Phytolacca Americana
Phytolacca Dodecandra
Ribosome Inactivating Proteins, Type 1
N-Glycosyl Hydrolases
Matière Médicale
Green Chemistry Technology
Mitogène Phytolaque
Lectines Végétales
Protéines Végétales
Plantes
Lectines
Extraits Plantes
Séquence Des Acides Aminés
Données Séquence Moléculaire
Homologie Séquentielle Acides Aminés
Phytolaccaceae
Phytolacca est un genre de plantes appartenant à la famille des Phytolaccaceae. Il comprend environ 25 espèces de plantes herbacées, d'arbustes et d'arbres originaires d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale, d'Amérique du Sud et d'Asie orientale.
L'espèce la plus connue est Phytolacca americana, également appelée poivre d'Inde ou raisin de l'Oregon. Cette plante peut atteindre une hauteur de 3 mètres et produit des baies noires toxiques qui peuvent être fatales si ingérées en grande quantité.
En médecine, certaines parties de la plante Phytolacca ont été utilisées pour leurs propriétés médicinales. Par exemple, l'extrait de racine a été utilisé comme diurétique, laxatif, emménagogue et dans le traitement des rhumatismes, des douleurs articulaires et des inflammations. Cependant, son utilisation est limitée en raison de sa toxicité potentielle.
Il convient de noter que l'utilisation de Phytolacca à des fins médicinales doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié, car une mauvaise utilisation peut entraîner des effets secondaires graves tels que des vomissements, de la diarrhée, des convulsions et même la mort.
Phytolacca americana, également connue sous le nom de pokeweed, est une plante originaire d'Amérique du Nord. Bien qu'elle soit parfois utilisée en médecine alternative, elle doit être considérée comme potentiellement toxique et sa consommation ou son utilisation doivent être évitées sans l'avis d'un professionnel de la santé qualifié.
En médecine traditionnelle, certaines parties de la plante ont été utilisées pour traiter divers symptômes tels que les inflammations, les douleurs articulaires et musculaires, les éruptions cutanées et les problèmes respiratoires. Cependant, il n'existe pas suffisamment de preuves scientifiques pour étayer ces utilisations et les risques associés à l'utilisation de cette plante peuvent être importants.
Les parties les plus toxiques de la plante sont les racines et les baies, qui contiennent des saponines, des alcaloïdes et d'autres composés potentiellement nocifs pour l'organisme. Les symptômes d'une intoxication peuvent inclure des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une diarrhée sévère, une faiblesse musculaire, une vision floue et d'autres problèmes neurologiques. Dans les cas graves, une intoxication à la Phytolacca americana peut entraîner des convulsions, un coma et même la mort.
En raison de ces risques, il est important de ne pas utiliser cette plante sans l'avis d'un professionnel de la santé qualifié et de prendre des précautions pour éviter toute exposition accidentelle à la plante ou à ses composés toxiques.
Phytolacca dodecandra, également connue sous le nom de poivre sauvage africain, est une plante originaire d'Afrique tropicale. Elle est utilisée en médecine traditionnelle pour un large éventail de maux, bien que son utilisation soit considérée comme expérimentale et nécessite une recherche plus approfondie. Toutes les parties de la plante sont toxiques lorsqu'elles sont ingérées crûment en raison de la présence d'alcaloïdes et de saponines, ce qui peut entraîner des symptômes tels que des nausées, des vomissements, une diarrhée, une faiblesse musculaire et une paralysie. Cependant, lorsqu'elle est utilisée correctement à des doses appropriées, elle peut avoir des propriétés médicinales, telles qu'être un laxatif, un émétique, un diurétique, un hypotenseur et un analgésique. Il a également été démontré que l'extrait de cette plante avait une activité antimicrobienne, antivirale, antiparasitaire et anticancéreuse dans des études en laboratoire. Cependant, il est important de noter que son utilisation doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié pour éviter les effets toxiques.
Les protéines inactivatrices des ribosomes de type 1 (RIPs de type 1) sont une classe de protéines végétales qui inhibent la traduction en modifiant l'ARN ribosomal. Contrairement aux RIPs de type 2, qui contiennent deux domaines et possèdent une activité N-glycosidase capable d'enlever un adénine spécifique de la grande sous-unité ribosomale, les RIPs de type 1 ne contiennent qu'un seul domaine et n'ont pas cette activité N-glycosidase. Au lieu de cela, ils inhibent la traduction en se liant à l'ARN ribosomal sans le modifier chimiquement. Les exemples bien connus de RIPs de type 1 comprennent la dianthine et la ricine. Ces protéines peuvent être toxiques pour les cellules lorsqu'elles sont ingérées ou inhalées, car elles peuvent se lier aux ribosomes et arrêter la synthèse des protéines, entraînant ainsi l'apoptose de la cellule.
