Syndrome De Sevrage
Delirium Tremens
Crises
Clométhiazole
Syndrome De Sevrage Néonatal
Naloxone
Ethanol
Carisoprodol
Morphine
Substance P
Alcoolisme
Tolérance Aux Médicaments
Clonazépam
Thiamine Monophosphate
Hypnotiques Et Sédatifs
Dronabinol
Stupéfiants
Cannabis
Myorelaxants
Récepteurs Cannabinoïdes
Cannabinoïdes
Mécamylamine
Dépresseurs Du Système Nerveux Central
Benzodiazépines
Trouble Lié Au Tabagisme
Anxiolytiques
Nicotine
Naltrexone
Intensive Care Units, Pediatric
Facteur Temps
Syndrome De Down
Récepteur Médicaments
Crises
Analgésiques Morphiniques
Syndrome Métabolique X
Rat Sprague-Dawley
Relation Dose-Effet Médicaments
Rat Wistar
Encéphale
Syndrome Néphrotique
Syndrome De Gougerot-Sjögren
Stomatodynie
Le syndrome de sevrage est un ensemble de symptômes physiques et mentaux désagréables qui surviennent lorsqu'une personne arrête ou réduit considérablement la consommation d'une substance à laquelle elle est dépendante. Ces symptômes peuvent varier en fonction de la substance, mais ils peuvent inclure des nausées, des vomissements, de la transpiration, des tremblements, de l'anxiété, de l'agitation, de l'insomnie et des hallucinations. Le syndrome de sevrage est souvent associé aux dépendances aux drogues illicites comme l'héroïne et l'alcool, mais il peut également survenir avec une dépendance à certains médicaments sur ordonnance, tels que les benzodiazépines et les opioïdes. Le syndrome de sevrage peut être géré médicalement pour assurer la sécurité du patient et minimiser l'inconfort.
Le delirium tremens (DT) est un syndrome clinique caractérisé par une conscience altérée, des hallucinations visuelles et tactiles, une désorientation, une agitation ou une hyperactivité, ainsi qu'une instabilité autonome. Il s'agit d'une complication grave du sevrage alcoolique aigu, généralement survenant 2 à 4 jours après la dernière consommation d'alcool. Les symptômes peuvent inclure une transpiration abondante, une tachycardie, des tremblements, de l'agitation, de l'anxiété, des troubles du sommeil et une augmentation de la pression artérielle. Dans les cas graves, le delirium tremens peut entraîner des convulsions et être fatal si il n'est pas traité rapidement et correctement.
Le clométhiazole est un médicament principalement utilisé dans le traitement des symptômes de sevrage alcoolique. Il agit comme un sédatif et un hypnotique, aidant à calmer et à relaxer les patients en réduisant l'excitation du système nerveux central.
Le clométhiazole fonctionne en potentialisant les effets inhibiteurs de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur qui inhibe l'activité cérébrale. En augmentant l'activité du GABA, le clométhiazole peut aider à réduire les symptômes de sevrage tels que l'anxiété, l'agitation, la tremblement et l'insomnie.
En plus de son utilisation dans le traitement du sevrage alcoolique, le clométhiazole a également été étudié pour d'autres indications telles que les troubles du sommeil et les migraines. Cependant, son utilisation est limitée en raison de ses effets secondaires potentiellement graves, tels que la dépression respiratoire, la confusion et le risque accru de chutes chez les personnes âgées.
Le clométhiazole est disponible sous forme de solution orale et doit être utilisé avec prudence et sous surveillance médicale stricte en raison de son potentiel d'abus et de dépendance.
Le syndrome de sevrage néonatal est un ensemble de signes et symptômes qui surviennent chez les nouveau-nés après l'exposition prénatale à des drogues psychoactives, généralement des opioïdes, en raison d'une dépendance physique à ces substances. Lorsque la concentration de la drogue dans le sang du bébé chute après la naissance, cela entraîne des symptômes de sevrage.
Les symptômes peuvent être légers à graves et peuvent inclure :
1. Agitation ou irritabilité
2. Tremblements ou secousses musculaires
3. Hypertonie ou hypotonie (augmentation ou diminution du tonus musculaire)
4. Cris excessifs
5. Moro (réflexe de retrait) exagéré
6. Troubles du sommeil
7. Diarrhée et vomissements
8. Augmentation de la salivation
9. Sueurs ou frissons
10. Respiration rapide
11. Température instable
12. Mouvements réflexes exagérés
13. Troubles de l'alimentation
14. Convulsions dans les cas graves
Le syndrome de sevrage néonatal nécessite une prise en charge médicale immédiate pour assurer le confort et la sécurité du bébé. Le traitement peut inclure des soins de soutien, tels qu'un environnement calme et une alimentation fréquente, ainsi que des médicaments pour atténuer les symptômes de sevrage.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
La naloxone est un médicament utilisé pour inverser les effets des opioïdes sur le corps. Il s'agit d'un antagoniste des opioïdes, ce qui signifie qu'il se lie aux récepteurs des opioïdes dans le cerveau sans activer ces récepteurs, empêchant ainsi les opioïdes de se lier et d'exercer leurs effets.
La naloxone est couramment utilisée pour traiter les overdoses aux opioïdes, telles que l'héroïne, la morphine, l'oxycodone et le fentanyl. Elle peut être administrée par injection ou par pulvérisation nasale et agit en quelques minutes pour rétablir la respiration et inverser les autres effets de l'overdose aux opioïdes.
Il est important de noter que la naloxone ne dure généralement que 30 à 90 minutes, ce qui signifie qu'une personne qui a reçu de la naloxone peut retomber dans un état d'overdose si des opioïdes sont toujours présents dans leur système. Par conséquent, il est important de chercher une attention médicale immédiate après l'administration de naloxone.
La naloxone est considérée comme un médicament sûr et efficace pour traiter les overdoses aux opioïdes, avec peu d'effets secondaires graves. Cependant, elle peut provoquer des symptômes de sevrage chez les personnes dépendantes aux opioïdes, tels que des nausées, des vomissements, de l'agitation et des douleurs corporelles.
L'éthanol, également connu sous le nom d'alcool éthylique, est un type d'alcool qui est couramment utilisé dans les boissons alcoolisées. Dans un contexte médical, l'éthanol peut être utilisé comme un désinfectant pour la peau et comme un antiseptique pour stériliser les surfaces et les instruments médicaux.
En tant que substance intoxicante, l'éthanol est rapidement absorbé dans le sang après avoir été consommé par voie orale. Il se diffuse ensuite dans tous les tissus du corps, affectant le cerveau et d'autres organes. L'intoxication à l'éthanol peut entraîner une variété de symptômes, notamment des troubles de l'élocution, une altération de la coordination musculaire, des vomissements, une somnolence, une confusion, une perte de conscience et dans les cas graves, une défaillance respiratoire et même la mort.
La consommation excessive d'éthanol peut également entraîner des dommages à long terme au foie, au cœur et au cerveau, ainsi qu'une dépendance à l'alcool. Il est important de noter que la consommation d'alcool doit être évitée pendant la grossesse en raison du risque de malformations congénitales et de retards de développement chez le fœtus.
Carisoprodol est un muscle relaxant skeletal utilisé pour traiter les spasmes musculaires douloureux à court terme. Il fonctionne en agissant sur le cerveau et les nerfs pour produire des effets calmants et relaxants. Carisoprodol doit être utilisé en combinaison avec du repos, de la physiothérapie et d'autres traitements pour les douleurs musculaires et les blessures.
Les effets secondaires courants de carisoprodol comprennent des étourdissements, des maux de tête, des nausées, des vomissements et des bouches sèches. Les effets secondaires plus graves peuvent inclure une somnolence excessive, des convulsions, des hallucinations et des problèmes respiratoires.
Carisoprodol est disponible en comprimés de 250 mg et 350 mg et est généralement pris trois fois par jour et au coucher. Il doit être utilisé avec prudence chez les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies du foie ou des reins, et celles qui ont des antécédents de dépendance à l'alcool ou aux drogues.
Il est important de noter que carisoprodol a un potentiel d'abus et de dépendance, il doit donc être utilisé uniquement sous la surveillance d'un professionnel de la santé et ne doit pas être arrêté brusquement sans consulter un médecin.
La morphine est un opioïde puissant, naturellement présent dans le latex du pavot somnifère (Papaver somniferum). Elle est largement utilisée en médecine pour ses propriétés analgésiques puissantes et son action potentialisante sur la dépression respiratoire. La morphine agit en se liant aux récepteurs opioïdes dans le cerveau et la moelle épinière, ce qui entraîne une diminution de la perception de la douleur et une augmentation du seuil de douleur.
Elle est utilisée pour traiter les douleurs aiguës et chroniques sévères, telles que celles associées au cancer ou à d'autres maladies graves. La morphine peut être administrée par voie orale, sous forme de comprimés ou de liquide, ou par injection dans une veine, un muscle ou sous la peau.
Cependant, l'utilisation de la morphine est associée à des risques importants, notamment une dépression respiratoire sévère, une somnolence excessive, une confusion, une constipation et une dépendance physique et psychologique. Par conséquent, son utilisation doit être strictement surveillée et ajustée en fonction de la réponse individuelle du patient pour minimiser les risques associés.
