Pyrimidines avec un Ribose attachée qui peut être phosphorylé en forme de nucléotides pyrimidine.
Bases des purines ou des pyrimidines attaché à un Ribose ou deoxyribose. (Du roi & Stansfield, Un Dictionary of Genetics, 4ème éditeur)
Pentosyltransférases que catalyser la réaction entre un antimétabolite nucléoside et Orthophosphate pour former une libre la pyrimidine et ribose-5-phosphate.
Purines avec un Ribose attachée qui peut être phosphorylé en des nucléotides puriques.
Pyrimidines avec un Ribose et de la phosphorémie attachée qui peut former des ADN et ARN.
Une enzyme qui catalyse le transfert de Ribose de uridine à Orthophosphate, formant uracile et Ribose 1-phosphate.
Une famille de 6-membered composés hétérocycliques survenant dans la nature, dans une large variété de formes, y compris plusieurs acides nucléiques électeurs (cytosine, thymine ; et uracile) et la forme de la structure de barbituriques.
Protéines impliqué dans le transporteur de nucléosides sur membranes cellulaires.
L'uridine est une nucléoside constituée d'un ribose lié à un groupe uracile, jouant un rôle crucial dans les processus métaboliques et synthèse des acides nucléiques tels que l'ARN.
Enzymes du transférase classe qui catalysent pentose du transfert d'un groupe d'un traitement pour une autre.
Un antimétabolite nucléoside c'est composé de la base cytosine lié au sucre à cinq carbones D-RIBOSE.
2 '-Deoxyuridine. Antimétabolite qui est convertie en triphosphate deoxyuridine pendant la synthèse ADN. Laboratoire la suppression de deoxyuridine est utilisé pour le diagnostic anemias mégaloblastique due à la vitamine B12 et en acide folique.
Une enzyme qui catalyse la phosphorylation de la cytidine uridine et de la cytidine uridine 5 '-Phosphate et 5' -Phosphate, respectivement. ATP, dUTP, dGTP et dATP sont efficaces disodique donneurs. CE 2.7.1.48.
En microtubules trouvé dans chaînes d'ADN endommagé par les rayons UV RAYS. Ils sont composés de deux nucléotides pyrimidine adjacent, généralement thymine nucléotides, dans lequel le noyau pyrimidine sont rejoint par un résidu de façon covalente cyclobutane bague. Ces en microtubules bloc ADN REPLICATION.
Sulfhydryle analogue qui inhibe le transport de l'inosine nucléosidiques sur les rapports érythrocytes membranes, et a des propriétés immunosuppressives. Il a été utilisé de façon mercaptopurine dans le traitement d'une leucémie. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p503)
Un sous-type du transporteur de protéines sensibles à l'inhibition induite par 4-nitrobenzylthioinosine.
Avec une activité antiarythmique vasodilatateur coronaire.
C'est un antimétabolite nucléoside guanine lié par son N9 azote aux C1 carbone Ribose. C'est un composant de l'acide ribonucléique et ses nucléotides jouer également un rôle important dans le métabolisme de la 28e Dorland. (Éditeur)
C'est un antimétabolite antinéoplasiques métabolisée en 5-fluorouracile administré par une injection rapide ; après administration par perfusion lente, intra- artérielle et continue, il est converti en floxuridine monophosphate. Il a été utilisé pour traiter des métastases hépatiques à des adénocarcinomes mammaires et pour palliation de tumeurs malignes du foie et le tractus gastro-intestinal.
Une base liés à des purines ou des pyrimidines DEOXYRIBOSE.
La thymidine est une désoxynucléotide constituée d'une base azotée, la thymine, liée à un pentose, le déoxyribose, et à un groupe phosphate, jouant un rôle crucial dans la synthèse de l'ADN.
Nucléosides dans laquelle la base des purines ou des pyrimidines est combinée à la 28e Dorland Ribose. (Éditeur)
Une enzyme qui catalyse le transfert de 2-deoxy-D-ribose de la thymidine à Orthophosphate, la thymidine libérateur ainsi.
Une enzyme qui catalyse la conversion de l'ATP et de la thymidine ADP et thymidine 5 '-Phosphate. Désoxyuridine peut agir comme un acceptor et dGTP comme donneur. (De Enzyme nomenclature, 1992) CE 2.7.1.21.
Un sous-type du transporteur de protéines qui est insensible à l'inhibition induite par 4-nitrobenzylthioinosine.
Un genre de petits vers plats des oiseaux et les mammifères.
Un antiviral dérivé de la thymidine utilisé principalement dans le traitement des crises kératoconjonctivite et récurrente due à une kératite épithéliales HERPES SIMPLEX. (Virus de la Pharmacopée supplémentaires Martindale, 30, Ed, p557)
L'uracile est une base nucléique présente dans les acides nucléiques ribonucléiques (ARN), où elle forme des paires de bases avec l'adénine par l'intermédiaire de deux liaisons hydrogène, et joue un rôle crucial dans la réplication, la transcription et la traduction de l'information génétique.
Un nucléotide uracilique est un composant des acides nucléiques, spécifiquement dans l'ARN, où l'uracile remplace la thymine trouvée dans les nucléotides désoxyribonucléiques (DNAs).
Une classe de composés organiques contenant deux bague structures, dont est faite de plus d'un atome de carbone, habituellement plus atome. Le heterocycle soit nonaromatic ou aromatique.
Une série de composés qui sont différents hétérocycliques substituée dans la nature et qui sont connus aussi comme purine bases. Ils comprennent les électeurs guanine, adénine et d'acides nucléiques ainsi que beaucoup de seigle comme CAFFEINE et théophylline. Acide urique est le produit final du métabolisme des purines métabolique.
Un antibiotique purine ribonucleoside que facilement substituts des adénosine dans le système biologique, mais son incorporation dans l'ADN et ARN a un effet inhibiteur sur le métabolisme de ces acides nucléiques.
Une enzyme qui catalyse réversibles indésirables à des inhibiteurs nucléosidiques triphosphate, par exemple, ATP, avec un analogue nucléosidique monophosphate, e. g., UMP, pour former l'ATP et UDP. Plusieurs analogues nucléosidiques monophosphates peut agir comme acceptor tandis que beaucoup ribo- et triphosphates deoxyribonucleoside peut agir comme donneur. CE 2.7.4.4.
Protéines Monomériques unités dont l'ADN ou d'ARN polymères sont construits. Ils sont constituées d ’ un des purines ou des pyrimidines pentose base, un sucre, et du phosphate. (Groupe de King & Stansfield, Un Dictionary of Genetics, 4ème éditeur)
Les évolutions du taux de produit chimique ou systèmes physiques.
La classe des inhibiteurs nucléosidiques transporteurs Sodium-Independent qui interviennent dans la Facilitative transporteur de nucléosides.
Purine bases liés à hypoxanthine, un des biens intermédiaires de synthèse d ’ acide urique et un produit de dégradation de l ’ adénine catabolisme.
C'est un analogue nucléosidique composé de l ’ adénine et D-RIBOSE. Adénosine ou adénosine dérivés biologique joue beaucoup de rôles dans plus d'être composantes de l ’ ADN et ARN. Adénosine lui-même est un neurotransmetteur.
Agents utilisés en prévention ou le traitement de maladies. VIRUS quelques uns des moyens elles peuvent inclure empêchant la réplication virale en inhibant l'ADN polymérase virale ; se lie spécifiquement aux récepteurs de surface inhibant viral et pénétration ou Uncoating ; inhibant la synthèse des protéines virales ; ou bloquant stades avancés de virus assemblée.
Un gros groupe d'enzymes comprenant non seulement ces transférer disodique mais aussi diphosphate, nucleotidyl résidu, et les autres. Ces ont également été divisé selon le acceptor. (Groupe de Enzyme nomenclature, 1992) CE 2.7.
Une caractéristique caractéristique de l ’ activité enzymatique en relation avec le genre de substrat à laquelle l ’ enzyme ou molécule catalytique réagit.
Un inhibiteur de la phosphodiestérase qui bloque transport et le métabolisme de l'adénosine par les érythrocytes et de thrombose vasculaire des cellules endothéliales. Dipyridamole aussi antiaggregating potentialise l ’ action de prostacycline. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p752)
Une enzyme qui catalyse la réaction entre... et un antimétabolite nucléoside purique Orthophosphate pour former une libre plus ribose-5-phosphate. CE 2.4.2.1.
La relation entre la structure chimique d'un composé biologique ou et son activité pharmacologique. Composés sont souvent considérés ensemble parce qu'ils ont en commun caractéristiques structurelles incluant forme, taille, stereochemical arrangement, et la distribution des groupes fonctionnels.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Protéines membranaires dont la fonction principale est de faciliter le transport de molécules à travers une membrane biologique. Mentionnées dans cette catégorie sont des protéines impliqué dans transport actif, (DES) PRINCIPE (S) D ’ ORIGINE BIOLOGIQUE ET TRANSPORTER), a facilité le transport et ION CHANNELS.
C'est un antimétabolite nucléoside hypoxanthine liés au N9 azote aux C1 carbone Ribose. C'est un intermédiaire dans la dégradation de purines et de type purine dans l ’ acide urique et de la purine récupération, ça se produit aussi dans le transfert anticodon de certaines molécules Dorland, 28. (Éditeur)
L'emplacement des atomes, groupes ou ions relative à un autre dans une molécule, ainsi que le nombre, type et la zone de liaisons covalentes.
La désoxycytidine est un nucléoside constitué d'une base azotée, la cytosine, liée à un pentose, la désoxyribose, qui joue un rôle crucial dans la réplication et la transcription de l'ADN.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Une enzyme présente dans mitochondies et soluble dans le cytoplasme des cellules. Il y a catalyse réversibles indésirables à des inhibiteurs nucléosidiques triphosphate, par exemple, ATP, avec un la nucléoside diphosphate, e. g., UDP, pour former l'ATP et UTF. Plusieurs analogues nucléosidiques diphosphates peut agir comme acceptor, tandis que beaucoup d'ribo- et triphosphates deoxyribonucleoside peut agir comme donneur. CE 2.7.4.6.
Une enzyme qui catalyse une endonucleolytic décolleté près de la pyrimidine en microtubules pour produire un produit 5 '-Phosphate. L ’ enzyme ADN endommagé agit sur le Strand, du 5' côté endommagée du site.
Un polymère qui est le principal désoxyribonucléotidique matériel génétique des cellules eucaryotes. Et facteur D'organismes contiennent l'ADN bicaténaire normalement dans un état, mais plusieurs grandes régions monobrin implique des procédés biologiques initialement réparti. ADN, qui consiste en un pilier polysugar-phosphate possédant des projections des purines (adénine et thymine pyrimidines (guanine) et et cytosine), formes une double hélice qui doit être maintenue par liaisons hydrogène entre ces purines et en thymine et adénine pyrimidines (guanine à cytosine).
L'acide orotique est un composé intermédiaire dans la biosynthèse des pyrimidines, qui peut s'accumuler en excès dans l'organisme en raison de troubles génétiques ou d'une carence en certaines enzymes, entraînant une acidurie orotique, une condition pouvant provoquer des anomalies congénitales et des problèmes rénaux.
Le mouvement de matériaux (y compris des substances biochimiques et drogues) dans un système biologique au niveau cellulaire. Le transport peut être à travers la membrane cellulaire et gaine épithéliale. Ça peut aussi survenir dans les compartiments et intracellulaire compartiment extracellulaire.
Purines attaché à un Ribose et du phosphate qui peut former des ADN et ARN.
Cette partie du spectre électromagnétique immédiatement inférieur au champ de fréquences radio et ça s'étend dans la plus longueurs d'onde (near-UV ou ou biotique rayons vitaux sont nécessaires pour la synthèse endogène de vitamine D et appelle aussi rayons antirachitic ; court, ondes ionisantes (far-UV ou ou abiotique extravital rayons sont viricidal, bactéricide mutagène et carcinogène, et sont utilisées comme désinfectants.
Le type espèces de SIMPLEXVIRUS causant la plupart des formes de non-genital herpes simplex chez l'homme. Principal infection survient principalement chez les nourrissons et jeunes enfants, les virus devient latente dans la racine dorsale ganglion. C'est ensuite périodiquement réactivé pendant toute la vie qui cause des conditions bénignes la plupart du temps.
Spectroscopiques mode de mesurer le moment magnétique n 'entre particules élémentaires tels que les noyaux atomiques, protons et électrons. C'est employée dans les applications comme NMR Tomography (MAGNETIC RESONANCE IMAGING).
L ’ enzyme catalysant la formation de orotidine-5 '-phosphoric acide chlorhydrique (orotidylic orotic) de l'acide et 5-phosphoribosyl-1-pyrophosphate au cours de la pyrimidine nucléotidiques la biosynthèse. CE 2.4.2.10.
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Les protéines de transport qui transportent spécifiquement des substances dans le sang ou à travers la membrane cellulaire.
De type pyrazolopyrimidine dont la nocardia interforma ribonucleosides isolé des antibiotiques et antinéoplasiques. Elles sont propriétés cytostatique.
Nucléosidiques modifiée un qui est présent dans la première position du anticodon de tRNA-tyrosine, tRNA-histidine, tRNA-asparagine et acide tRNA-aspartic de plusieurs organismes considéré que c'est jouer un rôle dans la fonction réglementaire de tRNA. Nucléoside Q peut être à nouveau modifié pour nucléoside Q *, qui a une fraction du mannose ou galactose liée à la position 4 de ses cyclopentenediol azotée.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
Un antimétabolite fondamentale de base et un adénine nucléotides.
Une enzyme qui catalyse l ’ hydrolyse de les nucléosides triphosphates à des analogues nucléosidiques diphosphates. Il peut aussi catalyser l'hydrolyse des nucléotidiques triphosphates, thymine, diphosphates diphosphates FAD. Et les inhibiteurs nucléosidiques triphosphate Phosphohydrolases I et II sont sous-types de l ’ enzyme qui sont trouve surtout dans les virus.
Une enzyme qui, au cours de la biosynthèse de la pyrimidine, catalyse cyclisation de par l'élimination de l'eau de N-carbamoylaspartate céder dihydro-orotic acide. CE 3.5.2.3.
Une enzyme qui catalyse the reactivation UV-irradiated par la lumière de l'ADN. Ça me brise deux carbon-carbon bonds in pyrimidine en microtubules en ADN.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
La normalité de la solution par rapport à l'eau ; les ions H +. C'est lié à acidité mesures dans la plupart des cas par pH = log [1 / 1 / 2 (H +)], où (H +) est la concentration d'ions d'hydrogène équivalents en gramme par litre de solution. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Une enzyme qui catalyse la conversion de la carbamoyl phosphate et L-aspartate céder Orthophosphate et N-carbamoyl-L-aspartate. (De Enzyme nomenclature, 1992) CE 2.1.3.2.
Adénosine molécules qui peut être substitué en position, mais il manque 1 sont dans le groupe hydroxyle Ribose partie de la molécule.

