Une accumulation d ’ air ou gaz dans l'épanchement CAVITY, pouvant apparaître spontanément soit suite à un traumatisme ou processus pathologique. Le gaz peut également être présenté, pendant... PNEUMOTHORAX délibérément.
Injection d ’ air et plus lentement absorbé gaz dans l'azote, tels qu'épanchement CAVITY à s'effondrer le poumon.
Intervention chirurgicale, incluant la création d 'une communication (estomac) dans le thorax pour un drainage ; utilisé dans le traitement des épanchements pleuraux ; PNEUMOTHORAX ; hémothorax ; et emphysème pulmonaire.
La production de adhérences entre l'os pariétal et plèvre viscérale. La procédure est utilisé dans le traitement de fistules bronchopleural, malignes et épanchement pleural, pneumothorax et implique l ’ instillation de produits chimiques ou autres agents dans l'espace pleural causant, en effet, un pleuritis qui scelle la fuite. (De Fishman Pulmonaire Diseases, Ed, 2d p2233 & Dorland, 27 e)
Tubes plastiques utilisé pour un drainage d'air ou liquides dans l'espace pleural. Leur insertion chirurgicale s'appelle drain thoracique.
La chirurgie endoscopique de la cavité pleurale réalisée par la visualisation via transmission vidéo.
Un examen endoscopique, le traitement ou une chirurgie de la cavité pleurale.
La suppression des liquides ou renvois de l'organisme, comme d'une blessure, endolorie ou carie.
La fine membrane séreuse enveloppent les poumons (poumon) et remplissant les thoraciques CAVITY. Plèvre composée de deux couches, la plèvre viscérale allongé près du parenchyme pulmonaire et sur la plèvre pariétale. Entre les 2 couches est l'épanchement CAVITY qui contient une fine couche de liquide.
Présence d'air dans ce médiastinal tissus dû à des fuites d'air des de l'arbre trachéobronchique ont, souvent à cause de trauma.
Finement silicate hydrous indigène en poudre. Il est utilisé comme du talc, seul ou avec féculents ou l'acide borique, pour les préparations et toilettes. Il est également excipient et du remplissage pour des pilules, tablettes, et pour dépoussiérer comprimé moules. (De Merck Index, 11e éditeur)
Présence d'air ou de gaz dans les tissus sous-cutanés du corps.
Caractérisée par un syndrome néoplasique autosomale dominante genodermatosis, kystes, spontané et reins PNEUMOTHORAX récurrentes ; et le cancer. Elle est associée à des mutations du gène protéine folliculin (FLCN de protéine).
Présence d'air ou de gaz dans l'espace entre le cœur et le péricarde. Le degré de détresse respiratoire dépend de la quantité d'air emprisonné et la circulation bloquée dans les veines pulmonaires et systémiques.
Collection d'air et de sang dans la cavité pleural.
Général ou non précisées blessures dans la poitrine.
Blessure suite à des changements de pression ; inclut blessure à la trompe d'eustache Et ressort, tympan, pulmonaire ou estomac.
Une accumulation de liquide et de gaz dans la cavité pleurale. (Dorland, 27 e)
X-ray visualisation de la poitrine et organes de la cavité thoracique. C'est pas limité à la visualisation des poumons.
La suppression des sécrétions liquide ou gazeux de creux ou organes tubulaire ou cavités par un tube et un appareil qui agit sur la pression négative.
Une forme de pre-excitation ventriculaire caractérisée par une courte l ’ intervalle PR et un normal complexe QRS. Dans ce syndrome, la fibrillation impulsion via le conduit James fibres qui relient l'atrium vers son paquet de contourner la partie supérieure du auriculo-ventriculaires NODE. Cœur ventricules est normalement His-Purkinje faute dans le système.
Une maladie caractérisée par le progressiste invasion de tendre dans le muscle lymphatique des vaisseaux sanguins, et les vaisseaux sanguins. La majorité des cas surviennent dans les poumons de femmes en âge de procréer, éventuellement bloque l'écoulement d'air, le sang et de la lymphe. Le symptôme commun est essoufflement (dyspnée).
Une opération sur le poumon.
Hémorragie dans la cavité pleurale.
Incision chirurgicale dans la paroi thoracique.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
Les maladies de la plèvre, ou pneumopathies séreuses, regroupent un ensemble d'affections pathologiques affectant la membrane séreuse entourant les poumons, incluant l'épanchement pleural, les processus inflammatoires, infectieux et néoplasiques, ainsi que les affections congénitales ou traumatiques.
Une procédure dans laquelle fluide est prélevée dans une cavité corporelle ou organe via un trocart et le cathéter, une aiguille ou un autre instrument creux.
Précipitations visible de liquide dans ou sous l'épiderme.
Le retour d'un signe ou symptôme, la maladie après une rémission.
Processus pathologiques impliquant aucune partie du poumon.
Une opération sur le thoraciques organes, plus fréquemment les poumons et le cœur.
Mais séparé apparié cavité de l'incision thoracico-abdominale CAVITY. Elle consiste en l'espace entre les os pariétal et plèvre viscérale et normalement contient une couche de capillaire, lubrifiant le fluide, sécheresse de la surface pleurale ?
Un certain nombre de petites lésions pulmonaires caractérisé par de petites masses rondes de 2 à 3-mm de diamètre. Ils sont généralement détecté par scanner thoracique (tomography, RAYONS X). Ces nodules peut être associée à des métastases de tumeurs malignes dedans ou dehors le poumon, bénignes des granulomes, ou autres lésions.
Des troubles de l ’ air dans le gaz emprisonné ou CAVITY péritonéale, généralement secondaire à perforation des organes internes, comme le poumon et le tube TRACT, ou à l ’ intervention chirurgicale récente. Pneumopéritoine peut être introduit pour aider intentionnellement examen radiologique.
Présence de liquide dans la cavité pleurale résultant de l ’ exsudation ou transudation excessive de la surface pleurale ? C'est un signe de maladie et pas un diagnostic en soi.
La partie supérieure du tronc entre le cou et l'abdomen. Il contient le chef des organes de l'appareil circulatoire et respiratoire, 25ème de Stedman. (Éditeur)
Le plus bénin Langerhans-Cell histiocytose et commune des lésions acné nodulaire qui implique localisées principalement des os mais aussi de la muqueuse gastrique, l ’ intestin grêle, les poumons, ou la peau, avec infiltration par éosinophiles.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.

Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.

Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.

Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.

Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

Un pneumothorax artificiel est un terme médical qui décrit l'intentionnelle introduction d'air dans la cavité pleurale, entre les poumons et la paroi thoracique, généralement à des fins thérapeutiques. Cela peut être réalisé en insérant une aiguille ou un tube dans la cavité pleurale pour permettre à l'air accumulé de s'échapper ou pour créer un espace entre le poumon et la paroi thoracique afin de faciliter la réexpansion du poumon collabé.

Ce procédure est souvent effectuée dans le traitement d'un pneumothorax spontané, qui est une accumulation accidentelle d'air dans la cavité pleurale due à la rupture des bulles d'air dans les poumons. Un pneumothorax artificiel peut également être utilisé comme une procédure thérapeutique dans le cadre de certains types de chirurgie thoracique, tels que la résection pulmonaire, pour aider à faciliter la réexpansion du poumon après l'ablation d'une partie du tissu pulmonaire.

Il est important de noter que le pneumothorax artificiel est une procédure médicale qui doit être effectuée par un professionnel de santé qualifié dans un environnement contrôlé, tel qu'un hôpital ou une clinique, pour minimiser les risques de complications.

Thoracostomie est une procédure chirurgicale dans laquelle une incision est pratiquée dans la paroi thoracique pour créer une ouverture (souvent avec l'aide d'un tube en plastique flexible appelé un drain thoracique) dans la cavité pleurale. Cela permet d'évacuer l'air, le liquide ou le pus accumulés dans cette cavité due à une blessure, une maladie pulmonaire ou cardiaque sous-jacente.

Cette procédure est couramment utilisée pour traiter les conditions telles que la pneumothorax (accumulation d'air dans l'espace pleural), l'hémothorax (accumulation de sang dans l'espace pleural), le pyothorax (infection de l'espace pleural) et d'autres pathologies pulmonaires ou médiastinales.

La thoracostomie peut être effectuée comme une procédure percutanée sous guidage radiologique ou échographique, ou elle peut être réalisée lors d'une chirurgie thoracique ouverte. Après la procédure, le drain est généralement relié à un système de collecte et de drainage pour assurer l'élimination continue des fluides ou des gaz indésirables.

La pleurodèse est une procédure thérapeutique utilisée en médecine pour traiter l'effusion pleurale récurrente ou le pneumothorax récurrent. Il s'agit d'une intervention qui provoque délibérément une inflammation et ultimately une fusion des deux feuillets de la plèvre (la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique), restreignant ainsi l'espace dans lequel se produit le liquide ou l'air.

Cela peut être accompli en insérant un agent irritant dans l'espace pleural, comme du talc stérile en poudre, qui provoque une réaction inflammatoire et finalement cause les deux feuillets de la plèvre à coller ensemble. Une fois la procédure terminée, l'espace pour l'accumulation de liquide ou d'air est considérablement réduit, ce qui aide à prévenir les récidives.

La pleurodèse peut être réalisée par thoracoscopie (VATS), sous guidage radiologique ou par une méthode chirurgicale ouverte. Les effets secondaires peuvent inclure la douleur, la fièvre et la difficulté à respirer dans les premiers jours suivant la procédure.

Un drain thoracique est un tube flexible inséré dans la cavité thoracique (espace entre les poumons et la paroi thoracique) pour drainer le liquide, le pus ou l'air accumulé. Cela peut être nécessaire en cas de pneumothorax, d'hémothorax, de pleurésie ou d'autres conditions médicales qui entraînent une accumulation anormale de fluides dans la cavité thoracique. Le drainage permet de réduire la pression dans la cavité et aide à prévenir les complications telles que l'effondrement des poumons. Les drains thoraciques sont généralement posés sous anesthésie locale ou générale, et leur retrait dépend de la condition du patient et de la quantité de drainage.

La chirurgie thoracique vidéo-assistée (VATS), également connue sous le nom de chirurgie thoracique assistée par vidéo, est une technique chirurgicale minimement invasive utilisée pour diagnostiquer et traiter diverses affections thoraciques.

Dans cette procédure, un petit tube avec une caméra à son extrémité (thoracoscope) est inséré dans la cavité thoracique par une petite incision. La caméra transmet des images vidéo en direct de l'intérieur de la poitrine sur un écran, offrant au chirurgien une vue détaillée de la zone cible.

D'autres petites incisions sont ensuite faites pour insérer des instruments chirurgicaux spéciaux qui permettent au chirurgien de réaliser l'intervention sans avoir à ouvrir complètement la poitrine. Cela entraîne moins de douleur, une récupération plus rapide et un risque réduit de complications par rapport aux techniques chirurgicales traditionnelles.

La VATS peut être utilisée pour traiter diverses affections telles que le cancer du poumon, les maladies pulmonaires bénignes, les infections thoraciques et certaines conditions cardiovasculaires.

La thoracoscopie est une procédure diagnostique et thérapeutique minimement invasive utilisée en médecine et en chirurgie. Elle consiste à insérer un thoracoscope, qui est un tube rigide ou flexible muni d'une caméra et d'une source lumineuse, dans l'espace pleural (l'espace entre la paroi de la cage thoracique et les poumons) après avoir insufflé du gaz carbonique pour créer un espace de travail.

Cette procédure permet au médecin d'examiner les structures internes de la cavité thoracique, telles que les poumons, le médiastin (la région centrale de la cage thoracique contenant le cœur, l'œsophage, la trachée et les vaisseaux sanguins), le diaphragme et la plèvre (membrane qui entoure les poumons).

