Néoplasmes bénins dérivés de l ’ épithélium glandulaire. (De Stedman, 25e éditeur)
Tissu discret des masses qui saillent dans le lumen des COLON. Ces POLYPS sont liés à la paroi du colon soit par une tige, pedunculus, ou par une large base.
Discret des masses qui saillent tissulaire anormale dans le lumen des DIGESTIVE TRACT ou les voies respiratoires TRACT. Polypes peut être spheroidal, hemispheroidal, ou irréguliers structures mound-shaped attaché à la membrane muqueuse de la cavité mur soit par une tige, pedunculus, ou par une large base.
Un syndrome Polyposis autosomale dominante due à une mutation du gène APC (gènes Apc) sur le chromosome 5. Le syndrome est caractérisé par le développement de centaines de POLYPS adénomateux chez les individus de COLON et fini par l'adolescence.
Discrète tissulaire anormale dans le lumen des masses qui forment une protubérance de l'intestin. Un polype est attaché à la paroi intestinale, soit par une tige, pedunculus, ou par une large base.
Une tumeur bénigne épithéliales avec une organisation glandulaire.
Un examen endoscopique, le traitement ou la chirurgie du Luminal surface du colon.
Un négatif régulateur de beta-catenin signalait quelle Adenomatous Polyposis Coli est mutants et syndrome du GARDNER.
Cancer de la tumeur ni COLON fini ou la ou les deux. Des facteurs de risque de cancer colorectal incluent rectocolite chronique ; polypose Polyposis Coli ; l ’ exposition à compressée ; et une radiothérapie du col d'une première impression.
Cancer de la tumeur ni COLON.
Œdème amas de focale le fluide dans la muqueuse accompagné d ’ hyperplasie des tissus conjonctifs sous-muqueux associés. Polypes peut être Neoplasms, foyers d'inflammation, des lésions dégénératives, ou des malformations.
Un examen endoscopique, le traitement ou la chirurgie du sigmoïde pliure.
Méthode d ’ imagerie qui utilise un outil non invasif calculé tomographique imagiciel spécialisé en données combinées pour examiner le colon.
Le segment de large intestin entre le cœcum et du est fini. Il inclut les COLON ascendante ; la COLON ; la transversale DESCENDING COLON ; et le sigmoïde COLON.
Une augmentation du nombre de cellules dans un mouchoir ou organe sans tumeur formation. Elle est différente de hypertrophie, qui est une augmentation en gros sans augmentation du nombre de cellules.
Tumeurs ou un cancer de la est fini.
Revêtement des intestins, comprenant une épithélium intérieure, un milieu et un axe la lamina propria et les muscularis mucosae. Dans un petit intestin, la muqueuse est caractérisé par une série de plis et l'abondance de cellules absorbante (entérocytes) avec microvillosités.
Le segment distal de la grande intestin, entre le sigmoïde COLON anal et le canal.
Un composé utilisé comme une radio produit de contraste qui apparaît dans la nature comme le minéral Barite. Il est également utilisé dans des applications de fabrication et mélangées à épaisse couche de béton pour servir de bouclier anti-radiations.
Une variante de mutation causée par Adenomatous Polyposis Coli dans un APC (gènes gène Apc) sur le chromosome 5. C'est caractérisé par non seulement la présence de multiples lavement extracolonic POLYPS Adenomatous Polyposis mais aussi dans le Upper TRACT gastro-intestinaux ; the EYE ; la peau ; le crâne, et les os autour, ainsi que des organes enflés autre que le système digestif.
Tumeurs ou d'le cæcum.
Une solution ou composé introduit dans le fini avec le but de purifier les COLON ou pour examens diagnostiques.
Gène suppresseur de tumeur située dans la région 5q21 sur le long bras de chromosomes humains 5. La mutation de ces gènes est associé à polypose adénomateuse familiale (Adenomatous Polyposis Coli) et syndrome du GARDNER, ainsi que des cancers colorectaux sporadiques.
Processus pathologiques qui ont tendance à devenir malin. (De Dorland, 27 e)
Un dérivé sulfinylindene prodrogue dont la fraction sulfinyl est converti in vivo d'une AINS analgésique, spécialement la pro-drogue est convertie par les enzymes hépatiques au sulfure d'hydrogène laquelle est excrétée dans la bile et réabsorbés de l ’ intestin, ce qui permet de maintenir les taux sanguins constante avec une diminution des effets indésirables gastro-intestinaux.
Fini les évolutions de la région pathologique du gros intestin (, des intestins).
Cancer de la tumeur ni COLON sigmoïde.
Une tumeur maligne avec une organisation épithéliales glandulaire.
Une tumeur bénigne dérivés de l ’ épithélium glandulaire, dans lequel kystique de précipitations sécrétions sont formés. Dans certains cas, une partie de la tumeur, ou même la masse, peuvent être kystique, 25e Stedman. (Éditeur)
Chimiques, spectroscopiques, ou microscopique détection de très petites quantités de sang.
Une poche ou sac ouverture du COLON.
Le segment de large intestin entre COLON ascendante et DESCENDING COLON. Ça passe de l'accord des coliques la flexion à travers l'abdomen, puis change brusquement à gauche lavement pliure dans le colon.
Aucun détectable et héréditaire altération de la lignée de cellules, mutations dans ces cellules (c 'est-à-dire, "" les cellules génératif au ancestrale gamètes) sont transmis à progéniture et ceux de cellules somatiques ne sont pas.
Une cellule Catenin multi-fonctionnelle participant à l ’ adhésion et des signaux. Nucléaire Bêta-Caténine se lie Desmosomales et permet de relier leurs queues cytoplasmique au ACTIN au Cytosquelette via Alpha Catenin. Elle sert aussi co-activator cascade et en aval composant WNT PROTEIN-mediated signal de transduction des signaux.
Agents anti-inflammatoires qui sont anti-inflammatoires dans la nature. En outre, ils ont à anti-inflammatoires, anti-pyrétiques et analgésiques platelet-inhibitory actions.They agir en bloquant la synthèse des prostaglandines par inhibition de la cyclo-oxygénase, qui transforme l ’ acide arachidonique à cyclique, Endoperoxyde précurseurs des prostaglandines. La synthèse des prostaglandines représente leur, antipyrétique et analgésique platelet-inhibitory actions ; d'autres mécanismes peuvent contribuer à leur des effets anti-inflammatoires.
Études qui commence avec l'identification des personnes avec une maladie d'intérêt et un contrôle (comparaison, référent) groupe sans la maladie. La relation entre l'attribut de la maladie est examiné en comparant malades et non-diseased personnes en ce qui concerne la fréquence ou de l 'attribut dans chaque groupe.
Procédures d'appliquer endoscope pour diagnostiquer des maladies et le traitement. Endoscopie implique réussir un instrument d'optique par une petite incision dans la peau soit ; percutanée ou un orifice naturel et voies naturelles du corps telles que le tube digestif ; et / ou par une incision dans le mur d'une structure tubulaire ou organe, c 'est-à-dire translumineux, examiner ou opéré l'intérieur du corps.
Une enfance contrepartie de l ’ abdomen ou autre cancer extra-abdominal caractérisée par des tumeurs, cabinet nodules sous-cutanés qui poussent rapidement dans un endroit du corps mais ne pas metastasize. Forme adulte fibromatosis abdominale est FIBROMATOSIS, Stedman, 25e ABDOMINAL. (Éditeur)
Un aspect de comportement personnel ou de style de vie, environnement, ou innée ou hérité caractéristique, qui, sur la base de preuves epidemiologic, est connu pour être associée à un important d'empêcher la maladie envisagée.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
Tumeurs ou un cancer du duodénum.
Retirer et examen pathologique de spécimens en forme de petits morceaux de tissus du corps vivant.
Procédures périodique organisé réalisée sur les groupes de personnes aux fins de détecter la maladie.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Élément majeur des cytoskeleton trouvé dans le cytoplasme des cellules eucaryotes. Ils forment un cadre flexible pour la cellule, fournir points de fixation pour organites et formé corps et on se la communication entre parties de la cellule possible.
Une tumeur Néoplasme composé de cellules épithéliales élogieux pour infiltrer les tissus environnants et donner lieu à des métastases. C'est un type histologique de Néoplasme mais est souvent utilisé à tort comme synonyme de "cancer". (De Dorland, 27 e)
Tumeurs ou un cancer des intestins.
Un groupe alimentaire composé de plantes comestibles ou leurs organes.
Une maladie dans laquelle les alvéoles néoplasiques et distales bronches sont remplies de mucus et mucus-secreting columnar cellules épithéliales. C'est caractérisé par abondant, extrêmement tenace expectoration, frissons, fièvre, toux, dyspnée et douleur pleurale, 25e Stedman. (Éditeur)
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.

Les polypes adénomateux sont des tumeurs bénignes mais qui peuvent évoluer vers un état malin, c'est-à-dire cancéreux. Ils se développent dans la muqueuse du tube digestif, le plus souvent dans le côlon et le rectum. Ces polypes sont composés de glandes anormales qui se multiplient de manière désordonnée, formant une excroissance sur la paroi interne du côlon ou du rectum.

Les polypes adénomateux peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ils sont souvent asymptomatiques et découverts lors d'un examen de routine comme une coloscopie. Cependant, certains symptômes peuvent alerter, tels que des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal ou de l'apparition de mucus dans les selles.

Le risque de transformation d'un polype adénomateux en cancer colorectal dépend de plusieurs facteurs, dont la taille et le grade de dysplasie (anomalie cellulaire) du polype. Les polypes de plus de 1 cm et ceux présentant une forte dysplasie sont les plus à risque de devenir cancéreux. Il est donc important de dépister et d'enlever ces polypes lorsqu'ils sont découverts, afin de prévenir le développement d'un cancer colorectal.

