Troubles de la sécrétion de lait dans le sexe, pas forcément liée à la grossesse.
Les processus de la sécrétion de lait par les glandes mammaires maternel après la mise bas. La prolifération des tissus des glandes mammaires et du lait, lait synthèse expulsion ou déçue sont régulés par l'interaction de plusieurs hormones incluant estradiol ; progestérone ; prolactine ; et d'ocytocine.
Le liquide blanc sécrétés par les glandes mammaires. Il contient des protéines, lipides, sucre, des vitamines et minéraux.
Le statut durant laquelle femelle mammifères porter leur petits embryons ou des fœtus () in utero avant la naissance, début de la fertilisation de naissance.
Les glandes mammaires dans animales de mammifères.
Un grand trouble affectif marquée par d'importantes sautes d'humeur (épisodes maniaques ou épisodes dépressifs majeurs) et une tendance à la rémission et récidive.
Jeune, unweaned mammifères. Fait référence à soigner les animaux, que nourit par leur mère biologique, mère adoptive, ou un flacon nourri.
Maladie psychiatrique ou maladies se manifestant par dans le processus adaptational exprimée principalement comme des anomalies de la pensée, sentiment et comportement produisant soit souffrance ou une atteinte fonctionnelle.
Grande et invalidant persistante.
Le nombre de portées produire en une naissance par un viviparous animal.
Ces désordres qui ont un trouble de l ’ humeur comme leur principale caractéristique.
Privation permanent de lait et d'instaurer la nourriture à une autre nourriture. (De Stedman, 25e éditeur)
Le lait humain est la sécrétion mammaire produite par les femmes, spécialement conçue pour répondre aux besoins nutritionnels et immunitaires des nourrissons, contenant une variété de nutriments, y compris des protéines, des lipides, des glucides, des vitamines, des minéraux et divers facteurs bioactifs.
Une hormone sécrétée par la lactogenic adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). C'est un polypeptide d'environ 23 kD. Outre son action sur l ’ allaitement, chez certaines espèces prolactine exerce des effets sur la reproduction, comportement maternel, du métabolisme des graisses, immunomodulation et osmoregulation. Prolactine récepteurs sont présents dans la glande mammaire, de l'hypothalamus, foie, de l ’ ovaire, du testicule, et de la prostate.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Protéines labile prolactin-sensitive sur ou dans les cellules de la prolactine l ’ initiation de la réponse physiologique à cette hormone. Caséine mammaires synthèse est une des réponses. Les récepteurs sont également retrouvés dans le placenta, les testicules, le foie, reins, les ovaires et d'autres organes et se lient et réagissent à certains autres hormones et leurs analogues et de l'angiotensine II. Ce récepteur est liée au récepteur de l ’ hormone de croissance.
L ’ hypophyse antérieure cellules qui produisent la prolactine.
Une petite glande qui ne sont pas en couple situées dans la selle Turcique. Il est lié au HYPOTHALAMUS par une petite tige qui est appelé l'INFUNDIBULUM.
Ergotamine alcaloïde qui elle est un agoniste D2. Il supprime la sécrétion de prolactine.
Le lobe glandulaire antérieure de l'hypophyse, surnommé le adenohypophysis. Elle sécrète des hormones qui régulent la ADENOHYPOPHYSEAL tels que les fonctions vitales LA CROISSANCE ; troubles du métabolisme ; et la reproduction.
Persistante ou difficulté à se débarrasser de se séparer de possessions, peu importe la valeur de ces biens. Les études épidémiologiques indiquaient qu'apparaît dans les 2 à 5 % de la population et peut conduire à détresse substantielle et handicap, ainsi que des conséquences graves de santé publique.
Femelle parents, humaine ou animale.
Processus par lequel les mécanismes de reflet ou déplacement seront utilisés en se focalisant sentiments d'agression, hostilité, frustration, etc., sur un autre individu ni groupe ; la quantité de blâmer d'être injustifié.
Des processus pathologiques de.
La pression artérielle, sensation de brûlure, ou d ’ engourdissement dans la poitrine.
Aucune aspiration exercée par la bouche, réponse des cellules de mammifères nourrissons à sous-tirer du lait du sein. Inclut sucer des objets inanimés. De ne pas être utilisé pour sucer son pouce, qui est fichés par fingersucking.
Un gros jaune provenant de la laine de mouton. Il est utilisé comme Pharmaceutique emollient, cosmétique, et aide.

