Une sous-catégorie NK Cell Lectin-Like récepteurs qui associés avec les membres de NK cellule Lectin-Like sous-famille de récepteurs D pour former hétérodimère HLA-E récepteurs d ’ antigène.
Une sous-catégorie NK Cell Lectin-Like récepteurs qui associés avec une variété de membres de NK cellule Lectin-Like sous-famille de récepteurs C pour former hétérodimère HLA-E récepteurs d ’ antigène.
Une sous-catégorie NK Cell Lectin-Like récepteurs qui inclut les inhibitrice stimulation et membres.
Une sous-classe inhibitrice NK Cell Lectin-Like récepteurs qui interagit avec classe je MAJOR Histocompatibility antigènes et empêche l'activation des cellules NK.
Une classe de prédateurs lectine qui se lient à glucides depuis un calcium-dependent. Ils partagent le même domaine carbohydrate-binding structure est différente de celle d ’ autres classes d lectine.
Une activation NK Cell Lectin-Like sous-famille de récepteurs qui régule les réponses immunitaires à infection et tumeurs. Membres de cette sous-famille comme homodimers généralement être envisagée.
Structurally-related récepteurs qui sont couramment trouvé sur des cellules TUEUR naturelle. Ils sont considérés Lectin-Like protéines dans qu'ils partagent homologie de séquence d ’ domaines de liaison avec l ’ hydrate de C-Type Lectins. Ils diffèrent lectine C-Type classique, cependant, chez qu'ils manquent d'CALCIUM-binding domaines.
Les molécules à la surface des cellules du système immunitaire, qui se lie spécifiquement ou molécules messagères molécules de surface et déclencher des changements dans le comportement de cellules. Bien que ces récepteurs n ’ a été identifiée dans le système immunitaire, beaucoup ont fonctions importantes ailleurs.
Os marrow-derived lymphocytes possèdant des propriétés cytotoxiques, classiquement dirigé contre transformée et les cellules infectées par des virus. Contrairement à des cellules T, et 2) ; des cellules ne sont pas spécifiques aux antigènes des cellules NK. La cytotoxicité des cellules natural killer est déterminée par le collectif signaux d ’ une série de stimulation des récepteurs de surface et inhibitrice. Un sous-ensemble des lymphocytes T dénommés tueur naturelle des cellules T actions certaines propriétés de ce type de cellule.
La classe des récepteurs LDL oxydée qui contiennent Lectin-Like domaine extracellulaire.
Un groupe de LOW-DENSITY modifié issus des récepteurs aux lipoprotéines. Le groupe comprend certains récepteurs SCAVENGER qui contribuent à la pathogenèse d ’ athérosclérose par transport d'oxyde LDL.
L'altération de la réponse immunologique résultant de l ’ antigène contact initial, qui permet à l'individu de produire des anticorps plus rapidement et en plus grand quantité en réponse aux stimulus antigénique secondaire.
Un sous-groupe de lymphocytes T réglementaires impliquées dans une protéine CMH de classe I-restricted interactions. Ils incluent des lymphocytes T cytotoxique (6) et CD8 + suppresseur lymphocytes T.
Glycoprotéine molécules à la surface des lymphocytes B et T activés, qui réagissent avec des molécules de antilymphocytaires Sera lectine, et les autres médicaments qui induisent une transformation blastique de lymphocytes.
Orphelin récepteur qui nucléaire est étroitement apparentée récepteur thyroid-steroid membres de la famille. Elles ont été identifiés chez sang-froid, cependant il peut jouer des rôles de réglementation dans de nombreux autres tissus.
Des récepteurs nucléaires orphelin qui se trouve à des concentrations élevées dans les tissus du cerveau. La protéine est censé jouer un rôle dans le développement et maintenance de neurones, particulièrement au niveau des neurones dopaminergiques.
La souris de lignée C57BL est une souche inbred de Mus musculus, largement utilisée dans la recherche biomédicale, caractérisée par un ensemble spécifique de traits génétiques et phénotypiques.
Orphelin nucléaire hormone spécificité pour récepteur qui a réponse oligo-éléments trouvés dans les organisateurs de la cible gènes. Il se lie ADN soit en homodimer heterodimer avec la sitagliptine ou à des récepteurs nucléaires orphelin sous-famille de récepteurs nucléaire 2, groupe C, ÉTATS 1. La protéine a été identifié comme étant une protéine TESTES-specific et impliquée dans la régulation de variété de processus cellulaires, notamment celles ; cellule ; prolifération différenciation et une apoptose.
Orphelin récepteur qui nucléaire est étroitement lié aux membres de la famille de gènes récepteurs thyroid-steroid. Il a été identifié dans des cellules sang-froid et peut jouer un rôle dans la médiation de sang-froid FACTOR-induced cellule différenciation CROISSANCE. Cependant, plusieurs autres fonctions ont été attribués à cette protéine y compris la régulation positive et négative d'apoptose.
Récepteurs qui sont spécifiquement trouvé sur la surface de naturelle des TUEUR. Ils jouent un rôle important dans la régulation du composant de l'immunité cellulaire inné
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Protéines qui partagent la caractéristique commune de la liaison de glucides. Des anticorps (protéines carbohydrate-metabolizing d'enzymes... et se lient à d ’ hydrates de carbone), cependant ils sont pas considérées comme lectine. Lectines Végétales sont carbohydrate-binding des protéines qui ont été principalement identifié par leur activité hemagglutinating (HEMAGGLUTININS). Toutefois, une variété de lectine survenir chez animal où ils servent à diverses fonctions hydrate gamme de reconnaissance.
Orphelin récepteur qui nucléaire est exprimée à des concentrations élevées dans les tissus neuronal, le RETINA ; épididyme ; et VAS déférent. Le récepteur est censé jouer un rôle dans la régulation diverses fonctions dont le traitement d'informations sensorielles, la différenciation des Photoreceptor des cellules et les RHYTHM circadien.
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Une molécule qui se lie à une autre molécule, plus particulièrement utilisée pour décrire une petite molécule qui se lie spécifiquement à une plus grande molécule, par exemple, un antigène présent à un anticorps, une hormone ou neurotransmetteur se lier à un récepteur, ou un substrat ou allosteric effecteurs la liaison de l ’ enzyme. Ligands sont également des molécules qui donné ou accepter une paire d'électrons pour former une coordonnée liaison covalente avec le métal d'une centrale atomique de coordination complexes, 27ème Dorland. (Éditeur)
Un récepteur qui a nucléaire DNA-Binding orphelin spécificité pour directement répété (DR) et unit AGGTCA séquences ADN que soit en homodimer ou comme un orphelin heterodimer avec la sitagliptine est un récepteur nucléaire sous-famille de récepteurs nucléaire 2, groupe C, ÉTATS 2. La protéine a été identifié comme un antigène Spécifique de protéines et est impliqué dans la régulation de variété de processus cellulaires, notamment celles ; cellule ; prolifération différenciation et une apoptose.
Le degré de similitude entre séquences d'acides aminés. Cette information est utile pour l'analyse de protéines parenté génétique et l'espèce.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Ou la membrane des glycoprotéines de surface des cellules.
Récepteurs intracellulaire qui peut être consulté dans le cytoplasme ou dans le noyau. Ils se lient à des molécules qui ont migré à travers extracellulaire ou transportés dans la cellule membrane. Beaucoup de membres de cette classe de récepteurs survenir dans le cytoplasme et sont transportés à la cellule noyau sur ligand-binding où ils signal via DNA-Binding et règlement transcription. Également inclus dans cette catégorie sont récepteurs trouvés sur les membranes intracellulaires qui agissent via mécanismes similaire à cellule surface récepteurs.
Des récepteurs nucléaires orphelin exprimée principalement dans les GERM de des gonades. Elle fonctionne comme un facteur de transcription qui se lie à une répétition de la séquence AGGTCA et peut jouer un rôle dans la régulation de la différenciation cellulaire Embryogenesis et microbe.
Le phénomène de la destruction par cellule cible active immunologiquement effecteurs cellules. Il peut être causée directement par les lymphocytes T ont sensibilisé par myéloïde ou lymphoïde ou de Difformité cellules, ou ça peut être dû à des anticorps cytotoxiques, cytotoxiques facteur libérée par les cellules lymphoïdes ou complément.
Protéines généralement dans le cytoplasme ou noyau qui se lie spécifiquement des hormones stéroïdes et détente change influencer le comportement de cellules. Les stéroïdes hormone receptor-steroid complexe régule la transcription de gènes spécifiques.
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
Les substances non plus, ou se lient aux protéines exogènes d ’ irradiation précurseur des protéines, enzymes, ou allié composés. Liaison aux protéines spécifiques sont souvent utilisés comme des mesures de diagnostic évaluations.
Une classification des lymphocytes T, surtout en assistant / inducteur, suppresseur / effectrices cytotoxiques et sous-ensembles, basé sur structurellement ou fonctionnellement les différentes populations de cellules.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Un récepteur qui nucléaire DNA-Binding orphelin négativement régule expression de ARNTL Transcription FACTEURS et joue un rôle en tant que composante réglementaire de l'horloge biologique. Le système est l'expression des récepteurs nucléaires Nr1d1 cyclically-regulated par une boucle de rétroaction positive impliquant son horloge régulations de protéines ; BMAL1 des hétérodimères négatif des protéines et de ses règlements et règles CRYPTOCHROME PROTEINS.

