Un mouvements involontaires ou exercer des fonctions dans une partie, excité en réponse à un stimulus appliqué à la périphérie et transmis au cerveau ou de la moelle épinière.
Réflexe contraction d'un muscle en réponse à l'étirement qui stimule proprioceptors musculaire.
Une réponse anormale du à un stimulus sensoriel appliquées aux composantes du système nerveux. Ça peut prendre la forme d'augmentation, diminution ou absence de réflexes.
Intra-aural contraction du muscle tenseur stapedius des timbales et en réponse aux sons.
Un réflexe où impulsions sont exprimées du cupulas du Semicircular CANALS et de la membrane OTOLITHIC SACCULE ET Utricule via la stimulation noyaux du cerveau et la médiane longitudinale STEM fasciculus au sang-froid Oculomotor noyaux. Il fonctionne à maintenir la stabilité image rétinienne pendant tête rotation en générant compensation appropriée EYE déplacements.
Une constriction des pupilles en réponse à la lumière stimulation de la rétine. Ça se réfère également à l ’ un réflexe impliquant l'iris, aboutissant à une modification du diamètre de la pupille. (Cline et al., Dictionary of Troubles Science, 4e éditeur)
Enregistrement de la variation entre potentiel électrique de muscle au moyen de surface ou aiguille électrodes.
Une maladie caractérisée par une posture anormale des membres qui est associé avec blessure au cerveau... ça peut être due à une manifestation clinique ou induite expérimentalement chez les animaux. Les extenseurs réflexes sont exagérées menant à rigide accompagné d ’ extension des membres hyperréflexie et opisthotonus. Cette condition est souvent causé de lésions survenus dans la région du cerveau. Que se trouve dans les noyaux rouge et le noyaux vestibulaires. En revanche, se caractérise par une rigidité de manière appropriée, flexion des coudes et poignets avec extension des jambes et des pieds. Lésion du germe en cause dans cette affection est située dans le rouge noyaux et en général se compose de dommage cérébral diffus. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p358)
Un réflexe Monosynaptic obtenue en stimulant un nerf, en particulier le nerf tibial, avec un choc électrique.
L'instinct) (ou de la capacité à prendre une position normale du corps dans l'espace quand il a été chassé.
Changement de rythme cardiaque induits par la pression sur le globe oculaire, manipulation de EXTRAOCULAR muscles, ou la pression sur le tissu restant dans le satellite apex après une énucléation.
Récepteurs dans le système vasculaire, en particulier l'aorte et sinus carotidien, qui sont sensibles à étirer des vaisseaux.
Un réflexe trouvé chez les nourrissons de l'hallux composée de la flexion et l'enlèvement des autres orteils en réponse à une stimulation de la surface cutanée plantaire du pied. Chez les adultes, il est utilisé comme critère de diagnostic, et si présent est une MANIFESTATION neurologiques de dysfonctionnements chez les CENTRALE le système nerveux.
Brève fermeture des paupières par involontaire fermeture périodique normale, par précaution, ou par action volontaire.
Contractions des muscles abdominaux après stimulation de la peau (superficielles réflexe abdominale) ou en tapant des structures osseuses voisines réflexe abdominale (profondément). Le réflexe peut être faible, voire absents, par exemple, après une attaque, un signe de majuscules (suprasegmental) Charcot. (Lésions Stedman, 25e Ed & Best & Taylor est Physiological Base de Medical Practice, 12e Ed, p1073)
Le chat domestique, messieurs, de la famille domestique nommé carnivore Felidae, comprenant plus de 30 différentes races. Le chat domestique descend principalement des chats sauvages d'Afrique et Asie du sud-ouest extrême, mais probablement présente dans les villes en Palestine d'aussi longtemps que 7000 ans, de la domestication survenues en Egypte environ 4000 ans. (De Walker est Des mammifères du Monde, Ed, 6ème p801)
Utilisation de potentiel électrique pour obtenir les réponses biologiques ou des courants.
Contraction du muscle du pharynx causée par une stimulation de peluche sur les récepteurs sensoriels PALATE, par des stimuli psychique ou systémique, par la drogue.
Un sous-groupe de l ’ épilepsie caractérisée par crises convulsives qui sont constamment provoqué par un certain stimulus spécifique, visuelles et auditives des stimuli somato-sensoriel ainsi que les actes d'écrire, lisant, mangeant, et prise de décision sont des exemples d'événements ou les activités pouvant induire attaque aux affecté individus. (Clin d'Neurol fév. 1994 ; 12 (1) : 57-8)
Le 10e nerf cranien le nerf vague est à double culot qui contient Afferents somatique (de peau derrière l'oreille et du méat auditif), fibres Afférentes Viscérales (du pharynx, larynx, thorax et abdomen), (efferents parasympathique au thorax et abdomen), et pour le muscle strié efferents (du larynx et le pharYnx).
Des neurones qui conduite sang-froid impulsions au CENTRALE le système nerveux.
Structures par lequel sont des impulsions nerveuses menée d'une partie vers un centre nerveux périphérique.
De cellules spécialisées transduce stimuli mécanique et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Mechanoreceptor cellules inclure le INNER oreille cheveux cellules, qui la médiation audience et équilibre, et les divers récepteurs somato-sensoriel, souvent avec non-neural accessoire structures.
Des neurones qui muscle activer des cellules.
Un syndrome caractérisé par une brûlante douleur sévère dans un cas extrême vasomoteurs sudomotor, accompagnée de modifications trophiques, et en os non associées à un lésion du nerf spécifique. Cette condition est le plus souvent déclenchée par un trauma à des tissus mous ou des complexes. La peau sur la région touchée est habituellement érythémateux et démontre une hypersensibilité aux stimuli tactile et érythème. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1360 ; Douleurs 1995 oct ; 63 127-33) (1) :
Une réponse d'ici l'BARORECEPTORS à une augmentation de la tension.. Une augmentation de la pression s'étend de vaisseaux sanguins qui active le baroreceptors dans les vaisseaux. Le filet réponse des CENTRALE le système nerveux sympathique centrale représente une réduction de leur excédent. Cela réduit les deux en diminuant la pression artérielle périphérique et une résistance VASCULAR en abaissant CARDIAC. Parce que la puissance est activée, les tonically baroreceptors baroreflex dédommagerons pour les deux augmente rapidement et la diminution de la pression artérielle.
Acte de susciter une réaction d'une personne ou organisme par contact physique.
Un processus menant à et / ou de survenue de tension dans le tissu musculaire. Contraction musculaire survient par un filament coulissante mécanisme par lequel actine filaments se glissent inward parmi les myosine filaments.
Des neurones qui envoie des impulsions de sécrétion en périphérie pour activer des muscles ou des cellules.
Le nombre de fois le CŒUR ventricules contrat par unité de temps, habituellement par minute.
La division thoracolumbar du système nerveux autonome. Sympathique Preganglionic fibres intermediolateral originaires de neurones de la colonne de la moelle épinière et projette au paravertebral et prevertebral ganglion qui le projet pour les organes cibles. Le système nerveux sympathique provoque la réaction au stress et c ’ est-à-dire que la lutte ou fuite. C'est souvent des réactions au système parasympathique réciproquement.
La dilatation partie de l'artère carotide commune à la bifurcation dans la carotide externe et interne. Il contient baroreceptors qui, stimulé, cause un ralentissement du rythme cardiaque, une vasodilatation et une diminution de la pression artérielle.
Le cinquième et plus gros nerf cranien le nerf trigeminal et n'a pas que du moteur sensoriel neural. La plus grande partie sensorielle constitue le mandibulaire, maxillaire ophtalmique, et qui portent Afferents nerfs sensibles à des stimuli externe ou interne de la peau et des articulations, muscles, du visage et votre bouche et des dents. La plupart de ces fibres proviennent de cellules du trigeminal ganglion et projet au noyau trigeminal du tronc cérébral en partie moteur PROVENANT du tronc cérébral trigeminal innervates noyau moteur et les muscles de mastication.
Une colonne cylindrique de tissu qui réside dans le canal vertébral. Il est composé de blanc et gris d'importance.
Le cortex branche terminale le nerf sciatique. Le nerf tibial fibres viennent de segments et niveau de la moelle lombaire (en L4 à S2). Ils fournissent innervation sensoriel et moteur à certaines parties du mollet et pied.
Décharge d'urine, les déchets liquides validée par le rein, du corps.
Pression du sang sur les principales et autres vaisseaux sanguins.
L'interruption ou le retrait ou une partie du nerf vague) (10e nerfs crâniens. Vagotomie peut être pratiquée pour la recherche ou à des fins thérapeutiques.
Un ovale maigrichon chambre de l'oreille interne, une partie de votre crâne labyrinthe. C'est continue avec osseux cochlée antérieurement et Semicircular CANALS postérieurement. Le vestibule contient deux sacs communiquer (Utricule et saccule) de l'équilibre. Le bureau ovale fenêtre sur la paroi latérale est occupée par la base de l'étrier de l'artère oreille.
Un sous-groupe de le muscle strié attaché par les tendons pour atteindre le squelette. Les muscles squelettiques sont innervated et leur mouvement peut être consciemment contrôlée. Ils les appelle aussi des muscles volontaires.
Cellules spécialisées pour détecter produits chimiques et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Chemoreceptor cellules pourraient surveiller stimuli externes, comme goût et l'olfactif, ou interne stimuli, tels que les concentrations d'oxygène et CARBON de titane dans le sang.
Branches du nerf vague culot, Les nerfs laryngiens supérieure originate près du nodose ganglion et se séparer en désignation des succursales, qui fournissent moteur fibres aux muscles, et le muscle cricothyroidien interne qui transportent des branches, des fibres sensorielles. Le sang-froid laryngé récurrent provient plus caudally et porte efferents à tous les muscles du larynx sauf le muscle cricothyroidien. Le Les nerfs laryngiens et leurs branches portent également sensitive et autonome pharyngé, Rare œ dèmes laryngés fibres à la trachéale et régions cardiaque.
Trouvé dans un alkylamide capsicum agissant à canaux CHANNELS des cations.
Une forme de muscles hypertonie associée à une maladie neurone moteur supérieure de la résistance passive étirement qu'un infirme muscle entraîne minime résistance initiale (un intervalle libre de ""), suivie d'une augmentation des tonus musculaire. Ton augmente proportionnellement à la vitesse maximum. La spasticité est souvent accompagné par hyperréflexie et variable degrés de muscle. (Faiblesse d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème P54)
Biguanides are a class of oral hypoglycemic agents primarily used in the treatment of type 2 diabetes that decrease hepatic glucose production and enhance peripheral insulin sensitivity, but do not increase insulin secretion.
Une branche de l'innervation sensorielle nerf tibial qui fournit à des parties de la jambe et pied.
Le muscle squelettique structures qui fonctionne comme le MECHANORECEPTORS responsable de la s'étirer ou s'étend REFLEX myotactic réflexe (,). Ils se composent d'un paquet de encapsulée muscle squelettique fibres, c ’ est-à-dire que la intrafusal fibres (sac nucléaire 1 fibres, nucléaire sac 2 fibres et de fibres) innervated chaîne nucléaire par les neurones de sensation.
Une réponse involontaire complexe de façon inattendue fort stimulus auditif habituellement dans la nature.
Un coup, audible expulsion d'air des poumons à travers un partiellement fermé la glotte précédés par inhalation. C'est une réponse immunitaire protectrice qui sert pour dégager la trachée, bronches, et / ou poumons de irritants et sécrétions vaginales, ou pour prévenir la ponction de matériaux étrangers dans les poumons.
La position ou attitude du corps.
La résection ou le retrait du culot d'un organe ou partie Dorland, 28. (Éditeur)
Le temps entre le début d'un stimulus jusqu'à une réponse est observée.
L'acte, agis, ou que Bertha passe d'un endroit ou la position à l'autre. Elle est différente de LOCOMOTION dans la locomotion est limité au décès de tout le corps d'un endroit à l'autre, tant que mouvement englobe tous les deux locomotion mais également une modification de la position du corps entier ou un de ses parties. Mouvement peut être utilisé avec référence à l ’ homme, vertébrés et invertébrés micro-organismes. Différencier les animaux, et aussi de moteur parascolaire, mouvement associé au comportement.
Un mouvement, causée par la contraction musculaire successives, qui pousse le contenu des intestins ou autres organes tubulaire dans une direction.
Contraction des tissus qui produit mouvement chez les animaux.
Contractions musculaires involontaires continue prolongée qui est souvent une manifestation de BASAL ganglions maladies. Quand un affectée muscle est passivement étirée, le degré de résistance reste constante indépendamment de la fréquence à laquelle le muscle est étiré. Cette caractéristique permet de distinguer de spasticité musculaire. (Muscle d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p73)
Arythmies cardiaques qui se caractérise par coeur excessivement lent TAUX, généralement en dessous de 50 battements par minute chez les adultes humains. Ils peuvent être classés globalement dans sinoatrial NODE un dysfonctionnement et auriculo-ventriculaires ENSEMBLE.
La partie latérale du terminal deux branches du nerf sciatique. La (ou) nerf tibial péroné innervation sensoriel et moteur fournit à des parties de la jambe et pied.
Toute opération sur la moelle épinière (Stedman, 26ème éditeur)
Deux extrémités de four-footed non-primate animaux terrestres. D'habitude ça consiste en une du tibia et péroné FEMUR ; ; ; ; ; métatarses et tarses orteils. (De Storer et al., Général la zoologie, Ed, 6ème p73)
Le sommet de la membrane gélatineux Macules de SACCULE ET Utricule. Il contient minute particules cristallines (otoliths) de carbonate de CALCIUM et protéines sur la surface extérieure. En réponse au mouvement de tête, le changement otoliths causant distorsion des cellules ciliées qui transduce nerf vestibulaire signaux au cerveau à l'interprétation de l'équilibre.
Gris dorsomedial AFFAIRE situés dans le rôle du bulbe rachidien associée à la cellule d'isolement digestif. L'isolement noyau reçoit des données de la plupart des systèmes d'organes y compris des licenciements, de la face glossopharyngeal et vagus nerfs. C'est un grand coordinateur de règlement le système nerveux autonome de réactions cardiovasculaires, respiratoires, gustatif, gastro-intestinales et chemoreceptive aspects de l'homéostasie. L'isolement Nucleus est aussi remarquable pour le grand nombre de neurotransmetteurs qui sont y a trouvé.
La fonction de contester ou renfermant l'excitation de neurones ou leur cible excitable cellules.
L'extrémité distale de la jambe aux vertébrés, composé des tarse (cheville) ; métatarse ; phalanges ; et les tissus mous autour de ces os.
Volontaires ou involontaires mouvement de tête ou pouvant être relative ; inclut indépendamment de leur animal et chez l ’ homme.
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Structures qui sont des impulsions nerveuses dans un centre nerveux a dirigé vers un site périphériques telles impulsions sont menées via efferent neurones (neurones, efferent), telles que des neurones moteur des neurones et autonome hypophyseal neurones.
Motion d'un objet que l'un ou plusieurs des points sur une ligne sont truqués. Il est également la motion d'une particule sur un point fixe. (De McGraw-Hill Dictionary of Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Volontaires ou reflex-controlled mouvements des yeux.
Des mouvements rythmiques involontaires des yeux dans la personne normale. Ça peut être un phénomène naturel comme dans end-position (, stade terminal d ’ évolution, ou déviant) nystagmus ou induit par le tambour, optokinetic optokinetic (nystagmus), ou calorique pour un fauteuil.
Fonctions sensorielles que transduce stimuli reçus par les récepteurs proprioceptif dans les articulations, tendons, les muscles, les impulsions neurales dans oreille COUVERCLE doivent être transmis à la CENTRALE, proprioception fournit sens immobiles positions et mouvements de ses organes, et est important de maintenir la kinesthésie et posturale POSTES.
La partie basse du cerveau le STEM. C'est inférieur au Pons et antérieure au cervelet, le bulbe rachidien sert de relais entre le cerveau et la moelle épinière et contient les centres pour la régulation cardiaque, respiratoire, vasomoteurs, et réflexe activités.
Un sac sur la musculomembranous TRACT. Urine urinaire découle des reins à la vessie via le des uretères (uretère), et qui est détenue là-bas jusqu'à uriner.
Le fait de prendre solides et liquides dans le tube TRACT par la bouche et la gorge.
Un changement de périodiques déplacement par rapport à un cadre fixe référence. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Étirer récepteurs trouvés dans les bronches pulmonaires et bronches. Étirer récepteurs sont des détecteurs pour un réflexe, ce qui empêche l'inspiration. Chez l'homme, le réflexe est protecteur et qui est probablement pas activé pendant la respiration normale.
Neurones sensitifs périphérique qui sont sensibles aux blessures ou douleur, généralement provoquée par des expositions thermique, des forces mécaniques, ou tout autre stimulus nocives. Leurs corps dans la cellule racine dorsale ganglion. Leurs terminaux périphérique (de terminaison nerveuse) innerve tissus cibles et transduce stimuli nocives via axones au CENTRALE le système nerveux.
Un muscle masticatory dont l'action se referme les mâchoires.
La stimulation part du 8e nerf crânien (Vestibulocochlear sang-froid). Les fibres nerveuses vestibulaire émaner de neurones que Scarpa est ganglion et vestibulaires projet en périphérie de cheveux à la stimulation des cellules et noyaux du cerveau le STEM. Ces fibres parler du sens de l'équilibre et la position de la tête.
État caractérisé par une perte de sensibilité ou de sensation. Cette dépression de terminaisons nerveuses est suscitée... par action pharmacologique est déclenchée et performances afin d ’ opération chirurgicale ou autres douloureuses procédures.
Une contraction involontaire d'un muscle ou groupe de muscles, des spasmes peut impliquer ou tendre muscle, muscle squelettique
Le terminal segment de large intestin, début de l'ampoule du fini et prenant fin à l'anus.
La partie du cerveau qui relie les CEREBRAL hémisphères avec la colonne vertébrale. Il se compose des mésencéphale ; Pons ; et bulbe rachidien.
Un type de stress exercée uniformément dans toutes les directions. Sa mesure est la force exercée par unité zone Dictionnaire de McGraw-Hill. (Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Trois longues canaux (antérieur, postérieur et latéral osseux) du labyrinthe. Ils sont fixés à angle droit de l'autre et sont situés posterosuperior à l'entrée du labyrinthe osseux (stimulation LABYRINTH). Ces canaux ont cinq ouvertures dans le vestibule avec un partagé par la face antérieure et postérieure. Dans les canaux semi-circulaires canaux sont le DUCTS.
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
La disparition de réponse à une stimulation répétée. Ça n'inclut pas accomodation de drogue.
Pénétration et non-penetrating blessures à la moelle épinière résultant du traumatisme des forces extérieures (par exemple, blessures, ses blessures ; Whiplash, etc.).
Chaque supérieures et inférieures plis de peau which cover the EYE quand fermé.
Un groupe hétérogène de médicaments utilisés afin de produire une relaxation musculaire, sauf les curares. Ils ont leurs cliniques primaires thérapeutique et utilise dans le traitement des spasmes musculaires et immobilité associée à des souches et blessures, entorses, de l'arrière et, dans une moindre mesure, les blessures au cou. Ils ont également été utilisé pour le traitement de diverses conditions cliniques qui ont en commun seule la présence d'hyperactivité des muscles squelettiques, par exemple, les spasmes musculaires qui peut survenir dans de multiples scléroses. (De Smith et Reynard, Le manuel de pharmacologie, 1991, p358)
Un tube de transport de votre urine urinaire BLADDER à l'extérieur du corps dans les deux sexes. Il a aussi un les fonctions de reproduction chez l'homme en fournissant un passage pour sperme.
Un dérivé d'hydrate de chloral qui a été utilisé comme sédatif mais a été remplacée par plus sûr et efficace de la drogue. Son utilise souvent est aussi une anesthésie générale dans les études.
Le chien domestique, Canis familiaris, comprenant environ 400 races, de la famille carnivore CANIDAE. Ils sont dans le monde de la distribution et de vivre en association avec les gens. (Walker est Des mammifères du Monde, 5ème Ed, p1065)
Les réponses électrique enregistrée de culot, muscle, de sensation récepteur, ou zone du CENTRALE le système nerveux après stimulation. Elles varient entre moins d'un microvolt à plusieurs microvolts. Les potentiels évoqués auditifs peut être (EVOKED potentiel, AUDITORY), (somato-sensoriel EVOKED potentiel, somato-sensoriel (EVOKED), troubles visuels), ou possibilités, moteur (EVOKED potentiels, pas de mouvement) ou les autres modalités qui ont été rapportés.
Un alcaloïde, originaire de Atropa Belladonna, mais constaté dans d'autres plantes, principalement Solanaceae. Hyoscyamine est le 3 ’ isomère (S) -endo d'atropine.
La propagation du sang-froid IMPULSE long des nerfs loin du site d ’ une excitation stimulus.
Un organe tubulaire la production de voix. Elle est située dans la gorge, supérieur à celui du cœur et inférieur à la langue et l'os hyoïde.
Muscles arising dans l'arcade zygomatique que fermer la mâchoire. Leur sang-froid offre mandibulaire masseteric de la division du nerf trigeminal. (De Stedman, 25e éditeur)
Des variations brutales de la membrane potentiel qui balaye le long de la cellule nerveuse membrane des cellules en réponse aux stimuli excitation.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
La partie inférieure du membre inférieur, entre le genou et la cheville.
Tracts neural connecter une partie du système nerveux avec un autre.
Expulsion de lait dans le lumen, alvéolaires mammaire qui est entouré par une couche de milk-secreting des cellules épithéliales et un réseau de cellules myoepithelial myoepithelial. La contraction des cellules est réglementé par signaux physiologiques.
Le capuchon extérieur de la protection de l'organisme qui le protège de l'environnement. Il est composé de la peau et dans l'épiderme.
Le coeur et les vaisseaux sanguins par lequel le sang est pompé et circule à travers le corps.
L'ouverture dans l'iris par lequel la lumière passe.
Structure osseuse de la bouche qui lie les dents. Il se compose de la mandibule et le maxillaire.
Les quatre masses cellulaire dans le quatrième ventricule donnant lieu à un système sensoriel spécial été largement dispersé. Inclus est le supérieur et inférieur Médian, et latéral stimulation noyau. (De Dorland, 27 e)
Mince processus de neurones, incluant les axones et leurs enveloppes gliales (myéline des nerfs). Il conduit des impulsions nerveuses to and from the CENTRALE le système nerveux.
La blanche ; le système nerveux parasympathique ; le système nerveux et le système nerveux totalement désolé pris ensemble. En général, le système nerveux autonome régule la environnement intérieur pendant la phase d'activité pacifique et stress physique ou émotionnelle. Autonome et intégrée de l 'activité est contrôlée par la CENTRALE le système nerveux surtout les HYPOTHALAMUS et le noyau solitaire, qui reçoivent des informations par rafales relayée depuis fibres Afférentes Viscérales.
Les fonctions de la peau dans le corps humain et animal. Il inclut les couleurs de peau.
Mouvement ou la capacité de bouger d'un endroit ou un autre. Ça peut se référer aux humains, animaux vertébrés, invertébrés, et des micro-organismes.
La région of the lower limb entre le pied et la jambe.
Processus physiologiques et propriétés du système respiratoire dans son ensemble ou de ses parties.
Les systèmes neuraux qui agissent sur VASCULAR futée, je pense que le diamètre des vaisseaux sanguins pour contrôler le Major contrôle neural est dans le système nerveux sympathique.
Le joint qui sont formés par l'articulaire articulaire inférieure et malleolar surfaces du du tibia malleolar ; la surface articulaire du péroné ; et la malléole latérale, malleolar malleolar, et leur surfaces du talus.
Nerfs et plexuses du système nerveux autonome. Le système nerveux central des structures qui régulent le système nerveux autonome ne sont pas fournies.
La meilleure partie de l'extrémité supérieure entre l'épaule et le coude.
Coup risque de survenue d ’ une bradycardie ou cœur arrestation induite par les maxillaires et manipulations de sang-froid ou culot mandibulaire craniomaxillofacial pendant une chirurgie orale. C'est la mâchoire supérieure et inférieure Oculocardiac REFLEX variantes.
Les muscles du pharynx sont des muscles volontaires arrangés en deux couches circulaire. La couche externe comporte trois constrictors (supérieur, milieu, et inférieur. La couche interne) se compose de la longitudinales palatopharyngeus, le salpingopharyngeus, et le stylopharyngeus. Pendant à avaler, la couche extérieure pharyngé comprime le mur et la pharynx HDL2 et du larynx.
Contractions involontaires, irréguliers « en rythme et l'amplitude, suivie de relaxation, d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cette réaction peut être une caractéristique de certains CENTRALE maladies ; le système nerveux (tels EPILEPSY, Myoclonic). La nuit myoclonies est la principale caractéristique de la myoclonie NOCTURNAL. (Syndrome du d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp102-3).
Un antagoniste cholinergiques nicotinique souvent appelées la typicale ganglionic bloqueur. C'est mal absorbé du tube digestif et ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique. Elle a servi à diverses fins thérapeutiques comportant une hypertension artérielle mais, comme les autres ganglionic bêtabloquants, elle a été remplacée par plus de traitement spécifique pour plus fins, mais il est très utilisé un outil de recherche.
Le de force de rotation sur un axe c'est égal au produit une force fois la distance de l'axe où la force.
La partie supérieure du corps humain, ou devant ou partie supérieure du corps d'un animal, typiquement séparé du reste du corps, et dont le cerveau, de la bouche et organes sensoriels.
Une classe de fibres nerveuses gaine des nerfs tels que définis par leur arrangement. Les axones des Unmyelinated fibres nerveuses sont petites de diamètre et généralement de plusieurs sont entourés de myéline unique. Il se ils conduisent des impulsions faible vélocité et représentent la majorité des fibres périphérique sensitive et autonome, mais sont également retrouvés dans le cerveau et colonne vertébrale.
La soudaine, hyper, involontaire expulsion d'air des nez et bouche causée par l'irritation de la muqueuse des voies respiratoires TRACT.
Introduction d'agents thérapeutiques dans la moelle région en utilisant une aiguille et seringue.

