Syndrome De Wolff-Parkinson-White
Accessory Atrioventricular Bundle
Syndromes De Préexcitation Ventriculaire
Système De Conduction Du Coeur
Electrocardiography
Ablation Percutanée
Tachycardie
Faisceau Atrioventriculaire
Noeud Atrioventriculaire
Tachycardie Supraventriculaire
Techniques
Vectocardiographie
Tachycardie Par Réentrée Nodale Sinoauriculaire
Disopyramide
Fibrillation Auriculaire
Période Réfractaire En
Amiodarone
Tachycardie Par Réentrée Nodale Auriculoventriculaire
Aprindine
Extrasystoles
Bloc Cardiaque
Electrocoagulation
Antiarythmiques
Tachycardia, Reciprocating
Electrophysiology
Syncope
Bloc De Branche
Chromosomes Humains De La Paire 17
Fibrillation Ventriculaire
Cardiac Catheterization
Arrhythmias, Cardiac
AMP-Activated Protein Kinases
Ventricules Cardiaques
Complexes Multienzyme
Le syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) est un trouble cardiaque congénital caractérisé par la présence d'un faisceau accessoire de fibres musculaires conductrices entre les oreillettes et les ventricules du cœur. Normalement, l'impulsion électrique se propage du nœud sinusal (pacemaker naturel du cœur) aux ventricules via le nœud auriculo-ventriculaire et le faisceau de His. Dans le syndrome de WPW, les fibres musculaires supplémentaires permettent à l'impulsion électrique de contourner le nœud auriculo-ventriculaire, entraînant une conduction plus rapide des oreillettes vers les ventricules.
Ce trouble est souvent découvert à la suite d'un examen électrocardiographique (ECG) de routine, car il présente des caractéristiques ECG uniques telles que l'onde delta et une durée de préexcitation courte. Les personnes atteintes du syndrome de WPW peuvent ne présenter aucun symptôme ou ressentir des palpitations, des étourdissements, des évanouissements ou même des crises cardiaques dans les cas graves. Le traitement dépend des symptômes et peut inclure des médicaments, une ablation par cathéter pour enlever le faisceau accessoire ou, dans de rares cas, une intervention chirurgicale.
L'accessoire faisceau atrioventriculaire (AAVB) est une connexion électrique supplémentaire entre les oreillettes et les ventricules du cœur, en plus du faisceau de His normal. Ces faisceaux accessoires peuvent conduire les impulsions cardiaques à des vitesses différentes que le faisceau de His, entraînant une variété de troubles du rythme cardiaque connus sous le nom de syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) lorsqu'ils sont associés à une forme régulière de tachycardie. Les AAVB peuvent être découverts de manière incidente sur un électrocardiogramme ou peuvent être symptomatiques, entraînant des palpitations, des étourdissements, une douleur thoracique ou une syncope. Le traitement peut inclure des médicaments antiarythmiques ou une ablation par cathéter pour détruire le tissu conducteur anormal.
Les syndromes de préexcitation ventriculaire sont des conditions cardiaques caractérisées par la présence d'une voie accessoire conductrice entre la auricule et le ventricule, permettant une activation prématurée du ventricule. Cela se traduit électrocardiographiquement par un segment ST courbé vers le haut (segment de préexcitation) et un QRS élargi avec une onde delta visible.
Le syndrome de Wolff-Parkinson-White est l'exemple le plus connu de ce type de condition. D'autres syndromes de préexcitation comprennent le syndrome de Lown-Ganong-Levine et le syndrome de Mahaim. Ces conditions peuvent entraîner des arythmies ventriculaires et supraventriculaires, telles que la fibrillation auriculaire et la tachycardie auriculo-ventriculaire. Le traitement peut inclure des médicaments antiarythmiques, l'ablation par cathéter de la voie accessoire conductrice ou, dans certains cas, un défibrillateur cardioverter implantable.
Le système de conduction du cœur est un réseau complexe de cellules spécialisées qui génèrent et transmettent les impulsions électriques dans le muscle cardiaque pour coordonner les contractions des cavités cardiaques supérieures (les oreillettes) et inférieures (les ventricules). Ce processus permet au cœur de pomper efficacement le sang vers les poumons pour l'oxygénation et vers le reste du corps.
Le système de conduction comprend:
1. Le nœud sinusal (ou nœud sino-atrial, SA): Il est situé dans la paroi supérieure droite de l'atrium droit et est responsable de la génération spontanée des impulsions électriques à un rythme régulier d'environ 60 à 100 battements par minute chez un adulte au repos.
2. Le nœud auriculo-ventriculaire (ou nœud AV): Il est situé dans la paroi inter-atriale, près de l'entrée des veines caves supérieures et inférieures. Il sert de relais pour transmettre les impulsions électriques du nœud SA vers le tissu de conduction ventriculaire.
3. Le faisceau de His: C'est un prolongement du nœud AV qui se divise en deux branches, droite et gauche, pour transmettre les impulsions électriques aux ventricules.
4. Les fibres de Purkinje: Elles sont des extensions terminales des branches du faisceau de His qui se répartissent dans l'épaisseur du muscle ventriculaire et assurent une rapide transmission des impulsions électriques à l'ensemble des cellules musculaires ventriculaires, permettant ainsi la synchronisation des contractions ventriculaires.
Toute altération ou dysfonction de ce système de conduction peut entraîner des arythmies cardiaques et d'autres complications cardiovasculaires.
L'électrocardiographie (ECG) est une procédure non invasive utilisée en médecine pour enregistrer, afficher et analyser l'activité électrique du cœur. Elle est couramment employée pour détecter et diagnostiquer divers problèmes cardiaques, tels que les arythmies (anomalies du rythme cardiaque), les maladies coronariennes, les infarctus du myocarde (crise cardiaque), la hypertrophie cardiaque et d'autres affections.
L'ECG est réalisé en attachant plusieurs électrodes à divers endroits sur le corps, y compris les poignets, les chevilles et le torse. Ces électrodes captent les signaux électriques produits par le cœur lors de chaque battement et les transmettent à un appareil d'enregistrement, qui affiche l'activité cardiaque sous forme d'ondes sur une ligne de tracé. Les différentes parties de cette ligne de tracé représentent différentes phases du cycle cardiaque, et les anomalies dans la forme, la taille ou la durée des ondes peuvent indiquer divers problèmes cardiaques.
L'ECG est un outil important pour le dépistage, le diagnostic et le suivi des affections cardiovasculaires, et il est souvent utilisé en conjonction avec d'autres tests et examens pour obtenir une image complète de la santé cardiaque d'un patient.
L'ablation percutanée est une procédure médicale minimement invasive utilisée pour enlever ou détruire des tissus anormaux ou endommagés dans le corps. Le terme "percutané" signifie à travers la peau, ce qui indique que l'intervention est effectuée en insérant une aiguille ou un autre type d'outil fin et creux à travers la peau jusqu'à la cible souhaitée.