En termes médicaux, les molluscicides sont des substances ou agents chimiques qui sont utilisés pour tuer ou contrôler les mollusques, y compris les limaces et les escargots. Ces organismes peuvent être des vecteurs ou des hôtes intermédiaires de divers parasites, dont certains peuvent provoquer des maladies chez l'homme, comme le schistosomiase (également connue sous le nom de bilharziose). Les molluscicides sont donc souvent utilisés dans les programmes de santé publique pour contrôler la propagation de ces maladies. Cependant, il est important de noter que ces produits peuvent également avoir des effets néfastes sur l'environnement et la faune non ciblée, ils doivent donc être utilisés avec précaution et conformément aux directives du fabricant.
Les N-glycosyl hydrolases sont des enzymes qui catalysent l'hydrolyse des liaisons glycosidiques des oligosaccharides et des glycoprotéines liées à des asparagines (N-liées). Ces enzymes jouent un rôle important dans la biosynthèse, la dégradation et le recyclage des glycoconjugués. Elles sont classées dans la classe 3 de la nomenclature EC (Enzyme Commission) et sont largement distribuées dans les organismes vivants, y compris les bactéries, les levures, les plantes et les animaux. Les N-glycosyl hydrolases ont des applications potentielles dans divers domaines, tels que la thérapie enzymatique, l'industrie alimentaire, la production de biocarburants et le traitement des déchets.
En terme médical, la "Matière Médicale" fait référence à un corpus de connaissances concernant les propriétés pharmacologiques, thérapeutiques et toxicologiques des substances utilisées dans le domaine médical pour prévenir ou traiter des maladies, ainsi que pour promouvoir la santé. Il s'agit essentiellement d'un recueil de données scientifiques sur les médicaments, leurs composants actifs, leur mode d'action, leurs effets bénéfiques et indésirables, leurs indications, contre-indications, posologies, interactions médicamenteuses et précautions d'emploi.
La Matière Médicale est une ressource clé pour les professionnels de santé, tels que les médecins, pharmaciens, infirmiers et autres praticiens, qui doivent disposer d'informations fiables et à jour sur les médicaments afin de prescrire ou d'administrer des traitements appropriés et sécurisés pour leurs patients. Elle est également utile pour les chercheurs dans le domaine pharmaceutique, qui s'appuient sur ces connaissances pour développer de nouveaux médicaments et améliorer les existants.
La Matière Médicale peut être présentée sous différentes formes, telles que des manuels, des bases de données en ligne, des applications mobiles ou des logiciels spécialisés. Elle est régulièrement mise à jour pour intégrer les dernières découvertes et recommandations en matière de thérapeutique, ainsi que pour alerter sur d'éventuels risques ou effets indésirables nouveaux.
La « chimie verte » ou la « chimie durable » sont des termes qui décrivent une approche de la conception et de la mise en œuvre de processus chimiques et d'applications qui réduisent ou éliminent l'utilisation ou la génération de substances dangereuses. La technologie de chimie verte fait référence aux outils, méthodes et pratiques spécifiques utilisés pour atteindre ces objectifs.
Les principes fondamentaux de la chimie verte comprennent :
1. Prévention : conception des processus pour éviter la formation de déchets dangereux en premier lieu.
2. Économie atomique : maximisation du rendement des matières premières et minimisation des déchets.
3. Énergie moins intensif : utilisation de sources d'énergie renouvelables, réduction de la demande énergétique et évitement des opérations à haute température ou pression.
4. Conception de produits sûrs : conception de produits chimiques qui présentent moins de danger pour l'homme et l'environnement.
5. Utilisation de matières premières renouvelables : privilégier les matières premières renouvelables lorsque cela est possible.
6. Réduction des déchets : éviter la génération de déchets dangereux et traiter les déchets générés de manière plus sûre.
