Trouble De La Personnalité De Type Antisocial
Trouble De La Personnalité De Type Limite
Dsm-Iv
Trouble Des Conduites
Double Diagnostic (Psychiatrie)
Inventaire De Personnalité
Trouble De La Personnalité Schizotypique
Crime
Psychiatric Status Rating Scales
Personality Assessment
Agressivité
Comportement Impulsif
Prisoners
Alcoolisme
Entretien Psychologique
Troubles Mentaux
Violence
Trouble De La Personnalité De Type Compulsif
Morbidité Associée
Tests De Personnalité
Troubles De L'Humeur
Trouble De La Personnalité De Type Paranoïaque
Abus De Marijuana
Trouble De La Personnalité De Type Schizoïde
Trouble De La Personnalité Dépendante
Trouble De La Personnalité De Type Histrionique
Septum Pellucidum
Longitudinal Studies
Extraversion (Psychologie)
Socialisation
Personnalité Passive-Agressive
Facteur Risque
Facteur Sexuel
Développement De La Personnalité
Troubles Névrotiques
Monoamine Oxidase
United States
Comportement D'Autoagression
Analyse Statistique Factorielle
Délinquance Juvénile
Trouble Bipolaire
Déficit De L'Attention Avec Hyperactivité
Caractère
Tempérament
Psychiatrie Médicolégale
Psychothérapie
Modèle Psychologique
Substance Abuse Treatment Centers
Contretransfert
Questionnaire
Troubles Du Contrôle Des Impulsions
Prevalence
Trouble Dépressif Majeur
Tests Neuropsychologiques
Trouble Obsessionnel Compulsif
Le trouble de la personnalité antisociale, comme défini dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), est un type particulier de trouble de la personnalité qui se caractérise par un modèle persistant de méfaits ou de violation des droits des autres, marqué par :
1. Un échec répété pour se conformer aux lois ou normes sociales conformément aux attentes de la société. Cela peut inclure des comportements tels que la fraude, le vol, la violence et la destruction de biens.
2. Une tendance à manipuler ou tromper les autres à des fins personnelles, souvent pour obtenir des avantages matériels, sexuels ou psychologiques.
3. Un manque d'empathie ou de considération pour les sentiments et les besoins des autres, ce qui peut se manifester par un comportement insensible ou cruel envers les autres.
4. Une tendance à être impulsif, agir sans réfléchir aux conséquences possibles de ses actes.
5. Un mépris pour la sécurité des autres et une tendance à prendre des risques inconsidérés qui peuvent mettre en danger sa propre vie ou celle des autres.
6. Une tendance à être agressif, hostile ou violent envers les autres, souvent sans raison apparente.
7. Un manque de remords ou de culpabilité pour ses actions, même lorsqu'elles ont causé des dommages importants aux autres.
Ces comportements doivent être présents depuis l'âge adulte et dans différents contextes, tels que le travail, les relations personnelles et les loisirs. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent avoir des difficultés à maintenir des relations stables et à fonctionner normalement dans la société. Le trouble de la personnalité antisociale est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes.
Les Troubles de la Personnalité sont un groupe de conditions mentales qui affectent votre pensée, le comportement, les émotions et les relations avec d'autres personnes. Ces modèles de pensée, de sentiment et de comportement sont relativement stables et inchangés dans différentes situations.
Selon le Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux (DSM-5), publié par l'American Psychiatric Association, les troubles de la personnalité sont divisés en trois clusters :
1. Cluster A ("les bizarres"): Il comprend la personnalité paranoïaque, la personnalité schizoïde et la personnalité schizotypique. Ces personnes peuvent sembler étranges ou excentriques aux autres.
2. Cluster B ("les dramatiques, émotionnellement instables"): Il comprend la personnalité antisociale, la personnalité borderline, la personnalité histrionique et la personnalité narcissique. Ces personnes ont des problèmes avec l'impulsivité, l'émotion intense et les relations interpersonnelles.
3. Cluster C ("les anxieux ou craintifs"): Il comprend la personnalité évitante, la personnalité dépendante et la personnalité obsessionnelle-compulsive. Ces personnes ont des peurs et des angoisses excessives.
Pour être diagnostiqué avec un trouble de la personnalité, les schémas de pensée, d'émotion et de comportement doivent être suffisamment rigides et profondément enracinés pour perturber la vie personnelle, sociale, scolaire ou professionnelle d'une personne. Ils doivent également être stables sur le long terme, commençant généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
Les causes des troubles de la personnalité ne sont pas entièrement comprises, mais elles peuvent inclure une combinaison de facteurs génétiques, biologiques et environnementaux.
Le trouble de la personnalité de type limite, également connu sous le nom de trouble borderline de la personnalité, est un trouble mental complexe et souvent pénible qui affecte la façon dont vous percevez votre propre identité, vos relations et les événements autour de vous.
Les symptômes typiques incluent des émotions intenses et instables, des changements fréquents d'humeur, une perception fluctuante et souvent déformée de soi et des autres, ainsi que des comportements impulsifs potentiellement dommageables. Les personnes atteintes de ce trouble ont souvent des difficultés à maintenir des relations stables et peuvent se sentir vides ou ennuyées pendant de longues périodes.
Les crises de rage, la peur intense de l'abandon et les pensées suicidaires sont également courantes. Ce trouble peut sérieusement perturber votre capacité à fonctionner dans la vie quotidienne et nécessite généralement une intervention thérapeutique spécialisée.
La personnalité, dans le contexte de la psychologie et de la psychiatrie clinique, se réfère aux schémas relativement stables de pensées, sentiments et comportements qui caractérisent une personne. Elle est façonnée par des facteurs génétiques, environnementaux et expérientiels, et elle évolue généralement de manière stable au fil du temps, bien qu'elle puisse être influencée par des facteurs de développement et des événements de vie significatifs.
La personnalité est souvent évaluée en termes de traits, qui sont des tendances ou des prédispositions à réagir d'une certaine manière dans divers contextes. Les cinq grands traits de personnalité, largement acceptés dans la recherche en psychologie, sont l'extraversion, l'ouverture aux expériences, la conscience, l'agréabilité et le névrosisme.
Cependant, lorsque les traits de personnalité deviennent extrêmes ou rigides, qu'ils entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement, ils peuvent être diagnostiqués comme un trouble de la personnalité selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5). Ces troubles incluent, entre autres, le trouble de la personnalité borderline, le trouble de la personnalité antisociale et le trouble de la personnalité évitante.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une confusion dans votre demande. Le terme "criminals" fait référence à des personnes qui ont commis des actes illégaux ou qui sont impliquées dans des activités criminelles. Ce n'est pas un terme médical.
Cependant, il est important de noter que certains comportements criminels peuvent être liés à des problèmes de santé mentale ou à la toxicomanie. Dans ces cas, les professionnels de la santé mentale et les agents de justice pénale doivent travailler en étroite collaboration pour garantir que les personnes souffrant de ces problèmes reçoivent le traitement et les soins appropriés.
Le DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition) est un manuel publié par l'Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association). Il fournit des critères diagnostiques pour les troubles mentaux et comportementaux reconnus par la profession médicale. Les catégories diagnostiques du DSM-IV sont basées sur des recherches cliniques, psychologiques, neuroscientifiques et épidémiologiques. Il est largement utilisé en psychiatrie, en psychologie et dans d'autres domaines de la santé mentale pour aider à diagnostiquer et à traiter les troubles mentaux.
Le DSM-IV est organisé en plusieurs chapitres qui regroupent des troubles similaires sur le plan clinique ou théorique. Chaque trouble est décrit par une série de critères diagnostiques spécifiques, comprenant des symptômes et des caractéristiques cliniques nécessaires pour poser un diagnostic. Le manuel comprend également des informations sur les troubles associés, les facteurs de risque, le cours évolutif, la prévalence, la famille et l'histoire culturelle, ainsi que des directives pour le diagnostic différentiel.
Le DSM-IV a été publié en 1994 et a été largement utilisé pendant plus d'une décennie avant d'être remplacé par le DSM-5 en 2013. Il est important de noter que les classifications et les critères diagnostiques du DSM sont révisés régulièrement pour refléter les avancées dans la recherche sur les troubles mentaux.
Le trouble des conduites, selon la définition médicale, est un trouble mental complexe et grave qui se caractérise par un modèle persistant de comportement agressif et désadapté envers les règles et les normes sociales. Ce trouble se manifeste généralement avant l'âge de 16 ans et peut inclure des comportements tels que la violence, le vol, l'intimidation, la destruction de biens, la tricherie, la violation des droits d'autrui, et dans les cas extrêmes, des comportements criminels.
Les personnes atteintes de ce trouble ont souvent des difficultés à établir et à maintenir des relations interpersonnelles saines et positives. Elles peuvent également présenter des problèmes d'adaptation émotionnelle et sociale, tels que l'impulsivité, la colère, le manque d'empathie, et une faible estime de soi.
Le trouble des conduites peut être lié à d'autres troubles mentaux, tels que les troubles de l'humeur, les troubles anxieux, les troubles du spectre autistique, et les troubles des apprentissages. Il est important de noter que ce trouble nécessite une évaluation et un traitement médicaux appropriés pour aider à gérer les comportements problématiques et prévenir les conséquences négatives à long terme sur le développement social, affectif et cognitif de l'individu.
L'inventaire de personnalité est un outil d'évaluation psychologique standardisé utilisé pour mesurer différents aspects de la personnalité d'un individu. Il s'agit généralement d'un questionnaire rempli par le sujet, comprenant une série de déclarations auxquelles il doit répondre en fonction de son accord ou de son désaccord. Les réponses sont ensuite codées et analysées pour produire un profil de la personnalité du sujet.
Il existe différents types d'inventaires de personnalité, mais l'un des plus couramment utilisés est le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (MMPI), qui mesure une variété de traits de personnalité et de problèmes émotionnels et comportementaux. Les résultats de ces inventaires peuvent aider les professionnels de la santé mentale à diagnostiquer et à traiter divers troubles mentaux, ainsi qu'à comprendre le fonctionnement psychologique d'un individu dans des contextes thérapeutiques ou cliniques.
Cependant, il est important de noter que les inventaires de personnalité ne sont pas infaillibles et doivent être utilisés avec prudence. Les résultats doivent être interprétés en conjonction avec d'autres informations sur le sujet, telles que son histoire médicale et psychologique, ses antécédents sociaux et culturels, et les observations du clinicien.
Le trouble de la personnalité schizotypique est un trouble mental caractérisé par une large gamme de symptômes qui ressemblent à ceux observés dans la schizophrénie, mais sont généralement moins sévères. Il s'agit d'un trouble de la personnalité dans lequel les individus ont des difficultés significatives dans leurs relations sociales et présentent souvent des anomalies cognitives et perceptuelles.
Les symptômes peuvent inclure des distorsions cognitives, comme des idées de référence (croire que des événements ou des commentaires sans rapport avec vous ont un sens caché pour vous), une pensée magique (croire que vos pensées ou actions peuvent influencer les événements), et une pensée désorganisée ou circulaire.
Les personnes atteintes de ce trouble peuvent également présenter des anomalies perceptuelles, comme des illusions sensorielles (voir ou entendre quelque chose qui n'est pas réellement là, mais qui est moins sévère qu'une hallucination), et une forte anxiété sociale accompagnée d'un isolement volontaire.
Elles peuvent également avoir des difficultés à établir des relations interpersonnelles étroites en raison de leur manque d'expressivité émotionnelle et de leur comportement étrange ou excentrique. Ces symptômes doivent être présents depuis l'adolescence ou le début de l'âge adulte et entraîner une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou autre.
Je suis désolé, mais le terme "crime" n'a pas de définition médicale. Il relève plutôt du domaine du droit pénal et fait référence à un acte illégal qui peut être puni par la loi. Si vous cherchez des informations sur les conséquences juridiques ou psychologiques d'un crime, je pourrais peut-être vous aider avec ces sujets.
Les Psychiatric Status Rating Scales (Échelles d'évaluation du statut psychiatrique) sont des outils structurés et standardisés utilisés par les professionnels de la santé mentale pour évaluer et mesurer la gravité, la sévérité et l'évolution des symptômes psychopathologiques chez les patients atteints de troubles mentaux. Ces échelles fournissent une estimation fiable et valide de la condition clinique actuelle du patient, ce qui permet une communication plus efficace entre les prestataires de soins de santé mentale et facilite la prise de décision concernant le plan de traitement, l'adaptation des interventions thérapeutiques et le suivi des progrès.
