Syndrome D'Hypertension Intracrânienne Bénigne
Hypertension Intracrânienne
Oedème Papillaire
Pression Intracrânienne
Ventriculographie
Hydrofluméthiazide
Hormones Post-Hypophysaires
Embarrure
Sinus De La Dure-Mère
Thromboses Des Sinus Intracrâniens
Hypertension Artérielle
Transverse Sinuses
Diurétiques Osmotiques
Hypertension Artérielle Pulmonaire
Ponction Lombaire
Céphalée
Thrombose Du Sinus Latéral
Troubles De La Vision
Syndrome De La Selle Turcique Vide
Decompressive Craniectomy
Neurophysiological Monitoring
Tumeurs De L'Hypophyse
Encyclopedias as Topic
Hypophyse
Hyperprolactinémie
Hémianopsie
Hormones Hypophysaires
Céphalées
Vocabulaire Contrôlé
Tension-Type Headache
Algie Vasculaire De La Face
Céphalées Vasculaires
Descripteur
Malformation D'Arnold-Chiari
Colorants Alimentaires
Syringomyélie
Syndrome De L'Artère Spinale Antérieure
Malformations Artérioveineuses
Platybasie
Amp Cyclique
Don
Robotique
Patient Participation
Encyclopédies [Type De Publication]
Le Syndrome d'Hypertension Intracrânienne Bénigne (SHIB), également connu sous le nom de Pseudotumor Cerebri, est une affection caractérisée par une pression élevée à l'intérieur du crâne sans qu'il y ait de tumeur ou d'autres affections évidentes qui pourraient en être la cause. Cette augmentation de la pression intracrânienne peut entraîner des maux de tête sévères, des bourdonnements dans les oreilles, une vision floue ou une perte de vision, notamment lorsque le SHIB n'est pas traité.
Les symptômes courants du SHIB peuvent inclure :
- Des maux de tête, souvent ressentis derrière les yeux et s'aggravant avec la toux, l'effort physique ou les changements de position de la tête
- Des bourdonnements dans les oreilles (acouphènes)
- Une vision floue ou une baisse de l'acuité visuelle
- Des nausées et des vomissements
- Une douleur, un engourdissement ou une faiblesse dans les membres
- Des troubles de l'équilibre et de la coordination
Le diagnostic du SHIB repose généralement sur l'examen clinique, les antécédents médicaux du patient, ainsi que sur des examens complémentaires tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une ponction lombaire pour mesurer la pression du liquide céphalo-rachidien.
Le traitement du SHIB vise principalement à réduire la pression intracrânienne et à prévenir les complications visuelles. Il peut inclure des médicaments tels que des diurétiques pour diminuer la production de liquide céphalo-rachidien, ainsi que des analgésiques pour soulager les maux de tête. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour drainer l'excès de liquide céphalo-rachidien ou pour décomprimer les nerfs optiques.
L'hypertension intracrânienne (HIC) est un terme médical qui décrit une condition où la pression à l'intérieur du crâne est élevée. Cette pression peut être due à plusieurs facteurs, tels qu'un excès de liquide céphalorachidien (LCR), un gonflement du cerveau, ou une tumeur.
Dans des conditions normales, le cerveau et le LCR occupent tous les deux des espaces délimités dans le crâne. Toute augmentation de volume de l'un ou l'autre entraînera une augmentation de la pression intracrânienne.
Les symptômes de l'HIC peuvent inclure des maux de tête sévères, des nausées et des vomissements, des troubles visuels, des bourdonnements d'oreilles, des étourdissements et dans certains cas, une perte de conscience. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour réduire la pression, une intervention chirurgicale ou des procédures de drainage du LCR.
Il est important de noter que l'HIC est une condition sérieuse qui nécessite une évaluation et un traitement médicaux immédiats pour prévenir d'éventuelles complications, telles que des dommages au cerveau ou la perte de vision.
L'œdème papillaire, également connu sous le nom d'œdème du disque optique ou de papille, est un terme médical qui décrit la présence d'un gonflement de la papille optique, qui est la zone où les nerfs optiques entrent dans l'œil. Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris une pression artérielle élevée, une inflammation oculaire, un glaucome ou une maladie du système nerveux central.
Lorsque la papille optique gonfle, elle peut apparaître plus pâle que d'habitude et peut présenter des vaisseaux sanguins dilatés à sa surface. Les personnes atteintes d'œdème papillaire peuvent également ressentir une vision floue ou déformée, ainsi que des maux de tête ou des douleurs oculaires.
Le diagnostic de l'œdème papillaire peut être posé en examinant l'œil à l'aide d'un ophtalmoscope, qui permet au médecin de visualiser la papille optique et d'identifier tout gonflement ou autre anomalie. Des tests supplémentaires peuvent être nécessaires pour déterminer la cause sous-jacente de l'œdème papillaire et élaborer un plan de traitement approprié.
Le traitement de l'œdème papillaire dépendra de la cause sous-jacente de la condition. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour réduire la pression artérielle ou l'inflammation oculaire. Si le glaucome est à l'origine de l'œdème papillaire, un traitement spécifique pour ce trouble peut être nécessaire pour prévenir des dommages supplémentaires au nerf optique et à la vision.
La pression intracrânienne (ICP) est la pression à l'intérieur du crâne dans le liquide céphalorachidien (LCR) qui remplit les espaces entre le cerveau, le cervelet et la moelle épinière. La plage normale de la pression intracrânienne est de 5 à 15 mmHg (millimètres de mercure). Une augmentation pathologique de l'ICP au-dessus de 20 mmHg est généralement considérée comme anormale et peut être le signe d'un certain nombre de conditions médicales graves, telles qu'une tumeur cérébrale, une hémorragie intracrânienne, une inflammation, un œdème cérébral ou une hydrocéphalie. Des valeurs élevées de pression intracrânienne peuvent endommager le cerveau en compressant les tissus cérébraux et en réduisant l'apport sanguin vers le cerveau, entraînant des symptômes tels que maux de tête, nausées, vomissements, troubles visuels, somnolence et, dans les cas graves, coma et décès.
La ventriculographie est un examen d'imagerie médicale qui consiste à injecter un produit de contraste dans les ventricules cérébraux, qui sont des cavités remplies de liquide à l'intérieur du cerveau. Cette procédure permet de visualiser la taille, la forme et la position des ventricules ainsi que la circulation du liquide céphalo-rachidien (LCR) dans le cerveau.
La ventriculographie peut être réalisée par deux méthodes principales : la ventriculographie par ponction lombaire et la ventriculographie par cathétérisme. Dans les deux cas, le produit de contraste est injecté dans les ventricules cérébraux, puis des images sont prises à l'aide d'un scanner ou d'une IRM pour observer la distribution du produit de contraste.
Cet examen est généralement prescrit pour évaluer certaines pathologies cérébrales telles que les tumeurs, les hydrocéphalies, les malformations congénitales ou les infections qui affectent le cerveau et la circulation du LCR. Cependant, cette procédure est de moins en moins utilisée avec l'avènement des techniques d'imagerie avancées telles que l'IRM et le scanner, qui offrent une visualisation plus détaillée et non invasive des structures cérébrales.
L'hydrofluméthiazide est un diurétique thiazidique utilisé dans le traitement de l'hypertension artérielle et de l'œdème, y compris l'œdème causé par l'insuffisance cardiaque congestive, les maladies rénales et le cirrhotique. Il fonctionne en augmentant la quantité d'urine que produit votre corps, ce qui aide à réduire le fluide dans votre corps. En conséquence, cela peut aider à abaisser votre tension artérielle et à réduire l'enflure.
Les effets secondaires courants de l'hydrofluméthiazide peuvent inclure des étourdissements, une faiblesse, une fatigue, des maux de tête, des nausées ou des vomissements et des modifications de la fonction rénale. Les effets secondaires plus graves peuvent inclure une réaction allergique, une éruption cutanée, des démangeaisons, un gonflement du visage, de la langue ou de la gorge, des problèmes respiratoires, une irrégularité cardiaque, une faible quantité d'urine, des douleurs musculaires ou articulaires sévères, une sensation de chaleur inexpliquée, une soif extrême, une urination douloureuse ou difficile, des ecchymoses ou des saignements faciles.
