Un dideoxynucleoside analogue qui inhibe la transcriptase inverse et a une activité in vitro contre le VIH.
Médicaments utilisés pour traiter le SIDA et / ou arrêter la propagation de l'infection par le VIH. Ces n'incluent pas de médicaments utilisés pour traiter les symptômes ou des infections opportunistes liées au SIDA.
Inhibiteurs de la transcriptase inverse (RNA-DIRECTED ADN polymérase), enzyme qui synthétise l'ADN sur l'ARN modèle.
Un composé dideoxynucleoside dans lequel le groupe 3 '-hydroxylé fraction sur le sucre a été remplacé par un groupe azido. Cette modification empêche la formation de liens phosphodiester qui sont nécessaires pour la réalisation de chaînes d'acides nucléiques. Le composé est un inhibiteur puissant de la réplication du VIH, agissant comme un chain-terminator d ’ ADN viral pendant VIH-1 et VIH-2. Ça améliore la fonction immunitaire, partiellement les canaux HIV-induced dysfonctionnement neurologique, et améliore certains autres anomalies cliniques associées au SIDA. Son principal effet toxique est dose-dépendante la suppression de moelle osseuse, entraînant une anémie et leucopénie.
Un composé dideoxynucleoside dans lequel le groupe 3 '-hydroxylé sur le sucre a été remplacé par une fraction de l'hydrogène. Cette modification empêche la formation de liens phosphodiester qui sont nécessaires pour la réalisation de chaînes d'acides nucléiques. De la didanosine n ’ est un inhibiteur puissant de la réplication du VIH, agissant comme un chain-terminator d ’ ADN viral en se liant à la transcriptase inverse ; ddI est ensuite métabolisé à didéoxyadénosine triphosphate putatif, son métabolite actif.
Un de la transcriptase inverse et la zalcitabine analogue dans lequel un atome de soufre remplace le 3 'carbone des pentose bague. Il est utilisé pour traiter la maladie liée au VIH.
Lactique causée par l'accumulation d ’ acide lactique plus rapidement que ça peut être métabolisée. Elle peut survenir spontanément, soit en association avec les maladies telles que DIABETES sucré, leucémie ; ou foie échec.
Troubles du métabolisme menant à gros maldistribution chez les patients infectés par le VIH. L ’ étiologie semble être multifactorielle et implique probablement une combinaison de infection-induced altérations de métabolisme, les effets directs du traitement antirétroviral, et patient-related facteurs.
Inclut le spectre du virus de l ’ immunodéficience humaine infections allant de séropositivité a été asymptomatique, thru complexe liée au SIDA (CRA), de Syndrome d'Immunodéficience Acquise (SIDA).
Un puissant inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, utilisé en association avec des analogues nucléosidiques INFECTIONS pour le traitement du VIH et le SIDA.
Une collection de conditions heterogenous résultant de troubles du métabolisme et LIPID caractérisée par une atrophie de tissu adipeux. Souvent il y a une redistribution de la masse grasse corporelle entraînant perdre gros périphériques et centrales, y compris adiposité généralisée, localisé, lipodystrophie acquise et congénitale.
Traitements administrés aux patients atteints par le VIH INFECTIONS, que agressivement supprimer la réplication du VIH, les traitements impliquent généralement l ’ administration de trois ou plus différents médicaments incluant un inhibiteur de protéase.
Acide phosphonique Carbon-containing composés. Inclus sous cette rubrique sont les lie à aucun atome de carbone en oxygène ou le phosphore atome de l'O) (P = O2 structure.
Un puissant inhibiteur de la protéase du VIH. Il est utilisé en association avec d'autres médicaments antiviraux dans le traitement du VIH chez les adultes et enfants.
OXAZINES fusionné avec un noyau benzénique.
Le type espèces de LENTIVIRUS etiologic et l'agent du sida. C'est caractérisé par son effet cytopathic et affinité au récepteur T4-lymphocyte.
La capacité de virus résistera ou devienne tolérant, pour plusieurs structurellement et fonctionnellement distinctes résistance phénotypique à médicaments simultanés. Ça peut être attribué à plusieurs mutation.
Le traitement par deux ou plusieurs des formulations distinctes donné pour un effet combiné.
Un antimétabolite fondamentale de base et un adénine nucléotides.
Le nombre de lymphocytes T CD4-Positive par unité de volume de sang. Détermination requiert l'utilisation d'un fluorescence-activated cytomètre.
Un puissant et spécifique antiprotéase qui semble avoir bon biodisponibilité orale.
Six-membered heterocycles contenant un azote et d'oxygène.
La quantité de virus présente dans un corps mesurables liquide, modification de la charge virale, mesuré dans le plasma, est parfois utilisé comme une mère porteuse lanterne rouge dans l ’ évolution de la maladie.
Un de la transcriptase inverse de Pol Gene codée par le VIH. C'est un heterodimer de 66 kDa et 51 kDa sous-unités qui proviennent de un ancêtre commun heterodimer l comprend également une activité RNAse H Ribonuclease H, l ’ immunodéficience humaine (virus) qui joue un rôle essentiel le processus de réplication virale.
La capacité de virus résistera ou devenir tolérante envers agents chimiothérapeutiques ou antiviraux. Cette résistance s'acquiert par mutation.
Il y en a deux groupes hydroxy nucléosides retiré du sucre azotée. La majorité de ces composés du fait de leur activité antirétrovirale à large spectre action comme antimétabolites. Les nucléosides sont phosphorylée, à leur 5 '-triphosphates et agir comme chain-terminating inhibiteurs du virus VIH-1 et VIH-2.
Médicaments utilisés pour traiter INFECTIONS RETROVIRIDAE.
Une antiprotéase utilisé en association à dose fixe avec RITONAVIR. Il est également un inhibiteur du cytochrome P-450 Cyp3A.
Le phosphate de DIDEOXYNUCLEOSIDES ester.
Pyrimidinones are heterocyclic organic compounds that consist of a pyrimidine ring fused with a ketone group, commonly found in various natural and synthetic bioactive molecules, including some antibiotics and antiviral agents.
Médicaments dont le nom de la drogue n'est pas protégée par une marque de commerce. Ils peuvent être fabriqués par plusieurs compagnies.
Virus d'immunodéficience humain. Un terme non-taxonomic et historiques se rapportant à l ’ un des deux espèces, en particulier le VIH-1 et / ou VIH-2. Avant 1986, ça s'appelait Human T-lymphotropic virus de type III / lymphadenopathy-associated (HTLV-III / char blindé). De 1986-1990, c'était une espèce appelée le VIH. Depuis 1991, le VIH était plus considéré comme un officiel espèces nom ; les deux espèces sont intervenus le VIH-1 et VIH-2.
Un composé dideoxynucleoside dans lequel le groupe 3 '-hydroxylé sur le sucre a été remplacé par une fraction de l'hydrogène. Cette modification empêche la formation de liens phosphodiester qui sont nécessaires pour la réalisation de chaînes d'acides nucléiques. Le composé est un inhibiteur puissant de la réplication du VIH à faibles concentrations, agissant comme un chain-terminator d ’ ADN viral en se liant à la transcriptase inverse. De son principal est une dégénération axonale Effet secondaire entraînant une neuropathie périphérique.
Une espèce du genre Macaca qui habite Malaya, Sumatra et Bornéo. C'est une des plus arboricole espèces de Macaca. La queue est courte et dénouée.
Une antiprotéase qui agit en interférant avec le cycle de reproduction du VIH. Il inhibe également l ’ isoforme CYP3A du cytochrome P-450.
Les inhibiteurs de protéase du VIH, une enzyme requise pour production de protéines nécessaires pour une assemblée.

