des récepteurs de surface, qui potentialise l ’ action des lymphocytes effecteurs cellule.
Les essais in vitro utilisé dans le diagnostic d'allergies y compris hypersensibilité médicamenteuse. L'allergène est ajouté que le patient ne se globules blancs et libération d ’ histamine est mesurée.
Allelic gamma-immunoglobulin variantes de la chaîne lourde (chaînes Lourdes Gamma Des Immunoglobulines) codée par allèles en immunoglobuline lourde chaîne gènes.
Protéines synthétisée par des organismes appartenant au phylum arthropoda. Inclus dans cette rubrique sont des protéines du subdivisions Arachnida ; Crustacea ; et crabes Horseshoe Note ça une autre vers INSECT PROTEINS est listée sous cette rubrique.
Une vague, produit excrétée du latex canaux de diverses espèces de plantes contenant cauotchouc. Latex est composée de 25 et 35 % caoutchouc, 60 à 75 % d'eau, 2 % 2 % de la résine, 1,5 % de sucre & 1 % Ash en caoutchouc, est produite par la suppression de l'eau de latex. (Encyclopedia Concise biochimie et de biologie moléculaire, 3ème e). Hevein protéines sont responsables de latex HYPERSENSITIVITY. Latexes sont utilisées comme véhicules inerte à porter des anticorps ou test au latex antigènes des tests.
Inflammation muqueuse le, la membrane muqueuse tapissant la le caries.
Le maigre, jaune, alopécie1 liquide sécrétés par les glandes mammaires immédiatement avant post-partum pendant la grossesse et allaitement commence. Il est constitué de immunologiquement principes actifs, de globules blancs, de l'eau, protéines, lipides, glucides.
Inhalation de tests impliquant allergènes (en nébulisation ou dans la poussière en nébulisation), des solutions pharmacologiquement actif (par exemple, l ’ histamine, méthacholine), ou contrôler les solutions, suivie d ’ évaluation de la fonction respiratoire. Ces tests sont utilisés dans le diagnostic d'asthme.
Un myélogramme altération de petit des lymphocytes B ou des lymphocytes T dans la culture dans de vastes blast-like cellules capable de synthétiser l'ADN et ARN et de diviser mitotically. C'est déclenchée par interleukines ; Mitogènes comme PHYTOHEMAGGLUTININS, et par antigènes. Il peut aussi survenir in vivo comme en greffe rejet ?
Immunité par transfert non immunisés de immunisés à hôte par l ’ administration d ’ anticorps sériques, ou de transplantation de lymphocytes (ADOPTIVE VIREMENT).
Les molécules à la surface des cellules du système immunitaire, qui se lie spécifiquement ou molécules messagères molécules de surface et déclencher des changements dans le comportement de cellules. Bien que ces récepteurs n ’ a été identifiée dans le système immunitaire, beaucoup ont fonctions importantes ailleurs.
Une famille de protéases à sérine neutre activité chymotrypsine-like. Chymases sont principalement retrouvé dans la sécrétion de NIMÉSULIDE GRANULÉS mât et des mastocytes sont libérés pendant la dégranulation.
Sites surface locale sur des anticorps qui réagit avec des antigènes (antigènes sites déterminant galactogènes.) Ils sont formés à partir de parties de la variable régions de fragments Fab.
Le complexe formé par la liaison des molécules. Des anticorps et la déposition de grands complexes antigen-antibody menant à l'abri provoque des lésions tissulaires complexe maladies.
Petit déterminants antigénique capable de recevoir une réponse immunitaire seulement quand couplé à un porteur. Haptène se lier à des anticorps mais par eux-mêmes ne peut pas obtenir une réponse en anticorps satisfaisant.
Une technique qui combine Protein Electrophoresis et double immunodiffusion. Dans cette procédure protéines sont premier séparés par gel électrophorèse agarose (habituellement) puis rendue visible par immunodiffusion d'anticorps spécifiques. Un arc résultats precipitin elliptique distinctes pour chaque protéine antisera détectable par les.
Un genre de nématodes du superfamille ASCARIDOIDEA. Son organisme est trouvé dans ses estomacs d'animaux marins et les oiseaux. Infection survient humaine par ingestion de poisson cru qui contiennent des larves.
Espèces de maison européenne acarien, dans la famille PYROGLYPHIDAE. C'est le plus communément maison acarien.
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Commandé réarrangement de gène variable Légère Lymphocyte B régions de l'immunoglobuline lourde chaîne, contribuant ainsi à anticorps diversité. Elle se produit pendant la première phase de différenciation entre les immature lymphocytes B.
Une espèce de parasite nématodes causant Malayan filariose et avoir une distribution recentre environ sur la péninsule Malaisienne. Le cycle de vie de B. malayi est similaire à celui de WUCHERERIA Bancrofti, sauf que dans la plupart des aspects le principal moustique vecteurs appartiennent au genre Mansonia.
Commandé réarrangement de régions variable Légère Lymphocyte B gène codant pour la chaîne d ’ immunoglobuline, contribuant ainsi à anticorps diversité. Elle se produit pendant la différenciation des lymphocytes B immature.
Sang du fœtus. Échange de nutriments et perdre entre le sang maternel se fait par le fœ tus et le placenta. Le sang du cordon ombilical est contenue dans le sang ombilical vaisseaux (cassé le fil) à la livraison.
Une masse de tissu lymphoïde round-to-oval incrusté dans la paroi latérale du pharynx. Il y a un de chaque côté de l'oropharynx au fauces entre la face antérieure et postérieure piliers de la peluche PALATE.
Une technique en utilisant les anticorps présents pour identifier ou quantifying habituellement une substance. La substance d ’ être étudiés sert antigène tous les deux dans la production d'anticorps et dans le dosage des anticorps par le test substance.
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Immunologic techniques en matière de diagnostic.
Séquence d'ARN qui servent de modèles pour la synthèse des protéines. Bactérienne sont généralement mRNAs transcriptions en primaire qu'elles ne nécessitent aucun traitement. Eucaryotes Post-Transcriptional mRNA est synthétisés dans le noyau et doit être transplantée dans le cytoplasme pour traduction. La plupart eucaryotes polyadenylic mRNAs ont une séquence de l'acide dans le 3 'fin, dénommés le Poly (A) queue. Le fonctionnement de cette queue n'est pas connu pour certains, mais cela pourrait jouer un rôle dans l'export de mature mRNA du noyau ainsi que pour aider stabiliser des mRNA molécules par retarding leur dégradation dans le cytoplasme.
Le major interféron produite par mitogenically ou antigenically stimulé lymphocytes. C'est structurellement différent de TYPE je interféron et son principal de l 'activité est immunoregulation. Ça a été impliqué dans l'expression de classe II Histocompatibility antigènes des cellules qui font généralement pas les produire, conduisant à maladies auto-immunes.
Une protéine présente dans la paroi cellulaire de la plupart des souches de Staphylococcus aureus. La protéine se lie de façon sélective au région Fc de l ’ immunoglobuline humaine normale myeloma-derived G. C'lisses et l ’ activité d ’ anticorps et peut causer des réactions allergiques à cause de libération d ’ histamine ; a également été utilisé comme cellule Antigène de surface marqueur et en l ’ évaluation clinique de la fonction lymphocytaire B.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Sérum qui contient des anticorps. Il est obtenu à partir d ’ un animal qui a été vaccinée non plus par antigène injection ou une infection par micro-organismes contenant l ’ antigène.
L'insertion de l ’ ADN recombinant les molécules de facteur D'et / ou eucaryotes sources dans un véhicule, tels qu ’ une réplication génétique ou virus vecteur, et l 'introduction de l ’ hybride molécules dans receveur cellules sans altérer la viabilité de ces cellules.
La souris de lignée C57BL est une souche inbred de Mus musculus, largement utilisée dans la recherche biomédicale, caractérisée par un ensemble spécifique de traits génétiques et phénotypiques.
Une famille de neutre protéases activité avec trypsine comme la sérine. Tryptases sont principalement retrouvé dans la sécrétion de NIMÉSULIDE GRANULÉS mât et des mastocytes sont libérés pendant la dégranulation.
Antigènes différenciation cellulaire de mammifère, demeurant au bord de leucocytes. CD représente amas de différenciation qui se rapporte aux groupes d ’ éventuelles réactions similaires anticorps monoclonaux cette émission avec certains sous-populations d'antigènes d'une lignée ou la différenciation des sous-populations de diligence antigènes sont aussi connue sous le même CD désignation.
Substances d'origine fongique qui ont une activité antigénique.
Test antigène de tissus en utilisant une méthode directe des anticorps, conjuguée avec la teinture fluorescente, DIRECTS (technique d ’ anticorps) ou indirect mode, par la formation de antigen-antibody complexe qui est ensuite étiquetés fluorescein-conjugated anti-immunoglobulin anticorps (technique d ’ anticorps fluorescentes, INDIRECT). Le tissu est a examiné par microscopie à fluorescence.
Protéines sécrétés par la prostate. Les principales protéines sécrétrices de l'humain prostate inclure antigène Spécifique antigène, antigène Spécifique acide de phosphate, antigène Spécifique antigène membrane et antigène Spécifique protein-94.
Une amine enzymatique calculé par la décarboxylation de l ’ histidine. C'est un puissant stimulant de la sécrétion gastrique constricteur des muscles lisses des bronches, un vasodilatateur action centrale, et aussi un neurotransmetteur.
Conjonctivite en raison d ’ hypersensibilité à divers allergènes.
Classification binaire mesures d ’ évaluation de résultats. Sensibilité ni vous rappeler la proportion de faux positifs. La précision est la probabilité de bien déterminer l'absence d'une condition. (Dictionnaire d'hier, d'épidémiologie, 2d éditeur)
Une maladie caractérisée par infiltration pulmonaire avec éosinophiles due à l ’ inflammation ou autres maladies procédés. Major Eosinophilic maladies pulmonaires sont la pneumonie éosinophile causés par des infections, allergies, ou agents toxiques.
Technique utilisant un système d 'instruments pour faire, le traitement, et en affichant un ou plusieurs mesures sur des cellules individuelles obtenu d'une suspension cellulaire. Cellules sont habituellement taché avec un ou plusieurs composantes teinture fluorescente à cellule spécifique d'intérêt, par exemple, de l ’ ADN et la fluorescence de chaque cellule est mesurée comme rapidement (faisceau laser traverse l'excitation ou le mercure arc lampe). Fluorescence fournit une mesure quantitative de différents biochimiques et Biophysical pharmacocinétiques de la cellule, ainsi qu'une base pour le tri. Autres paramètres mesurables optique absorption incluent la lumière et de dispersion de la lumière, ce dernier étant applicable à la mesure de la taille, forme, la densité, granularité et tache détente.
Globulines de lait obtenu du petit-lait.
Etant spécialisé formes de antibody-producing. Ils sécrètent synthétiser et immunoglobuline. On les trouve seulement dans des organes lymphoïdes et au niveau des sites réponses immunitaires et normalement ne pas circuler dans le sang ou de la lymphe. (Rosen et al., Dictionary d'immunologie, 1989, p169 & Abbas et al., Cellular et Molecular en immunologie, Ed, 2d p20)
Des anticorps réagir avec self-antigens (AUTOANTIGENS) de l'organisme.
Les professionnels de santé, techniciens, et tes assistants effectifs LABORATORIES dans la recherche ou centres de soins.
In vitro méthode pour produire de grandes quantités de fragments d'ADN ou d'ARN spécifiques définies longueur et la séquence de petites quantités de courtes séquences encadrent oligonucléotide (Primer). Les étapes essentielles incluent une dénaturation thermique de la double-branche cible de molécules, des détonateurs d'leurs séquences complémentaires, et extension de la synthèse enzymatique recuits Primer par de l'ADN polymérase. La réaction est efficace, précise, et extrêmement sensible. Utilise pour la réaction inclure diagnostiquer des maladies, détection de mutation difficult-to-isolate pathogènes, analyse de séquençage ADN test génétique évolutionniste, et en analysant les relations.
Chlorure de mercure (HgCl2). Un composé hautement toxique volatizes légèrement à la température et ordinaire notablement à 100 ° C. C'est corrosive pour des muqueuses et utilisé comme un antiseptique topique et du désinfectant.
L'espèce Oryctolagus cuniculus, dans la famille Leporidae, ordre LAGOMORPHA. Les lapins sont nés en Burrows, furless, et avec les yeux et oreilles fermé. En contraste avec des lièvres, les lapins ont chromosome 22 paires.
Technique incluant la diffusion d'antigène semisolid ou un anticorps à travers un médium, généralement la ou gel, avec le résultat étant un precipitin réaction.
Les rats de lignée BN (Brown Norway) sont une souche spécifique de rats albinos utilisés dans la recherche biomédicale, caractérisés par leur sensibilité à développer une hypertension spontanée et un modèle d'athérosclérose accélérée.
Gènes et des gênes immunoglobuline encoder la chaîne ! Lumière des gênes de la chaine légère gènes sont désignés comme variable (V), J (et Michèle) (constante, et C).
Génétiquement identiques individus développées de frère et soeur matings ayant été perpétrées pendant 20 ou plusieurs générations, ou par parent x progéniture matings réalisées avec certaines restrictions. Tous les animaux dans une souche consanguin remonter à un ancêtre commun au XXe génération.
Cellules artificiellement créé par fusion des lymphocytes activés avec cellules néoplasiques. L'hybride en résultant cellules sont clonés et produire des anticorps monoclonaux pur ou produits à lymphocytes T, identique à celle induite par le parent compétentes immunologiquement cellule.
Un enfant pendant le premier mois après la naissance.
Une dermatite de contact à sensibilité allergique à différentes substances. Ces substances ultérieurement produire des réactions inflammatoires dans la peau de ceux qui ont acquis hypersensibilité à eux et résultant de l'exposition préalable.
Le commandé réarrangement de Gene régions par recombinaison ADN comme ce qui existe normalement au cours du développement.
Des bruits, normal et anormal, a entendu à l'auscultation sur n'importe quelle partie du TRACT respiratoire.
Une espèce de trematode sang les hasards de la famille Schistosomatidae. C'est fréquent dans le Nil delta serviteur, et le niveau intermédiaire planorbid escargot. Ce parasite causes Schistosomiase bilharziasis ou intestinale.
Lessive liquide d'irrigation obtenus à partir du poumon, y compris les bronches et les alvéoles pulmonaires. Il est généralement utilisé pour évaluer biochimiques statut ou une infection inflammatoire du poumon.
Un anthelminthique utilisé dans la plupart schistosome cestoïde et beaucoup d'infestations.
La somme des poids de tous les atomes dans une molécule.
Les acrylates sont des esters de l'acide acrylique ou methacrylic utilisés dans la fabrication de divers matériaux polymères, y compris certains plastiques et résines, qui peuvent déclencher des réactions allergiques de contact dans certaines personnes.
Commandé réarrangement de régions variable Légère Lymphocyte B gène codant pour les Kappa ou immunoglobulines lumière lambda, serrurerie, contribuant ainsi à anticorps diversité. Elle se produit au cours de la deuxième phase de différenciation entre les immature lymphocytes B.
Un polymère qui est le principal désoxyribonucléotidique matériel génétique des cellules eucaryotes. Et facteur D'organismes contiennent l'ADN bicaténaire normalement dans un état, mais plusieurs grandes régions monobrin implique des procédés biologiques initialement réparti. ADN, qui consiste en un pilier polysugar-phosphate possédant des projections des purines (adénine et thymine pyrimidines (guanine) et et cytosine), formes une double hélice qui doit être maintenue par liaisons hydrogène entre ces purines et en thymine et adénine pyrimidines (guanine à cytosine).
Tardifs dans lequel il y a une déficience ou défaut dans les mécanismes de l'immunité humorale ou cellulaire non plus.
Substances formulées par des bactéries ayant activité antigénique.
Un dysgammaglobulinémie caractérisée par une déficience en immunoglobuline A.
Une plante espèce de la famille des Fabacées graines que les rendements comestible, le familier cacahuètes qui contiennent des protéines, huile et lectine.
Insectes de l'ordre Dictyoptera comprenant plusieurs familles dont Blaberidae, BLATTELLIDAE, Blattidae (contenant la blatte Américaine PERIPLANETA americana), Cryptocercidae et Polyphagidae.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
Les infections à nématodes du superfamille FILARIOIDEA. La présence de vie des vers dans le corps est souvent asymptomatiques mais la mort d'adulte granulomateuse vers mène à l'inflammation et fibrose permanentes. Les organismes du genre Elaeophora infecter lapins et domestiques moutons entraînant une nécrose ischémique du cerveau, cécité et dermatose du visage.
Protéines isolée de la racine du du teinturier, Phytolacca Americana, que agglutinate des hématies, de stimuler la mitose et la synthèse d ’ anticorps dans les lymphocytes et induire activation des plasmocytes.
Electrophoresis dans lequel un Polyacrylamide gel est utilisé comme la diffusion médium.
Glycoprotéines sérique participant au mécanisme de défense de COMPLEMENT ACTIVATION hôte qui crée la membrane COMPLEMENT glycoprotéines ATTACK COMPLEXE. Parmi ceux-ci se trouvent dans les différents courants de l'activation du complément (bercer ; COMPLEMENT COMPLEMENT MONDIAL ; et Lectin COMPLEMENT voie).
La Terre ou la matière de bien, sécheresse des particules. (Random House Unabridged Dictionary, 2d éditeur)
Recombinant GENETIC Ia traduction des protéines produites par les gènes de fusion sont formés par l'association de l'acide nucléique RÉGLEMENTATION un ou plusieurs des séquences de gènes avec la protéine séquences ADN de un ou plusieurs gènes.
Sites moléculaire spécifique à la surface de diverses cellules, notamment lymphocytes B et les macrophages, qui s'assemblent avec de l'immunoglobuline G. 3 sous-classes existent, le FC gamma CD64 RI (antigène), une faible affinité des récepteurs Fc Rii gamma (antigène de CD32 une forte affinité des récepteurs Fc RIII gamma) et (les CD16 antigène, une faible affinité au récepteur).
Les maladies provoquées par des facteurs impliqués dans son emploi.

L'immunoglobuline E (IgE) est un type d'anticorps qui joue un rôle crucial dans les réactions allergiques et la défense contre les parasites. Elle est produite par les plasmocytes, une sous-population de lymphocytes B, en réponse à des antigènes spécifiques tels que les protéines présentes sur les pollens, les acariens, les moisissures ou les aliments.

Une fois produite, l'IgE se lie aux récepteurs FcεRI situés sur les mast cells et les basophils. Lorsqu'un individu est exposé à nouveau à l'antigène spécifique, il déclenche la libération d'une cascade de médiateurs inflammatoires tels que l'histamine, les leukotriènes et les prostaglandines. Cela provoque une réaction allergique caractérisée par des symptômes variés allant des éternuements, des démangeaisons cutanées, de l'eczéma, jusqu'à l'asthme sévère ou même un choc anaphylactique dans les cas extrêmes.

Il est important de noter que tous les individus ne développent pas de réponses IgE après une exposition à un antigène donné. Ce phénomène, appelé sensibilisation, dépend de facteurs génétiques et environnementaux complexes. Les personnes atteintes d'asthme, de rhinite allergique ou de dermatite atopique ont souvent des niveaux élevés d'IgE sériques.

Des tests sanguins peuvent être utilisés pour mesurer les taux d'IgE totaux et spécifiques à certains antigènes, ce qui aide au diagnostic et au suivi de certaines affections allergiques.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

Les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps, sont des glycoprotéines sécrétées par les plasmocytes (un type de cellule B différenciée) en réponse à l'exposition à un antigène. Ils jouent un rôle crucial dans l'humoral de la réponse immunitaire, où ils se lient spécifiquement aux antigènes étrangers et les neutralisent ou les marquent pour être détruits par d'autres cellules du système immunitaire.

Les immunoglobulines sont constituées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, liées par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM), chacune ayant des rôles spécifiques dans la réponse immunitaire. Par exemple, l'IgG est la principale immunoglobuline sérique et protège contre les infections bactériennes et virales en facilitant la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps et la complémentation.

Les immunoglobulines peuvent être trouvées dans le sang, la lymphe et d'autres fluides corporels, et elles sont souvent utilisées comme thérapeutiques pour traiter une variété de conditions médicales, y compris les déficits immunitaires primaires et secondaires, les maladies auto-immunes et les infections.

L'immunoglobuline M (IgM) est un type d'anticorps présent dans le sang et les fluides corporels. C'est la première ligne de défense du système immunitaire contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Les IgM sont les plus grands des anticorps et se lient aux antigènes (substances étrangères) pour aider à neutraliser ou éliminer ces menaces. Ils agissent en activant le système du complément, ce qui entraîne la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Les IgM sont produites par les plasmocytes, un type de globule blanc, en réponse à une infection aiguë. Cependant, leur concentration dans le sang diminue rapidement après la disparition de l'antigène.

L'immunoglobuline A (IgA) est un type d'anticorps présent dans le corps humain. Il s'agit d'une protéine essentielle du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la défense contre les infections. L'IgA se trouve principalement dans les sécrétions corporelles, telles que les larmes, la salive, le suc gastrique, le mucus des poumons et des voies respiratoires supérieures, ainsi que les fluides génitaux et les sécrétions intestinales.

Il existe deux sous-types d'IgA : l'IgA1 et l'IgA2. L'IgA1 est la forme prédominante dans le sang et les sécrétions, tandis que l'IgA2 est plus abondante dans les muqueuses des voies respiratoires inférieures et du tractus gastro-intestinal.

L'IgA agit en se liant aux antigènes, tels que les bactéries, les virus et les toxines, pour empêcher leur adhésion et leur pénétration dans les muqueuses. Cela contribue à prévenir l'infection et l'inflammation des tissus environnants. De plus, l'IgA peut également neutraliser directement certains agents pathogènes en inhibant leur capacité à se répliquer ou à provoquer une infection.

En résumé, l'immunoglobuline A est un anticorps essentiel qui contribue à la défense immunitaire contre les infections en se liant aux agents pathogènes et en empêchant leur adhésion et pénétration dans les muqueuses.

Les antigènes CD4, également connus sous le nom de cluster de différenciation 4, sont des protéines présentes à la surface de certaines cellules du système immunitaire, en particulier les lymphocytes T helper. Ces protéines jouent un rôle crucial dans la régulation de la réponse immunitaire de l'organisme.

Les antigènes CD4 servent de récepteurs pour les antigènes étrangers, tels que les protéines virales ou bactériennes. Lorsqu'un antigène se lie à un antigène CD4, il active le lymphocyte T helper correspondant, qui déclenche alors une cascade de réactions immunitaires visant à éliminer la menace pour l'organisme.

Les antigènes CD4 sont également des marqueurs importants pour distinguer les différents types de cellules du système immunitaire. Par exemple, les lymphocytes T helper sont souvent définis comme étant des cellules exprimant les antigènes CD4 à leur surface.

Les antigènes CD4 sont également une cible privilégiée pour certains virus, tels que le VIH (virus de l'immunodéficience humaine), qui les utilisent pour infecter et détruire les lymphocytes T helper. Cette destruction des cellules immunitaires est à l'origine du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui constituent une partie essentielle des anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules protectrices produites par notre système immunitaire pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les toxines.

Les chaînes lourdes sont des segments protéiques plus grands qui s'associent à d'autres segments protéiques appelés chaînes légères pour former un anticorps fonctionnel. Les chaînes lourdes sont composées de différents domaines, y compris le domaine variable responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, ainsi que plusieurs domaines constants qui contribuent à la structure et à la fonction de l'anticorps.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, désignées par les lettres grecques α (alpha), δ (delta), ε (epsilon), γ (gamma) et μ (mu). Chaque type de chaîne lourde correspond à un type spécifique d'anticorps : IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Les différents types d'anticorps ont des fonctions et des distributions tissulaires distinctes, ce qui permet au système immunitaire de répondre de manière appropriée aux divers types de menaces pour la santé.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que les déficits immunitaires primaires, qui prédisposent une personne à des infections récurrentes et sévères. Des recherches sont en cours pour comprendre comment les chaînes lourdes contribuent à la fonction et à la régulation du système immunitaire et pour développer de nouvelles thérapies pour traiter les maladies liées aux troubles du système immunitaire.

Un allergène est une substance qui peut provoquer une réaction allergique dans certaines personnes. Lorsqu'une personne est exposée à un allergène, son système immunitaire le considère comme étranger et déclenche une réponse immunitaire excessive, entraînant des symptômes tels que des démangeaisons, des éternuements, des larmoiements, une congestion nasale, de l'eczéma, de l'asthme ou un choc anaphylactique dans les cas graves.

Les allergènes peuvent provenir de diverses sources, notamment :

1. Pollens de plantes
2. Acariens
3. Animaux domestiques (poils, squames, urine)
4. Insectes (comme les cafards et les acariens)
5. Aliments (arachides, lait, œufs, soja, blé, poisson, crustacés)
6. Moisissures
7. Latex
8. Médicaments (pénicilline, aspirine)
9. Produits chimiques et métaux (notamment le nickel)
10. Venins d'insectes (abeilles, guêpes, frelons)

Les allergies sont courantes et peuvent affecter les personnes de tous âges et de tous horizons. Il est important de consulter un médecin ou un allergologue pour diagnostiquer et gérer correctement les réactions aux allergènes, ce qui peut inclure des mesures d'évitement, des médicaments en vente libre ou sur ordonnance et, dans certains cas, une immunothérapie (désensibilisation).

L'immunoglobuline voie intraveineuse (IgIV) est une préparation thérapeutique d'anticorps protecteurs, dérivée du plasma sanguin humain. Elle est administrée par voie intraveineuse pour fournir une immunité passive contre certaines infections et maladies. L'IgIV contient des anticorps dirigés contre divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les toxines, offrant ainsi une protection temporaire contre ces menaces.

Ce traitement est généralement utilisé pour prévenir ou traiter les infections chez les personnes présentant un déficit immunitaire primitif ou acquis, telles que le déficit en immunoglobuline, le syndrome des neutrophiles dysfonctionnels, l'infection à VIH, les greffés d'organes solides et les patients atteints de certains types de cancer.

L'IgIV est également employée dans la prise en charge de diverses affections auto-immunes et inflammatoires, comme le syndrome de Guillain-Barré, le syndrome myasthénique grave, le purpura thrombocytopénique idiopathique et la polyarthrite rhumatoïde. En outre, elle peut être utilisée pour traiter les réactions indésirables à la transfusion sanguine et pour prévenir les infections chez les personnes exposées à des agents pathogènes spécifiques, comme l'hépatite A.

Les effets secondaires courants de l'IgIV comprennent des réactions allergiques légères à modérées, des maux de tête, des nausées, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une augmentation transitoire des taux sériques d'alanine aminotransférase (ALT). Dans de rares cas, l'IgIV peut provoquer des réactions anaphylactiques graves, une thrombose veineuse et une insuffisance cardiaque congestive. Par conséquent, il est crucial que les professionnels de la santé surveillent attentivement les patients recevant ce traitement et ajustent la posologie en fonction des besoins individuels.

Les gènes des chaînes légères des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent les protéines des chaînes légères des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les chaînes légères sont des molécules constituantes importantes des immunoglobulines, avec une masse moléculaire inférieure à celle des chaînes lourdes. Elles se composent de deux domaines: un domaine variable (V) et un domaine constant (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que le domaine constant participe à la médiation des effets biologiques des immunoglobulines.

Il existe deux types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Les gènes correspondants sont situés sur différents chromosomes. Les gènes des chaînes légères comprennent plusieurs segments, notamment les segments variables (V), diversifiants (D) et jointifs (J), qui subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B pour produire une grande diversité d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de reconnaître et de répondre à un large éventail d'antigènes.

Les gènes des chaînes légères sont essentiels au fonctionnement du système immunitaire, car ils contribuent à la production d'anticorps spécifiques qui protègent l'organisme contre les agents pathogènes et autres substances étrangères. Les mutations ou les variations de ces gènes peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires, les maladies auto-immunes et certains types de cancer.

L'hypersensibilité, dans le contexte médical, se réfère à une réactivité excessive ou anormale du système immunitaire envers des substances généralement inoffensives, appelées allergènes. Cela provoque une réponse immunologique exagérée qui peut entraîner une variété de symptômes, allant des manifestations cutanées telles que l'eczéma et l'urticaire aux problèmes respiratoires comme l'asthme, ou même des réactions potentiellement mortelles telles que le choc anaphylactique.

Il existe différents types d'hypersensibilité, classés en quatre catégories (I à IV) selon les mécanismes immunitaires impliqués :

1. Hypersensibilité de type I: Aussi connue sous le nom de réaction allergique immédiate, elle est médiée par des anticorps de type IgE et inclut des symptômes tels que les éternuements, l'écoulement nasal, les démangeaisons cutanées, l'urticaire et le choc anaphylactique.

2. Hypersensibilité de type II: Dans ce type, les anticorps (généralement IgG ou IgM) se lient aux antigènes sur la surface des cellules, entraînant leur destruction par des mécanismes complémentaires ou cytotoxiques. Les exemples incluent les réactions transfusionnelles et les maladies auto-immunes.

3. Hypersensibilité de type III: Elle est causée par la formation d'immuns complexes entre les antigènes et les anticorps (généralement IgG), qui se déposent dans les tissus et activent le système du complément, entraînant une inflammation et des dommages tissulaires. Les exemples incluent la glomérulonéphrite aiguë post-streptococcique et le syndrome de vasculite associé aux anticorps anti-neutrophiles cytoplasmiques (ANCA).

4. Hypersensibilité de type IV: Aussi connu sous le nom de réaction retardée d'hypersensibilité, ce type est médié par des lymphocytes T activés et comprend des symptômes tels que l'érythème cutané, l'induration et la nécrose. Les exemples incluent les réactions aux piqûres d'insectes, le zona et la tuberculose.

En résumé, l'hypersensibilité est une réponse excessive du système immunitaire à des antigènes qui peut entraîner une inflammation et des dommages tissulaires. Il existe quatre types d'hypersensibilité, chacun ayant des mécanismes différents et des manifestations cliniques uniques. Une compréhension approfondie de ces types est essentielle pour le diagnostic et la prise en charge appropriés des maladies associées à l'hypersensibilité.

Les chaînes légères des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Il existe deux types de chaînes légères : kappa (κ) et lambda (λ). Chaque anticorps est constitué de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfure pour former la structure tridimensionnelle de l'anticorps.

Les chaînes légères sont synthétisées sur les ribosomes libres du réticulum endoplasmique et contiennent deux domaines constants (C) et un domaine variable (V). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que les domaines constants sont responsables de la fonction effectrice de l'anticorps.

Les chaînes légères kappa et lambda sont codées par des gènes différents situés sur des chromosomes différents. Chez un individu sain, il y a une distribution équilibrée des chaînes légères kappa et lambda dans le sang et la moelle osseuse. Cependant, certaines affections médicales peuvent entraîner une production anormale de chaînes légères, telles que les gammapathies monoclonales, qui sont des conditions caractérisées par la production excessive d'une seule chaîne légère. Ces conditions peuvent être bénignes ou malignes et nécessitent une évaluation médicale appropriée.

L'hypersensibilité immédiate, également connue sous le nom de type I d'hypersensibilité, est une réaction allergique rapide qui se produit généralement dans les premières minutes à une heure après l'exposition à un allergène spécifique. Ce type d'hypersensibilité implique la production d'immunoglobulines E (IgE) spécifiques aux allergènes, qui se lient aux récepteurs des mast cells et des basophiles. Lorsque l'allergène est reconnu par les IgE liées aux récepteurs, cela déclenche la dégranulation des cellules et la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine, les leukotriènes et les prostaglandines.

Ces médiateurs provoquent une variété de symptômes qui peuvent affecter plusieurs organes, notamment la peau (urticaire, angio-œdème), les voies respiratoires (rhinite allergique, asthme), le tube digestif (nausées, vomissements, diarrhée) et le système cardiovasculaire (hypotension, tachycardie). Les réactions d'hypersensibilité immédiate peuvent varier en gravité, allant de légères à graves, voire potentiellement mortelles dans certains cas, comme l'anaphylaxie.

Les déclencheurs courants d'hypersensibilité immédiate comprennent les aliments (arachides, fruits de mer), les venins d'insectes (abeilles, guêpes), les acariens, les moisissures, la poussière et les pollens. Les personnes atteintes d'asthme peuvent également présenter des réactions d'hypersensibilité immédiate aux allergènes inhalés.

Les granulocytes basophiles sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle dans la réponse inflammatoire et allergique de l'organisme. Ils représentent généralement moins de 1% de l'ensemble des leucocytes circulants.

Ils se caractérisent par leur granulation spécifique, contenant des médiateurs chimiques tels que l'histamine, la sérotonine et les leucotriènes, qui sont libérés lors de la dégranulation en réponse à des stimuli comme certains antigènes ou médiateurs inflammatoires.

Ces cellules participent activement aux processus immunitaires, notamment dans l'hypersensibilité de type I (réactions allergiques immédiates) et certaines réponses inflammatoires. Cependant, leur rôle précis dans ces phénomènes est encore largement étudié et fait l'objet de recherches actives.

Un test cutané est un examen diagnostique qui consiste à introduire une petite quantité d'allergène sous la peau pour déterminer si une personne est allergique à cet allergène spécifique. Ce type de test est généralement effectué pour identifier des allergies telles que les allergies aux aliments, aux médicaments, au latex ou aux piqûres d'insectes.

Il existe deux méthodes principales de tests cutanés : le test cutané intradermique et le test cutané épicutané (ou patch-test).

1. Dans un test cutané intradermique, une petite quantité d'allergène est injectée juste sous la surface de la peau, généralement à l'avant-bras ou au dos. Si vous êtes allergique à cet allergène, votre système immunitaire réagira en libérant des anticorps et des médiateurs chimiques, ce qui entraînera une inflammation locale et un gonflement de la peau (rougeur, chaleur, douleur et tuméfaction). Cette réaction est généralement observée après 15 à 20 minutes.

2. Dans un test cutané épicutané (ou patch-test), des allergènes suspectés sont appliqués sur la peau, le plus souvent sur le dos, sous forme de petites pastilles ou de pansements adhésifs pendant 48 heures. Après cette période, les sites d'application sont examinés pour détecter toute réaction cutanée anormale, telle qu'une rougeur, un gonflement, des démangeaisons ou des vésicules.

Les tests cutanés sont considérés comme sûrs et fiables dans la plupart des cas. Cependant, ils peuvent présenter certains risques, tels que des réactions allergiques graves (anaphylaxie), des rougeurs et des démangeaisons persistantes au site du test. Par conséquent, il est essentiel de réaliser ces tests sous la supervision d'un professionnel de santé qualifié et formé à cet effet.

Les chaînes légères kappa des immunoglobulines sont une protéine présente dans le sang et les autres fluides corporels. Elles sont produites par un type de globules blancs appelés plasmocytes, qui sont une partie importante du système immunitaire. Les chaînes légères kappa sont des composants essentiels des anticorps (immunoglobulines), qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant aux agents étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Les chaînes légères kappa sont appelées "légères" car elles ont une masse moléculaire relativement faible par rapport à d'autres protéines sanguines. Elles sont produites en grande quantité dans le corps, ce qui signifie qu'elles peuvent être facilement détectées et mesurées dans le sang.

Les chaînes légères kappa sont un type spécifique de chaîne légère, l'autre étant les chaînes légères lambda. Les deux types de chaînes légères sont produites en quantités égales dans le corps sain et sont utilisées pour former des anticorps fonctionnels. Cependant, dans certaines maladies du sang telles que les gammapathies monoclonales, une seule chaîne légère est produite de manière excessive, ce qui peut entraîner des déséquilibres et des problèmes de santé.

Dans l'ensemble, les chaînes légères kappa sont un élément important du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les maladies.

L'hypersensibilité alimentaire, également connue sous le nom d'intolérance alimentaire, est une réaction anormale du système immunitaire ou digestif à certains aliments ou additifs alimentaires. Contrairement aux allergies alimentaires qui impliquent une réponse du système immunitaire médiée par les IgE, les hypersensibilités alimentaires sont généralement non IgE médiées et peuvent être plus difficiles à diagnostiquer. Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre et peuvent inclure des douleurs abdominales, des ballonnements, de la diarrhée, des nausées, des vomissements, des éruptions cutanées, des maux de tête et des difficultés respiratoires.

Les hypersensibilités alimentaires peuvent être déclenchées par une variété de facteurs, tels que la consommation excessive d'un aliment particulier, une intolérance à un composant spécifique de l'aliment, comme le lactose ou le gluten, ou une réaction toxique à des substances présentes dans les aliments. Dans certains cas, les hypersensibilités alimentaires peuvent être liées à des conditions médicales sous-jacentes telles que le syndrome du côlon irritable ou la maladie cœliaque.

Le traitement de l'hypersensibilité alimentaire implique généralement d'éviter les aliments qui déclenchent une réaction, bien qu'une gestion diététique appropriée puisse être nécessaire pour s'assurer que les régimes d'éviction sont équilibrés et nutritifs. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour gérer les symptômes associés à l'hypersensibilité alimentaire.

Les isotypes d'immunoglobulines, également connus sous le nom de classes d'immunoglobulines, se réfèrent aux différentes structures chimiques des anticorps (immunoglobulines) produits par les lymphocytes B dans le système immunitaire. Il existe cinq isotypes principaux chez les humains: IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Chaque isotype a des fonctions spécifiques et joue un rôle important dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes.

1. IgA: Il s'agit d'un isotype présent dans les sécrétions telles que les larmes, la salive, le lait maternel et les sécrétions intestinales. Il protège les muqueuses des infections en neutralisant les virus et les bactéries avant qu'ils ne pénètrent dans l'organisme.

2. IgD: Cet isotype est principalement présent à la surface des lymphocytes B matures comme récepteur d'anticorps de surface (sIgD). Il joue un rôle dans l'activation et la différenciation des lymphocytes B.

3. IgE: Cet isotype est associé à la réponse allergique et parasitaire. Les IgE se lient aux récepteurs des mast cells et des basophiles, déclenchant une libération d'histamine et d'autres médiateurs chimiques lorsqu'ils sont activés par un antigène spécifique, entraînant une réaction inflammatoire.

4. IgG: Il s'agit du plus abondant des isotypes sériques et possède plusieurs sous-classes (IgG1, IgG2, IgG3 et IgG4). Les IgG sont responsables de la neutralisation des toxines bactériennes, de l'opsonisation des particules étrangères pour faciliter leur phagocytose et de l'activation du complément.

5. IgM: Cet isotype est le premier à être produit lors d'une réponse immunitaire et se trouve principalement dans le sérum. Les IgM sont décimales, ce qui signifie qu'elles contiennent cinq unités Y de chaînes lourdes et légères, facilitant l'activation du complément et la neutralisation des virus en agglutinant les particules virales.

En résumé, chaque isotype d'immunoglobuline a un rôle spécifique dans la réponse immunitaire, que ce soit pour la défense contre les agents pathogènes, la neutralisation des toxines ou la médiation des réactions allergiques.

Les mastocytes sont des granulocytes (un type de globules blancs) qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire et inflammatoire de l'organisme. Ils sont remplis de granules contenant des médiateurs chimiques, tels que l'histamine, la sérotonine, les leucotriènes et les prostaglandines. Lorsqu'ils sont stimulés, ces médiateurs sont libérés dans le tissu environnant, provoquant une variété de réactions physiologiques telles que l'expansion des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, et l'attraction d'autres cellules immunitaires vers le site. Les mastocytes sont particulièrement abondants dans les tissus conjonctifs, en particulier près des vaisseaux sanguins et nerveux, ainsi que dans la muqueuse des voies respiratoires et digestives. Ils sont impliqués dans des processus physiologiques normaux, comme la défense contre les parasites, mais aussi dans des pathologies telles que l'asthme, les réactions allergiques (y compris l'anaphylaxie), et certaines maladies inflammatoires chroniques.

L'immunoglobuline A sécrétoire (IgA sécrétoire) est un type d'immunoglobuline, ou anticorps, qui joue un rôle crucial dans la défense immunitaire des muqueuses du corps, telles que celles des poumons, du tube digestif et des voies génitales. Ces anticorps sont produits par les plasmocytes (un type de globule blanc) et sont sécrétés dans les fluides corporels, tels que la salive, le suc gastrique, les larmes, le mucus nasal et respiratoire, et les sécrétions vaginales.

L'IgA sécrétoire est un dimère (deux molécules d'IgA liées ensemble) qui contient une protéine supplémentaire appelée fragment de jonction J (J-chain). Cette forme spécifique d'IgA offre une protection locale contre les agents pathogènes, tels que les bactéries et les virus, en empêchant leur adhésion et leur invasion des muqueuses. De plus, l'IgA sécrétoire peut neutraliser les toxines produites par certains micro-organismes, ce qui contribue à prévenir les infections et l'inflammation.

L'IgA sécrétoire est particulièrement importante pour la protection des surfaces muqueuses exposées aux antigènes environnementaux, tels que les allergènes alimentaires et les particules inhalées. Elle contribue également à la régulation de la réponse immunitaire locale en limitant l'activation excessive du système immunitaire qui pourrait entraîner une inflammation chronique ou des maladies auto-immunes.

La région variable des immunoglobulines, souvent abrégée en V region ou V domain, se réfère à la partie d'une molécule d'immunoglobuline (anticorps) qui est responsable de la reconnaissance et du lien avec des antigènes spécifiques. Cette région est dite "variable" car elle diffère considérablement d'une molécule d'immunoglobuline à l'autre, même au sein d'un même individu.

La région variable est composée de plusieurs segments protéiques, appelés domaines variables (V domains), qui sont codés par des gènes particuliers appelés gènes V, D et J pour les immunoglobulines de classe IgG, IgA et IgD. Ces domaines variables forment une structure en forme de feuille pliée qui contient la zone de liaison à l'antigène, également appelée paratope.

La diversité des régions variables est ce qui permet aux anticorps de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes différents, y compris les protéines, les glucides, les lipides et autres molécules présentes sur les surfaces des cellules ou dans le milieu extracellulaire. Cette diversité est générée par une combinaison complexe de processus génétiques, tels que la recombinaison somatique et l'hypermutation somatique, qui permettent à chaque molécule d'immunoglobuline de posséder un ensemble unique de régions variables.

Les lymphocytes B sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la production d'anticorps, des protéines qui marquent les agents pathogènes étrangers pour une destruction ultérieure par d'autres éléments du système immunitaire.

Après s'être développés dans la moelle osseuse, les lymphocytes B migrent vers la rate et les ganglions lymphatiques où ils mûrissent et deviennent des cellules capables de produire des anticorps spécifiques. Lorsqu'un lymphocyte B rencontre un agent pathogène qu'il peut cibler, il se différencie en une plasmocyte qui sécrète alors des quantités massives d'anticorps contre cet agent pathogène particulier.

