Syndrome De Compression Médullaire
Tumeurs Du Rachis
Moelle Spinale
Tumeurs De La Moelle
Traumatismes De La Moëlle
Laminectomie
Vertèbres Thoraciques
Tumeurs
Vertèbres Cervicales
Décompression Chirurgicale
Maladies De La Moelle
Paraplégie
Hématopoïèse Extramédullaire
Maladies Du Rachis
Myélographie
Scheuermann Disease
Hématome
Remnographie
Paraparésie
Nodosité Rhumatismale
Ostéochondrome
Balloon Embolectomy
Processus Odontoïde
Abcès
Maladie Des Exostoses Multiples
Quadriplégie
Diphosphonates
Kystes Arachnoïdiens
Arachnoïde
Tuberculose Vertébrale
Hémangiome
Compression De Données
Arthrodèse Vertébrale
Fractures Spontanées
Syndromes De Compression Nerveuse
Treatment Outcome
Ischémie De La Moëlle
Cordon Ombilical
Ostéophytose Vertébrale
Vertèbres Lombales
Tomodensitomètre
Récupération Fonctionnelle
Bas De Contention
Injection Intrarachidienne
Fatal Outcome
Retrospective Studies
Racines Des Nerfs Spinaux
Fractures Par Compression
Intervertebral Disc
Facteur Temps
Ostéochondromatose
Ligament Jaune
Nerfs Spinaux
Traitement Palliatif
Le syndrome de compression médullaire (SCM) est un état médical dans lequel la moelle épinière est comprimée ou pressée, entraînant une variété de symptômes neurologiques. Cette compression peut être causée par une tumeur, un hématome, un disque intervertébral hernié, une sténose spinale, une fracture vertébrale, ou toute autre condition qui rétrécit l'espace à l'intérieur du canal rachidien.
Les symptômes courants du SCM comprennent des douleurs au dos ou au cou, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des picotements, des troubles de la marche et une perte de contrôle vésicale ou intestinale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente du SCM. Il peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, la médication pour soulager la douleur et d'autres thérapies de soutien pour aider à gérer les symptômes.
Les tumeurs du rachis, également connues sous le nom de tumeurs de la colonne vertébrale, se réfèrent à des croissances anormales qui se forment dans ou autour de la colonne vertébrale. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs du rachis peuvent affecter les disques intervertébraux, les corps vertébraux, les processus épineux, les ligaments et les nerfs spinaux.
Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur. Ils peuvent inclure des douleurs au dos ou au cou, des engourdissements, des faiblesses musculaires, une perte de coordination, des problèmes de contrôle de la vessie ou des intestins, et dans les cas graves, une paralysie.
Le traitement dépend du type, de la taille, de la localisation et de l'étendue de la tumeur. Il peut inclure une surveillance étroite, une radiothérapie, une chimiothérapie, une intervention chirurgicale ou une combinaison de ces options. Dans tous les cas, il est important de consulter un médecin spécialiste dès que possible en cas de suspicion de tumeur du rachis.
La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.
La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.
La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.
Une laminectomie est une procédure chirurgicale orthopédique ou neurochirurgicale qui implique l'enlèvement partiel ou complet de la lame, qui est la partie postérieure de la voute de la colonne vertébrale. Cette intervention est le plus souvent pratiquée dans le bas du dos (rachis lombaire) pour décomprimer la moelle épinière et les nerfs rachidiens dans la région touchée.
La laminectomie est généralement recommandée lorsque d'autres traitements conservateurs ont échoué et que le patient souffre de douleurs intenses, de faiblesse musculaire, de picotements ou d'engourdissements dans les jambes dus à une sténose spinale ou à une hernie discale sévère. L'objectif de cette chirurgie est de soulager la pression sur les nerfs comprimés, de stabiliser la colonne vertébrale si nécessaire et d'améliorer ainsi la fonction neurologique et la qualité de vie du patient.
Dans la terminologie médicale, les vertèbres thoraciques font référence aux douze vertèbres qui composent la partie supérieure et moyenne de la colonne vertébrale, également connue sous le nom de région thoracique ou poitrine. Chaque vertèbre thoracique est numérotée de T1 à T12, en commençant par la vertèbre la plus haute.
Les vertèbres thoraciques sont uniques car elles ont des processus transverses plus courts et des processus épineux plus longs que les vertèbres cervicales supérieures. De plus, chaque vertèbre thoracique a une facette costale sur ses corps vertébraux qui s'articule avec une côte, ce qui contribue à la formation de la cage thoracique et protège les organes vitaux internes.
En plus d'offrir une protection aux organes internes, les vertèbres thoraciques jouent également un rôle important dans la stabilité de la colonne vertébrale, en particulier lors des mouvements de torsion et de flexion latérale. Cependant, leur contribution à la mobilité globale de la colonne vertébrale est limitée en raison de l'articulation costale restrictive.
Les vertèbres cervicales sont les sept premières vertèbres de la colonne vertébrale, situées dans la région du cou. Elles sont désignées par les lettres C1 à C7, chaque lettre correspondant à une vertèbre particulière. La première vertèbre cervicale, également appelée atlas, supporte le crâne et permet la rotation de la tête. La deuxième vertèbre, l'axis, a un processus odontoïde qui s'étend vers le haut et forme une articulation pivotante avec l'atlas, permettant également des mouvements de la tête. Les autres vertèbres cervicales, de C3 à C7, ont des corps vertébraux plus petits et sont séparées par des disques intervertébraux qui agissent comme des amortisseurs pour absorber les chocs et permettre la flexion et l'extension du cou. Les vertèbres cervicales protègent également la moelle épinière et les nerfs spinaux dans cette région du corps.
La décompression chirurgicale est un type de procédure neurochirurgicale ou orthopédique utilisée pour soulager la pression sur les nerfs rachidiens, la moelle épinière ou les vaisseaux sanguins dans le canal rachidien. Cette pression peut être causée par une variété de facteurs, tels qu'une hernie discale, une sténose spinale, un épaississement ligamentaire, des ostéophytes (excroissances osseuses) ou des tumeurs.
L'objectif principal de la décompression chirurgicale est de libérer la structure comprimée en éliminant la source de pression. Cela peut être accompli par plusieurs méthodes, selon la cause sous-jacente de la compression :
1. Discectomie : Cette procédure consiste à retirer une partie ou la totalité d'un disque intervertébral hernié qui exerce une pression sur les nerfs rachidiens ou la moelle épinière.
2. Laminectomie : Dans cette procédure, une partie ou la totalité de la lame vertébrale (la section postérieure de la vértebre) est retirée pour créer plus d'espace dans le canal rachidien et décomprimer les structures nerveuses.
3. Foraminotomie : Cette procédure consiste à élargir le foramen vertébral (l'ouverture entre deux vertèbres) en éliminant les ostéophytes, les tissus mous ou d'autres obstructions pour libérer la racine nerveuse.
4. Osteophytectomie : Cette procédure vise à retirer les excroissances osseuses anormales (ostéophytes) qui peuvent comprimer les structures nerveuses ou les vaisseaux sanguins dans le canal rachidien.
5. Résection tumorale : Lorsque la compression est causée par une tumeur, il peut être nécessaire de retirer chirurgicalement tout ou partie de la tumeur pour décomprimer les structures nerveuses environnantes.
Il est important de noter que chaque cas est unique et que le traitement approprié dépendra des antécédents médicaux du patient, de l'étendue de la compression nerveuse et d'autres facteurs. Les médecins peuvent recommander une combinaison de traitements conservateurs (tels que la physiothérapie, les analgésiques ou les injections épidurales) avant d'envisager une intervention chirurgicale.
La paraplégie est un terme médical qui décrit une forme de paralysie affectant les membres inférieurs, c'est-à-dire les jambes et le bas du tronc. Cette condition est généralement causée par des lésions à la moelle épinière, dans la région thoracique, lombaire ou sacrée. Les dommages à la moelle épinière empêchent les signaux nerveux de voyager depuis le cerveau vers les muscles situés dans les membres inférieurs et le bas du tronc, entraînant une perte de sensation et de mouvement dans ces régions.
La gravité de la paraplégie peut varier considérablement d'une personne à l'autre. Certaines personnes peuvent conserver une certaine sensibilité ou capacité à contrôler partiellement leurs membres inférieurs, tandis que d'autres peuvent perdre complètement le contrôle et la sensation. Les complications associées à la paraplégie peuvent inclure des problèmes de vessie et d'intestins, une pression artérielle basse, des infections urinaires récurrentes, des escarres et une diminution de la fonction pulmonaire.
