Syndrome Post-Commotionnel
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Le syndrome post-commotionnel (SPC), également connu sous le nom de troubles persistants après une commotion cérébrale, est un ensemble complexe et varié de symptômes qui peuvent apparaître après un traumatisme crânien léger ou une commotion cérébrale. Bien que la plupart des gens se rétablissent complètement après une commotion cérébrale en quelques semaines, environ 10 à 30 % des personnes peuvent développer des symptômes persistants qui caractérisent le SPC.
Les symptômes du syndrome post-commotionnel peuvent être physiques, cognitifs et émotionnels. Ils comprennent généralement:
1. Céphalées et vertiges
2. Fatigue, somnolence ou insomnie
3. Difficultés de concentration, de mémoire et d'apprentissage
4. Irritabilité, anxiété ou dépression
5. Sensibilité accrue aux stimuli sensoriels, tels que la lumière vive, les bruits forts et les odeurs intenses
6. Troubles de l'équilibre et de la coordination
7. Nausées et vomissements
8. Vision floue ou double
9. Difficultés de jugement et de prise de décision
10. Changements de personnalité et du comportement social
La durée et l'intensité des symptômes du syndrome post-commotionnel peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Dans certains cas, les symptômes peuvent persister pendant des mois ou même des années après la blessure initiale. Le diagnostic et le traitement du SPC nécessitent une évaluation approfondie par un professionnel de la santé formé pour détecter et gérer ces troubles. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, une thérapie cognitive et comportementale, une réadaptation physique et des changements de mode de vie.
Une commotion cérébrale est une forme de lésion cérébrale traumatique légère généralement causée par une force ou un choc violent à la tête. Elle peut également résulter d'un impact à une autre partie du corps qui transmet une force significative au cerveau.
Les symptômes d'une commotion cérébrale peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, de la fatigue, de la confusion, des problèmes de mémoire, des difficultés d'équilibre, des étourdissements, une vision trouble, une sensibilité accrue à la lumière et au bruit, des changements d'humeur, et dans certains cas, une perte de conscience temporaire. Cependant, la perte de conscience n'est pas toujours présente dans toutes les commotions cérébrales.
La plupart des symptômes disparaissent spontanément en quelques semaines, mais dans certains cas, ils peuvent durer plus longtemps ou entraîner des complications à long terme. Il est crucial de consulter un médecin après avoir subi un traumatisme crânien, même s'il n'y a pas de symptômes évidents, car certaines commotions cérébrales peuvent être difficiles à diagnostiquer et des lésions plus graves peuvent ne pas être immédiatement apparentes.
Le repos et la réduction des activités mentales et physiques sont généralement recommandés après une commotion cérébrale pour favoriser la guérison. Dans certains cas, un suivi médical et une thérapie peuvent être nécessaires pour aider à gérer les symptômes persistants.
Les traumatismes de l'encéphale, également connus sous le nom de traumatismes crâniens, sont des dommages physiques au cerveau résultant d'un choc ou d'une blessure à la tête. Ces traumatismes peuvent être causés par une variété de facteurs, tels que des accidents de voiture, des chutes, des agressions physiques ou des sports de contact.
Les traumatismes de l'encéphale peuvent être classés en deux catégories principales : les traumatismes fermés et les traumatismes pénétrants. Les traumatismes fermés se produisent lorsqu'il n'y a pas de pénétration de l'objet dans le crâne, mais que la tête subit un impact violent qui fait bouger le cerveau à l'intérieur du crâne. Les traumatismes pénétrants, en revanche, se produisent lorsqu'un objet pénètre dans le crâne et endommage directement le tissu cérébral.
Les symptômes des traumatismes de l'encéphale peuvent varier considérablement en fonction de la gravité de la blessure. Les symptômes légers peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, une vision floue ou double, des nausées et des vomissements, ainsi que des difficultés de concentration ou de mémoire. Les traumatismes plus graves peuvent entraîner des convulsions, une perte de conscience, une paralysie, des problèmes de langage ou de communication, ainsi que des troubles émotionnels et comportementaux.