Les récepteurs de type lectine de la sous-famille C des cellules NK (NKCLR-C) font partie du système immunitaire inné et sont exprimés à la surface des cellules tueuses naturelles (NK). Ils jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'activation de ces cellules pour détruire les cellules infectées par des virus ou cancéreuses.

Les NKCLR-C se lient spécifiquement aux ligands exprimés à la surface des cellules cibles, ce qui entraîne l'activation de la cellule NK et la libération de molécules cytotoxiques pour détruire la cellule infectée ou cancéreuse. Les récepteurs de type lectine de la sous-famille C comprennent notamment les récepteurs NKG2D, NKG2C et NKG2E.

Le récepteur NKG2D est le membre le plus étudié de cette sous-famille et se lie à une famille de ligands appelés MIC (MHC class I chain-related proteins) et ULBP (UL16-binding proteins). Ces ligands sont généralement absents ou peu exprimés à la surface des cellules saines, mais sont surexprimés sur les cellules infectées par des virus ou cancéreuses.

Les récepteurs NKG2C et NKG2E se lient également à des ligands spécifiques et jouent un rôle important dans la régulation de l'activité des cellules NK. Les variations dans l'expression de ces récepteurs peuvent influencer la susceptibilité aux infections virales et au développement du cancer.

Les récepteurs de type lectine de la sous-famille D des cellules NK (NKLLR-D) font partie d'un groupe de récepteurs exprimés à la surface des cellules natural killer (NK) et de certains lymphocytes T. Ils sont appelés "lectine-like" en raison de leur structure similaire aux lectines, qui sont des protéines capables de se lier spécifiquement à des sucres.

Les NKLLR-D jouent un rôle important dans la reconnaissance et l'activation des cellules NK contre les cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent détecter des changements dans l'expression de molécules spécifiques à la surface des cellules cibles, telles que les MHC de classe I, qui sont souvent modifiées pendant une infection ou une transformation maligne.

Les membres bien connus de cette sous-famille comprennent NKG2D (qui se lie aux ligands MICA/B et ULBP1-4) et NKG2F (qui n'a pas de ligand connu). Les récepteurs NKG2D forment des hétéodimères avec les chaînes CD94 ou CD94/CD159, qui peuvent transduire des signaux inhibiteurs ou activateurs en fonction du ligand auquel ils se lient.

La liaison de NKG2D à ses ligands entraîne une activation des cellules NK et la libération de cytokines pro-inflammatoires, ce qui peut conduire à la lyse des cellules cibles. Les récepteurs NKLLR-D sont donc essentiels pour une réponse immunitaire efficace contre les infections et les tumeurs.

Cependant, certaines cellules tumorales peuvent également surexprimer les ligands de NKG2D, ce qui peut entraîner une suppression de l'activité des cellules NK et favoriser la progression tumorale. Par conséquent, il est important de comprendre le rôle des récepteurs NKLLR-D dans la reconnaissance des cellules cibles et la régulation de la fonction des cellules NK pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques contre les maladies infectieuses et les cancers.