Le traitement de la paraplégie implique généralement une prise en charge multidisciplinaire comprenant des soins médicaux, des interventions thérapeutiques telles que la physiothérapie et l'ergothérapie, ainsi que des aides techniques pour faciliter les activités quotidiennes. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les complications ou améliorer la fonction nerveuse. Malheureusement, il n'existe actuellement aucun remède pour la paraplégie, mais des recherches sont en cours pour développer de nouvelles thérapies et stratégies de réparation de la moelle épinière.
L'hématopoïèse extramédullaire est un processus dans lequel la production de cellules sanguines a lieu en dehors de la moelle osseuse, qui est le site habituel de l'hématopoïèse. Normalement, tous les types de cellules sanguines sont produits dans la moelle osseuse à l'intérieur des os plats comme l'os iliaque, le sternum, les vertèbres et les côtes.
Cependant, en raison de certaines affections médicales telles que des maladies hématologiques malignes (leucémie, lymphome), une insuffisance médullaire ou une irradiation, la moelle osseuse peut ne plus être capable de produire suffisamment de cellules sanguines. Dans ces cas, le processus d'hématopoïèse peut se déplacer vers d'autres organes et tissus, tels que le foie, la rate et les poumons, pour assurer la production continue de cellules sanguines.
L'hématopoïèse extramédullaire peut être bénigne ou maligne. Dans sa forme bénigne, elle est souvent observée chez les nouveau-nés prématurés et les nourrissons, où la moelle osseuse n'est pas encore complètement développée pour assurer une production adéquate de cellules sanguines. Dans sa forme maligne, elle peut être associée à des tumeurs malignes telles que le myélome multiple ou les lymphomes.
Il est important de noter que l'hématopoïèse extramédullaire peut entraîner une augmentation de la taille des organes affectés, ce qui peut provoquer une compression des structures voisines et entraîner divers symptômes cliniques. Par conséquent, il est essentiel de diagnostiquer et de traiter rapidement cette condition pour prévenir les complications potentielles.
Les maladies du rachis, également connues sous le nom de troubles de la colonne vertébrale, font référence à un large éventail de conditions qui affectent la structure et la fonction de la colonne vertébrale. La colonne vertébrale, ou rachis, est composée de 33 vertèbres empilées les unes sur les autres, avec des disques intervertébraux entre chacune d'elles pour amortir les chocs et permettre le mouvement.
Les maladies du rachis peuvent affecter n'importe quelle partie de la colonne vertébrale, y compris le cou (cervical), la poitrine (thoracique), le bas du dos (lombaire) et la région sacrée et coccygienne. Les maladies du rachis peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment l'usure due au vieillissement, les traumatismes, les infections, les tumeurs, les déformations congénitales et les maladies inflammatoires.
Les exemples courants de maladies du rachis comprennent la hernie discale, la sténose spinale, la scoliose, l'ostéoporose, l'arthrose, la spondylolisthésis et la cyphose. Ces conditions peuvent causer une variété de symptômes, y compris la douleur, la raideur, la faiblesse, les engourdissements ou les picotements dans les membres, et dans certains cas, des problèmes neurologiques graves tels que la paralysie.
Le traitement des maladies du rachis dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, la physiothérapie, les injections de corticostéroïdes, la chirurgie ou une combinaison de ces options. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de maladies du rachis pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.
Une myélographie est un examen d'imagerie diagnostique qui implique l'injection d'un produit de contraste dans l'espace sous-arachnoïdien autour de la moelle épinière. Cette procédure permet de visualiser clairement la structure et la fonction de la moelle épinière et des nerfs rachidiens sur les images radiographiques ou scanners.
La myélographie peut aider à détecter diverses affections médicales, telles que des hernies discales, des tumeurs, des infections, des malformations congénitales, des inflammations ou des lésions de la moelle épinière et des nerfs rachidiens. Cependant, cette procédure est de moins en moins utilisée en raison du développement de techniques d'imagerie plus modernes et non invasives, comme l'IRM (Imagerie par Résonance Magnétique).
Scheuermann's disease, also known as Scheuermann's kyphosis, is a spinal disorder that typically affects the thoracic spine in adolescents. It is characterized by an abnormal curvature of the spine in the shape of a hump or rounded back, which can lead to a rigid and fixed deformity. This condition is caused by the wedging of several consecutive vertebrae, resulting in a exaggerated kyphosis or roundback appearance.
The exact cause of Scheuermann's disease is not fully understood, but it is believed to have a genetic component as it tends to run in families. Additionally, poor posture and mechanical factors may contribute to its development. The condition is more commonly found in boys than girls and typically presents during the adolescent growth spurt.
Mild cases of Scheuermann's disease may not require treatment, but severe cases can lead to significant deformity, back pain, and decreased lung capacity. Treatment options for moderate to severe cases include physical therapy, bracing, and in some cases, surgery. The goal of treatment is to prevent further progression of the spinal curvature and alleviate any associated symptoms.
Le canal vertébral est une structure anatomique importante dans la colonne vertébrale. Il s'agit d'un canal central situé à l'intérieur des vertèbres, qui abrite et protège la moelle épinière. La moelle épinière est une longue structure nerveuse qui transmet les messages entre le cerveau et le reste du corps.
Le canal vertébral est formé par les corps vertébraux, les lames, les processus spinaux et les disques intervertébraux. Les parois de ce canal sont recouvertes d'une membrane protectrice appelée dure-mère. Le liquide céphalo-rachidien circule dans le canal épidural qui entoure la moelle épinière et la protège davantage.
Des pathologies telles que les hernies discales, les sténoses rachidiennes ou les tumeurs peuvent comprimer la moelle épinière à l'intérieur du canal vertébral, entraînant des douleurs, des faiblesses musculaires, des engourdissements ou des paralysies. Par conséquent, il est important de maintenir la santé et l'intégrité structurelle de la colonne vertébrale pour prévenir les problèmes liés au canal vertébral.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
L'hyperostose est un terme médical qui décrit un état anormal dans lequel il y a une augmentation de la densité osseuse et une excroissance anormale de l'os. Cela peut se produire en raison de diverses affections, telles que des maladies dégénératives des articulations, des troubles hormonaux, des infections, des tumeurs bénignes ou malignes, ou comme une réaction à une irritation chronique ou à une inflammation.
L'hyperostose peut affecter n'importe quel os du corps, mais elle est le plus souvent observée dans la colonne vertébrale, où elle peut entraîner une rigidité et une douleur accrues. Dans certains cas, l'hyperostose peut également provoquer des déformations osseuses visibles.
Il existe plusieurs types d'hyperostose, notamment l'hypertrophie osseuse diffuse, l'hyperostose squelettique idiopathique, l'hyperostose corticale marginale et l'hyperplasie osseuse en réponse à une irritation ou une inflammation chronique. Le traitement de l'hyperostose dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, de la physiothérapie, de la chirurgie ou d'autres options thérapeutiques.
La paraparésie est un terme médical qui décrit une faiblesse ou une perte partielle du contrôle musculaire dans les deux jambes. Cela peut être dû à diverses causes, y compris des lésions de la moelle épinière, des maladies dégénératives de la colonne vertébrale, ou certaines affections neurologiques. La paraparésie se distingue de la paraplégie, où il y a une paralysie complète des jambes. Dans la paraparésie, la capacité de marcher est généralement conservée, bien que la force et l'équilibre puissent être affectés. Les symptômes peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente et peuvent inclure des spasmes musculaires, une perte de sensibilité, des difficultés avec la coordination et l'équilibre, et dans certains cas, des problèmes de contrôle de la vessie ou des intestins.
La nodosité rhumatismale est un terme médical qui décrit des nodules ou des petites bosses situés sous la peau et autour des articulations. Ces nodules sont faits de tissu conjonctif anormalement épaissi et sont une complication courante de la polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune qui affecte les articulations. Les nodosités rhumatismales peuvent être douloureuses ou indolores et peuvent apparaître n'importe où sur le corps, bien qu'elles soient les plus fréquentes au niveau des coudes, des genoux, des doigts et des orteils. Bien que ces nodules ne soient généralement pas dangereux en eux-mêmes, ils peuvent être un signe de maladie rhumatoïde active et agressive qui nécessite un traitement rapide pour prévenir les dommages articulaires permanents. Il est important de noter que tous les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde ne développent pas de nodosités rhumatismales, et que leur présence ou leur absence ne doit pas être utilisée comme seul indicateur du diagnostic ou de la gravité de la maladie.
