Clinique ou les indicateurs physiologiques qui précède le début de maladie.
Un trouble de la personnalité dans lequel il y a des curiosités de pensée (idée paranoïaque pensée magique, une suspicion inhabituelle), perception (illusions, dépersonnalisation), un discours (digressive, vague et overelaborate), et le comportement (genre d'effet inapproprié dans les interactions sociales, fréquemment isolation sociale) qui ne sont pas assez sévère pour caractériser la schizophrénie.
Nerveux dans lequel il y a une perte d'un énorme ego limites ou l ’ altération de la vérifier avec la folie ou éminent hallucinations. (De diagnostiques du DSM-IV, 1994)
Perte de connaissance due à une réduction de la pression artérielle associée à une augmentation du tonus vagal et induisent une vasodilatation périphérique.
Procédures standards utilisant échelles ou interview horaires du personnel de santé pour évaluer le degré de maladie mentale.
Un sévère désordre émotionnel de psychotique profondeur typiquement marquée par une retraite de la réalité avec illusion formation, hallucinations, la dissonance émotionnelle, comportement et de régression.
Un test de diagnostic et fortement accepté standard utilisé pour identifier les patients qui ont des vasodepressive et / ou réponse cardioinhibitory comme cause de syncope. (De Braunwald, Cardiaque au 7 e)
L'arrêt brutal de toutes les fonctions corporelles vitales se manifestant par la perte totale de cérébrale totale et fonctions cardiovasculaires, respiratoires,.
Étude de processus mentaux et le comportement de schizophrènes.
Le retour d'un signe ou symptôme, la maladie après une rémission.
Un aspect de comportement personnel ou de style de vie, environnement, ou innée ou hérité caractéristique, qui, sur la base de preuves epidemiologic, est connu pour être associée à un important d'empêcher la maladie envisagée.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.

Les symptômes prodromiques sont des signes ou des symptômes avant-coureurs qui peuvent indiquer qu'une personne va développer une maladie, un trouble ou une crise particulière. Ces symptômes peuvent être physiques, cognitifs ou émotionnels et peuvent varier en fonction de la condition sous-jacente.

Dans certains cas, les symptômes prodromiques peuvent être subtils et facilement ignorés ou attribués à d'autres causes. Cependant, ils peuvent également être assez graves pour affecter considérablement la fonction quotidienne d'une personne.

Par exemple, dans la schizophrénie, les symptômes prodromiques peuvent inclure des changements de comportement, des difficultés de concentration, une diminution de la motivation et des expériences sensorielles inhabituelles. Dans l'épilepsie, les symptômes prodromiques peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des étourdissements ou des changements d'humeur avant une crise.

Il est important de noter que la présence de symptômes prodromiques ne signifie pas nécessairement qu'une personne développera définitivement une condition donnée. Cependant, si quelqu'un remarque des symptômes prodromiques persistants ou inexpliqués, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour une évaluation et des soins appropriés.

Le trouble de la personnalité schizotypique est un trouble mental caractérisé par une large gamme de symptômes qui ressemblent à ceux observés dans la schizophrénie, mais sont généralement moins sévères. Il s'agit d'un trouble de la personnalité dans lequel les individus ont des difficultés significatives dans leurs relations sociales et présentent souvent des anomalies cognitives et perceptuelles.

Les symptômes peuvent inclure des distorsions cognitives, comme des idées de référence (croire que des événements ou des commentaires sans rapport avec vous ont un sens caché pour vous), une pensée magique (croire que vos pensées ou actions peuvent influencer les événements), et une pensée désorganisée ou circulaire.

Les personnes atteintes de ce trouble peuvent également présenter des anomalies perceptuelles, comme des illusions sensorielles (voir ou entendre quelque chose qui n'est pas réellement là, mais qui est moins sévère qu'une hallucination), et une forte anxiété sociale accompagnée d'un isolement volontaire.

Elles peuvent également avoir des difficultés à établir des relations interpersonnelles étroites en raison de leur manque d'expressivité émotionnelle et de leur comportement étrange ou excentrique. Ces symptômes doivent être présents depuis l'adolescence ou le début de l'âge adulte et entraîner une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou autre.

