Syndrome Douloureux Régional Complexe
Dystrophie Sympathique Réflexe
Causalgie
Bloc Sympathique
Pain Measurement
Ganglion Cervicothoracique
Troubles Somatosensoriels
Traitement Perfusion Domicile
Acute Pain
Psychologie Du Soi
Fractures Du Tibia
Pain Management
Douleur
Psychothérapie Par Imagerie Mentale
Main
Douleur Incoercible
Agents Adrénergiques
Hyperalgésie
Sympathectomie
Dystonie
Chronic Pain
Electric Stimulation Therapy
Syndrome FémoroPatellaire
Anesthésiques Locaux
Pied
Syndromes De La Douleur Myofasciale
Névralgie
Angiographie Résonance Magnétique
Nerfs Périphériques
Physical Therapy Modalities
Cold Temperature
Nocicepteurs
Le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC), également connu sous le nom de algodystrophie, est une condition douloureuse chronique qui affecte généralement les membres - mains, bras, pieds ou jambes. Il se développe souvent à la suite d'une blessure, d'une chirurgie ou d' un événement traumatique, bien que la cause exacte soit inconnue.
Le SDRC se caractérise par des douleurs intenses, une sensibilité accrue au toucher, un gonflement, des changements de couleur et de température dans la peau, ainsi qu'une limitation du mouvement articulaire. Dans certains cas, ces symptômes peuvent s'étendre au-delà de la zone initialement blessée.
Il existe deux types de SDRC : le type 1, qui survient après une lésion tissulaire, et le type 2, qui est associé à des dommages nerveux directs. Le diagnostic repose sur les symptômes rapportés par le patient, l'examen physique et parfois des tests complémentaires pour éliminer d'autres causes possibles de douleur.
Le traitement du SDRC vise à soulager la douleur et à préserver la fonction articulaire et musculaire. Il peut inclure des médicaments contre la douleur, une thérapie physique, des techniques de relaxation, des blocs nerveux et, dans certains cas, des traitements invasifs tels que la stimulation nerveuse électrique transcutanée ou la sympathectomie.
La dystrophie sympathique réflexe (DSR), également connue sous le nom de syndrome de Sudeck ou d'algodystrophie, est une condition rare et mal comprise qui affecte généralement les membres après une blessure ou une intervention chirurgicale. Il s'agit d'une forme complexe de douleur régionale compliquée (CRPS) de type 1.
La DSR se caractérise par un ensemble de symptômes, notamment des douleurs intenses et persistantes, une sensibilité accrue au toucher, une raideur articulaire, une diminution de la force musculaire, des changements cutanés (tels que la peau fine, moite et décolorée) et des modifications osseuses. Ces symptômes peuvent apparaître progressivement et s'aggraver avec le temps, entraînant une altération significative de la fonction et de la qualité de vie du patient.
Bien que les mécanismes exacts à l'origine de la DSR ne soient pas complètement élucidés, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs, notamment des troubles neurovasculaires et auto-immuns. Le traitement de la DSR implique généralement une approche multidisciplinaire comprenant des médicaments contre la douleur, une physiothérapie et des interventions psychologiques pour aider à gérer les symptômes et prévenir les complications.
La causalgie est un type rare et sévère de douleur neuropathique qui se produit comme une complication après une lésion nerveuse. Dans la causalgie, la douleur est généralement ressentie dans une zone spécifique du corps, telle qu'un membre, et elle est décrite comme étant brûlante, lancinante ou coupante.
La douleur est souvent déclenchée par des stimuli légers, tels que le toucher ou les changements de température, et peut être si intense qu'elle interfère avec les activités quotidiennes et affecte la qualité de vie. Dans certains cas, la douleur peut être ressentie en continu, sans aucun répit.
La causalgie est généralement traitée avec une combinaison de médicaments antalgiques, tels que les opioïdes et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), ainsi que des thérapies telles que la stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS) ou la thérapie cognitivo-comportementale. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour réparer le nerf endommagé et soulager la douleur.
Il est important de noter que la causalgie est différente de la douleur neuropathique courante, qui peut survenir après une lésion nerveuse mais n'est pas aussi intense ou invalidante. La causalgie nécessite un traitement spécialisé et agressif pour soulager la douleur et améliorer la qualité de vie du patient.
Un bloc sympathique est une procédure dans laquelle un médecin injecte un anesthésique local ou utilise des agents neurolytiques pour bloquer le fonctionnement du système nerveux sympathique à un endroit spécifique du corps. Le système nerveux sympathique est une partie importante du système nerveux autonome qui aide à réguler les réponses de combat ou de fuite du corps, ainsi que d'autres fonctions automatiques telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la respiration.
Les blocs sympathiques sont souvent utilisés pour traiter des conditions telles que les douleurs chroniques, l'hypertension artérielle, les spasmes vasomoteurs et certains types de douleurs neuropathiques. Ils peuvent également être utilisés pour diagnostiquer des problèmes nerveux spécifiques ou pour aider à la gestion de la douleur pendant et après certaines procédures médicales ou chirurgicales.
Les blocs sympathiques sont généralement considérés comme sûrs, bien que certains risques et complications soient possibles, tels qu'une infection, une hémorragie, des lésions nerveuses ou des réactions allergiques à l'anesthésique local. Il est important de discuter avec votre médecin des avantages et des risques potentiels de cette procédure avant de prendre une décision éclairée.
La mesure de la douleur est un processus standardisé utilisé pour évaluer et quantifier l'intensité, la durée et le caractère de la douleur ressentie par un individu. Il s'agit d'une pratique essentielle dans la gestion de la douleur, car elle permet aux professionnels de la santé de comprendre objectivement la gravité de la douleur d'un patient et de suivre l'efficacité des traitements analgésiques.
Les méthodes de mesure de la douleur comprennent généralement des auto-évaluations verbales ou écrites, telles que les échelles numériques (où les patients classent leur douleur sur une échelle de 0 à 10), les échelles visuelles analogiques (où les patients marquent leur niveau de douleur sur une ligne continue) ou les questionnaires détaillés. Dans certains cas, des observations comportementales peuvent également être utilisées pour estimer la douleur, en particulier chez les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes ayant des difficultés de communication verbale ou cognitive.
Il est important de noter que la mesure de la douleur peut varier considérablement d'une personne à l'autre en raison de facteurs tels que la tolérance individuelle à la douleur, les expériences antérieures de douleur et les émotions associées. Par conséquent, il est crucial d'utiliser des méthodes de mesure standardisées et validées pour garantir une évaluation précise et cohérente de la douleur chez tous les patients.
Le ganglion cervicothoracique, également connu sous le nom de ganglion stellate, est un nœud important du système nerveux sympathique. Il est situé à la jonction entre les régions cervicale et thoracique de la colonne vertébrale, précisément où la septième vertèbre cervicale (C7) rencontre la première vertèbre thoracique (T1).