Un ostéochondrome est un type de tumeur bénigne qui se développe à partir de l'os ou du cartilage. Il s'agit de la tumeur osseuse bénigne la plus courante. Généralement, elle se forme à l'extrémité des os longs, comme le fémur (cuisse) et le tibia (jambe).
Un ostéochondrome est composé de deux parties : une partie osseuse externe (os cortical) et une partie interne de cartilage hyalin. Il peut se développer soit vers l'extérieur de l'os (extra-osseux), soit à l'intérieur d'un os (endostéal).
La plupart des ostéochondromes ne causent aucun symptôme et sont découverts fortuitement lors d'examens radiologiques effectués pour une autre raison. Cependant, dans certains cas, ils peuvent provoquer des douleurs, une limitation de la mobilité articulaire ou une fracture de stress si le ostéochondrome est situé près d'une articulation et qu'il perturbe son fonctionnement normal.
Dans de rares cas, les ostéochondromes peuvent devenir cancéreux (malignes) et se transformer en chondrosarcome, un type rare de cancer des os. Ce risque est plus élevé chez les personnes atteintes de plusieurs ostéochondromes ou d'un ostéochondrome de grande taille.
Balloon embolectomy est une procédure médico-chirurgicale d'urgence utilisée pour enlever un caillot sanguin qui bloque (occlusion) une artère ou une veine importante. Cette technique consiste à insérer un petit cathéter flexible avec un ballon à son extrémité dans la artère ou veine affectée. Le ballon est ensuite gonflé pour capturer le caillot, puis retiré avec le ballon et le caillot attachés. Cette procédure permet de rétablir rapidement la circulation sanguine dans la zone touchée, ce qui peut aider à prévenir les dommages tissulaires permanents et même sauver des vies dans certaines situations.
Les ballon embolectomies sont souvent utilisées pour traiter les occlusions dans les artères des membres inférieurs (embolie artérielle périphérique), les poumons (embolie pulmonaire) et le cerveau (embolie cérébrale). Cette procédure peut être effectuée en combinaison avec d'autres traitements, tels que la thrombolyse pharmacologique ou l'angioplastie, pour améliorer les résultats.
Comme toute intervention médicale, la ballon embolectomy comporte des risques et des complications potentielles, notamment une réaction allergique aux produits de contraste utilisés pendant la procédure, une hémorragie, une infection, un traumatisme vasculaire ou une récidive du caillot sanguin. Par conséquent, il est important que cette procédure soit effectuée par des médecins expérimentés et hautement qualifiés dans des centres médicaux équipés pour gérer les complications potentielles.
Le processus odontoïde est une structure osseuse allongée et cylindrique située à l'avant de l'axis (la deuxième vertèbre cervicale). Il s'agit d'une projection verticale qui émerge de la partie supérieure de la densité de l'axis. Le processus odontoïde, également connu sous le nom de "dent de l'axis", s'articule avec l'atlas (la première vertèbre cervicale) pour former la jointure atlanto-axiale, qui permet la rotation de la tête sur le cou. Cette articulation est cruciale pour les mouvements de la tête tels que les rotations du regard et le nodding. Des problèmes avec le processus odontoïde peuvent entraîner des douleurs et une raideur au cou, ainsi que des risques de blessures graves à la moelle épinière en cas de traumatisme cervical.
Les tumeurs osseuses sont des croissances anormales qui se forment dans les os. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et ont tendance à croître lentement. Dans de nombreux cas, elles ne causent aucun symptôme et peuvent être découvertes par hasard lors d'examens médicaux ou radiologiques effectués pour d'autres raisons. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir assez grandes et affaiblir l'os, ce qui peut entraîner des fractures.
Les tumeurs malignes, en revanche, ont le potentiel de se propager à d'autres parties du corps. Elles sont souvent plus agressives que les tumeurs bénignes et peuvent croître rapidement. Les symptômes associés aux tumeurs osseuses malignes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure des douleurs osseuses, des gonflements, des fractures osseuses spontanées, une fatigue excessive et une perte de poids involontaire.
Le traitement des tumeurs osseuses dépend du type, de la taille, de l'emplacement et du stade de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure la surveillance attentive, la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces approches. Dans certains cas, des thérapies ciblées ou des immunothérapies peuvent également être utilisées pour traiter les tumeurs osseuses malignes.
La maladie des exostoses multiples, également connue sous le nom de diaphysaire achondroplasie, est une maladie génétique rare caractérisée par la croissance anormale d'exostoses (tumeurs osseuses bénignes) à partir des métaphyses des os longs. Ces excroissances peuvent entraver la croissance normale et entraîner une variété de complications, y compris des déformités osseuses, des restrictions de mouvement, des douleurs articulaires et une boiterie.
La maladie est généralement présente à la naissance ou se développe pendant l'enfance. Elle est causée par des mutations dans les gènes EXT1 ou EXT2, qui sont responsables de la régulation de la croissance osseuse. Dans la plupart des cas, la maladie est héritée d'un parent affecté, bien qu'environ 10 à 20 % des cas soient le résultat de nouvelles mutations.
Le diagnostic de la maladie des exostoses multiples est généralement posé par imagerie médicale, telle que la radiographie ou l'IRM, qui peuvent révéler la présence d'exostoses anormales. Le traitement dépend de la gravité et de la localisation des excroissances osseuses et peut inclure une surveillance attentive, une thérapie physique, des médicaments pour soulager la douleur ou la chirurgie pour enlever les exostoses qui causent des problèmes.
La quadriplégie est un terme médical qui décrit une paralysie complète ou une faiblesse extrême des membres supérieurs et inférieurs, affectant les deux côtés du corps. Elle est généralement causée par des lésions à la moelle épinière au niveau du cou (cervicale), qui interrompent les signaux nerveux entre le cerveau et les muscles de ces régions. La quadriplégie peut également résulter d'affections neurologiques telles que la sclérose en plaques, la maladie de motoneurone ou une encéphalite. Les symptômes associés à la quadriplégie peuvent inclure des difficultés respiratoires, une perte de sensation dans les membres, des problèmes de contrôle de la vessie et des intestins, ainsi qu'une sensibilité accrue au froid ou à la chaleur. Le traitement de la quadriplégie dépendra de sa cause sous-jacente et peut inclure une réadaptation physique, des médicaments pour gérer les spasmes musculaires et des soins de soutien pour aider à maintenir la fonction pulmonaire et la santé générale.
Les diphosphonates sont un type de médicament utilisé dans le traitement de certaines affections osseuses, telles que l'ostéoporose, la maladie de Paget et les métastases osseuses. Ils agissent en se liant à l'hydroxyapatite, une forme de calcium présente dans l'os, ce qui réduit le remodelage osseux et augmente la densité minérale osseuse.
Les diphosphonates sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel bisphosphonate, qui est caractérisé par deux groupes phosphonates liés par un atome de carbone. Cette structure leur confère une grande affinité pour l'hydroxyapatite et permet aux diphosphonates d'inhiber les ostéoclastes, les cellules responsables de la résorption osseuse.
Les effets secondaires courants des diphosphonates comprennent des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des diarrhées et des réactions allergiques. Dans de rares cas, ils peuvent provoquer une nécrose avasculaire de la mâchoire, en particulier chez les patients qui ont des antécédents de maladies parodontales ou qui subissent une chirurgie dentaire invasive.
Les diphosphonates sont disponibles sous différentes formes, notamment des comprimés, des solutions et des injections. Les exemples courants de diphosphonates incluent l'alendronate, le risédronate, l'ibandronate et le zolédronate.
Les kystes arachnoïdiens sont des sacs remplis de liquide céphalo-rachidien (LCR) qui se forment entre les membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière, appelées méninges. Ils tirent leur nom de l'arachnoïde, une des trois membranes méningées. Ces kystes peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres.
La cause exacte de la formation des kystes arachnoïdiens n'est pas claire, mais on pense qu'ils résultent d'une anomalie congénitale ou peuvent se développer après une blessure à la tête. La plupart des kystes arachnoïdiens sont asymptomatiques et ne nécessitent aucun traitement. Cependant, certains kystes peuvent grossir avec le temps et exercer une pression sur le cerveau ou la moelle épinière, ce qui peut entraîner divers symptômes tels que des maux de tête, des vertiges, des nausées, des convulsions, des problèmes de vision, des engourdissements, des faiblesses musculaires et dans les cas graves, une paralysie.
