Protéines Associées Au Surfactant Pulmonaire
Protéolipide
Surfactants Pulmonaires
Protéine A Associée Au Surfactant Pulmonaire
Protéine C Associée Au Surfactant Pulmonaire
Protéine B Associée Au Surfactant Pulmonaire
Protéine D Associée Au Surfactant Pulmonaire
1,2-Dipalmitoylphosphatidylcholine
Alvéoles Pulmonaires
Liquide De Lavage Bronchoalvéolaire
Les protéines associées au surfactant pulmonaire, également connues sous le nom de "PAS" (pour "Pulmonary Surfactant-Associated Proteins"), sont un groupe de protéines qui se trouvent dans les liquides du poumon et sont étroitement liées à la fonction du surfactant pulmonaire. Le surfactant pulmonaire est une substance complexe composée de lipides et de protéines qui réduit la tension superficielle des alvéoles pulmonaires, facilite la respiration et protège les poumons contre les lésions.
Les PAS sont divisées en deux catégories principales : les protéines hydrophiles et les protéines hydrophobes. Les protéines hydrophiles comprennent les protéines de liaison aux phospholipides (SP-A, SP-D) et la protéine de régulation du surfactant (SP-B), tandis que les protéines hydrophobes comprennent la protéine de structure du surfactant (SP-C).
Les protéines associées au surfactant pulmonaire jouent un rôle crucial dans la fonction pulmonaire en aidant à maintenir l'homéostasie des poumons, en régulant l'inflammation et l'immunité, et en participant à la réparation des dommages tissulaires. Les anomalies dans les gènes codant pour ces protéines peuvent entraîner des maladies pulmonaires graves telles que la fibrose kystique, la mucoviscidose et la dysplasie bronchopulmonaire. Par conséquent, une meilleure compréhension de la structure et de la fonction de ces protéines peut fournir des informations importantes pour le diagnostic et le traitement des maladies pulmonaires.
Les protéolipides sont des composés complexes qui comportent à la fois des protéines et des lipides. Ils se trouvent dans les membranes cellulaires, en particulier dans le système nerveux central, où ils jouent un rôle important dans la structure et la fonction des neurones. Les protéolipides sont également associés aux maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.
Dans les membranes cellulaires, les protéolipides forment des domaines spécifiques appelés radeaux lipidiques, qui sont enrichis en certaines protéines et lipides et qui participent à divers processus cellulaires tels que la signalisation cellulaire, l'endocytose et le trafic membranaire.
Les protéolipides sont difficiles à étudier en raison de leur nature complexe et hétérogène. Cependant, des techniques telles que la spectrométrie de masse et la microscopie électronique peuvent être utilisées pour les identifier et caractériser leurs propriétés structurales et fonctionnelles.
Il est important de noter qu'il existe une certaine confusion dans la littérature scientifique concernant la définition exacte des protéolipides, certains chercheurs les définissant comme des complexes protéine-lipide stables, tandis que d'autres utilisent le terme pour décrire des assemblages plus transitoires et dynamiques.
Les surfactants pulmonaires sont des mélanges complexes de lipides et de protéines qui recouvrent la surface des alvéoles dans les poumons. Ils sont sécrétés par les pneumocytes de type II, qui sont des cellules spécialisées dans les parois des alvéoles.
Le surfactant pulmonaire a plusieurs fonctions importantes:
1. Il réduit la tension superficielle à l'intérieur des alvéoles, ce qui permet aux poumons de se gonfler plus facilement et empêche les alvéoles de s'effondrer lors de l'expiration.
2. Il protège les poumons contre les infections et l'inflammation en facilitant la clearance des agents pathogènes et des particules étrangères.
3. Il favorise la réparation et la régénération des tissus pulmonaires endommagés.
Un déficit ou une dysfonction du surfactant pulmonaire peut entraîner des maladies respiratoires graves, telles que la maladie des membranes hyalines chez les prématurés, qui est caractérisée par une insuffisance respiratoire et un collapsus alvéolaire. Des traitements de remplacement du surfactant sont disponibles pour aider à prévenir ou à traiter ces conditions.
