Syndromes De La Crosse Aortique
Périartérite Noueuse
Syndrome De Churg-Strauss
Takayasu Arteritis
Maladies Du Tissu Conjonctif
Syndrome De Prader-Willi
Encyclopedias as Topic
Connectivite Mixte
Activateur Plasminogène Tissulaire
Traitement Urgence
Stroke
Emergency Medical Services
Remnographie
Le syndrome de la crosse aortique est un terme utilisé pour décrire une combinaison de symptômes et de signes qui résultent de la compression des vaisseaux sanguins ou des nerfs dans la région de la crosse aortique - la courbe où l'aorte thoracique se divise en l'aorte abdominale et les artères iliaques. Ce syndrome est souvent associé à une anomalie anatomique, telle qu'un élargissement ou un renflement de l'aorte (anévrisme aortique) ou un épaississement du ligament arqué droit qui peut comprimer les vaisseaux sanguins ou les nerfs environnants.
Les symptômes courants du syndrome de la crosse aortique comprennent des douleurs abdominales, des douleurs dans les jambes, une sensation de jambe froide ou un engourdissement, et une diminution de la pulsation des artères fémorales. Dans certains cas, il peut également entraîner une claudication intermittente, qui est une douleur dans les muscles des jambes qui se produit lors de l'exercice et disparaît au repos.
Le diagnostic du syndrome de la crosse aortique repose généralement sur l'anamnèse, l'examen physique et des tests d'imagerie tels qu'une angiographie ou une tomodensitométrie (TDM). Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments pour soulager la douleur, des exercices de réadaptation pour améliorer l'endurance physique, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale pour corriger l'anomalie anatomique.
La périartérite noueuse (PAN) est une maladie rare des vaisseaux sanguins moyens, caractérisée par une inflammation et une nécrose des parois des artères et des veines principalement dans les régions autour des articulations. Bien que le nom suggère qu'il s'agit d'une maladie affectant les tissus périarticulaires, elle peut en fait toucher de nombreux systèmes corporels.
Les symptômes courants de la PAN comprennent fièvre, fatigue, perte de poids, douleurs musculaires et articulaires, et apparition d'ecchymoses ou de plaies sur la peau. Dans les cas plus graves, elle peut affecter les reins, le cœur, les intestins et le système nerveux, entraînant une variété de complications potentiellement mortelles.
La cause exacte de la PAN est inconnue, mais on pense qu'elle est liée à une réponse anormale du système immunitaire. Le diagnostic repose généralement sur des tests sanguins montrant des signes d'inflammation et d'atteinte vasculaire, ainsi que sur des biopsies tissulaires qui peuvent révéler les changements caractéristiques de la maladie dans les vaisseaux sanguins.
Le traitement de la PAN implique typiquement une combinaison de corticostéroïdes et d'immunosuppresseurs pour contrôler l'inflammation et prévenir les dommages aux vaisseaux sanguins. Dans les cas sévères, des médicaments cytotoxiques ou une plasmaphérèse peuvent être nécessaires. La prise en charge précoce et agressive de la PAN peut améliorer considérablement les perspectives de traitement et réduire le risque de complications graves à long terme.
Le syndrome de Churg-Strauss est une maladie rare des vaisseaux sanguins (vasculite) qui affecte principalement les petits et moyens vaisseaux sanguins dans de nombreux organes du corps. Il est nommé d'après les médecins qui l'ont décrit pour la première fois, Jacob Churg et Lotte Strauss, en 1951. Cette condition est également connue sous le nom de granulomatose éosinophilique avec polyangéite (GEPA).
Les symptômes du syndrome de Churg-Strauss peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, mais ils comprennent souvent des problèmes respiratoires, de la fièvre, une fatigue extrême, des douleurs articulaires et musculaires, des éruptions cutanées, des gonflements et des douleurs dans les sinus, et des troubles nerveux périphériques.
La cause exacte du syndrome de Churg-Strauss est inconnue, mais il semble être associé à une réponse excessive du système immunitaire chez certaines personnes, en particulier celles qui ont des antécédents d'asthme et d'allergies. Le diagnostic repose généralement sur un examen physique complet, des analyses de sang et d'urine, des tests d'imagerie et une biopsie pour confirmer l'inflammation des vaisseaux sanguins.
