Or
Aurothiomalate Sodium
Nanoparticules Métalliques
Alliages D'Or
Or Colloïdal Radioactif
Radio-Isotopes De L'Or
Composés Organiques De L'Or
Solganal
Nanotubes
Auranofine
Thiosulfate D'Or Et De Sodium
Sensibilité Et Spécificité (
Industrie Minière
Electrodes
Propriété Surface
Techniques Capteur Biologique
Nanotechnologie
Nanostructures
Nanoshells
Reproductibilité Des Résultats
Argent
Electrochemistry
Electrochemical Techniques
Thiomalates
Plasmon De Surface
Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme « Or » est en général associé aux sciences physiques et à la joaillerie plutôt qu'au domaine médical. L'or est un élément chimique avec le symbole « Au » et le numéro atomique 79. Il est un métal précieux, brillant, dense, malléable, et résistant à la corrosion, ce qui le rend utile dans une variété d'applications, y compris en médecine.
Dans un contexte médical, l'or peut être utilisé dans certains types de prothèses dentaires ou dans certaines préparations pharmaceutiques. Par exemple, le chlorure d'or (un composé de l'or) a été historiquement utilisé en médecine pour traiter la syphilis et d'autres maladies inflammatoires. Cependant, son utilisation est rare de nos jours en raison des effets secondaires importants et du développement de médicaments plus sûrs et plus efficaces.
Si vous cherchiez une définition médicale pour un terme différent ou si je n'ai pas répondu correctement à votre question, veuillez me fournir plus d'informations afin que je puisse vous aider davantage.
L'aurothiomalate de sodium est un médicament utilisé dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Il s'agit d'une forme de l'or, qui a été utilisée dans le traitement des maladies inflammatoires depuis des siècles en raison de ses propriétés anti-inflammatoires.
Le médicament agit en ralentissant la progression de la polyarthrite rhumatoïde et en soulageant les symptômes tels que la douleur, le gonflement et la raideur des articulations. Il fonctionne en interférant avec la capacité du système immunitaire à attaquer les tissus sains dans le corps, ce qui peut aider à réduire l'inflammation et les dommages aux articulations.
L'aurothiomalate de sodium est généralement administré par injection dans un muscle, bien que certaines formulations puissent être prises par voie orale. Les effets secondaires courants du médicament peuvent inclure des rougeurs, des douleurs ou des gonflements au site d'injection, des maux de tête, des nausées et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou endommager les reins ou le foie.
Comme avec tout médicament, l'aurothiomalate de sodium doit être utilisé sous la supervision d'un médecin qualifié et les patients doivent suivre attentivement les instructions posologiques pour minimiser les risques d'effets secondaires indésirables.
Les composés de l'or sont des substances chimiques qui contiennent de l'or dans leur structure moléculaire. L'or est un élément chimique avec le symbole "Au" et le numéro atomique 79. Il est souvent combiné avec d'autres éléments pour former des composés qui ont des propriétés différentes de l'élément pur.
Les composés d'or peuvent être trouvés dans une variété de contextes, y compris médicaux. Par exemple, certains composés d'or sont utilisés en médecine pour traiter certaines maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde. Le plus couramment utilisé est l'aurothiomalate de sodium, qui a été utilisé dans le traitement de l'arthrite depuis les années 1920.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation de composés d'or en médecine n'est pas sans risques et peut entraîner des effets secondaires indésirables tels que des réactions allergiques, des dommages aux reins et au foie, et des problèmes gastro-intestinaux. Par conséquent, leur utilisation est généralement limitée aux cas où les autres traitements ont échoué ou ne sont pas tolérés.
En dehors de la médecine, les composés d'or sont également utilisés dans l'industrie pour des applications telles que la fabrication de circuits imprimés, de verre teinté et de batteries rechargeables.
Les nanoparticules métalliques sont des particules minuscules d'un ou plusieurs métaux ayant au moins une dimension dans la gamme de 1 à 100 nanomètres. Ces nanoparticules présentent des propriétés uniques en raison de leur petite taille et de leur grande surface relative, ce qui peut entraîner des réactivités chimiques et physiques différentes de celles des formes plus grandes du même métal.