La Stavudine est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI). La stavudine agit en interférant avec la capacité du VIH à se répliquer dans le corps. Elle est souvent prescrite en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux pour former une thérapie antirétrovirale hautement active (HAART). Les effets secondaires courants de la stavudine peuvent inclure des nausées, des vomissements, des diarrhées, des maux de tête et des douleurs articulaires. Des effets secondaires plus graves tels que des lésions nerveuses, une altération du métabolisme des graisses et une acidose lactique peuvent également survenir avec un traitement à long terme par stavudine.

Les agents antirétroviraux (ARV) sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les infections à rétrovirus, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH est le virus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Les agents antirétroviraux fonctionnent en interférant avec les différentes étapes du cycle de réplication du VIH, ce qui empêche le virus de se multiplier dans le corps.

Les agents antirétroviraux sont souvent combinés en thérapie antirétrovirale (TAR) pour maximiser leur efficacité et minimiser la résistance du virus aux médicaments. La TAR est généralement composée de trois ou quatre ARV différents, appartenant à au moins deux classes différentes d'agents antirétroviraux. Les classes courantes d'agents antirétroviraux comprennent les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI), les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI), les inhibiteurs de protéase (IP), les inhibiteurs d'intégrase (INI) et les inhibiteurs d'entrée.

L'utilisation d'une TAR peut considérablement réduire la charge virale du VIH dans le sang, ralentir la progression de la maladie et améliorer la fonction immunitaire. Cependant, les agents antirétroviraux ne peuvent pas éliminer complètement le virus du corps et doivent être pris en continu pour maintenir leur efficacité. Les personnes vivant avec le VIH qui suivent une TAR doivent également prendre des précautions pour prévenir la transmission du virus à d'autres personnes.

Les inhibiteurs de la transcriptase inverse (ITI) sont une classe d'antirétroviraux utilisés dans le traitement des infections au virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH est un rétrovirus qui se caractérise par la présence d'une enzyme unique, la transcriptase inverse, capable de convertir l'ARN viral en ADN. Cette capacité permet au virus d'intégrer son matériel génétique dans celui de la cellule hôte et de perturber ainsi le fonctionnement normal de celle-ci.

Les ITI agissent en inhibant spécifiquement l'activité de la transcriptase inverse, empêchant ainsi la réplication du virus. Ils peuvent être classés en deux catégories : les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) et les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI). Les INTI sont des analogues nucléosidiques qui, une fois incorporés dans l'ADN viral en croissance, provoquent la terminaison prématurée de l'ADN synthétisé. Les INNTI se lient directement et de manière irréversible à la transcriptase inverse, ce qui entraîne une distorsion de sa structure et donc son inactivation.

L'utilisation des ITI dans le cadre d'une thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA) a permis d'améliorer considérablement la qualité de vie et l'espérance de vie des personnes vivant avec le VIH. Cependant, il est important de noter que les ITI ne représentent qu'une partie du traitement et doivent être associés à d'autres classes d'antirétroviraux pour assurer une suppression optimale de la réplication virale et minimiser le risque de développement de résistances.

La zidovudine, également connue sous le nom de AZT ou azidothymidine, est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI).

La zidovudine fonctionne en interférant avec la capacité du VIH à se répliquer dans les cellules infectées. Il est converti en sa forme active après avoir été absorbé par la cellule, où il inhibe l'enzyme transcriptase inverse du VIH, empêchant ainsi le virus de copier son matériel génétique et de se multiplier.

Bien que la zidovudine ne puisse pas éradiquer complètement le VIH d'un individu, elle peut aider à ralentir la progression du virus vers le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) et à améliorer la qualité de vie des personnes infectées par le VIH.

Ce médicament est souvent utilisé en combinaison avec d'autres antirétroviraux dans un régime thérapeutique appelé thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA). Les effets secondaires courants de la zidovudine comprennent des maux de tête, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales et une fatigue accrue.

Il est important de noter que l'utilisation à long terme de la zidovudine peut entraîner des effets indésirables graves tels qu'une anémie et une suppression de la moelle osseuse, ce qui nécessite une surveillance étroite du patient.

La didéoxyinosine (ddI) est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il s'agit d'un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse reverse-transcriptase inhibitor (NRTI). La didéoxyinosine est un analogue synthétique de l'inosine, qui est incorporé dans l'ADN en croissance lorsque la reverse transcriptase convertit l'ARN viral en ADN. Cela entraîne des arrêts prématurés de la chaîne d'ADN et empêche ainsi la réplication du virus.

Dans le corps, la didéoxyinosine est rapidement phosphorylée en sa forme active, le didéoxyinosine triphosphate (ddITP). Le ddITP est ensuite incorporé dans l'ADN viral par la reverse transcriptase, entraînant des mutations et une incapacité à se répliquer correctement.

Les effets secondaires courants de la didéoxyinosine comprennent des nausées, des vomissements, des diarrhées, des maux de tête, des éruptions cutanées et une perte de poids. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure une neuropathie périphérique, une pancréatite, une anémie et une suppression du système immunitaire. La didéoxyinosine est généralement administrée en association avec d'autres médicaments antirétroviraux dans le cadre d'une thérapie antirétrovirale combinée (TAR).

La lamivudine est un médicament antiviral utilisé dans le traitement de deux infections virales graves : le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite B.

Pour le VIH, la lamivudine est souvent utilisée en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans un régime de thérapie antirétrovirale hautement active (HAART). Elle fonctionne en inhibant une enzyme virale appelée reverse transcriptase, ce qui empêche le VIH de se répliquer dans les cellules infectées.

Pour l'hépatite B, la lamivudine est utilisée pour traiter les infections chroniques chez les personnes présentant une maladie hépatique active. Elle inhibe également la reverse transcriptase du virus de l'hépatite B, ce qui ralentit ou empêche la réplication du virus et peut aider à prévenir les dommages au foie.

La lamivudine est disponible sous forme de comprimés ou de solution liquide et est généralement bien tolérée, bien que des effets secondaires tels que des maux de tête, des nausées, de la fatigue et des douleurs abdominales puissent survenir. Une utilisation à long terme peut entraîner une résistance virale au médicament.

L'acidose lactique est une condition médicale qui se caractérise par une accumulation anormale d'acide lactique dans le sang. Normalement, l'acide lactique est produit en petites quantités dans le corps comme un sous-produit du métabolisme des glucides et d'autres molécules énergétiques. Cependant, lorsque les cellules ne sont pas capables de produire ou d'utiliser l'oxygène de manière adéquate pour produire de l'énergie, comme c'est le cas pendant un effort physique intense ou en cas de maladie grave, les niveaux d'acide lactique peuvent augmenter considérablement.

