Une maladie caractérisée par le progressiste invasion de tendre dans le muscle lymphatique des vaisseaux sanguins, et les vaisseaux sanguins. La majorité des cas surviennent dans les poumons de femmes en âge de procréer, éventuellement bloque l'écoulement d'air, le sang et de la lymphe. Le symptôme commun est essoufflement (dyspnée).
Un état caractérisé par de doux tumorlike endothélium et la prolifération des vaisseaux sanguins et lymphatiques LYMPH NODES dans le médiastin rétropéritoine, et aussi dans le poumon. Ça peut se traduire par chylous épanchement pleural, ascite.
Une tumeur bénigne contenant vasculaire, le tissu adipeux et des éléments. Elle se produit le plus souvent dans le rein et des éléments muscle lisse (angiolipoleiomyoma) en association avec une sclérose tubéreuse. (Dorland, 27 e)
Syndrome neurocutaneous autosomale dominante classiquement caractérisé par un retard mental ; EPILEPSY ; et des lésions cutanées (par exemple, adénome hypomelanotic sebaceum et érythème). Il y a, cependant, une forte hétérogénéité les manifestations neurologiques. C'est également associé à tuber corticale et HAMARTOMAS formation dans le corps, surtout du cœur, reins, et les yeux. Mutations dans deux loci TSC1 et TSC2 qui encode hamartin et tuberin, respectivement, sont associés à la maladie.
Une accumulation d ’ air ou gaz dans l'épanchement CAVITY, pouvant apparaître spontanément soit suite à un traumatisme ou processus pathologique. Le gaz peut également être présenté, pendant... PNEUMOTHORAX délibérément.
Un liquide blanc laiteux uniforme composé essentiellement de graisses émulsionné qui transitent dans l'lacteals de l'intestin grèle dans le système lymphatique.
Un grand groupe de maladies qui se caractérise par une faible prévalence dans la population. Londres est souvent associée à des problèmes dans le diagnostic et le traitement.
Antigènes cellulaires spécifiques pour des cellules de mélanome.
Tumeurs ou un cancer du poumon.
Un facteur de croissance endothélial vasculaire endothélial qui se lie spécifiquement à VASCULAR LA CROISSANCE facteur receptor-2 et VASCULAR endothéliale LA CROISSANCE facteur Receptor-3. En plus d'être un facteur angiogéniques il agisse sur sanguins lymphatique pour stimuler LYMPHANGIOGENESIS. C'est de structure similaire à VASCULAR endothéliale LA CROISSANCE facteur C. N- les 2 contiennent et propeptide C-terminal extensions qui ont pas été retrouvés dans les autres VEGF famille.
Protéines qui sont normalement impliqué dans la croissance cellulaire tient en échec. Déficiences ou anomalies dans ces protéines peuvent entraîner une croissance et développement tumeur cellule irrégulière.
Présence de laiteux (lymphatique CHYLE) dans le CAVITY péritonéale, avec ou sans infection.
Le co-occurrence de grossesse et tumeurs. La maladie ou suivre néoplasique peut précéder la fertilisation.
Des dosages différents processus pratiquant l'acte de respiration : Inspiration, expiration, l'oxygène et du dioxyde de carbone échange, volume pulmonaire et le respect, etc.
Un sérine thréonine kinase qui contrôle un large éventail de processus cellulaires growth-related. La protéine est considéré comme cible de la rapamycine due à la découverte que le sirolimus (communément appelé rapamycine) formes inhibitrice complexe avec le tacrolimus BINDING protéines 1A qui bloque l ’ action de son activité enzymatique.
La production de adhérences entre l'os pariétal et plèvre viscérale. La procédure est utilisé dans le traitement de fistules bronchopleural, malignes et épanchement pleural, pneumothorax et implique l ’ instillation de produits chimiques ou autres agents dans l'espace pleural causant, en effet, un pleuritis qui scelle la fuite. (De Fishman Pulmonaire Diseases, Ed, 2d p2233 & Dorland, 27 e)
Tumeurs ou les cancers du rein.
Processus pathologiques impliquant aucune partie du poumon.
Un macrolide produit obtenu à partir de Streptomyces hygroscopicus sélectivement qui agit en bloquant la cascade de cytokines inhibant ainsi l ’ activation de la production de cytokines. C'est seulement quand lié aux bioactive IMMUNOPHILINS. Le sirolimus est un puissant immunosuppresseurs ou anticancéreux antifongique et possède deux propriétés.
Un la protéine ribosomale pouvant jouer un rôle pour contrôler la croissance cellulaire et la prolifération. C'est un substrat des protéines ribosomales S6 kinases et joue un rôle dans la régulation de la traduction anglaise GENETIC (,) de RNAS qui contiennent une séquence 5 'Oligopyrimidine prés du terminal.
Le transfert de l'un ou les deux poumons d'un humain ou animal à un autre.
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Vaisseaux tubulaire intervenant dans le transport du LYMPH et lymphocytes.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
La chirurgie endoscopique de la cavité pleurale réalisée par la visualisation via transmission vidéo.
Un résidu cystéine protéase est fortement exprimée en ostéoclastes et joue un rôle essentiel dans la résorption osseuse tant que puissant MATRIX-degrading extracellulaire enzyme.
La présence de chyle dans la cavité thoracique. (Dorland, 27 e)
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)