Les nucléosides pyrimidiques sont des composés bioorganiques essentiels à la structure et au fonctionnement de l'acide désoxyribonucléique (ADN) et de l'acide ribonucléique (ARN), qui sont les matériaux génétiques fondamentaux dans les cellules vivantes. Un nucléoside est un glycosylamine constituée d'une base nucléique liée à un pentose, soit le désoxyribose ou le ribose. Les pyrimidines sont des bases nucléiques simples qui comprennent la cytosine (C), l'uracile (U) et le thymine (T).

Dans les nucléosides pyrimidiques, la base nucléique est attachée à un pentose via une liaison glycosidique. Lorsque le sucre est un désoxyribose, on parle de désoxynucléoside et lorsqu'il s'agit d'un ribose, on parle de nucléoside. Par conséquent, les principaux nucléosides pyrimidiques sont :

1. Cytidine (Cyd) : cytosine + désoxyribose ou ribose
2. Uracile désoxyriboside (dUrd) : uracile + désoxyribose
3. Thymidine (Thd) : thymine + désoxyribose

Ces nucléosides pyrimidiques jouent un rôle crucial dans la biosynthèse des acides nucléiques, où ils sont d'abord phosphorylés pour former des nucléotides. Ces nucléotides sont ensuite utilisés comme matériaux de construction pour synthétiser l'ADN et l'ARN pendant la réplication et la transcription de l'information génétique.

Il est important de noter que les nucléosides pyrimidiques sont souvent ciblés dans le traitement du cancer, car ils interfèrent avec la synthèse des acides nucléiques et provoquent ainsi l'arrêt de la croissance cellulaire. Les médicaments antiviraux utilisés pour traiter les infections à VIH ciblent également ces nucléosides pyrimidiques, empêchant le virus de se répliquer et de se propager dans l'organisme.

Un nucléoside est un composé organique essentiel dans la biologie, qui se compose d'une base nucléique combinée à un pentose (un sucre à cinq carbones). Les nucléosides sont formés lorsque une base nucléique réagit avec un ribose ou un désoxyribose sous l'action d'une enzyme appelée kinase.

Dans le contexte de la génétique et de la biologie moléculaire, les nucléosides jouent un rôle crucial dans la structure de l'ADN et de l'ARN, qui sont des polymères constitués de nucléotides répétitifs. Chaque nucléotide est formé d'une base nucléique, d'un pentose et d'un ou plusieurs groupes phosphate. Lorsque plusieurs nucléotides sont liés par des liaisons phosphodiester entre les groupes phosphate et le pentose du nucléoside adjacent, ils forment une chaîne de polynucléotides qui constitue la structure de base de l'ADN ou de l'ARN.

Les bases nucléiques peuvent être des purines (adénine et guanine) ou des pyrimidines (thymine, uracile et cytosine). Ainsi, les nucléosides peuvent être classés en fonction de la base nucléique qu'ils contiennent, comme l'adénosine (avec une base adénine), la guanosine (avec une base guanine), la thymidine (avec une base thymine) et ainsi de suite.

Les nucléosides ont une grande importance en médecine, en particulier dans le traitement des maladies virales et néoplasiques. Certains médicaments antiviraux et anticancéreux sont des analogues de nucléosides, qui imitent la structure des nucléosides naturels mais interfèrent avec les processus de réplication de l'ADN ou de l'ARN, entraînant ainsi une inhibition de la croissance et de la propagation des virus ou des cellules cancéreuses.

Les pyrimidine phosphorylases sont des enzymes qui catalysent la réaction de phosphorolyse des nucléosides de pyrimidine, produisant une base de pyrimidine et un déshydroxyribose-1-phosphate. Il existe deux types principaux de pyrimidine phosphorylases : la thymidine phosphorylase (TP) et l'uridine phosphorylase (UP).

La thymidine phosphorylase est responsable de la dégradation de la thymidine en thymine et déshydroxyribose-1-phosphate. Elle joue également un rôle important dans l'angiogenèse, la croissance des vaisseaux sanguins, ce qui en fait une cible thérapeutique possible pour le traitement de certains cancers.

L'uridine phosphorylase, quant à elle, catalyse la réaction de dégradation de l'uridine en uracile et déshydroxyribose-1-phosphate. Elle est importante dans le métabolisme des nucléosides et joue un rôle dans la régulation de la concentration d'uridine dans l'organisme.

Ces enzymes sont présentes dans de nombreux tissus, y compris le foie, les reins et les intestins, et sont également exprimées dans certaines cellules tumorales. Les pyrimidine phosphorylases sont importantes pour la biosynthèse des nucléotides et jouent un rôle crucial dans la régulation de la concentration de nucléosides et de bases de pyrimidine dans l'organisme.

Un nucléoside purique est un type de nucléoside qui se compose d'une base purine, qui est attachée à un sucre pentose. Les bases puriques les plus courantes dans les nucléosides sont l'adénine (A) et la guanine (G). Dans les nucléosides puriques, ces bases sont liées à un sucre de ribose ou de désoxyribose.

Les nucléosides puriques jouent un rôle crucial dans la structure et la fonction de l'ADN et de l'ARN, qui sont des macromolécules essentielles à la réplication, la transcription et la traduction de l'information génétique. Les nucléosides puriques peuvent être modifiés chimiquement pour produire des médicaments antiviraux et anticancéreux puissants. Par exemple, les analogues de nucléosides puriques tels que l'azidothymidine (AZT) et le ganciclovir sont largement utilisés dans le traitement du VIH / sida et des infections à cytomégalovirus, respectivement.

Un nucléotide pyrimidique est un type de nucléotide présent dans l'acide désoxyribonucléique (ADN) et l'acide ribonucléique (ARN). Les nucléotides sont les unités de base qui composent ces acides nucléiques, chacun contenant un sucre, un groupe phosphate et une base azotée.

Les nucléotides pyrimidiques ont une base azotée qui contient un seul cycle aromatique à six membres, appelé le noyau pyrimidique. Il existe trois types de nucléotides pyrimidiques : la thymine (T) et l'uracile (U) dans l'ADN et l'ARN respectivement, et le cytosine (C) présent dans les deux.

Par conséquent, dans un contexte médical ou biochimique, une définition plus précise de 'nucléotide pyrimidique' serait : "un nucléotide contenant une base azotée avec un noyau pyrimidique à six membres, qui peut être soit de la thymine (dans l'ADN), de l'uracile (dans l'ARN) ou de la cytosine, qui est présente dans les deux."

L'uridine phosphorylase est un type d'enzyme qui joue un rôle important dans le métabolisme des nucléosides, y compris l'uridine. Cette enzyme est responsable de la catalyse de la réaction de déphosphorylation de l'uridine en uracile et ribose-1-phosphate.

L'uridine phosphorylase est présente dans de nombreux tissus corporels, y compris le foie, les reins, la rate, les intestins et le cerveau. Elle est également exprimée à la surface des cellules tumorales, où elle participe au métabolisme des nucléosides pour répondre aux besoins accrus en énergie et en matériaux de construction pour la croissance et la division cellulaires rapides.

L'activité de l'uridine phosphorylase est régulée par plusieurs facteurs, y compris les niveaux d'uridine et d'autres nucléosides dans le corps. Des taux élevés d'uridine peuvent inhiber l'activité de cette enzyme, tandis que des niveaux faibles peuvent l'activer.