Comme avec tout médicament, il est important de suivre les instructions de votre fournisseur de soins de santé concernant la posologie et l'utilisation de ce médicament. Informez votre médecin de tous les autres médicaments que vous prenez, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, car ils peuvent interagir avec l'hydrofluméthiazide. Évitez de conduire ou d'utiliser des machines jusqu'à ce que vous sachiez comment ce médicament vous affecte, car il peut provoquer une somnolence ou des étourdissements.
Les hormones post-hypophysaires, également connues sous le nom d'hormones neurohypophysaires, sont des peptides hormonaux sécrétés par la neurohypophyse, qui est une glande endocrine faisant partie de l'hypophyse située à la base du cerveau. Contrairement aux autres hormones hypophysaires qui sont produites dans l'adénohypophyse, les hormones post-hypophysaires sont synthétisées dans le cerveau (dans le noyau supraoptique et paraventriculaire du hypothalamus) puis transportées et stockées dans la neurohypophyse avant d'être libérées dans la circulation sanguine en réponse à des stimuli spécifiques.
Il existe deux principales hormones post-hypophysaires :
1. L'ocytocine : elle est responsable de la contraction utérine pendant le travail et l'accouchement, ainsi que de la libération de lait chez les femmes qui allaitent.
2. La vasopressine (ou ADH, hormone antidiurétique) : elle régule la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux dans les reins, ce qui permet de contrôler la concentration d'urine et maintenir l'équilibre hydrique de l'organisme.
En résumé, les hormones post-hypophysaires sont des peptides hormonaux produits par le cerveau et stockés dans la neurohypophyse, jouant un rôle crucial dans la régulation de fonctions telles que l'accouchement, l'allaitement et l'équilibre hydrique.
Je suis désolé, mais il n'y a pas de terme médical communément utilisé appelé "embarrure". Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que ce ne soit pas un terme médical reconnu. Pouvez-vous vérifier l'orthographe et me fournir plus de détails sur le contexte dans lequel vous l'avez rencontré ? Cela m'aidera à vous fournir une réponse plus précise.
Le sinus de la dure-mère, également connu sous le nom de sinus sagittal superior, est un canal situé dans la couche méningée externe (dure-mère) du cerveau. Il s'étend le long de la ligne médiane de la surface interne de la calvaria (crâne) et contient du liquide céphalo-rachidien (LCR).
Le sinus de la dure-mère est divisé en deux compartiments par une fine septation. Chaque compartiment reçoit le sang des veines diploïques étoilées et des veines corticales superficielles. Le sang s'écoule ensuite dans les sinus transverses, qui se jettent dans la veine jugulaire interne.
Le sinus de la dure-mère est cliniquement important car il peut être le site de divers processus pathologiques tels que des thromboses, des infections et des tumeurs. Les thromboses du sinus de la dure-mère peuvent entraîner une augmentation de la pression intracrânienne et des symptômes tels que des maux de tête, des nausées, des vomissements et une vision floue. Les infections du sinus de la dure-mère peuvent se propager à travers le LCR et entraîner une méningite ou une encéphalite.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
La thrombose des sinus intracrâniens est une condition médicale dans laquelle un caillot sanguin (thrombus) se forme dans les sinus veineux situés à l'intérieur du crâne. Les sinus veineux sont des vaisseaux sanguins qui drainent le sang hors du cerveau et de la dure-mère, la membrane externe qui entoure le cerveau.
Les thromboses des sinus intracrâniens peuvent survenir en raison de divers facteurs, tels que des infections, des traumatismes crâniens, des troubles sanguins ou l'utilisation de contraceptifs hormonaux. Les symptômes peuvent varier et dépendent de la gravité et de l'emplacement de la thrombose. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères, des nausées, des vomissements, une vision floue ou double, des convulsions, une perte d'équilibre, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps, des difficultés à parler ou à comprendre le langage, et dans les cas graves, une confusion mentale ou un coma.
Le diagnostic de la thrombose des sinus intracrâniens peut être posé en utilisant des techniques d'imagerie médicale telles que l'angiographie par résonance magnétique (ARM) ou le scanner cérébral. Le traitement dépend de la gravité et de l'emplacement de la thrombose, mais peut inclure des anticoagulants pour prévenir la croissance du caillot sanguin, des thrombolytiques pour dissoudre le caillot, ou une intervention chirurgicale pour retirer le caillot. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour assurer une surveillance étroite et un traitement agressif.
L'hypertension artérielle, également appelée hypertension, est une condition médicale dans laquelle la pression artérielle systolique (la pression lorsque le cœur bat pour pomper le sang) est égale ou supérieure à 140 mmHg, et/ou la pression artérielle diastolique (la pression lorsque le cœur est au repos entre les battements) est égale ou supérieure à 90 mmHg. Il s'agit d'une pression artérielle élevée persistante qui peut endommager les vaisseaux sanguins et les organes vitaux, tels que le cœur, les reins et le cerveau, s'il n'est pas traité.
L'hypertension artérielle est souvent asymptomatique et peut ne pas provoquer de symptômes pendant des années, mais elle peut être détectée lors de mesures de la pression artérielle. Si non traitée, l'hypertension artérielle peut entraîner des complications graves telles que des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des insuffisances cardiaques et des maladies rénales.
Les facteurs de risque de l'hypertension artérielle comprennent l'âge, l'obésité, le manque d'exercice, une alimentation riche en sodium, la consommation excessive d'alcool, le tabagisme, le stress et l'hérédité. Le traitement de l'hypertension artérielle peut inclure des modifications du mode de vie, telles que une alimentation saine, une activité physique régulière, la perte de poids, la réduction de la consommation de sodium et d'alcool, ainsi que des médicaments prescrits par un médecin pour abaisser la pression artérielle.
Les sinus transverses sont des structures anatomiques importantes du système veineux intracrânien. Il s'agit d'un type de sinus veineux dural situé dans la partie postérieure de la tête, qui draine le sang veineux désoxygéné du cerveau et des méninges.
Le sinus transverse est formé par la convergence de deux veines : la veine sagittale supérieure et la veine rectrice de la dure-mère. Il traverse le tentorium cerebelli, une fine feuille de la dure-mère qui sépare les hémisphères cérébraux du cervelet.
Après avoir traversé le tentorium, le sinus transverse se courbe vers le bas et l'arrière pour devenir le sinus sigmoïde, qui se déverse finalement dans la veine jugulaire interne. Les sinus transverses sont importants car ils aident à réguler la pression intracrânienne et à maintenir un apport adéquat de nutriments et d'oxygène au cerveau.
Les diurétiques osmotiques sont un type de diurétique qui agit en augmentant l'osmolarité dans les tubules rénaux, ce qui entraîne une rétention d'eau dans les tubules et une augmentation de la production d'urine. Ils fonctionnent en empêchant l'absorption de l'eau dans les reins, ce qui entraîne une augmentation de la quantité d'urine produite et une réduction du volume sanguin.
Les diurétiques osmotiques sont souvent utilisés pour traiter l'œdème, qui est un gonflement causé par l'accumulation de liquide dans les tissus corporels. Ils peuvent également être utilisés pour réduire la pression artérielle et aider à prévenir les lésions rénales chez les personnes atteintes d'insuffisance rénale aiguë ou chronique.
Les exemples courants de diurétiques osmotiques comprennent le mannitol et l'urée. Ces médicaments sont généralement administrés par voie intraveineuse dans un contexte hospitalier, car ils peuvent entraîner une déshydratation si elles ne sont pas utilisées correctement. Il est important de suivre les instructions posologiques de votre fournisseur de soins de santé pour éviter les effets secondaires indésirables.
L'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est une maladie rare mais grave qui affecte les vaisseaux sanguins dans les poumons et le côté droit du cœur. Elle se caractérise par une pression artérielle anormalement élevée dans les artères pulmonaires, ce qui rend plus difficile pour le sang de circuler dans les poumons et d'obtenir l'oxygène nécessaire.