Il existe plusieurs types d'ablation percutanée, chacune ayant un objectif et une méthode spécifiques. Les exemples les plus courants incluent :
1. Ablation par radiofréquence (RF) : Cette procédure utilise l'énergie des ondes radio pour produire de la chaleur et détruire les tissus anormaux, tels que les tumeurs cancéreuses ou les lésions cardiaques.
2. Cryoablation : Cette méthode utilise le froid extrême pour geler et détruire les tissus anormaux. Elle est souvent utilisée pour traiter des affections telles que le cancer de la prostate ou certains types d'arythmies cardiaques.
3. Ablation par micro-ondes : Cette procédure utilise des ondes électromagnétiques à haute fréquence pour produire de la chaleur et détruire les tissus anormaux, souvent utilisée pour traiter le cancer du foie ou du poumon.
4. Ablation laser : Cette méthode utilise un faisceau laser pour vaporiser et éliminer les tissus anormaux, comme dans le traitement de certains types de cancer de la peau ou des voies urinaires.
L'ablation percutanée est généralement réalisée sous anesthésie locale ou générale, en fonction de l'emplacement et de l'étendue de la zone à traiter. Les avantages de cette procédure incluent une récupération plus rapide, moins d'invasivité et un risque réduit de complications par rapport aux interventions chirurgicales traditionnelles. Cependant, il est important de discuter avec votre médecin des avantages et des inconvénients potentiels de cette procédure pour déterminer si elle vous convient.
La tachycardie paroxystique est un type de trouble du rythme cardiaque (arythmie) caractérisé par une fréquence cardiaque rapide et soudaine, supérieure à 100 battements par minute. Elle débute et se termine de manière abrupte, d'où le terme "paroxystique". Ce type de tachycardie peut survenir chez des personnes de tous âges, bien que les jeunes adultes soient plus souvent touchés.
Il existe deux principaux types de tachycardie paroxystique : la tachycardie jonctionnelle et la fibrillation auriculaire paroxystique. La tachycardie jonctionnelle est causée par des anomalies au niveau de la jonction AV (jonction entre les oreillettes et les ventricules), tandis que la fibrillation auriculaire paroxystique est due à des contractions rapides et désorganisées des oreillettes.
Les symptômes de la tachycardie paroxystique peuvent inclure palpitations, essoufflement, douleur thoracique, vertiges, étourdissements, évanouissements ou syncope. Dans certains cas, elle peut ne provoquer aucun symptôme et être découverte lors d'un examen médical de routine.
Le traitement de la tachycardie paroxystique dépend de sa cause sous-jacente et de sa sévérité. Les options thérapeutiques comprennent des manœuvres vagales, des médicaments (comme les antiarythmiques), l'ablation par cathéter ou la chirurgie. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire si les symptômes sont légers et rares. Il est important de consulter un médecin en cas de suspicion de tachycardie paroxystique pour établir un diagnostic précis et mettre en place un plan de traitement adapté.
La tachycardie est un terme médical qui décrit une condition où le cœur bat plus rapidement que la normale, généralement à une fréquence cardiaque supérieure à 100 battements par minute au repos. Il existe différents types de tachycardies, dont certaines peuvent être bénignes et d'autres potentiellement dangereuses. Les deux principaux types sont la tachycardie supraventriculaire (TSV) et la tachycardie ventriculaire (TV). La TSV implique des circuits de conduction anormaux dans les oreillettes ou les voies accessoires, tandis que la TV provient d'un dysfonctionnement électrique dans les ventricules. Les symptômes associés à la tachycardie peuvent inclure palpitations, essoufflement, étourdissements, douleurs thoraciques et dans certains cas, syncope ou accident vasculaire cérébral. Le traitement dépend du type et de la gravité de la tachycardie et peut inclure des médicaments, des procédures telles que l'ablation par cathéter ou, dans les cas graves, un défibrillateur cardioverteur implantable.
Le faisceau atrioventriculaire (FAV) est une structure essentielle du système de conduction cardiaque. Il s'agit d'un groupe de cellules musculaires spécialisées qui transmettent les impulsions électriques entre les oreillettes et les ventricules du cœur, assurant ainsi une contraction coordonnée des deux parties du cœur. Le FAV est divisé en trois parties : le nœud atrioventriculaire, le faisceau de His et les branches droite et gauche. Les troubles du FAV peuvent entraîner des arythmies cardiaques et d'autres problèmes cardiovasculaires.
Le nœud atrioventriculaire (NAV ou nœud AV), situé dans le septum interatriental près de l'ouverture de la fosse ovale, est une structure essentielle du système de conduction cardiaque. Il sert de relais électrique entre les oreillettes et les ventricules du cœur. Le NAV reçoit les impulsions électriques (ou action de dépolarisation) des oreillettes via le nœud sinusal (également connu sous le nom de sinus node ou pace maker naturel du cœur) via les voies internodales. Après avoir reçu ces impulsions, le NAV les transmet aux ventricules via le faisceau de His et le système de conduction purkinje pour assurer une contraction synchronisée des ventricules. Le délai dans la transmission des impulsions électriques au niveau du nœud AV permet aux oreillettes de se contracter et de se vider dans les ventricules avant que ces derniers ne se contractent, garantissant ainsi un remplissage optimal des ventricules et une efficacité maximale de la pompe cardiaque.
La tachycardie supraventriculaire (TSV) est un type de trouble du rythme cardiaque rapide où le site de génération des impulsions anormales se situe au-dessus du nœud auriculo-ventriculaire (AV), dans les oreillettes ou dans le nœud AV lui-même. Dans la plupart des cas, ces troubles sont réversibles et non mortels. Les symptômes peuvent inclure palpitations, essoufflement, douleur thoracique, étourdissements, évanouissements ou même une crise cardiaque dans de rares cas. Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des mesures telles que des manœuvres vagales, des médicaments ou une procédure appelée ablation par cathéter.
La procaïnamide est un médicament antiarythmique utilisé pour traiter certaines irrégularités du rythme cardiaque (arythmies). Il agit en allongeant la période réfractaire relative de l'intervalle QT, ce qui rend plus difficile pour le cœur de déclencher un battement prématuré. Cela peut aider à normaliser le rythme cardiaque et à prévenir les épisodes d'arythmies graves.
La procaïnamide appartient à la classe IA des antiarythmiques, ce qui signifie qu'elle bloque les canaux sodium dans les cellules cardiaques. Elle est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et doit être prescrite par un médecin.
Les effets secondaires courants de la procaïnamide peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête, des étourdissements, une éruption cutanée ou des démangeaisons. Dans de rares cas, elle peut provoquer des effets secondaires graves tels qu'une grave réaction allergique, un rythme cardiaque anormalement lent (bradycardie), une pression artérielle basse (hypotension) ou des dommages aux reins ou au foie.