Les troubles de la lactation sont des conditions médicales qui affectent la capacité d'une femme à produire, à sécréter et à maintenir un approvisionnement adéquat en lait maternel pour nourrir son bébé. Ces troubles peuvent survenir en raison de divers facteurs, tels que des problèmes hormonaux, anatomiques, neurologiques ou liés à l'infection.

Les types courants de troubles de la lactation comprennent :

1. Insuffisance de production de lait : Il s'agit d'une condition dans laquelle une femme ne produit pas suffisamment de lait maternel pour répondre aux besoins nutritionnels de son bébé. Cela peut être dû à des facteurs tels que l'absence de stimulation adéquate des mamelons, un traumatisme ou une chirurgie mammaire antérieure, des problèmes hormonaux ou thyroïdiens, ou la prise de certains médicaments.
2. Engorgement mammaire : Il s'agit d'une condition dans laquelle les seins deviennent douloureusement enflés et tendus en raison d'un excès de lait maternel. Cela peut être causé par une production excessive de lait, un déséquilibre entre l'offre et la demande ou des problèmes de vidange du sein.
3. Mastite : Il s'agit d'une infection bactérienne du tissu mammaire qui peut provoquer des douleurs, des rougeurs, des gonflements et de la fièvre. La mastite est souvent causée par une stase du lait maternel dans le sein, ce qui crée un environnement favorable à la croissance bactérienne.
4. Galactorrhée : Il s'agit d'une condition dans laquelle une femme produit et sécrète du lait maternel en dehors de la période normale de lactation, par exemple pendant la grossesse ou après la ménopause. La galactorrhée peut être causée par des problèmes hormonaux, des médicaments ou des tumeurs hypophysaires.
5. Dysphorie post-partum : Il s'agit d'un trouble de l'humeur qui affecte certaines femmes après l'accouchement et peut être associé à une diminution de la production de lait maternel ou à des difficultés d'allaitement. La dysphorie post-partum peut se manifester par des symptômes dépressifs, anxieux ou irritables.

Il est important de noter que ces problèmes peuvent être traités et résolus avec l'aide d'un professionnel de santé qualifié, tel qu'un médecin, un infirmier ou une consultante en lactation. Si vous rencontrez des difficultés pendant l'allaitement, n'hésitez pas à demander de l'aide et du soutien.

La lactation est le processus physiologique par lequel les glandes mammaires d'une femme produisent et sécrètent du lait après l'accouchement, dans le but de nourrir son bébé. Ce liquide nutritif est spécialement conçu pour répondre aux besoins alimentaires du nourrisson et contient des protéines, des graisses, des glucides, des vitamines, des minéraux et des anticorps qui aident à protéger le bébé contre les maladies.

La lactation est régulée par une combinaison d'hormones, notamment la prolactine, l'ocytocine, l'hormone de croissance, l'insuline et les hormones stéroïdes. La stimulation des mamelons pendant l'allaitement ou à l'aide d'un tire-lait envoie un signal au cerveau pour libérer de la prolactine, ce qui entraîne la production de lait. L'ocytocine est également libérée pour provoquer des contractions des cellules musculaires dans les glandes mammaires, ce qui permet au lait d'être exprimé et disponible pour le bébé.

La lactation peut être influencée par divers facteurs tels que l'alimentation, l'hydratation, le stress, certaines médications et maladies, ainsi que la fréquence et la durée des tétées ou des séances de tirage-lait. Un soutien adéquat en matière d'allaitement maternel, une éducation et un suivi peuvent aider à favoriser une lactation réussie et durable pour répondre aux besoins nutritionnels du bébé.

Dans un contexte médical, le lait se réfère généralement au liquide nutritif sécrété par les glandes mammaires des mammifères femelles, dont les humains, pour nourrir leur progéniture. Le lait maternel humain est composé de nutriments essentiels tels que des protéines, des glucides, des lipides, des vitamines et des minéraux, ainsi que d'immunoglobulines et de cellules immunitaires qui aident à protéger le nourrisson contre les infections.

