Et qui réagit aux protéines plasmatiques storage-stable qui est activée par des tissus pour former de thromboplastine facteur VIIa dans la voie extrinsèque activé de la coagulation sanguine. La forme alors catalyse l'activation du facteur X en facteur Xa.
Autosomique caractéristique récessifs ou un trouble de coagulation acquis en association avec de vitamine K DEFICIENCY. Le facteur VII est une glycoprotéine vitamine K dépendants de la voie extrinsèque essentielle de la coagulation.
Forme de facteur VII activé. Facteur VIIa active le facteur X dans la voie extrinsèque de la coagulation sanguine.
Électrice composée de protéines et Phospholipid c'est largement distribuée dans beaucoup de mouchoirs. Il sert comme un cofacteur avec le facteur VIIa au facteur X activé dans la voie extrinsèque de la coagulation sanguine.
Glycoprotéine Storage-stable facteur de coagulation du sang qui peut être activé à des concentrés de facteur Xa par les voies intrinsèque et extrinsèque. Une déficience en facteur X, parfois appelée Stuart-Prower déficit en facteur systémique, peut entraîner un trouble de la coagulation.
Le processus de l'interaction de la coagulation du sang FACTEURS qui en résulte une insoluble caillot fibrineux.
Mucopolysaccharidose De Type caractérisé par des sulfates et héparane dermatane excessive dans les urines et Hurler-like traits. Elle est provoquée par le déficit de beta-glucuronidase.
Substances endogène, généralement protéines, intervenant dans le processus de coagulation sanguine.
Examens de laboratoire pour évaluer l'individu coagule mécanisme.
Le processus qui spontanément arrestations le flux de sang de vaisseaux transportant du sang sous pression. Tout est accompli par la contraction des vaisseaux, adhérence et l ’ agrégation plaquettaire de formé sang éléments érythrocytes AGGREGATION (par exemple), et le processus de coagulation du sang.
Forme du facteur X activé participant dans les voies intrinsèque et extrinsèque de la coagulation sanguine. Il y a catalyse la conversion de la prothrombine en thrombine conjointement avec d'autres co- facteurs.
Facteur de coagulation du sang Storage-stable jouer sur la voie intrinsèque activé. Sa forme, IXa et forme un complexe de calcium avec le facteur VIII et facteur plaquettaire 3 pour activer le facteur X Xa. Déficience en facteur IX entraîne hémophilie B (Noël Disease).
Un non-fibrillar collagène impliqué à ancrer le sous-sol membrane épidermique de tissus sous-jacents. C'est un composé de homotrimer propeptide C-terminal et N-terminal globule domaines reliés par une région triple-helical central.
Temps de coagulation du plasma recalcified en présence d'excès de tissu. Facteurs mesuré sont le fibrinogène ; prothrombine ; facteur V ; facteur VII, et facteur X. C'est utilisé pour le suivi du traitement par anticoagulants coumariniques.
Des produits pouvant provoquer la formation de caillot.
Troubles thrombotiques et hémorragiques observés suite à des anomalies du bilan de coagulation en raison d'une variété de facteurs tels que des protéines de coagulation du sang ; DISORDERS DISORDERS plaquettaire ; sang ou des protéines DISORDERS conditions nutritionnel.
C'est une protéine plasmatique inactif précurseur de la thrombine. Il est convertit la prothrombine en thrombine par un complexe d'activation de facteur Xa, le facteur V, les microbulles, et les ions calciques. De la prothrombine mène à un déficit en douleur.
Substances agissant pour arrêter l'écoulement du sang, absorbable hemostatics arrestation saignement soit par la formation de caillot ou en proposant une matrice mécanique qui facilite coagulation quand appliquer directement sur le saignement surface. Ces agents un fonctionnement plus au niveau capillaire et n'est pas efficace à exercées artérielle ou veineuse de saignement sous pression intravasculaire.
Par la thrombine coagulé plasma glycoprotéine composée d'un dimère d non-jumelle trois paires de polypeptide chaînes (alpha, bêta, gamma) tenu ensemble par disulfures obligations. Fibrinogène sanguine impliquant sol-gel changement moléculaire complexe arrangements ; considérant que le fibrinogène est fendu par la thrombine pour former polypeptides A et B, l'action de rendements d ’ autres enzymes protéolytiques fibrinogène différents produits de dégradation.
Un anticoagulant qui agit en inhibant la synthèse des facteurs de coagulation vitamine K- dépendants. La warfarine est indiqué en prévention et / ou le traitement des thromboses veineuses et son extension, embolie pulmonaire, et des fibrillations auriculaires avec embolisation. Il est également utilisé en complément dans la prévention des embolies systémiques après infarctus du myocarde, la warfarine est aussi utilisé comme rodenticide.
Une absence ou diminution du niveau de la coagulation sanguine facteur Hageman. Ça se produit généralement en l'absence de patient ou antécédents familiaux de hémorragiques et est marquée par temps de coagulation prolongée.
Hémorragie après toute intervention chirurgicale. Il peut être retardée ou immédiate et ne se limite pas à la plaie chirurgicale.
Cofacteur lipidique c'est nécessaire à la coagulation du sang. Plusieurs formes de vitamine K ont été identifiées : Vitamine K1 (phytomenadione) dérivé de plantes, de vitamine K 2 (menaquinone) de bactéries, et provitamins naphthoquinone synthétique, de vitamine K3 (menadione). Vitamine K3 provitamins, après avoir été alcaline in vivo, l'activité antifibrinolytic de vitamine K. Green de légumes verts, le foie, fromage, beurre et du jaune d'oeuf sont bonnes sources de vitamine K.
Le temps nécessaire à l ’ apparence de fibrine brins après le mélange de plasma avec Phospholipid substitut plaquettaire (par exemple, grossier, de soja cephalins phosphatides). C'est un test de la voie intrinsèque (facteurs VIII, IX et XI, XII) et le bon chemin (fibrinogène, du taux de prothrombine, des facteurs V et X) de coagulation du sang. Il est utilisé comme une projection test HEPARIN et de suivre une thérapie.
Le classique hémophilie résultant d'une déficience en facteur VIII. C'est une affection héréditaire de la coagulation sanguine permanent, caractérisée par une tendance à saigner.
Une déficience en facteur IX de coagulation sanguine héréditaire comme un trouble X-linked. (Aussi connu comme Noël Disease, après le premier patient étudié en détail, pas la sainte journée.) Historical et caractéristiques cliniques ressemblent à celles de l'hémophilie hémophilie A (classique), mais les patients avec moins de symptômes. Cadeau de la sévérité des saignements est généralement similaire chez membres d'une même famille. De nombreux patients sont asymptomatiques jusqu'à ce système hémostatique est stressé par chirurgie ou un traumatisme. Traitement est semblable à celui d'hémophilie A. (De Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p1008)
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Facteur Antihemophilic Blood-coagulation le facteur VIII. Ça fait partie du facteur VIII / facteur von Willebrand complexe. Le facteur VIII est produit dans le foie et agit à la voie intrinsèque de la coagulation sanguine. Il sert comme un cofacteur du facteur X dans l ’ activation et cette action a été nettement augmenté par petites quantités de la thrombine.
Un écran plasma alpha 2 glycoprotéine qui représente la principale activité antithrombine de plasma normal et inhibe également plusieurs autres enzymes. Il est membre des superfamille Serpin.
Forme de facteur IX activé. Cette activation peut avoir lieu via la voie intrinsèque par l'action de calcium et le facteur XIa, via la voie extrinsèque par l'action du facteur VIIa, thromboplastine, et de calcium. Facteur IXa sert pour activer le facteur X Xa par il fend les arginyl-leucine lien peptique dans le facteur X.
Un di-isopropyl-fluorophosphate qui est un inhibiteur de la cholinesterase irréversible l'utiliser pour enquêter sur le système nerveux.
La dissolution enzymatique naturel de fibrine.
Une enzyme formé de prothrombine qui convertit le fibrinogène en fibrine.
Substances sont reconnus par le système immunitaire et provoquer une réaction immunitaire.
Trouvé dans les tissus, notamment en quatre sanguine incluant du taux de prothrombine, protéines dans les reins de protéines, des protéines et en os dans la protéine ectopique présentes dans divers calculs.
Utilisation d'un thrombelastograph, qui précise le graphique continue record de la forme physique d'un caillot fibrineux pendant la formation et la lyse.