Les troubles psychotiques sont un groupe de maladies mentales graves qui affectent la pensée, la perception, l'émotion, le comportement et la cognition. Les symptômes les plus courants comprennent des hallucinations (perceptions sensorielles sans stimulus externe correspondant), des délires (croyances fermement ancrées qui sont clairement fausses et ne sont pas partagées par les autres), un discours désorganisé ou incohérent, un comportement désorganisé ou catatonique, et une absence ou une diminution marquée de la capacité à initier ou à poursuivre des activités goal-directed.

Ces symptômes peuvent être continus ou intermittents, et ils peuvent varier en intensité. Les troubles psychotiques comprennent la schizophrénie, le trouble schizo-affectif, le trouble de la personnalité schizotypique, le trouble délirant, la psychose due à une maladie médicale générale, la substance/médicament induite psychose et d'autres troubles psychotiques spécifiés et non spécifiés.

Les causes des troubles psychotiques sont multiples et comprennent souvent une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux et neurodéveloppementaux. Le traitement peut inclure une combinaison de médicaments antipsychotiques, de thérapies psychosociales et de soutiens communautaires pour aider à gérer les symptômes et améliorer la fonctionnement global.

La syncope vagale, également connue sous le nom de syncope neurocardiogénique ou vasovagale, est un type courant de syncope (évanouissement ou perte de conscience soudaine) causée par une réponse excessive du système nerveux parasympathique. Cela entraîne une bradycardie (rythme cardiaque lent), une hypotension (pression artérielle basse) et une diminution du flux sanguin vers le cerveau.

Les déclencheurs courants de la syncope vagale comprennent des situations stressantes émotionnellement ou physiquement, comme se lever rapidement, rester longtemps dans une position debout, subir un traumatisme, recevoir une mauvaise nouvelle ou être exposé à des stimuli désagréables tels que la vue du sang.

Les symptômes précurseurs de la syncope vagale peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des sueurs, des palpitations, une vision trouble et un sentiment de chaleur ou de froid. Une personne qui fait l'expérience d'une syncope vagale s'évanouit généralement brièvement et se rétablit rapidement après avoir été allongée. Dans certains cas, des soins médicaux peuvent être nécessaires pour prévenir les complications, telles que des lésions causées par une chute pendant l'évanouissement.

Il est important de noter qu'une syncope vagale peut ressembler à d'autres types de syncopes et devrait être évaluée par un professionnel de la santé pour déterminer la cause sous-jacente et recommander un traitement approprié.

Les Psychiatric Status Rating Scales (Échelles d'évaluation du statut psychiatrique) sont des outils structurés et standardisés utilisés par les professionnels de la santé mentale pour évaluer et mesurer la gravité, la sévérité et l'évolution des symptômes psychopathologiques chez les patients atteints de troubles mentaux. Ces échelles fournissent une estimation fiable et valide de la condition clinique actuelle du patient, ce qui permet une communication plus efficace entre les prestataires de soins de santé mentale et facilite la prise de décision concernant le plan de traitement, l'adaptation des interventions thérapeutiques et le suivi des progrès.

Les échelles d'évaluation du statut psychiatrique peuvent couvrir une variété de domaines cliniques, tels que les symptômes psychotiques, affectifs, cognitifs, comportementaux et fonctionnels. Les exemples courants incluent la Global Assessment of Functioning (GAF) Scale, la Brief Psychiatric Rating Scale (BPRS), la Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) pour la schizophrénie, le Hamilton Anxiety Rating Scale (HAM-A) et le Montgomery-Åsberg Depression Rating Scale (MADRS). Chaque échelle a ses propres critères d'évaluation et scores normalisés, ce qui permet de comparer les résultats au fil du temps et entre différents groupes de patients.

L'utilisation régulière des Psychiatric Status Rating Scales dans la pratique clinique peut améliorer la qualité des soins en assurant une évaluation systématique et complète des patients, en facilitant la documentation des progrès thérapeutiques et en soutenant la recherche de l'efficacité des interventions.

La schizophrénie est un trouble mental sérieux et complexe qui affecte la pensée, les émotions, et le comportement d'une personne. Elle se caractérise généralement par une perte de contact avec la réalité (psychose), des hallucinations (généralement auditives), des délires, un discours désorganisé, des mouvements anormaux, un manque d'expression émotionnelle, et une diminution de la motivation et du plaisir (anhédonie). Ces symptômes peuvent entraver la capacité d'une personne à fonctionner normalement dans la société, au travail, ou dans les relations interpersonnelles.