Les maladies associées à un dysfonctionnement des lymphocytes B comprennent le déficit immunitaire commun variable, la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI), et certains types de leucémie et de lymphome.

Les fragments Fc d'immunoglobulines sont des portions structurales constantes des molécules d'immunoglobulines (anticorps), qui jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire et l'élimination des agents pathogènes. Les fragments Fc sont composés de deux chaînes lourdes et peuvent se lier à divers récepteurs Fc et protéines effectrices, telles que les lectines et les protéines de la classe Fc, pour initier une variété de réponses immunitaires.

Les fragments Fc des immunoglobulines peuvent être séparés des parties variables antigéniques (Fab) par digestion enzymatique, ce qui permet d'isoler et d'étudier leurs fonctions spécifiques dans la modulation de l'activité immunitaire. Les fragments Fc présentent des propriétés biochimiques uniques, telles que la capacité à se lier aux récepteurs Fc sur les cellules immunitaires et à activer la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) et la libération de médiateurs inflammatoires.

Dans un contexte clinique, les fragments Fc peuvent être utilisés dans le développement de thérapies immunologiques ciblées pour traiter diverses affections pathologiques, telles que les infections, l'inflammation et les maladies auto-immunes. Par exemple, des fragments Fc d'immunoglobulines spécifiquement conçus peuvent être utilisés pour neutraliser les toxines bactériennes ou virales, bloquer la signalisation inflammatoire excessive ou favoriser l'élimination des cellules anormales par le système immunitaire.

En résumé, les fragments Fc d'immunoglobulines sont des composants structuraux et fonctionnels importants des anticorps qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité du système immunitaire et peuvent être exploités pour le développement de thérapies ciblées dans diverses applications cliniques.

Les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une partie constitutive des anticorps, qui sont des protéines essentielles du système immunitaire participant à la défense de l'organisme contre les agents pathogènes. Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont composées de deux chaînes lourdes (α, γ, δ ou μ) et deux chaînes légères (κ ou λ).

Dans le cas des chaînes lourdes mu, elles sont spécifiquement associées aux immunoglobulines de type IgM. Les IgM sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection et jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire complémentaire.

Les chaînes lourdes mu contiennent plusieurs domaines constants et variables, qui déterminent la spécificité de liaison de l'anticorps à un antigène donné. Les régions variables des chaînes lourdes mu sont particulièrement importantes pour la reconnaissance et la liaison aux épitopes des antigènes.

En résumé, les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une composante clé des anticorps de type IgM, qui jouent un rôle essentiel dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes.

Un Test Radioallergosorbent (RAST) est un type de test sanguin utilisé en médecine pour détecter la présence d'allergies spécifiques. Il fonctionne en exposant un échantillon de sang à des extraits d'allergènes courants tels que le pollen, les acariens, les moisissures ou certains aliments. Si le système immunitaire du patient réagit aux allergènes, il produira des anticorps spécifiques appelés immunoglobulines E (IgE).

Le terme "radioallergosorbent" vient de l'utilisation d'isotopes radioactifs dans le processus initial pour marquer les anticorps IgE. Cependant, la plupart des tests RAST modernes utilisent maintenant des méthodes fluorescentes ou colorimétriques à la place des isotopes radioactifs, ce qui rend ces tests plus sûrs et plus accessibles.

Les résultats du test RAST sont généralement exprimés en classes quantitatives (de 0 à 6) indiquant l'importance relative de la réaction allergique. Plus la classe est élevée, plus forte est la probabilité d'une réelle réaction allergique lorsque le patient est exposé à l'allergène en question.

Ce test peut être particulièrement utile pour les personnes ayant des antécédents de réactions allergiques mais qui ne présentent pas toujours des symptômes typiques lorsqu'elles sont exposées aux allergènes suspectés. Il permet également d'éviter certaines réactions indésirables associées aux tests cutanés traditionnels.

La commutation des classes d'immunoglobulines, également connue sous le nom de switching isotypique ou classe de switching, est un processus immunologique au cours duquel une cellule B active modifie la classe (isotype) de son immunoglobuline (anticorps) produite, tout en conservant la même spécificité antigénique. Ce processus se produit dans le centre germinatif des ganglions lymphatiques et est médié par un changement dans la région variable de la chaîne lourde des immunoglobulines, induit par l'activation de l'enzyme activateur de la transcription AID (activation-induced cytidine deaminase).

La commutation des classes d'immunoglobulines permet aux cellules B de produire différents types d'anticorps (par exemple, IgM, IgG, IgA, et IgE) en réponse à une infection ou à un antigène. Chaque classe d'immunoglobuline a des propriétés fonctionnelles et structurelles différentes, ce qui permet aux cellules B de fournir une réponse immunitaire adaptative appropriée contre divers types de pathogènes.

La commutation des classes d'immunoglobulines est un processus crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative efficace et la mémoire immunologique. Des défauts dans ce processus peuvent entraîner une susceptibilité accrue aux infections et des maladies auto-immunes.

Les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules clés du système immunitaire qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries et les virus.

Chaque anticorps est composé de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfures pour former une structure en Y. Les chaînes légères peuvent être divisées en deux types différents : kappa et lambda. Environ 60% des anticorps humains contiennent des chaînes légères lambda, tandis que les 40% restants contiennent des chaînes légères kappa.

Les chaînes légères lambda sont codées par un gène situé sur le chromosome 22. Les mutations ou les réarrangements anormaux de ce gène peuvent entraîner la production d'un nombre anormal de chaînes légères lambda, ce qui peut contribuer au développement de certaines maladies du sang telles que le myélome multiple et le trouble du gène WM (Waldenström macroglobulinémie).

En résumé, les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps et aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers. Les anomalies dans la production de ces chaînes peuvent contribuer au développement de certaines maladies du sang.

L'asthme est une maladie chronique des voies respiratoires qui implique l'inflammation, le rétrécissement des bronches et une hypersensibilité à divers stimuli. Il se caractérise par des symptômes tels que une respiration sifflante, essoufflement, toux et oppression thoracique. Ces symptômes peuvent être déclenchés par des facteurs tels que l'exposition aux allergènes, les infections respiratoires, l'exercice, le tabagisme ou le stress émotionnel.

L'asthme peut varier en termes de gravité et de fréquence des symptômes. Dans certains cas, il peut être géré avec des changements de style de vie et des médicaments de contrôle de l'asthme, tandis que dans d'autres, il peut nécessiter une prise en charge plus agressive, y compris des stéroïdes et des traitements d'urgence.

Les causes sous-jacentes de l'asthme ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement considéré comme étant lié à une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux. Le diagnostic d'asthme est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests de fonction pulmonaire.

Un anti-anticorps, également connu sous le nom d'anti-immunoglobuline ou d'anti-γ-globuline, est un type d'anticorps produit par le système immunitaire qui cible et se lie à des anticorps spécifiques. Les anti-anticorps sont généralement formés en réponse à une exposition préalable à des anticorps exogènes, tels que ceux trouvés dans les transfusions sanguines ou les greffes d'organes. Ils peuvent également être produits de manière anormale en raison de certaines maladies auto-immunes.

Les anti-anticorps sont souvent utilisés en médecine diagnostique pour identifier et mesurer la présence d'anticorps spécifiques dans le sang. Ils peuvent également être utilisés thérapeutiquement pour traiter certaines maladies auto-immunes, telles que le purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI), en éliminant les anticorps pathogènes du sang.

Cependant, la présence d'anti-anticorps peut également entraîner des complications lors de transfusions sanguines ou de greffes d'organes, car ils peuvent provoquer une réaction immunitaire contre les propres anticorps du receveur. Par conséquent, il est important de dépister et de surveiller la présence d'anti-anticorps avant de procéder à de telles interventions médicales.

L'immunoglobuline D (IgD) est un type d'anticorps présent dans le sang et les tissus du corps humain. Il s'agit d'une protéine impliquée dans le système immunitaire, qui aide à combattre les infections et les maladies. L'IgD est produite par certaines cellules B, un type de globule blanc, et se lie aux antigènes, des substances étrangères telles que des bactéries ou des virus, pour aider à les identifier et à les éliminer.

Cependant, l'IgD ne joue pas un rôle aussi important dans la réponse immunitaire que d'autres types d'immunoglobulines, telles que l'IgG ou l'IgM. Sa fonction précise est encore mal comprise, mais on pense qu'elle peut être impliquée dans l'activation des cellules B et la régulation de la réponse immunitaire.

Des niveaux anormaux d'IgD peuvent être associés à certaines affections médicales, telles que les déficits immunitaires primaires ou les maladies auto-immunes. Cependant, l'IgD n'est pas couramment utilisée comme marqueur diagnostique ou pronostique pour ces conditions.

La libération d'histamine est un processus physiologique qui se produit lorsque les mast cells (cellules mastiques) et les basophils relâchent l'histamine dans la circulation sanguine et les tissus corporels. L'histamine est un médiateur chimique qui joue un rôle crucial dans les réactions immunitaires et inflammatoires du corps.

La libération d'histamine peut être déclenchée par divers stimuli, notamment des allergènes, des infections, des lésions tissulaires, certaines maladies et médicaments. Lorsque l'histamine est relâchée, elle se lie à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, ce qui entraîne une série de réactions physiologiques, telles que la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire et l'activation des cellules immunitaires.

Ces réactions peuvent entraîner des symptômes courants d'allergies, tels que des démangeaisons, des éternuements, un nez qui coule, des yeux larmoyants et des rougeurs, une peau irritée et enflée, des douleurs abdominales et des diarrhées. Dans certains cas graves, la libération d'histamine peut également entraîner une anaphylaxie, une réaction allergique potentiellement mortelle qui nécessite une attention médicale immédiate.

Les antihistaminiques sont souvent utilisés pour traiter les symptômes associés à la libération d'histamine en bloquant les récepteurs de l'histamine et en empêchant ainsi sa liaison aux cellules.

L'interleukine-4 (IL-4) est une cytokine qui joue un rôle crucial dans la régulation et le contrôle des réponses immunitaires. Elle est produite principalement par les lymphocytes T auxiliaires de type 2 (Th2), les mastocytes et les basophiles.

L'IL-4 participe à divers processus physiologiques, tels que :

1. La différenciation des lymphocytes T naïfs en lymphocytes Th2, favorisant ainsi une réponse immunitaire de type 2 contre les parasites et certains types d'allergènes.
2. L'activation et la prolifération des lymphocytes B, contribuant à la production d'anticorps, en particulier les immunoglobulines E (IgE), qui sont importantes dans la défense contre les parasites et la pathogenèse des réactions allergiques.
3. L'inhibition de la différenciation des lymphocytes T naïfs en lymphocytes Th1, ce qui permet de réguler l'équilibre entre les réponses immunitaires de type 1 et de type 2.
4. La stimulation de la production d'autres cytokines, telles que l'interleukine-5 (IL-5) et l'interleukine-13 (IL-13), qui sont également importantes dans les réponses immunitaires de type 2.

Des anomalies dans la production ou la signalisation de l'IL-4 ont été associées à diverses affections, notamment les allergies, les maladies inflammatoires et certains types de cancer.

Les régions constantes des immunoglobulines, également connues sous le nom de régions C, sont des parties structuralement et fonctionnellement conservées des chaînes lourdes et légères des molécules d'immunoglobulines (anticorps). Ces régions sont constituées de trois domaines globulaires en forme de feuillet (Domaines Ig), chacun contenant environ 110 acides aminés. Les régions constantes sont responsables de la détermination des effets biologiques spécifiques des anticorps, tels que la fixation du complément et l'opsonisation (marquage d'une cellule ou d'une particule étrangère pour être reconnue par les cellules du système immunitaire).

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes dans les immunoglobulines, notées α, δ, ε, γ et μ. Chaque type a une région constante distincte qui détermine la fonction et la classe de l'immunoglobuline. Par exemple, les IgG, qui sont les anticorps les plus abondants dans le sang humain, ont une région constante composée de trois domaines Cγ. De même, les IgM, qui sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection, ont une région constante composée de cinq domaines Cμ.

Les régions constantes des immunoglobulines sont codées par des gènes situés sur des chromosomes spécifiques et subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B, ce qui permet la production d'une grande diversité d'anticorps pour faire face à une variété d'agents pathogènes.

Les chaînes lourdes epsilon des immunoglobulines, également connues sous le nom d'IgE, sont un type spécifique de chaîne protéique qui fait partie de la structure des anticorps dans le système immunitaire. Les anticorps, ou immunoglobulines, sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Les chaînes lourdes epsilon sont associées aux anticorps de type IgE, qui jouent un rôle crucial dans la réponse allergique. Lorsqu'un allergène pénètre dans le corps, il peut provoquer la libération d'IgE spécifiques à cet allergène. Ces IgE se lient ensuite aux récepteurs des cellules immunitaires telles que les mastocytes et les basophiles, ce qui entraîne la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine, qui provoquent une variété de symptômes allergiques tels que des démangeaisons, un écoulement nasal, des éternuements et des gonflements.

Il est important de noter que les niveaux d'IgE peuvent être mesurés dans le sang pour diagnostiquer certaines affections allergiques ou immunitaires. Des niveaux anormalement élevés d'IgE peuvent indiquer une prédisposition aux réactions allergiques ou à certaines maladies telles que l'asthme, la dermatite atopique et la maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 1.

Le terme « eczéma constitutionnel » n'est pas largement utilisé dans la littérature médicale actuelle. Il fait référence à un type d'eczéma qui est considéré comme étant lié à des facteurs génétiques et héréditaires, ce qui signifie qu'il est présent depuis la naissance ou s'est développé tôt dans l'enfance. Ce type d'eczéma a également tendance à être plus persistant et récidivant que d'autres types.

Cependant, le terme « eczéma constitutionnel » n'est pas clairement défini et peut être utilisé de différentes manières par différents médecins et chercheurs. Certains peuvent l'utiliser pour décrire un eczéma atopique, qui est le type d'eczéma le plus courant et qui est lié à une prédisposition génétique à développer des réactions allergiques. D'autres peuvent l'utiliser pour décrire un eczéma discret, qui est un type d'eczéma moins courant qui se caractérise par de petites vésicules et des croûtes sur les mains et les pieds.

Par conséquent, il est important de noter que la définition de « eczéma constitutionnel » peut varier et qu'il est préférable de se référer à des termes médicaux plus spécifiques pour décrire les différents types d'eczéma.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

Les récepteurs Fc sont des protéines présentes à la surface des cellules du système immunitaire, telles que les macrophages, les neutrophiles et les lymphocytes B. Ils se lient spécifiquement aux régions Fc des anticorps (immunoglobulines) après qu'ils ont lié leur cible antigénique. Cette interaction permet d'initier une variété de réponses immunitaires, y compris la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps et l'activation du complément.

Il existe plusieurs types de récepteurs Fc, chacun se liant à différents isotypes d'anticorps (par exemple, IgG, IgA, IgE) et jouant des rôles distincts dans la réponse immunitaire. Par exemple, les récepteurs Fcγ pour l'IgG sont importants pour la phagocytose et la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps, tandis que les récepteurs Fcε pour l'IgE sont essentiels à la médiation des réactions allergiques.

En résumé, les récepteurs Fc sont des protéines clés du système immunitaire qui facilitent la communication entre les anticorps et les cellules effectrices, déclenchant ainsi une variété de réponses immunitaires pour éliminer les agents pathogènes et autres menaces pour l'organisme.

L'antigène d'histocompatibilité, également connu sous le nom d'antigène HLA (Human Leukocyte Antigen), se réfère à des protéines spécifiques présentes à la surface des cellules de presque tous les tissus du corps humain. Ces antigènes sont essentiels pour que le système immunitaire reconnaisse ce qui est normal (auto) et ce qui ne l'est pas (non-self), jouant ainsi un rôle crucial dans la réponse immunitaire.

Il existe deux principales classes d'antigènes HLA:

1. Les antigènes de classe I, qui sont exprimés sur toutes les cellules nucléées du corps, y compris les globules rouges et blancs. Ils comprennent les molécules HLA-A, HLA-B et HLA-C.

2. Les antigènes de classe II, qui sont principalement exprimés sur les cellules présentatrices d'antigènes (APC), telles que les macrophages, les lymphocytes B et les cellules dendritiques. Ils comprennent les molécules HLA-DP, HLA-DQ et HLA-DR.

Lorsque des tissus ou des organes sont transplantés d'un individu à un autre (allogreffe), il est possible que le système immunitaire du receveur reconnaisse les antigènes HLA du donneur comme étant différents et déclenche une réaction immunitaire, entraînant le rejet de la greffe. Pour minimiser ce risque, on essaie généralement de faire correspondre le plus possible les antigènes HLA entre le donneur et le receveur avant de procéder à une transplantation.

En médecine, la détermination des antigènes HLA est importante dans plusieurs domaines, tels que la compatibilité des greffons pour les transplantations d'organes solides ou de cellules souches hématopoïétiques, le diagnostic et le suivi de certaines maladies auto-immunes et inflammatoires, ainsi que dans la recherche sur les maladies génétiques.

L'anaphylaxie est une réaction allergique grave et potentiellement mortelle qui se produit soudainement après l'exposition à un déclencheur spécifique, tel qu'un aliment, un médicament, un venin d'insecte ou un latex. Cette réaction implique une libération massive d'histamine et d'autres médiateurs chimiques dans le sang, entraînant une variété de symptômes qui peuvent mettre la vie en danger.

Les symptômes courants de l'anaphylaxie comprennent des éruptions cutanées, des démangeaisons, un gonflement du visage, des lèvres et de la langue, une respiration sifflante, une oppression thoracique, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une diarrhée, une accélération du rythme cardiaque et une baisse de la tension artérielle. Dans les cas graves, l'anaphylaxie peut entraîner un choc anaphylactique, qui est une chute dangereuse de la tension artérielle pouvant entraîner une perte de conscience et même la mort si elle n'est pas traitée rapidement.

Le traitement de l'anaphylaxie implique généralement l'administration rapide d'une injection d'épinéphrine, qui aide à inverser les symptômes en rétrécissant les vaisseaux sanguins et en augmentant la fréquence cardiaque. D'autres traitements peuvent inclure des antihistaminiques, des corticostéroïdes et de l'oxygène supplémentaire. Les personnes atteintes d'anaphylaxie sont souvent invitées à porter un auto-injecteur d'épinéphrine en cas d'urgence.

Il est important de noter que l'anaphylaxie peut être évitée en évitant les déclencheurs spécifiques qui provoquent une réaction. Les personnes atteintes d'allergies alimentaires ou environnementales graves doivent travailler avec leur médecin pour élaborer un plan de gestion des allergies et prendre des précautions pour éviter les déclencheurs potentiels.

L'hypersensibilité au latex est une réaction allergique à certaines protéines présentes dans le latex, un matériau fabriqué à partir de la sève de l'arbre Hevea brasiliensis. Cette réaction se produit lorsque des personnes sensibles entrent en contact avec du latex, que ce soit par le biais de gants, de préservatifs, de ballons ou d'autres produits contenant du latex. Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre et aller d'une réaction cutanée locale légère (par exemple, rougeur, démangeaisons, urticaire) à une réaction systémique plus grave (par exemple, difficultés respiratoires, baisse de la pression artérielle, choc anaphylactique).

L'hypersensibilité au latex est souvent classée en deux catégories : immédiate et retardée. Les réactions immédiates se produisent généralement dans les minutes suivant l'exposition au latex et sont médiées par des anticorps de type IgE. Les réactions retardées, quant à elles, peuvent survenir jusqu'à 48 heures après l'exposition et sont associées à une réponse cellulaire impliquant des lymphocytes T.

Les personnes présentant un risque accru d'hypersensibilité au latex comprennent celles atteintes de maladies telles que la spina bifida, le syndrome du côlon irritable et les malformations uréthrales congénitales. Les professionnels de la santé qui utilisent fréquemment des gants en latex sont également exposés à un risque accru. Il est important de noter que l'hypersensibilité au latex peut être évitée en utilisant des alternatives sans latex chaque fois que cela est possible et en informant les professionnels de la santé de toute réaction allergique antérieure au latex.

La spécificité des anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier uniquement à une cible ou à un antigène spécifique. Cela signifie qu'un anticorps spécifique ne réagira et ne se liera qu'avec un épitope ou une structure moléculaire particulière sur l'antigène, à l'exclusion de tous les autres antigènes ou épitopes.

Cette propriété est cruciale dans le diagnostic et la thérapie des maladies, en particulier dans le domaine des tests sérologiques pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre un pathogène donné. Par exemple, dans les tests de dépistage du VIH, des anticorps spécifiques au virus du sida sont recherchés pour confirmer une infection.

En outre, la spécificité des anticorps est également importante en thérapie, où des anticorps monoclonaux hautement spécifiques peuvent être générés pour cibler et traiter des maladies telles que le cancer ou les maladies auto-immunes. Ces anticorps sont conçus pour se lier uniquement aux cellules cancéreuses ou aux molécules impliquées dans la maladie, minimisant ainsi les dommages collatéraux sur les cellules saines.

En résumé, la spécificité des anticorps est un concept clé en immunologie et en médecine, qui décrit la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier de manière sélective à une cible ou à un antigène spécifique. Cette propriété est essentielle pour le diagnostic et le traitement des maladies.

Les chaînes lourdes gamma des immunoglobulines, également connues sous le nom de chaînes gamma des anticorps, sont un type de protéine présent dans le système immunitaire. Les immunoglobulines, ou anticorps, sont des molécules protéiques produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les maladies.

Les chaînes lourdes gamma font partie de la structure des immunoglobulines G (IgG), qui sont les anticorps les plus courants dans le sang humain. Les IgG sont essentiels pour protéger l'organisme contre les infections bactériennes et virales, ainsi que contre d'autres agents pathogènes.

Les chaînes lourdes gamma sont composées de plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable, qui est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, et les domaines constants, qui sont importants pour l'activation du système immunitaire. Les chaînes lourdes gamma contiennent également des sites de fixation pour les compléments, ce qui permet d'activer le système du complément et de faciliter la destruction des agents pathogènes.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes gamma peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que le déficit immunitaire commun variable (DICV) et la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI). Ces conditions peuvent augmenter le risque d'infections, de maladies auto-immunes et de certains types de cancer.

Balb C est une souche inbred de souris de laboratoire largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces souris sont appelées ainsi en raison de leur lieu d'origine, le laboratoire de l'Université de Berkeley, où elles ont été développées à l'origine.

Les souries Balb C sont connues pour leur système immunitaire particulier. Elles présentent une réponse immune Th2 dominante, ce qui signifie qu'elles sont plus susceptibles de développer des réponses allergiques et asthmatiformes. En outre, elles ont également tendance à être plus sensibles à certains types de tumeurs que d'autres souches de souris.

Ces caractéristiques immunitaires uniques en font un modèle idéal pour étudier diverses affections, y compris les maladies auto-immunes, l'asthme et le cancer. De plus, comme elles sont inbredées, c'est-à-dire que chaque souris de cette souche est génétiquement identique à toutes les autres, elles offrent une base cohérente pour la recherche expérimentale.

Cependant, il est important de noter que les résultats obtenus sur des modèles animaux comme les souris Balb C peuvent ne pas toujours se traduire directement chez l'homme en raison des différences fondamentales entre les espèces.

Les fragments Fc des immunoglobulines, également connus sous le nom de Fc fragments, sont des parties constantes de certaines protéines d'immunoglobuline (anticorps) qui jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire. Ces fragments sont formés lorsque les immunoglobulines sont clivées ou séparées en deux parties distinctes : la partie Fab et la partie Fc.

La région Fab (Fragment antigénique binding) est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, c'est-à-dire les molécules étrangères telles que les protéines, les sucres ou les lipides qui déclenchent une réponse immunitaire.

La région Fc (Fragment cristallisable), quant à elle, est capable de se lier à d'autres protéines du système immunitaire, telles que les récepteurs des cellules présentatrices d'antigènes et les composants du complément. Cette interaction permet d'activer divers mécanismes de défense de l'organisme contre les agents pathogènes.

Les fragments Fc peuvent être utilisés dans un contexte thérapeutique pour traiter certaines affections médicales. Par exemple, les immunoglobulines intraveineuses (IgIV) sont des préparations contenant des pools d'immunoglobulines humaines provenant de nombreux donneurs, qui sont souvent utilisées pour traiter les déficits immunitaires primaires et secondaires, ainsi que certaines maladies auto-immunes et inflammatoires. Les fragments Fc peuvent être isolés à partir de ces préparations et administrés séparément pour cibler spécifiquement certains effets bénéfiques, tels que l'activation du complément ou la modulation de l'inflammation.

Acaridae est une famille d'acariens, également connus sous le nom de « mites » ou « acariens des céréales ». Ces petites créatures à huit pattes sont souvent associées aux matières organiques en décomposition, telles que les aliments pour animaux, la litière pour animaux, le compost et certaines cultures.

Les membres d'Acaridae ont un corps ovale ou rond et peuvent être difficiles à distinguer à l'œil nu en raison de leur petite taille (généralement moins de 1 mm). Ils sont souvent trouvés dans des environnements humides et chauds, avec une préférence pour les températures supérieures à 20 °C.

Bien que la plupart des acariens d'Acaridae ne soient pas directement nocifs pour l'homme, ils peuvent provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes en raison de leurs déjections et de leur décomposition. De plus, certains types d'acariens d'Acaridae sont connus pour infester les denrées alimentaires et causer une détérioration significative de la qualité des aliments.

Il est important de maintenir un environnement propre et sec pour prévenir l'infestation par ces acariens. Si vous soupçonnez une infestation, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé ou un spécialiste des parasites pour obtenir des conseils sur l'identification et le traitement appropriés.

Je suis désolé, mais la rhinite spasmodique apériodique n'est pas un terme médical largement reconnu ou utilisé dans la littérature médicale actuelle. Il est possible que vous ayez fait une erreur ou que ce terme soit obsolète.

Cependant, la rhinite spasmodique, également connue sous le nom de rhume des foins ou de rhinite allergique persistante, est un type d'inflammation de la muqueuse du nez qui provoque des symptômes tels que des éternuements, des démangeaisons, une congestion nasale et un écoulement nasal. Ces symptômes sont généralement déclenchés par l'exposition à des allergènes tels que le pollen, les acariens ou les poils d'animaux.

Si vous cherchez une définition pour un terme médical similaire mais non identique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les chaînes J des immunoglobulines, également connues sous le nom de chaînes légères, sont des protéines présentes dans les anticorps ou les immunoglobulines. Les chaînes J sont des segments variables de la région constante des chaînes légères des immunoglobulines et jouent un rôle important dans la formation de la structure tridimensionnelle des anticorps et dans leur capacité à se lier spécifiquement aux antigènes.

Il existe deux types de chaînes légères : les chaînes kappa (κ) et lambda (λ). Chaque immunoglobuline contient soit deux chaînes κ, soit deux chaînes λ, mais pas une combinaison des deux. Les chaînes J sont codées par les gènes situés sur le chromosome 22 pour les chaînes κ et sur le chromosome 2 pour les chaînes λ.

Les chaînes J sont produites lors du réarrangement des gènes des chaînes légères au cours du développement des lymphocytes B, qui sont responsables de la production d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de générer une grande diversité de séquences d'acides aminés dans les régions variables des chaînes légères, ce qui leur permet de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes des chaînes J peuvent entraîner la production d'immunoglobulines anormales et ont été associées à certaines maladies, telles que le myélome multiple et les gammapathies monoclonales de signification indéterminée (MGUS).

Les fragments d'immunoglobulines, également connus sous le nom de fragments d'anticorps, sont des portions protéiques spécifiques d'une immunoglobuline ou d'un anticorps qui ont conservé leur activité biologique. Les immunoglobulines sont des glycoprotéines complexes composées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, unies par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en reconnaissant et en neutralisant les antigènes étrangers.

Les fragments d'immunoglobulines peuvent être obtenus par une digestion enzymatique spécifique des immunoglobulines entières. Par exemple, la papaïne ou la pepsine peut être utilisée pour cliver les chaînes polypeptidiques des immunoglobulines en fragments Fab et Fc. Les fragments Fab (Fragment d'antigène lié) contiennent les régions variables des chaînes lourdes et légères, responsables de la reconnaissance et de la liaison spécifique aux antigènes. Les fragments Fc (Fragment cristallisable) sont constitués des régions constantes des chaînes lourdes et sont responsables de la médiation des effets biologiques tels que la fixation du complément, l'opsonisation et la neutralisation des toxines.

Ces fragments d'immunoglobulines ont des applications importantes dans le diagnostic, la recherche et la thérapeutique médicales. Par exemple, les fragments Fab marqués peuvent être utilisés pour la détection spécifique d'antigènes dans des tests immuno-histochimiques ou immunologiques. De plus, les fragments Fc peuvent être utilisés pour le développement de médicaments thérapeutiques ciblés, tels que les anticorps monoclonaux conjugués à des agents cytotoxiques ou à des isotopes radioactifs, pour le traitement de diverses affections pathologiques telles que les cancers et les maladies auto-immunes.

La rhinite allergique saisonnière, également connue sous le nom de «rhume des foins», est un type de rhinite allergique qui se produit généralement pendant certaines saisons de l'année. Elle est déclenchée par une réaction allergique à des allergènes spécifiques présents dans l'environnement, tels que le pollen des arbres, des herbes ou des mauvaises herbes. Lorsque ces allergènes entrent en contact avec le nez, la gorge, les yeux ou les poumons, ils peuvent provoquer une réponse immunitaire excessive dans le corps, entraînant une inflammation des muqueuses et une série de symptômes désagréables.

Les symptômes courants de la rhinite allergique saisonnière comprennent les éternuements, le nez qui coule ou qui est bouché, les démangeaisons du nez, des yeux, de la gorge et du palais, ainsi que les larmoiements et les yeux rouges. Ces symptômes peuvent être légers à modérés ou sévères et peuvent affecter considérablement la qualité de vie d'une personne, entraînant des troubles du sommeil, une fatigue chronique, des difficultés de concentration et des problèmes respiratoires.

Le diagnostic de la rhinite allergique saisonnière repose généralement sur l'anamnèse du patient, les antécédents familiaux d'allergies et les tests cutanés ou sanguins spécifiques aux IgE qui peuvent identifier les allergènes spécifiques déclenchant la réaction. Le traitement de cette condition implique généralement l'évitement des allergènes, si possible, ainsi que la prise de médicaments en vente libre ou sur ordonnance pour soulager les symptômes, tels que les antihistaminiques, les corticostéroïdes nasaux et les décongestionnants. Dans certains cas, une immunothérapie allergénique (ITA) peut être recommandée pour désensibiliser le patient aux allergènes spécifiques et prévenir la progression de la maladie.

Les allotypes des immunoglobulines sont des variantes génétiques spécifiques de certaines chaînes d'immunoglobulines (également appelées anticorps), qui sont produites par les lymphocytes B. Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire, qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes d'immunoglobulines peuvent être divisées en deux types principaux : les chaînes lourdes et les chaînes légères. Les gènes qui codent pour ces chaînes sont polymorphes, ce qui signifie qu'il existe des variations génétiques dans la population. Certaines de ces variations se traduisent par des différences dans les séquences d'acides aminés des chaînes d'immunoglobulines, qui sont appelées allotypes.

Les allotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier des sous-populations de lymphocytes B et pour étudier la diversité génétique et l'évolution des systèmes immunitaires chez les individus et les populations. Ils peuvent également avoir des implications cliniques, par exemple dans le diagnostic et le suivi de certaines maladies auto-immunes ou de troubles liés à la production d'anticorps anormaux.

Il est important de noter que les allotypes ne doivent pas être confondus avec les isotypes, qui sont des classes différentes d'immunoglobulines (par exemple IgG, IgM, IgA) définies par des différences dans la structure des chaînes lourdes.

L'anaphylaxie cutanée passive est une réaction allergique systemique qui se produit lorsque des anticorps (immunoglobuline E ou IgE) sensibilisés à un allergène sont transférés d'une personne à une autre par voie sanguine. Cela peut se produire, par exemple, lorsqu'un individu recevant une transfusion sanguine a des anticorps préformés contre un allergène présent dans le sang du donneur. Les symptômes peuvent inclure des éruptions cutanées, des démangeaisons, de l'urticaire, un gonflement des voies respiratoires et une chute de la pression artérielle. Cette réaction est considérée comme une forme d'anaphylaxie car elle implique une libération massive de médiateurs chimiques qui provoquent une réponse immunitaire exagérée. Cependant, contrairement à l'anaphylaxie classique, il n'y a pas de contact direct avec l'allergène par la personne affectée.

Les récepteurs d'immunoglobulines polymériques (poly-IgR) sont des protéines transmembranaires exprimées principalement sur les cellules épithéliales de la muqueuse intestinale, mais aussi dans une moindre mesure sur les cellules du tissu lymphoïde associé à l'intestin (GALT). Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en facilitant la capture, le transport et la présentation des antigènes aux lymphocytes B.

Les poly-IgR sont composés de deux sous-unités : une chaîne polypeptidique membranaire (mPIGR) et une sous-unité secrétée (sPIGR). La mPIGR est ancrée dans la membrane plasmique des cellules épithéliales, tandis que la sPIGR est sécrétée dans la lumière intestinale. Les deux sous-unités sont codées par le même gène et sont générées par un processus de clivage protéolytique post-traductionnel.

La fonction principale des poly-IgR est de faciliter l'élimination des complexes immuns (CI) formés par les interactions entre les anticorps (IgG et IgA sécrétée) et les antigènes circulant dans la lumière intestinale. Les poly-IgR se lient aux CI via leurs domaines Fc, ce qui entraîne l'internalisation des complexes par endocytose. Une fois internalisés, ces complexes sont transportés à travers les cellules épithéliales et libérés dans la cavité interstitielle, où ils peuvent être capturés par les cellules du système immunitaire pour initier une réponse immune adaptative.

Les poly-IgR participent également au maintien de l'homéostasie intestinale en limitant l'exposition des tissus sous-jacents aux antigènes luminales et en favorisant la tolérance immunitaire à ces antigènes. Les défauts dans le fonctionnement des poly-IgR ont été associés à plusieurs maladies inflammatoires de l'intestin, telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, ainsi qu'à d'autres affections auto-immunes.

L'ovalbumine est la principale protéine du blanc d'œuf de poule, représentant environ 54-64% de sa masse totale. Elle appartient à la famille des albumines sériques et a une masse moléculaire d'environ 45 kDa. L'ovalbumine est souvent étudiée dans le contexte des allergies alimentaires, car elle est l'un des allergènes les plus courants trouvés dans les œufs de poule et peut provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes. Elle a une structure complexe composée de trois domaines distincts: le domaine N-terminal, le domaine hydrophobe et le domaine C-terminal. La fonction précise de l'ovalbumine dans les œufs n'est pas entièrement comprise, mais on pense qu'elle joue un rôle dans le développement embryonnaire en fournissant des acides aminés et des nutriments essentiels.

L'hypersensibilité au lait est une réaction indésirable à des protéines du lait, principalement la caséine et la whey, qui se produit chez certaines personnes après avoir consommé des produits laitiers. Cette réaction peut varier d'une légère gêne à des symptômes graves. Les symptômes courants incluent des rougeurs cutanées, des démangeaisons, des éruptions cutanées, de l'eczéma, de la diarrhée, des crampes abdominales, des nausées et des vomissements. Dans les cas plus graves, une anaphylaxie peut survenir, ce qui nécessite une attention médicale immédiate.

L'hypersensibilité au lait est souvent confondue avec l'intolérance au lactose, qui est une incapacité à digérer le sucre du lait en raison d'un déficit en lactase, l'enzyme nécessaire à la digestion. Cependant, l'hypersensibilité au lait est une réaction immunitaire impliquant des anticorps IgE, tandis que l'intolérance au lactose est un problème digestif sans implication du système immunitaire.

Le traitement de l'hypersensibilité au lait consiste généralement à éviter les produits laitiers et à trouver des alternatives pour répondre aux besoins nutritionnels. Dans certains cas, des suppléments de probiotiques ou des médicaments peuvent être recommandés pour gérer les symptômes. Il est important de consulter un médecin ou un allergologue pour obtenir un diagnostic et des conseils sur la gestion de l'hypersensibilité au lait.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Je suis désolé, il semble y avoir une petite erreur dans votre requête. "Region J Immunoglobuline" ne semble pas être une définition médicale reconnue. Cependant, je peux vous fournir des informations sur les immunoglobulines, et peut-être cela pourra-t-il éclaircir ce que vous vouliez savoir.

Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont des protéines produites par le système immunitaire qui aident à neutraliser les pathogènes tels que les bactéries et les virus. Elles peuvent être trouvées dans le sang et les fluides corporels. Les immunoglobulines sont classées en cinq types (IgA, IgD, IgE, IgG, et IgM) en fonction de leur structure et de leur rôle dans la réponse immunitaire.

Si vous cherchiez des informations sur une région spécifique d'une immunoglobuline, veuillez préciser votre demande et je serai heureux de vous fournir les informations pertinentes.

Les anticorps antibactériens sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'une bactérie spécifique dans l'organisme. Ils sont également appelés immunoglobulines et sont capables de se lier à des antigènes bactériens spécifiques, tels que des protéines ou des polysaccharides situés à la surface de la bactérie.

Les anticorps antibactériens peuvent être de différents types, selon leur fonction et leur structure :

* Les immunoglobulines G (IgG) sont les plus courantes et assurent une protection à long terme contre les infections bactériennes. Elles peuvent traverser la barrière placentaire et protéger le fœtus contre certaines infections.
* Les immunoglobulines M (IgM) sont les premières à être produites lors d'une infection et ont une activité bactéricide élevée. Elles sont principalement présentes dans le sang et la lymphe.
* Les immunoglobulines A (IgA) se trouvent principalement sur les muqueuses, telles que les voies respiratoires et digestives, où elles protègent contre l'infection en empêchant l'adhésion des bactéries aux cellules épithéliales.
* Les immunoglobulines E (IgE) sont associées aux réactions allergiques et peuvent également jouer un rôle dans la défense contre certaines bactéries parasites.

Les anticorps antibactériens peuvent neutraliser les bactéries en se liant à leur surface, ce qui empêche leur multiplication et leur invasion des tissus. Ils peuvent également activer le complément, une cascade de protéines qui aboutit à la lyse de la bactérie. Enfin, ils peuvent faciliter la phagocytose, c'est-à-dire l'ingestion et la destruction des bactéries par les cellules immunitaires.

L'antigène de différentiation des lymphocytes B, également connu sous le nom de CD19 et CD20, est un type de protéine présent à la surface des lymphocytes B matures. Ces antigènes sont souvent utilisés comme marqueurs pour identifier et caractériser les lymphocytes B dans les tests de laboratoire, tels que les tests de dépistage du cancer ou les analyses de sang.

Les lymphocytes B jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en produisant des anticorps qui aident à combattre les infections et les maladies. L'antigène CD19 est présent tout au long du développement et de la maturation des lymphocytes B, tandis que l'antigène CD20 apparaît uniquement après que les lymphocytes B atteignent leur stade mature.

Les thérapies ciblées qui visent ces antigènes peuvent être utilisées pour traiter certains types de cancer du sang, tels que la leucémie lymphoïde chronique et le lymphome non hodgkinien. Ces thérapies fonctionnent en se liant aux antigènes à la surface des cellules cancéreuses, ce qui permet de les cibler et de les détruire sélectivement sans affecter les cellules saines environnantes.

L'hyperréactivité bronchique est un terme utilisé en médecine pour décrire une réponse excessive et anormale des voies respiratoires à divers stimuli. Ces stimuli peuvent être de nature physique, comme le froid ou l'exercice, ou chimique, comme les gaz irritants ou certains médicaments.

Dans des conditions normales, les bronches se dilatent (bronchodilatation) en réponse à ces stimuli pour permettre une meilleure circulation de l'air. Cependant, chez les personnes atteintes d'hyperréactivité bronchique, cette réaction est exagérée, entraînant une constriction excessive des bronches (bronchoconstriction).

Cette condition est souvent associée à des maladies respiratoires chroniques telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'emphysème. Les symptômes de l'hyperréactivité bronchique comprennent une toux persistante, un sifflement respiratoire, une respiration sifflante et une essoufflement, en particulier après l'exposition aux stimuli déclencheurs.

Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests fonctionnels respiratoires. Le traitement vise à éviter les facteurs déclenchants et à utiliser des médicaments bronchodilatateurs pour soulager les symptômes.

L'hypersensibilité respiratoire est un terme général utilisé pour décrire une réactivité excessive et anormale des voies respiratoires à divers stimuli. Il s'agit essentiellement d'une exagération de la réponse inflammatoire normale des poumons à ces stimuli. Ces stimuli peuvent inclure des allergènes tels que les acariens, les moisissures, la poussière, le pollen, les produits chimiques ou certains médicaments.

L'hypersensibilité respiratoire peut entraîner une variété de symptômes, notamment une toux persistante, une respiration sifflante, un essoufflement, une oppression thoracique et une production accrue de mucus. Dans les cas graves, elle peut provoquer des crises d'asthme sévères ou une pneumonie d'hypersensibilité.

Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, de l'examen physique et des tests de fonction pulmonaire. Le traitement peut inclure l'évitement des stimuli déclenchants, les médicaments pour contrôler l'inflammation et la dilatation des voies respiratoires, tels que les corticostéroïdes inhalés et les bronchodilatateurs.

L'hypergammaglobulinémie est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle il y a une concentration élevée de certaines protéines appelées immunoglobulines ou anticorps, spécifiquement l'immunoglobuline G (IgG), dans le sang. Normalement, ces protéines sont présentes dans le sérum sanguin à des niveaux spécifiques et jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections.

Cependant, lorsqu'il y a une production excessive d'immunoglobulines, cela peut indiquer la présence d'une maladie sous-jacente, telle qu'une infection chronique, une inflammation, une maladie auto-immune ou un trouble lymphoprolifératif. Les symptômes de l'hypergammaglobulinémie peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente et peuvent inclure des infections fréquentes, de la fatigue, une faiblesse, une perte de poids involontaire, des douleurs articulaires et des gonflements.

Il est important de noter que l'hypergammaglobulinémie peut être détectée lors d'un test sanguin appelé électrophorèse des protéines sériques, qui mesure les niveaux de différentes protéines dans le sang. Si un médecin soupçonne une hypergammaglobulinémie, il peut recommander des tests supplémentaires pour déterminer la cause sous-jacente et élaborer un plan de traitement approprié.