Cette accumulation d'acide lactique peut entraîner une acidose, ce qui signifie que le pH sanguin devient trop acide. Un pH sanguin inférieur à 7,35 est considéré comme anormalement acide et peut entraîner des symptômes tels qu'une respiration rapide, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une faiblesse musculaire et une confusion. Dans les cas graves, l'acidose lactique peut entraîner un coma ou même la mort.

L'acidose lactique peut être causée par plusieurs facteurs, notamment une maladie grave telle qu'une insuffisance hépatique ou rénale, une infection sévère, une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Elle peut également être causée par des médicaments qui affectent le métabolisme de l'acide lactique, comme les inhibiteurs de la pompe à protons et les biguanides utilisés dans le traitement du diabète.

Le traitement de l'acidose lactique dépend de sa cause sous-jacente. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour fournir un traitement de soutien, tel que des fluides intraveineux et de l'oxygène. Des médicaments peuvent également être administrés pour corriger l'acidose et prévenir d'autres complications.

La lipodystrophie associée au VIH est une complication métabolique courante chez les personnes vivant avec le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) qui affecte la distribution des graisses corporelles. Elle se caractérise par une perte de graisse dans certaines parties du corps, telles que le visage, les bras et les jambes, associée à une accumulation excessive de graisse dans d'autres zones, comme l'abdomen, le haut du dos et le cou.

Cette condition peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des anomalies métaboliques (comme une résistance à l'insuline, un dyslipidémie et une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires), des troubles hépatiques, des changements d'apparence et une diminution de la qualité de vie.

Bien que la cause exacte de la lipodystrophie associée au VIH ne soit pas entièrement comprise, il est généralement admis qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs, notamment l'infection par le VIH lui-même, les médicaments antirétroviraux utilisés pour traiter l'infection et des facteurs génétiques et environnementaux. La prise en charge de la lipodystrophie associée au VIH implique généralement une approche multidisciplinaire comprenant des modifications du mode de vie, telles qu'une alimentation saine et l'exercice régulier, ainsi que des médicaments pour gérer les complications métaboliques.

La Névirapine est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il s'agit d'un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI) qui agit en se liant à la reverse transcriptase du VIH, empêchant ainsi le virus de synthétiser l'ADN à partir de son ARN génomique. Cela entrave la réplication virale et ralentit la progression de la maladie. La Névirapine est souvent prescrite en association avec d'autres médicaments antirétroviraux dans le cadre d'une thérapie antirétrovirale combinée (TAR). Les effets secondaires courants de ce médicament peuvent inclure des éruptions cutanées, des nausées, des maux de tête et des altérations des enzymes hépatiques.

La lipodystrophie est un terme utilisé en médecine pour décrire un groupe de conditions caractérisées par la perte anormale ou l'accumulation anormale de graisse dans certaines parties du corps. Cette affection peut affecter à la fois l'apparence physique et le fonctionnement métabolique d'une personne.

Dans la lipodystrophie, il peut y avoir une perte de graisse sous-cutanée dans des zones telles que le visage, les bras, les jambes et le tronc, ce qui donne au patient un aspect maigre et vieilli prématurément. D'un autre côté, certaines formes de lipodystrophie peuvent entraîner une accumulation excessive de graisse dans d'autres parties du corps, telles que l'abdomen, le cou et la région autour des organes internes.

La lipodystrophie peut également être associée à des troubles métaboliques tels que l'insulino-résistance, le diabète sucré, les anomalies lipidiques et une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires. Les causes de la lipodystrophie peuvent être congénitales ou acquises, telles que l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), l'utilisation de certains médicaments ou une maladie auto-immune.

Le traitement de la lipodystrophie dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, tels qu'une alimentation saine et une activité physique régulière, ainsi que des médicaments pour gérer les troubles métaboliques associés. Dans certains cas, la chirurgie esthétique peut également être envisagée pour traiter les changements d'apparence liés à la lipodystrophie.

La thérapie antirétrovirale hautement active (HAART) est un régime de traitement pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) qui utilise une combinaison de médicaments antirétroviraux appartenant à au moins deux classes différentes. Le but de ce traitement est d'inhiber efficacement la réplication du VIH, en abaissant la charge virale à des niveaux indétectables et en ralentissant la progression de la maladie vers le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).

Le terme "hautement active" fait référence à l'utilisation simultanée de plusieurs médicaments antirétroviraux qui agissent à différentes étapes du cycle de réplication virale, ce qui rend plus difficile pour le virus de développer une résistance aux médicaments. Les classes de médicaments couramment utilisées dans les schémas HAART comprennent les inhibiteurs nucléos(t)idiques reverse transcriptase (NRTI), les inhibiteurs non nucléos(t)idiques reverse transcriptase (NNRTI), les inhibiteurs de protéase (PI) et, plus récemment, les inhibiteurs d'intégrase (INI).

L'initiation précoce du traitement HAART est recommandée pour améliorer les résultats cliniques et virologiques, ainsi que pour réduire le risque de transmission du VIH. Cependant, il est important de noter que la thérapie HAART nécessite une observance stricte et à long terme, car l'interruption ou la mauvaise observance du traitement peut entraîner une résurgence de la réplication virale et une progression de la maladie. En outre, les effets secondaires potentiels des médicaments doivent être pris en compte lors de la prescription d'un schéma HAART, et un suivi régulier est nécessaire pour surveiller l'efficacité du traitement et gérer les complications éventuelles.

Les organophosphonates sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel phosphonate, avec une liaison carbone-phosphore. Dans un contexte médical, ils sont surtout connus pour leur utilisation comme insecticides et agents neurotoxiques. Ils inhibent l'acétylcholinestérase, une enzyme essentielle au fonctionnement du système nerveux, entraînant une accumulation d'acétylcholine et des effets muscariniques et nicotiniques excessifs. Les symptômes d'une intoxication aux organophosphonates peuvent inclure des nausées, des vomissements, des crampes abdominales, une salivation excessive, une sudation, des miosis, des bronchospasmes, une bradycardie, une hypotension et des convulsions. Dans les cas graves, ils peuvent provoquer une détresse respiratoire et le décès.

Nelfinavir est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à la classe des inhibiteurs de protéase, qui sont des médicaments conçus pour inhiber la protéase, une enzyme essentielle à la réplication du VIH.

En empêchant la protéase de fonctionner correctement, Nelfinavir empêche le virus de se multiplier dans les cellules du corps, ralentissant ainsi la progression de la maladie et améliorant l'issue clinique des patients infectés par le VIH.

Nelfinavir est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans le cadre d'une thérapie hautement active contre le VIH (HAART). Il est disponible sous forme de comprimés et doit être pris par voie orale, généralement deux à trois fois par jour.

Comme tous les médicaments antirétroviraux, Nelfinavir peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des diarrhées, des maux de tête et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou affecter la fonction hépatique. Il est important que les patients soient étroitement surveillés pour détecter tout effet indésirable pendant le traitement par Nelfinavir.