Cependant, dans certains cas, le terme "lait" peut également être utilisé pour décrire des préparations artificielles conçues pour imiter la composition du lait maternel et fournir une alimentation alternative aux nourrissons qui ne peuvent pas allaiter ou recevoir du lait maternel. Ces préparations sont souvent appelées formules pour nourrissons et peuvent être dérivées de sources animales (comme le lait de vache) ou végétales (comme le soja). Il est important de noter que ces substituts du lait maternel ne fournissent pas toujours les mêmes avantages pour la santé et le développement que le lait maternel.

La grossesse, également connue sous le nom de gestation, est un état physiologique dans lequel un ovule fécondé, ou zygote, s'implante dans l'utérus et se développe pendant environ 40 semaines, aboutissant à la naissance d'un bébé. Ce processus complexe implique des changements significatifs dans le corps de la femme, affectant presque tous les systèmes organiques.

Au cours des premières semaines de grossesse, l'embryon se développe rapidement, formant des structures vitales telles que le cœur, le cerveau et le tube neural. Après environ huit semaines, l'embryon est appelé fœtus et poursuit son développement, y compris la croissance des membres, des organes sensoriels et du système nerveux.

La grossesse est généralement divisée en trois trimestres, chacun marqué par des stades spécifiques de développement fœtal:

1. Premier trimestre (jusqu'à 12 semaines): Pendant cette période, l'embryon subit une croissance et un développement rapides. Les structures vitales telles que le cœur, le cerveau, les yeux et les membres se forment. C'est également lorsque le risque d'anomalies congénitales est le plus élevé.
2. Deuxième trimestre (13 à 26 semaines): Durant ce stade, le fœtus continue de croître et se développer. Les organes commencent à fonctionner de manière autonome, et le fœtus peut entendre et répondre aux stimuli externes. Le risque d'anomalies congénitales est considérablement réduit par rapport au premier trimestre.
3. Troisième trimestre (27 semaines jusqu'à la naissance): Au cours de ces dernières semaines, le fœtus prend du poids et se prépare à la vie en dehors de l'utérus. Les poumons mûrissent, et le cerveau continue de se développer rapidement.

Tout au long de la grossesse, il est crucial que les femmes enceintes maintiennent un mode de vie sain, comprenant une alimentation équilibrée, l'exercice régulier et l'évitement des substances nocives telles que l'alcool, le tabac et les drogues illicites. De plus, il est essentiel de suivre les soins prénataux recommandés pour assurer la santé et le bien-être de la mère et du fœtus.

Dans l'anatomie animale, les glandes mammaires sont des glandes sudoripares modifiées qui se trouvent chez la plupart des mammifères. Elles sont principalement responsables de la production de lait après la naissance pour nourrir les petits. Chez les femelles, ces glandes se développent et deviennent fonctionnellement actives pendant la période de reproduction et de lactation.

Elles sont composées de lobules, qui sont des groupements de sacs alvéolaires où le lait est produit, et de canaux galactophores, qui transportent le lait jusqu'au mamelon. Les glandes mammaires sont sensibles aux hormones stéroïdes telles que les œstrogènes, la progestérone et la prolactine, qui régulent leur développement et la production de lait.

Les mâles animaux ont également des glandes mammaires, mais elles sont généralement moins développées et non fonctionnelles, sauf chez certains primates. Chez l'homme, par exemple, les glandes mammaires peuvent se développer de manière anormale et devenir fonctionnelles, ce qui est connu sous le nom de galactorrhée.

Le trouble bipolaire, anciennement connu sous le nom de psychose maniaco-dépressive, est un trouble de l'humeur caractérisé par des épisodes extrêmes de dépression et d'excitation ou d'agitation. Ces épisodes peuvent être séparés par des périodes de humeur et de fonctionnement normaux.