Le traitement des traumatismes de l'encéphale dépend de la gravité de la blessure. Les traumatismes légers peuvent être traités avec du repos, des analgésiques et une surveillance médicale. Les traumatismes plus graves peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour réparer les dommages au cerveau ou à la moelle épinière, ainsi qu'une réadaptation pour aider les patients à retrouver leurs fonctions normales. Dans les cas les plus graves, les traumatismes de l'encéphale peuvent entraîner des handicaps permanents ou même la mort.
Les traumatismes sportifs sont des lésions physiques qui se produisent lors de la pratique d'un sport ou d'une activité physique. Ils peuvent résulter d'un impact direct, d'une torsion excessive, d'une surutilisation ou d'un mauvais mouvement. Les traumatismes sportifs peuvent affecter les os, les muscles, les tendons, les ligaments et les articulations.
Les exemples courants de traumatismes sportifs incluent les entorses de la cheville, les foulures des muscles, les fractures osseuses, les luxations articulaires, les tendinites et les bursites. Les symptômes peuvent varier en fonction de la gravité de la blessure, allant de douleurs légères à des douleurs aiguës, un gonflement, une ecchymose, une perte de fonction ou une incapacité à bouger la partie du corps affectée.
Le traitement dépend de la gravité de la blessure et peut inclure le repos, la glace, la compression, l'élévation (RICE), des médicaments contre la douleur et l'inflammation, une immobilisation ou une intervention chirurgicale dans les cas graves. La prévention des traumatismes sportifs implique généralement un échauffement adéquat, des étirements appropriés, une technique correcte, l'utilisation de l'équipement de protection approprié et la reconnaissance des signes de fatigue ou de surmenage.
Une checklist, également connue sous le nom de liste de contrôle ou de procédure, est un outil utilisé dans le domaine médical pour s'assurer que toutes les étapes importantes d'un processus sont suivies et achevées correctement. Il s'agit généralement d'une liste écrite ou imprimée de tâches à accomplir, qui peuvent être cochées une fois qu'elles ont été effectuées.
Les checklists sont souvent utilisées dans des situations où il est important de ne pas omettre de petites étapes cruciales, telles que la préparation d'un bloc opératoire pour une intervention chirurgicale ou l'administration de médicaments à un patient. Elles peuvent également être utilisées pour aider à la communication et à la coordination entre les membres de l'équipe médicale, en s'assurant que tout le monde est sur la même longueur d'onde quant aux tâches à accomplir.
Les checklists ont été démontrées comme étant un outil efficace pour améliorer la sécurité et la qualité des soins médicaux, en réduisant les erreurs et les omissions. Elles sont souvent utilisées dans les hôpitaux et les cliniques, ainsi que dans d'autres contextes de soins de santé tels que les centres de traitement ambulatoire et les maisons de retraite.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
Les tests neuropsychologiques sont une évaluation structurée et standardisée d'une variété de fonctions cognitives et comportementales. Ils sont utilisés pour aider à diagnostiquer, évaluer la gravité et suivre les progrès des troubles du cerveau et du système nerveux, tels que les lésions cérébrales, les maladies neurodégénératives (comme la maladie d'Alzheimer), les troubles mentaux, les troubles d'apprentissage et les handicaps développementaux.
Les tests peuvent évaluer divers aspects de la cognition, y compris la mémoire, l'attention, le langage, la perception visuelle spatiale, les fonctions exécutives (comme la planification et la résolution de problèmes), et les capacités psychomotrices. Les professionnels de la neuropsychologie utilisent ces tests pour comprendre comment différentes régions du cerveau contribuent à ces fonctions et comment des dommages ou des maladies peuvent affecter le fonctionnement cognitif et comportemental.
Les résultats des tests neuropsychologiques sont souvent comparés aux normes établies pour des groupes d'âge, d'éducation et de sexe similaires pour interpréter les performances. Les professionnels de la santé peuvent utiliser ces informations pour élaborer des plans de traitement individualisés, suivre l'évolution de la maladie ou des blessures et déterminer l'aptitude à certaines tâches ou activités.
Je suis désolé, mais 'drame' n'a pas de définition médicale. Le terme 'drame' est généralement utilisé dans le contexte du théâtre, de la littérature ou du cinéma pour décrire une pièce de théâtre, un roman, un film ou une situation qui implique des conflits, des émotions fortes et des rebondissements inattendus.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La schizophrénie est un trouble mental sérieux et complexe qui affecte la pensée, les émotions, et le comportement d'une personne. Elle se caractérise généralement par une perte de contact avec la réalité (psychose), des hallucinations (généralement auditives), des délires, un discours désorganisé, des mouvements anormaux, un manque d'expression émotionnelle, et une diminution de la motivation et du plaisir (anhédonie). Ces symptômes peuvent entraver la capacité d'une personne à fonctionner normalement dans la société, au travail, ou dans les relations interpersonnelles.
