Adénome Pléomorphe
Carcinome Mucoépidermoïde
Glandes Salivaires
Tumeurs Du Palais
Carcinome Adénoïde Kystique
Glandes Salivaires Mineures
Adénolymphome
Tumeurs Des Glandes Sébacées
Glandes Périanales
Maladies De La Glande Salivaire
Tumeurs De La Glande Sous-Maxillaire
Chloroprène
Glande Submandibulaire
Glande Parotide
Tumeurs Des Glandes Sudoripares
Conduits Salivaires
Syndrome De Gougerot-Sjögren
Sialadénite
Glandes Exocrines
Calculs Salivaires Intraglandulaires
Salivary Proteins and Peptides
Immunohistochimie
Maladie De La Glande Sous-Maxillaire
Salivation
Salive
Glandes Sudoripares
Glandes Sebacées
Appareil Lacrymal
Glande De Harder
Tumeurs Du Pancréas
Diptera
Tumeurs
Glandes Surrénales
Les tumeurs des glandes salivaires sont des croissances anormales qui se forment dans les glandes salivaires. Ces glandes sont responsables de la production de salive pour aider à la digestion et maintenir la muqueuse buccale humide. Les glandes salivaires principales sont situées dans la mâchoire inférieure et juste en avant de l'oreille (parotides), tandis que les glandes salivaires accessoires sont plus petites et se trouvent dans la bouche, le nez et la gorge.
Les tumeurs des glandes salivaires peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, ne mettant pas la vie en danger. Cependant, elles peuvent continuer à croître et causer des problèmes, tels que des douleurs, des gonflements ou des difficultés à avaler ou à parler, en fonction de leur emplacement.
Les tumeurs malignes, quant à elles, sont plus agressives et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent provoquer des symptômes similaires à ceux des tumeurs bénignes, mais peuvent également entraîner une perte de poids, une fièvre ou des ganglions lymphatiques enflés.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses et la chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses qui se sont propagées. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.
Un adénome pléomorphe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes salivaires des régions parotide, submandibulaire et sous-maxillaire de la tête et du cou. Il s'agit d'une tumeur mixte, ce qui signifie qu'elle contient plusieurs types de cellules différents, y compris des cellules épithéliales et des cellules myoépithéliales.
Les adénomes pléomorphes sont généralement indolents et se développent lentement au fil du temps. Ils peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Les symptômes courants associés à un adénome pléomorphe comprennent une masse ou un gonflement dans la région de la joue, du cou ou de la mâchoire, ainsi que des douleurs, des engourdissements ou des picotements faciaux.
Le diagnostic d'un adénome pléomorphe est généralement posé après une biopsie et une évaluation histopathologique des tissus prélevés. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète de la tumeur, suivie d'une surveillance régulière pour détecter toute récidive potentielle. Dans de rares cas, si la tumeur est grande ou envahit les structures environnantes, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être recommandée.
Dans l'ensemble, bien que les adénomes pléomorphes soient considérés comme des tumeurs bénignes, ils peuvent quand même causer des problèmes importants s'ils ne sont pas traités correctement. Il est donc important de consulter un médecin ou un spécialiste en tête et en cou si vous remarquez des symptômes suspects ou des changements dans la région de votre visage, de votre cou ou de votre mâchoire.
Un carcinome mucoépidermoïde est un type rare de cancer qui peut se développer dans les glandes salivaires des adultes. Il peut également se produire, mais plus rarement, dans d'autres endroits, tels que le nez, la cavité nasale, les sinus paranasaux, les poumons, l'oreille moyenne, le tractus gastro-intestinal et la peau.
Ce type de cancer se caractérise par la croissance de cellules anormales qui ont des propriétés à la fois glandulaires (mucoïdes) et squameuses (épidermoïdes). Les tumeurs peuvent être de bas grade, intermédiaire ou de haut grade, selon leur apparence au microscope et leur potentiel de croissance et d'invasion.
Les symptômes du carcinome mucoépidermoïde dépendent de sa localisation. Dans la glande salivaire, il peut provoquer un gonflement ou une masse dans la région de la joue, de la mâchoire ou du cou, ainsi que des douleurs, des difficultés à avaler, une paralysie faciale et une altération du mouvement de la langue.
Le traitement dépend du grade de la tumeur, de sa taille, de son emplacement et de l'étendue de sa propagation. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes, et une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à distance. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est de bas grade et ne cause pas de symptômes.
Les tumeurs de la parotide se réfèrent à des growths anormaux dans la glande parotide, qui est la plus grande glande salivaire située juste devant chaque oreille. La plupart des tumeurs de la parotide sont bénignes (non cancéreuses), mais certaines peuvent être malignes (cancéreuses). Les symptômes courants des tumeurs de la parotide comprennent une masse ou un gonflement visible dans la région de la joue, en face de l'oreille. La douleur peut également être présente, en particulier dans le cas de tumeurs malignes.
Les facteurs de risque de développer des tumeurs de la parotide comprennent l'exposition à des radiations, le tabagisme et certains troubles génétiques. Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, telles que les ultrasons ou les tomodensitométries, et une biopsie pour déterminer le type de tumeur.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être observées ou retirées chirurgicalement si elles causent des symptômes. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale pour les enlever, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie dans certains cas. Le pronostic dépend du type et du stade de la tumeur au moment du diagnostic.
Les glandes salivaires sont des glandes exocrines qui produisent et sécrètent la salive dans la cavité buccale. Elles jouent un rôle crucial dans la digestion des aliments en lubrifiant la bouche et les aliments, facilitant ainsi l'avalement et la décomposition chimique des molécules alimentaires par les enzymes salivaires.
Il existe trois principales paires de glandes salivaires :
1. Les glandes parotides, situées près de l'oreille, sont les plus grandes et produisent principalement une salive aqueuse riche en amylase, une enzyme qui dégrade les glucides.
2. Les glandes submandibulaires, situées sous la mâchoire inférieure, sécrètent un mélange de salive mucoïde et séreuse, contenant des ions bicarbonates pour neutraliser l'acidité et faciliter la digestion.
3. Les glandes sublinguales, situées sous la langue, produisent principalement une salive mucoïde qui lubrifie la bouche et adhère aux papilles gustatives pour favoriser la perception des saveurs.
Des petites glandes salivaires accessoires sont également réparties dans la muqueuse buccale, ajoutant à la production globale de salive. Les dysfonctionnements des glandes salivaires peuvent entraîner une sécheresse buccale (xérostomie), ce qui peut affecter la mastication, la déglutition, la parole et la santé dentaire.
Les tumeurs du palais, également connues sous le nom de tumeurs de la cavité buccale, peuvent se référer à divers types de croissances anormales dans la région du palais. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes courantes du palais comprennent les papillomes, les fibromes, les granulomes et les kystes. Ces tumeurs sont généralement traitées par une excision chirurgicale complète et ont tendance à avoir un bon pronostic.
Les tumeurs malignes du palais sont plus graves et comprennent le carcinome épidermoïde, qui est le type de cancer buccal le plus courant. Le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, une mauvaise hygiène bucco-dentaire et une infection par le papillomavirus humain (HPV) sont des facteurs de risque connus pour ces tumeurs.
Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Le pronostic dépend du stade au moment du diagnostic, mais en général, un diagnostic et un traitement précoces améliorent les chances de guérison.
Le carcinome adénoïde kystique est un type rare de cancer qui se développe généralement dans les glandes salivaires. Il est appelé "adénoïde" parce qu'il ressemble à des glandes adénoïdes, et "kystique" en raison de sa tendance à former des kystes ou des cavités remplies de liquide.
Ce type de cancer se développe lentement et peut mettre des années avant de provoquer des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation du cancer, mais peuvent inclure des gonflements douloureux ou indolores dans la région de la tête et du cou, une difficulté à avaler, une paralysie faciale, un engourdissement ou des picotements dans le visage.
Le carcinome adénoïde kystique peut être traité par une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Le pronostic dépend du stade et de l'emplacement du cancer au moment du diagnostic. Les taux de survie à cinq ans varient selon le stade du cancer, mais sont généralement bons pour les cancers diagnostiqués à un stade précoce.
Il est important de noter que bien que le carcinome adénoïde kystique soit un type rare de cancer, il est important de consulter un médecin si vous remarquez des symptômes persistants ou inexpliqués dans la région de la tête et du cou.
Les glandes salivaires mineures sont des petites glandes situées dans la muqueuse de la bouche et du nez. Elles sont responsables de produire la salive qui humidifie continuellement la bouche et le nez. Contrairement aux trois grandes glandes salivaires (parotides, sous-maxillaires et sublinguales), les glandes salivaires mineures ne possèdent pas de conduits dédiés pour évacuer leur sécrétion. Leur secretion s'écoule directement dans la cavité buccale par des petits canaux situés dans la muqueuse. Elles représentent environ 10% de la production salivaire totale. Les glandes salivaires mineures peuvent être affectées par diverses affections, y compris les infections, les inflammations et les tumeurs, bien que ces dernières soient généralement bénignes.
Un myoépithéliome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes sudoripares ou salivaires. Ces tumeurs sont composées de cellules myoépithéliales, qui ont des propriétés contractiles similaires à celles des muscles lisses. Les myoépithéliomes peuvent se manifester n'importe où dans le corps où il y a des glandes sudoripares ou salivaires, mais ils sont les plus fréquents dans la tête et le cou.
Les symptômes d'un myoépithéliome dépendent de sa localisation et de sa taille. Les tumeurs plus grandes peuvent causer une douleur, un gonflement ou une sensation de masse dans la région affectée. Dans certains cas, les myoépithéliomes peuvent devenir malins (malignes) et se propager à d'autres parties du corps.
Le traitement d'un myoépithéliome dépend de sa taille, de sa localisation et de son caractère bénin ou malin. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie ou la chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.
Il est important de noter que les myoépithéliomes sont rares et que la plupart d'entre eux sont bénins. Si vous pensez avoir un myoépithéliome ou présentez des symptômes qui vous inquiètent, il est important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.
Un adénolymphome est un type rare de tumeur qui se développe dans les ganglions lymphatiques et peut contenir des cellules épithéliales glandulaires, d'où le préfixe "adéno-" qui signifie "glandulaire". Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec le terme "carcinome lymphoïde à grandes cellules", qui est un type particulier de lymphome non hodgkinien.
Les adénolymphomes se développent généralement dans les ganglions lymphatiques situés dans le cou, l'aisselle ou l'aine, et peuvent également affecter d'autres organes tels que la rate, le foie et les poumons. Les symptômes courants comprennent des gonflements indolores des ganglions lymphatiques, de la fièvre, des sueurs nocturnes et une perte de poids inexpliquée.
Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour perturber la croissance et la propagation des cellules cancéreuses.
Les tumeurs des glandes sébacées sont des croissances anormales qui se développent dans les glandes sébacées, qui sont responsables de la production de sébum pour lubrifier la peau et les cheveux. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs des glandes sébacées bénignes les plus courantes sont les adénomes sébacés et les kystes épidermiques. Elles se présentent généralement sous la forme de petites bosses ou nodules sur la peau, souvent sur le visage, le cou, le dos ou le torse. Bien qu'elles soient généralement indolores, elles peuvent parfois causer des inconforts esthétiques ou mécaniques en fonction de leur localisation et de leur taille.
Les tumeurs des glandes sébacées malignes, également appelées carcinomes sébacés, sont beaucoup plus rares. Elles se développent généralement chez les personnes âgées et peuvent se présenter sous la forme de petites papules ou nodules qui s'ulcèrent et saignent facilement. Les carcinomes sébacés ont tendance à se développer lentement, mais ils peuvent se propager à d'autres parties du corps s'ils ne sont pas traités rapidement.
Le traitement des tumeurs des glandes sébacées dépend de leur type et de leur gravité. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées chirurgicalement, tandis que les tumeurs malignes peuvent nécessiter une intervention chirurgicale plus importante, ainsi qu'une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Les tumeurs de la glande périanale, également connues sous le nom de tumeurs de la glande de Skene ou de la prostate féminine, se réfèrent à des growths anormaux dans les glandes de Skene, qui sont situées près de l'urètre et de l'ouverture vaginale. Ces glandes sont analogues à la prostate masculine.
Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, qui sont des growths non cancéreux des glandes. Les tumeurs malignes comprennent le carcinome à cellules acineuses et le carcinome adénoïde kystique.
Les symptômes courants des tumeurs de la glande périanale peuvent inclure des douleurs ou des saignements pendant les rapports sexuels, des douleurs lors de la miction, des pertes vaginales anormales et des douleurs pelviennes. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes suspects, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les résultats.
Les tumeurs de la glande sublinguale sont des croissances anormales qui se forment dans la glande sublinguale, une petite glande salivaire située sous la langue. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, sans se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent cependant causer des problèmes en exerçant une pression sur les structures voisines.
Les tumeurs malignes, en revanche, sont plus agressives et ont le potentiel de se propager à d'autres parties du corps. Les symptômes associés aux tumeurs de la glande sublinguale peuvent inclure une masse sous la langue, un gonflement du plancher de la bouche, des difficultés à avaler ou à parler, une douleur faciale ou une sensation de picotement. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Les glandes périanales, également connues sous le nom de glandes anales chez certains animaux, sont des petites glandes situées autour de l'anus chez l'homme. Chez l'homme, il y a généralement entre 5 à 10 glandes périanales qui se trouvent dans la muqueuse anale, dans le tissu conjonctif sous-muqueux et dans la couche musculaire du sphincter externe de l'anus.
Ces glandes produisent un liquide sébacé qui lubrifie et protège la peau autour de l'anus. Les sécrétions des glandes périanales peuvent être à l'origine d'une infection bactérienne ou d'un abcès si elles ne parviennent pas à s'écouler correctement, entraînant ainsi une inflammation et une douleur dans la région périanale. Dans de rares cas, une infection non traitée peut se propager et former une fistule anale, qui est une communication anormale entre le canal anal et la peau environnante.
Les maladies de la glande salivaire se réfèrent à un ensemble de conditions qui affectent le fonctionnement normal des glandes salivaires. Ces glandes, situées dans la bouche et le visage, sont responsables de la production de salive, qui aide à la digestion des aliments et maintient la muqueuse buccale humide.