Ce ganglion est un centre de convergence et de distribution des fibres nerveuses sympathiques qui innervent les organes du cou, de la tête, du thorax et du haut de l'appareil digestif. Il joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions viscérales, telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration et la digestion, ainsi que dans la réponse au stress via le système nerveux sympathique.
Des affections telles que les tumeurs, les infections ou l'inflammation peuvent affecter ce ganglion, entraînant divers symptômes et complications, selon la gravité et l'étendue de l'affection sous-jacente.
Les troubles somatosensoriels sont un type de trouble neurologique qui affecte le système somatosensoriel, qui est responsable de notre capacité à ressentir des sensations telles que la douleur, le toucher, la température et la proprioception (conscience de la position et du mouvement de notre corps). Les troubles somatosensoriels peuvent entraîner une variété de symptômes, y compris une perte ou une diminution de la sensibilité à la douleur, au toucher, à la température ou à la proprioception.
Les causes sous-jacentes des troubles somatosensoriels peuvent varier et peuvent inclure des lésions nerveuses, des maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques ou la maladie de Parkinson, des infections, des tumeurs, des carences nutritionnelles ou des troubles métaboliques. Les symptômes peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente et de la gravité de la lésion nerveuse ou de la maladie neurologique.
Le diagnostic des troubles somatosensoriels implique généralement une évaluation approfondie de l'historique médical du patient, un examen physique complet et des tests diagnostiques tels que des études de conduction nerveuse, des IRM ou des biopsies nerveuses. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une chirurgie ou une combinaison de ces options.
La température cutanée se réfère à la mesure de la chaleur ou du froid à la surface de la peau. Elle est régulée par le système vasculaire et sudoripare de l'organisme, qui contrôle la circulation sanguine et la transpiration pour maintenir une température corporelle interne stable. La température cutanée peut varier en fonction de facteurs tels que l'environnement extérieur, l'activité physique, les émotions et certaines conditions médicales. Une température cutanée anormalement élevée ou basse peut être un signe de divers problèmes de santé, allant d'un coup de soleil à une infection grave.
Le traitement par perfusion à domicile est un type de soins de santé dans lequel un patient reçoit un traitement médical, généralement des liquides ou des médicaments, par perfusion intraveineuse dans le confort de son foyer. Ce type de traitement est souvent utilisé pour les patients qui ont besoin d'une thérapie continue sur une longue période, telle que la chimioradiothérapie, la nutrition parentérale totale, l'antibiothérapie à long terme ou la douleur chronique management.
Les perfusions à domicile sont généralement administrées via une pompe à perfusion électrique qui régule la vitesse et la durée de l'administration du médicament. Les fournisseurs de soins de santé, tels que les infirmières ou les médecins, forment généralement le patient et ses soignants sur la façon d'utiliser la pompe et de gérer les effets secondaires potentiels du traitement.
Le traitement par perfusion à domicile présente plusieurs avantages, tels qu'une réduction des coûts des soins de santé, une amélioration de la qualité de vie du patient et une plus grande autonomie et indépendance. Cependant, il est important que les patients et leurs soignants soient correctement formés et suivis pour garantir la sécurité et l'efficacité du traitement.
'Acute pain' est défini en médecine comme une douleur aiguë et généralement intense qui survient soudainement à la suite d'une blessure, d'une intervention chirurgicale ou d'une maladie aigüe. Cette douleur est souvent localisée et a pour fonction d'alerter le corps d'un danger potentiel ou réel. Elle est généralement traitable et disparaît une fois que la cause sous-jacente est résolue.
L'intensité de l'acute pain peut varier considérablement, allant de légère à sévère, et peut être accompagnée de symptômes tels que des nausées, des vomissements, de la fatigue ou de l'anxiété. Il est important de traiter cette douleur rapidement pour prévenir les complications telles que la dépression, l'anxiété et une diminution de la fonction pulmonaire.
Le traitement de l'acute pain peut inclure des médicaments analgésiques tels que le paracétamol, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou les opioïdes, ainsi que des thérapies complémentaires telles que la physiothérapie et la relaxation. Dans certains cas, des interventions médicales telles que des blocs nerveux peuvent être nécessaires pour gérer la douleur.
La psychologie du soi est une sous-discipline de la psychologie qui se concentre sur l'étude du soi, y compris les perceptions, les processus et les structures liés à la compréhension d'une personne de sa propre identité, individualité, continuité et significativité. Elle englobe divers concepts tels que l'estime de soi, l'identité du soi, le moi idéal, le faux moi et les expériences de dissonance cognitive. La psychologie du soi examine comment ces aspects du soi se développent au fil du temps, sont influencés par des facteurs internes et externes, et peuvent contribuer à la santé mentale ou aux problèmes de santé mentale. Elle implique l'utilisation de théories, de recherches et d'interventions pour comprendre et améliorer le bien-être psychologique des individus en relation avec leur expérience du soi.
Une fracture du tibia est une cassure ou une fissuration dans le tibia, qui est l'un des deux os de la jambe inférieure (l'autre étant la fibula). Le tibia est un os long, situé en avant de la jambe et supporte la majeure partie du poids du corps. Les fractures du tibia peuvent survenir à n'importe quel endroit le long de l'os, mais elles sont les plus fréquentes près du genou ou de la cheville.
Les symptômes d'une fracture du tibia peuvent inclure une douleur soudaine et intense, un gonflement et des ecchymoses dans la région affectée, une incapacité à marcher ou à supporter le poids sur la jambe, et parfois une déformation visible de l'os ou de la cheville.
Les fractures du tibia peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des traumatismes directs tels que des accidents de voiture ou des chutes, des blessures sportives, ou des stress répétés sur l'os, comme cela peut se produire chez les coureurs de longue distance.
Le traitement d'une fracture du tibia dépendra de la gravité et de la localisation de la fracture. Dans la plupart des cas, une immobilisation de l'os est nécessaire pour permettre à la fracture de guérir correctement. Cela peut être accompli en utilisant une attelle, un plâtre ou une orthèse externe. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour aligner correctement les fragments d'os et les fixer avec des broches, des plaques ou des vis.
La récupération complète d'une fracture du tibia peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois, selon la gravité de la blessure et le traitement utilisé. La physiothérapie et les exercices de réadaptation peuvent être recommandés pour aider à renforcer l'os et à améliorer la fonction musculaire et articulaire.
Une cloque est un type de lésion cutanée dans laquelle il y a accumulation de liquide sous la peau. Cela se produit lorsque les petits vaisseaux sanguins sous la peau sont endommagés, permettant au plasma de s'échapper et de s'accumuler dans l'espace situé entre la peau et le tissu sous-jacent. Les cloques peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris les brûlures, les frottements excessifs, les éruptions cutanées, les infections ou certaines conditions médicales.