La proconvertine, également connue sous le nom de facteur VII, est une protéine plasmatique synthétisée par le foie. Elle joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine en activant la convertase à kinase, qui convertit ensuite la prothrombine en thrombine. La thrombine est essentielle pour la conversion de fibrinogène en fibrine, ce qui permet la formation d'un caillot sanguin solide. Les carences en facteur VII peuvent entraîner des saignements prolongés et sont héréditaires ou acquises, par exemple, en raison d'une maladie du foie ou de la prise de certains médicaments anticoagulants.

Le déficit en facteur VII est un trouble de la coagulation sanguine héréditaire rare, caractérisé par un manque ou une absence de l'activité du facteur VII, une protéine essentielle à la coagulation sanguine. Ce facteur est une enzyme qui joue un rôle clé dans le processus de coagulation en activant la factorie X, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin pour arrêter les saignements.

Lorsqu'une personne souffre d'un déficit en facteur VII, son sang ne coagule pas correctement, ce qui peut entraîner des saignements prolongés et excessifs après une blessure ou une intervention chirurgicale. Les symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de saignements mineurs à des hémorragies sévères et potentiellement mortelles.

Le déficit en facteur VII est généralement hérité d'un parent atteint, ce qui signifie qu'il s'agit d'une maladie autosomique récessive. Cela signifie que les deux copies du gène doivent avoir une mutation pour que la personne présente des symptômes de la maladie. Les personnes qui ne présentent qu'une seule copie du gène muté sont appelées porteurs et peuvent ne présenter aucun symptôme ou des symptômes légers.

Le diagnostic d'un déficit en facteur VII est généralement posé par un hématologue ou un spécialiste de la coagulation, qui effectuera des tests sanguins spécifiques pour mesurer l'activité du facteur VII. Le traitement peut inclure des perfusions régulières de concentré de facteur VII pour prévenir les saignements et maintenir un taux adéquat de facteur VII dans le sang.

Le facteur V est une protéine importante dans la coagulation sanguine. Il est également connu sous le nom de «proaccelérine» en raison de son rôle dans l'accélération du processus de coagulation. Le facteur V est activé par le facteur Xa et la thrombine pour former le complexe prothrombinase, qui convertit la prothrombine en thrombine, une enzyme essentielle à la formation d'un caillot sanguin.

Le terme «Facteur Viia» est souvent utilisé dans le contexte de la mutation du facteur V connue sous le nom de «facteur V de Leiden». Cette mutation entraîne une résistance accrue à l'inactivation du facteur V activé par la protéine C, ce qui peut augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire. Il s'agit d'une des mutations les plus courantes associées aux maladies thromboemboliques veineuses dans la population caucasienne.

La thromboplastine est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire un facteur de coagulation présent dans le tissu ou dans les plaquettes sanguines, qui joue un rôle crucial dans la coagulation du sang. Lorsqu'elle est activée, elle contribue à la conversion de la prothrombine en thrombine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin (thrombus).

Il existe deux types de thromboplastine :

1. Thromboplastine tissulaire : Elle est présente dans les tissus et est libérée lors de dommages aux vaisseaux sanguins. Elle active la cascade de coagulation en convertissant la prothrombine en thrombine, déclenchant ainsi la formation d'un caillot sanguin.

2. Thromboplastine plaquettaire : Elle est stockée dans les granules alpha des plaquettes sanguines et est libérée lors de l'activation des plaquettes. Elle potentialise davantage la coagulation en augmentant la vitesse de conversion de la prothrombine en thrombine.

En médecine, le test de la thromboplastine partielle activée (TPPA) est souvent utilisé pour évaluer l'efficacité du système de coagulation et détecter d'éventuels troubles de la coagulation sanguine.

Le facteur Stuart, également connu sous le nom de facteur von Willebrand factor (vWF) à grande molécule, est une protéine plasmatique multimérique qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'hémostase primaire en facilitant l'adhésion et l'agrégation des plaquettes sur les parois endommagées des vaisseaux sanguins. Il agit comme un pont entre le sous-endothélium exposé et les plaquettes, favorisant ainsi la formation d'un caillot sanguin pour arrêter le saignement.