7. Prévention de la pollution : conception des processus pour minimiser la libération dans l'environnement.
8. Durabilité : assurer que les opérations sont économiquement viables et socialement équitables.
La technologie de chimie verte comprend un large éventail d'outils, de méthodes et de pratiques qui peuvent être utilisés pour atteindre ces objectifs. Cela peut inclure des techniques telles que la catalyse, les réactions en phase aqueuse, l'utilisation de solvants verts, la conception assistée par ordinateur (CAO) et la modélisation moléculaire pour concevoir des produits chimiques plus sûrs et plus efficaces.
Le terme "mitogène phytolaque" fait référence à un composé chimique présent dans certaines plantes du genre Phytolacca, qui a la capacité de stimuler la prolifération cellulaire et la division dans les tissus animaux. Il s'agit plus précisément d'un hétéroside cardiotonique, également connu sous le nom de phytolaquecin ou rotenone.
Ce composé est capable d'interagir avec des récepteurs spécifiques à la surface des cellules, déclenchant ainsi une cascade de signaux intracellulaires qui aboutissent à l'activation de certaines protéines clés impliquées dans le cycle cellulaire. En conséquence, les cellules sont incitées à entrer en phase de division et à se multiplier plus rapidement qu'à la normale.
Bien que ce pouvoir mitogène puisse être exploité à des fins thérapeutiques dans certains contextes, il est également important de noter que l'utilisation excessive ou inappropriée de mitogènes tels que le mitogène phytolaque peut entraîner des effets indésirables graves, notamment une prolifération cellulaire incontrôlée et la formation de tumeurs. Par conséquent, l'utilisation de ce composé doit être strictement encadrée et soumise à un contrôle rigoureux pour minimiser les risques potentiels pour la santé.
Les lectines végétales sont des protéines présentes dans les parois cellulaires des plantes, y compris dans une grande variété de fruits, légumes, céréales et légumineuses. Elles se lient spécifiquement et avec une forte affinité à certains sucres ou chaînes de sucres (oligosaccharides), qui sont également présents à la surface des cellules animales.
Cette liaison peut entraîner une agglutination des cellules et une modification de leur perméabilité, ce qui peut provoquer divers effets biologiques, tels que des réactions immunitaires ou des dommages aux membranes cellulaires. Certaines lectines végétales sont connues pour être toxiques et peuvent causer des symptômes gastro-intestinaux désagréables lors de la consommation de certaines plantes crues ou mal cuites, comme dans le cas des haricots rouges crus.
Cependant, il convient de noter que les lectines végétales peuvent également avoir des effets bénéfiques sur la santé, notamment en ce qui concerne leur potentiel à interagir avec les systèmes immunitaire et digestif, ainsi qu'avec certains processus métaboliques. Des recherches sont actuellement en cours pour évaluer leurs propriétés thérapeutiques potentielles dans le traitement de diverses affections, telles que le cancer, les maladies inflammatoires et les infections virales.
Les protéines végétales sont des protéines qui proviennent de sources alimentaires d'origine végétale. Contrairement aux protéines animales, qui sont présentes dans les produits d'origine animale tels que la viande, le poisson, les œufs et les produits laitiers, les protéines végétales se trouvent dans les plantes.
Les sources courantes de protéines végétales comprennent les légumineuses (telles que les haricots, les lentilles et les pois), le tofu, le tempeh, les noix et les graines, ainsi que certains types de céréales comme le quinoa et le sarrasin. Les protéines végétales sont souvent considérées comme une alternative plus saine aux protéines animales en raison de leur association avec un risque réduit de maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Cependant, il est important de noter que les protéines végétales peuvent ne pas fournir tous les acides aminés essentiels en quantités adéquates, ce qui signifie qu'il peut être nécessaire de combiner plusieurs sources de protéines végétales pour répondre aux besoins nutritionnels. Par exemple, une portion de riz complet combinée à une portion de haricots noirs fournira tous les acides aminés essentiels nécessaires à une alimentation équilibrée.
Dans un contexte médical, les plantes sont souvent mentionnées en référence aux remèdes ou aux traitements à base de plantes. Une plante médicinale est une plante qui contient des substances qui peuvent être utilisées pour le traitement et la prévention des maladies. Ces substances actives peuvent être extraites de différentes parties de la plante, telles que les feuilles, les fleurs, les racines, l'écorce ou les graines.