Les maladies courantes des glandes salivaires comprennent :
1. Sialadénite : C'est une inflammation des glandes salivaires, souvent causée par une infection bactérienne ou virale. Elle peut causer des douleurs, un gonflement et une rougeur de la glande affectée.
2. Tumeurs des glandes salivaires : Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent du type et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure un gonflement, une douleur ou une asymétrie faciale.
3. Syndrome de Sjögren : Cette maladie auto-immune affecte principalement les femmes et provoque une sécheresse buccale et oculaire en raison d'une production réduite de salive et de larmes.
4. Stase salivaire : Il s'agit d'une accumulation de salive dans la glande salivaire due à un obstruction ou une mauvaise vidange. Cela peut entraîner une douleur, un gonflement et un risque accru d'infection.
5. Sialorrhée : Aussi connu sous le nom de "pante réflexe", c'est une production excessive de salive qui peut causer des difficultés à avaler ou à parler, ainsi qu'une bave excessive.
Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie. Il peut inclure des médicaments, des procédures chirurgicales ou des changements dans le mode de vie.
Les tumeurs de la glande sous-maxillaire se réfèrent à des croissances anormales dans la glande salivaire sous-maxillaire, qui est située en dessous de la mâchoire inférieure. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent plus lentement, sans se propager à d'autres parties du corps. D'un autre côté, les tumeurs malignes peuvent se développer rapidement, envahir les tissus environnants et se propager à d'autres parties du corps.
Les symptômes courants des tumeurs de la glande sous-maxillaire comprennent un gonflement ou une masse dans la région située en dessous de la mâchoire inférieure, une douleur faciale ou au cou, un engourdissement ou une faiblesse des muscles du visage, des difficultés à avaler ou à parler, et une perte de poids inexpliquée.
Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imagerie médicale (telle que la tomodensitométrie ou l'IRM) et d'analyses de tissus prélevés par biopsie. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Le chloroprène est un composé organique volatil qui est principalement utilisé dans la production industrielle de polychloroprène, un type de caoutchouc synthétique. Le chloroprène a pour formule chimique CH2=CCl-CH=CH2.
L'exposition au chloroprène peut se produire dans les milieux professionnels où il est utilisé, comme l'industrie du caoutchouc et la fabrication de pneus. Les effets sur la santé associés à une exposition aiguë au chloroprène comprennent des symptômes respiratoires tels que la toux, l'essoufflement et les douleurs thoraciques. Une exposition chronique peut entraîner des effets plus graves sur la santé, notamment une augmentation du risque de cancer du foie et des voies respiratoires supérieures, ainsi que des problèmes neurologiques et reproductifs.
Il est important de noter que le chloroprène n'est pas couramment utilisé dans les applications médicales ou cliniques. Par conséquent, il n'y a pas de définition médicale spécifique pour ce composé.
La glande submandibulaire est une glande salivaire importante située dans le cou, plus précisément sous la mandibule (la mâchoire inférieure). Elle mesure environ 5 cm de long, 3 cm de large et 2 cm d'épaisseur. Chez l'adulte, elle pèse entre 10 à 15 grammes. Chaque personne a deux glandes submandibulaires, une de chaque côté du visage.
La fonction principale de la glande submandibulaire est de produire la salive, qui contribue à la digestion des aliments en les humidifiant et en les décomposant chimiquement grâce aux enzymes qu'elle contient. La salive aide également à maintenir la bouche propre et saine en neutralisant les acides produits par les bactéries, ce qui réduit le risque de caries dentaires et de maladies des gencives.
La glande submandibulaire est constituée de nombreux lobules remplis de cellules sécrétrices responsables de la production de salive. Les conduits excréteurs transportent ensuite la salive vers le canal de Wharton, qui se jette dans la cavité buccale au niveau du plancher de la bouche, derrière les incisives inférieures.
Comme d'autres glandes exocrines, la glande submandibulaire peut être affectée par divers troubles et maladies, tels que les infections bactériennes ou virales, les calculs (lithiases salivaires), les tumeurs bénignes ou malignes, et les inflammations chroniques. Ces affections peuvent entraîner des symptômes variés, notamment une douleur, un gonflement, une difficulté à avaler ou à parler, et une production anormale de salive.
La glande parotide est la plus grande des glandes salivaires, située dans chaque joue, devant et juste en dessous de l'oreille. Elle produit une substance liquide appelée salive qui aide à décomposer les aliments lorsqu'ils sont mâchés. La salive passe par un petit tube appelé canal de Stensen avant d'atteindre la cavité buccale, dans la région située entre la joue et les dents supérieures (à côté du deuxième hauteur des molaires).
La glande parotide est recouverte de peau et de tissu conjonctif à l'extérieur, tandis qu'à l'intérieur, elle se compose de lobules remplis de cellules qui sécrètent la salive. Ces lobules sont reliés entre eux par des canaux plus petits qui conduisent la salive vers le canal de Stensen.
La glande parotide peut être affectée par diverses affections, y compris l'inflammation (parotidite ou maladie des mâchoires), les tumeurs bénignes et malignes, et la formation de calculs dans le canal salivaire.
Les tumeurs des glandes endocrines sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes endocrines, qui sont responsables de la production d'hormones dans le corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs des glandes endocrines peuvent affecter la fonction de la glande et entraîner une variété de symptômes, en fonction de la glande touchée.
Les glandes endocrines comprennent la glande thyroïde, les parathyroïdes, les glandes surrénales, le pancréas, l'hypothalamus et l'hypophyse. Les tumeurs peuvent se développer dans n'importe laquelle de ces glandes et peuvent entraîner une production excessive ou diminuée d'hormones.
Les symptômes associés aux tumeurs des glandes endocrines dépendent de la glande touchée. Par exemple, une tumeur de la glande thyroïde peut entraîner une hyperthyroïdie, avec des symptômes tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, une perte de poids et une augmentation de l'appétit. Une tumeur de la glande surrénale peut entraîner une production excessive de cortisol, avec des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue.
Le traitement des tumeurs des glandes endocrines dépend du type de tumeur, de sa localisation et de son stade. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou un traitement médicamenteux pour contrôler les symptômes associés à la production excessive d'hormones.
Les tumeurs des glandes sudoripares sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes sudoripares, qui sont responsables de la production de sueur pour aider à réguler la température du corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes des glandes sudoripares comprennent les syringomes, qui sont des petites papules de croissance généralement sur le visage et la région autour des yeux. Ils sont généralement inoffensifs et ne nécessitent aucun traitement à moins qu'ils ne causent des problèmes esthétiques ou fonctionnels.
Les tumeurs malignes des glandes sudoripares, également connues sous le nom de carcinomes des glandes sudoripares, sont rares mais agressifs. Ils peuvent se développer dans n'importe quelle partie du corps où il y a des glandes sudoripares, mais ils sont plus fréquents dans les zones où la peau est exposée au soleil, comme le visage, le cou et les bras. Les symptômes peuvent inclure des bosses ou des plaques sur la peau qui peuvent être rouges, enflées, douloureuses ou prurigineuses.
Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez des changements cutanés inhabituels ou si vous ressentez des symptômes qui pourraient indiquer une tumeur des glandes sudoripares.
La glande sublinguale est une glande salivaire située sous la muqueuse du plancher de la bouche, juste derrière les incisives inférieures. C'est la plus grande des glandes salivaires accessoires et elle est constituée de nombreux lobules séparés par des cloisons fibreuses. Elle sécrète une salive mucineuse et séreuse qui contribue à la lubrification de la bouche et à l'initiation du processus digestif. La glande sublinguale peut être affectée par certaines affections, telles que les infections, les tumeurs bénignes ou malignes, et les maladies auto-immunes comme la sialoadénite de Sjögren.
Les conduits salivaires sont des structures anatomiques qui transportent la salive depuis les glandes salivaires jusqu'à la cavité buccale. Il existe plusieurs types de conduits salivaires, dont les principaux sont :
1. Le conduit parotidien : il est associé à la glande parotide et est le plus long des conduits salivaires. Il mesure environ 5 cm de longueur et se termine dans le fond de la cavité buccale, près de la deuxième molaire supérieure.
2. Le conduit submandibulaire : il est associé à la glande submandibulaire et mesure environ 5 cm de longueur. Il se termine dans le plancher de la bouche, sous la langue.
3. Les conduits sublinguaux : ils sont au nombre de deux et sont associés aux glandes sublinguales. Chacun d'eux mesure environ 2 cm de longueur et se termine dans le plancher de la bouche, de chaque côté du conduit submandibulaire.
Les conduits salivaires peuvent être affectés par diverses pathologies, telles que les infections, les inflammations, les calculs (lithiases) et les tumeurs bénignes ou malignes.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est un trouble auto-immun caractérisé par une sécheresse excessive des yeux et de la bouche due à une inflammation des glandes lacrymales et salivaires. Ce syndrome peut également affecter d'autres glandes et tissus du corps, entraînant une variété de symptômes.
Les symptômes oculaires typiques comprennent une sensation de brûlure, de picotement ou de sable dans les yeux, une rougeur des yeux et une sensibilité accrue à la lumière. Les symptômes buccaux peuvent inclure une sécheresse extrême de la bouche et de la langue, une sensation de brûlure ou de gonflement de la langue, une difficulté à avaler et à mâcher des aliments secs, et une augmentation de la carie dentaire.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren peut également affecter d'autres organes du corps, entraînant des symptômes tels que la fatigue, les douleurs articulaires, les éruptions cutanées, les problèmes pulmonaires et rénaux. Dans de rares cas, il peut également causer des complications neurologiques.
La cause exacte du syndrome de Gougerot-Sjögren est inconnue, mais on pense qu'il est dû à une réaction anormale du système immunitaire qui attaque et endommage les glandes productrices de liquides dans le corps. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen physique et de tests de laboratoire spécifiques.
Le traitement du syndrome de Gougerot-Sjögren vise à soulager les symptômes et peut inclure des substituts artificiels de larmes et de salive, des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs et des analgésiques. Dans certains cas, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale peuvent être recommandées pour traiter les complications du syndrome de Gougerot-Sjögren.
La sialadénite est un terme médical qui décrit l'inflammation des glandes salivaires. Ces glandes, situées dans la bouche et le cou, produisent la salive pour aider à la digestion des aliments. La sialadénite peut être causée par une infection bactérienne ou virale, des obstructions dans les canaux salivaires, des réactions auto-immunes, ou des traumatismes.
Les symptômes de la sialadénite peuvent inclure une douleur et un gonflement des glandes salivaires, une rougeur de la peau, une sensation de chaleur, une difficulté à avaler ou à ouvrir la bouche complètement, et dans les cas graves, une fièvre et des frissons. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'inflammation et peut inclure des antibiotiques, des anti-inflammatoires, des analgésiques, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale.
Les glandes exocrines sont un type de glandes du système endocrinien qui produisent et sécrètent des substances telles que des enzymes, des hormones et d'autres molécules dans les cavités corporelles ou directement sur la surface de la peau par l'intermédiaire de canaux excréteurs. Contrairement aux glandes endocrines qui sécrètent des substances directement dans le sang, les glandes exocrines libèrent leurs sécrétions dans des espaces fermés ou sur la surface du corps pour aider à la digestion, la protection contre les agents pathogènes et la lubrification des surfaces.
Les exemples de glandes exocrines comprennent les glandes sudoripares, sébacées, salivaires, lacrymales et mammaires. Les glandes sudoripares sécrètent la sueur pour réguler la température corporelle, les glandes sébacées produisent du sébum pour lubrifier la peau et les cheveux, les glandes salivaires sécrètent de la salive pour faciliter la digestion, les glandes lacrymales produisent des larmes pour protéger et humidifier les yeux, et les glandes mammaires sécrètent du lait maternel pendant l'allaitement.
Les calculs salivaires intraglandulaires sont des concrétions solides qui se forment à l'intérieur des glandes salivaires. Ces petits corps étrangers durs sont généralement composés de calcium et peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres.
Ils se forment lorsque la salive devient saturée en sels de calcium, ce qui entraîne la précipitation des cristaux de calcium. Au fil du temps, ces cristaux peuvent s'agglomérer et former un calcul. Les calculs salivaires intraglandulaires peuvent se former dans n'importe quelle glande salivaire, mais ils sont les plus fréquents dans la glande parotide, qui est la plus grande des glandes salivaires.
Les symptômes associés aux calculs salivaires intraglandulaires peuvent inclure une douleur ou une sensibilité au niveau de la glande salivaire affectée, un gonflement, une rougeur et une sensation de plénitude. Dans certains cas, les calculs peuvent obstruer les canaux qui transportent la salive vers la bouche, entraînant une production réduite de salive et des difficultés à avaler.
Le traitement dépend de la taille et de la localisation du calcul. Dans certains cas, il peut être possible de dissoudre le calcul en augmentant la consommation de liquides et en massant la glande salivaire affectée. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale est nécessaire pour retirer le calcul. Dans les cas graves, où il y a une infection ou un risque d'inflammation, des antibiotiques peuvent être prescrits.
Dans l'anatomie animale, les glandes mammaires sont des glandes sudoripares modifiées qui se trouvent chez la plupart des mammifères. Elles sont principalement responsables de la production de lait après la naissance pour nourrir les petits. Chez les femelles, ces glandes se développent et deviennent fonctionnellement actives pendant la période de reproduction et de lactation.
Elles sont composées de lobules, qui sont des groupements de sacs alvéolaires où le lait est produit, et de canaux galactophores, qui transportent le lait jusqu'au mamelon. Les glandes mammaires sont sensibles aux hormones stéroïdes telles que les œstrogènes, la progestérone et la prolactine, qui régulent leur développement et la production de lait.
Les mâles animaux ont également des glandes mammaires, mais elles sont généralement moins développées et non fonctionnelles, sauf chez certains primates. Chez l'homme, par exemple, les glandes mammaires peuvent se développer de manière anormale et devenir fonctionnelles, ce qui est connu sous le nom de galactorrhée.