Les récepteurs comme les lectines de la sous-famille B des cellules NK (NKCLR-B) font partie d'un groupe diversifié de récepteurs exprimés à la surface des cellules natural killer (NK). Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'activation des cellules NK, qui sont des lymphocytes du système immunitaire inné chargés d'éliminer les cellules infectées ou cancéreuses.

La sous-famille B des récepteurs de type lectine des cellules NK (NKCLR-B) comprend plusieurs membres, tels que NKp30, NKp44 et NKp46, qui sont également appelés récepteurs d'activation naturels (NAR). Ces récepteurs possèdent un domaine de type lectine extracellulaire capable de se lier à des ligands spécifiques présents sur la surface des cellules cibles.

Lorsque les récepteurs NKCLR-B se lient à leurs ligands appropriés, ils transduisent un signal intracellulaire qui active les cellules NK et déclenche une cascade de réponses immunitaires, y compris la cytotoxicité dépendante des granules et la production de cytokines pro-inflammatoires. Ces mécanismes contribuent à l'élimination des cellules infectées ou cancéreuses et à la régulation de la réponse immunitaire globale.

Il est important de noter que les récepteurs NKCLR-B peuvent également interagir avec des inhibiteurs de récepteurs, tels que les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) de classe I, qui aident à maintenir l'homéostasie et à prévenir une activation excessive des cellules NK. Un déséquilibre entre les signaux d'activation et d'inhibition peut entraîner une dysrégulation de la fonction des cellules NK, ce qui a été associé à diverses affections pathologiques, telles que les infections, le cancer et l'auto-immunité.

En résumé, les récepteurs NKCLR-B sont des molécules clés impliquées dans la régulation de la fonction des cellules NK. Leur interaction avec des ligands spécifiques déclenche une activation cellulaire et une cascade de réponses immunitaires qui contribuent à l'élimination des cellules cibles et à la modulation de la réponse immunitaire globale. Un dysfonctionnement des récepteurs NKCLR-B a été associé à diverses affections pathologiques, ce qui souligne l'importance de comprendre leurs rôles et interactions dans le contexte de la santé et de la maladie.

Les récepteurs de type lectine de la sous-famille A des cellules NK (NKCLR-A) font partie d'un groupe diversifié de récepteurs inhibiteurs et activateurs trouvés à la surface des cellules natural killer (NK). Ces récepteures jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité des cellules NK, qui sont des lymphocytes du système immunitaire responsables de la reconnaissance et de la destruction des cellules infectées ou cancéreuses.

Les NKCLR-A sont caractérisés par la présence d'un domaine de type lectine dans leur extrémité N-terminale, qui leur permet de se lier à des ligands spécifiques à la surface des cellules cibles. Ces ligands peuvent être des protéines de classe I du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) ou d'autres molécules exprimées par les cellules.

Les récepteurs NKCLR-A comprennent plusieurs membres, tels que NKG2A, NKG2C, NKG2D et d'autres. Alors que certains membres de cette sous-famille sont des récepteurs inhibiteurs qui aident à prévenir l'activation inappropriée des cellules NK contre les cellules saines exprimant des molécules CMH appropriées, d'autres sont des récepteurs activateurs qui favorisent l'activation et la cytotoxicité des cellules NK en présence de ligands spécifiques.

Dans l'ensemble, les NKCLR-A jouent un rôle essentiel dans la régulation de l'activité des cellules NK et contribuent à la reconnaissance et à l'élimination des cellules infectées ou cancéreuses par le système immunitaire.

Les lectines de type C sont une classe de protéines qui se lient spécifiquement aux sucres et sont largement distribuées dans la nature. Elles sont appelées ainsi en raison de leur structure protéique caractéristique, qui est similaire à celle d'une autre famille de lectines connue sous le nom de lectines de type C des mollusques.

Les lectines de type C humaines sont produites principalement par les cellules natural killer (NK) et certaines sous-populations de lymphocytes T. Elles se lient préférentiellement aux sucres complexes présents à la surface des membranes cellulaires, tels que les glycoprotéines et les gangliosides.

Les lectines de type C ont divers rôles dans le système immunitaire, notamment la régulation de l'activité des cellules NK et des lymphocytes T, ainsi que la modulation de l'inflammation et de l'immunité innée. Elles peuvent également jouer un rôle dans la reconnaissance et la destruction des cellules cancéreuses et des cellules infectées par des virus.

Certaines lectines de type C ont démontré des activités antimicrobiennes, antifongiques et antivirales in vitro, ce qui a suscité un intérêt pour leur potentiel thérapeutique dans le traitement des infections. Toutefois, il est important de noter que les lectines de type C peuvent également avoir des effets cytotoxiques et pro-inflammatoires indésirables, ce qui limite leur utilisation en médecine clinique.

Les récepteurs de type lectine de la sous-famille K des cellules NK (NKCLR-K) font partie d'un groupe diversifié de récepteurs inhibiteurs et activateurs trouvés à la surface des cellules natural killer (NK). Ces récepteures jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité des cellules NK, qui sont des lymphocytes du système immunitaire responsables de la reconnaissance et de la destruction des cellules infectées ou cancéreuses.

Les récepteurs NKCLR-K se lient spécifiquement aux ligands présentés sur les membranes cellulaires, y compris les molécules d'histocompatibilité majeures de classe I (MHC-I) et d'autres protéines. Lorsqu'ils se lient à leurs ligands appropriés, ces récepteurs transmettent des signaux intracellulaires qui influencent l'activité globale des cellules NK.

La sous-famille K des récepteurs de type lectine des cellules NK comprend plusieurs membres, tels que NKG2A, NKG2C, NKG2E et NKG2H. Ces récepteurs diffèrent par leur domaine extracellulaire, leur structure et leurs fonctions spécifiques. Alors que certains, comme NKG2A, sont principalement inhibiteurs et aident à prévenir l'activation des cellules NK contre les cellules saines exprimant des molécules MHC-I appropriées, d'autres, comme NKG2C, peuvent avoir un rôle activateur ou co-stimulateur dans la réponse immunitaire.

Dans l'ensemble, les récepteurs de type lectine de la sous-famille K des cellules NK sont essentiels pour maintenir l'homéostasie du système immunitaire et réguler l'activité des cellules NK dans la reconnaissance et l'élimination des cellules infectées ou cancéreuses.