Le facteur Stuart est nommé d'après Alexandra von Willebrand Stuart, qui a découvert cette protéine en 1924. Les mutations dans les gènes responsables de la production du facteur vWF peuvent entraîner des troubles hémostatiques tels que l'hémophilie acquise ou le syndrome de von Willebrand, une maladie héréditaire caractérisée par des saignements prolongés et excessifs.

Le facteur Stuart est synthétisé dans les cellules endothéliales et stocké dans les granules alpha des plaquettes sous forme de dimères vWF. Lorsqu'il est activé par des stimuli tels que l'endothélium lésé ou le facteur de croissance transformant bêta (TGF-β), il se libère dans la circulation sanguine, où il peut se polymériser pour former des multimères à haute molécularité. Ces multimères à haute molécularité ont une affinité accrue pour les récepteurs de glycoprotéines Ib et IIa sur les plaquettes, ce qui entraîne une agrégation plaquettaire plus forte et une activation supplémentaire des plaquettes.

En outre, le facteur Stuart fonctionne également comme un transporteur pour le facteur VIII, protégeant ainsi ce dernier de la dégradation prématurée par les protéases dans la circulation sanguine. Cette interaction entre le facteur Stuart et le facteur VIII est cruciale pour maintenir l'hémostase normale et prévenir les saignements excessifs.

La coagulation sanguine, également appelée hémostase, est un processus complexe et vital qui empêche la perte excessive de sang après une blessure ou une lésion vasculaire. Il existe deux principales phases dans ce processus :

1. Hémostase primaire : Cette phase implique la constriction des vaisseaux sanguins endommagés et l'activation plaquettaire pour former un bouchon temporaire appelé thrombus plaquettaire ou « caillot blanc ». Les facteurs de coagulation ne sont pas encore impliqués à ce stade.

2. Hémostase secondaire : Dans cette phase, une cascade enzymatique complexe est déclenchée, aboutissant à la formation d'un caillot sanguin stable ou « caillot rouge ». Ce processus implique plusieurs facteurs de coagulation (protéines plasmatiques) qui s'activent mutuellement et convertissent le fibrinogène en fibrine, créant ainsi un réseau tridimensionnel dans lequel les globules rouges et les autres composants cellulaires du sang sont piégés.

Plusieurs facteurs de coagulation, précurseurs inactifs (zymogènes), sont stockés dans le foie sous forme de protéines plasmatiques. Ils peuvent être activés par des traumatismes tissulaires directs ou indirectement via des voies de activation extrinsèque, intrinsèque et commune. Les déséquilibres dans ce système complexe peuvent entraîner des troubles hémostatiques, tels que des coagulations excessives (thrombose) ou insuffisantes (hémorragie).

La mucopolysaccharidose de type VII, également connue sous le nom de syndrome de Sly, est un trouble héréditaire rare de stockage lysosomal. Il est causé par une mutation du gène GUSB qui code pour l'enzyme β-glucuronidase. Cette enzyme est responsable du métabolisme des glycosaminoglycanes (GAG), également appelés mucopolysaccharides. Lorsque cette enzyme fait défaut, les GAG s'accumulent dans les lysosomes des cellules, entraînant une variété de symptômes.

Les symptômes de la mucopolysaccharidose de type VII peuvent inclure une croissance et un développement anormaux, une taille et une tête anormalement grandes, une dysostose multiple (anomalies osseuses multiples), des problèmes cardiaques, des problèmes respiratoires, une hypertension artérielle intracrânienne, une hépatosplénomégalie (augmentation du volume du foie et de la rate), une hernie ombilicale ou inguinale, une déficience auditive, une vision floue due à une opacification de la cornée, et des faciès caractéristiques avec un front large, une dépression nasale, des pommettes proéminentes et une mâchoire prognathe.

Le diagnostic de la mucopolysaccharidose de type VII est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une analyse d'urine pour détecter l'excès de GAG, et d'un test enzymatique pour mesurer l'activité de la β-glucuronidase dans les leucocytes ou les fibroblastes. Le traitement peut inclure une thérapie de remplacement enzymatique, des soins de support et une gestion des complications.

Les facteurs de coagulation sanguine, également connus sous le nom de facteurs de coagulation ou facteurs de la cascade de coagulation, se réfèrent à une série de protéines spécifiques dans le plasma sanguin qui fonctionnent ensemble pour former un caillot sanguin en réponse à une blessure ou une lésion vasculaire. Ils jouent un rôle crucial dans le processus de coagulation sanguine, assurant la cicatrisation adéquate des plaies et prévenant les saignements excessifs.

Il existe 13 facteurs de coagulation sanguine connus, désignés par des nombres romains (I à XIII). Chacun d'eux a un rôle spécifique dans la cascade de coagulation et interagit avec les autres pour former un caillot solide. Les facteurs de coagulation sont activés en cascade, ce qui signifie qu'une étape active la suivante, créant ainsi une réaction en chaîne rapide et efficace.

Voici une liste des 13 facteurs de coagulation sanguine avec leur fonction respective :

1. Fibrinogène - se transforme en fibrine pour former le squelette du caillot
2. Proconvertine - convertit la prothrombine en thrombine
3. Thromboplastine (tissulaire) - active la facteur VII et déclenche la cascade de coagulation externe
4. Facteur VII - activé par la thromboplastine, il active le facteur X dans la voie commune
5. Facteur X - convertit la prothrombine en thrombine dans la voie commune
6. Prothrombine (facteur II) - se transforme en thrombine pour convertir le fibrinogène en fibrine
7. Facteur V - activé par la thrombine, il agit comme un cofacteur pour activer le facteur X
8. Facteur VIII - activé par la thrombine, il agit comme un cofacteur pour activer le facteur IX
9. Facteur IX - activé par le facteur XIa ou VIIa, il active le facteur X dans la voie intrinsèque
10. Facteur XI - activé par le facteur XIIa, il active le facteur IX
11. Facteur XIII - active les liaisons croisées de la fibrine pour stabiliser le caillot
12. Hageman (facteur XII) - activé par contact avec une surface négative, il active le facteur XI et déclenche la cascade de coagulation intrinsèque
13. Prékallikréine (facteur XIIa) - activé par le facteur XIIa, il active le facteur XI

Les facteurs de coagulation sanguine sont essentiels pour maintenir l'homéostasie et prévenir les saignements excessifs. Des anomalies dans ces facteurs peuvent entraîner des troubles de la coagulation, tels que l'hémophilie ou la thrombose.