Elles peuvent être fabriquées à partir d'un large éventail de métaux, y compris l'or, l'argent, le cuivre, le zinc, le fer et d'autres encore. En médecine, les nanoparticules métalliques sont étudiées pour une variété d'applications potentielles, telles que la livraison de médicaments, le diagnostic de maladies et le traitement du cancer. Cependant, il existe également des préoccupations concernant leur potentiel toxicologique et écotoxicologique, qui nécessitent une recherche et une réglementation supplémentaires.
Les alliages d'or sont des mélanges d'or avec d'autres métaux, qui sont souvent utilisés dans la fabrication de bijoux, de pièces dentaires et d'instruments médicaux en raison de leur durabilité, de leur résistance à la corrosion et de leur apparence esthétique.
Les alliages d'or peuvent contenir différentes proportions d'or pur (24 carats) mélangé avec d'autres métaux tels que l'argent, le cuivre, le zinc, le palladium ou le platine. Les alliages les plus courants contiennent 14 ou 18 parties d'or pur pour chaque 24 parties de métal total (14K ou 18K).
Dans le domaine médical, les alliages d'or sont utilisés dans la fabrication d'implants et de dispositifs médicaux tels que les prothèses articulaires, les vis orthopédiques et les fils de suture. Ils sont également utilisés en odontologie pour la fabrication de couronnes, de bridges et de facettes dentaires en raison de leur biocompatibilité et de leur résistance à l'usure.
Cependant, il est important de noter que certains alliages d'or peuvent provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes, en particulier celles qui sont sensibles au nickel ou au cuivre. Par conséquent, il est important de consulter un médecin ou un dentiste avant d'utiliser des alliages d'or à des fins médicales ou dentaires.
Je suis désolé, mais la combinaison des termes "Or colloïdal" et "Radioactif" ne correspond pas à un concept ou une définition médicale établie.
L'or colloïdal est une suspension de particules d'or très fines dans un liquide, qui a été utilisée dans le passé en médecine comme anti-inflammatoire et pour traiter certaines maladies de la peau. Cependant, il n'est plus couramment utilisé en médecine moderne en raison de l'avènement de traitements plus efficaces et moins coûteux.
Le terme "radioactif", d'un autre côté, se réfère à une substance qui émet des rayonnements ionisants, ce qui peut être utilisé dans le domaine médical pour le diagnostic et le traitement de certaines maladies, comme le cancer.
Par conséquent, il n'y a pas de définition médicale établie pour "Or colloïdal radioactif". Si vous cherchez des informations sur l'utilisation de l'or ou de substances radioactives dans un contexte médical, je suis heureux de vous fournir plus d'informations à ce sujet.
Les radio-isotopes d'or, tels que l'or-198 et l'or-195, sont des isotopes radioactifs de l'élément or qui sont utilisés dans le domaine médical. Ils sont souvent employés comme source de radiation dans les thérapies de radiologie interventionnelle pour traiter certaines pathologies cancéreuses.
L'or-198, par exemple, est couramment utilisé dans la fabrication de petites billes radioactives appelées "grains d'or" ou "grains d'Yttria-coated Gold (YCG)". Ces grains sont insérés directement dans les tumeurs pour délivrer une dose localisée de radiation, ce qui permet de minimiser l'exposition aux radiations des tissus sains environnants.
L'or-195 est également utilisé en médecine nucléaire pour la réalisation d'images médicales grâce à sa propriété de décroissance gamma. Cependant, son utilisation est moins courante que celle de l'or-198 dans le traitement des cancers.
Il convient de noter que les radio-isotopes d'or ne sont pas administrés sous forme de médicaments oraux ou injectables, mais plutôt utilisés comme matériau pour la fabrication de dispositifs médicaux spécialisés.