Les causes courantes de HTAP comprennent des maladies cardiaques congénitales, l'usage de drogues illicites, certaines infections pulmonaires et certains médicaments. Cependant, dans la plupart des cas, la cause est inconnue, ce qui est appelé HTAP idiopathique.
Les symptômes de l'HTAP peuvent inclure essoufflement, fatigue, douleurs thoraciques, syncopes (évanouissements) et gonflement des jambes ou des chevilles. Le diagnostic est généralement posé par une combinaison d'examens physiques, de tests de laboratoire et d'imagerie médicale, tels que l'échocardiogramme et la radiographie pulmonaire.
Le traitement de l'HTAP dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour dilater les vaisseaux sanguins dans les poumons, des anticoagulants pour prévenir la formation de caillots sanguins, de l'oxygénothérapie pour améliorer l'apport en oxygène et, dans certains cas, une transplantation pulmonaire ou cardiaque. Il est important que les personnes atteintes d'HTAP soient suivies régulièrement par un médecin spécialisé dans cette maladie pour surveiller leur état de santé et adapter leur traitement en conséquence.
Une ponction lombaire, également appelée rhachocentèse ou tapotement lombaire, est un processus médical dans lequel une aiguille fine est insérée dans l'espace situé entre deux vertèbres dans le bas du dos (colonne lombaire) pour recueillir du liquide céphalo-rachidien (LCR). Le LCR est un fluide clair qui entoure et protège le cerveau et la moelle épinière.
Cette procédure est généralement effectuée sous anesthésie locale pour réduire l'inconfort du patient. Elle peut être utilisée pour diverses raisons, telles que le diagnostic de certaines maladies du cerveau et de la moelle épinière, le soulagement de la pression intracrânienne élevée, ou l'administration de médicaments directement dans l'espace sous-arachnoïdien.
Des complications telles que des maux de tête, des infections, des saignements et des douleurs peuvent survenir, mais elles sont rares lorsque la procédure est effectuée par un professionnel qualifié.
Une céphalée, plus communément appelée mal de tête, est une douleur ou une gêne localisée dans la région de la tête ou du cou. Les maux de tête peuvent varier en intensité, allant de légers à sévères, et peuvent être accompagnés de nausées, de vomissements, de sensibilités à la lumière et au son, ainsi que d'autres symptômes.
Il existe plusieurs types de maux de tête, notamment les migraines, les céphalées de tension, les céphalées en grappe, et les céphalées secondaires qui sont causées par une maladie sous-jacente ou une blessure. Les causes sous-jacentes des maux de tête peuvent inclure le stress, la fatigue, les troubles du sommeil, les problèmes de vision, les sinusites, les infections, les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales et l'hypertension artérielle.
Le traitement des maux de tête dépend du type et de la cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments en vente libre ou sur ordonnance, des changements de mode de vie, des thérapies comportementales et des interventions chirurgicales dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous souffrez de maux de tête fréquents ou sévères, car ils peuvent être le signe d'une condition médicale sous-jacente grave.
La thrombose du sinus latéral, également connue sous le nom de thrombophlébite du sinus latéral ou thrombose de la veine jugulaire interne, est une affection médicale dans laquelle un caillot sanguin (thrombus) se forme dans le sinus latéral, une veine située à l'intérieur du crâne qui draine le sang des méninges et des structures voisines.
Le sinus latéral reçoit le sang des veines cérébrales et des veines de la face et des méninges. Il se jette ensuite dans la veine jugulaire interne, qui transporte le sang vers le cœur. Lorsqu'un caillot sanguin se forme dans le sinus latéral, il peut entraîner une obstruction du flux sanguin, ce qui peut provoquer des symptômes tels que maux de tête, nausées, vomissements, troubles visuels, convulsions et altération de la conscience.
La thrombose du sinus latéral peut être causée par une variété de facteurs, notamment des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, des troubles de la coagulation sanguine et l'utilisation de contraceptifs hormonaux. Le diagnostic de cette affection peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale, telle qu'une angiographie par résonance magnétique (ARM) ou une tomodensitométrie (TDM).
Le traitement de la thrombose du sinus latéral dépend de la gravité des symptômes et des facteurs sous-jacents qui ont contribué à sa formation. Il peut inclure l'utilisation d'anticoagulants pour prévenir la croissance du caillot sanguin, la thrombolyse pour dissoudre le caillot existant ou la thrombectomie pour retirer chirurgicalement le caillot. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter les facteurs sous-jacents qui ont contribué à la formation du caillot sanguin.
Les troubles de la vision, également appelés déficiences visuelles ou déficits visuels, se réfèrent à une gamme de conditions qui affectent la capacité d'une personne à voir clairement et correctement. Cela peut inclure une variété de problèmes tels que :
1. Myopie (vue courte) : Dans ce trouble, les objets éloignés apparaissent flous car l'œil est trop long ou le pouvoir de réfraction est trop fort.
2. Hypermetropie (vue longue) : Ici, les objets rapprochés sont flous car l'œil est trop court ou le pouvoir de réfraction est insuffisant.
3. Astigmatisme : Cela se produit lorsque la courbure de la cornée ou du cristallin n'est pas uniforme, ce qui provoque une distorsion de l'image.
4. Presbytie : Ce trouble survient généralement avec l'âge, lorsque le cristallin perd sa flexibilité et rend difficile la mise au point sur les objets proches.
5. Cataracte : Il s'agit du nuagement du cristallin, qui provoque une vision floue, terne ou double.
6. Glaucome : C'est une maladie oculaire qui endommage le nerf optique, souvent due à une pression intraoculaire élevée.
7. Dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) : Il s'agit d'une maladie oculaire qui affecte la macula, la partie centrale de la rétine, entraînant une perte progressive de la vision centrale.
8. Diplopie (vision double) : Cela se produit lorsque les yeux ne travaillent pas ensemble correctement, provoquant une vision double.
9. Strabisme (yeux croisés) : Dans ce trouble, les yeux ne sont pas alignés correctement et pointent dans des directions différentes.
10. Amblyopie (œil paresseux) : Il s'agit d'une mauvaise vision ou d'un manque de développement visuel dans un œil, souvent en raison d'un strabisme non traité ou d'une différence de réfraction significative entre les yeux.
Ces conditions peuvent être détectées par des examens oculaires réguliers et traitées si elles sont diagnostiquées tôt.
Le syndrome de la selle turcique vide (SSTV) est un terme utilisé en neurologie et en radiologie pour décrire une condition anatomique où il y a une absence ou une réduction significative de la substance dans la selle turcique, qui est un petit espace osseux situé à la base du crâne, où se trouve généralement la glande pituitaire.
La selle turcique abrite la glande pituitaire et l'hypothalamus, qui sont des structures importantes du système endocrinien et nerveux central. Dans le SSTV, il y a une diminution de la quantité de tissu dans cette région, ce qui peut être causée par une variété de facteurs, notamment un traumatisme crânien, une chirurgie cérébrale, une tumeur, une radiothérapie ou une maladie dégénérative.
Les symptômes du SSTV peuvent varier considérablement en fonction de la cause sous-jacente et de l'étendue de la perte de substance dans la selle turcique. Certains des symptômes courants comprennent des maux de tête, des troubles visuels, des anomalies hormonales, des vertiges, des nausées et des difficultés d'équilibre. Cependant, il est important de noter que certaines personnes atteintes du SSTV peuvent ne présenter aucun symptôme.
Le diagnostic du SSTV repose généralement sur l'imagerie médicale, telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM), qui peuvent révéler des changements anatomiques dans la selle turcique. Le traitement du SSTV dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une surveillance étroite, une thérapie hormonale de remplacement ou une intervention chirurgicale.
Une decompressive craniectomy est une procédure neurochirurgicale d'urgence utilisée dans le traitement des augmentations de pression intracrânienne (ICP) réfractaires qui ne répondent pas aux autres formes de thérapie. Cette intervention consiste à enlever une partie du crâne pour permettre au cerveau gonflé de se dilater et d'éviter ainsi des dommages supplémentaires dus à la compression.