La schizophrénie est souvent considérée comme un spectre de troubles, ce qui signifie que les symptômes et leur gravité peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Elle touche environ 1% de la population mondiale et peut affecter les hommes et les femmes de tous âges, bien qu'elle se manifeste le plus souvent à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.

Bien que la cause exacte de la schizophrénie ne soit pas entièrement comprise, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux et neurologiques. Il n'existe actuellement aucun test diagnostique unique pour la schizophrénie, et le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, des antécédents familiaux, des observations comportementales et des tests de laboratoire pour exclure d'autres causes potentielles.

Le traitement de la schizophrénie implique généralement une combinaison de médicaments antipsychotiques, de thérapies psychosociales et de soutien par les pairs ou familial. Avec un traitement et des soins appropriés, de nombreuses personnes atteintes de schizophrénie peuvent mener une vie productive et épanouissante.

Un test d'inclinaison, également connu sous le nom de test de Trendelenburg, est un examen couramment utilisé en médecine et en chirurgie pour évaluer la fonction des systèmes cardiovasculaire et nerveux autonome. Il est généralement effectué en positionnant le patient sur une table d'examen inclinable, puis en modifiant l'angle d'inclinaison de manière à provoquer une redistribution du sang dans le corps.

Au cours du test, le médecin observe les réponses physiologiques du patient, telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la respiration. Les changements de position peuvent entraîner des modifications de ces paramètres, ce qui peut aider à diagnostiquer diverses affections, telles que l'hypotension orthostatique, les troubles autonomes ou les maladies cardiovasculaires.

Par exemple, lorsqu'un patient est incliné vers le haut, la gravité entraîne une augmentation du volume sanguin dans la partie supérieure du corps, ce qui peut provoquer une baisse de la pression artérielle et une tachycardie compensatoire. Si ces réponses sont excessives ou insuffisantes, cela peut indiquer un dysfonctionnement du système nerveux autonome.

Il existe différentes variantes du test d'inclinaison, qui peuvent être effectuées avec ou sans mesures de la pression veineuse centrale ou de l'oxygénation cérébrale. Le choix de la méthode dépend des antécédents médicaux du patient et des objectifs spécifiques du test.

La mort subite est un décès soudain et inattendu, généralement survenant dans les heures qui suivent l'apparition des symptômes ou au cours d'une activité apparemment sans danger. Dans la plupart des cas, elle est causée par une insuffisance cardiaque aiguë due à des arythmies ventriculaires malignes, telles que la fibrillation ventriculaire ou la torsade de pointes. Cependant, d'autres causes peuvent également être à l'origine d'une mort subite, notamment un infarctus du myocarde massif, une embolie pulmonaire massive, une hypertension maligne, une rupture aortique ou certaines maladies neurologiques.

Il est important de noter que la mort subite ne doit pas être confondue avec le décès soudain d'une personne qui était précédemment en bonne santé et n'avait aucun antécédent médical connu. Ce dernier scénario peut également être qualifié de décès subit, mais il ne relève pas nécessairement de la définition strictement médicale de la mort subite.

En outre, il existe des différences entre la mort subite cardiaque et la mort subite d'origine non cardiaque. La première est spécifiquement liée à des troubles cardiovasculaires, tandis que la seconde peut être due à une variété de causes, y compris respiratoires, neurologiques, infectieuses ou autres.

Dans le domaine médical, la mort subite fait souvent référence à la mort subite cardiaque, qui est un problème de santé publique majeur et la principale cause de décès chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Des stratégies de prévention et de traitement sont mises en œuvre pour tenter de réduire le risque de mort subite, telles que l'utilisation d'un défibrillateur automatisé externe (DAE) et la mise en place de programmes de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) dans les lieux publics.

La psychologie des schizophrènes se réfère à l'étude et la compréhension du fonctionnement cognitif, affectif et comportemental des personnes atteintes de schizophrénie. Il s'agit d'une branche spécialisée de la psychopathologie qui vise à décrire, expliquer et prédire les symptômes et le cours de la schizophrénie.

Les schizophrènes présentent souvent des difficultés dans divers domaines cognitifs, tels que la mémoire, l'attention, la perception, le langage et les fonctions exécutives. Ils peuvent également présenter des anomalies dans la régulation émotionnelle et la théorie de l'esprit, ce qui peut entraver leur capacité à comprendre et à répondre aux situations sociales.