Les cloques sont généralement douloureuses et sensibles au toucher. Elles peuvent apparaître de différentes tailles, allant d'une petite bulle à une grande zone remplie de liquide. Dans la plupart des cas, il est recommandé de ne pas percer ou éclater une cloque, car cela peut entraîner une infection supplémentaire et ralentir le processus de guérison. Au lieu de cela, il est préférable de protéger la zone affectée en appliquant un pansement stérile et de consulter un professionnel de la santé si la cloque ne guérit pas ou s'il y a des signes d'infection, tels que rougeur, chaleur, gonflement ou pus.
La gestion de la douleur est une approche multidisciplinaire et individualisée pour diminuer la douleur, améliorer la fonction et la qualité de vie des patients souffrant de douleurs aiguës ou chroniques. Elle implique l'utilisation de diverses stratégies thérapeutiques, y compris les médicaments analgésiques, les interventions chirurgicales, la physiothérapie, l'ergothérapie, la psychothérapie, l'acupuncture, et l'éducation du patient. L'objectif principal de la gestion de la douleur est de soulager la douleur autant que possible, tout en minimisant les effets secondaires des traitements et en améliorant la capacité fonctionnelle du patient.
La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire existante ou potentielle, ou décrite en termes d'une telle lésion. Elle sert de mécanisme d'alarme pour éviter d'aggraver les dommages et favoriser la guérison. La douleur peut être aiguë ou chronique, et elle peut être classée comme nociceptive (due à une activation directe des récepteurs de la douleur dans le tissu endommagé) ou neuropathique (due à une lésion ou une maladie du système nerveux). Les caractéristiques de la douleur peuvent inclure la localisation, l'intensité, la qualité, la durée et les facteurs déclenchants. La douleur est généralement traitée avec des médicaments analgésiques, mais d'autres interventions telles que la thérapie physique, la chirurgie ou la psychothérapie peuvent également être utiles dans certains cas.
La psychothérapie par imagerie mentale est une forme de thérapie qui utilise la capacité d'une personne à créer et à manipuler des images mentales pour favoriser la guérison et le changement. Cette approche thérapeutique combine souvent des techniques cognitivo-comportementales avec des visualisations guidées et des exercices de relaxation.
L'objectif principal de cette forme de psychothérapie est d'aider les individus à identifier, à explorer et à modifier les schémas de pensée négatifs, les croyances limitantes et les émotions douloureuses qui peuvent contribuer à des problèmes mentaux ou émotionnels. En visualisant des scénarios alternatifs et en répétant mentalement de nouvelles façons de penser et de se comporter, les gens peuvent apprendre à remplacer leurs réponses automatiques négatives par des réactions plus saines et adaptatives.
La psychothérapie par imagerie mentale peut être utilisée pour traiter une variété de problèmes de santé mentale, y compris l'anxiété, la dépression, le stress post-traumatique, les phobies, les troubles de l'humeur et les douleurs chroniques. Elle est souvent pratiquée en séance individuelle avec un thérapeute formé dans cette approche, bien que des ressources d'auto-assistance soient également disponibles pour ceux qui souhaitent intégrer ces techniques dans leur routine quotidienne.
Il convient de noter que, comme toute forme de psychothérapie, la psychothérapie par imagerie mentale doit être pratiquée sous la supervision d'un professionnel qualifié pour assurer son efficacité et sa sécurité. Les personnes atteintes de problèmes de santé mentale graves ou complexes devraient consulter un médecin ou un autre prestataire de soins de santé mentale avant d'entreprendre tout traitement.
En termes médicaux, le « seuil de douleur » fait référence au niveau minimal d'intensité ou de stimulation sensorielle qui provoque la perception et la sensation de douleur chez un individu. Il s'agit essentiellement du point où une sensation douloureuse est ressentie pour la première fois, et cela peut varier considérablement d'une personne à l'autre en raison de facteurs tels que l'état psychologique, les antécédents de douleur, l'âge, le sexe, les facteurs génétiques et l'état de santé général.
Le seuil de douleur est souvent évalué dans le cadre d'examens cliniques ou de recherches scientifiques en utilisant divers types de stimuli, tels que la chaleur, le froid, la pression ou l'électricité. Ces tests peuvent aider à diagnostiquer des troubles ou des affections spécifiques qui affectent la perception de la douleur, tels que les neuropathies périphériques ou les lésions de la moelle épinière.
Il est important de noter que le seuil de douleur n'est pas un indicateur direct du niveau de dommage tissulaire ou de la gravité d'une blessure ; il reflète plutôt la sensibilité individuelle à la douleur. Par conséquent, une personne ayant un seuil de douleur plus élevé peut ne pas ressentir de douleur même en présence d'une lésion significative, tandis qu'une personne ayant un seuil de douleur plus faible peut ressentir une douleur intense même en réponse à des stimuli relativement légers.
Dans le contexte médical, la main est la partie terminale du membre supérieur qui comprend les os carpien, métacarpien et phalangien, ainsi que les muscles, tendons, ligaments, articulations, vaisseaux sanguins et nerfs associés. Elle est essentielle pour la préhension fine, la manipulation des objets et la communication tactile. La main humaine adulte moyenne contient 27 os, ce qui en fait l'une des structures anatomiques les plus complexes du corps. Les maladies courantes affectant la main comprennent les blessures traumatiques, les infections, les troubles dégénératifs comme l'arthrose et les affections neurologiques entraînant une perte de fonction.
La douleur incoercible, également connue sous le nom de douleur réfractaire ou douleur rebelle, est un terme utilisé pour décrire une douleur intense et persistante qui résiste à tous les traitements médicaux et interventionnels disponibles. Elle est souvent associée aux stades avancés de maladies chroniques telles que le cancer, ou à des affections neurologiques graves comme la neuropathie périphérique sévère ou la douleur centrale.
Cette forme de douleur est considérée comme un défi majeur dans la prise en charge de la douleur car elle peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie des patients, entraînant souvent une détresse psychologique et émotionnelle importante. Les stratégies thérapeutiques pour gérer la douleur incoercible peuvent inclure l'utilisation de médicaments opioïdes à fortes doses, des techniques de modulation de la douleur non pharmacologiques telles que la stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS), l'hypnose, la relaxation musculaire progressive, ainsi que des approches multidisciplinaires impliquant une équipe de spécialistes en soins palliatifs.
Cependant, malgré ces efforts, la douleur incoercible peut persister, ce qui souligne la nécessité de rechercher continuellement de nouvelles options thérapeutiques pour améliorer le confort et la qualité de vie des patients atteints de cette forme invalidante de douleur.
Les agents adrénergiques sont des substances chimiques qui activent les récepteurs adrénergiques, qui sont des protéines trouvées dans la membrane cellulaire. Ces récepteurs sont activés par des neurotransmetteurs tels que la noradrénaline et l'adrénaline (également connues sous le nom de catécholamines), qui sont libérées par les nerfs sympathiques dans le cadre du système nerveux autonome.
