Syndrome De L'Artère Spinale Antérieure
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Le syndrome de l'artère spinale antérieure est un trouble rare mais grave qui affecte l'apport sanguin à la moelle épinière. Il se produit lorsqu'il y a une compression ou une obstruction de l'artère spinale antérieure, qui est la principale source d'approvisionnement en sang de la partie avant de la moelle épinière. Cette condition peut entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs thoraciques, une faiblesse musculaire, une perte de sensation, des problèmes de coordination et, dans les cas graves, une paralysie.
Le syndrome de l'artère spinale antérieure peut être causé par une variété de facteurs, y compris une maladie vasculaire sous-jacente, un traumatisme, une tumeur ou une hernie discale. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'imagerie médicale, tels qu'une angiographie ou une imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le traitement du syndrome de l'artère spinale antérieure dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la compression ou rétablir le flux sanguin vers la moelle épinière. Des médicaments peuvent également être prescrits pour aider à gérer les symptômes et prévenir d'autres complications. Dans tous les cas, une prise en charge rapide et agressive est essentielle pour prévenir des dommages permanents à la moelle épinière.
Un infarctus, également connu sous le nom de crise cardiaque, est un événement médical grave dans lequel il y a une nécrose (mort) d'une partie du muscle cardiaque (myocarde) due à l'ischémie (manque d'apport sanguin). Cela se produit lorsqu'un caillot bloque l'afflux de sang vers une artère coronaire, qui fournit le sang riche en oxygène au myocarde. Sans un apport adéquat de sang et d'oxygène, les cellules cardiaques commencent à mourir en quelques minutes.
Les symptômes typiques d'un infarctus du myocarde comprennent une douleur thoracique intense et prolongée, souvent irradiant vers le bras gauche, l'épaule, le dos, la mâchoire ou le cou. D'autres symptômes peuvent inclure des nausées, des vomissements, des sueurs froides, une anxiété extrême, un essoufflement et une perte de conscience dans les cas graves.
Les facteurs de risque d'infarctus comprennent l'hypertension artérielle, le diabète, l'hypercholestérolémie, le tabagisme, l'obésité, une mauvaise alimentation, le manque d'exercice, le stress et une prédisposition génétique. Le diagnostic est généralement posé sur la base de l'histoire clinique du patient, de l'électrocardiogramme (ECG), des enzymes cardiaques sériques et de l'imagerie médicale telle que la tomographie par émission de positrons (TEP) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le traitement d'un infarctus du myocarde dépend de sa gravité et peut inclure des médicaments pour dissoudre les caillots sanguins, des anticoagulants pour prévenir la formation de nouveaux caillots, des analgésiques pour soulager la douleur thoracique, des bêta-bloquants pour ralentir le rythme cardiaque et réduire la demande en oxygène du cœur, des nitrates pour dilater les vaisseaux sanguins et améliorer la circulation sanguine, ainsi que des interventions telles que l'angioplastie coronarienne ou la chirurgie de pontage coronarien pour rétablir le flux sanguin vers le cœur.
Le syndrome de l'artère mésentérique supérieure (SAMS) est un trouble rare mais grave qui se produit lors d'un rétrécissement ou d'un blocage de l'artère mésentérique supérieure, une artère qui approvisionne le sang vers une grande partie de l'intestin grêle et une petite partie du gros intestin. Ce rétrécissement ou ce blocage peut être dû à un certain nombre de facteurs, y compris l'athérosclérose, les caillots sanguins, la tumeur, ou le traumatisme.
Lorsque l'artère mésentérique supérieure est rétrécie ou bloquée, les intestins ne reçoivent pas suffisamment de sang et d'oxygène, ce qui peut entraîner des douleurs abdominales sévères, la nausée, les vomissements, et la diarrhée. Dans les cas graves, cela peut également conduire à une ischémie intestinale, où les tissus intestinaux commencent à mourir en raison du manque de sang et d'oxygène. Si elle n'est pas traitée rapidement, l'ischémie intestinale peut entraîner des complications graves, telles que la septicémie, la péritonite, et même la mort.