Les psychologues des schizophrènes utilisent une variété de méthodes d'évaluation et d'intervention pour comprendre et traiter la schizophrénie. Ces méthodes peuvent inclure des entretiens cliniques, des tests neuropsychologiques, des observations comportementales, des évaluations fonctionnelles et des interventions thérapeutiques telles que la thérapie cognitivo-comportementale et la réhabilitation sociale.

L'objectif global de la psychologie des schizophrènes est d'améliorer la compréhension de la schizophrénie, de développer des interventions efficaces pour améliorer les symptômes et le fonctionnement des personnes atteintes de schizophrénie, et d'améliorer la qualité de vie des personnes touchées par cette maladie complexe et débilitante.

En termes médicaux, une récidive est la réapparition des symptômes ou signes d'une maladie après une période de rémission ou d'amélioration. Cela indique que la maladie, souvent une maladie chronique ou un trouble de santé, n'a pas été complètement éradiquée et qu'elle est revenue après un certain temps. La récidive peut se produire dans divers domaines de la médecine, y compris l'oncologie (cancer), la neurologie, la psychiatrie et d'autres spécialités.

Dans le contexte du cancer, une récidive est définie comme la réapparition de la maladie dans la même région où elle a été initialement diagnostiquée (récidive locale) ou dans une autre partie du corps (récidive à distance ou métastase). Les taux de récidive et le moment où elles se produisent peuvent varier en fonction du type de cancer, du stade au moment du diagnostic, du traitement initial et d'autres facteurs pronostiques.

Il est important de noter que la détection précoce des récidives peut améliorer les résultats thérapeutiques et la prise en charge globale du patient. Par conséquent, un suivi régulier et des examens de contrôle sont essentiels pour surveiller l'évolution de la maladie et détecter rapidement toute récidive éventuelle.

En termes médicaux, un facteur de risque est défini comme toute caractéristique ou exposition qui augmente la probabilité de développer une maladie ou une condition particulière. Il peut s'agir d'un trait, d'une habitude, d'une substance, d'une exposition environnementale ou d'un autre facteur qui, selon les recherches et les études épidémiologiques, accroît la susceptibilité d'un individu à contracter une maladie.

Il est important de noter que le fait d'avoir un facteur de risque ne signifie pas qu'une personne contractera certainement la maladie en question. Cependant, cela indique simplement qu'elle a une probabilité plus élevée de développer cette maladie par rapport à quelqu'un qui n'a pas ce facteur de risque.

Les facteurs de risque peuvent être modifiables ou non modifiables. Les facteurs de risque modifiables sont ceux que l'on peut changer grâce à des interventions, comme l'arrêt du tabac pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires et certains cancers. D'un autre côté, les facteurs de risque non modifiables sont ceux qui ne peuvent pas être changés, tels que l'âge, le sexe ou les antécédents familiaux de certaines maladies.

Dans la pratique clinique, l'identification des facteurs de risque permet aux professionnels de la santé d'évaluer et de gérer plus efficacement la santé des patients en mettant en œuvre des stratégies de prévention et de gestion des maladies ciblées pour réduire le fardeau de la morbidité et de la mortalité.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Frequency, timing, and type of prodromal symptoms associated with hereditary angio-oedema attacks » Allergy Asthma Proc. 2009; ...
medial temporal type identies prodromal AD: a longitudinal. study. Neurology 2007;69:185967.. [23] Adam S, Van der Linden M, ... tests are clearly memory tests, early markers of symptoms. Episodic memory is at best evaluated by registration controlled ... early diagnosis of Alzheimers disease has become possible thanks to better knowledge of the neuropsychology of early symptoms. ...
en) Antti Mustonenet al., Adolescent cannabis use, baseline prodromal symptoms and the risk of psychosis, 2018 DOI 10.1192/bjp. ...
Prodromal Symptoms Descripteur en espagnol: Síntomas Prodrómicos Espagnol dEspagne Descripteur. síntomas prodrómicos. ...
The clinical symptoms of Parkinsons disease. », Journal of Neurochemistry, vol. 139,‎ octobre 2016. , p. 318-324 (DOI 10.1111/ ... Functional Impairment in Individuals With Prodromal or Unrecognized Parkinson Disease. », JAMA Neurology, American Medical ... Are dysautonomic and sensory symptoms present in early Parkinsons disease?. », Acta Neurol Scand., Suppl., no 190,‎ 2010. , p. ... Effect of High-Intensity Treadmill Exercise on Motor Symptoms in Patients With De Novo Parkinson Disease. », JAMA Neurology,‎ ...

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