Dna-(Apurinic Or Apyrimidinic Site) Lyase
Hominidae
Gorilla Gorilla
Pongo Pygmaeus
Pan Paniscus
Hylobates
Les maladies des grands singes, également connues sous le nom de zoonoses simiennes, font référence à un ensemble d'affections qui peuvent être partagées entre les grands singes (y compris les gorilles, les chimpanzés, les orang-outans et les bonobos) et les humains. Ces maladies sont souvent causées par des virus, des bactéries, des parasites ou des champignons qui peuvent se transmettre entre ces deux groupes proches évolutivement.
Certaines de ces maladies comprennent le virus de l'immunodéficience simienne (VIS), qui est apparenté au virus de l'immunodéficience humaine (VIH), et peut provoquer une immunodéficience simienne acquise (SIDA) chez les grands singes. Le virus Ebola, qui peut causer des fièvres hémorragiques sévères et souvent mortelles chez les humains et les grands singes, est également considéré comme une zoonose simienne.
D'autres exemples de maladies des grands singes incluent la tuberculose, la giardiase, la cryptosporidiose, la strongyloïdose et la maladie de Chagas. Il est important de noter que ces maladies peuvent avoir des conséquences graves pour les populations de grands singes en déclin, ainsi que pour les humains qui entrent en contact avec eux dans leur habitat naturel ou dans des contextes captifs.
Les mesures de prévention et de contrôle, telles que la surveillance sanitaire, le dépistage et le traitement des maladies chez les grands singes et les humains, ainsi que la réduction de l'exposition entre ces deux groupes, sont essentielles pour prévenir la propagation de ces affections.
Hominidae, également connu sous le nom de famille des hominidés, est une famille de primates comprenant cinq genres actuels: Pongo (orang-outan), Gorilla (gorilles), Pan (chimpanzés et bonobos), ainsi que Homo (humains et leurs plus proches parents éteints). Les hominidés sont caractérisés par une posture bipède, un cerveau relativement grand, des membres supérieurs relativement courts et une réduction ou une perte complète de la queue. Cette famille est au cœur de l'étude de l'évolution humaine en raison de son lien étroit avec notre propre genre, Homo. Il convient de noter que certains classifications taxonomiques plus récentes placent les orangs-outans dans leur propre famille distincte, appelée Pongidae, et ne reconnaissent donc pas Hominidae comme comprenant plus d'un seul sous-clan vivant, Homininae.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite confusion dans votre question. « Gorilla gorilla » est en fait la nomenclature binominale scientifique pour le gorille de l'Ouest, qui est une sous-espèce de gorilles. Donc, ce n'est pas une définition médicale à proprement parler, mais plutôt une classification zoologique.
Le gorille de l'Ouest (Gorilla gorilla) est l'une des deux sous-espèces de gorilles occidentaux, l'autre étant le gorille des plaines de l'Ouest (Gorilla gorilla gorilla). Les gorilles de l'Ouest sont originaires d'Afrique centrale et se trouvent dans les forêts tropicales humides du Cameroun, du Gabon, du Nigeria, de la République centrafricaine, de Guinée équatoriale et de la République démocratique du Congo.
Les gorilles de l'Ouest sont herbivores et se nourrissent principalement de feuilles, d'écorces, de fruits, de pousses et de tiges. Ils vivent en groupes sociaux complexes appelés troupes, généralement composées d'un mâle dominant (appelé un dos argenté), plusieurs femelles adultes et leurs jeunes. Les gorilles de l'Ouest sont connus pour leur comportement pacifique et leurs soins parentaux attentifs.
Comme les autres grands singes, les gorilles de l'Ouest sont intelligents et ont une structure sociale complexe. Malheureusement, ils sont menacés par la perte d'habitat due à la déforestation, le braconnage et les conflits avec les humains. La population sauvage de gorilles de l'Ouest est estimée à environ 300 000 individus, ce qui en fait une espèce gravement menacée selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
'Pongo pygmaeus' est la dénomination scientifique de l'espèce du grand singe connu sous le nom d'Orang-outan de Bornéo. Ces primates sont originaires des forêts tropicales humides de l'île de Bornéo, partagée par trois pays : l'Indonésie, la Malaisie et Brunei. Les Orang-outans de Bornéo sont réputés pour leur intelligence, leurs capacités d'apprentissage et leur comportement social complexe. Ils se distinguent également par leur fourrure roux-brunâtre et leur corps robuste, avec des bras exceptionnellement longs qui peuvent atteindre jusqu'à deux fois la longueur de leur torse. Malheureusement, l'Orang-outan de Bornéo est une espèce en danger critique d'extinction, principalement à cause de la déforestation et du braconnage illégal.
Je suis désolé, mais le terme "Pan paniscus" ne correspond pas à une définition médicale. Il s'agit en fait d'une espèce de primate, également connu sous le nom de bonobo. Les bonobos sont l'une des deux espèces de grands singes les plus proches de l'homme, avec le chimpanzé commun (Pan troglodytes).
Les bonobos sont originaires des forêts tropicales du bassin du Congo en République démocratique du Congo, en Afrique centrale. Ils sont connus pour leur intelligence sociale et émotionnelle, ainsi que pour leurs comportements sociaux uniques, tels que la sexualité comme moyen de résolution des conflits et l'établissement de liens sociaux.
Les bonobos partagent environ 98,7% de leur ADN avec les humains, ce qui en fait l'un de nos plus proches parents vivants sur Terre. L'étude des bonobos peut nous aider à comprendre non seulement notre évolution biologique et comportementale, mais aussi la nature de la socialité et de la communication chez les primates.
Je suis désolé, "Hylobates" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Cependant, c'est le nom d'un genre de primates appartenant à la famille des Hylobatidae, également connus sous le nom de gibbons. Les gibbons sont des singes de petite taille, arboricoles et très agiles, originaires d'Asie du Sud-Est. Ils sont réputés pour leur mode de déplacement rapide et gracieux dans la canopée des forêts tropicales grâce à une forme unique de brachiation (se balancer de branche en branche en utilisant uniquement les bras).
Si vous cherchiez peut-être un terme médical, veuillez me fournir plus d'informations et je ferai de mon mieux pour vous aider.
Le « Virus de la Leucémie du Gibbon Sauvage » (ou VLGS, en anglais : Wild gibbon leukemia virus) est un rétrovirus découvert à l'origine dans des gibbons sauvages asiatiques. Il appartient au genre de rétrovirus « Gammaretrovirus », qui comprend également d'autres virus tels que le virus de la leucémie féline (FeLV) et le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (HIV-1).
Le VLGS est étroitement lié au virus de la leucémie murine (MLV), un rétrovirus couramment utilisé dans la recherche biomédicale. Cependant, contrairement aux souches de MLV utilisées en laboratoire, le VLGS a été trouvé chez des gibbons sauvages présentant des signes de leucémie et/ou de lymphome, d'où son nom.
Le virus se transmet généralement par voie verticale, c'est-à-dire de la mère à l'enfant pendant la gestation ou l'allaitement. Chez les gibbons infectés, le VLGS peut entraîner une prolifération anormale des cellules sanguines, conduisant à des affections telles que la leucémie et le lymphome. Cependant, il est important de noter que tous les gibbons infectés ne développent pas nécessairement ces maladies.
Bien que le VLGS soit un virus non humain, des études ont montré qu'il peut infecter certaines cellules humaines en laboratoire, ce qui soulève des préoccupations potentielles quant à son utilisation dans la recherche biomédicale. Toutefois, il n'y a actuellement aucune preuve que le VLGS représente une menace pour la santé humaine en dehors d'un contexte de laboratoire contrôlé.