Une malformation anatomique congénitale du canal biliaire, y compris kystique extrahépatiques dilatation des canaux biliaires intra-hépatique ou le grand canal cholédoque. CLASSIFICATION est basée sur le site et type de dilatation. Genre je est plus fréquent.
Formation chirurgicale d'une brèche dans la ABDOMINAL mur dans le jéjunum, habituellement pour hyperalimentation entérale.
Rempli de liquide de cavité fermé ou poche qui est bordée par un épithélium. Kystes peut être de la normale, anormale, non-neoplastic, ou les tissus néoplasiques.
Maladie du conduit d'air biliaires COMMUN DE VATER y compris l'ampoule et le SPHINCTER DE Oddi.
Diagnostic technique non-invasive pour visualiser le cancer du pancréas et la bile DUCTS DUCTS sans l ’ utilisation de injecté contraste MEDIA ou par des IRM, radios. Une grande sensibilité pour la dilatation du canal biliaire anomalies Intraductal et la sténose.
Une anastomose chirurgical en forme ou une partie du système digestif qui comprend l ’ intestin grêle que le site de drainage éventuelle.
Le plus grand canal cholédoque. C'est formé par la jonction du conduit d'air et on disait à LA TOXICITE kystique conduit d'air.
Principalement extra- hépatique qui des canaux biliaires est formé par la jonction des conduits hépatique droite et gauche, qui sont principalement intra-hépatique, et, en retour, rejoint le canal cystique pour former le canal biliaire.
Toute intervention chirurgicale pratiquée sur le des voies biliaires.
Formation chirurgicale d'une place dans le duodénum.
Un test de l'imagerie TRACT biliaire dans lequel un produit de contraste (opaque radioactif MEDIA) est injecté dans la bile conduit d'air et radio photographie.
Imino-acides are organic compounds that contain a chemical structure with a nitrogen atom bonded to two carbon atoms, often formed as intermediates in biological metabolic processes such as the biosynthesis of amino acids and alkaloids.
Le fibroscope endoscopie conçues pour observation et duodénal cannulation de VATER est ampoule afin de visualiser le système d'aération et biliaire du pancréas rétrograde par injection endoscopique de produits de contraste. (Danois) papillotomy Sphinctérotomie endoscopique (,) peut être pratiquée pendant la procédure.
Passages externes au foie pour la transmission de la bile. Par la bile du conduit d'air et le bon canal hépatique (LA TOXICITE conduit d'air, commun).
Destruction progressive ou l ’ absence de tout ou partie de la bile DUCTS extra- hépatique, conduisant à l'obstruction complète de la bile, habituellement atrésie biliaire est retrouvé chez les nourrissons et représente un tiers de la jaunisse cholestatique néonatale.
Une tumeur bénigne dans le muscle (habituellement) avec des muscles lisses des éléments glandulaire. Elle se produit le plus fréquemment dans l'utérus et ligaments utérine, 25e Stedman. (Éditeur)
L'état de structure anatomique est dilaté au-delà du normal dimensions.
Conduits en PCV du pancréas et JUS pancréatique approvisionneras au duodénum.
Liquide dans les tissus trouvés epithelial-lined fermé caries ou leur sexe.
Maladies dans n'importe quelle partie du TRACT biliaire dont la bile DUCTS et la vésicule biliaire.
La bile DUCTS et la vésicule biliaire.
Processus pathologiques du pancréas.
Lymphangite is a medical condition characterized by the inflammation of the lymphatic vessels, often resulting in red, tender streaks along the affected area of the body.
Un produit radiopharmaceutique très utilisée en cholescintigraphy pour l'évaluation des maladies hépatobiliaire. (De Int Jrnl Rad APPL Inst 1992 ; 43 1061-4) (9) :
Passage anormale dans les organes du ou des voies biliaires entre organes biliaire et d'autres organes.
Les chaînes qui ramasser et transporter la sécrétion biliaire dans les canicules de la bile, la plus petite partie de ces TRACT biliaire dans le foie, par la bile ductules, le conduit biliaire hors du foie, et de la vésicule biliaire de conservation.
Un réservoir de stockage pour sécrétion biliaire. Vésicule permet à la livraison des acides biliaires à une forte concentration et de façon très minutieuse, via le conduit d'air kystique du duodénum, à la dégradation des lipides alimentaires.
Opération pour atrésie biliaire par anastomose du conduit biliaire dans le jéjunum ou du duodénum.
Création d'une fistule externes artificielle ouverture ou dans les intestins.
Terme générique désignant kystes et maladies kystique de l ’ ovaire.
Tumeur ou cancer de la bile du conduit d'air y compris l'ampoule DE VATER et le SPHINCTER DE Oddi.
Tumeurs ou cancer de la bile DUCTS.
Structure saclike intradermique ou sous-cutanée, le mur de ce qui est stratifiée contenant l ’ épithélium keratohyalin granulés.
Anastomose chirurgicale du canal pancréatique, ou la fin de l'pancréas, avec le jéjunum. Dorland, 28 (éditeur)
Inflammation du pancréas qui se manifeste par persistantes ou récurrentes ABDOMINAL douleur avec ou sans STEATORRHEA ou DIABETES sucré. C'est caractérisé par les troupes irrégulières destruction du parenchyme du pancréas qui peut être segmentaire focale ou diffus.
Le liquide contenant enzymes digestives sécrétés par les dans le duodénum.
Tumeurs ou cancer dans la TRACT biliaire dont la bile DUCTS et la vésicule biliaire.
Pause larme ou d'un organe, vaisseau ou autre partie tendre du corps, survenant dans l ’ absence de force externe.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Altération de la bile en petites due à l'obstruction des voies biliaires (cholestase) intra-hépatique en grande ou l'obstruction des voies biliaires (cholestase) extra- hépatique.
Le Dégénérescence et la résorption de OVARIAN un follicule avant qu'il arrive à maturité et des cassures.
Oblitération congénitale de la lumière de l ’ intestin, avec l'iléon impliqué dans 50 % des cas et le jéjunum et du duodénum après en fréquence. C'est la cause la plus fréquente de INTESTINAL OBSTRUCTION dans NEWBORNS. (De Stedman, 25e éditeur)

Un kyste du cholédoque est une affection rare dans laquelle un kyste, c'est-à-dire une poche remplie de liquide, se développe dans le cholédoque. Le cholédoque est un petit tube qui transporte la bile du foie vers l'intestin grêle. Les kystes du cholédoque peuvent varier en taille et peuvent être congénitaux (présents à la naissance) ou acquis plus tard dans la vie.

Les symptômes d'un kyste du cholédoque peuvent inclure des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des selles pâles et des urines foncées. Dans certains cas, un kyste du cholédoque peut ne causer aucun symptôme et être découvert lors d'examens d'imagerie effectués pour une autre raison.

Le traitement d'un kyste du cholédoque dépend de sa taille, de son emplacement et de la présence ou non de symptômes. Dans certains cas, un kyste du cholédoque peut être surveillé avec des examens d'imagerie réguliers pour s'assurer qu'il ne grossit pas ou ne cause pas de complications. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever le kyste et prévenir les complications telles que l'inflammation, l'infection ou l'obstruction du cholédoque.

Une jéjunostomie est un type de stomie, qui est une procédure chirurgicale où un orifice est créé dans la paroi abdominale pour permettre le passage des déchets du corps. Dans le cas d'une jéjunostomie, l'ouverture est faite dans le jejunum, qui est une partie de l'intestin grêle.

Cette procédure est souvent réalisée lorsqu'une personne a des problèmes avec son système digestif et qu'il est difficile pour elle d'avaler ou de digérer les aliments normalement. Une jéjunostomie peut également être effectuée comme une intervention chirurgicale temporaire pour permettre à l'intestin grêle de guérir après une intervention chirurgicale ou une inflammation.

Les déchets du corps sont collectés dans un sac externe attaché à la stomie, ce qui permet d'éviter que les matières ne passent dans le côlon et le rectum. Les personnes ayant subi une jéjunostomie doivent recevoir une alimentation entérale, c'est-à-dire par une sonde insérée dans la stomie pour fournir des nutriments directement dans l'intestin grêle.

Un kyste est une poche fermée remplie de liquide, d'air ou de matière semi-solide qui se forme dans les tissus du corps. Les kystes peuvent apparaître n'importe où sur le corps et peuvent varier en taille. Ils sont généralement bénins (non cancéreux) mais peuvent parfois être causés par des parasites ou des infections, ce qui peut entraîner des complications. Les kystes peuvent disparaître d'eux-mêmes, mais certains peuvent nécessiter un traitement médical, y compris une intervention chirurgicale pour les drainer ou les enlever.