Les échelles d'évaluation du statut psychiatrique peuvent couvrir une variété de domaines cliniques, tels que les symptômes psychotiques, affectifs, cognitifs, comportementaux et fonctionnels. Les exemples courants incluent la Global Assessment of Functioning (GAF) Scale, la Brief Psychiatric Rating Scale (BPRS), la Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) pour la schizophrénie, le Hamilton Anxiety Rating Scale (HAM-A) et le Montgomery-Åsberg Depression Rating Scale (MADRS). Chaque échelle a ses propres critères d'évaluation et scores normalisés, ce qui permet de comparer les résultats au fil du temps et entre différents groupes de patients.
L'utilisation régulière des Psychiatric Status Rating Scales dans la pratique clinique peut améliorer la qualité des soins en assurant une évaluation systématique et complète des patients, en facilitant la documentation des progrès thérapeutiques et en soutenant la recherche de l'efficacité des interventions.
La évaluation de la personnalité est un processus systématique utilisé dans le domaine médical et psychologique pour comprendre et décrire les caractéristiques, les traits, les tendances et les schémas de pensée, de sentiment et de comportement d'une personne. Elle vise à évaluer de manière approfondie et objective la structure et la dynamique de la personnalité d'un individu, ainsi que ses forces, ses faiblesses et ses modes de fonctionnement adaptatifs ou maladaptatifs.
Les méthodes utilisées pour réaliser une évaluation de la personnalité peuvent inclure des entretiens cliniques structurés ou non structurés, des questionnaires standardisés d'auto-évaluation, des tests projectifs (tels que le Rorschach ou le TAT), des observations comportementales et des données collatérales. Les résultats de l'évaluation peuvent être utilisés pour établir un diagnostic différentiel, planifier un traitement thérapeutique, évaluer l'évolution clinique ou prévoir les risques potentiels de comportements dangereux ou inadaptés.
Il est important de noter que la évaluation de la personnalité doit être réalisée par un professionnel qualifié et formé à cette tâche, tel qu'un psychiatre, un psychologue clinicien ou un neuropsychologue, afin de garantir une interprétation adéquate et fiable des données recueillies.
L'agressivité est un terme utilisé dans le domaine médical et psychologique pour décrire un comportement ou une attitude qui implique l'expression d'hostilité, d'animosité ou d'un fort désir de nuire ou de dominer. Ce comportement peut être verbal ou physique et peut être dirigé contre des personnes, des animaux ou des objets.
L'agressivité peut être classée en deux types : l'agression instrumentale et l'agression hostile. L'agression instrumentale est une forme d'agression qui est utilisée pour atteindre un objectif spécifique, tandis que l'agression hostile est une réaction émotionnelle à une menace perçue ou à une frustration.
Dans certains cas, l'agressivité peut être un symptôme d'un trouble mental sous-jacent, tel qu'un trouble de la personnalité antisociale, un trouble bipolaire ou une démence. Dans ces situations, le traitement du trouble sous-jacent peut aider à réduire les comportements agressifs.
Il est important de noter que l'agressivité n'est pas toujours nuisible ou dangereuse. Par exemple, l'assertivité, qui est la capacité de défendre ses propres droits et besoins de manière appropriée, peut être considérée comme une forme positive d'agressivité. Cependant, lorsque l'agressivité devient incontrôlable ou dangereuse, il est important de chercher une aide professionnelle pour gérer ce comportement.
Le comportement impulsif est un terme utilisé en psychiatrie et en psychologie pour décrire un style de réaction immédiate à des stimuli ou situations, sans réflexion préalable ni égard aux conséquences. Il s'agit d'une difficulté à résister aux envies ou désirs, ce qui peut entraîner des actes précipités et souvent inappropriés.
Ce type de comportement est considéré comme un trait de personnalité dans certains contextes, mais il peut aussi être une caractéristique de divers troubles mentaux, tels que les troubles déficitaires de l'attention avec hyperactivité (TDAH), les troubles de la personnalité borderline, les troubles bipolaires, certaines formes de démence et la toxicomanie.
Les actes impulsifs peuvent inclure des choses comme parler sans réfléchir, agir sans planifier, manger excessivement, dépenser trop d'argent, avoir des relations sexuelles risquées ou même commettre des actes de violence. Dans les cas graves, ces comportements peuvent causer des problèmes importants dans la vie personnelle, professionnelle et sociale d'une personne.
Je suis désolé, mais il y a apparemment une faute de frappe dans votre requête. Le terme correct devrait probablement être "Prion diseases" ou simplement "Prions". Je vais vous fournir une définition médicale pour "Prion diseases".
Les maladies à prions sont un groupe de maladies neurodégénératives rares et graves, caractérisées par l'accumulation anormale d'une protéine prion dans le cerveau. Les prions sont des protéines qui peuvent adopter une conformation anormale, ce qui entraîne leur agrégation et la formation de plaques amyloïdes dans le tissu cérébral. Ces maladies sont transmissibles, zoonotiques (peuvent être contractées par les humains à partir des animaux) et sporadiques.
Les exemples de maladies à prions incluent:
1. Maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) - une forme humaine courante de la maladie à prions, qui provoque rapidement une détérioration mentale et physique.
2. Insomnie fatale familiale (IFF) - une maladie héréditaire rare caractérisée par une perte progressive du sommeil et des troubles neurologiques progressifs.
3. Kuru - une maladie à prions transmise par cannibalisme rituel, autrefois observée chez les Fore de Nouvelle-Guinée.
4. Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ou "maladie de la vache folle" - une maladie à prions affectant le bétail, qui peut être transmise aux humains par la consommation de produits d'origine animale contaminés.
Les maladies à prions sont difficiles à diagnostiquer et n'ont actuellement aucun traitement connu pour arrêter ou ralentir leur progression.
L'alcoolisme, également connu sous le nom de dépendance à l'alcool ou de trouble de l'usage de l'alcool, est une condition médicale caractérisée par un schéma incontrôlable de consommation d'alcool qui ne peut être arrêté malgré les conséquences négatives sur la santé, les relations personnelles et professionnelles, et d'autres aspects de la vie.
Il existe plusieurs critères diagnostiques pour l'alcoolisme, y compris une forte envie ou un désir irrésistible de boire, des symptômes de sevrage lorsque la consommation d'alcool est interrompue, une tolérance accrue à l'alcool, une incapacité à limiter la quantité d'alcool consommé et une poursuite de la consommation d'alcool malgré les problèmes physiques ou psychologiques évidents qu'elle cause.
L'alcoolisme peut entraîner des dommages à divers organes du corps, notamment le foie, le cerveau, le cœur et l'estomac, ainsi que des problèmes de santé mentale tels que la dépression et l'anxiété. Il peut également augmenter le risque de maladies infectieuses telles que la pneumonie et la tuberculose.
Le traitement de l'alcoolisme implique généralement une combinaison de thérapies comportementales, de médicaments et de soutien social. Les programmes de traitement peuvent inclure des séjours en clinique de désintoxication, des groupes de soutien tels que les Alcooliques Anonymes et des médicaments pour aider à gérer les symptômes de sevrage et à prévenir les rechutes.
Un entretien psychologique est une méthode d'évaluation et d'intervention en psychologie qui consiste en une conversation structurée entre un professionnel de la santé mentale et un patient. Il a pour but de comprendre les difficultés personnelles, émotionnelles, cognitives ou comportementales vécues par le patient, d'établir un diagnostic, de déterminer les objectifs thérapeutiques et de planifier le traitement.
L'entretien psychologique peut être utilisé dans divers contextes cliniques, tels que la psychiatrie, la neurologie, la médecine générale ou la psychologie clinique. Il permet d'établir une relation de confiance entre le patient et le professionnel, de recueillir des informations détaillées sur l'histoire personnelle du patient, ses antécédents médicaux et psychiatriques, sa vie familiale et sociale, ainsi que ses symptômes actuels.
Le professionnel de la santé mentale utilise des techniques d'entretien spécifiques pour encourager le patient à parler librement de ses préoccupations, émotions et expériences. Il peut poser des questions ouvertes, réfléchir les réponses du patient, clarifier les ambiguïtés et résumer les points clés de la conversation.
L'entretien psychologique est un outil essentiel pour évaluer la santé mentale d'une personne, car il permet de comprendre les facteurs sous-jacents à ses difficultés et de déterminer le traitement le plus approprié pour répondre à ses besoins. Il peut être utilisé seul ou en combinaison avec d'autres méthodes d'évaluation, telles que des tests psychologiques ou des observations comportementales.
Les troubles mentaux, également connus sous le nom de troubles psychologiques ou psychiatriques, sont des désordres qui affectent l'humeur, la pensée et le comportement. Ils peuvent perturber la capacité d'une personne à fonctionner correctement dans sa vie quotidienne, causant souvent un stress important pour la personne atteinte et ses proches.
Les troubles mentaux comprennent une large gamme de conditions telles que les troubles anxieux (comme le trouble panique ou la phobie spécifique), les troubles dépressifs, les schizophrénies, les troubles bipolaires, les troubles liés à l'utilisation de substances, les troubles psychotiques, les troubles de l'alimentation (comme l'anorexie nervosa ou la boulimie), les troubles du spectre autistique, et bien d'autres.
Ces conditions sont souvent associées à des changements biochimiques dans le cerveau et peuvent être influencées par plusieurs facteurs tels que la génétique, l'environnement, le stress et les expériences traumatiques. Il est important de noter que ces troubles ne sont pas simplement «dans la tête» des personnes qui en souffrent; ils sont réels et peuvent être très graves.
La plupart des troubles mentaux peuvent être traités avec succès avec une combinaison de médicaments, de thérapies psychologiques ou comportementales, et de soutien social et émotionnel. L'accès aux soins de santé mentale est crucial pour les personnes atteintes de ces troubles afin qu'elles puissent mener une vie productive et épanouissante.
La violence est un comportement intentionnel qui entraîne ou menace de provoquer des blessures, des dommages physiques ou psychologiques à une personne ou à un groupe. Elle peut prendre plusieurs formes, y compris la violence physique (comme frapper, donner des coups de pied, pousser ou mutiler), la violence sexuelle (viol, abus sexuel ou harcèlement), la violence psychologique (intimidation, menaces, isolement social ou contrôle excessif) et la violence négligente (manquement délibéré à fournir des soins de base, comme de la nourriture, un abri, des médicaments ou une protection contre le danger).
La violence peut survenir dans divers contextes, tels que les relations interpersonnelles, la famille, l'intimité, la communauté et la société. Elle peut être causée par une variété de facteurs, notamment des problèmes personnels, familiaux, sociaux, culturels, politiques et économiques. Les conséquences de la violence peuvent inclure des blessures physiques, des traumatismes psychologiques, des handicaps permanents, une mauvaise santé mentale et même la mort.
Il est important de noter que la violence est préjudiciable à la santé et au bien-être des individus et des communautés et qu'il est essentiel de promouvoir des relations saines, respectueuses et exemptes de violence dans tous les aspects de la vie.
Le trouble de la personnalité de type compulsif, également connu sous le nom de trouble obsessionnel-compulsif de la personnalité (TOCP), est un trouble mental chronique caractérisé par des schémas persistants de pensées et de comportements obsessionnels et compulsifs. Contrairement au trouble obsessionnel-compulsif (TOC), qui se concentre sur les obsessions et les compulsions spécifiques, le TOCP est axé sur un modèle plus général de perfectionnisme, d'ordre, de contrôle et de rigueur.
Les personnes atteintes de TOCP peuvent avoir du mal à déléguer des tâches, car elles craignent que les autres ne puissent pas les accomplir aussi bien qu'elles-mêmes. Elles peuvent également être très critiques à l'égard d'elles-mêmes et des autres, avoir des difficultés à accepter des compliments ou à se détendre et éviter les situations imprévues ou spontanées.
Le TOCP est un trouble de la personnalité de type A, ce qui signifie qu'il s'accompagne généralement d'une anxiété accrue et d'un haut niveau de conscience professionnelle. Les personnes atteintes de TOCP peuvent avoir des difficultés à établir et à maintenir des relations interpersonnelles en raison de leur rigidité, de leur manque de flexibilité et de leur incapacité à faire preuve d'empathie ou de compréhension envers les autres.
Le TOCP est un trouble complexe qui peut être difficile à diagnostiquer et à traiter. Il nécessite généralement une évaluation approfondie par un professionnel de la santé mentale formé pour diagnostiquer et traiter les troubles de la personnalité. Le traitement du TOCP peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale (TCC), des médicaments et d'autres interventions psychologiques.
La morbidité associée, également connue sous le nom de comorbidité, fait référence à la présence d'une ou plusieurs conditions médicales supplémentaires chez un patient souffrant d'une maladie primaire. Ces conditions peuvent être liées ou non à la maladie principale et peuvent affecter l'évolution de la maladie, le traitement et les résultats pour le patient. Elles peuvent également entraîner une aggravation des symptômes, une augmentation du risque de complications et une diminution de la qualité de vie. Les exemples courants de comorbidités incluent l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et la dépression. Il est important de prendre en compte ces conditions lors du diagnostic et du traitement d'une maladie pour assurer les meilleurs résultats possibles pour le patient.