La formation d'anticorps est un processus crucial du système immunitaire dans la réponse adaptative contre les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines. Un anticorps, également connu sous le nom d'immunoglobuline (Ig), est une protéine spécialisée produite par les lymphocytes B activés en réponse à un antigène spécifique.

Le processus de formation d'anticorps commence lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme et se lie aux récepteurs des lymphocytes B spécifiques, entraînant leur activation et leur différenciation en plasmocytes. Ces plasmocytes sécrètent alors des quantités massives d'anticorps identiques à ces récepteurs de lymphocytes B initiaux.

Les anticorps se lient aux épitopes (régions spécifiques) des antigènes, ce qui entraîne une neutralisation directe de leur activité biologique ou marque ces complexes pour être éliminés par d'autres mécanismes immunitaires. Les anticorps peuvent également activer le système du complément et faciliter la phagocytose, ce qui contribue à l'élimination des agents pathogènes.

La formation d'anticorps est une caractéristique clé de l'immunité humorale et joue un rôle essentiel dans la protection contre les réinfections en fournissant une mémoire immunologique. Les anticorps produits pendant la première exposition à un agent pathogène offrent une protection accrue lors d'expositions ultérieures, ce qui permet au système immunitaire de répondre plus rapidement et plus efficacement aux menaces répétées.

Les lymphocytes T auxiliaires Th2, également connus sous le nom de CD4+ ou lymphocytes T helper 2, sont un type de cellules T auxiliaires qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la médiation de réponses immunitaires humorales, en particulier contre les parasites et certaines bactéries extracellulaires.

Lorsqu'ils sont activés, les lymphocytes T auxiliaires Th2 sécrètent des cytokines spécifiques, telles que l'interleukine-4 (IL-4), l'interleukine-5 (IL-5) et l'interleukine-13 (IL-13). Ces cytokines favorisent la différenciation et l'activation des autres cellules du système immunitaire, notamment les éosinophiles, les basophiles et les mastocytes, ainsi que les lymphocytes B.

Les lymphocytes T auxiliaires Th2 sont également impliqués dans la régulation de réponses allergiques et inflammatoires excessives. Cependant, un déséquilibre ou une activation excessive des lymphocytes T auxiliaires Th2 peut contribuer au développement de diverses affections pathologiques, telles que les maladies auto-immunes, les allergies et l'asthme.

En résumé, les lymphocytes T auxiliaires Th2 sont des cellules immunitaires qui jouent un rôle essentiel dans la réponse immunitaire adaptative contre certains agents pathogènes et dans la régulation des réponses allergiques et inflammatoires.

Les acariens sont de minuscules arachnides qui appartiennent à la classe Arachnida, tout comme les araignées et les tiques. La plupart des mites sont difficiles à voir à l'œil nu, mesurant généralement moins d'un millimètre de longueur. Ils ont un corps ovale ou rond avec huit pattes courtes et non segmentées.

Il existe plusieurs milliers d'espèces de mites, dont beaucoup sont bénéfiques pour l'homme et l'environnement. Par exemple, certaines espèces de mites se nourrissent de moisissures, de champignons et d'autres matières organiques en décomposition, ce qui contribue à maintenir un environnement propre.

Cependant, certaines espèces de mites sont considérées comme des parasites ou des ravageurs car elles peuvent endommager les cultures, les aliments stockés et d'autres matériaux organiques. Les acariens de la poussière, par exemple, sont connus pour infester les maisons et se nourrir de squames de peau humaine et d'acariens.

Les réactions allergiques aux acariens sont assez courantes et peuvent inclure des symptômes tels que l'écoulement nasal, la congestion, les éternuements, les yeux qui piquent et l'essoufflement. Les personnes souffrant d'asthme peuvent également avoir des crises d'asthme déclenchées par une exposition aux acariens.

Dans l'ensemble, bien que la plupart des mites soient inoffensives et même bénéfiques, certaines espèces peuvent être des parasites ou des ravageurs, et l'exposition à certains types d'acariens peut déclencher des réactions allergiques.

Les anticorps anti-helminthes sont des anticorps produits par le système immunitaire en réponse à une infection parasitaire causée par des helminthes, également connus sous le nom de vers. Les helminthes comprennent une variété de parasites, tels que les vers ronds, les vers plats et les bothriocéphales.

Les anticorps anti-helminthes sont généralement détectés dans le sérum sanguin des personnes infectées par ces parasites. Ils peuvent être utilisés comme marqueurs diagnostiques pour identifier une infection helminthique, ainsi que pour surveiller l'efficacité du traitement et la réponse au traitement.

Les tests sérologiques pour les anticorps anti-helminthes peuvent inclure des méthodes telles que l'immunofluorescence indirecte (IFI), l'hémagglutination inhibition (HAI) et l'ELISA. Ces tests détectent la présence d'anticorps spécifiques contre des antigènes helminthes, tels que les protéines excréto-sécrétées ou les antigènes de surface du parasite.

Cependant, il est important de noter que la détection d'anticorps anti-helminthes ne confirme pas nécessairement une infection active en cours, car des anticorps peuvent persister pendant des mois ou même des années après une infection résolue. Par conséquent, les résultats des tests doivent être interprétés avec prudence et en conjonction avec d'autres informations cliniques et épidémiologiques.

L'antigène de Dermatophagoides se réfère à des protéines spécifiques trouvées dans les acariens de poussière de maison, en particulier les espèces de Dermatophagoides pteronyssinus et Dermatophagoides farinae. Ces acariens sont des arachnides microscopiques qui se nourrissent de débris humains tels que la peau morte et sont souvent trouvés dans les matelas, les oreillers, les tapis et les meubles rembourrés.

Les antigènes de Dermatophagoides peuvent provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes, telles que l'eczéma, la rhinite allergique et l'asthme. Ces réactions se produisent lorsque le système immunitaire perçoit les protéines de l'acarien comme étant nocives et déclenche une réponse inflammatoire pour s'en débarrasser.

Les antigènes de Dermatophagoides sont souvent utilisés dans les tests d'allergie cutanée pour diagnostiquer les allergies à la poussière de maison. Dans ces tests, une petite quantité d'extrait d'acarien est appliquée sur la peau et une légère égratignure est faite pour permettre à l'antigène de pénétrer dans la peau. Si une personne est allergique aux acariens, une réaction cutanée se produira, telle qu'un gonflement ou une rougeur de la peau.

Il est important de noter que les antigènes de Dermatophagoides ne sont pas les seuls facteurs déclenchant des allergies à la poussière de maison, et que d'autres facteurs tels que les acariens de storage, les moisissures et les animaux domestiques peuvent également jouer un rôle.

Les anticorps bispécifiques sont un type d'immunothérapie qui peuvent se lier à deux cibles différentes simultanément. Ils sont conçus pour avoir deux sites de liaison, chacun capable de se fixer à des protéines ou des cellules spécifiques. Cette capacité leur permet de servir de pont entre deux types de cellules, généralement les cellules cancéreuses et les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T.

En se liant aux deux cibles, les anticorps bispécifiques peuvent activer le système immunitaire pour attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Ils ont été développés comme une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de divers types de cancer, car ils peuvent contourner les mécanismes de défense des cellules cancéreuses qui empêchent souvent le système immunitaire de les reconnaître et de les attaquer.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'anticorps bispécifiques peut également entraîner des effets secondaires graves, tels que la libération de cytokines, qui peuvent provoquer une inflammation systémique et des réactions indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et gérée pour minimiser les risques associés.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

La dégranulation cellulaire est un processus biologique au cours duquel certaines cellules, telles que les granulocytes (neutrophiles, éosinophiles et basophiles), les mastocytes et les plaquettes, libèrent des granules contenant divers médiateurs chimiques en réponse à un stimulus spécifique. Ces médiateurs comprennent des enzymes, des neurotransmetteurs, des protéines bioactives et des molécules inflammatoires qui jouent un rôle crucial dans la défense immunitaire, l'inflammation et la coagulation sanguine.

La dégranulation cellulaire peut être déclenchée par divers mécanismes, notamment les récepteurs de reconnaissance des motifs (PRR) qui détectent les agents pathogènes ou les dommages aux tissus, l'activation du complément et la libération d'anticorps spécifiques. Ce processus est essentiel pour une réponse immunitaire efficace, mais il peut également contribuer au développement de maladies inflammatoires et auto-immunes lorsqu'il est excessif ou inapproprié.

Les granules libérés peuvent interagir avec d'autres cellules du système immunitaire, des vaisseaux sanguins et des tissus environnants, déclenchant une cascade de réactions chimiques qui favorisent l'élimination des agents pathogènes, la réparation des dommages tissulaires et le rétablissement de l'homéostasie. Cependant, un dysfonctionnement dans ce processus peut entraîner une inflammation excessive, des lésions tissulaires et des maladies chroniques.

Le pollen est un granule microscopique et transportable par le vent, produit par les organes reproducteurs mâles des plantes (étamines) dans le processus de la reproduction sexuée. Il contient les gamètes mâles qui peuvent féconder le pistil, l'organe reproducteur femelle de la même espèce de plante, pour produire une graine.

Le pollen est composé principalement de sporopollenine, une substance très résistante qui le protège des conditions extérieures. Chaque grain de pollen contient deux cellules germinales mâles et un matériel nutritif. Les grains de pollen peuvent être transportés par le vent, les insectes ou d'autres animaux jusqu'à l'organe reproducteur femelle d'une plante compatible.

Chez certaines personnes, l'exposition au pollen peut provoquer des réactions allergiques telles que la rhinite allergique, l'asthme ou les conjonctivites. Ces réactions sont dues à une hypersensibilité du système immunitaire aux protéines présentes dans le pollen.

Les antihistaminiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les symptômes d'allergies. Ils fonctionnent en bloquant l'action des histamines, qui sont des composés chimiques libérés par le système immunitaire en réponse à une substance étrangère perçue comme nocive (allergène). Les histamines provoquent une variété de symptômes allergiques, tels que les démangeaisons, l'écoulement nasal, les éternuements, les yeux larmoyants et les éruptions cutanées.

Les antihistaminiques sont disponibles sous diverses formes, notamment en comprimés, en gélules, en liquides, en sprays nasaux et en crèmes topiques. Certains antihistaminiques peuvent provoquer de la somnolence, il est donc important de faire attention lors de la conduite ou de l'exécution d'activités qui nécessitent une concentration mentale élevée.

Les antihistaminiques les plus couramment utilisés comprennent la diphenhydramine (Benadryl), la loratadine (Claritin), la cetirizine (Zyrtec) et la fexofénadine (Allegra). Ces médicaments sont généralement bien tolérés, mais peuvent provoquer des effets secondaires tels que des étourdissements, une bouche sèche, une vision floue et des maux de tête. Dans de rares cas, ils peuvent également provoquer des réactions allergiques graves.

Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin ou pharmacien lors de la prise d'antihistaminiques et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou persistant.

Une intradermo réaction, également connue sous le nom de test intradermique, est un type de procédure diagnostique utilisée en médecine pour aider à identifier la présence d'une réponse du système immunitaire à un antigène spécifique.

Au cours de l'intradermo réaction, une petite quantité de l'antigène suspecté est injectée juste sous la surface de la peau (dans le derme). Ensuite, on observe et on mesure la réponse de la peau au cours des prochaines heures ou jours.

Une réaction positive se traduit généralement par une rougeur, un gonflement ou une induration localisée à l'emplacement de l'injection, ce qui indique une réponse immunitaire de type retardé (ou hypersensibilité de type IV) contre cet antigène.

L'intradermo réaction est couramment utilisée pour le dépistage et le diagnostic d'affections telles que la tuberculose, les infections fongiques et certaines maladies auto-immunes. Cependant, il est important de noter que l'interprétation des résultats doit être effectuée par un professionnel de la santé qualifié, en tenant compte des antécédents médicaux du patient, des symptômes actuels et d'autres facteurs pertinents.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

Les récepteurs aux antigènes des cellules B, également connus sous le nom de récepteurs d'immunoglobuline (Ig) ou récepteurs B-cellulaire spécifiques d'antigène, sont des molécules de surface exprimées par les lymphocytes B qui leur permettent de reconnaître et de se lier sélectivement aux antigènes. Ces récepteurs sont composés de chaînes polypeptidiques lourdes et légères, qui forment une structure en forme de Y avec deux bras d'immunoglobuline variable (IgV) et un bras constant. Les régions variables des chaînes lourdes et légères contiennent des sites de liaison à l'antigène hautement spécifiques, qui sont générés par un processus de recombinaison somatique au cours du développement des cellules B dans la moelle osseuse. Une fois activées par la reconnaissance d'un antigène approprié, les cellules B peuvent se différencier en plasmocytes et produire des anticorps solubles qui maintiennent l'immunité humorale contre les agents pathogènes et autres substances étrangères.

Une réaction croisée, dans le contexte de l'allergologie, se réfère à une réponse immunologique adverse qui se produit lorsqu'un individu allergique est exposé à des antigènes (substances étrangères) qui sont différents de ceux qui ont initialement déclenché la sensibilisation du système immunitaire. Cependant, ces nouveaux antigènes partagent des similitudes structurales avec les allergènes d'origine, provoquant une réponse immunitaire croisée.

Dans le mécanisme de cette réaction, les IgE (immunoglobulines E), qui sont des anticorps spécifiques produits par le système immunitaire en réponse à l'exposition initiale à un allergène, se lient aux récepteurs des mast cells (cellules mésentériques) et des basophiles. Lors d'une exposition ultérieure à un antigène similaire, ces IgE reconnaissent l'antigène étranger et déclenchent la dégranulation des cellules, entraînant la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine.

Ces médiateurs provoquent une cascade de réactions physiologiques qui aboutissent aux symptômes typiques d'une réaction allergique, tels que des démangeaisons, un écoulement nasal, des éternuements, une respiration sifflante et, dans les cas graves, un choc anaphylactique.

Les exemples courants de réactions croisées incluent la sensibilité aux pollens de certains arbres, herbes et mauvaises herbes, qui peut entraîner des réactions allergiques à certains aliments crus comme les pommes, les carottes, le céleri ou les noix. Cette condition est souvent appelée syndrome d'allergie orale (SAC). Une autre forme courante de réaction croisée se produit entre les allergies au latex et certains aliments tels que l'avocat, la banane, le kiwi et le châtaignier.

Les anticorps antifongiques sont des anticorps produits par le système immunitaire en réponse à une infection fongique. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier aux antigènes fongiques et aider à neutraliser ou éliminer l'infection. Les anticorps antifongiques peuvent être détectés dans le sang des personnes infectées par des champignons, ce qui peut être utile pour diagnostiquer certaines infections fongiques.

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'antigènes étrangers, tels que les protéines ou les sucres présents sur la surface de cellules fongiques. Les anticorps se lient spécifiquement aux antigènes qui ont déclenché leur production, ce qui permet au système immunitaire d'identifier et d'éliminer les cellules infectées ou étrangères.

Dans le cas des infections fongiques, les anticorps peuvent aider à prévenir la propagation de l'infection en empêchant les champignons de se lier aux tissus corporels et en facilitant leur élimination par d'autres cellules immunitaires. Les anticorps antifongiques peuvent également activer le complément, une série de protéines qui travaillent ensemble pour aider à détruire les cellules infectées ou étrangères.

Les tests de détection des anticorps antifongiques peuvent être utiles pour diagnostiquer certaines infections fongiques, telles que l'histoplasmose, la coccidioïdomycose et la blastomycose. Ces tests impliquent généralement le prélèvement d'un échantillon de sang ou de liquide corporel, qui est ensuite analysé en laboratoire pour détecter la présence d'anticorps spécifiques aux champignons.

Cependant, il est important de noter que les tests de détection des anticorps antifongiques ne sont pas toujours précis et peuvent donner des résultats faussement positifs ou négatifs. Par conséquent, ils doivent être interprétés avec prudence et utilisés en combinaison avec d'autres tests de diagnostic pour confirmer le diagnostic d'une infection fongique.

Le myélome des protéines, également connu sous le nom de myélome multiple avec protéinurie Bence Jones, est un type de cancer qui se développe à partir de plasmocytes anormaux dans la moelle osseuse. Les plasmocytes sont un type de globule blanc qui produit des anticorps pour aider à combattre les infections. Dans le myélome des protéines, les plasmocytes cancéreux produisent des quantités excessives d'une protéine anormale appelée chaîne légère d'immunoglobuline, ou protéine Bence Jones.

Ces protéines peuvent s'accumuler dans le sang et les urines, entraînant une gamme de symptômes, y compris une fatigue extrême, des douleurs osseuses, des infections fréquentes, une insuffisance rénale et une augmentation de la protéinurie. Le myélome des protéines peut également entraîner la formation de tumeurs plasmocytaires dans la moelle osseuse, qui peuvent affaiblir les os et provoquer des fractures.

Le traitement du myélome des protéines dépend généralement de la gravité de la maladie et peut inclure une chimiothérapie, une radiothérapie, une greffe de moelle osseuse ou un traitement ciblé contre les plasmocytes cancéreux. Il est important de noter que le myélome des protéines est généralement une maladie incurable, mais avec un traitement approprié, la plupart des patients peuvent vivre une vie longue et productive.

Dans un contexte médical, « rate » fait référence à la glande thyroïde. La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon située dans le cou, juste en dessous de la pomme d'Adam. Elle produit des hormones qui régulent le métabolisme, la croissance et le développement du corps. Les troubles de la glande thyroïde peuvent entraîner une hypothyroïdie (faible production d'hormones thyroïdiennes) ou une hyperthyroïdie (production excessive d'hormones thyroïdiennes), ce qui peut avoir un impact significatif sur la santé globale d'une personne.

Il est important de noter que le terme « rate » peut également être utilisé dans un contexte médical pour faire référence à une structure anatomique différente, à savoir le rythme cardiaque ou la fréquence cardiaque. Cependant, dans ce cas, il s'agit d'un terme différent et ne fait pas référence à la glande thyroïde.

L'immunisation, également appelée vaccination, est un processus actif qui vise à protéger une personne contre certaines maladies infectieuses en introduisant dans l'organisme des agents pathogènes (comme des virus ou des bactéries) ou des fragments de ces agents sous une forme affaiblie, tuée ou modifiée. Cela permet au système immunitaire de la personne de développer une réponse immunitaire spécifique contre ces pathogènes, ce qui entraîne l'acquisition d'une immunité protectrice contre ces maladies.

L'immunisation peut être réalisée par différentes méthodes, telles que la vaccination avec des vaccins vivants atténués, des vaccins inactivés, des vaccins à sous-unités protéiques ou des vaccins à ARN messager. Les vaccins peuvent prévenir l'infection et la transmission de maladies infectieuses graves, réduire la gravité de la maladie et prévenir les complications potentiellement mortelles.

L'immunisation est considérée comme l'une des interventions de santé publique les plus efficaces pour prévenir et contrôler la propagation des maladies infectieuses, protégeant ainsi non seulement l'individu vacciné mais aussi la communauté dans son ensemble en réduisant la transmission du pathogène.

Un antigène est une substance étrangère à l'organisme qui, lorsqu'elle est reconnue par le système immunitaire, peut déclencher une réponse immunitaire. Les antigènes sont souvent des protéines ou des polysaccharides complexes trouvés à la surface de bactéries, de virus, de parasites, de champignons et d'autres cellules étrangères. Ils peuvent également provenir de cellules cancéreuses ou de transplantations d'organes.

Les antigènes sont composés d'épitopes, qui sont des régions spécifiques de la molécule qui sont reconnues par les récepteurs des lymphocytes T et B. Les lymphocytes T peuvent détecter et répondre aux antigènes présentés sur la surface des cellules présentant l'antigène (CPA), tandis que les lymphocytes B produisent des anticorps qui se lient spécifiquement aux antigènes dans le sang et les fluides corporels.

Les antigènes sont classés en deux catégories principales : les antigènes T-dépendants et les antigènes T-indépendants. Les antigènes T-dépendants nécessitent la présentation par des cellules présentant l'antigène (CPA) pour activer une réponse immunitaire adaptative, tandis que les antigènes T-indépendants peuvent stimuler une réponse immunitaire innée sans la participation des lymphocytes T.

La reconnaissance et la réponse aux antigènes sont des processus complexes qui impliquent de nombreux types de cellules et de molécules du système immunitaire, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les cellules présentant l'antigène (CPA), les cytokines et les chimiotactiques. La compréhension des antigènes et de la façon dont ils sont reconnus et traités par le système immunitaire est essentielle pour développer des vaccins et des thérapies pour prévenir et traiter les maladies infectieuses, les cancers et d'autres affections.

Les gènes des chaînes lourdes des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent pour les chaînes lourdes des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant spécifiquement aux antigènes étrangers, tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des polypeptides complexes qui contiennent plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable (V) et plusieurs domaines constants (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison spécifique à l'antigène, tandis que les domaines constants sont importants pour l'activation des fonctions effectrices de l'immunoglobuline.

Les gènes des chaînes lourdes des immunoglobulines sont situés sur le chromosome 14 et comprennent plusieurs régions différentes, y compris les régions V, D et J, qui contiennent chacune une variété de gènes distincts. Lors de la production d'une chaîne lourde des immunoglobulines, les segments de gène appropriés sont sélectionnés et réarrangés pour former un seul gène fonctionnel qui code pour la chaîne lourde complète. Ce processus de recombinaison génétique permet au système immunitaire de produire une grande diversité d'immunoglobulines avec des spécificités antigéniques différentes, ce qui est essentiel pour une réponse immunitaire efficace contre une variété d'agents pathogènes.

L'hypermutilation somatique des immunoglobulines fait référence à un processus au cours duquel il y a un taux élevé de mutations ponctuelles dans les gènes d'immunoglobulines chez les lymphocytes B matures. Ce phénomène se produit dans les zones germinales des ganglions lymphatiques, où les lymphocytes B subissent une prolifération et une mutation accrues de leurs gènes d'immunoglobulines pendant le processus de maturation.

Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont des protéines clés du système immunitaire qui aident à reconnaître et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries et les virus. Les gènes d'immunoglobulines subissent une recombinaison somatique au cours du développement des lymphocytes B, ce qui entraîne la production de répertoires diversifiés d'anticorps capables de reconnaître et de se lier à une grande variété d'antigènes.

L'hypermutilation somatique est un processus supplémentaire qui contribue davantage à la diversification des immunoglobulines en introduisant des mutations ponctuelles dans les gènes d'immunoglobulines. Ces mutations peuvent entraîner des changements dans la spécificité et l'affinité de liaison des anticorps, permettant aux lymphocytes B de mieux reconnaître et de répondre aux agents pathogènes. Cependant, un taux élevé de mutations peut également entraîner la production d'immunoglobulines autoreactives qui ciblent les propres cellules et tissus du corps, contribuant au développement de maladies auto-immunes.

Un plasmocytome est un type rare de tumeur qui se développe à partir des plasmocytes, qui sont des globules blancs matures du système immunitaire. Ces cellules sont normalement responsables de la production d'anticorps pour aider à combattre les infections. Cependant, dans le cas d'un plasmocytome, une prolifération anormale et non régulée de ces cellules se produit, entraînant la formation d'une tumeur.

Habituellement, un plasmocytome se développe dans le tissu osseux, en particulier dans la moelle osseuse, où résident normalement les plasmocytes. Lorsqu'il affecte l'os, il est appelé plasmocytome osseux. Moins fréquemment, un plasmocytome peut se former en dehors de l'os, dans d'autres tissus mous, comme les poumons, le foie ou la rate. Dans ce cas, on parle de plasmocytome extramédullaire.

Les symptômes associés à un plasmocytome peuvent varier en fonction de sa localisation et de son extension. Les plasmocytomes osseux peuvent provoquer des douleurs osseuses, des fractures pathologiques et une hypercalcémie (taux élevé de calcium dans le sang). Les plasmocytomes extramédullaires peuvent se manifester par une masse palpable, des symptômes liés à la compression des organes voisins ou des signes systémiques d'une production excessive d'immunoglobulines (protéines produites par les plasmocytes).

Le diagnostic de plasmocytome repose sur l'analyse histopathologique d'un échantillon de tissu obtenu par biopsie. Le traitement dépend du stade et de la localisation de la maladie, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une greffe de cellules souches hématopoïétiques.

Un antigène helminthe se réfère à des substances chimiques spécifiques présentes à la surface ou à l'intérieur des vers parasites (helminthes) qui peuvent déclencher une réponse immunitaire chez un hôte mammifère infecté. Ces antigènes sont reconnus par le système immunitaire de l'hôte comme étant étrangers, ce qui entraîne la production d'anticorps et l'activation des cellules immunitaires pour combattre l'infection.

Les helminthes comprennent une variété de vers parasites tels que les nématodes (rondelets), les cestodes (bandeaux) et les trematodes (plats). Les antigènes helminthes peuvent être des protéines, des glycoprotéines ou d'autres molécules complexes qui sont uniques à chaque espèce de vers parasite.

Les antigènes helminthes ont été largement étudiés dans le contexte du développement de vaccins et de tests diagnostiques pour les maladies causées par ces parasites, telles que l'ascaris, la schistosomiase, l'ankylostome et d'autres infections helminthiques courantes. Cependant, la complexité des interactions entre les vers parasites et le système immunitaire de l'hôte rend difficile la mise au point de vaccins et de tests diagnostiques efficaces pour ces maladies.

L'interleukine-5 (IL-5) est une cytokine qui joue un rôle crucial dans le système immunitaire, en particulier dans la régulation des réponses immunitaires liées aux éosinophiles. Elle est produite principalement par les lymphocytes T auxiliaires de type 2 (Th2), les mastocytes et les basophiles.

L'IL-5 favorise la prolifération, la différenciation et la survie des éosinophiles dans la moelle osseuse, ce qui entraîne leur accumulation dans le sang périphérique et leur migration vers les tissus affectés. Une fois dans les tissus, les éosinophiles peuvent participer à la défense contre les parasites et contribuer à l'inflammation des voies respiratoires dans certaines affections, telles que l'asthme.

Cependant, une activation excessive ou inappropriée de l'IL-5 peut entraîner une accumulation excessive d'éosinophiles dans les tissus, ce qui peut provoquer des dommages et contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires, y compris certaines formes d'asthme sévère, la sinusite chronique avec polypes nasaux et la dermatite atopique.

Des médicaments ciblant l'IL-5 ou son récepteur sont actuellement disponibles pour traiter certains de ces troubles, tels que le mépolizumab et le benralizumab, qui ont démontré une certaine efficacité dans la réduction des exacerbations et l'amélioration de la fonction pulmonaire chez les patients atteints d'asthme sévère à éosinophiles.

Les chaînes lourdes delta des immunoglobulines, également connues sous le nom d'IgD, sont un type de chaîne protéique qui fait partie de la structure des immunoglobulines (également appelées anticorps). Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire qui aident à combattre les infections et les maladies.

Les chaînes lourdes delta sont une partie de la structure des immunoglobulines IgD, qui sont présentes en petites quantités dans le sang et les tissus lymphoïdes. Les IgD jouent un rôle important dans l'activation du système immunitaire, en particulier dans la réponse immunitaire des cellules B, qui sont un type de globule blanc.

Les chaînes lourdes delta sont codées par le gène IGHD et sont synthétisées dans le réticulum endoplasmique des plasmocytes, qui sont des cellules spécialisées du système immunitaire. Les chaînes lourdes delta s'associent à des chaînes légères pour former des molécules d'IgD entières, qui sont ensuite sécrétées à la surface des cellules B ou dans le sang.

Les anomalies dans les chaînes lourdes delta peuvent être associées à certaines maladies du système immunitaire, telles que les déficits immunitaires combinés sévères et les gammapathies monoclonales.

Je suis désolé, mais "Pandalidae" n'est pas une définition médicale. Il s'agit d'une famille de crustacés décapodes, comprenant des crevettes comme les pandalettes et les pandales. Si vous aviez l'intention d'écrire quelque chose de différent ou si je n'ai pas bien compris votre question, veuillez me fournir plus d'informations.

La région switch des immunoglobulines, également connue sous le nom de "switch régions" ou "regions de commutation," fait référence à des segments d'ADN situés dans les gènes des chaînes lourdes des anticorps (immunoglobulines). Ces régions switch sont localisées en amont des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes des immunoglobulines, et elles permettent le processus de commutation isotypique.

La commutation isotypique est un mécanisme par lequel les lymphocytes B modifient la classe (isotype) d'une immunoglobuline sans changer sa spécificité antigénique, c'est-à-dire qu'ils peuvent passer d'un isotype à un autre (par exemple, de IgM à IgG, IgA ou IgE) en réarrangeant les régions switch. Ce processus est médié par des réactions de recombinaison V(D)J dépendantes de l'activation des lymphocytes B spécifiques d'un antigène donné, et il permet à ces cellules de produire différents types d'immunoglobulines adaptées aux fonctions particulières dans la réponse immune.

La région switch est composée de séquences répétitives d'ADN, appelées "S regions" (de l'anglais "switch"), qui contiennent des motifs consensus permettant la recombinaison avec les régions upstream des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes. Ce mécanisme de commutation isotypique est crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative et spécifique contre divers agents pathogènes et antigènes.

La désensibilisation immunologique, également connue sous le nom de thérapie d'immunothérapie spécifique, est un traitement médical qui vise à réduire la sensibilité et l'intolérance aux allergènes spécifiques chez les personnes souffrant d'allergies. Ce processus consiste à exposer progressivement le patient à des doses croissantes de l'allergène en question, par voie sous-cutanée ou sublinguale, afin de modifier la réponse immunologique du corps et de diminuer ainsi les symptômes allergiques.

L'objectif principal de cette approche est d'induire une tolérance à long terme aux allergènes, ce qui peut entraîner une réduction significative des besoins en médicaments contre les allergies et améliorer la qualité de vie des patients. La désensibilisation immunologique est principalement utilisée pour traiter les allergies respiratoires telles que le rhume des foins, l'asthme allergique et certaines formes d'allergies alimentaires. Cependant, ce traitement nécessite une prescription médicale et doit être effectué sous la supervision étroite d'un médecin spécialisé en allergologie.

Le syndrome de Job, également connu sous le nom d'hiper-IgD syndrome, est une maladie rare d'origine génétique. Il est caractérisé par des épisodes récurrents de fièvre, des lésions cutanées inflammatoires, des infections respiratoires et gastro-intestinales, ainsi qu'une augmentation persistante du taux sérique d'IgD (immunoglobuline D). Les symptômes commencent généralement dans la petite enfance. Le traitement vise à prévenir les complications et à soulager les symptômes, et peut inclure des antibiotiques, des anti-inflammatoires stéroïdiens et d'autres médicaments immunosuppresseurs.

L'hypersensibilité médicamenteuse, également connue sous le nom de réaction allergique aux médicaments, est une réponse anormale et exagérée du système immunitaire à un médicament. Cela se produit lorsque le système immunitaire identifie incorrectement un médicament comme étant nocif pour l'organisme et déclenche une réaction allergique pour s'en débarrasser.

Les symptômes de l'hypersensibilité médicamenteuse peuvent varier considérablement, allant de légers à graves. Ils peuvent inclure des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements, des difficultés respiratoires, une baisse de la pression artérielle, des nausées, des vomissements et dans les cas les plus graves, un choc anaphylactique.

Les réactions d'hypersensibilité médicamenteuse peuvent survenir après une seule dose ou après plusieurs expositions à un médicament. Certaines personnes sont plus susceptibles de développer des réactions d'hypersensibilité médicamenteuse en raison de facteurs génétiques ou de troubles sous-jacents du système immunitaire.

Il est important de noter que l'hypersensibilité médicamenteuse doit être distinguée d'autres réactions indésirables aux médicaments qui ne sont pas liées au système immunitaire, telles que les effets secondaires ou les interactions médicamenteuses.

Les chaînes lourdes alpha des immunoglobulines, également connues sous le nom d'alpha-chaînes, sont un type de protéine présent dans les anticorps ou les immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents étrangers.

Chaque anticorps est composé de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfures. Les chaînes lourdes sont plus grandes que les chaînes légères et contiennent des régions variables qui permettent aux anticorps de se lier spécifiquement à des antigènes, c'est-à-dire des molécules étrangères telles que des protéines virales ou bactériennes.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, notées alpha, delta, gamma, epsilon et mu. Les chaînes alpha sont présentes dans certaines classes d'immunoglobulines, telles que les IgA, qui jouent un rôle important dans la défense des muqueuses contre les infections.

Les mutations ou anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes alpha peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires communs variables, qui se caractérisent par une susceptibilité accrue aux infections.

L'aspergillose bronchopulmonaire allergique (ABPA) est une maladie pulmonaire causée par une réaction excessive et allergique du système immunitaire à l'inhalation des spores d'Aspergillus fumigatus, un type de champignon couramment présent dans l'environnement.

Les symptômes de l'ABPA peuvent inclure une toux persistante, des expectorations (crachats) contenant du mucus, des sifflements respiratoires, une essoufflement et une fièvre légère. Dans certains cas, les patients peuvent également développer des lésions pulmonaires, telles que des bronchectasies (dilatations permanentes des bronches) ou des granulomes (amas de cellules immunitaires).

Le diagnostic d'ABPA repose sur une combinaison de symptômes cliniques, de résultats radiologiques et de tests de laboratoire. Les tests sanguins peuvent révéler la présence d'anticorps spécifiques contre Aspergillus fumigatus, tandis que les images pulmonaires peuvent montrer des opacités ou des infiltrats dans les poumons.

Le traitement de l'ABPA implique généralement l'utilisation d'antifongiques pour éradiquer l'infection fongique et de corticostéroïdes pour réduire l'inflammation pulmonaire. Dans certains cas, des médicaments immunosuppresseurs peuvent être utilisés pour contrôler la réponse excessive du système immunitaire.

Il est important de noter que l'ABPA peut entraîner des complications graves et une détérioration de la fonction pulmonaire si elle n'est pas traitée correctement. Les patients atteints d'ABPA doivent donc être surveillés régulièrement par un médecin spécialisé dans les maladies respiratoires, tel qu'un pneumologue.

L'idiotype d'une immunoglobuline est la région variable unique de la chaîne lourde et légère des anticorps qui confère à ces molécules leur spécificité antigénique. Cette région varie considérablement entre différents clones d'immunoglobulines et peut être reconnue par des anticorps dirigés contre elle, appelés anti-idiotypes.

L'étude des idiotypes a été importante dans la compréhension de la reconnaissance antigénique et de la régulation du système immunitaire. Les idiotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier et caractériser différents clones d'immunoglobulines, ce qui est particulièrement utile dans l'étude des maladies auto-immunes et des processus tumoraux.

Les vaccins anti-idiotypiques ont également été développés pour cibler les idiotypes spécifiques de certaines immunoglobulines pathologiques, tels que ceux trouvés dans certains types de cancer ou de maladies auto-immunes. Ces vaccins visent à stimuler la production d'anticorps dirigés contre l'idiotype, qui peuvent alors aider à contrôler la maladie.

Un déterminant antigénique est une partie spécifique d'une molécule, généralement une protéine ou un polysaccharide, qui est reconnue et réagit avec des anticorps ou des lymphocytes T dans le système immunitaire. Ces déterminants sont également connus sous le nom d'épitopes. Ils peuvent être liés à la surface de cellules infectées par des virus ou des bactéries, ou ils peuvent faire partie de molécules toxiques ou étrangères libres dans l'organisme. Les déterminants antigéniques sont importants dans le développement de vaccins et de tests diagnostiques car ils permettent de cibler spécifiquement les réponses immunitaires contre des agents pathogènes ou des substances spécifiques.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Je suis désolé, mais "Pyroglyphidae" ne correspond pas à une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une famille d'acariens, dont certains membres sont connus pour provoquer des réactions allergiques chez l'homme. Les acariens de cette famille sont souvent présents dans les habitats humains et peuvent être trouvés dans la literie, les tapis et les meubles rembourrés. Ils se nourrissent principalement de débris cutanés et de squames. Les réactions allergiques qu'ils peuvent déclencher comprennent des symptômes tels que l'eczéma, la rhinite allergique et dans certains cas, l'asthme.

La relation dose-réponse immunologique est un principe fondamental en immunologie qui décrit la manière dont la force ou l'intensité d'une réponse immunitaire varie en fonction de la quantité (dose) d'antigène auquel le système immunitaire est exposé.

En général, une dose plus élevée d'antigène entraîne une réponse immunitaire plus forte, mais cela peut également dépendre de nombreux autres facteurs tels que la nature de l'antigène, la voie d'exposition, la durée de l'exposition et l'état du système immunitaire de l'hôte.

La relation dose-réponse immunologique est importante dans le développement et l'utilisation des vaccins, où une dose optimale doit être déterminée pour induire une réponse immunitaire protectrice sans provoquer d'effets indésirables excessifs. Elle est également cruciale dans la compréhension de la pathogenèse des maladies infectieuses et des réactions d'hypersensibilité, où une exposition excessive à un antigène peut entraîner une réponse immunitaire démesurée ou inappropriée.

Un test Radioimmunoabsorbant (RIA) est une méthode de laboratoire utilisée pour détecter et mesurer la présence et le niveau d'une substance spécifique, telle que des hormones, des protéines ou des drogues, dans un échantillon de sang ou d'urine. Ce test utilise des radio-isotopes liés à des anticorps spécifiques pour détecter la présence de l'antigène d'intérêt.

Le principe du RIA repose sur la capacité des anticorps à se lier spécifiquement à leur antigène correspondant. Dans ce test, un isotope radioactif est attaché à une molécule d'anticorps spécifique qui se lie à l'antigène d'intérêt. Lorsque l'échantillon contenant l'antigène est mélangé avec cet anticorps marqué, l'antigène et l'anticorps se lient pour former un complexe.

Ensuite, l'excès d'anticorps non liés est éliminé par une étape de séparation, laissant derrière lui le complexe antigène-anticorps marqué. La quantité de radioactivité détectée dans ce complexe est directement proportionnelle à la concentration d'antigène dans l'échantillon.

Les RIA ont été largement utilisés dans les domaines de la recherche et de la médecine diagnostique, mais ils ont été remplacés par des tests plus modernes et plus sûrs tels que les immunoessais enzymatiques (EIA) ou les immunosorbants liés à une enzyme (ELISA).

'Prosopis' est un genre botanique qui comprend environ 45 espèces d'arbres et d'arbustes épineux, originaires principalement des régions arides et semi-arides d'Amérique, d'Afrique et d'Asie. Ces plantes sont également connues sous le nom d'acacias mesquites ou simplement de mesquites.

Dans un contexte médical, les extraits de certaines espèces de Prosopis ont été traditionnellement utilisés en médecine folklorique pour traiter une variété de maux, y compris la diarrhée, la dysenterie et l'inflammation. Cependant, il convient de noter que l'utilisation médicale de ces extraits n'est pas largement reconnue ou approuvée par la communauté scientifique et médicale établie, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer leur efficacité et leur sécurité.

Comme avec toute thérapie alternative ou complémentaire, il est important de consulter un professionnel de la santé qualifié avant d'utiliser des extraits de Prosopis à des fins médicales.

Les gammaglobulines, également connues sous le nom d'immunoglobulines G (IgG), sont un type d'anticorps qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire humain. Elles sont produites par les plasmocytes, qui sont des cellules dérivées des lymphocytes B.

Les gammaglobulines sont la plus grande classe d'immunoglobulines et représentent environ 75 à 80% de toutes les immunoglobulines dans le sérum humain. Elles sont présentes dans le sang, la lymphe et les tissus conjonctifs de l'organisme.

Les gammaglobulines ont plusieurs fonctions importantes, notamment :

1. La neutralisation des toxines et des virus en se liant à eux et en empêchant leur interaction avec les cellules humaines.
2. L'activation du complément, ce qui permet de détruire les bactéries et les cellules infectées.
3. La facilitation de la phagocytose, où les gammaglobulines se lient aux antigènes à la surface des bactéries, ce qui permet aux globules blancs de les détecter et de les détruire plus facilement.
4. La protection contre les infections en fournissant une immunité passive aux nourrissons via le placenta et aux personnes qui ont reçu des injections d'immunoglobulines.

Les gammaglobulines sont souvent utilisées dans le traitement de diverses affections, telles que les déficits immunitaires primaires et secondaires, les infections bactériennes et virales récurrentes, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

L'anhydride phtalique est un composé organique couramment utilisé dans l'industrie chimique comme intermédiaire pour la synthèse d'autres produits chimiques. Il s'agit d'un solide cristallin inodore et blanc à jaune pâle, avec une formule moléculaire de C8H6O3.

Dans un contexte médical, l'anhydride phtalique peut être pertinent en raison de ses propriétés irritantes pour les yeux, la peau et les voies respiratoires. L'exposition à cette substance peut provoquer des symptômes tels que des rougeurs, des démangeaisons, une toux, un essoufflement et une irritation des yeux.

En outre, l'anhydride phtalique est considéré comme un produit chimique potentiellement dangereux pour la santé humaine en raison de sa toxicité aiguë et chronique. Des études ont suggéré qu'il peut avoir des effets néfastes sur le système reproducteur masculin, entraînant une diminution de la qualité du sperme et une augmentation du risque de malformations congénitales.

Par conséquent, il est important que les professionnels de la santé soient conscients des risques associés à l'anhydride phtalique et prennent des précautions appropriées pour protéger les patients contre une exposition excessive à cette substance.

Les anticorps antiprotozoaires sont des immunoglobulines produites par le système immunitaire en réponse à une infection provoquée par un protozoaire. Les protozoaires sont des organismes unicellulaires qui peuvent parasiter l'homme et d'autres animaux, causant ainsi des maladies telles que la malaria, la giardiase, l'amibiase et la toxoplasmose.

Les anticorps antiprotozoaires sont spécifiques à chaque espèce de protozoaire et peuvent être détectés dans le sang ou les sécrétions corporelles d'une personne infectée. Ils jouent un rôle important dans la réponse immunitaire de l'organisme contre ces parasites, en aidant à les neutraliser et à les éliminer du corps.

Les tests sérologiques peuvent être utilisés pour détecter la présence d'anticorps antiprotozoaires dans le sang, ce qui peut aider au diagnostic de certaines maladies protozoaires. Cependant, il est important de noter que la présence d'anticorps ne signifie pas nécessairement qu'une personne est actuellement infectée, car ils peuvent persister dans le sang pendant une période prolongée après une infection guérie.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

Eosinophilia est un terme médical désignant une augmentation anormale du nombre d'éosinophiles dans le sang périphérique. Les éosinophiles sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire de l'organisme, en particulier contre les parasites et dans les processus allergiques.

Une valeur normale d'éosinophiles dans le sang se situe généralement entre 0 et 500 cellules par microlitre (µL). Un compte d'éosinophiles supérieur à 500 µL est considéré comme une eosinophilie. Cette condition peut être légère (jusqu'à 1500 µL), modérée (entre 1500 et 5000 µL) ou sévère (supérieure à 5000 µL).