Cela peut être effectué dans divers scénarios, tels qu'un traumatisme crânien grave, une hémorragie intracrânienne sévère, un œdème cérébral après un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique, ou d'autres conditions entraînant une augmentation marquée de la pression à l'intérieur du crâne. La taille et l'emplacement de l'os crânien enlevé dépendent de la localisation de la lésion cérébrale et de la quantité de décompression nécessaire.
Bien que cette procédure puisse être salutaire à court terme en prévenant les dommages supplémentaires au cerveau due à la pression élevée, elle comporte également des risques importants, y compris le potentiel de complications infectieuses, d'hématomes récurrents, de troubles de la conscience, de problèmes de parole et de déglutition, ainsi que des déficiences neurologiques à long terme. De plus, certains patients peuvent nécessiter une procédure supplémentaire pour remplacer l'os crânien enlevé (cranioplastie).
Les veines de l'encéphale sont des vaisseaux sanguins qui sont responsables du retour du sang veineux vers le cœur à partir du cerveau et du cervelet. Contrairement aux artères, qui transportent le sang riche en oxygène depuis le cœur vers les tissus, les veines transportent le sang pauvre en oxygène vers le cœur pour qu'il soit réoxygéné.
Les veines de l'encéphale se forment à partir d'un réseau capillaire dense qui recouvre le cerveau et le cervelet. Ces veines se rejoignent ensuite pour former des veines plus grandes, qui se regroupent finalement en deux principaux systèmes veineux : le système veineux superficiel et le système veineux profond.
Le système veineux superficiel est composé de veines situées près de la surface du cerveau, telles que les veines corticales et les veines cerebri magna. Ces veines se rejoignent pour former la grande veine sagittale supérieure, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.
Le système veineux profond est composé de veines situées plus profondément dans le cerveau, telles que les veines thalamostriales et les veines galéniques. Ces veines se rejoignent pour former la veine de Galien, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.
Les veines de l'encéphale sont importantes car elles permettent d'évacuer les déchets métaboliques produits par le cerveau et de réguler la pression intracrânienne. Les troubles de la circulation veineuse peuvent entraîner des complications graves, telles que des accidents vasculaires cérébraux ou une augmentation de la pression intracrânienne.
La surveillance neurophysiologique (NPM) est un ensemble de techniques qui enregistrent l'activité électrique du système nerveux pendant des procédures médicales ou chirurgicales. Elle vise à minimiser les risques de dommages iatrogènes aux structures neurales vitales et à préserver leur fonction. Les méthodes de NPM comprennent l'électroencéphalographie (EEG), l'électromyographie (EMG), la stimulation nerveuse et d'autres techniques spécialisées. Ces outils aident les cliniciens à surveiller en temps réel la fonction neurologique, à détecter rapidement les changements et à adapter le traitement en conséquence. La NPM est largement utilisée dans divers domaines tels que la neurochirurgie, la chirurgie cardiovasculaire et la médecine de réanimation pour optimiser les résultats cliniques et améliorer la sécurité des patients.
Un adénome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans les glandes. Il peut se former dans divers endroits du corps où il y a des glandes, mais ils sont le plus souvent trouvés dans la prostate, les glandes surrénales et les glandes hypophysaires. Les adénomes sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent causer des problèmes de santé en comprimant les tissus voisins ou en interférant avec leur fonction normale.
Les adénomes peuvent ne pas provoquer de symptômes, surtout s'ils sont petits. Cependant, selon l'emplacement et la taille de la tumeur, des symptômes peuvent apparaître. Par exemple, un adénome de la prostate peut causer des problèmes de miction, tandis qu'un adénome de la glande pituitaire peut entraîner une production excessive d'hormones ou une vision floue.
Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la tumeur est simplement surveillée. Dans d'autres cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peut être recommandée pour enlever la tumeur ou réduire sa taille.
Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.
Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.
Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :
* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.
Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).
L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).
La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.
En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.
L'hyperprolactinémie est un trouble hormonal caractérisé par des taux anormalement élevés de prolactine, une hormone produite par la glande pituitaire située à la base du cerveau. Normalement, la prolactine aide à stimuler la production de lait maternel pendant l'allaitement. Cependant, des niveaux élevés de prolactine en dehors de la période d'allaitement peuvent entraîner une variété de symptômes et de complications.
Les causes courantes d'hyperprolactinémie comprennent les tumeurs bénignes de l'hypophyse (appelées prolactinomes), certains médicaments, des troubles de la thyroïde, une stimulation excessive du sein et des lésions de l'hypothalamus. Les symptômes courants de l'hyperprolactinémie chez les femmes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des douleurs mammaires et une production de lait inappropriée en dehors de la période d'allaitement. Chez les hommes, les symptômes peuvent inclure une diminution de la libido, une baisse de la fertilité, des érections réduites ou absentes, une croissance mammaire (gynécomastie) et une diminution de la masse musculaire.
Le diagnostic d'hyperprolactinémie est généralement posé sur la base d'un examen physique, d'une évaluation des symptômes et de tests sanguins pour mesurer les niveaux de prolactine. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'hyperprolactinémie. Dans certains cas, le traitement peut impliquer l'arrêt ou le changement de médicaments qui peuvent contribuer à l'augmentation des niveaux de prolactine. Pour les personnes atteintes d'un adénome hypophysaire producteur de prolactine, le traitement peut inclure une chirurgie ou une radiothérapie pour enlever la tumeur. Les médicaments qui bloquent l'action de la prolactine peuvent également être utilisés pour réduire les niveaux de prolactine et soulager les symptômes associés à l'hyperprolactinémie.
L'hémianopsie est un terme médical désignant une perte de vision dans la moitié du champ visuel d'un œil ou des deux yeux. Elle peut être homonyme, ce qui signifie que la perte de vision est similaire dans les deux yeux, ou hétéronyme, ce qui signifie que la perte de vision est différente entre les deux yeux. L'hémianopsie peut résulter de diverses affections médicales, y compris des lésions cérébrales, des tumeurs cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux ou d'autres conditions qui endommagent ou compriment la région du cerveau responsable du traitement des informations visuelles. Les personnes atteintes d'hémianopsie peuvent avoir des difficultés à conduire, lire ou effectuer d'autres tâches qui nécessitent une vision normale. Le traitement de l'hémianopsie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des lunettes spéciales, une rééducation visuelle ou une intervention chirurgicale.
Les hormones hypophysaires sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. L'hypophyse est divisée en deux parties : le lobe antérieur (ou adénohypophyse) et le lobe postérieur (ou neurohypophyse). Chaque partie de l'hypophyse produit et sécrète des types spécifiques d'hormones.
Les hormones hypophysaires les plus importantes comprennent :
1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) - stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des graisses et des glucides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) - stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) - stimule la corticale surrénale pour produire et sécréter des hormones stéroïdes telles que le cortisol et les androgènes.
4. Prolactine (PRL) - stimule la production de lait dans les glandes mammaires pendant la grossesse et l'allaitement.
5. Folliculo-stimulante (FSH) et luteinisante (LH) - régulent la fonction des organes reproducteurs chez les hommes et les femmes. Chez les femmes, la FSH stimule la croissance des follicules ovariens et la production d'estradiol, tandis que la LH déclenche l'ovulation et la production de progestérone. Chez les hommes, la FSH stimule la spermatogenèse dans les testicules, et la LH stimule la production de testostérone.
6. Hormone melanotrope (MSH) - régule la pigmentation de la peau et des cheveux en influençant la production de mélanine.
7. Endorphines et enképhalines - sont des neuropeptides qui agissent comme analgésiques naturels et modulent l'humeur et le comportement alimentaire.
8. Oxytocine - stimule l'accouchement et la lactation, et joue un rôle dans les liens sociaux et affectifs.
9. Vasopressine (ADH) - régule la pression artérielle et le volume sanguin en influençant la rétention d'eau par les reins.
Une céphalée est un terme général pour désigner une douleur dans la tête. Les maux de tête peuvent varier en intensité, allant de légers à sévères, et peuvent être accompagnés de divers symptômes tels que nausées, vomissements, sensibilité à la lumière ou au son, et étourdissements.