Le diagnostic du SAMS est généralement posé en utilisant une combinaison de tests d'imagerie, tels que l'angiographie, la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que des analyses de sang pour vérifier les marqueurs d'inflammation et de dommages aux tissus. Le traitement du SAMS dépend de la gravité de la maladie, mais peut inclure des médicaments pour améliorer la circulation sanguine, une intervention chirurgicale pour rétablir le flux sanguin dans les vaisseaux affectés, ou une combinaison des deux. Dans les cas graves, une partie de l'intestin peut devoir être enlevée si elle est trop endommagée.
La duodénostomie est un terme médical qui décrit une procédure chirurgicale au cours de laquelle une ouverture (stomie) est créée dans la partie initiale de l'intestin grêle, appelée le duodénum. Cette intervention peut être réalisée pour diverses raisons, telles que faciliter le drainage des sécrétions gastriques, traiter une obstruction ou permettre l'accès à certaines régions du duodénum pour d'autres procédures diagnostiques ou thérapeutiques. Après la chirurgie, les matières digestives peuvent s'écouler par cette stomie dans un sac externe, ce qui est souvent temporaire et peut être fermé ultérieurement par une autre intervention chirurgicale. Comme pour toute procédure médicale, la duodénostomie comporte des risques et des avantages potentiels, qui doivent être soigneusement pesés et discutés avec le patient avant de prendre une décision éclairée concernant les soins de santé.
L'artère vertébrale est une artère pair qui origine dans la région supérieure du cou à partir de la sous-clavière (ou artère subclavienne) et qui fournit un apport sanguin crucial au cerveau et au crâne. Chaque artère vertébrale droite et gauche traverse les transverses des six premiers nerfs cervicaux, pénètre dans le foramen transversarium de la colonne vertébrale, monte dans le crâne par le foramen magnum et se joint à l'artère cérébelleuse postérieure inférieure pour former l'artère basilaire.
L'artère vertébrale est responsable du transport de l'oxygène et des nutriments vers les structures vitales du cerveau, telles que le tronc cérébral, le cervelet, le mésencéphale, le pont et la moelle allongée. De plus, elle contribue à l'approvisionnement en sang de certaines parties du cortex cérébral et des membranes qui entourent le cerveau (les méninges).
Des problèmes tels que des rétrécissements, des blocages ou des anévrismes au niveau de l'artère vertébrale peuvent entraîner une variété de symptômes neurologiques, y compris des maux de tête, des étourdissements, des problèmes d'équilibre et de coordination, des faiblesses musculaires, des engourdissements ou des picotements dans les membres, ainsi que, dans les cas graves, une perte de conscience ou un accident vasculaire cérébral (AVC).
La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.
La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.
La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.
L'hypoesthésie est un terme médical qui décrit une diminution de la sensibilité ou de la capacité à percevoir des stimuli sensoriels, tels que le toucher, la température, le vibrissement ou la douleur. Cela se produit généralement en raison d'une lésion, d'une maladie ou d'un dysfonctionnement du système nerveux périphérique ou central. Les causes courantes d'hypoesthésie comprennent les lésions de la moelle épinière, le diabète, les maladies vasculaires cérébrales, certaines neuropathies et les traumatismes crâniens.
Dans certains cas, l'hypoesthésie peut être localisée à une petite zone du corps, tandis que dans d'autres, elle peut affecter de larges zones ou même l'ensemble du corps. Les symptômes associés à l'hypoesthésie peuvent inclure des difficultés à reconnaître la forme et la taille des objets, une diminution de la sensibilité au toucher ou à la douleur, une augmentation du seuil de perception de la température et des vibrations, ainsi qu'une altération de l'équilibre et de la coordination.