La protéine A associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-A (de l'anglais Surfactant Protein A), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, qui sont produites par les cellules épithéliales alvéolaires de type II et qui réduisent la tension superficielle dans les alvéoles pulmonaires pour faciliter la respiration.
La SP-A est une protéine de la famille des lectines de type C, ce qui signifie qu'elle peut se lier à certains sucres spécifiques sur les surfaces cellulaires. Cette capacité lui permet de jouer un rôle crucial dans la défense immunitaire pulmonaire en reconnaissant et en facilitant l'élimination des agents pathogènes, telles que les bactéries et les virus, qui pénètrent dans les poumons.
La SP-A contribue également à la régulation de l'inflammation pulmonaire en modulant la réponse immunitaire et en favorisant la résolution des processus inflammatoires. Des anomalies dans la production ou la fonction de la SP-A ont été associées à diverses affections pulmonaires, telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), l'asthme et la fibrose pulmonaire idiopathique.
La protéine C associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-C (pour Surfactant Protein C), est une petite protéine hydrophobe qui se trouve dans les poumons. Elle fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, avec la protéine SP-A, SP-B et SP-D.
La protéine SP-C joue un rôle crucial dans la réduction de la tension superficielle dans les alvéoles pulmonaires, ce qui permet une expansion et une contraction efficaces des poumons lors de la respiration. Elle contribue également à l'immunité pulmonaire en aidant à éliminer les agents pathogènes et les particules nocives qui pénètrent dans les poumons.
Les mutations du gène codant pour la protéine SP-C peuvent entraîner des maladies pulmonaires héréditaires, telles que la fibrose pulmonaire familiale et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). De plus, une production insuffisante de SP-C a été associée à des maladies pulmonaires acquises, telles que la pneumonie et l'insuffisance respiratoire aiguë.
La protéine B associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-B (pour Surfactant Protein B en anglais), est une petite protéine hydrophobe qui se trouve dans les poumons. Elle est produite par les cellules alvéolaires de type II et fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, avec la SP-A, SP-C et SP-D.
Le surfactant pulmonaire est un mélange complexe de lipides et de protéines qui recouvre la surface des alvéoles pulmonaires et permet une respiration efficace en réduisant la tension superficielle à l'interface air-liquide. La SP-B joue un rôle crucial dans la formation et la stabilisation du surfactant pulmonaire, ainsi que dans sa distribution uniforme sur la surface des alvéoles.
La SP-B facilite l'adsorption et la diffusion des lipides du surfactant à la surface des alvéoles, ce qui permet de maintenir une tension superficielle basse et d'éviter leur collapsus lors de l'expiration. Des mutations ou des défauts dans la production de SP-B peuvent entraîner une maladie rare appelée déficit congénital en protéine B associée au surfactant pulmonaire, qui se caractérise par une insuffisance respiratoire sévère et souvent fatale chez les nouveau-nés.
La protéine D associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-D (de l'anglais Surfactant Protein D), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines de la famille des collectines, qui sont des protéines de reconnaissance des pathogènes.
La SP-D se lie à divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les champignons, ainsi qu'à des particules inertes telles que les poussières et les allergènes. Ce faisant, elle aide à prévenir l'infection et l'inflammation pulmonaires en favorisant la clairance des agents pathogènes et des particules par les macrophages alvéolaires.
La SP-D est produite principalement par les pneumocytes de type II, qui sont des cellules situées à la surface des alvéoles pulmonaires. Elle se trouve dans le surfactant pulmonaire, un mélange de lipides et de protéines qui tapisse l'intérieur des alvéoles et facilite la respiration en réduisant la tension superficielle.
Des niveaux anormalement bas ou élevés de SP-D ont été associés à diverses maladies pulmonaires, telles que la fibrose pulmonaire, l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et la mucoviscidose. Par conséquent, la SP-D est considérée comme un biomarqueur potentiel pour le diagnostic et le suivi de ces maladies.
La 1,2-dipalmitoylphosphatidylcholine (DPPC) est un type spécifique de phospholipide qui est une composante majeure des membranes cellulaires. Il s'agit d'un phospholipide saturé composé d'acides palmitiques et de choline, ce qui en fait un composant important des poumons et d'autres tissus corporels.