Les polypes coliques sont des excroissances anormales de la muqueuse qui tapisse l'intérieur du côlon ou du gros intestin. Bien que la plupart des polypes soient bénins et ne causent pas de symptômes, certains types peuvent devenir cancéreux s'ils ne sont pas enlevés. Les petits polypes ont généralement un risque faible de développer un cancer colorectal, mais les polypes plus grands ou ceux qui présentent des changements anormaux dans leurs cellules (dysplasie) peuvent être plus préoccupants.

Les facteurs de risque de développement des polypes coliques comprennent l'âge avancé, une histoire personnelle ou familiale de polypes ou de cancer colorectal, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes des polypes coliques peuvent inclure des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales telles que la diarrhée ou la constipation persistante, des crampes abdominales et une sensation de plénitude ou de ballonnement. Cependant, beaucoup de personnes atteintes de polypes ne présentent aucun symptôme.

Le diagnostic des polypes coliques peut être posé grâce à des tests tels qu'une colonoscopie, qui permet au médecin d'examiner l'intérieur du côlon et du rectum et de retirer tout polype suspect. Les polypes peuvent également être détectés par une sigmoïdoscopie ou une tomographie virtuelle du côlon.

Le traitement des polypes coliques consiste généralement à les enlever lors d'une colonoscopie. Dans certains cas, une chirurgie peut être nécessaire pour retirer les polypes plus grands ou ceux situés dans des zones difficiles d'accès. Après le traitement, un suivi régulier est important pour détecter toute récidive de polypes.

Les polypes sont des excroissances anormales de tissus qui se développent à l'intérieur des muqueuses tapissant les organes creux ou des cavités du corps. Bien qu'ils puissent se former n'importe où dans le corps, ils sont le plus souvent trouvés dans le côlon et le rectum, mais aussi dans le nez, l'estomac, l'intestin grêle, les voies respiratoires supérieures, et parfois sur la peau.

La plupart des polypes sont bénins (non cancéreux), mais certains peuvent devenir cancéreux s'ils ne sont pas enlevés. Les polypes précancéreux, appelés adénomes, peuvent évoluer vers un cancer colorectal au fil du temps si non traités.

Les symptômes associés aux polypes dépendent de leur taille, de leur emplacement et du nombre existant. De nombreux petits polypes ne présentent aucun symptôme et sont découverts lors d'examens médicaux de routine tels que la coloscopie. Cependant, des polypes plus grands peuvent entraîner des saignements rectaux, une anémie, des modifications du transit intestinal (diarrhée ou constipation), et dans certains cas, une obstruction intestinale.

Les facteurs de risque associés au développement des polypes comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, l'obésité, une prédisposition génétique et certaines maladies inflammatoires de l'intestin.

La détection et l'enlèvement des polypes sont généralement effectués lors d'une coloscopie, au cours de laquelle un médecin insère un tube flexible muni d'une caméra dans le rectum pour examiner l'intérieur du côlon. Si des polypes sont détectés, ils peuvent être retirés pendant la procédure. Une surveillance régulière est recommandée pour les personnes présentant un risque accru de développer des polypes ou un cancer colorectal.

La polypose adénomateuse colique familiale (FAP, pour Family Adenomatous Polyposis) est une maladie génétique rare caractérisée par la présence de centaines à milliers de polypes adénomateux dans le colon et le rectum. Ces polypes sont des tumeurs bénignes mais présentent un risque élevé de transformation en cancer colorectal si elles ne sont pas traitées.

La FAP est causée par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui code pour une protéine impliquée dans la régulation de la croissance cellulaire et de l'apoptose (mort cellulaire programmée). Cette mutation entraîne une production anormale ou absente de la protéine APC, ce qui conduit à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la formation de polypes.

Les symptômes de la FAP comprennent des saignements rectaux, des modifications du transit intestinal (diarrhée, constipation), de la fatigue, une perte de poids et une anémie. Le diagnostic est généralement posé par colonoscopie, qui permet de détecter et de compter le nombre de polypes dans le colon et le rectum.

Le traitement de la FAP consiste en une colectomie totale ou subtotale avec anastomose iléo-anale, qui permet d'enlever tous les polypes colorectaux et de prévenir ainsi le développement d'un cancer colorectal. Des suivis réguliers par colonoscopie sont également nécessaires pour détecter et enlever tout polype réapparaissant dans le côlon restant ou dans l'iléon.

La FAP est une maladie héréditaire autosomique dominante, ce qui signifie qu'un seul parent atteint a 50% de chances de transmettre la maladie à ses enfants. Les membres de la famille d'une personne atteinte de FAP peuvent bénéficier d'un dépistage génétique pour déterminer s'ils ont hérité du gène muté responsable de la maladie.

Les polypes intestinaux sont des croissances anormales de la muqueuse, ou revêtement interne, du côlon et du rectum. Ils se produisent lorsque les cellules de la muqueuse se multiplient de manière excessive, entraînant la formation de petites excroissances sur la paroi intestinale. Bien que la plupart des polypes soient bénins et ne provoquent aucun symptôme, certains types peuvent devenir cancéreux s'ils ne sont pas détectés et enlevés à temps.

Les polypes intestinaux peuvent être classés en deux catégories principales : les polypes adénomateux (ou adénomes) et les polypes hyperplasiques. Les polypes adénomateux sont considérés comme précurseurs du cancer colorectal, car ils présentent un risque accru de devenir cancéreux au fil du temps. Ils peuvent être de différents types : tubulaires, villositaires et tubulo-villositaires. Les polypes hyperplasiques, en revanche, sont généralement bénins et ont un faible potentiel de malignité.

Les facteurs de risque associés au développement des polypes intestinaux comprennent l'âge avancé (le risque augmente après 50 ans), un antécédent familial de cancer colorectal ou de polypes, une mauvaise alimentation riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, l'obésité et certaines maladies inflammatoires de l'intestin telles que la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn.

La détection précoce des polypes intestinaux est essentielle pour prévenir le développement du cancer colorectal. Les méthodes de dépistage comprennent la sigmoïdoscopie, la colonoscopie et les tests de sang occulte dans les selles. En cas de découverte de polypes durant ces examens, ils peuvent être retirés lors de la même procédure pour prévenir leur transformation en cancer.

Un adénome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans les glandes. Il peut se former dans divers endroits du corps où il y a des glandes, mais ils sont le plus souvent trouvés dans la prostate, les glandes surrénales et les glandes hypophysaires. Les adénomes sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent causer des problèmes de santé en comprimant les tissus voisins ou en interférant avec leur fonction normale.

Les adénomes peuvent ne pas provoquer de symptômes, surtout s'ils sont petits. Cependant, selon l'emplacement et la taille de la tumeur, des symptômes peuvent apparaître. Par exemple, un adénome de la prostate peut causer des problèmes de miction, tandis qu'un adénome de la glande pituitaire peut entraîner une production excessive d'hormones ou une vision floue.

Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la tumeur est simplement surveillée. Dans d'autres cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peut être recommandée pour enlever la tumeur ou réduire sa taille.

La coloscopie est un examen médical réalisé à l'aide d'un endoscope, appelé coloscope, inséré dans le rectum et remonté dans le côlon ou gros intestin. Cet instrument flexible muni d'une source lumineuse et équipé d'une caméra permet au médecin de visualiser directement la muqueuse du côlon sur un écran. La coloscopie sert principalement à détecter d'éventuelles lésions précancéreuses ou cancéreuses, des polypes, des inflammations, des ulcères ou des saignements dans le côlon et le rectum. Durant la procédure, il est également possible de prélever des échantillons de tissus (biopsies) pour analyse en laboratoire. La préparation à cet examen consiste généralement en un régime alimentaire spécifique et l'utilisation d'un laxatif puissant afin de nettoyer complètement le côlon.

La polypose adénomateuse colique familiale (FAP) est une maladie génétique rare caractérisée par la croissance excessive de polypes dans le colon et le rectum. Ces polypes sont souvent petits au début, mais ils ont tendance à se multiplier et à devenir cancéreux s'ils ne sont pas traités. La FAP est causée par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui joue un rôle important dans la régulation de la croissance cellulaire.

Les personnes atteintes de FAP héritent généralement d'une copie mutée du gène APC de l'un de leurs parents. Cette mutation entraîne une production anormale ou absente de la protéine APC, ce qui perturbe la régulation de la croissance cellulaire et conduit à la formation de polypes dans le colon et le rectum.

Les symptômes de la FAP comprennent des saignements rectaux, une anémie, une diarrhée et une perte de poids inexpliquée. Si elle n'est pas traitée, la FAP peut évoluer vers un cancer colorectal dans presque tous les cas. Le traitement standard pour la FAP est une colectomie totale, qui consiste à enlever tout le colon et une partie du rectum. Cette procédure permet de prévenir le développement d'un cancer colorectal.

Il est important de noter que la FAP est une maladie héréditaire, ce qui signifie qu'elle peut être transmise de génération en génération dans les familles. Les personnes ayant des antécédents familiaux de FAP devraient subir des tests génétiques pour déterminer leur risque de développer la maladie et prendre des mesures préventives si nécessaire.

Les tumeurs colorectales sont des croissances anormales dans le côlon ou le rectum, qui peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles se développent à partir de cellules qui tapissent la paroi interne du côlon ou du rectum et se multiplient de manière incontrôlable.

Les adénomes sont les types de tumeurs colorectales bénignes les plus courants. Bien qu'ils ne soient pas cancéreux, certains d'entre eux peuvent évoluer vers un cancer s'ils ne sont pas enlevés. Les carcinomes sont des tumeurs colorectales malignes qui se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse intestinale.

Les facteurs de risque de développement des tumeurs colorectales comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, l'obésité, une histoire personnelle ou familiale de polypes intestinaux ou de cancer colorectal, certaines maladies inflammatoires de l'intestin telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, ainsi qu'une prédisposition génétique héréditaire.