Il est important de suivre attentivement les instructions de dosage de votre médecin lors de la prise de procaïnamide, car une surdose peut entraîner des arythmies dangereuses ou même mortelles. Les personnes âgées, les personnes atteintes d'insuffisance rénale ou hépatique et celles qui prennent certains autres médicaments peuvent être plus sensibles aux effets de la procaïnamide et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite.
La vectocardiographie est une technique d'enregistrement et d'analyse des champs électriques produits par le cœur. Elle permet de mesurer l'amplitude et la direction des courants cardiaques à la surface du corps, offrant ainsi une représentation visuelle détaillée de l'activité électrique cardiaque. Cette méthode est principalement utilisée dans la recherche et le développement de nouveaux dispositifs médicaux, plutôt que dans les soins cliniques réguliers.
La vectocardiographie diffère de l'électrocardiogramme (ECG) traditionnel en ce sens qu'elle fournit non seulement des informations sur le moment où les différentes parties du cœur sont activées, mais aussi sur la direction et l'amplitude des courants électriques qui circulent dans le cœur. Cela peut aider les chercheurs à mieux comprendre les mécanismes sous-jacents de divers troubles cardiaques et à évaluer l'efficacité des traitements potentiels.
Cependant, il convient de noter que la vectocardiographie est une technique complexe et exigeante qui nécessite un équipement spécialisé et une expertise considérable pour être correctement interprétée. Par conséquent, elle n'est pas largement utilisée en pratique clinique courante.
La tachycardie par réentrée nodale sinusale (TSN) est un type rare de trouble du rythme cardiaque supraventriculaire (SVTA). Il s'agit d'une forme de tachycardie junctionnelle, ce qui signifie qu'elle implique le nœud auriculo-ventriculaire (AV) ou le faisceau de His. Dans le cas de la TSN, l'anomalie du rythme cardiaque est localisée dans ou à proximité du nœud sino-auriculaire (SA), qui est la structure responsable de la dépolarisation spontanée et régulière des oreillettes, entraînant une fréquence cardiaque normale au repos.
La TSN est causée par un mécanisme de réentrée, dans lequel un circuit de activation électrique se forme dans ou autour du nœud SA. Ce circuit permet à l'influx nerveux de se propager en continu, entraînant une fréquence cardiaque rapide et régulière. La tachycardie est définie comme une fréquence cardiaque supérieure à 100 battements par minute (bpm) au repos. Dans le cas de la TSN, les fréquences cardiaques peuvent atteindre 170-250 bpm.
Les symptômes de la TSN sont similaires à ceux d'autres types de tachycardie supraventriculaire et peuvent inclure palpitations, essoufflement, douleur thoracique, vertiges, étourdissements ou syncope. Dans certains cas, la TSN peut être asymptomatique et découverte lors d'un examen médical de routine.
Le diagnostic de TSN est généralement posé à l'aide d'une électrocardiographie (ECG) pendant un épisode de tachycardie. L'ECG peut montrer des caractéristiques spécifiques, telles qu'un intervalle P-R court et une onde P invariante, qui sont typiques de la TSN. Des tests supplémentaires, tels que l'enregistrement Holter ou l'ablation par cathéter, peuvent être nécessaires pour confirmer le diagnostic et guider le traitement.
Le traitement de la TSN dépend de la gravité des symptômes et de la fréquence des épisodes. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments tels que les bêta-bloquants, les antiarythmiques ou les inhibiteurs calciques, ainsi que des procédures telles que l'ablation par cathéter. L'ablation par cathéter consiste à utiliser un cathéter pour localiser et détruire le tissu responsable de la tachycardie dans le nœud SA. Cette procédure est généralement considérée comme sûre et efficace, avec des taux de réussite élevés et des risques faibles.
La disopyramide est un médicament antiarythmique utilisé pour traiter et prévenir certaines anomalies du rythme cardiaque (arythmies), telles que la fibrillation auriculaire et le flutter auriculaire. Il agit en allongeant la période réfractaire relative des fibres myocardiques ventriculaires, ce qui contribue à ralentir la conduction au niveau de l'oreillette vers le ventricule et à prolonger la durée de l'intervalle QT.
La disopyramide est disponible sous forme de comprimés oraux et doit être prescrite par un médecin, qui déterminera la posologie appropriée en fonction des besoins individuels du patient. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, une sécheresse buccale, des nausées, de la constipation et des troubles visuels.
Il est important de noter que ce médicament peut interagir avec d'autres médicaments et conditions médicales préexistantes, il convient donc de consulter un médecin avant de commencer à le prendre ou de modifier la posologie. Les patients doivent également informer leur médecin de tout changement dans leurs symptômes ou de l'apparition d'effets secondaires inattendus pendant le traitement par disopyramide.
La fibrillation auriculaire est une forme irrégulière et souvent rapide de battement cardiaque qui commence dans les oreillettes, ou les cavités supérieures du cœur. Au cours d'une crise de fibrillation auriculaire, le muscle des oreillettes ne se contracte pas de manière coordonnée ni efficace pour pomper le sang vers le ventricule. Au lieu de cela, les oreillettes tremblent ou fibrillent, ce qui peut empêcher le sang de s'écouler correctement vers le ventricule.
La fibrillation auriculaire est un trouble du rythme cardiaque courant et potentiellement grave. Les personnes atteintes de cette affection sont souvent incapables de sentir leurs battements de cœur, car ils peuvent être rapides, irréguliers ou simplement différents des battements normaux. La fibrillation auriculaire peut entraîner des symptômes tels qu'un pouls rapide, une fatigue, un essoufflement, des étourdissements, des douleurs thoraciques ou des malaises.
La fibrillation auriculaire est généralement traitée avec des médicaments pour contrôler le rythme cardiaque et prévenir les caillots sanguins qui peuvent se former dans les oreillettes et se déplacer vers d'autres parties du corps, provoquant une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Dans certains cas, des procédures médicales telles que la cardioversion électrique ou l'ablation par cathéter peuvent être utilisées pour rétablir le rythme cardiaque normal.
Amiodarone est un médicament anti-arythmique utilisé pour traiter certaines formes d'arythmies cardiaques, qui sont des battements de coeur irréguliers ou anormaux. Il appartient à une classe de médicaments appelés agents anti-arythmiques de classe III.
Amiodarone agit en prolongeant la durée du potentiel d'action cardiaque, ce qui permet de réguler le rythme cardiaque et de prévenir les arythmies graves. Il est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et doit être utilisé sous surveillance médicale stricte en raison de ses effets secondaires potentiellement graves.
Les effets secondaires courants d'amiodarone peuvent inclure des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une sensation de fatigue, des étourdissements, des maux de tête, une vision floue ou jaunissement de la peau et des yeux. Les effets secondaires graves peuvent inclure des lésions pulmonaires, des anomalies hépatiques, des troubles de la thyroïde et des rythmes cardiaques anormaux.