La schizophrénie est souvent considérée comme un spectre de troubles, ce qui signifie que les symptômes et leur gravité peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Elle touche environ 1% de la population mondiale et peut affecter les hommes et les femmes de tous âges, bien qu'elle se manifeste le plus souvent à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
Bien que la cause exacte de la schizophrénie ne soit pas entièrement comprise, on pense qu'elle résulte d'une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux et neurologiques. Il n'existe actuellement aucun test diagnostique unique pour la schizophrénie, et le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, des antécédents familiaux, des observations comportementales et des tests de laboratoire pour exclure d'autres causes potentielles.
Le traitement de la schizophrénie implique généralement une combinaison de médicaments antipsychotiques, de thérapies psychosociales et de soutien par les pairs ou familial. Avec un traitement et des soins appropriés, de nombreuses personnes atteintes de schizophrénie peuvent mener une vie productive et épanouissante.
La schizophrénie paranoïde est un type spécifique de schizophrénie, un trouble mental grave et complexe. Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), qui est largement utilisé pour diagnostiquer les troubles mentaux, la schizophrénie paranoïde se caractérise principalement par l'existence d'au moins deux symptômes d'un groupe de symptômes positifs pendant une période continue d'une semaine ou plus. Ces symptômes positifs incluent des délires, souvent avec un thème paranoïaque ou grandiose, et des hallucinations, en particulier auditives, qui peuvent avoir un contenu thématique paranoïde. Les préoccupations paranoïdes et les soupçons sont typiquement systématisés et persistants.
Contrairement à d'autres types de schizophrénie, la schizophrénie paranoïde ne présente généralement pas de symptômes négatifs importants, tels qu'un retrait social ou émotionnel, une diminution de l'expression faciale, un manque d'intérêt ou de plaisir pour la vie, ou une baisse des capacités cognitives. Cependant, certains patients atteints de schizophrénie paranoïde peuvent présenter des symptômes négatifs moins sévères.
Il est important de noter que les personnes atteintes de schizophrénie paranoïde ne présentent pas nécessairement un comportement agressif ou violent, contrairement à certaines perceptions courantes. Cependant, la présence de délires paranoïdes peut conduire à des réactions défensives ou hostiles si elles se sentent menacées.
Le traitement de la schizophrénie paranoïde implique généralement une combinaison de médicaments antipsychotiques et de thérapies psychosociales, telles que la réadaptation sociale, l'éducation des patients et des familles, et le counseling individuel ou de groupe. Les résultats du traitement peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, mais un traitement précoce et continu est généralement associé à de meilleurs résultats.
La psychologie des schizophrènes se réfère à l'étude et la compréhension du fonctionnement cognitif, affectif et comportemental des personnes atteintes de schizophrénie. Il s'agit d'une branche spécialisée de la psychopathologie qui vise à décrire, expliquer et prédire les symptômes et le cours de la schizophrénie.
Les schizophrènes présentent souvent des difficultés dans divers domaines cognitifs, tels que la mémoire, l'attention, la perception, le langage et les fonctions exécutives. Ils peuvent également présenter des anomalies dans la régulation émotionnelle et la théorie de l'esprit, ce qui peut entraver leur capacité à comprendre et à répondre aux situations sociales.
Les psychologues des schizophrènes utilisent une variété de méthodes d'évaluation et d'intervention pour comprendre et traiter la schizophrénie. Ces méthodes peuvent inclure des entretiens cliniques, des tests neuropsychologiques, des observations comportementales, des évaluations fonctionnelles et des interventions thérapeutiques telles que la thérapie cognitivo-comportementale et la réhabilitation sociale.
L'objectif global de la psychologie des schizophrènes est d'améliorer la compréhension de la schizophrénie, de développer des interventions efficaces pour améliorer les symptômes et le fonctionnement des personnes atteintes de schizophrénie, et d'améliorer la qualité de vie des personnes touchées par cette maladie complexe et débilitante.