La Substance P est un neuropeptide composé de 11 acides aminés, découvert en 1931 par le scientifique Ulf von Euler. Il s'agit d'un médiateur chimique important dans la transmission des signaux de douleur, des inflammations et des réponses émotionnelles dans le système nerveux central et périphérique.
La Substance P est largement distribuée dans le cerveau et la moelle épinière, où elle agit comme un neurotransmetteur ou un neuromodulateur en se liant aux récepteurs NK1 (neurokinine 1). Elle joue également un rôle crucial dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la fonction gastro-intestinale et la modulation de l'humeur.
Dans le contexte médical, des anomalies dans la production ou la transmission de la Substance P peuvent contribuer au développement de diverses affections, notamment la douleur chronique, les troubles anxieux et dépressifs, ainsi que certains types de maladies inflammatoires. Des recherches sont en cours pour développer des traitements ciblant spécifiquement les récepteurs NK1 comme stratégie thérapeutique dans le traitement de la douleur et d'autres affections liées à la Substance P.
L'alcoolisme, également connu sous le nom de dépendance à l'alcool ou de trouble de l'usage de l'alcool, est une condition médicale caractérisée par un schéma incontrôlable de consommation d'alcool qui ne peut être arrêté malgré les conséquences négatives sur la santé, les relations personnelles et professionnelles, et d'autres aspects de la vie.
Il existe plusieurs critères diagnostiques pour l'alcoolisme, y compris une forte envie ou un désir irrésistible de boire, des symptômes de sevrage lorsque la consommation d'alcool est interrompue, une tolérance accrue à l'alcool, une incapacité à limiter la quantité d'alcool consommé et une poursuite de la consommation d'alcool malgré les problèmes physiques ou psychologiques évidents qu'elle cause.
L'alcoolisme peut entraîner des dommages à divers organes du corps, notamment le foie, le cerveau, le cœur et l'estomac, ainsi que des problèmes de santé mentale tels que la dépression et l'anxiété. Il peut également augmenter le risque de maladies infectieuses telles que la pneumonie et la tuberculose.
Le traitement de l'alcoolisme implique généralement une combinaison de thérapies comportementales, de médicaments et de soutien social. Les programmes de traitement peuvent inclure des séjours en clinique de désintoxication, des groupes de soutien tels que les Alcooliques Anonymes et des médicaments pour aider à gérer les symptômes de sevrage et à prévenir les rechutes.
Les antagonistes narcotiques sont des agents pharmacologiques qui se lient aux récepteurs des opioïdes dans le cerveau sans activer ces récepteurs, ce qui bloque les effets des opioïdes. Les antagonistes narcotiques peuvent être utilisés pour inverser les effets des opioïdes ou pour traiter une overdose d'opioïdes.
Le naloxone est un exemple courant d'un antagoniste narcotique. Il est souvent utilisé en médecine d'urgence pour inverser rapidement les effets des opioïdes, tels que la dépression respiratoire et la sédation, en cas de surdosage ou d'intoxication aux opioïdes. Le naloxone agit en se liant aux récepteurs des opioïdes dans le cerveau avec une affinité plus élevée que les opioïdes eux-mêmes, ce qui déplace les opioïdes des récepteurs et empêche leur activation.
Les antagonistes narcotiques peuvent également être utilisés dans le traitement de la dépendance aux opioïdes. Par exemple, le naltrexone est un antagoniste narcotique qui peut être utilisé pour prévenir les effets euphorisants des opioïdes et aider à prévenir les rechutes chez les personnes en traitement de la dépendance aux opioïdes.
Il est important de noter que les antagonistes narcotiques peuvent provoquer des symptômes de sevrage chez les personnes dépendantes aux opioïdes, car ils bloquent l'activité des opioïdes dans le cerveau. Par conséquent, leur utilisation doit être surveillée de près et adaptée aux besoins individuels du patient.
La tolérance aux médicaments, également connue sous le nom de tolerance pharmacologique, est un phénomène dans lequel le corps d'un individu devient moins réactif à l'administration répétée d'un médicament donné. Cela se produit lorsque la réponse physiologique ou pharmacologique à une dose constante du médicament diminue avec le temps, nécessitant ainsi des doses plus élevées pour obtenir l'effet souhaité. Ce processus peut être dû à divers mécanismes, tels que la diminution de la sensibilité des récepteurs, l'augmentation du métabolisme du médicament ou une augmentation de son élimination. Il est important de noter que la tolérance ne doit pas être confondue avec la dépendance aux médicaments, qui implique un besoin compulsif de prendre des drogues pour éviter les symptômes de sevrage.
Le clonazépam est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés benzodiazépines. Il agit en augmentant l'activité d'un neurotransmetteur inhibiteur dans le cerveau appelé GABA (acide gamma-aminobutyrique). Cela a un effet calmant et sédatif sur le système nerveux central.
Le clonazépam est principalement utilisé pour le traitement des crises d'épilepsie, en particulier dans les formes graves ou difficiles à contrôler. Il peut également être prescrit hors AMM pour le traitement de l'anxiété sévère et des troubles du sommeil.
Comme avec tous les médicaments de cette classe, le clonazépam comporte un risque de dépendance et d'abus, en particulier lorsqu'il est utilisé à long terme ou à des doses élevées. Par conséquent, il doit être prescrit avec prudence et sous surveillance médicale étroite. Les effets secondaires courants du clonazépam comprennent la somnolence, l'étourdissement, la faiblesse musculaire et la coordination altérée.
La thiamine monophosphate (TMP) est un dérivé phosphorylé de la vitamine B1, également connue sous le nom de thiamine. Il s'agit d'un cofacteur essentiel dans plusieurs réactions enzymatiques, en particulier dans les voies métaboliques qui produisent de l'énergie, telles que la glycolyse et le cycle de Krebs.
Dans le corps, la thiamine est d'abord absorbée dans l'intestin grêle sous forme libre, puis convertie en TMP par l'enzyme thiamine kinase. Le TMP peut ensuite être transformé en d'autres formes actives de thiamine, telles que la thiamine diphosphate (TDP) et la thiamine triphosphate (TTP).
La thiamine monophosphate joue un rôle important dans le métabolisme des glucides en agissant comme cofacteur pour l'enzyme pyruvate déshydrogénase, qui convertit le pyruvate en acétyl-CoA. Cela permet de continuer le cycle de Krebs et de produire de l'énergie sous forme d'ATP dans la cellule.
Un déficit en thiamine peut entraîner des maladies neurologiques telles que le beriberi, qui se manifeste par une neuropathie périphérique et une cardiomyopathie. Un apport adéquat en thiamine est donc essentiel pour maintenir la santé et prévenir les carences nutritionnelles.
Les hypnotiques et sédatifs sont des médicaments qui ont un effet calmant, relaxant et soporifique sur le système nerveux central. Ils sont souvent prescrits pour traiter l'insomnie et l'anxiété, ainsi que pour induire le sommeil avant une intervention chirurgicale.
Les hypnotiques sont une classe de médicaments qui provoquent le sommeil ou augmentent la profondeur du sommeil. Ils agissent en déprimant les centres du cerveau qui régulent l'éveil et le sommeil, ce qui entraîne une diminution de l'activité cérébrale et une relaxation musculaire. Les exemples courants d'hypnotiques comprennent les benzodiazépines (telles que le diazépam et le lorazépam) et les non-benzodiazépines (telles que le zolpidem et le zopiclone).
Les sédatifs sont une classe plus large de médicaments qui ont un effet calmant et relaxant sur le système nerveux central. Ils peuvent être prescrits pour traiter l'anxiété, l'agitation ou les spasmes musculaires. Les sédatifs comprennent les barbituriques, les benzodiazépines et certains antihistaminiques.
Les hypnotiques et sédatifs peuvent avoir des effets secondaires tels que la somnolence diurne, la confusion, l'amnésie, la dépression respiratoire et une dépendance physique et psychologique. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié.
Le dronabinol est la forme synthétique du principal ingrédient actif dans la marijuana (cannabis), le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC). Il est disponible sous forme de capsule et est utilisé pour traiter la nausée et les vomissements induits par la chimiothérapie. Il peut également être utilisé pour stimuler l'appétit chez les personnes atteintes du sida. Le dronabinol agit en se liant aux récepteurs cannabinoïdes dans le cerveau, ce qui modifie la façon dont le cerveau fonctionne et provoque des effets tels que l'altération de la perception, de l'humeur, du sommeil et de l'appétit.
Il est important de noter que le dronabinol peut entraîner des effets secondaires graves, notamment des hallucinations, de la confusion, une perte d'équilibre, des changements de comportement, une augmentation du rythme cardiaque et une pression artérielle élevée. Il doit être utilisé avec prudence et sous surveillance médicale stricte.
En plus de ses utilisations médicales, le dronabinol peut également être mal utilisé ou abusé pour ses effets psychoactifs. L'utilisation non médicale de marijuana et de produits à base de THC peut entraîner une dépendance physique et psychologique, ainsi que des problèmes de santé mentale et physique à long terme.