Le diagnostic d'un kyste arachnoïdien est généralement posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille du kyste et des symptômes associés. Dans les cas où le kyste est petit et ne cause pas de symptômes, aucun traitement n'est nécessaire. Cependant, si le kyste grossit et provoque des symptômes, un traitement peut être recommandé, qui peut inclure une intervention chirurgicale pour drainer le kyste ou une fenestration, où une petite ouverture est pratiquée dans la paroi du kyste pour permettre au liquide de s'écouler.
L'arachnoïde est une membrane fine et délicate qui fait partie du système méningé du cerveau et de la moelle épinière. Elle se trouve entre la pie-mère (la membrane interne) et la dure-mère (la membrane externe). L'espace situé entre l'arachnoïde et la pie-mère s'appelle l'espace sous-arachnoïdien, qui contient du liquide céphalo-rachidien.
L'arachnoïde est constituée d'un réseau de fibres collagènes qui forment une structure semblable à une toile d'araignée, d'où son nom. Elle protège le cerveau et la moelle épinière en absorbant les chocs et en empêchant les mouvements brusques.
Des troubles tels que des hémorragies sous-arachnoïdiennes ou une méningite peuvent affecter l'arachnoïde et causer des symptômes neurologiques graves.
La tuberculose vertébrale, également connue sous le nom de tuberculose spinale ou Pott's disease, est une forme particulière de tuberculose où l'infection à Mycobacterium tuberculosis affecte principalement le corps des vertèbres de la colonne vertébrale. Cela peut entraîner la destruction du tissu osseux, menant éventuellement à la déformation et à la instabilité de la colonne vertébrale. Dans les cas graves, cela peut conduire à une cyphose (une courbure anormale vers l'avant) ou même à une compression de la moelle épinière, ce qui peut entraîner des paralysies.
La tuberculose vertébrale se propage souvent à partir d'un foyer infectieux existant dans le poumon, bien que dans environ 10 à 40% des cas, elle puisse être la présentation initiale de la tuberculose sans aucune preuve de maladie pulmonaire sous-jacente. Les symptômes courants incluent une douleur dorsale persistante et sévère, une boiterie, une perte de poids, de la fièvre et des sueurs nocturnes. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'une combinaison d'imagerie médicale (telle qu'une radiographie, un scanner ou une IRM) et d'un examen de laboratoire (culture ou PCR du bacille tuberculeux).
Le traitement standard de la tuberculose vertébrale est une combinaison d'antibiotiques pendant une période prolongée, généralement pendant six à neuf mois. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour stabiliser la colonne vertébrale ou soulager la compression de la moelle épinière. La prévention repose sur la vaccination contre la tuberculose (BCG) et le dépistage actif des personnes exposées à la maladie.
Un hémangiome est un type de tumeur bénigne (non cancéreuse) qui se développe à partir des vaisseaux sanguins. Il est caractérisé par une prolifération anormale de cellules endothéliales, qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins. Les hémangiomes peuvent apparaître sur la peau ou à l'intérieur du corps, dans les organes tels que le foie, le cerveau ou les poumons.
Les hémangiomes cutanés sont les plus courants et se présentent souvent comme une petite tache rouge ou violette sur la peau, qui peut s'élargir et devenir surélevée avec le temps. Ils se développent généralement pendant les premiers mois de vie et peuvent disparaître d'eux-mêmes en quelques années.
Les hémangiomes internes peuvent ne pas provoquer de symptômes ou causer des complications dépendamment de leur taille et emplacement. Par exemple, un grand hémangiome dans le foie peut entraîner une insuffisance hépatique, tandis qu'un hémangiome cérébral peut provoquer des convulsions ou des problèmes neurologiques.
Dans la plupart des cas, les hémangiomes ne nécessitent aucun traitement car ils disparaissent spontanément. Toutefois, si un hémangiome cause des complications ou s'il est situé dans une zone esthétiquement sensible, divers traitements peuvent être envisagés, tels que la chirurgie, les lasers ou les médicaments par voie orale.
La compression de données en termes médicaux fait référence à la réduction de la taille d'un ensemble de données ou d'informations, telles que des images médicales ou des signaux physiologiques, sans une perte significative de l'intégrité et de la qualité des données d'origine. Cette méthode est fréquemment utilisée dans le domaine de la télémédecine, de l'imagerie médicale et de la recherche biomédicale pour optimiser le stockage, la transmission et l'analyse des données volumineuses.
La compression de données est accomplie en identifiant et en éliminant les redondances dans les données brutes, par exemple en représentant des séquences répétitives ou des modèles prévisibles avec des symboles plus courts ou en utilisant des algorithmes complexes pour détecter et comprimer les informations. Il existe deux principaux types de compression de données : la compression avec perte et la compression sans perte.
Dans le contexte médical, la compression de données sans perte est préférée chaque fois que possible, car elle garantit que toutes les données originales peuvent être reconstruites à partir des données compressées. Cependant, dans certaines situations où la taille des données doit être considérablement réduite, la compression avec perte peut être utilisée en acceptant une petite dégradation de la qualité pour atteindre l'objectif de compression. Il est crucial d'évaluer soigneusement les exigences et les limites de chaque application avant de choisir le type de compression à utiliser, en tenant compte des conséquences potentielles sur la précision du diagnostic et du traitement.
L'arthrodèse vertébrale est une procédure chirurgicale orthopédique ou neurochirurgicale qui consiste à fusionner deux ou plusieurs vertèbres ensemble. L'objectif de cette intervention est de soulager la douleur, corriger les déformités ou stabiliser une zone instable de la colonne vertébrale.
Pendant l'intervention, le chirurgien place des matériaux de greffe osseuse (comme des morceaux d'os prélevés sur le patient ou des substituts osseux) entre les corps vertébraux à fusionner. Ensuite, il utilise du matériel de fixation (tiges, vis, plaques, fils...) pour maintenir les vertèbres dans la bonne position pendant que l'os cicatrise et se soude ensemble.
Les indications courantes pour une arthrodèse vertébrale comprennent :
* La dégénération articulaire ou discale sévère avec douleur chronique et instabilité de la colonne vertébrale
* Les spondylolisthésis (glissement antérieur d'une vertèbre sur une autre)
* Les fractures vertébrales instables
* Les infections ou tumeurs de la colonne vertébrale
* La scoliose dégénérative ou déformante
Les complications possibles de l'arthrodèse vertébrale incluent le non-fusion des vertèbres, la pseudarthrose, les infections, les dommages nerveux, la perte de mobilité et la douleur persistante.
Les fractures spontanées sont des ruptures osseuses qui se produisent sans traumatisme aigu préalable. Elles sont souvent liées à des facteurs sous-jacents qui affaiblissent la structure de l'os, tels que des maladies osseuses, des troubles hormonaux ou vitaminiques, ou un état de fragilité associé au vieillissement, connu sous le nom d'ostéoporose. Les fractures spontanées peuvent survenir dans n'importe quel os, mais elles sont le plus souvent observées dans la colonne vertébrale, les hanches et les poignets. Elles peuvent entraîner des douleurs, une déformation, une perte de fonction et une invalidité significatives.
La colonne vertébrale, également appelée la colonne vertébrale ou la moelle épinière, est un pilier central flexible et souple de notre squelette composé d'une pile de 33 à 34 os empilés les uns sur les autres. Ces os, appelés vertèbres, sont séparés par des disques intervertébraux qui agissent comme des amortisseurs et permettent la flexibilité de la colonne vertébrale.
La colonne vertébrale a plusieurs courbes naturelles qui lui donnent une forme en S, ce qui la rend plus forte et capable de mieux supporter le poids du corps et les forces de compression. Elle est divisée en cinq régions: cervicale (7 vertèbres), thoracique (12 vertèbres), lombaire (5 vertèbres), sacrum (5 vertèbres fusionnées) et coccyx (4-5 vertèbres fusionnées).
La moelle épinière, qui est une structure nerveuse centrale cruciale, traverse la colonne vertébrale from top to bottom et sort de la colonne vertébrale à travers des ouvertures dans les vertèbres appelées foramina. La protection de cette moelle épinière sensible contre les dommages est l'une des fonctions vitales de la colonne vertébrale.