Les composés organiques de l'or sont des structures moléculaires qui contiennent de l'or (Au) lié à des atomes de carbone dans des liaisons chimiques covalentes. Ces composés sont largement étudiés en chimie inorganique et organométallique pour leurs propriétés uniques et leur potentiel dans divers domaines, tels que la catalyse, la bioimagerie et la thérapie.
Les composés organiques de l'or peuvent être classés en deux catégories principales : les composés organogold(I) et organogold(III). Les composés organogold(I) présentent typiquement des structures linéaires avec une géométrie moléculaire DLL (diguide en ligne), tandis que les composés organogold(III) ont généralement une géométrie plane carrée.
Exemples de composés organiques de l'or :
1. Aurate de méthylphényle (CH3PhAuCl): Il s'agit d'un composé organogold(I) dans lequel l'ion aurate (Au+) est lié à un groupe phényle et un groupe méthyle via des liaisons covalentes.
2. Tris(pentafluorophényl)gold(III) ((C6F5)3Au): Il s'agit d'un composé organogold(III) dans lequel trois groupes pentafluorophényles sont liés à l'atome d'or via des liaisons covalentes.
Il est important de noter que les composés organiques de l'or peuvent être toxiques et doivent être manipulés avec soin, en suivant des protocoles de sécurité appropriés.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une faute d'orthographe dans le terme que vous avez demandé. Il est possible que vous vouliez peut-être savoir ce qu'est "Goldinal" ou "Solanum". Si vous cherchez des informations sur "Goldinal", je ne suis pas parvenu à trouver une définition médicale pour ce terme, il est possible qu'il n'existe pas ou que ce soit un nom de marque pour un produit spécifique.
En revanche, "Solanum" est un genre de plantes qui comprend plus de 2000 espèces, dont beaucoup sont importantes dans l'alimentation humaine telles que les pommes de terre, les tomates, les aubergines et les poivrons. Certaines espèces de Solanum peuvent contenir des substances toxiques qui peuvent être nocives pour la santé.
Si vous cherchiez une définition médicale pour un terme différent ou si vous souhaitez plus d'informations sur "Solanum", n'hésitez pas à me poser à nouveau votre question.
Les nanotubes sont des structures tubulaires creuses, généralement cylindriques, composées d'atomes liés covalentement et ayant un diamètre nanométrique (généralement compris entre 1 et 100 nanomètres). Ils peuvent être constitués de différents matériaux, tels que le carbone, le bore, le nickel ou le titane.
Les nanotubes de carbone sont les plus étudiés en raison de leurs propriétés uniques, telles que leur grande résistance mécanique, leur conductivité électrique et thermique exceptionnelle, et leur faible densité. Ils peuvent être utilisés dans une variété d'applications médicales, y compris le diagnostic et le traitement de maladies, grâce à leurs propriétés physiques et chimiques uniques.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation des nanotubes en médecine est encore à ses débuts et nécessite des recherches supplémentaires pour évaluer leur sécurité et leur efficacité.
Auranofin est un médicament utilisé dans le traitement de l'arthrite rhumatoïde. Il appartient à une classe de médicaments appelés chélates du gold, qui sont des composés contenant de l'or. L'auranofine agit en réduisant l'inflammation et en modifiant le cours de la maladie dans l'arthrite rhumatoïde.
Le mécanisme d'action précis de l'auranofine n'est pas entièrement compris, mais il est pensé pour interférer avec les processus inflammatoires dans le corps. Il peut agir en inhibant certaines enzymes qui sont responsables de la production de médiateurs chimiques de l'inflammation, tels que les prostaglandines et les leucotriènes.
L'auranofine est disponible sous forme de comprimés et est généralement pris par voie orale deux fois par jour. Les effets secondaires courants de ce médicament peuvent inclure des maux d'estomac, des nausées, des diarrhées, des éruptions cutanées et une perte de cheveux. Dans de rares cas, l'auranofine peut provoquer des réactions allergiques graves ou des dommages au foie.
Il est important de noter que l'utilisation de l'auranofine doit être surveillée attentivement par un professionnel de la santé, car il peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois avant que les effets thérapeutiques ne soient observés. De plus, le traitement par auranofine doit être interrompu si des effets secondaires graves se produisent ou si aucune amélioration n'est observée après une période de traitement appropriée.