L'eosinophilie peut être causée par divers facteurs, tels que des infections parasitaires, des maladies allergiques (comme l'asthme, la rhinite allergique ou la dermatite atopique), des maladies inflammatoires chroniques (comme la polyarthrite rhumatoïde ou la vascularite), des néoplasmes (cancers) et certains médicaments. Dans certains cas, l'eosinophilie peut être idiopathique, ce qui signifie qu'aucune cause sous-jacente claire ne peut être identifiée.

Il est important de noter que l'eosinophilie peut être un indicateur d'un processus pathologique sous-jacent et doit être évaluée par un professionnel de la santé pour déterminer la cause sous-jacente et instaurer un traitement approprié.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir est un peu contradictoire. Le terme "leucémie" se réfère à un type spécifique de cancer du sang ou du système lymphatique qui se développe dans la moelle osseuse. Alors que le terme "expérimental" fait référence à quelque chose qui est relatif à ou impliqué dans une expérience ou un essai, en particulier un essai clinique d'un médicament ou d'un traitement. Il n'est donc pas possible de fournir une définition médicale de "leucémie expérimentale" car ce ne sont pas des termes qui vont ensemble dans un contexte médical.

Cependant, si vous cherchez à savoir ce que signifie la réalisation d'une expérience ou d'un essai clinique sur la leucémie, cela se référerait à des recherches visant à tester de nouveaux traitements, médicaments, thérapies ou procédures pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la leucémie. Ces essais cliniques sont importants pour faire avancer notre compréhension et notre capacité à traiter les maladies, y compris la leucémie.

Un composant sécrétoire dans un contexte médical ou physiologique se réfère à la partie d'une glande qui produit et sécrète des substances telles que des hormones, des enzymes ou d'autres molécules spécifiques dans le sang, les fluides corporels ou vers l'extérieur du corps. Ces composants sont généralement constitués de cellules spécialisées qui synthétisent et stockent ces substances avant qu'elles ne soient libérées par exocytose en réponse à des stimuli internes ou externes. Un exemple commun est le pancréas, dont les composants sécrétoires sont les ilots de Langerhans qui produisent et libèrent l'insuline et le glucagon dans le sang pour réguler la glycémie.

L'interleukine-13 (IL-13) est une cytokine sécrétée principalement par les cellules T helper 2 (Th2), ainsi que par d'autres types cellulaires tels que les mastocytes, les basophiles et les éosinophiles. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des réponses immunitaires et inflammatoires de l'organisme.

IL-13 est impliquée dans divers processus physiologiques et pathologiques, notamment :

1. La modulation de la fonction des macrophages, en les orientant vers un phénotype anti-inflammatoire et en inhibant leur activation pro-inflammatoire.
2. L'induction de la production d'immunoglobulines E (IgE) par les lymphocytes B, ce qui favorise la réaction allergique immédiate.
3. La stimulation de la sécrétion de mucus et la prolifération des cellules épithéliales dans les voies respiratoires, contribuant au développement de l'asthme.
4. L'activation de fibroblastes et la production de matrice extracellulaire, ce qui peut entraîner une fibrose tissulaire dans certaines maladies chroniques.

Dans un contexte médical, des niveaux élevés d'IL-13 ont été associés à plusieurs affections, telles que l'asthme, la dermatite atopique, la sinusite chronique et certaines maladies pulmonaires obstructives. Cibler spécifiquement IL-13 ou ses voies de signalisation est donc considéré comme une stratégie thérapeutique prometteuse pour traiter ces pathologies.

L'eczéma est une affection cutanée courante caractérisée par des démangeaisons, des rougeurs, des squames et des lésions vésiculeuses. Il peut être aigu ou chronique et peut affecter les personnes de tous âges. Les formes les plus courantes d'eczéma sont la dermatite atopique, la dermatite de contact et la dyshidrose. La dermatite atopique est souvent liée à des antécédents familiaux d'allergies et peut être associée à l'asthme et à la rhinite allergique. La dermatite de contact se produit lorsque la peau entre en contact avec une substance irritante ou allergisante. La dyshidrose est caractérisée par de petites vésicules qui apparaissent sur les paumes des mains, les plantes des pieds et parfois autour des doigts.

Le traitement de l'eczéma dépend de la forme et de la gravité de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des hydratants, des corticostéroïdes topiques, des immunomodulateurs topiques, des antihistaminiques et des antibiotiques en cas d'infection secondaire. Il est également important d'éviter les déclencheurs connus de la maladie, tels que le stress, les irritants cutanés et les allergènes.

Un anticorps est une protéine produite par le système immunitaire en réponse à la présence d'une substance étrangère, appelée antigène. Les anticorps sont également connus sous le nom d'immunoglobulines et sont sécrétés par les plasmocytes, un type de cellule blanc du sang.

Les anticorps se lient spécifiquement à des régions particulières de l'antigène, appelées épitopes, ce qui permet au système immunitaire d'identifier et d'éliminer la substance étrangère. Les anticorps peuvent neutraliser directement les agents pathogènes ou marquer les cellules infectées pour être détruites par d'autres cellules du système immunitaire.

Les anticorps sont un élément clé de la réponse immunitaire adaptative, ce qui signifie qu'ils peuvent s'adapter et se souvenir des agents pathogènes spécifiques pour offrir une protection à long terme contre les infections ultérieures. Les anticorps peuvent être détectés dans le sang et servent souvent de marqueurs pour diagnostiquer certaines maladies, telles que les infections ou les troubles auto-immuns.

Les lymphocytes sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils sont responsables de la défense du corps contre les infections et les maladies. Il existe deux principaux types de lymphocytes : les lymphocytes B et les lymphocytes T.

Les lymphocytes B, également appelés cellules B, sont responsables de la production d'anticorps, qui sont des protéines spécialisées qui aident à neutraliser ou à éliminer les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Lorsqu'un anticorps se lie à un agent pathogène, il le marque pour être détruit par d'autres cellules du système immunitaire.

Les lymphocytes T, également appelés cellules T, sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire et de la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent être divisés en plusieurs sous-types, tels que les lymphocytes T cytotoxiques, qui détruisent directement les cellules infectées, et les lymphocytes T helper, qui aident à coordonner la réponse immunitaire en sécrétant des cytokines.

Les lymphocytes sont produits dans la moelle osseuse et se trouvent principalement dans le sang, la rate, les ganglions lymphatiques et les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses, tels que les amygdales et les plaques de Peyer dans l'intestin. Une diminution du nombre de lymphocytes dans le sang, appelée lymphopénie, peut être un signe de maladies sous-jacentes telles que l'infection par le VIH ou certaines formes de cancer.

L'agammaglobulinémie est une affection rare du système immunitaire caractérisée par un déficit en anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des protéines importantes qui aident à combattre les infections. Dans l'agammaglobulinémie, il y a une production insuffisante ou absente de certaines classes d'anticorps, ce qui rend une personne plus susceptible aux infections récurrentes et graves.

Les symptômes de l'agammaglobulinémie commencent généralement à apparaître pendant la petite enfance, après que les niveaux maternels d'anticorps aient diminué. Les infections respiratoires récurrentes, telles que la sinusite et la bronchite, sont courantes. Les infections cutanées, articulaires et gastro-intestinales peuvent également se produire.

L'agammaglobulinémie est causée par des mutations génétiques qui affectent la production de cellules B, un type de globule blanc qui produit des anticorps. Dans certains cas, l'affection peut être héréditaire et se transmettre de génération en génération dans les familles.

Le diagnostic d'agammaglobulinémie est généralement posé sur la base des symptômes et confirmé par des tests sanguins qui mesurent les niveaux d'immunoglobulines. Le traitement de l'affection consiste généralement en des injections régulières d'immunoglobulines pour aider à prévenir les infections. Il est également important de prendre des précautions pour éviter les infections, telles que la vaccination et une bonne hygiène.

Bien que l'agammaglobulinémie puisse être grave et entraîner des complications à long terme, elle peut être gérée avec un traitement approprié et une surveillance médicale régulière. Les personnes atteintes d'agammaglobulinémie peuvent mener une vie active et productive avec le soutien de leur famille, de leurs amis et de leur équipe de soins de santé.

Les lymphocytes T, également connus sous le nom de cellules T, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont produits dans le thymus et sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire spécifique contre les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les cellules cancéreuses.

Il existe deux principaux sous-types de lymphocytes T : les lymphocytes T CD4+ (ou cellules helper) et les lymphocytes T CD8+ (ou cellules cytotoxiques). Les lymphocytes T CD4+ aident à coordonner la réponse immunitaire en activant d'autres cellules du système immunitaire, tandis que les lymphocytes T CD8+ détruisent directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Les lymphocytes T sont essentiels pour la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes et des cellules anormales. Les déficiences quantitatives ou qualitatives des lymphocytes T peuvent entraîner une immunodéficience et une susceptibilité accrue aux infections et aux maladies auto-immunes.

L'anisakiase est une maladie parasitaire causée par l'ingestion de poisson ou de fruits de mer crus ou insuffisamment cuits qui sont infectés par des larves d'un nématode anisakis. Ces larves peuvent pénétrer dans la muqueuse gastrique ou intestinale, provoquant une réaction inflammatoire aiguë avec des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et de la diarrhée. Dans les cas graves, l'anisakiase peut entraîner une obstruction intestinale ou une péritonite. Le diagnostic est généralement posé par endoscopie ou imagerie médicale, et le traitement consiste à éliminer mécaniquement ou chirurgicalement les larves. La prévention passe par la cuisson adéquate des poissons et fruits de mer et l'évitement de ceux qui sont connus pour être infectés.

Je suis désolé, "Ziziphus" est en fait le nom d'un genre botanique, et non une condition ou un terme médical. Il appartient à la famille des Rhamnaceae et comprend environ 40 espèces d'arbustes et d'arbres à feuilles persistantes ou caduques. L'espèce la plus connue est probablement Ziziphus jujuba, qui produit les fruits comestibles connus sous le nom de jujubes ou de dattes rouges. Bien que certains membres du genre Ziziphus aient des propriétés médicinales, il n'existe pas de définition médicale générale pour l'ensemble du genre.

Une cytokine est une petite molécule de signalisation, généralement protéique ou sous forme de peptide, qui est sécrétée par des cellules dans le cadre d'une réponse immunitaire, inflammatoire ou infectieuse. Elles agissent comme des messagers chimiques et jouent un rôle crucial dans la communication entre les cellules du système immunitaire. Les cytokines peuvent être produites par une variété de cellules, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les macrophages, les mastocytes, les neutrophiles et les endothéliums.

Elles peuvent avoir des effets stimulants ou inhibiteurs sur la réplication cellulaire, la différenciation cellulaire, la croissance, la mobilisation et l'apoptose (mort cellulaire programmée). Les cytokines comprennent les interleukines (IL), les facteurs de nécrose tumorale (TNF), les interférons (IFN), les chimioquines et les chimiokines. Une cytokine peut avoir différents effets sur différents types de cellules et ses effets peuvent également dépendre de la concentration à laquelle elle est présente.

Dans certaines maladies, comme l'arthrite rhumatoïde ou la polyarthrite chronique évolutive, on observe une production excessive de cytokines qui contribue à l'inflammation et à la destruction des tissus. Dans ces cas, des médicaments qui ciblent spécifiquement certaines cytokines peuvent être utilisés pour traiter ces maladies.

L'agrégation des récepteurs est un processus dans lequel plusieurs récepteurs membranaires sont regroupés ou "agglomérés" en une seule unité fonctionnelle sur la membrane cellulaire. Ce phénomène joue un rôle important dans la signalisation cellulaire et la régulation de divers processus physiologiques, tels que la transmission des signaux nerveux et la modulation de l'activité réceptive des cellules.

L'agrégation des récepteurs peut être induite par plusieurs mécanismes, notamment les interactions protéine-protéine, les modifications post-traductionnelles (telles que la phosphorylation) et l'association avec des lipides membranaires spécifiques. Les agrégats récepteurs peuvent être transitoires ou permanents, et ils peuvent varier en taille et en composition.

Dans certains cas, l'agrégation des récepteurs peut entraîner une amplification de la signalisation cellulaire, car plusieurs récepteurs sont activés simultanément par un seul ligand. Dans d'autres cas, l'agrégation des récepteurs peut conduire à une diminution de la sensibilité des cellules aux stimuli extérieurs, car les récepteurs agrégés deviennent moins accessibles aux ligands.

En général, l'agrégation des récepteurs est un mécanisme important de régulation de la signalisation cellulaire et de la fonction cellulaire, et elle joue un rôle clé dans divers processus physiologiques et pathologiques.

Le test de dégranulation des basophiles est une méthode de laboratoire utilisée pour évaluer la réactivité des basophiles, un type de globules blancs, à certains stimuli. Ce test est souvent utilisé dans le contexte d'un bilan allergologique pour aider au diagnostic d'une allergie.

Au cours du test, les basophiles sont exposés à des allergènes suspectés ou à des médiateurs chimiques qui déclenchent la dégranulation, c'est-à-dire l'activation et la libération de granules contenant des histamines et d'autres médiateurs inflammatoires. La quantité de médiateurs libérés est mesurée et utilisée comme indicateur de la réactivité des basophiles à ces stimuli.

Il convient de noter que ce test n'est pas routinier et est généralement demandé lorsque les tests cutanés et les tests sanguins standard pour les allergies sont incohérents ou ne fournissent pas de réponses claires. Les résultats doivent être interprétés avec prudence et en conjonction avec l'histoire clinique du patient, les résultats des autres tests et l'expertise clinique.

Les allotypes Gm des chaînes lourdes sont des variantes génétiques de certaines protéines trouvées dans les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les immunoglobulines sont des molécules importantes du système immunitaire qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont constituées de plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable et le domaine constant. Les allotypes Gm se trouvent dans le domaine constant de la chaîne lourde gamma (γ), qui est l'une des quatre types de chaînes lourdes d'immunoglobulines (les autres étant alpha, delta et mu).

Les variantes allotypiques Gm sont déterminées par des différences dans la séquence d'acides aminés de la chaîne lourde gamma. Ces variations sont héréditaires et peuvent être utilisées pour identifier les sous-groupes génétiques chez les humains. Les allotypes Gm sont souvent utilisés en recherche médicale et en médecine légale pour étudier la diversité génétique de populations particulières ou pour résoudre des questions d'identification individuelle.

Il est important de noter que les allotypes Gm ne sont pas associés à des maladies spécifiques, mais plutôt à des variations normales dans la composition protéique des immunoglobulines.

Je suis désolé, mais la définition médicale de "Arthropod Proteins" ne semble pas exister. Les protéines d'arthropodes se réfèrent simplement aux protéines qui sont trouvées dans les arthropodes, qui est un phylum d'animaux invertébrés comprenant les insectes, les crustacés, les acariens et les arachnides, entre autres. Ces protéines peuvent avoir divers rôles structurels et fonctionnels dans l'organisme de l'arthropode. Si vous cherchez une information spécifique sur une protéine particulière d'un arthropode ou son utilisation dans un contexte médical, veuillez fournir plus de détails pour que je puisse affiner ma réponse.

En termes médicaux, le latex fait référence à un liquide blanc collant produit par certaines plantes, y compris l'arbre Hevea brasiliensis (communément appelé arbre à caoutchouc). Dans un contexte clinique, le latex est souvent discuté en ce qui concerne les allergies de contact. Le latex peut provoquer une réaction allergique lorsqu'il entre en contact avec la peau ou les muqueuses, entraînant des symptômes tels que des démangeaisons cutanées, une éruption cutanée, un gonflement, des larmoiements, un écoulement nasal et dans de rares cas, une réaction anaphylactique potentiellement mortelle. Les produits en latex, tels que les gants médicaux, peuvent être une source courante d'exposition et d'allergie au latex.

La rhinite est un terme médical qui décrit l'inflammation de la muqueuse du nez, entraînant souvent des symptômes tels qu'un écoulement nasal, des éternuements, des démangeaisons et un nez bouché. Cette condition peut être causée par divers facteurs, notamment des allergies (rhinite allergique), des infections virales (rhinite infectieuse) ou des irritants environnementaux. La rhinite allergique est la forme la plus courante de rhinite et est souvent déclenchée par des allergènes tels que le pollen, les acariens, la poussière ou les animaux domestiques. Selon sa cause et sa gravité, la rhinite peut être traitée avec des médicaments en vente libre ou sur ordonnance, des thérapies d'immunothérapie ou des changements environnementaux pour éviter les déclencheurs.

Le colostrum est la première sécrétion mammaire produite par les glandes mammaires après l'accouchement, pendant la période précoce de la lactation, qui dure généralement jusqu'à environ 3 à 4 jours. Il s'agit d'un liquide jaunâtre riche en nutriments, anticorps et autres facteurs immunitaires protecteurs, tels que les leucocytes, les lactoferrines, les lysozymes et les immunoglobulines (IgA, IgG et IgM), qui aident à protéger le nouveau-né contre les infections et renforcent son système immunitaire. Le colostrum est également une source importante de facteurs de croissance, de vitamines et d'oligo-éléments essentiels pour la santé et le développement du nourrisson. En outre, il a des propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et prébiotiques qui favorisent la croissance et l'équilibre de la flore intestinale bénéfique chez le nouveau-né.

Un test de provocation bronchique, également connu sous le nom de test de bronchoprovocation, est un examen médical utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité. Il consiste à exposer progressivement les voies respiratoires du patient à des substances irritantes ou allergisantes, telles que la méthacholine ou l'histamine, afin de provoquer une réaction bronchoconstricteur.

Cette réaction se traduit par une diminution du calibre des bronches et entraîne une augmentation de la résistance des voies respiratoires. Le test est considéré comme positif si cette réaction est observée à des doses relativement faibles de l'agent provocateur.

Le test de provocation bronchique doit être réalisé dans un environnement contrôlé et sous la surveillance étroite d'un professionnel de santé qualifié, car il peut entraîner une détresse respiratoire chez les patients asthmatiques sévères. Il est important de noter que ce test n'est pas recommandé pour le diagnostic initial de l'asthme et ne doit être utilisé qu'en complément d'autres examens, tels que la spirométrie ou les tests sanguins.

L'activation des lymphocytes est un processus crucial dans le système immunitaire adaptatif, qui se produit lorsque les lymphocytes (un type de globule blanc) sont exposés à un antigène spécifique. Cela entraîne une série d'événements cellulaires et moléculaires qui permettent aux lymphocytes de devenir fonctionnellement actifs et de participer à la réponse immunitaire spécifique à cet antigène.

Les lymphocytes T et B sont les deux principaux types de lymphocytes activés dans le processus d'activation des lymphocytes. L'activation se produit en plusieurs étapes : reconnaissance de l'antigène, activation, prolifération et différenciation.

1. Reconnaissance de l'antigène : Les lymphocytes T et B reconnaissent les antigènes grâce à des récepteurs spécifiques à leur surface. Les lymphocytes T ont des récepteurs T (TCR) qui reconnaissent les peptides présentés par les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) sur la surface des cellules présentant l'antigène. Les lymphocytes B, quant à eux, ont des récepteurs B (BCR) qui reconnaissent directement les antigènes entiers ou des fragments d'eux.
2. Activation : Lorsqu'un lymphocyte T ou B rencontre un antigène correspondant à son récepteur, il devient activé et commence à se diviser pour produire de nombreuses cellules filles. Cette activation nécessite des signaux co-stimulateurs fournis par d'autres cellules immunitaires, telles que les cellules présentatrices d'antigènes (CPA) ou les cellules dendritiques.
3. Prolifération : Après l'activation, les lymphocytes T et B subissent une prolifération rapide pour produire des clones de cellules filles génétiquement identiques qui partagent le même récepteur spécifique à l'antigène.
4. Différenciation : Les cellules filles peuvent ensuite se différencier en différents sous-types de lymphocytes T ou B, selon la nature de l'antigène et les signaux qu'ils reçoivent pendant l'activation. Par exemple, les lymphocytes T CD4+ peuvent se différencier en cellules Th1, Th2, Th17, Treg ou autres sous-types, tandis que les lymphocytes B peuvent se différencier en plasmocytes producteurs d'anticorps ou en cellules B mémoire.
5. Effector et mémoire : Les lymphocytes T et B activés peuvent alors fonctionner comme des cellules effectrices, produisant des cytokines, tuant les cellules infectées ou sécrétant des anticorps pour neutraliser les agents pathogènes. Certaines de ces cellules deviennent également des cellules mémoire à long terme qui peuvent être rapidement réactivées lors d'une exposition ultérieure au même antigène.

En résumé, l'activation et la différenciation des lymphocytes T et B sont des processus complexes impliquant une série d'étapes qui dépendent de la nature de l'antigène, des signaux environnementaux et des interactions avec d'autres cellules du système immunitaire. Ces processus permettent au système immunitaire adaptatif de générer des réponses spécifiques aux antigènes et de développer une mémoire immunologique pour assurer une protection à long terme contre les agents pathogènes récurrents.

L'immunisation passive est un type d'immunisation dans lequel des anticorps préformés sont administrés à une personne pour protéger contre une maladie infectieuse spécifique. Contrairement à l'immunisation active, où le système immunitaire de la personne est stimulé pour produire sa propre réponse immunitaire, l'immunisation passive fournit une protection immédiate mais temporaire, généralement pendant quelques semaines ou mois.

L'immunisation passive peut être réalisée en injectant des anticorps polyclonaux ou monoclonaux provenant de sources animales ou humaines. Les anticorps polyclonaux sont un mélange d'anticorps produits par différents lymphocytes B, tandis que les anticorps monoclonaux sont des anticorps identiques produits par une seule ligne de cellules clonées.

L'immunisation passive est utilisée dans certaines situations d'urgence où une personne est exposée à une maladie infectieuse et n'a pas eu le temps de développer sa propre réponse immunitaire, comme dans le cas de la rage ou du tétanos. Elle peut également être utilisée pour fournir une protection temporaire aux personnes dont le système immunitaire est affaibli, telles que les patients atteints de cancer ou ceux qui ont subi une transplantation d'organe.

Cependant, l'immunisation passive présente également des inconvénients, tels qu'un risque accru de réactions allergiques et le fait que les anticorps administrés peuvent interférer avec la réponse immunitaire naturelle de la personne. Par conséquent, elle est généralement utilisée de manière temporaire et dans des situations spécifiques où les avantages l'emportent sur les risques.

Un récepteur immunologique est une protéine présente à la surface des cellules du système immunitaire qui est capable de reconnaître et se lier spécifiquement à des molécules étrangères ou des antigènes. Ce processus de liaison déclenche une réponse immunitaire pour combattre et éliminer ces substances étrangères de l'organisme. Les deux principaux types de récepteurs immunologiques sont les récepteurs d'antigène des lymphocytes B (BCR) et les récepteurs d'antigène des lymphocytes T (TCR). Les BCR se trouvent à la surface des lymphocytes B et se lient aux antigènes après qu'ils ont été traités par des cellules présentatrices d'antigène. Les TCR se trouvent à la surface des lymphocytes T et se lient directement aux peptides antigéniques présentés par les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) sur la surface des cellules présentatrices d'antigène.

La chymase est une enzyme qui est sécrétée par les mast cells (cellules mastiques) et appartient à la famille des protéases à sérine. Elle joue un rôle important dans l'inflammation et la réponse immunitaire, ainsi que dans certaines maladies cardiovasculaires et rénales. La chymase est capable de dégrader une variété de substrats, y compris les protéines extracellulaires et les peptides hormonaux, ce qui peut entraîner des modifications structurelles et fonctionnelles des tissus.

Dans le corps humain, la chymase est stockée dans les granules des mast cells et est libérée en réponse à des stimuli tels que l'activation immunitaire ou les dommages tissulaires. Une fois activée, la chymase peut cliver l'angiotensine I en angiotensine II, un puissant vasoconstricteur qui joue un rôle important dans la régulation de la pression artérielle et de la fonction rénale.

Des niveaux élevés de chymase ont été associés à des maladies telles que l'hypertension artérielle, l'insuffisance cardiaque, la néphropathie diabétique et les maladies pulmonaires obstructives chroniques. Par conséquent, la chymase est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces conditions.

Un site de fixation d'anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la région spécifique sur une molécule antigénique où un anticorps se lie et se fixe. Cette interaction est hautement spécifique et dépendante de la complémentarité entre les sites de liaison des anticorps (également appelés paratopes) et les épitopes correspondants sur l'antigène.

Lorsqu'un antigène pénètre dans un organisme, le système immunitaire répond en produisant des anticorps pour reconnaître et neutraliser la menace. Les anticorps sont des protéines sécrétées par les lymphocytes B qui se lient aux épitopes spécifiques sur les antigènes. Ces épitopes sont des régions tridimensionnelles de la molécule antigénique qui sont reconnues et se lient aux anticorps.

La fixation d'anticorps est un processus crucial dans l'activation du système immunitaire adaptatif, car elle permet la reconnaissance spécifique des agents pathogènes étrangers et favorise leur élimination par d'autres mécanismes immunitaires. La capacité des anticorps à se lier de manière sélective aux épitopes sur les antigènes est également essentielle dans le développement de divers tests diagnostiques et thérapeutiques, tels que les tests ELISA, les dosages immunochimiques et l'immunothérapie.

En bref, un site de fixation d'anticorps est la zone spécifique sur une molécule antigénique où un anticorps se lie et s'attache, déclenchant des réponses immunitaires pour neutraliser ou éliminer l'antigène.

Le système immunitaire est un réseau complexe de cellules, tissus, et organes qui travaillent ensemble pour détecter et éliminer les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, virus, parasites, et champignons, ainsi que les cellules cancéreuses et autres substances nocives pour l'organisme. Il est divisé en deux parties principales: le système immunitaire inné et le système immunitaire adaptatif (également appelé système immunitaire acquis).

Le système immunitaire inné est la première ligne de défense contre les agents pathogènes. Il comprend des barrières physiques telles que la peau et les muqueuses, ainsi que des cellules et molécules qui peuvent détecter et éliminer rapidement les menaces sans avoir besoin d'une reconnaissance préalable.

Le système immunitaire adaptatif, quant à lui, est plus spécifique et sophistiqué. Il s'agit d'un système de défense qui apprend à reconnaître et à se souvenir des agents pathogènes spécifiques qu'il a déjà rencontrés, ce qui lui permet de monter une réponse plus rapide et plus efficace lors d'une future exposition. Ce système est divisé en deux parties: l'immunité humorale (ou immunité à médiation humorale), qui implique la production d'anticorps par les lymphocytes B, et l'immunité cellulaire (ou immunité à médiation cellulaire), qui implique l'activation des lymphocytes T pour détruire directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Le terme "complexe immun" peut faire référence à l'ensemble du système immunitaire, mais il est souvent utilisé dans un contexte plus spécifique pour décrire des interactions complexes entre différentes cellules et molécules du système immunitaire qui sont importantes pour la reconnaissance, la régulation et la réponse aux agents pathogènes. Par exemple, le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) est un ensemble de protéines présent sur la surface des cellules qui permettent la présentation d'antigènes aux lymphocytes T pour qu'ils puissent reconnaître et répondre aux agents pathogènes.

Un haptène est, en termes simples, une petite molécule qui peut déclencher une réponse immunitaire mais qui ne peut pas le faire par elle-même. Les haptènes sont trop petits pour être reconnus par les systèmes immunitaires, ils doivent donc se lier à des protéines porteuses plus grandes avant de pouvoir provoquer une réaction.

Dans un contexte médical, les haptènes sont souvent mentionnés en ce qui concerne les réactions allergiques. Lorsqu'un haptène se lie à une protéine et que ce complexe est reconnu comme étranger par le système immunitaire, il peut déclencher la production d'anticorps ou d'autres cellules immunitaires qui attaquent ce complexe. Cela peut entraîner une variété de symptômes allergiques, tels que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements et des difficultés respiratoires.

Les haptènes peuvent provenir de diverses sources, y compris l'environnement (par exemple, le pollen, les acariens ou les produits chimiques) ou être générés à la suite du métabolisme de médicaments ou d'autres substances dans le corps.

Il est important de noter que les haptènes ne sont pas intrinsèquement nocifs ; ce sont simplement des molécules qui peuvent déclencher une réponse immunitaire sous certaines conditions. Cependant, la compréhension des haptènes et de leur rôle dans les réactions allergiques peut être utile pour le diagnostic et le traitement des maladies allergiques.

L'immunoélectrophorèse est une technique de laboratoire utilisée en médecine clinique et en recherche biomédicale pour l'analyse qualitative et quantitative des protéines. Elle combine deux processus, l'électrophorèse et l'immunodiffusion, pour détecter et identifier les protéines spécifiques dans un échantillon, telles que les anticorps ou les antigènes.

Dans la première étape, l'électrophorèse, l'échantillon de protéines est séparé en fonction de sa charge électrique et de sa taille moléculaire lorsqu'il est soumis à un champ électrique. Les protéines migrent vers l'anode (pôle positif) ou la cathode (pôle négatif) en fonction de leur charge.

Dans la deuxième étape, l'immunodiffusion, des anticorps spécifiques sont ajoutés à l'échantillon électrophorétique. Ces anticorps se lient aux antigènes correspondants pour former des précipités visibles. La position et la forme de ces précipités peuvent être utilisées pour identifier et quantifier les protéines spécifiques dans l'échantillon.

L'immunoélectrophorèse est une méthode sensible et spécifique qui peut être utilisée pour diagnostiquer un large éventail de maladies, y compris les troubles immunitaires, les infections et les maladies inflammatoires. Elle peut également être utilisée pour surveiller la réponse du patient au traitement et détecter d'éventuelles rechutes.

Anisakis est un nématode marin, qui est un type de ver rond. Il est couramment trouvé dans les poissons et les céphalopodes (comme les calmars et les seiches). L'infection humaine par Anisakis, appelée anisakiase, peut survenir lorsque des humains consomment du poisson ou des céphalopodes crus ou insuffisamment cuits contenant des larves d'Anisakis. Cela peut provoquer une variété de symptômes, y compris des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et des diarrhées. Dans certains cas, l'infection peut entraîner des réactions allergiques graves. La prévention de l'anisakiase implique la cuisson adéquate du poisson et des céphalopodes ou le congélateur à des températures appropriées pour tuer les larves d'Anisakis avant la consommation.

Dermatophagoides pteronyssinus est spécifiquement défini dans le domaine médical comme étant une espèce de acariens de la poussière domestique qui sont souvent liés à l'asthme et aux allergies. Ces acariens sont si petits qu'ils sont invisibles à l'œil nu et prospèrent dans les environnements humides, chauds et riches en matière organique, comme les literies, les tapis et les meubles rembourrés.

Les acariens de la poussière domestique, y compris Dermatophagoides pteronyssinus, se nourrissent de débris humains tels que la peau morte et peuvent provoquer des réactions allergiques lorsque des particules de leurs déjections ou de leur corps sont inhalées. Les symptômes d'une réaction allergique à ces acariens peuvent inclure des éternuements, un nez qui coule, des yeux larmoyants et des difficultés respiratoires.

Il est important de noter que les personnes souffrant d'asthme ou d'allergies peuvent bénéficier de mesures visant à réduire l'exposition aux acariens de la poussière domestique, telles que l'utilisation de housses anti-acariens pour les matelas et les oreillers, le lavage régulier des draps en eau chaude et l'humidité relative basse dans la maison.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

Le réarrangement des gènes de la chaîne lourde des lymphocytes B est un processus essentiel dans le développement et la maturation des lymphocytes B, qui sont une partie importante du système immunitaire adaptatif. Ce processus se produit dans les précurseurs des lymphocytes B dans la moelle osseuse.

Au cours de ce réarrangement, les gènes qui codent pour les régions variables de la chaîne lourde des immunoglobulines (anticorps) sont réorganisés par un processus complexe de recombinaison V(D)J. Ce processus implique la sélection et la jonction de segments de gènes variables (V), diversité (D) et jointure (J) pour former un seul gène fonctionnel qui code pour une région variable unique de la chaîne lourde des immunoglobulines.

Ce réarrangement permet aux lymphocytes B de produire une grande diversité d'anticorps, capables de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes étrangers. Les erreurs ou les anomalies dans ce processus de réarrangement peuvent entraîner des maladies telles que la leucémie lymphoïde aiguë et certains types de lymphomes.

Brugia est le nom d'un genre de nématodes, qui sont des vers ronds. Ces parasites sont responsables de certaines filarioses, ou maladies causées par des vers, y compris la filariose lymphatique et la loase.

La filariose lymphatique est une maladie tropicale qui peut entraîner un gonflement douloureux et permanent des extrémités, appelé elephantiasis. Cela se produit lorsque les vers adultes vivent dans le système lymphatique et provoquent une réaction inflammatoire chronique qui endommage les tissus.

La loase est également une maladie tropicale, mais elle affecte généralement la peau. Les symptômes comprennent des démangeaisons intenses, des éruptions cutanées et des lésions sur la peau.

Ces maladies sont généralement transmises à l'homme par la piqûre de moustiques infectés. La prévention implique généralement une combinaison de traitements médicamenteux, de contrôle des vecteurs et d'amélioration de l'assainissement et de l'hygiène.

Le réarrangement du gène de la chaîne légère des lymphocytes B est un processus normal qui se produit pendant le développement des lymphocytes B dans le corps. Ce processus implique la recombinaison des gènes variables, diverses et joining (V, D, J) de la chaîne légère kappa ou lambda pour créer un gène unique et fonctionnel qui code pour une région variable unique de la protéine d'anticorps sur la surface du lymphocyte B. Ce réarrangement permet aux lymphocytes B de produire une grande diversité d'anticorps pour aider à reconnaître et à combattre une large gamme de pathogènes.

Cependant, dans certaines conditions, des erreurs peuvent survenir pendant ce processus de réarrangement, entraînant la production de chaînes légères anormales ou mutées. Ces anomalies peuvent entraîner la production d'anticorps anormaux ou autoreactifs qui attaquent les propres tissus du corps, contribuant au développement de maladies auto-immunes ou de certains types de cancer, tels que le lymphome des chaînes légères. Par conséquent, l'analyse du réarrangement des gènes de la chaîne légère des lymphocytes B est souvent utilisée en médecine clinique comme un outil pour aider au diagnostic et à la surveillance de ces conditions.

Le sang fœtal est le type de sang qui circule dans le système circulatoire du fœtus pendant la grossesse. Il contient des cellules sanguines immatures et a des propriétés différentes de celle du sang adulte, telles que un taux d'hémoglobine fœtale plus élevé et une résistance différente à l'oxygène. Le groupe sanguin du fœtus est généralement déterminé par les gènes hérités de chaque parent.

Le sang fœtal peut être prélevé pour des tests prénataux, tels que le dépistage de maladies génétiques ou d'anomalies chromosomiques. Cela est généralement fait en prélevant un échantillon de liquide amniotique ou de villosités choriales pendant la grossesse. Dans certains cas, il peut également être possible de prélever du sang directement à partir du cordon ombilical après la naissance.

Il est important de noter que le mélange de sang fœtal et maternel pendant la grossesse peut entraîner des complications, telles que l'anémie hémolytique du nouveau-né ou la maladie hémolytique du nouveau-né, en particulier si le groupe sanguin de la mère et du fœtus sont incompatibles.

Les amygdales palatines, également simplement appelées «amygdales», sont deux masses de tissu lymphoïde situées à la base de la cavité buccale, à l'arrière de la gorge. Elles font partie du système immunitaire et aident à combattre les infections qui pénètrent dans le corps par la bouche ou le nez. Les amygdales palatines sont visibles lorsqu'on regarde à l'intérieur de la bouche, juste derrière les arcades dentaires supérieures. Elles peuvent devenir enflammées et s'agrandir en réponse à une infection, ce qui peut entraîner des symptômes tels que des difficultés à avaler, des maux de gorge et des ganglions lymphatiques enflés dans le cou. Dans certains cas, une hypertrophie sévère ou persistante des amygdales peut nécessiter une ablation chirurgicale, appelée amygdalectomie.

Un dosage immunologique, également connu sous le nom d'immunoessai, est un test de laboratoire qui mesure la concentration ou l'activité d'une substance spécifique, appelée analyte, dans un échantillon biologique en utilisant des méthodes immunochimiques. Les analytes peuvent inclure des antigènes, des anticorps, des hormones, des protéines, des drogues et d'autres molécules.

Les dosages immunologiques reposent sur l'interaction spécifique entre un antigène et un anticorps pour détecter ou quantifier la présence de l'analyte dans l'échantillon. Il existe différents types de dosages immunologiques, tels que les ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay), les RIA (Radioimmunoassay), les Western blots et les immunofluorescences.

Ces tests sont largement utilisés en médecine pour diagnostiquer des maladies, surveiller l'efficacité du traitement, détecter la présence de drogues ou d'alcool dans le sang, et évaluer la fonction thyroïdienne, parmi d'autres applications. Les résultats des dosages immunologiques doivent être interprétés en tenant compte des valeurs de référence établies pour chaque analyte et du contexte clinique du patient.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

Un test immunologique est un type d'examen de laboratoire qui implique l'utilisation d'anticorps ou d'antigènes pour détecter la présence, l'identité et la quantité d'une substance spécifique dans le sang ou d'autres fluides corporels. Ces tests sont largement utilisés en médecine pour diagnostiquer des maladies, surveiller les progrès de traitements médicaux, déterminer la compatibilité tissulaire avant une transplantation et évaluer l'efficacité du système immunitaire.

Les tests immunologiques peuvent être classés en deux catégories principales : les méthodes basées sur les antigènes et celles basées sur les anticorps. Les premiers impliquent la reconnaissance d'antigènes (substances étrangères telles que des protéines, des polysaccharides ou des lipides) par des anticorps spécifiques, tandis que les seconds utilisent des anticorps marqués pour détecter la présence d'antigènes cibles.

Quelques exemples courants de tests immunologiques comprennent :

1. Tests ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay) : Ils sont utilisés pour détecter et quantifier divers antigènes et anticorps dans le sang, tels que ceux associés au VIH, à la syphilis, à la grippe et à d'autres infections.
2. Tests Western Blot : Ils sont souvent utilisés en combinaison avec des tests ELISA pour confirmer les résultats positifs du VIH. Ce test identifie spécifiquement les protéines virales détectées par le test ELISA.
3. Immunofluorescence : Cette méthode utilise des anticorps marqués pour localiser et identifier des antigènes dans des tissus ou des cellules. Elle est souvent utilisée en pathologie pour diagnostiquer diverses maladies, telles que la pneumonie, les infections virales et les maladies auto-immunes.
4. Immunochromatographie : Cette technique est largement utilisée dans les tests de dépistage rapide, tels que ceux pour la détection de drogues, d'alcool et de certaines infections, comme la grippe et la COVID-19.
5. Tests de compatibilité sanguine : Avant une transfusion sanguine, des tests immunologiques sont effectués pour vérifier la compatibilité entre le sang du donneur et celui du receveur.

ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.

Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.

L'interféron de type II, également connu sous le nom de interféron gamma (IFN-γ), est une protéine soluble qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les infections virales et la prolifération des cellules cancéreuses. Il est produit principalement par les lymphocytes T activés (cellules T CD4+ et CD8+) et les cellules NK (natural killer).

Contrairement aux interférons de type I, qui sont produits en réponse à une large gamme de virus et d'agents infectieux, l'interféron de type II est principalement induit par des stimuli spécifiques tels que les antigènes bactériens et viraux, ainsi que par les cytokines pro-inflammatoires telles que l'IL-12 et l'IL-18.

L'interféron de type II exerce ses effets biologiques en se liant à un récepteur spécifique, le récepteur de l'interféron gamma (IFNGR), qui est composé de deux chaînes polypeptidiques, IFNGR1 et IFNGR2. Ce complexe récepteur est présent sur la surface de divers types cellulaires, y compris les macrophages, les cellules dendritiques, les fibroblastes et les cellules endothéliales.

Après activation du récepteur IFNGR, une cascade de signalisation est déclenchée, entraînant l'activation de plusieurs voies de transcription qui régulent l'expression des gènes impliqués dans la réponse immunitaire innée et adaptative. Les effets biologiques de l'interféron de type II comprennent l'activation des macrophages, la stimulation de la présentation des antigènes par les cellules dendritiques, l'induction de l'apoptose (mort cellulaire programmée) dans les cellules infectées et tumorales, et la régulation positive ou négative de l'activité des lymphocytes T.

En résumé, l'interféron gamma est une cytokine clé impliquée dans la réponse immunitaire innée et adaptative contre les infections virales et bactériennes ainsi que dans la surveillance des cellules tumorales. Son activité est médiée par le récepteur IFNGR, qui déclenche une cascade de signalisation conduisant à l'activation de diverses voies de transcription et à l'expression de gènes impliqués dans la réponse immunitaire.

La protéine A du staphylocoque est une protéine surface liée à la membrane produite par certaines souches de staphylocoques, en particulier Staphylococcus aureus. Elle se lie spécifiquement aux fragments Fc des immunoglobulines G (IgG) humaines et animales, ce qui lui permet de bloquer l'activation du complément et la phagocytose des cellules immunitaires.

La protéine A est souvent utilisée en recherche et en diagnostic médical pour purifier les anticorps ou détecter la présence d'IgG dans un échantillon. Cependant, elle peut également contribuer à la virulence de S. aureus en aidant le pathogène à échapper à la réponse immunitaire de l'hôte.

Les infections à staphylocoque résistantes aux méthicillines (MRSA) sont souvent associées à des souches produisant de grandes quantités de protéine A, ce qui peut entraver le traitement et compliquer la prise en charge clinique.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Je suis désolé, mais la requête que vous avez formulée est incorrecte ou manque de précision. Le terme "Sérums Immuns" ne semble pas être une expression reconnue dans le domaine médical. Il se peut que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que vous cherchiez un terme similaire mais différent.

Cependant, je peux vous fournir des informations sur les sérums immuns en général, qui sont des solutions stériles contenant des anticorps spécifiques contre certaines maladies. Les sérums immuns peuvent être utilisés pour prévenir ou traiter des infections chez les personnes exposées à un risque élevé d'infection ou chez celles qui ont déjà été infectées.

Si vous cherchiez une définition différente, pouvez-vous svp préciser votre demande ? Je suis là pour vous aider.

Le clonage moléculaire est une technique de laboratoire qui permet de créer plusieurs copies identiques d'un fragment d'ADN spécifique. Cette méthode implique l'utilisation de divers outils et processus moléculaires, tels que des enzymes de restriction, des ligases, des vecteurs d'ADN (comme des plasmides ou des phages) et des hôtes cellulaires appropriés.