La lymphangioléiomyomatose (LAM) est une maladie rare mais progressive qui affecte principalement les femmes d'âge moyen. C'est une forme de maladie pulmonaire interstitielle caractérisée par la prolifération anormale de cellules musculaires lisses dans les vaisseaux lymphatiques et les tissus pulmonaires.

Cette prolifération peut entraîner la formation de kystes dans les poumons, ce qui peut causer des symptômes tels que toux, essoufflement, douleur thoracique et fatigue. La maladie peut également affecter d'autres organes, y compris les reins, où elle peut provoquer une maladie appelée angiomyolipome rénal.

La cause exacte de la LAM est inconnue, mais il a été démontré que la maladie est associée à des mutations dans les gènes TSC1 et TSC2, qui sont également associés à une autre maladie rare appelée sclérose tubéreuse de Bourneville. Ces mutations entraînent une activation anormale d'une voie de signalisation cellulaire connue sous le nom de voie mTOR, ce qui peut conduire à la croissance et à la prolifération cellulaires anormales observées dans la LAM.

Le diagnostic de la LAM est généralement posé par une combinaison d'imagerie médicale, de tests fonctionnels pulmonaires et d'analyses de tissus. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la LAM, mais des thérapies telles que l'inhibition de la voie mTOR peuvent aider à ralentir la progression de la maladie et à soulager les symptômes.

Un lymphangiomyome est une tumeur bénigne rare qui se développe à partir des vaisseaux lymphatiques. Ces tumeurs sont généralement trouvées dans la région thoracique, abdominale ou pelvienne et sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. Les lymphangiomyomes peuvent varier en taille et peuvent causer des symptômes tels qu'une douleur abdominale, une distension abdominale ou des problèmes respiratoires s'ils exercent une pression sur les poumons.

Les lymphangiomyomes sont souvent difficiles à diagnostiquer car ils peuvent ressembler à d'autres types de tumeurs. Les tests d'imagerie, tels que la tomodensitométrie ou l'imagerie par résonance magnétique, peuvent aider à identifier ces tumeurs et à déterminer leur taille et leur emplacement. Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Le traitement d'un lymphangiomyome dépend de sa taille, de son emplacement et des symptômes qu'il cause. Les petites tumeurs qui ne causent pas de symptômes peuvent être surveillées avec des examens d'imagerie réguliers. Les tumeurs plus grandes ou symptomatiques peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour les enlever. La radiothérapie et la chimiothérapie ne sont généralement pas efficaces contre ces tumeurs.

Un angiomyolipome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les reins. Il s'agit d'une tumeur composée de vaisseaux sanguins anormaux (angio-), de cellules musculaires lisses (myo-) et de graisse (lipome).

Les angiomyolipomes peuvent être asymptomatiques ou provoquer des symptômes tels que des douleurs abdominales, des saignements dans les urines ou une masse palpable dans le bas du dos. Dans de rares cas, ils peuvent se transformer en tumeurs malignes et se propager à d'autres parties du corps.

Les angiomyolipomes sont souvent associés à une maladie génétique appelée sclérose tubéreuse de Bourneville, qui affecte environ 1 personne sur 6 000. Cependant, ils peuvent également se produire spontanément chez les personnes sans antécédents familiaux de la maladie.