L'uridine phosphorylase est également une cible thérapeutique potentielle pour le traitement du cancer. Des inhibiteurs spécifiques de cette enzyme ont été développés et sont à l'étude dans des essais cliniques pour déterminer leur efficacité dans le traitement de divers types de cancer.

Les pyrimidines sont un type de base nucléique qui fait partie de l'ADN et de l'ARN. Elles comprennent trois composés chimiques principaux : la cytosine, la thymine (qui est uniquement trouvée dans l'ADN) et l'uracile (qui est trouvée dans l'ARN au lieu de la thymine). Les pyrimidines sont des composés aromatiques hétérocycliques à deux cycles, ce qui signifie qu'ils contiennent de l'azote et du carbone dans leur structure.

Dans l'ADN, les pyrimidines se lient aux purines (une autre base nucléique) pour former des paires de bases : la cytosine s'associe toujours à la guanine, et la thymine s'associe toujours à l'adénine. Ces paires de bases sont maintenues ensemble par des liaisons hydrogène, ce qui permet de stocker et de transmettre des informations génétiques.

Dans l'ARN, les pyrimidines fonctionnent de manière similaire, mais la thymine est remplacée par l'uracile. Les pyrimidines sont essentielles au métabolisme et à la croissance des cellules, et des anomalies dans leur structure ou leur fonctionnement peuvent entraîner diverses affections médicales, telles que des mutations génétiques et certains types de cancer.

Les protéines de transport des nucléosides sont un type spécifique de protéines qui facilitent le mouvement des nucléosides à travers les membranes cellulaires. Les nucléosides sont des molécules organiques constituées d'une base nucléique et d'un pentose (sucre à cinq atomes de carbone). Ils jouent un rôle crucial dans la biosynthèse des acides nucléiques, qui sont essentiels au stockage et à la transmission de l'information génétique.

Les protéines de transport des nucléosides sont classées en deux catégories : les équipatrices et les symporteurs. Les équipatrices facilitent le mouvement des nucléosides dans les deux sens à travers la membrane, sans consommer d'énergie. En revanche, les symporteurs transportent simultanément un nucléoside et une molécule de solute (généralement un ion) dans la même direction, ce processus étant couplé à un gradient de concentration ou à un flux d'électrons.

Ces protéines sont essentielles au maintien de l'homéostasie cellulaire et jouent un rôle important dans divers processus physiologiques, tels que la régulation du métabolisme des nucléosides et la réponse aux stress environnementaux. Des anomalies dans les protéines de transport des nucléosides ont été associées à plusieurs maladies humaines, notamment des troubles neurologiques et des désordres métaboliques.

L'uridine est un nucléoside constitué d'un ribose (une pentose) et d'uracile, qui est l'une des bases azotées trouvées dans les acides nucléiques, comme l'ARN. Il joue un rôle crucial dans la synthèse des protéines, le métabolisme énergétique et la réplication de l'ARN. L'uridine peut être trouvée dans divers aliments, tels que les levures, les graines de fenugrec, les champignons et certaines algues. Elle est également disponible sous forme de complément alimentaire et est parfois utilisée pour traiter certaines affections, telles que les troubles neurologiques et les maladies du foie.

Les pentosyltransférases sont un groupe d'enzymes qui catalysent le transfert d'un groupe pentose (un sucre à cinq carbones) d'un composé donneur à un accepteur acceptant ce groupe. Ces enzymes jouent un rôle crucial dans divers processus métaboliques, tels que la biosynthèse des acides nucléiques et la dégradation des glucides.

Un exemple bien connu de pentosyltransférase est l'enzyme responsable du transfert d'un groupe ribose d'un nucléotide à un autre, appelée ribonucléotide réductase. Cette enzyme est essentielle pour la biosynthèse des désoxynucléotides, qui sont les blocs de construction de l'ADN.

Les pentosyltransférases peuvent également être importantes dans le contexte des maladies, car certaines mutations de ces enzymes peuvent entraîner des troubles métaboliques graves. Par exemple, une forme rare de anémie hémolytique est causée par une mutation dans l'enzyme pentosyltransférase qui catalyse le transfert d'un groupe xylose sur l'hème, un composant clé des globules rouges.

La cytidine est un nucleoside composé d'une base nucléique, la cytosine, et d'un pentose, le ribose. Il s'agit d'un des quatre nucleosides qui constituent les building blocks des acides nucléiques, l'ADN et l'ARN. Dans l'ADN et l'ARN, la cytidine est combinée avec un ou plusieurs résidus de phosphate pour former des désoxicytidine monophosphate (dCMP), désoxicytidine diphosphate (dCDP) et désoxicytidine triphosphate (dCTP). Ces composés jouent un rôle crucial dans la synthèse de l'ADN et de l'ARN, ainsi que dans d'autres processus métaboliques.

La cytidine est également disponible sous forme de supplément nutritionnel et peut être utilisée pour traiter certaines conditions médicales, telles que les troubles neurologiques et hématologiques. Il a été démontré qu'il possède des propriétés antivirales et peut être utilisé dans le traitement de l'hépatite C.

Il est important de noter que la cytidine doit être utilisée avec prudence, car une consommation excessive peut entraîner des effets indésirables tels qu'une toxicité hépatique et rénale. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout supplément nutritionnel ou traitement médical.

La désoxyuridine est un nucléoside naturel, composé d'une base azotée, la thymine, et du désoxyribose, un sucre à cinq carbones. Il s'agit d'un constituant important de l'ADN, où il forme une paire de bases avec l'adénine grâce aux liaisons hydrogène. Dans l'organisme humain, la désoxyuridine est présente en petites quantités et joue un rôle dans le métabolisme des acides nucléiques. Cependant, une augmentation anormale des taux de désoxyuridine peut indiquer une anomalie ou une maladie, comme une carence en folates ou une infection virale.

L'uridine kinase est un type d'enzyme qui catalyse la phosphorylation de l'uridine en uridine monophosphate (UMP) en utilisant une molécule d'ATP comme donneur de phosphate. Cette réaction est importante dans le métabolisme des nucléotides et joue un rôle clé dans la biosynthèse des acides nucléiques, y compris l'ARN et l'ADN.

Il existe deux isoformes d'uridine kinase chez les mammifères : UCK1 (uridine-cytidine kinase 1) et UCK2 (uridine-cytidine kinase 2). Ces enzymes sont régulées de manière complexe et jouent un rôle important dans la réponse cellulaire au stress oxydatif, à l'hypoxie et à d'autres conditions métaboliques. Les mutations dans les gènes codant pour ces enzymes peuvent entraîner des troubles métaboliques et neurologiques.

L'uridine kinase est également une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de certains cancers, car elle est souvent surexprimée dans les tumeurs malignes et peut contribuer à la résistance à la chimiothérapie. Des inhibiteurs spécifiques de l'uridine kinase sont actuellement à l'étude en tant qu'agents anticancéreux prometteurs.

Un pyrimidine dimère est un type de lésion de l'ADN qui se produit lorsque deux pyrimidines adjacentes sur la même chaîne d'ADN sont liées par des ponts covalents. Cette liaison est généralement causée par une exposition à des radiations ultraviolettes, en particulier aux longueurs d'onde de 200 à 300 nanomètres. Les pyrimidines les plus souvent touchées sont la thréonine et la cytosine.

Les pyrimidines dimères peuvent entraîner des mutations génétiques, car ils peuvent empêcher la réplication et la transcription de l'ADN. Dans certains cas, ces mutations peuvent conduire au développement de cancer, en particulier lorsqu'elles se produisent dans les gènes qui régulent la croissance cellulaire.

Les pyrimidines dimères sont réparés par une protéine appelée photolyase, qui utilise l'énergie de la lumière pour cliver le pont covalent et rétablir la structure normale de l'ADN. Cependant, en l'absence de lumière, les pyrimidines dimères peuvent également être réparés par un processus plus complexe appelé excision nucléotidique, qui implique l'enlèvement et la resynthèse des segments d'ADN endommagés.

Je suis désolé, mais il y a apparemment une petite erreur dans votre requête. Il n'existe pas de terme médical spécifique connu sous le nom de "Thioinosine". Cependant, l'inosine est un composé qui joue un rôle important dans la biologie cellulaire et moléculaire. L'inosine peut être méthylation pour former la thioinosine, mais cela n'est pas directement lié au domaine médical.

Si vous cherchiez une définition médicale de l'inosine, elle est décrite comme un nucléoside purique qui se forme à partir de l'hydrolyse de l'AMP (adénosine monophosphate) et peut également être trouvée dans certains ARN de transfert. L'inosine joue un rôle important dans la régulation de l'expression des gènes, la synthèse des protéines et la réponse au stress cellulaire.

Si vous aviez des questions ou des préoccupations supplémentaires concernant d'autres termes médicaux ou des sujets liés à la santé, n'hésitez pas à me les poser.

Je suis désolé, mais "Dilazep" ne semble pas être un terme reconnu dans le domaine médical ou pharmacologique commun. Il est possible que ce soit le nom d'une substance spécifique à une région ou à une langue particulière, ou peut-être qu'il y a une faute d'orthographe.

Dans certains contextes, il pourrait se référer à un médicament utilisé dans le traitement de certaines conditions cardiovasculaires, mais même dans ce cas, il est peu courant et ne fait pas partie des termes médicaux largement reconnus. Je vous encourage donc à vérifier l'orthographe ou à fournir plus de contexte pour que je puisse vous fournir une réponse plus précise.

La guanosine est un nucléoside, ce qui signifie qu'elle est composée d'une base azotée et d'un pentose (un sucre à cinq carbones). Plus précisément, la guanosine est formée par l'association de la base purique appelée guanine et du ribose.

Dans l'organisme, les nucléosides comme la guanosine jouent un rôle crucial dans la synthèse des acides nucléiques, tels que l'ADN et l'ARN. L'ADN contient quatre bases azotées différentes : adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T). Quant à l'ARN, il contient de l'adénine, de la guanine, de la cytosine et de l'uracile (U) à la place de la thymine.

La guanosine est donc un composant essentiel des macromolécules qui stockent et transmettent les informations génétiques dans les cellules vivantes. Elle intervient également dans d'autres processus biochimiques, tels que la signalisation cellulaire et l'activation de certaines enzymes.

Il est important de noter qu'une consommation excessive de suppléments de guanosine peut entraîner des effets indésirables, comme des maux de tête, des nausées, des vomissements et une élévation des taux d'acide urique dans le sang. Par conséquent, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments contenant de la guanosine ou d'autres nucléosides.

La floxuridine est un médicament antimétabolite utilisé dans le traitement du cancer. Il s'agit d'un type de médicament qui interfère avec la croissance et la reproduction des cellules cancéreuses. La floxuridine est une forme modifiée de l'acide désoxyuridique, un composant normal des acides nucléiques dans les cellules du corps.

Dans le corps, la floxuridine est convertie en floxuridine monophosphate, qui inhibe ensuite l'enzyme thymidylate synthase. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la production de thymidine, un composant important des acides nucléiques nécessaires à la réplication et à la division cellulaires. En inhibant cette enzyme, la floxuridine empêche les cellules cancéreuses de se diviser et de croître.