Les récepteurs de type lectine des cellules tueuses naturelles (NK), également connus sous le nom de récepteurs de type C-type lectine-like ou récepteurs de type ly49, sont une famille de récepteurs inhibiteurs et activateurs trouvés à la surface des cellules tueuses naturelles (NK). Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité des cellules NK et contribuent au maintien de l'homéostasie du système immunitaire.

Les récepteurs de type lectine des cellules tueuses naturelles (NK) sont des protéines transmembranaires de type I qui présentent un domaine extracellulaire caractérisé par la présence d'un ou plusieurs domaines de type C-type lectine-like (CTL), suivi d'un domaine membranaire et d'un domaine cytoplasmique. Les domaines CTL sont des structures protéiques qui se lient spécifiquement aux sucres complexes présents à la surface des cellules, tels que les glycoprotéines et les glycolipides.

Les récepteurs de type lectine des cellules tueuses naturelles (NK) peuvent être classés en deux catégories principales : les récepteurs inhibiteurs et les récepteurs activateurs. Les récepteurs inhibiteurs, tels que les récepteurs ly49 et les récepteurs KIR (killer cell immunoglobulin-like receptors), se lient spécifiquement aux molécules de classe I du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) exprimées à la surface des cellules saines. Ce faisant, ils transduisent un signal inhibiteur qui empêche l'activation et la cytotoxicité des cellules NK contre ces cellules.

Les récepteurs activateurs de type lectine des cellules tueuses naturelles (NK), tels que les récepteurs NKG2D et les récepteurs NCR (natural cytotoxicity receptors), se lient à des ligands spécifiques exprimés à la surface de cellules présentant un stress ou une transformation maligne. Ces récepteurs activateurs transduisent un signal d'activation qui déclenche la cytotoxicité et la production de cytokines par les cellules NK contre ces cellules cibles.

Les récepteurs de type lectine des cellules tueuses naturelles (NK) jouent donc un rôle crucial dans la régulation de l'activation et de la cytotoxicité des cellules NK, en équilibrant les signaux inhibiteurs et activateurs pour assurer une réponse immunitaire appropriée contre les cellules saines et les cellules présentant un stress ou une transformation maligne.

Un récepteur immunologique est une protéine présente à la surface des cellules du système immunitaire qui est capable de reconnaître et se lier spécifiquement à des molécules étrangères ou des antigènes. Ce processus de liaison déclenche une réponse immunitaire pour combattre et éliminer ces substances étrangères de l'organisme. Les deux principaux types de récepteurs immunologiques sont les récepteurs d'antigène des lymphocytes B (BCR) et les récepteurs d'antigène des lymphocytes T (TCR). Les BCR se trouvent à la surface des lymphocytes B et se lient aux antigènes après qu'ils ont été traités par des cellules présentatrices d'antigène. Les TCR se trouvent à la surface des lymphocytes T et se lient directement aux peptides antigéniques présentés par les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) sur la surface des cellules présentatrices d'antigène.

Les cellules tueuses naturelles (NK, pour Natural Killer cells en anglais) sont un type de globules blancs (lymphocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire inné. Elles sont capables d'identifier et de détruire les cellules infectées par des virus, ainsi que les cellules cancéreuses, sans avoir besoin d'être activées préalablement.

Les cellules NK reconnaissent ces cellules anormales grâce à la présence de marqueurs spécifiques à leur surface, appelés récepteurs d'activation et d'inhibition. Lorsqu'une cellule NK rencontre une cellule infectée ou cancéreuse, elle évalue le rapport entre les signaux d'activation et d'inhibition. Si l'équilibre penche vers l'activation, la cellule NK libère des molécules cytotoxiques (comme la perforine et la granzyme) qui créent des pores dans la membrane de la cellule cible, entraînant sa mort.

Les cellules NK sont également capables de sécréter des cytokines, telles que l'interféron-γ (IFN-γ), qui contribuent à réguler la réponse immunitaire et à activer d'autres cellules du système immunitaire.

Une faible activité des cellules NK a été associée à un risque accru de développer certains types de cancer, ce qui souligne l'importance de ces cellules dans la surveillance et l'élimination des cellules cancéreuses.

CD36 est un type de protéine présent à la surface des cellules qui joue un rôle important dans le métabolisme et l'homéostasie des lipides. Il s'agit d'un antigène de cluster de différenciation (CD) qui est exprimé sur une variété de cellules, y compris les plaquettes, les monocytes, les macrophages et certaines cellules musculaires et adipeuses.

CD36 est également connu sous le nom de glycoprotéine IV, fatty acid translocase (FAT) ou scavenger receptor B2 (SR-B2). Il fonctionne comme un récepteur pour les acides gras à longue chaîne et les esters de cholestérol, ce qui permet aux cellules d'absorber et de métaboliser ces lipides.

CD36 joue également un rôle dans l'inflammation et l'immunité. Il peut servir de récepteur pour des pathogènes tels que les bactéries et les parasites, ce qui permet aux cellules immunitaires d'identifier et de combattre ces agents infectieux. De plus, CD36 peut être impliqué dans la présentation d'antigènes aux lymphocytes T, ce qui contribue à réguler la réponse immunitaire.

Des variations dans l'expression de CD36 ont été associées à un risque accru de maladies cardiovasculaires, de diabète et d'obésité. Des recherches sont en cours pour comprendre le rôle exact de CD36 dans ces conditions et pour évaluer son potentiel comme cible thérapeutique.

Les récepteurs de LDL oxydées (Ox-LDL) sont des protéines qui se lient spécifiquement aux lipoprotéines de basse densité (LDL) oxydées. Les LDL oxydées sont des molécules de LDL qui ont été modifiées chimiquement par l'oxydation, ce qui entraîne leur reconnaissance et leur internalisation par les récepteurs Ox-LDL.

Ces récepteurs sont exprimés dans divers types de cellules, y compris les macrophages, les cellules endothéliales et les cellules musculaires lisses vasculaires. Lorsque les LDL oxydées se lient aux récepteurs Ox-LDL, elles sont internalisées par les cellules et peuvent contribuer à l'accumulation de lipides dans les parois des vaisseaux sanguins, ce qui peut entraîner la formation de plaques d'athérome et augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.

Les récepteurs Ox-LDL jouent donc un rôle important dans le développement de l'athérosclérose, une maladie caractérisée par la formation de plaques dans les parois des artères. Des niveaux élevés de LDL oxydées et de récepteurs Ox-LDL ont été associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires, telles que l'infarctus du myocarde et l'accident vasculaire cérébral.