En termes médicaux, les stupéfiants sont des substances qui ont un effet dépresseur sur le système nerveux central et peuvent entraîner une forte dépendance ou une toxicomanie. Ils sont souvent utilisés dans le traitement de la douleur aiguë sévère, l'anxiété grave et d'autres conditions médicales graves, mais ils ont un potentiel élevé d'abus et sont donc strictement réglementés. Les exemples courants de stupéfiants comprennent les opioïdes tels que la morphine et l'héroïne, ainsi que certains barbituriques et benzodiazépines. L'utilisation non médicale ou récréative de ces substances peut être dangereuse et illégale.
Le cannabis est une plante (genre Cannabis) qui contient des composés actifs, appelés cannabinoïdes, dont le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD). Le THC est le principal composé psychoactif responsable de l'effet « high » associé à la consommation de cannabis. Le CBD n'a pas d'effets intoxicants ou euphoriques mais peut avoir des effets thérapeutiques sur certaines conditions médicales.
Le cannabis est souvent consommé en tant que marijuana, qui se compose des feuilles séchées et des fleurs de la plante. Il peut également être transformé en huile ou concentré sous forme de haschisch ou de wax. Le cannabis peut être fumé, vaporisé, mangé (dans des aliments ou des boissons infusés) ou absorbé par voie sublinguale (sous la langue).
L'utilisation du cannabis à des fins médicales est autorisée dans certains États et pays pour traiter une variété de conditions, telles que la douleur chronique, les nausées et vomissements liés à la chimiothérapie, la sclérose en plaques, l'épilepsie et certaines affections psychiatriques. Cependant, il existe des risques associés à son utilisation, tels que la dépendance, les effets psychotomimétiques, les troubles cognitifs et respiratoires, ainsi que des interactions médicamenteuses potentielles. Par conséquent, il est important de consulter un professionnel de santé avant d'utiliser le cannabis à des fins médicales.
Le comportement animal est un domaine d'étude qui traite des manières dont les animaux répondent à leur environnement et aux événements qui s'y produisent. Il englobe l'ensemble des actions et réactions des animaux, y compris leurs mouvements, communications, interactions sociales et processus cognitifs.
Ce domaine de recherche vise à comprendre les mécanismes sous-jacents qui régissent ces comportements, tels que les facteurs génétiques, neurobiologiques, évolutionnistes et écologiques. Les études sur le comportement animal peuvent aider à éclairer notre compréhension de l'évolution des espèces, de la cognition animale, du bien-être animal et même de certains aspects de la psychologie humaine.
Les comportements animaux peuvent être classés en différentes catégories telles que les comportements alimentaires, reproductifs, d'évitement des prédateurs, territoriaux, sociaux et de communication. Chaque espèce a un répertoire unique de comportements qui ont évolué pour favoriser sa survie et sa reproduction dans son environnement spécifique.
En médecine vétérinaire, la compréhension du comportement animal est essentielle pour assurer le bien-être des animaux domestiques et sauvages. Elle peut aider à diagnostiquer et à traiter les problèmes de comportement qui peuvent affecter la santé physique et mentale des animaux, tels que l'anxiété, l'agression, la dépression et les stéréotypies.
Les récepteurs cannabinoïdes sont un type de récepteurs cellulaires dans le corps qui sont activés par des composés appelés cannabinoïdes. Il existe deux types principaux de récepteurs cannabinoïdes : CB1 et CB2. Les récepteurs CB1 sont principalement trouvés dans le cerveau et le système nerveux central, où ils jouent un rôle important dans la régulation des fonctions telles que la mémoire, l'humeur, la douleur, l'appétit et les mouvements. Les récepteurs CB2, en revanche, sont principalement trouvés dans le système immunitaire et peuvent jouer un rôle dans la modulation de l'inflammation et de l'immunité.
Les cannabinoïdes peuvent être naturellement produits dans le corps (endocannabinoïdes), tels que l'anandamide et le 2-AG, ou peuvent être dérivés de plantes (phytocannabinoïdes), comme le THC et le CBD trouvés dans la plante de cannabis. Lorsqu'un cannabinoïde se lie à un récepteur cannabinoïde, il peut déclencher une série de réponses cellulaires qui peuvent affecter diverses fonctions corporelles.
Les récepteurs cannabinoïdes sont devenus un domaine de recherche important dans le domaine médical en raison de leur potentiel thérapeutique pour une variété de conditions, y compris la douleur chronique, l'anxiété, la dépression, les nausées et vomissements induits par la chimiothérapie, et les troubles neurologiques tels que la sclérose en plaques et la maladie de Parkinson. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de cannabinoïdes pour des fins médicales doit être prescrite et supervisée par un professionnel de la santé qualifié en raison du potentiel de effets secondaires et d'interactions médicamenteuses.
Les cannabinoïdes sont des composés chimiques qui interagissent avec le système endocannabinoïde du corps humain. Ce système est impliqué dans une variété de fonctions physiologiques, y compris la douleur, l'humeur, l'appétit, la mémoire et le sommeil.
Il existe deux types principaux de cannabinoïdes :
1. Les endocannabinoïdes : Ce sont des cannabinoïdes produits naturellement par notre corps. Le plus connu est l'anandamide, qui joue un rôle dans la régulation de la douleur et de l'humeur.
2. Les phytocannabinoïdes : Ce sont des cannabinoïdes trouvés dans les plantes de cannabis. Le plus connu est le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC), qui est le principal composé psychoactif du cannabis, responsable de la sensation de "high". Un autre cannabinoïde important est le cannabidiol (CBD), qui n'est pas psychoactif et peut avoir des propriétés médicinales, telles que la réduction de l'anxiété et de l'inflammation.
Les cannabinoïdes peuvent interagir avec les récepteurs CB1 et CB2 du système endocannabinoïde. Les récepteurs CB1 sont principalement situés dans le cerveau et sont responsables des effets psychoactifs du THC. Les récepteurs CB2, en revanche, se trouvent principalement dans le système immunitaire et peuvent être ciblés pour traiter l'inflammation et la douleur.
Les cannabinoïdes sont utilisés à des fins médicales pour traiter une variété de conditions, y compris la douleur chronique, la nausée et les vomissements causés par la chimiothérapie, l'anxiété, l'épilepsie et la sclérose en plaques. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de cannabinoïdes peut avoir des effets secondaires et des risques pour la santé, tels que la dépendance, la somnolence, les vertiges et les problèmes de mémoire et de concentration. Par conséquent, il est important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer à utiliser des cannabinoïdes à des fins médicales.
La mécamylamine est un médicament anticholinergique qui agit en bloquant les récepteurs nicotiniques des neurotransmetteurs acétylcholine dans le système nerveux autonome. Il est utilisé pour traiter la hypertension artérielle sévère et maligne, ainsi que pour prévenir l'hypertension induite par la sympathomimétique indirecte. La mécamylamine peut également être utilisée hors indication pour traiter certains types de douleur neuropathique. Les effets secondaires courants comprennent la sécheresse de la bouche, la constipation, la vision floue et la rétention urinaire. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure des problèmes cardiovasculaires, neurologiques et psychiatriques. La mécamylamine est disponible sous forme de comprimés et doit être prescrite par un médecin. Il est important de suivre les instructions posologiques avec soin pour minimiser le risque d'effets secondaires indésirables.
Les dépresseurs du système nerveux central (SNC) sont des substances qui ralentissent ou inhibent le fonctionnement du système nerveux central. Cela inclut l'ensemble du cerveau et la moelle épinière. Ces médicaments peuvent être prescrits à des fins thérapeutiques pour traiter une variété de conditions, y compris l'anxiété, le sommeil perturbé, les convulsions et l'agitation.
Les dépresseurs du SNC agissent en modulant l'activité des neurotransmetteurs, qui sont des produits chimiques libérés par les neurones (cellules nerveuses) pour communiquer avec d'autres cellules. Plus particulièrement, ils augmentent généralement l'activité de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur qui a un effet calmant et sédatif sur le cerveau.
Cependant, il est important de noter que ces médicaments peuvent avoir des effets secondaires significatifs, tels qu'une somnolence excessive, une confusion, des problèmes de coordination et de la dépression respiratoire. Ils peuvent également interagir dangereusement avec d'autres substances, y compris l'alcool. Par conséquent, ils doivent être utilisés sous la supervision étroite d'un professionnel de la santé.
Les exemples courants de dépresseurs du SNC comprennent les benzodiazépines (comme le diazépam et l'alprazolam), les barbituriques, les opioïdes (comme la morphine et l'hydrocodone), certains antidépresseurs et certains antihistaminiques.
Les troubles liés aux opiacés sont un ensemble de conditions médicales et psychologiques associées à l'utilisation, à l'abus ou à la dépendance aux opiacés. Les opiacés comprennent des substances telles que l'héroïne, la morphine, le fentanyl et les analgésiques sur ordonnance comme l'oxycodone et la codéine.
Selon le Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux (DSM-5), les troubles liés aux opiacés comprennent deux catégories principales : le trouble de usage d'opioïdes et le trouble de dépendance aux opioïdes.