Un délire est un trouble mental caractérisé par des idées ou des croyances bizarres, fixes et erronées qui sont souvent accompagnées d'une confusion, d'un manque de clarté de la pensée, d'un discours incohérent et d'un comportement désorganisé. Les délires peuvent être le résultat d'une maladie médicale sous-jacente, telle qu'une infection, une lésion cérébrale ou un trouble psychiatrique, comme la schizophrénie. Ils peuvent également être causés par l'utilisation de certains médicaments ou drogues. Les délires peuvent être dangereux pour le patient ou pour les autres, car ils peuvent conduire à des comportements impulsifs et imprévisibles. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une thérapie ou une combinaison des deux.
Les hallucinations sont des perceptions sensorielles sans objet externe ou stimulus correspondant. Elles peuvent affecter n'importe lequel des cinq sens, mais les plus courantes concernent la vue et l'ouïe. Par exemple, une personne peut voir des choses qui ne sont pas là (hallucinations visuelles) ou entendre des voix quand personne ne parle (hallucinations auditives). Les hallucinations peuvent être un symptôme de diverses conditions médicales et psychiatriques, y compris les troubles psychotiques tels que la schizophrénie, le trouble bipolaire, la démence ou certaines maladies neurologiques. Elles peuvent également survenir en raison d'un traumatisme crânien, d'une privation sensorielle prolongée, d'un manque de sommeil, de l'utilisation de certains médicaments ou drogues, ou même d'une expérience extrêmement stressante. Il est important de noter que les hallucinations sont subjectives et ne concernent que la personne qui les vit; elles ne sont pas visibles ni audibles par les autres.
Les troubles paranoïaques, selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), sont un groupe de conditions caractérisées par la présence d'une pensée paranoïaque persistante sans cause apparente. La pensée paranoïaque est une idée délirante qui implique que d'autres personnes ont des intentions hostiles ou malveillantes.
Il existe plusieurs types de troubles paranoïaques, y compris le trouble delirant, le trouble de la persécution (paranoïa), le trouble schizophréniforme et le trouble schizoïde. Le trouble delirant est caractérisé par l'apparition soudaine d'un délire sans aucune autre symptomatologie psychotique. Les délires sont souvent bizarres et farfelus. Dans le trouble de la persécution (paranoïa), les individus ont une préoccupation délirante d'être persécutés.
Les autres symptômes courants des troubles paranoïaques peuvent inclure la suspicion excessive, l'hostilité, la colère, la méfiance, l'isolement social et des réponses inhabituelles ou inappropriées aux situations interpersonnelles. Les personnes atteintes de ces troubles ont souvent du mal à établir des relations étroites en raison de leur méfiance et de leur hostilité envers les autres.
Les causes sous-jacentes des troubles paranoïaques ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'une combinaison de facteurs biologiques, psychologiques et environnementaux. Le traitement peut inclure une thérapie psychologique, des médicaments antipsychotiques ou une combinaison des deux.
Je suis désolé, "Monde grec" n'est pas un terme médical. Il peut être relié à l'histoire, la culture ou les études classiques. Le Monde grec fait généralement référence à la civilisation et à la sphère d'influence de la Grèce antique, qui a eu une grande importance dans le développement de la philosophie, des sciences, des arts et de la démocratie. Cependant, si vous avez des questions sur un terme médical particulier, n'hésitez pas à me le demander et je ferai de mon mieux pour vous fournir une réponse!
Je suis désolé, "Histoire Ancienne" ne semble pas être un terme médical. Le terme "Anamnèse" est cependant largement utilisé dans le domaine médical et fait référence à l'histoire entière de la santé d'un patient, y compris les antécédents médicaux, les allergies, les habitudes de vie, les facteurs environnementaux et familiaux. L'anamnèse est une partie cruciale de l'examen physique et permet au médecin de poser un diagnostic précis et de planifier un traitement approprié.
'Practice Guidelines as Topic' est un sujet qui fait référence aux lignes directrices établies par des organisations médicales ou des sociétés professionnelles pour aider les professionnels de la santé à prendre des décisions cliniques éclairées. Ces lignes directrices sont basées sur les meilleures preuves disponibles et sont conçues pour améliorer la qualité des soins, réduire les variations dans la pratique et promouvoir des résultats optimaux pour les patients.