Les agents adrénergiques peuvent être des médicaments ou des substances endogènes (c'est-à-dire produites naturellement dans le corps) qui imitent l'action de ces neurotransmetteurs. Ils sont souvent utilisés pour traiter une variété de conditions médicales, telles que l'asthme, les allergies, l'hypotension artérielle, et certaines formes de maladie cardiaque.
Les agents adrénergiques peuvent être classés en fonction du type de récepteur adrénergique qu'ils activent. Les récepteurs adrénergiques les plus courants sont les récepteurs alpha et bêta. Les agonistes des récepteurs alpha comprennent la phényléphrine et la norépinéphrine, qui sont utilisées pour augmenter la pression artérielle. Les agonistes des récepteurs bêta comprennent l'albutérol et le terbutaline, qui sont utilisés pour dilater les bronches dans les poumons.
Cependant, il est important de noter que les agents adrénergiques peuvent également avoir des effets secondaires indésirables, tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une hypertension artérielle, des nausées, des vomissements, et des maux de tête. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance d'un professionnel de la santé.
L'hyperalgésie est un terme utilisé en médecine et en pharmacologie pour décrire une sensibilité accrue à la douleur. Il s'agit d'une hypersensibilité aux stimuli normalement perçus comme légèrement douloureux ou non douloureux, qui sont interprétés par le système nerveux central comme étant intensément douloureux. Cette condition peut être causée par une lésion tissulaire, une maladie ou des facteurs psychologiques. Elle peut également être un effet secondaire de certains médicaments ou traitements médicaux. L'hyperalgie est souvent associée à des conditions telles que le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), la neuropathie diabétique et la fibromyalgie.
La sympathectomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre intentionnellement la fonction du système nerveux sympathique, qui est une partie importante du système nerveux autonome. Ce système nerveux autonome contrôle les fonctions involontaires de l'organisme telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration, la digestion et la sudation.
La sympathectomie vise spécifiquement à perturber le trajet des nerfs sympathiques qui se propagent depuis la colonne vertébrale jusqu'aux organes cibles dans tout le corps. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter certaines affections médicales spécifiques, telles que l'hyperhidrose (transpiration excessive), l'hypertension artérielle réfractaire et certains types de douleurs chroniques neuropathiques.
Les techniques chirurgicales pour une sympathectomie peuvent inclure la cautérisation, la coupure ou le sectionnement des nerfs sympathiques à l'aide d'instruments spéciaux, tels que des lasers, des micro-ciseaux ou des courants électriques. Les effets de cette procédure peuvent être permanents ou réversibles, selon la méthode utilisée et l'étendue de l'intervention.
Comme pour toute intervention chirurgicale, la sympathectomie comporte des risques potentiels, tels que des saignements, des infections, des dommages aux structures nerveuses avoisinantes et d'autres complications liées à l'anesthésie. De plus, cette procédure peut entraîner des effets secondaires indésirables, comme la sudation compensatoire dans d'autres parties du corps, une hypotension orthostatique, une horripilation (poils hérissés) et des douleurs thoraciques. Par conséquent, il est essentiel que les patients soient correctement informés des avantages et des inconvénients de cette procédure avant de prendre une décision éclairée concernant leur traitement.
La dystonie est un trouble du mouvement caractérisé par des spasmes musculaires involontaires qui entraînent des contorsions ou des postures anormales. Ces spasmes peuvent affecter une seule partie du corps (focale), deux parties ou plus (segmentaire), plusieurs parties non reliées (multifocale) ou tout le corps (généralisée).
Les symptômes de la dystonie peuvent inclure des mouvements lents et répétitifs, une posture anormale, des tremblements et des douleurs. Dans certains cas, les symptômes peuvent être déclenchés ou aggravés par certaines activités ou positions.
La cause de la dystonie est inconnue dans la plupart des cas, mais elle peut être liée à une lésion cérébrale, à une maladie neurologique sous-jacente ou à un trouble génétique. Dans certains cas, la dystonie peut être traitée avec des médicaments, des injections de toxine botulique ou une intervention chirurgicale.
Il est important de noter que cette définition ne remplace pas l'avis médical et qu'il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour tout problème de santé.
La douleur chronique est une douleur qui persiste pendant 12 semaines ou plus, même après la guérison d'une maladie ou d'une blessure initiale. Elle peut être décrite comme étant constante ou intermittente et peut varier en intensité. Les personnes atteintes de douleur chronique peuvent également ressentir une fatigue, un sommeil perturbé, une diminution de l'appétit, une humeur dépressive et une réduction de la capacité à effectuer des activités quotidiennes.
La douleur chronique peut être causée par un certain nombre de facteurs, y compris les maladies chroniques telles que l'arthrite, le cancer, le diabète, les maladies neurologiques et les lésions de la moelle épinière, ainsi que les blessures répétitives ou les mauvaises postures. Dans certains cas, la cause de la douleur chronique peut être difficile à identifier.
Le traitement de la douleur chronique dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure une combinaison de médicaments, de thérapies physiques, de thérapies cognitivo-comportementales, d'interventions chirurgicales et de techniques complémentaires telles que l'acupuncture et la relaxation. Dans certains cas, la gestion de la douleur chronique peut être un défi à long terme et nécessiter une approche multidisciplinaire pour aider les personnes atteintes à gérer leur douleur et améliorer leur qualité de vie.
La thérapie par stimulation électrique est une forme de traitement médicinal qui consiste à utiliser des courants électriques à faible intensité pour provoquer des contractions musculaires ou bloquer la transmission des signaux nerveux. Elle est souvent utilisée pour soulager la douleur, favoriser la guérison des plaies et améliorer la fonction musculaire.
Il existe plusieurs types de thérapie par stimulation électrique, y compris la neurostimulation épidurale, la stimulation nerveuse périphérique, la stimulation électrique fonctionnelle et la ionophorèse. Ces techniques peuvent être utilisées pour traiter une variété de conditions, telles que les douleurs chroniques, les lésions nerveuses, les spasmes musculaires, les ulcères de jambe et l'incontinence urinaire.
La thérapie par stimulation électrique est généralement considérée comme sûre lorsqu'elle est administrée par un professionnel de la santé qualifié. Cependant, elle peut entraîner des effets secondaires tels que des réactions cutanées légères, des douleurs ou des crampes musculaires. Dans de rares cas, elle peut provoquer des étourdissements, une faiblesse musculaire ou une décharge électrique douloureuse. Il est important de discuter avec un professionnel de la santé des risques et des avantages potentiels de cette forme de thérapie.
Le syndrome fémoropatellaire est un terme utilisé pour décrire une combinaison de symptômes affectant l'articulation de la rotule (patella) et le tendon qui l'attache à l'os de la cuisse (fémur). Il est souvent caractérisé par des douleurs à l'avant du genou, en particulier lors de la montée ou de la descente des escaliers, de la course, du saut ou de s'accroupir.