Les symptômes des tumeurs colorectales peuvent inclure des saignements rectaux, des modifications de l'habitude intestinale telles que la constipation ou la diarrhée persistante, une sensation de satiété après avoir mangé seulement une petite quantité de nourriture, des douleurs abdominales, une fatigue excessive et une perte de poids inexpliquée.

Le diagnostic des tumeurs colorectales peut être posé grâce à des tests d'imagerie tels qu'une colonoscopie ou une sigmoïdoscopie, qui permettent de visualiser l'intérieur du côlon et de prélever des échantillons de tissus pour analyse. Le traitement dépend du stade et de la localisation de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes.

Les tumeurs du côlon sont des croissances anormales de cellules dans le côlon, qui peuvent être bénignes ou malignes. Le côlon est la partie terminale de l'intestin grêle où l'eau et les électrolytes sont absorbés et où les déchets solides sont stockés avant d'être évacués du corps.

Les tumeurs bénignes du côlon, également appelées polypes, sont des croissances de tissus qui ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être enlevées chirurgicalement. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du côlon, également appelées carcinomes du côlon, se propagent aux tissus environnants et peuvent se propager à d'autres parties du corps via la circulation sanguine ou lymphatique. Les symptômes des tumeurs du côlon comprennent des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales, de la douleur abdominale, une perte de poids inexpliquée et de la fatigue.

Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Les facteurs de risque comprennent l'âge avancé, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, l'obésité, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, des antécédents personnels ou familiaux de polypes ou de cancer du côlon.

Les polypes du nez, également connus sous le nom de polypose nasale ou polyposes nasosinusienne, sont des excroissances anormales et bénignes (non cancéreuses) de la muqueuse qui tapisse l'intérieur des parois nasales et des sinus. Ces petites masses gonflées ressemblant à des boules peuvent se développer à partir de la membrane muqueuse en réponse à une inflammation chronique, telle que celle causée par l'asthme, les allergies ou une infection des sinus.

Les polypes du nez sont généralement petits et ne causent souvent aucun symptôme notable. Cependant, lorsqu'ils se développent en grappes ou deviennent plus volumineux, ils peuvent obstruer partiellement ou complètement les voies nasales, entraînant une variété de problèmes respiratoires et autres symptômes désagréables.

Les symptômes courants associés aux polypes du nez comprennent :

1. Congestion nasale ou obstruction nasale sévère
2. Rhinorrhée (écoulement nasal)
3. Éternuements fréquents
4. Toux et expectorations matinales
5. Perte d'odorat (anosmie) ou diminution de l'odorat (hyposmie)
6. Douleur faciale, maux de tête et pression sinusale
7. Ronflements nocturnes et sommeil perturbé
8. Voix enrouée ou nasillarde

Le diagnostic des polypes du nez repose généralement sur l'examen clinique, y compris l'endoscopie nasale et la tomodensitométrie (TDM) des sinus. Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement des polypes ainsi que de la gravité des symptômes. Les options thérapeutiques vont des médicaments anti-inflammatoires, tels que les corticostéroïdes nasaux ou oraux, aux traitements chirurgicaux, comme la résection endoscopique des polypes et la septoplastie.

Il est important de noter que les polypes du nez peuvent récidiver après le traitement, en particulier chez les patients atteints de rhinite allergique ou de sinusite chronique. Par conséquent, une surveillance régulière et un suivi médical sont essentiels pour assurer une prise en charge optimale des polypes du nez.

La rectosigmoïdoscopie est un examen endoscopique qui permet d'examiner la paroi interne du rectum et la partie terminale du côlon, appelée sigmoïde. Cet examen est généralement utilisé pour évaluer les symptômes gastro-intestinaux tels que la douleur abdominale, le sang dans les selles ou les changements de habitudes intestinales.

Pendant l'examen, un médecin insère un petit tube flexible et éclairé, appelé sigmoïdoscope, dans le rectum et le fait avancer jusqu'au sigmoïde. Le sigmoïdoscope est équipé d'une caméra qui transmet des images de la paroi interne du côlon sur un écran. Ces images peuvent aider à identifier toute inflammation, ulcération, tumeur ou autre anomalie dans le rectum et le sigmoïde.

La rectosigmoïdoscopie est généralement bien tolérée et ne nécessite pas de préparation particulière, sauf un lavement évacuateur juste avant l'examen pour nettoyer le rectum. Cependant, dans certains cas, une préparation plus poussée peut être nécessaire pour visualiser correctement la paroi du côlon.

Il est important de noter que la rectosigmoïdoscopie ne permet pas d'examiner l'ensemble du côlon, contrairement à la coloscopie qui est un examen plus complet.

La coloscopie virtuelle est un examen médical non invasif qui utilise la tomodensitométrie (CT scan) pour produire des images détaillées du côlon et du rectum. Contrairement à une coloscopie traditionnelle, où un tube flexible muni d'une caméra est inséré dans le côlon, la coloscopie virtuelle ne nécessite aucun instrument physique dans le côlon.

Au cours de l'examen, le patient boit une solution contrastante pour nettoyer et distendre le côlon. Ensuite, des images sont capturées pendant que le patient est allongé sur une table qui se déplace doucement dans le scanner CT. Ces images sont ensuite assemblées par un logiciel spécialisé pour créer une visualisation tridimensionnelle du côlon.

Le médecin peut alors naviguer à l'intérieur de cette visualisation pour rechercher des polypes ou d'autres anomalies suspectes, telles que des tumeurs ou des inflammations. Cependant, si des polypes sont détectés, une coloscopie traditionnelle est généralement nécessaire pour les enlever et prélever des échantillons de tissus pour analyse.

La coloscopie virtuelle est souvent utilisée comme alternative à la coloscopie traditionnelle pour les personnes qui présentent un risque faible à modéré de développer des polypes ou un cancer du côlon, ou chez celles qui ne tolèrent pas bien une coloscopie conventionnelle en raison d'autres problèmes de santé.

Le côlon, également connu sous le nom de gros intestin, est un segment du tractus gastro-intestinal chez les humains et d'autres mammifères. Il s'agit de la dernière partie du tube digestif, mesurant environ 1,5 mètres de long chez l'adulte. Le côlon joue un rôle crucial dans le processus de digestion en absorbant l'eau, les électrolytes et certaines vitamines tout en stockant les déchets solides sous forme de matières fécales.

Le côlon est divisé en plusieurs sections : le côlon ascendant, le côlon transverse, le côlon descendant et le côlon sigmoïde. Chacune de ces sections a des caractéristiques structurelles uniques qui contribuent à ses fonctions spécifiques dans le processus global de digestion et d'excrétion.

Le côlon est tapissé de muqueuses recouvertes de millions de bactéries bénéfiques, appelées microbiote intestinal, qui aident à décomposer les fibres alimentaires non digestibles en acides gras à chaîne courte, qui peuvent être utilisés comme source d'énergie par l'organisme. Un déséquilibre du microbiote intestinal peut entraîner divers problèmes de santé, tels que la diarrhée, la constipation et certaines affections inflammatoires de l'intestin.

Dans l'ensemble, le côlon est un organe essentiel qui contribue à maintenir l'homéostasie du corps en absorbant les nutriments et en éliminant les déchets.

L'hyperplasie est un terme médical qui décrit une augmentation anormale du nombre de cellules dans un tissu ou un organe, entraînant une augmentation du volume de cet organe. Cela se produit généralement en réponse à une stimulation hormonale ou autre, et peut être bénigne ou liée à une maladie sous-jacente.

L'hyperplasie peut affecter divers tissus et organes dans le corps, y compris la prostate, l'endomètre, le sein, la thyroïde et les poumons. Elle diffère de l'hypertrophie, qui est une augmentation de la taille des cellules existantes sans augmentation du nombre de cellules.

L'hyperplasie peut être asymptomatique ou causer divers symptômes en fonction de l'organe affecté. Par exemple, une hyperplasie de la prostate peut entraîner des difficultés à uriner, tandis qu'une hyperplasie de l'endomètre peut provoquer des saignements menstruels abondants ou irréguliers.

Le traitement de l'hyperplasie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou d'autres thérapies.

Les tumeurs du rectum sont des croissances anormales dans la muqueuse du rectum, qui peuvent être bénignes ou malignes. Les tumeurs bénignes comprennent les polypes adénomateux, les lipomes, et les fibromes. Les tumeurs malignes, également appelées carcinomes du rectum, se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse et peuvent se propager localement dans les tissus environnants ou à distance par métastases.

Les facteurs de risque de cancer du rectum comprennent l'âge avancé, l'histoire personnelle ou familiale de polypes adénomateux ou de cancer colorectal, une maladie inflammatoire de l'intestin, certaines conditions génétiques telles que la polypose adénomateuse familiale ou le syndrome de Lynch, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes courants des tumeurs du rectum comprennent les saignements rectaux, les modifications de l'habitude intestinale telles que la constipation ou la diarrhée, la douleur abdominale, l'anémie et la perte de poids involontaire. Le diagnostic est établi par une combinaison d'examens cliniques, d'imagerie médicale et de biopsies.

Le traitement dépend du type, de l'emplacement et du stade de la tumeur. Les options thérapeutiques peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une surveillance rapprochée peut être recommandée pour les tumeurs bénignes ou les cancers à un stade précoce avec un faible risque de progression.

La muqueuse intestinale, également connue sous le nom d'épithélium intestinal, est la membrane fine et fragile qui tapisse l'intérieur du tractus gastro-intestinal, en particulier dans l'intestin grêle et le côlon. Elle joue un rôle crucial dans la absorption des nutriments, l'eau et les électrolytes de notre nourriture digérée. La muqueuse intestinale est composée d'un seul épithélium de cellules polarisées qui forment une barrière physique entre le lumen intestinal et la circulation sanguine sous-jacente. Ces cellules sont reliées par des jonctions serrées étanches, ce qui empêche les particules indésirables ou potentiellement nocives de pénétrer dans la circulation sanguine.