La thoracoscopie peut être utilisée pour diagnostiquer des maladies telles que les pneumonies, les tumeurs malignes ou bénignes, les épanchements pleuraux et les inflammations de la plèvre. Elle peut également être utilisée pour traiter certaines conditions, comme la biopsie pulmonaire guidée par thoracoscopie, le traitement des fuites d'air dans la cavité pleurale (pneumothorax), l'ablation de tumeurs ou de nodules pulmonaires, et la division du ligament suspenseur du poumon dans certaines procédures chirurgicales.

La thoracoscopie est généralement réalisée sous anesthésie générale et nécessite une hospitalisation courte. Les complications potentielles de cette procédure comprennent des saignements, des infections, des lésions nerveuses ou vasculaires, et la formation de pneumothorax post-procédural.

En médecine, le drainage est une procédure utilisée pour éliminer l'excès de fluide, de pus ou de sang d'un espace fermé dans le corps. Cela peut être accompli en créant un petit trou ou incision dans la peau pour accéder à la zone affectée, puis en insérant un tube fin (appelé drain) pour permettre au liquide de s'écouler. Le drainage peut aider à prévenir les infections, à réduire la pression et la douleur, et à favoriser la guérison.

Il existe différents types de drainage médical, tels que le drainage chirurgical, qui est souvent utilisé pendant ou après une intervention chirurgicale pour prévenir l'accumulation de fluides dans la zone opérée. Le drainage thermique, comme l'utilisation de compresses chaudes ou froides, peut également être utilisé pour aider à soulager la douleur et à réduire l'enflure.

Le drainage lymphatique est une autre forme de thérapie qui vise à stimuler le système lymphatique pour éliminer les toxines et les déchets du corps. Cette méthode peut être utilisée pour traiter diverses conditions, telles que les gonflements, les ecchymoses et les infections.

Dans tous les cas, le drainage doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques d'infection ou de complications.

La plèvre est une membrane séreuse qui enveloppe les poumons et tapisse la cavité thoracique. Elle est composée de deux feuillets, pariétal (externe) et viscéral (interne), qui sont en contact étroit et glissent l'un sur l'autre grâce au liquide pleural présent entre eux. Cette structure permet aux poumons de se mouvoir librement lors des cycles respiratoires. La plèvre joue également un rôle dans la protection et l'humidification des poumons, ainsi que dans le maintien de la pression négative nécessaire à leur expansion. Des pathologies telles que l'épanchement pleural ou le pneumothorax peuvent perturber son fonctionnement normal.

L'emphysème médiastinal est une maladie rare mais grave qui affecte le tissu pulmonaire et la cavité mediastinale (l'espace situé entre les poumons). Dans cette affection, l'air s'infiltre dans l'espace situé autour des poumons et du cœur dans le mediastin, entraînant une augmentation de la taille du mediastin.

Cette condition peut être causée par une blessure traumatique, une intervention chirurgicale thoracique ou une maladie sous-jacente qui affaiblit les parois des voies respiratoires, comme l'emphysème pulmonaire ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Les symptômes de l'emphysème médiastinal peuvent inclure une douleur thoracique sévère, une difficulté à respirer, une toux sèche, une voix rauque et un gonflement visible du cou ou de la poitrine. Cette condition peut être diagnostiquée par des examens d'imagerie tels que la radiographie thoracique ou le scanner thoracique.

Le traitement de l'emphysème médiastinal dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des soins de soutien, une oxygénothérapie, des médicaments pour réduire l'inflammation et la douleur, ainsi que des procédures telles que la thoracocentèse (évacuation de l'air accumulé dans le mediastin). Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour réparer les dommages causés aux voies respiratoires et au tissu pulmonaire.

Le talc est un minéral naturel composé principalement de silicate de magnésium hydraté avec la formule Mg3Si4O10(OH)2. Il est couramment utilisé dans les produits pharmaceutiques, cosmétiques et alimentaires en raison de sa douceur, de son absorption, de ses propriétés lubrifiantes et de sa blancheur. Dans le domaine médical, il peut être utilisé comme glaçage sur des compresses ou comme agent de remplissage dans certains médicaments solides. Cependant, l'utilisation de talc dans les produits d'hygiène féminine a été associée à un risque accru de cancer de l'ovaire, ce qui a conduit à des préoccupations et à des restrictions réglementaires.

L'emphysème sous-cutané est un terme médical qui décrit une affection dans laquelle il y a une accumulation anormale d'air ou de gaz dans les tissus sous-cutanés, ce qui entraîne une distension et un gonflement visibles de la peau. Cela peut se produire n'importe où sur le corps, mais il est le plus souvent observé dans le visage, en particulier autour des yeux et des joues.

Cette condition est généralement associée à une blessure ou à une intervention chirurgicale qui endommage les voies respiratoires ou les poumons, entraînant une fuite d'air dans les tissus environnants. Les causes courantes comprennent les traumatismes thoraciques, les procédures médicales invasives telles que la ventilation mécanique et la chirurgie thoracique, certaines maladies pulmonaires comme l'emphysème et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), ainsi que l'utilisation de certains médicaments, tels que les corticostéroïdes.

Les symptômes de l'emphysème sous-cutané peuvent inclure un gonflement et une distension visibles de la peau, des douleurs ou une sensation de brûlure dans la zone touchée, et des difficultés respiratoires en raison de la compression des poumons par l'air accumulé. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des mesures visant à soulager les symptômes, telles que l'administration d'oxygène, la drainage de l'air accumulé ou la réparation des dommages aux voies respiratoires ou aux poumons. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème.

Le syndrome de Birt-Hogg-Dubé est une maladie génétique rare caractérisée par la présence de plusieurs types de tumeurs bénignes et malignes qui peuvent affecter les poumons, la peau et les reins. Cette condition est causée par des mutations dans le gène folliculin (FLCN) et est héritée de manière autosomique dominante, ce qui signifie qu'une seule copie du gène muté dans les cellules d'un individu est suffisante pour provoquer la maladie.