Les practice guidelines peuvent couvrir une variété de sujets, tels que le diagnostic, le traitement, la prévention et la gestion des maladies et des affections. Elles peuvent également fournir des recommandations sur les tests diagnostiques, les médicaments, les procédures chirurgicales, les options de traitement non pharmacologiques et les soins de suivi.
Les practice guidelines sont généralement élaborées par des comités d'experts en la matière qui examinent et évaluent les données probantes disponibles à partir d'études cliniques, d'essais contrôlés randomisés, de méta-analyses et d'autres sources. Les lignes directrices sont souvent mises à jour régulièrement pour refléter les dernières preuves et les développements dans le domaine médical.
Il est important de noter que les practice guidelines ne sont pas des règles strictes, mais plutôt des outils d'aide à la décision clinique. Les professionnels de la santé doivent toujours prendre en compte les besoins individuels et les préférences des patients lorsqu'ils prennent des décisions de traitement.
MedlinePlus est un service de la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis, qui fournit des informations grand public sur les conditions de santé, les drogues, les suppléments, et les soins de santé proposés aux consommateurs. Il offre des descriptions détaillées de maladies, des explications sur les tests diagnostiques, des images anatomiques, des vidéos éducatives, des actualités médicales et des liens vers des articles de recherche clinique. Les informations sont disponibles en plusieurs langues et sont rédigées dans un langage simple et accessible pour le grand public. MedlinePlus ne propose pas de conseils médicaux personnalisés, mais il peut être une ressource utile pour les patients et leurs familles qui cherchent à s'informer sur des questions de santé spécifiques.
Je suis désolé, mais il y a apparemment une certaine confusion dans votre question. L'expression "Histoire Médiévale" se réfère généralement à la période historique du Moyen Âge, et non pas à un terme médical. Le Moyen Âge est une époque de l'histoire européenne qui s'étend d'environ le Ve siècle au XVe siècle. Il suit la chute de l'Empire romain d'Occident et précède la Renaissance.
Si vous cherchez des informations sur l'histoire de la médecine pendant cette période, je peux vous fournir quelques détails. Pendant le Moyen Âge, la médecine était influencée par les enseignements d'Hippocrate et de Galien, ainsi que par les croyances religieuses et spirituelles. Les médecins de cette époque combinaient souvent des traitements basés sur la compréhension des humeurs et des éléments avec des pratiques spirituelles et religieuses. Les hôpitaux ont commencé à apparaître au cours de cette période, offrant des soins aux pauvres et aux malades. La médecine islamique a également prospéré pendant cette période, faisant d'importantes contributions dans des domaines tels que la chirurgie, la pharmacologie et l'anatomie.
Syndrome post-commotionnel
Traumatisme crânien
Corey Koskie
David Wright (baseball)
Syndrome commotionnel
Sidney Crosby
Darin Downs
Joseph Thornton
SPC
Jane McGonigal
Ian Laperrière
Structured Inventory of Malingered Symptomatology
José Offerman
Mike Cameron
Ievgueni Malkine
Paul Kariya
Justin Morneau
Obusite
Mike Matheny
Trouble de stress post-traumatique
Adam Greenberg (baseball)
Aboulie
Syndrome
Kieran Low
CIM-10 Chapitre 05 : Troubles mentaux et du comportement
Hyperacousie
Syndrome post-commotionnel - Wikipedia
Prédiction des symptômes post-commotionnels chez l'enfant - Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères
Banville, Frédéric
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La commotion cérébrale du sportif amateur : quelle est la place du médecin généraliste dans sa prise en charge ?
Décisions | Chambre des assurances sociales de la Cour de justice Cour de droit public
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Schizophrénie paranoïde - Wikipédia
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Commotion liée aux sports - Lésions et intoxications - Manuels MSD pour le grand public
Troubles névrotiques, de la personnalité et autres non psychotiques (300-316) | CépiDc
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AJNS - African Journal of Neurological Sciences | » PRISE EN CHARGE DES PLAIES CRÂNIO-CÉRÉBRALES DE L'ENFANT (A PROPOS DE 60...