Un test de coagulation sanguine, également connu sous le nom de test de coagulogramme, est un ensemble d'examens de laboratoire utilisés pour évaluer la capacité du sang à coaguler et la présence de troubles de la coagulation sanguine. Ces tests comprennent généralement :

1. Le temps de prothrombine (TP) ou International Normalized Ratio (INR) : il mesure le temps nécessaire pour que le sang forme un caillot après l'ajout d'un réactif spécifique, ce qui permet d'évaluer l'activité de plusieurs facteurs de coagulation. L'INR est principalement utilisé pour surveiller les patients sous anticoagulants oraux comme la warfarine.
2. Le temps de thromboplastine partielle activée (TTPa) : il mesure le temps nécessaire à la formation d'un caillot après l'ajout d'un réactif qui active directement les facteurs XII et XI, ce qui permet d'évaluer l'activité des facteurs intrinsèques de la coagulation.
3. Le fibrinogène : il s'agit d'une protéine sérique qui joue un rôle crucial dans la formation du caillot sanguin. Son taux est mesuré pour évaluer l'hémostase et détecter des troubles de la coagulation comme la dysfibrinogénémie ou l'hypofibrinogénémie.
4. Les facteurs de coagulation : il existe plusieurs facteurs de coagulation (II, V, VII, VIII, IX, X, XI et XII) qui peuvent être mesurés individuellement pour évaluer leur activité et détecter des carences ou des anomalies.
5. Les marqueurs de l'activation de la coagulation : des tests spécifiques comme le dosage de la D-dimère peuvent être réalisés pour mettre en évidence une activation excessive de la coagulation, par exemple dans le cadre d'un syndrome thromboembolique ou d'une coagulopathie disséminée intravasculaire.

Ces examens permettent d'explorer différents aspects de l'hémostase et de la coagulation sanguine, d'identifier des troubles héréditaires ou acquis, de surveiller l'efficacité d'un traitement anticoagulant ou thrombolytique et de dépister des complications thromboemboliques.

L'hémostase est un processus physiologique complexe qui permet de stopper le saignement lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé. Il comprend deux mécanismes principaux : la vasoconstriction et la formation de caillots sanguins.

La vasoconstriction est la rétraction des parois des vaisseaux sanguins pour réduire le flux sanguin dans la zone lésée. C'est une réponse rapide qui se produit en quelques secondes après une blessure.

La formation de caillots sanguins, également appelée coagulation, est un processus plus lent qui implique une cascade de réactions biochimiques aboutissant à la conversion de la fibrine, une protéine plasmatique, en un réseau tridimensionnel qui piège les cellules sanguines (plaquettes et globules rouges) pour former un caillot. Ce mécanisme permet de stabiliser le caillot et de fermer la brèche vasculaire jusqu'à ce que la réparation tissulaire puisse se produire.

L'hémostase est donc un processus crucial pour prévenir les hémorragies importantes et favoriser la cicatrisation des plaies.

Le facteur Xa est une protéine clé dans la coagulation sanguine, qui fonctionne comme une enzyme sérique activée. Il joue un rôle crucial dans la voie de coagulation, où il participe à la conversion de la prothrombine en thrombine, ce qui finalement conduit à la formation d'un caillot sanguin. Le facteur Xa est régulé par plusieurs autres facteurs de coagulation et inhibiteurs naturels pour maintenir un équilibre approprié entre la coagulation et l'anticoagulation dans le corps. Des médicaments anticoagulants, tels que les inhibiteurs du facteur Xa, sont utilisés en médecine pour prévenir et traiter la thrombose veineuse profonde et l'embolie pulmonaire.

Le facteur antihémophilique B, également connu sous le nom de facteur IX, est une protéine essentielle dans la coagulation sanguine. Il joue un rôle crucial dans la voie de coagulation intrinsèque, aidant à convertir le facteur X en sa forme active, ce qui déclenche la formation d'un caillot sanguin et arrête ainsi le saignement.

Une déficience ou une absence congénitale de cette protéine entraîne l'hémophilie B, une maladie héréditaire caractérisée par des saignements prolongés et excessifs, en particulier au niveau des articulations et des muscles. Les personnes atteintes d'hémophilie B peuvent recevoir des traitements de remplacement du facteur IX pour prévenir et contrôler les épisodes hémorragiques.

Le collagène de type VII est un type spécifique de protéine qui joue un rôle crucial dans la structure et la fonction des tissus conjonctifs dans le corps humain. Plus précisément, il est un composant essentiel du complexe anchoring fibrillar (AF), qui assure l'ancrage de la membrane basale dermique à la membrane basale épidermique dans la jonction dermo-épidermique.

La protéine collagène de type VII est codée par le gène COL7A1 et se compose de trois chaînes polypeptidiques identiques, appelées alpha-1 (III) collagène de type VII. Ces chaînes s'assemblent pour former une molécule tridimensionnelle en forme de tours de guet, qui sont ensuite organisées en réseaux tridimensionnels pour former les fibres anchoring fibrils (AF).

Les AF sont ancrées dans la membrane basale dermique et s'étendent dans la membrane basale épidermique, où elles interagissent avec d'autres protéines de la matrice extracellulaire pour former un complexe anchoring. Ce complexe est essentiel pour maintenir l'intégrité structurelle et fonctionnelle de la jonction dermo-épidermique, ce qui est crucial pour la fonction barrière de la peau.

Les mutations du gène COL7A1 peuvent entraîner des maladies génétiques rares telles que le déficit en collagène de type VII, également connu sous le nom d'épidermolyse bulleuse acquise ou héréditaire. Ces conditions sont caractérisées par une fragilité excessive de la peau et des muqueuses, entraînant des bulles et des cicatrices.