Un réflexe, dans le contexte de la médecine et de la physiologie, est une réponse involontaire et automatique du corps à un stimulus spécifique. Il s'agit d'un mécanisme de contrôle rapide et efficace qui permet au système nerveux de réguler certaines fonctions corporelles sans passer par le processus conscient de la pensée ou de la décision. Les réflexes sont médiés par des circuits neuronaux spécifiques appelés arcs réflexes, qui impliquent généralement une voie afférente sensorielle et une voie efférente motrice. Un exemple classique d'un réflexe est le réflexe myotatique, ou réflexe du genou, dans lequel la percussion du tendon rotulien provoque une contraction rapide du muscle quadriceps, entraînant une extension soudaine de la jambe. Les réflexes sont des mécanismes importants pour maintenir l'homéostasie et protéger le corps contre les dommages potentiels.

Les réflexes anormaux sont des réponses involontaires et inappropriées du corps à des stimuli normaux, dus à des perturbations du système nerveux. Ils peuvent être un signe de divers troubles neurologiques ou traumatismes. Les réflexes anormaux peuvent se manifester par des mouvements excessifs, absents ou inadéquats. Par exemple, certains réflexes présents à la naissance qui devraient disparaître avec le développement normal du cerveau, comme le réflexe de Babinski, peuvent persister en signe d'anomalie sous-jacente. D'autres réflexes anormaux peuvent apparaître à la suite d'une lésion cérébrale ou médullaire, tels que les réflexes pathologiques des membres supérieurs et inférieurs dans la paralysie cérébrale.

Le réflexe stapédien, également connu sous le nom de réflexe acoustique, est un réflexe auditivo-vestibulaire qui protège l'oreille interne des bruits soudains ou intenses. Il est médié par le muscle stapédien, un petit muscle dans l'oreille moyenne. Lorsqu'une forte impulsion sonore se produit, le muscle stapédien contracte et réduit la taille de l'ouverture entre l'os stirrup et l'os enclume (les deux osselets de l'oreille moyenne), ce qui diminue la transmission des vibrations sonores vers l'oreille interne.

Ce réflexe est important pour prévenir les dommages auditifs causés par des niveaux élevés de bruit et peut être testé dans le cadre d'un examen audiologique pour évaluer la fonction auditive et vestibulaire. Des anomalies du réflexe stapédien peuvent indiquer des problèmes au niveau du nerf auditif, de l'oreille moyenne ou interne, ou du cerveau.

Le réflexe vestibulo-oculaire (RVO) est un réflexe oculomoteur qui permet de stabiliser l'image sur la rétine lors des mouvements de la tête. Il s'agit d'un mécanisme involontaire qui permet aux yeux de se mouvoir dans la direction opposée à celle de la tête, de manière à compenser les mouvements de cette dernière et à maintenir une vision stable.

Le RVO est médié par le système vestibulaire situé dans l'oreille interne, qui détecte les mouvements de la tête grâce à des récepteurs appelés otolithes et canaux semi-circulaires. Les informations provenant du système vestibulaire sont transmises au cerveau via le nerf vestibulaire, où elles sont intégrées avec d'autres informations sensorielles pour déclencher la réponse oculaire appropriée.

Le RVO est essentiel pour une vision claire et stable pendant les mouvements de la tête, et il joue un rôle important dans la coordination des mouvements oculaires et de la tête lors de tâches telles que la lecture, la conduite ou le sport. Les troubles du RVO peuvent entraîner des symptômes tels que des vertiges, des nausées, une mauvaise coordination des mouvements oculaires et une vision floue ou instable.

Le réflexe pupillaire, également connu sous le nom de réflexe photomoteur, est un réflexe involontaire du système nerveux autonome qui contrôle la taille de la pupille en réponse à la lumière. Il y a deux types de réflexes pupillaires : le réflexe direct et le réflexe consensuel.

Le réflexe direct se produit lorsque la lumière est projetée dans une pupille et la réponse est une constriction de cette même pupille. Le réflexe consensuel, d'autre part, se produit lorsque la lumière est projetée dans une pupille et provoque une constriction de l'autre pupille. Ces réflexes sont médiés par le nerf optique (II) et le IIIème nerf crânien (nerf oculomoteur), qui contient les fibres parasympathiques préganglionnaires pour la constriction pupillaire. Les noyaux de ces nerfs sont connectés dans le cerveau, ce qui permet la réponse consensuelle.

L'absence ou la présence anormale de ces réflexes peut indiquer des problèmes neurologiques sous-jacents et est donc un outil important dans l'examen neurologique.

L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.

L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.

L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.

L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.

La décérébration est un terme médical qui décrit un état de réponse neurologique anormale, caractérisé par une posture musculaire exagérée et des réflexes anormaux. Cela se produit lorsqu'il y a une interruption complète ou presque complète des voies nerveuses qui vont du cerveau à la moelle épinière dans la région du tronc cérébral.

Dans un état de décérébration, les réflexes primitifs sont exacerbés car ils ne sont plus inhibés par les parties supérieures du cerveau. Cela peut entraîner une extension des membres inférieux et une flexion des membres supérieurs lorsque le corps est manipulé. La décérébration est souvent un signe de lésions cérébrales graves, telles qu'un traumatisme crânien sévère, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale.

Il est important de noter que la décérébration n'est pas un diagnostic en soi, mais plutôt un signe qui peut aider à indiquer la gravité et la localisation d'une lésion cérébrale. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'état de décérébration.

Le réflexe H, également connu sous le nom de réflexe palmo-mentonnier ou réflexe de Hoffmann, est un réflexe involontaire de la fermeture des doigts qui est déclenché en stimulant le tendon flexor digital communis d'un doigt. Ce réflexe est généralement évalué lors de l'examen neurologique et peut indiquer une lésion au niveau du faisceau corticospinal ou de la moelle épinière.

Dans un contexte clinique, le réflexe H est testé en pliant brusquement la distale phalange d'un doigt vers la paume de la main, ce qui provoque une contraction involontaire des muscles fléchisseurs des doigts et une flexion des interphalangiennes proximales. Ce réflexe est asymétrique ou absent chez les personnes en bonne santé, mais il peut être exagéré ou présent du côté affecté chez les personnes atteintes de certaines affections neurologiques, telles que la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale.

Il est important de noter que le réflexe H peut être absent chez les personnes âgées ou celles qui ont des neuropathies périphériques, il doit donc être interprété dans le contexte de l'examen neurologique complet.

Un réflexe de redressement est un type de réflexe involontaire qui permet à un individu de maintenir ou de rétablir rapidement et automatiquement l'équilibre et la posture du corps en réponse à des changements dans sa position ou dans son environnement. Ces réflexes sont cruciaux pour la coordination, la stabilité et la prévention des chutes, en particulier pendant les activités dynamiques telles que la marche, la course ou les mouvements brusques.

Les réflexes de redressement peuvent être divisés en deux catégories principales : les réflexes de redressement du tronc et des membres. Les réflexes de redressement du tronc impliquent principalement la coordination entre le système vestibulaire, le système visuel et les muscles du tronc pour maintenir l'équilibre et la posture du corps dans son ensemble. Les réflexes de redressement des membres, en revanche, sont spécifiquement liés aux mouvements et à la coordination des bras et des jambes.

Les réflexes de redressement sont généralement activés lorsque les capteurs sensoriels du corps, tels que les récepteurs vestibulaires dans l'oreille interne ou les propriocepteurs dans les muscles et les articulations, détectent un changement dans la position ou le mouvement du corps. Ces informations sont ensuite transmises au cerveau, où elles sont traitées et intégrées avec d'autres entrées sensorielles pour générer une réponse motrice appropriée.

Les réflexes de redressement peuvent être affectés par divers facteurs, tels que l'âge, les lésions cérébrales, les maladies neurologiques ou les affections musculo-squelettiques. Par exemple, chez les personnes âgées, les réflexes de redressement peuvent être affaiblis ou ralentis, ce qui augmente le risque de chutes et de blessures. De même, certaines maladies neurologiques, telles que la sclérose en plaques ou la maladie de Parkinson, peuvent altérer les réflexes de redressement et entraîner des difficultés de coordination et d'équilibre.

Dans l'ensemble, les réflexes de redressement sont un mécanisme essentiel qui permet au corps de maintenir son équilibre et sa stabilité pendant le mouvement et la posture. Bien qu'ils puissent être affectés par divers facteurs, des exercices et des interventions thérapeutiques spécifiques peuvent aider à améliorer les réflexes de redressement et à prévenir les chutes et les blessures associées.

Le réflexe oculocardiaque, également connu sous le nom de réflexe d'Aschner ou de réflexe de divergence accommodative, est un réflexe physiologique dans lequel la stimulation des récepteurs situés dans les muscles oculaires entraîne une bradycardie, c'est-à-dire une diminution de la fréquence cardiaque. Ce réflexe est déclenché lorsque les yeux se déplacent soudainement vers les côtés (divergence) ou lorsqu'il y a un changement rapide de la convergence oculaire, comme lors du passage d'un objet proche à un objet éloigné.

Le réflexe oculocardiaque est médié par le nerf oculomoteur (nerf crânien III) et le nerf vague (nerf crânien X). Lorsque les muscles oculaires se déplacent brusquement, ils stimulent les récepteurs situés dans les muscles oculomoteurs, ce qui envoie des signaux au cerveau via le nerf oculomoteur. Ces signaux sont ensuite transmis au noyau ambigu du bulbe rachidien via le tractus vestibulaire médian, entraînant une activation du nerf vague et une réduction de l'activité du système nerveux sympathique. Cela se traduit par une diminution de la fréquence cardiaque et une possible baisse de la pression artérielle.

Le réflexe oculocardiaque est généralement considéré comme un mécanisme de protection, permettant de réguler la circulation sanguine en cas de changements brusques dans les mouvements des yeux et de prévenir ainsi d'éventuels dommages aux yeux. Cependant, chez certaines personnes, ce réflexe peut être exagéré et entraîner des symptômes tels que des étourdissements, une syncope ou une chute de la pression artérielle en réponse à des mouvements rapides des yeux. Dans ces cas, il est important de consulter un médecin pour évaluer la cause sous-jacente et déterminer le traitement approprié.

Les barorécepteurs sont des récepteurs sensoriels spécialisés qui détectent les changements de pression dans les vaisseaux sanguins. Ils se trouvent principalement dans la paroi des artères carotides et aortiques, qui sont des vaisseaux sanguins majeurs.

Les barorécepteurs envoient des signaux au système nerveux autonome en réponse aux changements de pression artérielle. Lorsque la pression artérielle augmente, les barorécepteurs détectent cette augmentation et transmettent des signaux inhibiteurs au système nerveux autonome pour ralentir le rythme cardiaque et dilater les vaisseaux sanguins. Cela permet de réduire la pression artérielle et de maintenir l'homéostasie de la pression artérielle.

Inversement, lorsque la pression artérielle diminue, les barorécepteurs détectent cette baisse et transmettent des signaux excitateurs au système nerveux autonome pour accélérer le rythme cardiaque et contracter les vaisseaux sanguins. Cela permet d'augmenter la pression artérielle et de maintenir l'homéostasie de la pression artérielle.

Les barorécepteurs jouent donc un rôle crucial dans la régulation de la pression artérielle et du débit cardiaque, en aidant à maintenir une pression artérielle stable et à prévenir les fluctuations dangereuses de la pression artérielle.

Le signe de Babinski, également connu sous le nom de réflexe de Babinski, est un test utilisé en neurologie clinique pour évaluer l'intégrité du système nerveux central. Il consiste à stimuler la plante du pied d'une personne, généralement en utilisant un objet pointu ou affilé comme un stylo ou un grattoir, en le faisant glisser le long de la face externe de la plante du pied, en partant de l'héel vers les orteils.

La réponse normale chez les nourrissons de moins de 12 mois est une flexion des orteils, ce qui indique un réflexe plantaire normal. Cependant, chez les personnes âgées de plus d'un an, la réponse normale est une extension ou une flexion dorsale du gros orteil (hallux) avec fanned spread of the other toes, ce qui est connu comme le signe de Babinski positif.

Un signe de Babinski positif peut indiquer des lésions au niveau de la moelle épinière ou des voies nerveuses ascendantes dans le cerveau, telles que celles observées dans les maladies dégénératives du système nerveux central, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'inflammation du cerveau ou de la moelle épinière, ou l'exposition à des toxines neurologiques. Il est important de noter que certains médicaments et conditions peuvent affecter le réflexe de Babinski, il est donc essentiel d'interpréter ce signe dans le contexte clinique global du patient.

Un clignement palpébral est un mouvement rapide et réflexe des paupières qui se produit lorsque les yeux sont ouverts. Il s'agit d'un mécanisme de protection naturel qui permet de lubrifier la surface de l'œil en répartissant les larmes et en éliminant les corps étrangers ou les impuretés qui pourraient s'y être déposés.

Le clignement palpébral est déclenché par un signal nerveux envoyé depuis le nerf facial (VIIe nerf crânien) vers les muscles responsables de la fermeture des paupières, appelés muscle orbiculaire de l'œil. Ce réflexe peut être intentionnel ou involontaire et se produit en moyenne entre 15 et 20 fois par minute.

Des modifications du rythme ou de l'amplitude des clignements palpébraux peuvent être le signe d'affections oculaires, neurologiques ou psychiatriques sous-jacentes. Par exemple, une fréquence excessive de clignements peut indiquer un syndrome de sécheresse oculaire, un trouble de l'attention ou un trouble obsessionnel-compulsif, tandis qu'une diminution de la fréquence des clignements peut être associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson.

Le réflexe cutané abdominal, également connu sous le nom de signe de Blumberg, est un signe physique utilisé en médecine pour aider au diagnostic d'une possible irritation péritonéale, comme dans le cas d'une appendicite aiguë.

Il est élicité en appliquant brusquement une pression profonde avec les doigts sur la paroi abdominale antérieure, généralement dans la région des fossettes iliaques, puis en relâchant soudainement cette pression. La réaction normale est un léger retrait de l'abdomen, mais en cas d'irritation péritonéale, cela provoque une vive douleur qui entraîne une contraction plus marquée et visible du muscle droit de l'abdomen, connue sous le nom de réflexe cutané abdominal.

Cependant, il est important de noter que ce réflexe peut être absent ou atypique dans certaines conditions normales, surtout chez les personnes âgées, les obèses, les enceintes et certains patients neurologiques. Par conséquent, son absence ne doit pas exclure une irritation péritonéale et sa présence doit être corrélée avec d'autres signes cliniques pour poser un diagnostic.

Je suis désolé, "chats" est un terme trop large et couramment utilisé pour désigner un groupe d'espèces de mammifères carnivores domestiqués. Il n'existe pas de définition médicale spécifique pour "chats". Cependant, en médecine vétérinaire, les chats peuvent être affectueusement appelés "patients à fourrure" et ils peuvent souffrir de diverses maladies et affections, tout comme les humains.

Quelques exemples de problèmes de santé courants chez les chats comprennent les infections des voies urinaires, les parasites internes (comme les vers intestinaux), l'obésité, le diabète sucré, les maladies dentaires et les troubles gastro-intestinaux. Il est important de noter que les chats doivent recevoir des soins médicaux réguliers, y compris des examens vétérinaires annuels et des vaccinations, pour maintenir leur santé et prévenir les maladies.

Le réflexe pharyngé, également connu sous le nom de réflexe nasopharyngé ou réflexe de déglutition, est un réflexe involontaire qui permet de protéger les voies respiratoires inférieures contre l'aspiration de liquides ou de solides. Il se déclenche lorsque des stimuli tactiles sont détectés dans la région du nasopharynx, du rhinopharynx ou de l'arrière de la langue.

Ce réflexe entraîne une série de contractions musculaires qui permettent de fermer la glotte (l'ouverture entre les cordes vocales), d'élever le larynx et de contracter les muscles du pharynx, créant ainsi une voie fermée pour l'air et une voie ouverte pour la déglutition. Ce réflexe est essentiel pour assurer une alimentation normale et une protection adéquate des voies respiratoires inférieures.