Le thiosulfate d'or et de sodium, également connu sous le nom de aurothiosulfate de sodium, est un composé chimique qui est souvent utilisé en médecine. Il se compose d'ions d'or (Au), de soufre (S) et de sodium (Na), avec la formule chimique Na(Au(S2O3)2).
Dans le domaine médical, le thiosulfate d'or et de sodium est principalement utilisé comme un traitement pour l'arthrite rhumatoïde réfractaire, une maladie auto-immune qui affecte les articulations. Il fonctionne en modulant l'activité du système immunitaire et en réduisant l'inflammation dans le corps.
Le thiosulfate d'or et de sodium est généralement administré par injection intramusculaire et peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois pour produire des effets thérapeutiques. Les effets secondaires courants comprennent des rougeurs, des douleurs ou des gonflements au site d'injection, ainsi que des réactions allergiques. Dans de rares cas, il peut également provoquer des problèmes rénaux ou neurologiques.
Il est important de noter que le thiosulfate d'or et de sodium n'est généralement utilisé que lorsque d'autres traitements ont échoué, en raison de son potentiel d'effets secondaires graves. Il doit être prescrit et surveillé par un médecin expérimenté dans son utilisation.
Je suis désolé, mais il y a une certaine confusion dans votre demande. L'expression «Industrie Minière» ne fait pas référence à un terme médical. Le terme «industrie minière» décrit le secteur économique qui est engagé dans l'extraction et le traitement des minerais et des ressources minérales. Cela comprend les activités d'exploration, d'excavation, de concassage, de broyage, de lavage et de transport des matériaux extraits des gisements minéraux vers les installations de traitement ou directement aux utilisateurs finaux.
Cependant, il est possible que vous cherchiez une définition médicale pour un terme spécifique associé à l'industrie minière, comme l'exposition professionnelle à certaines substances ou maladies liées au travail dans ce secteur. Dans ce cas, je serais heureux de vous aider si vous pouviez me fournir plus d'informations sur le terme que vous souhaitez définir.
En médecine, une électrode est un dispositif conçu pour transférer des impulsions électriques entre un appareil externe et le corps humain ou entre différentes parties du corps. Les électrodes sont souvent utilisées dans les procédures médicales qui nécessitent l'enregistrement ou la stimulation électrique, telles que l'électrocardiogramme (ECG), l'électroencéphalographie (EEG), la stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS) et la thérapie par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU).
Les électrodes peuvent être constituées d'une variété de matériaux, tels que des métaux conducteurs ou des matériaux spéciaux qui permettent la conduction ionique. Elles sont souvent recouvertes d'un gel conducteur pour faciliter la transmission des impulsions électriques et minimiser l'inconfort cutané.
Dans certains cas, les électrodes peuvent être fixées à la peau à l'aide de bandages adhésifs ou d'autres dispositifs de maintien. Dans d'autres situations, elles peuvent être implantées chirurgicalement dans le corps pour des applications spécifiques, telles que les électrodes cérébrales utilisées dans le traitement de l'épilepsie réfractaire ou les électrodes cardiaques utilisées pour la stimulation cardiaque.
En termes médicaux, la propriété de surface fait référence aux caractéristiques et aux fonctions des surfaces des cellules, des tissus et des organes qui leur permettent d'interagir avec leur environnement. Cela peut inclure des structures telles que les récepteurs, les canaux ioniques, les transporteurs de nutriments et les enzymes, qui sont tous situés sur la surface cellulaire.
Les propriétés de surface peuvent influencer la façon dont les cellules communiquent entre elles et avec d'autres cellules, ainsi que la façon dont elles interagissent avec des substances extérieures telles que les médicaments et les toxines. Les modifications des propriétés de surface peuvent être impliquées dans divers processus pathologiques, tels que l'inflammation, l'infection et le développement de maladies chroniques.