La floxuridine est généralement administrée par injection dans une veine (voie intraveineuse) ou sous forme de suppositoire rectal. Les effets secondaires courants comprennent des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, de la diarrhée, des lésions buccales et une fatigue accrue. La floxuridine peut également affaiblir le système immunitaire, ce qui rend les patients plus susceptibles aux infections.

Il est important de noter que la floxuridine ne doit être utilisée que sous la supervision d'un médecin qualifié et dans le cadre d'un plan de traitement complet contre le cancer.

Un désoxyribonucléoside est un composé bioorganique important qui se compose d'une base nucléique (adénine, guanine, cytosine ou thymine) liée à un pentose désoxysugar (désoxyribose). Ils jouent un rôle crucial dans la structure et la fonction de l'ADN, qui est une molécule essentielle pour le stockage, la réplication et la transmission de l'information génétique dans les cellules vivantes.

Les désoxyribonucléosides sont formés lorsque une base nucléique réagit avec un désoxynucléotide pour former un composé appelé désoxyribonucléotide, qui est le bloc de construction des molécules d'ADN. Les désoxyribonucléosides peuvent être libérés à partir de l'ADN par l'action d'enzymes spécifiques telles que les nucléases, ce qui peut entraîner la dégradation ou la modification de l'ADN.

Les désoxyribonucléosides ont une importance clinique significative car ils sont souvent utilisés dans le diagnostic et le traitement des maladies liées à l'ADN, telles que les troubles génétiques et certains types de cancer. Ils peuvent également être utilisés comme médicaments antiviraux pour traiter les infections causées par des virus qui intègrent leur matériel génétique dans l'ADN des cellules hôtes, tels que le VIH et l'herpès.

La thymidine est un nucléoside constitué d'une base azotée, la thymine, et du sucre pentose désoxyribose. Elle joue un rôle crucial dans la biosynthèse de l'ADN, où elle est intégrée sous forme de désoxynucléotide de thymidine (dTTP). La thymidine est essentielle à la réplication et à la réparation de l'ADN. Elle est également importante dans le métabolisme cellulaire, en particulier pendant la phase S du cycle cellulaire, lorsque la synthèse d'ADN a lieu. Des carences en thymidine peuvent entraîner une instabilité génomique et des mutations, ce qui peut avoir des conséquences néfastes sur la croissance, le développement et la fonction cellulaire normaux.

Un ribonucléoside est un composé organique constitué d'une base nucléique, soit adénine (A), uracile (U), guanine (G), ou cytosine (C), liée à un pentose, qui est le désoxyribose dans les désoxynucléotides et le ribose dans les ribonucléotides. Les ribonucléosides jouent un rôle crucial dans la synthèse des acides nucléiques, tels que l'ARN, et sont essentiels à la biosynthèse des protéines, au métabolisme énergétique et à d'autres processus cellulaires importants. Les ribonucléosides peuvent être trouvés sous forme de monophosphates, de diphosphates ou de triphosphates dans les cellules vivantes.

La thymidine phosphorylase est un type d'enzyme qui joue un rôle important dans le métabolisme des purines et des pyrimidines, qui sont des composants clés des acides nucléiques trouvés dans l'ADN et l'ARN.

Plus précisément, la thymidine phosphorylase est responsable de la catalyse de la réaction de déphosphorylation de la thymidine en thymine et à deux désoxyriboses. Ce processus est crucial pour la régulation des niveaux de thymidine dans l'organisme, ainsi que pour la fourniture de substrats pour la biosynthèse d'autres composés importants.

Dans le contexte médical, la thymidine phosphorylase a été étudiée pour son rôle possible dans le développement et la progression du cancer. Des niveaux élevés de cette enzyme ont été détectés dans certains types de tumeurs malignes, ce qui suggère qu'elle peut contribuer à la croissance et à la propagation des cellules cancéreuses. Par conséquent, la thymidine phosphorylase est considérée comme une cible potentielle pour le développement de nouveaux traitements contre le cancer.

La thymidine kinase est un type d'enzyme qui joue un rôle crucial dans le processus de réplication et de réparation de l'ADN dans les cellules. Plus spécifiquement, elle catalyse la phosphorylation de la thymidine en thymidine monophosphate (dTMP), qui est ensuite utilisée dans la biosynthèse des désoxynucléotides et donc dans la synthèse de l'ADN.

Il existe deux isoformes principales de cette enzyme : la thymidine kinase 1 (TK1), qui est principalement exprimée dans les cellules en phase de division du cycle cellulaire, et la thymidine kinase 2 (TK2), qui est exprimée de manière constitutive dans toutes les cellules.

Des taux élevés de TK1 peuvent être détectés dans le sang en présence d'une prolifération cellulaire anormale, comme cela peut être le cas dans certaines maladies, telles que les infections virales ou certains types de cancer. Par conséquent, la mesure des activités de la TK1 peut être utilisée comme marqueur diagnostique pour détecter et surveiller ces conditions.

Hymenolepis est un genre de ténias (vers plats) qui sont des parasites intestinaux communs chez l'homme et certains animaux. Les deux espèces les plus courantes qui infectent l'homme sont Hymenolepis nana et Hymenolepis diminuta.

Hymenolepis nana, également connu sous le nom de "ténia du rat", est le plus petit ténia chez l'homme, mesurant généralement moins de 2 centimètres à maturité. Il se complète son cycle de vie dans un seul hôte humain, ce qui rend sa transmission très efficace par voie fécale-orale, souvent via des aliments ou de l'eau contaminés.

D'autre part, Hymenolepis diminuta, également connu sous le nom de "ténia du rat norvégien", est plus grand, atteignant généralement une longueur de 20 à 60 centimètres. Son cycle de vie nécessite deux hôtes : un hôte intermédiaire (généralement un insecte) et un hôte définitif (généralement un rongeur, mais parfois un humain). L'homme peut être infecté en mangeant des aliments contaminés par les larves du parasite présentes dans les excréments d'un rongeur infecté ou indirectement via l'ingestion d'insectes hôtes intermédiaires infestés.

Les infections à Hymenolepis peuvent provoquer une variété de symptômes, notamment des douleurs abdominales, de la diarrhée, des nausées, une perte d'appétit et un inconfort général. Dans certains cas, les infections peuvent être asymptomatiques. Le diagnostic est généralement posé en identifiant les œufs ou les segments du ver dans les selles. Les traitements antiparasitaires sont généralement efficaces pour éliminer l'infection.

La trifluorothymidine (TFT) est un antiviral fluoré qui est utilisé dans le traitement du virus de l'herpès simplex (HSV) et du virus varicelle-zona (VZV). Il s'agit d'un analogue de nucléoside qui est incorporé dans l'ADN viral pendant la réplication, entraînant l'inhibition de la synthèse de l'ADN et la mort des cellules infectées.

La trifluorothymidine est souvent utilisée en combinaison avec d'autres médicaments antiviraux pour traiter les infections oculaires à HSV et VZV, telles que la kératite herpétique et l'uvéite. Il est disponible sous forme de gouttes ophtalmiques et est généralement bien toléré, bien qu'il puisse provoquer des effets secondaires tels que une irritation oculaire, une rougeur et un larmoiement.

Il est important de noter que la trifluorothymidine ne doit être utilisée que sous la supervision d'un médecin et selon les directives posologiques recommandées, car une utilisation excessive ou prolongée peut entraîner des effets secondaires indésirables tels que des dommages au foie et aux reins.

L'uracile est une base nucléique qui fait partie de la structure de l'ARN, contrairement à l'ADN qui contient de la thymine à sa place. L'uracile s'appaire avec l'adénine via deux liaisons hydrogène lors de la formation de la double hélice d'ARN. Dans le métabolisme des nucléotides, l'uracile est dérivé de la cytosine par désamination. En médecine, des taux anormalement élevés d'uracile dans l'urine peuvent indiquer certaines conditions, telles qu'un déficit en enzyme cytosine déaminase ou une infection des voies urinaires.

Un nucléotide uracilique est un type de nucléotide qui contient l'uracile comme base nucléique. Les nucléotides sont les unités de construction des acides nucléiques, tels que l'ADN et l'ARN. Dans l'ADN, la base uracile est remplacée par la thymine. Cependant, dans l'ARN, l'uracile s'associe à l'adénine via deux liaisons hydrogène, ce qui contribue à la structure et à la fonction de l'ARN. Les nucléotides uraciliques jouent donc un rôle crucial dans la synthèse et le fonctionnement de l'ARN, y compris les ARN messagers (ARNm), les ARN ribosomaux (ARNr) et les ARN de transfert (ARNt).

Les composés hétérocycliques à deux noyaux sont des molécules organiques qui contiennent au moins deux cycles aromatiques ou semi-aromatiques, dans lesquels au moins un atome du cycle est un hétéroatome autre que l'azote ou le carbone. Les hétéroatomes couramment trouvés dans ces composés comprennent l'oxygène, le soufre et le sélénium.

Ces composés sont importants en médecine car ils peuvent être utilisés comme médicaments ou comme intermédiaires dans la synthèse de médicaments. Certains composés hétérocycliques à deux noyaux ont des activités biologiques intéressantes, telles que des propriétés anti-inflammatoires, antivirales, antibactériennes et anticancéreuses.

Cependant, certains composés hétérocycliques peuvent également être toxiques ou cancérigènes, en fonction de leur structure chimique spécifique. Par conséquent, il est important de comprendre la structure et les propriétés de ces composés pour évaluer leur potentiel thérapeutique et leur risque toxicologique.

Les purines sont des bases azotées qui forment, avec les pyrimidines, la structure moléculaire des acides nucléiques, tels que l'ADN et l'ARN. Les purines comprennent l'adénine (A) et la guanine (G). Elles jouent un rôle crucial dans la synthèse de l'ADN, l'ARN, l'ATP (adénosine triphosphate), les coenzymes, ainsi que dans divers processus métaboliques. Les purines sont dégradées en acide urique, qui est excrété dans l'urine. Des taux élevés d'acide urique peuvent entraîner des maladies telles que la goutte et la néphrolithiase (calculs rénaux).

Je suis désolé, mais le terme "Tubercidine" ne semble pas avoir de définition médicale spécifique. Il s'agit plutôt d'un composé chimique qui appartient à la classe des antibiotiques aminoside. La tubercidine est un produit naturel isolé pour la première fois à partir du champignon Streptomyces krestomucigenus. Elle a été étudiée dans le contexte de la recherche biomédicale, y compris comme un agent anticancéreux potentiel et contre la tuberculose, d'où son nom. Cependant, elle n'est pas largement utilisée en médecine clinique.

La nucleoside phosphate kinase est un type d'enzyme qui joue un rôle crucial dans le métabolisme des nucléotides. Plus précisément, cette enzyme catalyse la transfert d'un groupe phosphate d'un nucléoside triphosphate (NTP) à un nucléoside monophosphate (NMP), produisant ainsi un nucléoside diphosphate (NDP) et un nucléoside triphosphate restant.

Cette réaction est essentielle pour maintenir l'équilibre des différents types de nucléotides dans la cellule, ce qui est important pour divers processus cellulaires tels que la biosynthèse de l'ADN et de l'ARN. Il existe plusieurs isoformes de nucleoside phosphate kinase, chacune ayant des préférences spécifiques en termes de substrats nucléosidiques.