Les maladies du cholédoque se réfèrent à un ensemble de troubles et affections qui affectent le cholédoque, un canal situé dans l'appareil digestif qui transporte la bile du foie vers le duodénum. La bile est importante pour aider à la digestion des graisses alimentaires.

Les maladies courantes du cholédoque comprennent:

1. Cholélithiase : formation de calculs biliaires dans le cholédoque, qui peuvent causer des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements.
2. Cholangite : inflammation du cholédoque, souvent causée par une infection bactérienne.
3. Cholestase : arrêt ou réduction du flux de bile dans le cholédoque, ce qui peut entraîner une accumulation de bilirubine dans le sang et provoquer une jaunisse.
4. Tumeurs du cholédoque : croissance anormale des cellules dans le cholédoque, qui peuvent être bénignes ou malignes.
5. Sténose du cholédoque : rétrécissement anormal du cholédoque, ce qui peut entraîner une obstruction de la bile et des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements.

Le traitement des maladies du cholédoque dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou une combinaison des deux.

La remnographie des conduits biliaires et pancréatiques, également connue sous le nom de cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE), est un examen médical qui permet de visualiser les conduits biliaires et pancréatiques à l'aide d'un endoscope inséré dans la bouche et guidé jusqu'au duodénum.

Un colorant de contraste est ensuite injecté dans ces conduits, ce qui permet de prendre des images radiologiques détaillées de leur structure interne. Cette procédure est utilisée pour diagnostiquer et traiter une variété de troubles du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas et des voies biliaires, tels que les calculs biliaires, l'inflammation des conduits biliaires ou pancréatiques, les tumeurs et les sténoses.

La CPRE est considérée comme une procédure invasive et peut comporter certains risques, tels que des saignements, des infections ou des réactions allergiques au colorant de contraste. Par conséquent, elle est généralement réservée aux cas où d'autres tests non invasifs ont été incapables de fournir un diagnostic clair ou lorsqu'un traitement interventionnel est nécessaire.

La dérivation de Roux-en-Y est une procédure chirurgicale couramment utilisée en gastroentérologie et en chirurgie générale pour traiter diverses affections, telles que les ulcères gastroduodénaux réfractaires, les reflux gastro-œsophagiens sévères (RGO), l'obésité morbide et certaines tumeurs malignes du tube digestif.

Cette intervention consiste à diviser l'estomac en deux parties : la petite poche proximale (fundus) et le reste de l'estomac distal. Ensuite, on crée une anastomose (connexion) entre la petite poche gastrique et une partie du jejunum (intestin grêle), créant ainsi un détour ou une dérivation du passage alimentaire normal. Cette nouvelle voie est appelée dérivation de Roux-en-Y, car elle ressemble à la lettre "Y" lorsqu'elle est représentée sur un schéma.

Les avantages de cette procédure sont multiples :

1. Réduction de l'acidité gastrique : En déconnectant l'estomac du duodénum, on évite la sécrétion d'acide chlorhydrique dans l'intestin grêle, ce qui permet de prévenir les ulcères et le reflux acide.
2. Amélioration de la vidange gastrique : La petite poche gastrique se vide plus rapidement que l'estomac entier, réduisant ainsi les symptômes liés au ralentissement de la vidange gastrique (nausées, vomissements, douleurs abdominales).
3. Diminution du contact entre les aliments et les sécrétions biliaires : En créant une dérivation, on éloigne les aliments des sécrétions biliaires et pancréatiques, ce qui peut aider à soulager certains symptômes tels que la douleur abdominale et les diarrhées.

Cependant, cette procédure comporte également des risques et des complications potentielles, telles que :

1. Fuites anastomotiques : Les fuites au niveau de l'anastomose (jonction) entre l'estomac et l'intestin grêle ou entre les deux segments d'intestin grêle peuvent entraîner une infection grave, nécessitant souvent une réintervention chirurgicale.
2. Syndrome de dumping : L'évacuation rapide des aliments dans l'intestin grêle peut provoquer des symptômes tels que nausées, vomissements, diarrhée, sueurs et hypotension.
3. Malabsorption : La dérivation de Roux-en-Y peut entraîner une malabsorption des nutriments, en particulier du fer, du calcium et des vitamines liposolubles (A, D, E, K). Un suivi régulier et une supplémentation peuvent être nécessaires pour prévenir les carences nutritionnelles.
4. Obstruction intestinale : La formation de tissu cicatriciel autour de l'anastomose peut entraîner une obstruction partielle ou complète de l'intestin grêle, nécessitant une nouvelle intervention chirurgicale.
5. Complications liées à la chirurgie : Toute intervention chirurgicale comporte des risques tels que l'infection, les saignements, les caillots sanguins et les problèmes respiratoires.

En conclusion, la dérivation de Roux-en-Y est une procédure chirurgicale complexe qui peut être bénéfique pour certains patients atteints de maladies chroniques de l'estomac et du duodénum, telles que le RGO réfractaire, les ulcères peptiques résistants au traitement ou le cancer gastrique. Cependant, cette intervention comporte également des risques et des complications potentielles qui doivent être soigneusement pris en compte avant de prendre une décision éclairée concernant la poursuite du traitement. Il est essentiel que les patients consultent un médecin expérimenté dans la réalisation de cette procédure et qu'ils discutent des avantages, des inconvénients et des alternatives possibles en fonction de leur situation individuelle.

Le conduit cholédoque est un terme médical qui se réfère au canal ou ducte qui transporte la bile du foie et de la vésicule biliaire vers l'intestin grêle. Il s'agit d'un tube musculaire, qui mesure environ 7 à 8 centimètres de longueur chez l'adulte moyen.

Le conduit cholédoque est formé par la jonction du canal cystique (qui vient de la vésicule biliaire) et du canal hépatique commun (qui draine la bile des lobes droit et gauche du foie). Ces deux canaux se rejoignent pour former le conduit cholédoque, qui traverse ensuite le pancréas avant de se jeter dans l'intestin grêle au niveau du duodénum.

Le rôle principal du conduit cholédoque est de transporter la bile vers l'intestin grêle pour aider à la digestion des graisses alimentaires. La bile contient des sels biliaires, qui sont essentiels pour émulsifier les graisses et faciliter leur absorption dans le sang.

Des problèmes de santé tels que des calculs biliaires ou une inflammation du pancréas peuvent affecter la fonction normale du conduit cholédoque et entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et une jaunisse. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter ces problèmes.

Le conduit hépatique commun est un terme utilisé en anatomie et en médecine pour décrire un canal situé dans le foie qui transporte la bile, un liquide digestif produit par le foie. Ce conduit est formé par la jonction de deux conduits hépatiques droits et gauches plus petits qui collectent la bile provenant des lobes respectifs du foie.

Après la jonction, le conduit hépatique commun s'étend vers le bas et reçoit la contribution d'un autre conduit, appelé conduit cystique, qui draine la vésicule biliaire. La combinaison de ces deux conduits forme le canal cholédoque, qui traverse le pancréas avant de se jeter dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle.

Le conduit hépatique commun joue un rôle important dans le processus de digestion en transportant la bile vers l'intestin grêle, où elle aide à décomposer les graisses alimentaires pour une absorption ultérieure. Des problèmes avec le conduit hépatique commun peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et une jaunisse (coloration jaune de la peau et du blanc des yeux).

Les interventions chirurgicales sur les voies biliaires, également connues sous le nom de chirurgie biliaire, sont des procédures conçues pour traiter une variété de conditions qui affectent le foie, la vésicule biliaire et les conduits biliaires. Les voies biliaires sont des tubes qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle pour aider à décomposer les graisses.

Voici quelques exemples d'interventions chirurgicales sur les voies biliaires :

1. Cholécystectomie : C'est l'ablation de la vésicule biliaire, qui est souvent utilisée pour traiter la cholélithiase (calculs biliaires).

2. Cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) : Cette procédure utilise un endoscope pour visualiser et traiter les problèmes des voies biliaires et du pancréas. Elle peut être utilisée pour enlever des calculs biliaires, élargir des conduits rétrécis ou détruire des tumeurs.

3. Sphinctérotomie : Cette procédure consiste à inciser le muscle sphincter qui contrôle l'ouverture et la fermeture du canal biliaire commun pour faciliter le drainage de la bile.

4. Ductectomie : Il s'agit de l'ablation d'une partie ou de la totalité des conduits biliaires, généralement en raison d'une inflammation chronique, d'une infection ou d'un cancer.

5. Transplantation hépatique : Dans les cas graves où le foie et/ou les voies biliaires sont gravement endommagés ou cancéreux, une transplantation du foie peut être nécessaire.

6. Résection hépatique : Il s'agit de l'ablation d'une partie du foie en raison d'un cancer ou d'autres affections.

7. Cholécystectomie : Cette procédure consiste à enlever la vésicule biliaire, généralement en raison de calculs biliaires ou d'inflammation chronique.