Le traitement des angiomyolipomes dépend de leur taille, de leur localisation et de la présence ou non de symptômes. Les petites tumeurs asymptomatiques peuvent être surveillées par imagerie régulière, tandis que les tumeurs plus grandes ou symptomatiques peuvent nécessiter une intervention chirurgicale ou une ablation par radiofréquence pour prévenir les complications telles que des saignements importants.

La sclérose tubéreuse de Bourneville, également connue sous le nom de maladie de Bourneville-Pringle ou simplement de sclérose tubéreuse, est une maladie génétique rare et complexe qui affecte plusieurs organes du corps. Elle est causée par des mutations dans deux gènes spécifiques, TSC1 et TSC2, qui codent pour des protéines régulatrices de la croissance cellulaire.

Les manifestations cliniques de cette maladie peuvent varier considérablement d'un individu à l'autre, mais les signes les plus courants comprennent :

1. Lésions cutanées : apparition de taches cutanées pigmentées (naevus flammeus ou angiomes plans) et de plaques cutanées blanches (leucinocytoclastic vasculopathy).
2. Tumeurs bénignes : développement de tumeurs bénignes dans divers organes, telles que les reins (angiomyolipomes), le cerveau (tubers corticaux et sous-épendymaires) et le cœur (rhabdomyomes).
3. Épilepsie : présence d'une épilepsie réfractaire, souvent associée à des retards de développement intellectuel et moteur.
4. Troubles du comportement : apparition de troubles du comportement, tels que l'autisme ou le syndrome d'Asperger.
5. Autres complications : risque accru de développer des complications rénales, cardiaques, pulmonaires et ophtalmologiques.

Le diagnostic de la sclérose tubéreuse de Bourneville repose sur les critères cliniques, radiologiques et génétiques. Le traitement est multidisciplinaire et vise à prévenir et gérer les complications associées à cette maladie. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments anticonvulsivants, une surveillance régulière des organes touchés, une intervention chirurgicale si nécessaire et un soutien psychologique pour les patients et leur famille.

Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.

Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.

Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.

Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

Le chyle est une substance lipidique et protéinique blanchâtre qui circule dans les vaisseaux lymphatiques. Il est dérivé de la absorption des graisses alimentaires dans l'intestin grêle, où elles sont digérées en molécules plus petites appelées acides gras et monoglycérides. Ces molécules se combinent avec des protéines et des sels pour former des micelles, qui sont ensuite absorbées par les vaisseaux lymphatiques dans la muqueuse intestinale.

Le chyle est composé principalement de triglycérides, ainsi que d'autres lipides, cholestérol, phospholipides, protéines, glucose, vitamines liposolubles et électrolytes. Il a un aspect laiteux en raison de sa teneur élevée en triglycérides.

Le chyle est transporté par les vaisseaux lymphatiques jusqu'au thorax, où il se déverse dans la veine sous-clavière gauche et est finalement mélangé au sang dans le cœur droit. Le chyle joue un rôle important dans le métabolisme des graisses et la nutrition de l'organisme.

Si les vaisseaux lymphatiques qui transportent le chyle sont endommagés ou obstrués, par exemple en raison d'une maladie ou d'une intervention chirurgicale, il peut y avoir une accumulation de chyle dans les tissus environnants, ce qui est connu sous le nom de lymphangiectasie ou de chylothorax. Ces conditions peuvent entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, une distension abdominale, un gonflement des membres inférieurs et une perte de poids.

Les maladies rares, également connues sous le nom de troubles rares ou de maladies orphelines, se réfèrent à des affections qui affectent un petit nombre de personnes dans la population. Selon l'Orphanet, le portail européen des maladies rares et des médicaments orphelins, une maladie est considérée comme rare en Europe lorsqu'elle affecte moins d'une personne sur 2 000.

Les maladies rares peuvent être causées par des mutations génétiques, des infections, des expositions environnementales ou encore rester sans cause identifiée. Elles peuvent toucher n'importe quel système organique du corps et se manifester par une grande variété de symptômes, allant de légers à graves, voire mortels.