1. Le trouble de usage d'opioïdes se caractérise par un schéma de consommation d'opiacés qui entraîne des problèmes cliniquement significatifs ou une détresse dans les domaines sociaux, professionnels, académiques ou autres importantes zones de fonctionnement. Les critères diagnostiques comprennent l'utilisation continue malgré les conséquences négatives, la négligence des responsabilités et l'incapacité à réduire ou contrôler l'utilisation.
2. Le trouble de dépendance aux opioïdes est un modèle de comportement qui implique une utilisation compulsive continue des opiacés, malgré les conséquences négatives importantes. Les critères diagnostiques peuvent inclure une tolérance accrue, des symptômes de sevrage lors de l'arrêt d'utilisation, un usage excessif en dépit de problèmes physiques ou psychologiques et des efforts infructueux pour arrêter.
Les autres troubles liés aux opiacés peuvent inclure le syndrome de sevrage néonatal, provoqué par l'exposition prénatale aux opiacés, et les complications médicales associées à l'utilisation d'opiacés, telles que les infections, les overdoses et les dommages aux organes.
Les benzodiazépines sont une classe de médicaments psychoactifs qui possèdent des propriétés sédatives, hypnotiques, anxiolytiques, anticonvulsantes et myorelaxantes. Elles agissent en augmentant l'activité du neurotransmetteur inhibiteur gamma-aminobutyrique acide (GABA) dans le cerveau.
Les benzodiazépines sont souvent prescrites pour traiter les troubles anxieux, l'insomnie, les convulsions et les spasmes musculaires. Certaines benzodiazépines peuvent également être utilisées comme médicaments de courte durée pour induire la perte de conscience avant une intervention chirurgicale.
Cependant, les benzodiazépines peuvent entraîner une dépendance physique et psychologique, ainsi que des effets secondaires tels que des étourdissements, une somnolence, une faiblesse musculaire, une altération de la mémoire et de la concentration, et dans de rares cas, des réactions paradoxales telles que l'agitation, l'agressivité ou l'excitation.
Par conséquent, les benzodiazépines doivent être utilisées avec prudence et sous surveillance médicale stricte, en particulier chez les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies respiratoires ou hépatiques, et celles qui ont des antécédents de dépendance aux substances.
Le « Trouble Lié Au Tabagisme » est un terme général utilisé en médecine pour décrire une gamme de problèmes de santé qui sont causés ou exacerbés par la consommation de tabac. Cela peut inclure des maladies cardiovasculaires telles que les maladies coronariennes et l'hypertension, ainsi que des maladies respiratoires telles que la bronchite chronique, l'emphysème et le cancer du poumon.
Le tabagisme est également lié à une augmentation du risque de nombreux autres types de cancer, y compris ceux de la bouche, du pharynx, du larynx, de l'estomac, du foie, du pancréas, des reins et de la vessie. Il peut également aggraver les symptômes de l'asthme et d'autres maladies respiratoires.
Outre ces problèmes physiques, le tabagisme peut aussi entraîner une dépendance à la nicotine, ce qui peut rendre difficile pour les gens d'arrêter de fumer. Cette dépendance peut entraîner des symptômes de sevrage lorsque quelqu'un essaie d'arrêter, tels que l'anxiété, la dépression, l'irritabilité, les troubles du sommeil et une augmentation de l'appétit.
En bref, le « Trouble Lié Au Tabagisme » est un terme médical qui décrit les nombreux effets néfastes sur la santé associés à la consommation de tabac.
Les anxiolytiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter l'anxiété, le stress et les troubles anxieux. Ils agissent en modifiant l'activité des neurotransmetteurs dans le cerveau, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique), qui a un effet calmant et sédatif.
Les anxiolytiques comprennent plusieurs types de médicaments, notamment les benzodiazépines, les azapirones, les buspirone, les antidépresseurs et les bêta-bloquants. Les benzodiazépines sont les anxiolytiques les plus couramment prescrits en raison de leur efficacité rapide et de leurs effets sédatifs.
Cependant, l'utilisation à long terme de benzodiazépines peut entraîner une dépendance physique et psychologique, ainsi que des effets secondaires tels que la somnolence, la confusion, la mémoire et la coordination altérées. Par conséquent, les anxiolytiques doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance d'un professionnel de la santé.
Les anxiolytiques sont souvent prescrits en association avec une thérapie comportementale ou cognitive pour traiter l'anxiété et les troubles anxieux. Il est important de suivre les instructions du médecin concernant la posologie, la durée du traitement et les précautions à prendre lors de la prise d'anxiolytiques.
La nicotine est un alcaloïde présent dans les plantes du genre Nicotiana, principalement le tabac (N. tabacum). Elle est considérée comme la principale substance psychoactive contenue dans le tabac et est responsable de la dépendance à la nicotine associée au tabagisme.
La nicotine agit en se liant aux récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le cerveau, ce qui entraîne une libération d'un certain nombre d'autres neurotransmetteurs, y compris la dopamine, la sérotonine et le norepinephrine. Cela provoque des effets stimulants et relaxants sur le système nerveux central et peut entraîner une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et de la vigilance mentale.
L'exposition à la nicotine peut se produire par ingestion, inhalation ou absorption cutanée. Les effets aigus de l'intoxication à la nicotine peuvent inclure des nausées, des vomissements, une salivation excessive, une faiblesse musculaire et une augmentation du rythme cardiaque. Une exposition chronique à la nicotine peut entraîner une dépendance et une variété de problèmes de santé, y compris une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
Il est important de noter que la nicotine n'est pas considérée comme un médicament ou un complément alimentaire, mais plutôt comme une substance réglementée en raison de ses effets psychoactifs et de son potentiel d'abus.
La naltrexone est un médicament utilisé dans le traitement de la dépendance aux opioïdes et à l'alcool. Il s'agit d'un antagoniste des récepteurs opioïdes, ce qui signifie qu'il se lie aux récepteurs opioïdes dans le cerveau sans activer ces récepteurs, empêchant ainsi les opioïdes illicites ou les médicaments contenant des opioïdes de produire leurs effets euphorisants et analgésiques.
En bloquant l'activation des récepteurs opioïdes, la naltrexone peut aider à prévenir les rechutes chez les personnes en sevrage d'une dépendance aux opioïdes. Elle est également utilisée dans le traitement de la dépendance à l'alcool car elle peut réduire la consommation excessive d'alcool et atténuer les envies irrésistibles de boire.
La naltrexone est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable à longue durée d'action (Vivitrol). Les effets secondaires courants de la naltrexone peuvent inclure des nausées, des maux de tête, des douleurs abdominales, de la fatigue et des troubles du sommeil. Il est important de noter que l'utilisation de la naltrexone peut entraîner un risque accru de syndrome de sevrage aux opioïdes chez les personnes dépendantes aux opioïdes si elles arrêtent soudainement de prendre le médicament.
Les unités de soins intensifs pédiatriques (USIP) sont des services hospitaliers spécialisés dans la prise en charge de nourrissons, enfants et adolescents gravement malades ou blessés, nécessitant une surveillance médicale étroite et un traitement intensif. Ces unités disposent d'un équipement hautement spécialisé et d'une expertise médicale pour assurer des soins critiques aux patients ayant des problèmes de santé potentiellement mortels ou mettant leur vie en danger, tels que des maladies cardiaques, pulmonaires, rénales ou neurologiques graves, des traumatismes importants, des overdoses médicamenteuses, des infections sévères et d'autres affections aiguës.
Les USIP sont généralement équipées de moniteurs cardiaques, de respirateurs, de pompes à perfusion et d'autres équipements permettant une surveillance constante des signes vitaux du patient, ainsi que la possibilité de fournir un soutien vital avancé, tel qu'une ventilation mécanique, une assistance circulatoire ou un traitement de suppléance rénale. Les équipes médicales et infirmières des USIP sont formées pour gérer les situations critiques et travaillent en étroite collaboration pour fournir des soins individualisés et axés sur la famille, en tenant compte des besoins physiques, émotionnels et développementaux uniques des jeunes patients.
Les anticonvulsivants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et contrôler les convulsions ou les crises épileptiques. Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique dans le cerveau, ce qui peut aider à prévenir les saisies.
Les anticonvulsivants sont souvent prescrits pour traiter divers types d'épilepsie, mais ils peuvent également être utilisés hors indication pour traiter d'autres conditions telles que la douleur neuropathique, les troubles bipolaires et certains types de migraines.
Il existe plusieurs anticonvulsivants disponibles sur le marché, chacun ayant des mécanismes d'action et des profils d'effets secondaires uniques. Certains exemples courants incluent la phénytoïne, la carbamazépine, le valproate, le lamotrigine, le topiramate et le gabapentin.
Comme avec tout médicament, les anticonvulsivants peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants comprennent la somnolence, les étourdissements, la nausée, les vomissements et les éruptions cutanées. Dans de rares cas, certains anticonvulsivants peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des dommages hépatiques, des pensées suicidaires ou une diminution de la production de globules blancs.
Il est important de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan de traitement anticonvulsivant le plus approprié et pour surveiller tout effet secondaire potentiel.
Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.
Le syndrome de Down, également connu sous le nom de trisomie 21, est un trouble chromosomique causé par la présence d'une copie supplémentaire du chromosome 21. Normalement, les humains ont deux copies de chaque chromosome, un hérité de chaque parent. Le syndrome de Down se produit lorsqu'un individu a trois copies de ce chromosome, ou une partie de celui-ci, plutôt que deux.
Ce syndrome entraîne des retards de développement et des anomalies physiques caractéristiques. Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre, mais ils peuvent inclure un visage plat avec une petite bouche, des oreilles basses et souvent courbées, des yeux inclinés en haut et en dehors, ainsi que des doigts courts et larges avec une unique pli cutané à la base de chaque doigt. Les personnes atteintes du syndrome de Down ont également tendance à avoir un faible tonus musculaire, des problèmes cardiaques congénitaux et un risque accru de certaines maladies infectieuses.
Le syndrome de Down est la cause la plus fréquente de retard mental et se produit dans environ une naissance sur 700. Il peut être diagnostiqué avant la naissance par des tests prénataux ou après la naissance grâce à un examen physique et à des tests chromosomiques. Actuellement, il n'existe aucun traitement pour guérir le syndrome de Down, mais des interventions éducatives, thérapeutiques et médicales peuvent aider à améliorer les capacités et la qualité de vie des personnes atteintes.
Un récepteur de médicament, dans le contexte de la pharmacologie et de la médecine moléculaire, se réfère à une protéine spécifique ou un complexe de protéines sur la membrane cellulaire ou à l'intérieur de la cellule qui peut se lier à une substance chimique particulière, appelée ligand, qui peut être une hormone, une neurotransmetteur, une toxine ou un médicament. Cette interaction spécifique entre le récepteur et le ligand entraîne une modification de la structure du récepteur, ce qui déclenche une cascade de réactions biochimiques à l'intérieur de la cellule.
Lorsqu'un médicament se lie à son récepteur spécifique, cela peut entraîner une variété d'effets, tels que l'activation ou l'inhibition d'une voie de signalisation intracellulaire, la modification de la perméabilité membranaire, la régulation de l'expression des gènes ou d'autres processus cellulaires.
La compréhension des récepteurs de médicaments et de leur interaction avec les ligands est essentielle pour le développement de nouveaux médicaments et thérapies, ainsi que pour la prédiction des effets secondaires potentiels et des interactions médicamenteuses.
Les analgésiques morphiniques sont une classe de médicaments opioïdes dérivés de l'opium ou synthétisés chimiquement qui ont des propriétés analgésiques puissantes. Ils agissent en se liant aux récepteurs opioïdes dans le cerveau et la moelle épinière pour modifier la perception de la douleur.
Les exemples courants d'analgésiques morphiniques comprennent la morphine, l'hydromorphone, l'oxycodone, l'hydrocodone, le fentanyl et le méthadone. Ces médicaments sont souvent utilisés pour traiter les douleurs aiguës sévères, telles que celles associées à une chirurgie ou à un traumatisme, ainsi que la douleur chronique sévère due au cancer ou à d'autres conditions.
Cependant, les analgésiques morphiniques peuvent également entraîner des effets secondaires graves, tels que la somnolence, la constipation, les nausées, les vomissements, l'étourdissement et la respiration superficielle. Ils ont également un potentiel élevé d'abus et de dépendance, ce qui peut entraîner des conséquences graves pour la santé physique et mentale. Par conséquent, leur utilisation doit être étroitement surveillée et contrôlée par des professionnels de la santé qualifiés.
Le Syndrome Métabolique X est un terme proposé pour décrire une association de facteurs de risque cardiovasculaires et métaboliques qui vont au-delà du syndrome métabolique traditionnel. Il comprend généralement le syndrome métabolique (résistance à l'insuline, obésité abdominale, dyslipidémie et hypertension), mais il est également caractérisé par une inflammation de bas grade, une coagulation sanguine accrue, une activation du système nerveux sympathique et des perturbations du métabolisme osseux. Ce syndrome est associé à un risque élevé de développer des maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2. Cependant, il convient de noter que la reconnaissance et la définition du Syndrome Métabolique X ne sont pas encore largement acceptées ou standardisées dans la communauté médicale.
La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.
Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.
Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.
La relation dose-effet des médicaments est un principe fondamental en pharmacologie qui décrit la corrélation entre la dose d'un médicament donnée et l'intensité de sa réponse biologique ou clinique. Cette relation peut être monotone, croissante ou décroissante, selon que l'effet du médicament s'accroît, se maintient ou diminue avec l'augmentation de la dose.
Dans une relation dose-effet typique, l'ampleur de l'effet du médicament s'accroît à mesure que la dose administrée s'élève, jusqu'à atteindre un plateau où des augmentations supplémentaires de la dose ne produisent plus d'augmentation de l'effet. Cependant, dans certains cas, une augmentation de la dose peut entraîner une diminution de l'efficacité du médicament, ce qui est connu sous le nom d'effet de biphasique ou en forme de U inversé.
La relation dose-effet est un concept crucial pour déterminer la posologie optimale des médicaments, c'est-à-dire la dose minimale efficace qui produit l'effet thérapeutique souhaité avec un risque d'effets indésirables minimal. Une compréhension approfondie de cette relation permet aux professionnels de la santé de personnaliser les traitements médicamenteux en fonction des caractéristiques individuelles des patients, telles que leur poids corporel, leur âge, leurs comorbidités et leur fonction hépatique ou rénale.
Il est important de noter que la relation dose-effet peut varier considérablement d'un médicament à l'autre et même entre les individus pour un même médicament. Par conséquent, il est essentiel de tenir compte des facteurs susceptibles d'influencer cette relation lors de la prescription et de l'administration des médicaments.
Le Rat Wistar est une souche de rat albinos largement utilisée dans la recherche biomédicale. Originaire de l'Institut Wistar à Philadelphie, aux États-Unis, ce type de rat est considéré comme un animal modèle important en raison de sa taille moyenne, de son taux de reproduction élevé et de sa sensibilité relative à diverses manipulations expérimentales. Les rats Wistar sont souvent utilisés dans des études concernant la toxicologie, la pharmacologie, la nutrition, l'oncologie, et d'autres domaines de la recherche biomédicale. Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Wistar ont des limites et ne peuvent pas toujours prédire avec précision les réponses humaines aux mêmes stimuli ou traitements.
L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.
Le syndrome néphrotique est un trouble rénal caractérisé par une combinaison de symptômes et de signes résultant d'une altération de la barrière de filtration glomérulaire. Il se traduit principalement par une protéinurie sévère (perte excessive de protéines dans les urines, généralement supérieure à 3,5 g par jour), une hypoalbuminémie sévère (diminution du taux d'albumine dans le sang) et une hyperlipidémie (augmentation des lipides sanguins).
Ce syndrome peut entraîner un œdème, qui est une accumulation de liquide dans les tissus corporels, en particulier au niveau des membres inférieurs et du visage. Il peut également conduire à une susceptibilité accrue aux infections, en raison de la baisse des niveaux d'immunoglobulines dans le sang.
Le syndrome néphrotique peut être primitif (idiopathique), ce qui signifie qu'il est la conséquence directe d'une maladie rénale sous-jacente, ou secondaire, lorsqu'il est associé à une autre pathologie systémique, comme le diabète sucré, l'amylose, les vascularites, ou certaines infections.
Les causes primitives du syndrome néphrotique sont souvent liées à des lésions glomérulaires spécifiques, telles que la néphrose lipoïde (associée à une atteinte des podocytes) ou la glomérulosclérose segmentaire et focale. Le diagnostic repose sur l'analyse de l'urine, du sang et parfois sur une biopsie rénale pour identifier la cause sous-jacente et adapter le traitement.
Le dépistage néonatal est un processus systématique de détection précoce, à grande échelle et généralisée, de certaines conditions médicales congénitales ou acquises à la naissance chez les nouveau-nés. Il est réalisé en prenant des échantillons de sang, d'urine ou d'autres tissus peu après la naissance, puis en analysant ces échantillons à l'aide de divers tests de laboratoire.
Le dépistage néonatal vise à identifier rapidement les nouveau-nés qui présentent un risque accru de développer des problèmes de santé graves et potentiellement évitables, tels que les troubles métaboliques héréditaires, les maladies du sang, les déficits hormonaux et d'autres affections congénitales. Une détection précoce permet une intervention thérapeutique rapide, ce qui peut améliorer considérablement les résultats pour la santé des nourrissons concernés, réduire la morbidité et la mortalité, et améliorer leur qualité de vie globale.
Les programmes de dépistage néonatal sont généralement mis en œuvre par les autorités sanitaires publiques ou les établissements de santé, et ils sont recommandés dans de nombreux pays développés pour tous les nouveau-nés à moins que des contre-indications médicales ne soient présentes. Les conditions ciblées par le dépistage néonatal peuvent varier selon les pays et les régions en fonction des ressources disponibles, des priorités de santé publique et des prévalences locales des différentes affections.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est un trouble auto-immun caractérisé par une sécheresse excessive des yeux et de la bouche due à une inflammation des glandes lacrymales et salivaires. Ce syndrome peut également affecter d'autres glandes et tissus du corps, entraînant une variété de symptômes.