Les déficits en activité de nucleoside phosphate kinase peuvent entraîner des troubles métaboliques et neurologiques graves, tels que l'ataxie sévère, la neuropathie sensorielle et la démyélinisation, comme c'est le cas dans certaines formes de maladies héréditaires du métabolisme telles que la maladie de Leigh.

Un nucléotide est l'unité structurelle et building block fondamental des acides nucléiques, tels que l'ADN et l'ARN. Il se compose d'une base azotée (adénine, guanine, cytosine, uracile ou thymine), d'un pentose (ribose ou désoxyribose) et d'un ou plusieurs groupes phosphate. Les nucléotides sont liés les uns aux autres par des liaisons phosphodiester pour former une chaîne, créant ainsi la structure en double hélice de l'ADN ou la structure à simple brin de l'ARN. Les nucléotides jouent un rôle crucial dans le stockage, la transmission et l'expression de l'information génétique, ainsi que dans divers processus biochimiques, tels que la signalisation cellulaire et l'énergétique.

En médecine et en pharmacologie, la cinétique fait référence à l'étude des changements quantitatifs dans la concentration d'une substance (comme un médicament) dans le corps au fil du temps. Cela inclut les processus d'absorption, de distribution, de métabolisme et d'excrétion de cette substance.

1. Absorption: Il s'agit du processus par lequel une substance est prise par l'organisme, généralement à travers la muqueuse gastro-intestinale après ingestion orale.

2. Distribution: C'est le processus par lequel une substance se déplace dans différents tissus et fluides corporels.

3. Métabolisme: Il s'agit du processus par lequel l'organisme décompose ou modifie la substance, souvent pour la rendre plus facile à éliminer. Ce processus peut également activer ou désactiver certains médicaments.

4. Excrétion: C'est le processus d'élimination de la substance du corps, généralement par les reins dans l'urine, mais aussi par les poumons, la peau et les intestins.

La cinétique est utilisée pour prédire comment une dose unique ou répétée d'un médicament affectera le patient, ce qui aide à déterminer la posologie appropriée et le schéma posologique.

L'hypoxanthine est un composé organique qui appartient à la classe des purines. Dans le métabolisme des nucléotides, l'hypoxanthine est un produit intermédiaire de la dégradation de l'adénosine et de la guanosine. Elle peut être convertie en xanthine par l'action de l'enzyme hypoxanthine-guanine phosphoribosyltransférase, puis en urate par l'action de la xanthine oxydase. Des niveaux élevés d'hypoxanthine dans le sang peuvent indiquer une dégradation accrue des nucléotides, ce qui peut être observé dans certaines conditions pathologiques telles que les maladies hématologiques, les infections et l'insuffisance rénale. Cependant, il est important de noter que l'hypoxanthine n'est pas couramment utilisée comme marqueur clinique pour ces conditions.

L'adénosine est un nucléoside qui se compose d'une base azotée appelée adénine et un sucre à cinq carbones appelé ribose. Elle joue plusieurs rôles importants dans l'organisme, notamment en tant que composant des acides nucléiques (ADN et ARN) et en tant que molécule de signalisation intracellulaire.

Dans le contexte médical, l'adénosine est souvent utilisée comme médicament pour traiter certaines affections cardiaques, telles que les troubles du rythme cardiaque supraventriculaires (SRVT). Lorsqu'elle est administrée par voie intraveineuse, l'adénosine peut provoquer une brève interruption de l'activité électrique du cœur, ce qui permet au muscle cardiaque de retrouver un rythme normal.

L'adénosine est également produite naturellement dans le corps en réponse à l'exercice physique ou au stress. Elle peut agir comme un neurotransmetteur et jouer un rôle dans la régulation de la vigilance, de l'anxiété et du sommeil.

Les effets secondaires courants de l'adénosine comprennent des sensations d'oppression thoracique, des étourdissements, des maux de tête, des palpitations cardiaques et une sensation de chaleur ou de picotement dans le corps. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

Les médicaments antiviraux sont un type de médicament utilisé pour traiter les infections causées par des virus. Contrairement aux antibiotiques, qui tuent les bactéries, les antiviraux interfèrent avec la capacité du virus à se répliquer dans les cellules hôtes.

Les antiviraux sont spécifiques au type de virus qu'ils traitent et peuvent être utilisés pour traiter une variété d'infections virales, y compris l'herpès, la grippe, le VIH/SIDA, l'hépatite B et C, et certains types de virus respiratoires.

Les antiviraux fonctionnent en ciblant des parties spécifiques du cycle de réplication virale, telles que l'entrée du virus dans la cellule hôte, la transcription de l'ARN en ADN, la traduction de l'ARN messager en protéines virales ou l'assemblage et la libération de nouveaux virus.

En interférant avec ces étapes, les antiviraux peuvent empêcher la propagation du virus dans le corps et aider à réduire la gravité des symptômes de l'infection. Cependant, comme les virus peuvent évoluer rapidement et développer une résistance aux médicaments, il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de prendre le médicament conformément aux recommandations du médecin pour minimiser le risque de développement d'une résistance.

Les phosphotransférases sont des enzymes (plus précisément, des transferases) qui catalysent le transfert d'un groupe phosphate d'un donneur de phosphate à un accepteur de phosphate. Ce processus est crucial dans de nombreux processus métaboliques, tels que la glycolyse et la photosynthèse.

Les phosphotransférases peuvent être classées en fonction du type de donneur de phosphate. Par exemple, les kinases transfèrent un groupe phosphate à partir d'ATP (adénosine triphosphate), tandis que les phosphatases le retirent. Les phosphotransférases peuvent également être classées en fonction du type d'accepteur de phosphate, comme les protéines, les lipides ou les glucides.

Il est important de noter que l'activité des phosphotransférases est régulée dans la cellule pour maintenir un équilibre métabolique approprié. Des anomalies dans l'activité des phosphotransférases peuvent entraîner diverses maladies, telles que le diabète et certains types de cancer.

La « Spécificité selon le substrat » est un terme utilisé en pharmacologie et en toxicologie pour décrire la capacité d'un médicament ou d'une substance toxique à agir spécifiquement sur une cible moléculaire particulière dans un tissu ou une cellule donnée. Cette spécificité est déterminée par les propriétés chimiques et structurelles de la molécule, qui lui permettent de se lier sélectivement à sa cible, telles qu'un récepteur, un canal ionique ou une enzyme, sans affecter d'autres composants cellulaires.

La spécificité selon le substrat est importante pour minimiser les effets secondaires indésirables des médicaments et des toxines, car elle permet de cibler l'action thérapeutique ou toxique sur la zone affectée sans altérer les fonctions normales des tissus environnants. Cependant, il est important de noter que même les molécules les plus spécifiques peuvent avoir des effets hors cible à des concentrations élevées ou en présence de certaines conditions physiologiques ou pathologiques.

Par exemple, un médicament conçu pour se lier spécifiquement à un récepteur dans le cerveau peut également affecter d'autres récepteurs similaires dans d'autres organes à des doses plus élevées, entraînant ainsi des effets secondaires indésirables. Par conséquent, la spécificité selon le substrat est un facteur important à prendre en compte lors du développement et de l'utilisation de médicaments et de substances toxiques.

Le dipyridamole est un médicament qui appartient à une classe de médicaments appelés agents antiplaquettaires. Il agit en empêchant les plaquettes sanguines de coller ensemble et de former des caillots sanguins. Le dipyridamole est souvent utilisé en combinaison avec l'aspirine pour prévenir les accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes qui ont déjà eu un AVC ou un mini-AVC (également appelé attaque ischémique transitoire ou AIT).

Le dipyridamole peut également être utilisé pour d'autres indications, telles que le traitement de l'angine de poitrine (douleur thoracique causée par une réduction du flux sanguin vers le muscle cardiaque) et la prévention de la coagulation sanguine pendant les procédures médicales telles que les angioplasties coronaires.

Le dipyridamole est disponible sous forme de comprimés et est généralement pris deux à trois fois par jour, selon la prescription du médecin. Les effets secondaires courants du dipyridamole peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, des nausées, des vomissements, de la diarrhée et des douleurs abdominales. Dans de rares cas, le dipyridamole peut également provoquer une baisse de la pression artérielle ou une augmentation du rythme cardiaque.

Il est important de noter que le dipyridamole peut interagir avec d'autres médicaments, notamment les anticoagulants, les antiplaquettaires et les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO), il est donc essentiel d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre du dipyridamole.

La purine nucléoside phosphorylase est un type d'enzyme impliquée dans la régulation du métabolisme des purines dans le corps humain. Plus précisément, cette enzyme catalyse la réaction de déphosphorylation des nucléosides de purine (comme l'inosine et la guanosine) en leurs bases nucléiques correspondantes (l'hypoxanthine et la guanine) et en ribose-1-phosphate.

Cette réaction est importante pour le recyclage des purines dans l'organisme, car elle permet de récupérer les bases nucléiques qui peuvent ensuite être réutilisées pour synthétiser de nouveaux nucléotides. La purine nucléoside phosphorylase joue également un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre entre les différentes formes de purines dans le corps, ce qui est important pour maintenir la stabilité et la fonctionnalité des cellules.

Des défauts ou des mutations dans le gène codant pour cette enzyme peuvent entraîner une maladie génétique rare appelée déficit en purine nucléoside phosphorylase, qui se caractérise par une accumulation anormale de nucléosides de purine dans l'organisme et une susceptibilité accrue aux infections.

La relation structure-activité (SAR, Structure-Activity Relationship) est un principe fondamental en pharmacologie et toxicologie qui décrit la relation entre les caractéristiques structurales d'une molécule donnée (généralement un médicament ou une substance chimique) et ses effets biologiques spécifiques. En d'autres termes, il s'agit de l'étude des relations entre la structure chimique d'une molécule et son activité biologique, y compris son affinité pour des cibles spécifiques (telles que les récepteurs ou enzymes) et sa toxicité.

L'analyse de la relation structure-activité permet aux scientifiques d'identifier et de prédire les propriétés pharmacologiques et toxicologiques d'une molécule, ce qui facilite le processus de conception et de développement de médicaments. En modifiant la structure chimique d'une molécule, il est possible d'optimiser ses effets thérapeutiques tout en minimisant ses effets indésirables ou sa toxicité.

La relation structure-activité peut être représentée sous forme de graphiques, de tableaux ou de modèles mathématiques qui montrent comment différentes modifications structurales affectent l'activité biologique d'une molécule. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour guider la conception rationnelle de nouveaux composés chimiques ayant des propriétés pharmacologiques et toxicologiques optimisées.

Il est important de noter que la relation structure-activité n'est pas toujours linéaire ou prévisible, car d'autres facteurs tels que la biodisponibilité, la distribution, le métabolisme et l'excrétion peuvent également influencer les effets biologiques d'une molécule. Par conséquent, une compréhension approfondie de ces facteurs est essentielle pour développer des médicaments sûrs et efficaces.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Le transport membranaire par protéines est un processus actif dans lequel des molécules spécifiques sont transportées à travers la membrane cellulaire grâce à l'action de protéines spécialisées. Ces protéines forment des canaux ou des pompes qui permettent le passage de certaines molécules contre leur gradient de concentration, ce qui signifie que ces molécules sont transportées d'une zone de faible concentration vers une zone de haute concentration. Ce processus nécessite de l'énergie, généralement sous forme d'ATP (adénosine triphosphate).