La duodénostomie est un terme médical qui décrit une procédure chirurgicale au cours de laquelle une ouverture (stomie) est créée dans la partie initiale de l'intestin grêle, appelée le duodénum. Cette intervention peut être réalisée pour diverses raisons, telles que faciliter le drainage des sécrétions gastriques, traiter une obstruction ou permettre l'accès à certaines régions du duodénum pour d'autres procédures diagnostiques ou thérapeutiques. Après la chirurgie, les matières digestives peuvent s'écouler par cette stomie dans un sac externe, ce qui est souvent temporaire et peut être fermé ultérieurement par une autre intervention chirurgicale. Comme pour toute procédure médicale, la duodénostomie comporte des risques et des avantages potentiels, qui doivent être soigneusement pesés et discutés avec le patient avant de prendre une décision éclairée concernant les soins de santé.

La cholangiographie est une procédure diagnostique utilisée pour examiner les voies biliaires, qui sont les tubes qui transportent la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. Durant cette procédure, un colorant de contraste est injecté dans les voies biliaires, puis des images sont prises à l'aide d'un appareil radiologique pour examiner la structure et le fonctionnement de ces voies.

Il existe plusieurs types de cholangiographies, y compris la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) et la cholangiographie percutanée transhépatique (CPTH). La CPRE est réalisée en insérant un endoscope dans la gorge, l'estomac et le duodénum pour atteindre les voies biliaires. La CPTH, quant à elle, implique une injection directe du colorant de contraste dans les voies biliaires par une aiguille insérée à travers la peau.

La cholangiographie peut être utilisée pour diagnostiquer des affections telles que les calculs biliaires, l'inflammation des voies biliaires, les tumeurs et les anomalies congénitales. Elle peut également être utilisée pendant ou après une intervention chirurgicale pour vérifier l'intégrité des voies biliaires.

Les risques associés à la cholangiographie comprennent des réactions allergiques au colorant de contraste, des infections, des saignements et des dommages aux voies biliaires ou aux tissus environnants. Cependant, ces complications sont rares lorsque la procédure est réalisée par un professionnel qualifié et expérimenté.

Les imino acides sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel imino, qui est formé lorsqu'un groupe amino est déshydrogéné. Un imino acid est spécifiquement une molécule qui a à la fois un groupe carboxyle (-COOH) et un groupe imino (-CH=NH-) dans sa structure.

Un exemple bien connu d'imino acide est la proline, qui est un acide aminé essentiel pour les êtres humains et d'autres mammifères. Dans la proline, le groupe amino (-NH2) se lie à l'atome de carbone adjacent au groupe carboxyle (-COOH), créant ainsi un cycle à cinq membres et un groupe imino.

Les imino acides jouent un rôle important dans la structure et la fonction des protéines, en particulier dans les structures secondaires telles que les hélices alpha et les feuillets bêta. Les liaisons peptidiques entre les résidus d'acides aminés dans une protéine sont formées par la condensation de groupes carboxyle et amino, mais lorsque la proline est présente, sa structure cyclique restreint la liberté de rotation autour de la liaison peptidique, ce qui peut influencer la forme globale de la protéine.

En médecine, les imino acides sont importants pour comprendre les maladies liées aux protéines, telles que les maladies neurodégénératives et les troubles structurels des protéines. Des études ont montré que la modification chimique des imino acides dans les protéines peut entraîner une altération de leur fonction et de leur stabilité, ce qui peut contribuer au développement de ces maladies.

La cholangiopancréatographie endoscopique retrograde (CPER) est un examen diagnostique et thérapeutique utilisé pour visualiser les voies biliaires et pancréatiques. Cet examen combine l'endoscopie et la fluoroscopie pour obtenir des images des conduits biliaires et pancréatiques à l'intérieur du corps.

Pendant la procédure, un endoscope flexible est inséré dans la bouche du patient et guidé jusqu'à la jonction de l'estomac et du duodénum, où se trouvent les orifices des conduits biliaire et pancréatique. Un cathéter est ensuite passé à travers l'endoscope et inséré dans ces orifices pour injecter un colorant de contraste.

La fluoroscopie est alors utilisée pour obtenir des images en mouvement des conduits biliaires et pancréatiques, ce qui permet au médecin d'identifier toute anomalie telle que des calculs, des tumeurs, des rétrécissements ou des inflammations. La CPER peut également être utilisée pour prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou pour retirer des calculs bloquant les conduits.

La CPER est généralement réalisée sous anesthésie légère ou sédation consciente, et elle comporte certains risques potentiels tels que des saignements, des infections, des réactions allergiques au colorant de contraste ou des dommages aux voies biliaires ou pancréatiques. Cependant, ces complications sont rares et la procédure est considérée comme sûre et efficace pour le diagnostic et le traitement de nombreuses affections du foie, des voies biliaires et du pancréas.

Les conduits biliaires extrahépatiques sont des structures anatomiques qui font partie du système biliaire. Ils se situent en dehors du foie (d'où le terme "extrahépatique") et sont responsables du transport de la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle.

Il existe deux conduits biliaires extrahépatiques principaux : le canal cholédoque et le canal cystique. Le canal cholédoque est le plus grand des deux et il est formé par la jonction du canal hépatique (qui draine la bile provenant du foie) et du canal cystique (qui draine la bile provenant de la vésicule biliaire). Le canal cholédoque se déverse ensuite dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle.

Les conduits biliaires extrahépatiques peuvent être affectés par diverses affections médicales, telles que les calculs biliaires, l'inflammation (cholangite), les tumeurs et les sténoses (rétrécissements). Ces conditions peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une fièvre et une jaunisse (ictère). Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des procédures endoscopiques ou même une chirurgie.

L'atrésie des voies biliaires est une maladie congénitale rare dans laquelle les voies biliaires, qui transportent la bile du foie vers l'intestin grêle, sont absentes ou malformées. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à digérer les graisses et éliminer les déchets. Sans voies biliaires fonctionnelles, la bile s'accumule dans le foie, ce qui peut entraîner une inflammation, une cicatrisation et une insuffisance hépatique.

Les symptômes de l'atrésie des voies biliaires comprennent une jaunisse persistante (ictère), un jaunissement de la peau et du blanc des yeux, des selles pâles ou blanches, des urines foncées, une augmentation de la taille du foie et de la rate, et un retard de croissance.

Le traitement de l'atrésie des voies biliaires consiste généralement en une intervention chirurgicale pour rétablir le flux de bile entre le foie et l'intestin grêle. Dans les cas graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

Il est important de diagnostiquer et de traiter rapidement l'atrésie des voies biliaires pour prévenir les dommages irréversibles au foie et d'autres complications.

L'adénomyome est un type rare de tumeur bénigne qui se développe dans le muscle utérin (myomètre). Il s'agit d'une affection qui combine les caractéristiques de deux autres affections, à savoir l'adénomyose et l'leiomyome.

L'adénomyose est une condition dans laquelle le tissu glandulaire de l'endomètre (la muqueuse utérine) s'infiltre dans le muscle utérin. Cela peut entraîner des douleurs pelviennes, des saignements menstruels abondants et une augmentation du volume utérin.

Le leiomyome, également connu sous le nom de fibrome utérin, est une tumeur bénigne qui se développe dans le muscle utérin. Il peut provoquer des douleurs pelviennes, des saignements menstruels abondants, des pressions sur la vessie ou les intestins, et dans certains cas, une infertilité.

L'adénomyome est donc une tumeur qui contient à la fois des éléments glandulaires de l'endomètre et des éléments musculaires du myomètre. Cette affection peut entraîner des symptômes similaires à ceux de l'adénomyose et du leiomyome, tels que des douleurs pelviennes, des saignements menstruels abondants et une augmentation du volume utérin.

Le traitement de l'adénomyome dépend de la taille de la tumeur, de sa localisation et des symptômes qu'elle provoque. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance attentive, des médicaments pour soulager les symptômes, des thérapies hormonales ou une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur.

La dilatation pathologique est un terme médical qui se réfère à l'expansion ou au gonflement anormal d'une cavité ou d'un conduit dans le corps. Cela peut être dû à une variété de causes, y compris l'inflammation, l'infection, l'obstruction, la tumeur ou un traumatisme. La dilatation pathologique peut survenir dans divers organes et systèmes du corps, tels que les voies respiratoires, le tractus gastro-intestinal, les vaisseaux sanguins, le cœur, les reins et l'utérus.

Par exemple, la dilatation pathologique des bronches (dilatation des bronches) peut être observée dans certaines maladies pulmonaires telles que la bronchectasie, où les parois des bronches deviennent permanentes et anormalement larges. De même, la dilatation pathologique de l'estomac (dilatation gastrique) peut survenir en raison d'un blocage ou d'une obstruction de l'estomac, entraînant une expansion anormale de l'organe.