Dans les poumons, la DPPC est un élément clé du surfactant pulmonaire, une substance qui tapisse l'intérieur des alvéoles pulmonaires et permet de réduire la tension superficielle lors de la respiration. Le surfactant pulmonaire est essentiel pour maintenir la fonction pulmonaire normale et prévenir les maladies pulmonaires telles que la détresse respiratoire aiguë (DRA).
La DPPC est également utilisée dans la recherche médicale et biologique en raison de ses propriétés uniques, notamment sa capacité à former des membranes stables et à s'auto-assembler en vésicules lipidiques. Ces propriétés sont utiles pour l'étude des interactions entre les protéines et les membranes, la recherche sur les maladies infectieuses et d'autres domaines de la biologie cellulaire.
Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.
Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.
Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.
Les alvéoles pulmonaires sont de minuscules sacs en forme de boule situés dans les poumons où se produit l'échange de gaz entre l'air et le sang. Chaque alvéole est entourée d'un réseau dense de capillaires sanguins, ce qui permet à l'oxygène inspiré de passer des alvéoles dans le sang et au dioxyde de carbone expiré de passer du sang aux alvéoles.
Les parois des alvéoles sont recouvertes d'un liquide qui facilite la diffusion de l'oxygène et du dioxyde de carbone à travers les membranes. Les cellules présentes dans les parois des alvéoles, appelées pneumocytes, produisent une substance surfactante qui réduit la tension superficielle dans les alvéoles et empêche leur collapsus.
Les poumons contiennent environ 300 millions d'alvéoles pulmonaires, ce qui permet une grande surface d'échange de gaz, estimée à environ 70 mètres carrés. Les maladies pulmonaires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'emphysème et la fibrose pulmonaire peuvent endommager les alvéoles pulmonaires et entraver leur fonctionnement normal.
Le liquide de lavage bronchoalvéolaire (BALF) est une méthode de diagnostic utilisée en pneumologie pour évaluer l'état des voies respiratoires inférieures. Il s'agit d'un échantillon de liquide recueilli après avoir instillé et aspiré une solution saline stérile dans la bronche ou l'alvéole pulmonaire d'un patient.
Ce liquide contient des cellules, des protéines, des cytokines et d'autres composants qui peuvent aider à identifier la présence de diverses affections pulmonaires telles que les infections, l'inflammation, la fibrose pulmonaire, la pneumoconiosis, la maladie pulmonaire interstitielle et certains types de cancer du poumon.
L'analyse du BALF peut inclure le comptage des cellules, l'examen microscopique pour détecter la présence d'agents pathogènes ou de cellules anormales, ainsi que des tests chimiques et immunologiques pour évaluer les niveaux de divers marqueurs inflammatoires ou autres protéines.
Il est important de noter que le prélèvement de BALF nécessite une certaine expertise médicale et doit être effectué avec soin pour éviter d'endommager les tissus pulmonaires délicats.
Les glycoprotéines sont des molécules complexes qui combinent des protéines avec des oligosaccharides, c'est-à-dire des chaînes de sucres simples. Ces molécules sont largement répandues dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques.
Dans le corps humain, les glycoprotéines sont présentes à la surface de la membrane cellulaire où elles participent à la reconnaissance et à l'interaction entre les cellules. Elles peuvent aussi être sécrétées dans le sang et d'autres fluides corporels, où elles servent de transporteurs pour des hormones, des enzymes et d'autres molécules bioactives.
Les glycoprotéines sont également importantes dans le système immunitaire, où elles aident à identifier les agents pathogènes étrangers et à déclencher une réponse immune. De plus, certaines glycoprotéines sont des marqueurs de maladies spécifiques et peuvent être utilisées dans le diagnostic et le suivi des affections médicales.
La structure des glycoprotéines est hautement variable et dépend de la séquence d'acides aminés de la protéine sous-jacente ainsi que de la composition et de l'arrangement des sucres qui y sont attachés. Cette variabilité permet aux glycoprotéines de remplir une grande diversité de fonctions dans l'organisme.