Les tests de personnalité sont des évaluations standardisées conçues pour mesurer les caractéristiques, traits et tendances de la personnalité d'un individu. Ils peuvent aider à comprendre la façon dont une personne interagit avec le monde qui l'entoure, comment elle pense, ressent et se comporte. Les tests de personnalité sont largement utilisés dans divers contextes, y compris le counseling clinique, le développement personnel, l'évaluation des aptitudes professionnelles et la recherche en psychologie.
Les exemples courants de tests de personnalité comprennent le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (MMPI), le California Psychological Inventory (CPI), le 16 Personality Factor Questionnaire (16PF) et le Myers-Briggs Type Indicator (MBTI). Ces tests peuvent être administrés sous forme de questionnaires, d'entretiens structurés ou d'observations directes. Il est important de noter que les résultats des tests de personnalité doivent être interprétés avec prudence et en considération du contexte plus large de l'histoire de vie, des antécédents médicaux et des facteurs environnementaux d'un individu.
Les troubles de l'humeur sont des désordres mentaux caractérisés par des altérations durables et marquées de l'humeur, c'est-à-dire de l'état d'esprit ou du sentiment dominant d'un individu, qui affectent sa perception de la vie, ses pensées, son comportement et sa capacité à fonctionner. Les deux humeurs principales sont la joie et la tristesse, mais il existe également d'autres humeurs comme la colère, la peur ou le dégoût.
Les troubles de l'humeur peuvent se manifester sous différentes formes, les plus courantes étant la dépression majeure et le trouble bipolaire (anciennement appelé psychose maniaco-dépressive). Dans la dépression majeure, l'individu éprouve une humeur extrêmement triste, pessimiste ou vide pendant une période prolongée, associée à une perte d'intérêt ou de plaisir pour les activités quotidiennes, des troubles du sommeil et de l'appétit, une fatigue accrue, des difficultés de concentration, des sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessifs, des pensées de mort ou de suicide récurrentes.
Dans le trouble bipolaire, l'individu alterne entre des phases dépressives et des phases d'humeur euphorique ou irritable, appelées manies ou hypomanies. Pendant les phases maniaques, la personne peut présenter une hyperactivité, une logorrhée (flot de paroles ininterrompu), une distractibilité accrue, des idées de grandeur, un sentiment d'invulnérabilité, des comportements impulsifs ou à risque, une diminution du besoin de sommeil et une distorsion du jugement.
Les troubles de l'humeur peuvent être causés par une combinaison de facteurs génétiques, biologiques, environnementaux et psychosociaux. Ils nécessitent un traitement spécialisé, qui peut inclure des médicaments (antidépresseurs, stabilisateurs de l'humeur, antipsychotiques) et une thérapie cognitivo-comportementale ou interpersonnelle. Une prise en charge précoce et adéquate permet de réduire les risques de rechute et d'améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.
Le trouble de la personnalité de type paranoïaque, selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), est un trouble de la personnalité caractérisé par une méfiance et une suspicion persistantes des autres, qui durent généralement depuis l'âge adulte. Les personnes atteintes de ce trouble ont tendance à interpréter de manière excessive les intentions des autres comme malveillantes, ce qui peut entraîner des conflits fréquents et une difficulté à entretenir des relations étroites.
Les symptômes du trouble de la personnalité de type paranoïaque peuvent inclure :
* Une méfiance excessive et une suspicion généralisée envers les autres, même lorsqu'il n'y a pas de preuve réelle de malveillance ou de tromperie.
* Une tendance à interpréter de manière excessive les intentions des autres comme étant hostiles ou malveillantes.
* Une réticence à se confier aux autres en raison d'une crainte excessive que les informations soient utilisées contre eux.
* Une méfiance et une suspicion excessives dans les relations intimes, ce qui peut entraver l'établissement de relations étroites.
* Une tendance à se percevoir comme la victime de conspiration ou de persécution.
* Une hypersensibilité aux critiques ou aux commentaires négatifs, qui peuvent être interprétés comme une preuve de malveillance ou de rejet.
* Une tendance à se venger des personnes perçues comme ayant causé du tort.
Il est important de noter que ces symptômes doivent être persistants et suffisamment graves pour entraîner une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou autre domaine important de la vie. De plus, ces symptômes ne doivent pas être mieux expliqués par un autre trouble mental ou une substance (comme une drogue ou un médicament).
L'abus de marijuana fait référence à l'utilisation excessive et inappropriée de cette substance, qui peut entraîner des conséquences néfastes sur la santé physique et mentale d'un individu. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble lié à la consommation de cannabis est défini comme un modèle de consommation de cannabis qui entraîne des problèmes importants dans les domaines personnel, social, professionnel et/ou scolaire.
Les symptômes courants de l'abus de marijuana peuvent inclure une tolérance accrue à la drogue, des symptômes de sevrage lorsque la consommation est interrompue, une utilisation continue malgré les problèmes persistants ou récurrents qu'elle cause, et une négligence des activités quotidiennes importantes en faveur de l'utilisation de la drogue.
L'abus de marijuana peut entraîner une variété de problèmes de santé physique, notamment une augmentation du rythme cardiaque, une sécheresse de la bouche, des rougeurs oculaires et une augmentation de l'appétit. L'utilisation à long terme peut également entraîner des problèmes pulmonaires et des maladies mentales telles que la dépression, l'anxiété et la psychose.
Il est important de noter que, bien que la marijuana soit souvent considérée comme une drogue relativement inoffensive, son utilisation excessive peut entraîner des conséquences graves sur la santé et le bien-être d'une personne. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez souffrez d'un problème de dépendance à la marijuana, il est important de chercher une aide professionnelle pour traiter ce trouble.
Le trouble de la personnalité schizoïde, selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), est un trouble de la personnalité caractérisé par un modèle persistant de détachement émotionnel des autres et une restriction de la capacité à éprouver du plaisir dans les activités sociales, qui commence au début de l'âge adulte et est présent dans plusieurs contextes. Une personne atteinte de ce trouble peut également présenter des difficultés interpersonnelles, une anhédonie (incapacité à ressentir du plaisir), une réserve émotionnelle et une préférence pour les activités solitaires.
Pour recevoir un diagnostic de trouble de la personnalité schizoïde, un individu doit présenter au moins quatre des sept critères suivants :
1. Aucun désir ou plaisir à établir des relations intimes proches, y compris être froid ou distant émotionnellement (par exemple, se sentir indifférent lorsque des amis intimes sont blessés ou malades).
2. Capacité limitée à exprimer des émotions et à ressentir du plaisir.
3. Aucune recherche de compagnie pour éviter d'être embarrassé ou gêné.
4. Préférence pour les activités solitaires, y compris les loisirs.
5. Pas de problème à être seul pendant des périodes prolongées.
6. Indifférent aux critiques et aux éloges des autres.
7. Montre peu ou pas d'expression émotionnelle dans les interactions sociales, y compris une voix monotone, un manque de changement facial et un contact visuel minimal.
Il est important de noter que le trouble de la personnalité schizoïde ne doit pas être confondu avec la schizophrénie, qui est un trouble mental grave caractérisé par des hallucinations, des délires, des pensées désorganisées et d'autres symptômes.
Le trouble de la personnalité dépendante, également connu sous le nom de «personnalité dépendante» ou «dépendance excessive», est un type de trouble de la personnalité dans lequel une personne a une peur persistante et exagérée d'être abandonnée ou seule, accompagnée d'un besoin excessif d'être prise en charge. Les individus atteints de ce trouble ont tendance à se soumettre aux désirs des autres, même si cela va à l'encontre de leurs propres besoins et souhaits.
Les symptômes du trouble de la personnalité dépendante comprennent:
1. Difficulté à prendre des décisions sans beaucoup de conseils et de réassurance d'autrui.
2. Besoin d'être constamment rassuré(e) sur sa conduite et ses décisions.
3. Difficulté à exprimer un désaccord avec autrui par crainte de perte d'approbation ou de rupture des relations.
4. Se soumettant de façon excessive aux autres (par exemple, se laissant influencer facilement).
5. Craintes excessives d'être abandonné(e) ou seul(e), en dépit de l'absence d'indications réelles de rupture réelle.
6. Se sentir désespérément mal à l'aise et sans défense lorsqu'il est/elle est seul(e).
7. Faisant souvent beaucoup d'efforts pour obtenir la proximité physique et émotionnelle avec les autres, y compris des personnes qu'ils ne connaissent pas très bien.
8. Se sentir responsable de la mauvaise humeur ou du mécontentement des autres.
9. Se mettant dans une position inférieure aux autres pour éviter d'être abandonné(e).
10. Difficulté à initier des projets ou à faire des choses seul(e) par crainte de se sentir incompétent(e.
Ces symptômes doivent être suffisamment sévères pour entraîner une altération marquée du fonctionnement social, professionnel ou autre domaine important et ne pas être dus aux effets physiologiques directs d'une substance (par exemple, drogue) ou d'une autre affection médicale générale.
Il est à noter que les personnes atteintes de TDI peuvent également présenter des symptômes dépressifs et anxieux.
Le trouble de la personnalité de type histrionique, selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'exagération de ses émotions, à chercher l'attention des autres et à être influencé par les autres. Les individus atteints de ce trouble ont souvent un style de communication dramatique et séducteur, et peuvent être très expressifs dans leur langage corporel et leurs émotions. Ils sont également susceptibles de se sentir mal à l'aise ou ennuyés lorsqu'ils ne sont pas le centre d'attention.
D'autres symptômes courants du trouble de la personnalité de type histrionique comprennent une estime de soi excessivement dépendante des réactions des autres, une grande suggestibilité, une tendance à interpréter les relations et les situations de manière romantique ou sexuelle, et un risque accru de réagir de manière impulsive ou immature dans les situations émotionnellement chargées.
Pour recevoir un diagnostic de trouble de la personnalité de type histrionique, ces symptômes doivent être présents depuis au moins six mois et causer une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou autre. Ce trouble est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes et peut coexister avec d'autres troubles de la personnalité ou mentaux.
Le septum pellucidum est une fine membrane fibreuse et triangulaire située dans le cerveau. Il se trouve dans la ligne médiane, séparant les deux ventricules latéraux du cerveau, qui sont remplis de liquide céphalo-rachidien. Le septum pellucidum aide à maintenir l'intégrité structurelle de ces cavités et joue un rôle important dans la circulation du fluide céphalo-rachidien dans le système nerveux central. Il est généralement de 1,5 à 2 cm de long et s'étend de l'avant vers l'arrière depuis la lame rostrale de la lamina terminalis jusqu'au splenium du corps calleux. Des troubles neurologiques peuvent survenir lorsque le septum pellucidum est endommagé ou présente des anomalies congénitales.
Les études longitudinales sont un type de recherche prospective où les mêmes sujets sont suivis et évalués à plusieurs reprises sur une période prolongée, souvent des années ou des décennies. Cela permet aux chercheurs d'étudier les changements et les développements au fil du temps, ainsi que les relations de cause à effet entre différents facteurs.
Dans le contexte médical, les études longitudinales sont souvent utilisées pour étudier l'évolution des maladies chroniques, les facteurs de risque et de protection, et les résultats de santé à long terme. Elles peuvent également être utilisées pour évaluer l'efficacité et la sécurité des interventions thérapeutiques à long terme.
Les études longitudinales présentent plusieurs avantages par rapport aux études transversales, qui ne suivent les sujets qu'à un seul moment donné. Tout d'abord, elles permettent de mesurer les changements au fil du temps plutôt que de simplement comparer des groupes à un moment donné. Deuxièmement, elles peuvent aider à établir une séquence temporelle entre les événements et les résultats de santé, ce qui peut être utile pour étudier les causes et les effets. Enfin, elles peuvent fournir des données sur la variabilité individuelle dans le temps, ce qui peut être important pour comprendre les différences entre les personnes dans leur réponse aux interventions thérapeutiques.
Cependant, les études longitudinales présentent également des défis importants, tels que la perte de suivi des participants au fil du temps, les changements dans les méthodes de mesure et l'évolution des normes de soins de santé. Par conséquent, il est important de concevoir et de mener ces études avec soin pour garantir la validité et la fiabilité des résultats.