La muqueuse intestinale abrite également une communauté diversifiée de micro-organismes, appelée microbiote intestinal, qui joue un rôle important dans la digestion des aliments et la défense contre les agents pathogènes. De plus, elle contient des cellules immunitaires spécialisées qui aident à protéger l'organisme contre les infections et à réguler l'inflammation.

Des dommages ou une inflammation de la muqueuse intestinale peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, tels que des maladies inflammatoires de l'intestin (MII), des allergies alimentaires et des troubles gastro-intestinaux fonctionnels. Par conséquent, la santé de la muqueuse intestinale est essentielle pour maintenir le bon fonctionnement du système digestif et préserver la santé globale de l'organisme.

Le rectum, dans l'anatomie humaine, est la dernière section du gros intestin avant l'anus. Il s'agit d'un segment musculo-membraneux d'environ 15 cm de long qui stocke les selles temporairement avant l'évacuation. Sa fonction principale est donc la continuation du processus d'absorption de l'eau et des électrolytes à partir des matières fécales, ainsi que le stockage et l'expulsion de ces dernières. Le rectum commence à la jonction avec le sigmoïde, juste en dessous de la courbure sacrée, et se termine à l'anus.

Le canal anal, qui est la partie terminale du tube digestif, est souvent considéré comme faisant partie du rectum dans un contexte plus large, mais il a en fait une structure et une fonction différentes. Le canal anal est entouré de muscles sphinctériens qui assurent la continence fécale, tandis que le rectum n'a pas ce type de contrôle musculaire actif. Au lieu de cela, le rectum se dilate lorsqu'il se remplit de matières fécales, déclenchant des réflexes qui peuvent conduire à l'envie d'évacuer les selles.

Le sulfate de baryum est un composé chimique utilisé principalement dans le domaine médical comme agent de contraste lors d'examens radiologiques, tels que les radioscopies et les tomodensitométries. Il a la particularité d'être opaque aux rayons X, ce qui permet de visualiser plus distinctement certaines parties du corps humain, en particulier le tube digestif.

Lorsqu'il est administré par voie orale ou rectale sous forme liquide ou de suspension avant l'examen, il colore les organes digestifs d'une teinte blanche à blanchâtre sur les images radiologiques, facilitant ainsi l'identification de possibles anomalies telles que des ulcères, des tumeurs, des obstructions ou des inflammations.

Bien qu'il soit généralement considéré comme sûr aux doses utilisées en médecine, le sulfate de baryum peut entraîner des effets indésirables dans de rares cas, notamment des nausées, des vomissements, de la diarrhée ou une constipation. De plus, il ne doit pas être utilisé chez les patients présentant certaines contre-indications, comme une allergie au produit ou une insuffisance rénale sévère.

Le syndrome de Gardner est un trouble rare héréditaire qui appartient au spectre des polypes adénomateux familiaux (FAP). Il est caractérisé par la présence combinée de polypes intestinaux multiples et précancéreux, de tumeurs bénignes cutanées et osseuses, ainsi que d'autres anomalies. Les personnes atteintes du syndrome de Gardner ont un risque élevé de développer un cancer colorectal à un jeune âge.

Les polypes intestinaux associés au syndrome de Gardner sont souvent nombreux et peuvent se développer dès l'enfance. Ils présentent un risque élevé de dégénérer en cancer colorectal si non traités. Les tumeurs cutanées typiques du syndrome de Gardner comprennent des épidermoides, des fibromes et des trichoépithéliales. Les tumeurs osseuses peuvent se former dans la mâchoire ou d'autres os du corps.

Le syndrome de Gardner est causé par une mutation du gène APC (adenomatous polyposis coli), qui joue un rôle important dans la régulation de la croissance cellulaire et de l'apoptose (mort cellulaire programmée). Cette mutation est héréditaire et peut être transmise d'une génération à l'autre selon un mode autosomique dominant, ce qui signifie qu'un seul parent affecté peut transmettre la maladie à sa progéniture.

Le diagnostic du syndrome de Gardner repose généralement sur l'identification de polypes intestinaux multiples et/ou de tumeurs cutanées ou osseuses typiques, ainsi que sur des antécédents familiaux positifs pour la maladie. Des tests génétiques peuvent être utilisés pour confirmer le diagnostic et déterminer le statut mutationnel du gène APC.

Le traitement du syndrome de Gardner implique généralement une surveillance régulière de l'appareil digestif par coloscopie pour détecter et enlever les polypes avant qu'ils ne deviennent cancéreux. Dans certains cas, une colectomie (ablation partielle ou totale du côlon) peut être recommandée pour prévenir le cancer colorectal. Les tumeurs cutanées et osseuses peuvent être traitées par chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie, en fonction de leur localisation et de leur agressivité.

Les tumeurs du cæcum sont des growths anormaux qui se développent dans la région du cæcum, qui est la première partie du gros intestin. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, les lipomes, et les leiomyomes. Les tumeurs malignes du cæcum sont généralement des carcinomes adénocarcinomateux, qui se développent à partir des cellules glandulaires tapissant l'intérieur du cæcum.

Les symptômes des tumeurs du cæcum peuvent inclure des douleurs abdominales, une modification de l'habitude intestinale, une perte de poids involontaire, et la présence de sang dans les selles. Cependant, ces symptômes peuvent également être causés par d'autres conditions médicales, il est donc important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic précis.

Le traitement des tumeurs du cæcum dépend du type et de l'étendue de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être surveillées ou retirées par chirurgie. Les tumeurs malignes peuvent nécessiter une chirurgie plus étendue pour enlever la tumeur et les ganglions lymphatiques environnants, ainsi que des traitements supplémentaires tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie.

Il est important de noter que le risque de développer des tumeurs malignes du cæcum peut être réduit en adoptant un mode de vie sain, y compris une alimentation équilibrée et riche en fruits et légumes, l'exercice régulier, et en évitant le tabac et les excès d'alcool.

Un lavement est un processus médical où une solution liquide, généralement à base d'eau, est introduite dans le rectum à l'aide d'un instrument appelé lavement rectal. Cette procédure est utilisée à des fins thérapeutiques pour nettoyer l'intestin inférieur, faciliter l'évacuation des selles, soulager la constipation ou préparer le patient à certaines interventions médicales telles que des coloscopies. La solution peut contenir des laxatifs ou des médicaments pour traiter des conditions spécifiques comme l'inflammation intestinale. Il est important de suivre les instructions du professionnel de santé pour éviter d'éventuelles complications.

Le gène APC (Adenomatous Polyposis Coli) est un gène suppresseur de tumeurs situé sur le bras long du chromosome 5 (5q21-q22). Il joue un rôle crucial dans la régulation des voies de signalisation qui contrôlent la croissance et la division cellulaires. Les mutations du gène APC sont associées à plusieurs affections médicales, telles que la polypose adénomateuse familiale (PAF), une maladie héréditaire caractérisée par le développement de centaines à des milliers de polypes dans le côlon et le rectum. Ces polypes présentent un risque élevé de devenir cancéreux si non traités. De plus, certaines mutations du gène APC ont été identifiées dans certains types de cancer colorectal sporadique (non héréditaire).

Le produit protéique du gène APC, la protéine APC, est une protéine multifonctionnelle qui participe à divers processus cellulaires, notamment la stabilisation des microtubules, l'apoptose (mort cellulaire programmée), la transcription et la régulation de la voie de signalisation Wnt. La protéine APC forme un complexe avec d'autres protéines pour réguler la dégradation de la β-caténine, une protéine clé impliquée dans la voie de signalisation Wnt. Lorsque le gène APC est muté, la régulation de la β-caténine est altérée, entraînant une accumulation anormale de cette protéine et l'activation de gènes cibles qui favorisent la croissance cellulaire et la division. Ces événements contribuent au développement des polypes et, éventuellement, du cancer colorectal dans le contexte de la PAF ou d'autres affections liées à des mutations APC.

Les conditions précancéreuses, également appelées lésions précancéreuses ou états précancéreux, sont des changements anormaux dans les cellules qui peuvent évoluer vers un cancer si elles ne sont pas détectées et traitées à temps. Ces conditions ne sont pas encore cancéreuses, mais elles présentent un risque accru de développer un cancer. Elles peuvent apparaître sous forme de croissance ou de lésion anormale dans un tissu ou un organe spécifique.

Les exemples courants de conditions précancéreuses comprennent les suivantes :

1. Dysplasie : Il s'agit d'une anomalie cellulaire qui se produit lorsque les cellules présentent des caractéristiques atypiques, telles qu'un noyau plus grand ou une division cellulaire anormale. La dysplasie peut survenir dans divers tissus et organes, y compris la bouche, le col de l'utérus, le poumon, le sein et l'intestin.

2. Leucoplasie : Il s'agit d'une lésion blanche et squameuse qui se forme sur la muqueuse, généralement dans la bouche ou le vagin. Bien que la plupart des leucoplasies soient bénignes, certaines peuvent évoluer vers un cancer si elles ne sont pas traitées.

3. Érythroplasie : Il s'agit d'une lésion rouge et veloutée qui se forme sur la muqueuse, généralement dans la bouche ou le vagin. Comme la leucoplasie, l'érythroplasie peut être bénigne, mais elle présente un risque accru de développer un cancer.

4. Kératose actinique : Il s'agit d'une croissance squameuse et rugueuse qui se forme sur la peau, généralement exposée au soleil. Bien que la kératose actinique ne soit pas cancéreuse en soi, elle peut évoluer vers un carcinome spinocellulaire, une forme de cancer de la peau.