Le diagnostic et le traitement des maladies rares sont souvent difficiles en raison de leur faible prévalence, ce qui peut entraîner un retard dans l'établissement d'un diagnostic correct et dans la mise en place d'un plan de traitement adapté. De plus, les ressources allouées à la recherche sur ces maladies sont souvent limitées, ce qui freine le développement de thérapies spécifiques et efficaces.

Il existe environ 7 000 maladies rares connues à ce jour, affectant près de 300 millions de personnes dans le monde. En raison de leur caractère rare et dispersé, la collaboration internationale entre médecins, chercheurs, patients et associations est essentielle pour améliorer la compréhension, le diagnostic et le traitement de ces affections.

Les antigènes des mélanomes spécifiques sont des protéines ou des molécules qui se trouvent principalement sur les cellules de mélanome, une forme agressive et mortelle de cancer de la peau. Ces antigènes ne sont pas normalement présents dans les cellules saines ou sont présentés à des niveaux beaucoup plus faibles. Les mélanomes spécifiques antigènes peuvent être utilisés pour aider le système immunitaire du corps à reconnaître et à combattre les cellules cancéreuses.

Il existe deux principales catégories de mélanome-spécifiques antigènes : les antigènes tumoraux spécifiques et les antigènes tumoraux associés aux tissus. Les antigènes tumoraux spécifiques sont uniques au cancer du mélanome et ne se trouvent pas dans les cellules saines. Les antigènes tumoraux associés aux tissus, en revanche, peuvent également être présents dans les cellules normales à des niveaux plus faibles.

Les antigènes des mélanomes spécifiques sont souvent utilisés comme cibles pour le développement de thérapies immunitaires contre le cancer, telles que les vaccins thérapeutiques et les thérapies cellulaires adoptives. Ces traitements visent à stimuler la réponse immunitaire du corps contre les cellules cancéreuses en leur permettant de mieux reconnaître et d'attaquer les antigènes spécifiques au mélanome.

Cependant, il est important de noter que les tumeurs peuvent évoluer et devenir plus hétérogènes au fil du temps, ce qui peut entraîner une perte de l'expression des antigènes spécifiques au mélanome ou l'acquisition de nouvelles mutations qui permettent aux cellules cancéreuses d'échapper à la reconnaissance immunitaire. Par conséquent, les thérapies ciblant un seul antigène peuvent ne pas être suffisamment efficaces pour traiter tous les types de mélanomes ou toutes les étapes de la maladie.

Les tumeurs pulmonaires sont des croissances anormales dans les tissus du poumon. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs pulmonaires bénignes ne se propagent pas au-delà du poumon et sont généralement traitées par une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur. Cependant, même si elles sont bénignes, certaines d'entre elles peuvent continuer à se développer et provoquer des problèmes respiratoires en raison de l'occupation d'espace dans le poumon.

Les tumeurs pulmonaires malignes, également appelées cancer du poumon, sont beaucoup plus graves. Elles peuvent se propager à d'autres parties du corps par le système sanguin ou lymphatique. Il existe deux principaux types de cancer du poumon : le carcinome pulmonaire à petites cellules et le carcinome pulmonaire non à petites cellules. Le premier type se développe plus rapidement et a tendance à se propager plus tôt que le second.

Le tabagisme est la cause la plus fréquente de cancer du poumon. L'exposition à certains produits chimiques, la pollution atmosphérique ou l'hérédité peuvent également contribuer au développement de ces tumeurs. Les symptômes courants incluent une toux persistante, des douleurs thoraciques, un essoufflement, des expectorations sanglantes et une perte de poids inexpliquée. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie.

Le facteur de croissance endothélial vasculaire de type D (VEGFD) est une protéine appartenant à la famille des facteurs de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF). Il s'agit d'un régulateur clé de l'angiogenèse, qui est le processus de formation de nouveaux vaisseaux sanguins à partir de vaisseaux préexistants.

Le VEGFD se lie et active les récepteurs tyrosine kinase VEGFR-1, VEGFR-2 et VEGFR-3, qui sont exprimés sur les cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et lymphatiques. Il joue un rôle important dans la croissance, la migration et la survie des cellules endothéliales, ainsi que dans la perméabilité vasculaire.