Les Troubles anxieux sont un groupe de conditions mentales caractérisées par des sentiments excessifs de peur, d'inquiétude et d'anxiété qui interfèrent avec la vie quotidienne. Ces troubles peuvent inclure des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des sueurs, des tremblements, des fatigues et des troubles du sommeil. Les exemples de troubles anxieux comprennent le trouble d'anxiété généralisée (TAG), les troubles de panique, l'agoraphobie, le trouble d'anxiété sociale, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Les causes peuvent être génétiques, environnementales ou liées à une maladie sous-jacente. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et de l'histoire médicale du patient. Le traitement peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux.
En termes médicaux, la socialisation fait référence au processus d'acquisition des normes, des rôles, des valeurs et des comportements appropriés dans une société ou un groupe particulier. C'est un processus continu qui commence à la naissance et se poursuit tout au long de la vie. Dans le contexte de la santé mentale et du développement social, la socialisation est cruciale pour l'acquisition des compétences interpersonnelles et de communication nécessaires pour établir et maintenir des relations saines. Les carences dans ce processus peuvent entraîner des problèmes de comportement et d'adaptation sociaux.
Le trouble de la personalite passive-agressive, maintenant connu sous le nom de "personnalite negativiste/dansante" dans le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e edition), est un type de personnalite marque par des attitudes et des comportements persistants de negativisme, d'hostilite cachee, de victimisation, d'irresponsabilite, de stoicismisme injustifie et d'obstructionismisme. Ces comportements sont souvent des reactions a des demandes ou a des attentes percues comme raisonnables. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent sembler constamment insatisfaites ou irritables et ont du mal a suivre les regles et a assumer les responsabilites attendues dans la vie quotidienne. Elles ont tendance a ressentir des emotions negatives intensees et a reagir de maniere exageree aux evenements stresants. Ces comportements ont tendance a nuire aux relations interpersonnelles et a la capacite fonctionnelle globale.
Il est important de noter que pour recevoir un diagnostic de trouble de la personnalite negativiste/dansante, ces comportements doivent etre present depuis au moins deux ans et ne doivent pas etre mieux expliques par un autre trouble mental ou une autre condition medicale. De plus, ces comportements doivent causer une souffrance cliniquement significative ou une deterioration dans les domaines sociaux, professionnels ou autres areas importantes de la vie.
En termes médicaux, un facteur de risque est défini comme toute caractéristique ou exposition qui augmente la probabilité de développer une maladie ou une condition particulière. Il peut s'agir d'un trait, d'une habitude, d'une substance, d'une exposition environnementale ou d'un autre facteur qui, selon les recherches et les études épidémiologiques, accroît la susceptibilité d'un individu à contracter une maladie.
Il est important de noter que le fait d'avoir un facteur de risque ne signifie pas qu'une personne contractera certainement la maladie en question. Cependant, cela indique simplement qu'elle a une probabilité plus élevée de développer cette maladie par rapport à quelqu'un qui n'a pas ce facteur de risque.
Les facteurs de risque peuvent être modifiables ou non modifiables. Les facteurs de risque modifiables sont ceux que l'on peut changer grâce à des interventions, comme l'arrêt du tabac pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires et certains cancers. D'un autre côté, les facteurs de risque non modifiables sont ceux qui ne peuvent pas être changés, tels que l'âge, le sexe ou les antécédents familiaux de certaines maladies.
Dans la pratique clinique, l'identification des facteurs de risque permet aux professionnels de la santé d'évaluer et de gérer plus efficacement la santé des patients en mettant en œuvre des stratégies de prévention et de gestion des maladies ciblées pour réduire le fardeau de la morbidité et de la mortalité.
Le narcissisme est un terme utilisé en psychiatrie et psychologie pour décrire les traits de personnalité ou les comportements qui impliquent un intérêt excessif, une absorption inappropriée ou une exagération de sa propre importance, des besoins, des désirs, des réussites, des talents ou des capacités. Il est nommé d'après la mythologie grecque où Narcisse était un homme qui aimait son propre reflet et finit par se noyer dans un lac alors qu'il essayait de l'embrasser.
Dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), le narcissisme est classé comme un trouble de la personnalité, appelé trouble de la personnalité narcissique. Pour recevoir ce diagnostic, les individus doivent répondre à au moins cinq des neuf critères suivants :
1. Avoir un grand sentiment d'importance (par exemple, exagérer ses réalisations et talents, s'attendre à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli beaucoup).
2. Être absorbé par des fantasmes de succès illimité, de pouvoir, de beauté, de perfection intemporelle, etc.
3. Croire qu'il est spécial et unique et ne peut être pleinement compris ou apprécié que par, ou doit se connecter avec, d'autres personnes (ou institutions) spéciales ou supérieures.
4. Exiger une admiration excessive.
5. Supposer qu'il a des droits innés spécifiques ou exclusifs à des avantages extraordinaires que d'autres ne possèdent pas.
6. Exploiter les autres pour atteindre ses propres objectifs.
7. Manquer d'empathie : être incapable de reconnaître ou de s'identifier avec les sentiments et les besoins des autres.
8. S'attendre à être traité favorablement, sans tenir compte des règles générales ou des normes de réciprocité auxquelles les autres sont obligés de se conformer.
9. Être envieux des autres ou croire que les autres lui sont jaloux.
10. Montrer souvent un comportement arrogant et hautain.
Cependant, il est important de noter qu'il existe une différence entre avoir confiance en soi et être narcissique. Les personnes qui ont confiance en elles se sentent bien dans leur peau, sont capables d'accepter les compliments sans s'attendre à ce que tout le monde les admire constamment, et peuvent reconnaître leurs propres forces et faiblesses. D'un autre côté, les personnes narcissiques ont tendance à avoir une image de soi excessivement positive, sont souvent vaniteuses et égocentriques, et manquent d'empathie envers les autres.
Si vous pensez que votre enfant présente des signes de narcissisme, il est important de lui fournir un environnement sûr où il peut exprimer ses sentiments sans crainte d'être rejeté ou critiqué. Encouragez-le à être plus conscient des besoins et des sentiments des autres, et aidez-le à développer une image de soi réaliste en le félicitant pour ses réalisations tout en lui faisant savoir qu'il est normal d'avoir des imperfections.
Enfin, il est important de se rappeler que le narcissisme peut être un trait de personnalité complexe qui peut être difficile à changer. Si vous êtes préoccupé par les comportements narcissiques de votre enfant, il peut être utile de consulter un professionnel de la santé mentale pour obtenir des conseils et une assistance supplémentaires.
Un "facteur sexuel" n'a pas de définition médicale spécifique en soi. Cependant, dans un contexte médical ou scientifique plus large, les facteurs sexuels peuvent se référer aux aspects biologiques, comportementaux et sociaux qui contribuent à la détermination du sexe et de l'identité de genre d'une personne.
Les facteurs sexuels biologiques comprennent les caractéristiques chromosomiques, hormonales et anatomiques qui définissent le sexe physiologique d'une personne (masculin ou féminin). Les facteurs sexuels comportementaux peuvent inclure les rôles de genre, les préférences sexuelles et les pratiques sexuelles. Enfin, les facteurs sociaux peuvent inclure l'expression de genre, le rôle social et la perception culturelle du sexe et du genre.
Il est important de noter que les facteurs sexuels ne sont pas nécessairement binaires et peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. De plus, certaines personnes peuvent s'identifier comme non-binaires ou genderqueer, ce qui signifie qu'ils ne s'identifient pas strictement comme masculin ou féminin. Par conséquent, il est important de respecter et de comprendre la diversité des identités sexuelles et de genre.
Le développement de la personnalité est un processus continu et complexe qui se produit tout au long de la vie d'un individu. Dans le contexte médical et psychologique, il fait référence à l'évolution des structures cognitives, affectives et comportementales qui définissent la manière unique dont un individu perçoit, pense, ressent et réagit au monde qui l'entoure.
Le développement de la personnalité est influencé par une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux. Les théories du développement de la personnalité tentent d'expliquer comment ces facteurs interagissent pour façonner la personnalité d'un individu.
Les premiers stades du développement de la personnalité se produisent pendant l'enfance et sont caractérisés par des changements rapides dans les schémas de pensée, les émotions et le comportement. Au fur et à mesure que l'individu vieillit, ces structures deviennent plus stables et intégrées, bien qu'elles puissent toujours être influencées par des expériences et des événements ultérieurs.
Des problèmes de développement de la personnalité peuvent survenir lorsque ce processus est interrompu ou entravé d'une manière ou d'une autre, entraînant des modèles de pensée, d'émotion et de comportement inadaptés ou mal adaptatifs. Ces problèmes peuvent se manifester sous forme de divers troubles mentaux, notamment les troubles de la personnalité, la dépression et l'anxiété.
Les troubles névrotiques sont un groupe de désordres mentaux selon la classification internationale des maladies (CIM-10) et le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5). Ils sont caractérisés par des réactions émotionnelles et comportementales excessives, inappropriées ou disproportionnées face à un événement stressant ou à une situation de vie difficile.
Ces troubles comprennent :
1. Trouble d'anxiété généralisée : Inquiétude et anxiété excessive et persistante sur divers sujets et pendant une période prolongée.
2. Trouble panique : Attaques récurrentes et inattendues de peur intense, accompagnées de symptômes physiques tels que palpitations, sueurs, tremblements ou essoufflement.
3. Phobie spécifique : Peur intense et irrationnelle d'un objet ou d'une situation particulière.
4. Trouble obsessionnel-compulsif : Pensées persistantes et répétitives (obsessions) et/ou comportements répétitifs (compulsions) qui causent une détresse marquée ou une altération du fonctionnement social.
5. Trouble de stress post-traumatique : Anxiété et autres symptômes qui se développent après avoir vécu ou été témoin d'un événement traumatisant.
6. Trouble dissociatif : Dépersonnalisation, déréalisation ou amnésie en réponse à un stress intense.
7. Troubles somatoformes : Préoccupation excessive par des symptômes physiques qui ne peuvent pas être expliqués par une maladie médicale sous-jacente.
8. Trouble de conversion : Manifestations neurologiques fonctionnelles sans cause organique décelable.
Ces troubles sont souvent associés à des sentiments de détresse, d'invalidité et de souffrance psychologique. Ils peuvent être traités avec une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux.
La monoamine oxydase (MAO) est une enzyme qui se trouve sur la membrane externe des mitochondries et joue un rôle crucial dans la dégradation des monoamines, qui sont des neurotransmetteurs et des neuromodulateurs importants dans le cerveau. Il existe deux isoformes de cette enzyme, MAO-A et MAO-B, qui diffèrent par leurs préférences substratiques et leur distribution tissulaire.
MAO-A est principalement responsable du métabolisme des catécholamines telles que la noradrénaline, l'adrénaline et la dopamine, ainsi que de certains amines exogènes comme la tyramine. MAO-B, quant à elle, dégrade principalement les phényléthylamines, y compris la benzylamine et la phenethylamine, ainsi que la dopamine dans certaines régions du cerveau.
L'inhibition de ces enzymes peut entraîner une augmentation des niveaux de monoamines dans le cerveau, ce qui a des implications thérapeutiques et adverses. Les inhibiteurs de la MAO sont utilisés dans le traitement de divers troubles mentaux, tels que la dépression et les parkinsonismes sévères, mais doivent être utilisés avec prudence en raison du risque d'interactions médicamenteuses et alimentaires graves, telles que l'hypertension artérielle induite par la tyramine.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme "United States" fait référence à un pays, pas à un concept médical ou anatomique. Il s'agit de la République fédérale composée de 50 États et d'autres territoires, situés en Amérique du Nord. Si vous cherchez des informations sur une condition médicale ou un terme anatomique, je serais heureux de vous aider avec cela.
La définition médicale des « Maladies Chez Les Jumeaux » fait référence à l'étude et à la comparaison des maladies ou des conditions de santé qui surviennent chez les jumeaux. Cette discipline scientifique examine les similitudes et les différences dans l'apparition, la gravité et l'évolution des maladies entre les paires de jumeaux monozygotes (identiques) et dizygotes (fraternels).
Les recherches sur les Maladies Chez Les Jumeaux peuvent fournir des informations cruciales sur la contribution relative des facteurs génétiques et environnementaux dans le développement de diverses affections médicales. Par exemple, en comparant les taux de prévalence et d'incidence de certaines maladies entre les jumeaux monozygotes et dizygotes, les chercheurs peuvent estimer la part de l'héritabilité, c'est-à-dire la proportion de risque attribuable aux facteurs génétiques.
Les Maladies Chez Les Jumeaux sont souvent étudiées dans le cadre de recherches épidémiologiques et génétiques, en particulier pour les maladies complexes telles que les troubles psychiatriques, cardiovasculaires, métaboliques et oncologiques. Ces études peuvent contribuer au développement de stratégies de prévention, de diagnostic et de traitement plus ciblées et personnalisées pour ces affections.