Des anomalies du réflexe pharyngé peuvent être associées à des troubles tels que l'apnée obstructive du sommeil, les fausses routes alimentaires ou les difficultés de déglutition.

La définition médicale de « Epilepsy, Reflex » est la suivante :

Le reflex epilepsy est un type d'épilepsie qui est déclenché par des stimuli spécifiques et répétitifs. Ces stimuli peuvent être sensoriels, cognitifs ou psychogènes. Les exemples courants de reflex epilepsy comprennent l'epilepsie photosensible, où les crises sont déclenchées par des flashs lumineux ou des motifs à haute fréquence ; l'epilepsie tactile, où les crises sont provoquées par des stimuli tactiles spécifiques ; et l'epilepsie auditive, où les crises sont déclenchées par des sons spécifiques.

Dans certains cas, les personnes atteintes de reflex epilepsy peuvent développer des crises sans la présence du stimulus déclencheur après une période de temps. Cette condition est appelée épilepsie réflexe symptomatique. Le traitement de l'épilepsie réflexe dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiépileptiques, la modification du mode de vie pour éviter les déclencheurs et, dans certains cas, la chirurgie.

Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un important nerf crânien qui émerge du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il s'agit du dixième nerf crânien et il a une fonction bothale, ce qui signifie qu'il contient des fibres motrices somatiques et viscérales, ainsi que des fibres sensorielles.

Les fibres motrices somatiques du nerf vague innervent les muscles de la déglutition, du palais mou, du pharynx et des cordes vocales. Les fibres viscérales motrices régulent les activités involontaires des organes internes tels que le cœur, les poumons, le foie, l'estomac et les intestins.

Les fibres sensorielles du nerf vague transmettent des informations sensorielles provenant de ces mêmes organes internes au cerveau, y compris les sensations de distension gastrique, la position du diaphragme et le rythme cardiaque.

Le nerf vague joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque, ainsi que dans les réflexes de protection tels que la toux et la déglutition.

Les neurones afférents, également connus sous le nom de neurones sensoriels ou neurones sensorielles, sont une catégorie de neurones qui transmettent des informations en provenance de l'environnement extérieur ou des organes internes vers le système nerveux central. Ils constituent la première partie du chemin sensoriel et sont responsables de la détection et de la transduction des stimuli physiques, chimiques ou mécaniques en impulsions électriques, appelées potentiels d'action.

Ces neurones afférents ont leurs cellules situées dans les organes sensoriels tels que la rétine pour la vision, la cochlée pour l'audition, ou encore dans la peau pour le toucher. Les axones de ces neurones se regroupent ensuite en nerfs crâniens ou spinaux pour transmettre les informations au cerveau ou à la moelle épinière.

En résumé, les neurones afférents sont des neurones sensoriels qui détectent et transmettent des stimuli vers le système nerveux central, permettant ainsi la perception consciente de notre environnement et de notre état interne.

Les voies afférentes, également connues sous le nom de voies sensorielles ou voies d'entrée, sont des fibres nerveuses qui transportent les informations sensorielles provenant des organes sensoriels vers le système nerveux central. Ces informations peuvent inclure des stimuli tels que la douleur, le toucher, la température, l'audition, la vision et le goût. Les voies afférentes se terminent dans le thalamus du cerveau, qui sert de relais pour les signaux sensoriels avant qu'ils ne soient transmis à d'autres parties du cerveau pour être traités et interprétés.

Les mécanorécepteurs sont des types spécifiques de récepteurs sensoriels qui détectent et répondent aux stimuli mécaniques dans le corps. Ils convertissent les stimuli physiques, tels que la pression, l'étirement ou la vibration, en signaux électriques qui sont transmis au système nerveux central.

Il existe plusieurs types de mécanorécepteurs, chacun ayant une fonction et une sensibilité différentes. Par exemple, les corpuscules de Pacini détectent la vibration et les changements de pression profonde, tandis que les corpuscules de Meissner répondent aux légères pressions et à la texture de la surface.

Les mécanorécepteurs sont essentiels pour maintenir la proprioception, qui est la conscience de la position et du mouvement des parties du corps. Ils jouent également un rôle important dans la protection des tissus corporels en détectant les dommages potentiels, tels que les étirements excessifs ou les pressions élevées, et en déclenchant une réponse réflexe pour éviter d'autres dommages.

Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.

La dystrophie sympathique réflexe (DSR), également connue sous le nom de syndrome de Sudeck ou d'algodystrophie, est une condition rare et mal comprise qui affecte généralement les membres après une blessure ou une intervention chirurgicale. Il s'agit d'une forme complexe de douleur régionale compliquée (CRPS) de type 1.

La DSR se caractérise par un ensemble de symptômes, notamment des douleurs intenses et persistantes, une sensibilité accrue au toucher, une raideur articulaire, une diminution de la force musculaire, des changements cutanés (tels que la peau fine, moite et décolorée) et des modifications osseuses. Ces symptômes peuvent apparaître progressivement et s'aggraver avec le temps, entraînant une altération significative de la fonction et de la qualité de vie du patient.

Bien que les mécanismes exacts à l'origine de la DSR ne soient pas complètement élucidés, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs, notamment des troubles neurovasculaires et auto-immuns. Le traitement de la DSR implique généralement une approche multidisciplinaire comprenant des médicaments contre la douleur, une physiothérapie et des interventions psychologiques pour aider à gérer les symptômes et prévenir les complications.

Le baroréflexe, également connu sous le nom de réflexe du sinus carotidien ou réflexe cardiopulmonaire, est un mécanisme de régulation nerveuse automatique qui aide à maintenir la pression artérielle constante. Il fonctionne en détectant les changements dans la pression artérielle et en déclenchant des réponses pour compenser ces changements et rétablir l'homéostasie.

Le barorécepteur, qui est le capteur de ce réflexe, se trouve dans la paroi des artères carotides et aortiques. Lorsque la pression artérielle augmente, ces barorécepteurs sont étirés et activent les neurones sensoriels qui envoient des signaux au cerveau via le nerf glossopharyngien (IX) et le nerf vague (X).

Ces signaux sont traités dans le centre vasomoteur situé dans le bulbe rachidien, qui répond en modulant l'activité du système nerveux sympathique et parasympathique. En conséquence, la fréquence cardiaque et la force de contraction cardiaque sont ajustées pour réguler la pression artérielle.

Par exemple, lors d'une augmentation soudaine de la pression artérielle, le baroréflexe déclenche une réponse parasympathique qui ralentit la fréquence cardiaque et abaisse la tension artérielle. À l'inverse, en cas de baisse de la pression artérielle, le baroréflexe active le système nerveux sympathique pour accélérer la fréquence cardiaque et augmenter la tension artérielle.

Le baroréflexe est un mécanisme important qui aide à maintenir la stabilité de la pression artérielle et à prévenir les fluctuations dangereuses de la pression artérielle qui pourraient affecter l'apport sanguin au cerveau et aux autres organes vitaux.

La stimulation physique, dans un contexte médical, se réfère à l'utilisation de différentes méthodes ou techniques pour encourager des réponses fonctionnelles ou physiologiques dans le corps. Cela peut inclure l'utilisation de divers types de stimuli externes tels que la lumière, le son, le toucher, ou des agents physiques comme l'électricité, le froid, la chaleur, ou l'exercice.

Par exemple, dans la physiothérapie, la stimulation physique peut être utilisée pour aider à réduire la douleur, à améliorer la circulation sanguine, à renforcer les muscles, à augmenter la mobilité articulaire, ou à rétablir la fonction après une blessure ou une maladie. Dans le traitement de certaines conditions neurologiques, comme le trouble de stress post-traumatique ou la paralysie, des dispositifs de stimulation électrique peuvent être utilisés pour activer sélectivement des nerfs spécifiques et ainsi aider à rétablir certaines fonctions.

Cependant, il est important de noter que la stimulation physique doit être administrée avec soin et sous la supervision d'un professionnel de santé compétent, car une mauvaise utilisation peut entraîner des effets indésirables ou des blessures.

La contraction musculaire est un processus physiologique où les fibres musculaires raccourcissent, s'épaississent et génèrent de la force. Cela se produit lorsque l'activité électrique stimule le muscle pour contracter, ce qui entraîne le mouvement des os ou d'autres structures corporelles. Les contractions musculaires peuvent être volontaires, comme soulever un objet, ou involontaires, comme le battement de cœur. Elles sont essentielles au fonctionnement normal du corps humain, permettant la mobilité, la circulation sanguine, la respiration et d'autres fonctions vitales.

Les motoneurones gamma sont un type de neurones situés dans la corne antérieure de la moelle épinière, qui font partie du système nerveux périphérique. Ils ont des axones qui se connectent aux fuseaux musculaires et aux organes tendineux de Golgi, qui sont des récepteurs sensoriels situés dans les muscles et les tendons.

Les motoneurones gamma jouent un rôle important dans la modulation du tonus musculaire et des réflexes myotatiques. Ils sont responsables de la contraction des fibres intrafusales des fuseaux musculaires, ce qui permet de maintenir une certaine tension musculaire même au repos.

Lorsque les muscles sont étirés ou soumis à une force extérieure, les organes tendineux de Golgi détectent cette tension et envoient des signaux au cerveau via les neurones sensoriels. Le cerveau répond en activant les motoneurones alpha, qui sont responsables de la contraction des fibres musculaires extrafusales, pour permettre une réponse appropriée du muscle à l'étirement ou à la force extérieure.

Les motoneurones gamma et alpha fonctionnent ensemble pour réguler le tonus musculaire et les mouvements volontaires. Les désordres des motoneurones gamma peuvent entraîner des troubles du mouvement et de la posture, tels que la spasticité et l'hypotonie.

Le rythme cardiaque est la fréquence à laquelle le cœur d'un individu bat, généralement mesurée en battements par minute (bpm). Un rythme cardiaque normal au repos pour un adulte se situe généralement entre 60 et 100 bpm. Cependant, certains facteurs peuvent influencer ce taux, comme l'âge, la condition physique, les émotions, les maladies sous-jacentes et la prise de médicaments.

Le rythme cardiaque est contrôlé par un système électrique dans le cœur qui régule les contractions musculaires pour pomper le sang efficacement. Les médecins peuvent évaluer le rythme cardiaque en prenant le pouls, qui peut être ressenti à divers endroits du corps, tels que le poignet, le cou ou la cheville. Des variations du rythme cardiaque, telles qu'une fréquence cardiaque au repos inférieure à 60 bpm (bradycardie) ou supérieure à 100 bpm (tachycardie), peuvent indiquer des problèmes de santé sous-jacents et doivent être évalués par un professionnel de la santé.

Le système nerveux sympathique est une division du système nerveux autonome qui se prépare à des situations d'urgence en accélérant le rythme cardiaque, en augmentant la pression artérielle, en dilatant les bronches et en fournissant un apport supplémentaire de nutriments et d'oxygène aux muscles. Il est également responsable de la activation de la réponse "combat ou fuite" du corps, ce qui inclut la libération d'hormones telles que l'adrénaline. Le système nerveux sympathique se compose de deux parties : le ganglion cervical supérieur et les chaînes ganglionnaires thoraciques et lombaires, qui sont connectées au système nerveux central par des nerfs crâniens et rachidiens.

Le sinus carotidien est une petite dilatation ou sac situé dans la paroi postérieure de la bifurcation commune de l'artère carotide interne et externe. Il s'agit d'une structure anatomique normale, mais elle est souvent confondue avec une anomalie vasculaire appelée anévrisme carotidien. Le sinus carotidien contient des barorécepteurs qui jouent un rôle important dans la régulation de la pression artérielle en répondant aux changements de la tension de la paroi artérielle. Cependant, il peut très rarement être le site d'une hémorragie potentiellement fatale connue sous le nom de sinus carotidien rupturé.

Le nerf trijumeau, officiellement connu sous le nom de nervus trigeminus, est un nerf crânien pair important dans l'anatomie humaine. Il émerge du tronc cérébral et se divise en trois branches principales : le nerf ophtalmique (V1), le nerf maxillaire (V2) et le nerf mandibulaire (V3).

Chacune de ces branches dessert des régions spécifiques du visage et de la tête, responsable de la innervation sensitive de la peau, des muqueuses, des muscles oculaires et des dents. Le nerf trijumeau est également impliqué dans certaines fonctions motrices, telles que la mastication et la déglutition. Des problèmes avec le nerf trijumeau peuvent entraîner une variété de symptômes désagréables, y compris des douleurs faciales sévères, souvent diagnostiquées comme une névralgie du trijumeau.

La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.

La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.

La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.

Le nerf tibial est un important nerf mixed (transportant à la fois des fibres sensorielles et motrices) dans l'anatomie humaine. Il est une branche terminale du nerf sciatique, qui est le nerf le plus large et le plus long dans le corps humain.

Le nerf tibial descend dans la jambe par la partie postérieure de la cuisse et passe derrière le genou. Il continue sa course vers le bas dans la jambe, où il donne des branches pour les muscles du mollet (les muscles gastrocnémien et soléaire) qui permettent la flexion de la jambe au niveau du genou et la flexion plantaire du pied.

Le nerf tibial fournit également des innervations sensorielles aux zones cutanées situées sur la plante du pied, ainsi qu'aux articulations de la cheville et du pied. Il joue donc un rôle crucial dans la motricité fine et la sensation sensitive de la jambe inférieure et du pied.

La miction est le processus par lequel l'organisme élimine les déchets liquides contenus dans l'urine, à travers la vessie et l'urètre. C'est un processus normal et naturel qui se produit lorsque les muscles de la vessie se contractent, forçant l'urine à sortir du corps par l'urètre. La miction est également appelée « faire pipi » ou « uriner ». Il est important de noter que des problèmes de miction peuvent survenir en raison de diverses affections médicales, telles que les infections des voies urinaires, l'hypertrophie de la prostate et le diabète. Si vous rencontrez des difficultés ou des changements dans votre routine de miction, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des soins médicaux appropriés.

La pression sanguine, également appelée tension artérielle, est la force exercée par le sang sur les parois des artères lorsqu'il est pompé par le cœur. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et s'exprime généralement sous la forme de deux chiffres : la pression systolique (le chiffre supérieur) et la pression diastolique (le chiffre inférieur).

La pression systolique représente la pression dans les artères lorsque le cœur se contracte et pompe le sang dans le corps. La pression diastolique, quant à elle, correspond à la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques, lorsque le cœur est en phase de relaxation et se remplit de sang.

Une pression sanguine normale se situe généralement autour de 120/80 mmHg. Des valeurs supérieures à 130/80 mmHg peuvent être considérées comme étant en pré-hypertension, tandis que des valeurs supérieures à 140/90 mmHg sont généralement associées à une hypertension artérielle. Une pression sanguine élevée peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions rénales.

La vagotomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre sélectivement ou complètement les fibres du nerf vague pour réduire la production d'acide gastrique. Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un nerf crânien pair qui innerve de nombreuses structures dans le thorax et l'abdomen, y compris l'estomac.

Dans la vagotomie sélective, seules les branches du nerf vague qui innervent directement l'estomac sont coupées. Cela permet de préserver les autres fonctions du nerf vague, telles que la régulation cardiaque et respiratoire. Dans la vagotomie transthoracique, également appelée vagotomie complète, le nerf vague est sectionné des deux côtés à la fois, ce qui entraîne une réduction significative de la production d'acide gastrique.

Cette procédure était couramment utilisée dans le passé pour traiter les ulcères peptiques récurrents et leurs complications, telles que l'hémorragie ou la perforation. Cependant, avec l'avènement des médicaments anti-acides puissants et de l'éradication de Helicobacter pylori, la vagotomie est maintenant rarement pratiquée.

Dans un contexte médical et anatomique, le vestibule et le labyrinthe sont des structures importantes de l'oreille interne qui contribuent au maintien de l'équilibre et de la perception de la position du corps dans l'espace.

Le **vestibule** est une cavité située dans la partie postérieure de l'oreille interne, entre les canaux semi-circulaires et le canal cochléaire. Il contient deux récepteurs sensoriels : les crêtes ampullaires et les macules sacculaires. Les crêtes ampullaires détectent les mouvements rotatoires de la tête, tandis que les macules sacculaires perçoivent les accélérations linéaires, telles que la gravité et les changements de direction.

Le **labyrinthe** est un terme plus large qui désigne l'ensemble des structures complexes de l'oreille interne, y compris le vestibule, les canaux semi-circulaires, et le canal cochléaire. Les canaux semi-circulaires sont remplis d'un liquide appelé endolymphe et contiennent des récepteurs sensoriels qui détectent les mouvements de la tête dans différents plans. Le canal cochléaire est une structure en forme de spirale qui abrite l'organe de Corti, responsable de la perception des sons.

Ensemble, ces structures forment le système vestibulaire et auditif, travaillant en harmonie pour maintenir l'équilibre, la posture et la perception auditive.

Les muscles squelettiques, également connus sous le nom de muscles striés squelettiques, sont des types spécifiques de tissus musculaires qui se connectent aux os et à d'autres structures via des tendons. Ils sont responsables de la production de force et de mouvements volontaires du corps. Les muscles squelettiques sont constitués de nombreuses fibres musculaires individuelles, organisées en faisceaux et recouvertes d'une membrane protectrice appelée épimysium. Chaque fibre musculaire est elle-même composée de plusieurs myofibrilles, qui contiennent des protéines contractiles telles que l'actine et la myosine. Ces protéines glissent les unes sur les autres lorsque le muscle se contracte, entraînant ainsi le mouvement des os auxquels elles sont attachées. Les muscles squelettiques peuvent également jouer un rôle dans la stabilisation articulaire, la posture et la thermorégulation du corps.

Les cellules des récepteurs chimiques, également connues sous le nom de cellules réceptrices chimiosensibles, sont un type de cellule sensorielle qui détecte et répond aux changements de concentrations chimiques dans l'environnement. Dans le contexte médical, les cellules des récepteurs chimiques peuvent faire référence à des structures spécifiques dans le corps qui détectent les changements chimiques dans le sang et d'autres fluides corporels, ce qui aide à réguler les fonctions physiologiques importantes telles que la respiration, la pression artérielle et l'équilibre hydro-électrolytique.

Les cellules réceptrices chimiques sont généralement situées dans des organes spécialisés tels que les carotides et aortiques glomérules, le système nerveux périphérique et certains organes internes. Elles contiennent des récepteurs spécialisés qui peuvent détecter une variété de substances chimiques, y compris l'oxygène, le dioxyde de carbone, le pH et d'autres ions.

Lorsqu'une cellule réceptrice chimique est exposée à une substance chimique spécifique, elle déclenche une série de réactions qui aboutissent à la libération d'un neurotransmetteur qui active ou inhibe les neurones adjacents. Ces signaux sont ensuite transmis au cerveau, où ils sont interprétés et utilisés pour réguler diverses fonctions corporelles.

Les cellules réceptrices chimiques jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps et des perturbations de leur fonction peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des troubles respiratoires, cardiovasculaires et neurologiques.

Les nerfs laryngés sont les branches du nerf vague (Xème paire des nerfs crâniens) qui innervent les muscles du larynx, essentiels à la phonation (production de sons) et à la déglutition (swallowing). Il y a deux nerfs laryngés : le nerf laryngé supérieur (NLS) et le nerf laryngé récurrent (NLR).

Le nerf laryngé supérieur est une branche du nerf vague qui quitte le crâne par l'ouverture jugulaire et innerve le muscle crico-thyroïdien, responsable de la tension des cordes vocales. Le nerf laryngé supérieur chemine entre les artères carotides interne et externe avant de se diviser en deux branches : une branche sensorielle qui fournit l'innervation sensitive du larynx au-dessus des cordes vocales, et une branche motrice pour le muscle crico-thyroïdien.

Le nerf laryngé récurrent est également une branche du nerf vague qui quitte le tronc sympathique près de la jonction thoracique et remonte dans le cou, en contournant la face postérieure de la glande thyroïde. Le NLR innerve tous les autres muscles laryngés, à l'exception du muscle crico-thyroïdien, qui est innervé par le NLS. Les muscles laryngés récurrents comprennent le muscle thyro-aryténoïdien, le muscle vocal, le muscle ary-épiglottique et le muscle crico-aryténoïdien postérieur. Le NLR fournit également une innervation sensitive au larynx en dessous des cordes vocales.

Des dommages aux nerfs laryngés peuvent entraîner des dysfonctionnements du larynx, tels que la paralysie des cordes vocales, qui peut se manifester par une voix rauque, faible ou enrouée et, dans certains cas, des difficultés à avaler.

La capsaïcine est un composé actif que l'on trouve dans les piments, responsable de leur saveur piquante et brûlante. Elle est classée comme un irritant pour le système nerveux et peut provoquer une sensation de brûlure lorsqu'elle entre en contact avec la peau ou les muqueuses.

Dans un contexte médical, la capsaïcine est parfois utilisée sous forme de crèmes ou de patchs topiques pour soulager certains types de douleurs neuropathiques ou musculo-squelettiques. Elle agit en désensibilisant les récepteurs de la douleur dans la peau, ce qui peut entraîner une diminution temporaire de la perception de la douleur.