Le fragment d'ADN à cloner est d'abord coupé de sa source originale en utilisant des enzymes de restriction, qui reconnaissent et coupent l'ADN à des séquences spécifiques. Le vecteur d'ADN est également coupé en utilisant les mêmes enzymes de restriction pour créer des extrémités compatibles avec le fragment d'ADN cible. Les deux sont ensuite mélangés dans une réaction de ligation, où une ligase (une enzyme qui joint les extrémités de l'ADN) est utilisée pour fusionner le fragment d'ADN et le vecteur ensemble.

Le produit final de cette réaction est un nouvel ADN hybride, composé du vecteur et du fragment d'ADN cloné. Ce nouvel ADN est ensuite introduit dans un hôte cellulaire approprié (comme une bactérie ou une levure), où il peut se répliquer et produire de nombreuses copies identiques du fragment d'ADN original.

Le clonage moléculaire est largement utilisé en recherche biologique pour étudier la fonction des gènes, produire des protéines recombinantes à grande échelle, et développer des tests diagnostiques et thérapeutiques.

La souche de souris C57BL (C57 Black 6) est une souche inbred de souris labo commune dans la recherche biomédicale. Elle est largement utilisée en raison de sa résistance à certaines maladies infectieuses et de sa réactivité prévisible aux agents chimiques et environnementaux. De plus, des mutants génétiques spécifiques ont été développés sur cette souche, ce qui la rend utile pour l'étude de divers processus physiologiques et pathologiques. Les souris C57BL sont également connues pour leur comportement et leurs caractéristiques sensorielles distinctives, telles qu'une préférence pour les aliments sucrés et une réponse accrue à la cocaïne.

Les tryptases sont des enzymes sécrétées principalement par les mastocytes et les basophiles, qui font partie du système immunitaire. Elles jouent un rôle crucial dans le processus d'inflammation et de défense contre les allergies et les infections. Les tryptases sont souvent utilisées comme marqueurs biologiques pour diagnostiquer et suivre l'activité des maladies associées aux mastocytes, telles que la mastocytose systémique. Elles peuvent être mesurées dans le sang ou dans les liquides organiques grâce à des tests de laboratoire spécifiques.

La 5'-nucleotidase est une enzyme qui se trouve à la surface de certaines cellules dans le corps humain. Elle joue un rôle important dans le métabolisme des nucléotides, qui sont les composants de base des acides nucléiques, comme l'ADN et l'ARN.

Plus précisément, la 5'-nucleotidase catalyse la réaction qui déphosphoryle les nucléotides monophosphates en nucléosides et phosphate inorganique. Cette réaction est importante pour réguler la concentration intracellulaire de nucléotides et pour permettre leur recyclage ou leur élimination.

La 5'-nucleotidase est exprimée à la surface des érythrocytes (globules rouges), des hépatocytes (cellules du foie), des ostéoclastes (cellules qui dégradent les os) et d'autres types cellulaires. Des anomalies de l'activité de cette enzyme peuvent être associées à certaines maladies, comme la maladie de Gaucher ou l'hémochromatose.

Des tests de laboratoire peuvent être utilisés pour mesurer l'activité de la 5'-nucleotidase dans le sang ou d'autres fluides corporels, ce qui peut aider au diagnostic ou au suivi de certaines affections médicales.

Un antigène fongique est une substance moléculaire dérivée d'un champignon (fungi) qui, lorsqu'elle est introduite dans l'organisme, peut être reconnue par le système immunitaire et déclencher une réponse immunitaire. Ces antigènes peuvent provenir de la paroi cellulaire fongique ou d'autres structures du champignon. Les antigènes fongiques sont souvent utilisés dans les tests diagnostiques pour détecter la présence d'une infection fongique spécifique, en mesurant la réponse immunitaire de l'organisme à ces antigènes.

Par exemple, l'antigène galactomannane est un polysaccharide présent dans la paroi cellulaire de certains champignons pathogènes tels que Aspergillus fumigatus et peut être utilisé comme marqueur diagnostique pour détecter une infection invasive à Aspergillus. De même, l'antigène 1,3-β-D-glucane est un composant de la paroi cellulaire de nombreux champignons et peut être utilisé comme marqueur diagnostique pour détecter une infection fongique invasive chez les patients immunodéprimés.

Il est important de noter que tous les antigènes fongiques ne sont pas spécifiques à un seul type de champignon, et que des résultats positifs doivent être interprétés en conjonction avec d'autres tests diagnostiques et preuves cliniques pour confirmer une infection fongique.

La technique des anticorps fluorescents, également connue sous le nom d'immunofluorescence, est une méthode de laboratoire utilisée en médecine et en biologie pour détecter et localiser les antigènes spécifiques dans des échantillons tels que des tissus, des cellules ou des fluides corporels. Cette technique implique l'utilisation d'anticorps marqués avec des colorants fluorescents, tels que la FITC (fluorescéine isothiocyanate) ou le TRITC (tétraméthylrhodamine isothiocyanate).

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire qui reconnaissent et se lient spécifiquement à des molécules étrangères, appelées antigènes. Dans la technique des anticorps fluorescents, les anticorps marqués sont incubés avec l'échantillon d'intérêt, ce qui permet aux anticorps de se lier aux antigènes correspondants. Ensuite, l'échantillon est examiné sous un microscope à fluorescence, qui utilise une lumière excitatrice pour activer les colorants fluorescents et produire une image lumineuse des sites d'antigène marqués.

Cette technique est largement utilisée en recherche et en médecine diagnostique pour détecter la présence et la distribution d'un large éventail d'antigènes, y compris les protéines, les sucres et les lipides. Elle peut être utilisée pour diagnostiquer une variété de maladies, telles que les infections bactériennes ou virales, les maladies auto-immunes et le cancer.

Les protéines sécrétoires prostatiques (PSP) sont un ensemble complexe de protéines produites et sécrétées par les cellules épithéliales de la prostate. Elles font partie des composants principaux du liquide séminal, où elles jouent un rôle crucial dans la fertilité en facilitant la mobilité et la survie des spermatozoïdes. Les PSP comprennent plusieurs sous-types de protéines, dont le principal est le PSA (Antigène Spécifique de la Prostate), utilisé comme marqueur dans le diagnostic et le suivi du cancer de la prostate. La composition et la fonction des PSP sont donc d'un grand intérêt en urologie et en andrologie cliniques.

L'histamine est un biogénique, une molécule messager qui joue un rôle crucial dans les réactions immunitaires et allergiques du corps. Elle est libérée par les cellules immunitaires en réponse à des agents étrangers tels que les allergènes, les bactéries ou les toxines.

L'histamine exerce ses effets en se liant aux récepteurs de l'histamine situés sur la membrane cellulaire, déclenchant ainsi une cascade de réactions biochimiques qui entraînent une variété de réponses physiologiques, y compris la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, la contraction des muscles lisses et la stimulation de la sécrétion glandulaire.

Les symptômes d'une réaction allergique, tels que les démangeaisons, le gonflement, les rougeurs et les larmoiements, sont médiés par l'histamine. Les antihistaminiques, des médicaments couramment utilisés pour traiter les symptômes d'allergies, fonctionnent en bloquant les récepteurs de l'histamine, empêchant ainsi l'histamine de se lier et d'induire une réponse.

La conjonctivite allergique est une inflammation de la conjonctive, la membrane qui recouvre la surface interne des paupières et la partie blanche de l'œil (sclérotique). Cette condition est déclenchée par une réaction excessive du système immunitaire à un allergène, comme le pollen, les acariens ou certains composants des produits cosmétiques. Les symptômes courants de la conjonctivite allergique incluent des démangeaisons et une sensation de brûlure aux yeux, un larmoiement accru, des écoulements clairs, des paupières gonflées et rouges, et parfois une sensibilité à la lumière. Il est important de noter que cette forme de conjonctivite n'est pas contagieuse, contrairement aux autres types d'inflammation de la conjonctive causés par des virus ou des bactéries. Le traitement de la conjonctivite allergique vise généralement à contrôler les symptômes et à éviter l'exposition aux allergènes déclenchants. Les options thérapeutiques comprennent des antihistaminiques, des décongestionnants, des corticostéroïdes et des médicaments immunosuppresseurs topiques. Dans certains cas, il peut être bénéfique de suivre une désensibilisation pour traiter la cause sous-jacente de l'allergie.

La cytométrie en flux est une technique de laboratoire qui permet l'analyse quantitative et qualitative des cellules et des particules biologiques. Elle fonctionne en faisant passer les échantillons à travers un faisceau laser, ce qui permet de mesurer les caractéristiques physiques et chimiques des cellules, telles que leur taille, leur forme, leur complexité et la présence de certains marqueurs moléculaires. Les données sont collectées et analysées à l'aide d'un ordinateur, ce qui permet de classer les cellules en fonction de leurs propriétés et de produire des graphiques et des statistiques détaillées.

La cytométrie en flux est largement utilisée dans la recherche et le diagnostic médicaux pour étudier les maladies du sang, le système immunitaire, le cancer et d'autres affections. Elle permet de détecter et de mesurer les cellules anormales, telles que les cellules cancéreuses ou les cellules infectées par un virus, et peut être utilisée pour évaluer l'efficacité des traitements médicaux.

En plus de son utilisation dans le domaine médical, la cytométrie en flux est également utilisée dans la recherche fondamentale en biologie, en écologie et en biotechnologie pour étudier les propriétés des cellules et des particules vivantes.

La lactoglobuline est une protéine globulaire présente dans le sérum du sang et surtout dans le lait, en particulier le lait de vache. Elle appartient à la famille des lipocalines et a une fonction de transport des molécules hydrophobes, telles que les vitamines A et D, ainsi que les stéroïdes et les rétinoïdes. La lactoglobuline est souvent utilisée en biochimie comme un marqueur pour détecter la présence de protéines étrangères dans le sang, telles que celles provenant d'une transfusion sanguine ou d'une greffe d'organe. Elle peut également être utilisée comme allergène dans les tests cutanés pour diagnostiquer une allergie aux produits laitiers.

Les plasmocytes sont des cellules immunitaires matures qui produisent et sécrètent des anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Ils dérivent des lymphocytes B et sont présents dans les tissus lymphoïdes périphériques, y compris la moelle osseuse, les ganglions lymphatiques, le sang et la rate. Les plasmocytes ont un noyau en forme de rein avec un chromatine finement dispersé et un cytoplasme abondant qui contient des ribosomes et un réseau de réticulum endoplasmique rugueux où sont synthétisées les immunoglobulines. Ils jouent un rôle crucial dans la réponse immune adaptative en identifiant, se liant et neutralisant les agents pathogènes tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Cependant, une prolifération excessive de plasmocytes peut entraîner des maladies telles que le myélome multiple, qui est un cancer des plasmocytes caractérisé par la production excessive de chaînes légères d'immunoglobulines anormales et la destruction des os.

Les auto-anticorps sont des anticorps produits par le système immunitaire qui ciblent et attaquent les propres cellules, tissus ou molécules d'un organisme. Normalement, le système immunitaire est capable de distinguer entre les substances étrangères (antigènes) et les composants du soi, et il ne produit pas de réponse immunitaire contre ces derniers.

Cependant, dans certaines conditions, telles que les maladies auto-immunes, le système immunitaire peut commencer à produire des auto-anticorps qui attaquent et détruisent les tissus sains. Les auto-anticorps peuvent être dirigés contre une grande variété de substances, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et les glucides.

La présence d'auto-anticorps dans le sang peut indiquer une maladie auto-immune sous-jacente ou une autre condition médicale. Les tests de dépistage des auto-anticorps sont souvent utilisés pour aider au diagnostic et à la surveillance des maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie et la thyroïdite auto-immune.

Il est important de noter que la présence d'auto-anticorps ne signifie pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune ou va développer des symptômes associés à une telle maladie. Certains auto-anticorps peuvent être détectés chez des personnes en bonne santé, et d'autres conditions médicales peuvent également entraîner la production d'auto-anticorps. Par conséquent, les résultats des tests doivent être interprétés dans le contexte de l'histoire clinique et des symptômes du patient.

Le personnel du laboratoire médical comprend des professionnels de la santé hautement qualifiés qui effectuent des tests et des analyses sur des échantillons de tissus, de sang et d'autres substances corporelles dans un laboratoire clinique. Leurs responsabilités peuvent inclure l'exécution de tests diagnostiques, la recherche de pathogènes et d'autres agents nocifs, l'analyse de la composition chimique des échantillons et la surveillance des effets des traitements médicaux.

Les membres typiques du personnel du laboratoire médical comprennent des technologistes de laboratoire médical (MT), des techniciens de laboratoire médical (MLT) et des assistants de laboratoire médical (MLA). Les MT sont responsables de la supervision et de l'exécution d'une gamme complète de tests complexes, tandis que les MLT effectuent des tests de routine et assurent le fonctionnement et l'entretien des équipements du laboratoire. Les MLA fournissent un soutien administratif et clinique, y compris la collecte d'échantillons et la préparation des réactifs.

Le personnel du laboratoire médical travaille en étroite collaboration avec les médecins, les infirmières et d'autres professionnels de la santé pour fournir des soins aux patients. Ils doivent suivre des procédures strictes pour assurer l'exactitude et la fiabilité des résultats des tests, et ils doivent également respecter les normes éthiques et juridiques en matière de confidentialité et de consentement des patients.

La réaction de polymérisation en chaîne est un processus chimique au cours duquel des molécules de monomères réagissent ensemble pour former de longues chaînes de polymères. Ce type de réaction se caractérise par une vitesse de réaction rapide et une exothermie, ce qui signifie qu'elle dégage de la chaleur.

Dans le contexte médical, les réactions de polymérisation en chaîne sont importantes dans la production de matériaux biomédicaux tels que les implants et les dispositifs médicaux. Par exemple, certains types de plastiques et de résines utilisés dans les équipements médicaux sont produits par polymérisation en chaîne.

Cependant, il est important de noter que certaines réactions de polymérisation en chaîne peuvent également être impliquées dans des processus pathologiques, tels que la formation de plaques amyloïdes dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer. Dans ces cas, les protéines se polymérisent en chaînes anormales qui s'accumulent et endommagent les tissus cérébraux.

Le chlorure de mercure(II), également connu sous le nom de chlorure mercurique, est un composé chimique avec la formule HgCl2. Il se présente sous la forme d'une poudre blanche à légèrement jaunâtre qui est soluble dans l'eau et est un composé très toxique.

Historiquement, le chlorure de mercure(II) a été utilisé en médecine pour diverses applications, telles que un antiseptique et un traitement pour la syphilis. Cependant, en raison de sa toxicité, il est maintenant considéré comme obsolète et dangereux pour une utilisation en médecine.

L'exposition au chlorure de mercure(II) peut entraîner des effets néfastes sur la santé, tels que des dommages aux reins, au cerveau et au système nerveux. Il peut également être absorbé par la peau et les poumons, ce qui en fait un risque particulier pour les professionnels de la santé qui peuvent être exposés à des quantités importantes lors du traitement de patients ou de matériaux contaminés.

En résumé, le chlorure de mercure(II) est un composé chimique toxique qui a été utilisé dans le passé en médecine mais qui est maintenant considéré comme obsolète et dangereux pour une utilisation en raison de ses effets néfastes sur la santé.

'Oryctolagus Cuniculus' est la dénomination latine et scientifique utilisée pour désigner le lièvre domestique ou lapin européen. Il s'agit d'une espèce de mammifère lagomorphe de taille moyenne, originaire principalement du sud-ouest de l'Europe et du nord-ouest de l'Afrique. Les lapins sont souvent élevés en tant qu'animaux de compagnie, mais aussi pour leur viande, leur fourrure et leur peau. Leur corps est caractérisé par des pattes postérieures longues et puissantes, des oreilles droites et allongées, et une fourrure dense et courte. Les lapins sont herbivores, se nourrissant principalement d'herbe, de foin et de légumes. Ils sont également connus pour leur reproduction rapide, ce qui en fait un sujet d'étude important dans les domaines de la génétique et de la biologie de la reproduction.

La gélose de diffusion est un type d'agar utilisé dans les tests de sensibilité aux antibiotiques en microbiologie clinique. Il s'agit d'une méthode quantitative pour déterminer la susceptibilité des bactéries aux antibiotiques en mesurant la zone d'inhibition de la croissance bactérienne autour d'un disque ou d'une puce contenant un antibiotique spécifique.

Dans cette méthode, une suspension bactérienne standardisée est étalée en couche uniforme sur la gélose de diffusion et des disques ou des puces d'antibiotiques sont placés à la surface. Pendant l'incubation, les antibiotiques diffusent dans l'agar et inhibent la croissance bactérienne dans une zone proportionnelle à la concentration d'antibiotique. La taille de cette zone d'inhibition est mesurée et comparée aux normes établies pour déterminer si l'organisme est sensible, intermédiaire ou résistant à cet antibiotique particulier.

La gélose de diffusion est un outil important dans la prise en charge des infections bactériennes, car elle permet aux cliniciens de sélectionner les antibiotiques les plus appropriés pour traiter une infection spécifique, ce qui peut améliorer les résultats du patient et réduire le risque d'effets indésirables et de développement de résistance aux antibiotiques.

Je suis désolé, mais la requête « Rats De Lignée Bn » ne correspond à aucun terme médical ou scientifique standard connu. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que ce soit un terme spécifique utilisé dans un contexte particulier.

Cependant, si vous parlez des rats utilisés en recherche biomédicale et qui sont issus d'une lignée inbred (ou « pure»), alors « BN » pourrait se référer à la souche « Brown Norway». Les rats de la lignée BN sont souvent utilisés dans la recherche en raison de leur génétique uniforme et stable, ce qui permet des expériences plus reproductibles.

Si cela ne correspond pas à votre demande, je vous invite à vérifier l'orthographe ou à fournir plus de détails pour que je puisse vous aider au mieux.

Les gènes des chaînes légères des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent les protéines des chaînes légères des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les chaînes légères sont des molécules constituantes importantes des immunoglobulines, avec une masse moléculaire inférieure à celle des chaînes lourdes. Elles se composent de deux domaines: un domaine variable (V) et un domaine constant (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que le domaine constant participe à la médiation des effets biologiques des immunoglobulines.

Il existe deux types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Les gènes correspondants sont situés sur différents chromosomes. Les gènes des chaînes légères comprennent plusieurs segments, notamment les segments variables (V), diversifiants (D) et jointifs (J), qui subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B pour produire une grande diversité d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de reconnaître et de répondre à un large éventail d'antigènes.

Les gènes des chaînes légères sont essentiels au fonctionnement du système immunitaire, car ils contribuent à la production d'anticorps spécifiques qui protègent l'organisme contre les agents pathogènes et autres substances étrangères. Les mutations ou les variations de ces gènes peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires, les maladies auto-immunes et certains types de cancer.

Les lignées consanguines de souris sont des souches de rongeurs qui ont été élevés de manière sélective pendant plusieurs générations en s'accouplant entre parents proches, tels que frères et sœurs ou père et fille. Cette pratique permet d'obtenir une population de souris homozygotes à plus de 98% pour l'ensemble de leur génome.

Cette consanguinité accrue entraîne une réduction de la variabilité génétique au sein des lignées, ce qui facilite l'identification et l'étude des gènes spécifiques responsables de certains traits ou maladies. En effet, comme les individus d'une même lignée sont presque identiques sur le plan génétique, tout écart phénotypique observé entre ces animaux peut être attribué avec une grande probabilité à des différences dans un seul gène ou dans un petit nombre de gènes.

Les lignées consanguines de souris sont largement utilisées en recherche biomédicale, notamment pour étudier les maladies génétiques et développer des modèles animaux de pathologies humaines. Elles permettent aux chercheurs d'analyser les effets des variations génétiques sur le développement, la physiologie et le comportement des souris, ce qui peut contribuer à une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents de nombreuses maladies humaines.

Les hybridomes sont des lignées cellulaires stables et à longue durée de vie qui sont créées en fusionnant des cellules souches de moelle osseuse immunocompétentes (généralement des lymphocytes B) avec des cellules tumorales immortelles, telles que les myélomes. Cette fusion crée une cellule hybride qui possède à la fois le potentiel d'une cellule souche normale pour produire des anticorps spécifiques et la capacité de croissance illimitée d'une cellule tumorale. Les hybridomes peuvent être utilisés pour produire des anticorps monoclonaux spécifiques à une cible antigénique particulière, ce qui en fait un outil important dans la recherche et le diagnostic médical, ainsi que dans le développement de thérapies immunologiques.

Le dépistage néonatal est un processus systématique de détection précoce, à grande échelle et généralisée, de certaines conditions médicales congénitales ou acquises à la naissance chez les nouveau-nés. Il est réalisé en prenant des échantillons de sang, d'urine ou d'autres tissus peu après la naissance, puis en analysant ces échantillons à l'aide de divers tests de laboratoire.

Le dépistage néonatal vise à identifier rapidement les nouveau-nés qui présentent un risque accru de développer des problèmes de santé graves et potentiellement évitables, tels que les troubles métaboliques héréditaires, les maladies du sang, les déficits hormonaux et d'autres affections congénitales. Une détection précoce permet une intervention thérapeutique rapide, ce qui peut améliorer considérablement les résultats pour la santé des nourrissons concernés, réduire la morbidité et la mortalité, et améliorer leur qualité de vie globale.

Les programmes de dépistage néonatal sont généralement mis en œuvre par les autorités sanitaires publiques ou les établissements de santé, et ils sont recommandés dans de nombreux pays développés pour tous les nouveau-nés à moins que des contre-indications médicales ne soient présentes. Les conditions ciblées par le dépistage néonatal peuvent varier selon les pays et les régions en fonction des ressources disponibles, des priorités de santé publique et des prévalences locales des différentes affections.

La dermatite photoallergique est une réaction inflammatoire de la peau qui se produit comme une réponse immunitaire à l'exposition simultanée à la lumière ultraviolette (UV) et à certaines substances chimiques. Ces substances, appelées photosensibilisants, ne provoquent pas de réaction cutanée lorsqu'elles sont appliquées seules, mais lorsqu'elles sont exposées à la lumière UV, elles peuvent déclencher une réponse immunitaire qui entraîne une éruption cutanée.

Les symptômes de la dermatite photoallergique comprennent des rougeurs, des démangeaisons, des gonflements, des vésicules et des desquamations de la peau. Ces réactions peuvent survenir jusqu'à 48 heures après l'exposition au photosensibilisant et à la lumière UV. Les zones de la peau exposées à la lumière, telles que le visage, les bras et les mains, sont les plus souvent touchées.

Les photosensibilisants courants comprennent certains médicaments, parfums, cosmétiques, colorants capillaires et produits chimiques industriels. La prévention de la dermatite photoallergique implique l'évitement des substances chimiques qui causent des réactions et la protection de la peau contre les rayons UV en utilisant un écran solaire à large spectre, des vêtements protecteurs et des chapeaux.

Le traitement de la dermatite photoallergique implique généralement l'évitement continu du photosensibilisant et l'utilisation de corticostéroïdes topiques pour soulager les symptômes. Dans certains cas, des antihistaminiques oraux peuvent être prescrits pour réduire les démangeaisons.

Un réarrangement de gène, également connu sous le nom de translocation chromosomique, est un type d'anomalie génétique qui se produit lorsqu'un segment d'un chromosome se brise et se rejoint à un autre chromosome, entraînant un réarrangement des gènes. Ce phénomène peut entraîner une activation ou une inactivation anormale de certains gènes, ce qui peut conduire au développement de certaines maladies génétiques telles que la leucémie et d'autres cancers. Les réarrangements de gènes peuvent être héréditaires ou acquises au cours de la vie en raison de l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations et certains produits chimiques. Ils peuvent également se produire lors de la division cellulaire normale, en particulier pendant la méiose, qui est le processus de formation des gamètes (spermatozoïdes et ovules). Les réarrangements de gènes peuvent être détectés par diverses techniques de laboratoire telles que la cytogénétique et les tests moléculaires.

Les bruits respiratoires sont des sons que vous pouvez entendre lorsque vous écoutez les poumons d'une personne avec un stéthoscope. Ils sont produits lors du passage de l'air dans et hors des voies respiratoires pendant la respiration. Les bruits respiratoires normaux comprennent les sons inspiratoires (en inspirant) et expiratoires (en expirant) qui sont généralement décrits comme étant vésiculaires, bronchiques ou trachéales en fonction de leur localisation et de leur qualité sonore.

Les bruits respiratoires anormaux peuvent être classés en trois catégories principales : augmentation des bruits respiratoires normaux, apparition de nouveaux bruits respiratoires et disparition des bruits respiratoires normaux. Les exemples de ces anomalies comprennent les râles crépitants (crackles), les sifflements (stridor ou wheezing), les ronflements (ronchi) et l'absence totale de bruits respiratoires (silence auscultatoire).

Ces anomalies peuvent être le signe de diverses affections pulmonaires telles que la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, l'œdème pulmonaire ou la fibrose pulmonaire. Elles doivent donc être évaluées par un professionnel de santé pour déterminer la cause sous-jacente et établir le traitement approprié.

Schistosoma mansoni est un type d'helminthe (ver) parasitaire qui cause une maladie appelée schistosomiase, également connue sous le nom de bilharziose. Ce parasite vit dans l'eau douce et infeste souvent les humains par le biais de la peau lorsqu'ils entrent en contact avec des eaux contaminées, généralement lors de la natation, du lavage ou de la pêche dans ces eaux.

Le cycle de vie de Schistosoma mansoni implique plusieurs stades : les œufs éclosent dans l'eau et libèrent des miracidiums, qui infestent des mollusques d'eau douce spécifiques (les hôtes intermédiaires). Dans le mollusque, les miracidiums se transforment en cercaires, une forme infectieuse capable de pénétrer la peau humaine. Une fois dans l'hôte humain, les cercaires se transforment en schistosomes adultes qui vivent dans la circulation sanguine, principalement dans les veines du foie et de l'intestin.

Les femelles adultes pondent des œufs, dont certains sont éliminés dans les selles et retournent dans l'eau pour continuer le cycle de vie. Cependant, d'autres œufs restent piégés dans les tissus humains, provoquant une inflammation et une fibrose qui peuvent entraîner des complications graves telles que la maladie du foie enflammé (cirrhose), des lésions rénales et des saignements gastro-intestinaux.

La schistosomiase est prévalente dans les régions tropicales et subtropicales d'Afrique, du Moyen-Orient, de Caroline du Sud (États-Unis) et de certaines parties de l'Amérique du Sud. Les symptômes peuvent inclure une éruption cutanée au site d'infection initiale, des douleurs abdominales, de la diarrhée, du sang dans les selles et des difficultés respiratoires. Le diagnostic repose sur la détection des œufs dans les selles ou l'urine, ainsi que sur des tests sanguins pour détecter des anticorps contre les schistosomes. Le traitement repose sur un médicament appelé praziquantel, qui tue les vers adultes et réduit la gravité de la maladie.

Le liquide de lavage bronchoalvéolaire (BALF) est une méthode de diagnostic utilisée en pneumologie pour évaluer l'état des voies respiratoires inférieures. Il s'agit d'un échantillon de liquide recueilli après avoir instillé et aspiré une solution saline stérile dans la bronche ou l'alvéole pulmonaire d'un patient.

Ce liquide contient des cellules, des protéines, des cytokines et d'autres composants qui peuvent aider à identifier la présence de diverses affections pulmonaires telles que les infections, l'inflammation, la fibrose pulmonaire, la pneumoconiosis, la maladie pulmonaire interstitielle et certains types de cancer du poumon.

L'analyse du BALF peut inclure le comptage des cellules, l'examen microscopique pour détecter la présence d'agents pathogènes ou de cellules anormales, ainsi que des tests chimiques et immunologiques pour évaluer les niveaux de divers marqueurs inflammatoires ou autres protéines.

Il est important de noter que le prélèvement de BALF nécessite une certaine expertise médicale et doit être effectué avec soin pour éviter d'endommager les tissus pulmonaires délicats.

Le praziquantel est un médicament antiparasitaire utilisé pour traiter les infections causées par divers vers plats, tels que les schistosomes (bilharzia), les ténias (vers solitaires) et les douves du foie. Il fonctionne en provoquant des contractions musculaires dans le parasite, ce qui entraîne sa paralysie et permet à l'organisme hôte de l'éliminer. Le praziquantel est généralement bien toléré, bien que des effets secondaires tels que des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales et des maux de tête puissent survenir. Il est important de noter que ce médicament ne doit être utilisé que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.

La masse moléculaire est un concept utilisé en chimie et en biochimie qui représente la masse d'une molécule. Elle est généralement exprimée en unités de masse atomique unifiée (u), également appelées dalton (Da).

La masse moléculaire d'une molécule est déterminée en additionnant les masses molaires des atomes qui la composent. La masse molaire d'un atome est elle-même définie comme la masse d'un atome en grammes divisée par sa quantité de substance, exprimée en moles.

Par exemple, l'eau est composée de deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène. La masse molaire de l'hydrogène est d'environ 1 u et celle de l'oxygène est d'environ 16 u. Ainsi, la masse moléculaire de l'eau est d'environ 18 u (2 x 1 u pour l'hydrogène + 16 u pour l'oxygène).

La détermination de la masse moléculaire est importante en médecine et en biochimie, par exemple dans l'identification et la caractérisation des protéines et des autres biomolécules.

Les acrylates sont un groupe de composés chimiques qui contiennent des groupes fonctionnels acrylate. Ils sont largement utilisés dans l'industrie, y compris dans la production de matériaux polymères et de résines. Dans le domaine médical, les acrylates sont souvent utilisés dans les produits de soins de santé tels que les adhésifs cutanés, les obturations dentaires et les implants médicaux.

Cependant, l'exposition aux acrylates peut entraîner des effets indésirables sur la santé, notamment une irritation de la peau et des yeux, des réactions allergiques et des problèmes respiratoires. Dans les cas graves, une exposition prolongée ou à forte dose peut entraîner des dommages aux poumons, au foie et aux reins.

Il est important de manipuler les acrylates avec soin et de suivre les précautions appropriées pour minimiser l'exposition, telles que le port d'équipements de protection individuelle (EPI) tels que des gants, des lunettes et un respirateur. Si vous pensez avoir été exposé aux acrylates et présentez des symptômes, consultez un professionnel de la santé dès que possible.

Le réarrangement du gène de la chaîne légère des lymphocytes B est un processus normal qui se produit pendant le développement des lymphocytes B dans le corps. Ce processus implique la recombinaison des gènes variables, diverses et joining (V, D, J) de la chaîne légère kappa ou lambda pour créer un gène unique et fonctionnel qui code pour une région variable unique de la protéine d'anticorps sur la surface du lymphocyte B. Ce réarrangement permet aux lymphocytes B de produire une grande diversité d'anticorps pour aider à reconnaître et à combattre une large gamme de pathogènes.

Cependant, dans certaines conditions, des erreurs peuvent survenir pendant ce processus de réarrangement, entraînant la production de chaînes légères anormales ou mutées. Ces anomalies peuvent entraîner la production d'anticorps anormaux ou autoreactifs qui attaquent les propres tissus du corps, contribuant au développement de maladies auto-immunes ou de certains types de cancer, tels que le lymphome des chaînes légères. Par conséquent, l'analyse du réarrangement des gènes de la chaîne légère des lymphocytes B est souvent utilisée en médecine clinique comme un outil pour aider au diagnostic et à la surveillance de ces conditions.

L'ADN (acide désoxyribonucléique) est une molécule complexe qui contient les instructions génétiques utilisées dans le développement et la fonction de tous les organismes vivants connus et certains virus. L'ADN est un long polymère d'unités simples appelées nucléotides, avec des séquences de ces nucléotides qui forment des gènes. Ces gènes sont responsables de la synthèse des protéines et de la régulation des processus cellulaires.

L'ADN est organisé en une double hélice, où deux chaînes polynucléotidiques s'enroulent autour d'un axe commun. Les chaînes sont maintenues ensemble par des liaisons hydrogène entre les bases complémentaires : adénine (A) avec thymine (T), et guanine (G) avec cytosine (C).

L'ADN est présent dans le noyau de la cellule, ainsi que dans certaines mitochondries et chloroplastes. Il joue un rôle crucial dans l'hérédité, la variation génétique et l'évolution des espèces. Les mutations de l'ADN peuvent entraîner des changements dans les gènes qui peuvent avoir des conséquences sur le fonctionnement normal de la cellule et être associées à des maladies génétiques ou cancéreuses.

Les déficits immunitaires sont des affections médicales dans lesquelles le système immunitaire est incapable d'effectuer ses fonctions normalement, ce qui rend l'individu sujet aux infections et aux maladies. Les déficits immunitaires peuvent être congénitaux (présents à la naissance) ou acquis (apparaissant après la naissance).

Les déficits immunitaires congénitaux sont dus à des anomalies génétiques qui affectent les différentes cellules et molécules du système immunitaire. Les exemples incluent le déficit en composant du complément, le déficit en lymphocytes T, le déficit en lymphocytes B et la neutropénie congénitale sévère.

Les déficits immunitaires acquis peuvent être causés par des maladies telles que le VIH/SIDA, qui détruit les cellules du système immunitaire, ou par certains médicaments et traitements tels que la chimiothérapie et la radiothérapie.

Les symptômes des déficits immunitaires peuvent varier en fonction de la gravité de l'affection et de la partie du système immunitaire qui est affectée. Les symptômes courants comprennent une susceptibilité accrue aux infections, des infections récurrentes, une guérison lente et des complications graves telles que des pneumonies et des sepsis.

Le traitement des déficits immunitaires dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour traiter les infections, des médicaments pour renforcer le système immunitaire et une greffe de moelle osseuse dans les cas graves.

Un antigène bactérien est une molécule située à la surface ou à l'intérieur d'une bactérie qui peut être reconnue par le système immunitaire du corps comme étant étrangère. Cette reconnaissance déclenche une réponse immunitaire, au cours de laquelle le système immunitaire produit des anticorps spécifiques pour combattre l'infection bactérienne.

Les antigènes bactériens peuvent être de différents types, tels que les protéines, les polysaccharides ou les lipopolysaccharides. Certains antigènes bactériens sont communs à plusieurs espèces de bactéries, tandis que d'autres sont spécifiques à une seule espèce ou même à une souche particulière de bactérie.

Les antigènes bactériens peuvent être utilisés en médecine pour diagnostiquer des infections bactériennes spécifiques. Par exemple, la détection d'un antigène spécifique dans un échantillon clinique peut confirmer la présence d'une infection bactérienne particulière et aider à guider le traitement approprié.

Il est important de noter que certaines bactéries peuvent développer des mécanismes pour éviter la reconnaissance de leurs antigènes par le système immunitaire, ce qui peut rendre plus difficile le diagnostic et le traitement des infections qu'elles causent.

Le déficit en IgA est un trouble du système immunitaire dans lequel les taux sériques d'immunoglobuline A (IgA), un anticorps protecteur présent dans la salive, le sang et les sécrétions des muqueuses, sont anormalement bas ou absents. Il existe deux types de déficit en IgA : le déficit en IgA sélectif, où seuls les taux d'IgA sont affectés, et le déficit combiné en IgA et IgG subclasses, qui est plus rare et implique une diminution des niveaux de plusieurs sous-types d'immunoglobuline G (IgG) en plus de l'IgA.

Le déficit en IgA sélectif est la forme la plus courante de déficience immunitaire primaire, affectant environ 1 personne sur 600 à 1 000 dans la population générale. Il est souvent diagnostiqué à l'âge adulte et peut ne présenter aucun symptôme ou se manifester par des infections récurrentes des voies respiratoires supérieures, des sinusites, des otites moyennes et des bronchites. Certaines personnes atteintes de déficit en IgA sélectif peuvent également développer une intolérance au lactose ou une maladie cœliaque.

Le déficit combiné en IgA et IgG subclasses est plus rare et peut entraîner des infections bactériennes et virales plus graves, ainsi qu'une augmentation du risque de développer des maladies auto-immunes et des tumeurs malignes.

Le diagnostic de déficit en IgA repose sur des tests sanguins qui mesurent les niveaux d'IgA et d'autres immunoglobulines. Le traitement peut inclure des vaccinations pour prévenir les infections, des antibiotiques pour traiter les infections récurrentes et une gestion des symptômes associés, tels que l'intolérance au lactose ou la maladie cœliaque.

'Arachis hypogaea' est la dénomination botanique de l'arachide, également connue sous le nom de cacahuète. C'est une plante herbacée annuelle originaire d'Amérique du Sud, qui produit des gousses contenant des graines comestibles. Les arachides sont largement cultivées et consommées dans le monde entier en raison de leur valeur nutritive élevée et de leur goût agréable. Elles sont une excellente source de protéines, de graisses saines, de fibres, de vitamines et de minéraux essentiels.

Cependant, il est important de noter que certaines personnes peuvent être allergiques aux arachides et doivent éviter d'en consommer en raison du risque de réactions allergiques graves. Ces réactions peuvent inclure des symptômes tels que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements, des difficultés respiratoires et une baisse de la pression artérielle.

Je suis désolé, mais le terme "Dictyoptera" ne correspond pas à une définition médicale. Dictyoptera est un ordre de insectes, qui comprend des espèces telles que les blattes (cafards) et les mantes religieuses. Il s'agit donc d'un terme entomologique plutôt qu'un terme médical.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

La filariose est une maladie tropicale causée par des vers ronds parasites appelés filaires. Il existe plusieurs types de filarioses, dont la filariose lymphatique (ou elephantiasis), la loase et l'onchocercose (ou cécité des rivières).

La filariose lymphatique est causée par les vers Wuchereria bancrofti, Brugia malayi et Brugia timori. Les larves de ces vers sont transmises à l'homme par la piqûre d'un moustique infecté. Une fois dans le corps humain, les larves migrent vers les vaisseaux lymphatiques où elles se développent en vers adultes. Les vers adultes peuvent vivre pendant plusieurs années et produire des milliers de larves par jour.

Les symptômes de la filariose lymphatique comprennent généralement une inflammation des ganglions lymphatiques, de la fièvre, des douleurs articulaires et musculaires, ainsi que des éruptions cutanées. Dans les cas graves, la maladie peut entraîner un gonflement chronique et douloureux des membres inférieurs ou génitaux (éléphantiasis).

La loase est causée par le ver Loa loa et se transmet également par la piqûre d'un moustique infecté. Les symptômes de la loase comprennent souvent des démangeaisons cutanées, des gonflements sous-cutanés et des douleurs articulaires. Dans les cas graves, le ver peut migrer vers l'œil, ce qui peut entraîner une inflammation oculaire et éventuellement une cécité.

L'onchocercose est causée par le ver Onchocerca volvulus et se transmet également par la piqûre d'un moustique infecté. Les symptômes de l'onchocercose comprennent souvent des démangeaisons cutanées, des gonflements sous-cutanés et des douleurs articulaires. Dans les cas graves, le ver peut migrer vers l'œil, ce qui peut entraîner une inflammation oculaire et éventuellement une cécité.

Le traitement de ces maladies dépend du type de parasite infectant l'hôte et de la gravité de la maladie. Les médicaments antiparasitaires sont souvent utilisés pour tuer les vers et soulager les symptômes. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour retirer le ver. La prévention est également importante pour éviter l'infection, notamment en utilisant des moustiquaires imprégnées d'insecticide et en prenant des mesures pour éviter les piqûres de moustiques.

Le terme "mitogène phytolaque" fait référence à un composé chimique présent dans certaines plantes du genre Phytolacca, qui a la capacité de stimuler la prolifération cellulaire et la division dans les tissus animaux. Il s'agit plus précisément d'un hétéroside cardiotonique, également connu sous le nom de phytolaquecin ou rotenone.

Ce composé est capable d'interagir avec des récepteurs spécifiques à la surface des cellules, déclenchant ainsi une cascade de signaux intracellulaires qui aboutissent à l'activation de certaines protéines clés impliquées dans le cycle cellulaire. En conséquence, les cellules sont incitées à entrer en phase de division et à se multiplier plus rapidement qu'à la normale.

Bien que ce pouvoir mitogène puisse être exploité à des fins thérapeutiques dans certains contextes, il est également important de noter que l'utilisation excessive ou inappropriée de mitogènes tels que le mitogène phytolaque peut entraîner des effets indésirables graves, notamment une prolifération cellulaire incontrôlée et la formation de tumeurs. Par conséquent, l'utilisation de ce composé doit être strictement encadrée et soumise à un contrôle rigoureux pour minimiser les risques potentiels pour la santé.

L'électrophorèse sur gel de polyacrylamide (PAGE) est une technique de laboratoire couramment utilisée dans le domaine du testing et de la recherche médico-légales, ainsi que dans les sciences biologiques, y compris la génétique et la biologie moléculaire. Elle permet la séparation et l'analyse des macromolécules, telles que les protéines et l'ADN, en fonction de leur taille et de leur charge.

Le processus implique la création d'un gel de polyacrylamide, qui est un réseau tridimensionnel de polymères synthétiques. Ce gel sert de matrice pour la séparation des macromolécules. Les échantillons contenant les molécules à séparer sont placés dans des puits creusés dans le gel. Un courant électrique est ensuite appliqué, ce qui entraîne le mouvement des molécules vers la cathode (pôle négatif) ou l'anode (pôle positif), selon leur charge. Les molécules plus petites se déplacent généralement plus rapidement à travers le gel que les molécules plus grandes, ce qui permet de les séparer en fonction de leur taille.

La PAGE est souvent utilisée dans des applications telles que l'analyse des protéines et l'étude de la structure et de la fonction des protéines, ainsi que dans le séquençage de l'ADN et l'analyse de fragments d'ADN. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que les phosphorylations et les glycosylations.

Dans le contexte médical, la PAGE est souvent utilisée dans le diagnostic et la recherche de maladies génétiques et infectieuses. Par exemple, elle peut être utilisée pour identifier des mutations spécifiques dans l'ADN qui sont associées à certaines maladies héréditaires. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des agents pathogènes tels que les virus et les bactéries en analysant des échantillons de tissus ou de fluides corporels.

Le système du complément est un ensemble de protéines sériques et membranaires qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes. Il s'agit d'une cascade enzymatique complexe qui, une fois activée, aboutit à la lyse des cellules étrangères et à la modulation de diverses réponses immunitaires innées et adaptatives.

Les protéines du système du complément sont un groupe de plus de 30 protéines plasmatiques et membranaires qui interagissent les unes avec les autres pour former des complexes multiprotéiques. Ces complexes peuvent se lier aux agents pathogènes, aux cellules infectées ou à d'autres molécules présentes dans le milieu extracellulaire, ce qui entraîne leur activation et l'initiation de divers processus biologiques, tels que la phagocytose, l'opsonisation, la libération de médiateurs inflammatoires et la lyse cellulaire.