Il est important de noter que les jumeaux monozygotes partagent le même patrimoine génétique, tandis que les jumeaux dizygotes partagent environ 50% de leurs gènes, tout comme des frères et sœurs non-jumeaux. Ainsi, l'environnement partagé par les jumeaux monozygotes, y compris leur exposition prénatale commune, peut également jouer un rôle dans la concordance des maladies entre eux. L'analyse de ces facteurs permet d'approfondir notre compréhension des interactions complexes entre les gènes et l'environnement dans le développement des maladies.
Le comportement d'auto-agression est un terme utilisé en psychiatrie et en psychologie pour décrire un ensemble de comportements qui causent intentionnellement des dommages à soi-même. Cela peut inclure des actes tels que se gratter, se frapper, se brûler, se poignarder ou s'empoisonner volontairement.
Les personnes qui présentent des comportements d'auto-agression peuvent le faire pour diverses raisons, y compris pour faire face au stress, à l'anxiété ou à la dépression, pour exprimer des émotions intenses, pour tenter de se libérer de sentiments de dissociation ou pour punir soi-même. Dans certains cas, ces comportements peuvent être liés à des troubles mentaux sous-jacents, tels que la schizophrénie, le trouble de stress post-traumatique, les troubles de l'humeur ou les troubles de la personnalité.
Le traitement du comportement d'auto-agression dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure une thérapie individuelle ou de groupe, des médicaments, des groupes de soutien et des interventions de crise pour aider à gérer les épisodes aigus. Il est important de noter que le comportement d'auto-agression peut être très dangereux et doit être pris au sérieux. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez présentez des comportements d'auto-agression, il est important de chercher une aide professionnelle immédiatement.
L'analyse statistique factorielle est une méthode d'analyse multidimensionnelle utilisée dans les sciences statistiques. Elle vise à identifier et à comprendre la structure sous-jacente des données en examinant les relations linéaires entre variables. Cette analyse permet de réduire la complexité des données en identifiant les facteurs ou dimensions latents qui peuvent expliquer la variabilité des observations.
Dans l'analyse statistique factorielle, on commence par calculer une matrice de corrélations ou de covariances entre les variables observées. Ensuite, on effectue une décomposition de cette matrice en utilisant des techniques telles que l'analyse en composantes principales (ACP) ou l'analyse en composantes indépendantes (ACI).
L'ACP permet d'extraire les facteurs qui représentent la variabilité maximale des données, tandis que l'ACI permet de décomposer les données en facteurs non corrélés. Les facteurs extraits peuvent être utilisés pour représenter les données dans un espace factoriel réduit, ce qui facilite l'interprétation et la visualisation des résultats.
L'analyse statistique factorielle est couramment utilisée dans divers domaines tels que la psychologie, la médecine, l'épidémiologie, la génomique et l'ingénierie pour identifier les schémas cachés dans les données complexes. Elle permet de révéler des relations entre variables qui peuvent être utiles pour comprendre les mécanismes sous-jacents à un phénomène ou pour prédire les résultats futurs.
Dans le domaine médical, l'analyse statistique factorielle peut être utilisée pour identifier des groupes de patients ayant des caractéristiques similaires, pour étudier les facteurs de risque associés à une maladie ou pour évaluer l'efficacité d'un traitement. Elle permet ainsi aux chercheurs et aux cliniciens de mieux comprendre les mécanismes complexes impliqués dans la santé et la maladie, ce qui peut conduire à des interventions thérapeutiques plus ciblées et personnalisées.
Le terme "délinquance juvénile" est utilisé dans le domaine médical et social pour décrire un comportement antisocial ou illégal affiché par des mineurs, qui violent les lois ou règlements établis. Cela inclut une large gamme d'infractions, allant de méfaits mineurs tels que le vandalisme, le vol et la fraude, à des actes plus graves tels que l'agression, le viol et le meurtre.
Il est important de noter que les jeunes qui présentent un comportement délinquant ne sont pas nécessairement "mauvais" ou voués à une vie criminelle. La délinquance juvénile peut être liée à une variété de facteurs, y compris des facteurs familiaux, scolaires, sociaux et individuels. Les interventions précoces et ciblées peuvent souvent aider à prévenir ou à réduire la récidive de la délinquance juvénile.
Les professionnels de la santé mentale, les travailleurs sociaux et les éducateurs peuvent jouer un rôle important dans l'identification des facteurs sous-jacents contribuant à la délinquance juvénile et dans la mise en place de traitements et d'interventions appropriés pour aider les jeunes à surmonter ces comportements.
Le trouble bipolaire, anciennement connu sous le nom de psychose maniaco-dépressive, est un trouble de l'humeur caractérisé par des épisodes extrêmes de dépression et d'excitation ou d'agitation. Ces épisodes peuvent être séparés par des périodes de humeur et de fonctionnement normaux.
Les épisodes maniaques peuvent inclure une humeur anormalement et persistante élevée, une irritabilité excessive ou un comportement hyperactif, une inflammation du jugement et des décisions imprudentes. Ces symptômes sont suffisamment graves pour perturber le fonctionnement social ou professionnel habituel ou nécessiter une hospitalisation pour assurer la sécurité de la personne.
Les épisodes dépressifs comprennent une humeur dépressive, une perte d'intérêt ou de plaisir dans presque toutes les activités, des changements importants dans l'appétit ou le poids, une insomnie ou un sommeil excessif, une agitation ou une lenteur accrue, la fatigue ou la perte d'énergie, des sentiments de dévalorisation ou d'inutilité, des difficultés à se concentrer, des pensées récurrentes de mort et des tentatives de suicide.
Le trouble bipolaire est souvent associé à des problèmes cognitifs, des troubles anxieux et des abus de substances. Il peut entraîner une altération significative du fonctionnement social, professionnel ou scolaire. Le diagnostic est établi sur la base d'un examen psychiatrique approfondi et d'une anamnèse détaillée. Le traitement comprend généralement une combinaison de médicaments et de thérapies psychologiques.
Le Trouble Déficitaire de l'Attention avec Hyperactivité (TDAH) est un trouble neurodéveloppemental courant qui affecte à la fois les enfants et les adultes. Il se caractérise par des symptômes persistants d'inattention, d'hyperactivité et d'impulsivité qui interfèrent avec le fonctionnement scolaire, professionnel et social.
Les symptômes d'inattention peuvent inclure : difficulté à prêter attention aux détails, facilité à se distraire, difficulté à suivre des instructions, désorganisation, oubli fréquent des tâches quotidiennes et évitement de tâches qui nécessitent un effort mental soutenu.
Les symptômes d'hyperactivité peuvent inclure : une agitation constante, se lever souvent du siège lorsqu'il est inapproprié, courir ou grimper partout dans les situations où cela est inapproprié, incapacité à se tenir tranquille pendant des activités calmes, et parler excessivement.
Les symptômes d'impulsivité peuvent inclure : répondre aux questions avant que la question entière ne soit posée, difficulté à attendre son tour, interrompre souvent les autres ou dire des choses qui sont malvenues.
Pour diagnostiquer le TDAH, ces symptômes doivent être présents depuis au moins six mois dans deux ou plusieurs contextes (par exemple, à la maison et à l'école), interférer significativement avec le fonctionnement social et scolaire/professionnel, et avoir débuté avant l'âge de 12 ans. Le diagnostic ne doit pas être basé uniquement sur les rapports des parents ou des enseignants ; il doit être étayé par une évaluation complète qui comprend un examen médical, une anamnèse détaillée et une évaluation psychologique.
Je suis désolé, « caractère » est un terme très large et subjectif qui peut se référer à de nombreux aspects différents d'une personne, tels que sa personnalité, ses traits de tempérament ou ses habitudes. Il n'existe pas de définition médicale spécifique pour le terme « caractère ».
Cependant, dans un contexte médical ou psychologique, on peut parler du "caractère" d'un patient pour décrire sa personnalité globale, ses traits de personnalité dominants ou ses schémas de comportement typiques. Ces caractéristiques peuvent être pertinentes dans l'évaluation et le traitement de divers problèmes de santé mentale.
Par exemple, une personne avec un tempérament colérique peut avoir des difficultés à gérer la frustration ou la déception, ce qui peut entraîner des conflits interpersonnels ou des problèmes de santé mentale tels que l'anxiété ou la dépression. De même, une personne avec un tempérament anxieux peut être plus susceptible de développer des phobies, des troubles obsessionnels compulsifs ou d'autres problèmes liés à l'anxiété.
Dans tous les cas, il est important de noter que le "caractère" d'une personne n'est pas fixe et peut évoluer au fil du temps en fonction des expériences vécues et des changements dans son environnement social et émotionnel.
Dans le contexte médical, le terme "tempérament" est souvent utilisé pour décrire la constitution ou la disposition innée d'un individu, en particulier en ce qui concerne son caractère émotionnel et sa réactivité. Il s'agit essentiellement d'une partie de la personnalité qui est considérée comme relativement stable et durable au fil du temps.
Le concept de tempérament remonte à l'Antiquité, où les philosophes grecs ont proposé que les gens aient des humeurs dominantes (par exemple, colérique, mélancolique, sanguin ou flegmatique) qui influencent leur comportement et leurs émotions.
Dans la médecine moderne, le tempérament est parfois pris en compte dans l'évaluation globale de la santé mentale et physique d'une personne. Certains chercheurs ont également étudié les liens potentiels entre le tempérament et la susceptibilité à certaines maladies, telles que les troubles de l'humeur ou les troubles anxieux.
Cependant, il est important de noter que le tempérament n'est qu'une partie de la personnalité d'un individu, et qu'il interagit avec d'autres facteurs tels que l'environnement social, les expériences de vie et les choix personnels pour façonner le comportement et l'état de santé global d'une personne.
La psychiatrie médico-légale est une spécialité à l'intersection de la psychiatrie, de la médecine et de la loi. Elle consiste en l'évaluation, le traitement et la gestion des aspects mentaux et émotionnels des affaires juridiques. Les psychiatres médico-légaux travaillent souvent dans des contextes judiciaires, tels que les tribunaux, les prisons et les établissements de soins de santé mentale sécurisés, pour évaluer la compétence d'une personne pour subir un procès, l'aptitude à consentir à des traitements médicaux, la responsabilité pénale ou civile, et la dangerosité. Ils peuvent également être impliqués dans le traitement de délinquants sexuels, de victimes de violence et de torture, et d'autres populations ayant des besoins en santé mentale complexes qui interagissent avec le système juridique. La psychiatrie médico-légale nécessite une connaissance approfondie de la psychopathologie, de la médecine légale, de l'éthique et de la pratique des témoignages d'experts.
La psychothérapie est une forme de traitement des problèmes mentaux, émotionnels et comportementaux qui se concentre sur la relation entre un thérapeute qualifié et le patient. Elle vise à aider les patients à comprendre leurs sentiments, pensées et comportements, et comment ils peuvent contribuer à leur détresse et à des problèmes dans leur vie.
La psychothérapie peut être utilisée pour traiter une variété de problèmes de santé mentale, y compris l'anxiété, la dépression, les traumatismes, les troubles de l'humeur, les troubles de la personnalité, les troubles de stress post-traumatique et les dépendances. Elle peut également être utilisée pour aider les gens à faire face aux défis de la vie, tels que la gestion du stress, l'amélioration des compétences en communication et la résolution des conflits.
Il existe différents types de psychothérapie, chacun ayant ses propres techniques et approches. Certains des types les plus courants incluent la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la thérapie interpersonnelle (TIP), la thérapie psychanalytique et la thérapie humaniste.
La psychothérapie peut être fournie individuellement, en groupe ou en famille, selon les besoins du patient. Elle peut être dispensée en personne, par téléphone ou en ligne. La durée du traitement varie en fonction de la gravité et de la complexité des problèmes du patient.
Un modèle psychologique est un cadre théorique ou conceptuel utilisé en psychologie pour expliquer et prédire certains aspects du comportement humain, des processus mentaux et des expériences subjectives. Il s'agit essentiellement d'un ensemble d'hypothèses et de principes qui décrivent la structure et la fonction des systèmes psychologiques, tels que la perception, l'attention, l'apprentissage, la mémoire, la motivation, l'émotion, la personnalité et les relations interpersonnelles.
Les modèles psychologiques peuvent être classés en différentes catégories, telles que les théories cognitives, les théories humanistes, les théories psychanalytiques, les théories comportementales et les théories neuroscientifiques. Chaque modèle propose une explication unique des processus psychologiques et peut mettre l'accent sur différents aspects de la fonction mentale ou du comportement humain.