En raison de ses effets potentiellement graves, amiodarone doit être utilisé avec prudence et uniquement sous la surveillance d'un médecin expérimenté dans le traitement des arythmies cardiaques. Les patients doivent informer leur médecin de tous les médicaments qu'ils prennent, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, avant de commencer à prendre amiodarone.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
La tachycardie par réentrée nodale auriculoventriculaire (TRNAV) est un type de trouble du rythme cardiaque rapide (tachycardie), qui se produit dans le nœud auriculo-ventriculaire (AV) du cœur. Le nœud AV est une structure spécialisée de tissu situé entre les oreillettes et les ventricules, qui régule la conduction des impulsions électriques à travers le cœur.
Dans la TRNAV, il y a une anomalie anatomique ou fonctionnelle dans le nœud AV qui permet la création d'un circuit de réentrée, où les impulsions électriques se déplacent en cercle et se répètent continuellement. Cela entraîne une activation rapide et répétitive des ventricules, ce qui peut provoquer des symptômes tels qu'une palpitation cardiaque, une douleur thoracique, une essoufflement, des étourdissements ou même une perte de conscience dans les cas graves.
La TRNAV est généralement déclenchée par des stimuli tels que l'exercice physique, le stress émotionnel, la consommation de caféine ou d'alcool, ou certains médicaments. Elle peut être traitée avec des médicaments antiarythmiques, des procédures de catheter ablation ou une implantation de pacemaker dans les cas réfractaires.
L'aprindine est un médicament antiarythmique qui appartient à la classe III selon la classification de Vaughan Williams. Il agit en prolongeant la durée du potentiel d'action et du intervalle réfractaire, ce qui peut aider à réguler les rythmes cardiaques anormaux.
L'aprindine est utilisée pour traiter certaines formes d'arythmies ventriculaires, telles que la tachycardie ventriculaire et la fibrillation ventriculaire. Il peut également être utilisé en combinaison avec d'autres médicaments antiarythmiques pour traiter d'autres types d'arythmies.
Comme avec tous les médicaments, l'aprindine peut causer des effets secondaires, notamment des nausées, des vomissements, des étourdissements, des maux de tête et une vision floue. Dans de rares cas, il peut également provoquer des arythmies plus graves ou des réactions allergiques.
Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin lorsque vous prenez de l'aprindine et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant. Votre médecin peut ajuster votre dose ou vous prescrire un autre médicament si nécessaire.
L'atrium du cœur, également connu sous le nom d'oreillette, est la chambre supérieure des deux cavités situées dans chaque côté du cœur. Chez l'être humain, il y a un atrium à droite et un à gauche.
L'atrium droit reçoit le sang désoxygéné venant des veines cave supérieure et inférieure. Il pompe ensuite ce sang vers le ventricule droit via la valve tricuspide.
D'un autre côté, l'atrium gauche reçoit le sang oxygéné des veines pulmonaires et le fait circuler vers le ventricule gauche via la valve mitrale.
Les parois des atriums sont plus minces que celles des ventricules et contiennent des muscles qui aident à pomper le sang vers les ventricules. Les atriums fonctionnent comme des collecteurs de sang, remplissant les ventricules lorsque ces derniers se contractent pour propulser le sang dans la circulation systémique ou pulmonaire.
Une extrasystole est un type de battement cardiaque prématuré qui interrompt le rythme cardiaque normal. Il se produit lorsqu'une impulsion électrique supplémentaire provoque une contraction précoce du cœur, avant que le cœur ne soit prêt à se contracter à nouveau. Cela peut entraîner des battements cardiaques supplémentaires ou manqués.
Les extrasystoles peuvent se produire dans n'importe quelle partie du cœur, mais elles sont souvent ressenties au niveau de la poitrine ou du cou. Elles peuvent être causées par une variété de facteurs, tels que le stress, l'anxiété, la consommation de caféine, de tabac ou d'alcool, certaines maladies cardiaques ou certains médicaments.
Dans la plupart des cas, les extrasystoles sont bénignes et ne causent pas de dommages durables au cœur. Cependant, si elles se produisent fréquemment ou sont associées à d'autres symptômes cardiaques, elles peuvent être le signe d'un problème sous-jacent plus grave qui nécessite un traitement médical.
Un bloc cardiaque est un trouble de la conduction cardiaque où l'impulsion électrique normale du cœur est retardée ou bloquée. Le cœur utilise des impulsions électriques pour coordonner les contractions des muscles cardiaques et pomper le sang efficacement dans tout le corps. Un bloc cardiaque peut perturber ce processus, entraînant un rythme cardiaque anormal ou une fréquence cardiaque ralentie.
Il existe différents types de blocs cardiaques en fonction de l'emplacement de la perturbation de la conduction électrique :
1. Bloc auriculo-ventriculaire (BAV) : Il s'agit d'un bloc cardiaque qui se produit entre les oreillettes et les ventricules, deux des principales chambres du cœur. Le BAV est classé en trois degrés en fonction de la gravité :
* Premier degré : Il s'agit d'un retard dans la conduction électrique entre les oreillettes et les ventricules, mais toutes les impulsions sont finalement transmises.
* Deuxième degré : Dans ce cas, certaines impulsions ne sont pas transmises des oreillettes aux ventricules. Il existe deux sous-types : le type Mobitz I (ou Wenckebach) et le type Mobitz II. Le type Mobitz I présente un schéma caractéristique de progression du retard de conduction avant qu'une impulsion ne soit bloquée, tandis que le type Mobitz II montre une absence soudaine de transmission d'impulsions sans aucun modèle prévisible.
* Troisième degré : Aussi connu sous le nom de bloc cardiaque complet, il s'agit d'une forme grave dans laquelle aucune impulsion électrique ne traverse l'auriculo-ventriculaire (AV). Les oreillettes et les ventricules fonctionnent indépendamment l'un de l'autre, entraînant une fréquence cardiaque très lente (bradycardie) ou une absence totale de battements cardiaques (asystole).
Bloc sino-auriculaire : Il s'agit d'une forme de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud sinusal (pacemaker naturel du cœur) et les oreillettes. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque lente, des étourdissements, des évanouissements ou une syncope.
Bloc de branche : Il s'agit d'un retard ou d'une interruption de la conduction électrique dans l'une des branches du faisceau de His (branche droite ou gauche). Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc bifasciculaire : Il s'agit d'un type de bloc de branche qui affecte à la fois la branche droite et une partie de la branche gauche du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc trifasciculaire : Il s'agit d'un type de bloc de branche qui affecte les trois branches du faisceau de His (branche droite et deux branches gauches). Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc auriculo-ventriculaire complet : Il s'agit d'un type de bloc de branche qui affecte les trois branches du faisceau de His (branche droite et deux branches gauches). Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc sino-auriculaire : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud sinusal et le nœud atrioventriculaire. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque lente, des étourdissements, des évanouissements et, dans certains cas, une insuffisance cardiaque.