Le système du complément peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Chacune de ces voies aboutit à l'activation d'une protéase sérique clé appelée C3 convertase, qui clive une protéine du complément appelée C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier aux agents pathogènes ou aux cellules cibles, ce qui entraîne la formation d'un complexe multiprotéique appelé membrane d'attaque complémentaire (MAC). La MAC est capable de perforer la membrane plasmique des cellules cibles, entraînant leur lyse et la mort.

Les protéines du système du complément jouent également un rôle important dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Elles peuvent moduler l'activité des cellules immunitaires, telles que les macrophages et les lymphocytes T, et participer à la présentation d'antigènes aux cellules T. De plus, certaines protéines du complément peuvent agir comme chémokines ou cytokines, attirant et activant d'autres cellules immunitaires sur le site de l'inflammation.

Dans l'ensemble, les protéines du système du complément sont des molécules multifonctionnelles qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes et la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Cependant, une activation excessive ou inappropriée du complément peut contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

Dans un contexte médical, la « poussière » se réfère généralement à des particules solides, généralement microscopiques ou très fines, qui peuvent être suspendues dans l'air et inhalées. Ces particules peuvent provenir de diverses sources, telles que le sol, les matériaux de construction, les produits industriels, les fibres textiles, la pollution atmosphérique, ou même certains types d'activités domestiques comme l'aspiration de moquette.

L'inhalation de certaines poussières peut entraîner des effets néfastes sur la santé, allant de légers symptômes respiratoires tels que la toux et l'essoufflement à des maladies graves telles que la bronchite, l'emphysème, ou encore des maladies pulmonaires irréversibles comme la silicose ou l'asbestose. Les personnes travaillant dans certains secteurs industriels, tels que la construction, la métallurgie, la mine, sont particulièrement à risque d'exposition à des niveaux élevés de poussières et doivent prendre des précautions pour se protéger.

Les protéines de fusion recombinantes sont des biomolécules artificielles créées en combinant les séquences d'acides aminés de deux ou plusieurs protéines différentes par la technologie de génie génétique. Cette méthode permet de combiner les propriétés fonctionnelles de chaque protéine, créant ainsi une nouvelle entité avec des caractéristiques uniques et souhaitables pour des applications spécifiques en médecine et en biologie moléculaire.

Dans le contexte médical, ces protéines de fusion recombinantes sont souvent utilisées dans le développement de thérapies innovantes, telles que les traitements contre le cancer et les maladies rares. Elles peuvent également être employées comme vaccins, agents diagnostiques ou outils de recherche pour mieux comprendre les processus biologiques complexes.

L'un des exemples les plus connus de protéines de fusion recombinantes est le facteur VIII recombinant, utilisé dans le traitement de l'hémophilie A. Il s'agit d'une combinaison de deux domaines fonctionnels du facteur VIII humain, permettant une activité prolongée et une production plus efficace par génie génétique, comparativement au facteur VIII dérivé du plasma.

Les récepteurs IgG (immunoglobuline G) sont des protéines présentes à la surface des cellules du système immunitaire, principalement les lymphocytes B et les cellules natural killer (NK). Ils se lient spécifiquement aux anticorps IgG, qui sont une classe d'immunoglobulines produites en réponse à une infection ou à un antigène.

Les récepteurs IgG jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes et des cellules infectées. Lorsqu'un anticorps IgG se lie à un antigène, il peut activer les récepteurs IgG sur les cellules NK, ce qui entraîne la libération de molécules cytotoxiques et la destruction de la cellule infectée.

De plus, les récepteurs IgG peuvent également activer les lymphocytes B pour qu'ils produisent davantage d'anticorps spécifiques à l'antigène, ce qui permet une réponse immunitaire adaptative plus forte. Les récepteurs IgG sont donc un élément clé de la régulation et de la coordination des réponses immunitaires spécifiques aux antigènes.

Les maladies professionnelles sont des affections ou des troubles de la santé causés directement par le travail ou l'environnement de travail. Elles résultent d'une exposition répétée et prolongée à certains risques ou facteurs nocifs spécifiques au lieu de travail, tels que des substances chimiques dangereuses, des poussières, des fumées, des vibrations, des bruits excessifs, des postures inconfortables ou des mouvements répétitifs.

Pour être reconnue comme maladie professionnelle, l'affection doit généralement figurer dans une liste établie par la loi ou les autorités compétentes en matière de santé et de sécurité au travail. Les critères d'éligibilité incluent souvent la preuve que le travailleur a été exposé à des niveaux suffisamment élevés de ces facteurs de risque pendant une durée déterminée, ainsi qu'un lien de causalité entre l'exposition et la maladie.

Les maladies professionnelles peuvent affecter divers systèmes du corps humain, notamment les voies respiratoires, la peau, le système nerveux, l'appareil locomoteur et certains organes internes. Les exemples courants de maladies professionnelles comprennent les dermatites irritatives ou allergiques, les troubles musculosquelettiques (TMS), les intoxications aux solvants organiques, la silicose, l'asbestose, le cancer du poumon dû à l'amiante et les troubles neurologiques liés aux vibrations.

La prévention des maladies professionnelles passe par une évaluation rigoureuse des risques dans l'environnement de travail, la mise en œuvre de mesures de contrôle appropriées pour réduire ou éliminer ces risques, ainsi que le suivi régulier de la santé des travailleurs exposés. Des programmes de formation et de sensibilisation peuvent également contribuer à améliorer la connaissance des dangers potentiels et des bonnes pratiques en matière de sécurité et de santé au travail.

Les immunoglobulines thyréostimulantes (TSI), également connues sous le nom d'anticorps thyréostimulants, sont des auto-anticorps qui imitent l'hormone thyréostimuline (TSH) et stimulent la fonction thyroïdienne. Ils sont spécifiquement associés à la maladie de Graves, une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire produit des anticorps contre la glande thyroïde.

Les TSI se lient aux récepteurs de la TSH sur les cellules thyroïdiennes et activent la production et la sécrétion des hormones thyroïdiennes, entraînant une hyperthyroïdie. Les niveaux élevés de TSI sont un marqueur diagnostique important pour la maladie de Graves et peuvent être détectés par des tests sanguins.

Il est important de noter que les immunoglobulines thyréostimulantes ne doivent pas être confondues avec l'hormone thyréostimuline (TSH) elle-même, qui est produite par l'hypophyse et régule la fonction thyroïdienne.

Le venin de guêpe est un liquide toxique produit par les glandes à venin des guêpes. Il est utilisé comme mécanisme de défense contre les menaces perçues. Le venin contient une variété de composés bioactifs, y compris des enzymes, des peptides et des protéines qui peuvent provoquer une gamme de réactions chez l'être humain, allant d'une douleur locale à des réactions allergiques systémiques potentiellement mortelles. Les principaux composants actifs du venin de guêpe sont la mélittine, une toxine qui provoque une douleur intense, et la phospholipase A2, une enzyme qui peut décomposer les membranes cellulaires et déclencher des réactions inflammatoires.

La réaction antigène-anticorps, également connue sous le nom de réponse immunitaire humorale, est un processus central dans le système immunitaire adaptatif qui aide à identifier et à éliminer les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines des substances étrangères.

Un antigène est une substance étrangère (généralement une protéine ou un polysaccharide) sur la surface d'un agent pathogène qui peut être reconnue par le système immunitaire comme étant étrangère. Un anticorps est une protéine produite par les lymphocytes B (un type de globule blanc) en réponse à la présence d'un antigène spécifique.

Lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme, il peut déclencher la production d'anticorps spécifiques qui se lient à l'antigène pour former un complexe immun. Ce complexe peut ensuite être neutralisé ou éliminé par d'autres cellules du système immunitaire, telles que les macrophages et les neutrophiles.

La réaction antigène-anticorps est spécifique à l'antigène, ce qui signifie qu'un anticorps particulier ne se lie qu'à un antigène spécifique. Cette spécificité permet au système immunitaire de distinguer les substances étrangères des propres cellules et tissus de l'organisme, ce qui est crucial pour prévenir les réponses auto-immunes nocives.

En plus de jouer un rôle clé dans la défense contre les infections, la réaction antigène-anticorps est également importante dans le diagnostic et le traitement des maladies, car elle peut être utilisée pour détecter la présence d'agents pathogènes spécifiques ou de marqueurs de maladies dans le sang ou d'autres échantillons biologiques.

La dysgammaglobulinémie est un trouble du système immunitaire caractérisé par la production anormale d'immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps ou de gamma-globulines. Les immunoglobulines sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les maladies. Dans la dysgammaglobulinémie, il y a une production excessive ou diminuée de certaines classes d'immunoglobulines, ce qui peut entraîner une susceptibilité accrue aux infections.

Les types courants de dysgammaglobulinémies comprennent l'hypogammaglobulinémie, où il y a une production insuffisante d'immunoglobulines, et l'hypergammaglobulinémie, où il y a une production excessive d'immunoglobulines. Les symptômes de la dysgammaglobulinémie peuvent varier en fonction du type et de la gravité de la maladie, mais ils peuvent inclure une susceptibilité accrue aux infections, des éruptions cutanées, de la fatigue, de l'arthrite, de la neuropathie périphérique et d'autres problèmes de santé.

La dysgammaglobulinémie peut être causée par une variété de facteurs, y compris des maladies génétiques, des infections virales ou bactériennes chroniques, des troubles auto-immuns, des lymphomes et d'autres affections malignes. Le traitement de la dysgammaglobulinémie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour traiter les infections, des immunoglobulines intraveineuses pour remplacer les anticorps manquants, des médicaments pour supprimer le système immunitaire ou une chimiothérapie pour traiter les affections malignes.

La grossesse, également connue sous le nom de gestation, est un état physiologique dans lequel un ovule fécondé, ou zygote, s'implante dans l'utérus et se développe pendant environ 40 semaines, aboutissant à la naissance d'un bébé. Ce processus complexe implique des changements significatifs dans le corps de la femme, affectant presque tous les systèmes organiques.

Au cours des premières semaines de grossesse, l'embryon se développe rapidement, formant des structures vitales telles que le cœur, le cerveau et le tube neural. Après environ huit semaines, l'embryon est appelé fœtus et poursuit son développement, y compris la croissance des membres, des organes sensoriels et du système nerveux.

La grossesse est généralement divisée en trois trimestres, chacun marqué par des stades spécifiques de développement fœtal:

1. Premier trimestre (jusqu'à 12 semaines): Pendant cette période, l'embryon subit une croissance et un développement rapides. Les structures vitales telles que le cœur, le cerveau, les yeux et les membres se forment. C'est également lorsque le risque d'anomalies congénitales est le plus élevé.
2. Deuxième trimestre (13 à 26 semaines): Durant ce stade, le fœtus continue de croître et se développer. Les organes commencent à fonctionner de manière autonome, et le fœtus peut entendre et répondre aux stimuli externes. Le risque d'anomalies congénitales est considérablement réduit par rapport au premier trimestre.
3. Troisième trimestre (27 semaines jusqu'à la naissance): Au cours de ces dernières semaines, le fœtus prend du poids et se prépare à la vie en dehors de l'utérus. Les poumons mûrissent, et le cerveau continue de se développer rapidement.

Tout au long de la grossesse, il est crucial que les femmes enceintes maintiennent un mode de vie sain, comprenant une alimentation équilibrée, l'exercice régulier et l'évitement des substances nocives telles que l'alcool, le tabac et les drogues illicites. De plus, il est essentiel de suivre les soins prénataux recommandés pour assurer la santé et le bien-être de la mère et du fœtus.

La diversité des anticorps fait référence à la variété et à la complexité des réponses du système immunitaire produites par les anticorps (immunoglobulines) en réponse à une grande diversité d'agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries, les parasites et les toxines. Cette diversité est essentielle pour assurer une protection adéquate contre une large gamme de menaces pour la santé.

La diversité des anticorps est générée par un processus complexe impliquant plusieurs mécanismes, notamment le réarrangement somatique des gènes codant pour les chaînes lourdes et légères des anticorps, la mutation somatique et la sélection clonale. Ces mécanismes permettent à chaque lymphocyte B d'exprimer un récepteur unique de cellule B (BCR) ou anticorps sur sa membrane cellulaire, ce qui lui permet de reconnaître et de se lier spécifiquement à un épitope particulier d'un antigène.

La diversité des anticorps est essentielle pour la fonction du système immunitaire adaptatif, car elle permet au système immunitaire de s'adapter et d'évoluer en réponse aux nouvelles menaces pour la santé. Une diversité insuffisante des anticorps peut entraîner une susceptibilité accrue aux infections et à d'autres maladies.

Le chlorure de méthacholine est un composé chimique qui est souvent utilisé comme un bronchoconstricteur dans les tests de provocation pour diagnostiquer l'asthme et d'autres troubles pulmonaires. Il agit en imitant les effets de l'acétylcholine, un neurotransmetteur qui se lie aux récepteurs muscariniques dans la muqueuse des voies respiratoires, entraînant une constriction des muscles lisses et une diminution du diamètre des bronches.

Dans un test de provocation à la méthacholine, le patient inhale progressivement des doses croissantes de chlorure de méthacholine jusqu'à ce qu'une réponse bronchoconstricteur soit détectée ou jusqu'à atteindre une dose maximale tolérable. Ce test aide les médecins à évaluer la sensibilité des voies respiratoires du patient aux bronchoconstricteurs et à diagnostiquer l'asthme et d'autres maladies pulmonaires obstructives.

Il est important de noter que le test de provocation à la méthacholine doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié, car il peut entraîner des effets indésirables tels qu'une respiration sifflante, une toux et une oppression thoracique.

Les bronchoconstricteurs sont des substances ou des agents qui causent une constriction des muscles lisses des voies respiratoires, entraînant ainsi un rétrécissement des bronches et des bronchioles. Cela peut entraîner une difficulté à respirer, une oppression thoracique et une toux. Les exemples de bronchoconstricteurs comprennent certaines substances chimiques, médicaments (tels que les bêta-bloquants), allergènes et l'inflammation des voies respiratoires.

Les personnes atteintes d'asthme ou de maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) sont particulièrement sensibles aux bronchoconstricteurs, car leur système respiratoire est déjà compromis et réagit de manière exacerbée à ces substances. Les bronchodilatateurs, qui détendent les muscles lisses des voies respiratoires, sont souvent utilisés pour traiter les épisodes de bronchoconstriction.

Les troubles respiratoires sont des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à respirer correctement et efficacement. Cela peut inclure un large éventail de problèmes, allant de maladies mineures telles que le rhume ou la grippe à des affections graves telles que l'emphysème ou la fibrose kystique.

Les symptômes courants des troubles respiratoires comprennent une respiration difficile ou laborieuse, une toux persistante, des sifflements ou des souffles lors de la respiration, une respiration rapide, des douleurs thoraciques et une fatigue excessive. Les causes sous-jacentes de ces troubles peuvent varier considérablement, allant d'infections virales ou bactériennes à des maladies pulmonaires chroniques, des affections cardiaques ou des réactions allergiques.

Les exemples courants de troubles respiratoires comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, la fibrose kystique, la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), le syndrome d'apnée du sommeil et la bronchiolite. Le traitement de ces conditions dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une oxygénothérapie, une kinésithérapie respiratoire, une intervention chirurgicale ou un changement de mode de vie.

Il est important de noter que les troubles respiratoires peuvent être graves et même mettre la vie en danger s'ils ne sont pas traités correctement. Si vous ressentez des symptômes tels qu'une respiration difficile, une toux persistante ou des douleurs thoraciques, il est important de consulter un médecin dès que possible pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Les glycoprotéines sont des molécules complexes qui combinent des protéines avec des oligosaccharides, c'est-à-dire des chaînes de sucres simples. Ces molécules sont largement répandues dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques.

Dans le corps humain, les glycoprotéines sont présentes à la surface de la membrane cellulaire où elles participent à la reconnaissance et à l'interaction entre les cellules. Elles peuvent aussi être sécrétées dans le sang et d'autres fluides corporels, où elles servent de transporteurs pour des hormones, des enzymes et d'autres molécules bioactives.

Les glycoprotéines sont également importantes dans le système immunitaire, où elles aident à identifier les agents pathogènes étrangers et à déclencher une réponse immune. De plus, certaines glycoprotéines sont des marqueurs de maladies spécifiques et peuvent être utilisées dans le diagnostic et le suivi des affections médicales.

La structure des glycoprotéines est hautement variable et dépend de la séquence d'acides aminés de la protéine sous-jacente ainsi que de la composition et de l'arrangement des sucres qui y sont attachés. Cette variabilité permet aux glycoprotéines de remplir une grande diversité de fonctions dans l'organisme.

L'affinité des anticorps est une mesure de la force et de la spécificité avec laquelle un anticorps se lie à un antigène spécifique. Cette affinité est déterminée par la forme et la charge de surface de l'anticorps, ainsi que par les caractéristiques structurelles de l'antigène.

Un anticorps avec une forte affinité se lie étroitement et spécifiquement à son antigène correspondant, tandis qu'un anticorps avec une faible affinité se lie plus faiblement et peut se lier à plusieurs antigènes différents.

L'affinité des anticorps est un concept important en immunologie, car elle influence la capacité du système immunitaire à reconnaître et à combattre les agents pathogènes tels que les virus et les bactéries. Les tests d'affinité des anticorps sont souvent utilisés pour diagnostiquer les infections et les maladies auto-immunes, ainsi que pour évaluer l'efficacité des vaccins et des thérapies immunitaires.

Une étude cas-témoins, également appelée étude de cohorte rétrospective, est un type d'étude épidémiologique observationnelle dans laquelle des participants présentant déjà une certaine condition ou maladie (les «cas») sont comparés à des participants sans cette condition ou maladie (les «témoins»). Les chercheurs recueillent ensuite des données sur les facteurs de risque potentiels pour la condition d'intérêt et évaluent si ces facteurs sont plus fréquents chez les cas que chez les témoins.

Ce type d'étude est utile pour étudier les associations entre des expositions rares ou des maladies rares, car il permet de recueillir des données sur un grand nombre de cas et de témoins en un temps relativement court. Cependant, comme les participants sont sélectionnés en fonction de leur statut de maladie, il peut y avoir un biais de sélection qui affecte les résultats. De plus, comme l'étude est observationnelle, elle ne peut pas établir de relation de cause à effet entre l'exposition et la maladie.

La membrane cellulaire, également appelée membrane plasmique ou membrane cytoplasmique, est une fine bicouche lipidique qui entoure les cellules. Elle joue un rôle crucial dans la protection de l'intégrité structurelle et fonctionnelle de la cellule en régulant la circulation des substances à travers elle. La membrane cellulaire est sélectivement perméable, ce qui signifie qu'elle permet le passage de certaines molécules tout en empêchant celui d'autres.

Elle est composée principalement de phospholipides, de cholestérol et de protéines. Les phospholipides forment la structure de base de la membrane, s'organisant en une bicouche où les têtes polaires hydrophiles sont orientées vers l'extérieur (vers l'eau) et les queues hydrophobes vers l'intérieur. Le cholestérol aide à maintenir la fluidité de la membrane dans différentes conditions thermiques. Les protéines membranaires peuvent être intégrées dans la bicouche ou associées à sa surface, jouant divers rôles tels que le transport des molécules, l'adhésion cellulaire, la reconnaissance et la signalisation cellulaires.

La membrane cellulaire est donc un élément clé dans les processus vitaux de la cellule, assurant l'équilibre osmotique, participant aux réactions enzymatiques, facilitant la communication intercellulaire et protégeant contre les agents pathogènes.

Aspergillus fumigatus est un type de champignon que l'on trouve couramment dans les environnements extérieurs, tels que dans le sol, sur les matières en décomposition et sur les plantes. Il peut également être présent à l'intérieur dans les systèmes de chauffage, la literie, les tapis et les plantes d'intérieur.

Bien que la plupart des gens soient exposés à Aspergillus fumigatus sans subir d'effets néfastes pour la santé, ce champignon peut causer des infections chez certaines personnes, en particulier celles dont le système immunitaire est affaibli. Les infections fongiques invasives causées par Aspergillus fumigatus peuvent être graves et même mortelles si elles ne sont pas traitées rapidement et de manière appropriée.

Les symptômes d'une infection à Aspergillus fumigatus dépendent de la localisation et de l'étendue de l'infection. Les infections pulmonaires sont les plus courantes et peuvent causer une toux, des expectorations sanglantes, une fièvre, une douleur thoracique et un essoufflement. Les infections cutanées peuvent provoquer des rougeurs, des gonflements, des démangeaisons et des lésions cutanées.

Le diagnostic d'une infection à Aspergillus fumigatus repose généralement sur des tests de laboratoire, tels que la culture des expectorations ou du sang, ainsi que sur des examens d'imagerie médicale, tels que des radiographies pulmonaires ou des tomodensitométries. Le traitement dépend de la gravité et de l'emplacement de l'infection, mais peut inclure des antifongiques par voie orale ou intraveineuse. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour éliminer le champignon.

Je suis désolé, mais la terminologie «immunotransfert» ne semble pas être reconnue dans le domaine médical. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que ce terme ne soit pas largement utilisé en médecine.

Cependant, les termes «immunité» et «transfert» sont bien sûr des termes médicaux établis.

- Immunité fait référence à la protection du corps contre une maladie spécifique, généralement acquise grâce à l'exposition antérieure au pathogène ou à la vaccination.
- Transfert se réfère généralement au processus de mouvement ou de déplacement d'une substance d'un endroit à un autre.

Dans certains contextes, vous pourriez peut-être faire référence à «transfert d'immunité», qui est le processus par lequel une immunité active ou passive est transmise d'un individu à un autre. Par exemple, la transmission de cellules mères à fœtus via le placenta ou l'administration d'immunoglobulines pour fournir une immunité passive contre certaines maladies.

Si vous cherchiez une définition différente ou plus spécifique, pouvez-vous s'il vous plaît me fournir plus de contexte ou clarifier votre question ?

La transduction du signal est un processus crucial dans la communication cellulaire où les cellules convertissent un signal extracellulaire en une réponse intracellulaire spécifique. Il s'agit d'une série d'étapes qui commencent par la reconnaissance et la liaison du ligand (une molécule signal) à un récepteur spécifique situé sur la membrane cellulaire. Cela entraîne une cascade de réactions biochimiques qui amplifient le signal, finalement aboutissant à une réponse cellulaire adaptative telle que la modification de l'expression des gènes, la mobilisation du calcium ou la activation des voies de signalisation intracellulaires.

La transduction de signaux peut être déclenchée par divers stimuli, y compris les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et les molécules d'adhésion cellulaire. Ce processus permet aux cellules de percevoir et de répondre à leur environnement changeant, en coordonnant des fonctions complexes allant du développement et de la différenciation cellulaires au contrôle de l'homéostasie et de la réparation des tissus.

Des anomalies dans la transduction des signaux peuvent entraîner diverses maladies, notamment le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète et les troubles neurologiques. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées.

En médecine et en pharmacologie, la cinétique fait référence à l'étude des changements quantitatifs dans la concentration d'une substance (comme un médicament) dans le corps au fil du temps. Cela inclut les processus d'absorption, de distribution, de métabolisme et d'excrétion de cette substance.

1. Absorption: Il s'agit du processus par lequel une substance est prise par l'organisme, généralement à travers la muqueuse gastro-intestinale après ingestion orale.

2. Distribution: C'est le processus par lequel une substance se déplace dans différents tissus et fluides corporels.

3. Métabolisme: Il s'agit du processus par lequel l'organisme décompose ou modifie la substance, souvent pour la rendre plus facile à éliminer. Ce processus peut également activer ou désactiver certains médicaments.

4. Excrétion: C'est le processus d'élimination de la substance du corps, généralement par les reins dans l'urine, mais aussi par les poumons, la peau et les intestins.

La cinétique est utilisée pour prédire comment une dose unique ou répétée d'un médicament affectera le patient, ce qui aide à déterminer la posologie appropriée et le schéma posologique.

Les méthodes immuno-enzymatiques (MIE) sont des procédés analytiques basés sur l'utilisation d'anticorps marqués à une enzyme pour détecter et quantifier des molécules spécifiques, appelées analytes, dans un échantillon. Ces méthodes sont largement utilisées en diagnostic médical et en recherche biomédicale pour la détermination de divers biomarqueurs, protéines, hormones, drogues, vitamines, et autres molécules d'intérêt.

Le principe des MIE repose sur l'interaction spécifique entre un anticorps et son antigène correspondant. Lorsqu'un échantillon contenant l'analyte est mélangé avec des anticorps marqués, ces derniers se lient à l'analyte présent dans l'échantillon. Ensuite, une réaction enzymatique est initiée par l'enzyme liée à l'anticorps, ce qui entraîne la production d'un produit de réaction coloré ou luminescent. La quantité de produit formé est directement proportionnelle à la concentration de l'analyte dans l'échantillon et peut être déterminée par des mesures spectrophotométriques, fluorimétriques ou chimiluminescentes.

Les MIE comprennent plusieurs techniques couramment utilisées en laboratoire, telles que l'immunoessai enzymatique lié (ELISA), l'immunochromatographie en bandelette (LFIA), et les immuno-blots. Ces méthodes offrent des avantages tels qu'une grande sensibilité, une spécificité élevée, une facilité d'utilisation, et la possibilité de multiplexage pour détecter simultanément plusieurs analytes dans un seul échantillon.

En résumé, les méthodes immuno-enzymatiques sont des procédés analytiques qui utilisent des anticorps marqués avec une enzyme pour détecter et quantifier des molécules spécifiques dans un échantillon, offrant une sensibilité et une spécificité élevées pour une variété d'applications en recherche et en diagnostic.

La tolérance immunitaire est un état dans lequel le système immunitaire d'un organisme ne réagit pas ou tolère spécifiquement à des substances qui pourraient normalement déclencher une réponse immunitaire, telles que des antigènes spécifiques. Cela peut inclure les propres cellules et tissus de l'organisme (auto-antigènes) ou des substances étrangères comme les aliments ou les symbiotes normaux du corps. La tolérance immunitaire est essentielle pour prévenir les réponses auto-immunes inappropriées qui peuvent entraîner une inflammation et une maladie. Elle peut être acquise ou naturelle, comme la tolérance fœtale maternelle pendant la grossesse, ou elle peut être induite par des mécanismes actifs tels que la suppression des lymphocytes T régulateurs. Une perte de tolérance immunitaire peut entraîner divers troubles auto-immuns et inflammatoires.

Les protéines helminthes se réfèrent aux protéines produites par les helminthes, qui sont des parasites wormlike qui infectent les humains et d'autres animaux. Ces vers peuvent être classés en trois groupes principaux: les nématodes (vers ronds), les cestodes (bande plat ou ruban ver) et les trematodes (vers plats).

Les helminthes ont des structures complexes et possèdent un système nerveux et musculaire. Ils se nourrissent de l'hôte en absorbant des nutriments à travers leur surface corporelle ou en se nourrissant directement dans la lumière intestinale. Les helminthes peuvent produire divers types de protéines, y compris des enzymes digestives, des protéines structurales et des protéines immunomodulatrices.

Certaines de ces protéines peuvent jouer un rôle important dans l'infection et la pathogenèse des helminthes. Par exemple, certaines protéines peuvent aider les vers à échapper à la réponse immunitaire de l'hôte, tandis que d'autres peuvent faciliter l'attachement du ver aux tissus de l'hôte ou contribuer à sa migration dans le corps.

Les protéines helminthes sont un domaine de recherche actif dans le domaine de la parasitologie, car une meilleure compréhension de leur fonction et de leur structure peut aider au développement de nouveaux traitements et vaccins contre les infections à helminthes.

Les allotypes Km des chaînes légères sont des variantes génétiques spécifiques de la région constante des chaînes légères kappa (K) des immunoglobulines (anticorps). Les chaînes légères des anticorps sont composées de deux domaines : le domaine variable (V), qui est responsable de la spécificité antigénique, et le domaine constant (C), qui participe aux fonctions effectrices des anticorps.

Les allotypes Km sont des marqueurs polymorphes présents dans la région C de la chaîne légère kappa. Ils sont déterminés par des variations d'acides aminés spécifiques dans cette région, ce qui permet de distinguer différents génotypes et phénotypes chez les individus. Les allotypes Km sont héréditaires et peuvent être utilisés en médecine légale, en transplantation d'organes et en recherche pour étudier la diversité génétique de la population.

Les différents allotypes Km identifiés jusqu'à présent comprennent les allotypes Km1, Km2, Km3 et Km4. Chaque individu hérite d'un allotype paternel et maternel, ce qui donne lieu à six combinaisons possibles : Km1/Km1, Km1/Km2, Km1/Km3, Km1/Km4, Km2/Km2, Km2/Km3, Km2/Km4, Km3/Km3, Km3/Km4 et Km4/Km4.

Les allotypes Km peuvent également influencer la production et la fonction des anticorps, ainsi que la susceptibilité à certaines maladies auto-immunes et infectieuses. Par exemple, certains allotypes Km ont été associés à une augmentation du risque de développer des maladies telles que le lupus érythémateux disséminé et la polyarthrite rhumatoïde.

Les cellules productrices d'anticorps, également connues sous le nom de plasmocytes ou cellules plasma B, sont un type de globule blanc qui produit et sécrète des anticorps (immunoglobulines) en réponse à l'infection ou à la présence d'antigènes étrangers dans l'organisme. Les anticorps sont des protéines spécialisées qui se lient spécifiquement aux antigènes, marquant ainsi ces derniers pour être détruits par d'autres cellules du système immunitaire.

Les plasmocytes se développent à partir de lymphocytes B matures dans les organes lymphoïdes secondaires tels que la rate, les ganglions lymphatiques et les amygdales. Lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme, il active une réponse immunitaire adaptative, au cours de laquelle certains lymphocytes B se différencient en plasmocytes. Ces cellules peuvent alors produire et sécréter des anticorps spécifiques à cet antigène pendant une période prolongée, offrant ainsi une protection immunitaire contre les futures infections par le même agent pathogène.

Les plasmocytes sont essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les substances étrangères. Cependant, une prolifération excessive ou anormale de ces cellules peut entraîner des maladies telles que le myélome multiple, une forme de cancer du sang caractérisée par la production excessive de plasmocytes anormaux et d'immunoglobulines monoclonales.

La protéine Bence Jones est un type spécifique de chaîne légère d'immunoglobuline monoclonale trouvée dans l'urine ou parfois dans le sérum sanguin. Elle est nommée d'après le médecin britannique Henry Bence Jones qui l'a décrite pour la première fois en 1847. Ces chaînes légères sont produites en excès par certaines cellules tumorales, principalement dans les myélomes multiples et les maladies des chaînes légères (une forme de gammapathie monoclonale).

Les protéines Bence Jones peuvent être détectées par des tests d'urine ou de sang. Lorsqu'elles sont chauffées puis refroidies, elles forment des précipités, ce qui est utilisé comme méthode de détection en laboratoire. L'accumulation de ces protéines peut entraîner des dommages aux reins et d'autres complications liées à la maladie sous-jacente.

Les paraprotéinémies sont des conditions médicales dans lesquelles il y a une production excessive d'une protéine anormale appelée chaîne légère d'immunoglobuline ou paraprotéine. Ces protéines sont produites par certaines cellules du système immunitaire, appelées plasmocytes, qui se trouvent principalement dans la moelle osseuse.

Les paraprotéinémies peuvent être associées à une variété de maladies, y compris les troubles sanguins et les cancers, tels que le myélome multiple, le macroglobulinémie de Waldenström, et certains types de lymphomes. Dans ces conditions, la production excessive de paraprotéines peut entraîner une gamme de symptômes, y compris la fatigue, des saignements, des infections fréquentes, des douleurs osseuses, et des dommages aux organes internes.

Il est important de noter que toutes les personnes atteintes de paraprotéinémies ne présenteront pas nécessairement de symptômes ou de maladies sous-jacentes associées. Dans certains cas, la découverte d'une paraprotéinémie peut être fortuite et ne nécessiter aucun traitement spécifique. Cependant, il est important de surveiller régulièrement les personnes atteintes de paraprotéinémies pour détecter tout signe de maladie sous-jacente ou de complications associées à la production excessive de paraprotéines.

La numération leucocytaire, également connue sous le nom de compte leucocytaire ou granulocytes totaux, est un test de laboratoire couramment demandé qui mesure le nombre total de globules blancs (leucocytes) dans un échantillon de sang. Les globules blancs sont une partie importante du système immunitaire et aident à combattre les infections et les maladies.

Un échantillon de sang est prélevé dans une veine et envoyé au laboratoire pour analyse. Le technicien de laboratoire utilise ensuite une méthode appelée numération différentielle pour compter et classer les différents types de globules blancs, tels que les neutrophiles, les lymphocytes, les monocytes, les éosinophiles et les basophiles.

Les résultats de la numération leucocytaire peuvent aider à diagnostiquer une variété de conditions médicales, telles que les infections, l'inflammation, les maladies auto-immunes, les troubles sanguins et certains cancers. Des taux anormalement élevés ou bas de globules blancs peuvent indiquer la présence d'une infection, d'une inflammation ou d'autres problèmes de santé sous-jacents.

Il est important de noter que les résultats de la numération leucocytaire doivent être interprétés en conjonction avec d'autres tests et informations cliniques pour poser un diagnostic précis et déterminer le plan de traitement approprié.

Les morsures et piqûres d'insectes sont des réactions localisées de la peau qui se produisent lorsqu'un insecte pique ou mord un individu. Cela peut entraîner une variété de symptômes, allant d'une simple rougeur et démangeaison à une réaction allergique plus grave.

Les piqûres d'insectes sont généralement causées par des insectes tels que les abeilles, les guêpes, les frelons, les fourmis de feu et les moustiques. Lorsqu'un insecte pique, il insère sa trompe dans la peau pour libérer du venin. Cela peut entraîner une douleur immédiate, followed by swelling, redness and itching. Dans certains cas, the venom can cause a severe allergic reaction known as anaphylaxis, which requires immediate medical attention.

D'autre part, les morsures d'insectes sont généralement causées par des insectes tels que les punaises de lit, les acariens et les puces. Les morsures peuvent être indolores au moment de l'incident, mais peuvent entraîner des démangeaisons intenses et une rougeur de la peau plusieurs minutes ou heures plus tard. Dans certains cas, les morsures d'insectes peuvent également provoquer une infection bactérienne si elles ne sont pas traitées correctement.

Dans l'ensemble, il est important de noter que la plupart des morsures et piqûres d'insectes sont inoffensives et peuvent être traitées à domicile avec des remèdes en vente libre tels que la crème hydrocortisone ou l'antihistaminique. Cependant, si vous ressentez des symptômes graves tels qu'un gonflement important, une difficulté à respirer ou une éruption cutanée étendue, il est important de consulter un médecin immédiatement.

L'antigène CD40, également connu sous le nom de cluster de différenciation 40, est une protéine qui se trouve à la surface des cellules immunitaires telles que les lymphocytes B et les cellules présentatrices d'antigènes. Il s'agit d'un récepteur qui joue un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire.

Le CD40 se lie à son ligand, le CD154, qui est exprimé à la surface des cellules T activées. Cette interaction déclenche une cascade de signaux qui entraînent l'activation des cellules B et la production d'anticorps. Le CD40 est également important pour l'activation des cellules présentatrices d'antigènes, telles que les cellules dendritiques, ce qui permet de déclencher une réponse immunitaire adaptative contre les agents pathogènes.

Des anomalies dans le fonctionnement du CD40 peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que des déficits immunitaires primaires ou des maladies auto-immunes. Des recherches sont en cours pour développer des thérapies ciblant le CD40 dans le traitement de diverses affections, telles que les cancers et les maladies inflammatoires.

Les antiasthmatiques sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et traiter les symptômes de l'asthme, une maladie respiratoire chronique qui provoque une inflammation et un rétrécissement des voies respiratoires. Ces médicaments agissent en relaxant les muscles des voies respiratoires, en réduisant l'inflammation et en prévenant la constriction des bronches.

Il existe plusieurs types d'antiasthmatiques, notamment :

1. Les bêta-2 agonistes de courte durée d'action (SABA), tels que l'albutérol et le levalbuterol, qui sont utilisés pour soulager les symptômes aigus de l'asthme.
2. Les bêta-2 agonistes de longue durée d'action (LABA), tels que le salmétérol et le formotérol, qui sont utilisés en combinaison avec des corticostéroïdes inhalés pour contrôler les symptômes persistants de l'asthme.
3. Les anticholinergiques, tels que l'ipratropium et le tiotropium, qui sont utilisés pour détendre les muscles des voies respiratoires et réduire la production de mucus.
4. Les corticostéroïdes inhalés, tels que la béclométasone et la fluticasone, qui sont utilisés pour réduire l'inflammation des voies respiratoires.
5. Les antileucotriènes, tels que le montélukast et le zafirlukast, qui sont utilisés pour prévenir l'inflammation et la constriction des bronches.
6. Les théophyllines, qui sont utilisées pour détendre les muscles des voies respiratoires et réduire l'inflammation.

Il est important de noter que chaque type d'antiasthmatique a ses propres avantages, inconvénients et effets secondaires potentiels. Par conséquent, il est essentiel de travailler en étroite collaboration avec un médecin pour déterminer le traitement le plus approprié pour chaque individu atteint d'asthme.

Les lymphocytes T auxiliaires Th1, également connus sous le nom de lymphocytes T CD4+ Th1, sont un type de cellules T auxiliaires qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative de l'organisme contre les infections intracellulaires, telles que les virus et certaines bactéries.

Après avoir été activées par des cellules présentant l'antigène (APC), ces lymphocytes T auxiliaires sécrètent des cytokines spécifiques, en particulier l'interféron gamma (IFN-γ) et l'interleukine-2 (IL-2), qui favorisent la différenciation et l'activation des macrophages pour détruire les agents pathogènes intracellulaires. Les lymphocytes T auxiliaires Th1 coordonnent également la réponse immunitaire en recrutant d'autres cellules immunitaires, comme les lymphocytes NK et les autres sous-types de lymphocytes T auxiliaires.

Un déséquilibre dans la régulation des lymphocytes T auxiliaires Th1 peut entraîner diverses affections pathologiques, telles que les maladies auto-immunes et les infections chroniques.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite confusion dans votre question. Nippostrongylus n'est pas un terme médical directement applicable aux humains. Il s'agit du nom d'un genre de nématodes parasites qui sont souvent trouvés dans les poumons des rongeurs et d'autres animaux mammifères. Le Nippostrongylus brasiliensis, par exemple, est un ver parasite courant chez les souris de laboratoire.

Donc, pour fournir une définition plus précise, Nippostrongylus est un genre de nématodes parasites qui infectent le système respiratoire des rongeurs et d'autres mammifères, provoquant une inflammation pulmonaire et d'autres symptômes. Ces parasites ne sont généralement pas considérés comme pertinents pour la médecine humaine, sauf dans de rares cas où des humains peuvent être infectés accidentellement, par exemple, en manipulant des animaux infectés ou en ingérant des œufs de vers présents dans l'environnement.

Le complément C3 est une protéine importante du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la réponse inflammatoire et l'immunité humorale. Il s'agit d'une protéine centrale du système du complément, qui est une cascade enzymatique de protéines sériques qui interagissent entre elles pour aboutir à la lyse des cellules étrangères et à la régulation de l'inflammation.

Le complément C3 peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Dans chacune de ces voies, une série de réactions enzymatiques aboutit à l'activation du complément C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier à la surface des cellules étrangères ou des pathogènes, ce qui permet d'identifier ces cellules comme cibles pour une destruction ultérieure par les cellules immunitaires.

Le complément C3 joue donc un rôle important dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes, ainsi que dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Des anomalies du complément C3 peuvent être associées à un certain nombre de maladies, notamment les troubles inflammatoires et auto-immuns.

La salive est une substance liquide produite par les glandes salivaires situées dans la bouche et le visage. Elle joue un rôle crucial dans la digestion des aliments en humidifiant les aliments et en facilitant leur déglutition. La salive contient également des enzymes, telles que l'amylase, qui aident à décomposer les glucides complexes en sucres simples, ce qui permet une digestion plus efficace dans l'estomac. En outre, la salive agit comme un lubrifiant pour la bouche et les dents, aidant à prévenir la cavité buccale sèche et à protéger les tissus buccaux contre les dommages et les infections. Une diminution de la production de salive peut entraîner des problèmes de santé bucco-dentaire, tels que la carie dentaire et la maladie des gencives.

En termes médicaux, l'exposition professionnelle se réfère généralement à l'exposition à des facteurs de risque physiques, chimiques, biologiques ou ergonomiques dans le lieu de travail qui peuvent conduire à une augmentation de la probabilité de développer une maladie professionnelle ou un trouble de santé. Cela peut inclure l'exposition à des substances nocives telles que les poussières, les gaz, les vapeurs, les fumées ou les bactéries et virus dangereux. Elle peut également impliquer une exposition à des mouvements répétitifs ou à des postures inconfortables qui peuvent entraîner des troubles musculo-squelettiques. L'exposition professionnelle est un sujet important en santé au travail et des mesures de prévention doivent être mises en place pour protéger les travailleurs.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

Le myélome multiple, également connu sous le nom de plasmocytome malin multiple ou encore cancer des plasmocytes, est un type de cancer qui se forme dans les cellules plasmatiques du système immunitaire. Ces cellules sont normalement responsables de la production d'anticorps pour aider à combattre les infections.

Dans le myélome multiple, les cellules cancéreuses s'accumulent dans la moelle osseuse, où elles peuvent affaiblir et fragiliser les os, entraînant des douleurs osseuses, des fractures et une augmentation du risque de développer des infections. Les cellules cancéreuses peuvent également s'accumuler dans d'autres parties du corps, telles que le rein, ce qui peut entraîner une insuffisance rénale.

Les symptômes courants du myélome multiple comprennent la fatigue, des douleurs osseuses, des infections fréquentes, une anémie, une perte de poids et une augmentation de la calcémie (taux élevé de calcium dans le sang). Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une biopsie de la moelle osseuse et d'analyses de sang pour déterminer la présence de protéines anormales produites par les cellules cancéreuses.

Le traitement du myélome multiple peut inclure une combinaison de chimiothérapie, de radiothérapie, de thérapies ciblées, d'immunothérapie et de greffe de moelle osseuse. Le pronostic dépend du stade de la maladie au moment du diagnostic, de l'âge du patient et de sa réponse au traitement.

Le facteur rhumatoïde (FR) est un autoantigène, ce qui signifie qu'il s'agit d'une protéine normalement présente dans l'organisme qui est ciblée par le système immunitaire et déclenche une réponse immunitaire anormale. Dans le cas du facteur rhumatoïde, il s'agit d'anticorps (immunoglobulines) produits par le système immunitaire qui ciblent et se lient aux protéines appelées immunoglobulines G (IgG), qui sont également des anticorps.