Les protéines et peptides salivaires font référence à un large éventail de molécules biologiquement actives présentes dans la salive. La salive est un fluide complexe produit par les glandes salivaires, qui contient plus de 2000 protéines et peptides différents. Ces molécules jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé bucco-dentaire et globale en participant à des processus tels que la digestion, la défense contre les agents pathogènes, la cicatrisation des plaies et la protection des tissus oraux.
Parmi les protéines et peptides salivaires les plus étudiés, on trouve:
1. Amylase salivaire: Une enzyme qui décompose les glucides complexes en sucres simples, facilitant ainsi la digestion.
2. MUCINEs: Des glycoprotéines qui forment un film protecteur sur les muqueuses orales, empêchant l'adhésion et l'invasion des bactéries et des virus.
3. LYSOZYME: Une enzyme qui dégrade la paroi cellulaire des bactéries, exerçant ainsi une activité antibactérienne.
4. Histatines: Des peptides riches en histidine qui présentent des propriétés antimicrobiennes et contribuent à la minéralisation des dents.
5. Statherine: Une protéine qui régule la formation de plaques et prévient la carie dentaire en favorisant la reminéralisation des surfaces dentaires.
6. Proline-rich proteins (PRPs): Des protéines qui participent à la formation de la structure de la salive, facilitent l'agrégation des protéines et présentent des activités antimicrobiennes.
7. Lactoferrine: Une protéine qui séquestre le fer, empêchant ainsi les bactéries de se développer, et présente une activité antibactérienne directe.
8. Cystatines: Des inhibiteurs de protéases qui protègent les tissus oraux contre la dégradation enzymatique et présentent des propriétés antimicrobiennes.
Ces composants jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie buccale, en prévenant les infections, en favorisant la cicatrisation des plaies et en protégeant les tissus oraux contre les dommages. Les déséquilibres dans la composition ou la fonction de ces composants peuvent entraîner diverses affections buccales, telles que la carie dentaire, la maladie des gencives et le cancer de la bouche.
L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.
Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.
Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.
La maladie de la glande sous-maxillaire, également connue sous le nom de sialoadénite de la glande submandibulaire, est une inflammation de la glande salivaire submandibulaire située sous la mâchoire inférieure. Cette condition peut être causée par divers facteurs, tels qu'une infection bactérienne ou virale, des calculs (lithiases) dans les conduits salivaires, des maladies auto-immunes, des traumatismes ou des tumeurs.
Les symptômes courants de la maladie de la glande sous-maxillaire comprennent une douleur et un gonflement de la glande submandibulaire, particulièrement marqués lors de la mastication ou de la déglutition. La personne affectée peut également ressentir de la fièvre, des frissons, un mal de gorge et une fatigue générale en cas d'infection. Dans les cas graves ou chroniques, une fistule (un petit canal) peut se former entre la glande et la peau, permettant au contenu purulent de s'écouler à l'extérieur.
Le diagnostic de la maladie de la glande sous-maxillaire repose sur l'examen clinique, les antécédents médicaux du patient, des tests d'imagerie tels que l'échographie, la tomographie computérisée (CT) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur des analyses de laboratoire pour déterminer la nature de l'infection, le cas échéant.
Le traitement de la maladie de la glande sous-maxillaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans les cas d'infections bactériennes, des antibiotiques peuvent être prescrits. En présence de calculs, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour retirer le ou les corps étrangers et drainer la glande. Si l'inflammation est chronique ou récurrente, la sialendoscopie (une procédure endoscopique mini-invasive) ou la sialectomie (l'ablation de la glande) peuvent être envisagées.
Il est important de consulter un médecin en cas de suspicion de maladie de la glande sous-maxillaire, car une prise en charge précoce et adéquate peut contribuer à prévenir les complications et favoriser une guérison rapide.
La salivation, également connue sous le nom de sécrétion salivaire, est un processus physiologique au cours duquel la salive est produite par les glandes salivaires situées dans la bouche et la gorge. La salive aide à maintenir la muqueuse buccale humide, facilite la déglutition, la digestion des aliments en contenant des enzymes telles que l'amylase, et protège contre les caries dentaires en neutralisant les acides produits par les bactéries. La salivation peut être stimulée par divers facteurs tels que la vue, l'odeur ou la pensée de la nourriture, ainsi que par la mastication et la déglutition. Cependant, certaines conditions médicales telles que les troubles neurologiques, les maladies inflammatoires des glandes salivaires, les réactions aux médicaments ou les radiothérapies peuvent affecter la production de salive et entraîner une hypersalivation ou une hyposalivation.
La xérostomie est un terme médical qui décrit une condition où la bouche devient sèche en raison d'un manque de production de salive adéquate. Elle peut être causée par divers facteurs, tels que les effets secondaires de certains médicaments, des radiations dans la tête et le cou, certaines maladies chroniques (comme le diabète ou le syndrome de Sjögren), une déshydratation ou le processus de vieillissement. Les symptômes courants incluent la difficulté à mâcher, avaler ou parler, un goût amer dans la bouche, des plaies buccales et une augmentation de la carie dentaire. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de style de vie, l'utilisation de substituts salivaires ou des médicaments pour stimuler la production de salive.
La salive est une substance liquide produite par les glandes salivaires situées dans la bouche et le visage. Elle joue un rôle crucial dans la digestion des aliments en humidifiant les aliments et en facilitant leur déglutition. La salive contient également des enzymes, telles que l'amylase, qui aident à décomposer les glucides complexes en sucres simples, ce qui permet une digestion plus efficace dans l'estomac. En outre, la salive agit comme un lubrifiant pour la bouche et les dents, aidant à prévenir la cavité buccale sèche et à protéger les tissus buccaux contre les dommages et les infections. Une diminution de la production de salive peut entraîner des problèmes de santé bucco-dentaire, tels que la carie dentaire et la maladie des gencives.
Les glandes sudoripares sont un type de glande exocrine dans la peau qui sécrètent une substance aqueuse et salée appelée sueur. Il existe deux types de glandes sudoripaires: les glandes eccrines et les glandes apocrines. Les glandes eccrines sont réparties sur tout le corps, en particulier sur la paume des mains, la plante des pieds et le front, et sont responsables de la production de sueur qui aide à réguler la température corporelle. Les glandes apocrines, en revanche, sont principalement situées dans les aisselles et autour des organes génitaux et deviennent actives à la puberté, sécrétant une sueur qui peut se mélanger aux bactéries de la peau et produire une odeur caractéristique.
Les glandes sébacées sont des glandes situées dans la peau qui sécrètent du sébum, une substance huileuse qui aide à garder la peau et les cheveux hydratés. Elles sont attachées aux follicules pileux et se trouvent principalement sur le visage, le haut du dos et le torse. Le sébum produit par ces glandes peut obstruer les pores de la peau, ce qui peut entraîner l'acné et d'autres problèmes de peau lorsque les glandes sont surestimulées ou lorsque les pores sont bloqués.