La dilatation pathologique peut causer des symptômes tels que la douleur, l'inconfort, des difficultés à avaler ou à respirer, des nausées et des vomissements, en fonction de l'emplacement et de la cause sous-jacente. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou d'autres procédures thérapeutiques.

Les conduits pancréatiques sont des structures tubulaires dans le pancréas qui jouent un rôle crucial dans la production et la sécrétion des enzymes digestives et du bicarbonate. Il y a principalement deux types de conduits pancréatiques :

1. Le conduit pancréatique principal (CPP) : C'est le plus grand conduit qui draine la majorité des sécrétions enzymatiques produites par le pancréas exocrine. Il se forme par la convergence de plusieurs conduits secondaires dans la tête du pancréas, près de la jonction avec la vésicule biliaire et le canal cholédoque (qui draine la bile du foie). Le CPP s'étend ensuite à travers le corps et la queue du pancréas avant de se joindre au canal cholédoque pour former l'ampoule de Vater, un petit renflement dilaté qui sert de valve régulatrice pour contrôler le flux des sécrétions vers l'intestin grêle.

2. Les conduits pancréatiques accessoires : Ce sont de plus petits conduits qui se jettent directement dans le duodénum (la première partie de l'intestin grêle) ou dans le canal cholédoque avant sa jonction avec le CPP. Ils drainent les sécrétions enzymatiques produites par les petites glandes pancréatiques dispersées dans le tissu pancréatique.

Le rôle principal des conduits pancréatiques est de transporter les sécrétions pancréatiques vers l'intestin grêle, où elles sont mélangées avec la nourriture partiellement digérée provenant de l'estomac. Les enzymes pancréatiques aident à décomposer les glucides, les protéines et les lipides en molécules plus petites, facilitant ainsi leur absorption par l'organisme. Le bicarbonate présent dans les sécrétions pancréatiques neutralise également l'acidité gastrique, créant un environnement alcalin optimal pour la digestion et l'absorption des nutriments.

Un liquide kystique est un type de liquide généralement découvert dans une cavité fermée ou un sac, appelé kyste. Ce liquide peut varier en consistance, mais il est souvent décrit comme étant clair, visqueux et stérile. Il n'est pas composé de cellules, contrairement au liquide pleural ou ascitique qui peuvent contenir des cellules. Le liquide kystique est typically encapsulated and separated from the surrounding tissues.

La présence d'un kyste rempli de liquide peut être bénigne ou maligne, selon la cause sous-jacente. Les kystes peuvent se former dans divers organes et tissus du corps, y compris les ovaires, les reins, le foie, les poumons et la peau. Le traitement dépend de la taille du kyste, de sa localisation et de ses symptômes associés. Dans certains cas, un kyste peut disparaître spontanément sans traitement, tandis que dans d'autres, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour le drainer ou le retirer.

La maladie des voies biliaires, également connue sous le nom de cholangiopathie, est un terme général utilisé pour décrire un large éventail de conditions qui affectent les voies biliaires, qui sont les tubes qui transportent la bile du foie vers l'intestin grêle. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à digérer les graisses et à éliminer les déchets du corps.

Les maladies des voies biliaires peuvent être causées par une infection, une inflammation, une lésion ou une tumeur. Elles peuvent également être associées à d'autres affections sous-jacentes, telles que la cirrhose du foie ou le cancer du pancréas.

Les symptômes de la maladie des voies biliaires dépendent de la cause et de la gravité de la condition. Ils peuvent inclure une douleur abdominale supérieure droite, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une perte de poids involontaire, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des urines foncées et des selles décolorées.

Le diagnostic de la maladie des voies biliaires peut être posé à l'aide d'une combinaison de tests, tels qu'une analyse sanguine, une échographie, une tomographie computérisée (CT), une résonance magnétique (RM) ou une cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE).

Le traitement de la maladie des voies biliaires dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, une intervention chirurgicale pour enlever les obstructions ou des procédures telles que la dilatation ou le placement de stents pour élargir et débloquer les voies biliaires. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

Les voies biliaires sont un système de conduits qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie, vers l'intestin grêle. La bile aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Le système des voies biliaires est composé de deux parties principales : les voies biliaires intra-hépatiques et les voies biliaires extra-hépatiques. Les voies biliaires intra-hépatiques sont situées à l'intérieur du foie et se ramifient en de nombreux petits conduits qui transportent la bile des cellules hépatiques vers les canaux biliaires plus grands.

Les voies biliaires extra-hépatiques comprennent les canaux biliaires situés en dehors du foie. Le canal cholédoque est le plus grand conduit biliaire extra-hépatique, qui reçoit la bile des canaux hépatiques et des voies biliaires des vésicules biliaires. La vésicule biliaire est un petit sac situé juste en dessous du foie qui stocke la bile jusqu'à ce qu'elle soit nécessaire pour la digestion.

Les problèmes de voies biliaires peuvent inclure des calculs biliaires, une inflammation de la vésicule biliaire (cholécystite), une infection des voies biliaires (cholangite) ou un cancer des voies biliaires.

Les maladies du pancréas sont un groupe de affections qui affectent le pancréas, une glande située derrière l'estomac qui remplit deux fonctions principales : une exocrine, en sécrétant des enzymes digestives dans le duodénum via un conduit appelé le canal de Wirsung ; et une endocrine, en produisant des hormones telles que l'insuline et le glucagon qui sont libérées dans la circulation sanguine.

Les maladies du pancréas peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies inflammatoires et non-inflammatoires. Les maladies inflammatoires comprennent la pancréatite aiguë et chronique, qui sont généralement causées par une consommation excessive d'alcool ou des calculs biliaires. La pancréatite aiguë est une inflammation soudaine du pancréas qui peut entraîner des douleurs abdominales sévères, une augmentation des niveaux de enzymes pancréatiques dans le sang et des complications graves telles que l'insuffisance respiratoire ou rénale. La pancréatite chronique est une inflammation continue du pancréas qui peut entraîner une fibrose (cicatrisation) du tissu pancréatique, une perte de fonction exocrine et endocrine, et des complications telles que le diabète sucré et la malnutrition.

Les maladies non-inflammatoires comprennent le cancer du pancréas, les kystes pancréatiques, la pancréatite auto-immune et la fibrose kystique. Le cancer du pancréas est une tumeur maligne qui se développe dans le tissu pancréatique et a un pronostic très défavorable en raison de son diagnostic tardif et de sa résistance aux traitements. Les kystes pancréatiques sont des poches remplies de liquide qui peuvent se former dans le pancréas et peuvent être bénins ou malins. La pancréatite auto-immune est une inflammation chronique du pancréas causée par une réponse immunitaire anormale, tandis que la fibrose kystique est une maladie génétique qui affecte les glandes exocrines et peut entraîner une insuffisance pancréatique.

En conclusion, le pancréas est un organe important qui joue un rôle clé dans la digestion des aliments et la régulation du glucose sanguin. Les maladies du pancréas peuvent être graves et entraîner des complications importantes, il est donc important de consulter un médecin en cas de symptômes suspects.

La lymphangite est un terme médical qui décrit l'inflammation des vaisseaux lymphatiques, qui sont des structures tubulaires responsables du transport de la lymphe dans le corps. La lymphe est un liquide incolore qui contient des globules blancs, des nutriments et des déchets provenant des tissus corporels.

L'inflammation peut être causée par une infection bactérienne ou fongique qui se propage dans les vaisseaux lymphatiques. Les agents pathogènes peuvent pénétrer dans le système lymphatique par une blessure cutanée ou à travers la muqueuse, comme celle des voies respiratoires ou digestives.

Les symptômes de la lymphangite comprennent généralement une rougeur et un gonflement de la peau le long du trajet des vaisseaux lymphatiques affectés, souvent accompagnés de douleur et de chaleur. Des signes systémiques d'infection, tels que de la fièvre et des frissons, peuvent également être présents.

Le traitement de la lymphangite dépend de la cause sous-jacente. Dans les cas d'infections bactériennes, des antibiotiques sont généralement prescrits. Le repos et l'élévation de la zone affectée peuvent également aider à réduire l'enflure et la douleur.

La "Technetium Tc 99m Disofénine" est un composé radioactif utilisé en médecine nucléaire comme agent de contraste pour des examens médicaux spécifiques, tels que les scintigraphies hépatiques et spléniques. Il se compose d'un isotope du technétium, le Tc 99m, qui a une demi-vie courte d'environ six heures, ce qui le rend relatifement sûr et pratique à utiliser dans un contexte médical.

Le Tc 99m est lié chimiquement à la disofénine, un composé qui se concentre dans le foie et la rate après injection dans le corps. Cela permet de produire des images détaillées de ces organes, ce qui peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, telles que les maladies du foie, les tumeurs, l'inflammation et les infections.