Il existe plusieurs types de céphalées, notamment les migraines, les céphalées de tension, les céphalées en grappe, et les céphalées secondaires qui sont dues à une cause sous-jacente telle qu'une infection, un traumatisme crânien ou un trouble médical.
Le traitement des maux de tête dépend du type et de la gravité de la céphalée. Les options de traitement peuvent inclure des analgésiques en vente libre, des médicaments sur ordonnance, des changements de mode de vie, des thérapies comportementales et des interventions invasives telles que les blocs nerveux ou la chirurgie.
Il est important de consulter un médecin si vous souffrez de maux de tête fréquents ou sévères, en particulier s'ils sont accompagnés de symptômes inhabituels ou graves, car ils peuvent être le signe d'un problème de santé sous-jacent plus grave.
Un vocabulaire contrôlé (VC) en médecine est un ensemble de termes et expressions normalisés, structurés et préférentiels qui sont utilisés dans le domaine de la santé pour favoriser une communication claire et précise entre les professionnels de la santé, les chercheurs, les systèmes informatiques et les patients. Les vocabulaires contrôlés peuvent inclure des termes issus de différents domaines, tels que les maladies, les procédures médicales, les substances chimiques, les dispositifs médicaux, les gènes et les protéines.
L'utilisation d'un vocabulaire contrôlé permet de standardiser la terminologie utilisée dans l'échange d'informations cliniques, de recherche et administratives, ce qui facilite la recherche, l'analyse des données, la comparaison des résultats et le partage des connaissances. Les vocabulaires contrôlés sont souvent intégrés dans les systèmes d'information hospitaliers, les dossiers médicaux électroniques, les banques de données biomédicales et les outils d'analyse de données pour assurer l'interopérabilité et la cohérence des termes utilisés.
Exemples courants de vocabulaires contrôlés en médecine comprennent SNOMED CT (Systematized Nomenclature of Medicine Clinical Terms), LOINC (Logical Observation Identifiers Names and Codes), MeSH (Medical Subject Headings) et ICD (International Classification of Diseases).
Une tension-type headache (TA), également connue sous le nom de céphalée de tension, est un type courant de mal de tête qui est généralement décrit comme une pression ou une douleur sourde et douloureuse sur les deux côtés de la tête. Les TA ne sont pas aussi invalidantes que les migraines et ne causent généralement pas de nausées ou de vomissements. Cependant, ils peuvent être accompagnés de sensibilité à la lumière ou au son.
Les TA sont souvent déclenchées par le stress, la fatigue, une mauvaise posture ou des facteurs environnementaux tels que la luminosité vive ou les bruits forts. Les muscles du cou et de la tête se tendent et se contractent, ce qui peut provoquer des douleurs. Dans certains cas, les TA peuvent être associées à des problèmes de santé mentale tels que l'anxiété ou la dépression.
Les TA sont généralement traités avec des analgésiques en vente libre tels que l'ibuprofène ou l'acétaminophène. Dans les cas plus graves, des médicaments sur ordonnance peuvent être prescrits. Des techniques de relaxation telles que la thérapie cognitivo-comportementale, la méditation et le yoga peuvent également aider à prévenir les TA en réduisant le stress et la tension musculaire.
L'algie vasculaire de la face (AVF), également connue sous le nom de cluster headache, est un type rare mais extrêmement douloureux de céphalée. Selon la définition médicale, l'AVF se caractérise par des crises récurrentes d'une douleur unilatérale intense et perforante située autour de l'œil ou dans la tempe, souvent associée à des symptômes autonomes tels que larmoiement, congestion nasale, miodésopsie (visions de mouches volantes) et ptosis (paupière tombante). Les crises durent généralement entre 15 minutes et 3 heures et peuvent se produire plusieurs fois par jour pendant une période appelée grappe, qui peut durer de semaines à mois, suivie d'une rémission complète ou partielle.
L'AVF affecte principalement les hommes dans la force de l'âge et est considérée comme une forme de céphalée trigéminovasculaire primaire. Bien que sa cause exacte soit inconnue, il existe des preuves suggérant que des facteurs génétiques et environnementaux peuvent contribuer à son développement. Les traitements comprennent l'oxygénothérapie hyperbare, les triptans, les corticostéroïdes et la stimulation nerveuse vagale.
Les céphalées vasculaires sont un type de mal de tête qui résulte d'une anomalie ou d'une inflammation des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau. Il existe plusieurs types de céphalées vasculaires, mais les deux plus courants sont l'algie vasculaire de la face et la migraine hémicrâniale chronique.
L'algie vasculaire de la face est caractérisée par des épisodes intenses de douleur unilatérale au niveau du front, des tempes ou de la mâchoire, souvent accompagnés de larmoiement, de congestion nasale et de rougeur de la peau du visage. Ces épisodes peuvent durer de 15 minutes à plusieurs heures et se produire jusqu'à plusieurs fois par jour.
La migraine hémicrâniale chronique est caractérisée par des douleurs unilatérales au niveau de la tête, souvent décrites comme une pression ou un serrement, qui durent au moins 15 jours par mois et peuvent durer plusieurs heures à la fois. Ces maux de tête sont souvent accompagnés de nausées, de vomissements et de sensibilité à la lumière et aux sons.
Le traitement des céphalées vasculaires dépend du type spécifique de mal de tête et peut inclure des médicaments pour soulager la douleur, des changements de mode de vie et, dans certains cas, des interventions chirurgicales. Il est important de consulter un médecin si vous pensez souffrir de céphalées vasculaires, car elles peuvent être le signe d'un problème médical sous-jacent plus grave.
Un descripteur en médecine est un terme ou expression utilisé pour décrire ou préciser les caractéristiques d'une maladie, d'un trouble, d'une blessure ou d'une procédure médicale. Il s'agit souvent d'un terme contrôlé et normalisé qui est inclus dans une taxonomie ou un système de classification médicale pour faciliter la recherche, l'analyse et la communication entre les professionnels de la santé.
Les descripteurs peuvent être utilisés pour décrire divers aspects d'un sujet médical, tels que les symptômes, les signes physiques, les résultats de tests diagnostiques, les traitements, les complications et les issues. Ils sont souvent inclus dans les résumés et les articles de recherche médicale pour aider à décrire et à catégoriser les sujets abordés.
Les descripteurs peuvent également être utilisés dans les dossiers médicaux électroniques, les systèmes de gestion de la santé et les bases de données de recherche pour permettre une recherche plus précise et efficace de l'information médicale.
La malformation d'Arnold-Chiari est un trouble congénital du cerveau qui se produit lorsque la partie inférieure du cervelet et certaines structures cérébrales s'étendent dans le canal rachidien, la colonne vertébrale. Il existe plusieurs types de malformations d'Arnold-Chiari, mais les deux plus courants sont les types I et II.
Dans la malformation d'Arnold-Chiari de type I, la partie inférieure du cervelet et le début de la moelle épinière (bulbe rachidien) s'étendent dans le canal rachidien. Cela peut entraîner une pression sur le tronc cérébral et le cervelet, ce qui peut provoquer des symptômes tels que des maux de tête, des étourdissements, des problèmes d'équilibre et de coordination, des difficultés à avaler et parfois une perte de sensation ou de mouvement dans les bras et les jambes.
Dans la malformation d'Arnold-Chiari de type II, qui est plus grave que le type I, une grande partie du cervelet et du tronc cérébral s'étend dans le canal rachidien. Cette forme de la maladie est souvent associée à une moelle épinière non scellée (myéloméningocèle) et peut entraîner des symptômes plus graves, tels que des problèmes respiratoires, des difficultés d'alimentation, des paralysies et même la mort.
Le traitement de la malformation d'Arnold-Chiari dépend de la gravité des symptômes et peut inclure une surveillance attentive, des médicaments pour gérer les symptômes ou une intervention chirurgicale pour soulager la pression sur le cerveau et la moelle épinière.