Le traitement du syndrome de Churg-Strauss implique généralement des corticostéroïdes et d'autres médicaments qui suppriment le système immunitaire, tels que la cyclophosphamide ou le rituximab. Le pronostic dépend de la gravité de la maladie et de la réponse au traitement, mais avec un traitement approprié, la plupart des personnes atteintes du syndrome de Churg-Strauss peuvent vivre une vie relativement normale.
La maladie de Takayasu est une forme rare de vascularite, qui est une inflammation des vaisseaux sanguins. Il affecte principalement l'aorte et ses principales branches, provoquant une sténose (rétrécissement) ou une occlusion (blocage) des artères. Cela peut entraîner une variété de symptômes, selon les vaisseaux sanguins touchés. Les symptômes courants comprennent une hypertension artérielle, des douleurs thoraciques, des maux de tête, des étourdissements, des faiblesses et un engourdissement dans les extrémités. Dans certains cas, la maladie de Takayasu peut également affecter le cœur, les reins et d'autres organes.
La cause exacte de la maladie de Takayasu est inconnue, mais on pense qu'il s'agit d'une réponse auto-immune anormale dans laquelle le système immunitaire attaque les parois des vaisseaux sanguins. Il affecte généralement les femmes entre 15 et 40 ans, bien que des cas chez les hommes et les enfants aient également été signalés. Le diagnostic est établi sur la base de l'historique médical du patient, des résultats de l'examen physique, des tests sanguins et d'imagerie tels qu'une angiographie ou une imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le traitement de la maladie de Takayasu implique généralement l'utilisation de médicaments anti-inflammatoires, tels que les corticostéroïdes, pour contrôler l'inflammation. Dans certains cas, des médicaments immunosuppresseurs peuvent être utilisés pour supprimer l'activité du système immunitaire. Les interventions chirurgicales telles que la dilatation des vaisseaux sanguins rétrécis ou le pontage peuvent également être envisagées dans certains cas.
Les maladies du tissu conjonctif (MTC) représentent un groupe hétérogène de plus de 200 maladies différentes qui affectent les tissus conjonctifs dans tout le corps. Les tissus conjonctifs sont les structures de soutien et de protection du corps, composées principalement de cellules, de fibres de collagène et d'élastine, ainsi que d'une substance fondamentale riche en protéoglycanes et glycosaminoglycanes. Ces tissus sont répandus dans tout le corps, entourant les organes, les vaisseaux sanguins, les muscles et les os, et ils assurent la cohésion, la stabilité et l'intégrité des différents tissus et organes.
Les MTC peuvent affecter la peau, les articulations, les muscles, les tendons, les ligaments, les vaisseaux sanguins et les organes internes. Les symptômes varient considérablement en fonction du type de MTC et de la région du corps touchée. Cependant, certaines caractéristiques communes incluent une inflammation chronique, une fibrose tissulaire excessive (cicatrisation anormale), des lésions vasculaires et une altération de la fonction immunitaire.
Les MTC peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies auto-immunes du tissu conjonctif et les maladies héréditaires du tissu conjonctif.
1. Maladies auto-immunes du tissu conjonctif : Ces MTC sont caractérisées par une réponse immunitaire anormale qui attaque et endommage les propres tissus conjonctifs de l'organisme. Les exemples incluent le lupus érythémateux disséminé, la sclérodermie systémique, le syndrome de Sjögren, le syndrome de Gougerot-Sjögren et la polyarthrite rhumatoïde.
2. Maladies héréditaires du tissu conjonctif : Ces MTC sont causées par des mutations génétiques qui affectent la structure et la fonction des protéines du tissu conjonctif. Les exemples incluent le syndrome d'Ehlers-Danlos, la maladie de Marfan, l'ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre) et le pseudoxanthome élastique.
Le diagnostic et le traitement des MTC peuvent être complexes et nécessitent une prise en charge multidisciplinaire par des spécialistes tels que des rhumatologues, des dermatologues, des immunologistes, des cardiologues et des chirurgiens. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs, des antifibrotiques, des agents vasoactifs et des thérapies ciblées qui visent à modifier le cours de la maladie.