Cependant, il est important de noter que la Technetium Tc 99m Disofénine n'est pas un médicament à proprement parler, mais plutôt un outil diagnostique utilisé pour produire des images médicales. Comme avec tous les procédures médicales impliquant des matières radioactives, il existe certains risques associés à son utilisation, tels que l'exposition aux radiations et les réactions allergiques rares. Ces risques sont généralement considérés comme faibles par rapport aux avantages potentiels de l'utilisation de cet agent de contraste pour le diagnostic et le traitement des maladies.

Une fistule biliaire est une condition médicale anormale dans laquelle il y a une communication ou un canal formé entre le système biliaire et un autre organe ou tissu corporel adjacent. Le système biliaire est responsable du transport et du stockage de la bile, qui est produite par le foie et aide à la digestion des graisses dans l'intestin grêle.

Les fistules biliaires peuvent se former spontanément ou à la suite d'une intervention chirurgicale, une inflammation, une infection, un traumatisme ou une tumeur. Les symptômes de cette condition dépendent de l'emplacement et de la taille de la fistule, mais peuvent inclure des douleurs abdominales, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une fièvre, des nausées, des vomissements et une perte d'appétit.

Le traitement d'une fistule biliaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour fermer la fistule et réparer les dommages aux tissus environnants. Des antibiotiques peuvent également être prescrits pour traiter toute infection associée à la condition.

Les conduits biliaires sont des structures anatomiques qui transportent la bile, un liquide digestif produit par le foie. Il existe deux types principaux de conduits biliaires : les conduits biliaires intra-hépatiques et les conduits biliaires extra-hépatiques.

Les conduits biliaires intra-hépatiques sont situés à l'intérieur du foie et transportent la bile produite par les cellules hépatiques (les hépatocytes) vers le canal hépatique commun, qui est le plus grand conduit biliaire intra-hépatique.

Les conduits biliaires extra-hépatiques sont situés en dehors du foie et comprennent le canal cholédoque, qui est le plus grand conduit biliaire extra-hépatique. Le canal cholédoque reçoit la bile des conduits hépatiques communs et des conduits cystiques, qui drainent la vésicule biliaire. Le canal cholédoque se jette ensuite dans le duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle, au niveau de la papille duodénale majeure.

Les conduits biliaires peuvent être affectés par diverses maladies, telles que les calculs biliaires, l'inflammation des voies biliaires (cholangite), les tumeurs des voies biliaires et les sténoses des voies biliaires. Ces conditions peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une jaunisse (ictère) et une augmentation des enzymes hépatiques dans le sang.

La vésicule biliaire est un petit organe en forme de poire situé juste sous le foie dans l'abdomen supérieur droit. Elle stocke et concentre la bile, un liquide produit par le foie qui aide à décomposer les graisses dans l'intestin grêle. Après avoir mangé, la vésicule biliaire se contracte pour pomper la bile dans un tube (le canal cystique) qui rejoint le canal cholédoque. Le canal cholédoque est le conduit commun du foie et du pancréas qui se jette dans le duodénum, la première partie de l'intestin grêle.

La bile aide les graisses à se mélanger aux sucs digestifs dans l'intestin grêle, ce qui permet une meilleure absorption des nutriments. Si la vésicule biliaire ne fonctionne pas correctement ou est absente (par exemple, en raison d'une chirurgie), les graisses peuvent être mal absorbées et entraîner des problèmes de digestion. Des calculs biliaires peuvent également se former dans la vésicule biliaire lorsque la bile devient trop concentrée, ce qui peut provoquer une inflammation, une douleur abdominale intense et d'autres complications.

L'hépato-porto-entérostomie est une procédure chirurgicale complexe qui consiste à créer une connexion (anastomose) entre le foie, la veine porte et l'intestin grêle. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter certaines affections hépatiques rares et sévères, telles que les shunts portosystémiques congénitaux ou acquis, qui peuvent entraîner une hypertension portale et des complications associées.

L'objectif de cette procédure est de dériver le flux sanguin de la veine porte autour du foie (parfois partiellement) pour réduire la pression dans la veine porte et améliorer la circulation sanguine dans le foie. Cela permet également de prévenir ou de traiter les complications liées à l'hypertension portale, telles que les varices œsophagiennes, les ascites et l'encéphalopathie hépatique.

L'hépato-porto-entérostomie est une intervention chirurgicale majeure qui nécessite une expertise considérable de la part du chirurgien et comporte des risques potentiels, tels que l'infection, les saignements, la thrombose et les problèmes liés à l'anastomose. Par conséquent, elle n'est généralement envisagée qu'après épuisement des options thérapeutiques moins invasives.

Une entérostomie est une procédure chirurgicale où une ouverture (stomie) est créée dans la paroi abdominale pour rediriger le flux du contenu intestinal vers l'extérieur du corps. Cela est généralement fait lorsqu'une partie de l'intestin doit être déviée en raison d'une maladie, d'une blessure ou d'une intervention chirurgicale qui empêche le fonctionnement normal de la zone affectée.

Les types courants d'entérostomies comprennent l'iléostomie, où l'intestin grêle est connecté à la surface abdominale, et la colostomie, où le côlon est connecté. Ces procédures peuvent être temporaires ou permanentes, selon les besoins spécifiques du patient.

Les personnes qui ont subi une entérostomie doivent porter un appareil spécial appelé une poche de stomie pour recueillir les déchets provenant de l'intestin. Il est important qu'elles suivent des soins appropriés pour maintenir la santé de la peau autour de la stomie et prévenir les complications telles que l'inflammation, l'infection ou l'obstruction.

Un kyste ovarien est une sac rempli de liquide qui se forme sur ou dans un ovaire. La plupart des kystes ovariens sont bénins (non cancéreux) et ne causent pas de symptômes. Les kystes ovariens peuvent varier en taille, allant de quelques centimètres à plusieurs pouces de diamètre.

Les kystes ovariens peuvent se former à différents stades du cycle menstruel et sont courants chez les femmes en âge de procréer. Il existe deux types principaux de kystes ovariens : les kystes fonctionnels et les kystes organiques.

Les kystes fonctionnels sont les plus courants et se forment lorsqu'un follicule (une petite structure dans l'ovaire qui libère un ovule pendant l'ovulation) ne se rompt pas comme d'habitude ou continue à se développer après avoir relâché l'ovule. Ces kystes disparaissent généralement d'eux-mêmes en quelques mois.

Les kystes organiques, en revanche, sont des croissances anormales qui peuvent être bénignes ou malignes (cancéreuses). Ils comprennent des kystes dermoïdes, des kystes endométrioïdes et des kystes cystadénomes.

Les symptômes courants de kystes ovariens peuvent inclure des douleurs pelviennes, des menstruations irrégulières, une sensation de satiété rapide ou de ballonnement, des nausées, des vomissements et des changements dans les habitudes urinaires ou intestinales. Cependant, de nombreux kystes ovariens ne causent aucun symptôme et sont découverts lors d'examens médicaux de routine.

Le diagnostic de kystes ovariens peut être posé à l'aide d'une combinaison d'examen pelvien, d'échographie, de tomodensitométrie ou d'imagerie par résonance magnétique. Le traitement dépend de la taille et du type de kyste, ainsi que des symptômes associés. Les petits kystes asymptomatiques peuvent être surveillés avec des examens réguliers, tandis que les kystes plus grands ou symptomatiques peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour enlever le kyste ou l'ovaire affecté.

Les tumeurs du cholédoque sont des growths anormaux qui se développent dans le canal cholédoque, qui est le tube qui transporte la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, qui sont des growths de cellules glandulaires, et les papillomes, qui sont des growths de cellules squameuses. Les tumeurs malignes comprennent le cholangiocarcinome, qui est un cancer du canal cholédoque.

Les symptômes courants des tumeurs du cholédoque comprennent la douleur abdominale, la jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), les nausées et les vomissements, la perte d'appétit et le poids. Le diagnostic est généralement posé en utilisant des tests d'imagerie tels que l'échographie, la tomodensitométrie (TDM) ou l'IRM, ainsi que des tests sanguins pour vérifier les niveaux de bilirubine.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées par chirurgie. Les tumeurs malignes peuvent nécessiter une combinaison de chirurgie, de chimiothérapie et de radiothérapie. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée. Il est important de noter que le pronostic dépend du stade au moment du diagnostic et du traitement.

Les tumeurs des canaux biliaires, également connues sous le nom de cholangiocarcinomes, sont des cancers qui se développent dans les parois des canaux biliaires. Les canaux biliaires sont des tubes minces qui transportent la bile du foie et du pancréas vers l'intestin grêle. La bile aide à décomposer les graisses dans les aliments que nous mangeons.