Les plantes médicinales sont utilisées dans divers systèmes de médecine traditionnelle, y compris la médecine chinoise, l'ayurvéda et la médecine amérindienne. De nombreux médicaments modernes sont également dérivés de plantes ou inspirés par des composés trouvés dans la nature. Par exemple, l'aspirine est dérivée de l'écorce du saule, et les anticancéreux comme le paclitaxel (Taxol) proviennent de l'if du Pacifique.
Cependant, il est important de noter que bien que les plantes puissent offrir des avantages thérapeutiques, elles peuvent également interagir avec d'autres médicaments et présenter des risques pour la santé si elles ne sont pas utilisées correctement. Par conséquent, toute utilisation de plantes à des fins médicales devrait être discutée avec un professionnel de la santé qualifié.
Les lectines sont des protéines végétales qui se lient spécifiquement et avec une forte affinité à des glucides ou des oligosaccharides. On les trouve dans une grande variété de plantes, y compris les légumineuses, les céréales, les fruits et les légumes. Les lectines peuvent avoir divers effets biologiques sur les animaux qui les consomment, notamment en ce qui concerne la digestion et l'absorption des nutriments. Certaines lectines sont connues pour être toxiques ou indigestes pour l'homme à des niveaux élevés de consommation, bien que de nombreuses lectines soient inactivées par la cuisson. Les lectines ont également été étudiées pour leurs propriétés immunologiques et leur potentiel dans le traitement du cancer.
Les extraits de plantes, également connus sous le nom d'extraits végétaux, sont des substances concentrées obtenues à partir de plantes qui contiennent des composés bioactifs bénéfiques pour la santé. Ils sont préparés en utilisant divers solvants tels que l'eau, l'alcool, le glycérol ou le dioxyde de carbone supercritique pour extraire les composés souhaités des parties de la plante telles que les feuilles, les fleurs, les racines, les écorces ou les graines.
Les extraits de plantes peuvent être standardisés pour contenir une certaine concentration d'un composé actif spécifique ou une gamme de composés bénéfiques. Ils sont largement utilisés dans l'industrie pharmaceutique, nutraceutique et cosmétique en raison de leurs propriétés thérapeutiques potentialisantes, antioxydantes, anti-inflammatoires, antibactériennes et autres avantages pour la santé.
Cependant, il est important de noter que les extraits de plantes doivent être utilisés avec prudence car ils peuvent également interagir avec d'autres médicaments ou traitements et provoquer des effets secondaires indésirables. Il est donc recommandé de consulter un professionnel de la santé avant de les utiliser à des fins thérapeutiques.
Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.
Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.
Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.
Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.
La séquence d'acides aminés homologue se réfère à la similarité dans l'ordre des acides aminés dans les protéines ou les gènes de différentes espèces. Cette similitude est due au fait que ces protéines ou gènes partagent un ancêtre commun et ont évolué à partir d'une séquence originale par une série de mutations.
Dans le contexte des acides aminés, l'homologie signifie que les deux séquences partagent une similitude dans la position et le type d'acides aminés qui se produisent à ces positions. Plus la similarité est grande entre les deux séquences, plus il est probable qu'elles soient étroitement liées sur le plan évolutif.
L'homologie de la séquence d'acides aminés est souvent utilisée dans l'étude de l'évolution des protéines et des gènes, ainsi que dans la recherche de fonctions pour les nouvelles protéines ou gènes. Elle peut également être utilisée dans le développement de médicaments et de thérapies, en identifiant des cibles potentielles pour les traitements et en comprenant comment ces cibles interagissent avec d'autres molécules dans le corps.
Phytolaccaceae est le nom d'une famille de plantes à fleurs dans la classification des plantes. Elle comprend environ 60 espèces réparties en cinq genres, dont les plus connus sont Phytolacca et Rivina. Les membres de cette famille sont généralement des herbes ou des arbustes, parfois des lianes, originaires principalement des régions tropicales et subtropicales d'Amérique, mais aussi d'Afrique et d'Asie.
Les plantes de Phytolaccaceae sont souvent caractérisées par leurs feuilles simples, alternes ou opposées, disposées en spirale le long de la tige. Les fleurs sont généralement petites, actinomorphes (à symétrie radiale) et regroupées en inflorescences variées. Le fruit est souvent une baie charnue contenant plusieurs graines.
Certaines espèces de Phytolacca, comme la morelle de Rouen (Phytolacca americana), sont connues pour leur toxicité due à la présence de saponines et d'autres composés toxiques dans toutes les parties de la plante. Cependant, d'autres espèces sont utilisées en médecine traditionnelle pour traiter divers maux, tels que les inflammations, les infections et les troubles digestifs. Il est important de noter que l'utilisation de ces plantes à des fins médicinales doit être encadrée par un professionnel de santé qualifié, en raison de leur potentiel toxicité.