Les syndromes de compression nerveuse sont un groupe de conditions dans lesquelles un nerf ou plusieurs nerfs sont comprimés ou endommagés, entraînant une variété de symptômes. Ces symptômes peuvent inclure des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires et une perte de sensation dans la zone du corps où le nerf est affecté.
Les syndromes de compression nerveuse peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris une pression anormale sur un nerf due à une blessure, une maladie sous-jacente, une mauvaise posture ou des mouvements répétitifs. Certains exemples courants de syndromes de compression nerveuse comprennent le syndrome du canal carpien, qui affecte le nerf médian dans la main, et le syndrome du tunnel tarsien, qui affecte le nerf tibial postérieur dans le pied.
Le traitement des syndromes de compression nerveuse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de compression nerveuse, car une détection et un traitement précoces peuvent aider à prévenir des dommages nerveux permanents.
Les fractures du rachis, également connues sous le nom de fractures de la colonne vertébrale, sont des ruptures ou des fissures dans les os de la colonne vertébrale. Elles peuvent survenir à n'importe quel niveau de la colonne vertébrale, mais elles sont les plus fréquentes dans le thorax et la région lombaire. Les fractures du rachis peuvent être causées par une variété de facteurs, tels que des traumatismes graves, des chutes, des accidents de voiture ou des maladies osseuses sous-jacentes telles que l'ostéoporose.
Les symptômes courants des fractures du rachis comprennent une douleur aiguë et soudaine dans le dos, une raideur et une limitation de la mobilité, des engourdissements ou des picotements dans les membres, une faiblesse musculaire et dans les cas graves, une perte de contrôle de la vessie ou des intestins.
Le diagnostic de fractures du rachis implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imageries médicales telles que des radiographies, des tomodensitométries (TDM) ou des imageries par résonance magnétique (IRM), et éventuellement d'une évaluation neurochirurgicale.
Le traitement dépend de la gravité de la fracture et peut inclure des analgésiques pour gérer la douleur, une immobilisation de la colonne vertébrale à l'aide d'un corset ou d'une attelle, une chirurgie pour stabiliser la colonne vertébrale ou dans les cas graves, une réadaptation fonctionnelle.
Il est important de rechercher une attention médicale immédiate en cas de suspicion de fractures du rachis, car une prise en charge rapide et adéquate peut aider à prévenir des complications telles que des lésions nerveuses permanentes ou une invalidité.
Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.
Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.
Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.
Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.
En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.
Le cordon ombilical est un organe vital reliant le fœtus en développement au placenta pendant la grossesse. Il se forme vers la troisième semaine de gestation et continue de croître jusqu'à la naissance, atteignant généralement une longueur de 50 à 60 centimètres et un diamètre d'environ 1 à 2 centimètres.
Constitué de trois vaisseaux sanguins enfermés dans une gaine protectrice appelée Wharton's jelly, le cordon ombilical est composé de deux artères (les artères ombilicales) et d'une veine (la veine ombilicale). Ces vaisseaux jouent un rôle crucial dans l'apport de nutriments et d'oxygène à partir du placenta vers le fœtus, ainsi que dans l'élimination des déchets produits par ce dernier.
Après la naissance, le cordon ombilical est coupé et clampé à environ 2,5 à 3 centimètres du nombril du nouveau-né, laissant derrière lui un moignon qui tombera naturellement dans les jours suivants. Ce processus ne cause aucune douleur ou gêne au bébé car il n'y a pas de terminaisons nerveuses dans le cordon ombilical.
L'ostéophytose vertébrale, également connue sous le nom d'arthrose ou d'éperons osseux, est une affection caractérisée par la croissance anormale d'excroissances osseuses (ostéophytes) sur les bords des articulations des vertèbres de la colonne vertébrale. Ces excroissances se forment en réponse à l'usure et à la dégénérescence du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses dans les articulations, ce qui entraîne une inflammation et une douleur.
L'ostéophytose vertébrale est généralement associée au vieillissement normal ou à des processus dégénératifs plus rapides tels que l'arthrose. Elle peut également être liée à d'autres affections telles que la spondylose déformante, une maladie dégénérative de la colonne vertébrale qui affecte les disques intervertébraux et les articulations facettaires.
Les symptômes courants de l'ostéophytose vertébrale comprennent des douleurs au dos ou au cou, une raideur articulaire, une réduction de la mobilité et des douleurs irradiantes dans les membres. Le traitement peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des exercices de physiothérapie pour renforcer les muscles du dos et améliorer la flexibilité, et dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager les symptômes graves.
Les vertèbres lombaires sont les cinq segments inférieurs de la colonne vertébrale, situés dans la région lombaire du dos. Elles sont généralement désignées par les lettres L1 à L5. Chacune de ces vertèbres a un corps vertébral robuste qui supporte la majeure partie du poids du haut du corps. Les vertèbres lombaires ont des processus épineux et transverses plus grands et plus robustes que les autres parties de la colonne vertébrale, ce qui offre une large surface pour l'insertion des muscles érecteurs du rachis et d'autres muscles du dos.
Elles ont également un grand trou vertébral dans chaque corps vertébral, qui forme ensemble le canal rachidien où passe la moelle épinière. Les vertèbres lombaires sont responsables de la flexion et de la rotation du tronc, ainsi que de la stabilité de la colonne vertébrale. Des problèmes au niveau des vertèbres lombaires peuvent entraîner des douleurs dorsales importantes et des limitations fonctionnelles.
Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.
Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.
La récupération fonctionnelle, dans le contexte médical, se réfère au processus de restauration ou d'amélioration des capacités physiques, cognitives et émotionnelles d'une personne après une maladie, un traumatisme ou une intervention chirurgicale. Elle vise à aider les individus à retrouver leur niveau de fonctionnement antérieur ou à en atteindre un nouveau, en maximisant leur autonomie et leur qualité de vie.
Cela peut inclure des aspects tels que la mobilité, l'endurance, la force, la coordination, la flexibilité, la cognition, la communication, les compétences de soins personnels et la capacité à effectuer les activités quotidiennes. La récupération fonctionnelle est généralement facilitée par une équipe multidisciplinaire de professionnels de la santé, y compris des médecins, des infirmières, des thérapeutes physiques, des ergothérapeutes, des orthophonistes et des travailleurs sociaux.
Les interventions peuvent inclure une variété de thérapies, telles que la physiothérapie, l'ergothérapie, l'orthophonie, la réadaptation cognitive, la formation aux compétences de vie et le counseling psychologique. L'objectif global est d'aider les personnes à atteindre leurs meilleurs résultats possibles et à s'adapter à toute limitation permanente.
Les bas de contention, également connus sous le nom de bas de compression ou de chaussettes de compression, sont des vêtements médicaux conçus pour exercer une pression graduée sur les jambes. Ils sont généralement fabriqués en élasthanne, nylon, spandex, lycra ou d'autres matériaux élastiques.
Ils sont utilisés dans le traitement et la prévention de divers problèmes circulatoires, tels que les varices, l'insuffisance veineuse chronique, la thrombose veineuse profonde (TVP) et l'œdème des membres inférieurs.
Les bas de contention exercent une pression plus forte au niveau de la cheville et une pression décroissante vers le haut de la jambe, ce qui favorise la circulation sanguine et aide à prévenir l'accumulation de fluides dans les tissus.
Il existe différents niveaux de compression, allant de légère à très forte, en fonction des besoins du patient et de la prescription médicale. Les bas de contention doivent être correctement ajustés pour assurer une compression adéquate et éviter les complications.
En plus d'être utilisés dans un contexte thérapeutique, ils peuvent également être recommandés pour les personnes qui passent de longues périodes debout ou assises, ainsi que pour les voyageurs fréquents en avion, afin de prévenir l'apparition de problèmes circulatoires.
Une injection intrarachidienne est un type d'injection effectuée dans l'espace épidural situé dans la colonne vertébrale. Plus précisément, il s'agit d'une injection dans l'espace rachidien, qui contient le liquide céphalo-rachidien (LCR), les nerfs spinaux et la moelle épinière.
Ce type d'injection est généralement utilisé à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Par exemple, il peut être utilisé pour administrer des anesthésiques ou des stéroïdes pour soulager la douleur dans le bas du dos ou les membres inférieurs, ou pour réaliser des ponctions lombaires à des fins diagnostiques.