Par exemple, dans le contexte des maladies infectieuses, les bactéries et les virus peuvent utiliser des propriétés de surface spécifiques pour se lier aux cellules hôtes et provoquer une infection. En comprenant ces mécanismes, les chercheurs peuvent développer de nouvelles stratégies thérapeutiques pour prévenir ou traiter les maladies.
En bref, la propriété de surface est un domaine important de la recherche médicale qui a des implications pour notre compréhension des processus physiologiques et pathologiques, ainsi que pour le développement de nouveaux traitements thérapeutiques.
Les techniques de capteurs biologiques, également connues sous le nom de biosenseurs, font référence à des dispositifs qui combinent des éléments de reconnaissance biologique (comme des anticorps, des acides nucléiques, des cellules vivantes ou des enzymes) avec des transducteurs physico-chimiques pour détecter et mesurer directement les changements chimiques ou physiques qui se produisent lors de l'interaction entre l'élément de reconnaissance biologique et l'analyte cible. Ces techniques sont largement utilisées dans le domaine de la médecine, du diagnostic médical et de la recherche biomédicale pour détecter et quantifier une grande variété d'analytes, tels que les protéines, les acides nucléiques, les métabolites, les gaz, les ions et les produits chimiques.
Les bios capteurs peuvent être classés en fonction du type de transducteur utilisé dans la détection des signaux, notamment électrochimique, optique, thermométrique, piézoélectrique et magnétique. Les bios capteurs électrochimiques, par exemple, utilisent des électrodes pour mesurer les changements de courant, de tension ou de résistance qui se produisent lors de la liaison de l'analyte à l'élément de reconnaissance biologique. Les bios capteurs optiques, en revanche, utilisent des techniques telles que la fluorescence, la luminescence et l'absorption pour détecter les changements dans la transmission ou l'émission de la lumière qui se produisent lors de l'interaction entre l'analyte et l'élément de reconnaissance biologique.
Les bios capteurs offrent plusieurs avantages par rapport aux méthodes traditionnelles de détection et de quantification des analytes, notamment une grande sensibilité et sélectivité, une petite taille, un coût relativement faible et la possibilité d'être intégrés dans des systèmes automatisés. Ils ont trouvé des applications dans divers domaines, notamment la médecine, l'environnement, la nourriture et les boissons, ainsi que la sécurité et la défense.
La nanotechnologie est une branche de la science et de l'ingénierie qui traite de la conception, de la fabrication et de l'application de structures, dispositifs et systèmes à l'échelle nanométrique, typiquement entre 1 et 100 nanomètres (nm). Une nanomètre équivaut à un milliardième de mètre.
Dans le contexte médical, la nanotechnologie est utilisée dans le développement de nouveaux traitements, diagnostics et systèmes de livraison de médicaments. Elle offre des possibilités pour une détection et un ciblage plus précis des cellules cancéreuses, par exemple, ainsi que des méthodes améliorées pour administrer des médicaments directement dans les cellules malades. Cela peut conduire à une réduction des effets secondaires indésirables et à une augmentation de l'efficacité thérapeutique.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation de la nanotechnologie dans le domaine médical est encore en cours de développement et de recherche, et qu'il reste des préoccupations concernant sa sécurité et son efficacité à long terme.
Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir semble incorrecte ou incomplète. Le terme "dimension particule" ne fait pas référence à une définition médicale spécifique. S'il s'agit de deux termes séparés, "dimension" dans le contexte médical peut se référer à une mesure ou une extension d'un objet dans l'espace ou le temps. "Particule", en médecine, peut faire référence à un petit morceau ou élément d'une substance plus grande, ou dans certains cas, il peut également se référer à des particules subatomiques telles que les électrons, protons et neutrons.
Cependant, comme une expression unique, "dimension particule" ne correspond pas à une définition médicale établie. Pourriez-vous vérifier l'orthographe ou fournir plus de contexte pour m'aider à vous donner une réponse plus précise ?