Les colorants alimentaires sont des substances chimiques ou naturelles qui sont ajoutées aux aliments pour améliorer ou modifier leur apparence en leur donnant une certaine couleur. Ils peuvent être classés en deux catégories : les colorants certifiés et les colorants non certifiés. Les colorants certifiés sont approuvés par les autorités réglementaires pour une utilisation dans les aliments, tandis que les colorants non certifiés ne le sont pas.
Les colorants alimentaires certifiés peuvent être synthétiques ou naturels. Les colorants synthétiques sont fabriqués chimiquement, tandis que les colorants naturels sont dérivés de plantes, d'animaux ou de minéraux. Chaque colorant a un numéro de code de couleur spécifique et doit être étiqueté sur l'emballage alimentaire avec ce numéro pour indiquer sa présence dans l'aliment.
Les colorants alimentaires sont souvent utilisés pour compenser les changements de couleur qui peuvent se produire pendant la transformation des aliments, pour restaurer la couleur naturelle perdue lors du traitement ou pour rendre les aliments plus attrayants et appétissants. Cependant, il est important de noter que certains colorants alimentaires peuvent avoir des effets néfastes sur la santé s'ils sont consommés en grande quantité, c'est pourquoi leur utilisation est réglementée par les autorités compétentes.
La syringomyélie est une affection médullaire caractérisée par la présence d'une cavité ou d'un kyste rempli de liquide céphalo-rachidien (LCR) dans la moelle épinière. Cette cavité, appelée syrinx, peut entraîner une dégénérescence progressive et une destruction de la substance grise et blanche de la moelle épinière.
La syringomyélie est souvent associée à des malformations congénitales du rachis, comme la malformation d'Arnold-Chiari ou certaines anomalies de la jonction cranio-vertébrale. Elle peut également être secondaire à une lésion traumatique de la moelle épinière, une tumeur, une méningite, une arachnoïdite ou d'autres processus pathologiques qui perturbent la circulation du LCR dans le canal épidural ou la moelle épinière.
Les symptômes courants de la syringomyélie incluent des douleurs neuropathiques, une faiblesse musculaire, des troubles sensitifs (diminution ou perte de la sensation thermique et tactile fine, avec conservation de la sensibilité profonde), des troubles sphinctériens, des fasciculations et une atrophie musculaire. L'évolution de la maladie est généralement progressive, entraînant une détérioration neurologique significative au fil du temps si elle n'est pas traitée.
Le diagnostic de syringomyélie repose sur l'imagerie médicale, en particulier l'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), qui permet de visualiser la cavité syringomyliaque dans la moelle épinière. Le traitement peut inclure une décompression chirurgicale de la jonction cranio-cervicale, la création d'une dérivation pour drainer le syrinx ou la stabilisation de la colonne vertébrale en cas de lésion traumatique. Dans certains cas, une prise en charge symptomatique et des soins de réadaptation peuvent être nécessaires pour améliorer la qualité de vie du patient.
Le syndrome de l'artère spinale antérieure est un trouble rare mais grave qui affecte l'apport sanguin à la moelle épinière. Il se produit lorsqu'il y a une compression ou une obstruction de l'artère spinale antérieure, qui est la principale source d'approvisionnement en sang de la partie avant de la moelle épinière. Cette condition peut entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs thoraciques, une faiblesse musculaire, une perte de sensation, des problèmes de coordination et, dans les cas graves, une paralysie.
Le syndrome de l'artère spinale antérieure peut être causé par une variété de facteurs, y compris une maladie vasculaire sous-jacente, un traumatisme, une tumeur ou une hernie discale. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'imagerie médicale, tels qu'une angiographie ou une imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le traitement du syndrome de l'artère spinale antérieure dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la compression ou rétablir le flux sanguin vers la moelle épinière. Des médicaments peuvent également être prescrits pour aider à gérer les symptômes et prévenir d'autres complications. Dans tous les cas, une prise en charge rapide et agressive est essentielle pour prévenir des dommages permanents à la moelle épinière.
Les malformations artério-veineuses (MAV) sont des connexions anormales entre les artères et les veines, bypassant généralement le lit capillaire. Cela entraîne une circulation à faible résistance dans ces vaisseaux sanguins anormaux, ce qui peut entraîner un shunt artério-veineux et des anomalies hémodynamiques. Les MAV peuvent survenir n'importe où dans le corps, mais elles sont souvent trouvées dans le cerveau (MAV cérébrales) ou la moelle épinière (MAV spinales).
Les MAV cérébrales peuvent entraîner des saignements intracrâniens, des convulsions, des maux de tête et des déficits neurologiques. Les MAV spinales peuvent provoquer une faiblesse musculaire, des douleurs, des picotements ou un engourdissement dans les membres. Le traitement peut inclure la surveillance, la prise en charge médicale des symptômes et divers types de thérapies interventionnelles, telles que l'embolisation, la radiothérapie stéréotaxique et la chirurgie.
La platybasie est un terme médical qui décrit une anomalie squelettique dans laquelle la base du crâne, ou la partie la plus basse de la boîte crânienne, est anormalement plate et élargie. Cette condition entraîne une inclinaison vers l'avant du plancher de l'orbite oculaire (ou le toit de la cavité nasale) par rapport à la ligne verticale passant par les processus mastoidiens de l'os temporal.
La platybasie peut être congénitale, c'est-à-dire présente dès la naissance, ou acquise, due à des traumatismes crâniens sévères, des tumeurs bénignes ou malignes, des infections osseuses ou d'autres processus pathologiques affectant le crâne. Dans certains cas, elle peut être associée à d'autres anomalies squelettiques et neurologiques, telles que la maladie de Marfan, l'achondroplasie, la basilar invagination ou des syndromes chromosomiques spécifiques.
La platybasie peut être asymptomatique et découverte fortuitement lors d'examens radiologiques effectués pour d'autres raisons. Cependant, dans certains cas, elle peut entraîner des symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, des vertiges, des troubles de l'équilibre, une vision double ou des difficultés à avaler, en raison de la compression ou de l'irritation des structures nerveuses et vasculaires situées dans le rachis cervical et la région crânio-cervicale. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, telle que les radiographies, la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), qui permettent de mesurer et de visualiser l'angle de la platybasie et d'évaluer ses éventuelles complications. Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une traction cervicale ou une chirurgie décompressive.
Je suis désolé, mais la terminologie «amp cyclique» ne semble pas correspondre à un terme ou une expression médicale établie. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que vous vous référiez à un terme spécifique à une certaine spécialité médicale.
Cependant, le terme «amplificateur cyclique» (cyclic amplifier en anglais) est utilisé en biologie moléculaire pour décrire un appareil de laboratoire qui permet d'amplifier des acides nucléiques (ADN ou ARN) à l'aide d'une réaction en chaîne par polymérase (PCR).
Si vous cherchiez une information différente, pouvez-vous svp fournir plus de détails ou vérifier l'orthographe du terme pour que je puisse vous aider davantage ?
La désoxyguanosine est un nucléoside dérivé de la déoxiribonucléotide, qui est elle-même un composant important des acides nucléiques tels que l'ADN. La désoxyguanosine se compose d'une base guanine liée à un résidu de désoxyribose via une liaison glycosidique β-N9.
Dans l'ADN, la désoxyguanosine s'apparie avec la désoxycytidine par l'intermédiaire de deux liaisons hydrogène pour former une paire de bases complémentaires. La désoxyguanosine joue un rôle crucial dans la réplication et la transcription de l'ADN, ainsi que dans la régulation de l'expression des gènes.
La désoxyguanosine peut également être trouvée sous forme libre dans les cellules et les fluides corporels, où elle peut servir de marqueur biochimique pour divers processus physiologiques et pathologiques. Des taux élevés de désoxyguanosine peuvent indiquer une oxydation accrue de l'ADN ou une altération de la réparation de l'ADN, ce qui peut contribuer au développement de maladies telles que le cancer et les maladies neurodégénératives.
En médecine, un "don" fait référence à un organe, des tissus ou des cellules prélevés sur une personne (le donneur) et transplantés dans une autre personne (le receveur) afin de remplacer ou de restaurer une fonction corporelle défaillante. Les types courants de dons comprennent les greffes d'organes tels que le rein, le foie, le cœur et les poumons, ainsi que les transplantations de moelle osseuse et de cellules souches sanguines.