Cependant, l'utilisation de capsaïcine doit être surveillée de près, car elle peut provoquer des effets secondaires tels qu'une irritation cutanée, des rougeurs et des brûlures. Elle ne doit pas être utilisée sur les plaies ouvertes ou les muqueuses, telles que celles à l'intérieur de la bouche ou du nez.

La spasticité musculaire est un trouble du tonus musculaire caractérisé par une augmentation du réflexe tendineux et une résistance accrue au mouvement passif. Elle résulte généralement d'une lésion ou d'une maladie du cerveau ou de la moelle épinière, qui perturbe les voies nerveuses responsables du contrôle musculaire.

Dans des conditions normales, notre système nerveux régule le tonus musculaire pour permettre des mouvements fluides et contrôlés. Cependant, lorsque ces voies sont endommagées, comme dans la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale traumatique, les muscles peuvent devenir raides et difficiles à déplacer.

La spasticité peut affecter n'importe quel muscle du corps mais elle est souvent plus prononcée dans les membres inférieurs. Les symptômes varient d'une personne à l'autre, allant de légers jusqu'à sévères. Ils peuvent inclure des raideurs musculaires, des mouvements involontaires, des secousses musculaires, une démarche rigide ou boiteuse, et des douleurs.

Le traitement de la spasticité vise à gérer les symptômes et à améliorer la fonction et la qualité de vie. Il peut inclure des médicaments, des thérapies physiques, des interventions chirurgicales ou l'utilisation d'appareils orthopédiques.

Les biguanides sont une classe de médicaments antidiabétiques oraux utilisés pour traiter le diabète de type 2. Ils agissent en réduisant la production de glucose dans le foie et en améliorant la sensibilité à l'insuline dans les tissus musculaires et adipeux. Le médicament biguanide le plus couramment prescrit est la metformine, qui est souvent le premier choix pour le traitement de première ligne du diabète de type 2 en raison de son efficacité et de sa sécurité relative.

Les biguanides peuvent également aider à réduire l'absorption des glucides dans l'intestin, ce qui peut entraîner une diminution de la glycémie après les repas. En plus de leurs effets sur le métabolisme du glucose, les biguanides peuvent également offrir d'autres avantages pour la santé, tels que la réduction des niveaux de lipides sanguins et de la pression artérielle.

Cependant, l'utilisation de biguanides peut être associée à certains effets secondaires, notamment des troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements, diarrhée et douleurs abdominales. Dans de rares cas, les biguanides peuvent également entraîner une acidose lactique, une complication métabolique potentiellement mortelle. Par conséquent, les patients prenant des médicaments biguanides doivent être surveillés régulièrement pour détecter tout signe d'acidose lactique ou d'autres effets secondaires indésirables.

Le nerf sural est un nerf sensitif situé dans la partie postérieure de la jambe. Il fournit des sensations cutanées à la région externe de la cheville et du pied, y compris la peau sur le dessus du cinquième métatarsien et les orteils latéraux. Le nerf sural est formé par deux branches nerveuses : la branche commune du nerf fibulaire superficiel et la branche terminale du nerf saphène. Ces deux branches se rejoignent pour former le tronc du nerf sural, qui se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf cutané dorsal externe et le nerf cutané latéral interne. Le nerf sural ne contient pas de fibres motrices, il est uniquement responsable de la sensation tactile et de la proprioception dans sa zone d'innervation.

Les fuseaux neuromusculaires sont des organes sensoriels spécialisés trouvés dans les muscles squelettiques. Ils jouent un rôle crucial dans la proprioception, qui est la conscience de la position et du mouvement des différentes parties du corps. Les fuseaux neuromusculaires se composent de fibres musculaires intrafusales et d'un groupe de terminaisons nerveuses afférentes. Ces terminaisons nerveuses sont responsables de la détection des étirements et des changements de longueur des fibres musculaires intrafusales, ce qui fournit des informations importantes sur la position et le mouvement des muscles et des articulations. Les fuseaux neuromusculaires aident également à réguler et à coordonner les mouvements musculaires involontaires et volontaires.

La réaction de sursaut, également connue sous le nom de startle response en anglais, est un réflexe involontaire et automatique du système nerveux à une menace ou à un stimulus soudain et intense. Ce réflexe est caractérisé par une contraction rapide des muscles, particulièrement ceux du visage, du tronc et des extrémités, ainsi qu'une augmentation de la fréquence cardiaque et de la respiration.

La réaction de sursaut se déclenche lorsqu'un stimulus inattendu ou intense, comme un bruit fort ou une touche soudaine, active le nerf facial et le nerf auditif, qui transmettent ensuite l'information au tronc cérébral. Le tronc cérébral évalue alors la menace et déclenche la réponse de sursaut en activant les muscles striés via la formation réticulée.

Bien que la réaction de sursaut soit un mécanisme de défense important pour faire face aux dangers soudains, elle peut également être exacerbée dans certaines conditions médicales, telles que les troubles anxieux, les troubles du sommeil et les lésions cérébrales. Dans ces cas, une évaluation et un traitement appropriés peuvent être nécessaires pour gérer les symptômes et améliorer la qualité de vie des patients.

La toux est un réflexe protecteur de l'appareil respiratoire qui permet d'expulser les irritants ou les sécrétions des voies aériennes. Elle se traduit par une expiration bruyante et souvent violente, déclenchée par une contraction soudaine du diaphragme et des muscles inspiratoires, suivie d'une brusque ouverture de la glotte.

La toux peut être classifiée en plusieurs catégories selon sa durée, son mécanisme et son caractère :

1. Aiguë (moins de 3 semaines) ou chronique (plus de 8 semaines)
2. Productive (avec expectoration de mucus) ou sèche (sans expectoration)
3. Paroxystique (en quintes) ou non paroxystique
4. Centrale (du à un trouble du contrôle central de la toux) ou périphérique (due à une irritation locale des voies aériennes)
5. Cardiaque (liée à une insuffisance cardiaque congestive) ou non cardiaque

Les causes de la toux sont nombreuses et variées, allant des infections respiratoires virales ou bactériennes aux maladies pulmonaires chroniques (comme la bronchite chronique, l'emphysème ou la BPCO), en passant par les réactions allergiques, l'inhalation d'irritants, le reflux gastro-œsophagien, les médicaments et certaines affections neurologiques.

Le traitement de la toux dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des mesures d'hygiène de vie, des médicaments expectorants ou antitussifs, des bronchodilatateurs, des corticoïdes inhalés, des antibiotiques ou une prise en charge chirurgicale dans certains cas.

En médecine et en ergonomie, la posture fait référence à la position relative des différentes parties du corps les unes par rapport aux autres et à leur orientation par rapport à la gravité. Elle peut être statique, lorsque le corps est immobile, ou dynamique, lorsque le corps est en mouvement. Une bonne posture implique que les articulations soient alignées de manière à répartir uniformément le poids du corps et à minimiser la tension sur les muscles et les ligaments. Une mauvaise posture peut entraîner des douleurs musculaires, des raideurs articulaires, des maux de tête et d'autres problèmes de santé à long terme. Il est donc important de maintenir une posture correcte lorsque l'on est assis, debout ou en mouvement.

Dénervation est un terme médical qui décrit l'état d'un tissu ou d'un organe lorsque les nerfs qui l'innervent et lui permettent de fonctionner normalement sont endommagés, retirés chirurgicalement ou délibérément interrompus. Ce processus peut entraîner une perte de la fonction motrice, sensorielle ou autonome dans la région affectée. La dénervation peut être causée par diverses affections, y compris les lésions nerveuses, les maladies neurodégénératives et les interventions chirurgicales. Dans certains cas, la dénervation peut être partielle ou complète, temporaire ou permanente, en fonction de la gravité de la lésion nerveuse sous-jacente. Les symptômes associés à la dénervation dépendent du type et de la localisation des nerfs affectés. Ils peuvent inclure une faiblesse musculaire, une perte de réflexes, une diminution ou une perte de sensation, des douleurs neuropathiques, une atrophie musculaire et une altération des fonctions autonomes telles que la transpiration, la salivation et la digestion.

En médecine, le "temps de réaction" fait référence à la mesure du temps écoulé entre la présentation d'un stimulus donné et la réponse correspondante d'un individu. Il est fréquemment utilisé pour évaluer les fonctions cognitives et neurologiques dans divers contextes cliniques, tels que l'évaluation des patients atteints de troubles neurocognitifs ou de traumatismes crâniens. Le temps de réaction peut être mesuré en utilisant différents types de stimuli, comme visuels, auditifs ou tactiles, et les résultats sont généralement comparés à des normes établies pour déterminer toute anomalie ou déficience potentielle.

En termes médicaux, un mouvement est décrit comme le processus ou l'acte d'effectuer une fonction musculo-squelettique qui résulte en une modification de la position ou de l'orientation d'une partie du corps ou de l'ensemble du corps. Les mouvements peuvent être volontaires, comme se lever d'une chaise, ou involontaires, tels que les battements de cœur. Ils sont rendus possibles par le fonctionnement coordonné des muscles, des tendons, des ligaments et des articulations, et sont contrôlés par le système nerveux. Les mouvements peuvent également être classés en types spécifiques, tels que flexion (pliage d'une partie du corps sur elle-même), extension (droitement ou redressant une partie du corps), abduction (éloignement d'une partie du corps de l'axe médian du corps) et adduction (rapprochement d'une partie du corps de l'axe médian du corps).

Le péristaltisme est un mouvement ondulatoire qui se produit dans les parois musculaires des tubes creux, tels que les intestins, l'oesophage et les uretères. Ces mouvements aident à propulser le contenu vers le bas ou vers l'extérieur du tube. Dans le tractus gastro-intestinal, le péristaltisme permet de faire avancer les aliments ingérés et les déchets vers le côlon puis vers l'anus pour l'évacuation. Ce processus est contrôlé par le système nerveux entérique, qui est une partie autonome du système nerveux périphérique.

Les muscles sont des organes contractiles qui forment une grande partie du tissu corporel. Ils sont responsables de la mobilité volontaire et involontaire dans le corps humain. Les muscles se contractent pour permettre le mouvement des os, aider à maintenir la posture et contribuer à diverses fonctions corporelles telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine.

Il existe trois types principaux de muscles dans le corps humain :

1. Les muscles squelettiques ou striés : Ils sont attachés aux os par des tendons et leur contraction permet les mouvements volontaires du corps. Ces muscles ont une apparence striée sous un microscope, d'où leur nom.

2. Les muscles lisses : Ce sont des muscles trouvés dans les parois des vaisseaux sanguins, des bronches, de l'utérus et du tube digestif. Ils fonctionnent involontairement, contrôlés par le système nerveux autonome, et participent à des fonctions telles que la circulation, la respiration et la digestion.

3. Le muscle cardiaque : C'est un type spécial de muscle strié qui forme la majeure partie du cœur. Il fonctionne automatiquement sans aucun contrôle volontaire, pompant le sang dans tout le corps.

La capacité des muscles à se contracter et à se détendre provient de leurs propriétés physiques uniques et de la présence de protéines spécialisées telles que l'actine et la myosine, qui glissent les unes contre les autres lorsque le muscle se contracte.

La raideur musculaire est un symptôme caractérisé par une résistance accrue à l'étirement d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cette résistance peut être ressentie par le patient lors des mouvements volontaires (raideur active) ou peut être détectée par un examinateur pendant les manipulations passives (raideur passive).

La raideur musculaire peut être causée par une variété de facteurs, y compris des troubles neuromusculaires, des lésions tissulaires, des infections, des réactions inflammatoires ou des processus dégénératifs. Elle peut également être liée à des conditions telles que la spasticité, qui est un trouble du tonus musculaire associé aux lésions de la moelle épinière ou à certaines maladies neurologiques comme la sclérose en plaques.

Le traitement de la raideur musculaire dépendra de la cause sous-jacente. Il peut inclure des étirements, de la physiothérapie, des médicaments pour soulager la spasticité ou l'inflammation, ou dans certains cas, des interventions chirurgicales.

Bradycardie est un terme médical qui se réfère à une fréquence cardiaque au repos anormalement basse, généralement inférieure à 60 battements par minute chez les adultes. Chez certaines personnes, comme les athlètes d'endurance entraînés, une fréquence cardiaque au repos plus lente peut être normale en raison de leur condition physique améliorée.

Cependant, une bradycardie peut également être le résultat d'un problème sous-jacent avec le système de conduction électrique du cœur ou d'une affection médicale sous-jacente telle qu'une maladie thyroïdienne, une maladie cardiaque, une infection, un traumatisme ou certains médicaments.

Les symptômes de la bradycardie peuvent inclure des étourdissements, des évanouissements, une fatigue extrême, une douleur thoracique, des difficultés respiratoires et un rythme cardiaque irrégulier. Dans les cas graves, une bradycardie peut entraîner une insuffisance cardiaque ou même la mort.

Le traitement de la bradycardie dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la surveillance régulière de la fréquence cardiaque peut être suffisante. Cependant, dans d'autres cas, un traitement médical ou chirurgical peut être nécessaire pour corriger le problème sous-jacent.

Le nerf fibulaire commun, également connu sous le nom de nerf péronier commun, est un nerf mixte (transportant à la fois des informations sensorielles et motrices) qui émerge du faisceau postérieur de la moelle épinière au niveau de la quatrième ou de la cinquième vertèbre lombaire. Il descend dans la jambe en passant derrière le muscle biceps fémoral, puis traverse la loge postérieure de la jambe en compagnie des vaisseaux sanguins poplités superficiels.

Dans la loge postérieure de la jambe, il donne des branches musculaires qui innervent les muscles de la loge postérieure (par exemple, le muscle gastrocnémien, le muscle soléaire, le muscle plantaire). Il se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf fibulaire superficiel et le nerf fibulaire profond.

Le nerf fibulaire superficiel chemine sous la membrane interosseuse de la jambe et donne des branches sensorielles aux régions cutanées latérales de la jambe et du dos du pied, ainsi que des branches motrices aux muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle long fibulaire, le muscle court fibulaire).

Le nerf fibulaire profond chemine entre les deux muscles tête du péronier et aponévrose interosseuse et innerve les muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle tibial antérieur, le muscle long extenseur des orteils, le muscle long extenseur de l'hallux). Il donne également une branche articulaire pour l'articulation de la cheville et du pied.

Des lésions ou des compressions du nerf fibulaire commun peuvent entraîner une perte de sensation dans les régions cutanées innervées, ainsi qu'une faiblesse ou une paralysie des muscles innervés, ce qui peut se traduire par des difficultés à marcher et à maintenir l'équilibre.

La cordotomie est une procédure chirurgicale interventionniste dans laquelle les fibres nerveuses situées dans la colonne vertébrale sont sectionnées. Cette procédure est le plus souvent effectuée pour traiter la douleur chronique sévère et persistante, en particulier chez les patients atteints de cancer en phase terminale.

La cordotomie implique généralement la section des fibres nerveuses spécifiques dans la corne dorsale de la moelle épinière à des niveaux cervicaux ou thoraciques, selon le site de la douleur du patient. Cette intervention peut entraîner une perte de sensation et/ou de mouvement dans certaines parties du corps situées du côté opposé au site de l'intervention.

Bien que la cordotomie puisse être très efficace pour soulager certains types de douleur, elle comporte des risques potentiels, tels que des complications liées à l'anesthésie, des infections, des hématomes et des lésions nerveuses. De plus, les effets bénéfiques de la procédure peuvent ne pas être permanents et la douleur peut réapparaître avec le temps. Par conséquent, cette intervention est généralement réservée aux patients qui ont épuisé toutes les autres options de traitement et qui continuent à souffrir de douleurs intolérables.

Un membre pelvien, dans le contexte de l'anatomie humaine, se réfère aux organes situés dans la cavité pelvienne. Chez les femmes, cela inclut l'utérus, les trompes de Fallope, les ovaires et la vessie, ainsi que le vagin et la région périvaginale. Chez les hommes, cela comprend la prostate, les vésicules séminales, les glandes de Cowper, la bulle urétrale, l'ampoule rectale et le canal déférent, ainsi que la vessie. Les membres pelviens sont soutenus par un certain nombre de ligaments, de muscles et de fascia qui forment le plancher pelvien.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir ne semble pas être correcte. Il est possible qu'il y ait une faute d'orthographe ou une erreur dans la formulation. Je suppose que vous voulez peut-être demander une définition médicale pour les "statoconia" ou "otoconia" et leur membrane associée, appelée "membrane otolithique".

Les statoconia (ou otoconia) sont de minuscules cristaux de carbonate de calcium trouvés dans l'oreille interne. Ils se trouvent dans la zone utricle et saccule de l'organe vestibulaire, qui est responsable du maintien de l'équilibre et de la détection des mouvements linéaires de la tête. Les statoconia sont contenus dans une membrane flexible appelée "membrane otolithique".

Lorsque la tête se déplace, les statoconia se déplacent également en raison de la gravité et de l'inertie, ce qui provoque des déplacements de la membrane otolithique. Ces mouvements sont détectés par les cellules ciliées situées dans l'utricle et le saccule, qui envoient ensuite des signaux au cerveau pour lui permettre de réguler la posture et les mouvements du corps.

Des problèmes avec les statoconia ou la membrane otolithique peuvent entraîner des vertiges et d'autres symptômes liés à l'équilibre, tels que des nausées et des difficultés à se concentrer.

Le noyau du tractus solitaire, également connu sous le nom de nucléus tractus solitarii (NTS), est une structure importante du système nerveux central qui joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes et de certaines sensations viscérales. Il s'agit d'un noyau situé dans la médulla oblongata, plus précisément dans la partie caudale du bulbe rachidien.

Le NTS reçoit des afférences (influx nerveux entrants) de plusieurs régions du corps, y compris les barorécepteurs et les chimiorécepteurs situés dans les artères carotides et aortiques, les récepteurs gustatifs de la langue, les mécanorécepteurs des organes des sensations viscérales (par exemple, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, la vésicule biliaire et le pancréas), ainsi que les récepteurs pulmonaires.

Les informations transmises au noyau du tractus solitaire sont intégrées et relayées vers d'autres structures cérébrales, telles que le noyau ambigu et le noyau dorsal vagale, qui régulent les fonctions cardiovasculaires, respiratoires, gastro-intestinales et autres fonctions autonomes. Le NTS est également impliqué dans la modulation de la prise alimentaire, de la satiété et de la déglutition.

En résumé, le noyau du tractus solitaire est un centre nerveux important qui reçoit, intègre et transmet des informations sensorielles et régule diverses fonctions autonomes et viscérales.

L'inhibition nerveuse est un processus physiologique dans le système nerveux où les neurones, ou cellules nerveuses, régulent l'activité des autres neurones en diminuant leur excitabilité et leur taux de décharge. Cela se produit lorsqu'un neurone inhibiteur libère des neurotransmetteurs inhibiteurs, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique) ou le glycine, dans la fente synaptique, ce qui entraîne une hyperpolarisation de la membrane postsynaptique du neurone cible. En conséquence, il devient plus difficile pour le neurone cible d'atteindre le seuil d'activation et de générer des potentiels d'action, réduisant ainsi son activité globale.

L'inhibition nerveuse joue un rôle crucial dans la modulation de l'activité neuronale et contribue à la régulation des circuits neuronaux impliqués dans divers processus physiologiques et comportementaux, tels que la perception sensorielle, la motricité, la cognition et l'humeur. Un déséquilibre de l'inhibition nerveuse a été associé à plusieurs troubles neurologiques et psychiatriques, y compris l'épilepsie, l'anxiété, la dépression et les troubles neurodégénératifs.

En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).

Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).

Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.

Le terme « mouvement tête » n'a pas de définition spécifique en médecine. Il peut être utilisé pour décrire un large éventail de mouvements ou de fonctions impliquant la tête et le cou. Cependant, dans un contexte clinique, le « test du mouvement tête » fait référence à une procédure utilisée pour évaluer la fonction et la mobilité de l'articulation temporo-mandibulaire (ATM) et des muscles environnants du cou et de la tête.

Lors d'un test de mouvement tête, le professionnel de la santé demande généralement au patient d'effectuer une série de mouvements spécifiques de la tête et du cou, tels que l'ouverture et la fermeture de la bouche, la déviation latérale et la protrusion de la mâchoire inférieure. Pendant ces mouvements, le prestataire observe et évalue la amplitude, la douleur, la fluidité et la qualité globale du mouvement.

Des limitations ou des douleurs pendant les mouvements tête peuvent indiquer la présence de problèmes ou de conditions affectant l'ATM ou les muscles environnants, tels que le dysfonctionnement de l'articulation temporo-mandibulaire (DTM), les troubles myofasciaux douloureux (TMD) ou les maux de tête associés à la tension.