Les épisodes maniaques peuvent inclure une humeur anormalement et persistante élevée, une irritabilité excessive ou un comportement hyperactif, une inflammation du jugement et des décisions imprudentes. Ces symptômes sont suffisamment graves pour perturber le fonctionnement social ou professionnel habituel ou nécessiter une hospitalisation pour assurer la sécurité de la personne.

Les épisodes dépressifs comprennent une humeur dépressive, une perte d'intérêt ou de plaisir dans presque toutes les activités, des changements importants dans l'appétit ou le poids, une insomnie ou un sommeil excessif, une agitation ou une lenteur accrue, la fatigue ou la perte d'énergie, des sentiments de dévalorisation ou d'inutilité, des difficultés à se concentrer, des pensées récurrentes de mort et des tentatives de suicide.

Le trouble bipolaire est souvent associé à des problèmes cognitifs, des troubles anxieux et des abus de substances. Il peut entraîner une altération significative du fonctionnement social, professionnel ou scolaire. Le diagnostic est établi sur la base d'un examen psychiatrique approfondi et d'une anamnèse détaillée. Le traitement comprend généralement une combinaison de médicaments et de thérapies psychologiques.

Je suis désolé, "Animaux Allaités" ne semble pas être une expression ou un terme médical standard. Le terme "allaitement" fait généralement référence à l'action d'une femelle mammifère qui nourrit son petit avec du lait maternel. Par conséquent, tous les animaux allaités seraient des petits animaux qui sont nourris de cette manière par leur mère. Cependant, sans plus de contexte ou de clarification, il est difficile de fournir une définition médicale précise de ce terme.

Les troubles mentaux, également connus sous le nom de troubles psychologiques ou psychiatriques, sont des désordres qui affectent l'humeur, la pensée et le comportement. Ils peuvent perturber la capacité d'une personne à fonctionner correctement dans sa vie quotidienne, causant souvent un stress important pour la personne atteinte et ses proches.

Les troubles mentaux comprennent une large gamme de conditions telles que les troubles anxieux (comme le trouble panique ou la phobie spécifique), les troubles dépressifs, les schizophrénies, les troubles bipolaires, les troubles liés à l'utilisation de substances, les troubles psychotiques, les troubles de l'alimentation (comme l'anorexie nervosa ou la boulimie), les troubles du spectre autistique, et bien d'autres.

Ces conditions sont souvent associées à des changements biochimiques dans le cerveau et peuvent être influencées par plusieurs facteurs tels que la génétique, l'environnement, le stress et les expériences traumatiques. Il est important de noter que ces troubles ne sont pas simplement «dans la tête» des personnes qui en souffrent; ils sont réels et peuvent être très graves.

La plupart des troubles mentaux peuvent être traités avec succès avec une combinaison de médicaments, de thérapies psychologiques ou comportementales, et de soutien social et émotionnel. L'accès aux soins de santé mentale est crucial pour les personnes atteintes de ces troubles afin qu'elles puissent mener une vie productive et épanouissante.

Les Troubles anxieux sont un groupe de conditions mentales caractérisées par des sentiments excessifs de peur, d'inquiétude et d'anxiété qui interfèrent avec la vie quotidienne. Ces troubles peuvent inclure des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des sueurs, des tremblements, des fatigues et des troubles du sommeil. Les exemples de troubles anxieux comprennent le trouble d'anxiété généralisée (TAG), les troubles de panique, l'agoraphobie, le trouble d'anxiété sociale, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Les causes peuvent être génétiques, environnementales ou liées à une maladie sous-jacente. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et de l'histoire médicale du patient. Le traitement peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux.

Je suis désolé, "taille de la portée" n'est pas un terme médical reconnu. Il est possible que vous cherchiez à comprendre la signification du terme "portée", qui peut être utilisé dans un contexte médical pour se référer à:

1. La distance ou la zone atteinte par une action ou une influence biologique, telle que la portée d'un virus ou d'une bactérie.
2. Dans l'obstétrique, la portée fait référence à la période pendant laquelle un fœtus peut survivre en dehors de l'utérus, qui est généralement considéré comme 24 semaines de gestation ou plus.

Sans plus de contexte, il m'est difficile de fournir une définition médicale précise de "taille de la portée". Si vous pouviez me donner plus d'informations sur le contexte dans lequel ce terme est utilisé, je serais heureux de vous aider davantage.