Le syndrome de Prader-Willi est un trouble génétique rare caractérisé par une variété de symptômes, notamment un faible tonus musculaire à la naissance (hypotonie), des difficultés d'alimentation et un retard de développement dans l'enfance. Plus tard, le syndrome est marqué par une augmentation constante de l'appétit (hyperphagie) et de l'obésité, des problèmes de comportement et de cognition, des traits faciaux caractéristiques et des problèmes hormonaux.
Le syndrome de Prader-Willi est causé par une anomalie dans la région du chromosome 15 qui contient un groupe de gènes qui ne sont pas actifs (suppression génomique). Dans la plupart des cas, cette suppression se produit spontanément et n'est pas héritée des parents.
Le traitement du syndrome de Prader-Willi implique une prise en charge multidisciplinaire comprenant une gestion nutritionnelle stricte pour prévenir l'obésité, un traitement hormonal de remplacement, une thérapie comportementale et des interventions éducatives. La prise en charge précoce et continue peut aider à améliorer les résultats et la qualité de vie des personnes atteintes du syndrome de Prader-Willi.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La connectivité mixte, également connue sous le nom de syndrome de Sharp, est une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation affectant divers organes et systèmes du corps. Il s'agit d'un trouble rare qui présente des caractéristiques cliniques et sérologiques à la fois des connectivites systémiques telles que le lupus érythémateux disséminé (LED) et la polyarthrite rhumatoïde (PR).
Les symptômes courants de la connectivité mixte comprennent :
1. Douleurs articulaires et gonflements (similaires à ceux observés dans la PR)
2. Éruptions cutanées, y compris un érythème cutané photosensible (semblable au LED)
3. Inflammation des membranes qui entourent le cœur et les poumons (péricardite et plurésie)
4. Sécheresse oculaire et buccale (similaire à la sclérodermie systémique)
5. Raynaud's phenomenon - engourdissement et coloration bleue des doigts et des orteils en réponse au froid ou au stress émotionnel
6. Myosite - inflammation des muscles squelettiques
7. Neuropathie périphérique - dommages aux nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière
8. Atteinte rénale, y compris une glomérulonéphrite (inflammation des reins) dans certains cas
Les tests diagnostiques peuvent inclure :
1. Anticorps antinucléaires (AAN) - présents chez plus de 95 % des personnes atteintes de connectivité mixte
2. Anticorps anti-RO (SS-A) et/ou anti-LA (SS-B) - souvent positifs dans la connectivité mixte
3. Anticorps anticytoplasme des polymorphonucléaires (ANCA) - présents chez certains patients atteints de connectivité mixte avec une atteinte rénale
4. Biopsie de peau ou de muscle pour confirmer la présence d'inflammation
5. Imagerie par résonance magnétique (IRM) et/ou tomodensitométrie (TDM) pour évaluer l'atteinte des organes internes
Le traitement de la connectivité mixte dépend de la gravité et de l'étendue des symptômes. Les options thérapeutiques peuvent inclure :
1. Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) - pour soulager la douleur et l'inflammation articulaires légères
2. Corticostéroïdes - pour réduire l'inflammation systémique
3. Immunosuppresseurs - comme le méthotrexate, l'azathioprine ou le mycophénolate mofétil, pour supprimer l'activité du système immunitaire
4. Biothérapies ciblées - telles que le rituximab ou le belimumab, qui ciblent des parties spécifiques du système immunitaire
5. Traitements de soutien - comme la physiothérapie et l'ergothérapie pour aider à gérer les symptômes musculo-squelettiques et améliorer la fonction.
L'activateur plasminogène tissulaire, également connu sous le nom de t-PA (tissue plasminogen activator), est une enzyme produite par les cellules endothéliales qui tapissent la surface interne des vaisseaux sanguins. Il joue un rôle crucial dans la fibrinolyse, c'est-à-dire le processus de dissolution des caillots sanguins.
Le t-PA convertit la plasmine générale en plasmine active, qui est une enzyme capable de dégrader les fibrines, les protéines qui forment la base des caillots sanguins. Ce processus aide à rétablir le flux sanguin dans les vaisseaux obstrués par un caillot sanguin.