Les tumeurs des canaux biliaires peuvent être classées en deux types principaux : intra-hépatiques et extra-hépatiques. Les tumeurs intra-hépatiques se développent dans les petits canaux biliaires à l'intérieur du foie, tandis que les tumeurs extra-hépatiques se développent dans les canaux biliaires en dehors du foie.

Les symptômes des tumeurs des canaux biliaires peuvent inclure une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids inexpliquée, et une fatigue. Le diagnostic peut être posé à l'aide d'examens d'imagerie tels qu'une échographie, une tomographie computérisée (CT scan) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Une biopsie peut également être réalisée pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de cancer.

Le traitement des tumeurs des canaux biliaires dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée.

La pancréaticojéjunostomie est une procédure chirurgicale où le canal pancréatique et le duodénum sont dérivés dans un petit intestin, précisément dans le jéjunum. Cette intervention est couramment effectuée pendant la pancréatectomie, une opération qui consiste à enlever tout ou partie du pancréas.

La pancréaticojéjunostomie peut être de deux types : anastomose termino-terminale et anastomose termino-latérale. Dans l'anastomose termino-terminale, les extrémités du canal pancréatique et du jéjunum sont coupées et cousues ensemble. Dans l'anastomose termino-latérale, une incision est pratiquée sur le côté du jéjunum et le canal pancréatique est inséré et cousu dans cette incision.

Cette procédure vise à prévenir les complications postopératoires telles que la fuite de liquide pancréatique dans la cavité abdominale, ce qui peut entraîner une péritonite, une inflammation sévère de la membrane qui tapisse l'abdomen. La pancréaticojéjunostomie permet également d'assurer une bonne digestion et absorption des nutriments après l'ablation du pancréas ou d'une partie de celui-ci.

La pancréatite chronique est une maladie inflammatoire continue du pancréas qui entraîne des lésions progressives et irréversibles des tissus pancréatiques. Elle se caractérise par des épisodes récurrents de douleurs abdominales sévères, souvent accompagnées de nausées, vomissements et perte de poids. La fonction exocrine du pancréas est altérée, entraînant une mauvaise digestion et une malabsorption des nutriments, ce qui peut conduire à une dénutrition. De plus, la production d'insuline peut être affectée, ce qui peut provoquer ou aggraver un diabète sucré.

La pancréatite chronique est généralement causée par une consommation excessive et prolongée d'alcool ou par des calculs biliaires. Dans certains cas, la cause reste inconnue (pancréatite idiopathique). Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale (échographie, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique) et sur des tests de fonction pancréatique.

Le traitement vise à soulager la douleur, à prévenir les complications et à ralentir la progression de la maladie. Il peut inclure des modifications du régime alimentaire, l'arrêt de la consommation d'alcool, la prise de médicaments pour contrôler la douleur et améliorer la fonction pancréatique, ainsi que dans certains cas, une intervention chirurgicale. La prévention des récidives est cruciale pour ralentir la progression de la maladie et améliorer la qualité de vie des patients.

Le suc pancréatique est un liquide sécrété par le pancréas qui contient des enzymes digestives telles que l'amylase, la lipase et divers types de protéases. Ces enzymes aident à décomposer les glucides, les lipides et les protéines provenant des aliments dans l'intestin grêle, facilitant ainsi leur absorption par l'organisme. Le suc pancréatique est alcalin avec un pH compris entre 7,1 et 8,2, ce qui aide également à neutraliser le chyme acide provenant de l'estomac. Une insuffisance pancréatique exocrine peut entraîner une digestion inadéquate et des symptômes tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, de la diarrhée et une perte de poids.

Les tumeurs des voies biliaires sont des growths anormaux qui se développent dans les canaux qui transportent la bile depuis le foie et le pancréas vers l'intestin grêle. Ces growths peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, les kystes et les papillomes. Les tumeurs malignes sont souvent appelées cholangiocarcinomes et peuvent se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes des tumeurs des voies biliaires peuvent inclure une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), une douleur abdominale, une perte d'appétit, une perte de poids et une démangeaison de la peau. Le diagnostic peut être posé en utilisant des tests d'imagerie tels que les ultrasons, les tomodensitométries (TDM) ou les imageries par résonance magnétique (IRM). Une biopsie peut également être effectuée pour confirmer le type de tumeur.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées par chirurgie. Les tumeurs malignes peuvent nécessiter une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Dans certains cas, une greffe de foie peut être recommandée. Il est important de noter que le pronostic dépend du stade auquel la tumeur est diagnostiquée et traitée.

En médecine, une "rupture spontanée" fait référence à la rupture ou à la déchirure soudaine d'un organe, d'un tissu ou d'un vaisseau sanguin en l'absence de traumatisme significatif. Cette condition peut survenir lorsque les parois des structures internes deviennent fragiles ou faibles en raison de divers facteurs, tels que la maladie sous-jacente, l'âge, l'usage excessif ou d'autres causes.

Par exemple, une rupture spontanée de l'appendice peut se produire lorsque l'inflammation aiguë provoque une pression excessive à l'intérieur de la cavité appendiculaire, ce qui entraîne sa déchirure. De même, une rupture spontanée de la rate peut survenir en raison d'une hypertension portale due à une cirrhose du foie ou à d'autres affections.

Les ruptures spontanées peuvent être dangereuses et mettre la vie en danger, car elles peuvent entraîner des saignements massifs et une inflammation aiguë dans l'organisme. Par conséquent, il est essentiel de rechercher une évaluation médicale immédiate si vous ressentez soudainement une douleur intense ou une gêne inexpliquée, en particulier dans la région abdominale ou thoracique.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

La cholestase est un trouble caractérisé par une réduction ou une absence de bile sécrétée dans les canaux biliaires. La bile est un liquide produit par le foie qui aide à la digestion des graisses et élimine certaines déchets du corps. Lorsque la production ou l'écoulement de la bile est interrompue, il peut entraîner une accumulation de bilirubine (un pigment jaune) dans le sang, ce qui peut causer une coloration jaunâtre de la peau et des yeux (jaunisse).

La cholestase peut être causée par une variété de facteurs, y compris des problèmes avec les voies biliaires, tels que des calculs biliaires ou une inflammation des voies biliaires, ou par des maladies du foie telles que l'hépatite ou la cirrhose. Les symptômes de la cholestase peuvent inclure la jaunisse, des urines foncées, des selles pâles, des démangeaisons cutanées et une perte d'appétit. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la cholestase et peut inclure des médicaments pour dissoudre les calculs biliaires ou réduire l'inflammation, ainsi que des procédures telles que l'endoscopie rétrograde cholangiopancréatographie (ERCP) pour enlever les calculs biliaires ou élargir les voies biliaires obstruées. Dans certains cas, une transplantation hépatique peut être nécessaire pour traiter la cholestase sévère et prolongée.

L'atrésie folliculaire est une forme rare et invalidante de l'alopécie areata, qui est une maladie auto-immune caractérisée par la perte de cheveux en plaques. Contrairement à l'alopécie areata, où les follicules pileux sont simplement inactifs et peuvent repousser avec le temps, dans l'atrésie folliculaire, les follicules pileux sont complètement détruits et ne peuvent pas repousser.

Cette condition est généralement présente à la naissance ou se développe pendant la petite enfance. Elle peut affecter tout le cuir chevelu ou seulement certaines zones, entraînant une perte de cheveux partielle ou complète. Dans certains cas, l'atrésie folliculaire peut également affecter les poils des sourcils, des cils et du corps.

La cause exacte de l'atrésie folliculaire est inconnue, mais on pense qu'elle est liée à une réponse immunitaire anormale qui attaque et détruit les follicules pileux. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour cette condition, et le pronostic varie en fonction de la gravité de l'affection. Dans certains cas, des greffes de cheveux peuvent être envisagées pour restaurer la croissance des cheveux dans les zones touchées.

L'atrésie intestinale est une malformation congénitale dans laquelle il y a un manque complet ou partiel de continuité dans une partie du tube digestif, le plus souvent dans l'intestin grêle. Cela se produit lorsque la lumière intestinale ne parvient pas à se former correctement pendant le développement fœtal, entraînant une interruption de la circulation des aliments et des sécrétions dans le tube digestif.

Les types d'atrésie intestinale comprennent l'atrésie de l'iléon, l'atrésie du jéjunum et l'atrésie multiple, selon la partie de l'intestin grêle affectée. Dans certains cas, l'atrésie peut être associée à d'autres malformations congénitales, telles que les malrotations intestinales ou les fentes anales.

Les symptômes de l'atrésie intestinale peuvent inclure une distension abdominale, des vomissements bilieux, une absence de selles et un méconium épais et visqueux chez le nouveau-né. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale, telle qu'une radiographie ou une échographie abdominales.