Articles homonymes1
- Pour les articles homonymes, voir syndrome (homonymie) . (wikipedia.org)
Traumatisme3
- Historiquement, le terme SPC était aussi utilisé en référence aux symptômes physiques immédiats ou post-commotionnels suivant un traumatisme crânien léger ou une commotion cérébrale. (wikipedia.org)
- Des experts du Canada et des États-Unis ont développé une échelle de risque qui, appliquée aux enfants dans les quarante-huit heures après un traumatisme crânien, s'est avérée un outil beaucoup plus efficace pour prédire un syndrome post-commotionnel que le diagnostic posé par le médecin de l'enfant. (gouv.fr)
- Une méta-analyse parue dans le Journal Head Traum Rehabil en 2019 réalisée chez des vétérans et des civils a montré que chez les individus ayant eu une commotion cérébrale, 27,1% développent un syndrome post traumatique contre 11 % chez ceux qui n'ont pas eu de traumatisme crânien (les anciens militaires y étant plus sujets que les civils). (medscape.com)
Neurologues2
- A l'inverse dans le syndrome post-commotionnel, on peut avoir des comportements d'évitement, des flashback, des difficultés psychiques sur un événement déclencheur qui l'on pourrait attribuer intuitivement à un syndrome post-traumatique », souligne le Dr Granon qui ajoute : « souvent les psychiatres voient le syndrome de stress post-traumatique alors que les neurologues et les rééducateurs voient le syndrome post-commotionnel. (medscape.com)
- Souvent les psychiatres voient le syndrome de stress post-traumatique alors que les neurologues et les rééducateurs voient le syndrome post-commotionnel. (medscape.com)
Diagnostic1
- Les symptômes qui peuvent orienter vers le diagnostic de TSPT sont un syndrome de répétition, un syndrome d'évitement, un syndrome d'hyperactivation neurovégétative, et une altération des cognitions et de l'humeur. (medscape.com)
D'un3
- Deux conditions doivent être réunies pour parler de syndrome de stress post-traumatique : le patient doit avoir été exposé à un événement traumatique et les symptômes doivent se développer à partir d'un mois après l'événement initial. (medscape.com)
- Dans une perspective clinique, le fait de rapporter trois symptômes ou plus au cours de la première semaine d'évolution post-TCCL pourrait représenter un indicateur pronostique précoce d'un risque plus élevé de persistance des symptômes, particulièrement lorsque l'évaluation repose sur un questionnaire de type checklist. (bvsalud.org)
- L'existence d'un œdème post-traumatique, avec un aspect de faciès lunaire, oblige souvent à répéter l'inspection quelques jours plus tard pour les lésions non-urgentes. (medg.fr)
Risque5
- Pour la première fois, tant les cliniciens que les chercheurs peuvent déterminer le niveau de risque de voir des symptômes post-commotionnels durables chez un enfant, affirme le Dr Roger Zemek, auteur principal de l'étude, scientifique au Centre hospitalier pour enfants de l'est de l'Ontario (CHEO) et professeur agrégé à la Faculté de médecine de l'Université d'Ottawa. (gouv.fr)
- Le fait de prédire le risque de syndrome post-commotionnel nous aide à effectuer un suivi plus efficace. (gouv.fr)
- Cette étude est déterminante pour le traitement des commotions cérébrales à venir puisque les chercheurs sont désormais en mesure de cibler les enfants à haut risque qui bénéficieraient d'une intervention visant à prévenir le syndrome post-commotionnel. (gouv.fr)
- Les participants qui rapportaient trois symptômes ou plus à la première semaine post-TCCL, autant pour la méthode spontanée que pour la méthode suggérée, avaient un risque plus élevé de présenter des symptômes persistants à trois mois. (bvsalud.org)
- Le risque de développer des symptômes chroniques (syndrome post-commotionnel) et/ou une maladie neurodégénérative augmente lorsqu'une personne s'expose à un environnement avec des impacts répétitifs à la tête sur une période prolongée. (lescarnetsdemami.fr)
Raideur1
- Dans l'exemple suivant, on voit que l'association céphalée + vomissements + raideur de la nuque + photophobie constitue un syndrome méningé traduisant l'irritation des méninges (plus précisément l'inflammation de l'espace sous-arachnoïdien ). (wikipedia.org)
D'une2