La mémoire immunologique est un aspect crucial du système immunitaire adaptatif qui fournit une réponse immunitaire plus rapide et plus efficace contre des agents pathogènes spécifiques lors d'une exposition ultérieure. Cela se produit grâce à la capacité de certains lymphocytes, comme les lymphocytes B et T, à se différencier en cellules mémoire après une première rencontre avec un antigène.

Lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme, ces cellules mémoire sont déjà sensibilisées et activées rapidement. Elles prolifèrent et sécrètent des quantités importantes d'anticorps ou tuent directement les cellules infectées par le pathogène. Ce processus permet au système immunitaire de se souvenir des menaces antérieures et d'y réagir plus efficacement, ce qui entraîne une réduction du temps nécessaire pour éliminer l'agent pathogène et une diminution de la gravité des symptômes associés à l'infection.

La mémoire immunologique est à la base des vaccinations : en exposant délibérément un individu à un antigène affaibli ou inactivé, on induit la différentiation de cellules mémoire spécifiques à cet antigène, offrant ainsi une protection contre les maladies graves sans avoir besoin d'une infection réelle.

Les lymphocytes T CD8+, également connus sous le nom de lymphocytes T cytotoxiques, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils aident à protéger l'organisme contre les infections virales et les cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD8+ sont capables de détecter et de tuer les cellules infectées par des virus ou présentant des antigènes anormaux, y compris les cellules cancéreuses. Ils reconnaissent ces cellules en se liant à des molécules d'antigène présentées à leur surface par des molécules du complexe majeur d'histocompatibilité de classe I (CMH-I).

Lorsqu'un lymphocyte T CD8+ reconnaît une cellule infectée ou anormale, il libère des molécules toxiques qui peuvent induire la mort de la cellule cible. Ce processus permet d'empêcher la propagation de l'infection ou la croissance des cellules cancéreuses.

Les lymphocytes T CD8+ sont produits dans le thymus et se développent à partir de précurseurs souches qui expriment des récepteurs d'antigène (TCR) alpha-beta ou gamma-delta. Les lymphocytes T CD8+ matures migrent ensuite vers le sang et les tissus périphériques, où ils peuvent être activés par des cellules présentatrices d'antigènes telles que les cellules dendritiques.

Un déficit quantitatif ou fonctionnel en lymphocytes T CD8+ peut entraîner une susceptibilité accrue aux infections virales et aux maladies auto-immunes, tandis qu'une activation excessive ou persistante des lymphocytes T CD8+ peut contribuer au développement de maladies inflammatoires et de troubles auto-immuns.

Un récepteur mitogène est un type de récepteur cellulaire qui se lie spécifiquement à des facteurs de croissance et à d'autres molécules de signalisation extracellulaires pour déclencher une cascade de réactions intracellulaires conduisant à la prolifération cellulaire, à la différenciation ou à la survie cellulaire. Les récepteurs mitogènes sont souvent des récepteurs transmembranaires qui possèdent une région extracellulaire pour la liaison du ligand et une région intracellulaire pour la transmission du signal.

Les récepteurs de facteur de croissance, les récepteurs de cytokines et les récepteurs hormonaux peuvent tous fonctionner comme des récepteurs mitogènes dans certaines circonstances. Lorsqu'un ligand se lie à un récepteur mitogène, il active une tyrosine kinase intrinsèque ou recrute une tyrosine kinase pour phosphoryler des protéines cibles spécifiques, ce qui déclenche une cascade de signalisation impliquant des voies telles que la voie MAPK/ERK, la voie PI3K/AKT et la voie JAK/STAT.

Les récepteurs mitogènes jouent un rôle crucial dans le développement, la croissance et la réparation tissulaire normaux, mais une activation anormale ou excessive de ces récepteurs peut contribuer au développement de maladies telles que le cancer.

"Nuclear Receptor Subfamily 4, Group A, Member 3" (NR4A3) est un type de récepteur nucléaire qui appartient à la famille des récepteurs nucléaires NR4A. Les récepteurs nucléaires sont une classe de protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant aux séquences d'ADN spécifiques dans les régions promotrices des gènes cibles.

NR4A3, également connu sous le nom de récepteur nucléaire orphelin 1 (NURR1), est un facteur de transcription qui joue un rôle important dans le développement et la fonction du système nerveux central, en particulier dans le développement des neurones dopaminergiques. Il est également impliqué dans la réponse au stress oxydatif et à l'inflammation.

Des mutations dans le gène NR4A3 ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que la maladie de Parkinson et les troubles du spectre autistique. De plus, des niveaux anormaux d'expression de NR4A3 ont été observés dans divers cancers, ce qui suggère qu'il pourrait également jouer un rôle dans le développement et la progression du cancer.

"Nuclear Receptor Subfamily 4, Group A, Member 2" (NR4A2) est un récepteur nucléaire qui appartient à la famille des récepteurs nucléaires NR4A. Les récepteurs nucléaires sont une classe de protéines transcriptionnelles régulatrices qui se lient aux séquences d'ADN spécifiques et régulent l'expression des gènes.

NR4A2, également connu sous le nom de récepteur nucléaire 4A2 ou Nurr1, est exprimé principalement dans le cerveau et joue un rôle important dans le développement et la fonction des neurones dopaminergiques. Il est également associé à la différenciation, la survie et l'homéostasie des cellules du système nerveux central.

Des mutations dans le gène NR4A2 ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que la maladie de Parkinson et les troubles du spectre autistique. De plus, des études ont montré que l'activation de NR4A2 peut avoir un effet neuroprotecteur dans certains modèles animaux de maladies neurologiques.

La souche de souris C57BL (C57 Black 6) est une souche inbred de souris labo commune dans la recherche biomédicale. Elle est largement utilisée en raison de sa résistance à certaines maladies infectieuses et de sa réactivité prévisible aux agents chimiques et environnementaux. De plus, des mutants génétiques spécifiques ont été développés sur cette souche, ce qui la rend utile pour l'étude de divers processus physiologiques et pathologiques. Les souris C57BL sont également connues pour leur comportement et leurs caractéristiques sensorielles distinctives, telles qu'une préférence pour les aliments sucrés et une réponse accrue à la cocaïne.