Les nanostructures sont des structures artificielles ou naturelles qui ont au moins une dimension à l'échelle nanométrique, typiquement entre 1 et 100 nanomètres. Ces structures peuvent être constituées de différents matériaux tels que les métaux, les oxydes, les polymères ou les biomolécules. Elles présentent des propriétés uniques dues à leur petite taille et à leur grande surface spécifique, ce qui les rend intéressantes pour de nombreuses applications en médecine, telles que la délivrance de médicaments ciblée, l'imagerie médicale, la biodiagnostic et la thérapie cellulaire.
Les nanostructures peuvent être classées en fonction de leur forme et de leur dimensionnalité, comme les nanoparticules (zéro dimensionnelles), les nanofils (unidimensionnels) ou les nanos feuillets (deux dimensions). Les nanostructures peuvent également être fonctionnalisées avec des molécules spécifiques pour améliorer leur biodistribution, leur biocompatibilité et leur capacité à interagir avec les systèmes biologiques.
Il est important de noter que la recherche sur les nanostructures en médecine est encore en cours et qu'il reste beaucoup à apprendre sur leur sécurité, leur efficacité et leur impact potentiel sur l'environnement et la santé humaine.
Les nanoshells sont une forme spécifique de nanoparticules qui se composent d'un noyau solide, généralement inorganique, recouvert d'une fine couche de matériau diélectrique. Ils ont des propriétés optiques uniques en raison de leur structure et de leur taille, ce qui les rend utiles dans une variété d'applications médicales. Par exemple, les nanoshells peuvent être utilisées pour la thérapie photothermique du cancer, car elles peuvent absorber sélectivement la lumière infrarouge et convertir cette énergie en chaleur, entraînant la mort des cellules cancéreuses. Les nanoshells peuvent également être fonctionnalisées avec divers biomolécules pour cibler spécifiquement les cellules malades, ce qui en fait une plate-forme prometteuse pour le diagnostic et le traitement des maladies.
La reproductibilité des résultats, également connue sous le nom de réplicabilité, est un principe fondamental en recherche médicale qui décrit la capacité d'un résultat expérimental ou d'une observation à être reproduit ou répliqué lorsqu'un même protocole ou une méthodologie similaire est utilisée par différents chercheurs ou dans différents échantillons.
En d'autres termes, la reproductibilité des résultats signifie que si une étude est menée à plusieurs reprises en suivant les mêmes procédures et méthodes, on devrait obtenir des résultats similaires ou identiques. Cette capacité à reproduire des résultats est importante pour établir la validité et la fiabilité d'une recherche médicale, car elle aide à éliminer les biais potentiels, les erreurs aléatoires et les facteurs de confusion qui peuvent affecter les résultats.
La reproductibilité des résultats est particulièrement importante en médecine, où les décisions de traitement peuvent avoir un impact important sur la santé et le bien-être des patients. Les études médicales doivent être conçues et menées de manière à minimiser les sources potentielles d'erreur et à maximiser la reproductibilité des résultats, ce qui peut inclure l'utilisation de protocoles standardisés, la randomisation des participants, le double aveugle et l'analyse statistique appropriée.
Cependant, il est important de noter que même avec les meilleures pratiques de recherche, certains résultats peuvent ne pas être reproductibles en raison de facteurs imprévus ou inconnus. Dans ces cas, les chercheurs doivent travailler ensemble pour comprendre les raisons de l'absence de reproductibilité et pour trouver des moyens d'améliorer la conception et la méthodologie des études futures.
Dans le domaine médical, l'argent peut faire référence à un élément chimique (symbole Ag) ou à de l'argent au sens financier du terme.
En tant qu'élément chimique, l'argent est un métal précieux gris-blanc qui est brillant, mou et malléable. Il a des propriétés antibactériennes et est souvent utilisé dans les applications médicales telles que les pansements et les cathéters pour prévenir l'infection.
En tant qu'aspect financier, l'argent peut être mentionné dans le contexte des coûts associés aux soins de santé ou au paiement des prestations d'assurance. Par exemple, les patients peuvent devoir payer des frais ou des franchises en argent pour certains services médicaux.