Les troubles de l'humeur sont des désordres mentaux caractérisés par des altérations durables et marquées de l'humeur, c'est-à-dire de l'état d'esprit ou du sentiment dominant d'un individu, qui affectent sa perception de la vie, ses pensées, son comportement et sa capacité à fonctionner. Les deux humeurs principales sont la joie et la tristesse, mais il existe également d'autres humeurs comme la colère, la peur ou le dégoût.

Les troubles de l'humeur peuvent se manifester sous différentes formes, les plus courantes étant la dépression majeure et le trouble bipolaire (anciennement appelé psychose maniaco-dépressive). Dans la dépression majeure, l'individu éprouve une humeur extrêmement triste, pessimiste ou vide pendant une période prolongée, associée à une perte d'intérêt ou de plaisir pour les activités quotidiennes, des troubles du sommeil et de l'appétit, une fatigue accrue, des difficultés de concentration, des sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessifs, des pensées de mort ou de suicide récurrentes.

Dans le trouble bipolaire, l'individu alterne entre des phases dépressives et des phases d'humeur euphorique ou irritable, appelées manies ou hypomanies. Pendant les phases maniaques, la personne peut présenter une hyperactivité, une logorrhée (flot de paroles ininterrompu), une distractibilité accrue, des idées de grandeur, un sentiment d'invulnérabilité, des comportements impulsifs ou à risque, une diminution du besoin de sommeil et une distorsion du jugement.

Les troubles de l'humeur peuvent être causés par une combinaison de facteurs génétiques, biologiques, environnementaux et psychosociaux. Ils nécessitent un traitement spécialisé, qui peut inclure des médicaments (antidépresseurs, stabilisateurs de l'humeur, antipsychotiques) et une thérapie cognitivo-comportementale ou interpersonnelle. Une prise en charge précoce et adéquate permet de réduire les risques de rechute et d'améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.

Le sevrage, dans le contexte médical, fait référence au processus de cesser l'utilisation d'une substance ou d'une drogue sur laquelle une personne est dépendante. Il peut inclure une gamme de symptômes physiques et psychologiques désagréables qui se produisent lorsque la consommation de la substance est soudainement réduite ou stoppée. Ces symptômes peuvent varier en fonction du type de dépendance, de la durée de l'utilisation et de la quantité utilisée. Le sevrage peut être géré médicalement pour assurer la sécurité du patient et minimiser l'inconfort.

Le lait humain est le liquide biologique sécrété par les glandes mammaires d'une femme en réponse à la succion du mamelon, en particulier pendant la période de l'allaitement. Il est la source principale et idéale de nutrition pour les nourrissons, contenant des nutriments essentiels tels que les protéines, les glucides, les lipides, les vitamines et les minéraux dans une composition parfaitement équilibrée pour répondre aux besoins nutritionnels du bébé.

Le lait humain évolue aussi au fil du temps, s'adaptant aux besoins changeants de l'enfant en fonction de son âge et de son développement. Il contient des facteurs immunitaires, y compris des anticorps, des cellules immunitaires et des facteurs anti-infectieux, qui aident à protéger le bébé contre les infections. De plus, il joue un rôle crucial dans la santé bucco-dentaire, la croissance et le développement du cerveau, et la réduction des risques d'allergies et de maladies chroniques telles que l'obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires.

La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.

Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.

Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Le récepteur de la prolactine (PRLR) est une protéine transmembranaire qui se lie spécifiquement à l'hormone prolactine. Il appartient à la famille des récepteurs de la cytokine et est codé par le gène PRLR situé sur le chromosome 5 humain.

Le récepteur de la prolactine se trouve principalement dans les cellules du sein, du système reproducteur et du cerveau. Lorsque la prolactine se lie au récepteur de la prolactine, elle déclenche une cascade de réactions biochimiques qui conduisent à des changements dans l'expression des gènes et la fonction cellulaire.

Dans le sein, l'activation du récepteur de la prolactine joue un rôle crucial dans la différenciation et la croissance des cellules mammaires pendant la grossesse et la lactation. Dans le cerveau, il est impliqué dans divers processus cognitifs et émotionnels, tels que l'apprentissage, la mémoire et l'anxiété.