Le diagnostic d'hypoesthésie implique généralement un examen neurologique approfondi, y compris des tests de sensibilité cutanée et des évaluations de la fonction nerveuse. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une thérapie physique ou des interventions chirurgicales.
Les artères sont des vaisseaux sanguins qui transportent le sang riche en oxygène du cœur vers les différents tissus et organes du corps. Elles ont une paroi musculaire épaisse et élastique qui leur permet de résister à la pression du sang pompé par le cœur. Les artères se divisent en artérioles plus petites, qui à leur tour se ramifient en capillaires, où l'échange de nutriments et d'oxygène avec les tissus a lieu. Après avoir traversé les capillaires, les veines recueillent le sang désoxygéné et le renvoient au cœur.
L'angiographie est une procédure diagnostique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser les vaisseaux sanguins dans le corps. Elle consiste à injecter un colorant contrastant dans les vaisseaux sanguins, qui sont ensuite visualisés à l'aide de rayons X ou d'une tomodensitométrie (TDM) ou d'une imagerie par résonance magnétique (IRM).
L'angiographie peut être utilisée pour diagnostiquer et évaluer une variété de conditions vasculaires, telles que les malformations artério-veineuses, les anévrismes, les sténoses (rétrécissements) ou les occlusions (blocages) des vaisseaux sanguins. Elle peut également être utilisée pour guider les interventions thérapeutiques telles que les angioplasties et les stents.
Les risques associés à l'angiographie comprennent une réaction allergique au colorant contrastant, des saignements ou des ecchymoses au site d'injection, des infections, des lésions nerveuses ou des accidents vasculaires cérébraux. Cependant, ces complications sont rares et peuvent être minimisées en prenant des précautions appropriées avant et après la procédure.
La paraplégie est un terme médical qui décrit une forme de paralysie affectant les membres inférieurs, c'est-à-dire les jambes et le bas du tronc. Cette condition est généralement causée par des lésions à la moelle épinière, dans la région thoracique, lombaire ou sacrée. Les dommages à la moelle épinière empêchent les signaux nerveux de voyager depuis le cerveau vers les muscles situés dans les membres inférieurs et le bas du tronc, entraînant une perte de sensation et de mouvement dans ces régions.
La gravité de la paraplégie peut varier considérablement d'une personne à l'autre. Certaines personnes peuvent conserver une certaine sensibilité ou capacité à contrôler partiellement leurs membres inférieurs, tandis que d'autres peuvent perdre complètement le contrôle et la sensation. Les complications associées à la paraplégie peuvent inclure des problèmes de vessie et d'intestins, une pression artérielle basse, des infections urinaires récurrentes, des escarres et une diminution de la fonction pulmonaire.
Le traitement de la paraplégie implique généralement une prise en charge multidisciplinaire comprenant des soins médicaux, des interventions thérapeutiques telles que la physiothérapie et l'ergothérapie, ainsi que des aides techniques pour faciliter les activités quotidiennes. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les complications ou améliorer la fonction nerveuse. Malheureusement, il n'existe actuellement aucun remède pour la paraplégie, mais des recherches sont en cours pour développer de nouvelles thérapies et stratégies de réparation de la moelle épinière.
L'occlusion duodénale est un terme médical qui décrit un blocage ou une obstruction complète ou partielle du duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle. Le duodénum est responsable de la digestion initiale des aliments partiellement digérés provenant de l'estomac.
Une occlusion duodénale peut être causée par divers facteurs, tels que des tumeurs, des adhérences (cicatrices anormales), des inflammations, des invaginations intestinales ou des traumatismes abdominaux. Les symptômes les plus courants d'une occlusion duodénale comprennent des nausées et des vomissements répétés, une douleur abdominale intense, une distension abdominale, une perte d'appétit et une constipation ou une diarrhée.
Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'occlusion. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour éliminer l'obstruction et prévenir les complications potentiellement mortelles telles que la perforation intestinale ou la septicémie. Dans d'autres cas, des traitements conservateurs tels qu'une alimentation intraveineuse et une décompression nasogastrique peuvent être suffisants pour soulager les symptômes et permettre à l'occlusion de se résorber spontanément.
Une jéjunostomie est un type de stomie, qui est une procédure chirurgicale où un orifice est créé dans la paroi abdominale pour permettre le passage des déchets du corps. Dans le cas d'une jéjunostomie, l'ouverture est faite dans le jejunum, qui est une partie de l'intestin grêle.
Cette procédure est souvent réalisée lorsqu'une personne a des problèmes avec son système digestif et qu'il est difficile pour elle d'avaler ou de digérer les aliments normalement. Une jéjunostomie peut également être effectuée comme une intervention chirurgicale temporaire pour permettre à l'intestin grêle de guérir après une intervention chirurgicale ou une inflammation.
Les déchets du corps sont collectés dans un sac externe attaché à la stomie, ce qui permet d'éviter que les matières ne passent dans le côlon et le rectum. Les personnes ayant subi une jéjunostomie doivent recevoir une alimentation entérale, c'est-à-dire par une sonde insérée dans la stomie pour fournir des nutriments directement dans l'intestin grêle.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
Une entérostomie est une procédure chirurgicale où une ouverture (stomie) est créée dans la paroi abdominale pour rediriger le flux du contenu intestinal vers l'extérieur du corps. Cela est généralement fait lorsqu'une partie de l'intestin doit être déviée en raison d'une maladie, d'une blessure ou d'une intervention chirurgicale qui empêche le fonctionnement normal de la zone affectée.
Les types courants d'entérostomies comprennent l'iléostomie, où l'intestin grêle est connecté à la surface abdominale, et la colostomie, où le côlon est connecté. Ces procédures peuvent être temporaires ou permanentes, selon les besoins spécifiques du patient.
Les personnes qui ont subi une entérostomie doivent porter un appareil spécial appelé une poche de stomie pour recueillir les déchets provenant de l'intestin. Il est important qu'elles suivent des soins appropriés pour maintenir la santé de la peau autour de la stomie et prévenir les complications telles que l'inflammation, l'infection ou l'obstruction.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Anatomie est une branche importante de la médecine et des sciences biologiques qui traite de la structure et la composition des organes et des systèmes corporels d'un être vivant. Elle décrit les différentes parties du corps, leur forme, leur taille, leur position relative, et leur relation avec les autres structures environnantes.
L'anatomie est traditionnellement divisée en deux sous-disciplines: l'anatomie macroscopique (ou grossière) et l'anatomie microscopique (ou histologie). L'anatomie macroscopique étudie les structures du corps qui peuvent être vues à l'œil nu, telles que les os, les muscles, les organes et les cavités corporelles. L'anatomie microscopique, en revanche, examine les tissus et les cellules du corps à l'aide d'un microscope.
L'anatomie est généralement étudiée en utilisant des cadavres humains ou animaux, mais des techniques d'imagerie médicale telles que la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) sont également utilisées pour visualiser les structures internes du corps.
L'anatomie est essentielle pour comprendre le fonctionnement normal et pathologique du corps humain, ce qui permet aux professionnels de la santé de poser des diagnostics précis et de planifier des traitements appropriés pour leurs patients.
La moelle osseuse est la substance molle et grasse contenue dans les cavités des os longs et plats. Elle est composée de cellules souches hématopoïétiques, de matrice extracellulaire, de vaisseaux sanguins et nerveux. La moelle osseuse rouge est responsable de la production de cellules sanguines telles que les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. La moelle osseuse jaune contient principalement des graisses. La moelle osseuse joue un rôle crucial dans le maintien de la fonction immunitaire, du transport de l'oxygène et de la coagulation sanguine. Des maladies telles que la leucémie, l'anémie aplastique et les myélodysplasies peuvent affecter la moelle osseuse.