Le Temps Prothrombine (TP) est un test de coagulation sanguine qui mesure le temps nécessaire à la formation d'un caillot après l'ajout de thromboplastine, un réactif qui active la cascade de coagulation sanguine. Ce test est utilisé pour évaluer la fonction du facteur de coagulation extrinsèque et commun, ainsi que la présence d'un déficit en facteurs de coagulation ou d'un excès de substances anticoagulantes dans le sang. Les résultats du TP sont souvent exprimés sous forme d'un rapport appelé INR (International Normalized Ratio), qui permet une comparaison standardisée des résultats entre les laboratoires et les patients recevant un traitement anticoagulant à long terme, tel que la warfarine. Un temps de prothrombine prolongé peut indiquer un risque accru de saignement, tandis qu'un temps de prothrombine raccourci peut indiquer un risque accru de thrombose.

Les coagulants sont des substances ou des médicaments qui favorisent et accélèrent la formation d'un caillot sanguin (coagulation) dans le but de prévenir ou de traiter les saignements excessifs. Ils fonctionnent en activant certaines protéines dans le plasma sanguin, appelées facteurs de coagulation, qui déclenchent une série de réactions chimiques aboutissant à la formation d'un caillot solide.

Les coagulants sont souvent utilisés dans les situations où des saignements excessifs peuvent se produire, telles que pendant ou après une intervention chirurgicale, en cas de traumatismes graves, ou chez les personnes atteintes d'affections médicales qui affectent la capacité du sang à coaguler normalement, comme l'hémophilie.

Les exemples courants de coagulants comprennent le facteur VIIa recombinant (Novoseven), le facteur IX recombinant (BeneFIX) et la prothrombine complexe concentrée (Kcentra). Les médicaments antifibrinolytiques, tels que l'acide tranexamique (Cyklokapron, Lysteda) et l'aminocaproïque de lysine (Amicar), peuvent également être considérés comme des coagulants car ils aident à stabiliser les caillots sanguins existants en inhibant l'action d'enzymes qui décomposent les fibrines, une protéine clé dans la formation de caillots.

Il est important de noter que l'utilisation inappropriée ou excessive de coagulants peut entraîner des complications graves, telles que la formation de caillots sanguins excessifs (thrombose), ce qui peut augmenter le risque d'accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques et d'embolie pulmonaire. Par conséquent, les coagulants doivent être prescrits et surveillés par des professionnels de la santé qualifiés pour minimiser ces risques.

Les troubles de l'hémostase et de la coagulation sont des conditions médicales qui affectent la capacité du sang à coaguler correctement, entraînant un saignement excessif ou une coagulation excessive. L'hémostase est le processus par lequel le sang arrête le saignement après une blessure, et il se compose de deux parties : la vasoconstriction et la formation d'un caillot sanguin.

La coagulation est la partie de l'hémostase qui implique la conversion de la fibrine, une protéine du sang, en un réseau fibreux qui stabilise le caillot sanguin. Les troubles de l'hémostase et de la coagulation peuvent être causés par des anomalies congénitales ou acquises dans les facteurs de coagulation, les inhibiteurs de la coagulation, les plaquettes ou les vaisseaux sanguins.

Les troubles héréditaires de la coagulation comprennent l'hémophilie A et B, qui sont causées par des mutations dans les gènes de facteur VIII et IX, respectivement. Les personnes atteintes d'hémophilie ont un saignement prolongé et excessif après une blessure ou une intervention chirurgicale.

Les troubles acquis de la coagulation peuvent être causés par des maladies telles que la cirrhose du foie, les maladies vasculaires, l'insuffisance rénale, les infections, le cancer et certains médicaments. Les exemples incluent la coagulopathie de consommation, qui est une complication de la septicémie, et la thrombocytopénie induite par l'héparine, qui est une complication courante de l'utilisation d'héparine comme anticoagulant.

Les symptômes des troubles de l'hémostase et de la coagulation peuvent varier en fonction du type et de la gravité de la maladie. Les saignements sont un symptôme courant, allant de ecchymoses faciles à des hémorragies graves qui mettent la vie en danger. Le diagnostic est généralement posé par des tests sanguins spécialisés qui mesurent les temps de coagulation et l'activité des facteurs de coagulation spécifiques.

Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie. Les personnes atteintes d'hémophilie peuvent recevoir des perfusions régulières de facteur VIII ou IX pour prévenir les saignements. Les anticoagulants sont utilisés pour traiter et prévenir la thrombose chez les personnes atteintes de troubles acquis de la coagulation. Dans certains cas, une transfusion sanguine peut être nécessaire pour remplacer les facteurs de coagulation manquants ou les cellules sanguines endommagées.

La prothrombine, également connue sous le nom de facteur II, est une protéine plasmatique synthétisée par le foie. Elle joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Lorsque l'hémostase se produit, c'est-à-dire lorsqu'il y a une blessure à un vaisseau sanguin, la prothrombine est convertie en thrombine par la thromboplastine en présence de calcium. La thrombine ensuite transforme le fibrinogène en fibrine, ce qui conduit à la formation d'un caillot sanguin et aide à arrêter le saignement. Les niveaux anormaux de prothrombine peuvent être liés à des troubles héréditaires ou acquis de la coagulation sanguine.

En médecine, le terme "hémostatiques" fait référence à des agents ou substances qui aident à arrêter ou ralentir un saignement en favorisant la coagulation du sang et la formation d'un caillot sanguin. Les hémostatiques peuvent être classés en deux catégories principales :

1. Agents hémostatiques naturels : Il s'agit de substances présentes dans le corps qui contribuent à l'hémostase, telles que les plaquettes sanguines, le facteur von Willebrand, les facteurs de coagulation et les protéines de fibrinolyse.
2. Agents hémostatiques artificiels : Il s'agit de substances synthétisées ou développées à des fins médicales pour favoriser l'hémostase, telles que les tampons de collagène, les gels d'hémostase, les poudres hémostatiques, les éponge de cellulose et les thrombinomes.

Les agents hémostatiques sont utilisés en médecine pour contrôler les saignements lors des interventions chirurgicales, dans le traitement des blessures traumatiques, des hémorragies internes et des troubles de la coagulation sanguine. Il est important de noter que l'utilisation inappropriée ou excessive d'agents hémostatiques peut entraîner des complications telles que la formation de caillots sanguins excessifs, ce qui peut provoquer une thrombose veineuse ou artérielle.