Des anomalies du récepteur de la prolactine ont été associées à un certain nombre de troubles médicaux, notamment le cancer du sein, les troubles de l'humeur et certains types de tumeurs hypophysaires.

Les cellules lactotropes, également connues sous le nom de cellules mammotropes ou cellules somatotropes mammaires, sont un type spécifique de cellules présentent dans l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Ces cellules sont responsables de la production et de la sécrétion de l'hormone prolactine (PRL), qui joue un rôle crucial dans la lactation et la reproduction chez les mammifères, y compris les humains.

La stimulation des récepteurs de la prolactine dans les cellules lactotropes entraîne la synthèse et la libération de PRL dans le sang. Les facteurs qui influencent la sécrétion de prolactine comprennent l'allaitement maternel, le stress, l'exercice physique, l'hypothyroïdie, et certains médicaments tels que les antidépresseurs tricycliques et les antipsychotiques.

Dans des conditions physiologiques normales, la prolactine joue un rôle important dans la préparation et le maintien de la production de lait maternel pendant l'allaitement. Cependant, une sécrétion excessive de prolactine peut entraîner diverses affections, telles que l'aménorrhée (absence de menstruations), la galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) et l'infertilité.

En résumé, les cellules lactotropes sont des cellules spécialisées dans l'antéhypophyse qui produisent et sécrètent l'hormone prolactine, essentielle à la lactation et à la reproduction.

L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).

L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).

La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.

La bromocriptine est un agoniste de la dopamine qui est utilisé dans le traitement de divers troubles liés au système nerveux central. Il est approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement du pituitaire et des troubles neurologiques, tels que :

1. Maladie de Parkinson : La bromocriptine aide à contrôler les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson en mimant l'action de la dopamine dans le cerveau. Il est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments pour améliorer les symptômes.

2. Hyperprolactinémie : La bromocriptine est utilisée pour traiter l'hyperprolactinémie, une affection caractérisée par des niveaux élevés de prolactine dans le sang. Cela peut entraîner des irrégularités menstruelles, une galactorrhée (fuite de lait maternel en dehors de l'allaitement) et une diminution de la libido chez les femmes. Chez les hommes, cela peut provoquer une hypogonadisme (diminution de la fonction testiculaire), une baisse de la libido et des troubles de l'érection.

3. Acromégalie : La bromocriptine est parfois utilisée pour traiter l'acromégalie, une affection caractérisée par une production excessive d'hormone de croissance après la fin de la croissance. Cela peut entraîner des symptômes tels qu'un agrandissement des mains et des pieds, une augmentation de la taille du visage et des os, une transpiration accrue et une fatigue.

4. Prolactinomes : La bromocriptine est utilisée pour traiter les prolactinomes, des tumeurs bénignes de l'hypophyse qui sécrètent de la prolactine en excès. Le médicament aide à réduire la taille de la tumeur et à normaliser les niveaux d'hormones.

La bromocriptine est disponible sous forme de comprimés et doit être prise par voie orale. La posologie et la durée du traitement dépendent de l'affection traitée et doivent être déterminées par un médecin. Les effets secondaires courants de la bromocriptine comprennent des nausées, des vomissements, une constipation, des étourdissements, des maux de tête, une fatigue, des bouffées de chaleur et une sécheresse buccale. Dans de rares cas, il peut provoquer des hallucinations, une confusion, une agitation, une dépression ou des mouvements anormaux du visage ou des membres. Si vous ressentez l'un de ces effets secondaires ou tout autre effet indésirable, informez-en immédiatement votre médecin.

La bromocriptine ne doit pas être utilisée par les personnes souffrant d'hypotension artérielle sévère, d'insuffisance cardiaque congestive ou de maladies rénales graves. Elle ne doit pas non plus être prise pendant la grossesse ou l'allaitement, sauf si cela est absolument nécessaire et sous surveillance médicale stricte. Informez votre médecin de tous les médicaments que vous prenez, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, car ils peuvent interagir avec la bromocriptine et provoquer des effets secondaires indésirables.