Les modèles psychologiques sont souvent utilisés dans la recherche pour formuler des hypothèses testables, concevoir des expériences et interpréter les résultats. Dans un contexte clinique, ils peuvent aider à comprendre les problèmes de santé mentale et à développer des interventions thérapeutiques ciblées. Cependant, il est important de noter que chaque modèle a ses limites et qu'aucun ne peut expliquer entièrement la complexité et la diversité du comportement humain. Par conséquent, les professionnels de la santé mentale peuvent adopter une approche éclectique, intégrant des éléments de différents modèles pour fournir des soins complets et individualisés à leurs clients.
Les centres de traitement des troubles liés à l'usage de substances (SATC) sont des installations spécialisées dans le traitement et la prise en charge des personnes atteintes de troubles liés à l'usage de substances, y compris les drogues illicites, l'alcool et les médicaments sur ordonnance. Ces centres offrent une gamme complète de services conçus pour aider les individus à interrompre leur consommation de substances, à gérer les symptômes de sevrage, à comprendre les facteurs sous-jacents de leur dépendance et à acquérir les compétences nécessaires pour maintenir un mode de vie sobre et sain.
Les services offerts dans les centres de traitement des troubles liés à l'usage de substances peuvent inclure :
1. Évaluation et diagnostic : Les professionnels de la santé mentale évaluent le degré et la gravité de la dépendance d'une personne, ainsi que toute condition de santé mentale ou physique concomitante.
2. Désintoxication : Ce processus aide les individus à se sevrer des substances en toute sécurité sous la surveillance de professionnels médicaux. Les symptômes de sevrage peuvent être gérés avec des médicaments et d'autres interventions de soutien.
3. Counseling et thérapie : Les patients participent à des séances individuelles et en groupe pour explorer les facteurs qui contribuent à leur dépendance, développer des compétences d'adaptation saines et établir des objectifs de rétablissement.
4. Traitement médical : Les professionnels de la santé peuvent prescrire des médicaments pour gérer les symptômes de sevrage, prévenir les rechutes et traiter d'autres problèmes de santé sous-jacents.
5. Soutien continu : Les centres de traitement offrent souvent un soutien après le congé, y compris des groupes de soutien, des suivis et des services de réadaptation.
6. Éducation et sensibilisation : Les patients apprennent les effets des substances sur leur corps et leur esprit, ainsi que les risques associés à la consommation continue.
7. Planification du rétablissement : Les individus élaborent un plan de traitement personnalisé pour poursuivre leur rétablissement après avoir quitté le centre de traitement.
Les centres de traitement peuvent offrir des programmes résidentiels ou externes, en fonction du niveau de soins nécessaire et de la préférence de l'individu. Les programmes résidentiels exigent que les patients vivent dans le centre pendant une période déterminée, tandis que les programmes externes permettent aux patients de continuer à vivre chez eux tout en assistant au traitement.
Le contre-transfert est un terme utilisé dans le domaine de la psychologie et de la psychanalyse pour décrire les sentiments, les émotions, les réactions ou les attitudes qu'un thérapeute, un conseiller ou un professionnel de la santé mentale développe envers son patient pendant le processus thérapeutique. Il s'agit essentiellement d'une forme de transfert de la part du thérapeute, dans lequel il projette involontairement ses propres sentiments, expériences passées ou préoccupations sur le patient.
Le contre-transfert peut prendre diverses formes, allant de sentiments positifs et nourriciers à des émotions plus négatives telles que la colère, l'irritation, la peur ou l'attirance sexuelle. Il est important de noter que le contre-transfert n'est pas nécessairement une mauvaise chose en soi ; lorsqu'il est reconnu et géré correctement, il peut fournir des informations précieuses sur les dynamiques relationnelles entre le thérapeute et le patient, ainsi qu'une meilleure compréhension de la dynamique sous-jacente du matériel présenté par le patient.
Cependant, lorsque le contre-transfert n'est pas reconnu ou traité, il peut entraver le processus thérapeutique et conduire à des erreurs diagnostiques ou thérapeutiques. Par conséquent, les professionnels de la santé mentale sont formés pour identifier, analyser et gérer leurs propres contre-transferts dans le cadre de leur formation continue et de leur pratique clinique.
Un questionnaire en médecine est un outil d'évaluation utilisé pour recueillir des informations standardisées auprès des patients, des professionnels de la santé ou d'autres sources. Il se compose généralement d'un ensemble de questions écrites qui sont conçues pour être objectives, cohérentes et facilement comparables. Les questionnaires peuvent être utilisés pour diverses raisons, telles que l'anamnèse, l'évaluation des symptômes, la détermination de la qualité de vie, le dépistage des maladies ou le suivi de l'état de santé d'un patient. Ils peuvent être administrés par écrit, en ligne, par téléphone ou en personne et sont souvent utilisés en combinaison avec des examens physiques et d'autres tests diagnostiques pour obtenir une image complète de la santé d'une personne.
Les troubles du contrôle des impulsions (TCI) sont un groupe de conditions psychiatriques caractérisées par l'incapacité persistante à résister aux impulsions ou aux pulsions, ce qui entraîne des comportements répétitifs et souvent nuisibles. Ces impulsions ne sont pas liées à une utilisation de substances psychoactives ou à une autre condition médicale générale.
Les exemples courants de TCI comprennent le trouble explosif intermittent, le pyromanie, le cleptomanie, l'énurésie nocturne et diurne, le jeu pathologique et les troubles du déficit de l'impulsivité chez l'adulte. Les personnes atteintes de TCI peuvent également présenter des symptômes d'agitation, d'irritabilité, de colère et d'hostilité.
Les TCI sont souvent associés à des comorbidités telles que les troubles de l'humeur, les troubles anxieux, les troubles de la personnalité antisociale et borderline, ainsi qu'avec un risque accru de comportement suicidaire. Le diagnostic est basé sur une évaluation clinique approfondie, y compris des antécédents détaillés, des observations comportementales et l'exclusion d'autres causes médicales ou psychiatriques sous-jacentes.
Le traitement des TCI peut inclure une combinaison de thérapies cognitivo-comportementales, de médicaments, de counseling et de soutien social pour aider les individus à gérer leurs impulsions et à prévenir les comportements répétitifs nuisibles.
En termes médicaux, la prévalence fait référence au nombre total de cas d'une maladie ou d'un état de santé particulier dans une population donnée à un moment précis ou pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du pourcentage de personnes dans cette population qui sont atteintes de la maladie ou de l'état de santé concerné.
La prévalence peut être mesurée soit sur une base de point (prévalence ponctuelle), qui représente le nombre de cas existants à un moment précis, soit sur une base période (prévalence période), qui représente le nombre moyen de cas existants pendant une certaine période.
Par exemple, si l'on étudie la prévalence du diabète dans une ville particulière, on peut déterminer le nombre total de personnes atteintes de diabète vivant dans cette ville à un moment donné ou enregistrer le nombre de nouveaux cas diagnostiqués au cours d'une certaine période, comme une année.
Il est important de noter que la prévalence ne doit pas être confondue avec l'incidence, qui se réfère plutôt au risque ou à la probabilité de développer une nouvelle maladie au cours d'une certaine période. Alors que la prévalence mesure simplement la présence d'une maladie dans une population donnée, l'incidence tente de capturer le taux de développement de nouveaux cas au fil du temps.
Le Trouble Dépressif Majeur (également connu sous le nom de Depression Majeur ou Dépression Clinique) est un trouble de l'humeur grave caractérisé par des sentiments persistants de tristesse, d'anxiété ou d'un sentiment vide, accompagnés d'une perte d'intérêt ou de plaisir pour la majorité des activités. Cela affecte considérablement le fonctionnement quotidien, interfère avec la capacité à travailler, étudier, manger, dormir et s'amuser.
Les symptômes doivent être présents pendant au moins deux semaines et peuvent inclure :
1. Humeur dépressive la plupart du temps
2. Perte d'intérêt ou de plaisir dans presque toutes les activités
3. Perte ou gain de poids significatif
4. Insomnie ou hypersomnie
5. Agitation ou ralentissement psychomoteur
6. Fatigue ou perte d'énergie
7. Sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée
8. Diminution de l'aptitude à penser ou à se concentrer, ou indécision
9. Pensées récurrentes de mort, de suicide sans plan spécifique ou une tentative de suicide ou un plan précis pour se suicider
Pour poser le diagnostic, ces symptômes ne doivent pas être dus aux effets physiologiques directs d'une substance (par exemple, une drogue, un médicament) ou d'une autre affection médicale générale. Le trouble dépressif majeur peut survenir une seule fois dans la vie ou se répéter plusieurs fois.
La psychométrie est un domaine de la psychologie qui traite de la mesure des variables et processus mentaux, tels que les traits de personnalité, les capacités cognitives, les états affectifs et les attitudes. Il utilise des tests standardisés et des échelles d'évaluation pour mesurer ces aspects de la fonction psychologique. Les méthodes psychométriques sont largement utilisées dans la recherche en psychologie, ainsi que dans l'évaluation clinique et la sélection du personnel.
Les tests psychométriques sont conçus pour être fiables (c'est-à-dire qu'ils donnent des résultats cohérents lorsqu'ils sont répétés) et valides (c'est-à-dire qu'ils mesurent ce qu'ils prétendent mesurer). La psychométrie implique également l'analyse statistique des données recueillies à partir de ces tests pour dériver des scores et des normes, et pour évaluer les propriétés psychométriques du test, telles que la sensibilité, la spécificité et la sélectivité.
En plus de l'utilisation de tests standardisés, la psychométrie peut également impliquer l'utilisation d'autres méthodes de mesure, telles que les observations structurées, les entretiens cliniques et les auto-évaluations. L'objectif global de la psychométrie est de fournir des outils précis et fiables pour évaluer les aspects de la fonction psychologique qui peuvent être difficiles à mesurer directement.
La tentative de suicide est définie comme une action intentionnelle et autonome menée par un individu qui vise à mettre fin à sa propre vie, mais sans succès. Cela peut inclure des comportements tels que l'ingestion de substances toxiques, l'auto-mutilation ou d'autres méthodes dangereuses pour la santé et le bien-être. Une tentative de suicide est souvent, mais pas toujours, associée à des sentiments de détresse émotionnelle, de désespoir, de dépression clinique ou d'autres problèmes de santé mentale. Il est important de noter que toute tentative de suicide doit être prise au sérieux et nécessite une intervention médicale et psychologique immédiate pour assurer la sécurité et le bien-être à long terme de l'individu concerné.
Les tests neuropsychologiques sont une évaluation structurée et standardisée d'une variété de fonctions cognitives et comportementales. Ils sont utilisés pour aider à diagnostiquer, évaluer la gravité et suivre les progrès des troubles du cerveau et du système nerveux, tels que les lésions cérébrales, les maladies neurodégénératives (comme la maladie d'Alzheimer), les troubles mentaux, les troubles d'apprentissage et les handicaps développementaux.
Les tests peuvent évaluer divers aspects de la cognition, y compris la mémoire, l'attention, le langage, la perception visuelle spatiale, les fonctions exécutives (comme la planification et la résolution de problèmes), et les capacités psychomotrices. Les professionnels de la neuropsychologie utilisent ces tests pour comprendre comment différentes régions du cerveau contribuent à ces fonctions et comment des dommages ou des maladies peuvent affecter le fonctionnement cognitif et comportemental.
Les résultats des tests neuropsychologiques sont souvent comparés aux normes établies pour des groupes d'âge, d'éducation et de sexe similaires pour interpréter les performances. Les professionnels de la santé peuvent utiliser ces informations pour élaborer des plans de traitement individualisés, suivre l'évolution de la maladie ou des blessures et déterminer l'aptitude à certaines tâches ou activités.
Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) est un trouble anxieux caractérisé par des pensées persistantes et intrusives (obsessions) qui causent un stress important et des comportements répétitifs (compulsions) que la personne feel obligée de faire pour tenter de soulager cette anxiété. Souvent, ces compulsions ne sont pas liées de manière rationnelle aux obsessions et ne fournissent qu'un soulagement temporaire.
Les symptômes du TOC peuvent inclure des peurs persistantes de contamination, des pensées ou images mentales récurrentes et indésirables (par exemple, peur de nuire à soi-même ou aux autres), la nécessité de tout organiser d'une certaine manière, des vérifications excessives et des rituels de lavage des mains. Pour répondre au diagnostic du TOC, ces symptômes doivent être suffisamment sévères pour interférer avec le fonctionnement quotidien de la personne et causer une détresse significative.
Le TOC affecte environ 1 à 2 % de la population mondiale et peut survenir à tout âge, bien que les symptômes aient tendance à s'aggraver à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. Le traitement du TOC implique souvent une combinaison de thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et de médicaments, tels que des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS).