Le fibrinogène est une protéine plasmatique produite par le foie qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Dans des conditions physiologiques, il circule dans le sang sous forme inactive. Lorsqu'il est activé au cours du processus de coagulation, il est converti en fibrine, une protéine essentielle à la formation d'un caillot sanguin solide. Cette conversion est déclenchée par la thrombine, une autre protéine impliquée dans la coagulation. Le fibrinogène a donc un rôle central dans l'hémostase, le processus qui permet de stopper les saignements après une blessure. Des taux anormaux de fibrinogène peuvent être associés à des troubles de la coagulation, comme l'hypofibrinogénémie (taux bas) ou la dysfibrinogénémie (anomalie de la structure du fibrinogène).

La warfarine est un anticoagulant utilisé dans le traitement et la prévention des caillots sanguins. Il agit en inhibant la synthèse de facteurs de coagulation dans le foie, ce qui empêche la formation de caillots sanguins. La warfarine est disponible sous forme de médicament sur ordonnance et doit être prescrite par un médecin. Il est important que les patients suivent attentivement les instructions posologiques et subissent des tests de surveillance réguliers pour éviter les saignements excessifs ou l'insuffisance de coagulation sanguine. Les effets secondaires courants comprennent des ecchymoses, des saignements de nez et des saignements menstruels abondants.

Le déficit en facteur XII est une coagulopathie héréditaire rare caractérisée par un déficit ou une dysfonction du facteur XII (facteur Hageman), une protéine plasmatique impliquée dans l'activation du système de coagulation sanguine. Cette condition est généralement transmise de manière autosomique récessive, ce qui signifie que les deux copies du gène doivent être anormales pour que la maladie se manifeste.

Les personnes atteintes de déficit en facteur XII présentent souvent des saignements spontanés minimes ou absents, mais elles peuvent présenter des saignements excessifs après une intervention chirurgicale, un traumatisme ou des lésions tissulaires. Cependant, contrairement à d'autres troubles de la coagulation, le déficit en facteur XII ne prédispose pas à un risque accru de thrombose veineuse ou artérielle.

La maladie est généralement diagnostiquée par des tests de coagulation sanguine qui montrent une activité réduite du facteur XII. Le traitement consiste souvent à gérer les saignements aigus avec des mesures telles que la transfusion de plasma frais congelé ou l'administration de concentrés de facteurs de coagulation spécifiques. La prévention des saignements peut également être recommandée pour certaines procédures médicales ou chirurgicales.

L'hémorragie postopératoire est une complication médicale qui se produit après une intervention chirurgicale, où il y a une perte excessive de sang due à un saignement continu ou prolongé à partir du site opératoire. Cela peut survenir immédiatement après la chirurgie (précoces, dans les 24 heures) ou jusqu'à quelques jours ou semaines plus tard (tardives).

Les hémorragies postopératoires précoces sont généralement dues à une mauvaise coagulation, des lésions vasculaires non identifiées pendant la procédure ou un faible nombre de plaquettes sanguines. D'un autre côté, les hémorragies postopératoires tardives peuvent être causées par une infection qui endommage les vaisseaux sanguins près du site opératoire, des troubles de la coagulation ou la prise d'anticoagulants.

Les symptômes incluent une baisse rapide de la pression artérielle, un pouls faible et rapide, une augmentation du rythme respiratoire, une peau pâle et moite, et des signes évidents de saignement tels que des ecchymoses autour du site opératoire ou la présence de sang dans les drains. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente mais peut inclure une transfusion sanguine, des médicaments pour favoriser la coagulation et éventuellement une nouvelle intervention chirurgicale pour arrêter le saignement.

La vitamine K est une vitamine liposoluble essentielle à l'organisme, qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine et la santé des os. Il existe deux types principaux de vitamine K dans notre alimentation : la vitamine K1 (phylloquinone), présente dans les légumes verts feuillus et certains autres aliments végétaux, et la vitamine K2 (ménaquinone), présente dans les produits d'origine animale et certains aliments fermentés.

La fonction principale de la vitamine K consiste à activer certaines protéines, appelées facteurs de coagulation, qui sont nécessaires pour former des caillots sanguins et arrêter les saignements. Parmi ces protéines, on compte le facteur II (prothrombine), le facteur VII, le facteur IX et le facteur X. Sans une quantité suffisante de vitamine K, notre sang ne peut pas coaguler correctement, ce qui peut entraîner des saignements excessifs et d'autres complications.

Outre son rôle dans la coagulation sanguine, la vitamine K est également importante pour la santé des os. Elle contribue à l'activation d'une protéine appelée ostéocalcine, qui aide à réguler le métabolisme du calcium dans les os et les dents. Des recherches récentes suggèrent que la vitamine K pourrait également jouer un rôle dans la prévention de certaines maladies chroniques, telles que l'ostéoporose et l'athérosclérose.

En général, une alimentation équilibrée fournit une quantité adéquate de vitamine K. Les carences en vitamine K sont rares, sauf chez les personnes souffrant de certaines affections médicales sous-jacentes ou prenant des médicaments qui interfèrent avec l'absorption de la vitamine K. Dans ces cas, un supplément de vitamine K peut être recommandé par un professionnel de santé.

Le Temps Céphaline-Kaolin (TCK) est un test de laboratoire utilisé en hématologie pour évaluer l'activité fonctionnelle des plaquettes sanguines et la coagulation. Ce test consiste à mesurer le temps nécessaire à la formation d'un caillot sanguin après l'ajout d'un activateur de coagulation, la céphaline, mélangée à du kaolin, qui favorise l'activation des facteurs de la coagulation. Un résultat anormalement élevé de TCK peut indiquer un trouble de la coagulation ou une thrombopénie (diminution du nombre de plaquettes sanguines). Ce test est souvent utilisé en combinaison avec d'autres tests de coagulation pour diagnostiquer et surveiller les troubles hémorragiques.

L'hémophilie A est une maladie héréditaire due à un déficit en facteur VIII de coagulation sanguine. Cette protéine joue un rôle crucial dans le processus de coagulation sanguine, permettant la formation d'un caillot pour arrêter le saignement après une blessure. Lorsqu'il y a un déficit en facteur VIII, les saignements peuvent être prolongés et plus difficiles à contrôler, entraînant des complications potentiellement graves.