Les personnes atteintes de cette maladie peuvent développer des lésions cutanées bénignes appelées fibrofolliculomes et trichodiscomes, qui se présentent sous forme de petites papules sur le visage, le cou et le haut du dos. Ces lésions sont généralement indolores et ne causent pas de symptômes graves, mais elles peuvent être inesthétiques.

Le syndrome de Birt-Hogg-Dubé est également associé à un risque accru de développer des tumeurs rénales, y compris des carcinomes à cellules rénales chromophobes et des oncocytomes. Ces tumeurs peuvent être malignes ou bénignes et peuvent causer des symptômes tels que des douleurs abdominales, des saignements dans les urines et une fatigue extrême.

En outre, certaines personnes atteintes de cette maladie peuvent développer des pneumothorax spontanés, qui se produisent lorsque l'air s'accumule entre les poumons et la paroi thoracique, entraînant une effusion pulmonaire. Les pneumothorax spontanés peuvent être douloureux et entraîner des difficultés respiratoires.

Le diagnostic du syndrome de Birt-Hogg-Dubé est généralement posé sur la base de l'historique médical, de l'examen physique et des résultats des tests génétiques. Les personnes atteintes de cette maladie doivent être surveillées régulièrement pour détecter tout signe de tumeurs rénales ou de pneumothorax spontanés. Le traitement du syndrome de Birt-Hogg-Dubé dépend de la gravité des symptômes et peut inclure une surveillance étroite, une chirurgie pour enlever les tumeurs rénales ou une thérapie génique pour corriger les mutations génétiques sous-jacentes.

Le pneumopéricarde est une condition médicale rare mais potentiellement mortelle dans laquelle il y a une accumulation anormale d'air dans l'espace situé entre le sac péricardique (la membrane qui entoure et protège le cœur) et le cœur lui-même. Cette accumulation d'air est appelée épanchement pneumopéricardique.

L'épanchement pneumopéricardique peut se produire à la suite d'une blessure traumatique, d'une intervention chirurgicale thoracique ou cardiaque, d'une infection pulmonaire ou d'une maladie inflammatoire du tissu pulmonaire. Dans certains cas, il peut également se produire spontanément en raison de la présence de communications anormales entre les poumons et le sac péricardique.

L'épanchement pneumopéricardique peut entraîner une compression du cœur et des difficultés respiratoires, ce qui peut mettre la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement. Le traitement consiste généralement à évacuer l'air accumulé dans l'espace péricardique par une intervention chirurgicale ou une ponction percutanée guidée par imagerie.

L'hémopneumothorax est un terme médical qui décrit la présence simultanée d'air (pneumothorax) et de sang (hémothorax) dans l'espace pleural, qui est le revêtement séreux qui entoure les poumons. Cela peut se produire à la suite d'une blessure traumatique ou d'une procédure médicale invasive, telle qu'une intervention chirurgicale thoracique ou une ponction de la paroi thoracique. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë, une difficulté à respirer et une diminution des bruits respiratoires du côté affecté. Le traitement dépend de la gravité de l'affection et peut inclure une observation attentive, une intervention chirurgicale ou une drainage thoracique à l'aide d'une aiguille ou d'un tube.

Les traumatismes thoraciques sont des lésions physiques ou des blessures qui affectent la cage thoracique, y compris le sternum, les côtes, la colonne vertébrale thoracique, le diaphragme, les poumons, le cœur, les gros vaisseaux sanguins et les nerfs du thorax. Ces traumatismes peuvent être causés par des accidents de voiture, des chutes, des coups, des piqûres ou des coupures profondes, des brûlures, des explosions, ou encore par des compressions thoraciques violentes.

Les traumatismes thoraciques peuvent être classés en deux catégories principales : fermés et ouverts. Les traumatismes thoraciques fermés sont ceux où la peau reste intacte, mais les organes internes peuvent être endommagés. Les traumatismes thoraciques ouverts sont ceux où la peau est perforée, exposant directement les organes internes aux dommages.

Les symptômes des traumatismes thoraciques dépendent de la gravité et de l'étendue de la blessure. Ils peuvent inclure de la douleur thoracique, de la difficulté à respirer, une toux sanguinolente, des ecchymoses ou des déformations visibles de la cage thoracique, des battements cardiaques irréguliers, une pression artérielle basse et une faiblesse ou un engourdissement dans les membres.

Le traitement des traumatismes thoraciques dépend de la gravité de la blessure. Les traumatismes mineurs peuvent être traités avec du repos, de la glace, des analgésiques et une observation médicale étroite. Les traumatismes plus graves peuvent nécessiter une intervention chirurgicale d'urgence, une ventilation mécanique, une stabilisation de la colonne vertébrale, une transfusion sanguine et une surveillance continue des signes vitaux.

Barotraumatisme est un terme médical qui décrit une lésion tissulaire due à des changements de pression ambiante. Cela se produit généralement lorsque les gaz contenus dans les espaces aériens du corps, tels que les poumons, les sinus ou l'oreille moyenne, ne peuvent pas égaliser la pression extérieure.

Les barotraumatismes peuvent survenir lors de changements rapides de pression, comme ceux rencontrés lors de la plongée sous-marine, de la conduite d'avions à haute altitude ou même lors de l'exploration des grottes.

Les symptômes du barotraumatisme dépendent de la région du corps touchée. Par exemple, un barotraumatisme des oreilles moyennes peut provoquer une douleur aiguë, des bourdonnements d'oreilles ou une perte auditive temporaire. Un barotraumatisme pulmonaire peut causer une douleur thoracique, une toux, des hémoptysies (expectoration de sang) et dans les cas graves, un pneumothorax (affaissement d'un poumon).