Le VEGFD est principalement produit par les cellules du tissu adipeux, les macrophages et les cellules musculaires lisses. Il est impliqué dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que la cicatrisation des plaies, le développement de l'embryon, la réponse inflammatoire et la progression du cancer.

Des études ont montré que le VEGFD peut être un biomarqueur potentiel pour le diagnostic et le pronostic de certaines maladies, telles que les tumeurs malignes et les maladies cardiovasculaires. De plus, il est considéré comme une cible thérapeutique prometteuse pour le traitement de ces maladies.

Les protéines gènes suppresseurs de tumeurs sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la régulation du cycle cellulaire et la prévention de la croissance cellulaire anormale. Elles aident à prévenir la transformation des cellules normales en cellules cancéreuses en supprimant l'activation des gènes responsables de la division et de la prolifération cellulaires.

Les gènes qui codent pour ces protéines suppressives de tumeurs sont souvent appelés "gènes suppresseurs de tumeurs". Lorsque ces gènes sont mutés ou endommagés, ils peuvent perdre leur capacité à produire des protéines fonctionnelles, ce qui peut entraîner une augmentation de la division cellulaire et de la croissance tumorale.

Les exemples bien connus de gènes suppresseurs de tumeurs comprennent le gène TP53, qui code pour la protéine p53, et le gène RB1, qui code pour la protéine Rb. Les mutations de ces gènes sont associées à un risque accru de développer certains types de cancer.

En résumé, les protéines gènes suppresseurs de tumeurs sont des protéines qui aident à réguler la croissance cellulaire et à prévenir la formation de tumeurs en supprimant l'activation des gènes responsables de la division et de la prolifération cellulaires.

L'ascite chyleuse est une accumulation anormale de liquide lymphatique riche en triglycérides dans la cavité abdominale, également connue sous le nom de cavité péritonéale. Ce liquide contient du chyle, qui est un type de lymphe produit dans les intestins grêles et qui contient des lipides, des protéines, des glucides, des vitamines et des sels minéraux.

L'ascite chyleuse peut se développer en raison d'une obstruction des vaisseaux lymphatiques ou d'une fuite de chyle dans la cavité abdominale due à une lésion ou une maladie sous-jacente. Les causes courantes comprennent les lymphangiomes, les tumeurs malignes, la cirrhose du foie, le syndrome de obstruction des voies lymphatiques et les traumatismes abdominaux.

Les symptômes de l'ascite chyleuse peuvent inclure une distension abdominale, des douleurs abdominales, une sensation de satiété précoce, des nausées, des vomissements, une perte de poids et une faiblesse générale. Le diagnostic est généralement posé par l'analyse du liquide d'ascite, qui montre un taux élevé de triglycérides et la présence de chylomicrons.

Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une thérapie diététique restrictive en graisses, des médicaments pour réduire la production de chyle, des procédures de drainage du liquide d'ascite ou une intervention chirurgicale pour corriger l'obstruction des vaisseaux lymphatiques.

Les complications tumorales de la grossesse se réfèrent à l'apparition ou la progression d'une tumeur, benigne ou maligne, pendant la grossesse et les effets néfastes que cela peut avoir sur la mère et le fœtus. Ces tumeurs peuvent être préexistantes ou apparaître durant la grossesse. Elles peuvent affecter n'importe quel organe du corps, mais les tumeurs les plus fréquentes sont celles qui se développent dans les seins, les ovaires et l'utérus.

Les complications dépendent du type de tumeur, de sa localisation, de son stade d'évolution et de la prise en charge thérapeutique. Les tumeurs malignes peuvent entraîner une augmentation du risque de prééclampsie, de naissance prématurée, de retard de croissance intra-utérin et de mort fœtale in utero. De plus, le traitement de ces tumeurs peut être complexe en raison des risques potentiels pour le fœtus. Les options thérapeutiques incluent souvent une surveillance rapprochée, une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie, en fonction de la situation clinique spécifique.

L'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) est un ensemble de tests pulmonaires qui permettent d'évaluer la capacité respiratoire et les échanges gazeux d'un individu. Elle vise à mesurer la ventilation, la compliance thoracique, la diffusion des gaz alvéolo-capillaires et les mécanismes de contrôle de la ventilation. Les tests couramment utilisés dans l'EFR comprennent la spirométrie, les manœuvres de bodyplethysmographie, les mesures de la diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) et les tests de réversibilité. Ces examens sont indolores et non invasifs, et ils sont largement utilisés dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge des maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire et d'autres affections pulmonaires.