L'injection intrarachidienne est une procédure médicale invasive qui doit être réalisée par un professionnel de santé qualifié et expérimenté, dans un environnement contrôlé et stérile, en raison du risque potentiel de complications telles que des infections, des saignements ou des lésions nerveuses.
Les "Cancer Care Facilities" sont des établissements de santé spécialisés dans le traitement et la prise en charge des patients atteints de cancer. Ils offrent une gamme complète de services, allant du diagnostic et du staging du cancer à son traitement et à son suivi.
Ces établissements peuvent inclure des hôpitaux généraux avec des unités de cancérologie dédiées, des centres de cancérologie communautaires, des centres de cancérologie académiques et des centres de recherche sur le cancer. Les équipes médicales de ces établissements comprennent souvent des spécialistes en oncologie, tels que des oncologues médicaux, des radiothérapeutes, des chirurgiens oncologiques, des infirmières en oncologie et d'autres professionnels de la santé.
Les "Cancer Care Facilities" peuvent offrir une variété de traitements contre le cancer, tels que la chimiothérapie, la radiothérapie, l'immunothérapie, la thérapie ciblée et la chirurgie. Ils peuvent également offrir des services de soutien, tels que des groupes de soutien pour les patients atteints de cancer, des conseils en matière de nutrition et de mode de vie, des programmes de réadaptation et des soins palliatifs.
L'objectif principal de ces établissements est de fournir des soins complets et coordonnés aux patients atteints de cancer, en veillant à ce qu'ils reçoivent les traitements les plus appropriés et les plus efficaces pour leur type et leur stade de cancer.
Un résultat fatal en médecine se réfère à un décès ou au fait de causer la mort. C'est un terme utilisé pour décrire un résultat particulièrement grave d'une maladie, d'un traumatisme ou d'une procédure médicale. Un résultat fatal peut être attendu dans certaines situations, comme dans le cas de maladies avancées et terminaux, ou peut être imprévu et survenir même avec un traitement approprié. Dans les deux cas, il s'agit d'un événement tragique qui a des implications importantes pour les patients, leurs familles et les professionnels de la santé qui les prennent en charge.
Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.
Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.
Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.
En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.
Les racines nerveuses spinaux, également connues sous le nom de radicules spinales, se réfèrent aux parties initiales des nerfs rachidiens qui émergent de la moelle épinière à travers les foramens intervertébraux (ou trous entre les vertèbres) dans la colonne vertébrale. Chaque racine nerveuse spinale est formée par l'union d'un axone moteur provenant de neurones situés dans la moelle épinière et d'axones sensoriels en provenance des récepteurs sensoriels du corps.
Les racines nerveuses spinaux sont classées anatomiquement en deux groupes : les racines antérieures (ou ventrales) et les racines postérieures (ou dorsales). Les racines antérieures contiennent principalement des fibres motrices qui transmettent les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles squelettiques. En revanche, les racines postérieures sont constituées de fibres sensorielles qui conduisent les informations sensorielles provenant de la peau, des articulations et des organes internes vers le système nerveux central.
Les lésions ou compressions des racines nerveuses spinaux peuvent entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs neuropathiques, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements et une perte de réflexes. Ces conditions peuvent être causées par divers processus pathologiques, notamment les hernies discales, la sténose spinale, les traumatismes, les tumeurs ou les infections.
Les fractures par compression sont un type spécifique de fracture qui se produit généralement dans les vertèbres de la colonne vertébrale. Elles sont souvent causées par un traumatisme aigu ou une force excessive appliquée sur la colonne, entraînant un effondrement ou un écrasement des corps vertébraux.
Dans les fractures par compression, la partie avant de la vertèbre (le corps vertébral) est principalement affectée. Elle peut se rompre et se comprimer, ce qui peut entraîner une perte de hauteur de la vertèbre. Dans certains cas, la fracture peut également provoquer une instabilité de la colonne vertébrale, ce qui peut comprimer la moelle épinière ou les nerfs rachidiens, entraînant des douleurs, des engourdissements, des faiblesses ou une paralysie dans certaines parties du corps.
Les fractures par compression sont souvent associées à l'ostéoporose, une maladie caractérisée par une diminution de la densité osseuse et une augmentation de la fragilité des os. Cependant, elles peuvent également résulter d'autres affections médicales telles que les tumeurs osseuses, les infections ou les traumatismes graves. Le traitement dépend de la gravité de la fracture et peut inclure le repos au lit, des analgésiques, une orthèse de corset pour immobiliser la colonne vertébrale, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale pour stabiliser la colonne vertébrale.
Un disque intervertébral est un composant important du système squelettique et se trouve spécifiquement dans la colonne vertébrale. Il s'agit d'une structure fibreuse et souple située entre chaque paire de vertèbres, à l'exception de la première et de la deuxième cervicale.
Un disque intervertébral est constitué de deux parties : le nucleus pulposus, qui forme le centre mou et gélatineux, et l'annulus fibrosus, qui est la couche extérieure composée de fibres de collagène disposées en anneaux concentriques.
Ces disques ont plusieurs fonctions cruciales : ils permettent la flexion, l'extension, la torsion et la rotation de la colonne vertébrale ; ils absorbent également les chocs et répartissent les forces lors des mouvements, protégeant ainsi les vertèbres et le cordon nerveux spinaux.
Cependant, avec l'âge ou en raison d'une blessure, ces disques peuvent se détériorer, ce qui peut entraîner une hernie discale où le nucleus pulposus sort de son emplacement normal et exerce une pression sur les nerfs voisins, provoquant des douleurs et d'autres symptômes neurologiques.
Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.
La sténose du canal vertébral est une affection médicale qui se réfère à l'étroitesse ou la compression du canal rachidien, ce qui peut causer une pression sur la moelle épinière et les nerfs rachidiens. Cette condition est souvent liée au vieillissement et à des changements dégénératifs dans la colonne vertébrale, tels que l'arthrose, les hernies discales ou la croissance osseuse anormale (ostéophytes).
Les symptômes de la sténose du canal vertébral peuvent inclure des douleurs au dos ou aux jambes, un engourdissement, des picotements ou une faiblesse dans les bras ou les jambes. Dans les cas graves, cette condition peut entraîner une paralysie ou une perte de contrôle de la vessie ou des intestins.
Le traitement de la sténose du canal vertébral dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments contre la douleur, de la physiothérapie, des injections de corticostéroïdes ou une intervention chirurgicale pour élargir le canal rachidien. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de sténose du canal vertébral, car une prise en charge précoce peut aider à prévenir les dommages permanents aux nerfs et à la moelle épinière.
L'ostéochondromatose est une affection caractérisée par la présence multiple de petites excroissances osseuses recouvertes de cartilage, appelées ostéochondromes. Ces ostéochondromes se développent généralement dans les membranes qui entourent les articulations, telles que les tendons et les capsules articulaires.
Il existe deux types d'ostéochondromatose : primaire et secondaire. L'ostéochondromatose primitive est une maladie rare qui affecte généralement les jeunes en croissance et est souvent associée à des mutations génétiques spécifiques. Elle peut entraîner une déformation osseuse, une limitation de la mobilité articulaire et, dans certains cas, des douleurs articulaires.
L'ostéochondromatose secondaire, en revanche, est beaucoup plus fréquente et se développe à la suite d'une lésion articulaire ou d'une maladie dégénérative, telle qu'une arthrose sévère. Dans ce cas, les ostéochondromes se forment à partir de fragments de cartilage qui se détachent de l'os et continuent à se développer dans la cavité articulaire.
Dans les deux types d'ostéochondromatose, les ostéochondromes peuvent devenir suffisamment grands pour provoquer une compression des nerfs ou des vaisseaux sanguins environnants, entraînant des douleurs et une perte de fonction. Dans certains cas, ils peuvent également se détacher de l'os et flotter librement dans la cavité articulaire, provoquant une inflammation et une douleur supplémentaires.
Le traitement de l'ostéochondromatose dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, de la physiothérapie et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale pour enlever les ostéochondromes.
Le "Cervical Atlas" est la première vertèbre cervicale (also known as C1 or Atlas) dans la colonne vertébrale. Il a ce nom car, selon la mythologie grecque, Atlas portait le poids du monde sur ses épaules, tout comme la première vertèbre cervicale supporte la tête.
La particularité de cette vertèbre est qu'elle n'a pas de corps vertébral, mais plutôt deux masses latérales appelées "masses latérales" qui forment un anneau autour du trou de la moelle épinière et soutiennent la tête.