Il est important de noter qu'un professionnel de la santé qualifié devrait toujours effectuer et interpréter ces tests dans un contexte clinique approprié.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Dans le contexte médical et neurologique, les voies efférentes font référence aux fibres nerveuses ou aux nerfs qui transmettent des impulsions nerveuses du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) vers les muscles squelettiques ou d'autres organes effecteurs. Autrement dit, ces voies sont responsables de la conduite des signaux nerveux qui commandent et contrôlent les mouvements musculaires volontaires et involontaires, ainsi que certaines sécrétions glandulaires et fonctions viscérales. Un exemple bien connu de voie efférente est le nerf moteur qui innerve les muscles squelettiques pour permettre la contraction musculaire et donc le mouvement.

En médecine, la rotation fait référence à un mouvement qui entraîne une partie du corps ou un objet autour d'un axe fixe ou imaginaire. Ce type de mouvement est mesuré en degrés et peut être décrit comme étant effectué dans le sens des aiguilles d'une montre (horaire) ou dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (antihoraire).

Dans un contexte clinique, la rotation est souvent utilisée pour décrire les mouvements de certaines parties du corps telles que la tête, le cou, les épaules, les hanches et les membres inférieurs. Par exemple, lors d'un examen physique, un médecin peut demander à un patient de tourner sa tête vers la gauche ou la droite pour évaluer la mobilité cervicale et rechercher toute limitation ou douleur.

De plus, dans le domaine de la chirurgie, la rotation fait référence au déplacement d'un organe ou d'une structure anatomique de sa position normale à une nouvelle position autour d'un axe fixe. Cela peut être réalisé par des techniques chirurgicales spécifiques telles que la rotation du grêle dans les cas de malabsorption intestinale.

En résumé, la rotation est un mouvement important en médecine qui permet d'évaluer la fonction et la mobilité des différentes parties du corps, ainsi que d'effectuer certaines procédures chirurgicales complexes.

Les mouvements oculaires, également connus sous le nom de mouvements des yeux, se réfèrent aux mouvements involontaires ou volontaires des globes oculaires. Ils sont essentiels pour la fonction visuelle normale, y compris la perception de la profondeur, la poursuite et le maintien de la focalisation sur un objet en mouvement ou stationnaire.

Il existe différents types de mouvements oculaires, notamment :

1. Mouvements saccadiques : Ce sont des mouvements rapides et brusques des yeux qui se produisent lorsque vous regardez autour de votre environnement. Ils permettent aux yeux de passer d'un point fixe à un autre.

2. Mouvements lisses ou poursuites : Ces mouvements se produisent lorsque vous suivez un objet en mouvement, comme une voiture qui passe devant vous. Les muscles oculaires se contractent et s'étirent de manière coordonnée pour permettre aux yeux de suivre l'objet sans interruption.

3. Mouvements de fixation : Il s'agit de petits mouvements oculaires qui se produisent lorsque vous maintenez votre regard sur un objet stationnaire. Ces mouvements aident à maintenir la focalisation et la clarté visuelle.

4. Mouvements vestibulaires : Ces mouvements sont déclenchés par le système vestibulaire dans l'oreille interne et se produisent en réponse aux changements de position de la tête. Ils aident à stabiliser les images sur la rétine lorsque vous bougez la tête.

Des anomalies ou des problèmes dans les mouvements oculaires peuvent indiquer des troubles neurologiques sous-jacents, tels que des lésions cérébrales, des maladies dégénératives ou des affections musculaires. Par conséquent, une évaluation approfondie des mouvements oculaires est souvent utilisée dans le diagnostic et le suivi de ces conditions.

Le nystagmus physiologique, également connu sous le nom de nystagmus physiologique spontané, est un type de mouvement oculaire involontaire qui se produit normalement dans certaines conditions. Il s'agit d'un mouvement rapide et lent des yeux qui se produit généralement lorsque les yeux sont dans une position extrême de regard vers la gauche ou vers la droite, en haut ou en bas.

Le nystagmus physiologique est souvent observé lorsque quelqu'un regarde vers les côtés tout en se déplaçant rapidement, comme dans un véhicule en mouvement, ou lorsqu'il tourne la tête de manière répétée dans une direction donnée. Ce type de nystagmus est considéré comme normal et ne doit pas être confondu avec le nystagmus pathologique, qui peut être un signe de divers problèmes médicaux, tels que des lésions cérébrales ou des troubles vestibulaires.

Le nystagmus physiologique est généralement de faible amplitude et ne perturbe pas la vision de manière significative. Il est souvent asymétrique, ce qui signifie que les mouvements oculaires peuvent être plus prononcés dans une direction que dans l'autre. Dans certains cas, le nystagmus peut disparaître complètement lorsque la tête est maintenue dans une position neutre ou lorsque les yeux sont au repos.

La proprioception est la conscience de la position et du mouvement des différentes parties du corps, qui est perçue grâce à des récepteurs spécialisés dans les muscles, les tendons, les ligaments et les articulations. Elle permet au cerveau de recevoir des informations sur la posture et le mouvement en cours, contribuant ainsi à maintenir l'équilibre, la coordination et la stabilité du corps pendant les activités quotidiennes et lors de la pratique d'exercices ou de sports. Une atteinte à la proprioception peut entraîner des difficultés à contrôler les mouvements volontaires et à maintenir l'équilibre, ce qui peut augmenter le risque de chutes et de blessures.

Le myélencéphale est la région la plus caudale (postérieure) du tronc cérébral dans le système nerveux central. Il contient des parties importantes du bulbe rachidien et du pont, y compris les noyaux des nerfs crâniens III, IV, V, VI, VIIII, X, and XI. Le myélencéphale joue un rôle crucial dans la régulation de fonctions vitales telles que la respiration, la déglutition, et le maintien de la posture et du mouvement. Il contient également des neurones qui contrôlent les réflexes spinales et contribue à la coordination des mouvements oculaires et de la tête.

La vessie urinaire est un organe musculo-membraneux situé dans la cavité pelvienne, qui stocke l'urine produite par les reins jusqu'à ce qu'elle soit éliminée du corps par le processus de miction. C'est un réservoir flexible qui peut s'étirer pour accueillir environ 500 ml d'urine. La paroi de la vessie est composée de plusieurs couches, dont la muqueuse, la sous-muqueuse, la musculeuse et l'adventice.

La capacité de la vessie à se détendre et à se contracter est contrôlée par le système nerveux autonome. Pendant le remplissage de la vessie, les récepteurs d'étirement envoient des signaux au cerveau pour maintenir la relaxation du muscle detrusor de la vessie. Une fois que la quantité d'urine dans la vessie atteint un certain niveau, le cerveau active le muscle detrusor pour contracter et provoquer l'envie d'uriner.

La dysfonction de la vessie urinaire peut entraîner des symptômes tels que des mictions fréquentes, une urgence à uriner, une incontinence urinaire ou une rétention urinaire. Ces problèmes peuvent être causés par divers facteurs, y compris des dommages aux nerfs, des troubles musculaires, des infections des voies urinaires, des calculs vésicaux, des tumeurs ou des maladies neurologiques sous-jacentes.

La déglutition est un processus complexe et essentiel qui consiste à acheminer en toute sécurité les aliments et les liquides de la bouche vers l'estomac pour la digestion. Elle implique une coordination précise entre plusieurs muscles et nerfs du visage, de la bouche, du pharynx et de l'œsophage. On distingue généralement trois phases dans le processus de déglutition :

1. Phase orale : Cette première phase est volontaire et implique la préhension et la mastication des aliments pour former une boule alimentaire appelée bolus. Les lèvres, les joues, la langue et les dents travaillent ensemble pour former le bolus, qui sera ensuite propulsé vers l'arrière de la gorge.

2. Phase pharyngée : Lorsque le bolus atteint l'arrière de la gorge, cette phase devient involontaire et est déclenchée par des réflexes sensoriels. Les muscles du pharynx se contractent pour pousser le bolus vers le bas, tandis que les cordes vocales se ferment pour empêcher les aliments d'entrer dans les voies respiratoires. En même temps, l'épiglotte, une structure en forme de feuille située à l'entrée du larynx, se relève pour protéger les voies respiratoires.

3. Phase œsophagienne : Dans cette dernière phase, le bolus est propulsé dans l'œsophage par une série de contractions musculaires appelées péristaltisme. L'œsophage se contracte en vagues successives, poussant le bolus vers le bas jusqu'à ce qu'il atteigne l'estomac. Un sphincter situé à la jonction entre l'œsophage et l'estomac, appelé sphincter inférieur de l'œsophage, s'ouvre pour permettre au bolus de pénétrer dans l'estomac avant de se refermer pour empêcher le reflux acide.

Tout au long de ces phases, des mécanismes complexes de régulation et de coordination sont mis en œuvre pour assurer une déglutition sûre et efficace. Les troubles de la déglutition peuvent survenir lorsque l'un de ces mécanismes est altéré ou ne fonctionne pas correctement, entraînant des symptômes tels que la difficulté à avaler, les fausses routes, la douleur pendant l'avalement et le risque d'inhalation des aliments dans les poumons.

En termes médicaux, la vibration est décrite comme une forme mécanique d'énergie qui se propage sous forme d'ondulations ou de mouvements oscillatoires. Ces vibrations peuvent être créées par des stimuli externes ou internes et sont perçues par notre système sensoriel, en particulier les récepteurs sensoriels dans notre système musculo-squelettique.

Les vibrations peuvent avoir différentes fréquences (nombre d'oscillations par seconde) et amplitudes (distance de déplacement pendant chaque oscillation). Elles sont utilisées en médecine diagnostique et thérapeutique, comme dans l'échographie médicale où des vibrations à haute fréquence sont utilisées pour produire des images du corps humain.

Dans un contexte clinique, la sensation de vibration est également testée pour évaluer le fonctionnement du système nerveux périphérique et du système musculo-squelettique. Par exemple, une diminution ou une absence de perception des vibrations peut indiquer des neuropathies ou d'autres troubles neurologiques sous-jacents.

Les mécanorécepteurs pulmonaires sont des récepteurs sensoriels situés dans les parois des voies respiratoires et des poumons qui détectent les changements mécaniques dans l'environnement respiratoire. Ils répondent à divers stimuli, tels que la distension, le flux d'air et la pression, et convertissent ces signaux physiques en impulsions nerveuses qui sont transmises au cerveau.

Il existe deux principaux types de mécanorécepteurs pulmonaires :

1. Les récepteurs irritants lents (RSIs) : Ils se trouvent dans les petites voies respiratoires et les alvéoles pulmonaires. Les RSIs sont sensibles à la distension et à la déformation des parois des voies respiratoires et des poumons. Lorsqu'ils sont stimulés, ils déclenchent une réponse de toux et un raccourcissement de l'inspiration pour protéger les poumons contre les dommages.

2. Les récepteurs de la pression pulmonaire (RPP) : Ils se trouvent dans les artères pulmonaires et les bronches. Les RPP sont sensibles à la pression et au débit sanguin dans les vaisseaux pulmonaires. Lorsqu'ils sont stimulés, ils déclenchent une réponse de bradycardie (ralentissement du rythme cardiaque) pour réguler la circulation sanguine dans les poumons.

Les mécanorécepteurs pulmonaires jouent un rôle important dans la régulation de la respiration et de la circulation sanguine, en particulier pendant l'exercice et l'effort physique. Les anomalies des mécanorécepteurs pulmonaires peuvent entraîner des troubles respiratoires et cardiovasculaires, tels que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'hypertension artérielle pulmonaire.

Les nocicepteurs sont des récepteurs sensoriels spécialisés qui détectent les stimuli potentiellement dommageables ou nocifs pour le tissu corporel. Ils sont sensibles à divers types de stimuli nocifs tels que la chaleur extrême, le froid extrême, les étirements excessifs, les pressions mécaniques intenses et certaines substances chimiques. Les nocicepteurs convertissent ces stimuli en signaux électriques qui sont transmis au cerveau via le système nerveux, où ils sont perçus comme des sensations douloureuses.

Il existe deux types de nocicepteurs : les nocicepteurs Aδ et les nocicepteurs C. Les nocicepteurs Aδ sont myélinisés et répondent rapidement aux stimuli nocifs, transmettant des signaux de douleur aiguë et bien localisée. Les nocicepteurs C sont non myélinisés et répondent plus lentement aux stimuli nocifs, transmettant des signaux de douleur diffuse et persistante.

Les nocicepteurs sont largement distribués dans tout le corps, en particulier dans la peau, les muscles, les articulations, les viscères et d'autres tissus. Leur activation entraîne une réponse de défense du corps pour éviter ou minimiser les dommages tissulaires. Cependant, une activation prolongée ou excessive des nocicepteurs peut contribuer au développement de diverses conditions douloureuses chroniques.

Le muscle masséter est un muscle facial important situé dans la mâchoire, responsable de la fonction de mastication. Il s'étend des processus zygomatiques de l'os temporal vers le bord inférieur de la mandibule (os de la mâchoire inférieure) et se compose de deux faisceaux : le superficiel et le profond.

Le muscle masséter superficiel est le plus grand des deux, s'insérant sur la face externe de la branche de la mandibule et participant aux mouvements de fermeture de la mâchoire et de grincement des dents. Le muscle masséter profond, quant à lui, se fixe sur la surface interne de la ramus (branche montante) de la mandibule et est principalement actif lors des mouvements de déglutition et de mastication.

Des douleurs ou des gonflements du muscle masséter peuvent être le signe d'affections telles que le bruxisme (grincement excessif des dents), les infections dentaires, les troubles temporo-mandibulaires ou les traumatismes. Une évaluation et un traitement appropriés par un professionnel de la santé bucco-dentaire sont recommandés en cas de préoccupations concernant le muscle masséter.

Le nerf vestibulaire, également connu sous le nom de huitième nerf crânien ou nervus vestibulocochlearis, est un paquet de deux nerfs distincts mais intrinsèquement liés qui sont responsables de la transmission des informations sensorielles vers le cerveau en ce qui concerne l'équilibre et l'audition.

Le premier nerf, appelé le nerf vestibulaire proprement dit, est divisé en trois branches: le canal vestibulaire postérieur, le canal vestibulaire supérieur et le sacculus. Ces branches sont responsables de la détection des mouvements linéaires et angulaires de la tête via les canaux semi-circulaires et l'otolithe dans l'oreille interne.

Le deuxième nerf, appelé le nerf cochléaire ou auditeur, est responsable de la détection des sons et de leur transmission au cerveau. Il se divise en deux branches: les fibres bipolaires qui forment le ganglion spiral et les fibres nerveuses qui se connectent à l'organe de Corti dans la cochlée.

Les deux nerfs, vestibulaire et auditif, se combinent pour former le nerf vestibulocochléaire avant d'entrer dans le cerveau au niveau du sillon bulbo-pontique. Les informations qu'il transmet sont cruciales pour maintenir l'équilibre, la posture et les mouvements oculaires coordonnés.

L'anesthesie est un processus médical qui consiste à induire une perte de sensation temporaire dans une partie ou dans tout le corps d'un patient, généralement pour des procédures médicales ou chirurgicales. Il existe plusieurs types d'anesthesies, y compris l'anesthésie générale (qui endort le patient), l'anesthésie régionale (qui engourdit une partie spécifique du corps) et l'analgésie procédurale (qui réduit la douleur pendant une procédure spécifique).

L'anesthésie est généralement administrée par un anesthésiste, qui est un médecin spécialement formé pour administrer et gérer l'anesthésie. Avant de recevoir l'anesthésie, le patient sera généralement évalué pour déterminer les risques potentiels associés à la procédure et pour déterminer le type d'anesthésie le plus approprié.

Pendant l'anesthésie, le patient est surveillé de près pour assurer sa sécurité et son confort. Les effets secondaires courants de l'anesthésie comprennent la nausée, les vomissements, la confusion et la douleur après la procédure. Dans de rares cas, des complications plus graves peuvent survenir, telles que des réactions allergiques à l'anesthésique ou des problèmes respiratoires.

Dans l'ensemble, l'anesthésie est un outil important et essentiel dans la médecine moderne qui permet aux patients de subir des procédures médicales et chirurgicales douloureuses ou invasives avec un minimum de douleur et de détresse.

Un spasme est un terme médical décrivant une contraction soudaine, involontaire et souvent douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cela peut survenir en réponse à un étirement, une fatigue, une irritation, une maladie ou une lésion des nerfs qui contrôlent ces muscles. Les spasmes peuvent également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains contextes, le terme "spasme" peut aussi se référer à une constriction soudaine et involontaire d'un vaisseau sanguin ou d'une autre structure anatomique.

Le canal anal est une partie anatomique qui fait référence au passage situé entre le rectum et l'anus. Il a une longueur d'environ 3 à 4 centimètres et est entouré de muscles, appelés muscles sphincters, qui assurent la continence fécale en se contractant et en se relâchant pour contrôler l'évacuation des selles.

Le canal anal est composé de deux parties : le haut, qui est tapissé de muqueuse rectale et s'appelle le canal anal supérieur ou ampoule rectale ; et le bas, qui est recouvert d'épithélium squameux et s'appelle le canal anal inférieur.

Des affections telles que les fissures anales, les hémorroïdes et les cancers peuvent affecter le canal anal et causer des symptômes tels que des douleurs, des saignements et des démangeaisons.

Le tronc cérébral est une structure cruciale du système nerveux central qui connecte la majeure partie du cerveau avec la moelle épinière. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des fonctions vitales automatiques telles que la respiration, la fréquence cardiaque et la pression artérielle.

Le tronc cérébral est composé de trois segments principaux : le mésencéphale (ou le milieu du tronc cérébral), le pont (ou pont de Varole) et la moelle allongée (ou bulbe rachidien). Chacun de ces segments contient divers noyaux et fascicules qui sont responsables de différentes fonctions, y compris la sensation, le mouvement, l'équilibre, les réflexes et la conscience.

Le tronc cérébral est également important pour les voies sensorielles et motrices qui traversent le cerveau. Par exemple, il contient les noyaux des nerfs crâniens III à XII, qui sont responsables de la vision, de l'ouïe, de l'équilibre, du mouvement des yeux, du goût, de la déglutition et d'autres fonctions importantes.

Des dommages au tronc cérébral peuvent entraîner de graves conséquences sur la santé, y compris des problèmes respiratoires, des troubles cardiovasculaires, une perte de conscience et même le décès.

En médecine, la pression est généralement définie comme la force exercée par un objet sur une surface donnée. L'unité de mesure standard pour la pression est le pascal (Pa), qui équivaut à une force d'une newton (N) répartie sur une surface d'un mètre carré (m²).

Cependant, dans un contexte clinique, la pression est souvent utilisée pour décrire deux concepts spécifiques:

1. La pression artérielle: c'est la force que le sang exerce sur les parois des vaisseaux sanguins. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et se compose de deux parties - la pression systolique (la pression maximale lorsque le cœur bat) et la pression diastolique (la pression minimale entre les battements cardiaques).

2. La pression intracrânienne (ICP): c'est la pression à l'intérieur du crâne. Une ICP normale se situe généralement entre 5 et 15 mmHg. Des niveaux anormalement élevés peuvent indiquer un traumatisme crânien, une tumeur cérébrale ou d'autres affections neurologiques graves.

Les conduits semicirculaires sont des structures situées dans l'oreille interne qui font partie du système vestibulaire, responsable de notre sens de l'équilibre et de la détection des mouvements de la tête. Il y a trois conduits semicirculaires dans chaque oreille, chacun étant orienté dans un plan différent : horizontal, antérieur et postérieur.

Chaque conduit est rempli d'une substance gélatineuse appelée endolymphe. Lorsque la tête se déplace, les mouvements de l'endolymphe stimulent les cils des cellules ciliées à l'intérieur du conduit. Ces cellules ciliées transforment ensuite ces mouvements en impulsions nerveuses qui sont envoyées au cerveau via le nerf vestibulaire.

Le cerveau interprète ces impulsions pour déterminer la position et les mouvements de la tête, ce qui nous permet de maintenir notre équilibre et de garder une image stable de notre environnement même lorsque nous sommes en mouvement. Les conduits semicirculaires travaillent en combinaison avec d'autres structures de l'oreille interne, telles que l'utricule et le saccule, pour fournir des informations complètes sur la position et les mouvements de la tête.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

L'habituation psychophysiologique est un processus d'adaptation au fil du temps où l'organisme cesse de répondre à des stimuli répétitifs et sans danger. Il s'agit d'un type d'apprentissage non associatif qui se produit en réponse à une diminution de la sensibilité neuronale due à une exposition répétée à un stimulus spécifique. Ce phénomène a été démontré dans divers systèmes physiologiques, y compris le système cardiovasculaire, respiratoire et neuroendocrinien.

Dans le contexte médical, l'habituation psychophysiologique est souvent étudiée comme un moyen de comprendre et de traiter les réponses physiologiques excessives ou inadaptées à des stimuli courants. Par exemple, elle peut être utilisée pour aider à gérer les symptômes de l'anxiété ou de la douleur chronique en exposant le patient à des stimuli qui déclenchent une réponse physiologique indésirable, dans le but de diminuer progressivement cette réponse au fil du temps.

Il est important de noter que l'habituation psychophysiologique ne doit pas être confondue avec la tolérance pharmacologique, qui est un processus distinct impliquant des changements dans la réactivité cellulaire et moléculaire en réponse à une exposition prolongée à des médicaments ou à d'autres substances psychoactives.