Le traitement de l'atrésie intestinale nécessite souvent une intervention chirurgicale pour rétablir la continuité du tube digestif. Dans certains cas, une résection de la partie affectée de l'intestin peut être nécessaire. Les nouveau-nés atteints d'atrésie intestinale peuvent également nécessiter une alimentation parentérale totale (TPN) pour fournir des nutriments jusqu'à ce que l'intestin soit capable de fonctionner normalement.

Les complications à long terme de l'atrésie intestinale peuvent inclure des problèmes de malabsorption, une dépendance à la TPN et un risque accru d'infections intestinales. Cependant, avec un traitement approprié et un suivi régulier, la plupart des enfants atteints d'atrésie intestinale peuvent mener une vie normale et active.

... faire rechercher une atrésie biliaire ou un kyste du cholédoque. La non-visualisation de la vésicule biliaire peut être ... La présence de kyste intrahépatique peut éveiller l'attention. La présence d'un kyste hépatique découvert en période anténatal ...
... incision du cholédoque pour extraire un calcul), la suture du tissu hépatique après extraction d'un kyste hydatique, etc. Au ...
... ponction et dérivation d'un pseudo-kyste sous contrôle échoendoscopique...), ou encore chirurgicaux (dérivations du cholédoque ... Ce pseudo-kyste est une lésion liquidienne, dans le corps du pancréas ou à son contact, qui peut par son volume entraîner une ... Elle peut être reliée à une compression par un pseudo-kyste, à une fibrose pancréatique, à un noyau d'inflammation pancréatique ... cancer du pancréas calcul dans le cholédoque ulcère de l'estomac ou du duodénum Le diagnostic de certitude nécessite souvent un ...
... syndrome de Kyste arachnoïdien Kyste bronchogénique Kyste de l'ouraque Kyste des plexus choroïdes Kyste du cholédoque, ... malformation de la main Kyste du tractus thyréoglosse Kyste omphalo-mésentérique Kyste orbitaire avec malformations cérébrales ... et hypoplasie dermique en aires Kyste ovarien fœtal Kyste ovarien néonatal Kystes sebaces multiples Kyste trichilemmal ... syndrome Thyroïde rein doigts anomalies Thyroïdite de Hashimoto Tibia absent polydactylie kyste arachnoïdien Tibia aplasie ...
Kyste du cholédoque (Q44.5) Autres malformations congénitales des voies biliaires (Q44.6) Maladie kystique du foie (Q44.7) ... Kyste embryonnaire de la trompe de Fallope (Q50.5) Kyste embryonnaire du ligament large (Q50.6) Autres malformations ... fistule et kyste d'origine branchiale (Q18.1) Fistule et kyste préauriculaires (Q18.2) Autres malformations d'origine ... Kyste médullaire du rein (Q61.8) Autres maladies kystiques du rein (Q61.9) Maladie kystique du rein, sans précision (Syndrome ...
Ce kyste protecteur s'avère utile quand le muscle du poisson est consommé par un humain. Le kyste résistant à l'acide gastrique ... Un autre risque est celui de l'obstruction du cholédoque par le parasite ou ses œufs, menant à l'obstruction des voies ... Une fois à l'intérieur des muscles du poisson, le cercaire forme un kyste métacercaire protecteur qui vient encapsuler son ...
En cas de suspicion de tumeur ou de kyste, il est possible de pratiquer des prélèvements (biopsies) ou des ponctions. ... passent dans le cholédoque et viennent se bloquer au niveau de la papille duodénale, qui est l'endroit où se réunissent le ... d'une dilatation du cholédoque sont des arguments évocateurs. L'écho-endoscopie est l'examen de référence en cas de doute. En ... évoquent un obstacle sur les voies biliaires et doivent donc faire rechercher une lithiase du cholédoque. L'élévation de la ...
7. Kyste cholédoque. Le kyste cholédoque est une autre cause importante de selles claires chez le nourrisson et correspond à ... Que faire : il est indiqué de consulter un pédiatre ou un gastroentérologue pédiatrique, car le diagnostic de kyste cholédoque ...
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... laparoendoscopique monosite transombilicale pour la ductoplastie hépatique dans la prise en charge du kyste du cholédoque chez ... Controverses dans la gestion du kyste cholédochalNT (Organisé par les dirigeants du Moyen-Orient) - Jlaid 30, 2020. Panélistes: ...
Pancréatite Chronique Parasitaires (Ascaris / Kyste Hydatique / Douve…).  Sténose Cicatricielle de la Voie Biliaire Principale ... A lieu au niveau du cholédoque essentiellement (voies biliaires extra-H), par : ... et le canal cholédoque pour gagner le duodénum. ... Compression du Cholédoque (Cancer de la Tête du Pancréas)..  ...
... lithiase du chole-doque (19;05); faux kyste de la tete du pancreas (6;35); pancreatite aigue (4;76); pancreatite chronique ...
Kyste du cholédoque. *La maladie de Wilson. *Le déficit en alpha-1-antitrypsine ...
La cholédocholithiase est la présence de calculs dans le canal cholédoque. ... Kyste du cholédoque, Pancréatite aiguë, Cancer hépatique, Kyste hépatique, Tumeur de Klatskin, Ulcère duodénal, Ulcère ... Lécoulement de la bile est obstrué par des calculs dans le canal cholédoque, ce qui entraîne une jaunisse obstructive et ... Les calculs trop gros pour passer à travers lampoule de Vater restent dans le cholédoque distal, provoquant une jaunisse ...
Cholédococèle kystes du cholédoque jaunisse échoendoscopie BILI-IRM sphinctérotomie.. Résumé : Le cholédococèle est définit ... prouvé labsence de toute lésion tumorale et la présence dune muqueuse de type biliaire tapissant la surface interne du kyste. ... Cholédococèle kystes du cholédoque jaunisse échoendoscopie BILI-IRM sphinctérotomie.. Résumé : Le cholédococèle est définit ... du canal de Wirsung et une dilatation de la voie biliaire principale en amont dune sténose du bas cholédoque dont laspect ...
Webinar du comité digestif de la SFCP : le kyste du cholédoque * Séminaires SFCP * Séminaire de la SFCPP 2023 ...
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Webinar du comité digestif de la SFCP : le kyste du cholédoque * Séminaires SFCP * Séminaire de la SFCPP 2023 ...
Kyste du cholédoque * Pancréas annulaire * Atrésie de lœsophage * Diagnostic * Traitement * Réparation chirurgicale ...
Et le cholédoque dans la tête du pancréas, à la recherche dune dilatation ou dune lithiase. Puis le canal pancréatique ... Un unique et magnifique pseudo kyste de la tête du pancréas, classiquement vu dans les pancréatites chroniques. ... On passe ensuite à létude de la voie biliaire principale ou cholédoque à la recherche dune dilatation et ici au pédicule ... Sur les images du bas, une vésicule distendue, multi-lithiasique sur limage de gauche et une lithiase dans le cholédoque sur ...
Le liquide du kyste se vide ainsi dans lestomac. Les prothèses sont laissées plusieurs mois après la disparition du kyste ... cholédoque) et du canal pancréatique (Wirsung) dans lintestin. Lampoule est fermée par un muscle, le sphincter dOddiMuscle ... En cas de volumineux kyste ou collection de la région pancréatique, notamment après une pancréatite aigue, et si ce kyste est ... un kyste, un abcès ou un hématome, pour lévacuer de ce kyste lors dune écho-endoscopie. ...
F .ictérique: hépatite leishmanienne, compression du cholédoque par un ggl, hémolyse.. F .oculaire: kératite, iritis, ... à la LV la prévention est possible assurant léradication de la LV et le kyste hydatique ...
Une cholécystite résulte de linflammation du revêtement intérieur de la vésicule biliaire, des canaux cystique et cholédoque. ... kyste . deficience circulatoire . deficience veineuse . ulcere . maux de tete . migraine . acouphene . fatigue generale . ... à la vésicule biliaire par le canal cholédoque. ...
Sinus Pilonidal, Kyste Sacro-Coccygien. *Abcès de la Marge Anale et Fistule Anale ... Lithiase du cholédoque. *Angiocholite. *Chirurgie Endocrinienne *Présentation. *Goitre hétéro-multinodulaire. *Nodule ...
Sinus Pilonidal, Kyste Sacro-Coccygien. *Abcès de la Marge Anale et Fistule Anale ... Lithiase du cholédoque. *Angiocholite. *Chirurgie Endocrinienne *Présentation. *Goitre hétéro-multinodulaire. *Nodule ...