Le traitement du barotraumatisme consiste généralement à éliminer la cause sous-jacente de l'augmentation ou de la diminution de la pression et à fournir des soins de soutien pour les symptômes. Dans certains cas, une intervention médicale immédiate peut être nécessaire pour prévenir des complications graves.

Pour éviter les barotraumatismes, il est important de suivre les directives de sécurité appropriées lors de la plongée sous-marine, de la conduite d'avions à haute altitude ou de l'exploration des grottes. Il est également important de consulter un médecin avant de participer à ces activités si vous avez des problèmes de santé préexistants qui peuvent augmenter votre risque de barotraumatisme.

L'hydropneumothorax est un terme médical qui décrit la présence simultanée d'air (pneumothorax) et de liquide (généralement du liquide pleural, appelé hydropneumothorax paraponctique) dans la cavité thoracique, séparant le poumon du thorax. Cela peut se produire à la suite d'une lésion traumatique ou de certaines procédures médicales, telles que la puncture pulmonaire ou la ventilation mécanique. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë, des difficultés respiratoires et une diminution des bruits respiratoires du côté affecté de la poitrine. Le traitement dépend de la cause sous-jacente mais peut inclure une intervention chirurgicale pour réparer les dommages aux tissus ou le drainage du liquide et de l'air accumulés dans la cavité thoracique.

Une radiographie thoracique, également appelée radiographie de la poitrine, est un examen d'imagerie médicale utilisant des rayons X pour produire des images du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons, des os de la cage thoracique, des côtes et des diaphragmes. Il s'agit d'un outil diagnostique commun utilisé pour détecter une variété de conditions médicales telles que les pneumonies, les emphysèmes, les fibroses pulmonaires, les cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les fractures costales. Pendant l'examen, le patient est généralement assis ou debout avec les bras levés. Un technologue en radiologie positionne le patient et prend une image à l'aide d'une machine à rayons X. L'image résultante aide les médecins à évaluer l'état des organes et des tissus du thorax et à poser un diagnostic ou à surveiller la réponse au traitement.

Le syndrome de Lown-Ganong-Levine est un trouble rare de la conduction cardiaque caractérisé par un intervalle PR court (moins de 0,12 secondes) sur l'électrocardiogramme (ECG), associé à des battements cardiaques rapides et irréguliers appelés extrasystoles supraventriculaires. Ce syndrome est généralement considéré comme une forme de maladie du nœud auriculo-ventriculaire (MAV) préexcitée. Il a été nommé d'après les cardiologues américains Bernard Lown, Frank Ganong et Samuel Levine qui l'ont décrit pour la première fois en 1952.

Dans le syndrome de Lown-Ganong-Levine, il existe une voie accessoire anormale entre l'atrium et le ventricule, appelée faisceau de Kent, qui contourne le nœud auriculo-ventriculaire normal et permet aux impulsions électriques de se propager directement du haut vers le bas du cœur. Cela entraîne une activation prématurée des ventricules, ce qui peut provoquer des arythmies cardiaques.

Les symptômes du syndrome de Lown-Ganong-Levine peuvent inclure des palpitations, une sensation de battements cardiaques rapides ou irréguliers, des étourdissements, des essoufflements et dans certains cas, une syncope. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'un ECG qui montre un intervalle PR court et des ondes P prématurées anormales.

Le traitement du syndrome de Lown-Ganong-Levine dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments antiarythmiques, l'ablation par cathéter pour détruire la voie accessoire anormale ou une intervention chirurgicale. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire si les symptômes sont légers et ne causent pas de problèmes importants.

La lymphangioléiomyomatose (LAM) est une maladie rare mais progressive qui affecte principalement les femmes d'âge moyen. C'est une forme de maladie pulmonaire interstitielle caractérisée par la prolifération anormale de cellules musculaires lisses dans les vaisseaux lymphatiques et les tissus pulmonaires.

Cette prolifération peut entraîner la formation de kystes dans les poumons, ce qui peut causer des symptômes tels que toux, essoufflement, douleur thoracique et fatigue. La maladie peut également affecter d'autres organes, y compris les reins, où elle peut provoquer une maladie appelée angiomyolipome rénal.

La cause exacte de la LAM est inconnue, mais il a été démontré que la maladie est associée à des mutations dans les gènes TSC1 et TSC2, qui sont également associés à une autre maladie rare appelée sclérose tubéreuse de Bourneville. Ces mutations entraînent une activation anormale d'une voie de signalisation cellulaire connue sous le nom de voie mTOR, ce qui peut conduire à la croissance et à la prolifération cellulaires anormales observées dans la LAM.

Le diagnostic de la LAM est généralement posé par une combinaison d'imagerie médicale, de tests fonctionnels pulmonaires et d'analyses de tissus. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la LAM, mais des thérapies telles que l'inhibition de la voie mTOR peuvent aider à ralentir la progression de la maladie et à soulager les symptômes.

Une intervention chirurgicale pulmonaire est un type d'opération effectuée sur les poumons. Cela peut inclure une variété de procédures, allant de la biopsie pulmonaire (où un petit échantillon de tissu pulmonaire est prélevé pour examen) à des procedures plus complexes telles que la lobectomie (où une partie ou tout un lobe du poumon est enlevé), la pneumonectomie (où un poumon entier est enlevé) ou la décompression de l'emphysème pulmonaire (où les sacs d'air dans les poumons sont réduits pour aider à améliorer la fonction respiratoire). Ces interventions peuvent être effectuées pour diagnostiquer ou traiter une variété de conditions, y compris le cancer du poumon, l'emphysème, la tuberculose et d'autres maladies pulmonaires.

L'hémothorax est un terme médical qui décrit l'accumulation anormale de sang dans l'espace pleural, qui est le revêtement séreux qui entoure les poumons et tapisse la cavité thoracique. Cette condition peut résulter d'une lésion traumatique ou non traumatique des vaisseaux sanguins situés dans la cavité thoracique, tels que les artères ou les veines intercostales, les artères sous-clavières, la veine cave supérieure, l'aorte et ses branches, ou les petits vaisseaux capillaires.