Ces symptômes sont souvent associés à une instabilité de la rotule, une mauvaise alignement entre le fémur et la rotule (appelé «tracking»), une usure anormale de l'articulation ou une inflammation du tendon rotulien (tendinite). D'autres facteurs peuvent contribuer à ce syndrome, tels que des muscles de la cuisse déséquilibrés, une faiblesse musculaire, des pieds plats ou un excès de poids.
Le traitement du syndrome fémoropatellaire peut inclure des exercices de renforcement et d'étirement pour améliorer la force et la flexibilité des muscles de la cuisse, une orthèse de genou pour maintenir l'alignement de la rotule, une thérapie physique pour aider à réduire la douleur et l'inflammation, et dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire.
Les anesthésiques locaux sont des médicaments qui sont utilisés pour engourdir une partie spécifique du corps en bloquant les signaux de douleur envoyés aux nerfs. Ils fonctionnent en perturbant la capacité des cellules nerveuses à transmettre des impulsions électriques, ce qui entraîne une perte temporaire de sensation dans la zone traitée.
Les anesthésiques locaux sont souvent utilisés pendant les procédures médicales et dentaires pour soulager la douleur et permettre aux patients de se sentir plus à l'aise. Ils peuvent être administrés sous forme de crème, de gel, de spray, d'injection ou de patch cutané.
Les exemples courants d'anesthésiques locaux comprennent la lidocaïne, la prilocaïne, la bupivacaïne et la ropivacaïne. Ces médicaments sont généralement considérés comme sûrs lorsqu'ils sont utilisés correctement, mais ils peuvent entraîner des effets secondaires tels que des picotements, des engourdissements, des rougeurs et des douleurs au site d'injection. Dans de rares cas, une dose trop élevée peut provoquer des réactions allergiques graves, une baisse de la pression artérielle ou un rythme cardiaque anormal.
Il est important de suivre les instructions du médecin ou du dentiste lors de l'utilisation d'anesthésiques locaux et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant.
En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).
Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).
Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
Le syndrome de la douleur myofasciale (SDM) est un trouble musculo-squelettique courant caractérisé par des douleurs et une sensibilité accrues dans les muscles et les fascias (tissus conjonctifs qui enveloppent les muscles). Le SDM est souvent associé à la présence de trigger points, qui sont des zones localisées dans un muscle squelettique qui sont douloureuses lorsqu'elles sont pressées et peuvent provoquer une douleur ou une gêne référée à distance.
Les symptômes du SDM peuvent inclure une douleur musculaire persistante, une raideur, des crampes, des engourdissements ou des picotements dans la région affectée. La douleur peut varier en intensité et peut être aggravée par certaines activités ou positions. Dans certains cas, le SDM peut également entraîner une réduction de la mobilité articulaire et une diminution de la force musculaire.
Les causes du SDM sont souvent difficiles à identifier, mais peuvent inclure des facteurs tels que des blessures musculaires ou ligamentaires, une mauvaise posture, un stress chronique, une surutilisation ou une utilisation incorrecte des muscles, ainsi qu'un manque d'activité physique ou de mouvement.
Le traitement du SDM peut inclure une variété de techniques telles que la thérapie manuelle, les étirements, l'exercice thérapeutique, la relaxation musculaire, les techniques de libération myofasciale, ainsi que des médicaments tels que des analgésiques ou des relaxants musculaires. Dans certains cas, des injections de corticostéroïdes ou d'anesthésiques locaux peuvent être utilisées pour soulager la douleur et inactiver les trigger points.
Il est important de noter que le SDM peut être un trouble chronique qui nécessite une gestion à long terme, y compris des modifications du mode de vie telles qu'une meilleure posture, une activité physique régulière et une réduction du stress. Il est également important de travailler avec un professionnel de la santé qualifié pour établir un plan de traitement adapté à vos besoins spécifiques.
Analgésiques sont des médicaments utilisés pour soulager la douleur. Ils agissent en bloquant les signaux de douleur dans le cerveau et dans la moelle épinière. Il existe différents types d'analgésiques, allant des over-the-counter (OTC) analgésiques en vente libre, tels que l'acétaminophène et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l'ibuprofène et le naproxène, aux opioïdes plus forts qui nécessitent une prescription médicale.
Les analgésiques en vente libre sont généralement utilisés pour traiter la douleur légère à modérée, telle que les maux de tête, les douleurs musculaires et articulaires, et les menstruations douloureuses. Les opioïdes plus forts sont souvent utilisés pour traiter la douleur aiguë ou chronique sévère, telle que celle associée au cancer ou à une intervention chirurgicale.
Bien qu'utiles pour soulager la douleur, les analgésiques peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à fortes doses ou pendant de longues périodes. Les effets secondaires courants des analgésiques comprennent la somnolence, les étourdissements, les nausées et les constipations. Les opioïdes peuvent également entraîner une dépendance et une tolérance, ce qui peut conduire à une utilisation abusive et à des overdoses accidentelles.
Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques lors de la prise d'analgésiques et de consulter un médecin si la douleur persiste ou s'aggrave.
La névralgie est un terme médical qui décrit une douleur intense et paroxystique le long du trajet d'un nerf. Cette douleur est généralement causée par une irritation, une compression ou une lésion du nerf. Les névralgies peuvent affecter divers nerfs dans le corps, mais les plus courantes sont la névralgie du trijumeau (qui affecte le nerf facial) et la névralgie post-herpétique (qui peut survenir après une éruption de zona). Les symptômes peuvent inclure des brûlures, des picotements, des engourdissements et des décharges électriques douloureuses le long du trajet nerveux. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants, des antidépresseurs ou des interventions chirurgicales dans les cas graves.
L'angiographie par résonance magnétique (ARM) est une technique d'imagerie médicale non invasive utilisant un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images détaillées des vaisseaux sanguins. Contrairement à l'angiographie conventionnelle, qui nécessite l'injection de produit de contraste dans les vaisseaux sanguins par une ponction artérielle, l'ARM utilise un agent de contraste intraveineux pour améliorer la visualisation des vaisseaux sanguins.
Cette procédure permet aux médecins d'évaluer les malformations vasculaires, les rétrécissements ou les blocages des artères et des veines, ainsi que les anévrismes et les dissections vasculaires. Elle est souvent utilisée pour évaluer les vaisseaux sanguins du cerveau, du cou, du thorax, de l'abdomen et des membres inférieurs.
L'ARM est généralement considérée comme une procédure sûre avec peu d'effets secondaires. Cependant, certaines personnes peuvent présenter des réactions allergiques à l'agent de contraste utilisé pendant la procédure. De plus, les personnes portant des dispositifs médicaux internes, telles que des stimulateurs cardiaques ou des implants cochléaires, doivent informer leur médecin avant de subir une ARM, car ces dispositifs peuvent être affectés par le champ magnétique.