- Syndrome post-commotionnel Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le syndrome post-commotionnel, également nommé syndrome subjectif ou SPC (historiquement nommé choc de l'obus), est un ensemble de symptômes pouvant apparaître à la suite d'une commotion cérébrale et pouvant persister pendant des semaines ou des mois, voire une année ou plus. (wikipedia.org)
- Il existe un chevauchement de certains symptômes entre le syndrome post-traumatique et les suites d'une commotion cérébrale notamment l'irritabilité, les troubles de la concentration, les troubles du sommeil, les céphalées, les troubles mnésiques (TC ou dissociation), l'anxiété et la dépression. (medscape.com)
Commotion1
- Vous n'avez pas besoin de perdre conscience pour avoir une commotion cérébrale ou vivre une expérience post-commotionnelle persistante. (fchn.ca)
Photophobie1
- Comme signes de trouble de stress post-traumatique qui sont plus généralement attribués au syndrome post-commotionnel on peut retrouver les céphalées, les troubles de la vision, la photophobie, les troubles de l'équilibre. (medscape.com)
Troubles1
- Le Professeur Da Cunha décrit le syndrome de déficience postural qui élargit le syndrome post-commotionnel en y incluant les troubles de l'axe corporel. (posturologie-essonne.fr)
Signes1
- Un syndrome est un ensemble de symptômes (de signes cliniques ) qu'un patient est susceptible de présenter simultanément lors de certaines maladies , ou bien dans des circonstances cliniques d'écart à la norme pas nécessairement pathologiques. (wikipedia.org)
Traitement1
- Laura est une ostéopathe (D.O.) ainsi qu'une thérapeute sportive certifiée (CAT(C)) possédant 30 ans d'expérience clinique auprès de patients adultes et pédiatriques ayant subi des commotions cérébrales, avec une spécialisation dans l'évaluation clinique et le traitement des commotions cérébrales et du syndrome post-commotionnel. (kixcare.com)
Mois1
- L'échantillon était composé de 354 participants adultes contactés par téléphone à la première semaine et au troisième mois post-TCCL. (bvsalud.org)
Traumatique7
- Deux conditions doivent être réunies pour parler de syndrome de stress post-traumatique : le patient doit avoir été exposé à un événement traumatique et les symptômes doivent se développer à partir d'un mois après l'événement initial. (medscape.com)
- Un stress post-traumatique ne peut pas se développer dans les 15 jours qui suivent un événement traumatique. (medscape.com)
- Il existe un chevauchement de certains symptômes entre le syndrome post-traumatique et les suites d'une commotion cérébrale notamment l'irritabilité, les troubles de la concentration, les troubles du sommeil, les céphalées, les troubles mnésiques (TC ou dissociation), l'anxiété et la dépression. (medscape.com)
- Comme signes de trouble de stress post-traumatique qui sont plus généralement attribués au syndrome post-commotionnel on peut retrouver les céphalées, les troubles de la vision, la photophobie, les troubles de l'équilibre. (medscape.com)
- A l'inverse dans le syndrome post-commotionnel, on peut avoir des comportements d'évitement, des flashback, des difficultés psychiques sur un événement déclencheur qui l'on pourrait attribuer intuitivement à un syndrome post-traumatique », souligne le Dr Granon qui ajoute : « souvent les psychiatres voient le syndrome de stress post-traumatique alors que les neurologues et les rééducateurs voient le syndrome post-commotionnel. (medscape.com)
- Souvent les psychiatres voient le syndrome de stress post-traumatique alors que les neurologues et les rééducateurs voient le syndrome post-commotionnel. (medscape.com)
- Les trois complications les plus fréquentes d'une commotion cérébrale sont le syndrome de second impact, le syndrome post-commotionnel et l'encéphalopathie traumatique chronique. (neuractiv.com)
L'on1
- C'est ce que l'on appelle le syndrome post-commotionnel. (salutbonjour.ca)
Chronique1
- Améliorer sa compréhension de l'anatomie crânienne en ce qui concerne les syndromes de douleur chronique. (kine-formations.com)
Notamment1
- Les techniques CSS1 ont également un impact direct sur les affections faciales, dentaires et crâniennes, notamment le syndrome post-commotionnel, le TMD, la sinusite, les dysfonctionnements visuels / auditifs et les troubles des nerfs crâniens. (kine-formations.com)
Subi1
- Le syndrome post-commotionnel se produit quand une personne qui a subi une commotion ressent encore des symptômes après une certaine période de temps. (physioavantex.com)