Il est important de noter que dans le contexte médical, l'utilisation de l'argent comme métal et comme monnaie sont deux concepts distincts et ne doivent pas être confondus.
En médecine, l'électrochimie ne fait pas directement référence à un domaine spécifique. Cependant, en général, l'électrochimie est une branche de la chimie qui traite des relations entre les processus électriques et les réactions chimiques qui les sous-tendent. Elle implique l'étude de la façon dont l'énergie électrique peut être utilisée pour provoquer des réactions chimiques (électrolyse) ou, à l'inverse, comment les réactions chimiques peuvent générer un courant électrique (cellules galvaniques).
Dans un contexte médical, l'électrochimie peut être mentionnée en relation avec des dispositifs médicaux spécifiques tels que les stimulateurs cardiaques ou les prothèses qui utilisent des principes électrochimiques pour fonctionner. Par exemple, dans un stimulateur cardiaque, une réaction électrochimique se produit à l'électrode où le courant électrique est converti en une impulsion électrique qui stimule le muscle cardiaque.
Cependant, il est important de noter que cette utilisation est spécifique au contexte et ne représente pas la définition générale de l'électrochimie dans le domaine de la chimie.
Les techniques électrochimiques sont des méthodes d'analyse et de mesure qui étudient les réactions chimiques produisant ou consommant un courant électrique, ou qui sont influencées par un champ électrique. Ces techniques comprennent une variété de méthodes telles que la voltamétrie, l'amperometry, la chronoampérométrie, la potentiometrie, la coulométrie, et la conductimétrie. Elles sont largement utilisées en recherche et dans le domaine clinique pour l'analyse quantitative et qualitative d'espèces chimiques, l'étude de mécanismes réactionnels, la détermination de constantes d'équilibre et de vitesse de réaction, ainsi que pour le développement et l'application de capteurs électrochimiques.
Les thiomalates sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel acide thioacétique. Ils sont utilisés dans l'industrie pharmaceutique comme agents de conservation et de fluidification dans les préparations injectables. Dans le contexte médical, les thiomalates sont peut-être mieux connus pour leur utilisation dans la préparation du sulfasalazine, un médicament utilisé dans le traitement de maladies inflammatoires de l'intestin telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.
Cependant, les thiomalates ont également été associés à certaines préoccupations de santé. Par exemple, certains chercheurs ont suggéré qu'ils pourraient jouer un rôle dans le développement de problèmes neurologiques tels que la démence et la maladie de Parkinson. Cependant, ces liens ne sont pas entièrement établis et font toujours l'objet de recherches actives.
Il est important de noter que les médicaments contenant des thiomalates doivent être utilisés avec prudence et sous la supervision d'un professionnel de la santé, en particulier chez les personnes atteintes de maladies rénales ou hépatiques, car ils peuvent accumuler dans l'organisme et entraîner des effets indésirables.
Un plasmon de surface est un phénomène physique qui se produit lorsque la lumière interagit avec les électrons de conduction à la surface d'un métal noble ou d'un matériau similaire. Lorsqu'un photon incident frappe la surface, il peut exciter un plasmon de surface, ce qui correspond à un oscillation collective des électrons de conduction près de la surface du matériau.
Dans le contexte médical, les plasmons de surface sont principalement utilisés dans le domaine de la nanotechnologie et de la biodiagnostic. Par exemple, les nanoparticules métalliques peuvent être fonctionnalisées pour interagir spécifiquement avec des biomolécules d'intérêt, telles que des protéines ou des acides nucléiques. Lorsque ces nanoparticules sont éclairées par une source lumineuse appropriée, les plasmons de surface peuvent être excités, entraînant des changements dans leurs propriétés optiques qui peuvent être détectés et quantifiés.
Cette approche est particulièrement utile pour la détection sensible et spécifique de biomarqueurs associés à des maladies, ce qui peut aider au diagnostic précoce et au suivi thérapeutique. De plus, les plasmons de surface peuvent également être utilisés dans le développement de nouvelles stratégies de thérapie photothermique pour le traitement localisé de tumeurs cancéreuses.