Habituellement, les anticorps ne s'attaquent pas à d'autres anticorps dans l'organisme. Cependant, dans certaines conditions, comme la polyarthrite rhumatoïde, le système immunitaire peut produire des anticorps contre ses propres IgG, entraînant ainsi la production de facteur rhumatoïde.

Le facteur rhumatoïde est souvent présent dans les cas de polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation chronique des articulations et d'autres tissus. Cependant, il peut également être détecté chez des personnes atteintes d'autres affections, telles que certaines infections, certains cancers et certaines maladies du foie. Par conséquent, la présence de facteur rhumatoïde ne confirme pas nécessairement un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, mais elle peut indiquer une activation anormale du système immunitaire.

Le test du facteur rhumatoïde est généralement effectué en tant que test sanguin et mesure la quantité d'anticorps FR dans le sang. Un résultat positif pour le facteur rhumatoïde peut aider à soutenir un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, mais il doit être combiné avec d'autres tests et évaluations cliniques pour confirmer le diagnostic.

Les tests sérologiques sont des examens de laboratoire qui détectent la présence d'anticorps spécifiques dans le sang. Ils sont utilisés pour identifier si une personne a déjà été exposée à un agent infectieux, comme un virus ou une bactérie, et a développé une réponse immunitaire contre celui-ci. Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'une substance étrangère, telle qu'un agent pathogène.

Les tests sérologiques peuvent être utiles pour diagnostiquer certaines maladies infectieuses, en particulier celles qui peuvent ne pas présenter de symptômes évidents ou dont les symptômes peuvent être similaires à ceux d'autres affections. Ils peuvent également être utilisés pour surveiller la propagation d'une maladie dans une population et pour évaluer l'efficacité des vaccins.

Cependant, il est important de noter que les tests sérologiques ne détectent pas toujours les infections actives, car il peut y avoir un délai entre l'exposition à un agent pathogène et la production d'anticorps détectables. De plus, certains facteurs peuvent affecter la sensibilité et la spécificité des tests sérologiques, ce qui peut entraîner des résultats faussement positifs ou négatifs. Par conséquent, les résultats des tests sérologiques doivent être interprétés avec prudence et en conjonction avec d'autres informations cliniques pertinentes.

Une souris knockout, également connue sous le nom de souris génétiquement modifiée à knockout, est un type de souris de laboratoire qui a eu un ou plusieurs gènes spécifiques désactivés ou "knockout". Cela est accompli en utilisant des techniques d'ingénierie génétique pour insérer une mutation dans le gène cible, ce qui entraîne l'interruption de sa fonction.

Les souris knockout sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier les fonctions des gènes et leur rôle dans les processus physiologiques et pathologiques. En éliminant ou en désactivant un gène spécifique, les chercheurs peuvent observer les effets de cette perte sur le phénotype de la souris, ce qui peut fournir des informations précieuses sur la fonction du gène et ses interactions avec d'autres gènes et processus cellulaires.

Les souris knockout sont souvent utilisées dans l'étude des maladies humaines, car les souris partagent une grande similitude génétique avec les humains. En créant des souris knockout pour des gènes associés à certaines maladies humaines, les chercheurs peuvent étudier le rôle de ces gènes dans la maladie et tester de nouvelles thérapies potentielles.

Cependant, il est important de noter que les souris knockout ne sont pas simplement des modèles parfaits de maladies humaines, car elles peuvent présenter des différences dans la fonction et l'expression des gènes ainsi que dans les réponses aux traitements. Par conséquent, les résultats obtenus à partir des souris knockout doivent être interprétés avec prudence et validés dans d'autres systèmes de modèle ou dans des études cliniques humaines avant d'être appliqués à la pratique médicale.

Le Volume Expiratoire Maximum Seconde (VEMS) est une mesure utilisée en pneumologie et en médecine respiratoire pour évaluer la fonction pulmonaire. Il représente le volume d'air maximal qu'une personne peut expirer pendant une seconde après avoir inspiré profondément. Cette valeur est exprimée en litres.

Le VEMS est mesuré lors d'une spirométrie, un examen couramment utilisé pour diagnostiquer et suivre l'évolution de maladies pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique ou l'emphysème. Une valeur de VEMS réduite par rapport à la normale peut indiquer une obstruction des voies respiratoires, ce qui est souvent observé dans ces pathologies.

Cependant, il est important de noter que le VEMS doit être interprété en conjonction avec d'autres paramètres de la spirométrie, tels que le Volume Expiratoire Forcé (VEF) et la Capacité Vitale (CV), pour établir un diagnostic précis et suivre l'efficacité du traitement.

Les β-N-acétylhexosaminidases sont des enzymes qui catalysent la dégradation des glycosphingolipides, en particulier les gangliosides, dans les lysosomes. Ces enzymes clivent le lien entre deux sucres, la N-acétylglucosamine et la galactose ou la N-acétylneuraminique, dans la molécule de glycosphingolipide.

Il existe trois isoformes de cette enzyme chez l'homme : α/β, β/β et α/α. Les mutations dans le gène codant pour les sous-unités α et β peuvent entraîner des maladies héréditaires graves telles que la maladie de Tay-Sachs et la maladie de Sandhoff, respectivement. Ces maladies sont caractérisées par l'accumulation de glycosphingolipides dans les neurones, entraînant une dégénérescence neurologique progressive.

En plus de leur rôle dans la dégradation des glycosphingolipides, les β-N-acétylhexosaminidases sont également importantes pour la régulation de la signalisation cellulaire et l'inflammation.

Aptamères nucléotidiques sont des molécules d'acide nucléique (ADN ou ARN) qui sont sélectionnées pour leur capacité à se lier spécifiquement et avec une affinité élevée à des cibles moléculaires spécifiques, telles que des protéines, des petites molécules ou des surfaces. Ils sont identifiés et isolés par un processus de sélection in vitro appelé SELEX (Systematic Evolution of Ligands by EXponential enrichment).

Les aptamères nucléotidiques présentent plusieurs avantages potentiels sur les anticorps traditionnels, y compris une plus grande stabilité chimique et thermique, une taille plus petite, une production plus facile et moins coûteuse, et une capacité à se lier à des sites de liaison cachés ou difficiles d'accès sur les protéines.

Les aptamères nucléotidiques ont été explorés comme agents thérapeutiques potentiels pour un large éventail de maladies, y compris le cancer, les maladies infectieuses et les troubles inflammatoires. Ils peuvent également être utilisés comme outils de recherche pour l'étude des interactions moléculaires et la découverte de médicaments.

En médecine, en particulier dans le domaine de l'ophtalmologie, la fixation compétitive est un phénomène où deux images ou plus se superposent et se fixent sur la rétine, entraînant une vision double ou diplopie. Cela se produit lorsque les axes visuels des deux yeux ne sont pas alignés correctement, ce qui peut être dû à un strabisme (un œil qui pointe dans une direction différente de l'autre) ou à une paralysie oculomotrice.

Dans certains cas, la fixation compétitive peut entraîner une amblyopie, c'est-à-dire une réduction de la vision d'un œil en raison d'un manque d'utilisation ou de stimulation visuelle adéquate pendant la période critique du développement visuel de l'enfant. Le traitement de la fixation compétitive peut inclure des lunettes, des exercices oculaires, une chirurgie oculaire ou une thérapie de rééducation visuelle pour aider à aligner correctement les axes visuels et rétablir une vision normale.

Les paraprotéines sont des chaînes légères d'immunoglobuline (Ig) ou des fragments d'Ig produits en excès par un clone unique de plasmocytes ou de cellules B matures dans diverses affections, telles que les gammapathies monoclonales bénignes ou malignes. Les paraprotéines peuvent se déposer dans divers tissus et provoquer des dommages, entraînant ainsi une gamme de manifestations cliniques. Elles sont également appelées protéines M, car elles migrent vers la région des protéines monoclonales lors de l'électrophorèse des protéines sériques sur gel d'agarose. Les taux sériques de paraprotéines peuvent être utiles pour le diagnostic, la surveillance et l'évaluation de la réponse au traitement dans diverses affections liées aux plasmocytes ou aux cellules B.

Le prurit est un symptôme commun dans le domaine médical qui se réfère à une sensation désagréable et irritante de démangeaison sur la peau. Cette sensation provoque souvent l'envie de se gratter, ce qui peut parfois aggraver les démangeaisons ou même endommager la peau. Le prurit peut être localisé à une petite zone du corps ou généralisé, affectant de larges étendues de peau.

Les causes du prurit sont variées et peuvent inclure des affections dermatologiques telles que l'eczéma, le psoriasis, la dermatite séborrhéique ou l'urticaire. Des maladies systémiques comme le diabète, l'insuffisance rénale chronique, les troubles hépatiques (y compris la cholestase) et certains cancers peuvent également causer des démangeaisons. De plus, certaines infections, réactions médicamenteuses, irritants chimiques, stress émotionnel et changements hormonaux peuvent aussi être à l'origine de ce symptôme.

Le traitement du prurit dépendra de la cause sous-jacente. Il peut inclure des crèmes ou pommades topiques pour hydrater la peau et réduire l'inflammation, des antihistaminiques oraux pour contrôler les démangeaisons sévères, des corticostéroïdes systémiques pour traiter certaines affections sous-jacentes ou d'autres thérapies spécifiques à la cause identifiée.

Les antihelmintiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les infections causées par des parasites appelés helminthes, qui comprennent les vers ronds, les vers plats et les bothriocéphales. Ces médicaments agissent en tuant ou en paralysant les parasites, ce qui permet à l'organisme de s'en débarrasser plus facilement.

Les antihelmintiques peuvent être utilisés pour traiter une variété d'infections helminthiques, notamment l'ascaridiose, la trichocéphalose, l'ankylostomiase, la strongyloïdose, la toxocarose, la capillariose, la gnathostomose, la diphyllobothriose et d'autres infections similaires.

Les exemples courants d'antihelmintiques comprennent l'albendazole, le mébendazole, le praziquantel, le niclosamide et l'ivermectine. Ces médicaments sont généralement bien tolérés, mais peuvent provoquer des effets secondaires tels que des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des diarrhées et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, ils peuvent également entraîner des réactions graves telles que des lésions hépatiques ou une neutropénie.

Il est important de noter que les antihelmintiques ne sont pas efficaces contre les infections causées par des protozoaires, qui sont d'autres types de parasites unicellulaires. Pour traiter ces infections, des médicaments antiprotozoaires spécifiques doivent être utilisés.

Les lymphomes sont un type de cancer qui affectent le système lymphatique, qui fait partie du système immunitaire. Ils se développent à partir de cellules lymphoïdes malignes (c'est-à-dire cancéreuses) qui se multiplient de manière incontrôlable et s'accumulent dans les ganglions lymphatiques, la rate, le foie, les poumons ou d'autres organes.

Il existe deux principaux types de lymphomes :

1. Le lymphome hodgkinien (LH), qui est caractérisé par la présence de cellules de Reed-Sternberg anormales.
2. Les lymphomes non hodgkiniens (LNH), qui comprennent un large éventail de sous-types de lymphomes avec des caractéristiques cliniques et pathologiques différentes.

Les symptômes courants des lymphomes peuvent inclure des ganglions lymphatiques enflés, une fatigue persistante, des sueurs nocturnes, de la fièvre, une perte de poids inexpliquée et des douleurs articulaires ou musculaires. Le traitement dépend du type et du stade du lymphome, mais peut inclure une chimiothérapie, une radiothérapie, une immunothérapie ou une greffe de cellules souches.

La peau est le plus grand organe du corps humain, servant de barrière physique entre l'intérieur du corps et son environnement extérieur. Elle a plusieurs fonctions importantes, y compris la protection contre les agents pathogènes, les dommages mécaniques, les variations de température et les rayons ultraviolets du soleil.

La peau est composée de trois couches principales : l'épiderme, le derme et l'hypoderme. L'épiderme est la couche externe, constituée principalement de cellules mortes qui sont constamment shed and replaced. The dermis, just below the epidermis, contains tough connective tissue, sweat glands, hair follicles, and blood vessels. The hypodermis is the deepest layer, composed of fat and connective tissue that provides padding and insulation for the body.

In addition to providing protection, the skin also plays a role in sensation through nerve endings that detect touch, temperature, and pain. It helps regulate body temperature through sweat glands that release perspiration to cool the body down when it's hot. Furthermore, the skin synthesizes vitamin D when exposed to sunlight.

Maintaining healthy skin is important for overall health and well-being. Proper care includes protecting it from excessive sun exposure, keeping it clean, moisturized, and nourished with essential nutrients.

La régulation de l'expression génique est un processus biologique essentiel qui contrôle la quantité et le moment de production des protéines à partir des gènes. Il s'agit d'une mécanisme complexe impliquant une variété de molécules régulatrices, y compris l'ARN non codant, les facteurs de transcription, les coactivateurs et les répresseurs, qui travaillent ensemble pour activer ou réprimer la transcription des gènes en ARNm. Ce processus permet aux cellules de répondre rapidement et de manière flexible à des signaux internes et externes, ce qui est crucial pour le développement, la croissance, la différenciation et la fonction des cellules. Des perturbations dans la régulation de l'expression génique peuvent entraîner diverses maladies, y compris le cancer, les maladies génétiques et neurodégénératives.

L'expression génétique est un processus biologique fondamental dans lequel l'information génétique contenue dans l'ADN est transcritte en ARN, puis traduite en protéines. Ce processus permet aux cellules de produire les protéines spécifiques nécessaires à leur fonctionnement, à leur croissance et à leur reproduction.

L'expression génétique peut être régulée à différents niveaux, y compris la transcription de l'ADN en ARNm, la maturation de l'ARNm, la traduction de l'ARNm en protéines et la modification post-traductionnelle des protéines. Ces mécanismes de régulation permettent aux cellules de répondre aux signaux internes et externes en ajustant la production de protéines en conséquence.

Des anomalies dans l'expression génétique peuvent entraîner des maladies génétiques ou contribuer au développement de maladies complexes telles que le cancer. L'étude de l'expression génétique est donc essentielle pour comprendre les mécanismes moléculaires de la maladie et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

Les proenzymes, également appelées zymogènes, sont des précurseurs inactifs d'enzymes. Ils doivent être activés par une modification structurale spécifique pour exercer leur fonction enzymatique. Cette activation peut se produire par différents mécanismes, tels que la coupure protéolytique, l'exposition de sites actifs ou des changements conformationnels. Les proenzymes sont importantes dans le contrôle de réactions biochimiques qui doivent être strictement régulées, comme la coagulation sanguine et la digestion.

La leucémie lymphoïde est un type de cancer qui affecte les globules blancs appelés lymphocytes. Les lymphocytes sont un type de globule blanc qui joue un rôle important dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections et les maladies. Dans la leucémie lymphoïde, il y a une prolifération anormale et incontrôlée de lymphocytes immatures ou anormaux dans la moelle osseuse, le sang et d'autres organes du corps.

Il existe plusieurs types de leucémie lymphoïde, dont les plus courants sont la leucémie lymphoïde aiguë (LLA) et la leucémie lymphoïde chronique (LLC). La LLA est une forme agressive de la maladie qui se développe rapidement, tandis que la LLC évolue plus lentement.

Les symptômes de la leucémie lymphoïde peuvent varier en fonction du type et de la gravité de la maladie. Ils peuvent inclure de la fatigue, des sueurs nocturnes, une perte de poids involontaire, des infections fréquentes, des ecchymoses ou des saignements faciles, des douleurs osseuses ou articulaires, et des gonflements des ganglions lymphatiques.

Le diagnostic de la leucémie lymphoïde repose sur une combinaison d'examens sanguins, d'analyses de moelle osseuse, d'imageries médicales et d'autres tests spécialisés. Le traitement dépend du type et du stade de la maladie, de l'âge et de l'état de santé général du patient. Les options de traitement peuvent inclure la chimiothérapie, la radiothérapie, la greffe de moelle osseuse ou d'autres thérapies ciblées.

La macroglobulinémie de Waldenström est un type rare de cancer des lymphocytes B, qui se caractérise par la production excessive d'une protéine anormale appelée immunoglobuline M (IgM) dans le sang. Cette maladie est également connue sous le nom de lymphome des cellules à plasmocytes non sécréteurs ou lymphoplasmacytose.

Les symptômes de la macroglobulinémie de Waldenström peuvent inclure une fatigue extrême, des saignements anormaux, des ecchymoses, des engourdissements ou des picotements dans les mains et les pieds, des problèmes de vision, des étourdissements, des maux de tête et des infections fréquentes.

Le diagnostic de la macroglobulinémie de Waldenström est généralement posé sur la base d'une analyse sanguine qui révèle une concentration élevée d'IgM anormale. D'autres tests, tels qu'une biopsie de la moelle osseuse ou des ganglions lymphatiques, peuvent également être effectués pour confirmer le diagnostic et évaluer l'étendue de la maladie.

Le traitement de la macroglobulinémie de Waldenström dépend généralement du stade de la maladie et des symptômes présentés par le patient. Les options de traitement peuvent inclure une chimiothérapie, une immunothérapie, une thérapie ciblée ou une greffe de cellules souches. Dans certains cas, aucun traitement actif n'est nécessaire et des contrôles réguliers sont suffisants pour surveiller l'évolution de la maladie.

La transcription génétique est un processus biologique essentiel à la biologie cellulaire, impliqué dans la production d'une copie d'un brin d'ARN (acide ribonucléique) à partir d'un brin complémentaire d'ADN (acide désoxyribonucléique). Ce processus est catalysé par une enzyme appelée ARN polymérase, qui lit la séquence de nucléotides sur l'ADN et synthétise un brin complémentaire d'ARN en utilisant des nucléotides libres dans le cytoplasme.

L'ARN produit pendant ce processus est appelé ARN pré-messager (pré-mRNA), qui subit ensuite plusieurs étapes de traitement, y compris l'épissage des introns et la polyadénylation, pour former un ARN messager mature (mRNA). Ce mRNA sert ensuite de modèle pour la traduction en une protéine spécifique dans le processus de biosynthèse des protéines.

La transcription génétique est donc un processus crucial qui permet aux informations génétiques codées dans l'ADN de s'exprimer sous forme de protéines fonctionnelles, nécessaires au maintien de la structure et de la fonction cellulaires, ainsi qu'à la régulation des processus métaboliques et de développement.

Les lymphocytes T CD4+, également connus sous le nom de lymphocytes T auxiliaires ou helper, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils aident à coordonner la réponse immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes et les cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD4+ possèdent des récepteurs de surface appelés récepteurs des lymphocytes T (TCR) qui leur permettent de reconnaître et de se lier aux antigènes présentés par les cellules présentatrices d'antigènes, telles que les cellules dendritiques. Une fois activés, les lymphocytes T CD4+ sécrètent des cytokines qui contribuent à activer et à réguler d'autres cellules immunitaires, telles que les lymphocytes B, les lymphocytes T CD8+ et les cellules natural killer.

Les lymphocytes T CD4+ peuvent être divisés en plusieurs sous-ensembles fonctionnels, tels que les lymphocytes T Th1, Th2, Th17 et Treg, qui ont des fonctions immunitaires spécifiques. Les lymphocytes T CD4+ sont essentiels pour une réponse immunitaire efficace contre de nombreux agents pathogènes, y compris les virus, les bactéries et les parasites. Cependant, un déséquilibre ou une activation excessive des lymphocytes T CD4+ peut également contribuer au développement de maladies auto-immunes et inflammatoires.

Les interleukines (IL) sont des cytokines, ou des molécules de signalisation, qui jouent un rôle crucial dans la régulation et la coordination des réponses immunitaires et inflammatoires dans l'organisme. Elles sont produites principalement par les leucocytes (globules blancs), d'où leur nom "interleukines". Il existe plusieurs types d'interleukines, identifiées par un numéro (par exemple, IL-1, IL-2, IL-6, etc.), et chacune a des fonctions spécifiques.

Les interleukines peuvent être impliquées dans la communication entre les cellules du système immunitaire, l'activation et la prolifération de certaines cellules immunitaires, la modulation de la réponse inflammatoire, la stimulation de la production d'anticorps, et bien d'autres processus liés à l'immunité et à l'inflammation. Elles peuvent également contribuer au développement et à la progression de certaines maladies, telles que les maladies auto-immunes, les infections, le cancer et l'inflammation chronique.

Par conséquent, une meilleure compréhension des interleukines et de leur rôle dans divers processus pathologiques est essentielle pour élaborer des stratégies thérapeutiques visant à cibler et à moduler ces molécules, améliorant ainsi les traitements des maladies associées.

Un vaccin antibactérien est un type de vaccin utilisé pour prévenir les maladies infectieuses causées par des bactéries. Les vaccins antibactériens fonctionnent en exposant le système immunitaire à une forme affaiblie ou inactivée d'une bactérie ou à certaines de ses toxines, ce qui permet au corps de développer une réponse immunitaire et de créer des anticorps pour combattre l'infection.

Les vaccins antibactériens peuvent être classés en deux catégories principales : les vaccins vivants atténués et les vaccins inactivés. Les vaccins vivants atténués contiennent une forme affaiblie de la bactérie qui est capable de se répliquer, mais ne cause pas de maladie. Les vaccins inactivés, en revanche, contiennent des bactéries tuées ou des toxines inactivées qui ne peuvent pas se répliquer.

Les vaccins antibactériens sont généralement administrés par injection, mais certains peuvent être administrés par voie orale ou nasale. Les exemples de vaccins antibactériens comprennent le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), le vaccin contre le méningocoque, le vaccin contre la pneumonie à pneumocoques et le vaccin contre Haemophilus influenzae de type b.

Il est important de noter que les vaccins antibactériens ne sont pas toujours efficaces à 100% pour prévenir l'infection, mais ils peuvent réduire considérablement le risque de maladie grave et de complications graves associées à certaines infections bactériennes.

Le déficit en IgG est un type de trouble du système immunitaire caractérisé par des taux sériques anormalement bas d'immunoglobuline G (IgG), qui est l'un des anticorps protecteurs les plus courants dans le sang. Les IgG jouent un rôle crucial dans la protection de l'organisme contre diverses infections et maladies.

Les personnes atteintes d'un déficit en IgG peuvent présenter une susceptibilité accrue aux infections, en particulier des sinus, des poumons, des oreilles et du tractus gastro-intestinal. Les symptômes courants comprennent des rhumes fréquents, des sinusites, des otites, des pneumonies et d'autres infections récurrentes. Dans les cas graves, le déficit en IgG peut entraîner une maladie auto-immune ou une prédisposition aux cancers.

Le déficit en IgG peut être présent à la naissance (congénital) ou acquis plus tard dans la vie en raison de divers facteurs, tels que des maladies sous-jacentes, des traitements médicaux agressifs ou le vieillissement. Le diagnostic repose généralement sur des tests sanguins visant à mesurer les niveaux d'IgG et d'autres anticorps dans le sang. Le traitement peut inclure des injections régulières de gammaglobuline, qui sont des pools d'immunoglobulines provenant de donneurs sains, ainsi que des mesures visant à prévenir et à traiter les infections récurrentes.

La voie orale, également appelée voie entérale ou voie digestive, est un terme utilisé en médecine pour décrire l'administration d'un médicament ou d'une substance thérapeutique par la bouche. Cela permet au composé de traverser le tractus gastro-intestinal et d'être absorbé dans la circulation sanguine, où il peut atteindre sa cible thérapeutique dans l'organisme. Les formes posologiques courantes pour l'administration orale comprennent les comprimés, les capsules, les solutions liquides, les suspensions et les pastilles. Cette voie d'administration est généralement non invasive, pratique, facile à utiliser et souvent associée à un faible risque d'effets indésirables locaux ou systémiques, ce qui en fait une méthode privilégiée pour l'administration de médicaments lorsque cela est possible.

La transfection est un processus de laboratoire dans le domaine de la biologie moléculaire où des matériels génétiques tels que l'ADN ou l'ARN sont introduits dans des cellules vivantes. Cela permet aux chercheurs d'ajouter, modifier ou étudier l'expression des gènes dans ces cellules. Les méthodes de transfection comprennent l'utilisation de vecteurs viraux, de lipides ou d'électroporation. Il est important de noter que la transfection ne se produit pas naturellement et nécessite une intervention humaine pour introduire les matériels génétiques dans les cellules.

Le Déficit Immunitaire Commun Variable (DICV) est un trouble du système immunitaire caractérisé par une réduction variable de la fonction immunitaire due à des niveaux anormalement bas d'immunoglobulines dans le sang. Les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps, sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections.

Le DICV est appelé «commun» parce qu'il affecte plusieurs types de globules blancs et «variable» parce que la gravité et le type des symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Les symptômes courants comprennent une susceptibilité accrue aux infections, qui peuvent être récurrentes, graves et difficiles à traiter. D'autres symptômes peuvent inclure une fatigue chronique, une hypertrophie des ganglions lymphatiques, une diarrhée persistante, une éruption cutanée et un retard de croissance chez les enfants.

Le DICV est généralement diagnostiqué à l'âge adulte, bien que certains cas puissent être identifiés pendant l'enfance. Il s'agit d'une maladie rare, avec une prévalence estimée à environ 1 sur 25 000 à 50 000 personnes. Le DICV est considéré comme idiopathique, ce qui signifie qu'il n'y a pas de cause connue pour la plupart des cas. Cependant, dans certains cas, il peut être lié à des mutations génétiques spécifiques.

Le traitement du DICV implique généralement des injections régulières d'immunoglobulines pour aider à prévenir les infections. D'autres traitements peuvent inclure des antibiotiques pour traiter les infections, des médicaments pour stimuler le système immunitaire et des soins de soutien pour gérer les symptômes.

Les opsonines sont des protéines sériques qui se lient aux antigènes à la surface des agents pathogènes, tels que les bactéries et les virus, pour faciliter leur reconnaissance et leur phagocytose par les cellules du système immunitaire, telles que les neutrophiles et les macrophages. Les opsonines peuvent inclure des anticorps, des composants du complément et certaines protéines du système immunitaire inné.

En se liant aux agents pathogènes, les opsonines modifient leur surface, ce qui permet aux récepteurs des cellules phagocytaires de mieux les reconnaître et d'initier le processus de phagocytose. Ce mécanisme est important pour l'élimination des agents pathogènes et la protection contre les infections.

Les opsonines peuvent également jouer un rôle dans l'activation du système immunitaire adaptatif, en facilitant la présentation d'antigènes aux lymphocytes T et B pour déclencher une réponse immunitaire spécifique.

Un antigène de surface est une molécule (généralement une protéine ou un polysaccharide) qui se trouve sur la membrane extérieure d'une cellule. Ces antigènes peuvent être reconnus par des anticorps spécifiques et jouent un rôle important dans le système immunitaire, en particulier dans l'identification des cellules étrangères ou anormales telles que les bactéries, les virus et les cellules cancéreuses.

Dans le contexte de la virologie, les antigènes de surface sont souvent utilisés pour caractériser et classifier différents types de virus. Par exemple, les antigènes de surface du virus de l'hépatite B sont appelés "antigènes de surface" (HBsAg) et sont souvent détectés dans le sang des personnes infectées par le virus.

Dans le domaine de la recherche en immunologie, les antigènes de surface peuvent être utilisés pour stimuler une réponse immunitaire spécifique et sont donc importants dans le développement de vaccins et de thérapies immunitaires.

La réaction de fixation du complément, également connue sous le nom de réaction classique du complément, est un processus dans le système immunitaire qui se produit lorsque un antigène, tel qu'un anticorps ou une protéine du complément, se lie à un anticorps déjà présent sur la surface d'une cellule cible. Cela entraîne une cascade de réactions enzymatiques qui aboutissent à la liaison et à l'activation des composants du système du complément, ce qui entraîne la lyse (la destruction) de la cellule cible.

Le processus de fixation du complément est important dans l'immunité humorale et joue un rôle clé dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Cependant, il peut également contribuer au développement de maladies auto-immunes et d'inflammation lorsque le système immunitaire cible à tort des cellules et des protéines du soi.

La réaction de fixation du complément se produit en plusieurs étapes. Tout d'abord, un anticorps se lie à un antigène spécifique sur la surface de la cellule cible. Ensuite, le fragment cristallisable (Fc) de l'anticorps se lie aux protéines du complément, telles que le C1, le C4 et le C2, qui sont présentes dans le sérum sanguin. Cette liaison active les protéases du complément, ce qui entraîne la formation d'un complexe d'attaque membranaire (C5b-9) qui perfore la membrane de la cellule cible et provoque sa lyse.

La réaction de fixation du complément peut être mesurée en laboratoire en utilisant des tests tels que le test CH50, qui mesure l'activité globale du système du complément, et le test AH50, qui mesure la capacité d'un échantillon de sérum à inhiber la réaction de fixation du complément. Des niveaux anormaux de ces tests peuvent indiquer une activation excessive ou insuffisante du système du complément, ce qui peut être associé à un certain nombre de maladies auto-immunes et inflammatoires.

La séquence d'acides aminés homologue se réfère à la similarité dans l'ordre des acides aminés dans les protéines ou les gènes de différentes espèces. Cette similitude est due au fait que ces protéines ou gènes partagent un ancêtre commun et ont évolué à partir d'une séquence originale par une série de mutations.

Dans le contexte des acides aminés, l'homologie signifie que les deux séquences partagent une similitude dans la position et le type d'acides aminés qui se produisent à ces positions. Plus la similarité est grande entre les deux séquences, plus il est probable qu'elles soient étroitement liées sur le plan évolutif.

L'homologie de la séquence d'acides aminés est souvent utilisée dans l'étude de l'évolution des protéines et des gènes, ainsi que dans la recherche de fonctions pour les nouvelles protéines ou gènes. Elle peut également être utilisée dans le développement de médicaments et de thérapies, en identifiant des cibles potentielles pour les traitements et en comprenant comment ces cibles interagissent avec d'autres molécules dans le corps.

En termes simples, un gène est une séquence d'acide désoxyribonucléique (ADN) qui contient les instructions pour la production de molécules appelées protéines. Les protéines sont des composants fondamentaux des cellules et remplissent une multitude de fonctions vitales, telles que la structure, la régulation, la signalisation et les catalyseurs des réactions chimiques dans le corps.

Les gènes représentent environ 1 à 5 % du génome humain complet. Chaque gène est une unité discrète d'hérédité qui code généralement pour une protéine spécifique, bien que certains gènes fournissent des instructions pour produire des ARN non codants, qui ont divers rôles dans la régulation de l'expression génétique et d'autres processus cellulaires.

Les mutations ou variations dans les séquences d'ADN des gènes peuvent entraîner des changements dans les protéines qu'ils codent, ce qui peut conduire à des maladies génétiques ou prédisposer une personne à certaines conditions médicales. Par conséquent, la compréhension des gènes et de leur fonction est essentielle pour la recherche biomédicale et les applications cliniques telles que le diagnostic, le traitement et la médecine personnalisée.

La rubéole est une infection virale généralement bénigne et hautement contagieuse. Elle est causée par le virus de la rubéole, qui appartient à la famille des Togaviridae et au genre Rubivirus. Le virus se transmet principalement par contact direct avec les gouttelettes respiratoires infectées, bien qu'il puisse également être transmis par voie sanguine ou verticale (de la mère à l'enfant pendant la grossesse).

L'incubation de la rubéole dure généralement 14 à 21 jours. Les symptômes typiques comprennent une éruption cutanée rose pâle ou légèrement rouge qui commence sur le visage et s'étend progressivement vers le tronc et les membres. L'éruption dure généralement 3 jours. D'autres symptômes peuvent inclure des ganglions lymphatiques enflés, une faible fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une inflammation de la gorge (pharyngite).

Bien que la rubéole soit généralement bénigne chez les enfants et les adultes en bonne santé, elle peut avoir des conséquences graves lorsqu'elle est contractée pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre. Une infection maternelle peut entraîner une fausse couche, une mortinaissance ou une naissance prématurée. De plus, le virus de la rubéole peut traverser la barrière placentaire et infecter le fœtus en développement, provoquant ainsi des anomalies congénitales connues sous le nom de rubéole congénitale. Ces anomalies peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, notamment les yeux, les oreilles, le cœur, le cerveau et la peau.

Le diagnostic de la rubéole peut être posé en recherchant des anticorps spécifiques contre le virus dans le sang (IgM et IgG). Des tests de dépistage sérologique peuvent également être utilisés pour identifier les femmes enceintes qui sont immunisées contre la rubéole, ce qui permet de prévenir l'infection congénitale.

La prévention de la rubéole repose sur la vaccination. Le vaccin contre la rubéole est généralement administré sous forme d'une combinaison avec les vaccins contre la rougeole et les oreillons (vaccin ROR). Ce vaccin est recommandé pour tous les enfants à l'âge de 12 à 15 mois, suivi d'un deuxième rappel entre 4 et 6 ans. Les adultes nés après 1957 qui ne présentent pas de preuve d'immunité devraient également être vaccinés. La vaccination est particulièrement importante pour les femmes en âge de procréer, car elle permet non seulement de prévenir la rubéole chez la mère, mais aussi d'éviter les complications graves associées à la rubéole congénitale.

La cytidine déaminase est une enzyme qui catalyse la réaction chimique de déamination de la cytidine et de la déoxycytidine en uridine et désoxyuridine, respectivement. Cette enzyme joue un rôle important dans le métabolisme des nucléotides et est également associée à la résistance aux médicaments antiviraux utilisés dans le traitement de certaines maladies, telles que le VIH et l'hépatite B.

La déamination de la cytidine et de la déoxycytidine entraîne la conversion des bases nucléiques cytosine en uracile. Dans l'ADN, cette modification est réparée par des mécanismes de réparation de l'ADN pour éviter les mutations. Dans l'ARN, l'uracile est normalement reconnu et éliminé par des processus de maturation de l'ARN.

La cytidine déaminase est exprimée dans divers tissus, notamment le foie, les reins, les intestins et les globules blancs. Des niveaux élevés d'activité de cette enzyme ont été observés chez certains patients infectés par le VIH, ce qui peut entraîner une résistance aux médicaments antiviraux qui contiennent des analogues de la cytidine, tels que la zidovudine et la stavudine. De même, dans l'hépatite B, une activité élevée de cytidine déaminase peut entraîner une résistance à certains médicaments antiviraux, tels que la lamivudine et l'emtricitabine.

En plus de son rôle dans le métabolisme des nucléotides et de la résistance aux médicaments, la cytidine déaminase est également associée à d'autres processus biologiques, tels que l'inactivation de certains ARN messagers et la régulation de l'expression génique.

Les amorces d'ADN sont de courtes séquences de nucléotides, généralement entre 15 et 30 bases, qui sont utilisées en biologie moléculaire pour initier la réplication ou l'amplification d'une région spécifique d'une molécule d'ADN. Elles sont conçues pour être complémentaires à la séquence d'ADN cible et se lier spécifiquement à celle-ci grâce aux interactions entre les bases azotées complémentaires (A-T et C-G).

Les amorces d'ADN sont couramment utilisées dans des techniques telles que la réaction en chaîne par polymérase (PCR) ou la séquençage de l'ADN. Dans ces méthodes, les amorces d'ADN se lient aux extrémités des brins d'ADN cibles et servent de point de départ pour la synthèse de nouveaux brins d'ADN par une ADN polymérase.

Les amorces d'ADN sont généralement synthétisées chimiquement en laboratoire et peuvent être modifiées chimiquement pour inclure des marqueurs fluorescents ou des groupes chimiques qui permettent de les détecter ou de les séparer par électrophorèse sur gel.

Le lymphome B est un type de cancer qui affecte les lymphocytes B, un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Les lymphocytes B aident à combattre les infections en produisant des anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes.

Dans le cas d'un lymphome B, les lymphocytes B subissent une transformation maligne et se multiplient de manière incontrôlable, formant une masse tumorale dans les ganglions lymphatiques ou d'autres tissus lymphoïdes. Ces tumeurs peuvent se propager à d'autres parties du corps, affectant ainsi plusieurs organes et systèmes.

Les lymphomes B peuvent être classés en deux catégories principales : les lymphomes hodgkiniens et les lymphomes non hodgkiniens. Les lymphomes hodgkiniens sont caractérisés par la présence de cellules de Reed-Sternberg, qui sont des cellules malignes spécifiques à ce type de cancer. Les lymphomes non hodgkiniens, en revanche, n'incluent pas ces cellules et peuvent être subdivisés en plusieurs sous-types en fonction de leur apparence au microscope, de leur comportement clinique et de leur réponse au traitement.

Les facteurs de risque du lymphome B comprennent l'âge avancé, une immunodéficience due à une maladie sous-jacente ou à des médicaments immunosuppresseurs, une infection par le virus d'Epstein-Barr, une exposition à certains produits chimiques et une prédisposition génétique. Les symptômes courants du lymphome B peuvent inclure des ganglions lymphatiques hypertrophiés, de la fièvre, des sueurs nocturnes, une perte de poids inexpliquée, de la fatigue et des douleurs articulaires. Le diagnostic repose généralement sur une biopsie d'un ganglion lymphatique ou d'un autre tissu affecté, suivie d'examens complémentaires pour évaluer l'étendue de la maladie et planifier le traitement.

Les protéines-tyrosine kinases (PTK) sont des enzymes qui jouent un rôle crucial dans la transduction des signaux cellulaires et la régulation de divers processus cellulaires, tels que la croissance, la différentiation, la motilité et la mort cellulaire. Les PTK catalysent le transfert d'un groupe phosphate à partir d'une molécule d'ATP vers un résidu de tyrosine spécifique sur une protéine cible, ce qui entraîne généralement une modification de l'activité ou de la fonction de cette protéine.

Les PTK peuvent être classées en deux catégories principales : les kinases réceptrices et les kinases non réceptrices. Les kinases réceptrices, également appelées RTK (Receptor Tyrosine Kinases), sont des protéines membranaires intégrales qui possèdent une activité tyrosine kinase intrinsèque dans leur domaine cytoplasmique. Elles fonctionnent comme des capteurs de signaux extracellulaires et transmettent ces signaux à l'intérieur de la cellule en phosphorylant des résidus de tyrosine sur des protéines cibles spécifiques, ce qui déclenche une cascade de réactions en aval.

Les kinases non réceptrices, quant à elles, sont des enzymes intracellulaires qui possèdent également une activité tyrosine kinase. Elles peuvent être localisées dans le cytoplasme, le noyau ou les membranes internes et participent à la régulation de divers processus cellulaires en phosphorylant des protéines cibles spécifiques.

Les PTK sont impliquées dans de nombreux processus physiologiques normaux, mais elles peuvent également contribuer au développement et à la progression de maladies telles que le cancer lorsqu'elles sont surexprimées ou mutées. Par conséquent, les inhibiteurs de tyrosine kinase sont devenus une classe importante de médicaments anticancéreux ciblés qui visent à inhiber l'activité des PTK anormales et à rétablir l'homéostasie cellulaire.

La réaction de neutralisation est un processus dans le domaine de l'immunologie qui se produit lorsqu'un anticorps se lie spécifiquement à un antigène, entraînant la neutralisation ou l'inactivation de ce dernier. Cela se produit généralement lorsque l'anticorps se lie aux sites actifs du pathogène (comme une bactérie ou un virus), empêchant ainsi le pathogène de se lier et d'infecter les cellules hôtes.

Ce processus est crucial dans la réponse immunitaire adaptative, où des lymphocytes B spécifiques produisent des anticorps après avoir été activés par la reconnaissance d'un antigène étranger. Les anticorps neutralisants sont particulièrement importants dans la défense contre les virus et les toxines bactériennes, car ils peuvent prévenir l'infection initiale ou limiter la propagation de l'infection en empêchant le pathogène de se lier aux cellules hôtes.

La réaction de neutralisation est souvent utilisée dans les tests de laboratoire pour détecter et mesurer la présence d'anticorps spécifiques contre un antigène donné, ce qui peut être utile dans le diagnostic des maladies infectieuses et l'évaluation de l'efficacité des vaccins.

L'inflammation est une réponse physiologique complexe du système immunitaire à une agression tissulaire, qui peut être causée par des agents infectieux (comme des bactéries, des virus ou des parasites), des lésions physiques (comme une brûlure, une coupure ou un traumatisme), des substances toxiques ou des désordres immunitaires.

Cette réaction implique une série de processus cellulaires et moléculaires qui ont pour but d'éliminer la source de l'agression, de protéger les tissus environnants, de favoriser la cicatrisation et de rétablir la fonction normale de l'organe affecté.

Les principaux signes cliniques de l'inflammation aiguë sont : rougeur (erythema), chaleur (calor), gonflement (tumor), douleur (dolor) et perte de fonction (functio laesa). Ces manifestations sont dues à la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, l'infiltration leucocytaire et la libération de médiateurs inflammatoires (comme les prostaglandines, les leukotriènes et les cytokines).

L'inflammation peut être classée en deux types principaux : aiguë et chronique. L'inflammation aiguë est généralement de courte durée (heures à jours) et se résout spontanément une fois que la source d'agression est éliminée. En revanche, l'inflammation chronique peut persister pendant des semaines, des mois ou même des années, entraînant des dommages tissulaires importants et potentialisant le développement de diverses maladies, telles que les maladies auto-immunes, les maladies cardiovasculaires et le cancer.

Le Far-Western blotting est une méthode de laboratoire utilisée dans la recherche biomédicale pour détecter et identifier des protéines spécifiques dans un échantillon. Cette technique est une variation du Western blot traditionnel, qui implique le transfert d'échantillons de protéines sur une membrane, suivi de l'incubation avec des anticorps marqués pour détecter les protéines d'intérêt.

Dans le Far-Western blotting, la membrane contenant les protéines est incubée avec une source de protéine marquée ou étiquetée, telle qu'une enzyme ou une biomolécule fluorescente, qui se lie spécifiquement à la protéine d'intérêt. Cette méthode permet non seulement de détecter la présence de la protéine, mais aussi de caractériser ses interactions avec d'autres protéines ou molécules.

Le Far-Western blotting est particulièrement utile pour l'étude des interactions protéine-protéine et des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que la phosphorylation ou la glycosylation. Cependant, il nécessite une optimisation soigneuse des conditions expérimentales pour assurer la spécificité et la sensibilité de la détection.

Les fragments peptidiques sont des séquences d'acides aminés plus courtes que les peptides ou les protéines entières. Ils peuvent résulter de la dégradation naturelle des protéines en acides aminés individuels ou en petits morceaux, ou être produits artificiellement dans un laboratoire pour une utilisation en recherche biomédicale.

Les fragments peptidiques sont souvent utilisés comme outils de recherche pour étudier la structure et la fonction des protéines. En particulier, ils peuvent aider à identifier les domaines actifs d'une protéine, qui sont responsables de son activité biologique spécifique. Les fragments peptidiques peuvent également être utilisés pour développer des vaccins et des médicaments thérapeutiques.