Surfactant pulmonaire - Wikipedia
Syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né - Pédiatrie - Édition professionnelle du Manuel MSD
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évaluation des actes professionnels - CISMeF
Une analyse cellulaire multi-organe post-mortem - News Covid-19.info
Huitième mois de grossesse: symptômes et précautions
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Diagnostic et traitement de la fibrose pulmonaire ont été modifiés en 2011
Daptomycine - Maladies infectieuses - Édition professionnelle du Manuel MSD
Hypertension pulmonaire de l'enfant | Pédiatrie Pratique
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Diabète, pollution, poumons
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intoxication - CISMeF
Notamment3
- Le surfactant comporte aussi quelques autres phospholipides mineurs et des lipides neutres, notamment du cholestérol. (wikipedia.org)
- Les protéines A et D sont de grande taille, hydrophiles, et ont des fonctions multiples, notamment dans les mécanismes anti-microbiens. (wikipedia.org)
- Dans les poumons, TTF-1 est présent dans les cellules épithéliales (cellules alvéolaires de type II et cellules bronchiques) et régule notamment l'expression des protéines du surfactant A, B et C [ 2 ]. (medecinesciences.org)
Fonction2
- Le surfactant pulmonaire est indispensable à une fonction respiratoire normale. (wikipedia.org)
- Revue générale des troubles respiratoires périnataux D'importantes modifications physiologiques accompagnent la naissance (voir aussi Fonction pulmonaire néonatale), révélant parfois des pathologies fœtales qui ne posaient aucun problème pendant. (msdmanuals.com)
Immunitaires1
- On en retrouve aussi dans quelques cellules sanguines spécifiques, dont les cellules B. Les cellules porteuses du génome viral amorcent des programmes immunitaires spécifiques, mobilisés par l'émission des protéines TNF, API et certaines cytokines ( CXCL10, CXCL11) . (news-covid-19.info)
Poumon2
- Le déficit primitif en surfactant qui résulte de l'immaturité du poumon est la cause du syndrome de la maladie des membranes hyalines ou détresse respiratoire idiopathique du nouveau-né prématuré. (wikipedia.org)
- La protéine C, la plus hydrophobe des protéines connues, est totalement spécifique du poumon et des pneumocytes de type 2 (voir ci-dessous, Source), contrairement aux autres constituants du surfactant pulmonaire qu'on trouve aussi dans d'autres organes (oreille moyenne, articulations, tube digestif, plèvres et péritoine) où ils constituent des revêtements de type surfactant. (wikipedia.org)
Naissance1
- Le surfactant pulmonaire s'accumule en effet en fin de grossesse en préparation à la naissance. (wikipedia.org)
Cellules1
- Par ailleurs, une expression ectopique de TTF-1 dans les NIH3T3 (fibroblastes murins) semble activer l'expression de nestine, protéine des filaments intermédiaires présente dans les cellules souches neuroépithéliales, identifiant ainsi le gène codant la nestine comme gène cible de TTF-1 spécifique du système nerveux central. (medecinesciences.org)
Voir3
- La réduction de la tension superficielle facilite l'expansion des alvéoles à l'inspiration et les maintient ouvertes pendant l'expiration (voir compliance pulmonaire). (wikipedia.org)
- Non seulement la quantité de surfactant augmente, mais sa composition évolue, le dernier constituant à apparaître étant un phospholipide exclusivement présent dans le surfactant, le phosphatidylglycérol (voir paragraphe suivant). (wikipedia.org)
- il interagit spécifiquement avec la protéine B du surfactant (voir ci-dessous). (wikipedia.org)
Organes2
- La protéine C, la plus hydrophobe des protéines connues, est totalement spécifique du poumon et des pneumocytes de type 2 (voir ci-dessous, Source), contrairement aux autres constituants du surfactant pulmonaire qu'on trouve aussi dans d'autres organes (oreille moyenne, articulations, tube digestif, plèvres et péritoine) où ils constituent des revêtements de type surfactant. (wikipedia.org)
- une cyanose, une érythrocytose secondaire et une atteinte de plusieurs organes sont généralement associées. (pediatrie-pratique.com)