Les symptômes oculaires typiques comprennent une sensation de brûlure, de picotement ou de sable dans les yeux, une rougeur des yeux et une sensibilité accrue à la lumière. Les symptômes buccaux peuvent inclure une sécheresse extrême de la bouche et de la langue, une sensation de brûlure ou de gonflement de la langue, une difficulté à avaler et à mâcher des aliments secs, et une augmentation de la carie dentaire.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren peut également affecter d'autres organes du corps, entraînant des symptômes tels que la fatigue, les douleurs articulaires, les éruptions cutanées, les problèmes pulmonaires et rénaux. Dans de rares cas, il peut également causer des complications neurologiques.
La cause exacte du syndrome de Gougerot-Sjögren est inconnue, mais on pense qu'il est dû à une réaction anormale du système immunitaire qui attaque et endommage les glandes productrices de liquides dans le corps. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen physique et de tests de laboratoire spécifiques.
Le traitement du syndrome de Gougerot-Sjögren vise à soulager les symptômes et peut inclure des substituts artificiels de larmes et de salive, des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs et des analgésiques. Dans certains cas, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale peuvent être recommandées pour traiter les complications du syndrome de Gougerot-Sjögren.
La stomatodynie est un terme médical qui décrit une douleur ou une gêne dans la cavité buccale, y compris les lèvres, la langue, le palais, les gencives et les muqueuses. Cette condition peut être localisée ou généralisée, et elle peut varier en intensité, allant de légère à sévère. Les symptômes courants associés à la stomatodynie comprennent des brûlures, des picotements, des démangeaisons, des sensations de coupure ou d'écorchure dans la bouche.
La cause exacte de la stomatodynie est souvent difficile à déterminer et peut être multifactorielle. Parmi les facteurs couramment associés à cette condition, on trouve les affections buccales telles que la stomatite aphteuse, l'herpès simplex, le lichen plan ou la candidose; les réactions allergiques aux aliments, aux boissons ou aux produits dentaires; les déséquilibres hormonaux; le stress et l'anxiété; et certaines maladies systémiques telles que le diabète, les maladies auto-immunes ou les neuropathies périphériques.
Le traitement de la stomatodynie dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, l'identification et l'élimination du facteur déclenchant peuvent suffire à soulager les symptômes. Des médicaments tels que des analgésiques, des anesthésiques topiques, des corticoïdes ou des antifongiques peuvent être prescrits pour traiter les affections buccales sous-jacentes et réduire la douleur et l'inconfort. Il est également important de maintenir une bonne hygiène bucco-dentaire, d'éviter les irritants potentiels et de gérer le stress pour prévenir ou atténuer les symptômes de stomatodynie.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Syndrome prolongé de sevrage
Syndrome de sevrage alcoolique
Syndrome de sevrage aux benzodiazépines
Akathisie
Sevrage (toxicologie)
Cannabis (usage récréatif)
Oxycodone
Sertraline
Syndrome cannabinoïde
Naloxégol
Amphétamine
Médicament psychotrope
Héroïne
Nalméfène
Acouphène
Dépression (psychiatrie)
Psychotrope
Doxépine
Buprénorphine
Clorazépate
Témazépam
Exposition prénatale à l'alcool
Tianeptine
Oxazépam
Péthidine
Élixir parégorique
Addiction
Circoviridae
Syndrome confusionnel (délirium)
Syndrome de descente
Syndrome prolongé de sevrage - Wikipedia
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ZIPEPROL DICHLORHYDRATE - biam2
MARIJUANA, GANJA, 'H' ou HASCHICH, WEED : dangers du cannabis - Dermatologue en téléconsultation
Quizz - Pharmacorama
benzo.org.uk : Benzodiaz pines: Le squelette dans le placard, C.H. Ashton, le 23 avril 2004
Buvidal 16 mg, solution injectable à libération prolongée, boîte
La Lettre du Rhumatologue / N° 443 - juin 2018
Les dossiers de l'allaitement
Sevrage hashish - Drogues Info Service
Alcool : comment aider un proche à s'en sortir ? - AlloDocteurs
Notice patient
alcoolisme - CISMeF
Tabagisme [SMR](Archive)
Alcoolique6
- Le syndrome de sevrage alcoolique évolue généralement spontanément vers la guérison. (prescrire.org)
- Les divers protocoles de sevrage alcoolique débutent par un temps d'écoute et d'explications. (prescrire.org)
- Informer, déculpabiliser, rassurer et conseiller sont des mesures susceptibles de limiter l'apparition d'un syndrome de sevrage alcoolique. (prescrire.org)
- Repérer les patients à risque de syndrome de sevrage alcoolique sévère permet d'adapter les mesures préventives : mettre en œuvre une surveillance renforcée du patient, parfois une benzodiazépine par voie orale, voire sevrage en hospitalisation dans un service spécialisé. (prescrire.org)
- Intoxication et sevrage alcoolique L'alcool (éthanol) est un dépresseur du système nerveux central. (merckmanuals.com)
- En ce qui concerne l'alcool il est nécessaire de savoir que le syndrome d' alcoolisation foetale c'est-à-dire d'intoxication alcoolique du foetus est la première cause de retard mental en dehors bien entendu des pathologies génétiques. (vulgaris-medical.com)
Traitement4
- Concernant les symptômes pendant le sevrage (causé par l'arrêt ou la baisse du traitement), il est possible d'apprendre à distinguer les symptômes causés par le sevrage : si lors de la diminution du traitement des symptômes apparaissent, mais que le rétablissement ou l'augmentation de la dose de traitement (auparavant diminué ou arrêté) enlève rapidement les symptômes apparus, alors on pourra penser que les symptômes sont dus au traitement et donc iatrogènes. (wikipedia.org)
- PRAMIPEXOLE BIOGARAN est indiqué chez les adultes pour le traitement symptomatique du syndrome idiopathique des jambes sans repos modéré à sévère à des doses allant jusqu'à 0,54 mg de la forme base (0,75 mg de la forme sel) (voir rubrique Posologie et mode d'administration . (santemagazine.fr)
- L'arrêt brutal d'un traitement dopaminergique peut entraîner un syndrome malin des neuroleptiques ou un syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques. (santemagazine.fr)
- Afin d'éviter de précipiter l'apparition d'un syndrome de sevrage, le traitement par Buvidal doit être instauré dès que des signes objectifs et manifestes de sevrage sont présents (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ). (lefigaro.fr)
D'un syndrome2
- La survenue d'un syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques peut néanmoins se produire malgré la diminution progressive, et une augmentation temporaire de la dose peut s'avérer nécessaire avant de réduire à nouveau progressivement la dose (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi ). (santemagazine.fr)
- Cette étude pharmaco-épidémiologique mesure le risque de survenue d'un syndrome de Guillain-Barré associé aux différents vaccins contre le Covid-19. (ameli.fr)
Tabagique7
- Je vous présenterai ma façon de procéder dans la plupart des cas de demande de sevrage tabagique tellement j'aime cette méthode. (hypnose-ericksonienne.org)
- A cette occasion, la Dr Alexia Rouland, endocrinologue, (CHU Dijon Bourgogne) a listé les nombreux bénéfices du sevrage tabagique chez le patient diabétique en dépit du risque de déséquilibre glycémique - « modeste et temporaire » [ 2 ] . (medscape.com)
- Ainsi, en 2019, les guidelines de l' European Association for the Study of Diabetes (EASD) et de l 'European Society of Cardiology (ESC) mentionnaient que « le sevrage tabagique est obligatoire chez tout sujet prédiabétique et diabétique » (classe I, niveau A) [ 3 ] . (medscape.com)
- L'objectif est de fournir aux professionnels de santé des arguments convaincants et étayés en faveur du sevrage tabagique chez leurs patients diabétiques de types 1 et 2. (medscape.com)
- Le sevrage tabagique a aussi un réel bénéfice sur les surrisques macro-microangiopathiques. (medscape.com)
- Une publication a estimé sa prévalence après un an de suivi du programme de sevrage tabagique à 10,9 % chez les anciens fumeurs et à 15 % chez ceux ayant continué à fumer [ 10 ] . (medscape.com)
- individuel, ou le recours à un groupe de sevrage tabagique exclusivement féminin. (who.int)
L'alcool1
- La maladie d'alcoholisation du foetus porte le nom de syndrome-d'alcoolisation foetale qui se caractérise par un ensemble de troubles dus à une exposition prénatale à l'alcool. (vulgaris-medical.com)
Malin des neuroleptiques1
- Dans la forme la plus sévère, le syndrome dit " sérotoninergique " peut ressembler au Syndrome Malin des Neuroleptiques (SMN). (journaldesfemmes.fr)
Survenue1
- Une partie seulement des patients alcoolodépendants ont une dépendance physique et sont exposés à un risque de survenue de syndrome de sevrage à l'arrêt de leur consommation. (prescrire.org)