L'appareil lacrymal est un système complexe qui produit, stocke et draine les larmes. Il se compose des glandes lacrymales, des conduits lacrymaux, des sacs lacrymaux et des canaux nasolacrimaux. Les glandes lacrymales sont responsables de la production de larmes, qui lubrifient et protègent la surface de l'œil. Les conduits lacrymaux collectent les larmes et les acheminent vers le sac lacrymal, d'où elles s'écoulent dans les canaux nasolacrimaux et finissent par se déverser dans le nez. L'appareil lacrymal fonctionne pour maintenir l'humidité de l'œil et protéger contre les irritants et les infections.
La glande de Harder, également connue sous le nom de glande bulbourethrale ou glande de Cowper, est une petite glande situées juste en dessous de la prostate dans les hommes. Elle fait partie du système reproducteur masculin et se compose de deux structures qui sécrètent un liquide clair et visqueux déchargé dans l'urètre pendant le rapport sexuel. Ce liquide, appelé pré-éjaculat ou lubrifiant, sert à lubrifier et à neutraliser l'acidité de l'urètre avant l'éjaculation, facilitant ainsi le mouvement des spermatozoïdes lors de l'activité sexuelle. Les sécrétions de la glande de Harder contiennent également certaines enzymes et protéines qui protègent et nourrissent les spermatozoïdes.
Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.
Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.
Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.
Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.
Diptera est un ordre d'insectes dans la classe Insecta et le sous-classe Pterygota. Le nom Diptera vient du grec "di" signifiant deux et "pteron" signifiant aile, ce qui reflète la caractéristique distinctive de cet ordre: chaque spécimen possède seulement deux ailes (généralement fonctionnelles), tandis que d'autres insectes ont généralement quatre ailes.
Les membres de Diptera sont communément appelés mouches, moustiques ou diptères. Ils comprennent une grande diversité d'espèces, allant des petites mouches aux grands taons. Les caractéristiques communes incluent une paire d'ailes fonctionnelles et une paire de balanciers (ou haltères) qui aident à la stabilisation en vol.
De nombreux dipteres sont connus pour être des vecteurs importants de maladies, telles que les moustiques qui transmettent le paludisme, la dengue et la fièvre jaune. Cependant, certains membres de ce groupe jouent également un rôle crucial dans l'écosystème, comme les mouches à scie qui aident à décomposer les matières organiques mortes.
En médecine, une tumeur est une augmentation anormale et localisée de la taille d'un tissu corporel due à une croissance cellulaire accrue. Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes sont généralement des masses arrondies, bien circonscrites et ne se propagent pas aux tissus environnants. Elles peuvent cependant causer des problèmes si elles compriment ou déplacent des organes vitaux.
Les tumeurs malignes, en revanche, ont tendance à envahir les tissus voisins et peuvent se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps via le système sanguin ou lymphatique. Elles sont souvent désignées sous le terme de «cancer».
Il est important de noter que toutes les augmentations anormales de la taille d'un tissu ne sont pas nécessairement des tumeurs. Par exemple, un œdème (gonflement) ou une inflammation peuvent également entraîner une augmentation temporaire de la taille d'une zone spécifique du corps.
Les glandes surrénales sont des glandes endocrines situées au-dessus des kidneys dans le corps humain. Elles sont composées de deux parties distinctes : la cortexe et la medulla.
La cortexe, qui forme la majeure partie de la glande, est responsable de la production des hormones stéroïdes telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes. Le cortisol aide à réguler le métabolisme, à réduire l'inflammation et à répondre au stress. L'aldostérone régule la pression artérielle en contrôlant les niveaux de sodium et de potassium dans le corps. Les androgènes sont des hormones sexuelles masculines qui contribuent au développement des caractéristiques sexuelles secondaires chez les hommes.
La medulla, qui est la partie interne de la glande, produit des catécholamines telles que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (également appelée norepinephrine). Ces hormones préparent le corps à répondre au stress en augmentant le rythme cardiaque, la respiration et le flux sanguin vers les muscles.
Les glandes surrénales jouent donc un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions corporelles, notamment le métabolisme, la pression artérielle, l'équilibre électrolytique et la réponse au stress.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Tumeur des glandes salivaires
Glande salivaire
Glande salivaire accessoire
Stomatologie
D11
Oncocytome
Chirurgie orale en France
Biopsie
Grover Cleveland
Adénome pléomorphe
C8
Métastase osseuse
Tumeur de Warthin
Sialendoscopie
Chirurgien-dentiste
Parotidite
Tony Gwynn
Xanthogranulome juvénile
Pierre Masson (médecin)
CIM-10 Chapitre 02 : Tumeurs
André Boeckel
Tumeur du poumon
Involution (médecine)
Glande submandibulaire
Tabac à mâcher
Mastocytome
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Glande parotide
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Parotide | Studio Dentaire
Malignes7
- Si les deux-tiers des tumeurs des glandes salivaires sont bénignes, on estime que 20% des tumeurs parotidiennes, 50% des tumeurs submandibulaires, 95% des tumeurs sublinguales et 80% des tumeurs des glandes salivaires accessoires sont malignes. (wikipedia.org)
- tumeurs bénignes et malignes de la peau de la face et du cou avec reconstruction. (ch-pau.fr)
- Bien qu'elles soient très rares, les tumeurs des sous-maxillaires, malignes dans 50% des cas, nécessitent une résection de la glande. (sialoss.com)
- L'EBV est aussi associé à certains cancers musculaires, de même qu'à des tumeurs malignes des glandes salivaires et urogénitales. (elidemontesi.com)
- De nombreuses tumeurs auriculaires bénignes ou malignes s'accompagnent généralement d'une baisse de l'audition. (msdmanuals.com)
- Les tumeurs malignes, communément appelées cancers, constituent l'une des causes les plus redoutées des boules dans le cou. (pharmabeautemag.fr)
- Il s'agit la plupart du temps de tumeurs bénignes , même si dans de rares cas des tumeurs malignes se développent au niveau des glandes salivaires principales ou accessoires. (nice-face.fr)
Parotide12
- Tumeur des glandes salivaires Glandes salivaires principales : parotide (1), sous-mandibulaire (2) et sublinguale (3). (wikipedia.org)
- Tumeurs de la Parotide - Tumeurs des glandes salivaires. (orl-toulouse.pro)
- Toute chirurgie de la glande parotide impose pour l'ORL, la connaissance parfaite de la situation du nerf , et de son trajet . (orl-toulouse.pro)
- C'est la plus fréquente de tumeur maligne de la glandes parotide . (orl-toulouse.pro)
- C'est la technique chirurgicale que nous utilisons pour éliminer les tumeurs de la glande parotide. (sialoss.com)
- L'extirpation de la glande sous-maxillaire est techniquement plus simple que celle de la parotide. (sialoss.com)