Les nerfs périphériques sont les parties du système nerveux qui se trouvent en dehors du cerveau et de la moelle épinière, qui constituent le système nerveux central. Ils forment un réseau complexe de fibres nerveuses qui transmettent des signaux entre le système nerveux central et les organes, les muscles et la peau.
Les nerfs périphériques sont responsables de la collecte d'informations sensorielles à partir du corps, telles que la douleur, le toucher, la température et la position des membres, et de les transmettre au cerveau pour traitement. Ils transportent également les signaux moteurs du cerveau aux muscles pour contrôler les mouvements volontaires et involontaires.
Les nerfs périphériques peuvent être classés en deux types principaux : les nerfs sensoriels, qui transmettent des informations sensorielles au cerveau, et les nerfs moteurs, qui transportent des signaux moteurs vers les muscles. Les nerfs mixtes contiennent à la fois des fibres nerveuses sensorielles et motrices.
Les dommages aux nerfs périphériques peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une perte de sensation dans certaines parties du corps. Les causes courantes de dommages aux nerfs périphériques comprennent les traumatismes, les infections, les maladies auto-immunes, le diabète et l'exposition à des toxines environnementales.
La physiothérapie modale, également connue sous le nom de thérapie physique modale, fait référence à différents types de traitements et d'approches utilisés par les physiothérapeutes pour aider à soulager la douleur, à améliorer la fonction et à promouvoir la guérison des blessures, des maladies ou des conditions médicales. Ces modalités peuvent inclure une variété de traitements, tels que :
1. Chaleur et froid : l'application de chaleur ou de froid peut aider à soulager la douleur, à réduire l'inflammation et à améliorer la circulation sanguine.
2. Électrothérapie : cette modalité utilise une faible impulsion électrique pour stimuler les muscles, ce qui peut aider à renforcer les muscles affaiblis ou à soulager la douleur.
3. Traction : la traction est utilisée pour étirer et décomprimer les articulations douloureuses ou enflammées, souvent dans le dos ou le cou.
4. Ultrason : l'ultrason utilise des ondes sonores à haute fréquence pour pénétrer profondément dans les tissus mous, ce qui peut aider à améliorer la circulation sanguine, à réduire l'inflammation et à détendre les muscles.
5. Thérapie au laser : cette modalité utilise un faisceau de lumière laser pour stimuler les cellules et favoriser la guérison des tissus endommagés.
6. Hydrothérapie : l'hydrothérapie utilise l'eau à des fins thérapeutiques, telles que la natation ou les exercices aquatiques, pour aider à améliorer la force, la flexibilité et la fonction physique.
7. Massothérapie : la massothérapie implique l'utilisation de techniques de massage pour détendre les muscles, améliorer la circulation sanguine et favoriser la relaxation.
Ces modalités peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres traitements tels que la physiothérapie, l'ergothérapie et la médecine conventionnelle pour aider à gérer les symptômes de diverses conditions médicales. Il est important de consulter un professionnel de la santé qualifié avant de commencer tout nouveau traitement ou thérapie.
Je suis désolé, mais la phrase "Cold Temperature" en elle-même ne peut pas être considérée comme une définition médicale. Cependant, les basses températures peuvent avoir des effets sur la santé humaine.
Un terme médical associé aux températures froides est l'hypothermie, qui est définie comme une température corporelle centrale inférieure à 35 degrés Celsius (95 degrés Fahrenheit), en raison d'une exposition prolongée à des températures extérieures froides ou à un refroidissement excessif du corps. L'hypothermie peut entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des lésions tissulaires, une insuffisance cardiaque et rénale, et dans les cas graves, la mort.
Il est important de noter que certaines personnes peuvent être plus sensibles aux effets des températures froides, y compris les jeunes enfants, les personnes âgées, et ceux qui ont des problèmes de santé sous-jacents, tels que des maladies cardiaques ou pulmonaires.
Les nocicepteurs sont des récepteurs sensoriels spécialisés qui détectent les stimuli potentiellement dommageables ou nocifs pour le tissu corporel. Ils sont sensibles à divers types de stimuli nocifs tels que la chaleur extrême, le froid extrême, les étirements excessifs, les pressions mécaniques intenses et certaines substances chimiques. Les nocicepteurs convertissent ces stimuli en signaux électriques qui sont transmis au cerveau via le système nerveux, où ils sont perçus comme des sensations douloureuses.
Il existe deux types de nocicepteurs : les nocicepteurs Aδ et les nocicepteurs C. Les nocicepteurs Aδ sont myélinisés et répondent rapidement aux stimuli nocifs, transmettant des signaux de douleur aiguë et bien localisée. Les nocicepteurs C sont non myélinisés et répondent plus lentement aux stimuli nocifs, transmettant des signaux de douleur diffuse et persistante.
Les nocicepteurs sont largement distribués dans tout le corps, en particulier dans la peau, les muscles, les articulations, les viscères et d'autres tissus. Leur activation entraîne une réponse de défense du corps pour éviter ou minimiser les dommages tissulaires. Cependant, une activation prolongée ou excessive des nocicepteurs peut contribuer au développement de diverses conditions douloureuses chroniques.
Un bloc nerveux est une procédure médicale dans laquelle un anesthésique local ou un autre médicament est injecté à proximité d'un nerf spécifique pour engourdir la région et bloquer la transmission des sensations douloureuses le long du nerf vers le cerveau. Il existe différents types de blocs nerveux, tels que les blocs nerveux périphériques, les blocs nerveux sympathiques et les blocs nerveux rachidiens, qui sont utilisés pour diverses procédures médicales et pour le traitement de la douleur chronique.
Les anesthésiques locaux utilisés dans les blocs nerveux peuvent être à court ou à longue durée d'action, en fonction du type de procédure et de la durée souhaitée de l'engourdissement. Les effets secondaires courants des blocs nerveux comprennent une faiblesse musculaire temporaire, une sensation de picotement ou de brûlure, et une douleur légère au site d'injection. Dans de rares cas, des complications telles que des lésions nerveuses permanentes, des infections ou des réactions allergiques peuvent survenir.
Les blocs nerveux sont généralement effectués par des anesthésistes, des médecins de la douleur ou des chirurgiens spécialement formés dans cette procédure. Avant de procéder à un bloc nerveux, le médecin discutera des risques et des avantages de la procédure avec le patient et obtiendra son consentement éclairé.
Syndrome douloureux régional complexe
Douleur
René Leriche
Douche écossaise
AND
Allodynie
BarlowGirl
Liste d'abréviations en médecine
Hyperperméabilité intestinale
Capsulite rétractile de l'épaule
Vaccin contre les infections à papillomavirus humain
Kéraunopathologie
Syndrome
Maladies du squelette
Résistance intérieure française
Rupture de ligament croisé
Suicide par police interposée
Trichocéphalose
Fièvre de la vallée du Rift
Ostéogenèse imparfaite
Diazépam
Protoxyde d'azote
Autisme
Maladies tropicales négligées
Grippe
Autisme en France
Syndrome de Cushing équin
Dengue
Fibromyalgie
Traumatisme majeur
Syndrome douloureux régional complexe - Wikipedia
EDN Item 199 : Syndrome douloureux régional complexe (ex algodystrophie)
Dys-tro-phie Sym-pa-the-tique Réflexe | Centre de Ressources pour les Patients Neuro - McGill University
La stimulation médullaire et l'infusion intrathécale : une combinaison de technique de neuromodulation dans les syndromes...