Tabac2
- Les symptômes de sevrage de la nicotine peuvent constituer un obstacle important à l'arrêt du tabac. (msdmanuals.com)
- Précédemment, une étude avait déjà mis en évidence une réduction du risque du fait de l'arrêt du tabac mais en lien avec la durée du sevrage : les patients ayant arrêté de fumer depuis moins de 10 ans avaient un risque de mortalité toutes causes encore légèrement augmenté, d'autant plus élevé qu'ils avaient fumé pendant 20 ans ou plus [ 5 ] . (medscape.com)
Neonatal1
- Gaillard MC et Borruat FX, « New finding: transitory horizontal pendular nystagmus secondary to neonatal abstinence syndrome », Klin Monatsbl Augenheilkd, vol. 219, no 4, avril 2002, p. 317-319. (wikipedia.org)
Risque de syndrome3
- Repérer les patients à risque de syndrome de sevrage sévère permet d'adapter les mesures préventives. (prescrire.org)
- L'objectif de cette étude était de quantifier, parmi l'ensemble des personnes de 12 ans et plus en France, le risque de syndrome de Guillain-Barré associé à l'administration des quatre principaux vaccins contre le Covid-19. (ameli.fr)
- Une augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré a été observée au cours des 42 jours suivant la première dose de vaccin Vaxzevria (risque 2,5 fois plus élevé) et la dose unique de Jcovden (risque 2,4 fois plus élevé) comparé aux périodes précédant ou suivant ces 42 jours. (ameli.fr)
D'une2
- L'arrêt de la prise quotidienne d'une substance s'effectue en deux temps : la période de sevrage, la période de post-sevrage. (wikipedia.org)
- FRANÇAIS : L'existence d'une dépendance aux thymoanaleptiques est difficile à démontrer, car la reprise évolutive de la maladie sous-jacente peut être interprétée comme les manifestations d'un phénomène de sevrage. (ofdt.fr)
D'explications1
- La proposition du sevrage doit s'accompagner d'explications sur les bénéfices que le patient pourra en tirer, vis-à-vis de la mortalité toutes causes, des complications macro et microangiopathiques. (medscape.com)
D'alcool3
- Chez les patients alcoolodépendants, l'arrêt ou la forte réduction de la consommation d'alcool provoque parfois un syndrome de sevrage. (prescrire.org)
- Un arrêt brusque ou une forte réduction de la consommation d'alcool provoque parfois un syndrome de sevrage, de gravité variable. (prescrire.org)
- Après le sevrage, un soutien psychologique et social aide les patients à maintenir l'abstinence ou une consommation contrôlée d'alcool en faible quantité. (prescrire.org)
Effets2
- Amphétamines Les amphétamines sont des médicaments sympathomimétiques stimulant le système nerveux central et qui ont des propriétés euphorisantes dont les effets indésirables comprennent un syndrome confusionnel. (merckmanuals.com)
- Maintenant que les effets secondaires sont reconnus, je vais vous citer les tout derniers faits de cette histoire, et vous sugg rer certains moyens disponibles incluant la gestion du sevrage chez les patients long terme. (benzo.org.uk)
Vomissements1
- contre les nausées et les vomissements causés par la chimiothérapie, ou pour traiter l'anorexie et la perte de poids chez des sujets ayant un syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). (dermatonet.com)
Nourrisson1
- Le tabagisme maternel et l'exposition au tabagisme passif au cours de la grossesse augmentent le risque de fausse couche, d'accouchement avant terme, de mortinatalité, de faible poids de naissance, de baisse de la production de lait maternel et de décès néonatal (syndrome de mort subite du nourrisson). (who.int)
Tabagisme2
- Mais au-delà de 10 ans de sevrage, le surrisque de mortalité toutes causes n'était plus significatif, dans aucun des groupes (durée du tabagisme, quantité de cigarettes/jour). (medscape.com)
- Le tabagisme altère la fonction pulmonaire et affaiblit le système immunitaire, compromettant ainsi l r ction d l'org nism face aux virus, tels que celui responsable du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-COV2)4. (who.int)
D'information1
- C'est r ellement malheureux que le m decin en chef ne leur ait donn que tr s peu d'information sur la gestion du sevrage des benzodiaz pines. (benzo.org.uk)
Maladie1
- Le syndrome de Guillain-Barré est une maladie auto-immune rare dans laquelle le système immunitaire attaque les nerfs périphériques, ce qui peut entraîner des douleurs, un engourdissement, une faiblesse musculaire ou des difficultés à marcher. (ameli.fr)
Parfois1
- En effet, comme nous l'avons vu le sevrage est parfois une étape difficile à passer. (drogues-info-service.fr)
D'alcoolisme1
- Une malformation du visage, un retard mental et un retard de croissance sont les principaux symptômes de ce syndrome d'alcoolisme fetal. (vulgaris-medical.com)
Souvent1
- Le syndrome de Guillain-Barré est souvent déclenché par une infection, dont le Covid-19, ou plus rarement par la vaccination ou après une intervention chirurgicale. (ameli.fr)
Ensemble1
- Les résultats pris dans leur ensemble ne fournissent pas d'argument tangible en faveur d'un risque augmenté de syndrome de Guillain-Barré dans les 42 jours suivant l'administration des vaccins à ARN messager, qu'ils soient utilisés en primo-vaccination ou en rappel. (ameli.fr)
Passe2
- Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
- Mon sevrage se passe normalement j'ai l'impression même que c'est facile et c'est ce qui m'inquiète. (drogues-info-service.fr)
TABAGIQUE5
- Je vous présenterai ma façon de procéder dans la plupart des cas de demande de sevrage tabagique tellement j'aime cette méthode. (hypnose-ericksonienne.org)
- Espace Addictions : L'injonction de sevrage tabagique. (hypnose-ericksonienne.org)
- La majorité des patients adressés dans le cadre d'une injonction de sevrage tabagique péri-opératoire a atteint la quarantaine et peut se reconnaître sous le terme de « hardcore smokers » : des patients avec une dépendance physique forte. (hypnose-ericksonienne.org)
- Ce médicament est indiqué dans le traitement de la dépendance tabagique afin de soulager les symptômes du sevrage nicotinique chez les sujets désireux d'arrêter leur consommation de tabac. (lefigaro.fr)
- La nouvelle politique établissement sans tabac devait être élaborée et mise en œuvre dans un délai très bref, nécessitant pour ce faire une planification minutieuse et le soutien des patients et de l'ensemble des personnels de CH. L'une des composantes fondamentales de cette nouvelle politique était la prévention du syndrome de sevrage tabagique chez les fumeurs contraints à l'abstinence. (cdc.gov)
Risque6
- France-- L'analyse de la base de données de pharmacovigilance de l'OMS montre que les antidépresseurs à courte demi-vie exposent les patients à un risque plus élevé de syndrome de sevrage que ceux à demi-vie longue, selon une recherche française [ 1 ] . (medscape.com)
- Un arrêt brutal, accidentel ou non (oubli, hospitalisation, etc.), expose tout consommateur chronique de BZD à un syndrome de sevrage, un risque de rebond, ou à une rechute. (gouv.fr)
- Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement en raison du risque d'apparition de symptômes de sevrage sauf urgence liée à un surdosage ou à la survenue d'effets indésirables graves (voir rubrique Effets indésirables ). (santemagazine.fr)
- Enfin, l'usage de la suce a été associé dans plusieurs études à une réduction du risque de souffrir du syndrome de mort subite du nourrisson. (familiprix.com)
- Plusieurs spécialistes s'entendent à dire que la suce augmente le risque de sevrage prématuré des enfants allaités, d'otites et de problèmes dentaires. (familiprix.com)
- Comme cela a été dit, les conditions qui, ensemble, constituent ce syndrome, augmentent le risque pour une personne de développer des maladies cardiaques, du diabète ou même un accident vasculaire cérébral. (lemediateaseur.fr)
Signes4
- Ce sevrage s'impose chaque fois qu'il y a alcoolodépendance, qu'elle s'exprime ou non par des signes physiques. (has-sante.fr)
- Chez les patients dépendants à l'héroïne ou aux opioïdes à courte durée d'action, la première dose de buprénorphine doit être prise lors de l'apparition des premiers signes de sevrage mais doit intervenir au moins 6 heures après la dernière prise d'opioïdes. (lefigaro.fr)
- La première dose de buprénorphine ne doit être prise que lorsque les premiers signes de sevrage apparaissent et généralement pas moins de 24 heures après la dernière prise de méthadone. (lefigaro.fr)
- On décrit, aux deux extrêmes du syndrome, des signes mineurs de sevrage et des accidents graves compliquant le sevrage lui-même, comme le delirium tremens ou les crises convulsives. (medscape.com)
L'alcool4
- le La détox prend du temps avec l'alcoolisme habituellement de sept à 14 jours et constitue la base du sevrage de la dépendance à l'alcool. (supportivy.com)
- Le désintoxication est le sevrage physique médicalement accompagné de l'alcool. (supportivy.com)