Idiopathique5
- Le déficit primitif en surfactant qui résulte de l'immaturité du poumon est la cause du syndrome de la maladie des membranes hyalines ou détresse respiratoire idiopathique du nouveau-né prématuré. (wikipedia.org)
- Lyon, France - « Depuis 2011, les pneumologues disposent de recommandations internationales [ 1 ] pour le diagnostic et le traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique. (medscape.com)
- Le diagnostic de la fibrose pulmonaire idiopathique nécessite l'exclusion d'autres formes cliniques de pneumopathies interstitielles : pneumopathie interstitielle idiopathique, maladies interstitielles pulmonaires associées à une exposition environnementale ou médicamenteuse et maladies systémiques. (medscape.com)
- Le diagnostic de fibrose pulmonaire idiopathique, en particulier au stade précoce, prend une importance concrète avec le développement de médicaments actifs sur la progression de la maladie, même si la transplantation est actuellement le seul traitement qui a prouvé son effet sur la survie. (medscape.com)
- Pour cet organisme, « il n'est pas recommandé de débuter une trithérapie en cas de diagnostic de fibrose pulmonaire idiopathique. (medscape.com)
Proteins1
- Proteins found in the LUNG that act as PULMONARY SURFACTANTS. (bvsalud.org)
Pneumologie1
- Cette pathologie qui longtemps a été incluse dans les pneumopathies interstitielles non spécifiques est désormais reconnue et des traitements sont proposés pour tenter de limiter son évolution particulièrement sombre », explique le Dr Jean-François Cordier (CHU Lyon) en préambule de deux communications consacrées à l'actualité de la fibrose pulmonaire à l'occasion du 16e Congrès de Pneumologie de Langue Française [ 2 ] . (medscape.com)
Chronique2
- La fibrose pulmonaire se présente sous la forme d'une dyspnée d'effort chronique et inexpliquée associée à une toux non-productive. (medscape.com)
- L'utilisation chronique peut entraîner une pneumonie réversible avec des infiltrats pulmonaires à éosinophiles, vraisemblablement parce que la daptomycine se lie au surfactant pulmonaire et ainsi s'accumule dans les espaces alvéolaires. (msdmanuals.com)
D'autres1
- Néanmoins, une rhabdomyolyse a été rapportée et l'administration concomitante de daptomycine et d'autres médicaments associés à des myopathies, tels que les inhibiteurs de l'hydroxyméthylglutaryl CoA réductase (statines), peuvent augmenter le risque. (msdmanuals.com)
Maladie2
- Le déficit en surfactant est la cause de la maladie des membranes hyalines du nouveau-né prématuré, et participe aussi au syndrome de détresse respiratoire aiguë de l'adulte. (wikipedia.org)
- À l'inverse, chez certains enfants ayant des shunts cardiaques avec un hyperdébit pulmonaire, la PAPm peut être 20 mmHg sans maladie vasculaire pulmonaire hypertensive. (pediatrie-pratique.com)
Liquide2
- Son rôle principal est de réduire la tension superficielle air/liquide créée par la fine couche de liquide se trouvant à la surface des alvéoles pulmonaires. (wikipedia.org)
- La daptomycine est inférieure à la ceftriaxone dans le traitement des pneumonies, vraisemblablement parce que la daptomycine se lie au surfactant pulmonaire, réduisant son activité dans le liquide du revêtement épithélial alvéolaire. (msdmanuals.com)
Normale2
- Le surfactant pulmonaire est indispensable à une fonction respiratoire normale. (wikipedia.org)
- Définition de l'hypertension pulmonaire Dans la circulation fœtale normale, la pression artérielle pulmonaire (PAP) est similaire à la pression systémique et diminue rapidement après la naissance, pour atteindre des niveaux identiques à ceux de l'adulte vers l'âge de 2 à 3 mois. (pediatrie-pratique.com)
Semble1
- L'hypertension pulmonaire (HTP) regroupe un en semble de pathologies cardiopulmonaires caractérisées par une élévation progressive des ré sistances vasculaires pulmonaires. (pediatrie-pratique.com)
Progressive1
- La fibrose pulmonaire est une forme spécifique de pneumopathie interstitielle fibrosante progressive de cause inconnue. (medscape.com)
Cause1
- L'HTAP associée aux cardiopathies congénitales (HTAP-CC) est la première cause d'HTP chez l'enfant. (pediatrie-pratique.com)