Actualités | Page 282 | santé log
Bien dormir malgré la douleur - Planete sante
Pierre-Alain Plan - Planete sante
Emilie Lagueux - Spécialistes - Recherche - Université de Sherbrooke
Syndrome douloureux régional complexe - Troubles du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs - Manuels MSD pour le grand...
Programme de formation continue | OPPQ
Coronavirus, Vaccins Et La Fondation Gates - Global ResearchGlobal Research | PDF | Pandémie | Fondation Bill-et-Melinda-Gates
PROGRAMME SCIENTIFIQUE
Conseils pour un bloc sympathique cervical - NYSORA | NYSORA
Communiqués de presse (année 2015) - Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse
Inflammation aiguë, inflammation chronique : arthrite rhumatoïde (AR) et ostéoarthrite (OA) - EM consulte
Expliquer la Douleur - Noigroup
Endométriose, aspect phénoménologique, fibromyalgie, syndrome douloureux, serrage dentaire
LIGAMENTOPLASTIE CHEVILLE
ARTHRODÈSE CARPO MÉTACARPIENNE
Définition De L'ostéoporose Et Ostéopénie, Vitamine D, Maladie Osseuse | Physiotherapie Pour Tous
Mémoires DIU 2019
'Douleur, le poison de notre organisme !' - Algoneurodystrophie...
système nerveux sympathique Archives - École Centrale d'Hypnose
DU DOULEUR ET MOTRICITE - SOFPEL
Quelles sont les contractions les plus douloureuses
CBD & algodystrophie - Dosage, efficacité, sous quelle forme, avis
Neuropathie - AQDC
La formation Lightning Process - Ann Grandchamp
Journées de la recherche CHU de Québec-Université Laval 2017: les lauréats! - Centre de recherche
Trois maladies rares du pied à connaître - PiedRéseau
SDRC15
- Syndrome douloureux régional complexe Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est un état pathologique caractérisé par un syndrome associant des douleurs et d'autres symptômes touchant typiquement une extrémité après un traumatisme ou une intervention chirurgicale même minime. (wikipedia.org)
- Depuis 1999, le syndrome douloureux régional complexe (SDRC, Complex Regional Pain Syndrome, CRPS) est un syndrome douloureux très précisément défini. (wikipedia.org)
- La stimulation de la moelle épinière (SME) compte parmi les traitements efficaces du syndrome douloureux régional complexe (SDRC). (chirurgiedeladouleur.fr)
- Le SDRC est un état douloureux qui survient le plus souvent après un traumatisme (fracture) ou une opération d'un membre. (planetesante.ch)
- Réalisé à l'initiative de l'équipe pluridisciplinaire ressource douleurs pédiatriques de l'hôpital des enfants du CHU de Toulouse, avec le financement de la fondation APICIL contre la douleur, « Algo : haltères & go » est un film original pour mieux comprendre et prendre en charge l'algodystrophie, dite aussi Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC). (chu-toulouse.fr)
- Dans la troisième partie, sera développé le rôle de l'IL-6 dans la douleur rencontrée dans de nombreux syndromes chroniques : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), les douleurs neuropathiques, les douleurs neuropathiques périphériques induites par les chimiothérapies anticancéreuses, les douleurs chroniques rencontrées dans les maladies immuno-inflammatoires du système nerveux central, les douleurs chroniques du cancer, les douleurs chroniques pelviennes de l'endométriose, les douleurs chroniques post-opératoires. (em-consulte.com)
- 1. Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC). (lescarnetsdemami.fr)
- Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) ou anciennement appelé algoneurodystrophie ou syndrome algo-neuro-dystrophie est une. (alicemeuter.com)
- Non, la dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1) n'est pas une maladie courante comme une infection des voies respiratoires supérieures, des douleurs à l'estomac ou des maux de tête. (gesundmd.com)
- Diverses études de recherche portant sur l'admission aux urgences et le centre de traumatologie suggèrent que le traumatisme est l'une des causes courantes de la dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou du syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1). (gesundmd.com)
- Une étude portant sur 33 patients suggère que 73 % des patients ont développé une dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou un syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1) à la suite d'un traumatisme. (gesundmd.com)
- 1 La dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou le syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1) n'est pas une maladie courante, mais le traumatisme est la cause fréquente de la dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou du syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1). (gesundmd.com)
- La plupart des cas de dystrophie sympathique réflexe (DSR) ou de syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1) sont diagnostiqués par un examen clinique et des études en laboratoire. (gesundmd.com)
- Ces patients ont été interprétés comme étant compatibles avec le diagnostic de dystrophie sympathique réflexe (RSD) ou Syndrome douloureux régional complexe (SDRC de type 1). (gesundmd.com)
- Encore appelé Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC), l'algodystrophie est une douleur continue dans une partie du corps. (smartfinanceplatform.eu)
Douleur9
- SYNDROME DOULOUREUX régional complexe: La seule vision de la douleur peut faire très mal! (santelog.com)
- Le syndrome douloureux régional complexe est une douleur neuropathique chronique qui se caractérise par une sensation continue de brûlure ou de douleur, accompagnée de certaines anomalies dans la zone douloureuse. (msdmanuals.com)
- Le syndrome douloureux régional complexe provoque une douleur neuropathique. (msdmanuals.com)
- Dans ce syndrome, les signaux de la douleur sont traités de façon anormale par le cerveau et la moelle épinière. (msdmanuals.com)
- Un bloc sympathique cervical est effectué pour gérer les patients souffrant de diverses conditions de douleur, y compris le syndrome douloureux régional complexe et la maladie vasculaire périphérique. (nysora.com)
- Dans tous les syndromes que nous allons aborder dans cette revue divisée en trois articles, le fil conducteur sera la douleur chronique qui en reste une des caractéristiques principales. (em-consulte.com)
- Expliquer la douleur vise à offrir aux cliniciens et aux personnes douloureuses la possibilité de remettre en question leur vision de la douleur, et d'envisager de nouveaux modèles de conception sur ce qui se passe lors de douleurs. (noigroup.com)
- Cette connaissance est applicable aux jeunes comme aux plus âgés, depuis la lombalgie jusqu'à l'hémiplégie, la douleur généralisée ou encore les complexités de la douleur fantôme et du syndrome douloureux régional complexe. (noigroup.com)