Le t-PA est souvent utilisé comme médicament pour traiter les accidents vasculaires cérébraux ischémiques, qui se produisent lorsqu'un caillot sanguin bloque le flux sanguin vers une partie du cerveau. En dissolvant le caillot, le t-PA peut aider à rétablir le flux sanguin et prévenir les dommages permanents au cerveau. Cependant, il doit être administré dans les 4,5 heures suivant l'apparition des symptômes pour être le plus efficace.
En médecine, le terme "traitement d'urgence" fait référence à des soins médicaux immédiats et essentiels prodigués aux patients qui souffrent d'une maladie ou d'une blessure potentiellement mortelle ou mettant leur vie en danger. Le traitement d'urgence vise à prévenir toute détérioration supplémentaire de l'état du patient, à atténuer la souffrance et à stabiliser les fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la pression artérielle.
Les traitements d'urgence peuvent inclure une variété de procédures, allant de l'administration de médicaments à la réanimation cardiorespiratoire (RCR), en passant par le contrôle des saignements et la décompression des voies aériennes supérieures. Les professionnels de la santé qui dispensent les traitements d'urgence comprennent les médecins, les infirmières, les techniciens médicaux d'urgence (paramédics) et d'autres membres de l'équipe de soins de santé.
Les traitements d'urgence sont souvent administrés dans des contextes hors du cadre hospitalier, tels que sur les lieux d'un accident ou dans une ambulance en route vers l'hôpital. Dans ces situations, il est crucial que les professionnels de la santé soient formés et équipés pour dispenser des soins vitaux rapides et efficaces afin de maximiser les chances de survie et de rétablissement du patient.
Un accident vasculaire cérébral (AVC), ou « stroke » en anglais, est un événement aigu caractérisé par une circulation sanguine anormale dans le cerveau. Il existe deux principaux types d'AVC :
1. L'accident ischémique cérébral (AIC) : il représente environ 80 % des cas et est causé par l'obstruction d'une artère cérébrale, généralement due à un caillot sanguin ou à une athérosclérose. Cela entraîne une privation d'oxygène et de nutriments dans la région du cerveau desservie par l'artère touchée, ce qui peut endommager et détruire les cellules cérébrales.
2. L'accident vasculaire cérébral hémorragique (AVCH) : il représente environ 20 % des cas et est dû à la rupture d'un vaisseau sanguin dans le cerveau ou autour du cerveau, entraînant une hémorragie intracérébrale, une hémorragie sous-arachnoïdienne ou un hématome intracrânien.
Les symptômes d'un AVC peuvent inclure une faiblesse soudaine, des engourdissements, des picotements ou une paralysie d'un côté du visage, d'un bras ou d'une jambe ; des difficultés soudaines à marcher, à parler, à comprendre la parole ou à voir dans un œil ou les deux yeux ; des maux de tête intenses et soudains, sans cause apparente ; des étourdissements, des vertiges ou une perte d'équilibre ; et une confusion ou des difficultés à penser.
Le traitement et la prise en charge d'un AVC dépendent du type d'AVC et de sa gravité. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments pour dissoudre les caillots sanguins, des interventions chirurgicales pour retirer ou réparer les vaisseaux sanguins endommagés, des traitements de réadaptation et des soins de soutien pour aider à gérer les symptômes et à prévenir les complications.
En médecine, le terme "urgences" se réfère à un service de soins de santé qui est spécialement équipé et personnalisé pour gérer les cas médicaux aigus et graves qui nécessitent une attention immédiate. Les urgences sont conçues pour fournir des évaluations, des traitements et des soins rapides et opportuns aux patients présentant des symptômes ou des conditions potentiellement dangereuses pour la vie ou qui peuvent entraîner des dommages irréversibles si elles ne sont pas traitées rapidement.
Les exemples de ces conditions comprennent, sans s'y limiter, les douleurs thoraciques sévères, les difficultés respiratoires, les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes graves, les overdoses et les réactions allergiques graves. Les urgences sont généralement ouvertes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et disposent d'un personnel médical et infirmier qualifié, y compris des médecins, des infirmières praticiennes, des infirmières d'urgence et des techniciens médicaux d'urgence.