Les TOR Serine-Threonine Kinases, également connues sous le nom de Target of Rapamycin Kinases, sont des enzymes qui jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires tels que la croissance cellulaire, la prolifération, la survie et la métabolisme. Elles sont désignées comme des kinases parce qu'elles ajoutent des groupes phosphates à d'autres protéines sur des résidus de sérine ou de thréonine, ce qui active ou désactive ces protéines et influence leur fonction.

Les TOR Serine-Threonine Kinases sont conservées chez les eucaryotes et existent sous deux formes homologues principales, mTORC1 (mammalian Target of Rapamycin Complex 1) et mTORC2 (mammalian Target of Rapamycin Complex 2). Ces complexes kinases sont composés de plusieurs protéines associées qui régulent leur activité.

mTORC1 est sensible à l'inhibiteur rapamycine, tandis que mTORC2 ne l'est pas. Les TOR Serine-Threonine Kinases sont des éléments clés de la voie de signalisation mTOR, qui est régulée par des facteurs tels que la disponibilité des nutriments, l'énergie cellulaire et les signaux de croissance. Les TOR Serine-Threonine Kinases sont souvent surexprimées ou hyperactivées dans diverses maladies, telles que le cancer, ce qui en fait une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces affections.

La pleurodèse est une procédure thérapeutique utilisée en médecine pour traiter l'effusion pleurale récurrente ou le pneumothorax récurrent. Il s'agit d'une intervention qui provoque délibérément une inflammation et ultimately une fusion des deux feuillets de la plèvre (la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique), restreignant ainsi l'espace dans lequel se produit le liquide ou l'air.

Cela peut être accompli en insérant un agent irritant dans l'espace pleural, comme du talc stérile en poudre, qui provoque une réaction inflammatoire et finalement cause les deux feuillets de la plèvre à coller ensemble. Une fois la procédure terminée, l'espace pour l'accumulation de liquide ou d'air est considérablement réduit, ce qui aide à prévenir les récidives.

La pleurodèse peut être réalisée par thoracoscopie (VATS), sous guidage radiologique ou par une méthode chirurgicale ouverte. Les effets secondaires peuvent inclure la douleur, la fièvre et la difficulté à respirer dans les premiers jours suivant la procédure.

Les tumeurs rénales sont des croissances anormales dans ou sur les reins. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs rénales bénignes ne se propagent pas généralement à d'autres parties du corps et peuvent ne pas nécessiter de traitement, selon leur taille et leur localisation. Cependant, certaines tumeurs rénales bénignes peuvent causer des problèmes si elles pressent ou endommagent les tissus environnants.

Les tumeurs rénales malignes, également connues sous le nom de cancer du rein, se développent dans les cellules du rein et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Le type le plus courant de cancer du rein est le carcinome à cellules rénales, qui représente environ 80 à 85% des cas. D'autres types comprennent le sarcome du rein, le lymphome du rein et le cancer des cellules transitionnelles du haut appareil urinaire.

Les facteurs de risque de développer un cancer du rein comprennent le tabagisme, l'obésité, l'hypertension artérielle, l'exposition à certaines substances chimiques et les antécédents familiaux de cancer du rein. Les symptômes peuvent inclure du sang dans les urines, des douleurs au dos ou aux flancs, une perte de poids inexpliquée, une fièvre persistante et une fatigue extrême. Le traitement dépend du stade et du grade de la tumeur, ainsi que de la santé globale du patient. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l'immunothérapie.

Les maladies pulmonaires sont un groupe divers de conditions qui affectent les poumons et le système respiratoire, entravant la capacité d'une personne à respirer correctement. Elles peuvent être causées par des infections, des allergies, des irritants environnementaux, une génétique défavorable ou un mauvais mode de vie. Les exemples courants comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, la fibrose kystique, la tuberculose et le cancer du poumon. Les symptômes varient en fonction du type de maladie pulmonaire mais peuvent inclure une toux persistante, des expectorations, une respiration sifflante, une douleur thoracique, un essoufflement ou une fatigue excessive. Le traitement dépend du diagnostic spécifique et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une oxygénothérapie ou, dans les cas graves, une transplantation pulmonaire.