- La douleur neuropathique périphérique est une douleur qui se produit dans les nerfs situés à l'extérieur de la moelle épinière, comme ceux de vos poignets, lorsque vous souffrez du syndrome du tunnel carpien, ou de votre peau, dans le cas de la neuropathie diabétique. (aqdc.info)
Douleurs4
- Cet abord phénoménologique nous conduira bien évidement à considérer les douleurs pelviennes chroniques sous l'angle de la désadaptation posturale ou syndrome de déficience postural. (osteopatheaparis.fr)
- Sous cet éclairage nous ferons le lien entre le syndrome de serrage dentaire, le clenching ou encore bruxisme centré et les douleurs pelviennes chroniques. (osteopatheaparis.fr)
- En cas de refus de l'intervention l'articulation carpo métacarpienne restera douloureuse et les douleurs augmenteront d'intensité, la main perdra de la force dans les prises. (epaulemain.fr)
- Les personnes affectées de ce syndrome rare du pied le sont de naissance, mais les douleurs et les gênes peuvent ne se manifester qu'à l'âge adulte. (piedreseau.com)
Complex Regional1
- Andrea (Argentina), 38, is diagnosed with complex regional pain syndrome (CRPS) or Sudeck's atrophy after a prolonged clinical picture of pain, swelling and loss of mobility in her right hand, which includes an episode of phlebitis. (drpinal.com)
Chroniques1
- Cette revue sur l'IL-6 est donc divisée en trois parties : la première est centrée sur son rôle dans l'inflammation aiguë et chronique et plus particulièrement dans les deux syndromes inflammatoires chroniques de l'arthrite rhumatoïde (AR) et de l'ostéoarthrite (OA). (em-consulte.com)
Fibromyalgie1
- syndrome polyalgique idiopathique diffus ( fibromyalgie ) (qui n'est toutefois considéré en France que comme un syndrome). (wikipedia.org)
Survient2
- Parfois, un syndrome douloureux régional complexe survient lorsque le système nerveux sympathique devient hyperactif. (msdmanuals.com)
- Cette pathologie aussi connue sous le nom de syndrome régional douloureux complexe survient généralement après un traumatisme ou une blessure, ayant eu ou non un impact sur le système nerveux, et touche majoritairement la population adulte. (piedreseau.com)
Traitement3
- le Protectomètre , manuel destiné aux patients, qui permet à une personne et à son thérapeute de cartographier son expérience douloureuse, de comprendre tous les facteurs qui l'influencent, et de développer un programme personnalisé d'éducation thérapeutique et de traitement. (noigroup.com)
- Maladie, phénomène ou syndrome de Raynaud : diagnostic et traitement. (santedefaire.fr)
- Continuer la lecture Maladie, phénomène ou syndrome de Raynaud : diagnostic et traitement. (santedefaire.fr)
D'un1
- Le SDRCI est une complication secondaire d'un traumatisme de l'appareil locomoteur, évoluant vers un tableau douloureux pouvant être très invalidant. (pole-sthelier.fr)
Chronique1
- Réflexions sur le syndrome chronique des loges. (sfrm-gemmsor.fr)
Maladie1
- Le syndrome douloureux régional complexe est souvent mal diagnostiqué, une scintigraphie osseuse donne la possibilité de diagnostiquer la maladie. (wikipedia.org)
Pathologie2
- Conçu pour une large diffusion, ce court-métrage (deux versions : une pour le grand public et une pour les professionnels de santé) est un outil de médiation inédit pour une pathologie complexe et encore mal connue. (chu-toulouse.fr)
- C'est une pathologie très Douloureuse d'une durée de plus de 3 mois. (algoneurodystrophie-sdrc-astucesetconseils.com)
Articulaire1
- Le syndrome douloureux régional complexe peut entraîner certaines formes de raideur articulaire. (wikipedia.org)
Nombreux syndromes1
- L'IL-6 joue un rôle vital dans la défense de l'organisme et dans le maintien de l'homéostasie, et l'augmentation de sa production est à l'origine de nombreux syndromes. (em-consulte.com)
D'une2
- Elle génère une déminéralisation douloureuse importante d'une ou plusieurs articulations, associée à des phénomènes para-articulaires, cutanés, capsulo-ligamentaires, vasculaires et nerveux. (algoneurodystrophie-sdrc-astucesetconseils.com)
- Elles ne sont pas douloureuses, de faible ampleur et peu fréquentes (pas plus d'une dizaine par jour). (lescarnetsdemami.fr)
Neurologiques1
- Ce syndrome pourrait être dû à des causes neurologiques, notamment une dysfonction des fibres de petit calibre des nerfs périphériques - qui protègent des stimulations douloureuses et thermiques et/ou de grand calibre qui détectent les stimulations tactiles. (wikipedia.org)
Prise en charge1
- BLOCALGO est une étude clinique observationnelle conduite dans le cadre de la prise en charge du Syndrome Douloureux Régional Complexe de type I (SDRCI). (pole-sthelier.fr)
Raideur1
- Dans l'exemple suivant, on voit que l'association céphalée + vomissements + raideur de la nuque + photophobie constitue un syndrome méningé traduisant l'irritation des méninges (plus précisément l'inflammation de l'espace sous-arachnoïdien ). (wikipedia.org)
Signes cliniques1
- Un syndrome est un ensemble de symptômes (de signes cliniques ) qu'un patient est susceptible de présenter simultanément lors de certaines maladies , ou bien dans des circonstances cliniques d'écart à la norme pas nécessairement pathologiques. (wikipedia.org)
Femmes1
- Le syndrome douloureux régional complexe se rencontre à tout âge chez l'adulte avec une prédominance féminine (trois femmes pour un homme). (wikipedia.org)
Diagnostic1
- dystrophie sympathique réflexe (correspond au sous-type I). Le syndrome douloureux régional complexe est un diagnostic d'élimination. (wikipedia.org)
Pratiques1
- Nouvelle lecture du syndrome douloureux régional complexe - Applications pratiques. (sfrm-gemmsor.fr)
Chirurgicale1
- Dans le cas des exostoses multiples douloureuses, et dont le volume porte atteinte à la mobilité du pied, il est possible de procéder à une intervention chirurgicale avec un médecin spécialiste. (piedreseau.com)
SUJET1
- Le sujet de cette étude, le sexe, est très complexe. (revistaoe.com.br)
Devient1
- La peau de la zone touchée devient sensible et la région douloureuse est gonflée. (piedreseau.com)
Soulager1
- Les coureurs l'apprécieront après une longue course pour favoriser la récupération sportive ou pour soulager le syndrome de l'essuie-glace (tendinite du genou). (climsom.com)
Peau1
- Par conséquent, un contact normal avec la peau est ressenti comme très douloureux. (msdmanuals.com)
Souvent1
- Prise très tôt (souvent rare) la silice donne de bons résultats, éviter les blocs et autres thérapies douloureuses et souvent inutiles[réf. (wikipedia.org)