Les équipements spécialisés dans les services d'urgence peuvent inclure des équipements de diagnostic tels que des appareils d'imagerie, des laboratoires et des capacités de surveillance continue pour surveiller les signes vitaux des patients. Les patients qui se présentent aux urgences sont généralement évalués en fonction de la gravité de leur état de santé et priorisés en conséquence, le triage étant un processus crucial pour garantir que les patients les plus gravement malades ou blessés soient traités en premier.
Les Services Médicaux d'Urgence (SMU), également connus sous le nom de Emergency Medical Services (EMS) dans la littérature anglophone, sont une série coordonnée de services et de professionnels de la santé qui travaillent ensemble pour fournir un continuum de soins médicaux urgents aux patients avant et pendant leur transport vers un établissement de santé. Les EMS comprennent généralement des premiers intervenants formés, tels que les ambulanciers paramédicaux, qui offrent des soins préhospitaliers d'urgence aux victimes et aux personnes malades.
Les services médicaux d'urgence peuvent inclure une variété de composantes, telles que :
1. Les centres de réception et de régulation des appels d'urgence (call centers) qui prennent en charge les appels téléphoniques d'urgence et coordonnent la réponse aux situations critiques.
2. Les services de premiers intervenants, y compris les pompiers, les policiers et les secouristes bénévoles, qui sont souvent les premiers sur les lieux d'un incident médical d'urgence.
3. Les équipes de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) et de défibrillation automatisée externe (DAE), qui interviennent en cas d'arrêt cardiaque ou d'autres urgences vitales.
4. Les ambulances, qui transportent les patients vers des établissements de santé pour un traitement et des soins supplémentaires.
5. Les équipes médicales d'intervention rapide (Mobile Medical Teams), qui peuvent être déployées sur le terrain pour fournir des soins avancés aux patients dans les situations où le transport vers un hôpital n'est pas immédiatement nécessaire ou possible.
6. Les services de télémedecine, qui permettent aux professionnels de la santé d'évaluer et de conseiller à distance les patients en attente de prise en charge par une équipe médicale sur place.
7. Les centres de traitement des urgences, qui offrent des soins spécialisés pour les patients présentant des problèmes de santé graves ou potentiellement mortels.
Ces différents services travaillent en étroite collaboration pour assurer une prise en charge rapide et efficace des patients en situation d'urgence médicale, en veillant à ce qu'ils bénéficient des soins appropriés au bon moment et au bon endroit.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
Les maladies cardiovasculaires (MCV) représentent un ensemble de troubles qui affectent le cœur et les vaisseaux sanguins. Elles comprennent plusieurs affections telles que la maladie coronarienne, l'insuffisance cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, les artérites des membres inférieurs et certaines malformations cardiaques congénitales. Les facteurs de risque communs incluent l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, le diabète sucré, l'obésité, le tabagisme, une mauvaise alimentation, la sédentarité et des antécédents familiaux de MCV. Les symptômes varient en fonction du type de maladie cardiovasculaire mais peuvent inclure des douleurs thoraciques, des essoufflements, des palpitations, des syncopes ou des paralysies. Le traitement dépend également du type et de la gravité de la maladie et peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments, des procédures interventionnelles ou des chirurgies.
Forum Interruption de la crosse aortique : les discussions sur Carenity
Connectivite - Wikipedia
Chirurgie Vasculaire - IMM | Institut Mutualiste Montsouris
Les fondamentaux - Chapitre 26 - Imagerie cardiovasculaire - CNP MN
Revue générale des anévrismes de l'aorte - Troubles cardiovasculaires - Édition professionnelle du Manuel MSD
Urgence aorte - Médipôle Lyon-Villeurbanne
PRENDRE RENDEZ-VOUS: MÉDECIN GÉNÉRALISTE À PARIS 2ÈME ARRONDISSEMENT 75002 (rendez-vous en ligne, téléconsultation) - Lemedecin...