- On priorise selon la toxicité des substances sur le bébé… » Un sevrage brutal d'opiacés pendant la grossesse peut provoquer une fausse couche, la cocaïne peut entraîner la mort du fœtus in utero, l'alcool est tératogène (agents qui provoquent des défauts physiques et/ou psychiques sur le fœtus) et responsable de troubles neuropsychiques, les traitements de substitution sont compatibles avec une grossesse et même avec l'allaitement maternel. (chu-lyon.fr)
- Les tremblements font partir du syndrome de sevrage à l'alcool. (alcool-info-service.fr)
Effets du sevrage1
- Examiner les effets du sevrage est un bon indicateur pour voir s'il existe ou non dépendance physiologique à une substance. (stop-cannabis.net)
Consommation3
- 1 consommateur sur 3 de benzodiazépine au long cours, développe un syndrome de sevrage dont l'intensité dépend de la durée de consommation. (journaldesfemmes.fr)
- En cas de sevrage, le traitement par BACLOCUR sera débuté dans les 2 semaines qui suivent l'arrêt de la consommation d'alcool. (santemagazine.fr)
- Huit à 15 % des patients admis aux urgences pour troubles liés à la consommation d'alcool présenteraient des syndromes de sevrage éthylique. (medscape.com)
C'est-à-dir1
- Nombre de consommateurs en démarche d'arrêt ou de réduction de produits peuvent effectivement être confrontés à un « syndrome de sevrage », c'est-à-dire à un ensemble de symptômes plus ou moins difficiles à traverser. (drogues-info-service.fr)
N'est3
- Le diagnostic du syndrome de sevrage n'est pas toujours facile à porter car les manifestations observées peuvent ressembler à celles qui sont à l'origine de la prescription, provoquant ainsi des erreurs de diagnostic et poussant les patients à reprendre leur traitement. (journaldesfemmes.fr)
- Chez le patient âgé, lorsque l'arrêt n'est pas progressif et suivi, le syndrome de sevrage est sous-diagnostiqué, car les symptômes sont mis sur le compte de l'âge ou d'autres maladies associées. (gouv.fr)
- Pour eux, un tel syndrome n'est pas clairement identifiable et on ne peut donc pas diagnostiquer. (stop-cannabis.net)
Physiques2
- Les symptômes physiques de sevrage sont généralement surmontés après 7 jours. (supportivy.com)
- L'utilisation du score franco-français de Cushman permet de repérer les aspects physiques et somatiques du sevrage, moins les éléments psycho-comportementaux. (medscape.com)
Diagnostic2
- Le diagnostic de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes apparait associé à une moindre attention. (santelog.com)
- Le syndrome de sevrage du cannabis, lui, n'y figure pas, pour cause de manque de critères pour en établir le diagnostic. (stop-cannabis.net)
Rarement1
- Interrompre un traitement de benzodiazépine et ceci quelque soit la durée et la posologie normale peut provoquer un syndrome de sevrage qui s'observe rarement pour une durée de 4 semaines aux doses habituellement conseillées. (journaldesfemmes.fr)
Sevrages1
- Les syndromes de sevrages alcooliques sont les syndromes de sevrages les plus pourvoyeurs de troubles du comportement dans les services d'urgences ou UHCD. (medscape.com)
TABAC1
- Les symptômes de sevrage sont un obstacle majeur à l'arrêt du tabac. (msdmanuals.com)
Doses2
- Certains nouveau-nés ayant reçu des doses d'opiacés in utéro naissent alors avec de forts symptômes, causés par un syndrome de sevrage. (patrinum.ch)
- Excrétion lactée de l'aspirine prise à faibles doses suivi de allaitement et syndrome de sevrage. (lllfrance.org)
Rechute1
- Un arrêt progressif du traitement est nécessaire pour éviter un syndrome de sevrage, un effet rebond ou une rechute. (gouv.fr)
Manifestations4
- Les chercheurs l'ont exploitée en identifiant toutes les manifestations de sevrage parmi les notifications émises entre 1988 et 2020 concernant des traitements par antidépresseurs - inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), antidépresseurs tricycliques (ATC) - chez des sujets de 6 ans ou plus. (medscape.com)
- Les manifestations du sevrage disparaissent en général en 2 à 6 semaines, mais il peut parfois se prolonger sur plus de 6 mois avec des fluctuations d'intensité. (journaldesfemmes.fr)
- Le syndrome de sevrage associe de façon variable plusieurs types de manifestations. (has-sante.fr)
- Le syndrome de sevrage néonatal (SSN) est l'ensemble des manifestations cliniques expérimentées par les nouveau-nés qui ont été exposés aux opiacés in utero. (lllfrance.org)
Traitement du syndrome1
- En l'absence d'étude bien menée, le cannabis ne peut pas être recommandé dans le traitement du syndrome de l'intestin irritable », a indiqué le Dr Coffin. (medscape.com)
Prise1
- L'arrêt de la prise quotidienne d'une substance s'effectue en deux temps : la période de sevrage, la période de post-sevrage. (wikipedia.org)
Medscape2
- Cet article a été initialement publié sur Univadis.fr , membre du réseau Medscape. (medscape.com)
- Citer cet article: Troubles du comportement liés au sevrage : savoir les reconnaître - Medscape - 4 sept 2012. (medscape.com)
Addictions1
- Il faudrait donc la fois traiter l'humeur (la maintenir pour casser le cycle manie-d pression, typique des troubles bip laires) et l'alcoolisme et toutes les addictions (d sintoxication, sevrage etc. (futura-sciences.com)
Posologie1
- La sévérité et la durée du syndrome de sevrage varient en fonction du patient, du type de BZD et de la vitesse de décroissance de la posologie. (gouv.fr)
Heures1
- La plupart des patients ressentent le plus fort après environ 24 heures Les symptômes de sevrage et avoir ça au bout de 2 à 3 jours Pire derrière. (supportivy.com)
Diminution1
- Concernant les symptômes pendant le sevrage (causé par l'arrêt ou la baisse du traitement), il est possible d'apprendre à distinguer les symptômes causés par le sevrage : si lors de la diminution du traitement des symptômes apparaissent, mais que le rétablissement ou l'augmentation de la dose de traitement (auparavant diminué ou arrêté) enlève rapidement les symptômes apparus, alors on pourra penser que les symptômes sont dus au traitement et donc iatrogènes. (wikipedia.org)
Neonatal abstinen1
- Gaillard MC et Borruat FX, « New finding: transitory horizontal pendular nystagmus secondary to neonatal abstinence syndrome », Klin Monatsbl Augenheilkd, vol. 219, no 4, avril 2002, p. 317-319. (wikipedia.org)
Physique1
- Il faut généralement quelques jours à une semaine pour que le sevrage physique se termine. (supportivy.com)
Facteurs1
- Il est évident de comprendre que le simple fait d'avoir l'un de ces facteurs ne suffit pas pour dire qu'une personne souffre du syndrome métabolique. (lemediateaseur.fr)
SANTE1
- Ce document intitulé « Syndrome de sevrage - Benzodiazépines » issu de Journal des Femmes (sante-medecine.journaldesfemmes.fr) est soumis au droit d'auteur. (journaldesfemmes.fr)
Tremblements1
- 11 études menées auprès d'enfants atteints du syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes, diagnostiqué 3 à 4 jours après la naissance révèlent des symptômes tels que des problèmes d'alimentation, des tremblements et des cris aigus. (santelog.com)
Chercheurs1
- Les chercheurs concluent que le syndrome de sevrage peut être géré à travers des soins de support et que les risques et bénéfices doivent être soigneusement considérés pour le traitement des femmes enceintes. (psychomedia.qc.ca)
Sueurs1
- L'anxiété, l'irritabilité, les cauchemars, des sueurs, des palpitations font également partie de ce syndrome, qui dure généralement entre deux à cinq jours. (alcool-info-service.fr)
Respiratoire1
- Le tabagisme altère la fonction pulmonaire et affaiblit le système immunitaire, compromettant ainsi l r ction d l'org nism face aux virus, tels que celui responsable du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-COV2)4. (who.int)
Sujets2
- Au total, 15 507 notifications de syndrome de sevrage ont été enregistrées, qui concernaient surtout des femmes et des sujets de 18-44 ans. (medscape.com)
- les sujets alcoolodépendants doivent bénéficier d'une proposition de sevrage thérapeutique. (has-sante.fr)
Exemple2
- Les symptômes de sevrage (par exemple agitation psychomotrice, irritabilité, anxiété) le résultat. (supportivy.com)
- Dans le cas du syndrome de l'intestin irritable (SII) , par exemple, une petite étude a été conduite avec 75 patients atteints de ce trouble, randomisés pour recevoir une dose unique de dronabinol ou un placebo [ 2 ] . (medscape.com)
Qu'il1
- Derni re question : j'ai lu galement qu'il y a une part de transmission g n tique de ce syndrome. (futura-sciences.com)
Cannabis1
- Syndrome de sevrage du cannabis: mythe ou réalité? (stop-cannabis.net)
Sous traitement1
- Le syndrome est résolutif, spontanément ou sous traitement, en 2 à 5 jours. (has-sante.fr)
Enfants1
- Le lien avec le sevrage prématuré pour les enfants nourris au sein demeure incertain. (familiprix.com)