Bloc de branche : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et les branches du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche droit : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et la branche droite du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche gauche : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et la branche gauche du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche bifasciculaire : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et les deux branches du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche trifasciculaire : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et les trois branches du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche complet : Il s'agit d'un type de bloc auriculo-ventriculaire qui affecte la conduction entre le nœud atrioventriculaire et les branches du faisceau de His. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc auriculo-ventriculaire : Il s'agit d'un type de bloc cardiaque qui affecte la conduction entre les oreillettes et les ventricules du cœur. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc sino-atrial : Il s'agit d'un type de bloc cardiaque qui affecte la conduction entre le nœud sinusal et les oreillettes du cœur. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque lente, des étourdissements et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche : Il s'agit d'un type de bloc cardiaque qui affecte la conduction entre les branches du faisceau de His du cœur. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche droit : Il s'agit d'un type de bloc cardiaque qui affecte la conduction entre les branches droites du faisceau de His du cœur. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc de branche gauche : Il s'agit d'un type de bloc cardiaque qui affecte la conduction entre les branches gauches du faisceau de His du cœur. Les symptômes peuvent inclure une fréquence cardiaque irrégulière, des palpitations et, dans certains cas, une syncope.
Bloc auriculo-ventriculaire : Il s'agit d'un type de bloc card
L'électrocoagulation est une méthode thérapeutique utilisée en médecine qui consiste à utiliser un courant électrique à haute fréquence pour coaguler (durcir et sceller) les tissus mous. Cela est accompli en appliquant une électrode à la surface de la peau ou des tissus, ce qui permet au courant de traverser les tissus et de produire de la chaleur. Cette chaleur provoque alors la coagulation des protéines sanguines et des tissus mous environnants, entraînant ainsi leur destruction ou leur cautérisation.
L'électrocoagulation est couramment utilisée dans diverses spécialités médicales, telles que la dermatologie, la gynécologie, l'oto-rhino-laryngologie et la chirurgie générale. Elle peut être utilisée pour arrêter les saignements, détruire les tissus anormaux, telles que les verrues ou les lésions précancéreuses, ou pour aider à la cicatrisation des plaies.
Cependant, il est important de noter que l'électrocoagulation peut entraîner des effets secondaires indésirables, tels que des brûlures, des cicatrices, des infections ou des dommages aux structures nerveuses voisines. Par conséquent, elle doit être effectuée par un professionnel de la santé qualifié et expérimenté, qui est formé pour utiliser cette technique de manière sûre et efficace.
Les antiarythmiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les troubles du rythme cardiaque (arythmies). Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique du cœur et en rétablissant un rythme cardiaque normal. Il existe plusieurs classes d'antiarythmiques, chacune ayant des mécanismes d'action différents pour traiter divers types d'arythmies.
Les antiarythmiques de classe I sont divisés en trois sous-groupes (IA, IB et IC) et agissent en bloquant les canaux sodium du cœur, ce qui ralentit la conduction électrique dans le muscle cardiaque. Les médicaments de cette classe sont souvent utilisés pour traiter des arythmies telles que la fibrillation auriculaire et le flutter auriculaire.
Les antiarythmiques de classe II sont des bêta-bloquants, qui bloquent les récepteurs bêta-adrénergiques dans le cœur. Cela ralentit la fréquence cardiaque et diminue la force des contractions cardiaques, ce qui peut aider à prévenir les arythmies. Les médicaments de cette classe sont souvent utilisés pour traiter l'hypertension artérielle, l'angine de poitrine et l'insuffisance cardiaque, ainsi que certaines arythmies.
Les antiarythmiques de classe III agissent en prolongent la durée du potentiel d'action cardiaque et ralentissent la conduction électrique dans le cœur. Ils sont souvent utilisés pour traiter des arythmies telles que la fibrillation auriculaire et le flutter auriculaire, ainsi que certaines tachycardies supraventriculaires.
Les antiarythmiques de classe IV sont des bloqueurs des canaux calciques, qui empêchent les ions calcium de pénétrer dans les cellules cardiaques. Cela ralentit la conduction électrique dans le cœur et peut aider à prévenir les arythmies. Les médicaments de cette classe sont souvent utilisés pour traiter l'hypertension artérielle, l'angine de poitrine et l'insuffisance cardiaque, ainsi que certaines arythmies.
Il est important de noter que les antiarythmiques peuvent avoir des effets secondaires graves et doivent être utilisés sous la surveillance étroite d'un médecin. Les patients doivent informer leur médecin de tous les médicaments qu'ils prennent, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, car certains peuvent interagir avec les antiarythmiques.
La tachycardie réciproque est un type de tachycardie (rythme cardiaque anormalement rapide) qui se produit lorsqu'il existe une voie de conduction supplémentaire dans le cœur. Cette voie de conduction supplémentaire permet aux signaux électriques de circuler dans une boucle, entraînant ainsi une activité électrique et mécanique rapide et soutenue du cœur.
Dans la tachycardie réciproque, les signaux électriques se déplacent en avant et en arrière le long de cette voie anormale, d'où le terme "réciproque". Ce type de tachycardie peut être causé par une malformation congénitale ou peut se développer après une lésion cardiaque ou une intervention chirurgicale.
Les symptômes de la tachycardie réciproque peuvent inclure des palpitations, une douleur thoracique, une essoufflement, une fatigue, des étourdissements ou même une perte de conscience dans les cas graves. Le traitement dépend de la gravité et de la fréquence des épisodes de tachycardie réciproque et peut inclure des médicaments, des procédures de catheter ablation ou l'implantation d'un défibrillateur cardioverteur implantable.
La définition médicale de l'électrophysiologie est la spécialité médicale qui étudie le fonctionnement électrique des systèmes cardiaque, nerveux et musculaire dans le corps humain. Elle implique l'enregistrement et l'analyse des signaux électriques produits par ces systèmes pour diagnostiquer et traiter les troubles associés à leur fonctionnement anormal. Dans le domaine de la cardiologie, l'électrophysiologie est particulièrement importante pour le diagnostic et le traitement des arythmies cardiaques, qui sont des battements de cœur irréguliers ou anormaux. Les procédures d'électrophysiologie comprennent souvent l'insertion d'électrodes dans le cœur pour enregistrer et stimuler son activité électrique, ce qui permet aux médecins de localiser et de traiter les zones anormales.
La syncope est un type de perte de conscience ou d'évanouissement à court terme qui se produit lorsqu'il y a une réduction soudaine et temporaire du flux sanguin vers le cerveau. Cela peut être causé par une variété de facteurs, tels qu'une chute de la pression artérielle, un rythme cardiaque anormal, des problèmes avec les vaisseaux sanguins ou une réponse excessive du système nerveux autonome.