Dans le contexte clinique, la détection de certains fragments peptidiques dans le sang ou les urines peut servir de marqueurs diagnostiques pour des maladies particulières. Par exemple, des fragments spécifiques de protéines musculaires peuvent être trouvés dans le sang en cas de lésion musculaire aiguë.

En résumé, les fragments peptidiques sont des séquences d'acides aminés courtes qui peuvent fournir des informations importantes sur la structure et la fonction des protéines, et qui ont des applications potentielles dans le diagnostic et le traitement de diverses maladies.

L'immunité muqueuse fait référence à la défense immunologique spécifique qui se produit dans les muqueuses, qui sont les tissus humides qui tapissent l'intérieur des organes creux du corps, tels que le nez, les poumons, la bouche, l'estomac et l'intestin. Elle est essentielle pour prévenir les infections et maintenir la santé en général, car ces zones sont constamment exposées aux agents pathogènes provenant de l'environnement extérieur.

L'immunité muqueuse implique plusieurs mécanismes, y compris des barrières physiques telles que les cils vibratiles dans les voies respiratoires et le mucus qui piège les agents pathogènes. Elle comprend également des cellules immunitaires spécifiques, telles que les lymphocytes B et T, qui produisent des anticorps et détruisent directement les agents pathogènes.

Les sécrétions des glandes situées dans les muqueuses, comme les glandes salivaires ou lacrymales, contiennent également des enzymes et des peptides antibactériens qui aident à éliminer les micro-organismes nuisibles.

Enfin, il existe un système immunitaire adaptatif localisé dans les muqueuses, appelé système immunitaire inné associé aux muqueuses (MAIS), qui fournit une réponse rapide et spécifique contre les agents pathogènes. Ce système est capable de se souvenir des infections précédentes et de monter une réponse plus forte lors d'une exposition ultérieure à un agent pathogène particulier.

L'immunité muqueuse joue donc un rôle crucial dans la protection contre les maladies infectieuses et dans le maintien de l'homéostasie des muqueuses.

Les agranulocytes sont un type de globules blancs, ou leucocytes, qui ne contiennent pas de granules dans leur cytoplasme lorsqu'ils sont observés au microscope. Il existe deux principaux types d'agranulocytes : les lymphocytes et les monocytes.

Les lymphocytes jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme en produisant des anticorps et en détruisant les cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent être encore divisés en deux sous-catégories : les lymphocytes B, qui produisent des anticorps, et les lymphocytes T, qui aident à réguler la réponse immunitaire et détruisent directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Les monocytes, quant à eux, sont les plus grands leucocytes et peuvent se différencier en macrophages ou en cellules dendritiques, qui sont responsables de la phagocytose, c'est-à-dire de l'ingestion et de la digestion des agents pathogènes et des débris cellulaires.

Un faible nombre d'agranulocytes, en particulier de neutrophiles (un type de granulocyte), peut rendre une personne plus susceptible aux infections, car ces cellules sont essentielles pour combattre les bactéries et les champignons. Cependant, un nombre réduit d'agranulocytes spécifiquement (lymphocytes ou monocytes) peut également indiquer des problèmes de santé sous-jacents, tels que des infections virales, des maladies auto-immunes ou des troubles du système immunitaire.

La recombinaison génétique est un processus biologique qui se produit pendant la méiose, une forme spécialisée de division cellulaire qui conduit à la production de cellules sexuelles (gamètes) dans les organismes supérieurs. Ce processus implique l'échange réciproque de segments d'ADN entre deux molécules d'ADN homologues, résultant en des combinaisons uniques et nouvelles de gènes sur chaque molécule.

La recombinaison génétique est importante pour la diversité génétique au sein d'une population, car elle permet la création de nouveaux arrangements de gènes sur les chromosomes. Ces nouveaux arrangements peuvent conférer des avantages évolutifs aux organismes qui les portent, tels qu'une meilleure adaptation à l'environnement ou une résistance accrue aux maladies.

Le processus de recombinaison génétique implique plusieurs étapes, y compris la synapse des chromosomes homologues, la formation de chiasmas (points où les chromosomes s'entrecroisent), l'échange de segments d'ADN entre les molécules d'ADN homologues et la séparation finale des chromosomes homologues. Ce processus est médié par une série de protéines spécialisées qui reconnaissent et lient les séquences d'ADN homologues, catalysant ainsi l'échange de segments d'ADN entre elles.

La recombinaison génétique peut également se produire dans des cellules somatiques (cellules non sexuelles) en réponse à des dommages à l'ADN ou lors de processus tels que la réparation de brèches dans l'ADN. Ce type de recombinaison génétique est appelé recombinaison homologue et peut contribuer à la stabilité du génome en réparant les dommages à l'ADN.

Cependant, une recombinaison génétique excessive ou incorrecte peut entraîner des mutations et des instabilités chromosomiques, ce qui peut conduire au développement de maladies telles que le cancer. Par conséquent, la régulation de la recombinaison génétique est essentielle pour maintenir l'intégrité du génome et prévenir les maladies associées à des mutations et des instabilités chromosomiques.

La structure tertiaire d'une protéine se réfère à l'organisation spatiale des différents segments de la chaîne polypeptidique qui forment la protéine. Cela inclut les arrangements tridimensionnels des différents acides aminés et des régions flexibles ou rigides de la molécule, tels que les hélices alpha, les feuillets bêta et les boucles. La structure tertiaire est déterminée par les interactions non covalentes entre résidus d'acides aminés, y compris les liaisons hydrogène, les interactions ioniques, les forces de Van der Waals et les ponts disulfures. Elle est influencée par des facteurs tels que le pH, la température et la présence de certains ions ou molécules. La structure tertiaire joue un rôle crucial dans la fonction d'une protéine, car elle détermine sa forme active et son site actif, où les réactions chimiques ont lieu.

L'immunité acquise maternelle fait référence à la protection immunitaire que le système immunitaire d'une femme enceinte transfère à son fœtus en développement par le biais de la placenta. Cette immunité est acquise passivement, ce qui signifie que le fœtus ne produit pas activement ses propres anticorps contre une maladie particulière. Au lieu de cela, il reçoit des anticorps préformés de la mère, principalement des immunoglobulines G (IgG), qui peuvent traverser la barrière placentaire et offrir une protection temporaire contre certaines infections pendant les premiers mois de la vie. Cependant, cette immunité n'est que temporaire et disparaît généralement dans les six à douze mois suivant la naissance.

L'immunoglobuline Rh, également connue sous le nom d'anti-Rh (D) immunoglobuline ou Rho(D) immune globulin, est un médicament utilisé en médecine pour prévenir l'incompatibilité fœto-maternelle due au facteur Rh. Il s'agit d'une protéine qui contient des anticorps capables de se lier aux globules rouges Rh positifs, empêchant ainsi la mère de produire ses propres anticorps anti-Rh.

Ce médicament est généralement administré à une femme enceinte dont le sang est Rh négatif et qui a un fœtus ou un nouveau-né Rh positif, dans le but d'éviter la production d'anticorps maternels anti-Rh qui pourraient traverser la placenta et attaquer les globules rouges du fœtus. Cela peut prévenir des complications graves telles que l'anémie hémolytique chez le fœtus ou le nouveau-né.

L'immunoglobuline Rh est généralement administrée après une exposition potentielle aux globules rouges Rh positifs, telle qu'une fausse couche, un avortement spontané, un accouchement, un traumatisme abdominal ou un test invasif pendant la grossesse. Elle est généralement administrée en une seule dose et peut offrir une protection contre l'incompatibilité Rh pendant plusieurs mois.

STAT6 (Signal Transducer and Activator of Transcription 6) est une protéine qui agit comme un facteur de transcription dans la voie de signalisation JAK-STAT (Janus Kinase-Signal Transducer and Activator of Transcription). Il joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative, en particulier dans la régulation des réponses Th2 (T helper 2) associées aux allergies et aux réponses parasitaires.

Lorsque le récepteur de la cytokine, tel que le récepteur de l'interleukine-4 (IL-4), est activé, il recrute et active les tyrosines kinases JAK1 et JAK3. Ces kinases phosphorylent ensuite les résidus de tyrosine spécifiques sur le récepteur de la cytokine, créant ainsi des sites de liaison pour les protéines STAT6. Une fois liées, les STAT6 sont également phosphorylées par les JAK, ce qui entraîne leur dimérisation et leur translocation vers le noyau. Dans le noyau, les dimères STAT6 se lient à des éléments de réponse spécifiques dans l'ADN, agissant comme facteurs de transcription pour réguler l'expression des gènes cibles, y compris ceux qui codent pour d'autres protéines impliquées dans la réponse immunitaire.

Par conséquent, le facteur de transcription STAT6 est essentiel à la régulation des réponses immunitaires adaptatives et joue un rôle important dans le développement et la progression des maladies associées aux réponses Th2, telles que l'asthme, les rhinites allergiques et les maladies inflammatoires de l'intestin.

Les clones cellulaires, dans le contexte de la biologie et de la médecine, se réfèrent à un groupe de cellules qui sont génétiquement identiques les unes aux autres, ayant été produites à partir d'une seule cellule originale par un processus de multiplication cellulaire. Cela peut être accompli en laboratoire grâce à des techniques telles que la fécondation in vitro (FIV) et le transfert de noyau de cellules somatiques (SCNT). Dans la FIV, un ovule est fécondé par un spermatozoïde en dehors du corps, créant ainsi un zygote qui peut ensuite être divisé en plusieurs embryons génétiquement identiques. Dans le SCNT, le noyau d'une cellule somatique (une cellule corporelle normale) est transféré dans un ovule dont le noyau a été préalablement retiré, ce qui entraîne la création d'un embryon génétiquement identique à la cellule somatique d'origine. Les clones cellulaires sont utilisés en recherche et en médecine pour étudier les maladies, développer des thérapies et régénérer des tissus et des organes.

Dans le contexte médical, les bronches sont des voies respiratoires qui transportent l'air inspiré depuis la trachée vers les poumons. Ce sont des structures tubulaires situées dans la poitrine qui se ramifient en plusieurs branches plus petites, appelées bronchioles, avant d'atteindre les sacs aériens des poumons où se produit l'échange de gaz.

Les bronches ont des parois musculaires et cartilagineuses qui leur permettent de rester ouvertes pendant la respiration. Elles sont également tapissées de muqueuses qui contiennent des glandes sécrétant du mucus pour piéger les particules étrangères et les micro-organismes inhalés. Les cils vibratiles situés sur la surface des bronches aident à déplacer le mucus vers le haut de la trachée, où il peut être expulsé par la toux ou avalé.

Des maladies telles que l'asthme, la bronchite et le cancer du poumon peuvent affecter les bronches et perturber leur fonctionnement normal.

L'hémagglutination est une réaction dans laquelle des hématies (globules rouges) s'agglutinent ou se regroupent ensemble, formant des grappes visibles à l’œil nu. Cette réaction est souvent utilisée en laboratoire pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses telles que la grippe, les infections à streptocoques et certaines formes d'hépatite.

Dans ce processus, des anticorps spécifiques se lient aux antigènes situés sur la surface des hématies, créant ainsi une agglutination. Les antigènes peuvent être des protéines ou des polysaccharides présents à la surface des globules rouges infectés par un agent pathogène particulier. Lorsque ces antigènes rencontrent les anticorps correspondants dans un milieu liquide, ils se lient et entraînent l'agglutination des hématies.

Cette méthode est couramment employée dans des tests de dépistage sérologiques pour diagnostiquer une infection en cours ou établir une preuve d'une infection antérieure. Par exemple, le test de VCA-IgM et VCA-IgG pour la mononucléose infectieuse (maladie des maux de gorge) est basé sur ce principe.

Toutefois, il convient de noter que certains facteurs peuvent influencer les résultats de ces tests, tels qu'un faible titre d'anticorps, la présence d'inhibiteurs dans le sérum ou des variantes antigéniques. Par conséquent, il est crucial d'interpréter les résultats avec prudence et de les considérer en conjonction avec d'autres informations cliniques pertinentes.

Les immunoglobulines A (IgA, également appelée IgAs dans leur forme sécrétoire) sont un isotype d'anticorps qui joue un rôle ... Les IgA sont relarguées sous la forme de dimères en présence de partie extracellulaire du récepteur aux immunoglobulines ... Cela représente jusqu'à 15% de la totalité des immunoglobulines produites dans le corps. Elles constituent une première ligne ... Les IgAs peuvent également inhiber les effets inflammatoires d'autres immunoglobulines. L'IgA est un faible activateur du ...
C'est une immunoglobuline non spécifique de l'immunité adaptative. Ce sont les premières immunoglobulines lors d'une infection ... Les immunoglobulines M (IgM) sont une classe d'anticorps. Elles représentent environ 10 % des immunoglobulines d'un immunosérum ...
Pour les articles homonymes, voir IGD. L'immunoglobuline D (IgD) est un isotype d'anticorps constituant environ 1 % des protéines de la membrane plasmique des lymphocytes B matures, où elle est généralement coexprimée avec un autre anticorps de la surface cellulaire, appelé IgM, lorsque le lymphocyte quitte la moelle osseuse. L'immunoglobuline D se lie aux granulocytes basophiles et aux mastocytes, ce qui a pour effet de les activer. Elle est également présente en très petites quantités sous forme sécrétée dans le sérum. Cette dernière est produite comme un anticorps monomérique avec deux chaînes lourdes (en) de classe delta (δ) et deux chaînes légères d'immunoglobuline (en). La fonction des IgD a toujours été un casse-tête de l'immunologie depuis sa découverte en 1964. Les IgD sont présents chez des espèces de poissons cartilagineux aux humains (à l'exception probable des oiseaux).[2]. La présence quasi ubiquitaire des IgD chez les différentes espèces animales à ...
L'immunoglobuline antitétanique, également connue sous le nom d'immunoglobuline antitétanique et d'antitoxine tétanique, est un médicament composé d'anticorps dirigés contre la toxine tétanique . Elle est utilisée pour prévenir le tétanos chez les personnes qui ont une plaie à haut risque et qui n'ayant pas été entièrement vaccinées avec l'anatoxine tétanique . Elle est également utilisé pour traiter le tétanos avec des antibiotiques et des relaxants musculaires ; elle est administrée par injection dans un muscle . Les effets secondaires courants comprennent la douleur au site d'injection et la fièvre. Des réactions allergiques, y compris l'anaphylaxie, peuvent rarement se produire. Le risque de propagation d'infections telles que l'hépatite virale et le VIH/SIDA avec la version humaine. L'utilisation pendant la grossesse est jugée acceptable. Il est fabriqué à partir de plasma sanguin humain ou de chevalin,. L'utilisation de la version chevaline est devenue courante ...
L'utilisation des immunoglobulines antirabiques sous forme de sérum sanguin remonte de 1891. Son utilisation est devenue ...
Les immunoglobulines de type G (IgG) constituent une classe de molécules anticorps. C'est la principale des cinq classes ... D'autres immunoglobulines peuvent être décrites en termes de polymères dont la structure monomérique serait celle d'une IgG. ... Les réponses des immunoglobulines G-anticorps aux polysaccharides membranaires peuvent être presque entièrement limitées aux ... Les IgG sont les immunoglobulines les plus abondantes et sont approximativement distribuées également dans le sang et les ...
Les immunoglobulines de classe E (IgE) sont présentes à des niveaux peu élevés dans le plasma et sont principalement produites ... Les immunoglobulines IgE sont associées aux maladies atopiques, notamment les rhinites allergiques, l'asthme et les dermatites ... Allergie Anticorps Atopie Immunoglobuline Choc anaphylactique Portail de la biologie cellulaire et moléculaire Portail de la ... la demi-vie de l'IgE sérique est plus courte que celle des autres immunoglobulines (+/- 2,5 à 4 jours par rapport à 21 jours ...
Les immunoglobulines humaines anti-Rho (D) sont un médicament dérivé du sang, c'est-à-dire préparé à partir du sang de donneurs ... avril 2013 Maladie hémolytique du nouveau-né La page immunoglobulines anti-D sur le site du Répertoire commenté des médicaments ...
Il s'agit d'une immunoglobuline, plus précisément d'une gammaglobuline, fabriquée à partir du sang de personnes ayant des ... Moins de trois articles lui sont liés (mai 2023). Vous pouvez aider en ajoutant des liens vers [[Immunoglobuline varicelle-zona ...
L'immunoglobuline de l'hépatite B (HBIG) est un médicament utilisé pour prévenir l'hépatite B à la suite d'une exposition. Notamment chez les nouveau-nés après la naissance d'une femme séropositive pour l'hépatite B, après une greffe du foie chez une personne atteinte d'hépatite B et après une exposition chez ceux qui ne sont pas immunisés. Il peut être administré par injection dans une veine ou un muscle. Le vaccin contre l'hépatite B peut être administré en même temps, mais à un endroit différent du corps,. Les effets secondaires courants comprennent une douleurs au site d'injection, des maux de tête, des nausées, des vertiges et de la fièvre. D'autres effets secondaires peuvent inclure des réactions allergiques. Il peut être utilisé pendant la grossesse si nécessaire. Il s'agit d'anticorps dirigés contre l'antigène de surface de l'hépatite B (anti-HBs). L'immunoglobuline de l'hépatite B est entrée en usage médical en 1974. Il est disponible en tant que ...
... La thérapie par immunoglobulines, également appelée immunoglobuline humaine normale (NHIG), ... La thérapie par immunoglobulines est également utilisée pour un certain nombre d'autres affections, notamment dans de nombreux ... La forte demande, associée à la difficulté de produire des immunoglobulines en grandes quantités, a entraîné une pénurie ... consiste à utiliser un mélange d'anticorps (immunoglobulines) pour traiter un certain nombre de problèmes de santé,. Ces ...
La superfamille des immunoglobulines (IgSF) est une super-famille de protéines ayant en commun une structure tertiaire ... Rem : Outre les immunoglobulines on trouve parmi ces molécules d'adhérence : la superfamille des cadhérines, et les familles ... La structure de ces protéines contient un ou plusieurs domaines dits « de type immunoglobuline » (domaines Ig). Ces protéines ... Un domaine de type immunoglobuline est constitué d'un repliement de la chaîne polypeptidique d'environ 100 acides aminés de ...
Le syndrome d'hyper immunoglobuline M lié à l'X est une anomalie de la cytotoxicité des lymphocytes B et T avec un taux bas des ... immunoglobulines G et A et une concentration élevée des immunoglobulines M. La réponse immunitaire humorale est basse ou ...
Le déficit immunitaire lié à des anomalies des immunoglobulines (Immunité humorale) est soit complet et sévère ( ... Code CIM-10 D80.8 Immunoglobuline Lymphocyte B Anticorps Immunologie Déficit immunitaire primitif Hématologie. - Najman Albert ... Ce déficit dans la synthèse des immunoglobulines peut aussi être sélectif, ne concernant qu'une classe. Code CIM-10 D80.2 C'est ...
La sélection des immunoglobulines se fait à l'aide des cellules folliculaires dendritiques. Les cellules folliculaires ... Mais, pour les centrocytes exprimant une immunoglobuline à l'issue du processus d'hypermutation, la sélection se poursuit dans ... sécrètent des immunoglobulines de classe A, E ou G ayant une forte affinité pour l'antigène grâce à la maturation d'affinité, ... à la réponse immédiate des lymphocytes B qui sécrètent uniquement des immunoglobulines de classe M et D ayant une faible ...
Immunoglobulines antivenimeuses - Solution injectable. Le type exact doit être défini localement. immunoglobulines humaines ... Immunoglobulines humaines antitétaniques - Solution injectable : 500 UI en flacon. Articles détaillés : Vaccin et Vaccination. ... Articles détaillés : Sérum et Immunoglobuline. Toutes les fractions plasmatiques doivent être conformes aux normes de l'OMS ... Immunoglobulines humaines normales - Administration intramusculaire : solution de protéines 16 %.* Administration intraveineuse ...
Exemples de quelques protéines Immunoglobuline G (anticorps). Insuline (hormone). Hémoglobine (protéine respiratoire). Triose- ...
Déficits sélectifs en immunoglobulines. A prédominance cellulaire. Microdélétion 22q11. Syndrome de Di George. Syndrome de Hong ... Annals of the MBC, 4(1). Immunocompétence Maladie opportuniste immunologie maladie auto-immune anticorps immunoglobuline ...
... immunoglobulines humaines en IV ; immunosuppresseurs. L'évolution est généralement rapide, aboutissant vers la guérison en ...
Gammaglobulines (aussi appelées immunoglobulines). Leurs fonctions sont très variées : immunité, transport d'hormones, maintien ...
Immunoglobuline anti-hépatite B J06BB05 Immunoglobuline antirabique J06BB06 Immunoglobuline antirubéole J06BB07 Immunoglobuline ... antivariolique J06BB08 Immunoglobuline antistaphylocoque J06BB09 Immunoglobuline anticytomégalovirus J06BB10 Immunoglobuline ... Immunoglobuline anti-hépatite A J06BB12 Immunoglobuline anti-encéphalite transmise par les tiques J06BB13 Immunoglobuline ... J06BB02 Immunoglobuline antitétanique J06BB03 Immunoglobuline antivaricelle-zona (en) J06BB04 ...
... aussi appelées immunoglobulines). alpha-1-antitrypsine alpha-1-antichymotrypsine lipoprotéine (HDL) prothrombine orosomucoïde ...
Pour l'animal, ces immunoglobulines sont antigéniques, et ce lapin synthétisera des anticorps de lapin anti-« immunoglobulines ... Si ce sérum X contient une immunoglobuline de groupe Gm1, l'anti Gm1 va former un complexe antigène-anticorps, et sera consommé ... Depuis ce test s'est généralisé et permet de mettre en évidence une immunoglobuline humaine dans tout liquide ou fixée ... L'antiglobuline est un anticorps dirigé contre une immunoglobuline. Utilisé en laboratoire comme réactif, il permet de mettre ...
... fait partie de la Superfamille des immunoglobulines. CD4 contient 4 domaines immunoglobuline dans sa partie extracellulaire ... Les domaines D1 et D3 ressemblent aux domaines variables des immunoglobulines (IgV). Les domaines D2 et D4 ressemblent aux ... domaines constants des immunoglobulines (IgC). CD4 possède également un court domaine intracellulaire (C) qui contient une ...
Superfamille des immunoglobulines (biochimie, immunologie, hématologie). Prix Ig Nobel (Homonymie, Sigle de 2 caractères, Code) ...
... à la superfamille des immunoglobulines. Elles contiennent un seul domaine immunoglobuline dans leur partie extracellulaire. La ...
De plus des immunoglobulines peuvent être administrées. Les patients souffrant de polyneuropathie dont le diagnostic mettrait ...
souhaitée] ; récepteurs apparentés à la superfamille des immunoglobulines ; récepteurs des chimiokines (à 7 domaines ...
De type 2 : cytotoxicité directe des immunoglobulines. De type 3 : complexes immuns circulants. De type 4 dite « retardée » : ... Susumu Tonegawa identifie les gènes des immunoglobulines, et reçoit pour cela en 1987 le prix Nobel ; la même année, Leroy Hood ... Ce sont des molécules de type immunoglobuline de différents types : les IgM qui sont les premiers produits lors d'une infection ...
... possède deux domaines de type immunoglobuline dans sa partie extracellulaire. CD2 interagit avec des molécules d'adhésion ... CD2 est membre de la superfamille des immunoglobulines. Cette classification est due aux caractéristiques structurales de cette ...
Les immunoglobulines A (IgA, également appelée IgAs dans leur forme sécrétoire) sont un isotype danticorps qui joue un rôle ... Les IgA sont relarguées sous la forme de dimères en présence de partie extracellulaire du récepteur aux immunoglobulines ... Cela représente jusquà 15% de la totalité des immunoglobulines produites dans le corps. Elles constituent une première ligne ... Les IgAs peuvent également inhiber les effets inflammatoires dautres immunoglobulines. LIgA est un faible activateur du ...
Classe pharmacothérapeutique : immunoglobulines et sérum, code ATC : J06BB05. Les immunoglobulines humaines rabiques ... Principes actifs : Immunoglobuline humaine rabique Excipients : Glycine , Sodium chlorure , Eau pour préparations injectables ... Classe pharmacothérapeutique : Immunoglobuline antirabique. * Conditions de prescription et de délivrance : Médicament soumis à ... Lexpérience clinique avec les immunoglobulines na montré aucun effet délétère sur le déroulement de la grossesse, ni sur le ...
Vaccin contre la rage et immunoglobulines antirabiques. Share This Page. * Share to Facebook (opens in a new window) ... Immunoglobulines antirabiques (noms de marque: Imogam® Rabies, Hyperrab®). *Les personnes qui ont déjà reçu le vaccin contre la ... Les immunoglobulines antirabiques procurent une protection immédiate aux personnes qui ne sont pas immunisées contre la rage en ... égratigner par un animal doivent recevoir des immunoglobulines antirabiques et la première dose du vaccin contre la rage le ...
Immunoglobulines orales pour le traitement de la diarrhée à rotavirus chez les nourrissons de faible poids de naissance. ... Des essais cliniques traitant la question du traitement par immunoglobulines orales de linfection à rotavirus doivent être ...
Présence dune immunoglobuline monoclonale du type igA Lambda. 29 avril 2022 Question. Bonjour, pouvez-vous me donner des ... nous vous conseillons la lecture de la réponse-type intitulée Mon médecin ma prescrit un dosage des anticorps/immunoglobulines ...
Immunoglobulines M ou IgM : ce sont les premières immunoglobulines sécrétées par les plasmocytes au cours de la réponse ... Immunoglobuline G. Immunologie allergologie, médecine biologique N. f. * immuno : du latin immunitas, exemption, dispense, ... Immunoglobulines G ou IgG : elles sont sécrétées par les plasmocytes à la fin de la réponse immunitaire primaire et durant la ... Immunoglobulines D : elles sont peu abondantes et encore assez mal connues. Les IgD sont implantées dans la membrane des ...
Le prélèvement doit être fixé au formol 10% neutralisé, en excès (recouvrant largement le prélèvement), à température ambiante. Le contenant doit être correctement fermé pour éviter les fuites de fixateur.
Le déficit sélectif en immunoglobuline A chez le chien est responsable dun dysfonctionnement du système immunitaire. En savoir ... Déficit sélectif en immunoglobuline A chez le chien. Comprendre ce que signifie un déficit sélectif en immunoglobuline A pour ... Quest-ce que le déficit sélectif en immunoglobuline A chez le chien ?. Les immunoglobulines sont des protéines jouant un rôle ... Signes cliniques du déficit sélectif en immunoglobuline A chez le chien. Un certain nombre de chiens ne présentent pas de signe ...
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Comprendre le rôle des immunoglobulines E (IgE) est essentiel pour mieux appréhender ces réactions allergiques. ... Les immunoglobulines E (IgE) jouent donc un rôle crucial dans les réactions allergiques, y compris les allergies alimentaires. ... Comprendre le rôle des immunoglobulines E (IgE) est essentiel pour mieux appréhender ces réactions allergiques. ...
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En 2018, les données de consommation des immunoglobulines humaines normales (IGHN) indiquaient une forte augmentation de leur ... certification conciliation continuité DMI développement durable EHPAD enquête formation génériques Handicap immunoglobulines ...
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Avis 8366 - Recommandations en matière dindications pour ladministration des immunoglobulines Français Recommandations en ... Recommandations en matière dindications pour ladministration des immunoglobulines (juin 2010) (CSS 8366) ... matière dindications pour ladministration des immunoglobulines (juin 2010) (CSS 8366).pdf PDF document - 923.01 Ko ...
  • Certaines personnes atteintes de déficit sélectif en IgA produisent des anticorps contre les IgA si elles sont exposées à des IgA dans les transfusions sanguines ou les immunoglobulines (anticorps provenant du sang de personnes ayant un système immunitaire normal). (msdmanuals.com)
  • De plus, les immunoglobulines dans le plasma sont les anticorps qui jouent, avec les globules blancs, un rôle important dans la défense contre les agents pathogènes. (hema-quebec.qc.ca)
  • La recherche « Immunoglobuline antirabique humaine (Im) Aperçu du marché par principaux fabricants, tendances, croissance de l'industrie, taille, analyse et prévisions jusqu'en 2028 » a été publiée par Market Research Store. (itmaroc.com)
  • Market Research Store a publié un rapport sur le marché mondial Immunoglobuline antirabique humaine (Im) tel que l'ensemble de la dynamique et de l'analyse du marché sont bien représentés à travers les différents segments tels que le type de produit, l'application, l'utilisateur final, les régions et les acteurs dominants du marché. (itmaroc.com)
  • L'analyse approfondie du marché est susceptible d'éclairer les lecteurs et les investisseurs avec les tactiques stratégiques, les moteurs de croissance, les contraintes, les opportunités, les bénéfices, les prix et la phase de croissance du marché nécessaires pour une meilleure compréhension du marché Immunoglobuline antirabique humaine (Im). (itmaroc.com)
  • En parlant du taux de croissance du marché mondial Immunoglobuline antirabique humaine (Im), le développement régional aide à décrire l'ensemble de l'économie du marché et les positions dans les régions spécifiques à travers les profils d'entreprise clés. (itmaroc.com)
  • Pendant la pandémie de COVID-19, le verrouillage avait touché presque tous les marchés et le marché mondial Immunoglobuline antirabique humaine (Im) n'a pas fait exception. (itmaroc.com)
  • Les immunoglobulines sont des protéines jouant un rôle important dans la défense de l'organisme. (fregis.com)
  • Les immunoglobulines sont des substances fabriquées par l'organisme destinées à se défendre contre les. (docteurclic.com)
  • Un déficit de ces protéines peut entraîner une incapacité à retenir l'eau dans les vaisseaux (albumine), une diminution des défenses immunitaires de l'organisme (immunoglobulines), ou des anomalies de la coagulation sanguine (facteurs de coagulation). (hema-quebec.qc.ca)
  • Tout se passe au niveau immunologique : il s'agit des mécanismes de défense de l'organisme - les immunoglobulines (IgA), présentes surtout dans le sang - contre les éléments pathogènes extérieurs que sont les aliments déclencheurs d'allergies. (consoglobe.com)
  • Le rôle essentiel d'une immunoglobuline est de se fixer sur l'antigène qui a provoqué sa fabrication, puis de le neutraliser. (dictionnaire-medical.net)
  • Ensuite, lors d'une seconde ingestion de l'aliment allergène, il y a déclenchement de l'allergie par l'activation des immunoglobulines. (consoglobe.com)
  • En 2018, les données de consommation des immunoglobulines humaines normales (IGHN) indiquaient une forte augmentation de leur utilisation depuis plusieurs années, expliquée en partie par des changements de pratiques de prescription liés à l'octroi d'extensions d'indications, à l'émergence de nouvelles populations éligibles aux traitements ainsi qu'au développement de pratiques de prescription hors autorisation de mise sur le marché. (omedit-idf.fr)
  • Au Canada, les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux soutiennent les efforts de la Société canadienne du sang pour atteindre un niveau de suffisance en immunoglobulines d'environ 25 % au cours des prochaines années, objectif que l'organisation compte réaliser par l'intermédiaire de 11 centres de donneurs de plasma spécialisés. (sang.ca)
  • Ceux-ci sont notamment soignés avec des médicaments dérivés du sang, les immunoglobulines. (sante.fr)
  • Il résulte d'un faible taux d'un seul type (classe) d'anticorps (immunoglobulines), alors que les taux des autres immunoglobulines sont normaux. (msdmanuals.com)
  • Cela représente jusqu'à 15% de la totalité des immunoglobulines produites dans le corps. (wikipedia.org)
  • Immunoglobulines A ou IgA : produites par certains tissus lymphoïdes et sécrétées localement dans le tube digestif, la salive, les larmes, le lait maternel, les IgA empêchent les bactéries et les virus de se lier aux cellules épithéliales des muqueuses. (dictionnaire-medical.net)
  • Les immunoglobulines A (IgA, également appelée IgAs dans leur forme sécrétoire) sont un isotype d'anticorps qui joue un rôle crucial dans la fonction immunitaire des muqueuses. (wikipedia.org)
  • Comprendre le rôle des immunoglobulines E (IgE) est essentiel pour mieux appréhender ces réactions allergiques. (mafamilylife.fr)
  • Les immunoglobulines E (IgE) jouent un rôle clé dans ce processus. (mafamilylife.fr)
  • Les immunoglobulines E (IgE) jouent donc un rôle crucial dans les réactions allergiques, y compris les allergies alimentaires. (mafamilylife.fr)
  • Ces analyses comprennent l'électrophorèse des protéines sériques (EPPS), le dosage des immunoglobulines et l'immunoélectrophorèse. (merckmanuals.com)
  • En 2011, 1037 personnes ont reçu des immunoglobulines antitétaniques à l'hôpital, dont 73 % à l'hôpital privé. (who.int)
  • L'IgAs est la principale immunoglobuline présente dans les sécrétions muqueuses, notamment les larmes, la salive, la sueur, le colostrum et les sécrétions des voies génito-urinaires, gastro-intestinales, de la prostate et de l'épithélium respiratoire. (wikipedia.org)
  • Les IL-4 activent les lymphocytes B à l'origine de la sécrétion des immunoglobuline E (IgE). (medscape.com)
  • Cette molécule provient de la protéolyse de la partie extra-cellulaire du récepteur polymérique des immunoglobulines ou pIgR en anglais (130 kD) qui est responsable de la transcytose des IgA dimériques (mais non monomères) au travers les cellules épithéliales et dans les sécrétions telles que les larmes, la salive, la sueur et le liquide digestif. (wikipedia.org)
  • déterminer si le plasma recueilli au pays par le secteur commercial pourrait contribuer aux efforts pour accroître la suffisance en immunoglobulines afin que le plasma recueilli au Canada reste au Canada, pour être fabriqué ici dans l'intérêt exclusif des patients canadiens. (sang.ca)
  • Les immunoglobulines A (IgA, également appelée IgAs dans leur forme sécrétoire) sont un isotype d'anticorps qui joue un rôle crucial dans la fonction immunitaire des muqueuses. (wikipedia.org)
  • Le système immunitaire produit plusieurs classes d'immunoglobulines, par exemple les immunoglobulines A (IgA), IgD, IgE, IgG et IgM. (msdmanuals.com)
  • C'est pourquoi il est vital de maintenir un appareil digestif sain pour améliorer la réponse immunitaire.Les croquettes ADVANCE intègrent des nucléotides (portions d'ADN et d'ARN) et des immunoglobulines qui facilitent le renouvellement de la paroi intestinale, mais aussi l'efficacité de la réponse immunitaire, ce qui permet de renforcer les défenses naturelles du chat. (zooplus.fr)
  • Les immunoglobulines ont différents effets sur le système immunitaire et aident à combattre les infections. (cochrane.org)
  • S'administrer soi-même, ou se faire administrer par une infirmière, des immunoglobulines (Ig) par voie sous-cutanée à son domicile rétablit le sentiment d'autonomie, mais aussi de contrôle de son traitement et de sa vie. (afm-telethon.fr)
  • France - Les enfants atteints du syndrome inflammatoire multisystémique lié à une infection à SARS-CoV-2 (MIS-C ou Kawasaki-like) ont un pronostic nettement amélioré lorsque des corticoïdes sont associés d'emblée au traitement de référence par immunoglobulines polyvalentes (IgIV), selon une étude rétrospective française. (medscape.com)
  • En raison des symptômes communs entre la maladie de Kawasaki et le MIS-C, les enfants ont été traités de façon empirique avec des immunoglobulines sans que l'on sache vraiment s'il s'agissait du traitement le plus efficace. (medscape.com)
  • Jeff Brown, en compagnie de sa fille Preslee sur la photo, a reçu des immunoglobulines pour le traitement du syndrome de Guillain-Barré. (blood.ca)
  • Perspective des patients Le traitement de remplacement des immunoglobulines par perfusion i.v. ( IgIV ) ou par injection s.c. (bvsalud.org)
  • ANALYSES ÉCONOMIQUES Analyse d'efficience Au prix soumis par le fabricant, le traitement par HyQviaMC est une option thérapeutique moins efficiente que les autres immunoglobulines actuellement distribuées au Québec . (bvsalud.org)
  • Un traitement antitoxine par immunoglobuline antibotulique d'origine humaine à usage pédiatrique est disponible. (mesvaccins.net)
  • Parmi ces usagers, 85,9 % ont reçu exclusivement des immunoglobulines intraveineuses (IgIV), 12 % ont reçu exclusivement des immunoglobulines sous-cutanées (IgSC) et 2,2 % ont reçu des Ig sous les deux formes (IgIV et IgSC). (inspq.qc.ca)
  • Sont également souhaitables des traitements qui préviennent davantage les risques d' infection par rapport aux thérapies prophylactiques actuelles et qui favorisent l'atténuation des contraintes liées aux perfusions répétées d' immunoglobulines intraveineuses (i.v.) ou s.c. (bvsalud.org)
  • Les expériences menées chez l'animal suggèrent que les immunoglobulines intraveineuses peuvent partiellement enrayer le processus de démyélinisation du système nerveux central. (cochrane.org)
  • Des essais cliniques ont donc été réalisés afin d'évaluer l'efficacité des immunoglobulines intraveineuses chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP). (cochrane.org)
  • Identifier et résumer les preuves d'innocuité et d'effets bénéfiques des immunoglobulines intraveineuses chez les patients atteints de SEP. (cochrane.org)
  • Les essais contrôlés randomisés évaluant les immunoglobulines intraveineuses dans la prévention des récidives et de la progression de la SEP. (cochrane.org)
  • L'un des seuls traitements efficaces consiste à administrer des immunoglobulines, un médicament fait à base de protéines extraites de dons de plasma (composant sanguin jaune miel). (blood.ca)
  • Les immunoglobulines sont des dérivés du plasma, un composant sanguin jaune miel que l'on peut donner à de nombreux sites de la Société canadienne du sang, notamment à un tout nouveau centre de don de plasma à Sudbury (Ont. (blood.ca)
  • Un déficit de ces protéines peut entraîner une incapacité à retenir l'eau dans les vaisseaux (albumine), une diminution des défenses immunitaires de l'organisme (immunoglobulines), ou des anomalies de la coagulation sanguine (facteurs de coagulation). (hema-quebec.qc.ca)
  • Il s'agit notamment des immunoglobulines, des facteurs de coagulation ou encore de l'albumine. (villactu.fr)
  • En tout, 34 patients ont reçu des immunoglobulines par voie intraveineuse (IgIV) associées à de la méthylprednisolone et 72 ont reçu des immunoglobulines par voie intraveineuse exclusivement (dosage IgIV :2 g/kg pour tous). (medscape.com)
  • Selon une étude menée à petite échelle, les malades préfèrent les immunoglobulines par voie sous-cutanée à la maison plutôt qu'en perfusion à l'hôpital. (afm-telethon.fr)
  • MANDAT À la demande du fabricant Takeda Canada Inc., l'Institut national d'excellence en santé et en services sociaux (INESSS) a procédé à l'évaluation du produit HyQviaMC, une combinaison d' immunoglobulines normales humaines à 10 % et d' hyaluronidase , qui s'administre par voie sous-cutanée (s.c. (bvsalud.org)
  • Qualité de vie La voie d' administration des immunoglobulines i.v. et s.c. ne semblait pas avoir un effet important sur la qualité de vie liée à la santé . (bvsalud.org)
  • Votre médecin vous a ensuite prescrit des analyses de sang qui ont révélé la présence d'une immunoglobuline monoclonale IgM de type kappa. (cite-sciences.fr)
  • Concernant vos résultats d'analyse, ils évoquent la présence d'une immunoglobuline monoclonale IgM de type kappa. (cite-sciences.fr)
  • Plus rarement, la translocation concerne le chromosome 2 (cha ne kappa des immunoglobulines) ou 22 (cha ne lambda des immunoglobulines). (orpha.net)
  • Cette molécule provient de la protéolyse de la partie extra-cellulaire du récepteur polymérique des immunoglobulines ou pIgR en anglais (130 kD) qui est responsable de la transcytose des IgA dimériques (mais non monomères) au travers les cellules épithéliales et dans les sécrétions telles que les larmes, la salive, la sueur et le liquide digestif. (wikipedia.org)
  • Les cellules expriment des immunoglobulines de surface et les marqueurs de diff rentiation B (CD19, CD20). (orpha.net)
  • Il s'agit de la première évaluation de cette préparation d' immunoglobulines . (bvsalud.org)
  • Vous souhaitez savoir si la présence de cette immunoglobuline témoigne d'une bonne immunisation contre la Covid-19 ou si elle est le signe du développement d'un cancer. (cite-sciences.fr)
  • Les IgAs peuvent également inhiber les effets inflammatoires d'autres immunoglobulines. (wikipedia.org)
  • Les patients atteints de maladie progressive primaire recevant des immunoglobulines étaient moins nombreux à présenter une progression par rapport au groupe du placebo (p = 0,016). (cochrane.org)
  • Perspective des experts Malgré la faible qualité des études, les experts consultés jugent l' efficacité d'HyQviaMC à prévenir les infections et son profil d'innocuité comparables à ceux des immunoglobulines présentement disponibles. (bvsalud.org)
  • Les immunoglobulines étaient bien tolérées, avec un risque d'événements indésirables liés aux médicaments inférieur à 5 % chez les participants des essais inclus. (cochrane.org)
  • Le déficit sélectif en immunoglobuline M (IgM) est une pathologie rare (prévalence entre 0,37 à 1,68 %), paraissant associé à des infections récurrentes, et des pathologies atopiques, auto-immunes et gastro-intestinales. (joyfulpraisechurchinternational.com)
  • Au District sanitaire de Tambacounda, un cas confirmé aux immunoglobulines de 4 flavivirus (fièvre jaune, dengue, West Nile et Zika) a été enregistré. (panafrican-med-journal.com)
  • Dans un premier temps nous avons pensé que ces enfants faisaient un Kawasaki sévère et nous les avons pris en charge comme tels en donnant en première intention des immunoglobulines. (medscape.com)
  • Deux formes existent: l'une est dite end mique (Afrique sub tropicale), li e au virus Epstein Barr (EBV), et se pr sente classiquement sous forme d'une tumeur des maxillaires (en fait, la pr sence d'une tumeur abdominale est fr quente, surtout chez l'enfant moins jeune), l'autre est sporadique , non li e l'EBV, et se d veloppe surtout dans l'abdomen. (orpha.net)
  • L'IgE est une immunoglobuline en forme de « Y » similaire à l'IgG. (lymphoma.org.au)
  • Pour aller plus loin, les investigateurs ont donc cherché à savoir si l'ajout de corticoïdes en sus des immunoglobulines présentait un avantage en termes d'amélioration des symptômes. (medscape.com)