Les causes traumatiques courantes d'hémothorax comprennent les accidents de la route, les chutes, les coupures profondes, les côtes fracturées, les lésions pulmonaires et les interventions chirurgicales thoraciques. Les causes non traumatiques peuvent inclure des maladies vasculaires telles que l'hypertension artérielle, la dissection aortique, la rupture de l'anévrisme aortique, la coagulopathie, les tumeurs malignes ou bénignes dans la cavité thoracique, les infections telles que la pneumonie et l'empyème, et les maladies pulmonaires telles que la tuberculose et la sarcoïdose.

Les symptômes de l'hémothorax peuvent varier en fonction de la quantité de sang accumulée dans l'espace pleural. Les patients peuvent présenter une douleur thoracique aiguë, un essoufflement, une toux sanguinolente, des palpitations, une hypotension artérielle, une tachycardie et une diminution de la saturation en oxygène. Le diagnostic d'hémothorax peut être posé par l'examen physique, la radiographie pulmonaire, la tomodensitométrie thoracique ou l'échographie.

Le traitement de l'hémothorax dépend de la cause sous-jacente et de la quantité de sang accumulée dans l'espace pleural. Les patients présentant une hémorragie active peuvent nécessiter une intervention chirurgicale d'urgence pour arrêter le saignement. Les patients présentant une accumulation importante de sang dans l'espace pleural peuvent bénéficier d'une thoracocentèse ou d'un drainage thoracique par un tube de drainage thoracique. Les patients présentant une coagulopathie peuvent nécessiter une correction de la coagulation sanguine.

En conclusion, l'hémothorax est une affection potentiellement mortelle qui peut résulter d'une variété de causes sous-jacentes. Le diagnostic et le traitement précoces sont essentiels pour prévenir les complications graves telles que la défaillance respiratoire et cardiovasculaire. Les professionnels de la santé doivent être conscients des symptômes et des signes de l'hémothorax et prendre des mesures appropriées pour assurer un diagnostic et un traitement rapides et efficaces.

Une thoracotomie est une procédure chirurgicale dans laquelle une incision est pratiquée sur la paroi thoracique pour accéder à la cavité thoracique. Cette intervention peut être effectuée pour diverses raisons, telles que l'évacuation d'un pneumothorax ou d'un hémothorax, l'examen direct des poumons, du cœur ou d'autres organes thoraciques, la résection d'une tumeur, la réparation d'une plaie traumatique ou la réalisation d'une transplantation cardiaque ou pulmonaire.

Selon l'emplacement et la raison de l'intervention, une thoracotomie peut être classée en différents types :

1. Thoracotomie antérieure : L'incision est pratiquée sur le sternum (sternotomie médiane) ou sur le côté du sternum. Elle permet d'accéder aux deux cavités thoraciques et est souvent utilisée pour les interventions cardiaques.

2. Thoracotomie latérale : L'incision est pratiquée sur le côté de la cage thoracique, sous l'aisselle (axillaire) ou à travers les côtes postérieures. Elle permet d'accéder à une cavité thoracique spécifique et est souvent utilisée pour les interventions pulmonaires, telles que la résection d'une tumeur.

3. Thoracotomie postérieure : L'incision est pratiquée dans le dos, entre les côtes, pour accéder à la cavité thoracique postérieure. Elle est souvent utilisée pour traiter les pathologies de la colonne vertébrale ou des nerfs intercostaux.

Comme toute intervention chirurgicale, une thoracotomie comporte des risques et des complications potentielles, tels qu'une douleur postopératoire sévère, des infections, des lésions nerveuses ou vasculaires, des pneumothorax (affaissement pulmonaire) et des hémothorax (saignement dans la cavité thoracique). Les patients doivent être informés de ces risques avant de subir une telle intervention.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

Les maladies de la plèvre se réfèrent à un ensemble de conditions qui affectent la plèvre, qui est le revêtement séreux entourant les poumons et la paroi thoracique. La plèvre a deux couches : la couche viscérale, qui est en contact avec les poumons, et la couche pariétale, qui tapisse la paroi thoracique. L'espace entre ces deux couches est rempli d'un liquide lubrifiant appelé liquide pleural, ce qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration.

Les maladies de la plèvre peuvent être classées en plusieurs catégories, notamment :

1. Inflammation de la plèvre (pleurite) : Il s'agit d'une inflammation de la plèvre qui peut être causée par une infection, une maladie auto-immune ou une irritation chimique. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë et une respiration difficile.
2. Épaississement de la plèvre (fibrose pleurale) : Il s'agit d'un épaississement et d'un durcissement de la plèvre qui peuvent être causés par une inflammation chronique, une exposition à des toxines ou une radiothérapie. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une réduction de la capacité pulmonaire.
3. Accumulation de liquide dans l'espace pleural (dans la plèvre) : Cela peut être dû à une inflammation, une infection, une tumeur ou une insuffisance cardiaque congestive. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une douleur thoracique.
4. Tumeurs de la plèvre : Il s'agit de tumeurs bénignes ou malignes qui se développent dans la plèvre. Les tumeurs malignes peuvent être primaires (se développant dans la plèvre) ou secondaires (se propageant à partir d'autres parties du corps).

Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

La paracentèse est un terme médical qui décrit une procédure dans laquelle une petite incision est pratiquée dans la membrane muqueuse de l'abdomen, précisément dans la région située entre les côtes inférieures et le bassin, appelée fosse iliaque, pour évacuer l'excès de liquide ou de gaz présent dans la cavité abdominale.

Cette procédure est couramment utilisée pour soulager la pression intra-abdominale due à une accumulation anormale de liquide, comme dans le cas d'une ascite (accumulation de liquide dans la cavité péritonéale), ou d'une péritonite (inflammation de la membrane séreuse tapissant la cavité abdominale).