Les paupières sont des structures mobiles qui recouvrent et protègent les yeux. Elles sont composées de plusieurs couches, y compris la peau, le tissu conjonctif, le muscle et la muqueuse. Les paupières servent à humidifier les yeux en répartissant les larmes, à protéger les yeux des corps étrangers, des rayons lumineux excessifs et des agents infectieux, et à faciliter la vision en clignant pour nettoyer et humidifier la surface de l'œil. Elles peuvent également réagir au sommeil, à la fatigue ou à d'autres stimuli émotionnels en se fermant partiellement ou complètement.

L'urètre est un canal musculo-membraneux qui sert de conduit pour l'évacuation des urines et du sperme. Chez les hommes, il mesure environ 20 centimètres de longueur et passe par la prostate et le pénis pour évacuer l'urine hors du corps. Chez les femmes, il est beaucoup plus court, mesurant environ 4 centimètres de longueur, et sert uniquement à évacuer l'urine hors du corps en passant par le vestibule vulvaire. L'urètre peut être affecté par diverses affections médicales, telles que les infections des voies urinaires, les calculs rénaux, les rétrécissements de l'urètre et le cancer de la prostate chez les hommes.

La chloralose est un dépresseur du système nerveux central qui est utilisé comme sédatif et hypnotique. Il s'agit d'un composé organochloré, formé par l'esterification de l'acide chlorique et de l'alcool 2,2,2-trichloroéthanol. La chloralose est connue pour ses propriétés soporifiques et anesthésiques, et elle a été historiquement utilisée comme sédatif et hypnotique chez l'homme.

Cependant, en raison de ses effets secondaires graves, tels que des dommages au foie et aux reins, ainsi que d'une dépression respiratoire potentiellement mortelle, la chloralose n'est plus largement utilisée chez l'homme. Aujourd'hui, il est principalement utilisé comme rodenticide pour contrôler les populations de rongeurs dans les fermes et les entrepôts.

Il est important de noter que la chloralose est considérée comme une substance hautement toxique pour les humains et les animaux, et elle doit être manipulée avec soin pour éviter l'exposition accidentelle. Si vous soupçonnez une exposition à la chloralose, il est important de consulter immédiatement un médecin ou de contacter le centre antipoison local.

Je suis désolé, "chiens" est un terme général qui fait référence à une espèce spécifique d'animaux domestiques et non à une condition ou à un état médical. Les chiens (Canis lupus familiaris) sont des mammifères carnivores de la famille des Canidae. Ils sont souvent considérés comme les plus anciens animaux domestiqués par l'homme, depuis probablement 20 000 à 40 000 ans. Les chiens existent en plusieurs races, tailles et formes, avec des variations significatives dans leur apparence, leur tempérament et leurs capacités. Ils sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur loyauté, de leur intelligence et de leur capacité à être formés.

Si vous cherchez une définition médicale ou des informations sur un sujet spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Atropine est un médicament anticholinergique utilisé pour bloquer les effets du neurotransmetteur acétylcholine dans le corps. Il est dérivé de la plante belladone, également connue sous le nom de morelle fausse belladone ou datura.

Atropine a plusieurs utilisations médicales. Elle peut être utilisée pour traiter les symptômes du syndrome du côlon irritable, tels que les crampes d'estomac et la diarrhée. Il est également utilisé pour dilater les pupilles lors des examens ophtalmologiques et pour réduire les sécrétions dans la bouche, le nez et les poumons avant une intervention chirurgicale.

En outre, l'atropine peut être utilisée comme antidote pour le poison de certains champignons vénéneux et plantes, ainsi que pour les insecticides organophosphorés. Il fonctionne en bloquant les effets de l'acétylcholine, qui est la substance chimique responsable des symptômes toxiques.

Les effets secondaires courants de l'atropine comprennent une bouche sèche, une vision floue, une augmentation du rythme cardiaque, des étourdissements et une constipation. Dans de rares cas, il peut provoquer des hallucinations, une agitation ou une confusion. L'atropine doit être utilisée avec prudence chez les personnes âgées, car elles peuvent être plus sensibles à ses effets.

La conduction nerveuse est le processus par lequel un stimulus ou un signal électrique est transmis le long d'un neurone (cellule nerveuse) ou d'un faisceau de neurones. Ce processus permet la communication entre différentes parties du système nerveux et joue un rôle crucial dans la coordination des fonctions corporelles, telles que la sensation, le mouvement, les émotions et la pensée.

La conduction nerveuse se produit grâce à des changements dans la perméabilité membranaire qui permettent aux ions de traverser la membrane cellulaire. Lorsqu'un neurone est stimulé, une petite quantité d'ions sodium (Na+) traverse la membrane cellulaire, ce qui entraîne un changement de charge électrique et déclenche l'ouverture de canaux ioniques supplémentaires. Cela permet à un plus grand nombre d'ions Na+ de pénétrer dans le neurone, créant ainsi un potentiel d'action qui se propage le long de la membrane cellulaire jusqu'à atteindre l'extrémité du neurone.

Une fois que le potentiel d'action atteint l'extrémité du neurone, il déclenche la libération de neurotransmetteurs qui peuvent traverser la fente synaptique et se lier à des récepteurs situés sur une autre cellule nerveuse. Cela permet de transmettre le signal électrique d'un neurone à l'autre, ce qui permet la communication entre différentes parties du système nerveux.

La conduction nerveuse peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies neurologiques, les traumatismes, les toxines et les médicaments. Des anomalies dans la conduction nerveuse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des engourdissements, des picotements, des faiblesses musculaires, des douleurs neuropathiques et des troubles sensoriels.

Le larynx est un organe situé dans la partie supérieure du cou, à la jonction de la cavité buccale et du tractus respiratoire inférieur. Il sert principalement de voie de conduction pour l'air inspiré et expiré, ainsi que d'organe vocal permettant la production des sons et des paroles.

Anatomiquement, le larynx est composé de plusieurs structures, dont les cartilages (thyroïde, cricoïde, épiglottis, aryténoïdes, corniculés et cuneiformes), les ligaments et les muscles. Les cordes vocales, situées dans la région sous-glottique du larynx, sont des membranes vocales tendues entre les cartilages aryténoïdes qui vibrent lors du passage de l'air pour produire la voix.

Le larynx joue également un rôle important dans la protection des voies respiratoires inférieures en se fermant pendant la déglutition pour empêcher la nourriture et les liquides d'entrer dans les poumons. Des affections telles que les lésions, les infections, l'inflammation, le cancer peuvent affecter le fonctionnement normal du larynx et entraîner des symptômes tels que la dysphonie (voix enrouée), la douleur, la toux, l'enrouement, la dyspnée (essoufflement) ou la strangulation.

Les muscles masticateurs sont un groupe de muscles qui jouent un rôle crucial dans la fonction de mastication ou de broyage des aliments. Ils sont situés dans la région de la tête et du cou, attachés à la mandibule (mâchoire inférieure) et au crâne. Les quatre muscles masticateurs comprennent :

1. Le muscle masséter : C'est le muscle le plus puissant de la mastication. Il est situé sur les côtés de la mâchoire inférieure et s'attache à la gorge et aux dents de la mâchoire inférieure. Son action principale est de soulever la mâchoire inférieure, aidant à la fonction de mordre ou de broyer les aliments.

2. Le muscle temporal : Il est situé sur le côté du crâne, au-dessus de l'oreille. Ce muscle se divise en deux parties : la partie antérieure (frontale) et la partie postérieure (postérieure). La partie antérieure aide à soulever la mâchoire supérieure, tandis que la partie postérieure aide à rétracter la mâchoire inférieure.

3. Le muscle ptérygoïdien médial : Il est situé en profondeur dans la joue, près de la articulation temporo-mandibulaire (ATM). Ce muscle participe à plusieurs mouvements de la mâchoire, notamment la protraction (avancement) et la médiation (retrait) de la mâchoire inférieure, ainsi que le soulèvement de la mâchoire supérieure.

4. Le muscle ptérygoïdien latéral : Il est également situé en profondeur dans la joue, mais il est plus postérieur que le muscle ptérygoïdien médial. Ce muscle est responsable de la protraction (avancement) et de la latération (mouvement latéral) de la mâchoire inférieure.

En résumé, les muscles masticateurs sont un groupe de muscles qui travaillent ensemble pour permettre les mouvements de la mâchoire inférieure et supérieure, ce qui est essentiel pour des fonctions telles que la mastication, la déglutition et la parole.

Un potentiel d'action est un bref changement rapide du potentiel membranaire (c'est-à-dire la différence de charge électrique entre l'intérieur et l'extérieur d'une cellule) d'une cellule excitante, telle qu'un neurone ou une fibre musculaire. Il résulte d'un flux d'ions à travers la membrane cellulaire et se propage le long de celle-ci, généralement sous forme d'une dépolarisation suivie d'une repolarisation et d'une hyperpolarisation transitoires. Les potentiels d'action sont essentiels pour la communication et la coordination entre les cellules excitables dans des systèmes tels que le système nerveux et le système cardiovasculaire. Ils sont générés par l'ouverture séquentielle de canaux ioniques spécifiques dans la membrane cellulaire, ce qui entraîne un mouvement d'ions et une modification du potentiel membranaire.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

En termes médicaux, la jambe se réfère généralement à la partie inférieure de l'extrémité inférieure, situé sous le genou et s'étendant jusqu'au pied. Il comprend trois segments : la cuisse (partie supérieure), le mollet (partie centrale) et le avant-pied/tarse/pied (partie inférieure). La jambe contient plusieurs os, y compris la fibula et le tibia dans le mollet, ainsi que plusieurs muscles, tendons, ligaments, artères, veines et nerfs qui travaillent ensemble pour permettre la mobilité et assurer la fonction de la jambe.

Les voies nerveuses, dans un contexte médical, se réfèrent à des séquences distinctes de neurones qui transmettent des impulsions nerveuses ou des signaux électriques à travers le système nerveux central et périphérique. Ces voies sont composées de deux types de neurones : les neurones sensoriels, qui détectent les stimuli internes ou externes, et les neurones moteurs, qui transmettent des commandes pour contrôler les mouvements musculaires et d'autres réponses.

Les voies nerveuses peuvent être classées en fonction de leur localisation anatomique et de leur fonction spécifique. Par exemple :

1. Voies sensorielles : Elles transmettent des informations sensorielles, telles que la douleur, le toucher, la température, la proprioception (sensibilité positionnelle) et les stimuli vestibulaires (équilibre), du corps périphérique vers le cerveau.

2. Voies motrices : Elles transmettent des commandes motrices du cerveau vers les muscles squelettiques, ce qui entraîne la contraction musculaire et les mouvements volontaires.

3. Voies autonomes : Ces voies régulent les fonctions automatiques du corps, telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la digestion et la respiration. Elles peuvent être soit sympathiques (responsables de la réponse "combat ou fuite") soit parasympathiques (responsables de la relaxation et de la restauration).

4. Voies réflexes : Ces voies comprennent des circuits neuronaux simples qui provoquent une réponse rapide à un stimulus spécifique, sans nécessiter d'implication consciente du cerveau. Un exemple courant est le réflexe de retrait, où le contact avec une surface douloureuse ou brûlante entraîne automatiquement le retrait rapide de la partie touchée du corps.

Les lésions des voies nerveuses peuvent entraîner divers symptômes, tels que des engourdissements, des picotements, une faiblesse musculaire, des douleurs et une perte de sensation ou de mouvement dans certaines parties du corps. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la lésion nerveuse et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une intervention chirurgicale ou d'autres options thérapeutiques.

La "Milk Ejection" ou "Letdown Reflex" est un réflexe physiologique qui se produit pendant l'allaitement maternel. Lorsque le bébé tète ou lorsqu'il y a une stimulation de la poitrine, les hormones ocytocine et prolactine sont libérées dans le sang. L'ocytocine provoque alors la contraction des cellules myoépithéliales situées dans les canaux galactophores des seins, ce qui entraîne l'expulsion du lait maternel hors des alvéoles mammaires et vers les canaux galactophores. Ce réflexe permet au lait de s'écouler facilement des seins et d'être disponible pour le bébé. Le réflexe de milk ejection peut être ressenti par la mère comme une sensation de picotement, de tension ou de relâchement dans les seins.

La peau est le plus grand organe du corps humain, servant de barrière physique entre l'intérieur du corps et son environnement extérieur. Elle a plusieurs fonctions importantes, y compris la protection contre les agents pathogènes, les dommages mécaniques, les variations de température et les rayons ultraviolets du soleil.

La peau est composée de trois couches principales : l'épiderme, le derme et l'hypoderme. L'épiderme est la couche externe, constituée principalement de cellules mortes qui sont constamment shed and replaced. The dermis, just below the epidermis, contains tough connective tissue, sweat glands, hair follicles, and blood vessels. The hypodermis is the deepest layer, composed of fat and connective tissue that provides padding and insulation for the body.

In addition to providing protection, the skin also plays a role in sensation through nerve endings that detect touch, temperature, and pain. It helps regulate body temperature through sweat glands that release perspiration to cool the body down when it's hot. Furthermore, the skin synthesizes vitamin D when exposed to sunlight.

Maintaining healthy skin is important for overall health and well-being. Proper care includes protecting it from excessive sun exposure, keeping it clean, moisturized, and nourished with essential nutrients.

Le système cardiovasculaire, également connu sous le nom de système circulatoire, est un réseau complexe d'organes et de tissus qui travaillent en harmonie pour assurer la circulation du sang et la distribution des nutriments, de l'oxygène et des hormones dans tout le corps. Il se compose principalement du cœur, des vaisseaux sanguins (artères, veines et capillaires) et du sang.

Le cœur est une pompe musculaire puissante qui fonctionne continuellement pour propulser le sang oxygéné et chargé de nutriments vers les différents tissus et organes via les artères, tandis que les veines retournent le sang désoxygéné vers le cœur. Les capillaires sont des vaisseaux sanguins minuscules où se produisent les échanges gazeux entre le sang et les cellules corporelles, permettant à l'oxygène de pénétrer dans les tissus et au dioxyde de carbone de quitter le corps.

Le système cardiovasculaire joue un rôle crucial dans la régulation de la pression artérielle, du volume sanguin, de la fréquence cardiaque et de la distribution des nutriments et des déchets métaboliques. Des facteurs tels que l'alimentation, l'exercice, le stress, les maladies sous-jacentes et les habitudes de vie peuvent influencer la santé et le fonctionnement du système cardiovasculaire. Les affections courantes comprennent l'hypertension artérielle, l'athérosclérose, l'insuffisance cardiaque, les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux.

La pupille est la partie circulaire noire au centre de l'iris, l'anneau coloré de l'œil. Elle se dilate et se contracte pour réguler la quantité de lumière qui pénètre dans l'œil. Cette fonction permet d'adapter la vision en fonction de l'intensité lumineuse ambiante. La taille de la pupille peut rétrécir jusqu'à 2 millimètres de diamètre en présence d'une forte luminosité et s'élargir jusqu'à 8 millimètres dans l'obscurité. Des variations anormales de la taille ou de la réactivité des pupilles peuvent être le signe de divers troubles neurologiques ou oculaires.

La mâchoire, dans le contexte de l'anatomie humaine, se réfère aux os qui forment les structures rigides qui permettent la mastication et la manipulation des aliments. Elle est composée de deux parties : le maxillaire supérieur (ou maxille) et la mandibule (ou maxillaire inférieur).

Le maxillaire supérieur est un os pair, non mobile, qui forme la partie principale de la face et contient les cavités nasales et maxillaires. Il s'articule avec le crâne et d'autres os faciaux.

La mandibule, quant à elle, est l'os le plus volumineux de la face et le seul os mobile de la mâchoire. Elle forme la mâchoire inférieure et s'articule avec le crâne au niveau de la tempe par l'intermédiaire de l'articulation temporo-mandibulaire, ce qui permet les mouvements de mastication et d'ouverture/fermeture de la bouche.

En médecine dentaire et en chirurgie maxillo-faciale, la santé et le fonctionnement de la mâchoire sont d'une importance capitale pour des fonctions telles que la mastication, la déglutition, la parole et la respiration. Des problèmes tels que les douleurs articulaires, les désalignements dentaires, les fractures ou les tumeurs de la mâchoire peuvent nécessiter un traitement médical ou chirurgical approprié.

Les noyaux vestibulaires sont des groupes de cellules nerveuses situées dans le tronc cérébral qui forment une partie essentielle du système vestibulaire. Le système vestibulaire est responsable du maintien de l'équilibre et de la posture, ainsi que de la perception des mouvements de la tête et du corps dans l'espace.

Les noyaux vestibulaires reçoivent des informations sensorielles en provenance des récepteurs situés dans l'oreille interne, appelés les canaux semi-circulaires et les otolithes. Ces récepteurs détectent les mouvements de la tête et des changements de position du corps dans l'espace. Les informations sensorielles sont ensuite transmises aux noyaux vestibulaires, où elles sont traitées et intégrées avec d'autres informations provenant d'autres parties du système nerveux central.

Les noyaux vestibulaires peuvent être divisés en plusieurs sous-régions, chacune ayant des fonctions spécifiques. Par exemple, certains noyaux sont responsables de la régulation de la posture et des mouvements oculaires, tandis que d'autres sont impliqués dans les réflexes de protection tels que le réflexe nauséeux.

Des lésions ou des dysfonctionnements des noyaux vestibulaires peuvent entraîner des symptômes tels que des vertiges, des étourdissements, des nausées et une mauvaise coordination des mouvements. Ces symptômes peuvent être temporaires ou permanents, en fonction de la gravité de la lésion ou de la maladie sous-jacente.

Les neurofibres sont des fibres nerveuses spécialisées qui constituent la partie conductrice du neurone, ou cellule nerveuse. Elles sont composées d'axones, qui sont les prolongements cytoplasmiques des neurones, entourés d'une gaine de myéline protectrice produite par les cellules gliales appelées cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique.

Les neurofibres sont responsables de la transmission des impulsions nerveuses, ou signaux électriques, entre les neurones et d'autres parties du corps, telles que les muscles et les glandes. Elles peuvent être classées en deux types principaux : les neurofibres myélinisées, qui sont entourées de plusieurs couches de myéline pour une conduction rapide des impulsions nerveuses, et les neurofibres amyéliniques, qui n'ont pas de gaine de myéline et ont donc une conduction plus lente.

Les neurofibres peuvent être affectées par diverses conditions médicales, telles que les tumeurs des nerfs périphériques, qui peuvent entraîner une augmentation du volume des neurofibres et une compression des structures environnantes. Les neurofibromatoses sont des troubles génétiques caractérisés par la croissance de tumeurs bénignes sur les neurofibres, ce qui peut entraîner divers symptômes en fonction de la localisation et de l'extension des tumeurs.

Le système nerveux autonome (SNA), également connu sous le nom de système nerveux involontaire, est une partie complexe et cruciale du système nerveux central qui contrôle les fonctions corporelles automatiquement, sans aucun contrôle volontaire conscient. Il régule des processus vitaux tels que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration, la digestion, la température corporelle, l'équilibre hydrique et électrolytique, et d'autres réponses physiologiques aux facteurs internes et externes.

Le SNA se compose de deux sous-systèmes principaux : le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique. Le système nerveux sympathique prépare le corps à réagir au stress ou à l'excitation, déclenchant la "réponse de combat ou de fuite". Il accélère le rythme cardiaque, élève la pression artérielle, dilate les pupilles, accélère la respiration et ralentit la digestion.

D'un autre côté, le système nerveux parasympathique permet au corps de se détendre et de revenir à un état normal après une réponse au stress. Il ralentit le rythme cardiaque, abaisse la pression artérielle, rétrécit les pupilles, accélère la digestion et favorise d'autres processus de restauration et de régénération.

Le SNA fonctionne grâce à des neurones spécialisés qui libèrent des neurotransmetteurs spécifiques pour transmettre des signaux électriques entre les cellules nerveuses. L'acétylcholine est le principal neurotransmetteur du système nerveux parasympathique, tandis que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (également appelée norepinephrine) sont les principaux neurotransmetteurs du système nerveux sympathique.

Les déséquilibres dans le fonctionnement du SNA peuvent entraîner divers problèmes de santé, notamment des maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle, l'anxiété, la dépression et d'autres troubles mentaux. Par conséquent, il est essentiel de maintenir un équilibre entre les systèmes nerveux sympathique et parasympathique pour assurer une santé optimale.

Je suis désolé, "Skin Physiological Phenomena" est trop large et vague comme terme, car la physiologie de la peau couvre de nombreux aspects et processus différents. Cela peut inclure des phénomènes tels que la transpiration, la production de sébum, la croissance et le renouvellement des cellules cutanées, la réponse inflammatoire, la pigmentation, la cicatrisation des plaies, et bien d'autres.

Permettez-moi de vous donner une brève explication de certains de ces phénomènes physiologiques de la peau :

1. Transpiration : La transpiration est un processus par lequel les glandes sudoripares sécrètent une solution aqueuse pour réguler la température corporelle en s'évaporant à la surface de la peau.