- Chaque glande parotide est enroulée autour de la branche montante mandibulaire, qui est l'extrémité perpendiculaire arrière de la mandibule de chaque côté. (studiodentaire.com)
- La fonction principale de la glande parotide, et de toutes les autres glandes salivaires, c'est l'initiation de la digestion. (studiodentaire.com)
- De plus, la salive produite par la glande parotide et d'autres glandes salivaires, aide dans les processus de dégustation des aliments et de nettoyage de la bouche après un repas. (studiodentaire.com)
- La sialolithiase est le développement de calculs salivaires, dans la glande parotide-même, mais plus fréquemment dans son canal, et cela peut avoir de nombreuses causes. (studiodentaire.com)
- Même s'ils sont exceptionnels, les risques opératoires résident essentiellement dans la dissection de la glande par rapport aux nerfs de voisinage : le nerf facial pour la parotide, le nerf lingual, le nerf hypoglosse, et le rameau mentonnier du nerf facial pour la glande sous-mandibulaire. (nice-face.fr)
- Selon l'ensemble des médias espagnols, recoupant une information du Mundo Deportivo, Tito Vilanova (42 ans) a rechuté de sa tumeur de la glande parotide (une glande salivaire). (usap-forum.com)
Maligne2
- En cas de tumeur maligne, d'autres signes peuvent être associés ou constituer le mode de découverte : paralysie nerveuse, et notamment paralysie faciale en cas de tumeur parotidienne, douleurs, adénopathies, infiltration cutanée. (wikipedia.org)
- Une tumeur maligne (cancéreuse) peut se développer rapidement et entraîner une perte de mobilité du côté affecté du visage. (chaplet.org)
Pathologie2
- Les glandes salivaires peuvent toutes être touchées par la pathologie tumorale, mais leur répartition est inégale. (wikipedia.org)
- Les premiers travaux sur l'origine infectieuse des tumeurs datent d'il y a cent ans, mais à l'époque ils ne suscitèrent aucun intérêt notable car on pensait que ces découvertes faites chez l'animal ne pouvaient se transposer en pathologie humaine. (elidemontesi.com)
D'autres glandes salivaires1
- Le mucus qui est sécrété par d'autres glandes salivaires, lubrifie la nourriture en préparant l'amylase à faire son travail. (studiodentaire.com)
Parotides7
- Les glandes parotides sont une paire parmi les principales glandes salivaires et en sont les plus grandes. (studiodentaire.com)
- Dans la bouche, il y a trois glandes salivaires principales, chacune présente en paires: les glandes parotides, les glandes submandibulaires et les glandes sublinguales . (studiodentaire.com)
- Les glandes parotides sont les plus grandes des glandes salivaires principales et sécrètent un type séreux de salive, ce qui signifie qu'elle contient les enzymes qui décomposent les glucides en glucose et en maltose. (studiodentaire.com)
- Les oreillons , c'est une maladie qui se manifeste par le gonflement des glandes parotides suite à une infection virale (virus ourlien). (studiodentaire.com)
- La parotidite est l'inflammation d'une ou des deux glandes parotides, et la cause la plus fréquente est les oreillons. (studiodentaire.com)
- les glandes salivaires principales, au nombre de six : deux glandes parotides , deux glandes sous-mandibulaires , deux glandes sub-linguales . (nice-face.fr)
- On ne note pas de glandes parotides palpables, et les canaux auditifs et les tympans sont sans particularité à l'otoscopie. (medscape.com)
Cancers des glandes salivaires1
- En France, selon le rapport de l'INCa de juillet 2019, on estime à 765 le nombre de nouveaux cas de cancers des glandes salivaires pour l'année 2018, dont 57% d'hommes. (wikipedia.org)
Pathologies des glandes salivaires1
- L'unité de chirurgie maxillo-faciale traite les traumatismes de la face (osseux et tissus mous) et du crâne, les cancers de la cavité buccale, de la peau de la face et du cou et des orbites, les anomalies de croissance des mâchoires, les pathologies des glandes salivaires, les pathologies infectieuses de la face, et les malformations faciales. (chu-lyon.fr)
Principales2
- Les glandes salivaires principales (macroscopiques) sont au nombre de trois. (chaplet.org)
- Une laryngectomie salivaires principales [ 3 ]. (who.int)
Traitements5
- Dans certains cas, l'ablation des ganglions cervicaux liés à la glande elle-même et des traitements ultérieurs par chimiothérapie et/ou radiothérapie s'avèrent également nécessaires. (sialoss.com)
- Ces traitements sont utilisés de manière isolée ou de manière combinée en fonction du stade d'extension de la tumeur. (institutroialbertdeux.be)
- En d'autres termes, à l'inverse des cancers fréquents, il n'y a pas de consensus sur les traitements qu'il convient de mettre en place pour certaines tumeurs rares. (bordet.be)
- Certaines tumeurs rares répondent très bien aux traitements proposés. (bordet.be)
- Si la tumeur est tellement rare qu'elle ne fait l'objet d'aucun protocole thérapeutique ou si elle n'a pas réagi positivement aux premiers traitements proposés par les médecins, il faut être innovant. (bordet.be)
D'un4
- L'infection peut être le résultat d'une diminution du flux de salive ou de l'occlusion ou de l'inflammation d'un conduit salivaire. (chaplet.org)
- l'insertion d'un endoscope dans le canal salivaire permet le diagnostic visuel du blocage, car quelques calculs sont radiotransparents, c'est à dire qu'ils ne se voient pas au scanner. (nice-face.fr)
- Mais c'est l'examen anatomo-pathologique d'un prélèvement de tumeur (biopsie, intervention chirurgicale) qui pose le diagnostic de tumeur rare en révélant un type de cellules cancéreuses tout à fait inhabituel. (bordet.be)
- L'entité de tumeur a à distance et à la recherche d'un autre été décrite dans beaucoup d'organes cancer primitif s'est révélé négatif. (who.int)
Chirurgicale2
- Il s'agit d'une intervention chirurgicale très rare dans notre clinique, puisque nous traiterons la plupart des pathologies de cette glande par sialoendoscopie. (sialoss.com)
- L'exérèse chirurgicale est le traitement de référence de toutes les tumeurs bénignes. (msdmanuals.com)
Traitement des tumeurs1
- Le traitement des tumeurs des glandes salivaires est leur extirpation. (sialoss.com)
Submandibulaires2
- Des glandes submandibulaires sont situées de chaque côté de la mâchoire, sous la mandibule. (chaplet.org)
- Les indications étaient les lithiases résiduelles après lithotripsie (194 cas avec 112 cas de lithiases parotidiennes et 82 cas de lithiases submandibulaires), les sténoses des glandes salivaires à l'origine de coliques salivaires fréquentes (69 patients) et les pseudo parotidites allergiques (89 patients). (glandesalivaires.com)
Rares6
- Ces tumeurs sont rares et peuvent être difficiles à diagnostiquer. (msdmanuals.com)
- Les 10 % restants sont des tumeurs plus rares, situées dans les fosses nasales ou dans les sinus paranasaux, dans l'oreille moyenne et dans les glandes salivaires. (institutroialbertdeux.be)
- Les tumeurs rares représentent environ un quart des cancers traités à l'Institut Jules Bordet. (bordet.be)