Les symptômes courants de la syncope comprennent une sensation de vertige ou d'étourdissement, une vision floue ou trouble, une sudation excessive, des nausées et une faiblesse générale. Une personne qui fait une syncope peut également avoir des convulsions ou perdre le contrôle de ses mouvements corporels pendant une courte période.
Dans la plupart des cas, la syncope n'est pas grave et ne cause pas de dommages durables au cerveau ou à d'autres organes. Cependant, dans certains cas, elle peut être un signe d'un problème médical sous-jacent plus grave, tel qu'une maladie cardiaque ou neurologique. Par conséquent, il est important de consulter un médecin si vous avez des évanouissements récurrents ou inexpliqués.
Un bloc de branche est un type de bloc cardiaque, qui est une condition dans laquelle la conduction électrique du cœur est perturbée. Dans un bloc de branche, la perturbation se produit au niveau d'une branche du faisceau de His, qui est le système de conduction électrique spécialisé dans le cœur.
Il existe deux branches principales du faisceau de His : la branche gauche et la branche droite. Un bloc de branche peut affecter l'une ou l'autre des branches, entraînant une conduction ralentie ou bloquée dans cette région. Les blocs de branche peuvent être asymptomatiques ou provoquer des symptômes tels qu'une fréquence cardiaque irrégulière, des étourdissements, des évanouissements ou une douleur thoracique.
Les blocs de branche sont souvent détectés lors d'un examen électrocardiogramme (ECG) et peuvent être classés en différents types en fonction de la gravité et de l'emplacement du blocage. Dans certains cas, un bloc de branche peut nécessiter une surveillance médicale ou un traitement supplémentaire, tel qu'un pacemaker.
Les chromosomes humains de la paire 17, également connus sous le nom de chromosomes 17, sont une partie importante du matériel génétique d'un être humain. Les chromosomes sont des structures en forme de bâtonnet dans le noyau des cellules qui contiennent des gènes, qui sont les unités de base de l'hérédité.
Chaque personne a 23 paires de chromosomes, pour un total de 46 chromosomes, dans chaque cellule de leur corps, sauf les cellules reproductives (spermatozoïdes et ovules), qui ne contiennent qu'une seule copie de chaque chromosome. Les chromosomes 17 sont la quatorzième paire de chromosomes dans l'ensemble des 23 paires.
Les chromosomes 17 sont relativement grands et contiennent environ 800 millions de paires de bases, ce qui représente environ 6 à 7 % du génome humain total. Ils contiennent entre 1 500 et 1 600 gènes, qui sont responsables de la production de protéines importantes pour diverses fonctions corporelles, telles que la réparation de l'ADN, le métabolisme des lipides et des glucides, la signalisation cellulaire, la division cellulaire et la différenciation cellulaire.
Les chromosomes 17 sont également associés à plusieurs maladies génétiques rares et courantes, telles que le syndrome de Li-Fraumeni, qui est un trouble héréditaire du cancer, et la neuropathie sensitive héréditaire de type 1, qui est une maladie neurologique héréditaire. Les mutations dans certains gènes situés sur les chromosomes 17 peuvent également augmenter le risque de développer des cancers tels que le cancer du sein, du poumon et du côlon.
En résumé, les chromosomes humains 17 sont importants pour la santé humaine car ils contiennent des gènes responsables de diverses fonctions corporelles et sont associés à plusieurs maladies génétiques courantes et rares. Les mutations dans certains gènes situés sur les chromosomes 17 peuvent également augmenter le risque de développer certains cancers.
La fibrillation ventriculaire est une forme grave et dangereuse de rythme cardiaque anormal. Elle se produit lorsque les ventricules, les parties inférieures et plus grosses de votre cœur, battent de manière irrégulière et souvent très rapide. Au lieu de pomper le sang efficacement vers le corps et les poumons, les ventricules tremblent ou palpitent, ce qui empêche le cœur de pomper le sang correctement.
Ce trouble peut provoquer une perte de conscience et nécessite une attention médicale immédiate car il peut entraîner la mort en l'absence d'un traitement rapide. La fibrillation ventriculaire est souvent déclenchée par un infarctus du myocarde, mais elle peut également être causée par d'autres facteurs tels qu'une maladie cardiaque sous-jacente, une insuffisance cardiaque, des lésions cardiaques, un faible taux de potassium dans le sang (hypokaliémie), l'utilisation de certains médicaments ou drogues, et l'exposition à des toxines.
La cardiologie interventionnelle est un type d'examen diagnostique qui consiste à insérer un long et fin tube, appelé cathéter, dans une veine ou une artère du bras ou de l'aine pour atteindre le cœur. Cette procédure est appelée cardiographie ou cathétérisme cardiaque.
L'objectif principal de la cardiographie est d'évaluer la fonction cardiaque et les structures cardiovasculaires, telles que les valves cardiaques et les artères coronaires. Pendant l'examen, le médecin peut également effectuer des procédures thérapeutiques, telles que l'angioplastie et le stenting, pour traiter les maladies cardiovasculaires existantes.
Au cours de la procédure, le cathéter est inséré dans une veine ou une artère et guidé vers le cœur à l'aide d'un équipement d'imagerie fluoroscopique. Une fois en place, un colorant spécial est injecté dans le cathéter pour permettre au médecin de visualiser les vaisseaux sanguins et le muscle cardiaque.
La cardiographie peut aider à diagnostiquer une variété de conditions cardiovasculaires, telles que l'insuffisance cardiaque congestive, la maladie coronarienne, les défauts cardiaques congénitaux et les troubles du rythme cardiaque.
Bien que la cardiographie soit généralement considérée comme sûre, elle comporte certains risques, tels que des réactions allergiques au colorant de contraste, des saignements, des infections et des dommages aux vaisseaux sanguins ou au cœur. Par conséquent, il est important que la procédure soit effectuée par un médecin expérimenté dans un établissement médical équipé pour gérer les complications potentielles.
Les arythmies cardiaques sont des anomalies du rythme cardiaque qui peuvent entraîner un fonctionnement anormal du cœur. Le cœur humain a une structure spécialisée de cellules musculaires qui permettent de coordonner les contractions du muscle cardiaque pour pomper le sang dans tout le corps. Ces cellules musculaires forment ce qu'on appelle le système de conduction électrique du cœur, qui génère et transmet des impulsions électriques pour contrôler le rythme cardiaque.
Les arythmies cardiaques peuvent survenir lorsque le système de conduction électrique est endommagé ou perturbé, entraînant un rythme cardiaque anormalement rapide (tachycardie), lent (bradycardie) ou irrégulier. Les arythmies peuvent se produire dans n'importe quelle partie du cœur, y compris les oreillettes (parties supérieures du cœur) et les ventricules (parties inférieures du cœur).