Le Cervical Atlas joue un rôle important dans les mouvements de la tête, en particulier dans les rotations et les inclinaisons latérales. Il permet à la tête de se tourner d'un côté à l'autre sans que le cou ne doive se tordre ou se plier.
Des problèmes avec le Cervical Atlas peuvent entraîner des douleurs au cou, des maux de tête et une raideur de la nuque. Des conditions telles que l'arthrite, les blessures ou les malformations congénitales peuvent affecter la fonction du Cervical Atlas et causer des symptômes désagréables.
Le ligament jaune, également connu sous le nom de ligament longitudinal postérieur, est un ligament fibreux large et plat situé dans la colonne vertébrale. Il s'étend sur toute la longueur de la colonne vertébrale, depuis l'os occipital à la base de la colonne jusqu'au sacrum.
Le ligament jaune est appelé ainsi en raison de sa couleur jaunâtre due à la présence de tissu adipeux (graisse) entre les fibres du ligament. Il joue un rôle important dans la stabilité de la colonne vertébrale en empêchant l'hyperflexion excessive, c'est-à-dire en prévenant le bas du dos de se plier trop loin vers l'avant.
Cependant, il convient de noter que bien que cette structure soit souvent appelée "ligament", elle est anatomiquement et fonctionnellement distincte des ligaments traditionnels qui relient les os entre eux. Le ligament jaune est plutôt considéré comme une extension de la dure-mère, la membrane externe qui entoure le cerveau et la moelle épinière.
Les nerfs spinaux, également connus sous le nom de nerfs rachidiens, sont des nerfs mixtes (motoriques et sensorielles) qui émergent de la moelle épinière dans le canal rachidien. Ils sont responsables de l'innervation sensorielle et motrice à certaines parties du corps.
Il y a 31 paires de nerfs spinaux, chacune sortant de la colonne vertébrale à travers un trou appelé foramen intervertébral, situé entre deux vertèbres adjacentes (à l'exception de la première paire, qui émerge au-dessus de la première vertèbre cervicale).
Chaque nerf spinal se divise en deux branches principales : une branche antérieure (motrice) et une branche postérieure (sensible). La branche antérieure innerve les muscles du tronc et des membres, tandis que la branche postérieure transmet les sensations cutanées telles que le toucher, la douleur et la température vers la moelle épinière.
Des problèmes avec les nerfs spinaux peuvent entraîner une variété de symptômes, en fonction de la partie du corps qu'ils servent. Par exemple, une compression ou une lésion d'un nerf spinal peut causer des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une perte de réflexes dans les régions innervées par ce nerf.
Un traitement palliatif est un type de soin médical spécialisé qui vise à soulager les symptômes désagréables et la douleur d'une maladie grave, particulièrement des maladies potentiellement mortelles ou chroniques évolutives. Il ne cherche pas à guérir la maladie sous-jacente mais plutôt à améliorer la qualité de vie des patients. Ce type de traitement est souvent utilisé pour les patients atteints de cancer avancé, d'insuffisance cardiaque congestive sévère, de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) grave, de sclérose latérale amyotrophique (SLA), de maladies rénales en phase terminale et d'autres affections graves.
Les soins palliatifs peuvent inclure une variété de services tels que le contrôle de la douleur, la gestion des symptômes, les soins psychologiques, sociaux et spirituels, ainsi qu'un soutien à la famille et aux proches. Ils peuvent être fournis dans différents cadres, y compris les hôpitaux, les centres de soins palliatifs, les maisons de soins infirmiers et à domicile, en fonction des besoins et des préférences du patient.
Le traitement palliatif est souvent confondu avec les soins de fin de vie ou l'hospice, qui sont en fait des types spécifiques de soins palliatifs fournis aux patients atteints d'une maladie en phase terminale avec une espérance de vie limitée. Cependant, tous les soins palliatifs ne sont pas des soins de fin de vie, et ils peuvent être initiés à n'importe quel stade de la maladie.
Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.
Syndrome sous-lésionnel
Métastase osseuse
Syndrome lésionnel
Compression médullaire
Notalgie paresthésique
Moelle spinale
Syndrome de Guillain-Barré
Hernie discale
Syndrome cordonal postérieur
Myélite transverse
Rachianesthésie
Myélopathie cervicoarthrosique
Myélome
Syndrome médullaire
Sclérose latérale amyotrophique
Canal lombaire étroit
Syndrome neurologique paranéoplasique
Mal de dos
Syrinx (médecine)
Tumeur de la colonne vertébrale
Paraplégie spastique familiale
Traumatisme médullaire
Spondylarthrite ankylosante
Hématome extradural
Foramen jugulaire
CIM-10 Chapitre 17 : Malformations congénitales et anomalies chromosomiques
Trisomie 21
Complications de l'anesthésie
Névralgie pudendale
Liste d'abréviations en médecine
Syndrome sous-lésionnel - Wikipedia
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Médecine interne et immunologie clinique (Réforme 2017) : Fiche Parcours : Offre de formation
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Archives des Rhumatologie - Médecine-Cours
Nicolas Weiss : Auteur de Livres Médicaux
Spondylodiscite - MedG
Les faits en bref: Présentation des troubles de la moelle épinière - Manuels MSD pour le grand public
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La syringomyélie - ADVETIA
D'une5
- C'est l'ensemble des symptômes liés à l'atteinte (inflammation, infection, compression) d'une racine nerveuse de son origine à sa terminaison. (chirurgie-des-nerfs.com)
- Il faut toujours chercher des signes médullaires associés, car un syndrome radiculaire cervical ou thoracique peut être l'expression lésionnelle d'une compression médullaire. (chirurgie-des-nerfs.com)
- Lors d'une contusion médullaire le liquide céphalo-rachidien joue un rôle protecteur quantifiable et le comportement lésionnel dépend du niveau vertébral. (etsmtl.ca)
- À l'arrivée d'une personne âgée aux urgences, il faut rechercher systématiquement un syndrome confusionnel. (ascodocpsy.org)
- Il s'agit d'une descente des amygdales cérébelleuses dans le canal médullaire. (osteo4pattes.eu)
RADICULAIRE1
- Un syndrome radiculaire est principalement caractérisé par une radiculalgie (douleur sur le trajet des fibres nerveuses issues de la racine affectée). (chirurgie-des-nerfs.com)
Cheval1
- Lorsque le volume tumoral augmente, apparaissent des signes de compression neurologique (radiculalgies, sciatalgies, déficits sensitivomoteurs, syndrome de la queue-de-cheval), digestive (constipation et faux besoins) et urinaire (dysurie et pollakiurie). (medixdz.com)
Douleurs1
- Tout ce que vous devez savoir sur les syndromes fémoro-patellaires : Guide complet Introduction Les douleurs liées aux syndromes fémoro-patellaires sont très courantes chez les sportifs et les personnes actives. (12steplife.org)
Nerfs2
- Selon le degré d'extension des lésions, la symptomatologie associe des signes neurologiques (paralysie des nerfs crâniens avec diplopie, réduction du champ visuel, cécité, syndrome cérébelleux), des troubles endocriniens par envahissement de la loge pituitaire (aménorrhée, stérilité, perte de la libido, gain pondéral), des manifestations d'hypertension intracrânienne et plus rarement des crises comitiales. (medixdz.com)
- Comprendre le Syndrome Canalaire : Un Guide Complet Introduction Le Syndrome Canalaire est une pathologie relativement courante qui affecte les nerfs périphériques. (12steplife.org)
Spondylodiscite1
- Le diagnostic tombe, évident, spondylodiscite avec compression médullaire. (perruchenautomne.eu)
Canalaire2
- N° 92 Rachialgie N° 93 Radiculalgie et syndrome canalaire N° 124 Ostéopathie fragilisante N° 125 Arthrose N° 153 Infections ostéo-articulaires (IOA) de l'enfant et de l'adulte N° 192 Polyarthrite rhumatoïde N° 193 Spondylarthrite inflamm. (editions-ellipses.fr)