"Nuclear Receptor Subfamily 2, Group C, Member 2" est un terme technique qui se réfère à un type spécifique de récepteur nucléaire qui est codé par le gène NR2C2. Les récepteurs nucléaires sont une classe de protéines qui agissent comme des facteurs de transcription, ce qui signifie qu'ils régulent l'expression des gènes en se liant à l'ADN dans le noyau cellulaire.

Le récepteur nucléaire NR2C2 est membre de la sous-famille 2, groupe C, et il est spécifiquement connu sous le nom de récepteur de l'acide retinoïque gamma (RARγ). Il se lie à l'acide rétinoïque, une forme de vitamine A, qui joue un rôle important dans la régulation de la croissance cellulaire, de la différenciation et de l'apoptose (mort cellulaire programmée).

Le récepteur RARγ est également connu pour être impliqué dans divers processus physiologiques tels que le développement du système nerveux central, la fonction immunitaire et la réponse inflammatoire. Des mutations dans le gène NR2C2 peuvent entraîner des maladies génétiques telles que l'ichtyose congénitale, une maladie de la peau caractérisée par une sécheresse et une desquamation excessives.

"Nuclear Receptor Subfamily 4, Group A, Member 1" (NR4A1) est un terme qui désigne un type spécifique de récepteur nucléaire, qui sont des protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant à des séquences d'ADN spécifiques.

NR4A1 est également connu sous le nom de récepteur nucléaire orphelin 1 (NUR77) et est un membre de la famille des récepteurs nucléaires NR4A. Ces récepteurs sont souvent appelés "orphelins" car leur ligand, ou molécule qui se lie à eux pour activer leur fonction, n'a pas encore été identifié.

NR4A1 est exprimé dans une variété de tissus et joue un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que l'inflammation, la réponse au stress, la différenciation cellulaire et l'apoptose (mort cellulaire programmée). Des études ont montré que des niveaux anormaux d'expression de NR4A1 peuvent être associés à un certain nombre de maladies, y compris le cancer, les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.

En tant que tel, NR4A1 est considéré comme une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de ces maladies, et des recherches sont en cours pour développer des médicaments qui peuvent moduler son activité.

Les récepteurs des cellules tueuses naturelles (NK), également appelés récepteurs d'activation et d'inhibition des cellules NK, sont une classe de protéines exprimées à la surface des cellules tueuses naturelles (NK), un type de globule blanc impliqué dans la défense contre les infections et les tumeurs.

Les récepteurs d'activation des cellules NK, lorsqu'ils se lient à leurs ligands appropriés sur les cellules cibles, telles que les cellules infectées ou tumorales, déclenchent une activation de la cellule NK et l'initiation du processus de cytotoxicité contre ces cellules.

Les récepteurs d'inhibition des cellules NK, en revanche, se lient aux molécules dites "d'auto-antigène" présentes à la surface des cellules saines et normales de l'organisme, telles que les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) de classe I. Ce faisant, ils inhibent l'activation et la cytotoxicité des cellules NK contre ces cellules saines.

Ainsi, le système de récepteurs d'activation et d'inhibition des cellules NK permet une reconnaissance spécifique et une régulation fine de l'activité des cellules NK pour protéger les cellules saines de l'organisme contre la destruction tout en favorisant l'élimination des cellules infectées ou tumorales.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Les lectines sont des protéines végétales qui se lient spécifiquement et avec une forte affinité à des glucides ou des oligosaccharides. On les trouve dans une grande variété de plantes, y compris les légumineuses, les céréales, les fruits et les légumes. Les lectines peuvent avoir divers effets biologiques sur les animaux qui les consomment, notamment en ce qui concerne la digestion et l'absorption des nutriments. Certaines lectines sont connues pour être toxiques ou indigestes pour l'homme à des niveaux élevés de consommation, bien que de nombreuses lectines soient inactivées par la cuisson. Les lectines ont également été étudiées pour leurs propriétés immunologiques et leur potentiel dans le traitement du cancer.

"Nuclear Receptor Subfamily 1, Group F, Member 2" (NR1F2) est un terme technique en biologie et médecine qui se réfère à un type spécifique de récepteur nucléaire. Les récepteurs nucléaires sont des protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant aux séquences d'ADN spécifiques dans le noyau cellulaire.

Plus précisément, NR1F2 est un membre de la sous-famille 1 du groupe F des récepteurs nucléaires, également connu sous le nom de récepteur orphelin rétinoïde gamma (RORγ). Ce récepteur nucléaire joue un rôle important dans la régulation de l'expression des gènes qui sont liés à divers processus physiologiques, tels que l'immunité, l'inflammation et le métabolisme énergétique.

Des études ont montré que NR1F2 est exprimé dans une variété de tissus, y compris les cellules du système immunitaire, la peau, le foie et le cerveau. Des mutations ou des variations dans l'expression de ce gène peuvent être associées à un certain nombre de maladies, telles que les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires de l'intestin et certains types de cancer.

En résumé, NR1F2 est un récepteur nucléaire qui joue un rôle important dans la régulation de l'expression des gènes liés à divers processus physiologiques et peut être associé à certaines maladies lorsque sa fonction est altérée.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

En pharmacologie et en chimie, un ligand est une molécule ou un ion qui se lie de manière réversible à une protéine spécifique, généralement une protéine située sur la surface d'une cellule. Cette liaison se produit grâce à des interactions non covalentes telles que les liaisons hydrogène, les forces de Van der Waals et les interactions hydrophobes. Les ligands peuvent être des neurotransmetteurs, des hormones, des médicaments, des toxines ou d'autres molécules biologiquement actives.

Lorsqu'un ligand se lie à une protéine, il peut modifier sa forme et son activité, ce qui entraîne une réponse cellulaire spécifique. Par exemple, les médicaments peuvent agir comme des ligands en se liant à des protéines cibles pour moduler leur activité et produire un effet thérapeutique souhaité.

Il est important de noter que la liaison entre un ligand et une protéine est spécifique, ce qui signifie qu'un ligand donné se lie préférentiellement à une protéine particulière plutôt qu'à d'autres protéines. Cette spécificité est déterminée par la structure tridimensionnelle de la protéine et du ligand, ainsi que par les forces non covalentes qui les maintiennent ensemble.