Les relations interpersonnelles en médecine et psychologie se réfèrent aux interactions et connexions sociales entre deux personnes ou plus. Elles sont influencées par divers facteurs, y compris les émotions, la pensée, le comportement, la culture et l'expérience antérieure. Les relations interpersonnelles peuvent être de différents types, allant des relations amicales aux relations intimes, en passant par les relations familiales, professionnelles et communautaires.
Elles jouent un rôle crucial dans la santé mentale et physique globale d'une personne. Des relations interpersonnelles positives peuvent contribuer à réduire le stress, améliorer l'humeur, augmenter le sentiment d'appartenance et renforcer le système immunitaire. Inversement, des relations interpersonnelles négatives ou toxiques peuvent entraîner une détresse émotionnelle, un isolement social, un risque accru de maladies mentales et physiques, ainsi qu'une diminution de l'espérance de vie.
Les professionnels de la santé doivent souvent prendre en compte les relations interpersonnelles des patients dans le cadre du diagnostic et du traitement des problèmes de santé mentale et physique. Une compréhension approfondie des relations interpersonnelles peut aider à améliorer la communication entre les prestataires de soins de santé et les patients, à promouvoir des interactions positives et à prévenir ou atténuer les effets négatifs des relations toxiques.
Maniaque du contrôle
Trouble de la personnalité
Trouble psychique
Automutilation
George E. Partridge
Programme de veille sur la radicalisation
Trouble de la personnalité histrionique
Psychopathie
Classification française des troubles mentaux de l'enfant et de l'adolescent
Theodore Millon
Conduites alimentaires chez l'enfant et l'adolescent
Violence dans l'autisme
David Lisak
Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux
Trouble factice
Paranoïa
Impulsivité
DSM-5
Type de personnalité
Narcissisme malfaisant
Influence des traumatismes de l'enfance dans la psychopathie
Stalking
Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis
Empathie des personnes autistes
Psychologie de l'enfant
Microgestion
Phobie scolaire
Violence psychologique
Alcoolisme
Pédophilie
Maniaque du contrôle - Wikipedia
Troubles névrotiques, de la personnalité et autres non psychotiques (300-316) | CépiDc
La psychiatrie française en revue, etc.: 3 juil. 2011
Trouble de la personnalité antisociale - Troubles psychiatriques - Édition professionnelle du Manuel MSD
Cercle de Vie: Ennéagramme 8
Sclérose en plaques: types, symptômes et causes possibles - yes, therapy helps!
La pathocratie, en quoi consiste-t-elle ?
Diagnostics : Critères
Quatre types de trouble de la personnalité borderline (limite) | Psychomédia
MARIJUANA, GANJA, 'H' ou HASCHICH, WEED : dangers du cannabis - Dermatologue en téléconsultation
Top 10 des maladies mentales et leurs mythes | Domain7
Programme court de deuxième cycle en psychologie légale - 0005 UQTR
Est-ce que vous souffrez de rage ? Les symptômes, les cause, et d'avantage. - Psychologue Paris 11
3 différences entre un narcissique et un sociopathe - Santé Facile Magazine
Les tueurs sont-ils nés ou fabriqués? - payupnow.org
Troubles mentaux sévères et risque de violence : évaluation et interventions - Ordre des psychologues du Québec Ordre des...
La théorie de la personnalité de Cloninger | ::: Chantal MAILLE ::: Psychanalyste
Abus subi durant l'enfance et prévalence de la violence chez des sujets adultes atteints d'un trouble mental grave : au-delà du...
Troubles mentaux : les traitements efficaces
Famili@ - Base documentaire des recherches sur les familles du Québec
10 signes de parents toxiques (+ 6 étapes pour y faire face) - Datanta.fr
Le modèle d'Eysenck de la personnalité criminelle - Nos Pensées
Achat Desyrel Générique Moins Cher En Pharmacie En France Poulain - Elite Store
AAPEL - Trouble Borderline etat limite et echelles d'evaluation de la personnalite
Février 2016 - Université Paris Descartes (75) - Sujet - Fiches IDE
Qui est Vladimir Poutine ?
RO12 et RO13 : Deux regards sur la personnalité juridique de la nature, Louis de Redon, Adélie Pomade - sfecologie.org
Catalogue en ligne
Carences parentales précoces et états limites - Psychologue, psychothérapeute Crêts en Belledonne
Le blog psycho & coaching: Le roi Joffrey est-il un psychopathe ?
Mentaux11
- Les troubles névrotiques sont les troubles mentaux sans aucune base organique démontrable vis-à-vis desquels le malade peut garder une parfaite lucidité, qui ne s'accompagnent d'aucune altération du sens de la réalité et dans lesquels, habituellement, le sujet ne confond pas ses expériences subjectives et ses fantasmes morbides avec la réalité extérieure. (inserm.fr)
- Troubles mentaux dont les motifs, que le malade semble ignorer, produisent soit un rétrécissement du champ de la conscience, soit un trouble des fonctions motrices ou sensorielles qui peuvent sembler avoir un avantage psychologique ou une valeur symbolique. (inserm.fr)
- Nous avons eu plusieurs listes fascinantes sur les troubles mentaux bizarres sur ce site, mais aucune liste n'a été publiée sur les mythes de la maladie mentale. (domain7.net)
- Je suis sûr qu'il y a d'autres troubles mentaux avec des mythes si répandus que je crois en eux aussi. (domain7.net)
- Ce programme offre une formation spécialisée en psychologie légale en privilégiant l'étude des relations entre les troubles mentaux et la violence. (uquebec.ca)
- Elle peut également laisser des séquelles durables par le biais de troubles mentaux comme la toxicomanie, le syndrome de stress post-traumatique, l'anxiété et la dépression. (datanta.fr)
- Il existe beaucoup de tests de la personnalit et d' valuation de troubles mentaux mais aucun n'est parfait bien s r. (aapel.org)
- En français, cela donne Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux . (psycho-coaching.com)
- D'autres lui font le procès d'élargir tellement les critères de certains troubles mentaux que tout le monde pourrait se voir accoler un diagnostic psychiatrique . (psycho-coaching.com)
- Mais que, depuis 2015, elle a été ajoutée en tant que catégorie distincte dans le Manuel de diagnostic et de statistique des troubles mentaux (DSM-5). (medscape.com)
- Le psychiatre veut des troubles mentaux.L'hérédité va aux généticiens. (bvsalud.org)
Borderline9
- Trouble de la personnalité limite (borderline) Le trouble de la personnalité limite (borderline) se caractérise par une tendance constante à l'instabilité et l'hypersensibilité dans les relations interpersonnelles, l'instabilité au niveau. (msdmanuals.com)
- Le trouble de la personnalité borderline (ou limite) est, selon les critères diagnostiques du DSM-5 (1) , un mode général d'instabilité des relations interpersonnelles, de l'image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui est déjà présent au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers. (psychomedia.qc.ca)
- Pour cette raison, des chercheurs ont tenté de définir différents types de trouble de personnalité borderline. (psychomedia.qc.ca)
- Le psychologue américain Theodore Millon (1928-2014) et ses collègues ont identifié 4 types de trouble de personnalité borderline. (psychomedia.qc.ca)
- La personnalité borderline de type impulsif a des points communs avec les troubles de la personnalité histrionique et/ou antisociale . (psychomedia.qc.ca)
- La personnalité borderline de type pétulant a des traits de la personnalité passive-agressive ou négativiste. (psychomedia.qc.ca)
- Tous les types de personnalité borderline sont parfois autodestructeurs, peut-être jusqu'à l'automutilation. (psychomedia.qc.ca)
- Ainsi, des personnes de personnalité borderline antisociales (dans le but d'obtenir des avantages) ou histrioniques (dans le but de capter l'attention). (forumpsy.net)
- Les données de deux méta-analyses récentes [ 3 , 4 ] estiment que la prévalence au cours de la vie chez les enfants préadolescents atteints de troubles de la personnalité borderline est de 6,2 %, et qu'elle atteint 22,1 % chez les adolescents. (medscape.com)
Narcissique15
- Les personnes atteintes d'un trouble de la personnalité narcissique ont une auto-importance exagérée, une hypersensibilité à la critique et un sens de la prétention qui les oblige à persuader les autres de se conformer à leurs demandes. (wikipedia.org)
- Un autre trouble de ce type que les fournisseurs de soins primaires peuvent trouver difficile à diagnostiquer et traiter est la personnalité narcissique. (porticonetwork.ca)
- On entre alors dans le domaine des troubles de la personnalité - comme le trouble de la personnalité narcissique et le trouble de la personnalité antisociale. (datanta.fr)
- Pervers narcissique, personnalité narcissique, manipulation : on ne parle que de ça depuis quelques années, dans une totale confusion. (forumpsy.net)
- Nous tentons d'y mettre un peu d'ordre, d'où une introduction un peu plus étoffée que d'habitude à cette description officielle du trouble de la personnalité narcissique dont les symptômes sont décrits par le DSM-IV (texte intégral). (forumpsy.net)
- 1. Ne pas confondre trouble de la personnalité narcissique et pervers narcissique . (forumpsy.net)
- Pour nous, il s'agit effectivement d'un sujet ayant une personnalité narcissique , satisfaisant une partie importante, ou la totalité des critères du DSM-IV - ce qui en fait alors un trouble -, et satisfaisant aussi d'autres critères, hors DSM-IV, relatifs à un comportement caractéristique à l'égard d'une ou plusieurs autre(s) personne(s), désignée(s) comme victime(s) . (forumpsy.net)
- Il est possible dans de très nombreux cas de satisfaire tous les critères de pervers narcissique , sans satisfaire la totalité des critères du trouble de la personnalité narcissique . (forumpsy.net)
- Il s'agit alors d'un(e) pervers(e) narcissique dont la perversité n'atteint pas le stade du trouble , qui sera donc moins facile à reconnaître, mais dont le comportement pourra être justement d'autant plus destructeur. (forumpsy.net)
- A l'inverse, les personnes atteintes du trouble de la personnalité narcissique , ou simplement de personnalité narcissique , ne sont pas forcément des pervers narcissiques . (forumpsy.net)
- Leur comportement répond aux critères de personnalité, mais les critères caractéristiques du pervers narcissique ne sont pas tous satisfaits. (forumpsy.net)
- Autrement dit, les critères du pervers narcissique peuvent ne pas être satisfaits alors que ceux du trouble de la personnalité narcissique le sont. (forumpsy.net)
- 2. Ne pas confondre non plus narcissique (personnalité, trouble, ou pervers) avec manipulateur . (forumpsy.net)
- Si la manipulation à but narcissique est très fréquente dans le trouble de la personnalité narcissique , et si la manipulation est même critère obligatoire du pervers narcissique , il existe d'autres types de personnalités et troubles qui auront recours à la manipulation pour tenter de combler leurs manques et besoins. (forumpsy.net)
- La caractéristique essentielle de la personnalité narcissique est un mode général de grandiosité, de besoin d'être admiré et de manque d'empathie qui apparaît au début de l'âge adulte et sont présents dans des contextes divers. (forumpsy.net)
Comportement9
- Le comportement peut être très perturbé bien que restant généralement dans des limites socialement acceptables, mais la personnalité n'est pas désorganisée. (inserm.fr)
- Les personnalités narcissiques présentent un mode de comportement inadapté, continu et chronique, qui se caractérise par une grandiosité systématique, un besoin d'admiration et un manque d'empathie, ces traits de caractère apparaissant au début de l'âge adulte et s'exprimant dans divers contextes. (porticonetwork.ca)
- Le mythe: les personnes atteintes de troubles de l'identité dissociative changent radicalement leur comportement et perdent la mémoire de ce qui vient de se produire lorsqu'ils changent de personnalité. (domain7.net)
- Plusieurs possibilités sont chez l'origine du ce type de comportement. (psychologues-paris11.fr)
- Les cicatrices de cette toxicité peuvent affecter la vision du monde, la personnalité, le comportement, la prise de décision et les perceptions. (datanta.fr)
- L'évolution de la maladie est lente, les jeunes qui présentent des problèmes de comportement semblent plus enclins à utiliser les médias sociaux à l'âge adulte et une utilisation accrue des médias sociaux est associée au trouble de la personnalité antisociale chez l'adulte. (matjarelite.com)
- Il est donc important de faire preuve de vigilance et de reconnaître les signes avant-coureurs du comportement antisocial pour éviter que la situation ne dégénère. (sante-actu.com)
- Des signes peuvent toutefois aider à reconnaître ce type de personnalité : des sautes d'humeur soudaines, une attitude superficielle et manipulatrice, un manque de remords ou de culpabilité face à son comportement et des mensonges constants pour dissimuler ses actions. (sante-actu.com)