Les symptômes de l'hémophilie A varient en fonction de la sévérité du déficit en facteur VIII. Les personnes atteintes d'une forme légère peuvent ne présenter des saignements excessifs qu'après une blessure grave ou une intervention chirurgicale, tandis que celles atteintes d'une forme sévère peuvent avoir des saignements spontanés dans les muscles et les articulations, entraînant des douleurs, des gonflements et des lésions articulaires permanentes.

Le diagnostic de l'hémophilie A repose sur des tests sanguins qui mesurent le taux de facteur VIII et la capacité de coagulation du sang. Le traitement consiste en une thérapie de remplacement du facteur VIII, qui peut être administrée par voie intraveineuse pour prévenir les saignements ou traiter ceux qui sont déjà en cours. La prévention des complications et la réadaptation sont également des aspects importants de la prise en charge de l'hémophilie A.

L'hémophilie B, également connue sous le nom de maladie de Christmas, est un trouble de la coagulation sanguine héréditaire et X-lié récessif. Il est causé par une mutation du gène F9 qui code pour le facteur IX, une protéine essentielle dans le processus de coagulation sanguine.

Les personnes atteintes d'hémophilie B ont des niveaux sévèrement réduits ou absents de facteur IX, ce qui entraîne des saignements prolongés et excessifs en réponse à une blessure, une intervention chirurgicale ou des hémorragies spontanées dans les articulations et les muscles. Les symptômes peuvent varier en fonction du niveau de facteur IX présent dans le sang, allant d'une forme légère avec des saignements mineurs à une forme sévère avec des saignements fréquents et graves.

Le diagnostic de l'hémophilie B est généralement posé par un test sanguin qui mesure les niveaux de facteur IX. Le traitement consiste en des perfusions régulières de concentrés de facteur IX pour prévenir et traiter les saignements. La gestion de l'hémophilie B nécessite également une surveillance médicale étroite, y compris des examens physiques réguliers et la planification d'activités physiques appropriées pour minimiser le risque de blessures et de saignements.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

Le facteur antihémophilique A (FVIII) est une protéine naturellement présente dans le sang qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Il est essentiel pour la formation d'un caillot sanguin adéquat en réponse à une lésion vasculaire. Les personnes atteintes d'hémophilie A ont un déficit en FVIII, ce qui entraîne des saignements prolongés et excessifs, même après des blessures mineures.

Le facteur antihémophilique A est souvent utilisé comme traitement de remplacement pour les personnes atteintes d'hémophilie A sévère ou modérée. Il peut être administré par voie intraveineuse pour aider à prévenir et à contrôler les saignements, y compris les hémorragies articulaires récurrentes qui peuvent entraîner des dommages articulaires permanents.

Le facteur antihémophilique A est généralement fabriqué à partir de sources humaines ou animales, bien que certaines formulations soient produites par génie génétique. Les préparations de FVIII doivent être purifiées et testées pour éliminer tout risque de transmission d'agents infectieux tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ou le virus de l'hépatite.

L'antithrombine III, également connue sous le nom d'heparin cofactor II, est une protéine plasmatique qui inhibe la coagulation sanguine. Elle fonctionne en se liant à la thrombine et à d'autres protéases de la coagulation, ce qui empêche ces enzymes de convertir le fibrinogène en fibrine, un composant clé du caillot sanguin.

L'antithrombine III est activée par l'héparine et d'autres glycosaminoglycanes, ce qui accélère sa capacité à inactiver les protéases de la coagulation. L'activation de l'antithrombine III par l'héparine est un mécanisme important pour prévenir la formation de caillots sanguins dans le corps.

Les déficits en antithrombine III peuvent augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire, deux complications graves de la coagulation sanguine. Les personnes atteintes de déficits congénitaux en antithrombine III peuvent recevoir des suppléments d'antithrombine III pour prévenir les épisodes thrombotiques.

Le facteur IX (facteur Christmas, selon sa dénomination anglaise) est une protéine plasmatique qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Il s'agit d'une enzyme à serine protéase synthétisée par le foie et active lorsqu'elle est liée au facteur VIIIa, à la surface des cellules endothéliales activées ou des plaquettes. Le complexe formé par le facteur IXa et le facteur VIIIa active ensuite le facteur X, ce qui déclenche une cascade d'événements aboutissant à la formation d'un caillot sanguin et l'arrêt de saignement.

Une déficience en facteur IX est responsable d'une maladie hémorragique congénitale, appelée hémophilie B, qui se caractérise par des épisodes de saignements spontanés ou provoqués, principalement au niveau des articulations et des muscles. Le diagnostic de l'hémophilie B repose sur le dosage du taux de facteur IX dans le plasma sanguin. Les traitements actuels consistent en des perfusions régulières de concentré de facteur IX pour prévenir les hémorragies et favoriser la guérison après une intervention chirurgicale ou un traumatisme.

La fléboctidine, également connue sous le nom de fléxoril et de flébogamma, est un médicament utilisé dans le traitement de la maladie d'Alzheimer. Il s'agit d'un inhibiteur de l'acétylcholinestérase, ce qui signifie qu'il empêche la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le cerveau. En augmentant les niveaux d'acétylcholine, la fléboctidine peut aider à améliorer la fonction cognitive et la mémoire chez certaines personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Le médicament est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et est généralement administré deux fois par jour. Les effets secondaires courants de la fléboctidine peuvent inclure des nausées, des vomissements, des diarrhées, des étourdissements et une perte d'appétit. Dans de rares cas, il peut également provoquer des convulsions, une augmentation du rythme cardiaque ou une pression artérielle basse.

Il est important de noter que la fléboctidine n'est pas un traitement curatif pour la maladie d'Alzheimer et qu'elle ne convient pas à tous les patients atteints de cette maladie. Avant de commencer à prendre ce médicament, il est important de consulter un médecin pour déterminer si cela est approprié et pour obtenir des instructions sur la posologie et l'utilisation correctes.

La fibrinolyse est un processus naturel dans le corps où des enzymes, appelées plasminogène et plasmine, décomposent les fibres de fibrine pour dissoudre les caillots sanguins. Ce mécanisme contribue à la fluidité du sang et empêche la formation excessive de caillots qui pourraient obstruer les vaisseaux sanguins. Dans un contexte médical, la fibrinolyse peut également faire référence à l'utilisation thérapeutique d'agents pharmacologiques, tels que l'alteplase (Activase), pour dissoudre les caillots sanguins dans des conditions telles qu'un infarctus du myocarde aigu ou un accident vasculaire cérébral. Ces médicaments imitent l'action de la plasmine et favorisent la dégradation de la fibrine, facilitant ainsi la reperméabilisation des vaisseaux sanguins obstrués.