En résumé, un ligand est une molécule ou un ion qui se lie réversiblement à une protéine spécifique pour moduler son activité et produire une réponse cellulaire spécifique.

"Nuclear Receptor Subfamily 2, Group C, Member 1" (NR2C1) est un terme technique utilisé en biologie moléculaire et en médecine pour décrire un type spécifique de récepteur nucléaire. Les récepteurs nucléaires sont des protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant à des séquences d'ADN spécifiques dans le noyau cellulaire.

NR2C1 est un membre de la sous-famille 2, groupe C, des récepteurs nucléaires, ce qui signifie qu'il partage une similitude de séquence et une fonction avec d'autres membres de cette sous-famille. Plus précisément, NR2C1 est un récepteur stéroïde/thyroïdien qui se lie aux hormones stéroïdes et thyroïdiennes pour réguler l'expression des gènes.

NR2C1 est également connu sous le nom de récepteur nucléaire orphelin TR4 (TR4) car il ne se lie pas aux ligands connus des autres récepteurs nucléaires stéroïdes/thyroïdiens. Au lieu de cela, il peut être activé par des molécules telles que le cholestérol et d'autres stérols, ainsi que par des interactions avec d'autres protéines.

Des études ont suggéré que NR2C1 joue un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que le métabolisme des lipides, la différenciation cellulaire, l'inflammation et le développement du cerveau. Des mutations dans le gène NR2C1 ont été associées à certaines maladies humaines, telles que l'obésité, le diabète de type 2 et les troubles neurodégénératifs.

La séquence d'acides aminés homologue se réfère à la similarité dans l'ordre des acides aminés dans les protéines ou les gènes de différentes espèces. Cette similitude est due au fait que ces protéines ou gènes partagent un ancêtre commun et ont évolué à partir d'une séquence originale par une série de mutations.

Dans le contexte des acides aminés, l'homologie signifie que les deux séquences partagent une similitude dans la position et le type d'acides aminés qui se produisent à ces positions. Plus la similarité est grande entre les deux séquences, plus il est probable qu'elles soient étroitement liées sur le plan évolutif.

L'homologie de la séquence d'acides aminés est souvent utilisée dans l'étude de l'évolution des protéines et des gènes, ainsi que dans la recherche de fonctions pour les nouvelles protéines ou gènes. Elle peut également être utilisée dans le développement de médicaments et de thérapies, en identifiant des cibles potentielles pour les traitements et en comprenant comment ces cibles interagissent avec d'autres molécules dans le corps.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Les glycoprotéines membranaires sont des protéines qui sont liées à la membrane cellulaire et comportent des chaînes de glucides (oligosaccharides) attachées à leur structure. Ces molécules jouent un rôle crucial dans divers processus cellulaires, tels que la reconnaissance cellulaire, l'adhésion cellulaire, la signalisation cellulaire et la régulation du trafic membranaire.

Les glycoprotéines membranaires peuvent être classées en différents types en fonction de leur localisation dans la membrane :

1. Glycoprotéines transmembranaires : Ces protéines traversent la membrane cellulaire une ou plusieurs fois et ont des domaines extracellulaires, cytoplasmiques et transmembranaires. Les récepteurs de nombreuses molécules de signalisation, telles que les hormones et les neurotransmetteurs, sont des glycoprotéines transmembranaires.
2. Glycoprotéines intégrales : Ces protéines sont fermement ancrées dans la membrane cellulaire grâce à une région hydrophobe qui s'étend dans la bicouche lipidique. Elles peuvent avoir des domaines extracellulaires et cytoplasmiques.
3. Glycoprotéines périphériques : Ces protéines sont associées de manière réversible à la membrane cellulaire par l'intermédiaire d'interactions avec d'autres molécules, telles que des lipides ou d'autres protéines.

Les glycoprotéines membranaires subissent souvent des modifications post-traductionnelles, comme la glycosylation, qui peut influencer leur fonction et leur stabilité. Des anomalies dans la structure ou la fonction des glycoprotéines membranaires peuvent être associées à diverses maladies, y compris les maladies neurodégénératives, les troubles immunitaires et le cancer.

Les récepteurs cytoplasmiques et nucléaires sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'interaction avec les molécules signalantes, telles que les hormones stéroïdes, les vitamines, les facteurs de croissance et les cytokines. Ces récepteurs sont localisés soit dans le cytoplasme des cellules soit dans le noyau.

Lorsqu'une molécule signalante se lie à un récepteur cytoplasmique, il en résulte généralement une cascade de réactions qui active diverses voies de transduction du signal, conduisant finalement à une modification de l'expression des gènes ou à d'autres réponses cellulaires. Les récepteurs cytoplasmiques n'ont pas la capacité intrinsèque de se lier à l'ADN et nécessitent souvent des co-activateurs pour initier la transcription des gènes.

D'autre part, les récepteurs nucléaires sont déjà présents dans le noyau et se lient directement à l'ADN lorsqu'ils sont activés par des molécules signalantes. Ils fonctionnent généralement comme des facteurs de transcription, se fixant directement sur les éléments de réponse spécifiques de l'ADN pour réguler l'expression des gènes cibles.

Dans l'ensemble, les récepteurs cytoplasmiques et nucléaires sont essentiels à la communication cellulaire et jouent un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, y compris la croissance, le développement, la différenciation et l'homéostasie.

"Nuclear Receptor Subfamily 6, Group A, Member 1" (NR6A1) est un terme technique utilisé dans le domaine de la médecine et de la biologie moléculaire pour décrire un type spécifique de récepteur nucléaire. Les récepteurs nucléaires sont des protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant à des séquences d'ADN spécifiques dans le noyau cellulaire.

Plus précisément, NR6A1 est un membre de la sous-famille 6, groupe A, des récepteurs nucléaires. Il s'agit d'un facteur de transcription stéroïdien/nucléaire qui joue un rôle crucial dans le développement et la différenciation des gonades, ainsi que dans la régulation du métabolisme énergétique.

Des mutations dans le gène NR6A1 ont été associées à une variété de troubles congénitaux, tels que le syndrome de Turner, qui est un trouble chromosomique caractérisé par l'absence totale ou partielle d'un chromosome X. Les personnes atteintes du syndrome de Turner présentent souvent des anomalies gonadiques, une stérilité et des caractéristiques physiques inhabituelles.