Les benzoxazines sont des composés hétérocycliques qui contiennent un noyau benzénique fusionné avec un oxazine. Ils sont utilisés dans la synthèse de divers matériaux, tels que les polymères et les résines, en raison de leurs propriétés thermostatiques et de leur résistance chimique.

Dans le contexte médical, les benzoxazines ne sont pas couramment utilisés comme médicaments ou agents thérapeutiques. Cependant, certaines recherches ont exploré l'utilisation potentielle des benzoxazines dans la synthèse de nouveaux composés pharmaceutiques en raison de leurs propriétés biologiques intéressantes, telles que leur activité anti-inflammatoire et antimicrobienne.

Il est important de noter que les benzoxazines peuvent également avoir des effets toxiques et cancérigènes, il est donc essentiel de procéder à des études approfondies avant de considérer leur utilisation dans des applications médicales.

Le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) est un rétrovirus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) en infectant et en détruisant les cellules du système immunitaire, en particulier les lymphocytes T CD4+. Il se transmet principalement par contact avec des fluides corporels infectés, tels que le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel.

Le VIH-1 est un virus enveloppé à ARN simple brin qui se réplique en utilisant une enzyme appelée transcriptase inverse pour convertir son génome d'ARN en ADN, qui peut ensuite s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte. Cela permet au virus de se répliquer avec la cellule hôte et de produire de nouveaux virions infectieux.

Le VIH-1 est classé en plusieurs groupes et sous-types, qui diffèrent par leur distribution géographique et leurs propriétés immunologiques. Le groupe M est le plus répandu et comprend la majorité des souches circulant dans le monde. Les sous-types du groupe M comprennent B, A, C, D, CRF01_AE, CRF02_AG et d'autres.

Le diagnostic du VIH-1 est généralement posé par détection d'anticorps contre le virus dans le sang ou par détection directe de l'ARN viral ou de l'ADN proviral dans les échantillons cliniques. Il n'existe actuellement aucun vaccin préventif contre le VIH-1, mais des médicaments antirétroviraux (ARV) peuvent être utilisés pour traiter et contrôler l'infection.

La multi-résistance virale aux médicaments (MRM) fait référence à la capacité d'un virus à résister à plusieurs médicaments antiviraux différents. Cela se produit lorsque le virus mutate et développe des mécanismes pour échapper à l'action des médicaments, ce qui rend les traitements actuels inefficaces.

Les virus peuvent devenir résistants aux médicaments en raison d'une utilisation ou d'une prescription incorrecte de médicaments antiviraux, d'une mauvaise observance des schémas posologiques recommandés, d'une exposition insuffisante au médicament pour tuer le virus ou d'une transmission de souches résistantes entre les hôtes.

La MRM est un sujet de préoccupation croissante dans le domaine de la médecine, en particulier dans le contexte des infections virales chroniques telles que le VIH, l'hépatite B et C. La propagation de souches virales résistantes peut entraver les efforts de contrôle et d'éradication des maladies infectieuses et rendre le traitement plus difficile et coûteux.

Pour lutter contre la MRM, il est important de mettre en œuvre des stratégies de prévention telles que la vaccination, l'utilisation appropriée des antiviraux, la détection et le suivi des souches résistantes, et la recherche de nouveaux médicaments et thérapies pour traiter les infections virales.

La polychimiothérapie est un traitement médical qui consiste en l'utilisation simultanée de plusieurs médicaments chimiques, principalement des agents cytotoxiques ou antinéoplasiques. Elle est le plus souvent utilisée dans le contexte du cancer pour décrire un plan de traitement combinant au moins deux voire trois ou plus de ces agents chimiothérapeutiques.

L'objectif de cette approche est d'augmenter l'efficacité thérapeutique en attaquant les cellules cancéreuses sur différents fronts, ce qui peut potentialiser les effets des médicaments, réduire la résistance aux traitements et améliorer les taux de réponse. Cependant, cela peut également accroître la toxicité et les effets secondaires, nécessitant une surveillance étroite du patient pendant le traitement.

L'adénine est une base nucléique purique qui forme une paire de bases avec l'uracile dans les molécules d'ARN et avec la thymine dans les molécules d'ADN. Elle fait partie des quatre bases nucléiques fondamentales qui composent l'ADN aux côtés de la thymine, de la guanine et de la cytosine.

L'adénine est également un composant important de l'ATP (adénosine triphosphate), une molécule essentielle à la production d'énergie dans les cellules. Dans l'ATP, l'adénine est liée à un sucre ribose et à trois groupes phosphate.

En médecine, des anomalies dans le métabolisme de l'adénine peuvent être associées à certaines maladies génétiques rares, telles que les syndromes d'épargne d'adénine et les défauts du cycle de purines. Ces conditions peuvent entraîner une accumulation anormale d'acide urique dans le sang et l'urine, ce qui peut provoquer des calculs rénaux et d'autres complications.

Le taux de lymphocytes CD4, également connu sous le nom de compte de cellules T auxiliaires ou compte de cellules T helper, est un indicateur important de la fonction du système immunitaire, en particulier dans le contexte du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Les lymphocytes CD4 sont un type de globule blanc qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative.

Le taux de lymphocytes CD4 est mesuré en comptant le nombre de ces cellules dans un échantillon de sang. Les résultats sont généralement exprimés en cellules par microlitre (cellules/μL) ou en pourcentage des lymphocytes totaux. Un taux normal de lymphocytes CD4 se situe généralement entre 500 et 1,200 cellules/μL chez les adultes en bonne santé.

Dans le contexte du VIH, le virus infecte et détruit progressivement les lymphocytes CD4, entraînant une diminution de leur nombre dans le sang. Par conséquent, le taux de lymphocytes CD4 est un marqueur important pour suivre la progression de la maladie et l'efficacité du traitement antirétroviral. Un taux de lymphocytes CD4 inférieur à 200 cellules/μL est considéré comme un indicateur de sida, la forme avancée de l'infection par le VIH.

En résumé, le taux de lymphocytes CD4 est une mesure du nombre de ces cellules importantes dans le sang, qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative et sont souvent ciblées par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), entraînant une diminution de leur nombre.

Indinavir est un médicament antiviral utilisé pour traiter l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs de protéase. Indinavir fonctionne en bloquant l'action d'une protéine nécessaire à la réplication du VIH, ce qui empêche le virus de se multiplier dans le corps.

Indinavir est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux pour traiter le VIH. Il est disponible sous forme de comprimés et doit être pris plusieurs fois par jour, généralement une heure avant ou deux heures après les repas.

Les effets secondaires courants d'Indinavir peuvent inclure des nausées, des maux de tête, des éruptions cutanées, des changements dans la perception gustative et des douleurs abdominales. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure une augmentation du risque de calculs rénaux, des problèmes hépatiques et une diminution du nombre de cellules sanguines.

Il est important que les patients prennent Indinavir exactement comme prescrit par leur médecin et qu'ils informent leur médecin de tous les autres médicaments qu'ils prennent, car Indinavir peut interagir avec d'autres médicaments et entraîner des effets secondaires graves. Les patients doivent également subir des analyses sanguines régulières pour surveiller leur fonction hépatique et rénale pendant le traitement par Indinavir.