Search | African Index Medicus (AIM)
Dossier n°26 Corrigé de Cardiologie sur Des accidents vasculaires cérébraux à répétition
Prof. Dr méd. Weigang, MBA - PRIMO MEDICO
Les maladies cardiovasculaires | Pharmapresse
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Cours US Autres - Aorte thoracique
L'athérosclérose et les traitements chirurgicaux
Accident vasculaire cérébral ischémique - Troubles neurologiques - Édition professionnelle du Manuel MSD
BULLETIN N° 54 | adetec-coeur.fr
10. Problèmes cardiaques concomitants chez les personnes ayant subi un AVC
L'échocardiographie 3D temps réel - Une révolution pour le clinicien | Cardiologie Pratique
Facteurs de risque | Sos Aorte
DeCS
Pr s latreche insuffisance aortique | PPT
Fabien Koskas - YKSI-Med, la plateforme vidéo chirurgicale et médicale
LEXIPatho: Echographie clinique en médecine d'urgence (ECMU)
HOPITAL H.MONDOR : JEUDIS DE MONDOR POUR L'ANNÉE - ARMV RP
Dissection4
- Visualisation de l'aorte thoracique: coupes à effectuer et vues à obtenir, recherche de dilatation aortique, identification d'une dissection aortique, d'une hématome intra-mural et d'un ulcère athéromateux pénétrant. (interniste.com)
- Dans le cadre de l'urgence, hormis la découverte fortuite lors de la réalisation d'une échocardiographie de débrouillage, la réalisation d'un CT aortique est l'examen à effectuer en cas de suspicion de dissection . (interniste.com)
- La coupe parasternale court axe centrée sur la valve aortique a un intérêt essentiellement en cas de suspicion de dissection aortique proximale. (interniste.com)
- Rapidement identifiable, la présence d'un épanchement péricardique est un autre élément en faveur d'une dissection (retrouvé dans 40% des dissections aortiques), de même que l'insuffisance aortique en cas d'atteine de l'aorte proximale (>40% des cas dans les dissections aortiques proximales). (interniste.com)
L'aorte3
- Les prérequis sont les bases physiques des principales techniques d'imagerie, l'anatomie et la physiologie du cœur et de l'aorte, la physiopathologie et la séméiologie élémentaire des grands syndromes cardiovasculaires. (cnp-mn.fr)
- L'aorte prend son origine à partir du ventricule gauche au-dessus de la valvule aortique, a un trajet ascendant (aorte thoracique ascendante) jusqu'à la première branche aortique (tronc artériel brachiocéphalique), forme un arc au-dessus et en arrière du cœur (crosse de l'aorte), puis a un trajet descendant au-delà de la naissance de l'artère sous-clavière gauche (aorte descendante) dans le thorax (aorte thoracique), puis dans l'abdomen (aorte abdominale). (msdmanuals.com)
- Cette dernière vue permet de visualiser la crosse aortique, le premier segment de l'aorte descendante et les trois premières branches: le tronc brachio-céphalique, la carotide commune gauche et la sous-clavière gauche (seconde image). (interniste.com)
Aorte1
- Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site www.urgence-aorte.fr. (medipolelyonvilleurbanne.fr)
Pathologies1
- Ce chapitre présente les différentes techniques d'imagerie utilisées pour les explorations cardiovasculaires en insistant sur les particularités de l'exploration cardiaque, et sur leur utilité dans l'exploration des grands syndromes (pathologies vasculaires, ischémie et infarctus myocardique, insuffisance cardiaque). (cnp-mn.fr)
Coronarien aigu1
- C'est le syndrome coronarien aigu qui conduit à l 'infarctus du myocarde . (chirurgien-cardiaque.com)
D'un1
- L'appareil intestinal est souvent atteint lors des connectivites et vascularites, notamment en cas de sclérodermie systémique (ScS) où le tableau de pseudo-obstruction intestinal, fréquent, peut être compliqué par une pullulation microbienne de l'intestin grêle et d'un syndrome de malabsorption pouvant conduire à une dénutrition sévère et une cachexie, avec parfois une ischémie, un infarctus et les perforations digestives. (wikipedia.org)