Des recherches supplémentaires sont en cours pour comprendre pleinement les fonctions de NR6A1 et son rôle dans le développement et la maladie humains.

La cytotoxicité immunologique est un processus dans lequel les cellules du système immunitaire identifient et détruisent les cellules anormales ou étrangères dans l'organisme. Cela se produit lorsque les cellules immunitaires, comme les lymphocytes T cytotoxiques (LTcyto), reconnaissent des antigènes spécifiques à la surface de ces cellules cibles. Les LTcyto libèrent alors des molécules cytotoxiques, telles que la perforine et la granzyme, qui créent des pores dans la membrane plasmique de la cellule cible, entraînant sa mort. Ce mécanisme est crucial pour éliminer les cellules cancéreuses, infectées par des virus ou simplement anormales, et aide à maintenir l'homéostasie de l'organisme. Dans un contexte médical, la cytotoxicité immunologique peut être potentialisée dans le cadre d'une immunothérapie contre le cancer pour améliorer la reconnaissance et la destruction des cellules cancéreuses par le système immunitaire.

Les récepteurs stéroïdes sont des protéines intracellulaires qui se lient spécifiquement à des molécules de stéroïdes et régulent ainsi la transcription des gènes, ce qui entraîne une variété de réponses physiologiques. Ils sont largement distribués dans les tissus cibles des hormones stéroïdiennes, y compris les œstrogènes, les androgènes, la progestérone, le cortisol et l'aldostérone.

Les récepteurs stéroïdes appartiennent à la superfamille des récepteurs nucléaires et possèdent des domaines de liaison aux ligands, des domaines de liaison à l'ADN et des domaines d'activation transcriptionnelle. Une fois liés au stéroïde correspondant, les récepteurs stéroïdes subissent un changement conformationnel qui permet leur dimérisation et leur liaison à des éléments de réponse spécifiques dans l'ADN. Cela conduit à la modulation de l'expression des gènes cibles, entraînant une variété de réponses cellulaires et physiologiques.

Les récepteurs stéroïdes jouent un rôle crucial dans divers processus physiologiques, tels que le développement sexuel, la fonction reproductive, la croissance osseuse, le métabolisme énergétique, l'homéostasie électrolytique et la réponse au stress. Les déséquilibres ou les mutations des récepteurs stéroïdes peuvent entraîner diverses affections médicales, telles que le cancer du sein, le cancer de la prostate, l'ostéoporose et les maladies endocriniennes.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

Les sous-populations de lymphocytes T, également connues sous le nom de sous-types de cellules T ou sous-ensembles de cellules T, se réfèrent à des groupes distincts de lymphocytes T qui expriment des combinaisons uniques de marqueurs de surface et possèdent des fonctions immunitaires spécifiques. Les principales sous-populations de lymphocytes T comprennent les lymphocytes T CD4+ (ou lymphocytes T helper) et les lymphocytes T CD8+ (ou lymphocytes T cytotoxiques).

1. Lymphocytes T CD4+ (lymphocytes T helper): Ces cellules possèdent le marqueur de surface CD4 et jouent un rôle crucial dans la régulation et la coordination des réponses immunitaires adaptatives. Elles sécrètent une variété de cytokines qui aident à activer d'autres cellules immunitaires, telles que les lymphocytes B, les macrophages et d'autres lymphocytes T. Les lymphocytes T CD4+ peuvent être subdivisés en plusieurs sous-populations supplémentaires, notamment Th1, Th2, Th17, Tfh (lymphocytes T folliculaires helper) et Treg (lymphocytes T régulateurs), chacune avec des fonctions et des profils de cytokines uniques.

2. Lymphocytes T CD8+ (lymphocytes T cytotoxiques): Ces cellules expriment le marqueur de surface CD8 et sont spécialisées dans la destruction directe des cellules infectées ou cancéreuses. Elles reconnaissent et se lient aux cellules présentant des antigènes (CPA) via leur récepteur des lymphocytes T (TCR), puis libèrent des molécules cytotoxiques, telles que la perforine et la granzyme, pour induire l'apoptose de la cellule cible.

D'autres sous-populations de lymphocytes T comprennent les lymphocytes T γδ (gamma delta) et les lymphocytes T invariant NKT (iNKT). Les lymphocytes T γδ représentent une petite population de lymphocytes T qui expriment un récepteur des lymphocytes T distinct composé d'une chaîne gamma et d'une chaîne delta. Ils sont capables de reconnaître directement les antigènes sans la présentation par les CPA et jouent un rôle important dans la défense contre les infections et le cancer, ainsi que dans la régulation des réponses immunitaires. Les lymphocytes T iNKT sont une population unique de lymphocytes T qui expriment à la fois des marqueurs de cellules NK et un récepteur des lymphocytes T invariant spécifique pour la présentation d'antigènes lipidiques par les CD1d, une molécule de présentation d'antigènes non classique. Ils sont capables de produire rapidement de grandes quantités de cytokines et jouent un rôle crucial dans la régulation des réponses immunitaires innées et adaptatives.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

"Nuclear Receptor Subfamily 1, Group D, Member 1" (NR1D1) est un récepteur nucléaire qui appartient à la famille des récepteurs nucléaires activés par les lipides. Il est également connu sous le nom de récepteur orphelin Rev-erbα.

Le NR1D1 joue un rôle important dans la régulation de l'horloge circadienne, qui est le mécanisme interne qui régule les rythmes biologiques sur une période d'environ 24 heures. Il agit comme un transcripteur négatif de plusieurs gènes clés qui sont impliqués dans la régulation de l'horloge circadienne, y compris le gène ARNTL (BMAL1).

Le NR1D1 est également connu pour réguler d'autres processus physiologiques tels que le métabolisme des lipides et du glucose, l'inflammation et la réponse immunitaire. Des études ont montré que des perturbations de l'expression de NR1D1 peuvent être associées à diverses maladies, y compris les troubles du sommeil, le diabète et les maladies cardiovasculaires.

La recherche sur le NR1D1 est en cours pour comprendre pleinement ses fonctions et son rôle dans la régulation des processus physiologiques et pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies associées à des perturbations de l'horloge circadienne.

SelsNK Cell Lectin-Like Receptor Subfamily DNK Cell Lectin-Like Receptor Subfamily CInterféron Type IiImmunoglobuline G ...

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