- « Comme les tumeurs rares et exceptionnelles concernent chacune un petit nombre de patients, la littérature médicale y fait peu référence » , explique le Dr Ahmad Awada, oncologue. (bordet.be)
- Grâce à l'expertise de ses équipes médicales, toutes les concertations multidisciplinaires oncologiques (CMO) de l'Institut Jules Bordet prennent en charge des tumeurs rares. (bordet.be)
- La CMO tumeurs exceptionnelles répertorie aussi toutes les tumeurs rares traitées à l'Institut Jules Bordet et suit l'évolution des patients dans le temps. (bordet.be)
Bouche5
- En outre, des centaines de petites glandes salivaires accessoires (microscopiques) déposent de la salive provenant de canaux situés autour de votre bouche. (chaplet.org)
- Il existe également des centaines de glandes salivaires mineures qui sont situées partout dans la bouche. (studiodentaire.com)
- La xérostomie peut affecter toutes les glandes salivaires, et elle se traduit par une diminution de production de salive dans la bouche. (studiodentaire.com)
- L'apparition de tumeurs blanches dans la bouche chez les femmes pendant la grossesse est considérée comme dangereuse. (ishtarmedica.com)
- L'utilisation de substituts salivaires consiste à pulvériser plusieurs fois par jour dans la bouche une solution qui fait office de salive artificielle. (cabinetaubepines.lu)
Canaux2
- cette fois-ci la tuméfaction est constante, inflammatoire, douloureuse, s'accompagne de fièvre et d'une sécrétion purulente aux orifices de sortie des canaux salivaires. (nice-face.fr)
- Par ailleurs, les récepteurs aux alpha-1-bloquants situés sur les fibres musculaires lisses de l'appareil urinaire sont aussi présents sur les cellules myoépithéliales des canaux excréteurs salivaires. (glandesalivaires.com)
Sublinguales1
- Des glandes sublinguales se trouvent sur le plancher buccal, sous la langue. (chaplet.org)
Cellules2
- Ce virus a ainsi été découvert pour la première fois en 1964 en Ouganda dans les cellules d'une tumeur appelée lymphome de Burkitt, affectant de très jeunes enfants. (elidemontesi.com)
- Les lipomes sont des tumeurs bénignes composées de cellules adipeuses. (pharmabeautemag.fr)
Parotidiennes1
- Les tumeurs parotidiennes (les plus fréquentes), donnent ainsi une tuméfaction en avant ou sous l'oreille. (wikipedia.org)
Salive3
- La salive produite par toutes ces glandes peut être séreuse (liquide aqueux) ou muqueuse (liquide épais et visqueux). (studiodentaire.com)
- La salive protège également les dents , car elles sont lubrifiées avec le mucus produit par les autres glandes salivaires. (studiodentaire.com)
- Les glandes salivaires sécrètent la salive. (nice-face.fr)
L'ablation2
- L'ablation de la tumeur d'Emmanuel n'a pris que 48 minutes. (mercyships.ch)
- À des médicaments comme les neuroleptiques, certaines cures de chimiothérapie, l'ablation de glandes salivaires. (cabinetaubepines.lu)
Muqueuse2
- Les tumeurs des glandes salivaires sont le plus souvent diagnostiquées sous la forme d'une tuméfaction sous cutanée ou sous muqueuse. (wikipedia.org)
- les glandes salivaires accessoires, disséminées sur l'ensemble de la surface muqueuse de la cavité buccale, et qui sont responsables d'environ la moitié de la sécrétion salivaire. (nice-face.fr)
L'origine1
- Une infection d'une glande salivaire causée par une tumeur bénigne peut être à l'origine d'une dilatation des glandes. (chaplet.org)
Sous-mandibulaire1
- Des lithiases (ou calculs) peuvent se former et se coincer dans la glande ou le canal salivaire parotidien (canal de Sténon) ou sous-mandibulaire (canal de Wharton). (nice-face.fr)
Production salivaire1
- À l'irradiation d'une tumeur de la face ou du cou pouvant entraîner une diminution de la production salivaire. (cabinetaubepines.lu)
Notamment1
- Ils peuvent être causés par divers facteurs, notamment des glandes obstruées ou une inflammation. (pharmabeautemag.fr)
D'une infection1
- Les symptômes révélateurs d'une infection des glandes salivaires peuvent également être indicateurs d'autres conditions. (chaplet.org)
Buccale1
- Si votre sécheresse buccale est due à une prise de médicaments, vous pouvez demander à votre médecin s'il est possible de les remplacer par un traitement qui affectera moins le débit salivaire. (cabinetaubepines.lu)
Cervico-faciale1
- Chirurgie cervico-faciale et particulièrement tumeurs des glandes salivaires et tumeurs thyroïdiennes. (clinique-du-cedre.fr)
Larynx1
- Une radiothérapie a été délivrée à la a objectivé une tumeur bourgeonnante de dose de 66 Gy dans le lit tumoral par deux l'hémi-larynx gauche avec fixité de la corde faisceaux latéraux et une dose de 50 Gy vocale homolatérale. (who.int)
Sublinguale1
- on parle alors de mucocèle sublinguale, ranula ou grenouillette , qui nécessite une chirurgie simple de retrait du kyste et de la glande, par une courte incision endobuccale au niveau du plancher buccal. (nice-face.fr)
Chirurgical1
- Dans le cas des tumeurs bénignes, qui sont majoritaires, un traitement chirurgical permettra d'éliminer le problème. (sialoss.com)
Calculs1
- pour des calculs multiples ou de grande taille logés dans la glande, même si le développement des techniques sialendoscopiques, dans les limites de leurs possibilités, diminue la fréquence des indications. (nice-face.fr)
Diagnostic1
- Les examens nécessaires pour confirmer et affiner le diagnostic de tumeur rare sont multiples et dépendent de sa localisation et de son type. (bordet.be)
Nasales1
- Cette maladie est très contagieuse et peut se propager par des gouttelettes en suspension dans l'air provenant des sécrétions salivaires, nasales et urinaires. (studiodentaire.com)
Infection3
- Une infection des glandes salivaires se développe lorsqu'un agent bactérien ou viral affecte une glande ou un conduit salivaire. (chaplet.org)
- La liste de symptômes suivante peut indiquer une infection des glandes salivaires. (chaplet.org)
- Lorsqu'une infection n'est pas traitée, du pus peut s'accumuler et former un abcès des glandes salivaires. (chaplet.org)
Risque2
- A l'heure actuelle, on estime que les infections virales viennent directement après le tabac comme facteur de risque du développement de tumeurs cancéreuses. (elidemontesi.com)
- Un suivi régulier est indispensable dès lors que le risque d'apparition d'une autre tumeur dans la même région reste présent. (institutroialbertdeux.be)
L'oreille moyenne1
- Des paragangliomes non chromaffines (chémodectomes) sont observés dans l'os temporal à partir du glomus dans le bulbe jugulaire (tumeurs du glomus jugulaire) ou dans la paroi interne de l'oreille moyenne (du glomus tympanique). (msdmanuals.com)
Signe1
- L'IRM montre une inflammation dans la région du foramen stylo-mastoïdien, sans signe de tumeurs. (medscape.com)
Affections1
- Des interventions sur les affections des glandes salivaires et la pose de prothèses maxillo-faciales. (idocteur.com)
Pharynx1
- Ces glandes se trouvent sur la surface interne du pharynx (gorge). (cancer.ca)
Canal2
- Celle-ci est souvent causée par une occlusion ou inflammation du canal de la glande salivaire. (chaplet.org)
- taille endobuccale du canal salivaire : si le calcul est proche de l'orifice de sortie du canal salivaire et accessible à une chirurgie endobuccale. (nice-face.fr)