5. Dysplasie : Il s'agit d'une anomalie cellulaire anormale qui peut se produire dans n'importe quelle partie du corps. La dysplasie peut être bénigne ou pré-cancéreuse, selon la gravité de l'anomalie cellulaire.

Il est important de noter que toutes ces conditions ne sont pas nécessairement cancéreuses ou pré-cancéreuses, mais elles présentent un risque accru de développer un cancer si elles ne sont pas traitées. Si vous présentez l'un de ces symptômes, il est important de consulter un médecin pour un examen et un diagnostic appropriés.

Le Sulindac est un médicament d'ordonnance, classé comme une classe de médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Il agit en réduisant les hormones qui provoquent l'inflammation et la douleur dans le corps. Le sulindac est utilisé pour traiter la douleur, l'enflure (inflammation), la raideur et la chaleur associées à l'arthrite courante. Il peut également être utilisé pour d'autres affections médicales telles que la goutte, la bursite, la tendinite, la synovite et la dysménorrhée (douleurs menstruelles).

Le sulindac fonctionne en inhibant l'action de deux enzymes dans le corps, la cyclooxygénase-1 et la cyclooxygénase-2, qui sont responsables de la production de prostaglandines. Les prostaglandines sont des hormones qui jouent un rôle important dans l'inflammation, la douleur et la fièvre. En inhibant ces enzymes, le sulindac réduit la production de prostaglandines, ce qui entraîne une diminution de l'inflammation, de la douleur et de la fièvre.

Le sulindac est disponible sous forme de comprimés et est généralement pris deux à quatre fois par jour, selon la prescription du médecin. Les effets secondaires courants du sulindac peuvent inclure des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, de la diarrhée, des gaz, des maux de tête et des étourdissements. Certains effets secondaires plus graves peuvent inclure des saignements gastro-intestinaux, une pression artérielle élevée, des réactions allergiques et des problèmes rénaux.

Il est important de suivre attentivement les instructions du médecin lors de la prise de sulindac et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant. Les personnes atteintes d'une maladie cardiaque, d'un ulcère gastrique, d'une maladie rénale ou hépatique, d'asthme ou d'allergies doivent informer leur médecin avant de prendre du sulindac. Les femmes enceintes ou qui allaitent doivent également consulter un médecin avant de prendre ce médicament.

Les maladies du rectum se réfèrent à un ensemble de conditions médicales qui affectent la région terminale du tube digestif, en particulier le rectum. Le rectum est la dernière partie du gros intestin où les selles sont stockées avant d'être évacuées par l'anus.

Voici quelques exemples de maladies du rectum :

1. Proctite : Il s'agit d'une inflammation du revêtement interne du rectum qui peut entraîner des douleurs, des saignements, des mucosités et un besoin fréquent d'évacuer les selles.
2. Fissures anales : Ce sont de petites déchirures ou fentes dans la muqueuse de l'anus qui peuvent provoquer des douleurs, des saignements et un inconfort lors des selles.
3. Abcès rectaux : Il s'agit d'une accumulation de pus dans le tissu rectal, souvent due à une infection, ce qui peut entraîner des douleurs, des gonflements, des rougeurs et de la fièvre.
4. Hémorroïdes : Il s'agit de veines gonflées dans le rectum ou l'anus qui peuvent provoquer des saignements, des douleurs, des démangeaisons et des gonflements.
5. Cancer du rectum : Il s'agit d'une croissance maligne dans le rectum qui peut se propager aux tissus environnants et à d'autres parties du corps. Les symptômes peuvent inclure des saignements rectaux, des modifications de l'habitude intestinale, des douleurs abdominales et une perte de poids inexpliquée.
6. Prolapsus rectal : Il s'agit d'une condition dans laquelle une partie du rectum sort de l'anus, souvent due à une faiblesse des muscles pelviens. Les symptômes peuvent inclure des douleurs, des saignements, des fuites fécales et des infections urinaires récurrentes.

Le traitement dépendra de la gravité et du type de condition sous-jacente. Il peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments, des procédures minimales invasives ou des chirurgies plus complexes. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes inhabituels ou persistants dans la région rectale ou anale.

Les tumeurs du sigmoïde se réfèrent à des croissances anormales dans la paroi de la partie sigmoïde du côlon, qui est le dernier segment du gros intestin. Ces tumeurs peuvent être bénignes ou malignes (cancéreuses). Les polypes adénomateux sont les types de tumeurs bénignes les plus courants du sigmoïde, qui peuvent évoluer vers un cancer colorectal s'ils ne sont pas enlevés.

Les cancers du sigmoïde sont des tumeurs malignes qui se développent à partir de cellules épithéliales dans la muqueuse du côlon. Ils peuvent se propager localement aux tissus environnants ou aux ganglions lymphatiques voisins, ainsi qu'à distance via la circulation sanguine. Les facteurs de risque comprennent l'âge avancé, les antécédents personnels ou familiaux de polypes adénomateux ou de cancer colorectal, une maladie inflammatoire de l'intestin, un régime alimentaire riche en graisses et pauvre en fibres, le tabagisme et l'obésité.

Les symptômes des tumeurs du sigmoïde peuvent inclure des saignements rectaux, des changements dans les habitudes intestinales (constipation ou diarrhée), des douleurs abdominales, une sensation de plénitude ou de ballonnement, une perte de poids inexpliquée et une fatigue générale. Le diagnostic est généralement posé par colonoscopie et biopsie, suivies d'examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'IRM pour évaluer l'étendue de la maladie. Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une combinaison de ces options.

Un adénocarcinome est un type de cancer qui se développe dans les cellules glandulaires. Ces cellules sont présentes dans de nombreux tissus et organes du corps, et elles produisent des substances telles que des mucus ou des hormones.

Les adénocarcinomes peuvent survenir dans divers endroits, notamment les poumons, le sein, le côlon, le rectum, l'estomac, la prostate et le pancréas. Ils se développent à partir d'une tumeur bénigne appelée adénome, qui peut devenir cancéreuse au fil du temps.

Les symptômes de l'adénocarcinome dépendent de son emplacement dans le corps. Par exemple, un adénocarcinome du sein peut provoquer une masse ou une grosseur palpable, tandis qu'un adénocarcinome du poumon peut causer une toux persistante, des douleurs thoraciques et des expectorations sanglantes.

Le traitement de l'adénocarcinome dépend également de son emplacement et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Le pronostic varie en fonction du type et du stade du cancer, ainsi que de facteurs tels que l'âge et l'état de santé général du patient.

Un cystadénome est un type de tumeur généralement bénigne qui se développe dans les glandes situées à la surface des organes. Ces tumeurs sont composées de cellules glandulaires qui forment des cavités ou des poches remplies de liquide ou de mucus. Les cystadénomes peuvent se former dans divers endroits du corps, mais ils sont le plus souvent trouvés dans les ovaires et le pancréas. Bien que la plupart des cystadénomes soient bénins, certains peuvent devenir cancéreux (malignes) et envahir les tissus environnants ou se propager à d'autres parties du corps. Les symptômes associés aux cystadénomes dépendent de leur taille et de leur emplacement, mais ils peuvent inclure des douleurs abdominales, des ballonnements, des nausées, des vomissements ou des changements dans les habitudes intestinales ou menstruelles. Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur ou une combinaison des deux.

Le sang occulte fait référence à la présence de traces de sang dans les selles qui ne sont pas visibles à l'œil nu. Il s'agit d'une découverte médicale effectuée lors d'un examen des selles, généralement détecté par une analyse chimique ou un test immunochimique appelé test de sang occulte dans les selles (TSOSS). Ce test recherche la présence de globules rouges décomposés, ou hémoglobine, dans les selles. La découverte de sang occulte peut être un indicateur de divers problèmes de santé, tels que des affections du tractus gastro-intestinal, y compris des polypes, des ulcères, des inflammations, des infections ou des cancers. Il est important de noter qu'un résultat positif au test de sang occulte dans les selles doit être suivi d'autres examens pour déterminer la cause sous-jacente et établir un plan de traitement approprié.

Un diverticule du côlon est une petite poche qui se forme sur la paroi du côlon, ou gros intestin. Ces poches sont des protrusions anormales qui se forment dans les points faibles de la paroi du côlon. Bien que la plupart des diverticules soient inoffensifs et ne causent aucun symptôme, certains peuvent s'inflammer ou s'infecter, ce qui peut entraîner une maladie diverticulaire ou une diverticulite. Les causes exactes de la formation des diverticules ne sont pas claires, mais on pense qu'elles sont liées à une pression accrue dans le côlon, combinée à des facteurs tels que l'âge, l'obésité et un régime alimentaire pauvre en fibres. Les symptômes de la maladie diverticulaire peuvent inclure des douleurs abdominales, des nausées, une fièvre, une constipation ou une diarrhée, et dans les cas graves, une infection du sang ou une perforation du côlon. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des modifications du régime alimentaire, des antibiotiques ou une intervention chirurgicale.

Le côlon transverse est une section du gros intestin qui traverse horizontalement le haut de l'abdomen. Il s'étend du côté droit au côté gauche du corps, juste sous le foie. Le côlon transverse joue un rôle important dans la absorption des eaux et des électrolytes ainsi que dans le stockage des selles avant qu'elles ne soient évacuées par l'anus. Des affections telles que la diverticulose, la colite ischémique ou les tumeurs peuvent affecter le côlon transverse et causer divers symptômes, notamment des douleurs abdominales, une modification des habitudes intestinales et une perte de poids.

Une mutation de lignée germinale fait référence à une modification permanente et héréditaire du matériel génétique qui se produit dans les cellules reproductrices (gamètes) d'un individu, c'est-à-dire dans les spermatozoïdes chez l'homme ou dans les ovocytes chez la femme. Ces mutations sont transmises à la descendance et peuvent entraîner des changements héréditaires dans les caractéristiques génétiques, y compris les prédispositions aux maladies génétiques. Contrairement aux mutations somatiques, qui ne concernent que les cellules non reproductrices et n'affectent donc pas la lignée germinale, les mutations de lignée germinale ont un impact sur la constitution génétique des générations futures.