2. Production de sébum : Les glandes sébacées produisent du sébum, une substance huileuse qui maintient la peau et les cheveux hydratés et protégés. Un déséquilibre dans la production de sébum peut entraîner des problèmes de peau tels que l'acné.

3. Croissance et renouvellement des cellules cutanées : La peau est constamment exposée à des dommages environnementaux, il est donc essentiel qu'elle puisse se réparer et se régénérer. Les cellules de la peau, appelées kératinocytes, se développent dans les couches inférieures de la peau, migrent vers la surface et sont finalement exfoliées. Ce processus prend environ 28 jours.

4. Réponse inflammatoire : La peau est capable de réagir aux agents pathogènes et aux dommages tissulaires en déclenchant une réponse inflammatoire, qui implique la libération de médiateurs chimiques pour attirer les cellules immunitaires vers le site de l'inflammation.

5. Pigmentation : La peau contient des mélanocytes qui produisent de la mélanine, un pigment qui protège la peau des dommages causés par les rayons UV. Les différences dans la production et la distribution de mélanine déterminent la couleur de la peau.

En termes médicaux, la locomotion se réfère au mouvement ou à la capacité de se déplacer d'un endroit à un autre. Cela implique généralement l'utilisation des membres et du tronc pour se déplacer dans l'environnement. La locomotion est une fonction motrice complexe qui nécessite une coordination adéquate entre les systèmes nerveux central et périphérique, ainsi que la force et l'endurance musculaires appropriées.

Les personnes atteintes de certaines conditions médicales, telles que des lésions de la moelle épinière ou des maladies neurodégénératives comme la sclérose en plaques, peuvent avoir des difficultés avec la locomotion. Des interventions thérapeutiques, y compris la physiothérapie et l'entraînement à la marche, peuvent être utiles pour améliorer la capacité de locomotion chez ces individus.

Il est important de noter que la définition de la locomotion peut varier légèrement en fonction du contexte médical ou scientifique spécifique. Par exemple, dans le domaine de la robotique, la locomotion peut se référer au mouvement d'un robot ou d'un appareil prosthétique.

La cheville est une articulation complexe située entre le tibia et le péroné, deux os de la jambe, et l'astragale, un os du pied. Elle permet la flexion d'extension et la rotation latérale de la jambe par rapport au pied. La cheville est également composée de ligaments qui assurent la stabilité de l'articulation et des tendons qui relient les muscles aux os. Les problèmes courants affectant la cheville comprennent les entorses, les foulures, les fractures et l'arthrite. La douleur à la cheville peut être le signe d'une blessure ou d'une maladie sous-jacente et devrait être évaluée par un professionnel de la santé.

Les phénomènes physiologiques respiratoires se réfèrent aux processus et réactions normaux qui se produisent dans le système respiratoire pour permettre la ventilation, l'oxygénation des tissus et l'élimination du dioxyde de carbone. Cela comprend:

1. Ventilation: Il s'agit du mouvement de l'air entre l'environnement extérieur et les poumons, permettant l'apport d'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est accompli par la contraction et le relâchement des muscles respiratoires, y compris le diaphragme et les intercostaux.

2. Échanges gazeux: C'est le processus d'absorption de l'oxygène dans le sang et du rejet du dioxyde de carbone par les poumons. L'oxygène se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les tissus corporels, tandis que le dioxyde de carbone est libéré des tissus dans le sang et est éliminé par les poumons.

3. Régulation de l'acidose respiratoire: Le système respiratoire joue un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin en ajustant les niveaux de dioxyde de carbone. En cas d'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone, les centres respiratoires du cerveau sont stimulés pour augmenter la ventilation, réduisant ainsi les niveaux de dioxyde de carbone et rétablissant l'équilibre acido-basique.

4. Mécanique respiratoire: Il s'agit des forces physiques impliquées dans le processus de ventilation, y compris la résistance des voies respiratoires, la compliance pulmonaire et la force musculaire. La mécanique respiratoire est essentielle pour assurer un mouvement efficace de l'air vers et depuis les poumons.

5. Contrôle nerveux de la respiration: Le système nerveux autonome régule la fréquence et la profondeur de la respiration via des centres respiratoires situés dans le tronc cérébral. Ces centres reçoivent des entrées sensorimotrices et chimiques qui influencent l'activité respiratoire, garantissant ainsi une ventilation adéquate en réponse aux changements de l'environnement interne et externe.

Le système vasomoteur est un réseau complexe de vaisseaux sanguins et nerveux qui régulent le diamètre des vaisseaux sanguins (principalement les artérioles) en réponse à divers stimuli. Ce processus de contraction ou de dilatation des vaisseaux sanguins est appelé vasoconstriction et vasodilatation respectivement.

Le système vasomoteur est essentiel pour maintenir l'homéostasie du corps en régulant le flux sanguin vers différents organes et tissus en fonction de leurs besoins métaboliques changeants. Il joue également un rôle crucial dans la réponse à divers stimuli, tels que les changements de température, l'exercice, le stress émotionnel et les hormones.

Le système vasomoteur est contrôlé par deux types de mécanismes: les mécanismes neurogènes et locaux. Les mécanismes neurogènes impliquent des neurones sympathiques qui libèrent des neurotransmetteurs, tels que la noradrénaline, pour provoquer une vasoconstriction. D'autre part, les mécanismes locaux sont médiés par des substances chimiques produites dans les tissus environnants, telles que l'oxyde nitrique et le monoxyde d'azote, qui provoquent une vasodilatation.

Le dysfonctionnement du système vasomoteur a été impliqué dans diverses maladies, telles que l'hypertension artérielle, l'athérosclérose et l'insuffisance cardiaque congestive.

L'articulation talocrurale est l'articulation située entre le talus (un os du tarse) et les os du tibia et du fibula (os de la jambe). Elle est également connue sous le nom d'articulation de la cheville. Cette articulation permet la flexion dorsale et plantaire (pointage des orteils vers le haut ou vers le bas) et la rotation latérale de la cheville. Les mouvements de l'articulation talocrurale sont importants pour la marche, la course et d'autres activités physiques. Des problèmes avec cette articulation peuvent entraîner des douleurs et une limitation de la mobilité.

Les voies nerveuses autonomes, également connues sous le nom de système nerveux autonome ou végétatif, forment un réseau complexe de neurones qui régulent les fonctions involontaires du corps. Elles contrôlent les activités des organes internes comme le cœur, les poumons, les vaisseaux sanguins, les glandes endocrines et le tube digestif, sans qu'il soit nécessaire de faire appel à la volonté consciente.

Le système nerveux autonome se divise en deux parties principales :

1. Le système sympathique : il prépare l'organisme à réagir face au stress ou aux situations d'urgence grâce à la libération d'hormones telles que l'adrénaline. Ses effets comprennent l'accélération du rythme cardiaque, la dilatation des pupilles, la constriction des vaisseaux sanguins cutanés et l'augmentation de la respiration.

2. Le système parasympathique : il favorise le repos, la digestion et la conservation de l'énergie. Ses effets incluent la diminution du rythme cardiaque, la relaxation des muscles lisses des bronches et des vaisseaux sanguins, la stimulation de la sécrétion glandulaire et la promotion de la motilité intestinale.

Ces deux systèmes travaillent ensemble pour maintenir l'homéostasie du corps, en ajustant les réponses aux changements internes et externes. Des dysfonctionnements des voies nerveuses autonomes peuvent entraîner divers troubles médicaux, tels que l'hypertension artérielle, le diabète, les maladies cardiovasculaires et les problèmes gastro-intestinaux.

L'angiographie par résonance magnétique (ARM) est une technique d'imagerie médicale non invasive utilisant un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images détaillées des vaisseaux sanguins. Contrairement à l'angiographie conventionnelle, qui nécessite l'injection de produit de contraste dans les vaisseaux sanguins par une ponction artérielle, l'ARM utilise un agent de contraste intraveineux pour améliorer la visualisation des vaisseaux sanguins.

Cette procédure permet aux médecins d'évaluer les malformations vasculaires, les rétrécissements ou les blocages des artères et des veines, ainsi que les anévrismes et les dissections vasculaires. Elle est souvent utilisée pour évaluer les vaisseaux sanguins du cerveau, du cou, du thorax, de l'abdomen et des membres inférieurs.

L'ARM est généralement considérée comme une procédure sûre avec peu d'effets secondaires. Cependant, certaines personnes peuvent présenter des réactions allergiques à l'agent de contraste utilisé pendant la procédure. De plus, les personnes portant des dispositifs médicaux internes, telles que des stimulateurs cardiaques ou des implants cochléaires, doivent informer leur médecin avant de subir une ARM, car ces dispositifs peuvent être affectés par le champ magnétique.

Le réflexe trigémino-cardiaque est un réflexe oculocardiaque qui se produit en réponse à des stimuli sur les branches ophtalmique et maxillaire du nerf trijumeau (le cinquième nerf crânien). Ce réflexe provoque une bradycardie sinusale, une pause sinusale ou même un arrêt cardiaque dans des cas graves. Il est plus fréquemment observé chez les nourrissons et les jeunes enfants qu'chez les adultes.

Le réflexe se produit lorsqu'il y a une stimulation du nerf trijumeau, comme pendant un examen ophtalmologique ou une intervention chirurgicale oculaire, ce qui entraîne une activation du noyau vague situé dans le tronc cérébral. Cette activation provoque une réponse vagale excessive, entraînant une bradycardie ou un arrêt cardiaque.

Le réflexe trigémino-cardiaque est généralement bénin et disparaît généralement avec l'âge. Cependant, dans certains cas, il peut être associé à des conditions neurologiques sous-jacentes telles que l'hydrocéphalie ou les malformations du tronc cérébral. Par conséquent, une évaluation médicale approfondie est nécessaire pour exclure toute condition sous-jacente grave.

Les muscles du pharynx, également connus sous le nom de muscle constricteur du pharynx, sont un groupe de muscles situés dans la paroi du pharynx, qui est la partie supérieure du tube digestif derrière la cavité nasale et la bouche. Le pharynx sert à la fois de voie respiratoire et alimentaire.

Les muscles du pharynx jouent un rôle crucial dans le processus de déglutition (swallowing) en aidant à pousser les aliments ou les liquides vers l'oesophage lorsqu'ils sont avalés. Ils contribuent également au maintien de la pression nécessaire pour que les poumons puissent fonctionner correctement pendant la respiration.

Ce groupe musculaire se compose de trois couches distinctes : le muscle constricteur supérieur, le muscle constricteur moyen et le muscle constricteur inférieur. Chacun de ces muscles a une origine et une insertion différentes, ce qui leur permet de fonctionner ensemble pour assurer la constriction et la relaxation appropriées du pharynx pendant les activités de déglutition et de respiration.

La myoclonie est un type de spasme musculaire involontaire caractérisé par des contractions soudaines et brèves des muscles, souvent comparées à des secousses ou des mouvements ressemblant à des battements. Ces mouvements peuvent affecter un seul muscle ou un groupe de muscles et peuvent survenir au repos ou pendant des activités volontaires. Les myoclonies peuvent être causées par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives, des infections, des troubles métaboliques ou des réactions médicamenteuses. Elles peuvent également se produire sans cause apparente et sont alors appelées myoclonies essentielles. Dans certains cas, les myoclonies peuvent être traitées avec des médicaments ou d'autres thérapies, mais dans d'autres situations, elles peuvent être difficiles à gérer et avoir un impact significatif sur la qualité de vie d'une personne.

L'hexaméthonium est un agent bloquant les ganglions parasympathiques qui est utilisé en médecine pour provoquer une relaxation musculaire. Il fonctionne en empêchant la transmission des impulsions nerveuses entre le système nerveux somatique et les muscles squelettiques. Cela peut être utile dans certaines procédures médicales et chirurgicales où une relaxation musculaire est nécessaire.

L'hexaméthonium agit en se liant aux canaux sodiques dépendants du voltage dans la membrane pré-synaptique, empêchant ainsi la libération d'acétylcholine et d'autres neurotransmetteurs. Cela entraîne une paralysie musculaire, qui peut être réversible à l'arrêt de l'administration du médicament.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de l'hexaméthonium est limitée en raison de ses effets secondaires graves, tels que la dépression respiratoire, l'hypotension et le risque accru de développer des arythmies cardiaques. Par conséquent, il n'est généralement utilisé que dans des situations où les avantages potentiels l'emportent sur les risques.

Dans le contexte médical, le terme "torque" fait référence à une force ou un couple qui provoque une torsion ou une rotation. Il est mesuré en newton-mètres (Nm) et est souvent utilisé dans le domaine de l'orthopédie pour décrire la tension ou la compression appliquée aux implants, telles que les vis, les plaques et les broches, pour stabiliser une fracture osseuse ou fixer une articulation. Une quantité appropriée de torque est cruciale pour assurer la stabilité de l'implant et prévenir les complications telles que la migration de l'implant, la fatigue de l'implant ou la fracture osseuse.

Dans un contexte médical, la tête est la partie supérieure du corps d'un humain ou d'un animal, généralement reliée au reste du corps par le cou. Elle contient des structures vitales telles que le cerveau, les yeux, les oreilles, le nez et la bouche. La tête peut également inclure les cheveux, la peau, les muscles faciaux, les glandes salivaires et d'autres tissus mous et osseux. Les médecins peuvent examiner et traiter divers problèmes de santé affectant la tête, y compris les traumatismes crâniens, les infections, les tumeurs cérébrales, les migraines et d'autres affections neurologiques ou ORL.

Les neurofibres non-myélinisées sont des fibres nerveuses dans le système nerveux périphérique qui ne sont pas entourées d'une gaine de myéline. La myéline est une substance grasse produite par les cellules gliales, qui agit comme un isolant électrique pour accélérer la conduction des impulsions nerveuses.

Dans le cas des neurofibres non-myélinisées, les axones (les prolongements des neurones) sont directement en contact avec l'environnement extracellulaire et sont donc exposés aux interférences extérieures. Ces fibres nerveuses sont généralement plus petites que les neurofibres myélinisées et conduisent les impulsions nerveuses plus lentement.

Les neurofibres non-myélinisées jouent un rôle important dans la transmission de signaux sensoriels tels que la douleur, la température et le toucher léger. Les dommages ou les dysfonctionnements de ces fibres peuvent entraîner des troubles neurologiques tels que la neuropathie périphérique, qui peut se manifester par des symptômes tels que des douleurs, des picotements, des engourdissements et une faiblesse musculaire.

Un éternuement, également connu sous le nom de sternutation, est une expiration soudaine et brève d'air par le nez et la bouche, généralement accompagnée du resserrement des muscles respiratoires. Il se produit comme une réaction involontaire à un irritant dans les voies nasales ou comme un réflexe auto-protecteur pour expulser tout agent étranger ou irritant présent dans le nez. Les éternuements peuvent également être déclenchés par des changements soudains de température, une lumière vive, un rhume des foins ou d'autres allergies, ainsi que par certaines infections respiratoires telles que la grippe et le rhume. Dans certains cas, les éternuements peuvent également être le résultat d'une affection sous-jacente plus grave, comme une tumeur nasale ou un trouble neurologique.

Une injection intrarachidienne est un type d'injection effectuée dans l'espace épidural situé dans la colonne vertébrale. Plus précisément, il s'agit d'une injection dans l'espace rachidien, qui contient le liquide céphalo-rachidien (LCR), les nerfs spinaux et la moelle épinière.

Ce type d'injection est généralement utilisé à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Par exemple, il peut être utilisé pour administrer des anesthésiques ou des stéroïdes pour soulager la douleur dans le bas du dos ou les membres inférieurs, ou pour réaliser des ponctions lombaires à des fins diagnostiques.

L'injection intrarachidienne est une procédure médicale invasive qui doit être réalisée par un professionnel de santé qualifié et expérimenté, dans un environnement contrôlé et stérile, en raison du risque potentiel de complications telles que des infections, des saignements ou des lésions nerveuses.