Vésicule avec calcul du cholédoque. Cette patient avait une migration dun calcul dans le choledoque découverte lors de la ... Kyste saccro coccygien (fermé) * Kyste saccro coccygien (ouvert) * Abcès de la marge anale ... Lintervention a permis dextraire ce calcul par ouverture du choledoque sous coelioscopie. ...
Le point de ponction est ensuite élargi [Figure.1.B] pour une détersion complète à ciel ouvert du kyste [Figure.1.C] et une ... Pour les huit malades restants (16%), le cholédoque na pas été abordé devant la normalité de la cholangiographie.Parmi les 19 ... C : Détersion à ciel ouvert du kyste. D : Le caractère large de la fistule est attesté par le passage de la sonde de Nélaton ... Elles sont dominées par les complications biliaires [1-8]. La communication du kyste hydatique du foie (KHF) avec les voies ...
La CPRM a permis de visualiser la dilatation du cholédoque et de préciser sa morphologie et son type. Tous les enfants ont été ... à un kyste ovarien, et un ovaire normal. LIRM a redressé le diagnostic de torsion, non vu en échographie dans 8 cas dont 3 ... P09 - IMAGERIE DE LA DILATATION KYSTIQUE DU CHOLEDOQUE. Zrig A., Maatouk M., Elmhabrech H., Ksiaa M.A., Mnari W., Harzallah W ... Objectifs : Préciser la place de limagerie dans le diagnostic et la prise en charge des dilatations kystiques du cholédoque. ...
Voie biliaire principale (canal cholédoque). *Hépatectomies - chirurgie du foie. *Anastomoses bilio-digestives ... Kyste sacro-coccygien. *Hémorroïdectomies. *Abcès - fistule anale. *Rectopexie. *Rectocèle (résection périnéale). *Prolapsus ...
La pollution nest pas couvert mieux vaut attendre vous proposons de le cholédoque, le consultant dautres dictionnaires site de ... Kyste de lovaire Mis utiliser ces derniers, nous meilleure expérience sur notre sont traitées. ...
Kyste du cholédoque Un kyste cholédocien peut entraîner une occlusion duodénale par compression extrinsèque. Lincidence en ... le pancréas annulaire Kyste du cholédoque Le duodénum peut être obstrué par atrésie, par sténose et par une compression exercée ... Le traitement du kyste cholédocien est chirurgical et nécessite une exérèse complète du kyste du fait du risque élevé (20 à 30 ... Les nourrissons porteurs dun kyste du cholédoque présentent généralement initialement la triade douleur abdominale (un signe ...
Kyste du cholédoque = dilatation congénitale des voies biliaires extrahépatiques. *Tumeur des voies biliaires ...
Kyste (congénital) du cholédoque. *Poche pharyngée. *Persistance du cloaque. *Ptérygion congénital de loesophage ...
Kyste du canal cholédoque. Kyste du cholédoque de type 1. Kyste du cholédoque de type 2. Kyste du cholédoque de type 3. Kyste ... Kyste du cholédoque de type V Synonymes. Kyste du cholédoque de type 5 Kyste du cholédoque intra-hépatique Kyste du cholédoque ... Kyste du cholédoque de type 5. Kyste du cholédoque de type I. Kyste du cholédoque de type II. Kyste du cholédoque de type III. ... Kyste du cholédoque de type IV. Kyste du cholédoque de type V. Kyste du cholédoque intra-hépatique. Kyste du cholédoque ...
Un cas de squirrhe de la valvule iléo-caecale; par Axel Cedercreutz / Kyste du conduit hépatique et du conduit cholédoque; par ...
Webinar du comité digestif de la SFCP : le kyste du cholédoque * Séminaires SFCP * Séminaire de la SFCPP 2023 ...
Webinar du comité digestif de la SFCP : le kyste du cholédoque * Séminaires SFCP * Séminaire de la SFCPP 2023 ...
Dilatation Kyste Bili-IRM Dégenerescence maligne Anastomose bilio-digestive. Résumé : La dilatation kystique du cholédoque (DKC ... Dilatation Kyste Bili-IRM Dégenerescence maligne Anastomose bilio-digestive. Résumé : La dilatation kystique du cholédoque (DKC ... CHOLEDOQUE KYSTE DILATATION DEGENERESCENCE MALIGNE ANOMALIE DE LA JONCTION BILIO-PANCRATIQUE ANASTOMOSE BILIO-DIGESTIVE. ... CHOLEDOQUE KYSTE DILATATION DEGENERESCENCE MALIGNE ANOMALIE DE LA JONCTION BILIO-PANCRATIQUE ANASTOMOSE BILIO-DIGESTIVE. ...
Calculs voies biliaires, cholédoque. *Calculs du pancréas. *Kyste du pancréas. *Endoscopie digestive *Gastroscopie ...
Une cholécystite résulte de linflammation du revêtement intérieur de la vésicule biliaire, des canaux cystique et cholédoque. ... kyste . deficience circulatoire . deficience veineuse . ulcere . maux de tete . migraine . acouphene . fatigue generale . ... à la vésicule biliaire par le canal cholédoque. ...
dérivation biliaire reliant le cholédoque à lintestin grêle de manière à permettre le passage de la bile et pallier les ... Kyste Sacroccygien ou Sinus Pilonidal. *Chirurgie Cancer *Généralités chirurgie Colon et Rectum ... Le chirurgien enlève alors tout le pancréas, une partie de lestomac, le duodénum ,le canal cholédoque, la vésicule biliaire, ...
Une épaule douloureuse ? une entorse de cheville ? un "kyste". Même chose.. Avant cette formation, léchographie me paraissait ... Echo abdominale sans dilatation des voies biliaires intra ou extra hépatiques (cholédoque visualisé)- absence danomalie ...
Sinus Pilonidal, Kyste Sacro-Coccygien. *Abcès de la Marge Anale et Fistule Anale ... Lithiase du cholédoque. *Angiocholite. *Chirurgie Endocrinienne *Présentation. *Goitre hétéro-multinodulaire. *Nodule ...
... canal cholédoque, reliant le foie au duodénum ou tube digestif en traversant le pancréas) par un petit canal fin, le canal ... Kyste sacro-coccygien. *Hémorroïdectomies. *Abcès - fistule anale. *Rectopexie. *Rectocèle (résection périnéale). *Prolapsus ...
Elle est reliée à la voie biliaire principale (canal cholédoque) qui va se jeter dans lintestin juste après lestomac (dans le ... Kyste pilonidal ou Kyste saccro coccygien. *. Estomac. *Hernie hiatale. *Cancer de lestomac ... à lécoulement de la bile par le calcul qui est coincé dans le canal cholédoque. Il existe dans ces cas des douleurs, de la ... ou bien une chirurgie du canal cholédoque. Dans les cas graves, des abcès du foie peuvent se former, nécessitant un traitement ...
Voie biliaire principale (canal cholédoque). *Hépatectomies - chirurgie du foie. *Anastomoses bilio-digestives ... Kyste sacro-coccygien. *Hémorroïdectomies. *Abcès - fistule anale. *Rectopexie. *Rectocèle (résection périnéale). *Prolapsus ...
Cela permet de déceler des lithiases du cholédoque, de vérifier labsence de plaies des voies biliaires , dintervenir ... Kyste Sacroccygien ou Sinus Pilonidal. *Chirurgie Cancer *Généralités chirurgie Colon et Rectum ...
  • Chez la plupart des patients atteints de calculs biliaires, les calculs passeront de la vésicule biliaire au canal cystique, puis au canal cholédoque. (wikimedi.ca)
  • On passe ensuite à l'étude de la voie biliaire principale ou cholédoque à la recherche d'une dilatation et ici au pédicule hépatique, qu'on peut mesurer. (isonic.fr)
  • La bile du foie passe par la vésicule biliaire (poche d'~50 ml en forme de poire sous le foie) pour s'écouler par le canal hépatique commun (3,8 cm de long), puis le canal cystique, relié à la vésicule biliaire par le canal cholédoque. (sautdelange.com)
  • La Bilirubine Conjuguée est excrétée dans la bile et évacuée par les canaux biliaires dans la vésicule biliaires (réservoir) et le canal cholédoque pour gagner le duodénum. (mystidia.com)
  • En cas de ponction Biopsie à l'aiguille fine, le plus souvent d'une tumeur ou d'un kyste, pour permettre l'analyse des cellules au microscope. (cbipps.fr)
  • Cette ponction permet d'analyser le liquide d'un kyste ou les cellules d'une masse ou d'un ganglion pour mieux connaître leur nature et décider du meilleur traitement. (cbipps.fr)
  • Cette patient avait une migration d'un calcul dans le choledoque découverte lors de la cholangiographie peropératoire. (abcd-chirurgie.fr)
  • La Cholangio-IRM montrait une dilatation diverticulairedu cholédoque associée à une importante dilatation des deux canaux hépatiques droit et gauche et des voies biliaires intrahépatiques. (ac.ma)
  • La dilatation kystique du cholédoque (DKC) est une malformation congénitale rarement rapportée chez l'adulte, avec une nette prédominance féminine et dont l'étiopathogenie est méconnue. (ac.ma)