Les oxazines sont un type de composé hétérocyclique qui contient un cycle de six atomes, composé d'un atome d'azote et d'un atome d'oxygène, ainsi que quatre atomes de carbone. Ils sont largement utilisés en chimie organique comme matériaux de construction pour la synthèse de divers composés, y compris les colorants et les médicaments.

Dans un contexte médical, les oxazines peuvent faire référence à des médicaments spécifiques qui contiennent ce groupe fonctionnel particulier dans leur structure chimique. Ces médicaments comprennent certains antidépresseurs, antihistaminiques et anti-inflammatoires.

Les oxazines ont également été étudiées pour leurs propriétés pharmacologiques potentielles, telles que leurs activités antitumorales, antibactériennes et antivirales. Cependant, il convient de noter qu'il existe encore relativement peu de recherches sur les effets des oxazines sur la santé humaine, et davantage d'études sont nécessaires pour déterminer leur sécurité et leur efficacité en tant que traitements médicaux.

La charge virale est un terme utilisé en virologie et en médecine pour décrire la quantité d'ARN ou d'ADN viral présente dans un échantillon biologique, généralement dans le sang ou les tissus. Elle est mesurée en copies par millilitre (cp/ml) ou par mL.

Dans le contexte des infections virales, la charge virale peut être utilisée pour surveiller l'activité de réplication du virus et la réponse au traitement. Par exemple, dans le cas de l'infection au VIH (virus de l'immunodéficience humaine), une charge virale indétectable (moins de 50 cp/ml) est considérée comme un marqueur important d'une suppression efficace de la réplication virale et d'une diminution du risque de transmission.

Cependant, il est important de noter que la charge virale ne reflète pas nécessairement l'étendue des dommages tissulaires ou la gravité de la maladie. D'autres facteurs, tels que la réponse immunitaire de l'hôte et les comorbidités sous-jacentes, peuvent également jouer un rôle important dans la progression de la maladie.

L'ARN-transcriptase inverse (ARN-RT) du VIH est une enzyme essentielle au cycle de réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Cette enzyme permet au matériel génétique du VIH, qui est un ARN, de se transformer en ADN, ce qui lui permet de s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte et de produire de nouvelles particules virales.

L'ARN-RT du VIH est une cible privilégiée pour les médicaments antirétroviraux, qui sont utilisés pour traiter le SIDA. Ces médicaments inhibent l'activité de l'ARN-RT et empêchent ainsi la réplication du virus.

Il existe deux types d'inhibiteurs de transcriptase inverse (ITI) : les ITI nucléosidiques (NRTI) et les ITI non nucléosidiques (NNRTI). Les NRTI sont analogues nucléosidiques qui imitent les nucléotides naturels et se lient à l'ARN-RT, provoquant des mutations dans la chaîne d'ADN naissante. Cela empêche la poursuite de la synthèse d'ADN et donc la réplication du virus. Les NNRTI se lient directement au site actif de l'ARN-RT, ce qui inhibe son activité enzymatique et empêche également la réplication du virus.

En résumé, l'ARN-transcriptase inverse (ARN-RT) du VIH est une enzyme essentielle au cycle de réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Les inhibiteurs de transcriptase inverse (ITI) sont des médicaments antirétroviraux qui ciblent cette enzyme et empêchent la réplication du virus.

La multi-résistance virale aux médicaments (MRM) fait référence à la capacité d'un virus à résister à plusieurs médicaments antiviraux différents. Cela se produit lorsque le virus mutate et développe des mécanismes pour échapper à l'action des médicaments, ce qui rend les traitements actuels inefficaces.

Les virus peuvent devenir résistants aux médicaments en raison d'une utilisation ou d'une prescription incorrecte de médicaments antiviraux, d'une mauvaise observance des schémas posologiques recommandés, d'une exposition insuffisante au médicament pour tuer le virus ou d'une transmission de souches résistantes entre les hôtes.

La MRM est un sujet de préoccupation croissante dans le domaine de la médecine, en particulier dans le contexte des infections virales chroniques telles que le VIH, l'hépatite B et C. La propagation de souches virales résistantes peut entraver les efforts de contrôle et d'éradication des maladies infectieuses et rendre le traitement plus difficile et coûteux.

Pour lutter contre la MRM, il est important de mettre en œuvre des stratégies de prévention telles que la vaccination, l'utilisation appropriée des antiviraux, la détection et le suivi des souches résistantes, et la recherche de nouveaux médicaments et thérapies pour traiter les infections virales.

Les didéoxynucléosides sont des analogues nucléosidiques qui manquent d'un groupe hydroxyle (-OH) dans la molécule. Dans la structure normale d'un nucléoside, il y a trois groupes hydroxyles: un sur le sucre pentose (ribose ou désoxyribose), et deux sur les bases azotées (cytosine, thymine, adénine, guanine). Dans les didéoxynucléosides, l'un de ces groupes hydroxyles est remplacé par un atome d'hydrogène.

Ces molécules sont utilisées dans le traitement de certaines maladies, en particulier des infections virales telles que le VIH. Les didéoxynucléosides sont incorporés dans l'ADN par la reverse transcriptase du virus, mais comme ils manquent d'un groupe hydroxyle nécessaire à la formation de la liaison phosphodiester entre les nucléotides, cela provoque un arrêt prématuré de la synthèse de l'ADN. Cela empêche le virus de se répliquer et ralentit ainsi sa propagation dans l'organisme.

Cependant, il est important de noter que ces médicaments peuvent également inhiber la réplication de l'ADN humain, ce qui peut entraîner des effets secondaires indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et équilibrée avec les bénéfices thérapeutiques attendus.

Les antirétroviraux (ARV) sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les infections à rétrovirus, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Les ARV fonctionnent en interférant avec la capacité du virus à se répliquer dans les cellules hôtes.

Il existe plusieurs classes différentes d'ARV, chacune ciblant une étape spécifique du cycle de réplication virale. Les principales classes d'ARV comprennent :

1. Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) : Ces médicaments se lient à la reverse transcriptase, une enzyme du VIH, et empêchent le virus de convertir son matériel génétique en ADN, ce qui l'empêche de s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte.
2. Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) : Ces médicaments ressemblent à des nucléosides, qui sont les blocs de construction de l'ADN et de l'ARN. Lorsque le VIH utilise ces faux nucléosides pour synthétiser son ADN, il ne peut pas terminer le processus, empêchant ainsi la réplication virale.
3. Inhibiteurs de protéase (IP) : Ces médicaments inhibent une enzyme appelée protéase, qui est nécessaire à la production de nouvelles particules virales matures et infectieuses. En bloquant cette enzyme, les IP empêchent le virus de se propager davantage.
4. Inhibiteurs d'intégrase (INI) : Ces médicaments inhibent l'enzyme intégrase du VIH, qui est responsable de l'intégration de l'ADN viral dans l'ADN de la cellule hôte. En empêchant cette étape, les INI empêchent le virus de se répliquer et d'infecter d'autres cellules.
5. Inhibiteurs d'entrée : Ces médicaments empêchent le VIH d'entrer dans les cellules hôtes en ciblant différentes étapes du processus d'entrée, telles que l'interaction entre la glycoprotéine virale et les récepteurs de la cellule hôte.
6. Inhibiteurs de fusion : Ces médicaments empêchent le VIH de se fondre avec la membrane cellulaire en ciblant la glycoprotéine virale qui facilite cette étape du processus d'infection.