- Bien que le trouble sociopathique soit considéré comme un trouble de la personnalité incurable, il existe des traitements qui peuvent aider les personnes atteintes à mieux comprendre et gérer leur comportement dans le couple. (sante-actu.com)
Psychiatriques2
- Au sein des nombreux facteurs de risque qui ont été identifiés, les études de génétique épidémiologique (études familiales, de jumeaux et d'adoption) suggèrent l'existence d'une vulnérabilité génétique aux CS, spécifique et indépendante des facteurs génétiques intervenant dans la vulnérabilité aux affections psychiatriques associées aux CS (par exemple, trouble bipolaire, schizophrénie, alcoolisme). (jpn.ca)
- ou métaboliques comme le diabète de type 2 et l'obésité, mais aussi dans la survenue d'affections psychiatriques, comme la dépression et les troubles de la personnalité. (symphonieduvivant.com)
Limite6
- Les deux troubles le plus couramment diagnostiqués sont la personnalité antisociale et la personnalité limite. (porticonetwork.ca)
- Actuellement, dix troubles de la personnalité sont répertoriés en psychiatrie, le trouble de la personnalité limite (TPL) et le trouble de la personnalité antisociale étant le plus souvent diagnostiqués. (tazieff.fr)
- L'oratrice a rappelé que l'automutilation non suicidaire [ 1 ] accompagne souvent diverses pathologies, notamment le trouble de la personnalité limite, le trouble de la personnalité antisociale, les troubles de l'alimentation, la toxicomanie ou l'autisme. (medscape.com)
- Il est plus fréquent chez les personnes souffrant d'un trouble de la personnalité limite. (medscape.com)
- Parmi les patients souffrant d'un trouble de la personnalité limite, 60 % des adultes et 90 % des adolescents qui se sont fait du mal n'ont pas consulté de services médicaux ou psychologiques par la suite. (medscape.com)
- Une recommandation allemande récente préconise (niveau A) la thérapie comportementale dialectique et la thérapie de mentalisation pour les patients souffrant d'un trouble de la personnalité limite et d'automutilations non suicidaires graves. (medscape.com)
L'attention6
- Les personnes atteintes d'un trouble de la personnalité histrionique doivent être au centre de l'attention et, à leur tour, attirer les gens pour qu'ils puissent utiliser (et éventuellement se débarrasser) de leur relation. (wikipedia.org)
- Trouble d'hyperactivité/déficit attentionnel Le déficit de l'attention/hyperactivité est un syndrome associant inattention, hyperactivité et impulsivité. (msdmanuals.com)
- Les 3 types de déficit de l'attention/hyperactivité sont à dominante d'inattention. (msdmanuals.com)
- Les personnes appartenant à ce type recherchent la stimulation et l'attention. (psychomedia.qc.ca)
- Lorsque l'on évoque le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), on pense sans doute à un enfant hyperactif courant dans une salle de classe d'école primaire. (sante-actu.com)
- Les joueurs pathologiques ont été classés en groupes correspondant à ceux pré-cités, et soumis à des entretiens cliniques structurés portant sur différents critères : habitudes de jeux, caractéristiques socio-démographiques, croyances et attitudes face au jeu, profil psychopathologique, troubles l'attention, etc. (hopital-marmottan.fr)
Personnes19
- À travers l'étude de la psychologie de la personnalité, on découvre que certains troubles de la personnalité présentent des caractéristiques qui impliquent le besoin de se conformer ou de contrôler les autres : Les personnes atteintes d'un trouble de la personnalité antisociale ont tendance à faire preuve de désinvolture et d'un sentiment grandiose d'estime de soi. (wikipedia.org)
- Curieusement, de nombreuses personnes atteintes de troubles de la personnalité accèdent au pouvoir dans des institutions démocratiques. (nospensees.fr)
- Comme nous le disions, la pathocratie est ce phénomène à travers lequel des personnes atteintes de certains troubles de la personnalité accèdent au pouvoir. (nospensees.fr)
- Ces types de personnes ont donc une soif insatiable de pouvoir car elles se tiennent en haute estime et ont tendance à mépriser les autres . (nospensees.fr)
- Il n'est pas non plus étrange que ces types de personnes attirent le public moyen. (nospensees.fr)
- Cela ne signifie pas que toutes les personnes qui entourent le leader pathologique souffrent de troubles de la personnalité. (nospensees.fr)
- Ce ne sont toutefois pas toutes les personnes qui répondent aux critères diagnostiques qui appartiennent à l'un de ces types. (psychomedia.qc.ca)
- Les personnes qui correspondent à ce type ont tendance à s'attacher de façon soumise à une ou deux personnes seulement. (psychomedia.qc.ca)
- Les personnes appartenant à ce type ont tendance à souvent ressentir de l'insatisfaction et de la colère dans leurs relations. (psychomedia.qc.ca)
- Ils sont souvent extravertis et à l'opposé du type de personnes qui sont si souvent appelées «antisociales», qui se soucient généralement beaucoup des sentiments des autres. (domain7.net)
- Ces personnes sont généralement juste timides ou ont une certaine forme d'autisme, de dépression, de trouble d'anxiété sociale ou de trouble de la personnalité évitante (AVPD). (domain7.net)
- Les personnes avec ont eu de deux à plus d'une centaine de personnalités différentes qui prennent alternativement leur corps. (domain7.net)
- De nombreuses personnes souffrent de dépression, mais la dépression réactionnelle est un type spécifique de cet état de santé mentale. (sante-actu.com)
- Il existe différents niveaux et types de personnes dans la catégorie des personnes toxiques. (datanta.fr)
- Ces trois éléments forment un espace tridimensionnel, dans lequel les personnes se placent de manière dispersée, selon le degré de chacune des dimensions de leur personnalité. (nospensees.fr)
- Ces personnes se caractérisent par le fait d'être froide, impersonnelle, agressive, antisociale et pas très empathique. (nospensees.fr)
- Les personnes qui ont cette personnalité ont un sens grandiose de leur propre importance. (forumpsy.net)
- Selon cette théorie, les personnes dyslexiques souffriraient d'un trouble de la représentation et de la manipulation mentale des sons de parole. (tazieff.fr)
- si danger pour la sécurité des personnes ou de troubles à l'ordre public. (medg.fr)
Anxieux1
- L'association à un traitement antidépresseur est parfois nécessaire pour traiter une comorbidité de type épisode dépressif caractérisé ou troubles anxieux. (medg.fr)
Psychopathie3
- Un petit pourcentage de la population souffre de troubles de la personnalité tels que le narcissisme, le trouble de la personnalité antisociale ou la psychopathie. (nospensees.fr)
- La plupart des tueurs en série démontrent des tendances antisociales - y compris un manque d'empathie, un mépris des lois et les droits des autres, et un manque de remords - et beaucoup répondent aux critères de psychopathie ou de sociopathie. (payupnow.org)
- Si à l'origine le terme de psychopathie englobait n'importe quelle maladie mentale , aujourd'hui il fait référence à un type de personnalité bien particulier. (psycho-coaching.com)
Comportements3
- Troubles de toxicomanie Les troubles de toxicomanie consistent en un modèle pathologique de comportements dans lequel les patients continuent à utiliser une substance en dépit de problèmes importants liés à son utilisation. (msdmanuals.com)
- et les joueurs « antisociaux impulsifs », qui présentent en plus des comportements antisociaux et/ou impulsifs. (hopital-marmottan.fr)
- Ceux qui souffrent de ce trouble adoptent souvent des comportements égoïstes qui nuisent aux autres. (sante-actu.com)
Pathologies1
- Revue générale des troubles d'apprentissage Les troubles de l'apprentissage sont des pathologies qui entraînent une discordance entre le niveau potentiel de l'enfant, et ses performances scolaires réelles. (msdmanuals.com)
Souffrent1
- Les symptômes de ce trouble dépendent des zones démyélinisées, mais en général, il est courant chez ceux qui souffrent de fatigue, de faiblesse musculaire, de manque de coordination, de problèmes de vision, de douleur et / ou de tension musculaire. (yestherapyhelps.com)
Existe2
- Il existe 10 troubles de la personnalité dans le DSM-5 (voir page 759). (porticonetwork.ca)
- L'auteure avance l'hypothèse qu'«[i]l existe une relation entre le soutien social et la violence, relation plus manifeste dans le contexte de profils identifiés en fonction de caractéristiques spécifiques telles le diagnostic principal de trouble mental grave, le trouble de la personnalité antisociale, la présence de problèmes d'alcool ou de drogue et le niveau de fonctionnement. (inrs.ca)
Obsessionnel1
- Le besoin obsessionnel de contrôler les autres est également associé au trouble de la personnalité antisociale. (wikipedia.org)
D'une5
- Il peut y avoir des changements spectaculaires mais essentiellement superficiels de la personnalité, prenant parfois la forme d'une fugue [état d'errance]. (inserm.fr)
- Revue générale des troubles de la personnalité Les troubles de la personnalité correspondent en général à des modes de pensée, perception, de réaction et de relation envahissants et durables et sont responsables d'une altération significative. (msdmanuals.com)
- Restons conscients qu'il existera toujours une subjectivit dans l' tablissement d'une diagnostic de trouble psy. (aapel.org)
- La perte d'appétit est un trouble fréquent, bénin la plupart du temps, mais qui peut parfois être la conséquence d'une maladie plus grave. (tazieff.fr)
- Les oméga-3 sont un type spécifique d'acide gras polyinsaturé, ce qui signifie qu'ils contiennent plus d'une double liaison dans leur structure chimique. (drsoleil.fr)
Diagnostiques1
- Neuf caractéristiques constituent les critères diagnostiques du trouble. (psychomedia.qc.ca)
Conduites1
- La personne doit être âgée d'au moins 18 ans et il doit exister des données prouvant qu'elle a développé ce trouble des conduites avant l'âge de 15 ans. (porticonetwork.ca)
D'autres types1
- Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences. (tazieff.fr)
Tendance1
- Les maladies mentales, les troubles et les différences ont tendance à être très mal comprises par le grand public. (domain7.net)
Manifeste2
- La sclérose en plaques est un trouble qui se manifeste sous forme d'épidémie. (yestherapyhelps.com)
- La personnalité antisociale manifeste un mode permanent de mépris et de transgression des droits d'autrui, apparu à l'âge de 15 ans. (porticonetwork.ca)
Partie1
- En termes de théorie du type de personnalité, les maniaques du contrôle représentent en grande partie une personnalité de type A, mue par le besoin de dominer et de contrôler. (wikipedia.org)
N'est1
- Ce n'est pas forcément de leur faute, mais cela reste un type de toxicité car cela a un effet négatif sur les autres. (datanta.fr)
S'agit2
- En fait, il s'agit même d'un type de personnalité valorisé dans nos sociétés occidentales, où pour réussir il ne faut pas hésiter à écraser ses concurrents et/ou collègues. (psycho-coaching.com)
- C'est qu'il s'agit d'un âge trouble où l'on est en recherche d'autonomie émotionnelle. (ouest-france.fr)
Corps1
- Votre corps a également besoin d'oméga-6, un autre type d'acide gras, pour fonctionner correctement et prévenir les maladies. (drsoleil.fr)
Toxicomanie1
- La toxicomanie, ou trouble de l'abus de substances, est un autre exemple. (datanta.fr)
Souffrir1
- Elle est lié à la disposition à souffrir de troubles de l'état d'esprit. (nospensees.fr)
L'apprentissage2
- Les troubles de l'apprentissage. (msdmanuals.com)
- La théorie de la personnalité de Cloninger, également connue sous le nom de "modèle de Cloninger", est une proposition dans laquelle la personnalité est abordée comme un système qui résulte à la fois du fonctionnement neurochimique de l'organisme et de l'apprentissage social . (chmpsy.com)
Chronique2
- Contenu avec Type d'article Chronique et étiquette affaires juridiques . (ordrepsy.qc.ca)
- Contenu avec Type d'article Chronique et étiquette la recherche le dit . (ordrepsy.qc.ca)
Habitudes1
- Dans cette théorie de la personnalité, le tempérament, le caractère et la personnalité donnent lieu à des habitudes et à des schémas cognitifs . (chmpsy.com)
Forment1
- Ces personnalités alternatives («modifie») habituellement, mais pas toujours, se forment due à un traumatisme infantile. (domain7.net)
C'est1
- C'est ce fait qui l'a amené à réaliser que de nombreux dirigeants arrivent au pouvoir avec un trouble de la personnalité facilement diagnosticable. (nospensees.fr)
Persistant2
- Le trouble de la personnalité antisociale se caractérise par un motif persistant de mépris pour les conséquences et les droits des autres. (msdmanuals.com)
- Le trouble délirant persistant (TDP) est un trouble psychiatrique de type psychotique, caractérisé par une altération du contact à la réalité. (medg.fr)