En conclusion, la bromocriptine est un médicament utilisé pour traiter divers troubles hormonaux et neurologiques. Il doit être pris sous surveillance médicale stricte en raison de ses effets secondaires potentiels et de ses interactions avec d'autres médicaments. Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant l'utilisation de la bromocriptine, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

L'adénohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire antérieure, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle produit et sécrète plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus corporels. Ces hormones comprennent :

1. Hormone de croissance (GH): stimule la croissance et le métabolisme des protéines dans les tissus corporels.
2. Prolactine (PRL): stimule la production de lait chez les femmes allaitantes.
3. Thyrotropin (TSH): régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.
4. Adrénocorticotrope (ACTH): stimule la libération d'hormones stéroïdes par les glandes surrénales.
5. Folliculo-stimulante (FSH): régule la fonction des organes reproducteurs en stimulant la croissance des follicules ovariens et la production de spermatozoïdes.
6. Luteinizing (LH): stimule la maturation des ovules et la libération d'œstrogènes et de progestérone dans les ovaires, ainsi que la production de testostérone dans les testicules.
7. Endorphines: jouent un rôle dans la régulation de l'humeur et de la douleur.
8. Ocytocine: stimule l'accouchement et la lactation.
9. Vasopressine (ADH): régule l'équilibre hydrique et la pression artérielle en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.

L'adénohypophyse est régulée par l'hypothalamus, qui libère des facteurs de libération et d'inhibition pour contrôler la production et la sécrétion d'hormones par l'adénohypophyse.

Le « syndrome de syllogomanie compulsive » ou « trouble d'accumulation compulsive » est plus communément appelé « obsessive hoarding ». Il s'agit d'un trouble mental caractérisé par la difficulté persistante à se débarrasser des objets, même de ceux qui n'ont aucune valeur ou sont endommagés. Les personnes atteintes de cette condition ont souvent un attachement émotionnel excessif à ces objets et peuvent ressentir une anxiété intense à l'idée de s'en débarrasser.

Cela conduit souvent à une accumulation excessive d'objets dans leur domicile, ce qui peut entraîner un désordre important et des conditions de vie insalubres. Le trouble d'accumulation compulsive peut affecter négativement la capacité d'une personne à fonctionner dans sa vie quotidienne, y compris les relations sociales, le travail et l'entretien ménager.

Cette condition est souvent associée à d'autres troubles mentaux, tels que le trouble obsessionnel-compulsif (TOC), la dépression, l'anxiété et les troubles de personnalité. Le traitement peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) spécifiquement adaptée au trouble d'accumulation compulsive, ainsi que des médicaments. Dans certains cas graves, une intervention peut être nécessaire pour désencombrer l'espace de vie de la personne.

Je suis désolé, il semble y avoir une erreur de frappe dans votre requête. Le terme «Mères» ne semble pas être une condition ou un concept médical. Si vous vouliez parler de "mères" au sens général du rôle ou de la relation, il n'y a pas de définition médicale spécifique. Cependant, dans un contexte médical ou obstétrical, une mère est une femme qui a donné naissance à un enfant après la grossesse. Si vous cherchiez des informations sur une autre expression ou condition médicale, s'il vous plaît fournir plus de détails et je serai heureux de vous aider.

Les maladies du sein, également connues sous le nom de pathologies mammaires, comprennent un large éventail d'affections qui affectent les tissus des seins. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les affections bénignes courantes du sein comprennent :

1. Fibroadénomes : ce sont des tumeurs solides et mobiles qui se développent dans les glandes productrices de lait. Ils sont souvent indolores et peuvent être retirés chirurgicalement si nécessaire.

2. Kystes : ce sont des sacs remplis de liquide qui se forment dans les glandes productrices de lait ou dans les canaux galactophores. Ils peuvent varier en taille et en nombre, et peuvent être douloureux avant les menstruations.

3. Mastites : c'est une inflammation du tissu mammaire, souvent causée par une infection bactérienne. Elle peut provoquer des douleurs, des rougeurs et un gonflement du sein.