La paracentèse est généralement réalisée sous contrôle médical et en utilisant une anesthésie locale pour minimiser l'inconfort du patient. Les risques associés à cette procédure sont minimes, mais peuvent inclure des saignements, des infections ou une perforation accidentelle d'un organe intra-abdominal.

Une cloque est un type de lésion cutanée dans laquelle il y a accumulation de liquide sous la peau. Cela se produit lorsque les petits vaisseaux sanguins sous la peau sont endommagés, permettant au plasma de s'échapper et de s'accumuler dans l'espace situé entre la peau et le tissu sous-jacent. Les cloques peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris les brûlures, les frottements excessifs, les éruptions cutanées, les infections ou certaines conditions médicales.

Les cloques sont généralement douloureuses et sensibles au toucher. Elles peuvent apparaître de différentes tailles, allant d'une petite bulle à une grande zone remplie de liquide. Dans la plupart des cas, il est recommandé de ne pas percer ou éclater une cloque, car cela peut entraîner une infection supplémentaire et ralentir le processus de guérison. Au lieu de cela, il est préférable de protéger la zone affectée en appliquant un pansement stérile et de consulter un professionnel de la santé si la cloque ne guérit pas ou s'il y a des signes d'infection, tels que rougeur, chaleur, gonflement ou pus.

En termes médicaux, une récidive est la réapparition des symptômes ou signes d'une maladie après une période de rémission ou d'amélioration. Cela indique que la maladie, souvent une maladie chronique ou un trouble de santé, n'a pas été complètement éradiquée et qu'elle est revenue après un certain temps. La récidive peut se produire dans divers domaines de la médecine, y compris l'oncologie (cancer), la neurologie, la psychiatrie et d'autres spécialités.

Dans le contexte du cancer, une récidive est définie comme la réapparition de la maladie dans la même région où elle a été initialement diagnostiquée (récidive locale) ou dans une autre partie du corps (récidive à distance ou métastase). Les taux de récidive et le moment où elles se produisent peuvent varier en fonction du type de cancer, du stade au moment du diagnostic, du traitement initial et d'autres facteurs pronostiques.

Il est important de noter que la détection précoce des récidives peut améliorer les résultats thérapeutiques et la prise en charge globale du patient. Par conséquent, un suivi régulier et des examens de contrôle sont essentiels pour surveiller l'évolution de la maladie et détecter rapidement toute récidive éventuelle.

Les maladies pulmonaires sont un groupe divers de conditions qui affectent les poumons et le système respiratoire, entravant la capacité d'une personne à respirer correctement. Elles peuvent être causées par des infections, des allergies, des irritants environnementaux, une génétique défavorable ou un mauvais mode de vie. Les exemples courants comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, la fibrose kystique, la tuberculose et le cancer du poumon. Les symptômes varient en fonction du type de maladie pulmonaire mais peuvent inclure une toux persistante, des expectorations, une respiration sifflante, une douleur thoracique, un essoufflement ou une fatigue excessive. Le traitement dépend du diagnostic spécifique et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une oxygénothérapie ou, dans les cas graves, une transplantation pulmonaire.

Une intervention chirurgicale thoracique est un type de procédure chirurgicale qui est effectuée sur le thorax, qui comprend la région du corps délimitée par le cou, la colonne vertébrale, les côtes et le diaphragme. Cette région contient des organes importants tels que les poumons, le cœur, l'œsophage, la trachée, les vaisseaux sanguins majeurs et le médiastin (la zone centrale de la cavité thoracique qui contient le cœur, la trachée, l'oesophage et les gros vaisseaux sanguins).

Les interventions chirurgicales thoraciques peuvent être effectuées pour diverses raisons, telles que le traitement de maladies pulmonaires, de cancer du poumon ou d'autres tumeurs thoraciques, de malformations congénitales, de blessures traumatiques, de maladies des vaisseaux sanguins thoraciques, de troubles de l'œsophage et de divers autres problèmes de santé.

Les techniques chirurgicales thoraciques peuvent varier considérablement en fonction de la nature et de la gravité de la maladie ou de la blessure traitée. Certaines interventions chirurgicales thoraciques peuvent être effectuées à l'aide de techniques mini-invasives, telles que la vidéothoracoscopie ou la thoracoscopie assistée par robot, qui nécessitent de petites incisions et permettent une récupération plus rapide. D'autres interventions chirurgicales thoraciques peuvent nécessiter une incision plus large dans la poitrine, connue sous le nom de thoracotomie, qui peut entraîner une récupération plus longue et des cicatrices plus importantes.

Comme pour toute intervention chirurgicale, les interventions chirurgicales thoraciques comportent des risques et des complications potentielles, notamment des saignements, des infections, des lésions nerveuses, des problèmes pulmonaires et cardiaques, et des réactions indésirables à l'anesthésie. Il est important de discuter avec votre médecin des avantages et des risques potentiels de toute intervention chirurgicale thoracique proposée.

La cavité pleurale est l'espace situé entre les deux feuillets de la membrane séreuse qui tapisse la surface interne de la paroi thoracique et recouvre les poumons. Cette membrane est appelée la plèvre, et elle est composée d'un feuillet viscéral (qui recouvre les poumons) et d'un feuillet pariétal (qui tapisse la paroi thoracique).

Dans des conditions normales, ces deux feuillets sont en contact étroit l'un avec l'autre, et l'espace entre eux est rempli d'une petite quantité de liquide lubrifiant appelé liquide pleural. Ce liquide permet aux feuillets de glisser facilement les uns sur les autres lors des mouvements respiratoires.

Cependant, en cas de maladie ou de lésion, il peut y avoir une accumulation excessive de liquide dans la cavité pleurale, ce qui est appelé un épanchement pleural. Cela peut être dû à diverses causes, telles que l'inflammation, l'infection, la tumeur ou la traumatisme. Un épanchement pleural important peut comprimer le poumon et entraver la respiration.