Il est important de noter qu'une mutation dans une lignée germinale ne signifie pas nécessairement que la maladie se développera chez l'individu qui en hérite, car certains gènes peuvent tolérer des modifications sans provoquer de problèmes de santé. Cependant, dans d'autres cas, ces mutations peuvent entraîner des maladies graves ou même mettre la vie en danger, selon le type et l'emplacement de la mutation.

Les mutations de lignée germinale peuvent être détectées par des tests génétiques spécifiques, tels que l'analyse du séquençage de l'exome ou du génome entier, qui permettent d'identifier les variations dans le matériel génétique hérité. Ces informations peuvent être utiles pour la planification familiale et la gestion des risques de maladies héréditaires.

La β-caténine est une protéine qui joue un rôle important dans la régulation des processus de développement et de croissance des cellules. Elle est codée par le gène CTNNB1 et est exprimée dans de nombreux types de tissus.

Dans le cytoplasme, la β-caténine se lie à d'autres protéines pour former un complexe qui régule l'expression des gènes en interagissant avec des facteurs de transcription. Lorsque le signal approprié est reçu, la β-caténine peut être libérée du complexe et migrer vers le noyau cellulaire, où elle se lie à des facteurs de transcription pour activer l'expression de gènes cibles spécifiques.

La β-caténine joue également un rôle important dans la stabilité des jonctions intercellulaires en se liant à des cadhines, des protéines qui médient les interactions entre les cellules voisines. Cette interaction permet de maintenir l'intégrité structurelle des tissus et des organes.

Des mutations dans le gène CTNNB1 peuvent entraîner une accumulation anormale de β-caténine dans le cytoplasme et le noyau cellulaire, ce qui peut perturber la régulation de l'expression des gènes et conduire au développement de diverses maladies, telles que les cancers colorectaux, hépatocellulaires et médulloblastomes.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont une classe de médicaments utilisés pour traiter la douleur, l'inflammation et la fièvre. Ils fonctionnent en inhibant l'action d'enzymes spécifiques dans le corps appelées cyclo-oxygénases (COX), qui jouent un rôle clé dans la production de prostaglandines, des messagers chimiques qui déclenchent l'inflammation et la sensibilité à la douleur.

Il existe deux types principaux d'AINS : les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (coxibs) et les inhibiteurs non sélectifs de la COX. Les inhibiteurs non sélectifs de la COX, tels que l'ibuprofène et le naproxène, inhibent à la fois les enzymes COX-1 et COX-2, tandis que les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ne ciblent que la COX-2.

Les AINS sont largement utilisés pour traiter une variété de conditions, y compris l'arthrite, les douleurs musculaires et articulaires, les maux de tête, les douleurs menstruelles et les fièvres. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables, tels que des ulcères d'estomac, des saignements gastro-intestinaux, une hypertension artérielle et une insuffisance rénale, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à long terme ou à fortes doses.

Par conséquent, il est important de suivre les instructions posologiques recommandées par un professionnel de la santé et d'informer le médecin de tout problème de santé préexistant ou de toute autre médication prise pour minimiser les risques associés à l'utilisation des AINS.

Une étude cas-témoins, également appelée étude de cohorte rétrospective, est un type d'étude épidémiologique observationnelle dans laquelle des participants présentant déjà une certaine condition ou maladie (les «cas») sont comparés à des participants sans cette condition ou maladie (les «témoins»). Les chercheurs recueillent ensuite des données sur les facteurs de risque potentiels pour la condition d'intérêt et évaluent si ces facteurs sont plus fréquents chez les cas que chez les témoins.

Ce type d'étude est utile pour étudier les associations entre des expositions rares ou des maladies rares, car il permet de recueillir des données sur un grand nombre de cas et de témoins en un temps relativement court. Cependant, comme les participants sont sélectionnés en fonction de leur statut de maladie, il peut y avoir un biais de sélection qui affecte les résultats. De plus, comme l'étude est observationnelle, elle ne peut pas établir de relation de cause à effet entre l'exposition et la maladie.

L'endoscopie est un procédé médical qui consiste à examiner l'intérieur du corps humain de façon non invasive. Cela se fait en insérant un endoscope, un tube flexible et éclairé, dans une cavité ou un orifice naturel du patient, comme la bouche, le nez, l'anus ou l'urètre.

L'extrémité de l'endoscope contient des lentilles et une source lumineuse qui permettent à un médecin de visualiser les tissus internes en détail sur un écran. Certains endoscopes sont équipés de canaux permettant d'insuffler de l'air pour gonfler les cavités corporelles, facilitant ainsi la visualisation. Ils peuvent également être munis d'instruments permettant de prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou de réaliser certaines interventions thérapeutiques directement via l'endoscope.

Les types courants d'endoscopies comprennent la gastroscopie (examen de l'estomac), la colonoscopie (examen du côlon), la bronchoscopie (examen des voies respiratoires) et la cystoscopie (examen de la vessie).

La fibromatose agressive, également connue sous le nom de sarcome des tissus mous à faible grade ou de tumeur desmoplastique fibroblastique, est une maladie rare et caractérisée par la croissance anormale de cellules fibroblastiques dans les tissus conjonctifs. Ces tumeurs sont généralement localisées dans le tronc, les extrémités ou la tête et le cou.

Les fibromatoses agressives ont tendance à se développer lentement mais peuvent s'infiltrer profondément dans les tissus environnants, ce qui rend leur retrait chirurgical difficile. Elles ne sont pas considérées comme cancéreuses, car elles ne se propagent pas généralement à d'autres parties du corps (métastases), mais elles peuvent récidiver localement après le traitement.

Le diagnostic de fibromatose agressive repose sur l'analyse histopathologique d'une biopsie tissulaire. Le traitement peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et/ou de thérapies médicamenteuses ciblées pour contrôler la croissance tumorale et prévenir les récidives.

Il est important de noter que la fibromatose agressive peut être une maladie difficile à traiter, car elle a tendance à récidiver après le traitement. Les patients atteints de cette maladie doivent être suivis régulièrement par un médecin expérimenté dans la prise en charge des tumeurs des tissus mous pour détecter toute récidive précoce et adapter le plan de traitement si nécessaire.

En termes médicaux, un facteur de risque est défini comme toute caractéristique ou exposition qui augmente la probabilité de développer une maladie ou une condition particulière. Il peut s'agir d'un trait, d'une habitude, d'une substance, d'une exposition environnementale ou d'un autre facteur qui, selon les recherches et les études épidémiologiques, accroît la susceptibilité d'un individu à contracter une maladie.

Il est important de noter que le fait d'avoir un facteur de risque ne signifie pas qu'une personne contractera certainement la maladie en question. Cependant, cela indique simplement qu'elle a une probabilité plus élevée de développer cette maladie par rapport à quelqu'un qui n'a pas ce facteur de risque.

Les facteurs de risque peuvent être modifiables ou non modifiables. Les facteurs de risque modifiables sont ceux que l'on peut changer grâce à des interventions, comme l'arrêt du tabac pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires et certains cancers. D'un autre côté, les facteurs de risque non modifiables sont ceux qui ne peuvent pas être changés, tels que l'âge, le sexe ou les antécédents familiaux de certaines maladies.

Dans la pratique clinique, l'identification des facteurs de risque permet aux professionnels de la santé d'évaluer et de gérer plus efficacement la santé des patients en mettant en œuvre des stratégies de prévention et de gestion des maladies ciblées pour réduire le fardeau de la morbidité et de la mortalité.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

Les tumeurs du duodénum sont des growths anormaux qui se développent dans la muqueuse du duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle. Le duodénum est la section courte mais large de l'intestin grêle qui reçoit le chyme (partiellement digéré les aliments) du estomac via le pylore.

Les tumeurs du duodénum peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les types courants de tumeurs bénignes comprennent les adénomes, les lipomes, les leiomyomes et les hémangiomes. Ces tumeurs sont généralement asymptomatiques, mais elles peuvent provoquer des symptômes lorsqu'elles grossissent et compriment les structures avoisinantes. Les symptômes courants comprennent des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une perte de poids et une sensation de satiété précoce.

Les tumeurs malignes du duodénum sont rares et représentent moins de 1 % de tous les cancers gastro-intestinaux. Les carcinomes annulaires du duodénum, également appelés adénocarcinomes du duodénum, sont le type le plus courant de tumeurs malignes du duodénum. Ces tumeurs se développent à partir des cellules glandulaires de la muqueuse du duodénum et peuvent se propager localement aux structures avoisinantes ou métastaser à d'autres parties du corps. Les facteurs de risque comprennent une histoire de maladie de Crohn, de polypes du duodénum et de certaines conditions héréditaires telles que la néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (NEM1).

Le diagnostic des tumeurs du duodénum implique généralement une combinaison d'examens d'imagerie, tels qu'une tomodensitométrie ou une résonance magnétique, et d'endoscopie. Une biopsie est souvent nécessaire pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de tumeur. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Une biopsie est un procédé médical dans lequel un échantillon de tissu corporel est prélevé et examiné de près, généralement au microscope, pour déterminer la présence ou l'absence d'une maladie ou d'une condition spécifique. Ce processus aide les médecins à poser un diagnostic précis et à planifier le traitement approprié.

Il existe plusieurs types de biopsies, en fonction de la partie du corps concernée et de la méthode utilisée pour prélever l'échantillon :

1. Biopsie par incision/excision : Dans ce type de biopsie, une incision est pratiquée dans la peau pour accéder au tissu cible. L'échantillon peut être retiré en entier (biopsie excisionnelle) ou seulement une partie du tissu peut être prélevée (biopsie incisionnelle). Ce type de biopsie est couramment utilisé pour les grains de beauté suspects, les lésions cutanées et les nodules.