Le processus de donation implique généralement une évaluation approfondie du donneur pour déterminer la compatibilité avec le receveur et minimiser le risque de rejet de greffe. Les donneurs vivants doivent subir des tests médicaux et psychologiques rigoureux pour s'assurer qu'ils sont en bonne santé et capables de faire face aux conséquences physiques et émotionnelles du don.
Dans le cas des donneurs décédés, une procédure spéciale est suivie pour établir la mort cérébrale ou circulatoire et obtenir le consentement approprié de la famille ou des proches avant d'effectuer le prélèvement d'organes.
Le don d'organes et de tissus peut être un acte généreux qui permet de sauver des vies ou d'améliorer considérablement la qualité de vie des receveurs. Cependant, il soulève également des questions éthiques complexes concernant les droits des donneurs, le consentement et la distribution équitable des ressources limitées.
La robotique en médecine est une branche de la technologie qui traite de la conception, de la fabrication et de l'opération de robots - des systèmes mécatroniques complexes capables d'effectuer des tâches délicates et précises dans un environnement médical. Ces robots peuvent être utilisés pour aider dans divers domaines, tels que la chirurgie, la réhabilitation, la prosthétique, le diagnostic et le traitement.
Dans le domaine de la chirurgie, par exemple, les systèmes robotiques permettent des mouvements plus fluides et précis que ce qui est possible avec une intervention humaine seule. Cela peut entraîner une réduction des traumatismes tissulaires, une diminution du saignement et une plus petite incision, ce qui peut conduire à une récupération plus rapide pour les patients.
Dans la réhabilitation et la prosthétique, les robots peuvent aider à fournir des mouvements plus naturels et fonctionnels aux personnes ayant des difficultés physiques. Dans le diagnostic et le traitement, ils peuvent être utilisés pour administrer des médicaments avec une grande précision ou pour effectuer des procédures complexes telles que la radiothérapie stéréotaxique.
En bref, la robotique en médecine est un domaine passionnant qui offre de nombreuses possibilités d'améliorer les soins aux patients grâce à des technologies avancées et innovantes.
La "participation du patient" dans un contexte médical fait référence au rôle actif et engageant des patients dans leur propre prise en charge de la santé. Cela peut inclure une variété d'activités telles que:
1. Prendre des décisions partagées avec les prestataires de soins de santé concernant les options de traitement.
2. Surveillance et gestion proactive de leur état de santé, y compris la tenue d'un journal de santé ou l'utilisation de technologies de surveillance à domicile.
3. Communication ouverte et fréquente avec les prestataires de soins de santé pour discuter des progrès, des préoccupations ou des changements dans leur état de santé.
4. Participation à des programmes d'éducation des patients ou à des groupes de soutien pour acquérir des connaissances et des compétences en matière de gestion de la santé.
5. Recherche active d'informations sur leur état de santé et les options de traitement via des ressources fiables telles que des organisations de patients, des livres ou des sites Web réputés.
La participation du patient est considérée comme une pratique exemplaire dans les soins de santé modernes car elle peut conduire à de meilleurs résultats pour les patients, tels qu'une meilleure observance des traitements, une amélioration de la qualité de vie et une réduction des coûts des soins de santé.
Je suis désolé, il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. "Encyclopédies" ne sont pas un type de publication médicale. Elles sont des ouvrages de référence généralistes qui contiennent des informations sur une large gamme de sujets, y compris la médecine. Cependant, il existe des encyclopédies médicales spécifiques qui offrent des articles détaillés et revus par des pairs sur divers aspects de la santé, des maladies, des procédures médicales, des professionnels de la santé, etc. Ces encyclopédies sont souvent utilisées comme références dans le domaine médical et peuvent être publiées sous forme imprimée ou numérique.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme "Public Relations" (PR) ne fait pas partie des définitions médicales standard. Il s'agit plutôt d'un domaine de la communication et des affaires qui vise à établir et à entretenir une relation positive et productive entre une organisation et le public.
En termes simples, les relations publiques sont un processus de communication stratégique qui permet aux organisations de construire des relations positives avec leurs différents publics, y compris les médias, les clients, les investisseurs, les employés, les actionnaires et le grand public. Les professionnels des relations publiques utilisent une variété de techniques, y compris la rédaction de communiqués de presse, l'organisation d'événements, la gestion de crise, les médias sociaux et les relations avec les médias, pour atteindre ces objectifs.
Cependant, dans un contexte médical ou de santé, les relations publiques peuvent être utilisées pour communiquer des informations importantes sur la santé publique, promouvoir des programmes de santé, gérer les crises de santé publique et établir des relations avec les parties prenantes du secteur de la santé.
Adénome hypophysaire
Astrocytome
Sclérose tubéreuse de Bourneville
Hydrocéphalie
Liste d'abréviations en médecine
Controverse sur le syndrome du bébé secoué
Antibiotique
Hémorragie méningée
Traumatisme crânien
Méningite
Paludisme
Coma
Neurocytome
Tumeur fibreuse solitaire
Liste de maladies rares
Saison 6 de Dr House
Adénome hypophysaire - Wikipedia
La Neuro-ophtalmologie en un clin d'oeil | Monique Schaison-Cusin | Librairie médicale Edimark
NORDITROPINE SIMPLEXX - Somatropine - Posologie
Hypertension intracrânienne : signes, causes, traitements
Usage des glucocorticoïdes synthétiques : effets secondaires en pratique clinique | Louvain Médical
Tumeurs du cervelet : symptômes, traitement, définition - docteurclic.com
Neoral 25 mg, capsule molle : posologie et effets secondaires | Santé Magazine
InfoCancer - ARCAGY - GINECO - glossaire
Nausées et vomissements chez l'adulte - Troubles digestifs - Manuels MSD pour le grand public
Pourquoi ma tête tourne-t-elle et a la nausée, pourquoi est-ce dangereux? - Des tests 2023
cours - CISMeF
Search | African Index Medicus (AIM)
Pour faire régresser les drames de maltraitance enfantines, la loi doit revoir sa copie et nous devons prendre conscience du...
Medicament - NUTROPINAQ®
Céphalée inhabituelle récente/récemment aggravée (≤7j) | CéphaléeClic
VICLINE® 200 mg cp Boîte de 10
Prednisolone 20 mg cp efferv séc, prednisolone, Indications, Posologie et mode d'administration, Effets indésirables | Univadis
Mal de tête après le vélo - Question Santé
La malformation d'Arnold Chiari - Apaiser
LES AFFECTIONS NEUROCHIRURGICALES DE L'ENFANT AU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D'ANGONDJE (CHUA) : PRISE EN CHARGE ET...