- themify_box color= »light-blue rounded shadow »]Sténose canalaire, rétrécissement canalaire, rétrécissement du canal rachidien, canal rachidien rétréci, rétrécissement du canal médullaire, canal lombaire rétréci ou sténose canalaire lombaire, sténose rachidienne ou encore sténose du canal lombaire, sont autant de termes synonymes du canal lombaire étroit. (mal-au-dos.be)
Maladie3
- Tout ce que vous devez savoir sur le syndrome bronchique bilatéral : Guide complet Introduction Le syndrome bronchique bilatéral est une maladie pulmonaire chronique qui affecte les voies respiratoires des poumons. (12steplife.org)
- Syndrome de Rubinstein-Taybi : Guide Complet pour Tout Comprendre Introduction Le Syndrome de Rubinstein-Taybi est une maladie génétique rare qui affecte plusieurs systèmes organiques. (12steplife.org)
- Tout ce que vous devez savoir sur le syndrome de Klippel Feil : Guide complet Introduction Le syndrome de Klippel-Feil est une maladie rare qui affecte la colonne vertébrale et le cou. (12steplife.org)
Troubles2
- Les symptômes les plus gênants sont l'asthénie, les crampes, la constipation, la salivation abondante, les troubles du sommeil, les troubles respiratoires et le syndrome pseudo-bulbaire . (doctissimo.fr)
- Syndrome Charles Bonnet : Tout ce que Vous Devez Savoir Introduction Le Syndrome Charles Bonnet (ou SBC) est une condition qui affecte certaines personnes atteintes de troubles visuels. (12steplife.org)
DIAGNOSTIC1
- Le diagnostic différentiel repose sur l'analyse du mode de transmission (arbre généalogique), le volume rénal et les tumeurs associées (échographie et scanner rénal) et les manifestations cliniques associées (atteinte hépatique, cutanée et syndrome dysmorphique). (polykystose.org)
Inflammatoire1
- Une anémie de type inflammatoire, des facteurs pro-thrombotiques propres au patient (syndrome inflammatoire. (toutelamode.info)
C'est1
- C'est un ensemble de symptômes traduisant l'isolement et l'autonomisation du segment inférieur de la moelle en dessous de la lésion médullaire. (wikipedia.org)
Racines2
- Le canal lombaire étroit est un problème qui surgit suite à la compression des racines nerveuses au niveau lombaire, à cause du rétrécissement de l'espace disponible dans cette zone (canal rachidien) de la colonne vertébrale. (mal-au-dos.be)
- L'opération d'un canal lombaire étroit consiste à faire de la place aux racines nerveuses pour éviter leur compression dans le canal rachidien. (mal-au-dos.be)
Pathologie1
- Le syndrome coronarien aigu (SCA) est une pathologie fréquemment rencontrée aux urgences, notamment chez le sujet âgé. (ascodocpsy.org)
Niveau1
- Le dextrométorphane élève le seuil de la toux au niveau médullaire. (palliaguide.be)
Multiples2
- Il existe de multiples mécanismes d'apparition des fractures vertébrales (compression, flexion-extension, cisaillement, torsion) et des blessures médullaires (contusion, traction, cisaillement), ce qui rend leur étude complexe. (etsmtl.ca)
- Les personnes atteintes du syndrome de Li-Fraumeni sont susceptibles de développer de multiples cancers avant l'âge de 45 ans. (cancer.be)
L'atteinte1
- Le syndrome pseudo-bulbaire est provoqué par l'atteinte bilatérale des voies pyramidales au dessus du bulbe . (doctissimo.fr)
Cisaillement1
- Dans les lésions induites par le secouement, le mécanisme d'accélération-décélération dans la boîte crânienne génère une altération structurelle du neurone par compression, étirement, associée à des lésions de cisaillement de la substance blanche. (avocat-bessy.com)
Risque1
- Il bloque les récepteurs N-Méthyl-D-Aspartate (NMDA) et inhibe la recapture de la sérotonine (risque de syndrome sérotoninergique), mais son mécanisme d'action exact est mal connu. (palliaguide.be)
Personnes1
- Lorsque j'ai voulu me pencher sur la CM-I dans mon mémoire de fin d'étude [ 10 ] , il m'a été nécessaire de trouver des questionnaires ou autres manières d'évaluer l'impact du syndrome d'Arnold Chiari sur les personnes atteintes. (osteo4pattes.eu)
Puis1
- Changement de tuyau, dialyse, antibiotique, amélioration initiale du syndrome fébrile et puis reprise de la fièvre, changement de cathéter, écho cœur, pas d'endocardite, toujours de la fièvre malgré les bons antibiotiques. (perruchenautomne.eu)
Connu1
- Tout Savoir sur le Syndrome Gianotti Crosti : Guide Complet Introduction Le canular acrodermatites of childhood, également connu sous le nom de syndrome de Gianotti-Crosti, est une éruption cutanée bénigne associée à une grande variété de maladies virales. (12steplife.org)
Moelle4
- C'est un ensemble de symptômes traduisant l'isolement et l'autonomisation du segment inférieur de la moelle en dessous de la lésion médullaire. (wikipedia.org)
- La moelle épinière est normalement protégée par la colonne vertébrale, mais certains troubles peuvent entraîner une compression de la moelle épinière et altérer ses fonctions. (msdmanuals.com)
- Syndrome de la queue de cheval Le syndrome de la queue de cheval apparaît lorsque le faisceau de nerfs qui part de la partie inférieure de la moelle épinière est comprimé ou endommagé. (msdmanuals.com)
- Une métastase osseuse vertébrale peut provoquer une compression de la moelle épinière. (medscape.com)
D'un3
- 48h), souvent douloureuse, asymétrique, motrice pure (sans aucun trouble sensitif objectif) rapidement amyotrophiante, non évocatrice d'un syndrome de Guillain-Barré, d'une compression médullaire aiguë, ou d'une myélite transverse. (academie-medecine.fr)
- Les carcinomes métastatiques peuvent être à l'origine d'un syndrome médullaire ou de la queue de cheval par compression locale liée à une atteinte rachidienne. (medscape.com)
- Il s'agit d'une migration du noyau d'un disque intervertébral situé dans le bas du dos, provoqué en cas de compression du disque en question. (kerdynelle.com)
Traumatique1
- Dysphonie N° 89 Déficit neurologique récent N° 90 Déficit moteur et/ou sensitif des membres N° 91 Compression médullaire non traumatique et syndrome de la queue-de-cheval N° 93 Radiculalgie et syndrome canala. (editions-ellipses.fr)
Signes2
- Les signes cliniques étaient bruyants et représentés par un syndrome obstructif du bas appareil urinaire. (bvsalud.org)
- La com- pression médullaire peut se révéler par les mêmes signes en contexte non infectieux, et est le plus souvent diagnostiquée par l'IRM médullaire en urgence. (pap-pediatrie.fr)
Clinique1
- Nous avons sélectionné 121 patients souffrant de syndrome de compression médullaire clinique. (bvsalud.org)
Cerveau1
- Un syndrome neurocutané entraîne des problèmes qui affectent le cerveau, la colonne vertébrale et les nerfs (neuro), ainsi que la peau (cutané). (merckmanuals.com)
Maladies1
- Par exemple, les maladies osseuses telles que l' arthrose et l'ostéoporose peuvent engendrer des tassements ou des déplacements des vertèbres, ce qui peut créer une compression sur les racines des nerfs sciatiques. (kerdynelle.com)
Vasculaire1
- Un autre syndrome de compression vasculaire - le syndrome de Cockett ou syndrome de May-Thurner ou syndrome de compression de la veine iliaque gauche - peut être abordé dans ce forum. (maladiesraresinfo.org)
Douleurs1
- La sciatique est ainsi décrite comme une irritation ou une compression des nerfs sciatiques, engendrant des douleurs vives ainsi que des gênes provenant du coccyx jusqu'aux mollets. (kerdynelle.com)
Spasmodique1
- Il se manifeste par un syndrome pyramidal bilatéral avec paraparésie ou paraplégie spasmodique. (wikipedia.org)
Objectif1
- Objectif : Déterminer la prévalence du syndrome de compression médullaire lente et en identifier les étiologies en pratique rhumatologique à Abidjan.Patients et méthodes : Notre étude rétrospective et descriptive, a été menée au sein du service de rhumatologie du CHU de Cocody à Abidjan de Janvier 2004 à Décembre 2013. (bvsalud.org)
Causes1
- Les étiologies étaient les spondylodiscites bactériennes (55,3%) dominées par le mal de Pott (52% des cas), les affections rachidiennes dégénératives (23,3% des cas) et les causes tumorales malignes (21,4%).Conclusion : Le syndrome de compression médullaire lente est rare en pratique rhumatologique à Abidjan. (bvsalud.org)
Mois1
- La durée moyenne d'évolution du syndrome de compression médullaire était de 1,2 mois. (bvsalud.org)