Dans certains cas, il peut également y avoir une accumulation d'air dans la cavité pleurale, ce qui est appelé un pneumothorax. Cela peut se produire en raison d'une blessure à la poitrine ou de la rupture d'une bulle d'air dans les poumons (emphysème). Un pneumothorax peut également causer des problèmes respiratoires en comprimant le poumon.

En résumé, la cavité pleurale est l'espace situé entre les deux feuillets de la plèvre qui tapisse la paroi thoracique et recouvre les poumons. Normalement, cet espace contient une petite quantité de liquide lubrifiant, mais en cas de maladie ou de traumatisme, il peut s'accumuler de l'air ou du liquide dans cette cavité, ce qui peut causer des problèmes respiratoires.

'Multiple Pulmonary Nodules' est un terme médical qui se réfère à plusieurs petites masses ou taches (nodules) présentes dans les poumons. Ces nodules peuvent être de différentes tailles, allant de quelques millimètres à quelques centimètres de diamètre. Ils sont souvent détectés sur une radiographie pulmonaire ou un scanner thoracique. Les nodules pulmonaires multiples peuvent être bénins (non cancéreux) ou malins (cancéreux). Les causes courantes de nodules pulmonaires bénins comprennent les granulomes, qui peuvent résulter d'infections antérieures telles que la tuberculose, ou des particules inhalées telles que la poussière de silice. Les causes des nodules pulmonaires malins incluent le cancer du poumon et les métastases d'autres cancers dans le corps. D'autres causes possibles de nodules pulmonaires multiples comprennent les infections fongiques ou parasitaires, les maladies auto-immunes et certains médicaments. Le diagnostic et le traitement dépendent de la cause sous-jacente des nodules pulmonaires multiples.

Le pneumopéritoine est un terme médical qui décrit la présence d'air ou de gaz dans l'espace situé entre les feuillets de la membrane séreuse qui tapisse la cavité abdominale, appelée péritoine. Normalement, cet espace ne contient pas d'air et est rempli de liquide séreux pour faciliter le glissement des organes intra-abdominaux les uns contre les autres.

L'apparition d'un pneumopéritoine peut être due à plusieurs causes, dont certaines sont bénignes et d'autres plus graves. Parmi les causes bénignes, on peut citer une intervention chirurgicale abdominale récente ou la présence de gaz provenant du tractus gastro-intestinal qui s'échappe à travers une perforation dans la paroi intestinale.

Cependant, un pneumopéritoine peut également être le signe d'une pathologie plus grave, telle qu'une perforation viscérale due à une maladie inflammatoire de l'intestin, une infection intra-abdominale sévère ou une ischémie intestinale. Dans ces cas, le diagnostic et le traitement rapides sont essentiels pour prévenir les complications potentiellement mortelles telles que la septicémie et l'insuffisance respiratoire aiguë.

Le diagnostic de pneumopéritoine peut être posé par une radiographie abdominale ou un examen tomodensitométrique (TDM) de l'abdomen, qui mettra en évidence la présence d'air dans la cavité abdominale. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure une intervention chirurgicale pour réparer la perforation ou drainer tout liquide accumulé dans l'abdomen.

Une pleurésie est une accumulation anormale de liquide dans l'espace pleural, qui est l'espace situé entre les deux feuillets (pariétal et viscéral) de la plèvre qui recouvrent les poumons. Normalement, cet espace contient une petite quantité de liquide lubrifiant pour permettre aux feuillets de glisser facilement l'un contre l'autre lors des mouvements respiratoires.

Cependant, diverses conditions pathologiques peuvent entraîner une augmentation de la perméabilité ou de la production de liquide dans l'espace pleural, entraînant ainsi une accumulation excessive de liquide connu sous le nom de pleurésie. Les causes courantes de pleurésie comprennent l'insuffisance cardiaque congestive, l'inflammation pulmonaire, la pneumonie, les tumeurs malignes, les traumatismes thoraciques et les infections du poumon ou de la plèvre (empyème pleural).

Les symptômes de la pleurésie peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente et de la quantité de liquide accumulée. Les symptômes courants comprennent une douleur thoracique aiguë ou chronique, qui peut s'aggraver en inspirant profondément ou en toussant, ainsi qu'une toux sèche ou productive. Dans les cas graves, la pleurésie peut entraîner une détresse respiratoire et une diminution de l'oxygénation du sang.

Le diagnostic de pleurésie est généralement posé par imagerie médicale, telle qu'une radiographie pulmonaire ou une tomodensitométrie (TDM), qui peuvent révéler une opacité ou une augmentation de la transparence du poumon affecté. L'analyse du liquide pleural peut également fournir des informations sur la cause sous-jacente de la pleurésie, telles que la présence d'infections bactériennes ou de cellules cancéreuses.

Le traitement de la pleurésie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour les infections, des analgésiques pour la douleur thoracique, des anti-inflammatoires pour réduire l'enflure et des procédures telles que la thoracentèse ou la drainage pleural pour éliminer l'excès de liquide accumulé. Dans les cas graves ou récurrents de pleurésie, une chirurgie peut être nécessaire pour retirer la plèvre affectée ou pour prévenir la récidive.

Le thorax, dans la terminologie anatomique, se réfère à la région centrale et supérieure du corps humain qui est située entre le cou et l'abdomen. Il est principalement composé des côtes, du sternum (ou la poitrine), de la colonne vertébrale thoracique, du diaphragme et des muscles intercostaux.

Le thorax abrite et protège plusieurs organes vitaux tels que le cœur, les poumons, l'œsophage, la trachée, les vaisseaux sanguins majeurs comme l'aorte et la veine cave supérieure, ainsi que les nerfs importants.

La fonction principale du thorax est de fournir une cavité protectrice pour ces organes internes délicats tout en permettant à des mouvements importants tels que la respiration de se produire grâce aux contractions et expansions du diaphragme et des muscles intercostaux qui modifient le volume de cette cavité.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

Pas de FAQ disponibles qui correspondent au "pneumothorax"

Pas de images disponibles qui correspondent au "pneumothorax"