La thrombine, également connue sous le nom de factor IIa, est une enzyme essentielle dans la coagulation sanguine. Elle est produite à partir d'un précurseur inactif, la prothrombine, par l'action de la factor Xa en présence de calcium et de phospholipides sur les membranes cellulaires.

La thrombine convertit le fibrinogène, une protéine plasmatique, en fibrine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin (thrombus). En plus de son rôle dans la coagulation, la thrombine peut également activer certaines cellules et stimuler l'inflammation, contribuant ainsi à la réponse globale de l'organisme aux lésions tissulaires. Un déséquilibre ou une dysfonction de la cascade de coagulation, y compris la production excessive ou insuffisante de thrombine, peuvent entraîner des troubles de la coagulation sanguine, tels que la thrombose (coagulation excessive) ou l'hémorragie (saignement excessif).

Un antigène est une substance étrangère à l'organisme qui, lorsqu'elle est reconnue par le système immunitaire, peut déclencher une réponse immunitaire. Les antigènes sont souvent des protéines ou des polysaccharides complexes trouvés à la surface de bactéries, de virus, de parasites, de champignons et d'autres cellules étrangères. Ils peuvent également provenir de cellules cancéreuses ou de transplantations d'organes.

Les antigènes sont composés d'épitopes, qui sont des régions spécifiques de la molécule qui sont reconnues par les récepteurs des lymphocytes T et B. Les lymphocytes T peuvent détecter et répondre aux antigènes présentés sur la surface des cellules présentant l'antigène (CPA), tandis que les lymphocytes B produisent des anticorps qui se lient spécifiquement aux antigènes dans le sang et les fluides corporels.

Les antigènes sont classés en deux catégories principales : les antigènes T-dépendants et les antigènes T-indépendants. Les antigènes T-dépendants nécessitent la présentation par des cellules présentant l'antigène (CPA) pour activer une réponse immunitaire adaptative, tandis que les antigènes T-indépendants peuvent stimuler une réponse immunitaire innée sans la participation des lymphocytes T.

La reconnaissance et la réponse aux antigènes sont des processus complexes qui impliquent de nombreux types de cellules et de molécules du système immunitaire, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les cellules présentant l'antigène (CPA), les cytokines et les chimiotactiques. La compréhension des antigènes et de la façon dont ils sont reconnus et traités par le système immunitaire est essentielle pour développer des vaccins et des thérapies pour prévenir et traiter les maladies infectieuses, les cancers et d'autres affections.

L'acide carboxy-1 glutamique, également connu sous le nom de 5-aminopentanoïque, est un acide aminé non protéinogénique. Cela signifie qu'il n'est pas utilisé dans la synthèse des protéines. Contrairement aux acides aminés protéinogéniques, qui ont tous un groupe amino (NH2) à une extrémité et un groupe carboxyle (COOH) à l'autre, les acides aminés non protéinogéniques peuvent avoir des structures chimiques différentes.

Dans le cas de l'acide carboxy-1 glutamique, il a un groupe carboxyle supplémentaire (-COOH) à côté du groupe amino standard (-NH2). Cette structure unique lui confère des propriétés chimiques et physiologiques différentes de celles des acides aminés protéinogéniques.

Bien que l'acide carboxy-1 glutamique ne soit pas utilisé dans la synthèse des protéines, il joue un rôle important dans divers processus biochimiques dans le corps. Par exemple, il est un intermédiaire clé dans le cycle de l'acide citrique, qui est une voie métabolique centrale pour la production d'énergie dans les cellules. Il est également utilisé dans la synthèse de certaines vitamines et coenzymes.

En médecine, l'acide carboxy-1 glutamique n'est pas couramment utilisé comme médicament ou thérapie. Cependant, il peut être utilisé en recherche pour étudier des processus biochimiques spécifiques et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

La thromboélastographie est une méthode de laboratoire utilisée pour évaluer la coagulation sanguine en imitant la formation d'un caillot sanguin (thrombus) dans un échantillon de sang. Cette technique permet de mesurer la force et la vitesse de la formation du caillot ainsi que sa dissolution, offrant une vue d'ensemble plus complète et dynamique des différents stades de la coagulation sanguine par rapport aux tests traditionnels qui ne mesurent qu'un seul aspect de ce processus complexe.

La thromboélastographie est souvent utilisée en peropératoire (pendant une intervention chirurgicale) ou en soins intensifs pour surveiller l'effet des médicaments anticoagulants et guider leur administration, ainsi que pour détecter et évaluer les troubles de la coagulation sanguine. Elle peut également être utile dans le cadre de la médecine transfusionnelle pour optimiser la gestion des produits sanguins labiles.

Il existe deux principaux types de thromboélastographie : la thromboélastographie classique (TEG) et la thromboélastométrie (ROTEM). Bien que les méthodes d'analyse soient différentes, elles visent toutes deux à fournir des informations sur le processus de coagulation sanguine dans son ensemble.

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Troubles héréditaires rares de la coagulation - Létiologie, la physiopathologie, les symptômes, les signes, les diagnostics et les pronostics à partir des Manuels MSD, version pour professionnels de la santé.
  • La vitamine K1 est un facteur indispensable à la synthèse hépatique de plusieurs facteurs de la coagulation (prothrombine, proconvertine, facteur antihémophilique B, facteur de Stuart, protéines C et S). (medzai.net)
  • Phénindione (n. m.) : c'est un anticoagulant et un antivitamine K puissant qui agit sur certains facteurs de la coagulation : prothrombine (facteur II), proconvertine (VII), facteur antihémophilique B (IX) et facteur Stuart (X). Ce produit est utilisé dans le traitement de la maladie thromboembolique. (dictionnaire-medical.net)
  • Proconvertine Hétérodimère de facteur VIIa humain (PDB 1KLJ) La proconvertine ou facteur VII est un facteur de la coagulation. (wikipedia.org)
  • Le déficit constitutionnel en proconvertine appelé déficit congénital en facteur VII est rare. (wikipedia.org)

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