Le sirolimus, également connu sous le nom de rapamycine, est un immunosuppresseur utilisé pour prévenir le rejet d'organes transplantés. Il agit en inhibant la voie de signalisation mTOR (mammalian target of rapamycin), ce qui entraîne une réduction de la prolifération des lymphocytes T activés et donc de la réponse immunitaire.

Le sirolimus est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments immunosuppresseurs tels que les corticostéroïdes et les inhibiteurs de calcineurine. Il peut être administré par voie orale sous forme de comprimés ou par voie intraveineuse sous forme de solution.

En plus de ses propriétés immunosuppressives, le sirolimus a également démontré des effets antiprolifératifs et antiangiogéniques, ce qui en fait un candidat prometteur pour le traitement de certains cancers et maladies rares telles que la sclérose tubéreuse de Bourneville.

Cependant, l'utilisation du sirolimus est associée à des effets secondaires potentiellement graves tels que des infections opportunistes, une toxicité pulmonaire et rénale, des troubles hématologiques et une augmentation du risque de certains types de cancer. Par conséquent, il doit être prescrit avec prudence et sous surveillance médicale étroite.

La protéine ribosomiale S6 est une protéine constituante du complexe ribosomique, qui joue un rôle crucial dans la biosynthèse des protéines. Les ribosomes sont des complexes ribonucléoprotéiques (RNP) situés dans les cellules et composés de quatre types différents de molécules : l'ARN ribosomique (ARNr) et environ 80 protéines ribosomales.

La protéine S6 est l'une des six protéines ribosomiques de petit sous-unité (40S) du ribosome eucaryote, et elle est codée par le gène RPS6. Elle se lie directement à l'ARN ribosomique et participe au processus d'initiation et d'élongation de la traduction des ARN messagers (ARNm) en protéines fonctionnelles.

La phosphorylation de la protéine S6 est un marqueur bien connu de l'activation de la voie mTOR, une voie de signalisation cellulaire qui régule la croissance et la prolifération cellulaires en réponse aux nutriments, à l'énergie et aux stimuli de croissance. Des études ont montré que la phosphorylation de la protéine S6 est associée à divers processus physiologiques et pathologiques, notamment le développement, l'apprentissage et la mémoire, ainsi que des maladies telles que le cancer et le diabète.

La transplantation pulmonaire est un type de chirurgie dans laquelle un ou les deux poumons d'un donneur décédé sont greffés sur un receveur dont les poumons ne fonctionnent plus correctement en raison d'une maladie pulmonaire grave et irréversible. Les indications courantes pour une transplantation pulmonaire comprennent la fibrose pulmonaire, l'emphysème sévère, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'hypertension artérielle pulmonaire et certaines formes de maladies pulmonaires interstitielles.

Le processus de transplantation implique généralement plusieurs étapes, y compris l'évaluation du receveur pour déterminer s'il est un candidat approprié pour la transplantation, l'attente d'un donneur compatible, la chirurgie elle-même et le suivi post-transplantation pour gérer les complications potentielles telles que le rejet du greffon et l'infection.

Bien que la transplantation pulmonaire puisse améliorer considérablement la qualité de vie et prolonger la survie des patients atteints de maladies pulmonaires graves, il s'agit d'une procédure complexe et risquée qui nécessite une équipe multidisciplinaire expérimentée pour assurer les meilleurs résultats possibles.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

Les vaisseaux lymphatiques sont un élément crucial du système lymphatique dans le corps humain. Il s'agit d'un réseau complexe de tubes minces et flexibles qui transportent la lymphe, une fluide transparente et incolore, à travers tout le corps.

La lymphe contient des globules blancs appelés lymphocytes, qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les infections et les maladies. Les vaisseaux lymphatiques aident à drainer l'excès de liquide interstitiel hors des tissus corporels et à éliminer les déchets et les toxines du corps.

Les vaisseaux lymphatiques sont classés en deux types : les vaisseaux lymphatiques afférents, qui collectent la lymphe dans les tissus, et les vaisseaux lymphatiques efférents, qui transportent la lymphe vers le système circulatoire. Les vaisseaux lymphatiques se rejoignent pour former des troncs lymphatiques, qui se déversent dans la veine sous-clavière gauche près du cœur.