Le réflexe de Babinski est caractérisé par un mouvement réflexe anormal des orteils chez l'adulte. D. Chabot; G.Depasse; D.F.M. ...
Un marteau à réflexes est utilisé pour ces tests. Les réflexes cutanés, dont le réflexe cutané plantaire. La sensibilité, ce ... La recherche de mouvements anormaux. La force musculaire, cotée sur une échelle de 0 à 5 (testing analytique selon le British ... le réflexe achiléen. Un réflexe vif suggère une anomalie de la voie pyramidale (motoneurone supérieur), alors que des réflexes ... Les réflexes ostéotendineux : masséter, les tendons des biceps et triceps, les tendons des rotules, ...
On peut détecter trois types de réponses anormales dans la recherche d'un réflexe : l'absence de réponse ; réflexe pendulaire ... Le réflexe ostéotendineux (ou réflexe d'extension) est la contraction réflexe d'un muscle étiré brusquement, composé de deux ... contrôle du réflexe, par un acte volontaire). Ces mécanismes sont différents du réflexe. Le réflexe myotatique met en jeu un ... réflexe diffusé, un élargissement de la zone réflexe). L'examen des réflexes se fait de manière bilatérale et comparative, ...
Une persistance du clignement, aussi connu comme le signe de Myerson, est anormale et indique probablement un relâchement ... Le réflexe glabellaire est un réflexe archaïque dont la fonction est la protection des yeux chez le nouveau-né. Il est provoqué ... Primitive reflexes in Parkinson's disease », Journal of Neurology, Neurosurgery, and Psychiatry, vol. 56,‎ 1993, p. 1323-1326 ( ...
Notamment dans les centres de soins longs où les malades n'ont que de faibles réflexes respiratoires et un état mental anormal ... Cette action présente le risque d'endommager les installations et d'entraîner une turbidité anormale. La désinfection thermique ...
et un réflexe neuroendocrinien : l'ovulation réflexe, provoquée par le coït. Les réflexes sexuels innés permettent la ... Il n'est donc pas "biologiquement anormal" d'observer parfois chez les mammifères non-primates des activités sexuelles sans ... Chez les mammifères, il existe 3 types de réflexes sexuels innés : moteurs, autonomes et neuroendocriniens. les réflexes ... les réflexes sexuels (lordose (flèches orange), érection, poussées pelviennes, éjaculation, ovulation réflexe lors du coït ...
... un blépharospasme ou des réflexes vestibulo-oculaires anormaux. L'ataxie peut entraîner des troubles de la marche sévères avec ... des signes dysautonomiques avec fluctuation de la pression artérielle et du rythme cardiaque ainsi que des mouvements anormaux ...
L'ectopie testiculaire désigne toute position anormale du testicule (hors du scrotum). Elle peut concerner un seul (80 % des ... à l'occasion de certains mouvements ou d'un réflexe crémastérien dû à un stress (froid, émotions, coup...), le testicule ... était inutile pour les retards anormaux de descente testiculaire, et ne faisait que légèrement accélérer un processus naturel ... à une migration verticale périodique et anormale du testicule hors du scrotum ; dans ce cas, ...
Les EEG sont anormaux, et concordent avec le tableau clinique ; neurologique et psychologique qui signent une détérioration ... neurologique progressive et un vieillissement précoce (avec apparition du réflexe palmo-mental archaïque chez environ 40 % des ... à la suite d'une prolifération anormale des fibres de collagène. Il portait en outre deux tumeurs rénales et une tumeur dans la ...
Des alertes par courriel ou SMS sont déclenchées en cas de situation anormale, et les données peuvent être consultées sur un ... On ajoutera les actions réflexes à cette surveillance du système. Ce sont les réactions automatisées en fonctions d'alertes ... rapporter et alerter les fonctionnements normaux et anormaux des systèmes informatiques. Elle répond aux préoccupations ...
... les spasmes musculaires et les réflexes anormaux. Les maladies du motoneurone pur ou celles qui ne présentent que des UMN ... réflexes rapides, réflexe de Babinski, réflexe de Hoffman, augmentation du tonus musculaire), ou les deux. Les maladies des ...
Nombre de scientifiques pensent que le comportement anormal des rats n'est rien d'autre qu'un réflexe, qu'il ne s'agit pas ... un milieu familial anormal, en particulier chez les garçons ou encore des sévices sexuels dans l'enfance, engendrant une ... était présentée comme une perversion anormale. (...) J'ai écouté un discours de 45 minutes sur la question de savoir si les ... la sexualité humaine aussi directement qu'elles organisent les réflexes du comportement d'accouplement des rats", lit-on dans ...
L'examen physique est anormal entre les crises, objectivant une paralysie des muscles masticateurs, l'absence de réflexe ... Le déclenchement réflexe de la douleur peut cependant manquer ». Les douleurs sont moins paroxystiques ou non paroxystiques, et ... L'examen neurologique est normal : la sensibilité et la motricité de la face sont normales, le réflexe cornéen est présent. Le ... L'opération n'altère pas la sensibilité de la face et préserve le réflexe cornéen. Elle est basée sur la possibilité ...
Réflexes anormaux (R29.3) Posture anormale (R29.4) Hanche "à ressort" (R29.6) Chutes à répétition, non classées ailleurs (R29.8 ... Autres résultats anormaux des examens chimiques du sang (R79.0) Taux anormal de minéraux dans le sang (R79.8) Autres résultats ... Perte de poids anormale (R63.5) Prise de poids anormale (R63.8) Autres symptômes et signes relatifs à l'absorption d'aliments ... Résultats anormaux de prélèvements effectués sur les organes génitaux de la femme (R89) Résultats anormaux de prélèvements ...
Plusieurs mécanismes peuvent être impliqués dont la désinhibition spinale, l'excitabilité anormale des terminaisons nerveuses ... certaines contractures réflexe et non-douloureuses ; une raideur centrale ; un claquage musculaire. Les « crampes de chaleur » ... motrices et la propagation de la contraction musculaire par transmission éphaptique ou réflexes axonaux ». À la fin des années ...
... notamment des modifications des réflexes, une diminution de la force musculaire, des problèmes de mémoire, une diminution du ... y compris des sensations anormales telles que des picotements . Une carence sévère peut inclure des symptômes d'une ...
La respiration agonale est un schéma anormal de respiration et de réflexe du tronc cérébral caractérisé par une respiration ... Ventilation pulmonaire Réflexe respiratoire « Incidence of Agonal Respirations in Sudden Cardiac Arrest », EMD Program, King ...
Historiquement, l'interculturel est né de l'insatisfaction ressentie devant les réflexes individuels et collectifs les plus ... et n'est en rien un phénomène anormal, une source de dégénérescence, portant atteinte à la pureté des communautés humaines, ... ainsi qu'aux réflexes de catégorisation en races et cultures. Au contraire, comme en biologie humaine, elle évite la ...
... être considéré comme physiologiquement anormal du fait du travail des barorécepteurs artériels. Ils sont induits par des ... à la base de ce réflexe, qui est notamment un des mécanismes de certaines syncopes. Le réflexe de Bezold-Jarisch est ... Le réflexe de Bezold-Jarisch est un ensemble de processus cardio-vaculaires et neurologiques liés à des phénomènes d'hypopnée ... il y aura activation du réflexe qui bloque l'innervation sympathique et stimule de manière non négligeable le nerf vague ; Cela ...
... une perte des réflexes tendineux (aréflexie), de la fatigue et des sensations anormales. La PIDC peut se présenter de manière ... tels que l'abolition des réflexes) par un neurologue spécialisé. mais aussi de certains examens complémentaires : ...
L'absence d'une de ces réactions (excepté le cri) ou une asymétrie dans les mouvements est anormale, ainsi que la persistance ... Le réflexe de Moro, dit réflexe de défense, est l'un des réflexes archaïques du nouveau-né. Il peut être observé sous forme ... Ce réflexe est absent dans 85 % des cas chez le nouveau-né atteint de trisomie 21. Ce réflexe pourrait avoir pour origine le ... Réflexes archaïques Les différentes étapes de développement psychomoteur de 0 à 6 ans (en) Medline Plus: Réflexe Moro (en) ...
... perte de réflexes ou réflexes pathologique, tremblement, perte de sensibilité neurale, œdème des yeux, discours anormal, œdème ...
Les animaux mutants homozygotes étaient infertiles, n'avaient pas de réflexe de pavillon, avaient un degré modéré de perte ... d'audition, une morphologie anormale de la cornée, de la lentille et des cataractes. Ils affichaient également une instabilité ...
L'hypersédation (en anglais : oversedation) est un état de somnolence extrême, anormale, dangereuse, dans lequel se trouve un ... malade ne réagissant plus aux stimulations extérieures (voix forte ou réflexe au tapotement de la glabelle). En surveillance ...
Les symptômes neurologiques sont observés le plus souvent, notamment une diminution des réflexes tendineux profonds. Les ... L'hypermagnésémie survient généralement chez les personnes ayant une fonction rénale anormale. Ce déséquilibre peut également ... une absence de réflexes et une paralysie,. Les patients peuvent présenter des arythmies qui peuvent entraîner la mort,. Il ...
... à-dire provoquant respectivement des cassures de l'ADN et un nombre anormal de chromosomes dans la cellule), ce qui peut ... souvent accompagnées de faiblesse musculaire et d'une perte du réflexe du tendon d'Achille ; troubles endocrinologiques ; ... On signale parfois aussi une salivation anormale. Après quelques jours, on peut aussi observer une « pigmentation cutanée ». ...
Sous l'eau, les réflexes respiratoires sont modifiés : en effet, à la surface, l'inspiration et l'expiration sont des ... Les accidents dus aux variations anormales de pressions dans les organes creux sont appelés des barotraumatismes. Ceux-ci ... Les réflexes s'amenuisent, l'esprit s'engourdit ; les facultés de jugement du plongeur sont altérées, au point de provoquer ...
... ou lors de mouvements-réflexes. La guérison est parfois spontanée. Les causes de ces maladies sont encore mal comprises. Elles ... ou après un effort anormal ou une utilisation intensive de l'articulation. La douleur caractéristique est dite « mécanique », ...
le réflexe consensuel est aboli la pupille tonique gêne l'accommodation de la vision de près pour l'œil concerné. Diagnostic ... La Pupille tonique d'Adie (ou pupille d'Adie ou syndrome d'Adie) est une mydriase (dilatation pupillaire) anormale, unilatérale ... Le médecin doit écarter : une cause exogène possible telle que prise de médicament(s) modifiant le réflexe pupillaire, et/ou un ... responsable de la fermeture réflexe de la pupille à la lumière. Si en outre une aréflexie tendineuse (principalement des ...
... s'éloignant par le même fait de la société qui n'accepte pas cette transformation anormale. Tout en écrivant son journal, elle ... qui opèrent depuis les réflexes inconscients mais souvent perceptibles au lecteur, installant une ironie particulièrement amère ...
Le réflexe de Babinski est caractérisé par un mouvement réflexe anormal des orteils chez ladulte. D. Chabot; G.Depasse; D.F.M. ...
... et réflexe palpébral anormal, tremblement parkinsonien de repos), akathisie (akathisie, impatiences, hyperkinésie, et syndrome ... oedème de la face, frissons, augmentation de la température corporelle, démarche anormale, soif, gêne thoracique, malaise, ... augmentation de la créatine phosphokinase sanguine, posture anormale, raideur articulaire, enflure des articulations, faiblesse ... sensation anormale, gêne hypothermie, diminution de la température corporelle, froideur des extrémités, syndrome de sevrage ...
Réflexe pupillaire anormal.. 32. Anophtalmie ou microphtalmie.. 33. Toute atteinte de loeil et des annexes entraînant une ...
Les réflexes sont présents. Cliché de gauche : lIRM de la moelle épinière cervicale met en évidence un hypersignal anormal des ... Chez un patient, le déficit moteur sest rapidement aggravé, avec abolition des réflexes tendineux et de très grandes ... Trois avaient une image anormale caractéristique de la moelle épinière cervicale à lIRM. ... avec pour conséquence une hypomyélinisation et une myélinisation anormale. Plus récemment, il a été évoqué que le déficit en ...
... des mouvements anormaux (dystonie dun membre ou myoclonies réflexes et/ou spontanées). Il sy associent des signes négatifs ... Lα -synucléine est une des protéines substrats de la parkine : en excès ou dans une conformation anormale, lα-synucléine va ... Laccumulation de protéines anormales et toxiques semble être un mécanisme important de la mort des neurones dopaminergiques, ... akinésie, rigidité, tremblement de repos, asymétrie des troubles, altération des réflexes de posture. Anatomiquement, elle se ...
Il ny a pourtant aucun bénéfice à retirer le gluten si notre corps ny réagit pas de façon anormale.» ... Les bons et les mauvais réflexes pour être en santé. Par Isabelle Bergeron ...
... démarche parkinsonienne et réflexe palpébral anormal, tremblement parkinsonien de repos), akathisie (akathisie, impatiences, ... oedème de la face, frissons, augmentation de la température corporelle, démarche anormale, soif, gêne thoracique, malaise, ... augmentation de la créatine phosphokinase sanguine, posture anormale, raideur articulaire, enflure des articulations, faiblesse ... sensation anormale, gêne. hypothermie, diminution de la température corporelle, froideur des extrémités, syndrome de sevrage ...
Connaître les techniques dexploration de la fonction canalaire et du réflexe vestibulo-oculaire aux fréquences basses (test ... Savoir enregistrer un nystagmus et des mouvements oculaires anormaux. - ...
Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation doxygène au niveau du cœur et du ... des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. ... Troubles du sommeil, tension artérielle anormale, nervosité, faiblesse, fatigue, douleurs des membres, douleurs articulaires, ... Reproduction : Diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes, menstruations anormales, infertilité ; ...
... à avoir moins de réflexes anormaux et à manifester moins de signes de repli que les enfants nourris aux préparations ...
Réflexes anormaux. *Spasmes musculaires. *Perte de contrôle des sphincters (incontinence urinaire et fécale) ... Ceci implique notamment des tests neurologiques (Clonus, Babinski, réflexes, sensation, force musculaire, coordination, vision ...
Certains bons réflexes peuvent être adoptés de votre côté, et un professionnel se chargera de lentretien dans le détail. ... Ainsi, en cas dusure anormale dun élément, un professionnel pourra corriger ou prévenir déventuelles pannes. Lentretien ...
Le bon réflexe consiste à évaluer la situation afin de ne pas secourir un animal juvénile momentanément éloigné de sa mère ou ... Lidéal est de ne recueillir lanimal seulement sil montre des signes apparents de blessure ou un comportement anormal (aile ...
Toux anormale volontaire *Réflexe nauséeux anormal *Dysarthrie *Dysphonie *Toux après labsorption dune quantité deau ...
Réflexes patellaires anormaux, pouvant être diminués ou augmentés.. • Anomalie du tonus musculaire, avec hypo ou hypertonie. ...
Essayer de construire le contrôle de votre réflexe éjaculatoire. Commencez par auto-stimulation (masturbation) ... ... Des niveaux anormaux de substances chimiques du cerveau appelées neurotransmetteurs.. Lactivité réflexe anormale du système ... Essayer de construire le contrôle de votre réflexe éjaculatoire. Commencez par auto-stimulation (masturbation) régulièrement ( ...
La rigidité : raideur anormale des muscles.. *La bradykinésie : lenteur extrême des mouvements et des réflexes. ...
Valeurs anormales des tests de la fonction hépatique. Perte des réflexes profonds au niveau des tendons. Fatigabilité des ... PhlébiteStomatiteThrombopéniePeau rougeVomiInjectionChimiothérapieFaiblesse musculaireASATCréatinineMal musculaireRéflexe ...
Les troubles du langage, (bégaiement, articulation anormale, langue basse…). -Les troubles de lévolution psycho et motrice de ... Que sont les réflexes archaïques ?. ​Aussi appelés réflexes primitifs ou mouvements primordiaux), ce sont des mouvements ... Un réflexe non-intégré surcharge le système nerveux et parasite le développement psycho et/ou moteur de lenfant et donc de ... Les réflexes peuvent se réactiver suite à une stimulation intense comme un accident de santé ou un stress émotionnel. ...
Votre appareil ne refroidit plus assez ? Vous observez une présence anormale de givre ? Votre frigo émet un bruit suspect ? ... Vous avez remarqué toute autre anomalie ? Ayez alors un réflexe : contactez notre magasin réparation électroménager Reims. Nous ...
Sentiment dexaltation ou deuphorie (manie), sensations anormales au niveau de la peau comme par exemple brûlures, picotements ... augmentation des réflexes, agitation, sautes dhumeur, perte de connaissance et salivation accrue. Dans de très rares cas, ces ... accentuation des réflexes, agitation, fluctuations de lhumeur et perte de conscience.) Sil apparaît de tels signes, vous ...
La fille ny peut rien, cest comme un réflexe anormal, mais incontrôlable. Elle ne peut pas relaxer ses muscles. Cest une ... Pas très glamour ? Non, mais ça provoque un réflexe de décontraction des muscles du périnée. ...
... et/ou des réflexes oculo-céphaliques ou oculovestibulaire), des signes vitaux (p. ex., respirations anormales), et de la ... du réflexe oculovestibulaire (les yeux ne bougent pas en réponse à la stimulation calorique) et des réflexes cornéens. ... se traduisant par un coma avec perte de la respiration spontanée et de tous les réflexes du tronc cérébral. Les réflexes... en ... se traduisant par un coma avec perte de la respiration spontanée et de tous les réflexes du tronc cérébral. Les réflexes... en ...
"Ce nest pas anormal" - Communiqué de lADET-Pays de lours du 9 juin 2006. Les traces dun ours ont été observées à Auribail, ... "Cest un vieux réflexe de chasseur" précise ce spécialiste du débardage... et là surprise des empreintes dours à la lisière du ... "Ce nest pas anormal" - Communiqué de lADET-Pays de lours *"Un manque sérieux" - Communiqué du 9 juin 2006 de lADDIP- ... Le premier réflexe de Serge Marquier? Le maire dAuribail lorsquil a vu la quarantaine dempreintes caractéristiques dun ...
Anomalies du réflexe nauséeux, qui, normalement est situé à la base de la langue. ... être la conséquence dune mauvaise posture ou de mouvements anormaux de la langue. ...
Vous avez croisé le chemin dun animal qui se trouve dans une situation anormale ? Vous ne savez pas sil a besoin daide, et ... Les bons réflexes à adopter si vous trouvez un animal sauvage en détresse. Publié le ... Il existe cependant un certain nombre de réflexes sûrs permettant de minimiser les prises de risque mais de ne pas rester ...
Le bricolage est un réflexe de survie dans le monde que jai côtoyé. Il fallait se débrouiller pour saffranchir des ... A lentendre, on ne trouve pas complètement anormal dassocier les mots « atelier » et « paysan ». « Rares sont les fermes sans ...
Le premier réflexe en cas de prélèvement douteux sur votre compte est den discuter directement avec votre gestionnaire de ... Plusieurs démarches sont alors à accomplir une fois quil est avéré que des mouvements anormaux sont en train de se produire ...
Si votre poste a un comportement anormal (lenteur, écran blanc sporadique, etc.), faites-le contrôler. ... 5 RÉFLEXES À AVOIR LORS DE LA RÉCEPTION DUN COURRIEL. Nimporte qui peut vous envoyer un courriel en se faisant passer pour un ... Pour finir, ses réflexes vous aideront à prévenir des risques et vous évitera, autant que possible, dêtre une victime de plus. ...
Ayez le réflexe dès le plus jeune âge de réaliser un contrôle régulier. ... Rentrée scolaire : Contrôlez la vue de votre enfant ! Nattendez pas didentifier une gêne ou un comportement anormal chez ...
  • Accompagnés de pertes d'équilibre, de tremblements , d'une hypersalivation, voire de saignements anormaux, ils deviennent clairement inquiétants. (vetostore.com)
  • En face d'une telle situation, quels réflexes avoir? (vietnamboats.org)
  • Un enfant peut avoir besoin d'une thérapie des réflexes archaïques s'il présente des difficultés d'apprentissage, de comportement ou de développement , notamment du point de vue de la coordination et de la motricité. (leveildesmarmots.fr)
  • Le traitement consiste à permettre au patient de ne plus serrer par réflexe, grâce à la pose d'une gouttière protectrice. (emd-ladentblanche.ch)
  • On peut observer une contrainte normale sur une articulation anormale (par exemple la dysplasie) ou bien d'une contrainte anormale (comme le surpoids) sur une articulation initialement saine. (chien.fr)
  • Voyons les bons réflexes à adopter afin de prévenir au mieux l'arthrose chez votre chien. (chien.fr)
  • Le danger est non seulement de s'endormir au volant, mais aussi de ne pas avoir les bons réflexes. (levif.be)
  • Consultez le médecin de votre enfant si vous êtes préoccupé par des épisodes de perte de conscience de l'environnement ou de mouvements corporels anormaux, un tonus musculaire anormal, une coordination déficiente, des difficultés de déglutition, un déséquilibre des muscles oculaires ou d'autres problèmes de développement. (sedicome.com)
  • Le réflexe de Babinski est caractérisé par un mouvement réflexe anormal des orteils chez l'adulte. (wikipedia.org)
  • Les réflexes archaïques sont des mouvements involontaires et automatiques du corps, présents chez les nouveau-nés et les jeunes enfants. (leveildesmarmots.fr)
  • Ces réflexes sont des mouvements involontaires et automatiques que nous faisons tous dans les premières étapes de notre développement. (leveildesmarmots.fr)
  • En général, l'infirmité motrice cérébrale entraîne une altération des mouvements associée à des réflexes anormaux, une flaccidité ou une rigidité des membres et du tronc, une posture anormale, des mouvements involontaires, une marche instable ou une combinaison de ces éléments. (sedicome.com)
  • Des niveaux anormaux de substances chimiques du cerveau appelées neurotransmetteurs. (limpuissance-masculine.fr)
  • L'IRM du cerveau a révélé un gonflement, des signaux anormaux ainsi qu'une diffusion limitée de l'hippocampe droit. (medscape.com)
  • L'activité d'un individu ou d'un groupe qui paraîtrait anormale doit être signalée aux forces de l'ordre, aux patrouilles militaires ou aux services de surveillance et de sécurité du lieu dans lequel vous vous trouvez. (beure.fr)
  • Perte des réflexes profonds au niveau des tendons. (goodmed.com)
  • Le patient a alors ouvert les yeux spontanément - 5 heures après l'incident - et a présenté un réflexe de toux. (medscape.com)
  • Un réflexe non-intégré surcharge le système nerveux et parasite le développement psycho et/ou moteur de l'enfant et donc de l'adolescent et de l'adulte. (kin-therapies.com)
  • Associé à des éléments cliniques, tels que des saignements ou un ECG anormal, ce profil impose une hospitalisation immédiate. (medscape.com)
  • Il existe cependant un certain nombre de réflexes sûrs permettant de minimiser les prises de risque mais de ne pas rester passif et impuissant. (holidogtimes.com)
  • En effet, si bébé souffre trop lorsqu'il évacue ses selles et que cela s'installe sur la durée, il risque de prendre le réflexe de se retenir. (aubert.com)
  • La rééducation, en reprogrammant les réactions de défense proprioceptive (réaction des tendons aux mouvements anormaux et excessifs de la cheville) peut largement contribuer à réduire le risque d'atteinte traumatique ligamentaire. (chirurgie-dijon.com)
  • La rigidité : raideur anormale des muscles. (ucbsuisse.ch)
  • Non, mais ça provoque un réflexe de décontraction des muscles du périnée. (boukannews.com)
  • Le bon fonctionnement des réflexes archaïques est essentiel pour garder une bonne posture, bouger avec aisance, faire face aux différents défis que nous présente la vie (physiquement et émotionnellement) et faire des choix. (leveildesmarmots.fr)
  • Le réflexe de tonicité posturale se produit lorsqu'un enfant tient son corps droit. (leveildesmarmots.fr)
  • Dans ces deux cas, l'exposition naturelle des ligaments externes à un traumatisme futur peut être prévenue par une optimisation des réflexes de défense des tendons latéraux de la cheville. (chirurgie-dijon.com)
  • L'intégration motrice primordiale, IMP, est une approche d'accompagnement dont l'objectif est d'intervenir, chez le nourrisson, les enfants ou les adultes, lorsque l'on observe que certaines réflexes archaïques ou primordiaux n'ont pas correctement été intégrés lors du développement. (leveildesmarmots.fr)
  • La bradykinésie : lenteur extrême des mouvements et des réflexes. (ucbsuisse.ch)
  • Si votre poste a un comportement anormal (lenteur, écran blanc sporadique, etc.), faites-le contrôler. (st.digital)
  • En cas d'absence prolongée de votre domicile, ayez le réflexe « Opération tranquillité Vacances », renseignements auprès de la brigade de gendarmerie locale. (lezoux.fr)
  • Les réflexes archaïques peuvent être provoqués par des stimulations sensorielles, comme le toucher ou le bruit, ou internes, comme la faim ou la soif. (leveildesmarmots.fr)
  • À l'instant où vous constatez des problèmes d'accès, un bruit ou une disparition anormale de vos fichiers, la priorité consiste à couper au plus l'alimentation du disque. (data-labcenter.fr)
  • Réflexes patellaires anormaux, pouvant être diminués ou augmentés. (genodog.fr)
  • Sensation anormale de fourmillements ou d'engourdissement dans le dos. (cliniquetagmed.com)
  • Le bruxisme est souvent dû à une occlusion anormale, à une souffrance psychologique, au stress. (emd-ladentblanche.ch)
  • De plus, les patients insulino-dépendants, qu'ils soient diabétiques de type 1 ou 2, ont souvent le réflexe de faire un test de glycémie avant de prendre la route, pour voir où ils en sont. (levif.be)
  • Une séance de test peut-être nécessaire avant de commencer les séances de thérapies autour des réflexes. (kin-therapies.com)
  • Il n'y a pourtant aucun bénéfice à retirer le gluten si notre corps n'y réagit pas de façon anormale. (lebelage.ca)
  • Valeurs anormales des tests de la fonction hépatique. (goodmed.com)
  • C'était un simple réflexe face à une agression", a répété l'homme aujourd'hui âgé de 31 ans, en costume gris, à la courte barbe et aux lunettes carrées. (jeanmarcmorandini.com)