Les arythmies cardiaques peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment des maladies cardiaques sous-jacentes telles que l'hypertension artérielle, la maladie coronarienne, les cardiomyopathies et les valvulopathies. D'autres facteurs peuvent inclure des dommages au cœur dus à une crise cardiaque antérieure, des troubles électrolytiques, des médicaments, l'abus de substances, le stress et la consommation excessive de caféine ou d'alcool.
Les symptômes des arythmies cardiaques peuvent varier en fonction de la gravité et du type d'arythmie. Certains patients peuvent ne présenter aucun symptôme, tandis que d'autres peuvent ressentir des palpitations, des étourdissements, des évanouissements, une douleur thoracique ou une difficulté à respirer. Dans les cas graves, les arythmies cardiaques peuvent entraîner des complications telles que des accidents vasculaires cérébraux, des insuffisances cardiaques et même la mort subite.
Le diagnostic des arythmies cardiaques implique généralement une évaluation approfondie de l'histoire médicale du patient, y compris les antécédents familiaux de maladies cardiaques, ainsi que des examens physiques et des tests diagnostiques tels qu'un électrocardiogramme (ECG), un holter ou une surveillance ambulatoire de la tension artérielle. Dans certains cas, des procédures invasives telles qu'une échocardiographie transœsophagienne ou une angiographie coronarienne peuvent être nécessaires pour déterminer la cause sous-jacente de l'arythmie.
Le traitement des arythmies cardiaques dépend du type et de la gravité de l'arythmie, ainsi que des facteurs de risque sous-jacents du patient. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, des procédures invasives telles qu'une ablation par cathéter ou une implantation de stimulateur cardiaque, et des changements de mode de vie tels que l'arrêt du tabac et la perte de poids. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème sous-jacent.
En conclusion, les arythmies cardiaques sont des anomalies du rythme cardiaque qui peuvent entraîner de graves complications si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement. Les symptômes peuvent varier considérablement, allant de légers à graves, et le diagnostic nécessite une évaluation approfondie par un professionnel de la santé qualifié. Le traitement dépend du type et de la gravité de l'arythmie, ainsi que des facteurs de risque sous-jacents du patient. Les personnes atteintes d'arythmies cardiaques doivent travailler en étroite collaboration avec leur médecin pour élaborer un plan de traitement personnalisé qui répond à leurs besoins spécifiques.
Les AMP-activated protein kinases (AMPK) sont des enzymes hétérotrimériques qui jouent un rôle crucial dans la régulation du métabolisme énergétique cellulaire. Elles sont sensibles aux variations de la concentration d'ATP, d'ADP et d'AMP dans la cellule. Lorsque le rapport AMP/ATP augmente, cela indique une insuffisance énergétique et déclenche l'activation des AMPK.
Les AMPK sont composées de trois sous-unités : alpha, beta et gamma. L'activation d'AMPK implique la phosphorylation de la sous-unité alpha par une kinase upstream telle que la liver kinase B1 (LKB1) ou la calcium/calmodulin-dépendante kinase II (CAMKK2).
Une fois activées, les AMPK favorisent l'utilisation des réserves d'énergie et inhibent les processus de biosynthèse qui consomment de l'énergie. Elles stimulent la production d'ATP en augmentant la glycolyse, l'oxydation des acides gras et la biogenèse mitochondriale. En outre, elles inhibent les voies anaboliques telles que la biosynthèse des lipides, des protéines et du glucose en régulant l'expression des gènes et l'activité d'enzymes clés.
Les AMPK sont également connues pour leur rôle dans la régulation de l'homéostasie énergétique et la réponse au stress cellulaire, ainsi que dans la modulation du poids corporel, de la sensibilité à l'insuline et de la fonction métabolique. Des déséquilibres dans l'activation des AMPK ont été associés à diverses maladies, notamment le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et certains cancers.
Les ventricules cardiaques sont les deux plus grandes chambres musculaires dans le cœur qui sont responsables de la pompe du sang vers d'autres parties du corps. Le cœur est divisé en quatre chambres : deux ventricules (le ventricule gauche et le ventricule droit) et deux oreillettes (l'oreillette droite et l'oreillette gauche).
Le ventricule droit reçoit le sang désoxygéné des oreillettes droites via la valve tricuspide, puis le pompe vers les poumons par l'artère pulmonaire pour se charger en oxygène. Le ventricule gauche, d'autre part, reçoit le sang oxygéné des oreillettes gauches via la valve mitrale, puis le pompe vers le reste du corps par l'aorte.
Les ventricules cardiaques doivent se contracter avec une force suffisante pour surmonter la résistance dans les vaisseaux sanguins et assurer une circulation sanguine adéquate vers tous les tissus et organes du corps. Toute maladie ou condition qui affecte la structure ou la fonction des ventricules cardiaques peut entraîner des problèmes de santé graves, tels que l'insuffisance cardiaque congestive, l'hypertension artérielle pulmonaire et d'autres affections cardiovasculaires.
Les complexes multienzyme sont des structures protéiques organisées qui contiennent plusieurs enzymes et leurs cofacteurs associés. Ils sont impliqués dans divers processus métaboliques, tels que la biosynthèse et la dégradation de molécules complexes. Les complexes multienzyme permettent une catalyse séquentielle ou simultanée des réactions chimiques en alignant les substrats pour chaque étape de manière optimale, ce qui améliore l'efficacité et la spécificité des réactions. Les exemples bien connus de complexes multienzyme comprennent le complexe pyruvate déshydrogénase, le complexe nucléotide réductase et le complexe ATP synthase.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
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John Parkinson (médecin)
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Montel Vontavious Porter
Wolff
Exploration électrophysiologique
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Tachycardie supraventriculaire
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Louis Wolff
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Anomalie d'Ebstein
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Mort subite (médecine)
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Fibrillation atriale
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CIM-10 Chapitre 09 : Maladies de l'appareil circulatoire
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Cardio-FR] Rythme idioventriculaire accéléré (RIVA). Dissociation A-V et conduction V-A intermittente.
Cardio-FR] Fonctionnement normal d'un stimulateur cardiaque de type AAI.