'Urtica dioica', également connue sous le nom d'ortie commune, est une plante herbacée qui est souvent utilisée en médecine alternative. Elle est originaire d'Europe et d'Asie du Nord mais se trouve maintenant dans de nombreuses régions du monde.
Dans un contexte médical, les parties aériennes de la plante, y compris les feuilles et les tiges, sont souvent utilisées à des fins thérapeutiques. L'ortie commune est riche en nutriments, contenant des vitamines telles que la vitamine C, la vitamine A, ainsi que des minéraux comme le fer et le calcium.
L'ortie commune est traditionnellement utilisée pour traiter une variété de maux, y compris les douleurs articulaires, l'arthrite, les inflammations cutanées telles que l'eczéma et le psoriasis, ainsi que les problèmes respiratoires tels que l'asthme et la bronchite. Elle est également parfois utilisée pour traiter les problèmes urinaires et rénaux, ainsi que pour favoriser la santé digestive.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation médicale de l'ortie commune n'est pas largement étayée par des preuves scientifiques solides, et elle peut interagir avec certains médicaments. Par conséquent, avant de l'utiliser à des fins thérapeutiques, il est important de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils appropriés.
Phytolacca
Phytolacca icosandra
Phytolacca americana
Phytolacca acinosa
Phytolacca dioica
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Liste de fruits toxiques d'Europe
Auguste Cuénod
Phytolaccaceae
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Comment se débarrasser du raisin d'Amérique (Phytolacca americana) ?
PHYTOLACCA americana & Silberstrein - Phytolaque - Pokeweed - Jardins Michel Corbeil
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Phytolacca- Hale | | HOMEO-GEHU
Phytolacca americana - Centre de ressources
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Americana5
- En France, on trouve le Raisin d'Amérique (Phytolacca americana) qui présente des caractéristiques d'une espèce exotique envahissante. (wikipedia.org)
- Phytolacca americana L. - ou raisin d'Amérique. (wikipedia.org)
- Le raisin d'Amérique ( Phytolacca americana ) envahit toutes les régions boisées de France. (futura-sciences.com)
- On l'appelle raisin d'Amérique ( Phytolacca americana ), phytolaque, teinturier ou encore épinard épinard de Cayenne. (futura-sciences.com)
- La croissance de Phytolacca americana 'Silberstrein' est lente pendant les deux ou trois premières années, le temps que la plante s'installe bien, et ensuite elle devient vraiment très spectaculaire. (jardinsmichelcorbeil.com)
Decandra2
- Vous pouvez commander en ligne unda granules phytolacca decandra 9 ch, distribué(e) par boiron sur Pharmacodel, votre pharmacie en ligne. (pharmacodel.com)
- Le Phytolacca decandra, qui agit en tant qu'analgésique naturel, réduit efficacement l'inconfort. (neufmois.fr)
Raisin1
- Phytolacca heterotepala H.Walter Phytolacca icosandra L. - ou raisin tropicale. (wikipedia.org)
Acinosa1
- Phytolacca acinosa Roxb. (wikipedia.org)
Calendula1
- On peut utiliser Phytolacca et Calendula en teinture mère à condition de ne pas les avaler. (alternativesante.fr)
Dioica2
- Phytolacca Belombra, Phytolacca dioica Genre Phytolacca L., 1753 Classification phylogénétique Phytolacca est un genre de plantes arbustives ou arborescentes de la famille des Phytolaccaceae. (wikipedia.org)
- Phytolacca chinoise Phytolacca dioica L. - Le Belombra. (wikipedia.org)
Esculenta1
- Phytolacca esculenta Van Houtte) (naturalisé en Europe). (wikipedia.org)
Dodecandra2
- Phytolacca dodecandra L'Hér. (wikipedia.org)
- Si les chimpanzés consomment des baies de Phytolacca dodecandra, toxiques pour les populations locales. (caminteresse.fr)
Plantes1
- Phytolacca Belombra, Phytolacca dioica Genre Phytolacca L., 1753 Classification phylogénétique Phytolacca est un genre de plantes arbustives ou arborescentes de la famille des Phytolaccaceae. (wikipedia.org)