L'utilisation combinée de plusieurs de ces médicaments, appelée thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA), permet de réduire considérablement la charge virale et d'améliorer la santé des personnes vivant avec le VIH. Cependant, il est important de noter que ces médicaments ne guérissent pas l'infection par le VIH et doivent être pris régulièrement pour maintenir leur efficacité.

Le lopinavir est un inhibiteur de protéase utilisé dans le traitement des infections au virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il fonctionne en empêchant la production de nouvelles particules virales, ce qui peut aider à ralentir la progression du VIH et à améliorer la réponse immunitaire de l'organisme. Le lopinavir est souvent combiné avec d'autres médicaments antirétroviraux pour former un régime thérapeutique complet. Il est disponible sous forme de capsule ou de solution orale et doit être pris en association avec une faible dose de ritonavir, qui sert à augmenter la concentration plasmatique du lopinavir. Les effets secondaires courants comprennent des nausées, des diarrhées, des maux de tête et des éruptions cutanées.

Les didéoxynucleotides sont des analogues de nucléotides qui manquent d'un groupe hydroxyle (-OH) dans la position 3' du sucre pentose. Cette modification empêche la formation de liaisons phosphodiester entre les didéoxynucléotides, ce qui inhibe ultimement l'allongement de la chaîne d'ADN lors de la réplication.

Les didéoxynucleotides sont couramment utilisés dans les tests de détection d'ADN spécifique tels que la réaction en chaîne par polymérase (PCR) et la séquenceur d'ADN, car ils permettent l'arrêt précis de l'élongation de la chaîne d'ADN lorsque incorporés dans une molécule d'ADN en croissance. Cela permet aux scientifiques d'identifier la position spécifique des séquences d'ADN complémentaires aux didéoxynucléotides marqués, tels que les didéoxynucléotides fluorescents.

Les didéoxynucleotides sont également utilisés dans le traitement de certaines maladies virales et cancéreuses en inhibant la réplication de l'ADN viral ou tumoral, ce qui peut entraîner une diminution de la charge virale ou une suppression de la croissance tumorale. Cependant, les didéoxynucleotides peuvent également inhiber la réplication de l'ADN cellulaire normal, ce qui peut entraîner des effets secondaires indésirables tels que la myélosuppression et la neurotoxicité.

Les pyrimidinones sont un type de composé hétérocyclique qui contient un cycle à six membres avec deux atomes d'azote et deux doubles liaisons. Dans les pyrimidinones, un groupe carbonyle (=O) est également attaché à l'un des atomes de carbone du cycle. Les pyrimidinones sont structurellement apparentées aux pyrimidines, qui sont un type important de bases nucléiques dans l'ADN et l'ARN.

En médecine, les pyrimidinones peuvent être utilisées comme composants de médicaments ou d'agents thérapeutiques. Par exemple, certaines pyrimidinones ont montré une activité antivirale contre le virus de l'herpès simplex et d'autres virus à ADN. D'autres pyrimidinones peuvent avoir des propriétés anti-inflammatoires ou anticancéreuses. Cependant, il convient de noter que la plupart des recherches sur les pyrimidinones sont encore à un stade précoce et qu'aucun médicament basé sur ces composés n'a été approuvé pour une utilisation clinique générale.

En termes médicaux, un médicament générique est défini comme une version d'un produit pharmaceutique qui contient les mêmes ingrédients chimiques actifs que la formulation originale ou de marque d'un médicament. Ils sont conçus pour être bioéquivalents au médicament d'origine, ce qui signifie qu'ils ont des concentrations plasmatiques et une biodisponibilité similaires dans le corps après l'administration.

Les médicaments génériques sont généralement produits lorsque les brevets de médicaments originaux ou de marque expirent, permettant ainsi à d'autres sociétés pharmaceutiques de développer des versions moins chères du même médicament. Bien que leur apparence et leurs coûts puissent différer, les médicaments génériques doivent offrir la même qualité, efficacité et sécurité que le produit d'origine.

Avant d'être mis sur le marché, les médicaments génériques sont soumis à des essais rigoureux et à une réglementation stricte par les autorités sanitaires telles que la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis ou l'Agence européenne des médicaments (EMA) en Europe pour garantir leur sécurité, leur efficacité et leur qualité.

Le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) est un rétrovirus qui affaiblit le système immunitaire en infectant et en détruisant un type spécifique de globules blancs appelés lymphocytes T CD4+ ou cellules T helper. Le virus s'attache à ces cellules et insère son matériel génétique dans celui de la cellule hôte. Une fois que le virus a infecté une cellule, il peut produire des copies de lui-même qui peuvent infecter d'autres cellules CD4+.

L'infection par le VIH se produit lorsque les fluides corporels d'une personne séropositive (sang, sperme, sécrétions vaginales, lait maternel) pénètrent dans l'organisme d'une autre personne. Cela peut se produire par le biais de relations sexuelles non protégées, de l'utilisation de drogues injectables contaminées ou du partage d'aiguilles, ainsi que des transfusions sanguines et des accouchements ou allaitements chez les mères infectées.

Le VIH se propage rapidement dans le corps après l'infection initiale et commence à détruire les cellules CD4+. Cela entraîne une diminution du nombre de ces cellules, ce qui affaiblit le système immunitaire et rend la personne plus vulnérable aux infections opportunistes et au cancer.

Il n'existe actuellement aucun remède contre le VIH, mais des médicaments antirétroviraux (ARV) peuvent être utilisés pour contrôler la réplication du virus et ralentir la progression de la maladie. Avec un traitement précoce et continu, les personnes vivant avec le VIH peuvent maintenir des niveaux de santé proches de ceux des personnes non infectées et ont une espérance de vie normale.

La didéoxycytidine (ddC) est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse (INTI) qui est utilisé dans le traitement de certaines infections virales, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il s'agit d'un analogue nucléosidique modifié qui ressemble à la cytidine, un composant normal des acides nucléiques.

Lorsque la didéoxycytidine est incorporée dans l'ADN viral par la transcriptase inverse, elle empêche l'ajout de nouveaux nucléotides à la chaîne d'ADN en raison de son incapacité à former une liaison phosphodiester avec le prochain nucléotide. Cela entraîne la terminaison prématurée de la synthèse de l'ADN et empêche ainsi la réplication du virus.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de la didéoxycytidine est associée à des effets secondaires importants, tels qu'une toxicité mitochondriale qui peut entraîner une neuropathie périphérique et une myélosuppression. Par conséquent, elle n'est généralement pas utilisée comme traitement de première ligne contre le VIH et est souvent remplacée par d'autres INTI moins toxiques.