Aigu1
- Le troisième s'est révélé par un syndrome confusionnel aigu résolutif. (sofiotheque.info)
Maladies2
- Affection disséminée du tissu conjonctif Collagénoses Maladies de système Maladies auto-immunes (notion qui ne recoupe pas parfaitement la même nosologie) Périartérite noueuse et affections apparentées Périartérite noueuse M30.0 Syndrome de Churg-Strauss M30.1 Maladie de Kawasaki M 30.3 Autres vasculopathies nécrosantes Syndrome de Goodpasture M31.0 Microangiopathie thrombotique (Purpura thrombopénique thrombotique) M31.1 Granulomatose de Wegener. (wikipedia.org)
- Syndrome de Goujerot-Sjögren M35.0 Maladie de Behçet M35 2 Pseudo polyarthrite rhizomélique M35.3 Syndrome de Shulman M35.6 D'autres affections, non classées par la CIM-10 dans le groupe des Affections disséminées du tissu conjonctif sont considérées tout de même comme des connectivites ou maladies apparentées. (wikipedia.org)
Marfan1
- syndrome de Marfan, syndrome d'Ehlers-Danlos). (msdmanuals.com)
Maladie1
- M31.3 Artérite de Takayasu (Syndrome de la crosse aortique) M31.4 Maladie de Horton Artérite à cellules géantes M31.5 Lupus érythémateux disséminé M32. (wikipedia.org)
Valvule aortique2
- Environ 1% des nouveau-nés naissent avec une valvule aortique bicuspide. (sosaorte.com)
- L'aorte prend son origine à partir du ventricule gauche au-dessus de la valvule aortique, a un trajet ascendant (aorte thoracique ascendante) jusqu'à la première branche aortique (tronc artériel brachiocéphalique), forme un arc au-dessus et en arrière du cœur (crosse de l'aorte), puis a un trajet descendant au-delà de la naissance de l'artère sous-clavière gauche (aorte descendante) dans le thorax (aorte thoracique), puis dans l'abdomen (aorte abdominale). (msdmanuals.com)
L'isthme aortique1
- La sténose de l'isthme aortique ou coarctation de l'aorte présente un rétrécissement congénital de la partie distale de la crosse aortique. (sosaorte.com)
Ascendante1
- Chirurgie d'anévrysmes de l'aorte ascendante, de la crosse et de la sous clavière gauche médiastinale Par le Pr Fabien Koskas --- L'intervention chirurgicale présentée dans ce film concerne une patiente âgée de 32 ans présentant un anévrysme de l'aorte ascendante, de la crosse et de l'artère sous clavière gauche dans. (yksi-med.com)
Tissu conjonctif3
- Affection disséminée du tissu conjonctif Collagénoses Maladies de système Maladies auto-immunes (notion qui ne recoupe pas parfaitement la même nosologie) Périartérite noueuse et affections apparentées Périartérite noueuse M30.0 Syndrome de Churg-Strauss M30.1 Maladie de Kawasaki M 30.3 Autres vasculopathies nécrosantes Syndrome de Goodpasture M31.0 Microangiopathie thrombotique (Purpura thrombopénique thrombotique) M31.1 Granulomatose de Wegener. (wikipedia.org)
- Syndrome de Goujerot-Sjögren M35.0 Maladie de Behçet M35 2 Pseudo polyarthrite rhizomélique M35.3 Syndrome de Shulman M35.6 D'autres affections, non classées par la CIM-10 dans le groupe des Affections disséminées du tissu conjonctif sont considérées tout de même comme des connectivites ou maladies apparentées. (wikipedia.org)
- Les maladies héréditaires du tissu conjonctif produisent un collagène et une élastine modifiés au niveau de la structure de la paroi aortique, ce qui en affaiblit la résistance de ses 3 couches. (sosaorte.com)
Maladie2
- M31.3 Artérite de Takayasu (Syndrome de la crosse aortique) M31.4 Maladie de Horton Artérite à cellules géantes M31.5 Lupus érythémateux disséminé M32. (wikipedia.org)
- Les anomalies anatomiques du cœur ou des artères peuvent augmenter le risque de maladie ou de complication aortique. (sosaorte.com)
Patients2
- Cette anomalie représente 7% de toutes les cardiopathies congénitales et se retrouve chez près de 20% de tous les patients atteints du syndrome de Turner. (sosaorte.com)
- Patients with aortitis syndrome often exhibit retinopathy. (bvsalud.org)