Cardiaque7
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) est un trouble rare du rythme cardiaque secondaire à un syndrome de préexcitation électrique ventriculaire. (wikipedia.org)
- Le syndrome de Wolff Parkinson White est une pathologie cardiaque due à une transmission anormale de l'impulsion électrique entre les oreillettes et les ventricules pouvant provoquer des tachyarythmies et des palpitations. (emergency-live.com)
- La tachycardie dans le syndrome de Wolff-Parkinson-White peut être réentrante auriculo-ventriculaire, lorsqu'elle se caractérise par un rythme cardiaque anormalement rapide et que la tachycardie est classée comme supraventiculaire. (emergency-live.com)
- Le contrôle aigu de la fréquence cardiaque pourra être obtenu rapidement en l'absence du syndrome de Wolff Parkinson White par l'administration orale ou intraveineuse de bêtabloquants, d'inhibiteurs calciques type Diltiazem ou Vérapamil ou de digoxine. (academie-medecine.fr)
- Si l'on n'en sait pas plus sur les conditions exactes de l'accident, on savait que David était atteint du syndrome de Wolff-Parkinson-White , une maladie cardiaque congénitale rare qui entraîne des battements cardiaques trop rapides. (surfsession.com)
- En 2018, les fonds amassés ont servi à payer les médicaments, non homologués par Santé Canada, d'une petite fille du prénom de Maëlie, atteinte d'insuffisance cardiaque, d'angine prénatale, du syndrome de Wolff-Parkinson-White ainsi que d'arythmie supraventriculaire. (chicksandmachines.com)
- Cardio-FR] Fonctionnement normal d'un stimulateur cardiaque de type AAI. (cardio-fr.com)
Fibrillation auriculaire1
- Fibrillation auriculaire et syndrome de Wolff-Parkinson-White Dans le cas du syndrome de Wolff-Parkinson-White, la conduction antérograde se produit sur une voie accessoire. (merckmanuals.com)
Maladie3
- La maladie de Bouveret (ou tachycardie supraventriculaire paroxystique ) et le syndrome de Wolff- Parkinson -White sont les formes de tachycardie supraventriculaire les plus fréquentes. (vidal.fr)
- Dans des rares cas, une maladie potentiellement mortelle, un syndrome appelé «syndrome sérotoninergique» peut apparaître lorsqu'un triptan comme Zomig pulvérisation nasale est administré en même temps que d'autres médicaments à effet sérotoninergique. (creapharma.ch)
- Le syndrome bradycardie tachycardie avec maladie des sinus, maladie de l'oreillette. (handichrist.net)
Infarctus du myocarde1
- Si vous souffrez de maladies telles que: épilepsie, perturbations graves de la fonction du foie et/ou des reins, hypertension artérielle ou maladies cardiaques, notamment angine de poitrine, infarctus du myocarde et syndrome de Wolff-Parkinson-White, signalez-le à votre médecin ou à votre pharmacien. (creapharma.ch)
Conduction1
- Le syndrome de Wolff Parkinson White se caractérise par l'existence d'une voie de conduction supplémentaire et directe entre les oreillettes et les ventricules (faisceau de Kent). (reflexologie-sante.fr)
Tachycardie supraventriculaire paroxystique1
- Ce syndrome, responsable de tachycardie supraventriculaire paroxystique, se diagnostique par électrocardiogramme. (wikipedia.org)
Anomalie2
- Le syndrome du QT long est le plus souvent dû à une anomalie génétique ou congénitale. (vidal.fr)
- Lors de sa saison recrue, en 2007, Aldridge a reçu comme diagnostic le syndrome Wolff-Parkinson-White, anomalie pouvant causer un battement de cœur accéléré. (lapresse.ca)
Cardiaques2
- Le syndrome de Wolff-Parkinson-White se manifeste par des tachyarythmies dans lesquelles le patient présente des palpitations cardiaques excessives, parfois associées à des évanouissements, des étourdissements, des douleurs thoraciques et des difficultés respiratoires. (emergency-live.com)
- Ce syndrome, qui touche environ 3 à 4 naissances pour 1000, s'associe parfois à des malformations cardiaques d'origine congénitale également. (reflexologie-sante.fr)
Onde1
- Syndrome de Wolff-Parkinson-White Onde delta caractéristique captée chez un sujet présentant un syndrome de Wolff-Parkinson-White. (wikipedia.org)
Rythme1
- Cardio-FR] Rythme idioventriculaire accéléré (RIVA). (cardio-fr.com)
Diagnostic1
- Wolff Parkinson White reçoit un diagnostic d'électrocardiogramme. (emergency-live.com)
Voie accessoire1
- Ce n'est qu'en 1943 qu'est fait le rapprochement entre le syndrome et la voie accessoire. (wikipedia.org)
Tension1
- De nombreuses personnes atteintes de fibromyalgie souffrent également de céphalées de tension, de troubles de l'articulation temporomandibulaire (ATM), du syndrome du côlon irritable, d'anxiété et de dépression. (sedicome.com)
D'autres1
- Le sommeil est souvent perturbé par la douleur, et de nombreux patients atteints de fibromyalgie présentent d'autres troubles du sommeil, comme le syndrome des jambes sans repos et l'apnée du sommeil. (sedicome.com)
Ventricules1
- On assiste donc dans le syndrome de Wolff Parkinson White à une transmission anormale et très rapide de l'influx électrique des oreillettes vers les ventricules. (reflexologie-sante.fr)
Patients1
- En 1935, il décrit à Breslau un syndrome identique (granulomatose) chez 3 patients, puis chez 7 autres en 1954. (dictionnaire-medical.net)
Segment1
- Le SCA ST+ est une abréviation pour « syndrome coronarien aigue avec sus-décalage du segment ST. (ecgformation.com)
Long1
- Le syndrome duQ-T long. (handichrist.net)
Ondes delta1
- Cependant, l'intervalle PR est court et des ondes delta typiques sont présentes dans les autres dérivations, prouvant le syndrome de Wolff Parkinson White. (medscape.com)
Tachycardie1
- Ce syndrome, responsable de tachycardie supraventriculaire paroxystique, se diagnostique par électrocardiogramme. (wikipedia.org)
Brugada1
- Dans certains cas, comme celui du syndrome de Wolff-Parkinson-White ou du syndrome de Brugada, la cause de l'arythmie est une cardiopathie congénitale ou une malformation génétique, c'est-à-dire qu'elle est présente à la naissance. (ca-vaps.com)
Nodale1
- Informez votre médecin ou votre pharmacien si vous souffrez du syndrome de Wolff-Parkinson-White, anomalies SA ou AV nodale ou diminution de la fonction ventriculaire. (pharmacieenlignepascher.com)
D'une1
- DI-fusion Le syndrome de Wolff-parkinson-white mise en évidence d'une. (ac.be)
Sujet1
- Syndrome de Wolff-Parkinson-White Onde delta caractéristique captée chez un sujet présentant un syndrome de Wolff-Parkinson-White. (wikipedia.org)
Faisceau1
- Syndrome de Wolff-Parkinson-White lié à une préexcitation par faisceau de Kent postéro-septal. (larevuedupraticien.fr)
Voie2
- Ce n'est qu'en 1943 qu'est fait le rapprochement entre le syndrome et la voie accessoire. (wikipedia.org)
- La voie anormale à l'origine du syndrome de Wolff-Parkinson-White est présente dès la naissance, mais les arythmies ne se manifestent en général que durant l'adolescence ou chez le jeune adulte. (msdmanuals.com)