Je suis désolé, "Macaca nemestrina" est en fait la dénomination scientifique d'une espèce de primate appelée le macaque à queue de brossage. Il est également connu sous le nom de macaque de Bornéo ou de macaque pig-tailed en raison de sa longue et caractéristique queue. Originaire des forêts tropicales d'Asie du Sud-Est, y compris Bornéo, Sumatra et la péninsule malaise, ce primate omnivore est réputé pour son intelligence et sa capacité à s'adapter à divers environnements. Il n'y a pas de définition médicale spécifique associée à cette espèce, sauf si elle est utilisée dans un contexte de recherche biomédicale.

Le Ritonavir est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à la classe des inhibiteurs de protéase, qui fonctionnent en bloquant une enzyme appelée protéase dont le VIH a besoin pour se répliquer. En empêchant la protéase de fonctionner, Ritonavir ralentit la multiplication du VIH dans le corps.

Cependant, il est important de noter que Ritonavir n'est pas utilisé seul dans le traitement du VIH, mais plutôt en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux. Cela s'appelle une thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA).

Ritonavir est également souvent utilisé à faibles doses comme un "boosteur" pour d'autres inhibiteurs de protéase, ce qui signifie qu'il est utilisé pour augmenter les niveaux sanguins et l'efficacité de ces médicaments.

Les effets secondaires courants du Ritonavir comprennent des nausées, des vomissements, de la diarrhée, des changements dans le goût (dysgueusie), des maux de tête et des éruptions cutanées. Certains patients peuvent également développer des problèmes hépatiques ou pancréatiques graves. Comme avec tous les médicaments, il doit être utilisé sous la direction d'un médecin qualifié qui surveillera attentivement les effets du médicament sur le patient.

Les inhibiteurs de protéase du VIH sont une classe de médicaments antirétroviraux utilisés dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome de l'immunodéficience acquise (SIDA).

Le VIH est un rétrovirus qui se réplique en infectant les cellules du système immunitaire et en utilisant leurs enzymes pour produire des copies de lui-même. La protéase du VIH est une enzyme essentielle à cette réplication, car elle clive les longues chaînes de polypeptides viraux en petites protéines fonctionnelles qui forment la structure du virus mature.

Les inhibiteurs de protéase du VIH sont des médicaments synthétiques qui se lient spécifiquement à la protéase du VIH et empêchent sa fonction, entraînant ainsi l'accumulation de polypeptides non fonctionnels et l'empêchant de produire des virus matures infectieux.

En inhibant la réplication du VIH, ces médicaments peuvent aider à ralentir la progression de la maladie, à améliorer la fonction immunitaire et à prévenir les complications liées au SIDA. Les inhibiteurs de protéase du VIH sont souvent utilisés en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans un régime thérapeutique appelé thérapie antirétrovirale hautement active (HAART).