Il existe deux types de transport membranaire par protéines : le transport passif et le transport actif. Le transport passif se produit lorsque les molécules traversent la membrane sans dépenser d'énergie, simplement en profitant d'un gradient de concentration existant. Le transport actif, en revanche, nécessite l'utilisation d'énergie pour transporter les molécules contre leur gradient de concentration.

Le transport membranaire par protéines est essentiel au fonctionnement normal des cellules, car il permet de réguler la composition du cytoplasme et de maintenir un environnement interne stable. Il joue également un rôle clé dans le métabolisme cellulaire, la communication cellulaire et la signalisation.

Inosine est une substance chimique organique qui joue un rôle important dans le métabolisme des purines, un type de molécule présent dans l'ADN et l'ARN. Elle est produite dans l'organisme lorsque les cellules décomposent les purines en excès ou endommagées.

Inosine peut également être trouvée dans certains aliments, tels que la viande, le poisson et les noix. Dans le corps, inosine est convertie en hypoxanthine, une base nucléique qui peut être utilisée pour synthétiser de l'ADN et de l'ARN.

Inosine a également démontré des propriétés anti-inflammatoires et immunomodulatrices, ce qui en fait un sujet d'intérêt dans la recherche médicale pour le traitement de diverses maladies, y compris les maladies neurodégénératives et les lésions tissulaires. Cependant, des études supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement ses effets et son potentiel thérapeutique.

En termes médicaux, la structure moléculaire fait référence à l'arrangement spécifique et organisé des atomes au sein d'une molécule. Cette structure est déterminée par les types de atomes présents, le nombre d'atomes de chaque type, et les liaisons chimiques qui maintiennent ces atomes ensemble. La structure moléculaire joue un rôle crucial dans la compréhension des propriétés chimiques et physiques d'une molécule, y compris sa réactivité, sa forme et sa fonction dans le contexte biologique. Des techniques telles que la spectroscopie, la diffraction des rayons X et la modélisation informatique sont souvent utilisées pour déterminer et visualiser la structure moléculaire.

La désoxycytidine est un nucléoside constitué d'une base nucléique, la cytosine, et du désoxyribose, qui est un pentose (sucre à cinq atomes de carbone) dérivé du ribose par perte d'un groupe hydroxyle (-OH) en position 2'. Dans l'ADN, les désoxycytidines sont liées entre elles par des ponts phosphodiesters pour former des brins complémentaires avec les désoxyguanidines. La désoxycytidine joue un rôle crucial dans la réplication et la transcription de l'ADN, ainsi que dans la régulation de l'expression génétique. Elle est également utilisée en thérapie anticancéreuse sous forme de médicaments tels que le cytarabine (ara-C), un analogue synthétique de la désoxycytidine, qui interfère avec la réplication de l'ADN dans les cellules cancéreuses.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

La nucleoside diphosphate kinase (NDK) est une enzyme présente dans presque tous les organismes vivants, y compris les bactéries, les archées et les eucaryotes. Elle joue un rôle crucial dans le métabolisme des nucléotides en catalysant la transphosphorylation réversible entre deux nucleosides tri- ou diphosphates.

L'équation chimique générale pour cette réaction est :

NTP + NDP ↔ NDP + NTP

où NTP représente un nucléoside triphosphate (comme ATP, GTP, CTP ou UTP) et NDP représente un nucléoside diphosphate (comme ADP, GDP, CDP ou UDP).

Cette enzyme participe à la régulation de l'équilibre entre les différents types de nucléotides dans la cellule, ce qui est essentiel pour divers processus métaboliques, tels que la biosynthèse des acides nucléiques, la phosphorylation oxydative et le contrôle de la signalisation cellulaire.

Dans l'organisme humain, plusieurs isoformes de NDK ont été identifiées, chacune ayant des expressions tissulaires et des fonctions spécifiques. Par exemple, certaines isoformes sont liées à la membrane mitochondriale, tandis que d'autres se trouvent dans le cytoplasme ou sont sécrétées dans l'espace extracellulaire. Des preuves croissantes suggèrent que les déséquilibres dans l'activité de NDK peuvent contribuer au développement et à la progression de diverses maladies, y compris le cancer et les maladies neurodégénératives.

L'ADN (acide désoxyribonucléique) est une molécule complexe qui contient les instructions génétiques utilisées dans le développement et la fonction de tous les organismes vivants connus et certains virus. L'ADN est un long polymère d'unités simples appelées nucléotides, avec des séquences de ces nucléotides qui forment des gènes. Ces gènes sont responsables de la synthèse des protéines et de la régulation des processus cellulaires.

L'ADN est organisé en une double hélice, où deux chaînes polynucléotidiques s'enroulent autour d'un axe commun. Les chaînes sont maintenues ensemble par des liaisons hydrogène entre les bases complémentaires : adénine (A) avec thymine (T), et guanine (G) avec cytosine (C).

L'ADN est présent dans le noyau de la cellule, ainsi que dans certaines mitochondries et chloroplastes. Il joue un rôle crucial dans l'hérédité, la variation génétique et l'évolution des espèces. Les mutations de l'ADN peuvent entraîner des changements dans les gènes qui peuvent avoir des conséquences sur le fonctionnement normal de la cellule et être associées à des maladies génétiques ou cancéreuses.

L'acide orotique est un composé organique qui joue un rôle important dans le métabolisme des acides nucléiques et des protéines dans le corps. Il s'agit d'un intermédiaire dans la biosynthèse de l'uridine monophosphate (UMP), qui est un précurseur important de plusieurs autres nucléotides nécessaires à la synthèse de l'ARN et de l'ADN.

Dans des conditions normales, l'acide orotique est rapidement métabolisé en uridine monophosphate par l'action d'une enzyme appelée orotate phosphoribosyltransférase. Cependant, dans certaines conditions pathologiques, telles que des carences en vitamines ou certains troubles génétiques, le métabolisme de l'acide orotique peut être altéré, entraînant une accumulation anormale de ce composé dans l'organisme.

Une augmentation excessive des niveaux d'acide orotique dans le sang peut entraîner une acidose métabolique et une accumulation de cristaux d'acide urique dans les reins, ce qui peut provoquer une maladie rénale. Des taux élevés d'acide orotique peuvent également être un indicateur de carences en vitamines B6, B12 ou folate, car ces vitamines sont nécessaires au métabolisme normal de l'acide orotique.

En général, l'acide orotique n'est pas considéré comme toxique à des concentrations normales, mais une accumulation excessive peut entraîner des effets néfastes sur la santé.

Le transport biologique, également connu sous le nom de transport cellulaire ou transport à travers la membrane, fait référence aux mécanismes par lesquels des molécules et des ions spécifiques sont transportés à travers les membranes cellulaires. Il existe deux types de transport biologique : passif et actif.

Le transport passif se produit lorsque des molécules se déplacent le long d'un gradient de concentration, sans aucune consommation d'énergie. Ce processus peut se faire par diffusion simple ou par diffusion facilitée. Dans la diffusion simple, les molécules se déplacent librement de régions de haute concentration vers des régions de basse concentration jusqu'à ce qu'un équilibre soit atteint. Dans la diffusion facilitée, les molécules traversent la membrane avec l'aide de protéines de transport, appelées transporteurs ou perméases, qui accélèrent le processus sans aucune dépense d'énergie.

Le transport actif, en revanche, nécessite une dépense d'énergie pour fonctionner, généralement sous forme d'ATP (adénosine triphosphate). Ce type de transport se produit contre un gradient de concentration, permettant aux molécules de se déplacer de régions de basse concentration vers des régions de haute concentration. Le transport actif peut être primaire, lorsque l'ATP est directement utilisé pour transporter les molécules, ou secondaire, lorsqu'un gradient électrochimique généré par un transporteur primaire est utilisé pour entraîner le mouvement des molécules.

Le transport biologique est crucial pour de nombreuses fonctions cellulaires, telles que la régulation de l'homéostasie ionique, la communication cellulaire, la signalisation et le métabolisme.

Un nucléotide purique est un type de nucléotide qui contient une base azotée purine. Les bases azotées sont des molécules organiques qui se composent d'un cycle hexagonal et d'un cycle pentagonal contenant de l'azote, et qui s'associent à des sucres et à des phosphates pour former des nucléotides.

Les deux principales bases azotées puriques sont l'adénine (A) et la guanine (G). Les nucléotides contenant ces bases azotées s'appellent respectivement les nucléotides adényliques et les nucléotides guanyliques. Dans l'ADN, l'adénine s'apparie toujours avec la thymine (une base pyrimidique) par deux liaisons hydrogène, tandis que la guanine s'apparie toujours avec la cytosine (une autre base pyrimidique) par trois liaisons hydrogène.

Les nucléotides puriques jouent un rôle crucial dans la structure et la fonction de l'ADN et de l'ARN, qui sont des macromolécules essentielles à la réplication, à la transcription et à la traduction de l'information génétique.

Le rayonnement ultraviolet (UV) est une forme de radiation électromagnétique avec des longueurs d'onde plus courtes que la lumière visible, ce qui signifie qu'il a une énergie plus élevée. Il se situe dans le spectre électromagnétique entre les rayons X et la lumière visible.

Les rayons UV sont classiquement divisés en trois catégories: UVA, UVB et UVC. Les UVA ont les longueurs d'onde les plus longues (320-400 nm), suivis des UVB (280-320 nm) et des UVC (100-280 nm).

L'exposition aux rayons UV peut avoir des effets à la fois bénéfiques et nocifs sur la santé. D'une part, une certaine exposition au soleil est nécessaire à la synthèse de la vitamine D dans la peau. D'autre part, une exposition excessive aux UV, en particulier aux UVB, peut endommager l'ADN des cellules cutanées, entraînant un bronzage, des coups de soleil, un vieillissement prématuré de la peau et, dans les cas graves, un risque accru de cancer de la peau.

Les UVC sont complètement filtrés par la couche d'ozone de l'atmosphère et ne représentent donc pas de risque pour la santé humaine. En revanche, les UVA et les UVB peuvent pénétrer dans l'atmosphère et atteindre la surface de la Terre, où ils peuvent avoir des effets néfastes sur la santé humaine et environnementale.

La définition médicale de l'human herpesvirus 1 (HHV-1), également connu sous le nom de virus de l'herpès simplex de type 1 (VHS-1), est un virus à double brin d'ADN qui appartient à la famille des Herpesviridae. Il est l'agent causal de l'herpès labial, communément appelé "fever blisters" ou "cold sores", qui se manifestent par des vésicules douloureuses sur ou autour des lèvres.

Le HHV-1 se transmet généralement par contact direct avec les lésions ou les sécrétions infectieuses, telles que le liquide des vésicules ou la salive. Après l'infection initiale, le virus migre vers les ganglions nerveux sensoriels où il peut rester à l'état latent pendant une période prolongée. Le virus peut se réactiver ultérieurement en raison de divers facteurs déclenchants, tels que le stress, les menstruations, l'exposition au soleil ou une infection du tractus respiratoire supérieur, entraînant une nouvelle apparition des lésions herpétiques.