Les affections malignes courantes du sein comprennent :

1. Cancer du sein : il s'agit d'une croissance anormale de cellules cancéreuses dans le tissu mammaire. Le cancer du sein invasif se propage aux tissus environnants et peut se propager à d'autres parties du corps.

2. Cancer inflammatoire du sein : il s'agit d'un type rare de cancer du sein qui provoque une inflammation et un gonflement du sein. Il est souvent agressif et difficile à traiter.

3. Carcinome canalaire in situ (CCIS) : il s'agit d'une forme non invasive de cancer du sein dans laquelle les cellules cancéreuses se développent dans les canaux galactophores mais ne se sont pas propagées aux tissus environnants.

Les facteurs de risque courants de cancer du sein comprennent l'âge, les antécédents familiaux de cancer du sein, la ménopause tardive, une densité mammaire élevée et des mutations génétiques telles que BRCA1 et BRCA2. Les options de traitement pour le cancer du sein comprennent la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l'hormonothérapie.

La douleur thoracique est une douleur ou un inconfort ressentis dans la région de la cage thoracique, qui abrite le cœur, les poumons, l'œsophage, la trachée, les vaisseaux sanguins, les nerfs, les os, les muscles et les tissus conjonctifs. Cette douleur peut être décrite comme étant aiguë (de courte durée) ou chronique (persistante), et sa gravité peut varier de légère à sévère.

La douleur thoracique peut avoir plusieurs origines, allant des affections cardiovasculaires, pulmonaires, gastro-intestinales, musculo-squelettiques ou neurologiques. Parmi les causes courantes de douleur thoracique, on trouve l'angine de poitrine (une maladie cardiaque), l'infarctus du myocarde (crise cardiaque), la pneumonie, l'embolie pulmonaire, l'asthme, la bronchite, la pleurésie, la hernie hiatale, le reflux gastro-œsophagien, les costochondrites (inflammation des articulations costales), les entorses ou foulures musculaires, et les névralgies intercostales (névralgies du zona).

Dans certains cas, la douleur thoracique peut être le signe d'une urgence médicale nécessitant une prise en charge immédiate. Par conséquent, il est crucial de consulter un médecin si vous ressentez une douleur thoracique, surtout si elle s'accompagne d'autres symptômes tels que des difficultés respiratoires, des nausées, des vomissements, des sueurs froides, des palpitations cardiaques ou une sensation d'étouffement.

Le comportement de succion est un réflexe inné et fondamental présent chez la plupart des nouveau-nés et des nourrissons, qui consiste à aspirer ou à sucer avec force sur quelque chose, généralement le mamelon maternel ou le sein artificiel pendant l'allaitement. Ce réflexe permet non seulement la satisfaction des besoins nutritionnels de base du bébé, mais il joue également un rôle crucial dans son développement sensorimoteur et émotionnel précoce.

Au-delà de l'alimentation, le comportement de succion peut aussi être observé comme une forme d'auto-apaisement ou de réconfort, où le bébé suce son propre pouce, ses doigts ou une tétine pour se calmer et s'endormir. Ce type de succion non nutritive est considéré comme normal tant qu'il ne persiste pas au-delà d'un certain âge (généralement entre 6 et 12 mois), car il peut alors entraîner des problèmes dentaires ou orthodontiques.

Il est important de noter que le comportement de succion est influencé par divers facteurs, tels que la satiété, l'état émotionnel et physiologique du bébé, ainsi que sa capacité à se réguler et à s'adapter à son environnement. Par conséquent, une observation attentive et un soutien adapté de ce comportement peuvent favoriser une expérience d'alimentation positive et contribuer au développement global et harmonieux du bébé.

La lanoline est un terme généralement utilisé pour décrire une cire naturelle extraite de la laine de mouton. Elle est composée d'un mélange complexe d'esters, d'alcools et de fatty acids. Dans un contexte médical, la lanoline est souvent utilisée dans les produits topiques en raison de ses propriétés émollientes et hydratantes. Elle peut aider à adoucir la peau, à réduire les irritations et à favoriser la cicatrisation des plaies sèches. Cependant, certaines personnes peuvent être allergiques à la lanoline, ce qui peut provoquer une dermatite de contact.

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