La stavudine pénètre rapidement dans les cellules par diffusion non facilitée. Dans un grand nombre de cellules, la stavudine ... Cela fonctionne par incorporation de la stavudine dans la formation de cet ADN viral. En effet, la molécule de stavudine va ... La stavudine est administrée deux fois par jour par voie orale souvent sous la forme de gélules ou de poudre pour suspension ... La stavudine est un analogue de la thymidine dans lequel le groupe hydroxyle est remplacé par une double liaison entre deux ...
Stavudine (d4T) - Comprimé : 15 mg ; 20 mg ; 30 mg. Poudre pour forme buvable : 5 mg / 5 ml. Ténofovir (TDF) - Comprimé : 300 ... Lamivudine + névirapine + stavudine - Comprimé : 150 mg + 200 mg + 30 mg. Comprimé (dispersible) : 30 mg + 50 mg + 6 mg [C] ; ...
... en particulier les inhibiteurs nucléosidiques tels que stavudine et zidovudine, provoquent fréquemment des lipodystrophies. De ...
La didanosine et les analogues thymidiniques tels la zidovudine ou la stavudine ont une toxicité mitochondriale supérieure à ... stavudine (Zerit, d4T) abacavir (Ziagen, ABC) zalcitabine (Hivid, ddC) racivir amdoxovir apricitabine elvucitabine tenofovir ...
3-hydroxy-kynurénine, numéro CAS 484-78-6 stavudine, numéro CAS 3056-17-5 Portail de la chimie (Homonymie, Isomérie, Page ...
C10H17N2O14P3 Stavudine C10H12N2O4 - principe actif : C10H15N2O13P3 Analogues de la désoxyuridine C9H12N2O5 / désoxyuridine ...
Par ailleurs, la prise conjointe d'éfavirenz, de stavudine, de didanosine ou de clarithromycine modifient le taux d'atazanavir ...
... stavudine, ténofovir ou zidovudine), des inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) (névirapine), ou ...
Ils comprennent la zidovudine (AZT) (synthétisée en 1964), la didanosine (ddI), la zalcitabine (ddC), la stavudine (d4T), la ...
... stavudine (Zerit, d4T) abacavir (Ziagen, ABC) zalcitabine (Hivid, ddC) racivir amdoxovir apricitabine elvucitabine tenofovir ( ...
... stavudine (NRTI) Ziagen : abacavir (NRTI) NRTI : Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse NtRTI : Inhibiteurs ...
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Deux des médicaments les plus fréquemment utilisés sont la stavudine (d4T) et la zidovudine (AZT). Lobjectif de cette revue ... Spaulding A, Rutherford GW, Siegfried N. Stavudine or zidovudine in three-drug combination therapy for initial treatment of HIV ... Comparaison entre des schémas antirétroviraux initiaux utilisant de la stavudine ou de la zidovudine dans le cadre dune ... Deux médicaments fréquemment administrés dans le traitement antirétroviral de première intention sont la stavudine (d4T) et la ...
stavudine, abacavir, éfavirenz, névirapine, lopinavir, amprénavir,. enfuvirtide, maraviroc et raltégravir. En outre, aucun ...
Zerit (stavudine) : nest plus commercialisé en France.. *. Abacavir (nom de marque Ziagen). ...
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Stable concentrations of zidovudine, stavudine, lamivudine, abacavir, and nevirapine in serum and cerebrospinal fluid during 2 ...
Un effet additif a été observé lors de lassociation de labacavir avec la didanosine, la lamivudine et la stavudine. ... La zidovudine, la didanosine, la stavudine, et le ténofovir maintiennent leurs activités antirétrovirales sur ces variants du ...
... randomisés pour débuter précocement ou tardivement un traitement ARV comprenant de lefavirenz et une combinaison de stavudine ... stavudine ; 3TC : lamivudine ; EFV : efavirenz ; Sem. : semaine. ... stavudine ; 3TC : lamivudine ; EFV : efavirenz ; Sem. : semaine ...
Vous commencerez probablement par consulter votre médecin de soins primaires si vous présentez des symptômes de diabète. Si votre enfant présente des symptômes de diabète, vous pourriez consulter le pédiatre de votre enfant. Si le taux de sucre dans le sang est extrêmement élevé, vous serez probablement envoyé aux urgences.. Si les niveaux de sucre dans le sang ne sont pas suffisamment élevés pour vous mettre immédiatement en danger, vous ou votre enfant, vous pouvez être référé à un médecin spécialisé dans le diabète, entre autres troubles (endocrinologue). Peu de temps après le diagnostic, vous rencontrerez probablement un éducateur spécialisé en diabète et un diététicien pour obtenir plus dinformations sur la gestion de votre diabète.. Voici quelques informations pour vous aider à vous préparer pour votre rendez-vous avec votre médecin, et pour savoir ce que votre médecin vous demandera.. ...
Les inhibiteurs nucléosidiques et nucléotidiques de la transcriptase inverse (INTI) : la zidovudine, la stavudine et la ...
... la stavudine) étaient prescrites pour comprendre que lévolution du traitement est la clé de cette brutale chute de la ...
... la stavudine, la névirapine....), et les avis sont moins tranchés quà lépoque où questionner la prise de médicaments était ...
Mais, ces associations ne sont plus que rarement utilisées en pratique clinique (p. ex., zidovudine [ZDV] et stavudine [d4T]). ... associer des inhibiteurs nucléosidiques de la reverse transcriptase de première génération tels que la stavudine (d4T) et la ...
STAVUDINE. Micro Thesaurus 3050 THERAPEUTIQUE. ; PREVALENCE. Micro Thesaurus 2020 EPIDEMIOLOGIE. ; INDICE DE MASSE CORPORELLE ...
Autorité publique indépendante à caractère scientifique, la Haute Autorité de santé (HAS) vise à développer la qualité dans le champ sanitaire, social et médico-social, au bénéfice des personnes. Elle travaille aux côtés des pouvoirs publics dont elle éclaire la décision, avec les professionnels pour optimiser leurs pratiques et organisations, et au bénéfice des usagers dont elle renforce la capacité à faire des choix.
article] Ces profiteurs du SIDA : le scandale stavudine [texte imprimé] / PHILIPPE DEMENET . - 0000 . - pp. 22 - 23.. Langues ...
Dans les patients avec VIH le traitement délément dinfection avec Retrovir, zidovudine et stavudine mène à VIH viremia (une ... Lutilisation délément avec dautres médicaments antiviraux tels que zidovudine (Retrovir), zalcitabine (Hivid) ou stavudine ( ...
La zidovudine, la didanosine, la stavudine et le ténofovirmain-tiennent leurs activités antirétrovirales sur de tels variants ... étantobservé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas dedysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés ... stavudine, ténofovir ou zidovudine), des inhibiteurs nonnucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) (névirapine), ou ...
Il existe 2 types de stylos pharmacocinétiques de la stavudine, il des rénovations qui vous aidera à planifier votre prochain ...
À la fin de la phase de la stavudine, il est très une alerte pour que les Gilets et tout autre débris de grande. Soudain, ...
... avec risque dapparition ou daccroissement de toxicités du type neuropathie périphérique avec zalcitabine et stavudine, ...
... de la didanosine et de la stavudine administrés ensemble, avec ou sans hydroxyurée, chez des patients infectés par le VIH ayant ...
... inverse inhibiteurs de la sustiva 3021 sustiva art sustiva pep sustiva et truvada traitement du vih sustiva wiki stavudine ...
... stavudine, ténofovir, abacavir et didanosine), à tous les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) et ...
Non tudi . Sur la base des diff rentes voies d limination des autres INTI, c est- -dire zidovudine, emtricitabine, stavudine et ...
Selon la disponibilité des médicaments, le traitement comprenait une association de lamivudine + stavudine (68 fois) combinée ... les protocoles contenant de fortes doses de stavudine sont volontiers plus souvent associés à la PN, surtout au cours de la ...
  • Deux des médicaments les plus fréquemment utilisés sont la stavudine (d4T) et la zidovudine (AZT). (cochrane.org)
  • Deux médicaments fréquemment administrés dans le traitement antirétroviral de première intention sont la stavudine (d4T) et la zidovudine (AZT), qui sont des inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI). (cochrane.org)
  • la zidovudine, la stavudine et la didanosine qui ne sont plus très utilisées en France du fait de leur effets secondaires. (carenity.com)
  • L'utilisation d'élément avec d'autres médicaments antiviraux tels que zidovudine (Retrovir), zalcitabine (Hivid) ou stavudine (Zerit), peut provoquer acidosis lactique. (pharmacieenlignebelgique.com)
  • Dans les patients avec VIH le traitement d'élément d'infection avec Retrovir, zidovudine et stavudine mène à VIH viremia (une condition où les virus entrent dans la circulation sanguine et peuvent affecter le reste du corps) et exige le changement de traitement. (pharmacieenlignebelgique.com)
  • Un effet additif a été observé lors de l'association de l'abacavir avec la didanosine, la lamivudine et la stavudine. (doctissimo.fr)
  • Les adultes infectés par le VIH ayant un nombre de lymphocytes CD4 ≤ 200/mm 3 et une tuberculose confirmée par l'examen bactériologique direct étaient inclus, après signature du consentement éclairé, et randomisés pour débuter précocement ou tardivement un traitement ARV comprenant de l'efavirenz et une combinaison de stavudine et de lamivudine ( Figure 1 ) . (inserm.fr)
  • Zerit (stavudine) : n'est plus commercialisé en France. (seronet.info)
  • La stavudine ou D4T (2, 3'-didéhydro-2', 3' -didéoxythymidine) est un principe actif antiviral utilisé dans le traitement des personnes atteintes par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui provoque le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). (wikipedia.org)
  • En conséquence, seuls 7000 patients atteints du SIDA aux États-Unis sont toujours sous stavudine pour des raisons de sûreté (données IMS). (wikipedia.org)
  • La stavudine (d4T) ayant une structure voisine de l'AZT, est donc apparue prometteuse pour le développement d'un traitement anti-VIH (mise en évidence des effets inhibiteurs de l'AZT et des didésoxynucléotides à la fin les années 1980). (wikipedia.org)
  • Dans les pays développés au moins, l'époque n'est plus véritablement à la prescription de composés aussi toxiques qu'inefficaces comme cela l'a longtemps été (l'AZT, la DDI, la DDC, la stavudine, la névirapine. (sidasante.com)
  • Actuellement, il existe de nombreuses façons de synthétiser la stavudine. (wikipedia.org)
  • Il existe 2 types de stylos pharmacocinétiques de la stavudine, il des rénovations qui vous aidera à planifier votre prochain projet. (nccu.edu.tw)
  • La stavudine, utilisée pour traiter le sida, est la démonstration parfaite de ce qu'il ne va pas avec le système. (contre-pouvoirs-le-film.com)
  • La stavudine (d4T) ayant une structure voisine de l'AZT, est donc apparue prometteuse pour le développement d'un traitement anti-VIH (mise en évidence des effets inhibiteurs de l'AZT et des didésoxynucléotides à la fin les années 1980). (wikipedia.org)
  • Cette molécule est d'abord mise en présence d'un sel d'imidazolium (à 50 °C), puis réagit avec NaH dans des conditions particulières (température de 100 °C, pendant 5 min), et forme ainsi la stavudine. (wikipedia.org)
  • Des études de toxicité ont été menées concernant les didésoxynucléotides et ont permis de mettre en évidence la toxicité relativement importante de la stavudine. (wikipedia.org)
  • Actuellement, il existe de nombreuses façons de synthétiser la stavudine. (wikipedia.org)