Pourquoi il est plus facile d'échouer avec acheter tamoxifen que vous ne le pensez - Ella's Palace
Maladie de Behçet - MedG
Dictionnaire anatomie, Éditions DésIris
Dictionnaire d'anatomie, Éditions DésIris
Dictionnaire d'anatomie, Éditions DésIris
5 façons géniales d'utiliser avantages de la forme physique numérique - Interface Formation
Prograf En Pharmacie En Ligne Ferrand - Ram Page
Le secret ultime du comment gagner des muscles avec la nutrition pour la boxe - Raksimportexport
cypionate de testostérone acheter en ligne - Êtes-vous prêt pour une bonne chose ? • Clemens Torantriebe
What Could blogpil Do To Make You Switch? - Hunter Academies
Tumeur2
- Les suites dépendent du type de tumeur, de son caractère bénin ou malin. (docteurclic.com)
- 2 types: l' accident ischémique (AVC ischémique ou AIC, 88%) par caillot occlusif (athérosclérose, embole cardiaque) et l' accident hémorragique par rupture artérielle (hypertension artérielle, anévrisme, MAV, tumeur). (recomedicales.fr)
Facteurs de risque2
- En ce qui concerne l'hypertension intracrânienne idiopathique, les seuls facteurs de risque démontrés sont le sexe féminin et l'obésité ' indique le Pr Proust. (journaldesfemmes.fr)
- Les facteurs de risque de développer une artérite sont les facteurs de risque vasculaire habituels (hypertension artérielle, dyslipémie, tabac), auxquels il faut ajouter l'insulinorésistance et l'atteinte rénale avérée. (medixdz.com)
Manifeste2
- En l'absence d'une cause générale bénigne manifeste, l'interrogatoire et l'examen clinique (avec fond d'œil) permettent de rechercher des signes d'HTIC (céphalées plus intenses le matin au réveil, vomissements, flou visuel, éclipses visuelles, œdème papillaire) qui font suspecter un processus expansif intracrânien ou des cervicalgies qui font évoquer une dissection des artères cervicales. (cephaleeclic.fr)
- Acheter prograf pharmacie en ligne lorsque la pression est trop importante une douleur se manifeste, ou à une inflammation (le plus souvent bénigne) du col de l'utérus. (rampage-adv.com)
D'hypertension2
- Le syndrome d'hypertension intracrânienne (HTIC) est caractérisée par une pression excessive du liquide céphalo-rachidien à l'intérieur de la boîte crânienne. (journaldesfemmes.fr)
- Interactions médicamenteuses :Associations contre-indiquées +Rétinoïdes (voie générale)Risque d'hypertension intracrânienne.Associations faisant l'objet de précautions d'emploi +Anticonvulsivants inducteurs enzymatiquesDiminution des concentrations plasmatiques de la doxycycline par augmentation de son métabolisme hépatique.Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la doxycycline. (dapmed-africa.com)
Cerveau2
- Les tumeurs du cervelet sont des tumeurs bénignes ou malignes touchant le cervelet qui est une sorte de cerveau secondaire situé en arrière et sous le cerveau et chargé de gérer l'équilibre et la coordination des mouvements . (docteurclic.com)
- Pour 28,9% d'entre eux, on trouvait aussi un codage 'autres affections du cerveau' (hypertension intracrânienne bénigne, compression). (humanismeopinion.fr)
Pression4
- Le syndrome d' hypertension intracrânienne est une augmentation de la pression dans la boîte crânienne. (journaldesfemmes.fr)
- L'hypertension intracrânienne est grave car la pression s'exerce sur des structures fragiles qui peuvent être sujettes à des lésions irréversibles. (journaldesfemmes.fr)
- La pression intracrânienne (PIC) est mesurée à l'aide de capteurs intracrâniens. (journaldesfemmes.fr)
- L'hydrocéphalie est une pathologie caractérisée par une accumulation excessive de liquide céphalorachidien (LCR) dans les ventricules cérébraux pouvant atteindre 2 à 4 litres, ce qui entraîne une augmentation de la pression intracrânienne et des dommages cérébraux si elle n'est pas traitée correctement. (dr-karazaitri-ma.net)
Affections1
- Affections du système nerveuxUne hypertension intracrânienne bénigne chez des adultes a été rapportée pendant un traitement par tétracyclines. (dapmed-africa.com)
D'une2
- Dans le cas d'une hypertension idiopathique, il n'y a pas de cause connue. (journaldesfemmes.fr)
- Il peut s'agir d'une hypertension intracrânienne idiopathique ou d'une forme bénigne secondaire , informe le Pr Proust. (journaldesfemmes.fr)
D'un3
- Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
- L'hypertension intracrânienne est bien tolérée pendant un moment car il y a des mécanismes de compensation dans la boite crânienne, mais elle peut se décompenser rapidement sous forme d'un engagement cérébral , précise le Dr François Proust. (journaldesfemmes.fr)
- Enfants atteints d'un syndrome de Prader Willi. (hunteracademies.org)
Risque1
- Outre le syndrome de Cushing iatrogène, une suppression complète de l'axe corticotrope peut survenir, avec risque d'insuffisance surrénalienne aiguë à l'arrêt du traitement. (louvainmedical.be)
L'hypertension2
- L'hypertension intracrânienne idiopathique survient généralement chez des femmes en âge de procréer. (journaldesfemmes.fr)
- Chez le tout petit, l'hypertension intracrânienne se signale par une augmentation du volume de la boîte crânienne . (journaldesfemmes.fr)
Clinique3
- Comprendre un syndrome complexe, appliquer une "recette" clinique rapide : tel est le but de La Neuro-ophtalmologie en un clin d'œil. (edimark.fr)
- C'est l'examen clinique et l'interrogatoire qui permettent de faire le diagnostic de ce syndrome clinique, informe notre interlocuteur. (journaldesfemmes.fr)
- Une suppression de l'axe corticotrope peut être assumée si le traitement a comporté une dose quotidienne équivalente à 16 mg de méthylprednisolone ou plus pendant au moins 6 semaines et chez les patients qui ont développé un syndrome de Cushing clinique. (louvainmedical.be)
N'est1
- bénigne, forme dans laquelle aucune lésion figurée n'est diagnostiquée. (journaldesfemmes.fr)
Turner2
- Retard de croissance chez les filles présentant une dysgénésie gonadique (Syndrome de Turner). (doctissimo.fr)
- Traitement à long terme du retard de croissance associé au syndrome de Turner chez les filles à partir de 2 ans. (biomedinfo.fr)
Prader Willi1
- Syndrome de Prader Willi. (raksimportexport.com)
Connue1
- Si vous présentez une hypertension artérielle connue ou non, celle-ci va pouvoir s'associer à de maux de tête totalement communs le plus souvent situés à l'arrière du crâne et surtout matinal. (question-sante.fr)
Grave1
- 96% des maux de tête sont bénins, c'est-à-dire pas grave. (question-sante.fr)
Cushing1
- Le syndrome de Cushing iatrogène se caractérise par certaines complications particulières comme la cataracte sous-capsulaire postérieure, une hypertension intracrânienne bénigne, une nécrose aseptique des têtes fémorales ou humérales, des ruptures tendineuses, une pancréatite ou une crise psychotique. (louvainmedical.be)
Chronique1
- de diverses pathologies (syndrome d' apnée du sommeil , insuffisance rénale chronique, anémie par carence martiale) ' indique le neurologue. (journaldesfemmes.fr)
Pathologie1
- Le syndrome des ovaires polykystiques SOPK est une pathologie complexe incluant une composante reproductive, métabolique et psycho-logique. (hunteracademies.org)
Maladie1
- Le syndrome d'Arnold-Chiari est une malformation congénitale du cervelet.Cette maladie rare est due au. (docteurclic.com)
Primitives1
- Syndromes néphrotiques corticodépendants et corticorésistants dus à des glomérulopathies primitives telles que des lésions glomérulaires minimes, des hyalinoses segmentaires et focales ou une glomérulonéphrite membraneuse. (santemagazine.fr)
Prostate3
- une hypothyroïdie, une hyperplasie bénigne de la prostate, une obésité, une sinusite, un syndrome d'apnée du sommeil et la goutte. (medscape.com)
- Avec un grand sourire sur son hyperplasie bénigne de la prostate deviennent résistants contre ces gens. (sansordonnancefrance.com)
- Le Finastéride 5 mg est utilisé dans le cadre du traitement de certains effets liés à l'hypertrophie bénigne de la prostate. (verachilly.co.uk)
Maux1
- Maux de tete, hypertension intracranienne benigne, achat steroides canada. (mohammadmtb.com)
Pulmonaire1
- Elle montre une hypertension pulmonaire, une insuffisance tricuspide, une dilatation de l'oreillette et du ventricule droit, une pression artérielle pulmonaire systolique de 80 mm Hg, alors que l'échocardiographie réalisée 1 mois auparavant était normale. (medscape.com)
Interrompu1
- Par conséquent, le traitement devrait être interrompu si une élévation de la tension intracrânienne est suspectée ou observée pendant un traitement par doxycycline. (dapmed-africa.com)
Traitement1
- Affections du système nerveuxUne hypertension intracrânienne bénigne chez des adultes a été rapportée pendant un traitement par tétracyclines. (dapmed-africa.com)
Chirurgie1
- Cette chirurgie peut être suivie par une hyponatrémie retardée par syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone anti-diurétique, constituant la complication principale de ce type d'intervention. (wikipedia.org)