Les valves unidirectionnelles présentes dans les parois des vaisseaux lymphatiques empêchent le reflux de la lymphe et assurent son mouvement unidirectionnel vers le cœur. Les contractions musculaires et la pression artérielle aident également à faire circuler la lymphe dans les vaisseaux lymphatiques.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

La chirurgie thoracique vidéo-assistée (VATS), également connue sous le nom de chirurgie thoracique assistée par vidéo, est une technique chirurgicale minimement invasive utilisée pour diagnostiquer et traiter diverses affections thoraciques.

Dans cette procédure, un petit tube avec une caméra à son extrémité (thoracoscope) est inséré dans la cavité thoracique par une petite incision. La caméra transmet des images vidéo en direct de l'intérieur de la poitrine sur un écran, offrant au chirurgien une vue détaillée de la zone cible.

D'autres petites incisions sont ensuite faites pour insérer des instruments chirurgicaux spéciaux qui permettent au chirurgien de réaliser l'intervention sans avoir à ouvrir complètement la poitrine. Cela entraîne moins de douleur, une récupération plus rapide et un risque réduit de complications par rapport aux techniques chirurgicales traditionnelles.

La VATS peut être utilisée pour traiter diverses affections telles que le cancer du poumon, les maladies pulmonaires bénignes, les infections thoraciques et certaines conditions cardiovasculaires.

La cathepsine K est une protéase à cystéine, ce qui signifie qu'elle est une enzyme qui décompose d'autres protéines, qui est produite principalement par les ostéoclastes, des cellules spécialisées dans la résorption osseuse. Cette enzyme joue un rôle crucial dans le processus de remodelage osseux normal en aidant à dégrader et à dissoudre la matrice osseuse lorsque les ostéoclastes la décomposent.

Cependant, une activité excessive de la cathepsine K peut entraîner une perte osseuse excessive et contribuer au développement de maladies telles que l'ostéoporose. La cathepsine K est également exprimée dans d'autres types de cellules, y compris les macrophages et certaines cellules tumorales, où elle peut jouer un rôle dans la progression des maladies telles que le cancer.

En plus de sa fonction dans le remodelage osseux, la cathepsine K est également capable de dégrader d'autres protéines extracellulaires, y compris l'élastine et le collagène, ce qui lui confère une importance dans des processus tels que la cicatrisation des plaies et la progression du cancer.

En raison de son rôle important dans divers processus physiologiques et pathologiques, la cathepsine K est considérée comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de l'ostéoporose et d'autres maladies liées à l'os. Des inhibiteurs de la cathepsine K sont actuellement en cours de développement et d'essais cliniques pour le traitement de ces affections.

Le chylothorax est une condition médicale où il y a une accumulation anormale de liquide lymphatique riche en graisses, appelé chyle, dans la cavité pleurale qui entoure les poumons. Ce liquide s'écoule à travers un vaisseau lymphatique endommagé, généralement après une intervention chirurgicale thoracique ou abdominale, ou peut être causé par des tumeurs malignes, des maladies inflammatoires ou des traumatismes. Les symptômes peuvent inclure essoufflement, douleur thoracique, toux et fatigue. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une analyse de liquide pleural et peut être traité avec une thérapie conservatrice ou des interventions chirurgicales pour réparer la fuite lymphatique.

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  • Ce programme d'éducation thérapeutique est destiné aux patients atteints d'une lymphangioléiomyomatose (LAM) ainsi qu'à leurs proches. (chu-lyon.fr)
  • Ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) explicite aux professionnels concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale et le parcours de soins d'une patiente chez laquelle est diagnostiquée une lymphangioléiomyomatose. (has-sante.fr)
  • Lymphangioleiomyomatose pulmonaireune découverte souvent fortuiteà propos d'une observation. (elleryisland.com)
  • Des mutations du gène tuberous sclerosis complex-2 ( TSC-2 ) ont été décrites dans les cellules de patients qui ont une lymphangioléiomyomatose et dans des angiomyolipomes (hamartomes rénaux bénins faits de muscles lisses, de vaisseaux sanguins et de tissu adipeux). (msdmanuals.com)