Le diagnostic de HHV-1 peut être posé par l'observation clinique des lésions typiques, mais il peut également être confirmé par la détection du virus ou de son ADN dans les échantillons de lésions à l'aide de techniques de laboratoire telles que la PCR (réaction en chaîne par polymérase) ou la culture virale.

Il est important de noter que le HHV-1 peut également être associé à d'autres affections, telles que les infections oculaires herpétiques et l'encéphalite herpétique, qui peuvent être plus graves et nécessiter un traitement antiviral spécifique.

La spectroscopie de résonance magnétique nucléaire (RMN) est une technique de physique appliquée à l'analyse structurale et fonctionnelle des atomes au sein de molécules. Elle repose sur l'excitation d'un noyau atomique par un rayonnement électromagnétique, dans le but d'induire une transition entre deux états quantiques spécifiques.

Dans le contexte médical, la RMN est principalement utilisée comme technique d'imagerie diagnostique non invasive et exempte de radiation. Cependant, la spectroscopie RMN peut également être employée en médecine pour étudier la composition biochimique des tissus in vivo.

En pratique, un champ magnétique statique est appliqué au patient, alignant ainsi l'aimantation des protons contenus dans les molécules d'eau. Puis, une impulsion radiofréquence est utilisée pour désaligner ces protons, ce qui entraîne un déphasage de leur aimantation. Lorsque cette impulsion cesse, les protons reviennent progressivement à leur état initial, émettant au passage un signal détectable.

La spectroscopie RMN médicale consiste donc à analyser ces signaux émis par les noyaux atomiques pour obtenir des informations sur la structure et l'environnement chimique des molécules présentes dans le tissu biologique étudié. Elle permet ainsi de détecter et de quantifier certaines molécules spécifiques, telles que les métabolites, offrant un aperçu unique de la biochimie cellulaire in vivo.

Cette technique est particulièrement utile en neurologie, oncologie et cardiologie, où elle contribue au diagnostic et au suivi thérapeutique des pathologies affectant ces systèmes.

Orotate Phosphoribosyltransferase est une enzyme impliquée dans la biosynthèse des pyrimidines, plus spécifiquement dans la voie de synthèse *de novo* des nucléotides. Cette enzyme catalyse la réaction qui transforme l'orotate et le phosphoribosyl pyrophosphate (PRPP) en OMP (orbite monophosphate), un précurseur important de la biosynthèse des nucléotides pyrimidiques tels que l'UMP (uridine monophosphate).

L'orotate phosphoribosyltransferase est une protéine clé dans le métabolisme des purines et des pyrimidines, qui sont des composants essentiels de l'ADN et de l'ARN. Les mutations ou les défauts de cette enzyme peuvent entraîner des maladies génétiques rares telles que la deficiencia de orotato fosforibosiltransferasa (DORFT), une affection qui se caractérise par une accumulation d'orotate et d'autres métabolites dans l'urine, ainsi que par une acidose métabolique.

En résumé, Orotate Phosphoribosyltransferase est une enzyme importante impliquée dans la biosynthèse des nucléotides pyrimidiques, et les défauts de son fonctionnement peuvent entraîner des maladies métaboliques graves.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

Les protéines de transport sont des molécules spécialisées qui facilitent le mouvement des ions et des molécules à travers les membranes cellulaires. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation des processus cellulaires en aidant à maintenir l'équilibre des substances dans et autour des cellules.

Elles peuvent être classées en deux catégories principales : les canaux ioniques et les transporteurs. Les canaux ioniques forment des pores dans la membrane cellulaire qui s'ouvrent et se ferment pour permettre le passage sélectif d'ions spécifiques. D'un autre côté, les transporteurs actifs déplacent des molécules ou des ions contre leur gradient de concentration en utilisant l'énergie fournie par l'hydrolyse de l'ATP (adénosine triphosphate).

Les protéines de transport sont essentielles à diverses fonctions corporelles, y compris le fonctionnement du système nerveux, la régulation du pH sanguin, le contrôle du volume et de la composition des fluides extracellulaires, et l'absorption des nutriments dans l'intestin grêle. Des anomalies dans ces protéines peuvent entraîner diverses affections médicales, telles que des maladies neuromusculaires, des troubles du développement, des maladies cardiovasculaires et certains types de cancer.

La formycine est un antibiotique produit naturellement par certaines souches de champignons, notamment Penicillium funiculosum et Aspergillus nidulans. Il s'agit d'un peptide polycyclique composé d'acides aminés non protéinogéniques, ce qui signifie qu'il ne contient pas les acides aminés standard que l'on trouve dans les protéines.

La formycine agit en inhibant la biosynthèse des protéines chez les bactéries sensibles, en se liant à l'ARN de transfert (ARNt) et en empêchant sa fixation sur le site A du ribosome pendant l'initiation de la traduction. Cela entraîne une inhibition de la synthèse protéique et finalement la mort de la bactérie.

Cet antibiotique est actif contre un large éventail de bactéries à Gram positif, y compris les staphylocoques, les streptocoques et les entérocoques. Il a également montré une activité contre certaines souches de bactéries à Gram négatif, telles que Neisseria gonorrhoeae et Haemophilus influenzae.

Cependant, la formycine n'est pas couramment utilisée en médecine clinique en raison de sa toxicité pour les cellules humaines et de la difficulté à la synthétiser à grande échelle. Elle est plutôt étudiée dans le cadre de recherches fondamentales sur l'antibiothérapie et la résistance aux antibiotiques.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de "Nucléoside Q" dans la terminologie ou la nomenclature médicale standard. Les nucléosides sont des molécules organiques constituées d'une base nucléique liée à un pentose (un sucre à cinq atomes de carbone). Il existe plusieurs types de nucléosides, chacun avec une base nucléique spécifique, comme l'adénosine, la guanosine, la cytidine, l'uridine et la thymidine. Si vous avez peut-être fait une erreur dans l'orthographe ou si "Q" fait référence à quelque chose de différent dans ce contexte, veuillez me fournir plus d'informations afin que je puisse vous fournir une réponse plus précise.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

L'adénine est une base nucléique purique qui forme une paire de bases avec l'uracile dans les molécules d'ARN et avec la thymine dans les molécules d'ADN. Elle fait partie des quatre bases nucléiques fondamentales qui composent l'ADN aux côtés de la thymine, de la guanine et de la cytosine.

L'adénine est également un composant important de l'ATP (adénosine triphosphate), une molécule essentielle à la production d'énergie dans les cellules. Dans l'ATP, l'adénine est liée à un sucre ribose et à trois groupes phosphate.

En médecine, des anomalies dans le métabolisme de l'adénine peuvent être associées à certaines maladies génétiques rares, telles que les syndromes d'épargne d'adénine et les défauts du cycle de purines. Ces conditions peuvent entraîner une accumulation anormale d'acide urique dans le sang et l'urine, ce qui peut provoquer des calculs rénaux et d'autres complications.

La nucleoside-triphosphatase (NTPase) est une enzyme qui catalyse la réaction qui permet de convertir un nucléoside triphosphate (NTP) en nucléoside diphosphate (NDP) et inorganique pyrophosphate (PPi). Cette réaction est essentielle pour les processus métaboliques tels que la biosynthèse de l'ARN et de l'ADN, ainsi que pour d'autres processus énergétiques dans la cellule. Les NTPases peuvent également jouer un rôle important dans le maintien de l'homéostasie des ions et la régulation du trafic intracellulaire. Il existe plusieurs types de NTPases, chacune avec une fonction spécifique et une structure protéique distincte.

Je suis désolé, mais la requête est un peu imprécise. Cependant, je peux vous fournir une information sur l'enzyme "dihydroorotase" qui est largement utilisée dans le domaine médical et biochimique.

La dihydroorotase est une enzyme impliquée dans la biosynthèse des pyrimidines, un type de base azotée trouvée dans l'ADN. Plus précisément, cette enzyme catalyse la réaction qui convertit le dihydroorotate en orotate, consommant une molécule d'ATP (adénosine triphosphate) dans le processus. Cette réaction est une étape clé de la biosynthèse des pyrimidines et se produit dans le cytoplasme des cellules. Des inhibiteurs de cette enzyme sont parfois utilisés comme médicaments, car ils peuvent interférer avec la capacité d'une cellule à se diviser et à se développer, ce qui peut être utile dans le traitement de certaines maladies telles que le cancer.

La déoxyribodipyrimidine photo-lyase, également connue sous le nom de dinucleotide pyrimidique photolyase, est un type d'enzyme qui répare les dommages causés à l'ADN par la lumière ultraviolette (UV). Plus spécifiquement, cette enzyme répare des lésions de l'ADN appelées dimères de pyrimidine, qui se forment lorsque deux pyrimidines adjacentes sur une même chaîne d'ADN sont liées par un lien covalent.

Les dimères de pyrimidine peuvent entraver la réplication et la transcription de l'ADN, ce qui peut conduire à des mutations et à des dommages cellulaires. La déoxyribodipyrimidine photo-lyase utilise l'énergie de la lumière pour catalyser la réaction chimique qui rompt le lien covalent entre les deux pyrimidines, permettant ainsi à l'ADN de retrouver sa structure normale.

Cette enzyme est donc essentielle pour prévenir les dommages causés par l'exposition aux rayons UV et pour maintenir l'intégrité de l'ADN. Elle est largement distribuée dans le règne vivant, des bactéries aux plantes en passant par les animaux, y compris les humains. Cependant, chez l'homme, son activité est limitée à certains tissus et elle ne semble pas jouer un rôle majeur dans la réparation de l'ADN.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Le pH est une mesure de l'acidité ou de la basicité d'une solution. Il s'agit d'un échelle logarithmique qui va de 0 à 14. Un pH de 7 est neutre, moins de 7 est acide et plus de 7 est basique. Chaque unité de pH représente une différence de concentration d'ions hydrogène (H+) d'un facteur de 10. Par exemple, une solution avec un pH de 4 est 10 fois plus acide qu'une solution avec un pH de 5.

Dans le contexte médical, le pH est souvent mesuré dans les fluides corporels tels que le sang, l'urine et l'estomac pour évaluer l'équilibre acido-basique du corps. Un déséquilibre peut indiquer un certain nombre de problèmes de santé, tels qu'une insuffisance rénale ou une acidose métabolique.

Le pH normal du sang est d'environ 7,35 à 7,45. Un pH inférieur à 7,35 est appelé acidose et un pH supérieur à 7,45 est appelé alcalose. Les deux peuvent être graves et même mortelles si elles ne sont pas traitées.

En résumé, le pH est une mesure de l'acidité ou de la basicité d'une solution, qui est importante dans le contexte médical pour évaluer l'équilibre acido-basique du corps et détecter les problèmes de santé sous-jacents.

L'aspartate carbamoyltransférase (ACT) est un important enzyme présent dans le cytoplasme des cellules du foie, des reins et d'autres tissus. Son rôle principal est de catalyser la réaction chimique qui convertit l'acide aspartique et le carbamoyl phosphate en N-carbamoyl-L-aspartate et phosphate inorganique dans le cadre du cycle de l'urée.