2. Biopsie par aspiration : Cette procédure implique l'utilisation d'une aiguille fine pour prélever un échantillon de tissu ou de liquide dans une zone spécifique du corps. La biopsie à l'aiguille fine est souvent utilisée pour les ganglions lymphatiques enflés, les glandes thyroïdiennes et d'autres organes superficiels.

3. Biopsie au trocart : Dans ce type de biopsie, un trocart (une aiguille creuse) est inséré dans le corps pour prélever un échantillon de tissu. Ce type de biopsie est souvent utilisé pour les organes profonds comme le foie, les poumons et les os.

4. Biopsie chirurgicale : Lors d'une biopsie chirurgicale, une incision est pratiquée dans la peau pour accéder à l'organe ou au tissu cible. Une partie de l'organe ou du tissu est ensuite retirée pour analyse. Ce type de biopsie est souvent utilisé pour les tumeurs malignes et les lésions suspectes dans des organes comme le sein, le poumon et le foie.

5. Biopsie liquide : Cette procédure consiste à analyser un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels pour détecter la présence de cellules tumorales ou d'ADN circulant provenant d'une tumeur cancéreuse. La biopsie liquide est une méthode non invasive qui peut être utilisée pour le suivi du traitement et la détection précoce des récidives.

Les résultats de la biopsie sont généralement examinés par un pathologiste, qui fournit un rapport décrivant les caractéristiques du tissu ou des cellules prélevés. Ce rapport peut aider à déterminer le diagnostic et le traitement appropriés pour une maladie spécifique.

Le dépistage systématique est une procédure de santé publique dans laquelle une population asymptomatique et à risque moyen est régulièrement testée pour détecter précocement la présence d'une maladie spécifique. Il s'agit d'un processus proactif, planifié et organisé qui a pour but de réduire la morbidité et la mortalité liées à cette maladie en identifiant et en traitant les cas précoces ou en fournissant des interventions préventives. Le dépistage systématique est généralement basé sur des lignes directrices fondées sur des données probantes et vise à atteindre une population entière ou des groupes ciblés de personnes présentant un risque accru. Les exemples courants de dépistage systématique comprennent les mammographies pour le dépistage du cancer du sein, les tests Pap pour le dépistage du cancer du col de l'utérus et les dépistages de la pression artérielle et du cholestérol pour le dépistage des maladies cardiovasculaires.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

Le cytosquelette est un réseau complexe et dynamique de protéines fibreuses situé dans la cytoplasme des cellules. Il joue un rôle crucial dans la structure, la forme, la division cellulaire, le mouvement cellulaire, et le transport intracellulaire. Les protéines qui composent le cytosquelette comprennent les actines, les tubulines, et les intermédiaires filamenteux (comme la vimentine, la desmine, et la GFAP). Ces protéines s'assemblent pour former des structures tridimensionnelles qui déterminent la forme de la cellule, maintiennent son intégrité structurelle, et permettent le transport de divers composants cellulaires. Le cytosquelette est également impliqué dans les processus de signalisation cellulaire et de régulation du trafic membranaire.

Un carcinome est un type de cancer qui commence dans les cellules épithéliales, qui sont les cellules qui tapissent la surface des organes et des glandes. Ces cellules ont une forme aplatie et une fonction de protection ou de sécrétion. Les carcinomes peuvent se développer à partir de divers types d'épithélium dans tout le corps, y compris la peau, les poumons, le sein, le côlon, la prostate et le rein.

Les carcinomes peuvent être classés en plusieurs sous-types en fonction de leur apparence au microscope et de leurs caractéristiques moléculaires. Certains des sous-types courants comprennent les carcinomes squameux, les adénocarcinomes, les carcinomes à cellules basales et les carcinomes à cellules rénales.

Les facteurs de risque pour le développement d'un carcinome peuvent inclure l'exposition aux rayonnements, au tabagisme, à certaines substances chimiques, à une infection virale ou bactérienne, à des antécédents familiaux de cancer et au vieillissement.

Le traitement d'un carcinome dépend du type et du stade du cancer, ainsi que de la santé générale du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à l'aide de rayonnements, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses avec des médicaments, ou une thérapie ciblée pour attaquer des caractéristiques spécifiques des cellules cancéreuses.

Les tumeurs de l'intestin sont des croissances anormales qui se forment dans l'un des composants du système digestif communément appelé l'intestin. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes incluent les adénomes, les lipomes, les leiomyomes et les hémangiomes. Elles sont généralement traitées par résection chirurgicale si elles causent des symptômes, tels que saignements, obstruction ou perforation.

Les tumeurs malignes, également connues sous le nom de cancers de l'intestin, comprennent les carcinomes adénocarcinomes, les lymphomes et les sarcomes. Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais il peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie.

Les facteurs de risque de développer un cancer colorectal, qui est le type le plus courant de cancer de l'intestin, comprennent l'âge avancé, les antécédents familiaux de cancer colorectal, certaines conditions médicales telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, un régime alimentaire riche en viandes rouges et transformées, le tabagisme et l'obésité.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir est un peu contradictoire. "Plantes potagères" est généralement utilisé pour se référer à des plantes cultivées dans un jardin potager, qui sont couramment utilisées comme légumes ou herbes aromatiques dans la cuisine. Cependant, une définition médicale ne serait pas applicable ici, car ce terme n'a pas de connotation ou d'utilisation médicale spécifique.

Dans un contexte plus large, on pourrait peut-être parler des bienfaits médicinaux de certaines plantes potagères, comme les propriétés anti-inflammatoires de la racine de curcuma ou les avantages digestifs de la menthe poivrée. Mais dans ce cas, on ne parle plus vraiment d'une définition médicale des "plantes potagères" en soi, mais plutôt des propriétés médicinales spécifiques de certaines plantes individuelles qui peuvent également être cultivées comme légumes.

L'adénomatose pulmonaire est une maladie rare et généralement bénigne des poumons, caractérisée par la présence de multiples petits nodules (généralement moins de 5 mm de diamètre) dans les tissus pulmonaires. Ces nodules sont composés de cellules glandulaires anormales et sont souvent regroupés en amas, appelés adénomes.

Bien que la plupart des cas d'adénomatose pulmonaire soient asymptomatiques, certains patients peuvent présenter des symptômes tels qu'une toux chronique, une respiration sifflante, des douleurs thoraciques et un essoufflement. Dans de rares cas, l'adénomatose pulmonaire peut évoluer vers un cancer du poumon.

Le diagnostic d'adénomatose pulmonaire est généralement posé par imagerie médicale, telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une radiographie pulmonaire. Une biopsie pulmonaire peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic et exclure d'autres affections pulmonaires.

Le traitement de l'adénomatose pulmonaire dépend de la gravité des symptômes et du risque de complications. Dans les cas légers, aucun traitement n'est nécessaire et une surveillance régulière peut être suffisante. Dans les cas plus graves, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour enlever les nodules pulmonaires anormaux.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