Le cycle de l'urée est un processus métabolique qui se produit dans le foie et qui permet d'éliminer l'excès d'azote provenant de la dégradation des acides aminés. L'augmentation des taux sériques d'ACT peut être un indicateur de dommages aux cellules hépatiques, comme ceux observés dans l'hépatite ou la cirrhose.

Des tests sanguins peuvent être utilisés pour mesurer les niveaux d'ACT et aider au diagnostic et à la surveillance des maladies du foie et d'autres affections. Il est important de noter que l'activité de l'ACT peut également être augmentée dans certaines conditions non liées aux maladies du foie, telles que la mononucléose infectieuse et les blessures musculaires.

La désoxyadénosine est un nucléoside dérivé de l'adénosine, où le groupe hydroxyle (-OH) sur le carbone 2' de la molécule de ribose a été remplacé par un atome d'hydrogène (-H). Cela donne lieu à un groupe désoxyribose à la place du groupe ribose.

Dans l'organisme, la désoxyadénosine est présente sous forme de désoxyribonucléotide et joue un rôle important dans la structure de l'ADN, en particulier comme composant des bases azotées de l'ADN aux côtés de la désoxythymidine, de la désoxyguanosine et de la désoxycytidine.

La désoxyadénosine est également un métabolite important dans les voies de biosynthèse des nucléotides et peut être mesurée dans le sang comme marqueur de certaines maladies hématologiques, telles que la carence en adénosine déaminase 2 (DADA2), qui est associée à une accumulation anormale de désoxyadénosine.

La N4,N4-diméthylcytosine est une base nucléique pyrimidique dérivée de la cytosine par méthylation. Son nucléoside associé est ...
L'association pentose-base est appelée nucléoside ; les bases nucléiques sont classées en bases pyrimidiques et en bases ... Les principales bases pyrimidiques sont : l'uracile (U), la cytosine (C) et la thymine (T). Les principales bases puriques sont ... l'adénine (A) et la guanine (G). Les bases puriques et pyrimidiques présentent des formes chimiques interconvertibles appelées ...
C'est un ester d'acide phosphorique et de cytidine, un nucléoside. Le CMP est composé d'un groupement phosphate, d'un pentose ( ... le ribose), et d'un résidu cytosine, une base nucléique pyrimidique. Masse molaire calculée d'après « Atomic weights of the ...
Le 2-thiouracile est une base nucléique pyrimidique soufrée dérivée de l'uracile dont le nucléoside correspondant est la 2- ...
Le 4-thiouracile est une base nucléique pyrimidique soufrée dérivée de l'uracile dont le nucléoside correspondant est la 4- ...
Les principaux sont l'ATP et le GTP (nucléotides puriques), le CTP, l'UTP et le dTTP (nucléotides pyrimidiques). (en) Ting Ding ... en phosphate et nucléoside (par exemple, la thymidine). Les nucléosides sont ensuite clivés dans le lumen du tube digestif, par ... Les nucléosides peuvent être formés par des voies de novo (en), notamment dans le foie, mais sont surtout apportés par ... Les nucléosides sont des glycosylamines constituées d'une base nucléique liée à l'atome de carbone anomérique d'un résidu de ...
On le trouve dans cet acide nucléique sous forme de nucléoside avec l'uridine et de nucléotide avec l'uridine monophosphate ou ... L'uracile (usuellement noté "U") est une base nucléique (base pyrimidique) spécifique à l'ARN. ...
La N4-acétylcytosine est une base nucléique pyrimidique acétylée dérivée de la cytosine dont le nucléoside correspondant est la ...
La 2-thiocytosine est une base nucléique pyrimidique soufrée dérivée de la cytosine dont le nucléoside correspondant est la 2- ...
Les nucléosides à purines peuvent ainsi servir de donneurs de ribose pour la voie de sauvetage des bases pyrimidiques. Masse ... Le résidu de ribose activé du ribose-1-phosphate issu de la dégradation des nucléosides à purines peut être transféré à ... Il peut se former à partir d'adénosine ou de guanosine sous l'action de la purine nucléoside phosphorylase mais peut également ... Recycling of α-D-ribose 1-phosphate for nucleoside interconversion », Biochimica et Biophysica Acta (BBA) - General Subjects, ...
La thymine est une base nucléique (base pyrimidique). Il a été prouvé que la thymine pouvait, sous certaines conditions, se ... c'est la désoxythymidine monophosphate ou désoxythymidylate et sous forme de nucléoside uniquement dans l'ADN c'est la ... La thymine est une base nucléique (base pyrimidique) entrant dans la constitution des nucléotides, composants de base (ou ...
Une voie de sauvetage est une voie métabolique par laquelle des nucléotides puriques et pyrimidiques sont synthétisés à partir ... Ces voies métaboliques permettent de récupérer des bases nucléiques et des nucléosides formés lors de la dégradation de l'ARN ... Les bases ainsi récupérées et les nucléosides formés peuvent alors être convertis en nucléotides. L'uridine phosphorylase forme ...
La base pyrimidique est de formule 2-oxy-4-amino-pyrimidine (ou cytosine) et le désoxyribose est un sucre de type pentose fermé ... furanose) avec un carbone 2 ayant perdu sa fonction alcool (OH). La désoxycytidine est un nucléoside qui entre dans la ... La désoxycytidine est une molécule organique composée d'une base pyrimidique et d'un désoxyribose lié par une liaison β-N1- ...
L'uracile est un nucléoside pyrimidique, l'un des quatre constituants principaux de l'ARN, de symbole « U ». Elle remplace la ... L'uridine est un nucléoside, résultant de l'attachement de l'uracile sur un cycle ribose, le ribofuranose, par une liaison ...
La cytosine est une base nucléique, et plus exactement une base pyrimidique (voir aussi ADN et ARN). On la trouve sous forme de ... ainsi que sous forme de nucléoside avec la désoxycytidine et la cytidine. La cytosine s'apparie avec la guanine dans l'ADN ... les bases pyrimidiques comme la cytosine et la thymine peuvent former des liaisons avec les bases adjacentes plutôt qu'avec ...
L'orotidine est un nucléoside formé d'acide orotique lié à un résidu de ribose via une liaison β-N1-osidique. On la trouve chez ... qui est un intermédiaire de la biosynthèse de nucléotides pyrimidiques, la cytidine et l'uridine, qui entrent dans la ... en) A. Michael Michelson, William Drell et Herschel K. Mitchell, « A new ribose nucleoside from Neurospora; "orotidine" », ...
Outre les nucléosides à guanine, cytosine, adénine, thymine et uracile, il existe dans les ADN et ARN des nucléosides modifiés ... à une base pyrimidique. La cytosine et la guanine forment une paire de bases unies par trois liaisons hydrogène, tandis que ... d'un nucléoside donne un nucléotide, plus précisément un ribonucléotide ou un désoxyribonucléotide. Nucléotides, nucléosides et ... Ce dernier est ensuite à son tour hydrolysé par une purine nucléoside phosphorylase afin de libérer le ribose-1-phosphate et la ...
La désoxyuridine est une molécule organique composée d'une base pyrimidique et d'un désoxyribose. La base pyrimidique est de ... Nucléoside, Oxolane, Pyrimidinedione, Diol). ...
Il est cependant fréquent, pour un nucléoside phosphorylé, de trouver les terminologies impropres : nucléoside monophosphate ou ... pour les bases pyrimidiques) ou de 1 à 9 (pour les bases puriques), et les carbones de l'ose sont notés de 1′ à 5′ pour éviter ... Le nucléoside est le monomère de l'acide nucléique qui contient seulement la base nucléique et le pentose. ... Nucléotide Nucléoside Acide nucléique ADN ARN Réplication de l'ADN Portail de la biologie Portail de la biologie cellulaire et ...
Fiche Sigma-Aldrich du composé 5-Fluorocytosine nucleoside analog, consultée le 31 mai 2014. WHO Model List of Essential ... La flucytosine, ou 5-fluorocytosine, est un analogue fluoré synthétique de la cytosine, une base nucléique pyrimidique, utilisé ...
La formation des nucléosides elle-même est catalysée par ces verres,. Article détaillé : Asymétrie des molécules biologiques. ... En 2009, Sutherland et son équipe sont parvenus à établir une voie de synthèse des nucléotides à base pyrimidique, l'acide ...
La molécule résultant de la liaison d'une base nucléique à un ose est appelée nucléoside ; l'adjonction d'un à trois groupes ... égal au taux de l'une des deux bases pyrimidiques, plus précisément le taux de guanine est égal à celui de cytosine et que le ... Les ADN polymérases sont des enzymes qui synthétisent des chaînes de polynucléotides à partir de nucléosides triphosphates. La ... Pour cette raison, toutes les polymérases fonctionnent dans le sens 5' vers 3'. Le nucléoside triphosphate ayant une base ...
... sa structure se rapproche donc des bases puriques et du noyau des bases pyrimidiques de l'ADN. C'est une molécule soluble dans ... Nucléoside, Triazole, Oxolane, Polyol, Médicament essentiel listé par l'OMS). ...
La N4,N4-diméthylcytosine est une base nucléique pyrimidique dérivée de la cytosine par méthylation. Son nucléoside associé est ...
Etude de phosphorylation de nucléosides pyrimidiques par spectrométrie de masse haute résolution. ...
La cytosine est une base nucléique, et plus exactement une base pyrimidique (voir aussi ADN et ARN). On la trouve sous forme de ... ainsi que sous forme de nucléoside avec la désoxycytidine et la cytidine. La cytosine sapparie avec la guanine dans lADN ...
Pyrimidiques *Thymine. *Uracile. *Cytosine. *5-Hydroxycytosine. Nucléosides. Ribonucléosides. *Adénosine (A). *Ribothymidine (T ...
La décitabine et lazacitidine, des inhibiteurs de lADN méthyltransférase, sont des analogues de nucléosides pyrimidiques qui ...
Nucléosides pyrimidiques [D03.383.742.680] Nucléosides pyrimidiques * Nucléotides pyrimidiques [D03.383.742.686] Nucléotides ...
Puriques : adénine, guanine, hypoxanthine, xanthine · Pyrimidiques : thymine, uracile, cytosine.. Nucléosides. Ribonucléosides ... Chaque base est fixée sur un désoxyribose pour former un nucléoside. Lorsquun nucléoside est lié à un ou plusieurs phosphates ... En effet, il nexiste que deux types complémentaires de bases : une base pyrimidique sera toujours en face dune base purique. ... Les bases azotées sont complémentaires deux à deux, une base purique sassociant toujours à une base pyrimidique : ladénine ...
Structure des nucléosides, des nucléotides et des acides nucléiques. Dans un polynucléotide, un nucléotide est relié au ... 1 - Cette illustration montre comment les bases puridiques et pyrimidiques sont structurées et numérotées ... La combinaison de la base azotée et du sucre pentose (sans aucun groupe phosphate) sappelle un nucléoside. Lajout dun à ... Le diagramme ci-dessous résume la formation des nucléosides, des nucléotides et des acides nucléiques à partir des trois ...
  • La N4,N4-diméthylcytosine est une base nucléique pyrimidique dérivée de la cytosine par méthylation. (wikipedia.org)
  • La cytosine est une base nucléique, et plus exactement une base pyrimidique (voir aussi ADN et ARN). (didaquest.org)