  • Mieux encore : dépister le cancer à un stade si précoce que les polypes mesurent moins d'un centimètre, et augmenter ainsi à 90% le taux de survie à 5 ans. (allodocteurs.fr)
  • Un polype est une petite tumeur bénigne qui s'élève au-dessus de la membrane muqueuse d'un organe. (abchealthonline.com)
  • se développent à partir d'un polype adénomateux antérieurement bénin. (msdmanuals.com)
  • Pouvant être bénins ou malins, les polypes sont le plus souvent retirés afin de prévenir l'apparition d'un éventuel cancer colorectal . (medadom.com)
  • Jusqu'à l'heure actuelle, le cancer colorectal est considéré comme se développant le plus souvent à partir d'un polype adénomateux. (sante-dz.com)
  • La complication la plus dangereuse qui cause l'adénome intestinal est la malignité cellulaire, c'est-à-dire le passage d'un polype à une tumeur maligne. (whshealthscience.com)
  • Les petits polypes du côlon peuvent être retirés à l'aide d'un instrument inséré dans le coloscope qui coupe de petits morceaux de tissu. (pharmazone.be)
  • Si lors d'un examen visuel, il apparaît qu'il y a des polypes, il peut aussi arriver qu'ils soient immédiatement enlevés par une polypectomie. (pharmazone.be)
  • L'origine du cancer du colon est souvent la transformation d'un polype adénomateux bénin. (radiologiemorimont.be)
  • La majorité de ces cancers colorectaux se développent à partir de petites tumeurs généralement bénignes : les polypes . (allodocteurs.fr)
  • La polypose adénomateuse familiale est une affection génétique rare dont une des manifestations principales est la multiplication de polypes adénomateux colorectaux et leur dégénérescence inéluctable en cancer colorectal dès l'âge adulte jeune. (prescrire.org)
  • Les polypes colorectaux sont de petites excroissances situées au niveau de la muqueuse du côlon et du rectum. (medadom.com)
  • Il n'existe pas un, mais plusieurs types de polypes colorectaux. (medadom.com)
  • D'autres types de polypes colorectaux existent, avec des risques moindres d'évoluer en cancer colorectal. (medadom.com)
  • Bien qu'il ne soit pas « normal » de présenter des polypes colorectaux, leur prévalence est plutôt élevée. (medadom.com)
  • On enseigne actuellement que les polypes adénomateux colorectaux doivent être recherchés et réséqués. (sante-dz.com)
  • Les polypes colorectaux rendent compte de cinq pourcent d?admission hospitalière à Brazzaville. (bvsalud.org)
  • Les cancers colorectaux se développent lentement, et habituellement à partir de certains polypes à risques. (gastrojulesverne.fr)
  • Le plus souvent, il provient d'une tumeur bénigne (un polype adénomateux) qui va évoluer lentement et finir par devenir cancéreuse . (journaldesfemmes.fr)
  • Un polype est une petite tumeur localisée au niveau de la paroi de divers organes tels que le côlon , la vessie, l'utérus , les cordes vocales, ou encore le nez. (medadom.com)
  • Dans plus de 80 % des cas , il provient d'une tumeur bénigne , appelée polype adénomateux, qui évolue lentement et finit par devenir cancéreuse. (bergonie.fr)
  • Dans 80 % des cas, le cancer du côlon se développe à partir d'une tumeur bénigne qu'on appelle polype adénomateux ou adénome . (laprevention.fr)
  • le pourcentage le plus élevé correspond à de très petits polypes (habituellement des polypes ou des adénomes hyperplasiques) découverts au moment d'une autopsie. (msdmanuals.com)
  • Les polypes festonnés, un type plus agressif d'adénome, peuvent se développer à partir de polypes hyperplasiques. (msdmanuals.com)
  • Les polypes hyperplasiques, quant à eux, atteindraient 20 à 30% des sujets de 50 ans. (medadom.com)
  • Les polypes adénomateux montreront progressivement des changements dysplasiques, ce qui les distingue des polypes hyperplasiques. (pharmazone.be)
  • Elles peuvent être la source de développement de tumeurs malignes ou cancers, à partir de polypes bénins ou de lésions sans gravité au départ. (mcommemutuelle.com)
  • Mais des études récentes montrent que les cancers développés à partir de lésions non polypoïdes (nonpolypoid colorectal neoplasms ou NP-CRNs) sont relativement aussi fréquent que les tumeurs développées à partir de polypes. (sante-dz.com)
  • Un polype colorectal est ainsi une excroissance se développant sur la muqueuse du côlon ou du rectum. (medadom.com)
  • beaucoup plus rares, ces polypes sont caractérisés par une modification de la structure de la muqueuse liée à une croissance excessive de cellules naturellement présentes dans le côlon. (medadom.com)
  • Enfin, dans le cas de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) , des pseudo-polypes peuvent apparaître secondairement aux processus d'inflammation et de cicatrisation de la muqueuse du côlon et du rectum. (medadom.com)
  • Un polype est simplement une excroissance de tissu en saillie à partir d'une surface du corps, généralement une membrane muqueuse. (pharmazone.be)
  • Il est possible de détecter ces polypes et de les retirer avant qu'ils ne deviennent malins. (allodocteurs.fr)
  • Les polypes adénomateux (néoplasiques) potentiellement malins sont les plus importants à rechercher. (msdmanuals.com)
  • Les polypes adénomateux peuvent devenir malins et évoluer en cancer (carcinome) : séquence adénome-carcinome. (pharmazone.be)
  • Polypose adénomateuse familiale La polypose adénomateuse familiale est une pathologie héréditaire caractérisée par l'apparition de nombreux polypes du côlon et provoquant fréquemment un cancer du côlon souvent avant l'âge. (msdmanuals.com)
  • Lorsque l'on retrouve plus de 10 polypes, on parle de polypose . (medadom.com)
  • En cas d'antécédents personnels ou familiaux de polype, de polypose ou de cancer colorectal. (medadom.com)
  • Polypose recto-colique familiale (en anglais FAP) où une grande variété de polypes apparaissent chez l'ensemble des porteurs du gène Apc muté. (wikibis.com)
  • Les polypes connus sous le nom d'adénomes sont les précurseurs du cancer colorectal. (chirurgie-digestive-montpellier.fr)
  • Environ 25% des patients atteints de cancer du côlon présentent également des polypes adénomateux synchrones. (msdmanuals.com)
  • La difficulté du dépistage réside dans le développement lent des polypes adénomateux en cancer. (mcommemutuelle.com)
  • Souvent bénins, certains polypes peuvent toutefois évoluer en cancer colorectal et doivent donc être surveillés et retirés si cela est possible. (medadom.com)
  • A l'heure actuelle, 0,3% à 0,9 % des patients ayant subit une ablation des polypes adénomateux au cours d'une colonoscopie, développent un cancer d'intervalle généralement invasif. (sante-dz.com)
  • À l'âge adulte, l'un de ces polypes dégénère nécessairement en cancer, sauf si on enlève le côlon par une opération chirurgicale. (wikibis.com)
  • Il y a moins de polypes que dans la FAP, et un risque moindre de cancer, mais la surveillance est indispensable par colonoscopies régulières. (wikibis.com)
  • Les personnes ayant eu des lésions précancéreuses (polypes…) ou un cancer colorectal ont un risque plus important de développer un cancer. (sautdelange.com)
  • Vous pouvez réduire considérablement le risque de polypes tels que les polypes du côlon et le cancer du côlon en faisant effectuer des dépistages réguliers par un médecin. (pharmazone.be)
  • La détection et la résection de ces polypes sont donc les méthodes choix de prévention de ce cancer. (radiologiemorimont.be)
  • Pourtant, les données concernant la détection de polypes ou de cancer avant 50 ans ne seraient plus en adéquation avec les recommandations. (medscape.com)
  • Certains facteurs de risque augmentent la probabilité de développer un cancer colorectal: alimentation riche en graisses, le tabac, être porteur d'une maladie inflammatoire de l'intestin (MICI), ou encore les antécédents familiaux de polype/cancer. (gastrojulesverne.fr)
  • Elle permet le dépistage du cancer colorectal et le retrait de polypes , lésions bénignes du colon ou du rectum, susceptibles de dégénérer en cancer. (podips-hpa.com)
  • Risque élevé : antécédents personnels ou familiaux de polype, colites inflammatoires. (radiologiemorimont.be)
  • les polypes juvéniles, les pseudo-polypes, les lipomes, les léiomyomes et d'autres tumeurs rares. (msdmanuals.com)
  • Le tabac favoriserait l'apparition des polypes adénomateux et l'alcool leur augmentation de taille. (sautdelange.com)
  • Les polypes sont souvent multiples et apparaissent le plus souvent au niveau du rectum et du sigmoïde, et deviennent moins fréquents à mesure que l'on se rapproche du caecum. (msdmanuals.com)
  • Présents chez plus de 30% des plus de 65 ans, les polypes du côlon et du rectum sont relativement fréquents. (medadom.com)
  • Un creux dans la paroi interne du côlon ou du rectum met en évidence un polype « déprimé » ou « ulcéré » . (medadom.com)
  • Les polypes adénomateux (appelés également polyadénomes ou adénomes) : de formes différentes, ce type de polypes représente 2/3 des polypes du côlon et du rectum. (medadom.com)
  • Les polypes coliques et rectaux sont des états précancéreux du côlon et du rectum. (bvsalud.org)
  • Si les résultats montrent la présence de polypes adénomateux, alors que d'autres rechuteront après s'être rétablis. (munaaljehani.com)
  • Par exemple, les polypes utérins sont le plus souvent diagnostiqués chez les femmes ménopausées et sont plus rares chez les femmes préménopausées. (pharmazone.be)
  • De telles lésions sont classées histologiquement en adénomes tubuleux, tubulovilleux (polypes villoglandulaires) ou villeux. (msdmanuals.com)
  • Les trois différents polypes du côlon sont villeux, tubulaires et tubulovilleux. (pharmazone.be)
  • Cette technique consiste à vaporiser progressivement le tissu adénomateux prostatique pour élargir le conduit urétral. (urologie-avignon.fr)
  • Les polypes se développent sous deux formes différentes : plat (sessile) et pédonculé (pédonculé). (pharmazone.be)
  • Tous les polypes ne deviennent pas des cancers du côlon. (chirurgie-digestive-montpellier.fr)
  • Les polypes juvéniles sont observés chez l'enfant et deviennent habituellement trop gros pour leur vascularisation, ce qui mène à leur disparition pendant ou après la puberté. (msdmanuals.com)
  • Les polypes varient en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres. (abchealthonline.com)
  • Les causes des polypes varient mais elles peuvent être d'ordre héréditaire , avec l'existence de prédispositions génétiques . (medadom.com)
  • Syndrome de Peutz-Jeghers Le syndrome de Peutz-Jeghers est une affection autosomique dominante caractérisée par des polypes hamartomateux multiples au niveau de l'estomac, de l'intestin grêle et du côlon ainsi que des. (msdmanuals.com)
  • Les polypes sont de taille très variable et peuvent être sessiles ou pédiculés. (msdmanuals.com)
  • Même si elles ne sont pas très fréquentes (cette étude a retrouvé une prévalence de 9.35% vs 42% pour tous les polypes), leur propension à contenir un contingent cellulaire déjà au stade de carcinome superficiel serait 10 fois plus élevée. (sante-dz.com)
  • En considérant l'ensemble de la cohorte, l'examen a permis de détecter des polypes adénomateux dans 32% des cas. (medscape.com)
  • Un polype intestinal est défini par toute masse tissulaire qui dépend de la paroi de l'intestin et qui fait saillie dans la lumière. (msdmanuals.com)
  • De la même manière que pour le Greenlight, cette technique permet de limiter les saignements avec des durées de sondage habituellement de moins de 24 heures, et permet de traiter des adénomes de gros volumes, sans laisser de tissu adénomateux. (urologie-avignon.fr)
  • Parfois, il y a une légère perturbation du tube digestif, mais la plupart des patients ne savent pas qu'ils ont formé des polypes. (whshealthscience.com)
  • Les polypes adénomateux toucheraient près de 30% des personnes de 65 ans, dont deux fois plus d'hommes que de femmes. (medadom.com)
  • Les polypes ont été rencontrés chez 49 patients soit 5,42% des cas.Il y avait 32 hommes et 17 femmes, avec un sexe ratio de 1,8/1. (bvsalud.org)

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